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.------------------Editorial CHANGER EN AVRIL

Le mois d'avril prochain constituera une échéance capitale pour noire pays .

Un changement d'orientation politique sera souhaitable, possible, indispensable.

Les centaines de personnes qu'en ma qualité de Maire je ren­contre chaque semaine dans mes perma.nences à

- !'Hôtel de Ville, dans les quartiers, me font pari de leurs

,,. .dil.ficulté. s grandis. '.'.n.tes,et certaines,.dans un sentiment d'impuissance, m'avouent ne plus pouvmr "tenu le coup" Les gens vivent mal

Depuis 7 ans, le Président de la République, les Députés • de la droite ont amplifie le chômage, rendu la vie chère,

augmenté les loyers, attaqué le pouvoir d'achat et les acquis sociaux des travailleurs.

La vie est devenue de plus en plus dure, mais ce constat d'échec ne s'applique pas simplement aux aspects sociaux et économi­

ques de notre vie. Nos concitoyens vivent mal aussi, parce qu'ils n'ont plus d'objectifs, parce que !es idées ne circulent plus ou très mal à cause d'une presse aseptisée, inféodée au pouvoir Giscardien, parce qu'en quelques années a été détruit ce qui faisait dans des domaines sportifs, éduca­tifs, culturels, la grandeur et le rayonnement de la France. L'homme politique, le citoyen, autant de notions qui paraissent dér isoires dans cette société où le Président dirige seul, où les Députés de la majorité servilement approuvent à l'Assem­blée Nationale les plans de démantèlement des industries, de concentration de la presse, de déclin de la France. La droite au pouvoir, depuis plusieurs dizaines d'années a porté un .coup grave à la démo­cratie, à l'originalité et à l'identité du peuple français.

En avril, il faudra donc changer, mais il ne faudra pas simplement se contenter de belles promesses, il faudra faire confiance à ceux qui, résolument, veulent donner le pouvoir aux travailleurs et aux forces vives de notre Pays Parce que le fossé entre les riches et les pauvres n'a cessé de se creuser, il faudra résolu­ment s'attaquer aux privilégiés, aux nantis pour redistribuer de manière équitable les richesses nationales. Il est temps de mettre en œuvre une politique sociale et économique proil.ant des réformes de structures profondes s'attaquant au mal dont souffre notre économie : le profit. Il faut refuser les compromis politiciens (déguisés ou avoués) avec la droite. Le peuple peul el doit imposer une stratégie de changements véritables, avec un gouvernement de gauche comprenant des Ministres Communistes et Socialistes . Et c'est par la lutte permanente, dans les quartiers, dans les entreprise, dans !es usines ; c'est dans l'union de Ioules les forces sociales qui travaillent et qui souffrent de la politique actuelle que nous forgerons une autre société plus juste, animée par la volonté de la juStice sociale, de la paix et de la fraternité. Autant de valeurs el d'objectifs qu'avec les différents gouvernements de droite et leurs représentants, nous avions perdus de vue, mais qui seront réalisables demain . .. si nous le voulons.

Maire de La Seyne Conseiller régional

Commerçants Centre Ville Un comité d 'animation particulièrement actif

L'ombiance était sympathl· que et décontractée lors de ce repas que le Comité d'1mimalion des Commerçonts du centre Ville au gra nd complet avait organisé récemme nt pour féter lesuccèsde l'opération lancée en fi n d 'année par les Commerçants du Centre Ville

Parmi les invités (une cln· q uante environ) on nota.li la pré· sence d e Monsieur M11u rice BLANC. Ma ire de LA SEY NE. Monsieur $PREC HER, premie r Adjoint, Monsieur AMATO, Directeur de Cabinet et leurs épouses, Monsieur LEROY, Prési· dent de Comité, Monsieur G ARA· BETIAN, Se<::rétaire et de nom­breu~ commerçants du Centre Ville

Au cours de cette cérémonie lurent mis <'i l'honneur quelques Seynois ayant eu la chance de gagner un réveillon lors des ani· mations commerciales.

Pour 1981 des objectifs ambi· lieux étaient définis par les Com· merçanls présents qui se lél!ci· \11i enl de !11 bonne coopér11tion entre 111 Municipalité et leur Comité , ceci, bien évidemment. pour le plus gr11nd p rofit de 1'11ni· m11tion et du dynamisme de notre cité.

Maurice BLANC. Maire de la Maurice PAUL. Conaelllu Général SEYNE, élu à l'unanimité du Var. Malre-Adl<>lnt qui, te nu par

Conseiller Régioncd du VAR. ~~0~i:,i:!!!~ !~~!!~-=~:~:~:~~ P~~: Le Conseil Municipal. dans sa ::~:u:é~~:~gr:~c;e~ àr=~~::.~;t~

séance du 21 jan.,ier 1981. a dési- de ConaelllerRé glonal. gné a l'unanimité MaU?ice BLANC. Maurice BLANC. à 1·1u ue du Maire de LA ~EYNE. .pour ~ièger à scrutin. noul tal1alt part de 1a MARSEILLE au Cansei l Roigional de satisfaction qua ni au té moignage P~OVENCE · ALPES - COTE- d e conJlance qui lui é tait ainsi

DAZ~:~rice BLANCremplace ain1i ~=:~~é par l'ennmble d" é lui

Square Emile-Malsert

En un mois, la Munici­palité aura inauguré deux aires de détente pour les enfants.

C'était le 10 Janvier, le terrain d'aventure près du Messidor pour les enfants de la Z.U .P . Ce fu t le 13 Février, le Square Emile- Malsert entièrement rénové .

Pour que cette der­niè re inauguration prenne plus d'effet, elle avait été prévue à 16H30, à la sortie des élèves des écoles Mal­sert 1 et 2 toutes proches. De nombreux enfants el mamans étaient donc pré-

sents avec le Maire , con­seiller régional, les élus du Conseil Municipal et les responsables des services municipaux.

Pourtant , ne croyez­pas que nos petits seynois aient attendu que l'i naugu­ration ce fut dérou lée pour "investir" ce très beau jar­din . Ils l' ava ient déjà "testé" bien avant. Et à voir sa fréquentat ion, on a tout lieu de croire qu'il plait.

Le nouveau square Emile-Malsert? Adopté, sans réticence.

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~~;rè_:;,,_0_•h_0_H_qu_e ___ I LA BATAILLE DE ON RIGOLE

"Peut-on se tol'e ?" L 1NFORMATION 1-~D=A=N=S~L='H=E=M=IC=Y~C=L=E~1 Tel est le titre d"un trnct

récemment distribué par J' Action SEYNOIS, FAITES LA DIFFERENCE.

Catholique Ouvrière. Celle-ci Tous les jours, sur vos postes de attire '"l'attention de toute la radio, koutez les voix et les opinions population sur la situation de de ceux qui constituent les forces

f.!~pl;in= plus dégradée de r::::~:Pi~f~~~~::~:~Ë;e:a~:~~l: - C.N.I.M., C.M.I.G. - BeauvoL sur les radios. télé. journaux) , ce

S.A.M.I.C., sont des noms qui qu'ils pen.aient de leur vie quoli· résonnent douloureusement d ienne, de leurs espoirs, de leurs lut· chez bien des familles ouvrières tes , de la société, ils ont choisi de du secteur. s'adresser à vous, grâce à une rndio

- Fermetures d'entreprises, libre licenciements. chômage, con- Ic i, point de profession nels , mais des trais de travail à durée détermi- hommès et des femmes que vous con· née. c'est-à-dire limitée au mois naissez et rencontrez tous le~ jours

