actualités Mai 2011 - Clio · Le 26 juillet :Elisso Virsaladze - piano Œuvres de Schumann et Beethoven Le 7 août : Nicholas Angelich Nuit du piano - Liszt Ingtégrale des Années

Laurence Naggiar-MolinerLa fougue méditerranéenneAprès une formation classique en histoire de l'art et archéologie, Laurence Naggiar-Moliner eut la chance de participer à des fouilles en Israël qui allaient être pour elle la révélation d'une vocation et, bientôt, la consécration d'un talent. Organisée, enthousiaste,

perfectionniste et astucieuse, elle s'impose sur le terrain, prend des responsabilités et remporte une bourse de l'académie des Inscriptions et Belles Lettres pour devenir pensionnaire de l'Ecole biblique et archéologique de Jérusalem. Elle travaille dans la bande de Gaza sur le site du Bronze ancien de Tel Es Sakan et, vivant au cœur de ce chaudron bouillonnant du Proche-Orient, elle s'attache à observer et à comprendre ce qui s'y passe sans passion ni a priori. De retour en France, elle travaille sur des fouilles de sauvetage dans sa bonne ville de Marseille. Grâce au succès de ses conférences pour les universités provençales, elle prend goût à transmettre sa culture en matière d'his-toire de l'art, qu'il s'agisse de peinture italienne ou de calligraphie arabe. Les voyages qu'elle accompagne pour Clio sont pour elle l'occasion d'approfondir et de développer son savoir et les voyageurs apprécient la fougue avec laquelle elle communique ses connaissances mais aussi son expérience sensible autant que l'énergie et le charme qu'elle déploie pour faire de chaque voyage une aventure réussie.

L'Asie centrale, Samarcande, Boukhara, KhivaAC 31 - du 12 au 22 juillet 2011, 2 120 €

Israël, Grand circuit archéologique et culturelCLIO 2021 - du 10 au 23 août 2011, 3 050 €

Grand circuit en Iran, Suse, Ispahan, Chiraz, Persépolis, Pasargades, Yazd... IR 31 - du 16 au 30 septembre 2011, Presto jusqu’au 25/07/11 : 2 490 €, puis 2 540 €

Grand circuit en Syrie, Dix mille ans d'art et d'histoireSY 31 - du 1er au 15 octobre 2011, Presto jusqu’au 25/07/11 : 3 175 €, puis 3 225 €

La Jordanie, Pétra, mont Nébo, Jerash et la mer MorteJO 31 - du 24 octobre au 1er novembre 2011, Presto jusqu’au 20/08/11 : 2 125 €, puis 2 175 €

Le Rajasthan, A l'occasion de la foire de PushkarIN 57/2 - du 4 au 23 novembre 2011, Presto jusqu’au 02/09/11 : 3 575 €, puis 3 625 €

La fougue méditerranéenneAprès une formation classique en histoire de l'art et archéologie, Laurence Naggiar-Moliner eut la chance de participer à des fouilles en Israël qui allaient être pour elle la révélation d'une vocation et, bientôt, la consécration d'un talent. Organisée, enthousiaste,

perfectionniste et astucieuse, elle s'impose sur le terrain, prend des responsabilités

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La Norvège en croisièreDe Bergen au cap Nord

Du 22 août au 2 septembre 2011, avec Monique Gilbert-Meunier, Presto jusqu’au 20/06/11

à partir de 4 320 €, puis à partir de 4 370 €

Circuit archéologique en BulgarieDe la Thrace antique

à la Bulgarie d'aujourd'huiDu 4 au 15 octobre 2011, avec Atila Riapov,

Presto jusqu’au 31/07/11 : 1 945 €, puis 1 985 €

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Volcans d'Italie Vésuve, Etna, Stromboli et EoliennesDu 16 au 23 septembre 2011, avec Michel LhéritierPresto jusqu’au 15/07/11 : 2 185 €, puis 2 235 €

La vallée des MerveillesHaut lieu de la protohistoire européenneDu 15 au 17 juillet 2011, Presto jusqu’au 30/05/11 : 615 €, puis 650 €

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Clio - 27 rue du Hameau, 75015 Paris Tél. : 0826 10 10 82 De l’étranger : +33 153 68 48 43Fax : +33 (0)153 68 82 60 Mél : [email protected] Site : www.clio.fr

Chers amis

Puisque la musique adoucit les mœurs, nous vous invitons à retrouver l'harmonie du monde dans le joyeux tourbillon des concerts et des opéras qui émaillent nos voyages musicaux au fil des festivals d'été. Le puissant génie de Liszt illumine plusieurs des programmes qui vous sont proposés.

En Europe, pensez à l'Italie que nous vous offrons sous toutes ses formes, de la Lombardie à la Calabre, de Palerme au lac de Côme. Laissez-vous séduire par Florence à l'automne et notre programme d'escapades autour des expositions qui célébreront Botticelli, Vasari et Ammanati.

Si le confort romantique des croisières vous attire, embarquez avec nos conférenciers spécialistes d'Histoire et d'histoire de l'art sur le Danube, la Volga ou les côtes norvégiennes.

Pour aller plus loin, et dans la lignée de nos voyages sur le thème de l'Inde sacrée, nous vous présentons dans ce numéro un nouveau circuit original qui relie à travers le Bihar et l'Orissa les plus remarquables des sites bouddhistes du pays.

Bonne lecture et bon voyageChristian Marquant, Jean-Pierre Respaut

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actualitésactualitésMai 2011

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Consultez le descriptif complet du programme et des prestations de ces voyages sur www.clio.fr ou demandez une fiche détaillée au 0826 10 10 82

Le Festival de piano aux Jacobins

FR 48 - 4 jours

J 1 : Paris - ToulouseRendez-vous en gare de Toulouse en début d'après-midi (déjeuner pris). Au cours d'une promenade historique dans Toulouse, nous évoquerons la longue histoire de la ville. Nous visiterons la basilique Saint-Sernin : étape majeure sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Nous visiterons ensuite le couvent des Jacobins, l’un des plus beaux monastères de style languedocien, célèbre pour sa voûte en "palmier". Puis nous découvrirons les demeures patriciennes, élevées pour les capitouls, les puis-sants magistrats municipaux, ou pour les familles opulentes, enrichies par le commerce du pastel.Concert en soirée au cloître des JacobinsAlexander Korsantya - pianoŒuvres de Beethoven et RachmaninoffDîner inclus. Nuit à Toulouse en hôtel 3*.

J 2 : Toulouse - AlbiEn matinée, nous prendrons la route d’Albi. La ville connut un important développement à la fin du Moyen Age et à la Renaissance grâce à la commercialisation du pastel produit dans la région.Elle s'entoura de remparts, le Pont-Vieux fut fortifié et, à l'époque, surmonté de maisons. La bourgeoisie enrichie se fit aussi bâtir demeures cossues et hôtels particuliers qui agrémentent toujours les ruelles de la vieille ville. Mais Albi est aussi la ville où naquit, en 1864, Toulouse-Lautrec. Nous visiterons donc d’abord le musée Toulouse-Lautrec qui renferme une immense collection des œuvres de l’artiste, avant de découvrir la ville, dominée par la cathédrale et le château. Nous découvrirons la cathédrale Sainte-Cécile, la plus grande cathédrale de briques au monde. Déjeuner inclus. De retour à Toulouse, nous visiterons le fastueux hôtel Renaissance construit pour Pierre Assézat, détenteur d'une importante fortune née du commerce du pastel, le bâtiment accueille aujourd'hui les collections rassemblées par le milliardaire argentin Georges Bemberg. Elles embrassent quatre siècle d'histoire de l'art, depuis le XVIe siècle naissant jusqu'aux nabis, et comptent en particulier un important ensemble de toiles de Bonnard.

Villes d'art et musées du Midi toulousain

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FR 45 - 4 jours

Le circuit au départ d'Aix-en-Provence (option de Paris à Paris : nous consulter) L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*3 dîners Le circuit en autocar privé Les visites et les concerts mentionnés au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites des centres-villes s’ef-fectuent sous forme de promenades à pied.

FR 45 PRESTATIONS INCLUSES

Depuis près de trente ans, chaque été, le paisible village provencal de La Roque d'Anthéron devient la capitale musicale où se rencontrent tous les grands noms du piano... Le public vibre au son des instruments, tandis que pianistes et orchestres de renom international se relaient sous les frondaisons du parc du château de Florans.

Silvacane, Gordes, Aix-en-Provence

peintres et artistes tels qu'André Lhote, Chagall ou Vasarely. Retour à l'hôtel avant de rejoindre le château de Florans. Dîner inclus sous forme de plateau-repas.

Concert dans le cadre du festivalLe 27 juillet : au cloître de l’abbaye de Silvacane - Ido Bar-Shaï - piano Œuvres de Mozart, Scarlatti, Haydn, Chopin, Scriabine

Le 8 août : dans le parc du château de Florans - Mihalea Ursuleasa - piano Œuvres de Bach et LisztNuit à Pertuis.

J 4 : Aix-en-ProvenceA Aix, nous découvrirons les trésors cachés des grandes demeures. Après le déjeuner libre, nous découvrirons la cathédrale Saint-Sauveur, édifiée à l'emplacement du temple d'Apollon qui jouxtait le forum romain. Nous achèverons la journée par une promenade vers l'hôtel de ville et le cours Mirabeau. Nous nous séparerons en fin d’après-midi à Aix-en-Provence.

J 1 : Aix-en-Provence - SilvacaneSelon l'option choisie, départ de Paris ou rendez-vous en gare d'Aix-en-Provence en début d'après-midi (déjeuner pris). Route vers Pertuis. Nous plongerons dans la beauté bien ordonnée de l’abbaye de Silvacane, l’une des trois grandes sœurs cisterciennes de Provence avec Le Thoronet et Sénanque. Parfait exemple des plans types des monastères de l’ordre, simplement adapté à l’irrégularité du terrain, Silvacane dégage une grande et sobre beauté. Dîner inclus à Florans. Concert dans le parc du château de FloransLe 25 juillet : Nikolaï Lugansky Rachmaninov : Concerto pour piano Orchestre philharmonique de Varsovie Direction Antoni Wit Le 6 août : Christian Zacharias - piano Œuvres de Bach, Brahms, BeethovenNuit à Pertuis en hôtel 3*.

J 2 : L’Isle-sur-la-Sorgue - Oppède - LacosteVisite de l'Isle-sur-la-Sorgue, pittoresque cité construite sur un réseau de canaux et bras de rivières qui lui confèrent un cadre frais et aéré. Déjeuner libre. Visite d'Oppède-le-Vieux dont le château et l'église du XIIe siècle constituent un remarquable ensemble de ruines couronnant un lacis de ruelles bordées çà et là d’hôtels particuliers de style Renaissance. Des maisons restaurées entourent l'ancienne place du bourg, ombragée par un vieil orme. A Lacoste, nous croiserons le souvenir de Sade. Le divin marquis y trouva refuge plusieurs années, avant son emprisonnement pour immoralité. Retour à l'hôtel avant de rejoindre le château de Florans. Dîner inclus sous forme de plateau-repas.Concert dans le parc du château de FloransLe 26 juillet : Elisso Virsaladze - piano Œuvres de Schumann et Beethoven

Le 7 août : Nicholas Angelich Nuit du piano - Liszt Ingtégrale des Années de pèlerinage Nuit à Pertuis.

J 3 : Apt - GordesApt se développa dès le IIIe siècle autour de l'église construite pour abriter les reliques de sainte Anne, que l'on retrouve dans la crypte préromane de la cathédrale Sainte-Anne. Déjeuner libre à Apt avant de gagner Gordes, l'un des plus beaux villages de France. Nous nous promènerons dans les ruelles au charme médiéval de ce village perché qui sut séduire

FR 45 Prochains départs Forfait par personne25/07 - 28/07/11 avec Eric Montmaud

Prix Presto jusqu’au 20/05/2011 1 035 €Prix à partir du 21/05/2011 1 085 €

06/08 - 09/08/11 avec Véronique BocquetPrix Presto jusqu’au 31/05/2011 1 020 €

Prix à partir du 01/06/2011 1 080 €Suppl. chambre individuelle + 140 €

Une découverte des richesses du patrimoine du Sud-Ouest et des grands musées consacrés à Goya, Ingres, Toulouse-Lautrec et Bonnard... Des concerts pour profiter du prestigieux festival de piano aux Jacobins, rendez-vous international qui accueille les plus grands instrumentistes.

Le Festival de La Roque d'Anthéron

Trois récitals exceptionnels Les abbayes de Sénanque et de Sylvacane

Les beaux villages du Lubéron Le village de Gordes Aix-en-Provence

LES POINTS FORTS

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Couvent des Jacobins

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Le Festival de piano aux JacobinsAL 26 - 4 jours

FR 48 Prochain départ Forfait par personne21/09 - 24/09/11 avec Charlotte de Malet


Suppl. chambre individuelle + 275 €

AL 26 Prochain départ Forfait par personne27/10 - 30/10/11 Matthias Müller-Lentrodt

Prix Presto jusqu’au 25/08/2011 1 395 €Prix à partir du 26/08/2011 1 445 €Suppl. chambre individuelle + 225 €

Le circuit au départ de Toulouse (Option de Paris à Paris : nous consulter) L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*4 repasLe circuit en autocar privé Les visites et les concerts mentionnés au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites des centres-villes s’ef-fectuent sous forme de promenades à pied.


