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97® Année. — N° 7. LE NUMÉRO QUINZE CENTIMES Dimanche 14 Février 1996 LE COURRIER DE L'OISE JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS Paraissant 10 dim anche Un a n .... Six moii. _A_ !B O 3ST 1ST US 3SÆ E INI’ T B Oise et limitr. Autres dép. 8 fr. 10 fr. 5 fr. 6 fr. Ou s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d avance et continue de plein droit jusqu à réception d avis contraire. Les Abonnements partent du i” cïe chaque mois BUREAUX. R É D A C T IO N ADMINISTRATION ST 33 Sr:L.IS 11 , Place HanVi-IV, 11 SEDSTLIS TÉLÉPHONE 4 Directeur Commercial t E. VIGNON X* X 3C. D :HÎ S3 I XV Eï DEO I O XV S Annonces légales I lr,- 25 la ligne. I Réolam.s ! Annonces volontaires., I fr. 25 la ligne. I 0,1 bage ......................... Les ■manuscrits, insérés ou non, ne sont pas renaut 2 fr. la ligne. Sur la corde fendue. /fa Pareil à ces équilibristes fîW qui, sur une corde tendue dans les airs, vont et viennent, s’élancent, s’arrêtent, puis repartent, M. Briand, sans souci, semble-t-il, de savoir si ce qu’il fait est bien ce qu’on attend de lui, acro bate d’un nouveau genre, évolue au-dessus du goulïre. Cependant « il est nécessaire, indispensable, urgent, que, dans un délai de cinq ou six jours au plus, il soit pourvu au déficit du budget ». Où nous conduit alors ce jeu bril lant mais dangereux du Président du Conseil ? Nous sommes en droit de le savoir. S’il ne s’agissait que du sort d’.un ministère, que nous impor terait. Mais la question est de toute autre importance. C’est la vie de la Nation qui est compromise. Il n’est pas exagéré de le dire. M. Briand n’a-t-il pas déclaré qu’un écroulement était à craindre ? « Il n’y a rien d’étonnant qu’un projet (celui du Cartel) qui comporte une centaine d’articles ne soit pas encore voté, mais je dis à la Chambre que si elle ne l’avait pas voté avant une huitaine de jours, c’est-à-dire que si avant une huitaine de jours le Sénat n’était pas saisi d’un travail qui lui permette de réaliser l’effort com mencé, la situation deviendrait grave et même inquiétante. » Mais aussitôt il ajoute : « Nous ne sommes pas en face d’un de ces pro blèmes qui servent de pierre de touche... ». Nous allons à ÏAtons, les yeux bandés, sur la corde tendue au-dessus du gouffre. Il est à craindre, qu’avec ces atermoiments et ces discussions interminables, le Trésor ne se trouve un beau matin de mai en présence de nécessités telles qu’il sera dans l’incapacité d’y faire face autrement qu’en ayant recours à une nouvelle émission de billets. C’est ce que comprend la majorité des Français; c’est ce que ne semble pas voir le Président du Conseil; c’est ce dont se soucie fort peu le Cartel faux monnaijeur. Il n'en est pas à quelques milliards de plus ou de moins en circulation. Faire ren trer de l’argent dans les caisses du Trésor est son moindre souci. Ce qu’il veut, avant tout, c’est faire une manifestation électorale, mater les porteurs de valeurs mobilières et faire rendre gorge à la soi-disante spéculation. Oui ou non, M. Briand est-il résolu à prendre, dans ce chaos de mesquines préoccupations parle mentaires et de petits tripotages d’ordre électoral, la défense des grands intérêts nationaux ? Si oui... ce ne sont plus des paroles que nous demandons, ce sont des actes. Si non... aujourd’hui l’acrobatie est le moindre de nos goûts. Echos et Nouvelles DÉPARTEMENT Taxe d’apprentissage Le Préfet de l’Oise rappelle à toutes personnes ou sociétés exerçant une pro fession industrielle ou commerciale, ou concessionnaire d’un service publie, assu jetties à la taxe d’apprentissage instituée par l’article 25 de la loi de finances du 15 juillet lp26, qu’elles doivent adresser à la Préfecture, avant le 16 février pro chain, la déclaration de tous les appoin tements, salaires et rétributions quelcon ques payés au cours de l’année 1924. Cour d’Assises de l’Oise La première session des Assises de l’Oise s’ouvrira le lundi 1 er mars, au Palais de Justice de Beauvais. Le rôle comportera 4 ou 5 affaires. La session ne durera probablement que quel ques jours. Parmi les jurés titulaires de l’arrondis sement de Senlis : M. Proffit Anatole-Eugène-Louis, agricul teur à Bouillancy. M. Cantrel Georges, instituteur en retrai te, à Mesnil-en-Thelle. M. Desprez Arsène, chef d’atelier, à N eu illy-e n-Th ell e. M. Delavière Henri, propriétaire, à Bala- gny-sur-Tlhérain. M. Demoinet Hippolyte, propriétaire, à ‘Senlis. M. d e Luppé Albert-Marie-Pierre, pro priétaire à Beaurepaire. M. Neuziliet Pierre, inspecteur d’asstt- raniees, à Creil. M. Taupin Louis, garde général, à Chan tilly. M. Dubray Eugène, négociant, à Crépy. Aux Amateurs de T. S. F. Exposition régionale à Compiègne La Radio-Association Gompiégnoise or ganise 85, rue de Paris, le samedi 13 fé vrier après-midi et le dimanche 14, une exposition avec essais comparatifs d’ap pareils récepteurs, haut-parleurs, etc. Diverses attractions scientifiques ren dront cette manifestation attrayante au tant qu’intéressante pour tous ceux qui sont ou désirent devenir sans-filistes. Congrès régional des colonies scolaires de vacances Pour permettre à M. Durafour, minis tre du Travail, de l’Hygiène, de l’Assis tance et de la Prévoyance Sociales de pré sider le Congrès régional des Colonies de Vacances, le Comité d’organisation a dé cidé de reporter la date aux 21 et 22 vrier, c’est-à-dire huit jours plus tard que la première date annoncée. Envoyer les adhésions pour le Congrès au Secrétariat général à Denain, pour le banquet à MM. Locq et Borin, à Creil. Éducation Physique L’ORIGINE DE LA PÊCHE MELBA Voici la vérité, sortie de la bouche même de M”e Melba. M“" Melba devait chanter, à Londres, dans un concert de bienfaisance. Vers quatre heures de l’après-midi, elle demanda à son hôtel — le Savoy — si on pouvait lui préparer une pêche. Le cuisinier du Savoy était le célèbre Escof- fier. Il voulut se distinguer aux yeux de la grande artiste, et son génie lui fit trouver une préparation nouvelle. — Oh ! c’est délicieux ! dit M“° Melba en la goûtant. Demandez vite au cuisinier com ment il appelle ces sortes de pêches. Escoffier fit répondre qu’elles ne portaient aucun nom, mais, puisqu’elles avaient eu l’heur de plaire à M“* Melba, il demandait la permission de leur donner son nom. Le Bavard. chauffeurs , attention / Que dites-vous de cette anecdote authen tique qui nous est contée ? Un médecin, sur le point de traverser dans son auto un village dauphinois, aperçoit un groupe d’habitants arrêtés au bord de la route et, au premier plan, un magnifique gendarme tenant un calpin et un crayon. Le docteur flairant la contravention au vol, ralentit, puis s’arrête à 6 o mètres du groupe. 11 voit alors Pandore s’avancer vers lui : — Combien faisiez-vous à l’heure quand vous vous êtes arrêté» questionne le défenseur de la loi. — Ma foi, dans les 20 à l’heyre, il me semble, riposte le morticole. — Vingt à l’heure ? C’est bien ce qui me semblait. Votre compte est bon. On ne doit pas dépasser 10 à l’heure dans la traversée de la ville. Je vous dresse contravention. Le médecin-chauffeur en resta tout éberlué. Les Alpes Françaises. Syndicat de la Boucherie des arrondissements de Senlis et Clermont De plus en plus, je préconise et je conseille les terrains de jeux ; mais afin de donner aux enfants le goût de fré quenter ces terrains, je répète et je répéterai sans cesse avec Hébert : « L’Education Physique doit être une œuvre scolaire. Aux Maîtres de la réaliser. » C’est donc à l’Ecole, au Lycée, au Collège, que les enfants doivent prendre ce goût de la culture physique. Il est vrai, et j’en suis très heureux, que des Maîtres, des Professeurs ont obtenu des résultats admirables ; M. Foisant, Inspecteur de l’Enseignement à Paris, a fait adopter la méthode naturelle dans toutes les Ecoles de notre capitale ; les résultats sont suprenants. Mais bien des Maîtres, des Professeurs semblent craindre la « Responsabilité » et « l’Art. 1384 » ! 1! Ils ne peuvent, ils ne doivent pas crain dre ce 1 te responsabilité financière et mo rale. S’ils appliquent strictement les pro grammes officiels, ils doivent enseigner l’Education Physique dans les Ecoles, dans les Lycées du gouvernement, « Le Maître, dit M. Foisant, est donc « légalement tenu de donner cet ensei- « gnement et, ce, comme pour tous les <r autres, quelles que soient les responsa- « bilités qui puissent peser sur lui pen ce d an t cet accomplissement de son « devoir. » Enfin, pour répondre aux objections qui peuvent etre posées concernant la Res ponsabilité des Maîtres en Education Physique, je citerai ces conclusions de M. Foisant : « En résumé, les accidents qui peuvent « se produire pendant la leçon d’éduca- « tion physique, ne constituent point une « catégorie spéciale d’accidents ayant une « jurisprudence propre et entraînant des « conséquences judiciaires particulières « tant que le Maître reste dans les limites « de son programme, ils ne peuvent être « jugés autrement que tous les autres ac te cidents de la vie scolaire quotidienne. « Comme eux, ils ne peuvent être que de « deux sortes : soit causés par l’enfant à « lui-même, et alors, il en est seul res te ponsable, soit résultant de la faute d’un « ou de plusieurs de ses camarades, et et c ’e s t l ’E t a t que la loi substitue au maître « ou au professeur dans le paiement des et freds et dommages. On voit donc qu’il et n’y a là pour l’Instituteur aucune raison « valable de s’affranchir d’un devoir « aussi impérieux que tous les autres de « sa charge. » A ndré TRONCIN. Conseiller d’Arrondissement. L’assemblée générale annuelle du Syn dicat a eu lieu dimanche dernier à'preil, sous la présidence de son actif et dévoué président, M. Bélosse, qui donne à ce syndicat toute sa bonne volonté agissante. L’assemblée générale proprement dite' est ouverte à 16 heures, sous la présidence de M. Belosse, président, assisté des Membres du bureau. Lecture est donnée des procès-verbaux de l’exercice 1925 et des comptes. Les quels sont approuvés, l’assemblée est satisfaite de la situation financière re connue saine et prospère. M. Van Wymerch est élu vice-président en remplacement de M. Desachy, démis sionnaire par suite de la cession de son fonds. Après la nomination de 3 délégués de canton, il est procédé au règlement do- comptes de l’assurance mutuelle. M. Van Wymerch, vice-président, pré sente à l’assemblée un vœu concernant le remplacement des impôts actuels par un impôt unique s’appliquant à toute vente de marchandises de la production à la vente. Ce vœu adopté à l’unanimité sera remis au Syndicat Général de la Bou cherie Française, pour être examiné. L’assembiée entend ensuite M. Maupin, qui est admis à faire partie d’une nou velle Commission. M. le sénateur Delpierre dit son désir de collaborer avec ses amis du Sénat à une meilleure répartition des impôts, avec esprit de justice et d’équité. Interrompu par M. Maupin, M. Delpierre n’a pas de peine à conquérir tout son auditoire par sa courtoisie et son bon sens. Au nom de la Fédération des groupes Industriels et Commerciaux de i’Oise, M. Mauny prend la parole pour répondre aux attaques injustifiées de M. Maupin, tant au sujet du dévoué M. Bélosse que de sa Fédération. A 7 heures, un banquet de plus de cent couverts a réuni à l’Hôtel du Commerce, MM les Bouchers (dont un certain nom bre accompagnés de leurs épouses) et leurs invités. Banquet succulent et fort bien servi qui fait le plus grand honneur au propriétaire de cet Hôtel. M. Bélosse, président du Syndicat pré sidait, ayant à ses côtés MM. Bouteille, député ; Mauny, président de la Fédéra tion des groupements Industriels et Com merciaux de l’Oise ; Escavy, maire de Senlis, avocat-conseil du groupement des bouchers ; Gabanelle, de Senlis ; Van Wymerch, de Bonneuil, vice-présidents ; Hullot, de Creil, trésorier ; Halattre, Charnet, Joseph Grugier, I. Prévost, Thoridnet,de Senlis ; Dominique Decreus, Léon Darras ; MM. les Représentants de divers groupements, et d’intermédiaires de vente de fonds de commerce, etc. La presse aimablement invitée était re présentée par M Warusfel, de la Gazette et M. Legrand, du Courrier de l'Oise. Au dessert, M. Belosse prit le premier la parole : Il regretta l’absence du dévoué président honoraire, M. Maloigne, auquel il adressa au nom de tous ses vœux de prompt rétablissement, et de M. Fléchelle, secrétaire, que son état de santé n’a pas permis de venir au banquet, lui adressant également ses vœux de meilleure santé. Il excusa MM. Noël et Langlois, séna teurs (M. le sénateur Delpierre avait as sisté à l’assemblée générale) MM. Four- nier Sarlovèze, Schmidt et Uhry, députés; M. le Préfet et MM. les Sous-Préfets de Clermont et Senlis ; MM. Stein, président du Syndicat d’Amiens ; Soualle, président honoraire de la Fédération des groupes Commerciaux et Industriels de l’Oise, qui présidait une autre réunion ; Brault, président de l’Union Commerciale de Senlis, Millet. M. Bélosse tint à remercier M. le séna teur Delpierre qui pour la première fois avait assisté à l’assemblée générale ; M. Bouteille, député, toujours présent, quand il s’agit de prendre la défense du petit commerce ; M. Escavy, avocat-conseil qui prouve son attachement à la corpora tion, non seulement par ses conseils pru dents et éclairés, mais par son assiduité aux réunions ; à son ami, M. Mauny, le vrai champion de la défense du com merce et de l’industrie ; M. Hervault, se crétaire du Syndicat de la Boucherie de Paris ; M. Sorel, délégué de M. Martin, président du Syndicat de la Boucherie j française. Le dévoué dirigeant du grou pement Clermont-Senlis, a tenu à féliciter dit pourquoi on ne pouvait admettre la rétroactivité des impôts, qui avait été votée contre le Code civil, il a notamment insisté sur la question de la propriété commerciale et a été très applaudi. Au nom de la Fédération des Groupes Industriels et Commerciaux de l’Oise, le dévoué M. Mauny a joint ses vœux de prompt rétablissement pour MM. Ma loigne et Fichelle, il a félicité M. Bou teille de son concours, lui un des ouvriers de la première heure de la Fédération ; M Escavy, l’infatigable maire de Senlis, et qui, en cette qualité, a présidé l’assem blée du Groupement Commercial de cette ville ; la presse dont les colonnes sont toujours si largement ouvertes et que les commerçants et industriels doivent faire vivre; En termes énergiques, M. Mauny a demandé aux assistants de réclamer avecl calme contre les lois créées ou que l’on veut créer pour imposer de plus en plusle commerce et l’industrie. Puis, avec des mots cinglants, il a stigmatisé comme il convenait, la loi du 4 décembre 1925, --'• effet rétroactif, il a réclamé l’égalité fiscale, des économies, la liberté com- merciale, a protesté contre le vote de tous impôts nouveaux jusqu’à ce que le re dressement financier soit fait et a fait appel à tous pour s’affilier aux groupe ments qui ont déjà montré qu’ils étaient une force avec laquelle il fallait compter. Les paroles de M. Mauny ont été très applaudies. M. Escavy, prenant ensuite la parole, félicite les dirigeants du groupement des sages conseils qu’ils donnent aux socié taires pour faire valoir leurs justes récla mations en présence de la situation qui leur est faite par les impôts. Les com merçants ont le droit de se plaindre et de réclamer l’égalité fiscale, une meilleure répartition des impôts et de protester contre les effets rétroactifs de la loi du 4 décembre 1925, loi si durement et si justement qualifiée par les contribuables. Les revendications faites avec tant de calme et de modération devraient être écoutées, mais hélas, le parlement dé semparé vote loi sur loi, dans l’espérance que le Sénat viendra arrêter cette course à l’abîme et modifier de fond en comble les lois votées hâtivement et sans études. Entrant ensuite dans le projet de loi concernant les successions, M. Escavy n’a pas de peine à montrer l’iniquité d’un tel projet, qui tend à faire déclarer héritier l’Etat d’abord, la famille après. En termi nant, M. Escavy déclare partager entière ment les sentiments exprimés par le Syndicat des Bouchers et aussi par MM. Bélosse, Mauny et également par M. Bou teille, qui lutte avec tant de courage à la Chambre et dans la Commission dont il fait partie, pour la défense du commerce et de l’industrie et il lève son verre en l’honneur des convives, sans oublier les dames, et à la prospérité du groupement des bouchers. M. le Maire de Sonlis fut très applaudi. M. Bouteille lui succède. Après avoir remercié le syndicat de son aimable invitation et félicité M. Bélosse, le dévoué président, M. Mauny l’infatigable défen seur des commerçants et industriels de l’Oise, M. Escavy, son co-listier d’hier et de demain, qui a dépeint si lumineuse ment la situation faite au commerce aujourd’hui et celle qui lui sera faite demain, le sympathique député annonce le dépôt d’un nouveau projet de loi sur la hausse illicite sous peine de prison, celui concernant les successions, etc. Que l’Etat commence par donnner l’exemple des économies et il fait alors défiler devant les yeux des convives attentifs, les diverses et importantes économies que l’Etat pourrait et devrait réaliser avant de créer de nouveaux impôts. Hélas ! depuis le 11 mai 1924, on a fait qu’une politique de désunion, 011 a surtout fait de l’infla tion, on a fait monter la livre ! Il y a, tout le monde le constate, une crise finan cière très grave. Que faut-il faire pour y remédier ? Tout d’abord pratiquer une large politique de concentration, il faut ramener la confiance dans le pays. Il serait criminel en ce moment de surchar ger les contribuables d’impôts, ils en ont assez. Quant à lui, M. Bouteille, il affirme qu’il ne votera de nouveaux impôts tant que de sérieuses économies n’auront pas été réalisées. En terminant, M. Bouteille lève son verre en l’honneur des convives, sans oublier les dames, et à la prospérité toujours de plus en plus croissante du Syndicat des Bouchers. De longs applau dissements ont souligné les paroles du dé puté de l’Oise. Lecture a été ensuite donnée parM. Bé losse des récompenses accordées au per sonnel de la boucherie : M. Bouteille a remis — en accompagnant son geste d’une accolade — à Mlle Pauline Billoy, cais sière depuis 12 ans chez M. Ilénocq, à Verberie, un diplôme, une médaille et 100 francs ; M. Mauny a remis à M. Paul Prévost, apprenti depuis 4 ans chez M. Mazeau, à Chantilly, un diplôme, une médaille et 50 francs. Enfin, M. Escavy a remis à M. Mazier, apprenti chez M. Duquesne, à Saint Waast, également un diplôme, une médaille et 50 francs. Félicitons ces bons serviteurs et souhai tons encore plus de lauréats pour l’année prochaine. tribune Xibre Près de la Porte Saint-Rieul, sur les arbres du Cours, une affiche a été apposée à l’intention des automobilistes qui savent lire : ATTENTION Ecole 'C’est très bien. Pourquoi n’en est-il pas de même à l’angle de la rue de la République et de ia rue de Meaux ? Serait-il si difficile d’apposer à ce croi sement un peu dangereux une affiche si milaire ? sfr* Le, bruit court que les Senlisiens vont être heureux. Deux concours vont pro chainement être organisés par une Com pagnie qui veut tenir ses engagements vis-à-vis de ia cité et des habitants — contribuables — clients. Le premier de ces concours serait ins titué pour remédier à l’allumage défec tueux des différents réverbères qui ne donnent de la lumière que d’une manière déréglée et avec des variations d’heure manifestement navrantes. Ce concours vise à trouver un inspecteur .adéquate pour régulariser les mouvements d’horlo gerie que porte individuellement chaque be|c-de-gaz. (Le second s’adresse aux inventeurs. Une médaille, grand module (en chocolat) serait décernée à celui qui trouvera *« le fil de plomb de secours automatique », pour parer aux nombreuses pannes qui font, dit-on, la désolation de l’Adminis tration, mais auxquelles les clients ne peuvent s’habituer. Le Guetteur du clocher. Dernière heure. — La Compagnie en question n’a jamais eu l’intention, dit-on, d’instituer ces deux concours. C’est re grettable. travers Sentis Pharmacie ouverte « Bardou, rue de Dimanche 14 Février : M l’Apport-au-Pain. Une Fête des Fleurs à Senlis La Commission des Fêtes du Conseil municipal, réunie le mercredi 10 février, sous la présidence de M. Escavy, maire, a entendu l’exposé très documenté de M. Louât, adjoint au Maire, chargé de pré senter un rapport sur le projet d’organisa tion d’une fête des fleurs dite « Fête du Bluet ». Cette fête comportera l’élection d’une reine et de ses demoiselles d’hon neur et tout un programme de réjouissan- la Commission des fêtes, nous en publions ei-dessous le règlement : rm s, de leur présence et de leur dévouement, ; j(.lgs gans lequel entrera la composition M. Chéreau, trésoiier honoraire, membre ! (Vun cortège. fondateur du Syndicat; Hanneval, de la Le projet mis au point a été, après un maison Agnus ; Darras, de la maison inchangé de vues, adopté à l’unanimité par Foucault et Boël ; Legrand, président du Syndicat de la charcuterie de 1 arrondis sement de Senlis ; Decreus, président du Comité d’initiative de Creil, et aux re présentants des maisons d’Aubervilliers, Agnus et Delamaire, pour leur générosité et aux représentants de la Presse. Après avoir entretenu les convives de la taxe à l’abatage, M. Bélosse a réclamé l’égalité fiscale, la suppression de la fa meuse loi de rétroactivité, la révision des baux à longue durée et l’examen de la propriété commerciale. Les dames ont reçu des compliments pour le charme apporté à ce banquet par leur présence et, en terminant, le dévoué président a levé son verre en l’honneur des convives et à la prospérité du Syndicat de Clermont- Senlis et à celui de la Boucherie Fran çaise. Au nom du Syndicat de la Boucherie de Paris et de la Seine, dont il a été heureux d’apporter lé salut et les compli ments à celui de Clermont-Senlis, M. Hénault, dans un excellent discours, a réclamé l’égalité fiscale, une saine,poli tique financière et, en quelques mots, a Projet de règlement d’une fête du bluet Article 1. — Il est décidé que la Ville •'.V ' Senlis organisera chaque année à la fin du printemps une fête de la jeunesse et des fleurs dite « Fête du Bluet », com portant l’élection d’une reine et de ses demoiselles d’honneur. Art. 2. — Tout en conservant à cette fête un caractère officiel, la Municipalité et le Conseil municipal feront appel au concours le plus large du Syndicat d’ini tiative, de l’Union des Commerçants pour son organisation, et des Sociétés locales. Un budget spécial sera constitué. Art. 3. — Il sera fait appel, également soit pour la composition des cortèges, soit pour les attractions, soit pour l'éla boration du programme (les réjouissances aux diverses Sociétés locales, musicales bu théâtrales, Sociétés de sport, etc. Art. 4. —- Cette fête avant pour objet de procurer une distraction à la jeunesse de la Ville, de donner une note pittorfesque à notre cité et de profiter au commerce lo cal, devra se dérouler uniquement dans la Ville et ses faubourgs et présenter une l’Union des Commerçants et du Président de la Commission des Fêtes de l’Union des Commerçants. En cas d’empêchement, ces personnes pourront se faire remplacer par celui des membres de leur groupement venant im médiatement après elle. Le bureau dési gnera un secrétaire parmi ses membres. iL’uirne devra présenter les mêmes ga ranties que pour les élections officielles. Art. 14. — L’élection aura lieu au scru tin de liste, chaque bulletin devant comp ter trois noms. Seuls les noms des candi dates figurant sur la liste établie ainsi qu’il est dit à l’article 7, pourront figurer sur le bulletin de vote et seront retenus. Art. 15. — Chaque porteur d’un bulle tin de vote, sans distinction de sexe mais étant âgé d’au moins 12 ans, sera autorisé à voter, mais il ne pourra déposer q u ’u n bulletin dans l’urne, et ne pourra se pré senter qu’une seule fois pour voter. Tout votant devra donner son nom et se sou mettre au contrôle pour éviter ou répri mer toute fraude. Le vote par correspon dance ou par procuration n’est pas ad mis. L’élection est faite à la majorité rela- tlve et ne coinuporte qu'uni seul tour de scrutin. , Art. 16. Les bulletins extraits de l’une seront comptés en présence des électeurs et éleotrices et rassemblés par paquets de cent bulletins. Art. 17. — Au moment du dépouille ment, le bureau choisira, parmi les élec teurs et éleetrices présents, des scruta teurs. Chaque table de dépouillement comprendra quatre personnes. Le dépouillement sera public. Art. 18. — immédiatement après le dé pouillement, le Maire proclamera le ré sultat du scrutin. Sera élue REINE, la jeune fille ayant obtenue le plus grand nombre de suffra ges, les deux suivantes seront proclamées demoiselles d’honneur. Si deux ou plusieurs candidates obtien nent le même nombre de suffrages, la plus âgée sera proclamée élue. Art. 19. — En cas de désistement d’une des élues la jeune fille venant immédiate ment après elle par le nombre de suffra ges prendra sa place. Art. 26. — Les réclamations, s’il y a lieu, seront jugées souverainement par le bureau. Art. 21. La fête comportera un cor tège dans lequel figureront la reine et ses demoiselles d’honneur. Art. 22. — Pour les déplacements au dehors, s’il y avait lieu, et pour repré senter la V ille de Senlis, dans des fêtes analogues organisées par des localités de l’Oise ou à Paris, la reine élue gardera son titre jusqu’à l’élection de sa rempla çante l’année suivante. Ces déplacements ne pourront avoir lieu qu’avec l’agrément de la Commission des Fêtes du Conseil municipal. A V IS A l’occasion des fêtes du Mardi-gras, M. le préfet de l’Oise autorise les débits de boissons et autres lieux publies à rester ouverts dans la nuit du 16 au 17 Février 1926. Le Syndicat d’initiative organise une Conférence avec projections sur l’Exposition des Arts Décoratifs Avec le gracieux concours de la mai son Guilleminot, le Syndicat d’initiative organise pour le jeudi 25 février pro chain, à 2'0 heures 30, à la salle Jeanne d’Arc, une conférence sur l’Exposition des Arts décoratifs. Le conférencier M. Bertrand, directeur ides services artistiques de la Maison Guilleminot fera défiler sous nos yeux de magnifiques vues de l’Exposition. Les membres du Syndicat d'initiative recevront une invitation. sorte originale la différenciant des autres fêtes de l’année. Art. 5. — Elle aura lieu un dimanche à la fin de mai ou au début du mois de juin. Art. 6 . —-A l’occasion de cette fête, il sera procédé, chaque année, trois semai nes avant la date choisie, à l’élection d’une reiiie de Senlis et de ses demoisel les d’honneur. Art. 7. — Il sera dressé par la Commis sion des fêtes du Conseil municipal, la Commission des fêtes du Syndicat d’ini tiative et la Commission des fêtes de l’Union des Comijnerçants réunies, une liste de candidates composée de six noms au moins et de dix au plus dans laquelle les électeurs choisiront. Art. 8 . — Les candidates devront habi ter Senlis, depuis deux ans au moins, être françaises et être âgées de 18 ans au moins et de 25 ans au plus. Art. 9. — Toute jeune fille proclamée Reine, ne pourra plus figurer sur les lis tes de candidates des années suivantes; les demoiselles d’honneur au contrairi pourront être présentées à nouveau. Art. 10. — La liste des jeunes fille- choisies comlrne candidates sera affiché à la Mairie trois semaines avant le scrutin; celles qui ne désireraient pas y figurer devront venir demander leur radiation. Art. 11. — Huit jours après cet affi chage, c’est-à-dire quinze jours avant le scrutin, seront mises en vente chez les libraires et dans les bureaux de tabac au prix de 1 franc, çies pochettes contenant 1° La liste des candidates; 2 “ Un bulletin de vote estampillé par le bureau de l’élection et revêtu d’un ca chet spécial; 3 ° Une brochure surprise renfermant les renseignements utiles pour l’élection, etc... Art. 12 . — Le scrutin aura lieu dans l’une des salles de la Mairie, autant que possible un samedi soir, de quatorze heu res à vingt heures. Le dépouillement com mencera aussitôt. Art. 13. — Le bureau sera présidé par le Maire assisté d’un de ses adjoints, du Président du Syndicat d’initiative, du Président de la Commission des Fêtes du Syndicat d’initiative, du Président de Conseil de révision Les conseils de révision auront lieu à : Nanteuil, après-demain lundi. Senlis, mercredi 17 février, à 9 heures. Neui 1 ly-en-Thelle, jeudi 18, à 14 h. 15. Pont, vendredi 19, à 9 heures. Syndicat d’initiative Jeudi dernier 11 février a eu lieu, au siège de la Fédération Parisienne des Syndicats d’initiative de la région pari sienne, d’Assemblée générale annuelle, sous la présidesce de M. Sinturel, prési dent du S. I. de Fontainebleau, assisté de MM. Audigier, secrétaire général de l’Union des Fédérations; Roger, secrétai re général du S. I. de Paris; Barrère, tré sorier; Leigrand-Dallix, secrétaire admi nistratif; de La Gorce, directeur du Cré dit national hôtelier. Le S. I. de Senlis était représenté -par MM. Demoinet, Isidore Prévost, Diseh- igand et Henry Wondrack. M. Louât s’était fait excuser. Après avoir adressé un souvenir ému à l'a mémoire de M. Hugues Le Roux, pré- sifdent d''honneur de la K é dératioïi, M. Sinturel se tournant vers M. Demoinet lui remit la plaquette de vermeil que le Con seil d’administration avait décidé de lui attribuer en récompense de son attache ment à la cause du tourisme et pour at tester combien ses collègues de la Fédé ration appréciaient son activité et son dévouement. M. Demoinet en recevant la plaquette a tenu à remercier la Fédération et son dis tingué Président. En une charmante allo cution, ill tint à associer ses collabora teurs, à la distinction dont fl venait d’être l’objet. En quelques mots il synthétisa l’œuvre accomplie par le Syndicat d’ini tiative pour le plus grand profit de Sen tis. Il termina en assurant ses collègues de son plus entier dévouement à la cause du tourisme national. Pour nous qui avons eu à maintes repri ses l’occasion de voir M. Demoinet à l’œuvre, nous nous réjouissons avec tous ses amis et sommes heureux de lui renou veler nos plus cordiales félicitations.