ou ou trimestre. '9tablis par cl.P.s ~~:: vo:e~ua;~i:;:~t :~:::i;es radio sociétés intérimoires, oppelées C.G.T.83. sur 96 Mégahertz en ~~~~~~:.~nément '"Marchonds Modulahon de Fréquence

~~~(i·?iie~:ii~~ ~l~sl~:.;~~ll~;i~~ ~~~:t~~:~:~~:;:t:~:: ;eur~e;é~::: ]~r J~;.i~~i_;C~. ~~1: t r:;;~!le~~: 4: i- .. .,...- .. _,,... totalité du procès-verbal du 2 Décembre 1980 soit appliqué par tous les signataires. Elle refuse qu'on "'dénature leur action par leméprisetdescontrevéritésen traitant par exemple les trovoil ­leurs de la S .A.M.I.C. de "'com­mandos téléguidés de l'exté· rieur". alors qu'ils font, avec leurs organisa tions syndica les , ""front à l'injustice et à l'arbitraire".

~ri~~!i.tique est que lque chose de

llfautpourtantadmetlrequeparfois, ellepermet degrandsklatsde rire Ce lut le cas tou t dernièrement. Au centredel'his1oire,ArthurPAECHT, députe Gisca rdien de la !Vème cir conscription du Var. Encore lu i, direz-vous?Pourtant,nousn'inven tonsrien. )ugezplutôt En lévrier 1980, notre homme rece· vait !esorganisationssyndicalesdel<1 subdivision E.D.F. ·G.D.F. de LA SEYNE. Les trav<1illeurs lui deman da ient ,enparticulier,devoterà l'Assemblée Nationale contre le pro· je1de loiN° l462,loiTranchanlqui, à terme, enlevait au personne! ses activitéssocia les.I!enprit l'engage· men1 ! Renseignemenlprisaprèslevote,les organi&1tionssyndicalesontconstaté que le député, contrairemen1 à ses promes.wsavaitdonnésonaccordau dit projet. Explication embarrassée

! ~::~i~'. ~~:;~1T ~~Ir é!:~~:~:t~o;; voix aétéenregislréeponr. Monsieurle Députéquelle légèreté' Pourtanl,quelquechosenouschif lonne : que nous sachions, Mr PAECHT n'a jamais rendu publique la moindre protestahon auprès du Président de l'Assemblée Nationale ausujetd 'une telle""erreur" Demainpeut·ètre

"A Demain si vous le voulez bien .. :·

le 15 Mars:

PREMIERE VICTOIRE DES TRAVAILLEUSES ET TRAVAILLEURS A BEAUVAL

ENREGISTREMENT PUBLIC DU JEU DES 1.000 Frs

"Le jeu des1.000 Frs", lacélèbre émission de Radio-France, animée parLuclenfeunesse,n'avaitjamo:is lalthalte.depulssacréation, dans notre ville.

Cela. le dimanche 15 Mo:rs. à 17H. salle G1,1illo:ume Apollinaire, on ne pourra plus !'affirmer. En effet. dans le cadre du XXX!eme Paris-NîceLucien Teunesseetles techniciens de Radio-France, pro· cèdent à des enregistrements publics dans chocune des vllles· étapes. EtcommeLaSeyneverra lescoureursprendrele départde l'avont-demière ...

Erudits.è<vow;,dejouer.etde gagner îes i OOOFrs du banco: et pourquo!pcnles3.000dusuper­banco

C'est une très importante victoire Ce relus peut-être considéré, que viennent de remporter les même si la Direction du Travail ne employés de la C.M.l.G., filiale l'a. pa.s la.il implicitement, comme du Ier groupe frança is d'éditions, une dénonciation des pratiques F.·Beauval. En effet, les 72 licen· dont !e groupe F. ·Beauval use ciements décidés par la direction allègrement . C e premier su;;cès

contre l'avis du Comité est à consolider. La Municipalité d'Entreprise, ont été refusés parla e t la population seynoise s'y Direction Départementale du Tra· emploieront. va ilet de la Maind'Oeuvre.

Jeunes:rives et difficultés d'être.

Nou1 abordonsîciundossierconsocré plu11p<icialementauxjeunes. Nos lecteurs pourront prendre conncz!Uance de aeux interviews, La preml9r• de Madame BRES. adjointe à

la je1.1n•UH ; l'outre de Madame BONNET, Conseillère Municîpctle, spécialiste de l'orie ntation scolaire. Une enqué te sur le terrain nous a permis de me •ure r combien est grande lo dé tre 11e , souvent le d8sespoir. des jeunesd.;in1 une sociétéimplacablerégie parle profit. Si des forme• de dé linquance sont à obH rv&r et 0 analyser très sérieusement, !l n'e n de meure pas moins que tou1les jeunes ne tombentpasdanslaloclllté de laf\lileenavont. Une table rond• comprenant une dizaine d'auoc:lat lons s'occupant de Io je uneue nous o permis de déterminer qu'il existe des jeunes qui refusent par leur engagement politique ou leur militantisme daru; le tissu assoçiatif . l'oislvetê et la 1ituation qui leur est laite. Ce court douier ne peut tout dire, notamment sur certains problèmH comme celui de la drogue. Nous y revLendron1. L'euentlel ê tant d'amorcer une première rêlluion 111r les rives el lesdillicultés dë tre des jeunes dans la sodêté actuelle. ·ni.~11ncbo• • tu""~ •u"';vreH

lAM.i.lo;ood•!eu ... &ev• nlune soc;é .. troq»M

ENQUETE SUR LE TERRAIN.

"Et vous. vous ne connaisse:i: pas un boulot pour moi ?" Etonne· ment de ma part, pourtant, c'est bien .lo moi qu'on s'adresse. Que je sache,jen'aijamaisécritsurmon blouson "A.N.P.E" ou Agence ln!êrlmalre. Celui qui m'apostrophe ainsi, est unjeuneqarçonde 17ans. Pas de boulot ! L'ennui ! Alors on vient faire un tour a Be...ussier. Il lait partie de ces Mcasseurs~, de ces "vando:les" et autres MVoyoux~ dont une certaine presse a rap­porté les Mexploits". Dans leur journal ils ont écrit qu'on faisait régner la violence. et qu'on ran­çonnait les autres jeunes", dit-il. C'est pas vrai. On vient (r la sor­tie du lycée parce qu'on s'ennuie . puisqu'on n'arrive pas c':i trouver un travail. Alors on drague un peu les filles, c'est tout. Sinon on n'est po:s des ban­dits". Son voisin lui, .lo la chance d'avoir un emploi. Il travaille avec son père qui est 11rtiS11n. "Je faisais du sport.delaboxe,préciset-il,tout en dansant d'un pied sur l'autre (un reste de l'entrainement à la cordeouplut6tleventvilquivous glace orei lles et nez?). Mainte­nant. je n'ai plus le temps de m'entraîner car les horaires ne correspondent pas. Le dimanche ? Je vais danser avec les copaln1. Cc':i lait passer Je temps". Le phot09raphe est là, prêt .lo appuyer sur le déclencheur : "Pas question de photos. disent-ils d'un méme élan. La dernière lois

qu'on nous a pris en photo. on nous a lait passer pour des délinquants. Alors on n'est plus d'occord". Pas de photo dans "Vivre" et aucunementiondeleur prénom.On tiendra parole. Je \ea quitte sur une tournée de ci911rettes. Et le premier ne man­que pas de me rappeler que si je connais du travail, ilseraitlepllll heureux. Il ferait n'importe quoi. C'esl$0nvoeulepluscheractuel· lement. En pénétrant dans le lycée, je pense.locesbellesAmesquidécla­rent péremptoirement: "Les jeu­nes ? Ils ne veulent pas travail­ler ... "

Une511lledetravail(lesanciennes "perm "maintenant désertées par les"pions"depuisMai68et\'auto­di$Cipline) au 4ème étage. Gar· çons et filles travaillent par 9rou­pesdetroisouqu11tre. Alain est en Terminale. Il prépare le bac. "le bachote. Cest surtout pour faire plaisir 0 mes parents. Enfin. sl ie l'ai )e serai quand

même heureux. Sinon. je n'en ferai pas une maladie. Mol. je veux êt re guide de montagne. Aussi. j'olmerais qu'on m'expll· que (1 quoi me serviront les sinus e t lei cosinus". La discussion aborde l'intérêt des études et l'adaptation dusystèmeéducatil.!o la vie. "Aujourd'hui. l'école prend un o:spect rébarbatif. On se sacrifie, onestsaturéc':icause de la préparation du bac qui n'offre c':i mon avis. qu'un intérêt immédiat. Le système éducatif actuel sert surtout c':i donner une .culture générale. et l'école n'est pas sullisamment ouverte sur la vie. r endant ce temps, quelqÙes filles sesont regroupéesautourdenous. Martine est d'accord avec Alain : "L'école devrait être plus réa­liste. nous apporter une idée sur beaucoup de choses. Il n'en est rien. C. n'est pas ici que nous aurons un sens critique et que se formera notre personnalité". Les examens? "Ils sont truqués. dit Françoise. Ils sont truqués

porcequesil'écoleesl ouverteà tous. en !oit tout le monde n'o rrive pos czu bout. Cest Io sélection por J'orgent. Ce n'est quond même pas un hoSC1rd si à portir de Io seconde il y o très peu d'enfonts de trovoilleurs immigrés", Al.sin poursuit : "Les chonces de réussite de chocun. c'est l'czrgent qui en décide". Après le b<ic ? Martine : "Moi je leroi un D.E.U.G. de Sciences­Economiques". N'a-t-elle pas peur du manque de débouchés ? N'a·l·el!e p.ss peur de qrossi< la masse des étudiants diplômés qui ne trouvent pas d'emploi ? "On o espoir d'y échopper. On n'y orri­vera peut-être pos. Mois on o: espoir quond même". Je leur sign.sle qu'au mois de novernbredemier2.0l5jeunesde JS à 25<lns étaient inscrits à !'A.N.P.E. de l.s Seyne. Ce chiffre leurétiiit inconnu. Pour Monique, c'est ··dromatiq\le. Ce tobleczu du chômoge est plus noir que ce quejepouvoisimoginer'. On en arrive au manque d'info r­mation. M.srie-Paule: "Beoucoup de jeunes ne sont pos informés sur ce qui se posse ocluelle· ment. S'ils ne sont pcis Informés, c'est que le5 joumoux et Io télé· 1 vision ne disent pas la vérité".

Martine .sborde la question des éleetions présidentielles, et donc de la politique : Je connoi. outour de mol beaucoup de jeunes qui ne sont pos inscrits sur les listes é lectorole5, qui ne connoissent rien. Or. c'e5t très lmportont de voter pon::e qu'on pe ut chon­ger'". Je me fais l'avocat du diable · "Pour chonger quoi?". Martine : ""Pour chonger Io sltuotlon. parce qu'il y o des choses qui ne vont pos". Par exemple ? Martine : ··A Io Seyne. les Chontiers Novols ont bea\lco\lp de dHlicul­tés. Si Io sil\lolion ne chonge pas. je &\lis sûre q\le le com­merce locol en subira les consé­q\lences. et ovec lui toute l'octi­vité de Io comm\lne", Le matra­quage gouvernemental, les faus­ses analyses et i!l\lsionsqu'iltente de semer, n'ont pa.s toujours prise sur la jeunesse. Alainrevientàlacharqe:"S'inté­resserà la politique. c'est s' inté­resser à la vie quotidienne. C'est notreczvenirquiestenjeu". Quels genres de problèmes iivez· vous ? "Les mêmes que nos

parents" m'ont-ils dit. .. Mois. en plus. ajoute Catherine, porlols les gens disent que nous les gênons en laisont du bruit êl Io sortie du lycée. Ceux-lêl oublient que souvent on ne peut pos tro­voiller normalement lorsqu'ils laissentle\llSChienSh\lrlertoute lu journêe. presque sous les fenêtres du lycée". "Moi. je dis. poursuit Martine, qu'il existe des réllexes on.!!:i•unes. Ce n'est

Avoir un métier , untrovoil.c'est oussi importont que de pouvoir vivre pleinement se: vie comme on l'entend. Le bonheur c'est de pouvoir se réoliser. Aujourd'hui. les jeunes n'en ont pos la possi­bilité. Malgré les publicités de 1 Io Télé, on ne leur offre qu'une vie triste'". Que sa.vez-vous de l'ac tion de la .Municipalité?C'éstencore Fran­

cise i:i:ui.J:éwnd : 'Toi remor ê

que Io Municipolité toisait beo\lcoup d'efforts pour les je\l· nes a\l point de vue des sports, de Io cultwe, du codre de vie et oussi pow les assoeicztions. le sc:is également, pour l'ovoir vu, quedesréalisotionssont le fruit de discussions ovec les jeunes. Il foutcontin\ler'". Le temps qu'ils m'avaient acco<dé étant écoulé, mes ··interviewés" retournent il leur triivail. Dans le couloir, je rencontre M. "Brod.y, Conseiller Général d'Educalion. "C'est vroi. les )eunes ont beau­coup de choses à dire. Molheu­reusement. ils n'ont que rore­ment l'occasion de s'exprimer. et les moyens de réczliser leurs ospirotions. Prenez Je foyer Socio-Educotil du lycée. Si peu de lycêens y odhèrent. c'est parce qu'ils n'y trouvent pas ce qu'ils recherchent. NO\lS vivons de mendicité . sc:ns onimoteur. Comment réaliser du voloble dans ces conditions?".

pos juste d 'opposer les jeunes e t ... les o\ltres. Pourtont. pourquoi no\ls crltlque-1-on lorsque nous nous hobillons di!féreme n\. N'o-t'on pas le droit de le foire ? Lo vie est déjêl octuelleme nt si ennuyeuse qu'on accepte dHflci · lementdete\lesbrimades". Onentenddirequeleslycéensde Beaussiersontsoumis àlavio!ence de jeunes extérieurs à l'étiiblisse· ment,etquiiittendentàlasortie. Pour Ma<ie-Pa.ule "Il n·y a pas de violence coroctérisée. On soit que ces jeunes n'ont pos de trovoll et qu'ils s'ennuient". Françoise pense ••qu'on cherche à les culpabiliser et êl les rendre respon$Clbles de leur situation". Etes-vous heureux? Françoise: A Io télé. on nous montre lo\lS les joun des gens, et surtout des jeunes. heureux grâce ou Coco­Colo. ou chewing-gums ou oux eo\lxdetoilette. Enréolité, c'est dillérent. car les jeunes qui s'ennuient. â qui on n'offre pas de perspectlvesd'czvenir, sont Io ... ------~-,! mczjorité .