Les vols internationaux Paris/Leipzig et retour sur lignes régulières Les taxes aériennes L'hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtels 4* et 5*3 repasLes déplacements en autocar privé Les visites et les concerts mentionnésau programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites des centres historiques des villes s'effectuent sous forme de promenades à pied. Une tenue habillée est conseillée pour assister aux concerts.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

AL 26 PRESTATIONS INCLUSES

En 1848 Liszt commence une nouvelle carrière à Weimar où il s'établit comme maître de chapelle. Débute alors une période de composition intense qui durera plus de dix ans, Liszt écrit dans cette ville ses célèbres Poèmes Symphoniques. Désireux de diriger ses contemporains, il impose à Weimar ses amis Berlioz et Wagner, faisant ainsi de la ville un centre exceptionnel de création et d'innovation. A Leipzig, nous évoquerons naturellement Bach mais aussi Mendelssohn qui fut le directeur musical du Gewandhaus à l'âge de vingt-neuf ans.

Villes d'art et musées du Midi toulousain

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Concert en soirée au cloître des JacobinsDavid Kadouch - pianoŒuvres de Medtner, Taneyev, Debussy, MoussorgskyDîner libre, nuit à Toulouse.

J 3 : Toulouse - CastresEn matinée, nous nous rendrons à Castres, au pied de la montagne Noire. L'ancien palais épiscopal, construit sur les plans de Mansart et entouré de jardins dessinés par Le Nôtre, abrite, depuis 1840, un musée consacré à la peinture espagnole. Couramment appelé musée Goya, il abrite quelques œuvres majeures du maître, notamment l’Autoportrait aux lunettes... Nous nous rendrons ensuite à Saint Férreol où nous découvrirons le musée et jardins du Canal du Midi avant le déjeuner inclus et le retour à Toulouse. L'après-midi, nous visiterons le musée des Augustins dont le fonds de sculptures romanes est l’un des plus riches au monde. Il abrite aussi une galerie de peintures où brille le XVIIe siècle français. Dîner libre. Concert en soirée au cloître des JacobinsLuis Fernando Perez - pianoŒuvres de Brahms, Liszt, AlbenizNuit à Toulouse.

J 4 : Toulouse - MontaubanLe matin, nous partirons vers Montauban qui se développa au XIVe siècle grâce à la construction d'un pont de briques sur le Tarn. Montauban fut la ville natale d'Ingres et de Bourdelle. Nous visiterons donc le musée Ingres, installé dans l'ancien palais épiscopal du XVIIe siècle, riche des dons, œuvres et collections du peintre, mais aussi de pièces du sculpteur Antoine Bourdelle, de Camille Claudel, de Delacroix et de François Desnoyer, autre enfant du pays. Nous ferons une promenade dans la vieille ville, remarquable par ses nombreux hôtels particuliers de style classique, et visiterons la cathédrale Notre-Dame, dont la construction fut ordonnée par Louis XIV et dont la blanche structure de pierre contraste avec la dominante rouge des briques de la cité. Déjeuner inclus, puis trajet jusqu’à la gare de Toulouse où nous nous séparerons.

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J 1 : Paris - Leipzig - WeimarVol vers Leipzig. Si son nom reste attaché à celui de Jean-Sébastien Bach – le Cantor de Liepzig – la ville vit également naître Leibniz et Wagner. Lors de la visite de la Thomaskirche, nous évoquerons le rôle capital que Bach joua dans l'évolution de la musique pour clavier en Europe. Après le déjeuner inclus, nous visiterons l’église Saint-Nicolas, la plus ancienne de la ville. Nous découvrirons ensuite le nouveau musée Bach, ouvert depuis mars 2009, qui présente de nouveaux trésors manuscrits et de multiples pièces relatives à l'œuvre du maître et au travail de ses fils. En fin d'après-midi, nous prendrons la route vers Weimar. Dîner inclus et nuit à Weimar en hôtel 5*.

J 2 : Weimar Weimar fut longtemps considérée comme "l'Athènes de Germanie". Elle fut résidence de Goethe, Schiller, Bach et Liszt et fut, après la première guerre mondiale, le berceau du Bauhaus. A la maison de Goethe, traîne encore l’âme du génie des Lumières qui disait que Bach évoquait pour lui "l’esprit même de Dieu planant sur les eaux avant la Création". Nous nous rendrons ensuite au château de Weimar, où résidèrent les grands-ducs de Saxe-Weimar jusqu’en 1918, pour découvrir les collections d’art du musée du Château. Nous y admirerons en particulier des tableaux de Cranach et de Caspar David Friedrich, ainsi que des œuvres de l'école de Weimar. Nous nous attarderons naturellement dans l'exposition Liszt, un Européen en Thuringe. Liszt prit, en 1848, la direction des concerts et de l’opéra de la ville, poste qu'il occupa durant dix années. Déjeuner libre. Visite de la demeure de Liszt qu'il habita pendant son second séjour à Weimar de 1869 à 1886. Nous visiterons ensuite l'église Saints-Pierre-et-Paul, plus connue sous le nom d'église de Herder, qui recèle un très beau retable de Lucas Cranach l'Ancien.En soirée, concert au château de WeimarŒuvres de LisztDîner libre. Nuit à Weimar.

J 3 : Naumburg - LeipzigLe matin, nous prendrons la route vers Naumburg. La ville, située sur la via Regia, l'une des prin-cipales routes commerciales du Saint Empire, devint, au XIIIe siècle, une très importante ville de foire. Nous y visiterons la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul qui combine plusieurs stades des styles roman et gothique. Nous y admirerons surtout les statues du chœur occidental et du jubé, œuvres du Maître de Naumburg, qui

représentent, dans un style très expressif, les notables saxons donateurs de la cathédrale. Nous découvrirons l'exposition abritée par le cloître Marienkirche am Dom, consacrée au Maître de Naumburg et qui présente plus de trois cent pièces d'art du XIIIe siècle : statuaire, orfèvrerie, enluminures, vitraux, etc.Après le déjeuner libre, nous reviendrons à Leipzig où nous visiterons le musée des Beaux-Arts qui renferme notamment une riche collection d'œuvres de Cranach.En soirée, concert au Gewandhaus150e anniversaire du chœur du GewandhausHaydn : Messe de NelsonKodaly : Missa BrevisDîner libre. Nuit à Leipzig.

J 4 : Leipzig - ParisLe matin, nous découvrirons d'abord le musée des Instruments : les quelque 5 000 pièces qu'il rassemble permettent d'embrasser plus de cinq siècles d'histoire de la musique. Nous partirons ensuite visiter la maison de Mendelssohn qui fut, à partir de 1835, chef d’orchestre au Gewandhaus. Par-delà son activité de chef et de compositeur, il fit redécouvrir le génie de Bach à ses contemporains. Déjeuner inclus à la maison Mendelssohn.Concert privé à la maison de MendelssohnŒuvres de Mendelssohn et LisztRécital de pianoEn fin d'après-midi, transfert à l'aéroport et vol vers Paris.

La visite de Weimar L'exposition Liszt au château de Weimar Un concert Liszt au château de Weimar Un concert au Gewandhaus de Leipzig Un concert privé dans la maison de Mendelssohn

La Thomaskirche de Leipzig

LES POINTS FORTS

Trois récitals au cloître des Jacobins Bonnard à la Fondation Bemberg de Toulouse Goya au musée de Castres Toulouse-Lautrec au musée d'Albi Ingres au musée de Montauban

LES POINTS FORTS

L'année Liszt à Weimar

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Et aussi cet été en France et en Europe...

Du 9 au 11 juillet 2011, avec ERIC MONTMAUD, 895 €

Les Chorégies d'OrangeArles et Avignon

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Au théâtre antique d'Orange

• Aida de Giuseppe Verdi Orchestre national du Capitole de Toulouse et chœurs de l’Opéra Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse, de l’Opéra National de Bordeaux, de l’Opéra de Nice et de l’Opéra de Tours

Le Festival de musique baroque de BeauneDijon, Tournus, Cluny

Deux concerts aux Hospices de Beaune

• Récital de Teodora Gheorghiu : airs d'opéra de Mozart et de Rossini

• Cosi Fan Tutte de Mozart en version de concert par les Musiciens du Louvre et Marc Minkowski

Cloître des Hospices de Beaune

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Du 22 au 24 juillet 2011, avec ERIC MONTMAUD, 1 185 €

Quatre concerts en l'abbatiale de La Chaise-Dieu

• Liszt et Berlioz par la Chambre philharmonique sous la direction d'Emmanuel Krivine

• Messes à quarante voix autour de Monteverdi et ses contemporains par le Concert spirituel sous la direction d'Hervé Niquet

• Le Messie de Haendel par le Collegium 1704 sous la direction de Václav Luks

• Cantates de Bach par le Bach Collegium Japan sous la direction de Masaaki Suzuki

L'Auvergne romane et le Festival de La Chaise-DieuLe Puy-en-Velay, Orcival, Saint-Nectaire, Issoire, Clermont-Ferrand

Du 19 au 23 août 2011, avec DANIEL ELOUARD, Presto jusqu'au 15/06/11 à partir de 1 250 €, puis à partir de 1 295 €

Le Festival d'Aix-en-Provence Bibémus, Le Jas de Bouffan, Marseille

Du 21 au 23 juillet 2011, avec CHARLOTTE DE MALET, 1 035 €

Au théâtre de l'Archevêché • La Traviata de Verdi

London Symphony Orchestra et Choeur philharmonique estonienIrina Lungu, Ludovic Tézier, Charles Castronovo

Deux expositions• La Collection Planque au musée Granet d'Aix en Provence• L'orientalisme en Europe de Delacroix à Kandinsky

à La Vieille Charité de Marseille

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Le Festival de la Grange de Meslay et le Val de Loire

Du 17 au 19 juin 2011, avec VÉRONIQUE BOCQUET, 750 €

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Les fêtes musicales de Nohant

Du 11 au 13 juin 2011, avec VÉRONIQUE BOCQUET, 950 €

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Trois concerts à Sablé et Meslay-du-Maine • Les Folies françaises : les grands

succès lyriques des héritiers de Lully par le Centre de musique baroque de Versailles

• Zelenka, Vivaldi, Haendel par le Collegium 1704 sous la direction de Václav Luks

• Récital de Philippe Jarrousky qui mettra sa voix au service d’un brillant répertoire nous entraînant de Prague à Dresde

Le Festival de Sablé-sur-SartheLe Mans, La Flèche, Angers, Fontevraud

Du 23 au 25 août 2011, avec VÉRONIQUE BOCQUET, 895 €

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Du 10 au 12 septembre 2011, avec DANIEL ELOUARD, Presto jusqu'au 30/06/11 : 1 055 €, puis 1 095 €

Deux concerts en la Beethoven Halle de Bonn• Œuvres de Beethoven et Mahler - orchestre de

Pittsburg sous la direction de Manfred Honeck, Hélène Grimaud - piano

• Œuvres de Beethoven, Liszt et Tchaïkovsky interprétées par l'Orchestre philharmonique d'Israël, sous la direction de Zubin Mehta

Le Festival Beethoven à BonnAL 22 - 3 jours

Et aussi cet été en France et en Europe...

Cinq concerts de musique de chambre en l'abbaye Saint-Michel-de-Cuxa avec une pléiade d'artistes réunis par le souvenir du maître Pablo Casals.Avec la grande voix de Laurent Naouri…Œuvres de Mozart, Beethoven, Lizst, Schubert, Ravel, Fauré, Mahler

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Saint-Michel-de-Cuxa

FR 40 - 6 jours

Le Festival de PradesCorneilla de Conflent, Villefranche, Serrabone

Du 9 au 14 août 2011, avec JACQUELINE FRANCONNET, Presto jusqu'au 8/06/11 : 1 395 €, puis 1 445 €

Du 24 au 27 juin 2011, avec CHRISTOPHE PIETTE, 1 390 €

Trois concerts • Récital de piano de Michaela Ursuleasa,

Le Ciel et l'Enfer• Le Cavalier de feu, œuvres vocales par le

Concentus Vocalis, Klara Flieder - violon et Othmar Müller - violoncelle

• La Bataille de Huns, orchestre de l'Académie de Vienne

AU 42 - 4 jours

Le Festival Liszt de RaidingVienne, Sopron, Graz, Fertod

Du 5 au 9 août 2011, avec LAURENT DELLAC, Presto jusqu'au 5/06/11 : 1 595 €, puis 1 635 €

BudapestMusiques d'étéQuatre soirées musicales• Œuvres de Bach, Vivaldi, Mozart, Liszt et

Beethoven - orgue, flûte et voix• Soirée Beethoven - Ouverture de Coriolan

Concerto pour violon en ré majeurSymphonie héroïque, par l'Orchestre philharmonique hongrois

• Récital de piano - Alex Szilasi interprète des œuvres de Liszt

• Spectacle de danse et musique - œuvres sur le thème "De la Renaissance au Classicisme" par La Company Canario

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HON 92 - 5 jours

Du 24 au 28 août 2011, avec PASCAL BONAFOUX, Presto jusqu'au 20/05/11 : 2 120 €, puis 2 170 €

Trois opéras• Nabucco de Giuseppe Verdi• La Bohême de Giacomo Pucinni• Roméo et Juliette de Charles Gounod

IT 72 - 5 joursLe Festival lyrique des arènes de VéroneVicence, Mantoue, Padoue

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avec Pascal Bonafoux Ecrivain et critique d'art. Professeur

à l'université de Paris VIII-Saint-Denis.


