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aCCES CaNaDa Le meilleur canal pour réussir son immigration
News
…………….440, 73 F CFA
…….....……0, 67 Euro
……….7, 58 Dirhams (Maroc)
…………1,26 Dinar (Tunisie)
……….........0,94 Dollar américain
(USA)
………....…2,78 Lei roumain
Conversion du dollar canadienCe tableau permet d’effectuer la conversion
du dollar canadien en certaines devises inter-
nationales en fonction du taux de change sur
le marché. Ainsi, à la date du 25 janvier 2010 :
EDITORIAL
le Canada, une destination privilégiée pour son éducation
Le Bulletin d’’information et d’analyses au service de l’immigration au Canada 12ème parution
P. 2 EDITORIAL
pRolongation dEs dépaRts à la REtRaitE
une autre solution contre la grande pénurie de mains-d’œuvre au Québec
1 dollar canadien valait :
REConnaissanCE dEs titREs dE CompétEnCEsdEs nouvEaux aRRivants au Canada
moins d’un an de procédure désor-mais pour obtenir une accréditation
Emploi
le secteur infor-matique en pleineexpansion auQuébec
pénurie de mains-d’oeuvre dans la
ville de Québec
immigRation Et dévEloppEmEnt
Comment les immigrants afri-cains participent au développe-
ment de leur pays d’origine.
EConomiE loCalE
de nouvelles mesures pour attirerdes investissements au manitoba
dévEloppEmEnt à la basE
la communautéfrancophone de
la Colombie-britannique aucœur des jeuxd’hiver 2010
P. 14
P. 6
P. 5
P. 4
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P. 10
Canada
Economie, les nouvellessont bonnes pour 2010 Le rapport de la Banque Scotia a été largement explicite sur les perspec-
tives économiques Canadiennes au cours de cette année 2010 : les nou-
velles sont bonnes.
P. 6
(Des salaires au-dessus
de la moyenne)
Acces cANADA News
12ème parution 2
Le Canada accorde une grande importance à l'instruc-tion et a développé un système d'éducation de qua-lité supérieure ayant des normes élevées.
Aujourd’hui, le Canada s’impose internationalement par laqualité de son enseignement. Cela constitue donc l’une des raisons pour lesquelles lesimmigrants font du Canada un choix de prédilection. En effet, tous les ans, des étudiants de toutes les contréesdu monde viennent poursuivre leurs études au Canada. Lepays accueille chaque année, près de 140 000 étudiantsétrangers.
Il y a de nombreuses raisons qui expliquent le choix duCanada comme destination privilégiée pour les études. Tout d’abord, l’éducation au Canada offre une grandevariété de programmes. Il y a plus de 10 000 pro-grammes de premier cycle et de cycles supérieurs, ainsique des programmes d’études professionnelles dans denombreuses universités à travers le pays.
Les études au Canada sont concurrentielles également dupoint de vue des coûts. De plus, chaque université offredes bourses d’études et des subventions variées.
Selon une étude publiée en 2003 par l’Association desUniversités du Commonwealth, le Canada avait les droitsde scolarité les plus bas pour les étudiants étrangerscomparativement à ceux du Royaume-uni, del’australie et de la nouvelle-Zélande. De plus, aux Etats-Unis, les droits de scolarité pour les études de 1er cycledans les universités publiques étaient d’environ un tiersplus élevé que ceux du Canada. Pour les universités pri-vées, ils s’élevaient à plus du double.
De plus, l’enseignement canadien se démarque aussi parla valeur des diplômes décernés, qui sont mondialementreconnus. En effet, les universités canadiennes ont desnormes d’excellence élevées qui les maintiennent constam-ment parmi les meilleurs dans les classements internatio-naux.
C’est donc sans surprise qu’au dernier classement interna-tional des meilleures universités recensées dans toutel’Amérique du Nord, seize universités canadiennes y figu-rent en bonne place. La plupart de ces universités offrenon seulement plusieurs choix mais aussi, d’excellents ser-vices de soutien aux étudiants étrangers pour les aider às’adapter à leur nouvel environnement. Le système éducatif canadien est également reconnu par
la qualité de ses enseignants.
Lors du Forum mondial des enseignants innovants au Brésilqui s’est tenu en novembre dernier, sur les 250 enseignantsvenus de partout dans le monde, quinze canadiens ont étéqualifiés d'enseignants innovants pour leurs efforts enmatière d’intégration des technologies en milieu scolairevisant à préparer les étudiants au marché du travail et unecarrière axée sur l’apprentissage continu.
Jacinthe Robichaud, directrice de Partenaires d’apprentis-sage à Microsoft Canada, explique l’important rôle quejouent ces enseignants dans la notoriété de l’éducationdans le pays : « les enseignants innovants font unusage créatif et efficace des technologies dans leurenseignement en vue d’améliorer le processus d’ap-prentissage des étudiants ».
A travers une étude récente sur l’éducation, ConferenceBoard a comparé les performances nationales du Canadaavec celles de 16 autres pays industrialisés du monde. Il aété décernée au Canada la note A pour sa performanceen matière d’éducation et de compétences.
Brenda Lafleur a dirigé cette étude de Conference Boardintitulée How Canada Performs ? (Où se classe le Canada ?).Elle reconnaît les forces exceptionnelles du système éduca-tif du pays. « la force du Canada réside dans sa capa-cité à offrir un enseignement de grande qualité »,explique-t-elle.