JOELLE BRES : "LES JEUNES ONT TOUTE LEUR PLACE A PRENDRE DANS LES LUTTES POUR LE CHANGEMENT"

~ViVTe à la SeyneN Quel était l'objoctil rocherché a.vee la créa· honde 111 délé9ation'11.\JeunffSe dont vous vous \)Ccupez depuis 3 "nsm<'tintenillnl? Joëlle BRES : Tout le monde s'accorde à dire qu'â lill Seyne, be11ucoup de cho· sesontété,et sont,failespourles jeunes. Des choix politiques en laveur des jeunes ont amené des réalisations dans des domaines aussi importants que le sport, la culture, l'enseignement. Tout est loin d'être réqlé et, la délégation 6 la jeunesse a permis une évolution de la réflexion par rapport aux nouveaux besoins des jeunes. "Vivre à la Seyne" : Etre jeune en 1981, quelle réalité recouvrecette11flirmation? Joëlle BRES: Les jeunes en 1981 n'ont connu quelacriseetunesociéléquimar­che a l'envers. Cette situation dêtermine leur comportement et leur vision de l'avenir. -certainsluUent:lesjeunestra­vailleurs des C.N.l.M., avec !es or9anisationssyndîcales. - d'autres s'investissent dans le milieu associatif (par exemple pour l'animation t1t le reboise­ment) ·d'autresencoresontpassils . ·enfin, une infime minorité a choisidesvoiesdegaragesqui ne ~ébou<:hent sur aucune perspec­tive: v10lence, actes de rebellion Cesactes- lAnesontpasspectacu­laires,etilnefautpas lesgrossir. Toutefois, les ignorer consisterait àéviterdeparlerde !eurcause:la politique du pouvoir dans son ensemble (antisociale, autoritaire) et !e fait que, par voie de consé­quence, les aspirations des jeunes nesontpasprisesencompte. ~vivre à la Seyne .. : J_ustemenl; quelles sont !es aspi ra· honsdesjeunesenl981?

}oille BRES: Que veut un jeune homme ou une jeune fille en 1981? Avant tout, é treresponsabledesavie ,devenir autonome llaoblenu,A!asuitedenombreu· seslutteslamajorité318ans.Mais peut-il se considérer comme un citoyenApartentière,s'iln'apas de formation professionnelle, pa:s d'emploi, pour sortir, se culhver, ne plus être obligé de rester dépendantdesesparents?Pour· tant te l est le cas actuellement, louqu'ausorlirdel'écoleavec un diplôme, les débouchés n'existent pas. L'accésâ l'autonomie devient réellement problématique.

"Vivre à la Seyne .. : Voici quelques années, les jeunes q1>i sortaielft de Langevin éla:ient pratiquement assurés de trouver un emploi aux Chantiers. Qu'en est-il actuellement? Joelle BRES: Il est vrai que pendant longtemps, le devenir logique des jeunes sey­nois consistait à rentrer aux Chan­tiers, etdes'yfor9er, par le travail et la lutte, une situation convena­ble.Maintenant,onenestloin. Laquestiondel'emploinesepose pas d11ns les mêmes termes pour tout le monde. Si les entreprises n'embauchent plus, les agences. intérimaires elles, se développent rapidement. On en compte une dizainesurleterritoiredenolre commune. Elles font travailler (dans quelles conditions 1) des eentaines depersonnes, dansleur immense majorité des jeunes e t essentiellement avec les C .N.LM .. Si les Chantiers Navals peuvent passerdescontratsaveccesoffici­nes pour 400 travailleurs, pour­quoi ne les embauchent-ils pas di rectement? Nous, élus munici­paux, appelons ces travailleurs à se battre pour exiger d'être employés par les C.N .I.M. A la C.M.J.G. (filiale de Beauval) même constatation. J'étais récem· ment avec ces 72ouvrièresque !a

direction veut licencier. Elles m'ont appris , et je l'ai vu,de mes propresyeux quedesintérimaires sont employés Aux jeunes, nous tenons le lan­gage.de la vérité. Nous leur disons qu'à la Seyne, des centainu d'emplois peuvent et doivent être créés. Par la construction de l'h6pital neuf, en donnant 11u Port de Com­merce de véritables chances de se développer, en forçant le pouvoir à créer des postes dan1 les servi· ces public•. La Municipalité leur donne un autre éclair11ge de la situation, différent de "]'officiel", en disant qu'on peut vivre autre· ment. A eux d'exiger la création d'emploisetunautresystémeédu­catil. "Vivre à la Seyne"' : Les lycéens, parlons-en. Qu'en est·ilpour eux? Joëlle BRES: Ce qu'ils veulent, c'est une ensei­gnement ouvert sur la vie. Ils ont d'ailleurslortappréciélesvoyaqes éducatilsAParisetà Strasbourg, à l'Assemb!éeEuropéenne.Lesfilié­res du L.E.P. de Beaussier sont mal adaptées. Enfin, nous sommes d 'accord avec les stages en entre­prises, mais comme les lycéens, nousnevou!onsp11Squ'Hspermet­tenl de donner une main-d'œuvre sous-payée aux patrons Actuellement, e t d11ns leur immense majorité les jeunes sont brimés. Le pouvoir giscardien les mutile. Il faut changer de politi­que. Les jeunes ont toute leur place à prendre dans les luttes pourleehan9ement.

Pour ce dossier, "VIVRE A LA SEYNE" a aussi tenu une table-ronde avec les représentants d'Assocla· lions locales s'occupant de la ieunesse. Us lurent accueillis par Jean SPRECHER. Ier Adjoint au Maire. Responsable de l'information Municipale. !oille BRES. Adjointe 6: la Jeunesse et Daniel HugonneL délégué a l'Action Socio-Educative. évoquaient les raisons d'une telle réunion:

"Nous aimerions dans un premier temps avoir l'appréciation des Associations sur la vie des jeunes Q LA SEYNE, la mal-vie. car nous n'avons pas la prétention, malgré d'importantes réalisations. de tout faire pour les jeunes dans notre v!lle : d'autre part, nous aimerions que vous portiez témoignage de vos actions pour tempérer cette situation et pour donner aux jeunes les moyens de s'en sortir. Nous souhai­tons aussi que la population seynoise connaisse mieux Je travail souvent obscur de vos associations".

Q~~rception. de l'aube de l'adolescence) n'ont p<u la vie des fE!unes à LA SEYNE de loisirs et n'adhérnnt à aucune p~Jl:Ort6:desi:iroblèmesliês association â la situation actuelle? Ils sont en rupture .avec les adul·

tes"

Pour (Conseil des Parents d"Elèves de !'Ecole MAL­SERT) il n'y a pas d'îlots éparqnés dansunmondededillicu!tés:

"A LA SEYNE", on n'est pas épar­qnés par la situation nationale, mèmesi, ici, il yaplusd'associa· lions,d'orqanisations. Lepass.ageà la vie active est diUi­cile, de plus en plus difficile. Un exemple : dans les aswciations que nouscotoyons,présdela moi­tié des anirr~teurs sont au ch6-maqe. C'est pour eux un paliatif en attenda.nt de trouver autre chose".

(Jeunesse commu­niste)confirmecetlea.nalyse: "Maintenant, lorsqu'ils sortent du lycée{Beaussier ou Langevin), les jeunes sont confrontés avec le chômage. Pour les lycéens de la cité technique, la possibilité d'ent rer aux C.N.I.M. est plus qu'hypo1hétique. Les entreprises intérimaires? treize ont pignon surruedansnotre ville. Les jeunes sont surexploités. L'oisiveté, une délinquance mineure sont si9nilic.atives de la mal-vie, de l'absence de perspqc­tives ollertesaux jeunes".

"Nousnousoecuponsde jeunesen plein désa.rroi, presque toujours issusdelamillesdéjàconnuesdes aervicessociaux.Cesjeunes·là,{à

M. ~JBli (Association Jean-Pierre AGREY)

"ABe.aussier. si bien sûr tout n'est pas rose, il ne faut pas non plus noircirlasituation.Leracket,la violence, ladroqueexistent,mais ils ne sont pas spectaculaires, et concernent une minorité. Quant a.u phénomène "r.ail!eux", il est souvent dû.;. des jeunes favorisés de la périphérie de 1.a ville"

lllautcombattrel'oisiveté:

"Certains jeunes refusent toute scolaritédel4àl6ans.

Nous savons oû. trop souvent. mène l'oisiveté. Quelle envie de rentrerchezeux,peuventavoir ces jeunes quand leurs pa.rents boivent ou quand l'un des deux .a quitté le domicile?".

(Centre d'Entra.ine­ment a.ux Méthodes d'F.ducation Actives).

"Justement, les enfants à problé mes,illaudra.itlesencadreravant qu'ilnesoittroptard"

M.

"Cen'est pastouhi-faiteiracl,C<>r sijeprendslapopulalionquenous avonsaucentredeloisirs,engros, c'est la population qui va. poser desprob!émesplustard".

: (C.P.E. MAL-SERT)

"Il laudra.it des structures pour accueillirlesjeunesàpartirdel7 h.Or,onnelestouchequelemer­credi. Pendantdelonqs moments, lesen!anlsnelont rien".

~jeunes désirent faire q~ que chose. Un problème : ~prentissage des resP:Qnsabi­lités.

8 M. GINER (Francs et Franches Camarades)·

M. MECKLER (Proviseur du lycée Beaussieret responsable du Foyer Socio-Educatil}

"Les jeunes ont des problèmes, pourtant ils ont envie de faire quelque chose. Mais tout coûte cher,commeparexemple,lessta­ges d'animateurs, qui sont à leur charge. Dans ce domaine, !e désengagementdel'Etatesttotctl.

"C'est exact. Moins de 10 % des élèvesdeBeaussiersonlinscrilsau FoyerSocio-Educatif"

M. VUILLEMOT:

"Chaque année, un peu plus de jeunesontmoinsenviedepartiren vacances dans des structures organisées. A leurs yeux, elles représentent des contraintes el sontlasuilelogiquedel'école'' .

M. VUILLEMOT (Amicale Sey­noise des Adolescents)

"De plus en plus, les jeunes ne sont pas prêts à se prendre en charge. La société dans laquelle nous vivons se donne les moyens pour que !es jeunes ne réagissent pas contre elle. Ils ont besoin d'un apprentissage des responsabili­tés".

Mme BRES : •certaines expériences

onlmontréquesil'écoleétaitplus ouverlesurlavie,lesjeunesypar­liciperaientplus. L'opération cap­sule, avec R.M.C. par exemple, a étéintéressantedanslesensoùles jeunes se sont pris en charge. Il n'empêche qu'il y a des altitudes contradictoires, à LA SEYNE commeailleuis."

! l~s:s a~~~~~~~~u:0;!up;~:!~:~: " tes. En effet, le dynamisme des

associations de l'O.M.A.S.E. est quand même une preuve que les jeunes ne rejettent pas systémati­quement le tissu associatif. N.D.R.L.)

M.GINER :

"Lesprixdesséjoursencentresde vacances augmentent et les reve­nus des familles diminuent, c'est vrai. Mais le système éducatif a aussi une part importante de res­ponsabilité".

M. LEPINE: !enep'ensepasqu"iln'yaitquela seule responsabilité du système scolaire. L'école, n'est qu'un rouage et ce n'est pas le rouage

~ déterminant. L'influence qu'en ii5 tant qu'enseignant nous avons sur ;i -...lesélèves,estquandmémesecon­

daire comparée aux influences Peut-on parler de rejet de la vie extérieures : famille, télévision, associative? etc ... '

M. LEPINE :

Lesjeunesn'enontaucuneidée.Il convientdetrouverlesvoiesd'une relationaveclaréalité,aveclavie active'

M. BRES : Trop souvent des

élèves abandonnent leur scolarité, la p lupart du temps pour un emploi hypothétique de quelqUes mois .ou de quelques semaines.

Jepensequedanscedomaine,ies enseignants, mais pas eux seule­ment, ont un rôle très important à jouer".

Quelles actions menez-vous pour tempérer cette situation et donner aux jeunes les moy™ de s'en sortir?

M.STIEN :

"Nous avons pas mal d'activités surtout en direction des enfants, dans le cadre du centre de loisirs du- mercredi, en col!aboration aveclaCaissedesEcoles"

M. GINER :

"Nousmenonsuneactionavecles jeunes de plus de quinze ans au niveaudesanimateursassislantset poursuivons un double objectif, social et éducatif".

M. MOURET:

"Notreassociationdisposedeplu sieurs antennes dans le départe· ment, pour suivre les enfants qui ont de sérieux problèmes fami­liaux et leur redonner la confiance qu'ils ont perdue"

M.SIBILLE:

"Notre association constitue une sortedecarrelourpourlesjeunes deBeaussier".

M. VUILLEMOT :

M. SIBILLE: M. STJEN : "Nous nous occupons des loisirs et

"J'ai souvent remarqué que les jeunes, jusqu'àl4ansenvironsont trèsinvestisdansdesassociations, par leurs parents. Passé cet Age, ilsontsouventtendanced.vouloir rejeter toute organisation".

"acancesdesjeunesentrel4etl8 "C'est la structure de l'école, de ans. Nous les aidons à les organi l'enseignement qui en est en sereux-mêmes". cause. Lesjeunesdoiventsecher-cher une place, se forger un ave-nir . Pendant une période, ils ne vont plus penser qu'à eux pour essayer de s'en sortir.~

"N0\1$ formons des animbte\lrs po\lrlescenlresdevacances, mais aussi pour l'animation en qénéral el pour qu'ils s'impliquent dans des associations de quartier"

"Nous expliquons au>= je\lnesqu'il e$! possible dechanqer la société dans laquelle no\15 vivons, qu'ils doivent prendre leur avenir en main pourlaireq\lelquechosede beau de leur vie"

ER· "Nous proposons aux élèves, un certain nombre d'activités, dans un but à l<i lois éd\lcatil el de loi-