Munich

EXPO 230 - 4 jours

J 1 : Paris - MunichVol vers Munich en début de matinée. Une pro-menade dans le centre de la ville nous permettra de nous familiariser avec ses hauts lieux et ses monuments, de la Karlstor à la Marienplatz. Nous visiterons l'église Saint-Michel et la Frauenkirche, église gothique de briques rouges d’allure très sobre. Déjeuner inclus avant de poursuivre les visites du centre-ville. Nous découvrirons le prestigieux hôtel de ville gothique, puis visiterons l'église Saint-Pierre avant d'arriver au Viktualien Markt. Nous achèverons nos visites par le chef-d'œuvre des frères Asam, l'église Saint-Jean-Népomucène, apothéose du rococo munichois. Dîner inclus. Nuit à Munich en hôtel 4*.

J 2 : MunichLa matinée sera consacrée à la visite de la Résidence, château de famille des Wittelsbach, ducs, puis princes électeurs, puis rois de Bavière. Elevé au XVIe siècle, l’édifice marie la grâce de la Renaissance et l’exubérance du rococo, le baroque grandiose et la pureté néoclassique. Le théâtre de Cuvilliés, ancien théâtre de la Cour, est une œuvre d’art à lui seul. Nous pourrons admirer cette merveille rococo, restaurée en 2008. Puis, nous irons visiter, dans la cadre de l'Hypo-Kulturstiftung, l'exposition Dürer, Cranach, Holbein, centrée sur l'étude du portrait allemand de la première Renaissance. Ces artistes exceptionnels illustrent en effet le passage de la tradition médiévale du Gothique à l'art nouveau de la Renaissance germanique. Sous l'influence de la philosophie humaniste, ils placent l'homme au centre de leurs préoccupations et développent un art du portrait particulièrement riche qui révèle déjà la quête d'une certaine vérité psychologique. Déjeuner libre. Puis nous visiterons les collections permanentes de la Nouvelle Pinacothèque qui rassemblent des tableaux des XVIIIe et XIXe

siècles. Fin d’après-midi libre. Dîner libre et nuit à Munich.

J 3 : MunichNous partirons à pied vers la Glyptothèque, installée dans un bâtiment néoclassique pour accueillir la collection de sculptures antiques grecques et romaines de Louis Ier de Bavière. Nous pourrons y admirer notamment l'original du

A l'occasion des expositi ons Dürer, Cranach, Holbein et Le Pérugin

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EXPO 236 - 4 jours

Les vols internationaux Paris/Berlin et retour sur lignes régulièresLes taxes aériennes L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 4*4 repasUn concert Les transferts et les excursions à Potsdam et au château de Charlottenbourg en autocar privé Un pass transports en communLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : la visite de Berlin s'effectue en partie sous forme de promenades à pied et en utili-sant les transports en commun. La visite de l'expo-sition Portraits de la Renaissance sera effectuée par un guide du musée Bode.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

EXPO 236 PRESTATIONS INCLUSES

Symbole de l’Allemagne réunifiée, Berlin offre tout à la fois ses imposants palais et ses audacieuses coupoles de verre qui fleurissent là où se trouvait naguère le Mur. Pascal Bonafoux vous entraine à la découverte de la richesse de ses musée et de ses collections aristiques. L'occasion d'admirer des chefs-d'œuvre aussi mythiques que le Voyage à Cythère de Watteau et de dresser un panorama complet de la peinture allemande de Dürer aux expressionnistes.

A l'occasion des expositions Visages de la Renaissance en Italie et Les 150 ans de la Galerie Nationale

manière des peintres entre un souci d'idéalisation et la tentation du natu-ralisme née de l'exemple des peintres flamands... Déjeuner libre. A l’Ancienne Galerie nationale, nous découvrirons les œuvres des plus grands peintres allemands du XIXe siècle ainsi que de Manet, Renoir, Rodin. Dîner libre.Concert à la Philharmonie de Berlin.Nuit à Berlin.

J 4 : Potstdam - Berlin - Paris

Excursion à Postdam, pour visiter le magnifique châ-teau de Sans-Souci, dont Frédéric II le Grand lança

la conctruction avec la volonté de surpasser Versailles. Après le déjeuner inclus, nous nous rendrons au Brücke-Museum où nous décou-vrirons les œuvres du mouvement "die Brücke" qui fut à l'origine des premières ruptures avec le classicisme et participa à la naissance de l'expressionisme allemand. Dans l'après-midi, transfert à l'aéroport et vol pour Paris.

J 1 : Paris - BerlinEn matinée, vol pour Berlin. Après un aperçu de la cein-ture verte qui cerne l’ouest de la ville, nous ferons un premier arrêt au château de Charlottenbourg, rési-dence baroque construite par Frédéric III pour son épouse Sophie-Charlotte où nous visiterons la Galerie des Watteau. Déjeuner inclus. Nous gagnerons ensuite Checkpoint Charlie, ancien point de passage entre les secteurs soviétique et amé-ricain où nous visiterons le musée du Mur. Dîner inclus et nuit à Berlin en hôtel 4*.

J 2 : Berlin - Kulturforum

Le Forum de la culture offre un panorama exceptionnel de la peinture européenne - des œuvres de Van Eyck, Bruegel l’Ancien, Altdorfer, Cranach l’Ancien, Dürer, Rembrandt, Vermeer... Nous aborderons ensuite le Berlin du XXIe siècle qui surgit de cette zone qui était, il y une vingtaine d'années, le no man’s land entre les deux secteurs : le quartier de la Potsdamer Platz, ambitieux projet de Renzo Piano. Déjeuner inclus. Visite de la Neue Nationalgalerie, musée majeur qui permet de brosser un panorama complet de la peinture du XXe siècle. Il abrite les œuvres du mouvement "die Brücke", des pièces de Picasso, Klee, Feininger, Dix et Kokoschka. Nous visiterons aussi l'exposition Les 150 ans de la Galerie nationale qui met en valeur la collection initiale du musée, celle qui fut rassemblée en 1861 par le banquier berlinois Wagener : 262 tableaux et dessins, principalement des œuvres du romantisme allemand du XIXe siècle au début du XXe siècle. Dîner libre. Nuit à Berlin.

J 3 : Berlin - Ile aux muséesNous gagnerons l’île aux Musées, pour découvrir le Bode Museum qui une remarquable collec-tion de sculptures médiévales et Renaissance. Nous y visiterons l'exposition Visages de la Renaissance. Chefs-d'œuvre des portraits italiens qui retrace l'évolution du portrait ita-lien au XVe siècle, sa recherche du réalisme, son symbolisme, la lutte qui se livra dans la

EXPO 236 Prochain départ Forfait par personne29/09 - 02/10/11 avec Pascal Bonafoux



Ville germanique ouverte aux influences italiennes, Munich recèle les témoignages architecturaux de sa splendeur gothique et de la Renaissance triomphante sous Guillaume V qui en fit "la Rome germanique". Terre d'élection de l'art baroque, illustré par les réalisations pleines d'exubérance des frères Asam ou de Cuvilliés, elle ne cessa de s'orner au gré des désirs ou des caprices de ses princes. De l'éclectisme éclairé de Maximilien Ier qui rassembla les exceptionnelles collections de la Pinacothèque au mouvement fulgurant de l'Art nouveau illustré par le Cavalier bleu, Munich connut également la sobriété classique des imposantes réalisations de Leo Von Klenze.

Berlin

La galerie des Watteau du château de Charlottenbourg

Le Forum de la culture Deux expositions Un concert à la Philharmonie de Berlin Le château de Potsdam

LES POINTS FORTS

Fra Filippo Lippi, double Portrait

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© Staatliche Museen zu Berlin/J. P. Andersr


Munich

EXPO 229 - 4 jours

EXPO 230 Prochain départ Forfait par personne13/10 - 16/10/11 avec Véronique Bocquet

Prix Presto jusqu’au 10/08/2011 985 €Prix à partir du 11/08/2011 1 025 €


EXPO 229 Prochains départs Forfait par personne26/10 - 29/10/11 avec Christophe Piette


10/11 - 13/11/11 avec Christophe Piette Prix Presto jusqu’au 25/09/2011 1 080 €


Les vols internationaux Paris/Munich aller et retour sur lignes régulières Les taxes aériennes L'hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 4*3 repasLes transferts aéroport/hôtel en autocar privéLe Pass transport en communLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : la visite de Munich s'effectuera à pied et en transports en commun.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

EXPO 230 PRESTATIONS INCLUSES Les vols internationaux Paris/Vienne et retour sur lignes régulières Les taxes aériennes L'hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 4*3 repas et un goûterLes transferts aéroport/hôtel en autocar privéUn Pass Transports en communLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites de Vienne s'effectuent en partie sous forme de promenades à pied.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.


Du camp romain à la ville triomphante de François-Joseph, Vienne a vu l’éclosion de tous les styles : hardiesse de l’architecture gothique, parure monumentale de l’ère baroque, éclectisme impérial, triomphe de l’Art nouveau… Si ses musées, aux infinies richesses, offrent un incomparable panorama de tout ce que l'art européen compte de plus remarquable, ils sont aussi le lieu de passionnantes expositions. Les artistes viennois seront à l'honneur au palais du Belvédère et au Léopold Museum, mais quel contraste entre l’éclosion du modernisme vu à travers la collaboration de Gustav Klimt et de l'architecte Josef Hoffmann dans un art fait pour s'insérer dans la ville et la société et les œuvres d'Egon Schiele qui sondent les tréfonds de l’âme ! En revanche, le Kunsthistorisches museum a choisi un thème plus bucolique mais infiniment séduisant : la représentation de l’hiver à travers la vision des artistes européens au fil des siècles…

A l'occasion des expositi ons Dürer, Cranach, Holbein et Le Pérugin

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Faune Barberini, œuvre hellénistique extraordinaire découverte au château Saint-Ange au XVIe siècle et qui fut restaurée par le Bernin... Visite de la Pinakothek der Moderne dédiée aux œuvres du XXe siècle, puis de l'ancienne pinacothèque, l'un des plus prestigieux musée d'Europe, où nous pourrons admirer les chefs-d’œuvre de Dürer, Cranach, Rubens, Rembrandt... C'est aussi dans ce cadre que nous découvrirons, après le déjeuner libre, l'exposition Le Pérugin. Le maître de Raphaël qui rassemble pour la première fois hors d'Italie, les œuvres essen-tielles de cet artiste majeur du Quattrocento qui fut élève de Verrocchio avant de devenir maître d'œuvre de la décoration de la chapelle Sixtine. Dîner inclus à la Hofbrauhaus, la plus célèbre des brasseries munichoises. Nuit à Munich.

J 4 : Munich - ParisC'est en tramway que nous nous rendrons au château de Nymphenburg, résidence d’été des souverains bavarois, dont l’architecture se situe entre les influences classique et rococo. Nous pourrons également admirer les fastueuses voitures et les traîneaux de Louis II, exposés au musée des Carrosses. Retour en centre-ville. Déjeuner libre et début d'après-midi libre avant le transfert à l'aéroport et le vol vers Paris.

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J 1 : Paris - Vienne Vol vers Vienne dans la matinée. Départ, en transports en commun, vers le cœur de Vienne. Déjeuner inclus. Commencée en style roman, la cathédrale Saint-Etienne fut continuée en style gothique et resta finalement inachevée. Cheminant dans le réseau serré des ruelles, nous ferons une promenade à travers les quartiers médiévaux de la ville, qui nous mènera, passant par le Fleichmarkt et le Hohermarkt puis devant l'ancien hôtel de ville, vers l'église Saint-Rupert puis le Burgtheater et la place du nouvel hôtel de ville. Dîner inclus. Nuit à Vienne en hôtel 4*.

J 2 : VienneTrajet en tramway vers le palais du Belvédère où se tient l'exposition Gustav Klimt et Josef Hoffmann. Pionniers du Modernisme. Le Belvédère, qui possède la plus grande collection d'œuvres de Gustav Klimt, mettra ici en évidence les relations fructueuses qui se nouèrent entre le peintre, fondateur du mouvement Sécession de Vienne, et l'architecte Josef Hoffmann. Klimt réalisa en effet, au début de sa carrière, de nombreux décors muraux pour des édifices publics. Déjeuner inclus. L'après-midi, nous évoquerons la dynastie des Habsbourg dans la crypte des Capucins où elle est rassemblée dans son dernier sommeil. Puis, dans la Hofburg, nous découvrirons les richesses du trésor du palais impérial. Nous achèverons la journée par une promenade dans la rue commerçante de la Kartner Strasse. Dîner libre. Nuit à Vienne.

J 3 : VienneMatinée consacrée à la visite du château de Schönbrunn que nous atteindrons en métro. Dans la résidence d’été de la famille impériale, le baroque s’apaise dans les lignes architectu-rales, tandis que le rococo s’épanouit encore dans la décoration intérieure. Nous visiterons les salles d’apparat du château, marquées par la présence de l’impératrice Marie-Thérèse, mais aussi par le souvenir du jeune Mozart qui s’y produisit. Déjeuner libre. Au Léopold Museum, nous découvrirons l'exposition Egon Schiele. Son art, sa vie, son temps qui nous permettra de mieux appréhender la personnalité de celui qui fut l'un des phares du mouvement expres-sionniste viennois. Les portraits taillés à la serpe mettent à nu les émotions et les tourments les plus secrets des modèles. L'après-midi, nous ferons une halte gourmande dans la célèbre pâtisserie Demel. Dîner libre. Nuit à Vienne.