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Page 1: 97® Année. — N° 7. Dimanche 14 1996 LE COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1926_02_14_MRC.pdf · LE 97® Année.— N 7. COURRIER DE LE NUMÉRO QUINZE

97® Année. — N° 7 . L E N U M É R O Q U IN Z E C E N T IM E S Dimanche 1 4 F évrier 1 9 9 6

LE COURRIER DE L'OISEJOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS

P a r a i s s a n t 10 d i m a n c h e

Un an .... Six moii.

_A_ ! B O 3ST 1ST US 3SÆ E INI’ T B Oise et limitr. Autres dép.

8 fr. 10 fr.5 fr. 6 fr.

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L e s A b o n n e m e n ts p a r t e n t du i ” cïe c h a q u e m o is

BUREAUX. R É D A C T IO N ADMINISTRATION ST33Sr:L .IS — 11, P l a c e H a n V i - I V , 11 — S E D S T L I S

TÉLÉPHONE N° 4

Directeur Commercial t E. VIGNON

X* X 3C. D :HÎ S3 I XV Eï DEO I O XV S

Annonces légales I lr,- 25 la ligne. I R é o la m .s !

Annonces v o lo n ta i r e s . , I fr. 25 la ligne. I 0,1 bage .........................

Les ■manuscrits, in sérés ou n o n , n e so n t pas r e n a u t

2 fr. la ligne.

Sur la corde fendue.

/fa Pareil à ces équilibristes f î W qui, sur une corde tendue

dans les airs, vont et viennent, s’élancent, s’a rrê ten t, puis

repartent, M. Briand, sans souci, semble-t-il, de savoir si ce qu’il fait est bien ce qu’on attend de lui, acro­bate d ’un nouveau genre, évolue au-dessus du goulïre. Cependant « il est nécessaire, indispensable, urgent, que, dans un délai de cinq ou six jours au plus, il soit pourvu au déficit du budget ».