?o'I JG<

"L'O.M.A.S.E. S\lil de très près les <1clivitésdesassoci<1tions.llessaie depromouvoirdes<ictionsnouvel· lesquine$ontpasco\lvertespar elles,danslebutd'aiderà l<icréa· lion de nouvelles <iSsocialions. A ce sujet, l'exemple d\I Ciné.Club desleunes H tlrésintéressanl. De plus, nous pensons beaucoup aux jeunes inor9anisés. Auui, l'enquête socioloqiq\le que nOU$ menons actuellementdanslapers­pedive de créer une équipe de prévention spécialisée va nous <ipporterbeaucoupd'éléments".

si rs, ava<:: si possible ensuite, des M~ perspectives vers \'edérieur."

"Ainsiquedff$urveillants, ensei· gnants,éducateurs ennombre sul­lisant". "WMuniCipalitévas'orientervers

la création de centres de loisirs maternels, qui dbns un second temps,concernerontles élèvesdes cl11ssessupérieures".

>OI NE "Comme c~ serll le cas pO\lr !'Ecole Edouai-d Vaillant de la Ro\lveàlaq\lelleun centre de loi· sirs sera annexé. MaisnOU$Vou­drions des centres de loisirt dans chaque école, des maisons de quartier" .

L'ORIENTATION?

M. HUGONNET · "Sans oub!ler des moyens réels pourlesloyerssocio·éduca\ifs".

M

"Il faut que les jeunes prennent leurs r6$ponsabilités, oui mais <ivee des structures adéquates et des adultas q\li coordonnent les activi\és.En\lnmot,ilfautdonner le pouvoir aux gens, en lesll idant à le prendre"

UNE QUESTION DE PLUS EN PLUS DELICATE. ConHlli.re!!lunicipele,MmeChri.sliauBonnet,uercel.. pr,,. lfftlondecon.,.illè red'orie ntetion a u C.I.O. (Cenl?ed'lnfor· metionetd'Orientalion)delaPlace 5've nne

™pendanldu Minisl<tre de l'Edueation,lalàchepm:>ritaire du

UN COMITE POUR LA DEFENSE DES

(JEUNES) CHOMEURS

L'Union Locll le C.G.T. vient de mettreenplaceunComitépourl<i DélensedesChôme\ln. Le but qui luiest<issignéestd'aiderllu maxi· mum les chômeurs face <1ux pro­blèmes de toutes sortes auxquels ils sont confronté$. C'est <iinsi que plusieurs perma­nences ont d'oreset déjà lieu, cha que semaine à la Bourse du Tra vail - LUNDI de 9 h ! 11 h Perm<i· nenceluridique - MERCREDI de 16ha18 h: \Ill administrateur C .G.T. pour les problèmes de Sécurité Soci<i.le - JEUDI de 10 h à 12 h : ASSE DIC - JEUDI de 16 h à 18 h : Problè­mes d'aide - VENDREDI de 16 h à 18 h Allocations Familiales.

Des responubles pourront éq<ile· mentîntervenir surdesproblemes particuliers : EDF, ANPE, HLM, Commun<iux (11ide-social e). lmp6ls

c.1.0.e•tl'1nlormationetl'orie ntationde•entantodeocoll•· 1Jffellyc .. a insiquel'accue•l "to11tpublic":ad11ltes,jeuneo demendeuro d'emploi. Un conHlfütr d'orlento•ion, dit·tlle, laltp<1rtledel',;q11lpeP<ldogOfjlquee1setrouvedoncenrela· tlon<:on1tonte<1v.cl .. ensel9nonts, p<m•nts. é l•vffetadml· nl•1ta11on.Ilest .. isibleou C.l.O. e1dansleslyciMse1col­lè9HOùiltlenldffpermone11Cff. Sonr3\eestd'opporterunecddeo!ind'atlronterle 1y.t•me S«lal1edansle• n>ellle11rnconditi<m1(porfoisl'adop!otion aucoll•11e n'es!J1<1S é vldente)etsouventau11id• riiglerdH p!"oblt mH tamiliaux.0.1la6tmeoulaSèm•. l•• P•oblt mH Mais ce n"eitpalllmp!ecorla$ituationdel"emploi e ttaux

ftlE~~i~;;;; de 1tratéglequiconsl1teàenv!1agerce que peutapporter Sunstraval!.!Hjeun•1 pre nnentconsclence delasituation. un•formationprole11lonnt lle.lHrisquesqu't llecomport•. Souvent,cette 1ltu0Hondevientpoureu•un échecde1truc· ~!mo:~~tun ités à ne p0:$ la!11er échapper à ce?laln1 ~·:;.:_llssemettentencause personnellement.C'estdramati·

10 MOTO: LA SEGREGATION

AR L'ARGENT qu•lesautomobilist ... lgno,ent, oualortno ooml""nnentpas.Le

Y a-ril un ph.,,om&ne moto? Guy jeune motard veut oe démar· lloUHti. je\>"" h ovoille\> < oux qu"1".ne paslal:e qu• iquechose Cho.nliors Novals, m• i.Jl • ussi •pé· decou:ant. e ioli.Jlto deo pluo Q<ando ei<euilS. et Cotte pe""lon de la moto lmpoH dos plu• imporlant ... eompétitions, d"lmm.,.... saer!f!oes , le p•l~ ouni-un•opéon.<épondo""I• dos • oi hlcul •• · l"au uranc• . ne0<tls pa1 slèlproprementpar· maintenant la vlgn,..te,l'enu. !or on peut oivoquer un pbéno- tlengénéral.Ondltauxmot<mls mèno m<>to.C.qu\ H toertaln en qu'Jls ontbeauooupd• dro!ts.En t<>utcas.c'estque lamotocrM contreparti• .onn• t.ura<:<:<>rd• d ... llensd'amlHoi.Su:sam<>to. aucunmoy• n. La moto devient l• je une, garçon ou l!ll• . un objet de lux.. D<rm c• éprouve un sent!mentd'é~aslon. ce<dre·k\, l• nouveau permis de lihenoi. Entre les motards tendC.oocentuerla H grégutlon exi•\eun ... pritde ce<m0<odfl le parl'ar!J"nt".

Toutefois l'heur< é10i1 •·cnuc pour noS9nct'tr<S, dese<ou<r Los t:leclfursellesCondidatsde•aienli'lrede"bonnc•·ic '"el unc lul•ll• qui s'oppn<ail à l'~panoui....,ment de cr "lieu di! • "Mœuf8'" savo ir "lire cl <<riro" ils d.-·aiont pri'!tr serment d.-·ant

Une requête fut présentofe au Cardinal MAZARIN, afin le "VIGUIER". d'ob1cnir une autonumi r justififf par l"floigncmenl du bOlll'l(. de On •·otaît a•·« dos boulos blaneh'ts el noires populairemen1 la Commune Mére -SIX FOURS - appeli'es "'Haloues·· (de l"•nci en françois ••i>ttite balle",)

Uneradebicn ab ri1ofeolfraitunpuissan1débonchéauNfgo<• el i la na•·igal ion. C'esl au mols de juillrt dc l'An 1657 que fut con- Nous prnsons que <e mot à donné n•issan«. de pari sa fonc­somm< offidellemcm et délinitivemenl le "dHaehement" du lieu lion éltt!orale. au mol "Hallolag•" (ttsulal négalif d'une di1 LA SEYNE de SIX FOURS. él«lion), ûne façon de voter ave< <es ··oallotes" fut emplqyé<

ûgrandactefitl'objctdc"lcnr'"Pa1enl•s""donnffsparle lorsd"éltttionsdesPrud"homios depkhru'8juwu'àlagurr,..,de Roi LouisXIVàSalnl·C•rmain-en-La)·eet enreglstrffsàAixen 1914-1918. Pro•encelelerFh rierl6S8. Par ••1•1Cr<S·Pa1i nu:s '" du 25 Septembre 16111, le DUC de

A la même dato furrnt réalisées, los op~rallons de la délimita- CUIS!::. a>·ait a«ordl' aux ••(;onsuls • t Sindirs·· de SIX FOURS Io lionduterrllolre«ll cs quenousrnnnais.sonsaujourd"hui,y«>m· droitdeporterle"chaperon"(Lou Ca1H"ïron).Crlul..,léta1tune prisStMandricrqui•ftéunlieudi1drlaSri-n• Juwu"enl9SO. sorte de coiffure en Otoffe 1ein1eghéralemen1 do deux couleurs,

Ainsi délimllff, noire Commune. pn! rnfin s'extérioriser, son don! un prolon2cmcn! tom bail sur un• épaule. (e'esl bien plus lard expansiondémog..,.phiqucsedhrloppad"unemanièreronslanle. aprk la Rholution de 1789 que nos ma~istra ts officicronl an<

l,a léro Administration Municipale ~)·noise fut rnnstituff el ' 'l'kharlH" tricolore"). lnslallh. I• Dimanche de Piques, 22 A•·ril 1658, dans la chapelle Insigne dr dignilé municipale, nous 1><nsons don< que nos pre­dcs "pfoi!U!S Hlanrs• • au quartier Ca•·aillon, («tle ehapellr se mirrs~luslO<'auxdurenlaprkleursnominaoions.porlerle''chape· siluail e.arlemenl à l'empla<emrnt où se trouve actuellement le ron .. de couleur "Bleu et Rouge·. coulturs qui <'>lra<t~riS<'nt. les Ctnlre Médirn S<olai"' pla<O Sh•rin• ) sous la pr<siden .. de M. Armoiries de not"' •füe. François de TllOMASSIN (conS<'lller du ROI. plisidrnl de la CourduParlcmcntdeProvcncr).Tousleonol•bles ctlesehdsd• famille du bourg <taienl p n'$e~1S. ainsi que le ••vJCUŒR''". tes "VIGUIER" Magistrat qui rendait lajusli" dans .. r11ines P•Min· olfieien;etlesS)'ndicsenc.erekt. w;duMidia,·an11789.

Con:U~ .. :,c ~::1~;,n"timo~~..: ~o~;~Lne.~~-~~:~.~[)p~~e~~e~ ~ 1. et.;m•n ~=~~:,~~ ·;.~"'~:~~;.c;:n~~~~i ~!~0~~~i::u~f~;:r~- !';.~~~~~~~ ~"',, c .. ;,.."rm ~ teursauxcomp1cs(legreffierctno1ai"')·leCapi1ainedc'-m'.1' f! :~-:;";; ;.1~:~~~: 1.·:~·~~g!::·::·.~i111: c:t:~~~ep~~,:~~b1:;s.:~ - " peseurpublk-un fontanior r1 au1rosfont1ionnaires. - · '

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LA CULTURE ET LA JEUNESSE: quelques réflexions en forme d'interrogations

·a·t·iluneaciioneu!­turellc spécifique pour la Jeunesse? - Non, si l'on consi­dère que jeunes et adultesbénéficiemau même1i1rederéalisa-1ions comme la biblioth&que. l'Ecole

1\•!unicipakdes Beaux-Ans, la salle Guil!a•1me APOLLINA IRE, k CINE-CLUB, e!c ... -Oui, si par exemple, on relie l'animation culturelle au lra,•ail éducatif.Sou!ignonsàceproposlcs efforts de !'Ecole Municirialc de Musiquequi.chaque année,forme des musiciens .-:1 des mélomanes. E,·oquons aussi le travail tlu cinC­clubdesjeuncs. lcsactionscnlrcpri ses C.:ans le cadre du tiers-temps pédagogique(théâtre,musique). ,\ laisselîmiteràeesdeuxaspccts serait singulièrement restreindre la portée du problème. En effet , tout le montre, la JeunC'sse pos­sède des désirs et des goius qui lui sont propres. La demande concernam par exemple les con­certs de rock en constituC' une

preuve. La salle Guillaume APO LLINAIRE y répond du mic'ux qu'elle peul. compte-tenu des possibilités relat~vement réduitesd'accueiLl!fautnmer que les tarifs réduits sont propo­sés à chaque spectacle pour les chômeurs, les lycéens et lesétu­diams

Pour y apporter une réponse. le meilleur moyen serai t pcut-êcrc quc les principaux intéressés s'expri­ment C1 ce bulll'lin pourrait être l'occasion de lancer 1111 appel pour queiousccu.xqui lcdésircntécri· \'Cnt au Scr\'icC Municipal de la Cullurrouàl"Officei\lunicipaldC" la Culture Cl des Ar1s pour c~pri­mcrlcursbcsoins. lcursgoiits. leurs dCsirsenmmièrcculturcllc Nous pourrons ainsi confronter les pointsdc"ucC1 rt'fi.Xhirsurcequi at'ct'Fai1.ccquisefai1.œqui,asc faire. examiner les blocages (La Scyne n'es1pasunc îlcépnrgnéc par l3crisc.répétons-lruncfoisencore) c11rou\'er enscmblcdessolu1ions.

L'ANACR présente un débat sur LA SEYNE

le Var dans l a RESISTANCE avec Jean-Marie GUILLON

Professeur d'histoire

"CINEMA AU FEMININ .. "Le second éveil"

de Margaret Von Trotta

JAZZ A LA SEYNE/ MER JOE MC PHEE

ANDRE JAUME QUARTET

"CINEMA AU FEMININ" "Soullle libre ..

Marta Metzaros

CONFERENCE DES AMIS DE LA SEYNE ANEIENNE ET MODERNE

[

HISTOIRE DE ]

L'ECOLE MARTINI

par Marius AUTRAN CONSEILLER MUNICIPAL, ADJOINT AU MAIRE de 1950 à 1977 ANCIEN CONSEILLER REGIO· NAL Elève de !'ECOLE MARTINI de 1920àl928 puis ENSEIGNANT dans cette meril.eécolede 1938àl966.

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~~~t~e~~ill:~p~:, :,~~u:;~.:\~ qnements. •"adresser au Service Culturel Municipal.

''CINEMA AU FEMININ" "Sous les pavés l a plage"

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CINE-CLUB DES JEUNES "Katia et le crocodile"

"CINEMA AU FEMININ" "Simone Barbès ou l a vertu"

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JAZZ A LA SEYNE/ MER GLENN FERRIS

JEAN-PIERRE DEBARBAT QUINTET

Dimanche ler , 17 h EGLISE

"NOTRE DAME DU BON VOYAGE"

Concert d'ORGUE avec ANNICK CHEVALIER

AU PROGRAMME : - Deux chorals de BACH - DeuxpiècesdeLanglais - Prél ude e t fugue en ré mineur deD. Buxtehude ORGANISE PAR L'ASSOCIATION "LES O RGUES DE NOTRE DAME &UBON VOYAGE"'

~ EN AVRIL

CREATION DE LA PIECE DE CHARLES LOUIS

LASSALLE "LA NONNE ELECTRIQUE" PAR L'ATELIER THEATRE

"LE ROSEAU ..

SALLE APOLLINAIRE SAMEDI 7 21 HEURES

JAZZ A LA SEYNE ~DfilRE~AiUiUMMEE':===-

André faume, néàM.,rseil!ele7 octobre 1940, étudiant de la dari· ne1te à~rlirdel956.llsuitles cours du Conserv3loi re, "décou­vre"le jazz,la.itpartied'orcheslres d ixie land e t, en 1960, choisit le saxophone. Après un voyage en