J 4 : Vienne - ParisNous nous rendrons au Kunsthistorisches museum où nous visiterons l'exposition Conte d'hiver. La représentation de l'hiver dans la peinture européenne de Brueghel à Beuys. L'hiver et ses couleurs subtiles, les éclairages tendres sous le ciel voilé ou acérés de reflets glacés, ont inspiré les plus grands peintres depuis des siècles, chacun le traitant avec sa propre sensibilité - Pierre Bruegel l'Ancien, Goya, Turner, Monet, Sisley, Pissaro... Déjeuner libre. Dernière promenade pour découvrir un nouvel aspect de Vienne, celui qui lui fut imprimé par le mouvement Sécession. Nous verrons les pavillons édifiés par Otto Wagner, la Karlskirche et visiterons le pavillon de la Sécession, véritable manifeste de ce mouvement. Vol vers Paris en fin d'après-midi.

La visite de trois expositions Le trésor impérial de la Hofburg Les salles d'apparat du château de Schönbrunn

Un goûter à la celèbre patisserie Demel

LES POINTS FORTS

Le théâtre de Cuvilliés, dans la Résidence L'exposition Dürer, Cranach, Holbein Deux expositions Le château de Nymphenburg Un dîner à la Hofbrauhaus

LES POINTS FORTS

VienneA l'occasion des expositions Schiele, Contes d'hiver et Klimt

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Egon Schiele, Autoportrait

Albrecht Dürer, Johannes Kleberger

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Nous visiterons aussi l'exposition L'argent et la beauté. Botticelli et le bûcher des Vanités au cours de nos voyages à Florence

A l'occasion des expositions Vasari, Botticelli, Ammanati ou Bella Italia

J 1 : Paris - Florence Vol vers Florence. Déjeuner inclus. Une pro-menade nous conduira d'abord vers la place du Duomo. Nous découvrirons le baptistère, surtout connu pour sa Porte du Paradis, réa-

lisée par Ghiberti. Sa coupole est ornées de remarquables mosaïques d'inspiration byzantine, réalisées entre les XIIIe et XIVe siècles, que nous pourrons admirer de près en montant dans la galerie qui marque la base de la coupole. Nous visiterons le musée de l’œuvre du Dôme où nous découvrirons l’impressionnante Maesta de Duccio di Buoninsegna. Nous achéverons la journée par une promenade jusqu’à la place de la Seigneurie qui résume toute l’évolution politique de Florence. Elle est toujours dominée par l’imposant palazzo Vecchio et sa haute tour Arnolfo, symbole de l’indépendance de la République florentine. Dîner inclus. Nuit à Florence en hôtel 3*.

J 2 : FlorenceLe matin, nous retracerons à la galerie des Offices l’évolution picturale depuis les primitifs et Giotto jusqu’aux grands maîtres du baroque. Après le déjeuner inclus, nous nous rendrons au palais Médicis-Riccardi qui abrite une chapelle peinte par Benozzo Gozzoli. Le Cortège des Rois mages qui y figure permit à l’artiste de dresser un portrait étonnamment vivant de la famille Médicis. La construction de l’imposant palazzo Vecchio fut initiée en 1299. Nous y découvrirons la monumentale "Salle des Cinq-Cents", mais surtout les fresques de Bronzino dans la magnifique chapelle d'Eléonore de Tolède et le précieux Studiolo de François Ier, étrange cabinet de curiosités dont les merveilles étaient cachés derrière une série de tableaux aux allu-sions alchimiques. Dîner libre et nuit à Florence.

J 3 : Florence Le matin, nous franchirons l’Arno par l’insolite Ponte Vecchio, construit en 1345. Promenade dans le quartier de l’Oltrarno où nous visiterons l’église del Carmine et sa célèbre chapelle Brancacci, où les fresques de Masaccio consti-tuent l’acte de naissance véritable de la peinture à la Renaissance. Nous verrons aussi l’église Santo Spirito, au campanile élancé, où nous retrouverons le génie de Brunelleschi. Après le déjeuner libre, nous nous rendrons au palazzo Pitti, le plus imposant des palais florentins, à la façade interminable, qui abrite les collections de

Rendez-vous à Florence

Trésors de FlorenceIT 32 - 5 jours Du 13 au 17 sept. 2011, avec J.-P. GUIMBELOT Presto jusqu'au 10/07/11 : 1 230 €, puis 1 280 €

Florence, Sienne et la Toscane • IT 33 - 8 jours Du 25 sept. au 2 oct. 2011, avec C. VANDERHAEGHE Presto jusqu'au 20/07/11 : 1 925 €, puis 1 975 €Du 5 au 12 nov. 2011, avec P. PICART, Presto jusqu'au 31/08/11 : 1 925 €, puis 1 975 €

EXPO 234 / 235 - 4 jours

L'exposition illustre le rôle joué, dans la Florence du XVe siècle, par le monde de la finance dans la florai-son artistique de la Renaissance, à travers des œuvres majeures de Botticelli, Filippo Lippi, Beato Angelico, Paolo Uccello, Donatello...

Nous visiterons ccette exposition au cours de tous nos voyages EXPO 234 et EXPO 235

Nous visiterons ccette exposition au cours de voyages suivants :EXPO 235 du 25 octobre et du 10 novembre

L'exposition illustre l'identité des capitales régionales italiennes avant l'unification par des œuvres de Donatello, Botticelli, Michel Ange, Léonard de Vinci...

Nous visiterons ccette exposition au cours du voyage suivant :EXPO 234 du 14 septembre

Le Bargello présente de nombreuses œuvres de ce sculpteur qui travailla avec Michel-Ange et Vasari et dont les œuvres élégantes et sensuelles, de bronze ou de marbre, étaient destinées à l'ornement des places, villas et jardins construites ou réa-ménagées au temps de Côme et de François Ier de Médicis. L'exposition présente notamment une reconsti-tution de la fontaine conçue pour l'ornement de la gigantesque salle des Cinq Cents au Palazzo Vecchio.

J 1 : Paris - Florence Vol vers Florence. Déjeuner inclus. Une pro-menade nous conduira d'abord vers la du Duomosurtout connu pour sa Porte du Paradis, réa-

lisée par Ghiberti. Sa coupole est ornées de remarquables mosaïques d'inspiration byzantine, réalisées entre les XIIIpourrons admirer de près en montant dans la galerievisiterons le nous découvrirons l’impressionnante de Duccio di Buoninsegna. Nous achéverons la journée par une promenade jusqu’à la place de la Seigneuriel’évolution politique de Florence. Elle est toujours dominée par l’imposant palazzo Vecchio et sa haute tour Arnolfo, symbole de l’indépendance de la République florentine. Dîner inclus. Nuit à Florence en hôtel 3*.

J 2 : FlorenceLe matin, nous retracerons à la

Nous visiterons ccette exposition

Le Bargello présente de nombreuses œuvres de ce sculpteur qui travailla avec Michel-Ange et Vasari et dont les œuvres élégantes et sensuelles, de bronze ou de marbre, étaient destinées à l'ornement des places, villas et jardins construites ou réa-ménagées au temps de Côme et de François Ier de Médicis. L'exposition présente notamment une reconsti-tution de la fontaine conçue pour l'ornement de la gigantesque salle des Cinq Cents au Palazzo Vecchio.

Vasari, les Offices et le Ducà la galerie des Offices

Nous visiterons ccette exposition au cours de voyages suivants :EXPO 234 du 14 septembreEXPO 235 du 25 octobre

Peintre et architecte, premier des histo-riens d'art, Vasari fut, au XVIe siècle, l'homme du retour au pouvoir des Médicis. Côme Ier lui confia la maîtrise des trans-formations de la ville qui lui donnent encore son visage d'aujourd'hui, du réa-ménagement du Palazzo Vecchio à la construc-tion des Offices et du palais Pitti, reliés par le fameux corridor qui enjambe l'Arno au-dessus du Ponte Vecchio. L'exposition lui rend hommage à l'occasion de son cinq centième anniversaire.

Après vous avoir entraînés, au début de cette année, à la découverte des expositions et des plus beaux palais de Rome, nous vous proposons de visiter, cet automne, la belle Florence, à l'occasion des expositions qui s'y dérouleront autour de la célébration de la Bella Italia, mais aussi de ses génies propres comme Botticelli, Vasari ou Ammanati. De la Divine Comédie de Dante aux Vies des plus excellents peintres de Vasari, de Masaccio à Bronzino, de Donatello à Giambologna, votre itinéraire de visites vous permettra de mesurer l'extraordinaire fécondité du génie florentin à travers les siècles.

La Bella Italia. Art et identité des villes capitalesau Palais Pitti

L'argent et la beauté. Les banquiers, Botticelli et le bûcher des Vanitésau Palais Strozzi

L'eau, la pierre, le feu, Bartolomeo Ammanati sculpteurau Musée national du Bargello


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la galerie Palatine, riches surtout en œuvres des XVIe et XVIIe siècles, dont Giorgione, Raphaël, Titien, Tintoret, Rubens et bien d'autres. Dîner libre. Nuit à Florence.

J 4 : Florence - ParisLe Musée national du Bargello, le plus bel édifice civil de la Florence médiévale, abrite des collections de sculptures remarquables. Nous admirerons le David de Donatello que l’on pourra comparer avec celui réalisé par Verrocchio. Déjeuner inclus. Dans l'après midi, transfert à l'aéroport et vol vers Paris.

Les vols internationaux Paris/Florence et retour, avec ou sans escale Les taxes aériennes L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*4 repasLes transferts aéroport/hôtel en autocar privéLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : la visite de Florence s'effectue en partie sous forme de promenade à pied.La visite de la galerie du baptistère de Florence se fera sous la conduite d'une guide du monument par groupe de 15 personnes.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

EXPO 234/235 PRESTATIONS INCLUSES

EXPO 235 Prochains départs Forfait par personne25/10 - 28/10/11 avec Charlotte de Malet


10/11 - 13/11/11 Christophe Longbois-CanilPrix Presto jusqu’au 05/09/2011 1 150 €


EXPO 234 Prochain départ Forfait par personne14/09 - 17/09/11 avec Pascale Picart



L'exposition Clark à Giverny

EXPO 232 - 1 jour

Paris - Giverny - ParisRendez-vous place du Chatelet. Trajet vers Giverny. Après la maison et le jardin de Monet à Giverny nous visiterons l'exposition La collection Clark, de Manet à Renoir qui présente plus de 70 chefs-d'œuvre rassemblés par Sterling et Francine Clarck, héritiers du fondateur des machines à coudre Singer : une vingtaine de Renoir, des Monet, Manet, Pissarro, Sisley, Degas, Bonnard, Boudin, Caillebotte, Morisot, Cassatt... L'exposition présentera également des œuvres d'artistes pré-impressionnistes tels que Millet, Corot, et des toiles de peintres académiques comme Bouguereau, Troyon ou Gérôme.Déjeuner inclus. Retour à Paris en fin d'après-midi.

EXPO 232 Prochains départs Forfait par personne09/09/2011

Prix Presto jusqu’au 10/08/2011 185 €Prix à partir du 11/08/2011 195 €

30/09/2011Prix Presto jusqu’au 31/08/2011 185 €

Prix à partir du 01/09/2011 195 €

Le circuit de Paris à Paris en autocar privéUn repasLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio


Pour visiter cette expositionDe Berlin à DresdeAu cœur de l'AllemagneAL 39 - 5 jours Du 28 septembre au 2 octobre 2011, avec VÉRONIQUE BOCQUETPresto jusqu'au 25/07/11 : 1 385 €, puis 1 435 €

Au cours de nos voyagesen Ecosse ou en Allemagne

Exposition La Renaissance du NordA la Queen's Gallery d'Edimburg

L'exposition pré-sente notamment des dessisns et gravures d'Al-brecht Dürer et des tableaux mytholo-giques de Cranach. L'un de ses aspects le plus intéressants sera le rapprochement de nombreux dessins préparatoires de Holbein avec les tableaux achevés.

Cette exposi-tion est le fruit d'un travail de recherche dédié à l'exploration du mouvement du néo-réalisme dans la ville de Dresde durant la république de Weimar. Dresde connut un bref âge d'or au moment du redressement économique des années vingt et c'est dans ce contexte qu'y travaillèrent Otto Dix, Hans Grundig, Franz Radziwill, George Grosz et Franz Lenk qui seront entourés de nombreux artistes inconnus redécouverts à l'occasion de ce projet.

Pour visiter cette expositionTrésors d'EcosseGlasgow, Edimbourg, les Hébrides, le Loch NessGB 32 - 8 jours Du 7 au 14 août 2011, avec C. PIETTEPresto jusqu'au 05/06/11 : 2 255 €, puis 2 295 €

GB 33 - 4 jours

Du 25 au 28 août 2011, avec M. LAURENT,Presto jusqu'au 20/06/11 895 €, puis 935 €

Londres A l'occasion des expositions

La Galerie des Offices La Chapelle des Mages du palais Médicis-Riccardi

Les mosaïques du baptistère Saint Jean La chapelle Brancacci Le Palazzo Vecchio

LES POINTS FORTS

Et aussi...