Où nous conduit alors ce jeu bril­lant mais dangereux du Président du Conseil ? Nous sommes en droit de le savoir. S’il ne s’agissait que du sort d’.un ministère, que nous impor­terait. Mais la question est de toute autre importance. C’est la vie de la Nation qui est compromise. Il n ’est pas exagéré de le dire. M. Briand n’a-t-il pas déclaré qu’un écroulement était à craindre ?

« Il n ’y a rien d ’étonnant qu’un projet (celui du Cartel) qui comporte une centaine d’articles ne soit pas encore voté, mais je dis à la Chambre que si elle ne l’avait pas voté avant une huitaine de jours, c’est-à-dire que si avant une huitaine de jours le Sénat n ’était pas saisi d’un travail qui lui permette de réaliser l’effort com­mencé, la situation deviendrait grave et même inquiétante. »

Mais aussitôt il ajoute : « Nous ne sommes pas en face d’un de ces p ro ­blèmes qui servent de pierre de touche... ».

Nous allons à ÏAtons, les yeux bandés, sur la corde tendue au-dessus du gouffre. Il est à craindre, qu’avec ces atermoiments et ces discussions interminables, le Trésor ne se trouve un beau matin de mai en présence de nécessités telles q u ’il s e r a d a n s l’incapacité d’y faire face autrem ent qu’en ayant recours à une nouvelle émission de billets.

C’est ce que comprend la majorité des Français; c’est ce que ne semble pas voir le Président du Conseil; c’est ce dont se soucie fort peu le Cartel faux monnaijeur. Il n'en est pas à quelques milliards de plus ou de moins en circulation. Faire ren­trer de l’argent dans les caisses du Trésor est son moindre souci. Ce qu’il veut, avant tout, c’est faire une manifestation électorale, mater les porteurs de valeurs mobilières et faire rendre gorge à la soi-disante spéculation. Oui ou non, M. Briand est-il résolu à prendre, dans ce chaos de mesquines préoccupations parle­mentaires et de petits tripotages d’ordre électoral, la défense des grands intérêts nationaux ?

Si oui... ce ne sont plus des paroles que nous demandons, ce sont des actes.

Si non... aujourd’hui l’acrobatie est le moindre de nos goûts.

Echos et Nouvelles

DÉPARTEMENTTaxe d’apprentissage

Le P ré fe t d e l’Oise rap p e lle à toutes perso n n es ou sociétés ex e rçan t une p ro ­fession in d u strie lle ou com m erciale , ou concessionnaire d ’un serv ice pub lie , assu­je tties à la taxe d ’app ren tissage in stituée p a r l’a rtic le 25 de la lo i de finances du 15 ju ille t lp26 , qu ’elles do iven t ad re sse r à la P ré fec tu re , avan t le 16 fév rie r p ro ­ch a in , la déc la ra tion de tous les ap p o in ­tem en ts, sa la ires et ré tr ib u tio n s quelcon­ques payés au cours de l ’année 1924.

Cour d’Assises de l’OiseLa p rem ière session des Assises de

l’Oise s’o u v rira le lu n d i 1er m ars, au P a la is de Ju stice de Beauvais.

L e rô le co m p o rtera 4 ou 5 affaires. La session ne d u re ra p ro b ab lem en t que quel­ques jours.

P a rm i les ju ré s titu la ire s de l’a rro n d is ­sem ent de Senlis :M. P roffit A natole-Eugène-Louis, ag ricu l­

teu r à B ouillancy.M. C an tre l Georges, in s titu te u r en re tr a i­

te, à M esnil-en-Thelle.M. D esprez A rsène, ch e f d’a telier, à

N eu illy-e n-Th ell e.M. D elav ière H enri, p ro p rié ta ire , à Bala-

gny-sur-T lhérain.M. D em oinet H ippo ly te , p ro p rié ta ire , à

‘Senlis.M. d e L uppé A lbert-M arie-P ierre, p r o ­

p r ié ta ire à B eaurepaire .M. N euziliet P ie rre , in sp e c teu r d ’asstt-

raniees, à Creil.M. T au p in Louis, garde général, à C han­

tilly .M. D ubray Eugène, négocian t, à C répy.

Aux Amateurs de T. S. F.E xp o sitio n régionale à C om piègne

La R adio-A ssociation G om piégnoise o r ­g an ise 85, rue de P a ris , le sam edi 13 fé­v r ie r ap rès-m id i et le d im anche 14, une exposition avec essais co m p ara tifs d ’ap ­p a re ils récep teu rs , h au t-p arleu rs , etc.

D iverses a ttrac tio n s sc ien tifiques ren ­d ro n t ce tte m an ifesta tio n a ttray an te au­ta n t qu ’in té ressan te p o u r tous ceux qui son t ou d és iren t d ev e n ir sans-filistes.

Congrès régional des colonies scolaires de vacances

P o u r p e rm e ttre à M. D urafour, m in is­tre du T ravail, de l ’H ygiène, de l’Assis­tan ce et de la P révoyance Sociales de p ré ­s id e r le Congrès rég ional des Colonies de V acances, le Com ité d ’o rgan isa tion a dé­c id é de re p o r te r la date aux 21 e t 2 2 fé ­vrier, c ’est-à-d ire h u it jo u rs p lus ta rd que la p rem ière date annoncée.

E n v o y er les adhésions p o u r le Congrès au S ecré ta ria t généra l à D enain , p o u r le b an q u e t à MM. Locq et B orin , à Creil.

Éducation Physique

L ’O R IG IN E DE L A P Ê C H E M E L B A

Voici la vérité, sortie de la bouche même de M”e Melba.

M“" Melba devait chanter, à Londres, dans un concert de bienfaisance. Vers quatre heures de l’après-m idi, elle demanda à son hôtel — le Savoy — si on pouvait lui préparer une pêche.

Le cuisinier du Savoy était le célèbre Escof- fier. Il voulut se distinguer aux yeux de la grande artiste, et son génie lui fit trouver une préparation nouvelle.

— Oh ! c’est délicieux ! dit M“° Melba en la goûtant. Demandez vite au cuisinier com­m ent il appelle ces sortes de pêches.

Escoffier fit répondre qu’elles ne portaient aucun nom, mais, puisqu’elles avaient eu l’heur de plaire à M“* Melba, il demandait la permission de leur donner son nom.

Le B avard.

c h a u f f e u r s , a t t e n t i o n /

Que dites-vous de cette anecdote authen­tique qui nous est contée ?

Un médecin, sur le point de traverser dans son auto un village dauphinois, aperçoit un groupe d’habitants arrêtés au bord de la route et, au premier plan, un magnifique gendarme tenant un calpin et un crayon.

Le docteur flairant la contravention au vol, ralentit, puis s’arrête à 6o mètres du groupe.

11 voit alors Pandore s’avancer vers lui :— Combien faisiez-vous à l’heure quand

vous vous êtes arrêté» questionne le défenseur de la loi.

— Ma foi, dans les 20 à l’heyre, il me semble, riposte le morticole.

— V ingt à l’heure ? C ’est bien ce qui me semblait. Votre compte est bon. On ne doit pas dépasser 10 à l’heure dans la traversée de la ville. Je vous dresse contravention.

Le médecin-chauffeur en resta tout éberlué.Les A lpes Françaises.

Syndicat de la Boucheriedes arrondissements de Senlis

et Clermont

De p lus en p lu s , je p réconise et je conseille les te rra in s de jeux ; m ais afin de donner aux enfants le goût de f ré ­quen ter ces te rra in s , je répète et je répéterai sans cesse avec H ébert :

« L ’E ducation P h y siq u e doit ê tre une œ uvre scolaire. A ux M aîtres de la réa liser. »

C ’est donc à l’E cole, au Lycée, au C ollège, que les enfants doivent p rendre ce goût de la cu ltu re physique.

I l est v ra i, et j ’en suis très heu reux , que des M aîtres, des P rofesseurs ont obtenu des résu lta ts adm irab les ; M. F o isan t, In spec teu r de l ’E nseignem ent à P a ris , a fait adop ter la m éthode n a tu re lle dans toutes les Ecoles de n o tre cap ita le ; les résu ltats sont suprenan ts.

M ais bien des M aîtres, des P rofesseurs sem blen t c ra in d re la « R esponsab ilité » et « l’Art. 1384 » ! 1 !

Ils ne peuvent, ils ne doivent pas c ra in ­d re ce1 te responsabilité financière et m o­rale . S ’ils ap p liquen t stric tem ent les pro g ram m es officiels, ils doivent enseigner l’E duca tion P h y siq u e dans les Ecoles, dans les Lycées du gouvernem ent,

« Le M aître, d it M. F oisan t, est donc « léga lem ent tenu de donner cet ensei- « gnem ent et, ce, com m e pour tous les <r au tres, quelles que soient les responsa- « b ilités qui pu issen t peser su r lui p en ­ce dan t cet accom plissem ent de son « devoir. »

E nfin , pour répondre aux objections qui peuvent e tre posées concernan t la R es­ponsabilité des M aîtres en E ducation P hy siq u e , je citera i ces conclusions de M . F o isan t :

« E n résum é, les accidents qui peuvent « se p rodu ire pendan t la leçon d ’éduca- « tion physique, ne constituen t point une « catégorie spéciale d ’accidents ayan t une « ju risp ru d en ce propre et en tra în an t des « conséquences jud ic ia ires particu lières « tan t que le M aître reste dans les lim ites « de son p rogram m e, ils ne peuvent être « jugés au trem en t que tous les au tres ac ­te cidents de la vie sco laire quotid ienne. « C om m e eux , ils ne peuvent être que de « deux sortes : soit causés par l’en fan t à « lu i-m êm e, et alors, il en est seul res­te ponsable, soit ré su ltan t de la faute d ’un « ou de p lu sieu rs de ses cam arades, et et c’est l’E ta t que la loi substitue au m aître « ou au professeur dans le pa iem en t des et fre d s et dom m ages. On voit donc qu ’il et n ’y a là pour l’In s titu teu r aucune raison « valab le de s’affranch ir d ’un devoir « aussi im périeux que tous les au tres de « sa charge. »

A n d r é T R O N C IN .C onseiller d ’A rro n d issem en t.

L ’assem blée générale annuelle du S y n ­d icat a eu lieu d im anche dern ie r à 'p re il , sous la p résidence de son ac tif et dévoué présiden t, M. B élosse, qui donne à ce synd icat toute sa bonne volonté agissante.

L ’assem blée générale p roprem ent dite' est ouverte à 16 heures, sous la présidence de M. Belosse, p résiden t, assisté des M em bres du bureau .

L ectu re est donnée des procès-verbaux de l ’exercice 1925 et des com ptes. Les­quels sont approuvés, l ’assem blée est satisfaite de la situation financière re­connue saine et prospère.

M. V an W y m erch est élu vice-président en rem placem ent de M. D esachy, dém is­sionnaire p ar su ite de la cession de son fonds.

Après la nom ination de 3 délégués de canton, il est procédé au règ lem ent do- comptes de l ’assurance mutuelle.

M. V an W y m erch , v ice-p résiden t, p ré ­sente à l’assem blée un vœ u concernan t le rem placem ent des im pôts actuels par un im pôt un ique s’ap p liq u an t à toute vente de m archand ises de la production à la vente. Ce vœ u adopté à l’u nan im ité sera rem is au S ynd ica t G énéra l de la B ou­cherie F ran ça ise , pour être exam iné.

L ’assem biée en tend ensu ite M . M aupin, qui est adm is à faire partie d ’une nou­velle C om m ission.

M. le sénateur D elp ierre d it son désir de co llaborer avec ses am is du Sénat à une m eilleure rép artitio n des im pôts, avec esp rit de justice et d ’équité. In te rro m p u p a r M. M aupin , M. D elp ierre n ’a pas de peine à conquérir tout son aud ito ire par sa courto isie et son bon sens.

A u nom de la F édéra tion des groupes In d u strie ls et C om m erciaux de i’O ise, M. M auny prend la parole pour répondre aux a ttaques injustifiées de M. M aup in , tan t au sujet du dévoué M. Bélosse que de sa F édéra tion .

A 7 heures, un banquet de p lus de cent couverts a réuni à l’H ôtel du C om m erce, M M les B ouchers (dont un certa in nom ­bre accom pagnés de leu rs épouses) et leurs inv ités. B anquet succulen t et fort bien servi qui fait le p lus g ran d h o n n eu r au p rop rié ta ire de cet H ôtel.

M. Bélosse, p résiden t du S ynd ica t p ré ­sida it, ayan t à ses côtés M M . B outeille, député ; M auny , p résiden t de la F éd éra ­tion des groupem ents Industrie ls et C om ­m erc iaux de l’O ise ; E scavy , m aire de Senlis, avocat-conseil du groupem ent des bouchers ; G abanelle, de Senlis ; V an W y m erch , de B onneuil, v ice-présidents ; H u llo t, de C reil, trésorier ; H ala ttre , C h arn e t, Joseph G rugier, I . P révost, T h o rid n e t,d e Senlis ; D om inique D ecreus, L éon D arras ; M M . les R ep résen tan ts de divers groupem ents, et d ’in term éd ia ires de vente de fonds de com m erce, etc.

L a presse a im ab lem ent invitée é tait re­présentée par M W aru sfe l, de la G azette et M. L egrand , du C ourrier de l'O ise.

A u dessert, M. Belosse p rit le prem ier la paro le : Il reg retta l ’absence du dévoué p résiden t honoraire , M. M aloigne, auquel il ad ressa au nom de tous ses vœ ux de p rom pt rétab lissem ent, et de M . F léchelle, secréta ire , que son é tat de san té n ’a pas perm is de ven ir au banquet, lu i ad ressan t égalem ent ses vœ ux de m eilleu re santé.Il excusa M M. N oël et L anglo is, séna­teurs (M. le sénateu r D elp ierre ava it as­sisté à l’assem blée générale) M M . Four- n ie r Sarlovèze, S chm id t et U h ry , députés; M. le P réfe t et M M . les S ous-P réfets de C lerm ont et Senlis ; M M . S tein , p résiden t du S ynd ica t d ’A m iens ; S oualle , présiden t honoraire de la F édéra tion des groupes C om m erciaux et In d u strie ls de l’Oise, qui p résid a it une au tre réunion ; B rault, p résiden t de l’U nion C om m erciale de Senlis, M illet.

M. Bélosse tin t à rem ercier M. le séna­teu r D elp ierre qui pour la p rem ière fois ava it assisté à l’assem blée générale ; M. B outeille, député, toujours présen t, quand il s’ag it de p rend re la défense du petit com m erce ; M. E scavy, avocat-conseil qui prouve son a ttachem ent à la co rpora­tion, non seu lem ent par ses conseils p ru­dents et éc la irés, m ais par son assiduité aux réunions ; à son am i, M. M auny, le v ra i cham pion de la défense du com ­m erce et de l’industrie ; M. H ervau lt, se­c ré ta ire du S ynd ica t de la Boucherie de P a ris ; M. Sorel, délégué de M. M artin , p résiden t du S ynd ica t de la B oucherie j française. Le dévoué d irigean t du g ro u ­pem ent C lerm on t-S en lis , a tenu à féliciter

dit pourquoi on ne pouvait adm ettre la rétroactivité des im pôts, qui ava it été votée contre le Code civ il, il a no tam m ent insisté sur la question de la p roprié té com m erciale et a été très app laud i.

A u nom de la F édéra tion des G roupes Industriels et C om m erciaux de l’Oise, le dévoué M. M auny a jo in t ses vœ ux de prom pt rétab lissem ent pour M M . M a­loigne e t F iche lle , il a félicité M. B ou­teille de son concours, lu i un des ouvriers de la prem ière heure de la F édéra tion ; M Escavy, l’in fatigable m aire de Senlis, et qui, en cette qualité , a présidé l’assem ­blée du G roupem ent C om m ercial de cette ville ; la presse dont les colonnes sont toujours si largem ent ouvertes et que les com m erçants et industrie ls doivent faire vivre; E n term es énerg iques, M. M auny a dem andé aux assistan ts de réc lam er avecl calm e contre les lois créées ou que l ’on veut créer pour im poser de plus en p lu s le com m erce et l ’industrie . P u is , avec des mots c ing lan ts, il a stigm atisé com m e il convenait, la loi du 4 décem bre 1925, - - ' • effet rétroactif, il a réclam é l’égalité fiscale, des économ ies, la liberté com - m erciale, a pro testé contre le vote de tous impôts nouveaux ju sq u ’à ce que le re ­dressem ent financier soit fait et a fait appel à tous pour s’affilier aux g roupe­ments qui ont déjà m ontré q u ’ils étaien t une force avec laquelle il fa lla it com pter. Les paroles de M. M auny ont été très applaudies.