Ainsi, tout immigrant qui décide de s’installer au Canadaavec ses enfants, ne devrait pas avoir de souci pour la sco-larisation ou la poursuite des études de ces derniers. Deplus, il leur offre non seulement la possibilité d’une réussitescolaire mais aussi professionnelle et sociale.
Comme le mentionne le Conference Board dans son étude :« la population canadienne en âge de travailler est deplus en plus instruite ».
La formation de qualité dont ils vont bénéficier va permet-tre d’accroître leurs chances sur le marché de l’emploicanadien. Par conséquent, c’est un atout de pouvoir s’ins-truire au Canada.
La qualité supérieure de ce système éducatif vient renfor-cer le choix de tout immigrant vers le Canada comme des-tination de prédilection.
EditorialEditorial
le Canada, une destination privilégiée pour son éducation
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12ème parution 3
CANADA
perspectives économiques,les nouvelles sont bonnes
pour 2010 (Une économie de plus en plus vigoureuse dans la
plupart des provinces)
Le rapport de la Banque Scotia a été largement expli-
cite sur les perspectives économiques Canadiennes au
cours de cette année 2010 : les nouvelles sont
bonnes.
Selon ce rapport, le Canada, après avoir échappéde la récession économique mondiale au troisièmetrimestre 2009, devra surmonter certains obstaclessur le plan du commerce et sur celui de la concur-rence afin de donner plus de vigueur à la crois-sance. Ce défi sera relevé.
Ces remarques d’Alex Koutas, économiste à laditebanque, rassurent : « Que le Canada ait pu se tirerrapidement de la dépression, qui a frappé lemonde entier, témoigne de la relative bonne santéde nos bilans et de la stabilité de notre systèmefinancier ». Il confie, par ailleurs, que : « Le dollarcanadien restera fort, et les producteurs de produitsde base profiteront d’une reprise sur les marchésmondiaux ».
Plusieurs provinces devront enregistrer des reprisesau cours de cette nouvelle année.
la Colombie-britannique connaîtra une repriseavec une croissance de son Produit Intérieur Brut(PIB) de 3% qui sera due à l’augmentation de lavaleur des ressources, la reprise des activités dansle domaine des transports et les jeux olympiquesd’hiver.
En alberta, il est prévu une augmentation du PIB de2,9% due à la hausse des prix des produits debase, la reprise de la construction non résidentielleet d’importants investissements dans le domaine desinfrastructures.
la saskatchewan devrait afficher une croissancede son PIB de 2,8% en 2010 grâce à la migrationinterprovinciale, la reprise dans le secteur des res-sources et des investissements dans les infrastruc-
tures.
le manitoba sera renforcé dans sa croissance éco-nomique à travers le développement des serviceshydro-électriques, les investissements et la prépon-dérance de ses activités dans le secteur de la fabri-cation. Son PIB devrait s’accroître de 2,6%.
l’ontario, dont la reprise est soutenue par le sec-teur de l’automobile. Ce secteur est renforcé par laforte croissance du secteur des services. En 2010, lacroissance économique ontarienne devrait atteindre2,7%.
le Québec continuera de résister aux effets néga-tifs de la crise. En 2010, il est prévu que lesdépenses dans le secteur des infrastructurespubliques stimuleront l’activité économique de laprovince. La province devrait afficher une croissancede 2,2 % en 2010.
Dans le Canada atlantique, l’économie de la pro-vince de Terre-Neuve-et-Labrador connaîtra unecroissance de son PIB de 2,9% en 2010, de 1,9%dans la province de l’Île-du Prince-Edouard, de 2,2% en Nouvelle-Ecosse et de 2,1% au Nouveau-Brunswick
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
l’économie canadienneEn brève…
Economie canadienne,
déjà la relance. Selon les prévisions de la Banque
Nationale du Canada, de bonnes perspec-
tives économiques sont envisagées dans
le pays en 2010. Des données issues de
ses rapports montrent que la reprise éco-
nomique est déjà en marche, grâce à la
vigueur du secteur du logement et l’inves-
tissement des entreprises.
Cette relance de l’économie canadienne
sera également due à la stabilisation du
marché du travail.
En attendant, les ménages possèdent déjà
une grande marge de manœuvre. La
Banque Nationale du Canada explique cela
par « le taux d’épargne accru et un bilan
financier beaucoup moins ébranlé par une
déflation immobilière nettement plus limitée
que celle des Etats-Unis ».
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12ème parution 4
Canada
le secteur immobilier augurede bons signes en début
d’année 2010
Les six premiers mois de l’année 2010 s’an-noncent prometteurs dans le secteur de l’im-
mobilier au Canada. Une étude de l’agenceimmobilière Royal LePage rassure à ce sujet.
Selon cette étude, le marché de l’immobilierrésidentiel devrait rester solide au cours dupremier semestre de l’année 2010 avec debas taux d’intérêts, qui vont faire croître lademande.
pRolongation dEs dépaRts à la REtRaitE
une autre solution contre lagrande pénurie
de mains-d’œuvre au Québec
Cela demeure un grand souci aujourd’huipour le gouvernement du Québec : les
départs à la retraite réduisent la populationactive de la province alors même qu’une vastepénurie de mains-d’œuvre est annoncée.
Selon une étude menée par le CentreInternationale de Recherche en Analyse desOrganisations (CIRANO) dont le thème s’intitule« la longévité : une richesse », il y a plus de700 000 emplois que le Québec devrait com-bler d’ici 2012.