"Que dire de ma musique ? Afrique et quatre ans d'inactivité Anthony Bru.ton a émis beaucoup musicale, il travaille, à Marseille, de thOO ries analytiques cancer· avec le pi<'lniste Fred Ramamonjia­nant sa musique qui sont intére$- risw et avec Guy Longnon. Puis il sanies parce que sa musique est co!labore avec Antoine Bourseil­bonne. Q u.,nd peut-on dire d 'une Ie r (1966-67). joue en grand musiquequ'elle&l!t "bonne"? orchestre avec B<'lrre Phillips et Tout esprit clair dispose d'une Ambroise Jackson (1972-73), o reille intérieure qui lui crée des forme a.vec Ramamonjiarisoa, repe res . Comment analyse-t-on la Sylv;:iin Marc, Ançe fapliet et Del marche ? Je mets une note après Rabenja le qroupe Tanalaha l'autre ,commelorsquejemarche, (1974), participe avec Sa rtan, e t mon pied me dit à chaque nou- groupe de "free jazz rock", aux veau pas si le sol est solide . Depuis festivals de Massy et Reims (1975), la mort de Beethoven, aucune travaille avec Je! Gilson en quar­analyse n'a été capable de cerner tette e t big band, avec 1.,. troupe de son secret (et ne le sera jamais). clowns Blaguebolle, forme Ce secret- 8$1 le p rivi lege de Nommo avec Raymond Boni et. l'artiste, peu t-êt re !e seul dont H G é ra.rd Siracusa (1976), travaille d ispose. Jene peuxparlerquede aussi avec le compositeur Michel ce qui entoure mon secret , du son Redolli du groupe de musique des métros, de toutes ce.> choses expérimentale Mars..ille (1977) et qui font clik, whirr, buzz et flash. en solo. Il"- joué également bvec Des sons que l'on lait en cui~inant, Steve Mc Cati, Gunte r Hampe], buvant, du bruit enva.hissant des Bu!ch Morris, Frank Lowe, Byard voitures et des avions à réaction, Lancaster, ItaruOki ... Il joue des d 'expériences sexue lles irraconta- saxos-ténor, soprano et a lto, de la b les, des cornoui llers , de Star clar inette en si bémol, de la clari­Trek et de la sauce aux ai relles. nette basse el de la Hüte . Il a enre­C'est aussi la recherche de cette qistré a.vec Z.n.r. (Isadora 2), Je! Jonque note unique capable de G ilson (Palm 20), Nommo ("Dans paralyser chacun d'entre vous e t le ca.price 11mer des sables"' Palm de vous dérober voire esprit et 29), l'Europameric<i Big Band votre identité . Je !es enfermerais (Palm 28), Blaguebolle ("L'oiseau

CLAUDE MARTI

MERCREDI Il

13

à 21 HEURES (Salle des fê tes

de l'Hôtel de Ville)

Est-llbesoindeprésonler Cloude MA!lîl? Un d111 premlen chonteurs de l'angue d"OC depuis 1'970. MARTI poun;uit une car· riêra de mîlî1an1 de la chanson occitane. Choque disque nouveau dit le pays. l'espoir de ses hom­mes. leurs lut tes. On ne s'ennuie jomais à écouter unchonleurdontlaqualité du texteetdelamusique sont au gerviced"un mit$• sage&ansombîgui!é:laire prendra conscience que le "Midi'" et l'occent doivent céderlepasàuneréal!té plus pro!onde: derriêre le poysogefolkloriséilyaun poysquiseretrouve ; der­rière le méridional bon enlant de Io farce poterno­!iste. volrerociste. ilyo un peupledontlolangueetla cuhure 1ont menacées et refoulées por les médlo. Sondernlerdisque"'Monta­Vida'"{loviequimonte)dit \'espoir de "Tome que vou forgor son pois~. un poys ouvert sur le monde. une occitonieouverteet!roter· nelle. celle que MARTI nous invite à construire aveclul.Cellequ"ildiro le Il mors. Une soirée à ne posmonquer-

dansdesconta inersanonymesque Musicien 112209), loe Mc Phee je jette ra is aux quat re vents - à (Hal hui), Tama.monjiaraisoa 1--------~ chacunalorsdeseretrouver" ("Evolution") (Palm23), el en solo DISCOGRAPHIE : "TRINITY" "Le collier de la colombe" (Palm PIECES O F" LIGHT BLACK 30)et"Saxanimalier"(HatHu1 r). MAGIC MAN .

.,...~ ...... ~ ....... ~~...,,,,.,,... ....... MIQUEU MONTANARO , Gansons, musicas . con­

tes, esquetches . .. Le Club Occitan du Foye r Socio· Educoti ldu lycée Beoussle r pré­sente.mardi l7.à 2l h.àla Bourse du Trovoil. un spectode avec Miqueu Montonaro. "Ga rdorem lo Moral".suivi d'unbale ti. (*)

(*) Traduction: Lodubocci1ondau Fogau daulicéuBeaussie r. ·prG­sentalo dimarç \7à2loros.d!ns lo borso dautrabolh. un espectocle ombe MiquiéuMontanaro.'"Garda­rem loMorol"". seguîtd"unbale ti.

15

TRAVAUX DANS LA VILLE : Cou~es - vitesse avenue J .-Rostand

OIClpeu, un habitant de la cité Berthe siqnalail t.UJ:

élus municipa.ux lors d'une vi"site de quartier, qu'il

s'était un jour posté, par curiosité, au croisement des avenues }&an Rostand, Gramsci et Vifar (Ther· midor, Berthe, Prairial). Sur 56 véhicules pointés 3 seulement avaient marquéle1top ! ... Celte constatation eUarante J)O$(I

le probléme de la Mcurité des pié· tons (surtout pour les enfants des écoles à cet endroit) et atti re l'attentionsurlesdan9en;quefont courir certains automobilistes. Lasééuritésur l'avenue Jean Ros­tand, voie à très grande circula­tion darts la Z.U.P., la Munic!pa­lités'yestpenchéedepuisquelque temps déjà aveclesseivicestech­niques municipaux e t les intéres­sés: habit<ints de la Z.U.P., asso­ciations de quartiers, cellules du P.C .F. Des réunions, sur pi!.ce, ont permis de prendre connais­sance des désirs dei!. population. Ainsi, une première tranche de tr<ivaux va débute r hier.tôt. Elle comporte ha mise en place de 6

AMELIORATION D"UN CARREFOUR

L'amélioration de la voirie com­munale se poursuit. Depuis quel­ques semaines , a débuté l'aména­gement du carrefour situé sur la voie communale N° 2. Ce carre­four est lorméparlesvoiessuivan tes : chemin de La Seyne à Bas­tian, chemin du Docteur reynaud, chemin de Fabre à Gavet, chemin

coupes vitesse situés entre le car­refour de l'avenue Je.:i.n Rostand avec le C.D.'63et le carrefour de cette même11venue3veclesave­nue$ Gramsci et Vilar. Ils auront 3,70 m de !ar9e, 7 m de lonq et IO cm de hauteur m<l:i:imum. Ils serviront de support <iu:i: pa.uaqes pour piétons. Leur signalisation sera assuréepardesproj&cteurs clionot1rntsetdespannmiuxspé<:: i­liques. Le montant des trav .. ux pour celte première tranche (voi­ri.e , siqnalisation, éclairage) s'élè­vera à 58.000 F dont près de 9.000 Fde T.V.A.

de Mauvéou et chemin de Bré­mond. Ces travaux destinés à améliorer les conditions de circulation dans ce carrefour très emprunté com­prennentla constructiond'unmur de soutènement, la confection de chaussées,trollolr$,ilôts,passa­ges pour piétons et espaces verts Le montant des travaux prévus avoisine les 150 .000 F dont 22.000 FdeT.V.A.

!ASSAINISSEMENT PLUVIAL Dansle cadredestravauxd'assai· nissement pluvial des quartien; Mouissèques, Saint-Antoine, Fon­tainebleau, Saint-Lambert, Fort· Napoléon e t l'Evescat, il est prévu la construction d'un collecteur entre le Boulevard Toussaint­Merle et le Chemin de l'Evescat. Cet ouvr<ige a é té réalisé sous la rue Henri-Barbusse et une deuxièmetrancheest enconstruc­tion sous le carrefour Barbusse, Fraysse et Carmil!e. JI sera ulté­rieurement poursuivi SOUS l'ave­nueGénéralCarmille. Lemontant des travaux du collec:leur princi­pal est de 100.000 F dont 15.000 F deT.V.A

.... ..___ Handicapés, apprendre 1--P~~ à vivre ensemble. ·

1A loidcJuin l975 " cn favcur des personnes handi capées" dcvait subslitucràlanotion périmk d'assistance, celle de

solidarito!na1ionale..Ellcposai1commc principcs, lesdroitsfondamemauxde l'handkapé à l'~ucation. aux soins, f au1ra•·ail,e1sur1ou1àsonautonomic. Quclquestcmpsavam lesélec1ionsdc 1918, le rrtsidcm de la République promellait au.~ handkapés de poner rapidcmem l'A.A.H. (l) à 80 "• du S.M.l.C. Cinq années se sont écoulées depuis l'adopt iondclaloi.Pourautam la situat ion économique des hand icapés ne s'est pasam~liorée,loin dc là.

Aujourd'hui, est considérée comme handicapéc,1ou1e pçrsonnereconnue comme telle par lC'S commissions départementales (le terme "handi­capé" élam utilistàtou1 propos sans faire de difrércnce emre ks ltandi­caps). On rompleen France. prèsdeJ mil lionsd'handicapés physiques cc men­taux, dom un million de déficiems

Leur vie, qu'ils soicm de La Seyne, Toulon ou l'aris . "csl la même : c'est sou'"cm la misère ct l'angoisse par1 a­gécs par leurs prodics (la plupart du 1cmps,ccsontlcsparen1s). Mme Janine Lefèvre esl Assistante Sociale minicipa\c. spécialement char­gécduproblè-mcdes handicapés. "Un fossé séparc.dit-d\c. lc1ex1edcla loi ctlartalité.Ledroitàl'education? L"acçueil des enfams est inégal; !"essentiel des besoins umcerne des structuresplusltgèresquclesl.M.P. (2)ccsurtou1 p!usprochesdesdomici­les. Le droit au 1ravail? Plus de 200 handicapés, m:onnusparlaC.O.T. · O.R.E.l'.(3).sominscri1sàl'A.N.P .E dcLaSeyne.LeVarncdisposequcdc 1roisC.A.T.(4)pour lcsadultes handi· capésquiaccucillcmquelquefoisdcs adolescents. L'au1011omicdcshandica pés? Parlon s"'<'n: l.450F. par mois pour ceux qui n·ontjamaistra\'ailléct dcssalairesraremcntsuptricursau S.M.l.C. pour la plupart dans les struciurcs de ira•ail protégé. Vrai­ment, lasi1u:11ion n"es1 pas brillante. dans le Var comme ailleurs. Ce qui uis1e n"est ni suffisam . ni sa1isfai-

~ -- --

Ce11esitua1ionM. Bocltard,Présidcnt de la section oucst-varoise de l"A.D.A.P.E.J. (5) l'analyse de façon peu différcnlc: ··11 n·y a pas asse~ de struciurcs d'accueil. C.A.T .• ltôpi1al dejourpourlesenfamspsychmiqucs. Maisond"aœueilccdesoinsspécialisCe pour les handicapés trè:s gra>'cmem aucints. Quant aux centres pour cnfan!Sira•·cmc111a11cin1s,l'Etatn'en pré>'011quclcsdtpcn1esdefoncnonne­mcnt, laissant la responsabilité de la créat ion aux associations . mun icipali­tés. Aussi nos opéraiions brioches cl autresci11êtcsncrcpréscntcntquedes gou11esd'eau". La loi de 1975 poscaussicommeprin· cipe le droil fondamental aux soins. Pourtam. la T.V.A. est perçue sur le! appareillages (faulcuils. ma1ériel de surdilé.ccc.)et lcsprisesencharges councm rarement l'imégralité de la

Mpcnsc.Onpou11anaussiabordcrla ques1ion des allocations(educaiion c;

=:i~· ai~~~~;~~i~~~::~~~cnie~; c; des di•·erses commissions. C.D.E.S.

~:fm~~-.T~~-~i1T~:' ~~~i~:~J." n;~~i! ' parlt: ""Nous,·oulonsdesorganismcs C >'fri1ablemCn( démocrati.ques po~r e~ c; finira•·ecccr1amcspra\1Q.Ucsarbnra1-res, comme les placements d'office 11.faisilestvraiqucceproblèmercjoint ' celuidespossibilitésd 'accuc1lqu1sont loin d'être suffisantes". ~

Brcf,oncs1àccntlicucsdcs " grands principcs"delaloide1975 Silacondi1ion.disonsgénérale,des handicapésdiffèrepeu.selonqu'ilssc trou•·cn1àLaScyncouaillcurs,ilcon. "icn11outdemtmedesouligncr quela ,\1unicipali1én"apa.5attcndulaloide l97S pourœmrerdansce domaine.

\!.Brémond :"Lacréationdcl'érole de Plein-Air.structure unique dan$ le dCpartcmen1,remon1càJanvicr 19!7. Elleaétélcpointdcdépand'uncpoli· tique enfavcurdcshandicapésqui s'est acdlérée ces dernières années , c1 concré1 isée par ta mi.se en place à la Mairie Sociale, rue Ernest-Renan, d'unser-·iccspécialhandicapCsa•·cc uneassiscamcsocialcqui se consacre uniqucmemàccproblèmc" Ce11e politique a offert au.~ handica­pés ; gymnastique corrcrtive, ~anccs d "ort ho p h o ni e. créal io n d "un C.M .P.P. , acha1 d'un ca r spécialc­men1aménagé Mais depuis quelques années, une autredémarchc$'cst dé,•eloppécavcc la réne.~ion et l'analyse de la situai ion ilobaleetdesdivcrsaspects . Lacon­ccrta lion la plus largc(médccins ncu­rolog ues, trava illcurs sociaux, cnsci­gnams, direc1cun d "établissemcms spkia!isés,rC"Sponsables d'associa1ions localesetdé'partemcmales)apermisdc déterminer les besoins essentiels C1 prioritaires.M.Bochardparledeceue concenation: ··Notre association a 1oujoursé1étrè$bicn accucillieauprès de M. Sprcchcr, des él us cl services muniçipau.x. Cc que nous a•·ons dcmandéa,kp!ussou•ent.étéréali~. llfautreconnaîtrcaussiquela"1unici­pa!i1énemanquejamaisdcfaireappel au~ personnes compétentes. C'est une pol itiqueque.,ousapprom·ons" Celle çonçena1io11 a do nç déboud1é sur l"in1égra1iond'cnfants handicall'és dans les centres aér~ depuis Pâques i9. D<:s ateliers d'animation se tien­nent. le mardi pOur les adultes Cl le

-> ;::~;c ia~~e ~n:~r~~~~ be~~~~ a1clicrs,di1 Mmclcfèvrc,cs1depallicr un vide, de permett re aux handicapés dcson ir dcl'isolcmcm".

adultesdeprendrclcurs repasdumidi ctdusoirdanslcsfoycrsdu3càgc.D<: tcfü'S ini1iat i\'CS dénoient une volo111~ d"é" i1cr les ghc 11 os . profiiabk à cha· cun,handicapéounon"" . ~ont7ié'7éali~. points de la •illC. Des appartements ométCréser,(osdanslesdcrnlCrescons-1ructions li.L.~1. De plus, tous les projets el rfalisa1ions actuels ro111 l'objc1d'unca11cmionpaniculière. Dans le domaine des projc1~. som par-1iculièorcmc111 il l"étudc ac1ucllcmcm. l'imo!grationdescnfamsâ!"écolcdC'S Beaux-Ans,danslcscréches{'ljardins d'enfants.ladécemralisationdesace· licrsanimationdanslesquartiers.Mais parler de l"in1égration, re•·icnl aussi à parlcr deseslimi1csdansla mcsureoi1 cela implique: informatio n, prCpma­tion du milieu d"açcucilct soutien per­manent de cc lieu d"accueil par une ~uipepluridisciplinaire

( 1) All oxaliond 'adohthandka~ (2) lnstirnlMédko-l'édagoi:îque (J) Commission Technique d'ori on1a-

1ion et d<'rtdaS'i~nwn l Profrsslon­ncl.

(4) Ct ntfl'd "AidoauTra,ail (5) Associ• lion déparlomentalo dos