M. E scavy, p ren an t ensuite la parole, félicite les d irig ean ts du groupem ent des sages conseils q u ’ils donnent aux so c ié ­taires pour faire valo ir leurs justes réc la ­m ations en présence de la situation qui leur est faite par les im pôts. Les com ­m erçants ont le droit de se p la ind re et de réclam er l’égalité fiscale, une m eilleure répartition des im pôts et de p ro tester contre les effets rétroactifs de la loi du 4 décem bre 1925, loi si du rem en t et si justem ent qualifiée p a r les contribuables. Les revendications faites avec tan t de calm e et de m odération devra ien t être écoutées, m ais hélas, le p arlem en t d é­sem paré vote loi su r loi, dans l ’espérance que le S énat v ien d ra a rrê te r cette course à l’abîm e et m odifier de fond en com ble les lois votées hâtivem en t et sans études. E n tran t ensu ite dans le projet de loi concernant les successions, M. E scavy n ’a pas de peine à m ontrer l’in iqu ité d ’untel projet, qui tend à faire déc la re r héritie rl’E ta t d ’abord , la fam ille après. E n te rm i­nant, M . E scavy déc lare partager en tiè re ­ment les sen tim ents exprim és par le Syndicat des B ouchers et aussi par M M . Bélosse, M auny et égalem ent par M. B ou­teille, qui lu tte avec tan t de courage à la C ham bre et dans la C om m ission dont il fait partie, pour la défense du com m erce et de l’industrie et il lève son verre en l’honneur des convives, sans oublier les dam es, et à la p rospérité du g roupem ent des bouchers. M. le M aire de Sonlis fut très app laud i.

M. Bouteille lu i succède. A près avoir rem ercié le synd icat de son aim able invitation et félicité M. Bélosse, le dévoué président, M. M auny l’in fatigab le défen­seur des com m erçants et industrie ls de l ’Oise, M. E scavy, son co-listier d ’h ier et de dem ain , qui a dépein t si lu m in eu se­m ent la situation faite au com m erce au jourd’hui et celle qui lu i se ra faite dem ain , le sym path ique dépu té annonce le dépôt d ’un nouveau projet de loi su r la hausse illicite sous peine de prison, celui concernant les successions, etc. Que l’E ta t com mence par donnner l’exem ple des économies et il fait alo rs défiler devant

les yeux des convives atten tifs , les d iverses et im portan tes économ ies que l ’E ta t p ou rra it et dev ra it réa lise r avan t de créer de nouveaux im pôts. H élas ! depuis le 11 m ai 1924, on a fait q u ’une politique de désunion , 011 a su rtou t fait de l’in fla­tion, on a fait m onter la liv re ! Il y a, tout le m onde le constate, une crise finan­cière très g rave. Q ue faut-il fa ire pour y rem édier ? T out d ’abord p ra tiq u er une la rge politique de concentra tion , il faut ram ener la confiance dans le pays. Il se ra it crim inel en ce m om ent de su rch ar ger les contribuables d ’im pôts, ils en ont assez. Q uant à lu i, M. B outeille, il affirm e q u ’il ne votera de nouveaux im pôts tan t que de sérieuses économ ies n ’au ron t pas été réalisées. E n te rm inan t, M. B outeille lève son verre en l’honneur des convives, sans oublier les dam es, et à la p rospérité toujours de p lus en plus cro issan te du S ynd ica t des B ouchers. De longs ap p lau ­d issem ents ont souligné les paroles du dé­puté de l’Oise.

L ectu re a été ensuite donnée p a rM . B é­losse des récom penses accordées au per­sonnel de la boucherie : M . B outeille a rem is — en accom pagnan t son geste d ’une accolade — à M lle P au lin e B illoy , ca is­sière depuis 12 ans chez M. Ilénocq , à V erberie , un dip lôm e, une m édaille et 100 francs ; M . M auny a rem is à M. P au l P révost, ap p re n ti depuis 4 ans chez M. M azeau, à C han tilly , un d ip lôm e, une m édaille et 50 francs. Enfin , M. E scavy a rem is à M. M azier, app ren ti chez M. D uquesne, à S a in t W a a s t, éga lem ent un d ip lôm e, une m édaille et 50 francs.

F é lic itons ces bons serv iteu rs et so u h a i­tons encore p lus de lau réats pour l’année p rochaine.

tr ib u n e X ibreP rè s de la P o rte Saint-R ieul, s u r les

a rb res du Cours, une affiche a été apposée à l’in te n tio n des autom obilistes qui savent lire :

ATTENTION Ecole

'C’est trè s b ien .P o u rq u o i n ’en est-il p as de m êm e à

l’angle d e la ru e de la R épub lique e t d e ia ru e d e M eaux ?

S erait-il si difficile d ’ap p o ser à ce c ro i­sem ent un peu dangereux une affiche s i­m ila ire ?

sfr*

Le, b ru it co u rt que les S enlisiens vont ê tre h eu reu x . D eux concours von t p ro ­ch a in em en t ê tre o rgan isés p a r une Com­pagn ie qui veu t te n ir ses engagem ents v is-à-vis de ia cité et des h ab itan ts — co n trib u ab le s — clients.

Le p re m ie r de ces concours se ra it in s ­titu é p o u r rem é d ie r à l’allum age défec­tueux des d iffé ren ts rév e rb è res qui ne d o n n en t de la lum ière que d ’une m an ière d é rég lée et avec d es v aria tio n s d ’h eu re m an ifestem en t n av ra n te s . Ce concours v ise à tro u v e r un in sp e c teu r .adéquate p o u r rég u la rise r les m ouvem ents d ’h o rlo ­gerie que p o rte ind iv id u ellem en t chaque be|c-de-gaz.

(Le second s’adresse aux inven teurs. U ne m édaille , g ran d m odule (en chocola t) se ra it décernée à ce lu i qui tro u v e ra *« le fil de p lom b de secours au tom atique », p o u r p a re r aux nom breuses p annes qui fo n t, dit-on , la déso la tion de l’A dm in is­tra tio n , m a is auxquelles les c lien ts ne peuven t s’h ab itu e r .

L e G uetteur du clocher.D ernière heure. — La C om pagnie en

question n ’a jam ais eu l’in ten tio n , dit-on, d ’in s titu e r ces deux concours. C’est re ­g rettab le .

travers SentisP harm acie o u v erte «

Bardou, rue deDimanche 14 F évrier : M l’A p p o rt-au -P a in .

Une Fête des Fleurs à SenlisLa C om m ission des Fêtes d u Conseil

m unicipal, réun ie le m ercred i 10 fé vrier , sous la p résidence de M. E scavy, m aire, a en tendu l’exposé très docum enté de M. Louât, ad jo in t au Maire, chargé de p ré ­senter un rapport sur le p ro je t d ’organisa­tion d ’une fê te des fleurs d ite « F ête du B luet ». Cette fê te com portera l’élection d ’une re ine et de ses dem oiselles d ’h o n ­neur et tou t un program m e de réjouissan-

la C om m ission des fê tes, nous en pub lions ei-dessous le règ lem ent :

r m s,de leu r présence et de leu r dévouem ent, ; j(.lgs g ans lequel entrera la com position M . C héreau , tréso iie r honoraire , m em bre ! (Vun cortège.fondateur du S y n d ica t; H anneval, de la Le p ro je t m is au p o in t a été, après un m aison A gnus ; D arras, de la m aison in c h a n g é de vues, adopté à l’unan im ité par F oucau lt et Boël ; L egrand , président du S ynd ica t de la charcu te rie de 1 arro n d is­sem ent de Senlis ; D ecreus, présiden t du C om ité d ’in itia tiv e de C reil, et aux re ­présen tan ts des m aisons d ’A uberv illiers ,A gnus et D elam aire, pour leu r générosité e t aux rep résen tan ts de la P resse.

A près avoir en tre tenu les convives de la taxe à l’abatage, M . Bélosse a réclam é l’égalité fiscale, la suppression de la fa­m euse loi de rétroactiv ité , la révision des baux à longue durée et l’exam en de la p roprié té com m erciale . Les dam es ont reçu des com plim ents pour le charm e apporté à ce banquet par leur présence et, en te rm inan t, le dévoué p résiden t a levé son verre en l’honneur des convives et à la prospérité du S ynd ica t de C lerm ont- Senlis e t à celui de la B oucherie F ran ­çaise.

Au nom du S ynd ica t de la B oucherie de P a ris et de la Seine, dont il a été heu reux d ’apporter lé sa lu t et les com pli­m ents à celui de C lerm ont-S en lis , M.H én au lt, dans un excellent d iscours, a réclam é l’égalité fiscale, une sa in e ,p o li tique financière et, en quelques m ots, a

P rojet de règ lem en t d’une fê te du b luetA rticle 1. — Il est déc idé que la Ville

•'.V' S en lis o rg an ise ra chaque année à la fin du p rin te m p s un e fête de la jeunesse et des fleurs d ite « F ête d u Bluet », com ­portan t l’é lec tion d ’une reine et de ses dem oiselles d ’h o n n eu r.

Art. 2. — T out en co n serv an t à cette fête un ca rac tè re officiel, la M unicipalité et le Conseil m u n ic ip a l feron t appel au concours le p lus la rge du S ynd ica t d ’in i­tiative, de l’U nion des C om m erçants pour son o rgan isa tion , et des Sociétés locales.

Un budget spécia l se ra constitué.Art. 3. — Il se ra fait appel, égalem ent

soit p o u r la com position des cortèges, soit p o u r les a ttrac tio n s, soit p o u r l 'é la ­boration du program m e (les réjou issances aux diverses Sociétés locales, m usicales bu théâtra les, Sociétés de sport, etc.

Art. 4. —- Cette fête avant p o u r objet de p ro cu re r une d is tra c tio n à la jeunesse de la Ville, de d o nner une note pittorfesque à notre cité et de p ro fite r au com m erce lo­cal, devra se d é ro u le r un iquem ent dans la Ville et ses faubourgs et p ré se n te r une

l’U nion des C om m erçants et du P ré s id en t de la Com m ission des F êtes de l’Union d es C om m erçants.

En cas d ’em pêchem ent, ces personnes p o u rro n t se fa ire rem p lace r p a r c e lu i des m em bres de le u r g roupem ent v en an t im ­m éd ia tem en t ap rès elle. Le b u reau dési­gnera un sec ré ta ire p a rm i ses m em bres.

iL’uirne devra p ré se n te r les m êm es ga­ra n tie s que p o u r les élections officielles.

Art. 14. — L’élection au ra lieu au sc ru ­tin de liste, chaque bu lle tin devan t com p­te r tro is nom s. Seuls les nom s des c a n d i­d a tes figuran t su r la lis te établie a insi qu ’il est d it à l’a r tic le 7, p o u rro n t figurer su r le bu lle tin de vote et se ro n t retenus.

Art. 15. — Chaque p o rte u r d’un bu lle­tin de vote, sans d is tin c tio n de sexe m ais é ta n t âgé d ’au m oins 12 ans, se ra au to risé à voter, m ais il ne p o u rra déposer qu’un bulle tin dans l’u rn e , et ne p o u rra se p ré ­se n te r qu’une seule fo is p o u r vo ter. Tout vo tan t d e v ra d o n n e r son nom et se sou­m e ttre au co n trô le p o u r év ite r ou r é p r i­m e r toute fraude. Le vote p a r co rre sp o n ­d an c e ou p a r p ro cu ra tio n n ’est pas a d ­mis.

L ’é lec tion est fa ite à la m a jo rité rela-t l v e e t n e coinuporte qu'uni s e u l t o u r d e s c r u t in . ,

Art. 16. — Les bu lle tin s ex tra its de l’une se ron t com ptés en p résen ce des électeurs et éleo trices et rassem blés p a r paque ts de cen t bu lle tins.

Art. 17. — Au m om ent d u d ép o u ille ­m ent, le bu reau ch o is ira , p a rm i les élec­teu rs et é lee trices p résen ts , des sc ru ta ­teu rs. C haque tab le d e dépouillem ent co m p re n d ra quatre personnes.

Le dépou illem en t se ra pub lic .Art. 18. — im m éd ia tem en t ap rès le dé­

pou illem en t, le M aire p ro c la m era le ré ­su lta t du sc ru tin .

Sera élue REINE, la jeune fille ayan t obtenue le p lu s g ran d nom bre de su ffra­ges, les deux su ivan tes se ron t p roclam ées dem oiselles d ’ho n n eu r.

Si deux ou p lu sieu rs can d id a tes ob tien ­nen t le m êm e n o m b re de suffrages, la p lu s âgée se ra p roclam ée élue.

A rt. 19. — E n cas de désistem en t d ’une des élues la jeune fille v en an t im m éd ia te­m en t ap rès elle p a r le nom bre de su ffra­ges p re n d ra sa p lace .

Art. 26. — Les réc lam ations , s’il y a lieu , se ron t jugées souvera inem ent p a r le bureau .

Art. 21. — La fête co m p o rte ra un co r­tège dans lequel figureront la re ine et ses dem oiselles d ’h o n n eu r.

Art. 22. — P o u r les dép lacem ents au dehors, s’il y ava it lieu , et p o u r r e p ré ­sen te r la V il le de S e n l i s , dans des fê tes analogues organisées p a r des localités de l’Oise ou à P aris , la re in e élue g ard e ra son ti tre jusqu’à l’élection de sa rem p la ­çan te l’année suivante.

Ces dép lacem ents ne p o u rro n t avo ir lieu qu’avec l ’ag rém ent de la Com m ission des Fêtes du Conseil m un ic ipa l.

A V I S

A l ’occasion des fêtes du M ard i-g ras , M. le préfet de l’O ise au to rise les débits de boissons et au tres lieux publies à rester ouverts dans la n u it du 16 au 17 F év rier 1926.

Le Syndicat d’initiative organise une Conférence avec projections

sur l’Exposition des Arts Décoratifs

Avec le g rac ieux concou rs de la m ai­son G uillem inot, le S ynd ica t d ’in itia tiv e organise p o u r le je u d i 25 fév rie r p ro ­c h a in , à 2'0 heures 30, à la salle Jeanne d ’Arc, une con fé rence su r l’E xposition des Arts décoratifs .

L e co n fé ren c ie r M. B ertran d , d irec teu r ides serv ices a r tis tiq u es de la Maison G u il le m in o t f e r a d é f i le r s o u s nos yeux de m agnifiques vues de l’E xposition .

Les m em bres du S ynd ica t d 'in itia tiv e recev ro n t une inv ita tion .

so rte o rig ina le la d iffé ren c ian t des au tres fêtes de l’année.

A rt. 5. — E lle au ra lieu un d im anche à la fin de m ai ou au débu t du m ois de ju in .

A rt. 6 . —-A l’occasion de ce tte fête, il se ra p ro céd é , chaque année, tro is sem ai­nes avan t la date ch o is ie , à l ’é lec tion d ’une reiiie de Senlis e t de ses dem oisel­les d ’h o n n eu r.

A rt. 7. — Il se ra dressé p a r la Com m is­sion des fêtes du Conseil m u n ic ip a l, la Com m ission des fêtes du S y n d ica t d ’in i ­tia tiv e et la Com m ission des fêtes de l ’U nion des Comijnerçants réun ies, une lis te de ca n d id a tes com posée de six nom s au m oins et de d ix au p lus dans laquelle les électeurs cho isiron t.

Art. 8 . — Les can d id a tes d ev ro n t h ab i­te r Senlis, depuis d eux ans au m oins, ê tre f ran ça ises et ê tre âgées de 18 ans au m oins et de 25 ans au plus.

Art. 9. — Toute jeune fille p roclam ée R eine, ne p o u rra p lus figurer su r les lis­tes de cand ida tes des années su ivan tes; les dem oiselles d ’h o n n eu r au c o n tra ir i p o u rro n t ê tre p résen tées à nouveau.

Art. 10. — La lis te des jeunes fille- cho isies comlrne can d id a tes sera affiché à la M a ir ie t r o i s s e m a in e s a v a n t le s c r u t in ; c e l l e s q u i n e d é s ir e r a ie n t p a s y f ig u r e r d ev ro n t v en ir d em an d er leu r rad ia tio n .

A rt. 11. — H u it jo u rs ap rès ce t affi­chage, c’est-à-d ire quinze jou rs avan t le sc ru tin , se ro n t m ises en vente chez les l ib ra ire s et dans les bu reaux de tabac au p r ix de 1 franc , çies poche ttes con tenan t

1° La liste des ca n d id a te s ;2 “ Un bulle tin de vote estam pillé p a r le

b u re a u de l’élection et revê tu d’u n ca­c h e t spéc ia l;

3 ° Une b ro ch u re su rp rise ren fe rm an t les rense ignem ents u tiles p o u r l’élection, etc...