Exposition Nouveau RéalismeA Dresde

Renoir, Loge au théâtre

Benozzo Gozolli, La chapelle des Mages


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Escapade à MadridES 95 - 4 jours

J 1 : Paris - MadridVol pour Madrid. A l'échelle de la longue histoire de la péninsule ibérique, Madrid est une cité récente puisque ce ne fut qu'au Xe siècle qu'y fut édifiée une forteresse maure. Intégrée au royaume de Castille dès le XIe siècle, Madrid ne se développa réellement que lorsque Philippe II décida d'en faire le siège de sa cour, mais elle devint alors rapidement l'une des principales villes d'Espagne et l'un de ses foyers artistiques les plus actifs.Nous nous rendrons à l’ermitage San Antonio de la Florida où repose Goya. Le peintre arago-nais décora la coupole d’une série de fresques d’une grâce et d’une fraîcheur étonnantes, dont les personnages penchés au balcon d'un ciel de printemps semblent aujourd'hui veiller tendrement sur son tombeau. Bien que placée dans un édifice religieux, ces fresques sont sans doute "la plus belle décoration profane qu’aucun palais ne put jamais avoir" (E. Tormo). Déjeuner inclus. L'après-midi, nous découvrirons la collection Thyssen qui retrace l’histoire de la peinture, des primitifs italiens aux maîtres contemporains. Près de huit cents toiles entraînent le visiteur dans un spectaculaire voyage pictural. Conférence, dîner inclus et nuit à Madrid en hôtel 4*.

J 2 : MadridLa matinée sera consacrée à la visite du musée du Prado. Nous y rencontrerons Greco, Zurbaran, Murillo et Vélasquez, dont le Prado conserve bien sûr les plus célèbres toiles, et à nouveau Goya, peintre de cour et témoin de son temps. Déjeuner libre. L'Académie des Beaux-Arts de

Les vols internationaux Paris/Madrid et retour sur lignes régulièresLes taxes aériennes L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners3 repasLes transferts en autocar privéLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites de Madrid s'effectuent sous la forme de promenades à pied et en transports en commun.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

ES 95 PRESTATIONS INCLUSES

Ce séjour madrilène sera placé sous des auspices doubles. Vous apprécierez la richesse et la diversité d’un patrimoine unique, au Prado, à la collection Thyssen ou au Centre Reina Sofia. Mais vous vous laisserez aussi entraîner par l'art de vivre à l'espagnole, entre promenades à la fraîche sur la Plaza Mayor et gastronomie locale dans des décors typiques.

San Fernando est un lieu charmant, étrange et désuet, qui abrite une collection éclectique, mais là aussi, c'est Goya qui occupe la place d'honneur, avec, entre autres, le célèbre Enterrement de la Sardine. Dîner libre et nuit à Madrid.

J 3 : MadridInstallé dans l'ancien atelier du peintre valencien, le musée Joaquin Sorolla (1863-1923) présente sa peinture. Du réalisme social typique de la fin du XIXe siècle, il évolua vers une recherche qui le rapproche des impressionnistes. Son habileté lui permet de rendre d'une façon remarquable tout l'éclat de la lumière méditerranéenne. Après le déjeuner libre, nous nous rendrons au centre d’art Reina Sofia qui offre une remarquable

rétrospective de l’art espagnol du XXe siècle, réunissant des œuvres de Dali, Miro, Tapiès et Picasso dont nous pourrons voir, bien sûr, l’inoubliable Guernica. Le dîner inclus sera pris au restaurant La Taverna Bola, où nous pourrons apprécier l'excellence de la cuisine madrilène. Nuit à Madrid.

J 4 : Madrid - ParisAu palais royal, nous toucherons du doigt l'étiquette somptueuse de la cour espagnole, au travers des tapisseries de la manufacture royale et des velours cramoisis qui ornent les innombrables pièces. Après le déjeuner libre, une promenade nous permettra d’apprécier les charmes du vieux Madrid, de la tour de Lujanes, qui fut le lieu de captivité de François Ier après le désastre de Pavie, aux arcades toujours animées de la plaza Mayor. Transfert à l'aéroport en fin d'après-midi et vol pour Paris.

Sorolla, La bata rosa

avec Pascal BonafouxNouvelles Escapades Villes d'Art

Et aussi avec Pascal Bonafoux...

Les fresques de Goya à San Antonio de la Florida

La plaza Mayor et ses arcades animées L'histoire de la peinture espagnole du musée du Prado au centre d'art Reina Sofia

L'atelier-musée Joaquin-Sorolla La cuisine et l'ambiance madrilène au restaurant La Bola

LES POINTS FORTS

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Du 29 juin au 2 juillet 2011, 1 450 €

Les grands musées de SuisseBerne, Bâle et les grandes expositions

Au cours de notre voyage, nous aurons l'occasion de découvrir les expositions suivantes :• La collection Hahnloser, célèbre ensemble d'œuvres postimpressionnistes,

à la fondation de l'Hermitage de Lausanne• Claude Monet au musée Marmottan et dans les collections suisses

à la fondation Gianadda• Klee et CoBra au Centre Paul-Klee • Constantin Brancusi et Richard Serra à la fondation Beyeler• Konrad Witz au Kunstmuseum de Bâle

ES 95 Prochain départ Forfait par personne27/10 - 30/10/11 avec Pascal Bonafoux

Prix Presto jusqu’au 25/08/2011 980 €Prix à partir du 26/08/2011 1 020 €


Ecrivain et critique d'art. Professeur d’histoire de l’art à l'université de Paris VIII-Saint-Denis.


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Le pays cathareFR 31 - 5 jours

FR 31 Prochain départ Forfait par personne21/09 - 25/09/11 avec Thomas Charpentier



Le circuit en autocar privé de Carcassonne à Carcassonne (Option de Paris à Paris : nous consulter) L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*4 repasLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : on ne peut accéder à Montségur que par une demi-heure de marche sur un sentier assez raide, partiellement aménagé en escaliers.


Emerveillés par le décor naturel, transportés dans un contexte historique et culturel plus dépaysant que bien des horizons lointains, vous revivrez, dans les paysages étonnants qui en gardent la trace, l’épopée intellectuelle et militaire qui opposa Occitans et Capétiens, cathares et dominicains. Aucun mystère : les mythes et les légendes sont superflus lorsque la réalité dépasse si allégrement la fiction.

J 1 : Carcassonne - Caunes-Minervois - Fontfroide

Rendez-vous, le déjeuner pris, en gare de Carcassonne . L'après-midi, nous nous rendrons au pied de la montagne Noire, dans le beau village de Caunes-Minervois qui a conservé quelques maisons médié-vales et Renaissance. Nous y visiterons son ancienne abbatiale bénédictine, fondée en 780. Nous partirons ensuite vers le massif des Corbières où, dans un frais vallon, se niche l'abbaye de Fontfroide qui fut jadis l’une des plus riches abbayes cisterciennes de France et, aujourd’hui encore, l’une des mieux préservées : on la cite souvent comme l'exemple parfait de la cité monastique telle qu'elle était rêvée par saint Benoît et saint Bernard. Elle fut aussi, lors de la croisade contre les Albigeois, l'un des principaux bastions de l’orthodoxie catholique face aux cathares. Retour à Carcassonne. Dîner inclus. Nuit à Carcassonne en hôtel 3*.

J 2 : Montségur - Mirepoix - FanjeauxLa religion cathare n’a plus de mystère pour les historiens : grâce aux minutieux procès-verbaux de l’Inquisition – qui constituent la source d’infor-mations la plus riche sur le catharisme –, nous connaissons très bien les idées, les pratiques et la vie quotidienne de ce mouvement. Ascension du pog de Montségur où votre conférencier vous racontera les derniers moments forts de l’épopée cathare. Déjeuner inclus. Nous visi-terons ensuite Mirepoix dont les pittoresques couverts et la cathédrale sont représentatifs de l’urbanisme médiéval et des particularités du gothique languedocien. Nous y conterons aussi l'histoire des seigneurs de Mirepoix qui soutinrent ardemment le catharisme. Après un détour par l’église rupestre de Vals, nous gagnerons Fanjeaux où nous évoquerons le rôle de saint Dominique et des frères prêcheurs dans la lutte de l’Eglise catholique contre le catharisme. Dîner libre. Nuit à Carcassonne.

J 3 : Puylaurens - Cucugnan - QuéribusQuéribus et Puylaurens faisaient partie de ces "cinq fils de Carcassonne", impressionnante ligne de forteresses. L’altière citadelle de Puylaurens est comme un traité d’architecture militaire à ciel ouvert. Après le déjeuner inclus, nous ferons, dans le village de Cucugnan, une parenthèse littéraire autour du fameux conte d’Alphonse Daudet Le Curé de Cucugnan. Enfin, nous gagnerons le château fantastique de Quéribus, étrangement posé sur un à-pic vertigineux. Il vit mourir le dernier évêque cathare et fut, onze ans après la chute de Montségur, l’une des ultimes places

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fortes investies par les troupes royales. Dîner libre. Nuit à Carcassonne.

J 4 : Puivert - Arques - AletLe matin, nous visiterons le château de Puivert qui fut certainement l’un des plus riches et des plus luxueux de la région. Dans le donjon, nous admirerons la fameuse salle des Musiciens, reflet de la vie douce et des

mœurs raffinées dont tout l’édifice porte témoi-gnage. Au musée du Quercorb, nous pourrons voir et entendre des instruments médiévaux reconstitués d’après les sculptures de la salle des Musiciens du château. Déjeuner inclus. Nous rejoindrons ensuite le château d’Arques, noble demeure résidentielle de la fin du XIIIe siècle. Nous visiterons enfin le village et l’abbaye romane d’Alet-les-Bains. Choisie comme siège d’un évêché, Alet joua un rôle essentiel dans le redéploiement de l’autorité catholique dans la région. Dîner libre. Nuit à Carcassonne.

J 5 : Villerouge - Termenès - Carcassonne

Allant à la rencontre d’une figure importante de l’hérésie cathare, Guillaume Belibaste, dernier religieux à périr sur le bûcher, nous gagnerons le château de Villerouge-Termenès sans oublier, au passage, le village médiéval de Lagrasse, célèbre pour son abbaye aujourd'hui en pleine renaissance. Déjeuner libre à Villerouge. Nous conclurons ce voyage sur l’évocation de l’union au royaume de France en faisant le tour de la cité de Carcassonne, de la vieille enceinte des vicomtes à l’imprenable rempart des maîtres d’œuvre français. Nous retrouverons le choc de ces deux cultures dans l’ancienne cathédrale Saint-Nazaire dont la nef est un bel exemple du roman languedocien, et le chœur, l’œuvre des meilleurs architectes et verriers d’Ile-de-France. Nous nous séparerons en fin d’après-midi en gare de Carcassonne.

Le château de Quéribus

La cité de Carcassonne Le pog de Montségur L'abbaye cistercienne de Fontfroide Le couvent de Fanjeaux, fondé par saint Dominique

La citadelle de Puylaurens Le château de Quéribus

LES POINTS FORTS

Carcassonne, Montségur, Puylaurens, Quéribus, Puivert

Du 14 au 16 septembre 2011, Prix Presto jusqu’au 10/08/11 : 770 €, puis 795 €

Sur les pas de Monet en NormandieGiverny, Rouen, Le Havre, Honfleur

La Normandie tient une place toute particulière dans l'histoire de l'Impressionnisme. Monet passa toute son enfance au Havre et y rencontra Boudin, la ferme Saint-Siméon, proche de Honfleur, accueillit les artistes de la nouvelle école, à Rouen Monet peignit sa série des Cathédrales et c'est à Giverny qu'il termina son œuvre. Nous visiterons au cours de ce voyage l'exposition La collection Clark, de Manet à Renoir, au musée des Impressionnismes, qui présente soixante dix chefs-d'œuvre dont une vingtaine de Renoir.

Claude Monet, Etretat

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Du 6 au 10 octobre 2011, Prix Presto jusqu’au 05/08/11 : 1 380 €, puis 1 420 €

Trésors de l'Italie médiévaleSienne, Assise, Arezzo

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Les grands musées du NordFR 73 - 3 jours

J 1 : Paris - LilleRendez-vous le matin place du Châtelet et départ pour Lille. Déjeuner inclus. Nous commencerons nos visites par l’hospice Comtesse, fondé en 1236 par Jeanne de Flandres à l’intérieur même de son palais, pour accueillir pauvres malades, pèlerins et voyageurs. Les bâtiments que nous visitons aujourd’hui furent édifiés entre le XVe et le XVIIe siècle. Cette magnifique architecture où les voûtes d’ogive se mêlent à des éléments d’une Renaissance fortement marquée par les particularités flamandes et espagnoles, abrite aujourd’hui un musée. Nous poursuivrons notre promenade historique dans le Vieux-Lille par l’emplacement de l’ancien canal de la Basse-Deûle, asséché mais toujours enjambé par le Pont-Neuf, et nous visiterons l'église Sainte-Marie-Madeleine, édifiée en 1675 par François Vollant, en style baroque flamand. Désaffectée en 1989, elle fut restaurée et reconvertie en salle d’exposition dédiée à l’art contemporain. Dîner inclus. Nuit à Lille en hôtel 3*.