Troiscabinestéléphoniqucsacccssiblcs au.X fau1euils roulants Ont été réda· mées par la Municipalilé, près de la pos1e centrale, au Fructidor· VendêmiaireC1auxSablettes. Au niwaudclal>lunicipahtée!dcs11er­vices conçcrnês. une ré f1c.xion est en cours çoncc rnam k s auxi\iaircs dcvic. la créa1ion d"un Cent re <l 'Action Médico-Sociall'récoce.lesp0nibili1.!s offcrtesauxhandicapésdcpratiqucr unsport.Enfinlcser"icehandicall'és delaMairiesocialcpréparcunccxpo sit ion i1inérantcpourallcraucontact desha11dicaf1'és••tsurcoutpo11 rinfor­mcrlapopulat iondccett c réal ité 1rop souw111m&:onnuc . llcstccrtain10u1cfoisqucmalgr.! 10u-1eslesréalisa1ionsdela Municipali1C. leshandicapés,lcursfamilles,lesasso­cimionsom encore la pl up.1n dckurs droi1sàconquCrir:ausa\'oir,àl'édu­<:ation. à lacul1urc.aux loisirs . au1rn ­•·ail.L 'Eta1doi! lcs prcndrccn comptc totalement. l'our qu'i ls ncsoklll pl us dcsexclus. Pourqu"ilspuissent viwc librese1diffétcnts,une,·icdéccn1c.

Amis tl dr$ Pafl'n lsd'enran1s ina. dap1 ti;

(6) Commission d0par1emenlalr de l"t:ducalion •po'dalt

(7) Uni on Nationolc des A.1soda1ions de hmillcs cl Amis des Malades

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LUTTES Retraites de misère :

100.000 retraités à PARIS le 10 mars Cent mille à PARIS : voilà l'objectif audacieux mais ô combien réalisable. que les retroités

C.G.T. de France se sont fixés pour le 10 mars.

Pendant que Monsieur PAECHT, député giscardien, cultive dans certains journaux une démago­gie bien pensante. consistant à demander la mensualisation des retraites (problème dont nous ne négli­geons pas l'importance , mais une retro ile de misère payée trimestriellement ou mensuellement reste une retraite de misère) les •·etraités luttent pour obtenir une revalorisation des pensions, qu'une majorité de personnes âgées n'hésite pas à qualifier d'indécentes et d'inadmissibles. par les temps qui courent

Oui. indécentes, ces sommes qui obligent les retraités à Vivre avec l.500 ou 1.600 F par mois alors qu'ils ont tant donné au pays pendant 30 ou 40 ans de leur vie.

Le problème. outres les revalorisations des pensions. est bien celui de la santé pour les retraités.

Or, le gouvernement peut se vanter, dans ce domaine de la santé, d'avoir pris un train de mesu­res très impressionnantes et aux effets désastreux :

• les médicaments dits de "con­lort"remboursésà40%aulieu de70%

•les actes des auxiliaires médi­caux remboursés à 65% au lieu de75%;

• la réduction par le jeu des pla fonds de ressources des bénéfi­ciaires de cures thermales,

•la suppression de la gratuité pour les transports en ambu­lance et, dans la plupart des cas, l'avance d'argent à effec tuer,

•le blocage de 4.000F de la majoration pour conjoint à charge,

• prèsde2.000médicamentsreli­résde l" liste des médicaments remboursés·

•l'institution d'un ticket modér<l leur qui l<lisser<l à l'assuré mutualiste une dépense pouvant allerde2àl2%del"totalité;

•la suppression de la prise en charge des fr3 is de séjour pou­vant aller jusqu'à 150 Fpar jour <lprès 60 jours en service de gériatrie ou de réadaptation fonctionnelle,

• une franchisemensuellede SO F instituée pour la 26e maladie qui vise 250.000 personnes dont 80%depersonnesâgé ;

• l'application d'une cotisa tion d'assurance maladie sur les retraites,

•enfin, la Caisse Nationale Mala· dievientdedécider,àpartirdu 31décembre1980, de cesser sa participation financière aux Centresdejourpourpersonnes àgées. Seule, la C.G .T. a voté contrecettedécision;

•par ailleurs , le Conseil des Ministres a décidé la libération dans certaines conditions, des prix pharmaceutiques, qui pourr3itenlr3Înerdenouvelles diminutions de remboursements pour certaines catégories de médic3ments

Rappelons que parallèle­ment, les cotisations de Sécurité Sociale des salariés actifs ont été ma jorées, en moins de deux ans, de 37,5% pour la maladie et de 45%pourlavieillesse

Voilà ce que diront les retraités mécontents et en colère à PARIS.

A cet effet, le Syndicat des retraités et pré-retraités de la métallurgie réuni à LA SEYNE, s'est déclaré résolu à participer à toute action pour obtenir satisfaction aux légiti­mes revendications dont les principales sont communiquées ci-dessous:

•.minimum de pension à 3.500 F parmoispourunecarrierecom­plètede37ansetdemi;

•revalorisation des pensions de 20%,

• pensiondereversiondesveuves portéede50%à75%àpartirde 55 ans sans conditions de res­sources;

•suppression de !a cotisation maladiesurlespensionsde 1% de laSécuritéSocialeetdes2% sur les retr3iles complémentai· res,

•garantie de ressources à 75% à partir de 55 ans pour les licen ciéséconomiques;

•une prime de 700 Fpour rattra­per les hausses rapides dûes à l'inflation

La Municipalité. loin de se contenter d'opérations de ia<;ade comme certains élus nationaux. apporte son soutien totalauxrelraitésetlutteàleurs côtés pour imposer la prise en compte de leurs objeclîfs.

ept enseigMnls malades non remplacés en janvier au groupe scolaire de La Rouve ;lesdemi·décharges

des Directeun de$ écoles mixte l et 2 Léo-Laqranqfl aux Sablettes, pasiissurées; uneenseigniinteen congé de maladie n'est pas rem· placée depuis le Ier décembre 1980.!i lamate rnelleT.-Merle :les mêmes problèmes, encore e t tou­jou1$, àlamaternelleMabily. Desenfantsquin'ontpasdecours, des classes surchargées et qui ne permettent pas au maitre de don ner un bon enseignement, des enfants renvoyés chez eux et posant d'immenses problèmes aux parents qui travaillent. Telle est, de plus en plus, la réalité dans les êcoles m.i1ernellesetprimaires. Et dire que nos gouvernants parlent de la qualité de l'enseigne­ment!. -

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• .

- -

Parents d'élèves en colère: péli· lions, télégrammes, lettres, mani­les!alions el délêgations a l'Acadé-

"L<.1 Municip<.11ité, sollicitée ou non p<:ir lesp<.1rents , est tou)ours intervenue aupr•s des services <.1cadémlques, nous a dit Jean. Passag!ia, adjoint à l'instruction publique. Souvent ces interven· lions ont été couronnées de suc­cès. comme ce fut le cas en novembre décembre pout l'école maternelle Mab!lyH. Et tout dernièrement, Jean Passa· glia a fait adopter par le Conseil unanime, une motion de protesta-

tion quidéclaraitentreautre :( ... ) dans Io période o:ctuelle, il est de plu• en plus dilticile de pour­voir au remplacement du per­sonnel enseignant en congés de maladie. C'est l<.1 conff.quence de l<.1 politique menée par le gouv e rnement <.1ctuel c<.1r . d'<.1nnée en crnnée, le nombre de postes diminue. L'Ac<.1démie répond inv<.1riablement qu'elle n'<.1 plus de postes vac<.1nts. C'est un sccrnd<.1Je qui doit cesser. Ies solutions existent"'. France, ton écolef. .. le campet si on laisse faire on te prépare de belleso:énérationsd'iqnorants

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Lemeco111entemente1l'elfervHCenee constatés depuis dH mois dan• noa citff nepouvaientp.\l nepa1semani· lester éQalement.ll l'Ofliceà P•Opos duvotedubud9etl9Sl Lesrepréseotant .. d11Con11eilMunici· pal1'ysontencore1,1 nefoi1comport6s enreprésentantsauthentlquesetléqi· limes des locataires donl ils ont ~~:"les diflicultfl et ln revendi<:ll·

Mais les locataires eus-mêmes (mem­bres des cellules du P.C. F. ou des AssociationsdeLoca teiresav~ leuu repubentant1) ont manl fest6 devant !'OfficeetdenslasallemêmeduCon· seil d 'Administra tion , a.pr•• la vote du budqet p.u le ma jorit<!duConseil qu ivien t d'ê tre renfo rc 4oe parladési· qnation (p.o. r le Préfet) de Monsieur TRUCY, Ad joint eu Maire U.D.F. de TOULON, comme nouvel ad ministre· leu r.

C'est d'abord çontreceUe nomina· lion que les Elus municipaux, ainsi que les locatairesontp•olesté. Monsieur SPRECHER, Adjoint au M,,ire,devailnotammenldéclarer: ""Depuis 1918, le gouverneme nt impœe Io doimunlclpollso11on des Ollices H,L,M. ., , Alors que donl notre Office" posentdes probl• mes ci lgusde ges· lion . olon que lo silucilion ~icile de l'ensemble d es locatciir"" doigrode, lowule roiponse que le Préfet nouscipporte. ci u lie u d 'être odministrcitive et b udgoitolre, es! politique.elle ossure une mojorité pFui:"ë"onfortoble ouxportisans dH orientotiollll gouv .. ne mentcil" e n matière de H.L.M."

t'0 1e ... ~

A PROPOS DU BUDGET

Monsieur SCAG L!A, Administre teur délégué ,représen1ant duPr" l"lpro· posa it 10% d'euqmentation des loye rsaulerlanvierl98le15%en Ju illet Les Elus Munic ipau~ a!lirrÎlaient une !oisencore"'leur oppos!l!onde prln· cipeàl'augmenlaliondes loyer1~.

""Ladiscuss ion 1ur!es articlH du budgetlutcounoise"•ditMonsieu r NICOLA, le Président. Oui, maiaelle

quenou1soyon1informé1dequoique ce soit et, chose plusqrave, c'est à Monsieur le D<lputé U.D. F. PAECHT quele dosste ra é téconlié,c'esl lui qui, à PARIS, au Mini•"••, a plaidé

- cedouier ... (Ondevraltplut6tkrire enterré le dossier. Mai1là, paspoai· blede laire uneopérationdefaçade. Comme pour la navale N.D. L.R.) '1.er&sultat estnoiga ti l.iln'cirie n

obtenu. Avoit ·on be50in del'oppui duDtiputoi de drolte qulovoté loloi sur le conve ntionne m e nt pour dé !e ndre ce projetdontle seul objectlf étaltd 'a SBure rune restou · rationlndlspenlâlil~

',;.',:,~:C:HEll, le> •djoonl •u Mo.ne ••O< '" c8nVe nhOhhim1 nt . En tout cos, ~·- /c'e~nt de Mons le ur lut rude. Et la ma jorité, qui finale· ment 1eluuit de reporter le vote du budqet àquinzaine,interdiu ntainsi tou1• possibilité de réd uction de$ dépenses, vota it,avec8voixlebud·

PAECHT et c 'est un an de perdu pour les lrovaux indi1pen1ob!u donScH deuxcitfl ," A PROPOS DE::> CHARGES ET DU CHAUFFAGE

qet l98letl'auqmentah~ Lesrepré111ntants municipauxont En pri11nce des loca tan4' qui réalli rmé: ~Il faut per1évoire r don• avai.,nt "nvahi la salle, Monsieu r lavoie lrcicéeenl980pourunme!l· SPREC HER devait alors dire : ~Tout le ur contrôle dH chorgH el con · service ~ial est mkessairement trOii"ërintre tLe n. Lo commission d Rlicitoire . Pour maintenir l'institu· dinshtuee ô cet effet 1ur notre tion d u logement sociaL il faut de monde. semble a voi r déjà per-

~na~e:.::u~:.: n~~;r:é~~~~il:;;; ~~·v::·::~~:;~:C::::~;.o~gn~'es ~! de mam:e~es loyer1 Cl à ve nir, mai& dès 1981 li possible.

ê:~:~:~~.~~eun~ de voter ce budgflt ~=r~~::v~~;i~~o:;~~~~~f~;~ onrun~intdevuede~e$honnaires ou lue! en chouUogeciu 9 01 natu-ll1 1'enhennentàl'apphcahonstncte rel. Une é tude que nous a vo ns d4' textes. Nous, nous leur proposons demandee à E.D.r .. G .D.F. montre d'avoi r avec nou• une a ttitude .de qu'onpe uta ttei ndre des réductions luHepourchangerlarég!emenlahon dechcirgHdechouUage de~ actuelle. Monsieur SCAGLIA tenta ~%. Nous vous propogons alorsdedonnerdesindicationstech de demonde r Q E.D.F. -G.D.F. de niquessurlebudqetmaisnepute<>n· procoiderdans les mellleursdêlals

;;!ndc::t );~s;:~~:·e~~~;:,a~: ~~:~~· ~i:e,:~u~:g:!':1~ ~:~ei~,fu~r;: qué lu •ituations dramatiquu.que tîons de chauffage colle ctif de l'onconnaît danslescit<\s d ulait du ]'Office". ch6maqe, de la vie ché re , de la Cettfl propotition juqéeintéressa n1 e, ba isse générale du mv.eau.dev1e. fü estd'oresetdé jàin.cri teàl'ordre du ontaffirméqu'i!s ne pa1era1entpasles jour d u proi:: hain conseil d'adminis· augmentMions tration. Serions.nous dans l'impasse? Dans ce cas , les p ropositions des re prése n LUTTONS ENSEMBLE 1ant• du Conlei l Municipal restent vala bles ...

1° · A proposdu dossierderestaura· Hon de la Rou ve et de St- Antoine, nousavionsfaitlaproposition,ilya unan,devant!e Prélet,detenter d'ob1enirde•créd1tshorSconvention neme ntpources deuxci1és. Les dot· 11e1sontetéétablisparl'O fliceetpar IH Services de l'Equipemenl, sans

Li lu ttepourlad<ile nse du logement socialsereencore lonqueet dil!icile S11.nsdoute. Elle doit • tremen"econ. joinlement par ln locataire• et les ElusMunicipau~,aveccalmeet réso· lu.lion. La campaqne enqaqée aujou rd'huidans!eacitft doi1empor· terl'adh4'1ionde1ou1. E!leabouti1aà denouveauxrecu!sdespartiu.nsde l'austérité.

Monsieur le Maire, N.D.L.R. e t à Mr. Jaubert adjoint à dans de précé d en tu La rédaction de "VIVRE A \"environnement. revues, !a permanence

Avec l'excellente revue LASEYNE"avalldéjà réflé· Maurice BLANC. Maire de qu'anime Monsieur FOS· "Vivre à La Seyne" ce sont chi sur dillérents thèmH de ·Lo SEYNE. a eu l'occasion SET. conc!liateur , oinsl