D’après cette même étude du CIRANO, leQuébec serait confronté à « un choc démogra-phique majeur » et le vieillissement de lapopulation québécoise pourrait « compromet-tre la pérennité des programme de santé, deservices sociaux et de sécurité du revenu ».
C’est pourquoi, pour pallier ce problème, l’éco-nomiste Claude Castonguay propose de per-mettre « à chaque personne de travailler pluslongtemps si elle est capable et en éprouvel’envie ».
Il évoque le concept de « vieillissement actif »,car pour lui « le vieillissement de la popula-tion constitue une opportunité de création derichesse collective ». D’après son analyse, leQuébec améliorerait ainsi son PIB et éviteraitdes déficits structurels liés au vieillissement dela population.
Ceci est donc la preuve que la porte duQuébec demeure toujours ouverte à la main-d’œuvre immigrante. Car elle pourra égalementrenforcer une population active en diminution àcause de ces départs à la retraite.
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
Le Québec a besoin de mains-d’oeuvre pour faire tourner son économie
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12ème parution 5
Société…
immigRation Et dévEloppEmEnt
Comment les immigrants afri-cains participent au dévelop-
pement de leur pays d’origine.
Les immigrants africains participent à leurmanière au développement économique et
social de leur pays d’origine par un importantvolume de transfert de fonds qu’ils effectuenten direction de leur pays.
A l’occasion d’un forum sur les transferts defonds organisé à Tunis par l’International Fundfor Agricultural Development (IFAD), un rapportpublié en octobre 2009 annonce que l’Afriquereçoit des sommes considérables de la partdes immigrants partis travailler sur d’autres
continents.
Selon ce rapport, les immigrants africainsenvoient 40 milliards de dollars (26,7 milliardsd’euros) à leurs proches chaque année.
Depuis des années, le Canada fait partie dessix premiers pays au monde dont les immi-grants demeurent de véritables ’’bailleurs defonds’’ pour leurs pays d’origine.
Le rapport de l’IFAD précise que l’essentiel del’argent des transferts de fonds sert à faireface à des dépenses de premières nécessités(nourriture, logement, santé ou éducation) etsert aussi à financer des projets communau-taires comme les forages de puits dans les vil-lages.
dERniER CommuniQué dE l’EnQuêtE suR la population aCtivE du 08 janviER 2010l’emploi demeure toujours en hausse
L’emploi n’a pas changé en décembre dernier,après sa hausse observée en novembre 2009au Canada.
Dans les secteurs de soins de santé et d’assis-tance sociale, de même que les services profes-sionnels, scientifiques et techniques, l’emploi aprogressé.
Le taux de chômage national est désormais à 8,5%.
Vous trouverez ci-dessous, les taux de chômagede toutes les provinces du Canada. Ils provien-nent du dernier communiqué de l’Enquête surla Population Active, (EPA) paru le 08 janvier2010, pour la période de novembre à décem-bre 2009.
Alberta………….......................................................................…… de 7,4 % à 6,7 %
Saskatchewan……..................................................................…….. de 5,2% à 4,8%
Manitoba ………….......................................................................... 5,3 % à 5,6 %
Colombie- Britannique..................................................................... 8,3 % à 8,4%
Ontario………....…......................................................................…. de 9,3% à 9,3 %
Québec…........................................................................................... 8,1% à 8,4 %
Nouvelle-Ecosse…............................................................................. de 9,5% à 9,6 %
Nouveau Brunswick…...................................................................... de 8,8% à 8,9%
Ile-du-Prince-Edouard…................................................................. de 11,7% à 10,7 %
Terre-Neuve- et Labrador .............................................................. de 15,9% à 15,7 %
Provinces canadiennes Les taux de chômage /mois novembre à décembre 2009
Nouvelles du CanadaNouvelles du Canada
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12ème parution 6
Emploi
le secteur informatique en pleine expansion au Québec (Des salaires au-dessus de la moyenne)
D’après un article paru dans la revue ‘’ Lescarrières d’avenir 2009 ‘’, le secteur de
l’informatique et logiciels a du mal à comblerdes postes vacants, tant la pénurie est mani-feste.
Jean-François Dumas est le Directeur desProjets, Ressources Humaines pourTechnoCompétence, le comité sectoriel demain-d’œuvre des technologies de l’informa-tion et des communications. Son témoignageest sans équivoque : « Le domaine va très bien», confie-t-il.
En dehors des entreprises spécialisées dans lesservices informatiques, il faut noter que denombreuses structures n’oeuvrant pas dans cedomaine recherchent fréquemment de nou-veaux employés qualifiés. Il s’agit par exem-ple des banques, sociétés d’Etat, manufactu-riers…
Au Québec, il y a environ 5 250 entreprisesactives dans le secteur de l’informatique qui sespécialisent dans la conception et le dévelop-pement de systèmes informatiques, le service-conseil, le soutien technique et la gestion d’in-frastructures et de réseaux.
Le secteur des logiciels, quant à lui, compte auQuébec environ 217 entreprises oeuvrantdans des domaines de spécialisation très pro-metteurs comme les applications financières etmanufacturières, le dessin 3D et la sécuritéinformatique.
D’ici 2011, selon Jean-françois Dumas, environ33 000 postes seront à pourvoir. Il ajoute que« Le programme de baccalauréat en informa-tique de gestion, offert dans de nombreuses
universités, est particulièrement apprécié parles employeurs ».