A rt. 12 . — Le sc ru tin au ra lieu dans l ’une des salles de la M airie, au tan t que possib le un sam edi so ir, de quatorze heu ­res à vingt heures. Le dépou illem ent com ­m en ce ra aussitôt.

Art. 13. — Le bu reau sera p ré s id é p a r le M aire assisté d ’un de ses ad jo in ts, du P ré s id en t du S yndicat d ’in itia tiv e , du P ré s id en t de la Com m ission des Fêtes du S ynd ica t d ’in itia tiv e , du P ré s id en t de

Conseil de révisionL es conseils de rév ision au ro n t lieu à : N an teu il, ap rès-dem ain lu n d i.Senlis, m erc red i 17 fév rie r, à 9 heures. N eui 1 ly-en-Thelle, jeu d i 18, à 14 h. 15. P ont, ven d red i 19, à 9 heures.

Syndicat d’initiativeJeu d i d e rn ie r 11 fév rie r a eu lieu , au

siège de la F éd éra tio n P a ris ie n n e des S ynd ica ts d ’in itia tiv e de la rég ion p a r i­sienne, d’A ssem blée générale annuelle , sous la p résidesce de M. S in tu rel, p ré s i­den t du S. I. de F on taineb leau , assisté de MM. A udigier, se c ré ta ire général de l ’U nion des F éd éra tio n s ; Roger, sec ré ta i­re général du S. I. de P a r is ; B arrè re , t r é ­so r ie r ; Leigrand-Dallix, sec ré ta ire adm i­n is tra tif ; de La Gorce, d irec teu r d u C ré­d it national hô te lie r.

Le S. I. de Senlis é ta it rep rése n té -par MM. D em oinet, Is id o re P révost, D iseh- igand et H enry W ondrack . M. Louât s’é ta it fa it excuser.

A p r è s a v o ir a d r e s s é un souven ir ém u à l'a m é m o ir e d e M. H u g u e s L e R o u x , p r é - s ifd en t d ''h o n n e u r d e la K é d é r a t io ï i , M.S in tu rel se to u rn an t vers M. D em oinet lu i rem it la p laquette de verm eil que le C on­seil d ’ad m in is tra tio n ava it déc idé de lu ia t tr ib u e r en récom pense de son a ttach e­m ent à la cause du tou rism e et p o u r a t­te s te r com bien ses collègues de la F édé­ra tion ap p ré c ia ien t son ac tiv ité e t son dévouem ent.

M. D em oinet en recevan t la p laquette a tenu à rem e rc ie r la F éd éra tio n et son d is­tingué P résid en t. En une ch a rm an te allo­cu tion , ill t in t à associe r ses co llab o ra­teurs, à la d is tin c tio n dont fl v en a it d ’ê tre l’objet. E n quelques m ots il syn thé tisa l ’œ uvre accom plie p a r le S ynd ica t d ’in i ­tia tive p o u r le p lus g ran d p ro fit de Sen­tis . Il te rm in a en a ssu ra n t ses collègues de son plus en tie r dévouem ent à la cause d u tourism e national.

P our nous qui avons eu à m ain tes r e p r i­ses l ’occasion d e v o ir M. D em oinet à l ’œ uvre, nous nous réjou issons avec tous ses am is et som m es h eu reux de lu i ren o u ­veler nos p lus co rd ia les félic ita tions.

Page 2: 97® Année. — N° 7. Dimanche 14 1996 LE COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1926_02_14_MRC.pdf · LE 97® Année.— N 7. COURRIER DE LE NUMÉRO QUINZE

LE COURRIER OE L'OISE• v:~r

La soirée de bienfaisanceL 'ab o n d an ce des m a tiè re s nous oblige à

ren v o y er à n o tre p ro c h a in num éro , le comipte re n d u de la so irée de Jeudi qui a obtenu un très g ran d succès.

Club Sportif SenlisienR ésu lta t du 7 fé v r ie r 1926

A V ineuil : C. S. Senlis (1) b a t A. S. V ineuil (1), p a r 8 à 0.

'Match com p tan t p o u r la Coupe de l’A. S. V. Senlis joue à 9 et V ineuil à 8 .

A Senlis : La seconde équ ipe devait ren icontrer l ’A. S. P . (2), m a is celle-ci ne v in t pas.

AChallenge de la « Gazette de l’Oise »L ’équipe p rem ière du C. S. S. d e v a it

r e n c o n t r e r l e « lim a n r lre 1 4 , à S e n l i s o u U C o y e , le v a in q u e u r d u m a tch A. S. Cove-S. P récy .

C eux-ci ayan t fa it m a tc îi nul (4 à 4) le 7 fév rie r, se ren c o n tre n t à nouveau le 17; le v a in q u eu r {espérons que ce tte fois il y en au ra un ), re n c o n tre ra le C. S S. le 21 fév rie r,

AR éun ion du 3 fé v r ie r 1926

‘C o t isa t io n s , Les q u ittan ces p o u r les co tisa tio n s d e l ’année 1926 se ro n t p ré ­sentées incessam m ent à MM. les m em bres ho n o ra ires .

L es ca rtes à p ré se n te r au con trô le , se­ro n t rem ises en m êm e tem ps que le p a ie ­m en t des co tisa tions.

Amateurs de BillardR encon tre C reil Senlis

, . MATCH ALLER

Nos équ ip iers d e 1 TO, 2“ et 3” catégories so n t allés d im anche 31 jan v ier, à Senlis, d isp u te r la coupe d e l’E lé p h an t au Bil­lard -C lub Senlisien , m aison L eclercq-E n- eausse.

Les sen lisiens son t v ra im en t des gens sym path iques e t a im ab les; la récep tion am ica le q u ’ils nous o n t faite le p rouve et je tien s à les en re m e rc ie r b ien s in c è re ­m ent.

La p a r tie se d isp u ta it en 500 po in ts ,rpar r e la i s e t p a r é q u ip e s , e t s e j o u a i t d e lafaçon su ivan te :

La tro isièm e équ ipe opposa it :1 " p a rtie : M, P e titp as à M. Moquet.2e p a r tie : M, F resnoy à M. Jllaseret. P a rtie s qui se jo u a ien t en 50 po in ts .

Senlis dom ina nettem en t e t les résu lta ts fu re n t les su ivan ts :

M. P e titp as , 37 p o in ts ; M. Moquet, 50 p. tM. Fesnoy, 87 p .; M. M ascret, 100 p. L ’avance des S en lis iens é ta ien t donc de

13 p o in ts .L a deuxièm e équipe opposa it :3“ p a rtie : M. M artin à M. C ourtillé,4” p a rtie : M. Guyou à M. R abreau. P a r tie s qui se jo u a ien t en 75 points.M. M artin se défen d it avec beaucoup

d ’a rd e u r, m ais p e rd it enco re tre ize au tres p o in ts , ce qu i d o n n a it à C reil 26 p o in ts d e re ta rd . Mais la q ua trièm e p a rtie , m e­n ée avec b rio p a r M. Guyou, qui, en 75 po in ts , trouva le m oyen de com bler le défic it de 26 p o in ts et te rm in a avec 15 p o in ts d ’avance ; une belle ovation le r é ­com pensa de son effort,

L a p rem ière équipe opposa it :5» p a r tie : M, D elam arre à M. O harnet. 6* p a r tie : M. M acabies à M. T aupin .M. Guyou co m p ren an t ad m irab lem en t

le jeu p a r équipe, la isse à M. D elam arre u n trè s jo li p o in t de sé rie ; ce lu i-ci en p ro ­fite p o u r ab a ttre une sé rie de 35 po in ts . S on ad v ersa ire , M. G harnet n ’eut p as le tem ps de ré a g ir qu ’une a u tr e s é r ie de 20 p o in ts et une de 18, avec une m oyenne de 6,57, dépassan t de beaucoup la classe hab itu e lle de M. D elam arre , am en èren t la p a r tie p o u r C reil à 375 p o in ts co n tre Sen­lis 292 po in ts . D ésorm ais, la p a r tie é ta it gagnée.

M. M acabies, d o n t les débuts fu re n t un p eu troub les, se re ssa is it au 6* ou T -coup ide queue et re p re n d à son ad v e rsa ire M. T au p in , 40 po in ts supp lém entaires.

A joutons que M. T au p in ne nous a pas sem blé dans un bon jour.

C reil v en a it -de gagner le m atch a lle r de la coupe de l’E lé p h an t p a r 500 po in ts A 361.

L e m a tch re to u r a u ra lieu vers le com - mlenioemlnt de m a rs à l ’h ô te l de Com m er­ce, siège de la -Société. Les am ateu rs sont inv ités à assiste r à -cette belle réu n io n et les jo u rn au x locaux fe ro n t c o n n a ître la date exacte.

J . D e l a m a r r e .

Ligue d’Action FrançaiseOn nous dem ande de b ien vou lo ir in sé­

re r l’annonce su ivan te :Une Section -d’A ction F ra n ça ise v ien t

d e se co n s titu e r à Senlis sous le nom de « Section H en ri de L ap o rte »,_ M. B iied-Charreton a été nom m é tré so ­

r ie r ; M. B outeron, ag ric u lte u r à Rully, secré ta ire . Le m o n ta n t m in im um des co ti­sa tions a été fixé à 5 et 12 fran cs. Les p e r ­sonnes -désireuses -de s’in sc rire com m e ad h é ren te s ou -comme alliées, vo u d ro n t b ien s’ad re sse r -à MM. Bi-ed-Ciharreton, d e P arsev a l et V erdeau.

Cercle artistique et dansantL es soc ié ta ires d u Cercle a rtis tiq u e et

d a n s a n t d é s ira n t a ss is te r au b a l trav estis ou m asqué, d o n t la -date a été fixée au sam ed i 20 fév rie r, à 21 h eu res 30, dans les salons d e la B rasserie du C entre, sont in v ités à r e t i re r le u r ca ca rd e s u r p ré se n ­ta tio n de le u r ca rte et m o y en n an t une C otisation de 10 fran cs chez M. Ja b in , ru e du Ghâtel, tous les jou rs et avan t le d i­m an ch e 14 fév rie r, à m id i, d e rn ie r délai.

L es soc ié ta ires nouvellem ent adm is qui n e so n t pas enco re en possession -de le u r carte , (pourront égalem ent la r e t i re r chez M. Jab in .

L e Secréta ire.

Bal des MénagesLe Bal des Ménages a u ra lieu le sam edi

27 -février, à 21 h eu re s 30, d an s les salons d e l’H ôtel des A rènes.

L es m énages d é s ira n t fa ire p a r tie de ce bal p o u rro n t v e rse r le u r co tisa tio n chez M. H en ri V iolet, rue de P a r is , ju squ’au je u d i 25 -février, d e rn ie r délai.

M érite A g ric o le(Sont p r o m u s -dans le M érite agrico le :

Au grade de cheva lierM. -Bataille, cu ltiv a teu r à B onneuil-en-

Valois.M. D ern ie r, cu ltiv a te u r à P récy-sur-O ise.Mime B lanc, ag ricu lteu r, à Brégy.M, B risset, c u ltiv a te u r à Betz.M. B runet, m eu n ier, à ü ram oisy .M. C ham penois, b r ig a d ie r des eaux et fo ­

rêts a Pont-Sainte-M -axence.Mime Veuve D ela ttre , cu ltiv a trice , à Mo-

rienval.M. D ropsy, ag ricu lteu r, à B onneuil-eo-

Valois.M. F leu ry , cu ltiv a teu r, à Baron.M. Gillet, commis de culture, à Nanteuil-

le-Haudouin.M. Jean , cu ltiva teu r, à V arin froy .M. P au h n ie r, exp lo itan t fo restie r, à Saint-

F irm in .M- Yot, ja rd in ie r , è M ortefontaine]

Sport Vélocipédique SenlisienLe C ham pionnat de l’Oise de Cross, Cp-

clo P édestre , qui s’es t d isp u té à Liau- -co-u-rt, a été un succès p o u r nos couleurs, c a r si nos -couleurs qui y p a r tic ip a ie n t n ’o n t pas ob tenu la p rem ière p lace , ils se son t trè s b ien -classés.

-Sur tro is p a rta n ts , nous avons eu tro is a rr iv an ts don t le classem ent p rouve leu r bon e sp rit d ’équipe :

3“, C ourtillé; 4", AUdy P h ilip p e ; 5°, H ury.

Nous som m es h eu reux d ’en re g is tre r ce succès, et les fé lic ite r pub liquem en t, en esp éran t que ce tte b o n n e ouvertu re s-era suiv ie d ’au tres v ic to ires.

Office Départemental des Pupilles de la Nation

S ection Cantonale de Sen lis -Réunion -des délégués le jeud i 18 fé­

v r ie r , à la M airie de Senlis (salle de la Ju stice d-e P aix ), à 2 h. 30 p réc ise s ; p ré ­s id en ce de M. Joly, se c ré ta ire généra l de l’Office.

Société de Secours aux Blessés militaires “ La Croix Rouge ”

L e Com ité de la Société de secou rs aux b lessés m ilita ire s « La Croix-Rouge », fera cé léb re r le d im anche 21 fév rie r cou­ran t, à 11 h. 1 /4 , en la ca th é d ra le de Sen­lis, une m esse à l’in te n tio n des m ilita ire s -des arm ées de te rre et de m er e t in f irm iè ­res m o rts -pour la F ran ce .

NécrologieUne e r re u r de m ise en page lo rs d e la

-confection de no tre d e rn ie r num éro , a fait om ettre in v o lo n ta irem en t la p u b lic a ­tion du b ille t de fa ire -p a rt de la m ort du lieu ten an t H en ri de L aporte .

Nous rép a ro n s cette om ission au jou r­d’hu i, en nous ex cu san t de ce re ta rd au­p rès des m em bres de la fam ille d u r e ­g retté défun t e t en leu r p ré se n tan t nos plus respectueuses -condoléances.

N ous ap p re n o n s la -mort de M. H en ride Laporte, lie u te n an t au 9" spah is, dé­c o ré d e la C roix d-e g uerre -des T. O. E., décédé acc iden te llem en t à R abat (M aroc), le 31 ja n v ie r 1-926, à l’âge de 24 ans, fils de M. d e L aporte , anc ien officier de ca­valerie , et d e Mime, née de Devise.

Service anniversaireT *"* VUn .service an n iv ersa ire se ra cé léb ré le

sam edi 27 fév rie r 1926 à la -cathédrale de Senlis, p o u r le repos de l ’âm e de M. Clhar- les-A lbert F a isan t, p ré s id e n t h o n o ra ire du T rib u n a l civ il de Senlis, ad m in is tra teu r de l ’H ôpita l général, ch ev alie r de la Lé­gion d ’hon-nieur, d écéd é le 25 ja n v ie r 1925.

Les m esses de la m atinée se ron t d ites à -cette in ten tion .

La F am ille ass is te ra à la messie -de 11) heures.

De la p a r t de Mme Veuve P a isan t, de M. A n d ré P a isan t, dépu té de l’Oise, -die M, et Mme Ghanove et leu rs en fan ts et de tou te la Fam ille.

Le p résen t avis tie n d ra lieu de fa ire p a rt.

RemerciementsLa fam ille M inard , trè s -touchée des

nom breuses -marques de sym path ie q u ’elle a reçues à l’oclcasion -du décès de M. E m i­le Mi-nard, don t les obsèques o n t eu lieu le 7 fév rie r co u ran t, ad resse ses rem e r­ciem ents a-ux p ersonnes qui ont assisté h la cérém onie ou qui lu i on t exp rim é des regrets , 8517

M. et Mme C harles D elobelle et leu rs fa­m illes , trè s touchés des nom breuses m a r­ques de sym path ie qu’ils on t reçues à l’oc­casion d u décès d e Mme Veuve Jean- Ba-ptiste D elobelle, le u r m ère , don t les Obsèques on t eu lieu le 11 fév rie r 1926, ad re ssen t leu rs rem erc iem en ts aux p e r ­sonnes qui o n t assisté à la -cérémonie ou qui leu r ont exprim é des reg re ts et s’ex ­cusen t aup rès d e celles qui, p a r un oubli invo lon ta ire , n ’au ra ien t pas reç u de le ttre d e fa ire p a rt.