~~~~~~~~~~!~ developper tout ce qu1 se liendra une grande pari A noter aussi que le travall reguherement sur ce type lait à l'échelon municipal dans cetteétude. de cette paysagiste portera derenseignements. et associatif en faveur de sur \"amênagement d'espa· "'"""--,...,,-----! la solidarité Populaire, à . . ces verts à l'entrée de la Monsieur LeMaire, La Seyne. Monsieur le Maire, ville . . comme le propose J'ai lu avec intérét le bullel!n

~ancdon1!Üts ca~~~r:;he:~ Le ven t violent qui souffle Monsieur SPENNATO. f'a~nil~=~· ce journal trft

mi sère, le chôm,aqe sur la réqion nous a obli· . !rèsbien. con•lruit,_cLiir, les

~:i~~~rl,euJe c~~f;~~r~: ~:: r:i!~~: d~o~~~:·it:~~; ~a~~~~e~~- teo;~:t, Conci- ~~l~;~;~~~.~~~l,~';:l~s~:i~: ~:':i~~~:: . répond immé- ~=~:t_a~:: f:i cs:u!ro;; Mo~sieur le Maire ::o~~:,~~~:~':n!;;·~dn'io:r~ Je voudrais rappeler briè- no\re 1mmeub!e. Mamlenant ~ue le Journal nal qui me •ensei9ne su• les vement la collaboration La suppreasion de ces "Vivre" attemt une diffu. activit<\s de ma ci!<\, de mon efficace entre la munici - a rbres a libéré un espace sion et une périodicité qua rtier. Pour nous qui som· pa.lité de La Seyne et le qu'il convient de réamé- import~nte, je pense que, mes des habitan ts de la ZUP, Secour$ Populaire Il naqer. . dans l'mtérêt de tous les ceiourMlrep•.11senteunlien l'occasion du convoi de la C'est pourquo~ nous solli· seyno1~, il soit porié à leur entre les. Myno1t solidarité vers les sinistrés ci!ons votre m!ervention conna1$$11nCe, dons cha· Sugqeshon1: on pou~rait d'Italie du Sud auprès du Hrvice "Espa· que numéro l'existence, é ins<\rerdatesdesinscnphons