J 2 : Lille - RoubaixUne promenade architecturale nous mènera du palais Rihour à la place du Théâtre, en passant par la Vieille Bourse, joyau de l’architecture de la Renaissance flamande. Nous nous rendrons ensuite au palais des Beaux-Arts, l’un des plus riches musées de France. Dans cet imposant édifice néoclassique, nous découvrirons d’innom-brables chefs-d’œuvre de la peinture européenne avec d’exceptionnelles collections des écoles flamande, hollandaise et française, mais aussi quelques œuvres majeures de Véronèse, Tintoret, Goya, Le Greco… sans oublier le cabinet des sculptures du XIXe siècle, illustrées par Rodin, Camille Claudel ou Carpeaux. Après le déjeuner libre, nous gagnerons Roubaix. Au XIXe siècle, Roubaix était devenue la "ville aux mille chemi-nées", capitale mondiale de l’industrie de la laine. Elle était encore opulente en 1927 lorsque son maire, Jean-Baptiste Lebas, voulut doter sa cité d’une piscine prestigieuse. L'architecte Albert Baert opta pour une réalisation dans le style Art déco qui est une merveille du genre et était considérée en son temps comme la plus belle piscine de France. Fermée en 1985, la piscine fut admirablement restaurée et transformée en musée. Devenue La Piscine, musée d’art et d’industrie André-Diligent, c’est dans un décor qui représente l’apogée de l’architecture éclectique des années trente, où se mêlent des apports byzan-

Capitale des Flandres, au cœur d’une région qui comptait parmi les plus riches de l’Europe médiévale et moderne, Lille fut longtemps l’objet de toutes les convoitises. La puissance des grandes familles d’industriels du XIXe siècle, parmi lesquelles se comptaient nombre d’amateurs d’art, fut à l’origine des collections remarquables qui enrichissent ses musées. Nous ne négligerons pas d’aller découvrir la Piscine de Roubaix, qui s’est imposée comme l’un des pôles les plus vivants en matière de présentation d’art moderne et contemporain ou le musée des Beaux-Arts d’Arras, installé dans l’ancienne abbaye bénédictine de Saint-Vaast...

Le circuit en autocar privé de Paris à Paris L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*3 repasLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : la visite de Lille s'effectuera sous forme de promenade à pied.


Le patrimoine de Lille




L'hospice Comtesse à Lille La Vieille Bourse de Lille Le palais des Beaux-Arts de Lille Le musée de la Piscine à Roubaix Le LaM à Villeneuve d’Ascq Le musée des Beaux-Arts d'Arras

LES POINTS FORTS

Un tour de France

avec

Charlotte de Malet

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tins et mauresques, que nous verrons les collections de peinture, sculpture, dessin, textile, mode, design et céramique qui évoquent toutes les facettes de l’art et de la société au

XIXe et dans la première moitié du XXe siècle. Retour à Lille. Dîner libre. Nuit à Lille.

J 3 : Lille - Villeneuve d'Asq - Arras - ParisNous partirons d’abord vers Villeneuve d’Ascq, où nous visiterons le LaM – Lille Métropole Musée d’art moderne, d’art contemporain et d’art brut. Nous y découvrirons, sur un site résolument moderne, les œuvres issues des collections privées de la famille Masurel et de la donation effectuée en 1999 par la fondation L’Aracine, consacrées respectivement à l’art contemporain et à l’art brut. En fin de matinée, nous partirons vers Arras. Déjeuner inclus. Promenade dans les rues calmes du centre-ville vers la Grand’Place et la place des Héros, aux remarquables façades de style baroque flamand. Au musée des Beaux-Arts, installé dans l’ancienne abbaye Saint-Vaast, nous découvrirons une exceptionnelle collection de sculptures médiévales, dont les célèbres Anges de Saudemont, des peintures des écoles fla-mande et française du XVIIe siècle, et une belle collection de porcelaines d’Arras et de Tournai. Retour à Paris en début de soirée.

Passionnée par l'Europe de l'art qu'elle fréquente assidûment en compagnie des voyageurs de Clio, Charlotte de Malet s'enthousiasme aussi pour le patrimoine des capitales de nos régions dont elle affirme qu'elles n'ont rien à envier à celles de l'Italie ou de l'Espagne. Son amour de l'archéologie, de l'Histoire et de la peinture lui a inspiré quelques itinéraires passionnants à la redécouverte des richesses souvent méconnues des grandes villes françaises.

"Après vous avoir fait redécouvrir avec succès Nancy et Marseille, je vous propose de faire un tour à l'automne dans le Nord et dans le Centre de la France.A Lille, Arras et Roubaix, nous verrons comment l'opulence passée du pays des comtes de Flandre se retrouve dans la richesse de son architecture et de ses collections artistiques et comment la prospérité industrielle au XIXe siècle et le dynamisme de ses cités contemporaines ont pris le relais pour en faire un territoire où l'art et l'architecture du passé et du présent se combinent grâce à une étonnante alchimie. A Bourges, au cœur du Berry, loin des agitations du monde, nous retrouverons les paisibles splendeurs des Très riches heures du Duc de Berry, les paysages romantiques de Sologne, et le silence cossu du Palais Jacques Cœur, à peine troublé par l'activité intense mais délicate des faienceries."

Charlotte de Malet

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La Piscine de Roubaix


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ses plafonds en caissons peints de scènes allégoriques et découvrirons une étonnante collection de meubles miniatures qui déclinent tous les styles du Louis XVI à l'Art nouveau. Nous évoquerons ensuite le personnage historique le plus célèbre de Bourges en visitant le palais de Jacques Cœur. Premier des grands financiers français, qui bâtit sa fortune en spéculant sur les monnaies, en investissant dans les secteurs les plus diversifiés de l'économie en pleine évolution de cette fin du Moyen-Age, puis en se livrant au grand commerce méditerranéen, Jacques Cœur devint maître de la Monnaie de Bourges en 1435, puis Grand Argentier du Roi en 1439. Sa fortune lui permit de faire construire, en moins de dix ans, un fastueux palais. Si ce chef-d'œuvre de l'architecture gothique tardive est remarquable par les sculptures qui ornent sa façade, il l'est aussi par son aménagement intérieur fonctionnel, bien différent de celui des châteaux médiévaux et qui préfigure ce que seront les hôtels particuliers dont se dotera ensuite la grande bourgeoisie. Dîner libre. Nuit à Bourges.

J 3 : Bourges - Ainay Mehun - Paris Quittant Bourges, nous irons visiter le château d'Ainay-le-Vieil. Forteresse féodale du XIVe

siècle construite pour Jean de Sully, il fut acquis par Jacques Cœur qui y résida quelque temps. Nous gagnerons ensuite Mehun-sur-Yèvre. Déjeuner inclus. Visite des vestiges du château de Mehun-sur-Yèvre où mourut le roi Charles VII, château médiéval qui fut transformé par l'architecte Guy de Dammartin, à la fin du XIVe siècle, en luxueuse résidence pour le duc Jean de Berry. Retour à Paris en fin de journée.

FR 72 - 3 jours

J 1 : Paris - Gien - Bourges Rendez-vous le matin, place du Châtelet. Nous ferons un premier arrêt à Gien. La ville, sise au bord de la Loire, se développa autour d'un château construit par Charlemagne, mais c'est la renommée de ses faïences qui dona tout son prestige à la petite cité. La visite du musée de la Céramique nous contera comment la fabrique de céramique de Gien, fondée en 1821 par l'industriel anglais Thomas Edme Hulm pour fabriquer de la vaisselle utilitaire, évolua progressivement vers la céramique décorée. A la fin du XIXe siècle, Gien fournissait les tables les plus prestigieuses de la grande bourgeoisie française et développa aussi une nouvelle technique d'émaux cloisonnés. Déjeuner inclus. A travers le paysage roman-tique des étangs de Sologne, nous gagnerons Bourges. Ville royale, capitale du duché de Berry, la ville connut son âge d'or sous la direction de Jean Ier de Berry, dit "Jean le Magnifique", comme en témoignent les célèbres enluminures des Très Riches Heures du duc de Berry. A notre arrivée, nous visiterons la cathédrale Saint-Etienne , l’un des premiers chefs-d’œuvre gothiques de France. D'une remarquable unité de style, elle est aussi riche des sculptures qui ornent les tympans de ses portails, dont un exceptionnel Jugement dernier. Elle a aussi conservé quelques-uns de ses vitraux des XIIIe et XIVe siècles. Dîner inclus. Nuit à Bourges en hôtel 3*.

J 2 : Bourges Matinée consacrée à la visite du musée du Berry, installé depuis plus d'un siècle dans l'hôtel Cujas, édifié en 1515. Nous y retracerons l'histoire de Bourges à travers les collections archéologiques qui présentent de rares objets gallo-romains

et les sculptures de la grande époque des ducs de Berry : les pleurants du tombeau de Jean de Berry et les sculptures de la Sainte-Chapelle de Bourges... Après le déjeuner libre, nous irons découvrir le musée des Arts décoratifs, installé dans l'hôtel Lallemant qui fut le premier édifice Renaissance de Bourges. Nous y admirerons

Jules César au siège d'Avaricum, le raffinement et la prospérité des ducs de Berry, l'impitoyable lutte entre Armagnacs et Bourguignons, Charles VII, Jeanne d'Arc et Gilles de Retz, Jacques Cœur et la belle Agnès Sorel, le jeune Louis – futur quatorzième du nom – réfugié à Bourges durant la Fronde, seront autant de personnages que nous ferons revivre et qui nous serviront de fil conducteur pour découvrir la "bonne cité de Bourges", au cœur de ce Berry célébré par Georges Sand.

Le patrimoine de Bourges

La cathédrale Saint-Etienne de Bourges

Le musée des Arts décoratifs dans l'hôtel Lallemant

Le palais de Jacques Cœur Le château d'Ainay-le-Vieil

LES POINTS FORTS

Et aussi avec

Charlotte de Malet

La cathédrale de Bourges

Du 15 au 18 septembre 2011, Presto jusqu'au 10/07/11 : 730 €, puis 780 €

La lumière de la Méditerranée et le charme de la Côte d'Azur

ont exercé une irrésistible attraction sur les plus grands

maîtres du XXe siècle. Un parcours éblouissant

entre les lieux où ils vécurent et les paysages qui les

inspirèrent dans ce pays du soleil qui abrite plusieurs des plus prestigieuses collections

nationales, du musée du Message biblique Marc-Chagall

au musée national Fernand-Léger...

La Côte d'Azur et ses artistes FR 92 - 4 jours

Au pays de Jacques Cœur




Le circuit en autocar privé de Paris à Paris L’hébergement en chambre double avec petits déjeuners en hôtel 3*3 repasLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : la visite de Bourges s'effectue en partie sous forme de promenade à pied.

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IT 44 - 4 jours

J 1 : Paris - Naples - Ravello

Vol vers Naples. Arrivée en fin de matinée. Déjeuner inclus. Promenade à pied au cœur de ce qui fut la capitale du royaume des Deux-Siciles. Ses richesses historiques et artistiques datent pour l'essentiel de la période des vice-rois d'Espagne. Le quartier de Castel Nuovo et Toledo abrite palais aristocra-tiques et places monumentales, conçues pour accueillir festivités et cérémonies, et le théâtre San Carlo, l'un des plus vieux opéras au monde, que Rossini et Donizetti ont dirigé. En fin d'après-midi, nous rejoindrons la côte amalfitaine et Ravello, où nous nous installerons à l'hôtel Rufolo 4*. Dîner inclus. Concert en soirée à la villa RufoloŒuvres de Franz LisztRécital par Mario Angiolelli, pianoNuit à Ravello.

J 2 : Ravello - Amalfi - PositanoNous commencerons notre journée par la visite de la villa Cimbrone, demeure aristocratique du XIXe siècle, aux décors architecturaux antiques, qui surplombe la falaise. Nous irons ensuite à Amalfi, ancienne puissance maritime médié-vale ouverte sur l'Orient. Nous y visiterons le Duomo di San Andrea, cathédrale du IXe siècle dont l'architecture témoigne de la richesse des échanges commerciaux et culturels avec Byzance. En fin de matinée, nous embarque-rons pour rejoindre, par la mer, le pittoresque port de Positano. Déjeuner inclus. Nous nous promènerons dans ce village dont les façades des plus anciennes maisons sont décorées de stucs baroques. Nous rejoindrons Ravello par la route qui longe la côte. Nous visiterons alors le Duomo, puis la villa Rufolo. Dîner inclus. Nuit à Ravello.

J 3 : Caserte - Stabiae Nous gagnerons Caserte où nous visiterons le château conçu par Charles III de Bourbon, qu’il voulait assez vaste pour rivaliser avec les grandes cours européennes. Après le déjeuner inclus, nous nous rendrons à Stabiae, site antique ravagé par l’éruption du Vésuve, où nous visiterons la villa San Marco et la villa Ariadne. Retour à Ravello.

Concert en soirée à la villa RufoloŒuvres de Jean-Sébastien Bach Récital par Gianluigi Giglio, guitareDîner inclus. Nuit à Ravello.

J 4 : Oplontis - Tivoli - Paris (310 km)Le matin, nous prendrons la route vers Torre Annunziata. Nous y visiterons la villa d’Oplontis , la résidence de Poppée, témoin de l’élégance et de la richesse des villégiatures romaines. Nous terminerons notre voyage à Tivoli où nous dévouvrirons la villa d’Este , bâtie en 1550, qui offre l’un des plus beaux exemples des jardins de la Renaissance italienne, et modèle pour le développement des jardins en Europe. Déjeuner libre. Trajet vers l’aéroport de Rome. Vol vers Paris en soirée.

C'est un voyage d'exception que nous vous proposons. Au sud de la baie de Naples, la côte amalfitaine, classée au patrimoine mondial de l'humanité, vous permettra de découvrir des sites spectaculaires dont le charme et le pittoresque demeurent irrésistibles. Vous séjournerez à l'hôtel Rufolo, surplombant la mer tout près des jardins de la villa Rufolo. C'est précisément dans cette villa que vous assisterez à deux concerts classiques uniques. Notre voyage sera l'occasion de découvrir les villas de Stabies, magnifiques exemples de résidences patriciennes romaines, ainsi que les incomparables jardins de la villa d'Este.