L es nouvelles duL es nouvelles du QuébecQuébec
Des salaires au dessus de la moyenne
Dans ce secteur, les salaires sont générale-ment supérieurs à la moyenne. S’il est possi-ble de trouver un emploi pratiquement par-tout dans la province, il reste que les profes-sionnels du domaine se concentrent surtoutdans les centres urbains comme Montréal,Québec et l’Outaouais.
Selon le guide salarial Robert Half 2006, leséchelles de salaires annuels (qui aujourd’huisont encore plus améliorées) dans ledomaine de l’emploi en informatique sontainsi présentées :
gestionnaire des services informatiques :entre 84 000 et 176 000 dollars canadiens. développeurs et analystes de bases dedonnées : entre 55 600 et 103 000 dollarscanadiens. spécialistes, architectes, administrateursréseaux : entre 46. 500 et 92 500 dollarscanadiens.
développement de logiciel : entre 49. 000et 106. 000 dollars canadiens.
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12ème parution 7
maRChé du tRavail
l’industrie informatique et la pénurie de main-d’œuvre à Québec
Les entreprises du secteur de l’informatiquedans la ville de Québec vivent aujourd’hui
dans une grande pénurie de main-d’œuvre.
Ces entreprises sont en véritable expansion àQuébec et elles ne parviennent plus à pourvoir
leurs postes. Annie Belisle, Directrice des res-sources humaines chez la firme de consultantsDMR confirme ce constat : « Depuis la fin del’été, on a embauché environ une cinquantained’employés et on est encore à la recherche, d’icile printemps prochain, d’une cinquantaine d’em-ployés ».
L’entreprise Korem, spécialisée en logiciel desolutions géospatiales, rencontre aussi cesmêmes problèmes de recrutement.
Cette croissance exceptionnelle de l’industrieinformatique à Québec, pousse aujourd’hui lesemployeurs à solliciter les diplômés de partoutdans la province du Québec et même de l’étran-ger.
Cela a permis à la ville de Québec de mieuxsurmonter la récession à cause des emplois sta-bles générés par le secteur d’activité. C’estpourquoi le maire de Québec, Régis Labeaume,souhaite que les technologies prennent de plusen plus de place dans l’économie de la ville.
L es nouvelles duL es nouvelles du QuébecQuébec
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12ème parution 8
EConomiE pRovinCialE
importante hausse des exporta-tions de l’alberta en 2010
D’après les prévisions faites sur les expor-tations provinciales en début d’année par
l’organisme de crédit à l’exportationExportation et développement Canada (EDC) :« Les exportations de l’Alberta devraientaugmenter de 8% en 2010 ».
Ces exportations sont surtout dominées parles secteurs de l’énergie et des biens indus-triels. Le secteur de l’énergie représente 74%de toutes les exportations de la province tan-dis que celui des biens industriels, représente10,6% des exportations de l’Alberta.
Il faut rappeler que EDC, société financière-ment autonome, est un chef de file reconnudans l’établissement de rapports financiers etl’analyse économique. Elle figure parmi les100 meilleurs employeurs du Canada pour laneuvième année consécutive.
EConomiE
le marché du travail se redresse en alberta
Le dernier rapport de l’Enquête sur laPopulation Active (EPA), paru le 04 décem-
bre dernier, rassure sur la bonne santé qu’af-fiche le marché du travail de l’Alberta.
L’emploi a augmenté de 13 000 en novembre2009, soit l’augmentation mensuelle la plusélevée dans la province depuis octobre 2008.Le taux de chômage a baissé d’un dixièmepour se fixer à 7,4%.
Comme pour l’Alberta, plusieurs autres pro-vinces canadiennes connaissent ce redresse-ment du marché de travail. En novembre der-nier, selon Statistique Canada, le pays aconnu une création généralisée d’emploi qui adépassée les attentes. Les économistestablaient sur une hausse moyenne de 15 000emplois alors qu’il y a eu 79 100 créationsnettes d’emploi dans tout le Canada.
sECtEuR dEs sablEs bituminEux En albERta
de nouveaux emplois en vue à partir de 2010
Apartir de 2010, l’économie de l’Albertareprendra de la vigueur. Le secteur des
sables bitumineux jouera un rôle très impor-tant.
Ressources Humaines et Développement descompétences Canada (RHDCC), Citoyennetéet Immigration Canada (CIC) et AlbertaLearning reconnaissent que l’industrie dessables bitumineux est un moteur économiquede base en Alberta et au Canada. C’est dans ce sens que ces trois structures ontconclu un protocole d’entente visant à « aiderles employeurs du secteur des hydrocarburesà répondre aux exigences pouvant s’appli-quer à l’égard des travailleurs étrangers tem-poraires qui exercent les métiers de construc-tion dans le cadre des projets d’exploitationdes sables bitumineux de l’Alberta à FortMcMurray ».
En 2010, l’industrie des sables bitumineuxpourrait fournir la moitié de la productiontotale de pétrole brut au Canada.Actuellement, cette industrie offres desemplois directs et indirects à 33 000 per-sonnes.
L es nouvelles de l’ L es nouvelles de l’ AlbertaAlberta
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12ème parution 9
intégRation pRovinCialE
la saskatchewan simplifie l’immigration des entrepreneurs.
En Saskatchewan, les autorités gouverne-mentales entendent simplifier l’immigration
des entrepreneurs. Au cours de l’année finan-cière 2010-2011, la province compte dési-gner près de 250 entrepreneurs et gestion-naires par l’intermédiaire du ‘’Programme descandidats à l’immigration de la Saskatchewan(PCIS) ‘’, au cours de l’année financière 2010-2011.