~m~~Cd!Sl~n So~id5arii;i~; â~ ~:r:!·~~~~ ~~tde:;i:: ~~i~;:~~ei:!li~Îa~;~,n ;u~n; ~:\:7!~~~1

d~e:ac::~:~ces de l'année Intem;:itionale cernent par des laurie r$ hent une permanence tous Madame Chauvin . Messl· des H endic;:i pés, le roses" et d~ll;~ mîm011as lesmardisde16hàl8h . dor. Secours Populaire du Var, type Japonais , Je vous rappe_ll.e que le N.D.L.R., dont le Comité de La En eUet, un espace lleun r~le du C~nciliateur es! _ début des inscript ions Seyne, se fixe un objec tif aurait pour but de rendre dessayer d_apporter une dans les colonies à part ir ambitieux non seulement notre envi· solution amiable dans les du 4 mai (voir prochain _ Offrir un véhicule de ronnement plus agréable contestations privées: "Vi vre"dumoîs d'AVRIL)

transpori d'handicapés mais aussi de donner à I~ recouvrement de cré.a~· - calendri• r vacances ICO· aux sinistrés d'Italie du place des Esplageoles qui ces, affaire de loye r, dilli· laîres : Sud. se trouve é l'entrOO de la cultes de voisinage, con- Vacances de printemps:

En elle!, parmi !es victi · ville un a bo rd plus !lits familiaux, problèmes $8medi .28 ma r~ apr?• classe mes du séisme leshandi· accueillantetréhausserait decopropriélés,etc. aulund113avnlma1111 capés sont vraiment ceux ainsi l'image de marque C'est .pour les Seyno~ Petites vacances

t~1:~~;~:~:~: ~~~:~Ire un ~: n:~vrl~~t. que notre ~~~::~o~ e~v+t~b:~:ro~~ !;rt~i;;:::·e~ r..:~i !~ t~~~ d:~~~(~~)ment de la soli - ~~::i::~\:n~~~~n:~~s ':~!~ fr~i~e ri::o$;:::i~.serl'tn~~~ ~::~ ~. , ~ a. can ces:

prions de croire Monsieur vention du Conciliateur Samedi 11 l~ 1 llet aP••s Veuil!~z aq~éer. Monsieur le Maire, à l'ex~ression de étant bénévole. . ~lasse :u mardi 22 septem-

:~u~a~~~;e lc::~~:~t~o:.e ~uo:u/entim;~t;PE~~~~ ~:ue.::r:t ~u~;t~=~:;n~~ 1-" _••_'"_· ----,::::;' JO SEGHI Re&ponsable de place qui lui convient.

Secrétaire Général l'immeuble des Douanes Veuillez aqréer, Monsieur de la Fédération NDLR le Maire, l'expression de

~:~~i~~:i::a~ ~:l~cFJ!r!:;~~~r:::~~ ~~~~E::::,::::~:o:: ..

22 ~,~;:;z:~~~~~~~~~~~~ ~~ NOUVEAU : ~::;~~;,,r:~~u'd ! 1"c~:~~~· ~~

~© DES PERMANENCES DU MAIRE ::~;::,::' ~:.::,::: ;:::~~ ;; DANS LA Z.U.P. DE BERTHE ~;~L~::,~~;;;,;:;\;;·00 •

Le Maire, Maurice Blanc, reçoit tous les mardis matin. ou sur rendez-vous. à l'Hôtel de Ville. L'afflux importon! de personnes le mardi matin. contraint certains seynois à attendre plusieurs heures leur !ourde passage.

AlinderemédierC.cellegêneoccasionnéeC.sesadministrés,Mau­riceBlancaprisladécisiond'ossurerdespermanencesdonslesquar­tiers, essentiellement la Z.U.P. qui connaît une forte densité d 'habl­lants. D'autre part. une permcmence du maire dans les quarliers sud es!l:il'étude.

MAURICE BLANC SE TIENDRA A LA DISPOSITION DES SEYNOIS. AU FOYER ETIENNE-PEYRE (Z.U.P. DE BERTHE) LES JEUDIS SET 19 MARS ET2 AVRIL DE 10HA12 H.

Tontqu' il yaeude• .. nqin• mécaniqué•de travauxpublics, les gensdéver .. ientlimidement leuroqravatsetdélritu• Vou•avezfailplanterunpan· n""u"Délen.., dè ... "for1peu respecléetdontle•Seynoisse moquent. Maintenantletas qu iauqmente

:!?1~~~·:;~~~~ 16~1d:~1.·d~;~~; larnute,cequideviendraalor> un danger. Ce tournant n'étant d~jiipa• •i ladle

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i:~~~t ~,~~n;;!~:~!=i~~! ~:~t~!~p~r~:;,;::1evd~~~ ;z~:r~f::!r~v~:~z.us en ~:::~·j~~:~~:;~1:,:~ .. ~::~~~ la base d un devis pro- ava~tage certa1~ pour les Je vous prie de bien vou- MonsieurdeMa;,e. je vou•pr ie gramme type. La ville de habit<ints de "l'aue toulon- loir <1gréer, Monsieur le 1·a .. u,ance de ma e<>ns.idéra­La Seynes/mer que vous naise" qui, s'<ippuyanl sur Maire, l'assuranè'"e de mes tion administrez à l<i salisfac- des considérations hygié- sentiments républicains. N.D.L.R.: tion quasi unanime des niques sont volontaires A FRANCHITO EHeclivement. ce ""cteu_r des

fuito~~r~:~ d~! s~;o~~is~~ ~~~~e m;:: ~~nhs:~~:;~~: Quai. ~;~~DCTho~:~ ~~~t·~1~~~!~~1ie~~~~~~r~~

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L..s lentes chutes de pluieetlesven1s donn• nt unbon!empspourles jar· dins. Aussi, vous n'avei •ucune excuse pour ••meure le béchage et !'a rrachage des mauvai · ses her~sà plus 1ud. Donc ne vous dites pas "'Aujourd'hui, peut·ilre , ou alors demain" ..

Vousdevetarracherel •nlerrer les mauvaises her~s.arran9er!es bor· dures, couper ce qui dipasseet en9raisserle ~I

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