Les fam illes A ubert, D ially , F e rre t, R e lie r e t Jabi-n re m e rc ie n t les p ersonnes qui on t assisté au x obsèques d e le u r ch è re défunte et s’excusent au p rès de celles qui, -par u n oubli inv o lo n ta ire , n ’au ra ien t pas reçu de fa ire p a rt.

8532 «--------

Petites nouvellesL a gen d arm erie -de Senlis a ouvert une

enquête à la suite d ’un e p la in te déposée -par R obert Cailleux, 17 ans, typog raphe , et Georges Bililon, m é treu r, d em eu ran t à C haînant, qui -étaient au déb it Le M arel- leic au P oteau-O ham ant ava ien t la issé leu r b icy c le tte à la p o rte de ce t é tab lisse­m ent.

Q uand ils vou lu ren t r e p a r ti re n t, ils s’ap e rç u re n t d e la d isp a ritio n de leu r selle et d ’une pom pe.

On rec h erch e l’au teu r d e cette sous­trac tio n .

— Le rém ou leu r am bu lan t E m ile P e tit, 30 ans, sie d isan t dom icilié à C arlepont, avait conçu une ce rta in e jalousie, p a rc e que une dem oiselle F on taine , âgée de 26 ans, s’é tait m ariée à Senlis avec un ou­v r ie r de cu ltu re du nom de L ucien F on­ta ine , 2-2 ans, d em euran t avenue F élix- V ernois.

11 v in t l’au tre jo u r au dom icile de ces d e rn ie r , ch erch a d ispu te et fit des m ena­ces. F inalem en t, il s’en alla, m ais un in s ­ta n t ap rès, F o n ta in e ay an t com m is pi-m- pnilde-nice de so rtir , un -coup de feu re te n ­tit, c ’é ta it P e tit q u i venait de t i r e r nn coup de revo lver sans l’a tte in d re su r l ’ou ­v r ie r d e cu ltu re .

Il a été a rrê té p a r les so ins de la po lice locale . F ouillé il é ta it p o r te u r d ’un p o in ­çon, d ’un p aq u e t de p o iv re et d ’un revo l­ver.

M. G outard l’a déféré au P arquet.

Théâtre Municipal Cinéma (P rogram m e des 13 et 14 fév rie r 1926 -Samedi, so irée à 8 h eu res 45.D im anche, m atinée à 2 heures 4 5 .__

Soirée à 8 heures 45.L E P E T IT PRIN CE, superp roduction .

in te rp ré tée p a r Ja-ckie Coogan,F rigo à l'E lec trique H ôtel, com ique.L es Chutes du Niagara, do-cu-mentaire.

ETAT CIVIL DE SENLISdu y au 12 F évrier 1926

5D écès5 . M. Jules-Em ile Minard 78 ans, tailleur

de pierres, rue du M oulin-Saint-R ieul.5 . Mme Pauline-M aria Mignière, femme

Aubert, 54 ans, rue de la Biguç.8 . Mme Julienne Julien, veuve Delobelle,

70 ans, Fontajne des Arènes.6 . M. Henri-Alexandre Lagrange. 45 ans,

manouvrier, Faubourg-Saint-M artin , t .

‘P ublica tions de IM ariages

8 . M. Victor-Jules Lécaillon, jardinier, demeurant à Ognon et Mme Louise-Emilié Hazard^ veuve Dambreville, ménagère demeu­rant à Senlis, rue du Puits-Tiphaine, 8 .

10. M. Marcel Monseu maréchal des logis au j* régiment de chasseurs, demeurant à BruiUe-Saint-Amand et Mlle Yolande Liliàne- Marie Guelton, sans profession, demeurant à Bruille-§aint-A m «nd

Police Correctionnelle de SenlisA u d ien ce du 8 fé v r ie r 1926

1OREPY-EN-VALOIS. — Les polonais Ja rosz P ie rre , 18 aus, et K urjanivinski P ie rre , 21 ans, ou v rie rs de cu ltu re A CrèS py-c-n-Valois, su rp ris v is itan t des Collets -dans un bois lieu d it « Le T ir à Fusil » p a r le garde ch am p être Maublan-c, smp condam nés : K urjan iv in sk i p a r défaut en 1 m ois d e p riso n 100 f ra n cs d ’amende, Ja ro sz en 6 jou rs de p r iso n ayec sursis 100 francs d ’am ende.

MONTAT AIRE, — D ans la so irée du 8 décem bre à M ontataire , G ourgucchon Ro­b ert, 22 ans, o u v rie r te rra s s ie r , é tan t ivre, -a fra p p é d ’un coup de couteau à la poi­tr in e le s ieu r Besso-n K léber, 27 ans, avec lequel il avait consom m é dans différents d éb its à C reil; G ourguechon qui est ré­p u té quere lleu r et v io lent, a ttrap e 2 ans d e p riso n 16 fran-cs d ’am ende.

ORRY-LA-VILLE. — P o u r outrages en­v ers M. S avouret Os-car, m a ire d ’Orry-la- Viille, dans la soirée du 10 décem bre étant au déb it D esjard in , le s ieu r Bodeloche Gustave-Adolphe, 55 ans, p lom bier à Orry-ta-ViMe, est -condamné en 25 francs d ’am ende et à un fra n c de domma-ges-in- té rê ts , som m e réclam ée p a r M. Savouret,

PUISEUX-LE-HAUBERGER. — Le 5 jan v ier, Vaast H enri-A urélien 47 ans, ou­v r ie r d ’usine à Puiseux-le-H auberger, a été vu d éro b an t des b riq u e ttes de char­bon , à un d ép ô t effectué en b o rd u re de la rou te N ationale, Bien qu ’il allègue que ce soit la p rem ière fois, V aast -est condamné en 1 m ois de p r iso n avec su rsis et k 25 f ra n c s d ’am ende.

SAINT-MAXI'MIN. — P o u r sa tisfa ireipassion à jo u e r aux C ourses, G illes McUV-cel, 37 ans, com ptable chez MM. Civet, P o m m ier et Cie, exp lo itan ts de carrières -à Saint-M-aximin, a pu isé dans la caisse q u i lu i é ta it confiée où un déficit de plus de 16.000 fran cs fu t co n sta té au mois de décem bre d ern ie r. Gilles é ta it au service de la m aison Civet depu is 23 ans, e t ce n ’es t que depu is quelques m ois que des irré g u la rité s ex ista ien t dans sa -compabi- lité . Il est condam né en 18 m ois d ’em prî- sonnem ent avec sursis, 25 francs d ’am en­d e et à rem b o u rse r à ses p a tro n s le m o n ­ta n t de ses détournem ents.

'SENLIS. — P incés le 29 décem bre opé­ra n t dans le bois du Biat, te rr ito ire de M ontlévêque, les inséparab les b racon ­n ie rs Poui-llard Achille, 57 ans, 111 a-m Da­v id , 42 ans et Poit-devin C harles, 51 ans, qui dep u is quelque tem ps on t fixé leur résidence à Senlis, sont condam nés ch a­cun en 2 m ois de p riso n 400 fr. d ’am ende.

— Marc-q Jean-B aptiste , 26 ans, ouvrier -cim entier à Senlis, qui dans la so irée du 30 décem bre d ern ie r, p lace de la Halle, b lessa au cou en t ira n t su r elle un coup d e revolver, sa m aîtresse la nommée Bla-n-chet M arguerite, épouse d ivorcée Go- b e rt, qu i re fu sa it de co n tin u er à vivre avec lui, est condam né en 10 m ois de p r i­son 5 ans d ’in te rd ic tio n de sé jour.

ViERBBRIE. — T h ié n a rd P ie rre , 18 ans, P e rtu iso t M aurice, 19 ans et Og-er Gabriel, 19 ans, tous tro is o u v rie rs (le i-mt-n éÂi V erberie, ont dans la n u it du 26 au 27 décem bre d ern ie r, à la so rtie du bal, dé­valisé les c lap ie rs de Mme P ingeo t et le po u la ille r de M. F erre t. Les vols furent découverts avan t que le p ro d u it qu’ils ava ien t caché sous un h an g a r, a it été p a r­tagé e t le to u t restitué aux p ro p rié ta ires . C hacun des incu lpés est condam né à un m ois de p riso n .

g m Ê m m m m m m m m m m m m g m 'M . F \ O -F L A .IM ÏE JF L

CHIRURGIEN-DENTISTEreço it dans son C abinet,

B8, ru e de la R épublique, à Senlis,les L u n d i, M ardi, J e u d i et V endred i,

de 9 h. à. 18 h.P R I X M O D É R É S 258

Bourse de Commerce de Paris1 0 F é v r i e r 1 9 2 6

M O IS

M arché lib re . . . . — règiem :

C ouran t ................M a r s .......................M ars-A v ril............4 de M a rs ..............M a i-J u in . . .........

Blé les 100 kilos

146 50 à^F47~75^i

148 75 à »149 25150 25 à » » »»151 75152 75

Avoine noire les 100 kilos

C o u ran t..................M a r s .......................M ars-A v ril............4 de M ars ............M a i-Ju in ................

110 50 à 110 75 117 75 à 113 50115 50 à » » >D)116 50 à 117 »»117 75 à a e »))

C o u ra n t..................M a r s .......................M ars A v r i l . . . r . .4 de M a rs .............M a i-Ju in ................

Avoines div. les 100 kilos

» » »» nom inal 107 ))«)i » »»110 ))))111 »»

C o u ra n t..................M a r s .......................A v r i l .......................3 de m ars ..............3 d ’a v r i l ................3 de M a i................3 d ’O cto b re ...........O ctobre-N ôvem b.

" ----------- —Sucre le.s 100 kilos

258 »» à 258 50" 260 ))» à. 261 ))# 263 ))» à » » »)> 263 »» à » » »» 265 »)» à 265 5 0 1 267 50 à 268 »» 251 »»250 50 à 251 »»-

NoûvelksPE&

Ç o n j r Q û o c s

C H A N TILLYP H A R M A C I E S ouvertes tous les Di

manches jusqu’à midi.A l’hippodrome de Chantilly. _ Un tota-

ï u 6onraUî° mat,? Ue P° UP ,e mutuel sConrnl u 1 U O® Se3 r|emièrfls séanres, le « i Ï Ï d » . L L S° Ciété d’Enoour&gement a dé- j d M-* hlppodrcaje» da Long, \

champs, de C-liantii]y de Deauville un tota- lisateur auloimatique semblable à celui qui roijctionne en Australie.

Ce nouveau système sera mis en. service dès 1927. 11 -c-onsUtu-ora une innovation que les parieurs ne manqueront pas d’apprécier, ta -déli-vî-ance des tickets devant ê tre extrê­mement rapide et 1-es -c-ail-culs de répartition simplifiés ati point que le -règlement des -tickets gagnants ou placé» peut eoihmenc-sr deux minutes après -qu-e le rouge a été mis.

Voici qu-alq-u-eis renseignements d ’or«jre te-islinique s-u-r le fotoetionneiment du totalisa­teur. H constitue une machine complète m-ue par l'électricité. Chaque ticket délivré est aussitôt enregistré sur un tableau totalisa­teur existant pour chaque cheval, représenté par un numéro. L’en-se-m-b-le de toutes les mises se trouve é-gal-emeint enregistré instan­tanément sur un grand tableau, de so rte q u e la comparaison des tableaux partiels avec legrand tableau permet -d'établir à tout mo­ment lo rapport exact re chaque •cheval et les fluiçlualions du marché.

Chaque machine distributrice de billets peut -délivrer indifféremment des tickets « gaWants » ou « pl-acés' », à l ’-unité pour laquëne d ie est réglée : 5 francs, 10 francs, 2 0 frAjos, 50 francs, etc. Une pression exer­cée s-tr un l-evier correspondant au numéro -du chtvai demandé, imprime immédiatement sur ur|ti-cket vierge toutes les indications né- c-e'Rsa-ijes et môme des marques de contrôle el. la pression sur île 'levier fait fonctionner en même temps te système d'enregistrement, -sur les ta-ileaux.

Au lépairt de chaque course, ,l’arrê t com­plet du systèm-e est provoqué par un inter- ruipteàr, que fait agir le ju-ge au départ, ou toute personne désignée à ce t effet.

Ajouton-s d ’autre part que le total des al­locations atteindra pour 1926 15.103.600 fr., en augmentation de 1.054.400 fr. sur celles dirain-né-e -dernière. Sur ces chiffres, Long- chtenp recevra 7.823.500 francs, Chantilly, 2.089.000 francs et Deauvîlile, 2.079.000 fr. Le reste ira aux sociétés départementales, à la Société du cheval de guerre et à la Société hippique.

Vol d’une carpette. — Mme Moran, m er­cière, Agée de 60 ans, dem eurant au lieudit -le Bois-Saint-Denis, avait déposé sous le porohe de son habitation, une carpette en laine avec filets rouges mesurant 2 m. 25 -J » lo n e u e u r su r 1 m. 80 de largeur.

Cette oarpeUe était roulée et recouverte de petits tapis. Le lendemain à son réveil, elle eut la désagréable surprise de constater qu’on lui avait soustrait celle-ci. Préjudice : 80 francs. Auteur inconnu.

Etat civil. — Naissances. — Thévenoux J-eanne-Marie, 34, rue du Connétable.

Cuillot Maurice-René, rue de la Chaussée.Duipui-s Huig-uette-Juliette, rue du Conné­

table.Leroux Jeannine-Juili-ette, rue du Conné­

table.Meunier Marc-Ju'les, rue du Connétable.Lai né Geneviève-Louise-Marie, rue des

Cascades.Guijon Nicole, rue du Connétable.Pui-rond M'i-cheltna-Yvette-Alexina, rue de

la Machine.Mariages. — M. Fagen Maurice-Antoine,

fumiste, et Mlle Lecor-cier Madeleine-Su- zanne, sans profession, domiciliés, à Chan­tilly.

M. Hal William, monteur, et Mlle P ra it Ilélen, sans profession, domiciliés à Chan­tilly.

■M. Lemaire Robert-Gaston, peintre en bâ­timents, et Mlil-e Peyrotte Berthe, sans pro­fession, domiciliés à Chantilly.

M. Broo-ks Thomas, jo-ckey, et Mlle Miles Edith, sans profession, à Chantilly.

Décès. — Daumavie Jean-René, 2 ans, rue du Connétable.

Lefebvre Paul, sans profession, 74 ans, liosnice Gondé.

Sébilleau Georges, palefrenier, 6 6 ans, rue de la Machine.

Co-eu Marthe, épouse Batelier, 55 ans, avenue Aumont.

Saintot Léonic, épouse Lotte, 49 ans, rue du Connétable.

Lélièvre Célina, veuve B ulle, 77 ans, rue du Connétable.

De Decoy Jean-Camille, sans profession, 79 ans, hospi-ee Condé.

Martin Gaston, employé d’hôtel, 35 ans, hospice Con-dé.

Ouvril René, 3 mois, rue du Gouvieux.Morin Jean-Louis, 79 ans, rue du Conné­

table.Mercier Pierre, maçon, 55 ans, rue de

Gouvieux.Philippe Eléonor-e, veuve Lefèvre, 81 ans,

ruie de la Faisanderie.G olf d e Chantilly. — Résultat de la mé­

daille mensuelle du 30 janvier 1926.Dames, l r* série : M. A.-M. Vagliano, h

12 net 79; Mlle N. Foucher, h. 20 net 8 6 .Messieurs l r“ série : MM. Auiblin et La­

croix arrivent ex-æquo; au second tour M. Aublin est victorieux. Viennent ensuite : MM. B-ress-elin h. 13 net 80; A. Dorr, h. 17 net 82.

-Messieurs 2° série : MM. de Castro, h. 24 net 76; L. Bavard, h. 21 -net 82.

C R É P YL’abat l’oiseau. — I,a Compagnie d'arc de

Sainle-Agathe procédera au tir annuel de l’abat l’oiseau, au kiosque du Jeu-de-Paum e, le lundi de Pâques. Cette Compagnie rendra le bouquet provincial à la Compagnie de Vil- lers-Cotterêts en -mai prochain.

Grave accident. — Au lieu dit la Tuerie, route de Vaumois-e, l’automobile oonduite par M. Millet, marchand de por-os à Meaux, est entrée en collision avec une voiture a tte ­lée de trois chevaux appartenant à M. Scurt. Dégâts matériels.

Le conducteur de la voiture hippomobile, un ouvrier polonais, M. Laszezeroski Kapl- niez, âgé de 23 ans, a eu la jambe gauche fracturée en deux endroits.