Trois nouveaux volets de la catégorie desentrepreneurs du PCIS sont ainsi lancés pouratteindre cet objectif.
Le premier volet est intitulé ‘’grands investis-seurs‘’ et nécessite un investissement d’aumoins 10 millions de dollars.
Le second volet concerne le domaine de lascience et technologie. Ce volet a été conçupour les candidats ayant un brevet ou uneidée novatrice ou même pour ceux qui ontétabli un partenariat avec une entité en placedans le domaine de la science et de la tech-nologie.
Le dernier volet concerne les jeunes agricul-teurs de moins de 40 ans désirant s’établirdans une région rurale de la Saskatchewan.
La province à l’intention de procéder à l’exa-men de nouvelles demandes dans un délai desix mois.
21èmE édition du REndEZ-vous fRansaskois
mieux intégrer les immigrantsfrancophones
La communauté francophone de la province
de Saskatchewan s’est réunie en fin d’année2009, lors de la 21ème édition du Rendez-vous fransaskois, pour discuter de l’avenir deleur communauté.
Leur but est de mieux déterminer les réelsobjectifs à atteindre en vue d’enrichir le plande développement global 2010-2015 de lacommunauté francophone, qui devrait entreren vigueur à partir de cette année.
Michel Dubé, président de l’Assemblée com-munautaire fransaskois (ACF) explique que «l'objectif, c'est de vraiment donner la chanceaux gens d’exprimer des opinions, de voir despriorités et de faire l’état des choses par rap-port au nouveau plan de développement glo-bal ».
En somme, les participants visent une meilleureintégration des immigrants et la possibilitéd’étendre davantage le réseau d’éducationfrancophone en Saskatchewan.
Les nouvelles de la Les nouvelles de la SaskatchewanSaskatchewan
l’intégration des fransaskois seconcrétise de jour en jour
De plus en plus, en Saskatchewan, les com-munautés francophones s’intègrent à tra-vers de nombreuses réalisations d’ordresocial.
Il y a quelques semaines, le ministre desAffaires francophones a annoncé la créa-tion d’un centre de services gouvernemen-taux en français dans la province.
Le 24 mars prochain, il sera démarré pourtrois ans la construction d’une nouvelleécole secondaire de plusieurs organismesfransaskois et la rénovation de l’écoleMonseigneur de Laval et du Carrefour desplaines. L’inauguration du pavillon secon-daire Gustave Dubois à Saskatoon estaussi annoncée pour le bonheur des com-munautés francophones de la province.
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12ème parution 10
EConomiE loCalE
de nouvelles mesures pour attirerdes investissements au manitoba
Les gouvernements du Canada et du Manitobaont annoncé de nouvelles mesures afin d’attirer
des investissements et stimuler les échanges com-merciaux.
Un financement supplémentaire de 3,5 millions dedollars est débloqué pour aider au lancement età l’exploitation de CentrePort Canada. Il s’agitd’un port intérieur et d’une zone commercialepour faire du Manitoba, une plaque tournanteinternationale axée sur le transport, la fabrica-tion, la distribution et l’entreposage de marchan-dises.
de nombreux emplois seront créés dans laprovince à travers cette initiative.
Selon Stockwell Day, ministre du Commerce inter-national, ces nouvelles mesures renforceront laposition du Canada et du Manitoba comme l’undes meilleurs endroits au monde pour faire desaffaires tout en stimulant l’économie canadienneet en créant des emplois.
EConomiE
les exportations en hausse de 1% en 2010 au manitoba
Selon les prévisions de l’organisme de crédit àl'exportation du Canada, Exportation etDéveloppement Canada (EDC), les perspectiveséconomiques de la province du Manitoba serontbonnes en 2010.
EDC estime que les exportations de la provincedevraient augmenter de 1% en 2010. Les produits agroalimentaires, qui représentent37% des exportations du Manitoba, et les biensindustriels (25% des exportations) constituent lesdeux principaux secteurs d’exportation de laprovince.
fRanCophoniE
un programme pour revitaliser la langue française au manitoba
Les gouvernements du Canada et du Manitobas’entendent pour financer un programmedénommé ‘’ Programme de revitalisation du fran-çais langue seconde (PRFLS) ‘’.
Cette initiative vient donner un nouvel élan à l’en-seignement du français comme langue secondeau Manitoba.
Ce programme vise particulièrement des objectifscomme la promotion, l’amélioration de l’accès etle renforcement des programmes de français debase ; le renforcement des programmes d’im-mersion française ; l’augmentation des possibili-tés des apprenants d’utiliser leurs compétences enfrançais.
Les divisions scolaires, les écoles publiques et lesécoles indépendantes, de même que les orga-nismes à but non lucratif, qui sont intéressés parcette initiative, peuvent bénéficier de ce pro-gramme d'aide financière.
Un véritable renfort pour la langue françaisedans la province.
L es nouvelles du L es nouvelles du ManitobaManitoba
les communautés francophones et les services en français
Sainte-Anne, une ville située au sud-est deWinnipeg dispose d’un nouveau centre de servicesbilingues (en anglais et en français).
Ce centre, qui est le sixième du genre dans lamême ville, permettra, selon le premier ministremanitobain, Greg Selinger, d’améliorer l’accèsaux programmes gouvernementaux de la provinceen offrant un soutien aux communautés dans lesdeux langues. Il a déclaré : « Nous nous sommesengagés à accroître les services en langue fran-çaise dans cette région et dans la province engénéral ».
D’autres centres semblables seront encore aména-gés pour les prochains jours.