Les vols internationaux Paris/Naples et Rome/Paris avec ou sans escaleLes taxes aériennes L'hébergement en chambre double en hôtel 4* La pension complète du déjeuner du 1er jour au petit déjeuner du 4e jourLe circuit en autocar privé Les visites et les concerts mentionnés au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites des sites et du centre historique des villes s'effectuent sous forme de pro-menades à pied. FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

IT 44 PRESTATIONS INCLUSES

IT 44 Prochain départ Forfait par personne12/10 - 15/10/11 avec Charlotte de Malet

Prix Presto jusqu’au 10/08/2011 Ch. dble standard vue sur jardin 1 495 € 1 595 €Ch. dble supérieure vue sur mer 1 565 € 1 615 €Chambre individuelle : nous consulter

LES POINTS FORTS Deux soirées musicales dans un cadre unique Votre hôtel de charme "Villa Rufolo" avec une vue magnifique sur la mer

Oplontis et Stabies Le cœur de Naples Le pittoresque de la côte amalfitaine Les jardins de Caserte et de la villa d'Este

POUR TOUS AVEC RÉSERVE

Ravello

Du 13 au 18 septembre 2011, avec François Choquenot, Presto jusqu'au 10/07/11 : 1 340 €, puis 1 390 €

Les lacs italiens et les îles BorroméesIT 45 - 6 jours

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Du 17 au 22 septembre 2011, avec Eric Montmaud, Presto jusqu'au 15/07/11 : 1 415 €, puis 1 465 €

Ravenne, Milan et AquiléeLes trésors de l'Italie byzantine

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Du 16 au 23 septembre 2011, avec Michel LhéritierPresto jusqu'au 15/07/11 : 2 185 €, puis 2 235 €

Volcans d'ItalieVésuve, Etna, Stromboli et les îles EoliennesIT 95 - 8 jours

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La place de la Seigneurie constitue un magnifique ensemble architectural et artistique où se superposent les traces de l'histoire de la ville. Au Moyen Age, la cité est déchirée entre les Gibelins, qui soutiennent les intérêts impériaux et laïcs, et les Guelfes qui sont partisans du pape. La place de la Seigneurie prend forme quand les Guelfes l'emportent, en 1266, et rasent les maisons-tours des nobles Gibelins exilés puis bâtissent sur leurs ruines, à la fin du XIIIe siècle, le palais destiné à abriter les institutions de la nouvelle République. La place doit son nom au palais della Signoria, siège du gouvernement où vivaient ensemble et cloîtrés les Prieurs des Arts et les gonfaloniers de la Jus-tice, élus tour à tour pour deux mois afin de n'être pas tentés de s'approprier le pouvoir. Forteresse d'un style gothique sévère, ce palais conservera sa fonction de résidence officielle des représentants politiques de la ville sous le règne des Médicis. Quand, en 1494, après la fuite de Pierre de Médicis devant les troupes françaises de Charles VIII, le prieur domi-nicain Jérôme Savonarole fonde une république de la Vertu, il y résidera à son tour. La place de la Seigneurie est alors le théâtre de ses prêches enfiévrés où, contre l'humanisme de la Renaissance, il en appelle à un retour à l'ascétisme chrétien. Il y fait dresser les "bûchers des vanités" où les Florentins repentants viennent jeter pêle-mêle parures, miroirs, livres, instruments de musique et tableaux profanes. C'est sur cette même place qu'il montera à son tour sur le bûcher le 23 mai 1498. Après le retour des Médicis au pouvoir au XVIe siècle, le grand duc Côme fera réaménager le Palazzo della Signoria par Vasari pour en faire une demeure grand-ducale plus plaisante, ornée de somptueux décors mêlant histoire et correspondances mythologiques à la gloire de la dynastie. Avec ses gracieuses colonnes adornées par Vasari, l'élégante cour à portiques qui s'ouvre sur la place illustre cette seconde

Pour découvrir Florence avec Clio

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vie du palais. C'est lorsque le grand duc s'installe, à la fin du XVIe siècle, au palais Pitti, que le Palazzo della Signoria prend le nom de Palazzo Vecchio. A l'opposé du Palazzio Vecchio s'ouvrent les monumentales arcades du palais des Offices, chef-d'œuvre de Vasari destiné à loger l'administration du grand-duché. Aujourd'hui, le palais des Offices est surtout, pour nous, l'écrin d'une des plus riches galeries de peintures du monde : de la terrasse du café Rivoire, on se prend à rêver, en regardant ses fenêtres, que l'ange de Simone Martini ou la Vénus de Botticelli viennent parfois s'y pencher pour admirer les statues de la place…

Un musée à ciel ouvert : l'eau et le feuDans la Loggia dei Lanzi et sur la place se presse une foule de statues à l'histoire mouvementée, car les maîtres de la ville, républicains ou Médicis, se battent sou-vent à coups de chefs-d’œuvre exposés sur la place pour immortaliser chacun de leur triomphe, si éphémère soit-il souvent.En 1495, Benvenutto Cellini signe le Persée brandissant la tête de Méduse. Ce calme triomphe sur la Gorgone qui sym-bolise la force maîtrisée et la confiance en la destinée humaine est pourtant le

Trésors de Florence • IT 32 - 5 jours • Du 13 au 17 septembre 2011, avec Jean-Paul Guimbelot,


Florence, Sienne et la Toscane • IT 33 - 8 jours • Du 25 septembre au 2 octobre 2011, avec Catherine Vanderhaeghe,

Presto jusqu’au 20/07/11 : 1 925 €, puis 1 975 €• Du 5 au 12 novembre 2011, avec Pascale Picart,


La place de la seigneurie à FlorenceLe cœur politique de Florence

fruit d'un défi technique que l'orgueilleux Cellini mit tant de fièvre à relever qu'il y brûla sa maison ! Au même moment, en 1495, les républicains installent à la porte du Palazzo Vechhio la splendide Judith tuant Holopherne de Donatello, commandée par… les Médicis juste avant leur chute. Sous la Loggia dei Lanzi, on découvre un Enlèvement des Sabines de Giambologna où le beau mouvement des corps en spirale fut arraché à un bloc ingrat dont personne ne savait que faire. Le Neptune de la fontaine qui orne la place a le visage de Cosme Ier et symbolise les efforts de Florence pour créer une flotte de galères et dominer les mers. Mais l'eau coule aussi pour faire oublier aux Florentins le feu : autour de Neptune s'ébattent joyeusement les faunes et naïades sen-suels d'Ammanati, images de la licence si violemment condamnée naguère par le républicain Savonarole… Enfin, s'affrontent de part et d'autre de l'entrée du Palazzo Vecchio une copie du sublime David de Michel-Ange, dont l'original est à l'Académie, et le Hercule et Cacus de Bandinelli. Le David avait été commandé à Michel-Ange par la République pour célébrer la défaite des Médicis identifiés à Goliath. Hercule, sous les traits de Cosme Ier, devait lui faire pendant et affirmer le triomphe des Médicis. Baccio Bandinelli, qui le réalisa, fut peut-être moins inspiré par la facile victoire d'Hercule sur un simple voleur de vaches ? Lorsqu'il fut dévoilé en 1534, il déclencha les lazzis des Florentins et Vasari, rival de Bandinelli, moqua sa musculature hypertrophiée qui le fait res-sembler à "un sac plein de melons"… Entre les deux, le lion, emblème de la Florence républicaine : le Marzocco de Donatello se souvient que, du Moyen Age au XVIIIe siècle, on entendait ici les rugissements des lions de chair et d'os, totems de la ville, respectés par tous les pouvoirs qui se sont succédé à Florence ; ils ont laissé leur nom à la via dei Leoni qui passe derrière le Palazzo Vecchio...

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Noël à Florence • IT 14 - 4 jours • Du 22 au 25 décembre 2011,

avec Jacqueline Franconnet, Prix disponible le 30 juin 2011

Florence à l'occasion des expositions EXPO 234 / 235 - 4 jours Programme, dates et prix, voir page 8.


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Le Versailles viennoisSymbole éloquent de la puissance et de l'influence de la maison des Habsbourg en Europe, le château de Schönbrunn consti-tue un témoin précieux des goûts, des inté-rêts et des aspirations d'une succession de souverains de la fin du XVIIe au début du XXe siècle. Fusion magistrale de différentes formes artistiques, c'est un exemple excep-tionnel de "Gesamtkunstwerk", véritable chef-d'œuvre accompli.

La "belle fontaine"L'histoire du monument de Schönbrunn remonte à Maximilien II, quand ce der-nier fit l'acquisition, en 1569, d'un pre-mier petit manoir qu'il transforma en château de chasse, entouré d'un jardin garni d'étangs. Dévasté en 1605 par les Hongrois, le domaine fut ensuite réamé-nagé par l'empereur Mathias, à qui l'on attribue la découverte, faite lors d'une chasse, d'une source particulièrement belle qui aurait donné son nom au lieu: "Schöner Brunnen", en allemand "la belle fontaine". Toutefois les Turcs ayant brûlé entièrement la résidence d'été des Habs-bourg, lors du second siège de 1683, elle fut à nouveau reconstruite en 1695 par Léo-pold Ier, qui souhaitait revendiquer à travers ce palais toute la force et la splendeur de son empire. En effet, après cette dernière victoire décisive sur les Turcs, l'empereur entendait posséder un château aussi pres-tigieux que Versailles, la référence absolue en matière d'architecture et l'incarnation éclatante du pouvoir.

L'œuvre de Fischer von ErlachLéopold Ier commanda ainsi à Johann Bern-hard Fischer von Erlach un nouvel édifice destiné à être la résidence de son héritier, l'archiduc Joseph. L'architecte von Erlach avait reçu comme première formation la sculpture, avant de travailler comme artiste en Italie pendant une dizaine d'années, fréquentant entre autres le cercle du Bernin. Son tout premier projet pour Schönbrunn était absolument grandiose, mais le sou-verain, trouvant l'entreprise trop dispen-dieuse, demanda finalement à l'architecte

furent, quant à eux, aménagés au début du XVIIIe siècle par Jean Tréhet, élève de Le Nôtre dans le plus pur goût français. Toujours ouverts au public, ils étaient agré-mentés de fausse ruines romaines, d'une gloriette et d'une riche statuaire, apanage des luxueux palais baroques du temps. L'intention d'origine, dès leur conception au XVIIIe siècle, était à la fois de glori-fier la maison des Habsbourg mais aussi de rendre hommage à la nature. Ainsi,

l'orangerie ne servit pas seulement à assou-vir la passion de Marie-Thérèse pour la culture des plantes exotiques mais aussi à répondre à son désir de multiplier les fêtes et les spectacles.

Napoléon à SchönbrunnAu XIXe siècle, le palais fut le théâtre d'événements historiques de première importance. Sous l'occupation française en 1805 et en 1809, Schönbrunn fut le quartier général de Napoléon qui y signa le 14 octobre 1809 le traité auquel le châ-teau donna son nom. Le 22 juillet 1832, l'Aiglon rendait son dernier soupir dans la chambre que son père avait habitée. Quant à l'Empereur François-Joseph et son épouse Elisabeth (Sissi), ils y passèrent la majeure partie de leur vie, comme en témoignent encore aujourd'hui les appar-tements de l'aile ouest du château. Consi-déré comme l'un des plus riches ensembles baroques en Europe, le château de Schön-brunn et ses jardins, aujourd'hui situés dans le centre de Vienne, sont classés au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1996.

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Pour visiter Schönbrunn avec Clio

d' inverser ses plans, établissant pour finir le château au pied de la colline et non au sommet comme il l'avait d'abord envisagé. En 1696, commencent alors les travaux d'un des plus importants complexes rési-dentiels princiers de l'époque. Quand le palais fut fini en 1711, Schönbrunn rap-pelle fortement Versailles par son plan, sa grande galerie et aussi par la longue ordonnance des pilastres de la façade sur jardin, mais semble également s'inspirer

de la Maison Dorée de Néron, telle que Fischer la représentera dans son fameux ouvrage "Développement historique de l'architecture" qu'il publiera en 1721.En 1740, sous le règne de Marie-Thérèse, Schönbrunn est choisi comme résidence permanente, devenant ainsi le cœur de la vie courtisane et politique des Habsbourg. Tout en conservant son organisation pre-mière, héritée de von Erlach, le château est transformé, sous la direction de Niko-laus Pacassi, de 1744 à 1749, en somp-tueux palais de style rococo. L'ensemble respire le goût délicat du XVIIIe siècle, la recherche infinie de grâce et d'harmonie et correspond à ce que l'on peut décou-vrir sur le site aujourd'hui. Les intérieurs du château, à l'imitation de ce qui se faisait alors à Versailles et en Allemagne, sont éclectiques et raffinés, décorés de boiseries d'inspiration extrême-orientale, ornés de laques ou de miniatures hindoues. C'est dans la Salle des Glaces, qu'en 1762, Marie-Thérèse et sa famille assistèrent au concert de deux petits enfants prodiges, Wolfgang Amadeus âgé de 6 ans et sa soeur Nannerl, âgée de 9 ans. Les jardins

Schönbrunn

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Grande croisière sur le DanubeRoumanie, Bulgarie, Serbie, Hongrie, AutricheCF 40 - 12 jours • Du 13 au 24 juillet 2011, avec Geneviève Lasserre,

à partir de 3 325 €• Du 11 au 22 août 2011, avec Catherine Coudert,

Presto jusqu'au 10/06/11 à partir de 3 285 €, puis à partir de 3 335 €

• Du 17 au 28 septembre 2011, avec Geneviève Lasserre,Presto jusqu'au 15/07/11 à partir de 3 285 €, puis à partir de 3 335 €

dans le centre de Vienne, sont classés au patrimoine mondial de l'Unesco patrimoine mondial de l'Unesco

Vienne, à l'occasion des expositionsEXPO 229 - 4 jours Programme, dates et prix voir page 7.