Une grave affaire. — La police locale aver­tie par lettre anonyfne que les époux B... fai­saient subir des mauvais traitements à leur fillette âgé'e .de 5 ans, fit une enquête som­maire qui établit les faits. La mère de l ’en­fant, ay-ant eu vent de l’affaire, tenta d ’aller se disculper à 1-a geüdanmerie. Mal lui en prit, utn-e perquisition faite par un magistrat prouva la véracité des faits dévoilés par la lettre anonyme. L’enfant fu t visitée par un médecin et une admission Immédiate à l'hô­pital en fut le résultat.

L’enquête continue.

Etat civil, — Naissances. — 30 janvier. Manguerite-Noémie Gulnot, 48, rue Natio­nale.

3-0 . Jacqueis-Raym'otnid-Emile Pinot, 2 , avenue de la G are.

Mariage. — 30. M. André-Henri-Eugène Moinat,, maçon à Gréipy, et Mile Raymonde- jeanne Cheval, vanneuse, à Grépy.

ACY-EN-WIULTIEN

Etat civil de 1925. — Naissances. — 30 avril. Lévêque Muguette-An-drée.

13 mai. Gros-set Jacqueline-Marie-Made- ieine.

13 mai. Leol-erç Mathilde.28 miai. Bryard Francis-Louis-Edmond-

Marie.25 juin. Lainé Roger.27 juin. Gueux Denise-Emiliemne.30 juillet. Bureau Pierrette-M arcelle.15 août. Grusaenmeyer Loulsette.13 septembre. Duvjjul Ja-cqu-eline-Pauline.4 octobre. Kulewski Irène-Julla.24 octobre. Perronnet Michol-Geo-rges-

Auguste.4 lYotembre. Slickelbaut Mau-rleette-Solan

ge-Jacqualine.I«a ttcverabjHt, Daftilê-’AHM*, ...

Mariages. — 5 juin. Entre Gural Théodore et Czerwoniai Anne.

20 juin. Kulewski Ignace et Kald-on M a­rianne.

29 août. Morel Marceil-André et Didelot Marthe-Louise.

7 o-ctobre. G en sac Jean-Eugêne-André eî Brayer Rosa,

21 novembre. Chéron An-dré-Auguste et Mor el Marguerite -H einr i e 11 e.

Décès. —> 22 janvier. Roger René.30 janvier. Boutrelle Victor-Denis.11 mars. Poëlger Lucien-Oharles.22 avril. Renot Maria-Célina.15 juin. Brulfert Adolphe-Paul.11 juillet. Denisot Ai-mé-Edmond.19 octobre. Maillard Julie-Antoinette.3 novembre. Danvin Ni-colaJS-Etienne.

APRE IHONT

S o c ié té d e g y m n a s t iq u e . — Liste des nu-méros gagnants de la tombola du 31 jan-vier 1926 ;

33 6 8 90 94 107 119 142 162164 167 169 174 190 197 225 299316 331 376 378 396 410 429 439443 458 474 478 479 501 525 537555 556 598 604 620 630 645 662685 691 701 740 743 763 792 820881 926 994

Les membres de la Vigilante adressent leurs remerciements à toutes les personnes qui, soit par de généreux dons, soit en sous­crivant aux bons de participation, ont apporté leur bienveillant concours à la Société.

LEPINETTE,président.

BARON

Remerciements. ■— Mme veuve Angot, ses enfants et toute sa famille remercient sin­cèrement toutes les personnes qui ont as­sisté aux obsèques de leur regretté défunt et s’excusent au-près de celles qui par oubli n ’auraient pas reçu de lettre de faire part. Merci tout spécialement à ses camarades des Sociétés de la section des Vétérans de Nan- teuil, des Combattants de Baron, de la Com­pagnie des archers de Baron.

BREGY

Etat civil pour l’année 1925. — Naissan­ces. — 16 février. Ada-mus- Robert.

15 février. Cagnet Roger-Victor-Léon.4 mars. Locot Roger-Georges.7 av ril. H ardy L ionel-Luicien-K ilâber.28 mai. Hardy Odette-Lucie.

, 23 juin. Roy Robert-Jules.27 juillet. Taghon Albert.17 août. Lechouvi-cz Héléna.21 août. Dantan Gabriel-Edgard.14 septembre. Ciloarec Laurianne-Rose-

Marie.3 octobre. Jani-ck Jeannine.8 octobre. Smolen Edwige-Thérèse.26 octobre. Pernot Jean-Louis-Marie.26 décembre, Tolpa Vlctorine.Mariages. — 21 -février. Mazgay Ladislas et

Tomicyzk Marianne.8 mars. Piot Maurice-Alexandre e t Daudré

Golettfi-Marie-Caroiine.,l“r juin. Bes-nard André-Marie-Léom et

Ducihesne Yvonne-Marie-Eugénie.6 juin. Bil-loré Gabriel-Auguste et Dhaeyer

Yvonne-tMaria.8 juin. Drujon Pierre-Arsène et Aumeu»

nier Marie.9 juillet. Ragon Alexandre-Louis et Bou-

det Virginie-Amtoroisine.12 septembre. Lécaillon Lucien-Charles et

Messager Angèle—Alphonsine.19 septembre. Delarue Jean-Joseph ei

Czajka Madeleine.7 octobre. Laurette Octave-René et Baillet

Yvonne-Louise.4 ."décembre. Schoon Charles et Taghon

Berthe.Décès. — 12 jan v ie r. Bahu L o u is -E u g è n e -

A m édée.3 fév rie r . D ylick Irèn e .16 juillet. Hardy Lione-l-Lucien-Klé-ber.19 juillet. C-ott-on Louis-Désiré.27 juillet. Braëm Simone-Yvonne.6 septembre. Lechouvicz Hélène.16 septembre. Roy Robert-Jules.19 septembre. Schoon Sylvain-Henri.27 novembre. Mas-aon Joséphine.18 décembre. Hérin Eloi-Dé-siré.Transcription de décès. — 15 septembre.

Monaert Pauline.Récapitulation : Naissances, 14; Mariages,

10; Déoès, 1 0 ; Transcription de décès, 1.

CHAMANTA l’occasion du Mardi Gras, un bal paré,

masqué et travesti aura lieu- mardi 16 fé­vrier, à 9 heures du soir, d-ans la salle de M. Katoski.

CHAMBLYLes Reines du Bois Hourdy sont désignées.

— G’e-st le dimanche 7 février dernier que les gracieuses Reine et Déesses ont été dé­signées.

La Commission, des fêtes de la Ville de C-hambly a accepté la candidature de Mile Mansart Henriette, promue Reine et de Mlles Robiliin Lucie et Coltignon Renée, comme de­moiselles d’h-onneurj

Le Conseil d'administration de la Cité du Moülin-Neuf ratifia également l’éde-ction faite entre les candidates, c’est ainsi que Mlle Hubert Odette fu t proclamée Déesse par 10 voix sur 11 votantes, Mlles Declaude Pau- lett-e, 9 voix et Portail Simone, 7 voix, élues demoiselles- d’honneur.

Nous applaudissons vivement à l’heureux et distingué choix fait par la Commission des fêtes de la ville ainsi qu’au résultat de l’élé-o- ti-on à la Cité de la Compagnie du Nord.

Nous présentons nos félicitations aux heu­reuses promues ainsi qu’à leurs familles.

COYE-LA-FORET

Fédération générale Sportive des Patrona­ges de France (Union régionale de l’Oise).—- Championnat de l’Oise de baskett-bal-1. —

Première Série : A Ooye-la-Forêt, le di­manche 7 février, Espérance de Coye bat Avant-Garde Salnt-Môdard de Oréil par 15 à 9.

Ce fut une belle journée de sport grâce au sole-ill qui brilla pendant toute la partie et grâce surtout à la courtoisie dont firent preuve les joueurs des deux camps. On us peut que les féliciter de nou-s avoir fait a s ­sister à une rencontre aussi cordiale qui ne ressemblait nullement à une partie de cham­pionnat.

La partie fut, dans l'ensemble, bien équi­librée et Coye doit peut-être sa victoire à une plus grande cohésion entre avants et a r­rières; mais Creil n’a pâs dit son dernier mot et espère bien légitimement, prendre sa re ­vanche d’ici peu sur son terrain.

Au repos, le score était de 6 à 5 et l’E s­pérance de Coye s’assura le meilleur au coursd e la 'seconde m i-tern/ps.

Deuxième série : Espérance de Coye (2) bat Saint-Médard de Creil (2) par 19 à 6 .

L’Equipe seconde de l'Espérance de Coye rencontrait, pour son deuxième match du Championnat de l’Oise, 2* série, l’équipe cor­respondante du Patronage Saint-Médard de Creil.

Cette partie a confirmé la bonne forme des joueurs de Coye qui disposèrent assez faci­lement de "leurs adversaires.

Dès la mise en jeu, Coye prend le contrôle de la balle et marque plusieurs fois, Creil réagit mais toutes ses attaques se heurtent à l’excellente défense de Coye.

Ml-temps ; Coye, 9; Creil, 2.Dans la seconde mi-temps, même physio­

nomie de jeu. Coye attaque continuellement et augmente son score. A noter dans les der­nières minutes de la partie un beau retour offensif de Creil qui essaie de remonter son handicap.

La fin est sifflé» sur ce résultat ! Espé- LMMB d» Coy», i» i SaURGMMAH da Qrs)l, p

DUVY

L’Assomblée générale de l’Union Mutuelle aura lieu le deuxième dimanche de mars et la recette des cotisations du premier trim es­tre sera faite le même jour.

FLEURINES

La Compagnie des sapeurs-pom piers, o r­ganise dimanche prochain 14 courant, salle Massé, un grand Concert au profit de sa Caisse de secours.

Les meilleurs Artistes amateurs Senlisiens prêteront leur concours gracieux, et leur succès obtenus au premier concert de no­vembre, se renouvelleront dimanche.et

Les électeurs sont convoqués pour le di­manche 2 1 février, à l’effet d ’élire un con­seiller municipal en- remplacement de M. Ernest Robquin, décédé.

FRESNOÏ-LE-LUATDevant la Cour d ’Appel. — Le 6 décem bre

dernier, le Tribunal correctionnel de Senlis avait condamné à 3 ans et un jour de prison le jeune Jean Decaux, 18 ans, demeurant au hameau de Ducy, pour tentative de vol avec violence commis le 12 septembre précédent chez Mme Bourdhonhui, garde-barrière A Boasne. Le jeune Decaux avait formé appel de cette décision devant la Cour d’Amiens, qui, malgré les efforts de son avocat, a élevé la peine de trois à cinq ans de prison.

MONTATAIRE

Accident en gare. —■ Le 2 courant vers 7 heures du soir, l ’homme d ’équipe Duorocq Jules, demeurant à Nogent-sur-Oise, céliba­taire, a été grièvement blessé au pouce de la main droite. Cet agent travaillait, dans !a cour de la petite vitesse de la gare de Mon- tataire aux manœuvres d’un train de m ar­chandises se dirigeant su r Beauvais lorsqu’on voulant arrêter un wagon, il eut le pouce ■coincé dans le frein à main. Un repos d’un mois sera nécessaire pour complète guérison.

NANTEUIL-LE-HAUDOUIN

Grave accident de travail. — Un grave ao- cident s’est produit en gare de NanteuH. Trois ouvriers de M. Delorme, cultivateur A Nanteuil, dont le nommé Tassart Paul, 41 ans, étaient occupés à charger un wagon de luzerne. Ce chargement était prêt de finir, il ne restait plus qu’un bâche à placer, lorsque Tassart, qui se trouvait su r le haut du Char­gement glissa sans doute e t tomba sur le sol. Dans sa chute, 11 se fractura le crâne. Relevé sans connaissance, Tassart fut transporté A l’hôpital de Nanteuil où il reçut les soins que comportait son état.

— Rencontré à Versigny, sans argent et sans moyens d’existence, le terrassier Nicolas Girard, 53 ans, qni se rendait à Creil, a été arrêté et mis à la disposition du Parquet de Senlis.

NEUILLY-EN-THELLE

Dans l’EnreglstremenL — M. L&bbé, rece­veur d ’enregistrement de 2 * classe est nom­mé en la même qualité au bureau d’Argea- teuil, actes Judiciaires.

Un Incendie. -— Un Incendie s’est déclaré le 2 février dernier dans l’habitation des époux Fernand Desmarest, rue Paul-Demouy, 19, alors que le mari était occupé à son tra ­vail de ciseleur à l’usine d ’Ercuis et que la femme, couturière, se trouvait au rez-de- chaussée de la maison.

Le feu a pris naissance dans l'aile droite de l'immeuble au-dessus de la salle de tra ­vail et bientôt l’alarme donnée les habitants e t les sapeurs-pompiers vinrent donner leurs secours pour éteindre le sinistre. Malgré tous les efforts de tous, la dame Desmarest a eu 7 robes, deux manteaux, trois pardessus, 6 complets d'homme, 4 chapeaux de femme, 4 chapeaux d’homme, et un arc avec flèches entièrement consumés.

Les pertes s’élèvent à une quinzaine de mille francs, elles sont couvertes par une assurance à la Compagnie l’Aigle.

Le feu semble avoir pris naissance dans une cheminée ramonée au mois d’octobre dernier et qui était contiguë à une pou­trelle.

La brigade de gendarmerie de.Neuilly aouvert une enquête.

PONTPOINT

On a soustrait des bottes à la meute, —Un cultivateur du pays possédait au lieudit les Sablobs, en plaine, une meule de 2.000 bottes de paille. En passant à côté de eeile- ci, il a remarqué qu’un inconnu lui en Avait soustrait une quinzaine de bottes lui occa­sionnant un préjudice de 50 francs.

Qui a volé la feuille de plomb. —î M. Ju s­tin Hennequim, 38 ans, maraîcher au hameau de Saint-Gervais avait fait l’aequisitiou au magasin de l’Are en Ciel à Creil, de tôle, ron ­delles et bande de plomb pour couvrir un bâtiment qu'il faisait édifier près de sa m ai­son pour y remiser son matériel de culture, quand l ’autre jour, il constata que pendant 1g nuit on avait réussi à lui enlever la banda de plomb destinée à la faîtière de la couverture du poids de 38 kilos 500, d’une valeur de 308 francs.

Il a porté plainte contre inconnu à la gen­darmerie de Pont-Sainte-Maxenee qui pro­cède à une enquête.

RULLY

Arrêtée. ’■— En vertu d ’un mandat d’ame­ner du juge d ’instruction de Senlis, la g en ­darmerie de Verberie a arrêté et remis entre les mains de ce magistrat, la nommée José­phine Graux, née à Plailly, le 25 octobre 1885, épouse de René Marné, inculpée de vols et de recels. Son mari, qui lui même fait l’objet d ’un mandat d’arrêt a quitté la com­mune. On le croit en Belgique.

SAINT-MAXIMIN

Garde champêtre. — M. le Sous-Préfet deSenlis a agréé M. Ernest Diot en qualité de garde champêtre en remplacement de M. Pierre Vélard, démissionnaire.

VERBERIEDans la gendarmerie. — M. Ànglebert

Lambourg, maréchal des logis-chef comman­dant la brigade de gendarmerie de cette lo ­calité, est porté sur le tableau d ’avancement pour le grade d’adjudant.

Nous lui adressons nos plus sincères com­pliments.

— A la suite de la réunion générale du Sporting-Club de Verberie du 24 janvier, ont été nommés membres du bureau : MM. Cham­pion, président d’honneur; Perron, président actif; docteur Seron, vice-président; Deli- gier, trésorier; Favard, secrétaire.

A s s e s s e u r s : M M . D u i c h e a n e , ' p o j r l l e u , v f *ginon et Richard, ri a été décidé que la coti­sation des membres honoraires sera de 1 0 fr. par an. Celle des membres actifs de 3 francs par mois, payable le premier dimanche de chaque mois.

Sur la route. — Les gendarmes ayant fait la rencontre sur le territoire du Murgé d’un individu lui demandèrent ses moyens d’exis­tence, c’était un sujet polonais du nom dé Wladyslas Sikorski, âgé de 42 ans.

Sans travail, sans argent et sans domicile, il a été arrêté e t dîrig* sur le Parquet de Senlis.

VILLER8-SAINT-FRAMBOURGAssemblée générale de la 8eotlon d’U. N. O.

— La Section d’U. N. C. de Villers-Salüt- Frambourg et Ognon s’est réunie le dimanche 7' février, à 17 heures, à la Mairie de VUlers, sous la présidence de M. le Comte Arnauid Doria. Le Bureau sortant a été réélu, au vote secret, à l’unanimité dus dix-heuf membre*

Il e*t eawnpow» ) P r4*1,dent ;j

Page 3: 97® Année. — N° 7. Dimanche 14 1996 LE COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1926_02_14_MRC.pdf · LE 97® Année.— N 7. COURRIER DE LE NUMÉRO QUINZE

L Ê C O U R H I E R D E L . ’ O l S Ee-Jm

Comte A. Doria; Vioé-Présidont : M. Léon Tardu ; Secrétaire : M. Armand Wiamont; Trésorier : M. Edouard Lequeux.