Acces cANADA News
12ème parution 11
EConomiE pRovinCialE
des projets pour accroître les pers-pectives économiques offertes par
les jeux d’hiver de 2010
Les autorités canadiennes comptent tirer degrands avantages des opportunités écono-
miques qu’offrent les jeux olympiques etparalympiques d’hiver de 2010 deVancouver.
Cinq importants projets ont été crées dans cesens pour accroître les perspectives écono-miques.
Tourism Alliance for Western Canada est l’unde ces projets. C’est un programme de com-mercialisation d’activités touristiques de l’en-semble de l’ouest.
En Colombie-Britannique, les activités consis-tent à concevoir et à diffuser des films vidéo ;des photos et des annonces publicitaires télé-visuelles, à mettre des contenus en ligne et àpréparer une documentation informative. Ellescomprennent également : une assistance logis-tique ; un matériel de promotion (imprimé etélectronique) ; un moteur de recherche, unebase de données et une commercialisationdirecte ; des programmes de marketing com-muns ; des missions commerciales.
Le ministre du commerce international,Stockwell Day, a déclaré : « Nous voulonsfaire connaître nos atouts commerciaux aumonde entier et attirer plus d’investissementset d’entreprises au Canada ».
dévEloppEmEnt à la basE
la communauté francophone dela Colombie-britannique au cœur
des jeux d’hiver 2010
La communauté francophone de laColombie-Britannique met les bouchées
doubles pour mieux profiter des retombéesdes Jeux Olympiques et Paralympiques d’hi-ver de 2010.
Elle a élaboré, depuis 2006, un plan d’actionpriorisant différentes initiatives dans le sec-teur des Arts et de la culture, de l’Education etla jeunesse et des Affaires et tourisme.
La Place de la francophonie en est une par-faite illustration. Ce quartier francophone estinstallé sur Grandville Island, en plein centre-ville de Vancouver. Il permettra aux nombreuxvisiteurs attendus d’explorer la richesse artis-tique, musicale et culturelle de la francophonieau Canada et de vivre surtout les jeux enfrançais.
Les nouvelles de la Les nouvelles de la Colombie-BritanniqueColombie-Britannique
un boom à l’économie de laColombie-britannique
Les jeux Olympiques et Paralympiques d’hi-ver 2010 qui auront lieu à Vancouver enfévrier prochain devront relancer l’écono-mie de la province. Ainsi, le Produit Intérieur
Brut (PIB) devrait connaître une hausse de4,2 % au cours de cette année.
Selon le Conference Board du Canada, «La Colombie-Britannique se retrouvera enhaut du podium canadien en termes decroissance économique en 2010 ».
La vigueur de l’économie de la provincesera non seulement due à la tenue des jeuxd’hiver 2010 de Vancouver mais aussi à lareprise de l’industrie de la construction et lerétablissement des secteurs forestier etmanufacturier.
Acces cANADA News
12ème parution 12
santé
un programme conçu pour les franco-ontariens ayant des problèmes cardiaques
Le programme Francoforme a été crée parl’Institut de cardiologie d’Ottawa pour venir
en aide aux franco-ontariens souffrant deproblèmes cardiaques. Il a permis aujourd’huià plusieurs centaines de franco-ontariensd’améliorer leur santé.
La directrice de ce programme, Michèle deMarguerie, affirme : « Ce qui est merveilleux,c’est qu’on voit de beaux résultats, une amé-lioration significative sur plusieurs de cespoints-là et en plus les gens sont tellement bien ».
Ce programme ambitionne rejoindre d’ici cinqans toutes les communautés francophones duCanada.
tRanspoRt En Commun à toRonto
bientôt un laissez-passer mensuelgratuit pour des usagers.
Les autorités de la ville de Toronto veulentdésormais contraindre les constructeurs
immobiliers, précisément de condominiums, àfournir gratuitement aux acheteurs un laissez-passer mensuel de transport en commundurant un an.
Cette résolution vise à inciter les nouveauxpropriétaires à prendre le métro, le tramway
ou l’autobus, plus tôt que leur voiture. Ce nouveau règlement municipal ne s’ap-plique pas aux condominiums déjà enconstruction. Les effets de cette mesure ne seferont donc pas sentir avant un ou deux ans.
immigRation Et intégRation au Canada
toronto, la ville des immigrants
Si l’Ontario est la province où les immigrantsaiment le plus s’installer au Canada, Torontodemeure la ville d’accueil par excellence.
En 2006, par exemple, environ la moitié desrésidents étaient nés en dehors du Canada et49% avaient une langue maternelle autre quele français et l’anglais. Toronto serait ainsi laville la plus multiculturelle du monde. Les nou-veaux arrivants francophones s’y adaptentbien car la ville devient de plus en plus fran-cophile.
L’humoriste et acteur Dieudonné, originaire dela République Démocratique du Congo, estarrivé à Toronto en 2006. Il révèle les secretsd’une intégration rapide dans la ville : «Quand on arrive dans un pays bilingue commele Canada, il est important de connaître lesdeux langues pour mieux s’intégrer. On n’apas le choix ».
Le gouvernement de l’Ontario, dans cecontexte d’immigration massive dans cetteprovince, favorise de plus en plus l’implanta-tion d’organismes sans but lucratif pour offriraux nouveaux arrivants une gamme variée deservices conçus sur mesure, et incluant, entreautres, des cours de langues.
santé
un programme conçu pour les franco-ontariens ayant des problèmes cardiaques
Le programme Francoforme a été crée parl’Institut de cardiologie d’Ottawa pour venir
en aide aux franco-ontariens souffrant deproblèmes cardiaques. Il a permis aujourd’huià plusieurs centaines de franco-ontariensd’améliorer leur santé.