Le Bureau décide — vu l’é ta t très satisfai­sant de la caisse de la Section — d’augm en­ter le montant des subventions allouées en «as de maladie d’un de ses membres, maladie dépassant 2 1 jours d’incapacité de travajl, et à chaque naissance d ’un enfant d’un de3 membres de la Section. En conséquence, l’al- loication est portée de 30 à 40 francs.

M. le Président entretient l’assemblée des diverses questions inscrites à l’ordre du jour; Bibliothèque de la Section; Paiement des co­tisations; service du Trait d’Union; Almanach du Combattant; Radiation définitive des con­trôles de 4 membres démissionnaires et ré­ception de 5 nouveaux membres, etc.

A 18 heures 15, l’ordre du jour étant épui­sé, la séance est levée.

Chasses

Equipage de Rallye-ValiièreC hasse du 2 6 Ja n v ie r 1 9 2 6

Rendez-vous à la Pisselotte à u h . 3 0

Attaqué entre le layon du But et la vieille Route près de la Butte aux Gendarmes sur deux cerfs dix cors, un cerf va près de la P laine de Thiers, traverse la Butte aux Gendarmes, va jusqu’au Poteau du Chêne, fait un retour, revient à la Butte aux Gen­darmes passe au poteau de la Croix des Gen­darmes, va au Noyer, Hautechaume, le Bosquet Rond, le G risard, l’Ilomme-Mort, se harde et revient sauter la Route Neuve, passe au G risard, à la Croix Neuve où il y a 15 chiens qui le m aintienent, va à Cham bre à Vache fait un retour revient sauter le Pavé d’Avesne va, aux tailles de la Baraque Chaâlis, prend l’eau dans une mare, relancé par tous les chiens passe dans le Bellet la Femme Morte la Fourchette Elie, les Buttes Rondes passe à la Croix des Gendarmes, le Bois C harlet, va pour débucher fait un retour longe le Golf et débuche, prend l'eau dans la rivière de Thiers, se fait battre dans les Boqueteaux de Thiers, passe aux Ecuries vient dans la Petite Battue, la Chapelle- Sainte-M arguerite passeau Poteau de Sainte- M argurite, saute la Longue Route, les tailles de la Baraque Chaâlis, va près de Maison Blanche, fait un retour, saute la Longue Route, le Grisard et va prendre l ’eau au Lac de Molton où il est servi au fusil par le garde après 4 heures de chasse.

Lee Honneurs à M. Michel Hubert.Laisser courre par Daguet

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C ’est la Sarthe qui en cultive le plus, aussi M. Levêque était-il spécialement qualifié pour décrire cette culture et faire connaître les ré­sultats dans son département.

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Art. 4®r.

E tu d es de M ' L o u is ESCAVYavoué & S enlis

e t de M<* TABARD, no ta ire à P réoy-sur-O ise.

VENTE SUR LICITATIONau p lu s o ffra n t

et d e rn ie r en ch érisseu r

DE : 1*

U n e M a iso nsise à GOUVIEUX

su r la rou te de P récy lieu dit les H autes G arennes

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U N E M A I S O Nsise au LYS

com m une de Lam orlayele to u t p lu s a m p le m e n t d és ig n é1

ci-après

ro u te de P récy , par d e rr iè re et d’un bout M. Cafïin-Delam otte, d ’au tre bout M. Mellé A rtus.

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| cher e t buanderie.Cour com m une avec MM. Lion-

| net, D elbart e t L ejeune.L e tout d’un seu l ensem ble,

| en tou ré de m u r s , te n an t par devant la ro u te de L am orlaye, par d e rr iè re e t d’un côté la cour, d ’au-

| tre côté H eaum é ou rep résen tan t.

Mise à prix : 8 -0 0 0 fr.

Ar t . 3.

E tude de M» GAZEAU, no ta ire à Senlis.

Suivant ac te reçu par M» Oazeau e t Me Petit, notaires à Senlis, le 4 fév rier 19?6, en reg is tré à Senlis (A 0.), l e 8 fév rier 1926, vol. 382 bis, f* 20, n* 75, M. Louis-A uguste

dam e P é la g ie -Je an n e - Joséphine DE COUX, son épouse, dem eu­ran t ensem ble à Pont.-Sainte- M axence, le fo n d s d e c o m m e rc e i d e m a rc h a n d d e v in s , é p ic ie r, b u v e t te e t m a rc h a n d d e p o is ­so n s , qu ’ils exploitaient à Pont- S ain te-M axence, rue du Champ- de-Mars, num éro 43 bis.

Domicile e s t élu à Pont-Suinte-MARIN e t Mme Jean n e -P au lin e ; M axence, en 1 E tude de M* Boilet PEPIN , époux de Senlis, ont cédé • n °ta ire , où les oppositions se ro n t] à M. Roger-Lucien MARIN etM m e | r e ?u?? ^ n s les dix jou rs qui sui- Louise-A lexandrine SCHNEIDER vront p résen te insertion, époux de Senlis le fo n d s d e c o m - : P our deuxièm e insertion :m e re e d ’e n t r e p r i s e d e c h a r - ! 8497 BOILET.p e n te , m e n u ise r ie , é b é n is te r ie , j ’rue R ougem aille , n° 6, e t rue de Meaux, n* 12 bis.

Les oppositions devront ê tre faites en l’E tude de M’ Gazeau, no ta ire , dans les dix jou rs qui su iv ron t le second avis.

Etude de M* GAZEAU, no ta ire à S enlis .

L O T I S S E M E N TDU

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à L’E tu d e . 4361

P R O P R I É T A I R E SV o u lez -v o u s lo u e r en m e u b lé

d a n s d e b o n n e s c o n d itio n s p o u r la sa iso n d ’é té 1 9 2 6

( F a i t e s - v o u s in s c r i r ed ès m ainten an t

S A N S F R A I S

8525Total des m ises

à p r ix ..................... 18 .000 fr .

Pour p rem ier avis GAZEAU.

O utre les charges, c lauses et conditions in sé rées au cah ier des charges dressé par M* Tabard, no­ta ire à P récy -su r-O ise , e t déposé

Ar t . 4.

E tude de M® VIDY, no ta ire à Chantilly.

Suivant acte reçu par led it M®

Etude de M* L o u is GUÉTINgradué en droit

hu issier h Chantilly.

VENTE V O L O N T A I R E ID’UN

\Bon jYîobiliercom prenan t n o ta m m e n t :

Suivant acte reçu par M» Bove, I S a lo n ,P ia n o m a r q u e J e a n p e r t , Iïta ire à Cham bly, 1© 24 janv ier V itr in e T a n is G ln re e P e n -

1926, portan t la m ention en re g is- l > u u u e - l a p i s , G la c e s , F e n |

l ’AGENCE RÉGIONALE

Ar t . 7.

E tude de M® BOVE, notaire à Cham bly (Oise).

DEUXIEME INSERTION

t ré à N euiliy-en-Thelle, le 1®' fé v rie r 1926. folio 161, case 615, reçu 721 fr. 38 centim es,

M Louis-ErnestV EU B O IS. mar-

L’adjudication aura lieu le S a - J peu t en p rendre connaissance, les m e d i 1 3 M ars 4 9 2 6 à qu inze ren c h è res seron t reçues sur les

en son E tude, où tou te personne | Vidy, le le' février 1926 en reg is- > chand de vins, dem euran t à Gou

heures, en la Mairie de Gouvieux, par le m in istè re de M® TABARD, no ta ire à P récy-sur-O ise, com m is à ce t effet.

m ises à prix sus-ind iquées, fixées p a r le jugem en t précité.

En v ertu d’un jugem en t contra­d ic to irem ent rendu p ar le Tri bunal civil de S enlis (Oise), le 30 décem bre 1925, en reg is tré .

E n tre ;1® M adame C éline-A ugustine-

M arie D upuis, cuisin ière, dem eu ran t à C hantilly , rou te de L am or­laye, veuve en p rem ières noces e t non rem ariée de M onsieur Eu- gène-D ésiré Bazin.

2* M adam e Marie - C lém ence D upuis, épouse assistée e t auto risée de M onsieur Georges-Clé m e n t P elle tie r, m anouvrier, avec lequel elle dem eure à Lam orlaye, et ce dern ie r tan t en son nom personnel au besoin que pour a ss is te r e t au to riser la dam e son épouse sus-nom m ée e t la validité de la p rocédure.

3* M onsieur Sosthène-Célest.in- Jo seph D upuis, exploiteur fores­tie r , dem euran t à Gouvieux.

D em andeurs, ayan t M* Louis E scavy pour avoué.

E t M onsieur G eorges-A m édée- Jo seph D upuis, m anouvrier, de m euran t à N oisy-sur-O ise (Seine et-O ise).

Défendeur, ayant M’ C hastaing pour avoué.

I l s e r a , l*r Sstrrxedli treize A.fars1976, à q u in ze heures, en la M airie de Gouvieux, procédé, par le m in istère de M® Tabard notaire k P récy. sur-O ise, com m is à ce t effet, 4 la ven te su r licitation, au plus offrant e t d e rn ie r enchéris­seu r, des im m euhles dont la d ési­gnation su it :

F a it e t r é d ig é p a r l ’a v o u é p o u r ­suivant soussigné.

Senlis, le 13 février 1926.S igné : Louis ESCAVY.

E t en reg is tré .

S'adresser p o u r les ren se ig n e­m en ts :

A M® L ouis ESCAVY, avoué à Senlis, poursu ivan t la vente ;

A M® CHASTAING, avoué à Senlis ;

A M* TABARD, notaire à P récy- sur-O ise, rédac teu r et dépositaire du cah ie r des charges. 8526

tré à Creil (A. C ), le 5 février 1926, volum e 324 bis, f* 156, n“975, M C harles DKLAHAYE, cafetier, d em euran t à Coye. a vendu à M. Jules-0 .ctave PARIS e t M me M arie - F rançoise GAREL , son é p o u s e , d e m e u r a n t e n s e m b le à Coye, le fo n d s d e c o m m e rc e d e ca ré , h ô te l, r e s ta u r a n t , exploité à Coye, avenue de la G are, n ‘ 10, avec to u t ce qui en dépend.

L es oppositions, s ’il y a lieu, se ro n t reçues dans les dix jours de la seconde insertion, en l’É tude de M* Vidy, à C hantilly, dom icile élu.

Pour prem ière insertion : 8522 Signé : VIDY.

A.RT. 5.

E tude de M® VIDY, notaire à Chantilly.

vieux, ru e de Boran, n° 14 a vendu à M. André CGiURDEROY, te in tu rie r , e t Mme M arthe-A line VERBOIS, son épouse, demeu ra n t ensem ble à Boran, p lace de

Eglise, le fo n d s d e c o m m e rc e d e m a rc h a n d d e v in s e t l iq u e u r s exploité à B oran .p lacede l'Eglise, com prenant la clientèle , l’acha­landage, le m atérie l e t les m ar­chandises en dépendant.

L’en tré e en jou issance a été fixée au p rem ier janv ier mil neuf cent vingt-six.

Les oppositions, s ’il y a lieu, devron t être- faites à peine de forclusion dans les dix jou rs qui su ivront la p résen te insertion, en 'E tude de M® Bove, notaire, do

m icile élu.Pour deuxième insertion

BOVE.

Art . 2.

E tudes de M« L ouis ESCAVYdocteur en droit, avoué à S enlis

de M TABARD, notaire à P récy sur-O ise

e t de M- VIDY, notaire à Chantilly

Suivant acte reçu par led it M Vidy, le L r février 19î6, en reg is­tré à Creil (A. C.), le 5 fév rier 1926, volum e 324 bis, f® 156, n° 978, M. Lo is-F ernand LAGU1LHON charcu tie r, dem euran t à Gouvieux, a vendu à M. M aurice - A ndré BORGNE, charcu tier, e t Madame Edse E rnestine LEQUEUX, son épouse, dem eurant à ViHers-sous-

.S a in t-L e u , le fon d s de co m - V P t r f P M n h l l ^ f P m eree de ch arcu terie exploité à,* C i l l v / I t l V / U ' v i V/ | Gouvieux, rue de Creil, n ’ 7, avec

to u t ce qui en dépend.Les oppositions, s’il y a lieu

se ro n t reçues dans les dix jours de la seconde insertion , en l’E tude de M" Vidy, à C hantilly , dom icile élu.

Pour prem ière insertion 8523 Signé : VIDY.

A G O U V I E U Xr o u te d e P r é c y

e n la m a is o n o ù e s t d é c é d é e M a d a m e v e u v e D U P U I S

le Dimanche 1 Mars 1926à 1 h. 1/2 du so ir

par le m in istè re de M* TABARD] no ta ire .

Ar t . 6

DÉSIGN A TIO NPremier lot

U ne M aison sise à Gouvieux, I

8509

dules et Secrétaire Louis-Phi- ! lippe, Gramophone, Toilettes, Gravures Anglaises, Orfèvre­rie, Lit cuivre, Commodes, Coiîre-Fort Ficliet

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Etude de Me VALLÉE, notaire à Crépy-en-V alois (Oise).

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à Pont-Sainte-M axence (Oise)

Suivant acte reçu par M' Boilet,

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fûts. ’ BARBAUX, m archand de vins,Linge e t effets. ép icier, e t Madame M arthe-A l-E t au tre s oblets berline GALLAND, son épouse

1 dem euran t ensem ble à Pont -

Suivant acte sous seings privés! en date à Chantilly du 3U Janvier] 1926, en reg istré à Creil, le 10 fé­v rier 1926, folio 55, case 7,

M onsieur DUPRAZ Marcel, de­m euran t à P aris, 182, rue Car-! d inet,

A vendu à Monsieur LENOIR Gaston, dem euran t à C hantilly, rue de l’Hôpital,

Le fon d s d’en trep r ise de co m ­m erce ciném atograp hiqu e qu’il exploitait à Chantilly, 5, place de | la Gare.

Les oppositions, s ’il y a lieu, I se ro n t reçues dans les dix jours de la seconde publication, chez MM. PELTIER e t C1®, 94, rue de Rivoli, à Paris, ainsi qu’au fonds] vendu.8530 PELTIER e t C1*.

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E tudes de M® CHASTAING, avoué I à Senlis,

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1“ A M L. Chastaing, avoué Senlis, poursuivant la v en te ;

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E tude de M* R ené PETIT, notaire à Betz (Oise).

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1° M® L. Chastaing. avoué à Sen is, poursu ivant la ven te ;

2* M P illeb ou t, notaire à Ci’épy- ! en-V alois, chargé de la vente et | déposita ire du c£,h ie d ^ c h a r g e s .

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Etude de M' R obert BOILETnotaire à Pont-Sainte-M axence

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, „ „ „ _ „ , .D im anche 21 Février 1926, à deux A M® Georges Morand, avoué à | h eu res, par le m in istère de M»

S ’adresser pour les ren se ig n e­m en ts ;

Senlis, poursuivant la vente ;A M® C. Q uentier, notaire à

Chambly, réd ac teu r et dépositaire du cah ie r des charges.

E t pour v isiter, su r place.

Étude de M® S O U R D E L , notaire j à Pont-Sainte-Maxence.

A vendre par adjudication vo­lon ta ire , aux enchères publiques, le Sam edi 27 F év rie r 1926, à qua­torze heures, k F leurines, en la Salle de la M airie, e t par le mi­n is tè re de M” Sourdel, no ta ire à » ont-Sainte-M axence, u ne Mai­son sise à F leurines, G rande Rue, et 5 P ièces de T erre, sises te r­rito ire de F leurihés.

R obert Boilet, notaire à Pont- 1 Sainte-M axence.

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d'axpédltlon d* notr* Journal noua mat tant dan* l'Impossibi­lité absolu* d’ln*ér*r tout* an­nonça qui parvient après I* Jeudi, 1* h*ur*a, à no* bu­reaux.

Toute Insertion n*ue parve­nant plu* tard e«r» reportée d'*fHo* au numéro (suivant.

Page 4: 97® Année. — N° 7. Dimanche 14 1996 LE COURRIER DE L'OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1926_02_14_MRC.pdf · LE 97® Année.— N 7. COURRIER DE LE NUMÉRO QUINZE

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S ’ad re sse r au Journal qui fera parven ir. 8503 1II L IV R A IS O N R A P ID E. | 466

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