La directrice de ce programme, Michèle deMarguerie, affirme : « Ce qui est merveilleux,c’est qu’on voit de beaux résultats, une amé-lioration significative sur plusieurs de cespoints-là et en plus les gens sont tellement bien ».
Ce programme ambitionne rejoindre d’ici cinqans toutes les communautés francophones duCanada.
tRanspoRt En Commun à toRonto
bientôt un laissez-passer mensuelgratuit pour des usagers.
Les autorités de la ville de Toronto veulentdésormais contraindre les constructeurs
immobiliers, précisément de condominiums, àfournir gratuitement aux acheteurs un laissez-passer mensuel de transport en commundurant un an.
Cette résolution vise à inciter les nouveauxpropriétaires à prendre le métro, le tramway
ou l’autobus, plus tôt que leur voiture. Ce nouveau règlement municipal ne s’ap-plique pas aux condominiums déjà enconstruction. Les effets de cette mesure ne seferont donc pas sentir avant un ou deux ans.
immigRation Et intégRation au Canada
toronto, la ville des immigrants
Si l’Ontario est la province où les immigrantsaiment le plus s’installer au Canada, Torontodemeure la ville d’accueil par excellence.
En 2006, par exemple, environ la moitié desrésidents étaient nés en dehors du Canada et49% avaient une langue maternelle autre quele français et l’anglais. Toronto serait ainsi laville la plus multiculturelle du monde. Les nou-veaux arrivants francophones s’y adaptentbien car la ville devient de plus en plus fran-cophile.
L’humoriste et acteur Dieudonné, originaire dela République Démocratique du Congo, estarrivé à Toronto en 2006. Il révèle les secretsd’une intégration rapide dans la ville : «Quand on arrive dans un pays bilingue commele Canada, il est important de connaître lesdeux langues pour mieux s’intégrer. On n’apas le choix ».
Le gouvernement de l’Ontario, dans cecontexte d’immigration massive dans cetteprovince, favorise de plus en plus l’implanta-tion d’organismes sans but lucratif pour offriraux nouveaux arrivants une gamme variée deservices conçus sur mesure, et incluant, entreautres, des cours de langues.
L es nouvelles de l’ L es nouvelles de l’ OntarioOntario
Acces cANADA News
12ème parution 13
Les nouvelles dans les
Autres Provinces CanadiennesCanada atlantiQuE
les salaires bientôt en hausse
L’annonce a été faite par le gouvernementdu Nouveau-Brunswick : le salaire minimum
augmentera graduellement en plusieursétapes pour atteindre, d’ici le 1er septembre2011, la moyenne des provinces maritimes.
Une première hausse de 25 cents aura lieu le1er avril prochain. Le salaire minimum pas-sera à 8,5 dollars l’heure.
D’autres hausses sont également prévues le1er septembre 2010, le 1er avril 2011 et le1er septembre 2011 en vue d’augmenter lesalaire minimum de la province à 10 dollarscanadiens.
Selon Donald Arseneault, ministre del’Education postsecondaire, de la formation etdu travail, cette augmentation permettra auxtravailleurs de la province d’améliorer leurniveau de vie.
Il faut noter qu’au Canada, le salaire minimumvarie de 8 dollars canadiens l’heure enColombie-britannique à 10 dollars canadiensl’heure au Nunavut.
Canada atlantiQuE
la langue française se porte bien
Au cours de l’année 2009, la langue fran-çaise au Nouveau-Brunswick a été beau-
coup célébrée. Cela a été surtout remarquédans la presse locale qui a souvent fait desdossiers linguistiques la une de ses titres.
Comme l’affirme d’ailleurs Jean-MarieNadeau, président de la Société de l’Acadiedu Nouveau-Brunswick (SANB) : « Les 12 der-niers mois ont été bénéfiques pour la languefrançaise au Nouveau-Brunswick…C’est ungrand cru acadien, l’année 2009 ».
Pour lui, cette bonne année pour la languefrançaise au Nouveau-Brunswick est la consé-quence de nombreuses mesures prises dans laprovince pour sa mise en valeur. Parmi cesmesures, il y a eu le financement pour mettreen œuvre le rapport de la commission surl’école francophone et l’injection de fondsdans le système éducatif. Le Congrès mondialacadien a aussi constitué un autre évènementqui a permis de mettre en valeur le françaisdans cette province.
C’est donc la preuve que la langue françaisea de beaux jours devant elle dans cette pro-vince.
des rajustements pour cinq groupes dusecteur privé à compter de 2010-2011 aunouveau-brunswick
La ministre responsable de la condition dela femme, Mary Schryer, a annoncé àcompter de 2010-2011, un appui financierpour aider cinq groupes d’employés dusecteur privé à atteindre l’équité salariale.
Le personnel des services de soutien dansles résidences communautaires bénéficiedéjà de cet appui. Ce groupe d’employésdu secteur privé oeuvre auprès des enfantset des adultes ayant des besoins considérables
Le gouvernement a déjà amorcé une colla-boration avec le secteur privé dans l’éva-luation des emplois afin d’assurer uneéquité salariale des groupes suivants : lepersonnel des garderies, le personnel desservices de soutien à domicile, le personneldes foyers de soins et le personnel desmaisons de transition.
La loi sur l’équité salariale entrera envigueur le 1er avril 2010. Elle s’appli-quera à toutes les parties du secteurpublic.
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12ème parution 14
institution d’un postE dE Commis-saiRE aux plaintEs au QuébEC
faciliter la reconnaissance des compé-tences professionnelles des immigrants
Voici une bonne nouvelle qui vient justifierla volonté des autorités québécoises à
parfaire sans cesse la politique d’intégrationdes immigrants.
Le projet de loi instituant le poste deCommissaire aux plaintes concernant lesmécanismes de reconnaissance des compé-tences professionnelles a été adopté parl’Assemblée nationale au début 2010.
Ainsi, grâce à cette loi, un immigrant qui arriveau Québec et qui rencontre des difficultés àfaire reconnaître ses compétences profession-nelles pourra désormais adresser une plainteau Commissaire aux plaintes qui sera alorschargé de réexaminer son dossier. Son rôleest donc de veiller à ce que le fonctionnementdes ordres professionnels en matière dereconnaissance des diplômes étrangers soitplus favorable.
Mme Kathleen Weil, ministre de la justice etministre responsable de l’application des loisprofessionnelles reconnaît la justesse de ceprojet de loi : « …les 45 ordres profession-nels doivent poursuivre leur effort pour unemeilleure intégration des personnes for-mées à l’étranger. Ce commissaire, par lanature des plaintes reçues, pourra identifierdes problématiques au niveau des méca-nismes de reconnaissance des acquis desordres professionnels, il pourra leur fairedes recommandations et devra faire rapportà l’assemblée nationale chaque année ».
Une mesure qui vient renforcer la politique demobilité de la main-d’œuvre entreprise depuisquelques années par le gouvernement québé-cois. L’entente entre le Québec et la France,signée en octobre 2008, s’inscrit dans cecadre. Vingt-deux professions et métiers ontdéjà conclu des arrangements sur la recon-naissance mutuelle des qualifications avec
leurs homologues français.
REConnaissanCE dEs titREs dE CompétEnCEsdEs nouvEaux aRRivants au Canada
moins d’un an de procédure désor-mais pour obtenir une accréditation
Les autorités gouvernementales canadiennesdes provinces et des territoires ont évalué lesmécanismes de reconnaissance des titres decompétences des travailleurs formés à l’étranger.
Désormais, les immigrants pourront obtenirleur permis ou accréditation à travers unmécanisme qui devra durer moins d’un an envue de leur faciliter l’accès à l’emploi danscertains domaines au Canada et de leur per-mettre une meilleure integration.
Un nouveau cadre pour améliorer la recon-naissance des titres de compétences des tra-vailleurs formés à l’étranger, a été entérinétout récemment.
pour une main-d’œuvre plus compétitive sur le marché de l’emploi
L’objectif est de constituer au Canada lamain-d’œuvre la mieux instruite, la plus com-pétente et la plus souple au monde.
La ministre des Ressources Humaines et duDéveloppement des compétences, DianeFinley, a déclaré : « Attirer et retenir les meil-leurs travailleurs étrangers pour répondreaux défis actuels et futurs du travail est essen-tiel au succès économique à long terme duCanada. Notre gouvernement collabore avecses partenaires en vue d’éliminer les obstaclesà la reconnaissance des qualifications et destitres de compétences étrangers afin que lesnouveaux arrivants soient en mesure de maxi-miser leurs talents ».
Des mesures qui permettent au gouvernementcanadien de rendre son système d’immigra-tion plus concurrentiel mondialement, a expli-qué la ministre Diane Finley.
Nouvellesrelatives aux programmes d’intégration
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12ème parution 15
Le prix des choses
Location de Chambre à quelques jours des jeux
d’hiver 2010 en Colombie-Britannique :
Vous avez ici une idée sur des propositions de prix de certaines
chambres à louer dans la province de la Colombie-Britannique à
quelques jours des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2010.
Du 15 janvier au 05 février : 200 dollars
canadiens/nuit ou 130 euros.
Du 06 février au 28 février : 255 dollars
canadiens/nuit ou 162,50 euros.
Du 1er mars au 31 mars : 200 dollars
canadiens/nuit ou 130 euros.
450 dollars canadiens ou 292, 5 euros
450 dollars canadiens ou 292,5 euros.
Produits Prix
Chambre-
Famille d’accueil
(à proximité du
village olym-
pique)
Chambre
entièrement
meublée
(Metrotown par
région)
1 2
Chambre partagée,
sous-sol suite
(Vancouver Sud) 3
1 - Chambre- Famille d’accueil (à proximité du vil-
lage olympique)
Une chambre à coucher dans une maison de ville de
style européen. Pas loin de l’aéroport de Vancouver et
non loin également des shoppings, restaurants et
autres commodités.
2 - Chambre entièrement meublée (Metrotown par
région)
Située à 17 minutes du centre-ville de Vancouver ;
entièrement meublée ; service publics (électricité, eau
chaude, chauffage) ; télévision par câble et Internet
haut vitesse (câble de données ou d’Internet sans fil) ;
laverie (lave-linge et sèche-linge) ; ustensiles de cui-
sine ; appareils ménagers- vaisselles.
3 - Chambre partagée, sous-sol suite (Vancouver Sud)
Hébergement partagé. La tarification diffère selon le
période de séjour.
5 minutes à pied de Langara College - 15 minutes de
marche de l’épicerie/ bibliothèque/ centre commercial -
15 minutes à la station de Skytrain / Centre-ville.