Croisière musicale sur le Danube Programme, dates et prix voir page ci-contre.

Nouvel an à Vienne - AU 10 - 4 jours • Du 29 décembre 2011 au 1er janvier 2012,

avec Christophe PiettePrix disponible le 30 juin 2011


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Croisière musicale sur le Danube

CF 90 - 8 jours

J 1 : Paris - Passau Vol pour Munich. Déjeuner libre. Transfert à Passau et embarquement sur l’Amadeus Royal. Concert à bordHaydn : Quatuor à cordes dit "L'alouette" Schumann : Quatuor op. 41/2 Dîner et nuit à bord.

J 2 : Bratislava Nous découvrirons la vieille ville de Bratislava qui, veillée par la flèche de la cathédrale Saint-Martin, étale au bord du Danube les façades baroques colorées de ses palais. Concert en l'église des ClarissesŒuvres de Haydn et de MendelssohnDîner et nuit à bord. Appareillage pour Budapest.

J 3 : Budapest Ville double, née de la réunion de Buda et de Pest en 1873, la capitale historique de la Hongrie est lovée dans une boucle du Danube, dominée par le mont Gellert. Nous gagnerons Buda et le quartier du château. Du bastion des Pêcheurs, gigantesque décor néo-roman, nous admirerons la vue sur le Danube, avant d’atteindre l’église Mathias, symbole de la Hongrie et lieu des cou-ronnements royaux. Dans l'après-midi, visite de l'appartement de Franz Liszt, devenu un musée.

Concert au musée Franz-Liszt Nous découvrirons ensuite l’agglomé-ration éclectique de Pest et le quartier de la place des Héros.Soirée musicale à Duna PalotaŒuvres de Mozart et de SmetanaDîner et nuit à bord. Appareillage pour Esztergom.

J 4 : Esztergom - Visegrad A Esztergom, nous visiterons l’immense basilique néoclassique, la cathédrale Saint-Adalbert et la chapelle Bakocz qui recèle le célèbre calvaire de Matthias Corvin. Nous nous arrêterons ensuite devant la forteresse de Visegrad qui fut l’une de ces impressionnantes places fortes qui contrôlaient le passage par

la vallée du Danube. Concert à bord Mozart : Petite Musique de nuitDvorak : DansesDîner et nuit à bord. Appareillage pour Vienne.

J 5 : Vienne Devenue la capitale de l'empire d'Autriche, Vienne connut un développement spectaculaire au cours du XIXe siècle. Nous commencerons notre visite de la ville par la découverte du château de Schönbrunn . Nous visiterons les salles d'apparat du château, marquées par la présence de l'impératrice Marie-Thérèse et le souvenir du jeune Mozart qui s'y produisit. Retour à bord.En option : soirée au Steetsoper de Vienne Le Barbier de Séville de RossiniDîner et nuit à bord.

J 6 : Vienne Après un tour panoramique des bords du Danube au Ring, nous découvrirons la cathédrale Saint-Etienne, qui tint une place importante dans la vie de Mozart, qui s'y maria en 1782 et obtint le poste de vice-maître de chapelle peu de temps avant sa mort. Nous visiterons ensuite la

FigaroHaus, où le musicien vécut et où, entre autres pièces, il écrivit Les Noces de Figaro. Concert en fin de matinéeŒuvres de Haydn, Liszt, Mozart, StraussAprès le déjeuner, nous découvrirons le trésor du palais impérial Hofburg. Concert à bordAirs d'opéras et d'opérettesDîner et nuit à bord.

J 7 : Melk Notre bateau arrivera le matin à Weissenkirchen où pourra vous être proposée une excursion optionnelle (non incluse) jusqu’à la ferme de Teisenhofen. Concert de musique de Schrammel dans le pavillon de la cour de TeisenhofenDeux violons, acordéon et guitare à 12 cordesNous arriverons ensuite face aux tours orgueil-leuses de l’abbaye de Melk , chef-d’œuvre emblématique du baroque danubien, qui renferme en son sein une bibliothèque de soixante-dix mille volumes. Dans une des somptueuses salles de l’abbaye, nous assisterons à un petit concert d’orgue. Navigation en direction de Passau. Concert à bordBeethoven : Quatuor à cordes op. 18 Mozart : Quatuor Les dissonances Dîner et nuit à bord.

J 8 : Passau - Munich - Paris Notre croisière s’achèvera à Passau d’où nous gagnerons Munich. Selon les horaires de vol, nous disposerons d’un peu de temps libre dans la capitale bavaroise. Déjeuner libre. Transfert à l’aéroport et vol pour Paris.

Cette croisière musicale au cœur de la Mitteleuropa sera placée sous le signe du génie propre aux âmes germaniques, magyares et slaves. Les musiciens invités à bord interpréteront Mozart, Haydn, Schumann, Dvorak ou Mendelsohn, dont les œuvres seront aussi jouées en concerts privés à Bratislava et Budapest. Si vous le souhaitez, vous pouvez assister à la représentation d’un opéra à Vienne.

Les vols internationaux Paris/Munich et retourLes taxes aériennesLes transferts en autocar privé L’hébergement en cabine double à bord de l’Amadeus Royal La pension complète du dîner du 1er jour au petit déjeuner du 8e jour Les concerts et les visites mentionnés au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : les visites du centre des villes s’effectuent sous forme de promenades à pied. L'ins-cription en cabine individuelle est obligatoire pour les personnes voyageant seules.FORMALITES : carte d’identité ou passeport.

CF 90 PRESTATIONS INCLUSES

LES POINTS FORTS Sept concerts Le souvenir de Mozart à Vienne Le château de Schönbrunn La colline de Buda et le quartier du château

L’abbaye de Melk

ACCESSIBLE A TOUS

Budapest

CF 90 Prochain départ Forfait par personne29/10 - 05/11/11 avec Véronique BocquetPrix Presto jusqu’au 25/08/2011

Cabine double pont Haydn 2 720 € 2 770 €Cabine double pont Strauss 3 135 € 3 185 €Cabine double pont Mozart 3 315 € 3 365 €

Suite Mozart 3 685 € 3 735 €Cabine double à usage individuel : nous consulter

Le bateauConstruit en 2005, il mesure 110 m de long sur 11,4 m de large. Il peut accueillir 140 passagers sur 3 de ses 4 ponts.A votre disposition à bordLe pont Mozart accueille la plupart des espaces communs : réception, restaurant, bar panoramique, café. Le bateau dispose de salon de coiffure, de club de fitness et de boutique. Sur le pont Soleil vous bénéficierez d’une piscine, de transats et d’un bar. Médecin à bord.

Les cabinesLes spacieuses cabines (environ 15 m²) et suites (environ 22 m²) donnent toutes sur l’extérieur, et sont équipées de 2 lits bas, armoire, chaise, secrétaire, téléphone interne, télévision, climatisation réglable,

salle de bain privative avec lavabo, douche et sanitaires. Les suites disposent d’une baignoire.Nous proposons lors de cette croisière : Cabine double pont Haydn Cabine double pont Strauss Cabine double pont Mozart Suite double pont Mozart

Pont SoleilPont MozartPont StraussPont Haydn

MunichPassau

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Vienne Bratislava

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L’Amadeus Royal

Vienne, Bratislava, Budapest

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Consultez le descriptif complet du programme et des prestations de ces voyages sur www.clio.fr ou demandez une fiche détaillée au 0826 10 10 82 Consultez le descriptif complet du programme et des prestations de ces voyages sur www.clio.fr ou demandez une fiche détaillée au 0826 10 10 82

Pour découvrir Tsarskoïe Selo avec Clio

Le palais des tsarinesLa grandeur de Saint-Pétersbourg est inséparable du luxe des résidences d'été des empereurs de Russie, magnifiquement incarné par les palais de Peterhof et de Pouchkine. Ces splendides demeures agrémentées d'immenses parcs consti-tuent de véritables chro-niques historiques de la vie artistique et culturelle des tsars aux XVIIIe et XIXe siècles. Connu sous le nom de "palais Cathe-rine", le palais de Pouch-kine se situe sur les terres d'un ancien domaine suédois qui portait le nom de Saari Mojs, "lieu élevé" en finnois. Russifié, ce nom fut ensuite trans-formé en Sarskaïa Myza puis en Tsarskoïe Selo, "le village des tsars" jusqu’en 1918, avant d'être rebap-tisé Pouchkine, en 1937, en hommage au centenaire de la mort du célèbre poète.

Le palais CatherineCe surnom ne doit rien au hasard. C’est en effet la tsarine Catherine Ière, seconde femme de Pierre le Grand, qui reçut ce domaine en même temps que son titre et décida de faire construire un petit château dès 1711. Lui succéda ensuite Elisabeth Petrovna, devenue impératrice en 1741, qui souhaita transformer la résidence de sa mère en une demeure somptueuse, autour de laquelle elle fit construire des pavillons et aménager des jardins. Pendant les huit premières années (1744-1752), le chantier fut dirigé par plusieurs architectes sans aucun plan général, l'impératrice ne cessant d'ajou-ter, de casser, ou encore de refaire ce qui venait d'être bâti.

Le joyau baroque de RastrelliElisabeth choisit alors de commander à l'Italien Francesco Bartolomeo Rastrelli une reconstruction radicale de son palais en 1752. Fils d'un sculpteur italien que Pierre le Grand avait ramené de France, Bartolomeo Rastrelli (1700-1771) avait étudié l'architecture à Paris et voyagé

en Allemagne et en Italie où il avait été enthousiasmé par l'art de Bernin et de Borromini. Il revint à Saint-Pétersbourg avec un goût fortement marqué pour le rococo. L'architecte avait pour seule contrainte de conserver le bâtiment cen-

Pierre le Grand des plaques de cette pierre jaune que les gens de la Baltique nommaient "les larmes des oiseaux de mer". Cette chambre d'ambre a été volée par les nazis en 1941, puis reconstituée à l'identique et inaugurée en 2003. Tous

ceux qui ont eu l'occa-sion de la voir restent émerveillés.

Catherine la GrandeDans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Cathe-rine II, passionnée d'architecture, se lança dans des entreprises architecturales encore plus démesurées que celles d'Elisabeth. Elle reprit l'aménagement de sa résidence favorite et commanda de nou-veaux travaux d’embel-lissement à l’Ecossais Charles Cameron, élève de l'architecte palladien Isaac Ware, ainsi qu'à

l'Italien Giacomo Quarenghi. Le luxe baroque allait désormais s'enrichir de l'élégance du néoclassicisme.

Le souvenir de PouchkineLe palais de Tsarkoïe Selo est également lié au souvenir du poète Alexandre Pouch-kine. Le lycée de Tsarskoïe Selo, fondé par Alexandre Ier, fut installé dans une aile du palais construite en 1794 par Quarenghi. Pouchkine y fit ses études de 1811 à 1817 et vécut dans le parc du palais ses premiers émois amoureux. Ses études terminées, le poète s'éloigna de Tsarskoïe Selo, mais y revint avec sa jeune femme Nathalie Nikolaïvna, de quatorze ans sa cadette. Ensemble, ils aimaient assister aux bals qui s'y dérou-laient fréquemment. Pouchkine a d'ail-leurs consacré de nombreux vers à ce lieu exceptionnel qu'il avait profondément aimé: on pense notamment à Souvenirs à Tsarskoïe Selo (1814), ou à Rouslan et Ludmila, poème épique (1817) qui fut traduit en opéra en 1840 par Mikhail Glinka.

Moscou et Saint-PétersbourgRU 30 - 8 jours

Le palais Catherine à Tsarskoïe Selo

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Une semaine à Saint-Pétersbourg RU 32 - 7 jours

tral construit sous Catherine Ière. Comme Louis XIV à Versailles, qui avait voulu garder le pavillon de chasse de son père, Elisabeth désirait, elle aussi, pré-server la mémoire de sa mère. Le palais fut finalement achevé et inauguré le 30 juillet 1756. En réunissant les différentes parties de l'édifice sous une seule toiture, Rastrelli réussit à créer un monument à la fois imposant et harmonieux, un château ouvert à la française, d'une longueur de 306 mètres. Les murs de façade de cou-leur bleue furent décorés d'une multitude de stucs, de dorures et de colonnes à chapiteaux soutenus par des atlantes.

Une des résidences royales les plus somptueuses d'EuropeFleuron de l'architecture baroque russe, le palais Catherine reflète à la perfec-tion le faste des cérémonies à la Cour impériale en Russie. Donnant sur la cour d'honneur et les jardins, la grande salle de bal éblouit par la variété de ses détails ornementaux de style rococo, ses sculp-tures de bois doré, son parquet marqueté et le Triomphe de la Russie qui orne le plafond. La chambre d'ambre est une des pièces les plus spectaculaires du palais. En 1717, le roi de Prusse avait offert à

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Conférenciers, dates et prix, voir page ci-contre.

Les voyages Clio en Russie...

Une semaine à Saint-Pétersbourg

Neuf départs entre juin et octobre 2011Prix à partir de 1 760 €

Née de la volonté de Pierre le Grand, la grande cité construite sur les rives de la Néva a constitué, trois siècles durant, le cœur d’une Russie tsariste soucieuse de concilier le maintien de l’empire, l’accès à la modernité et l’ou-verture sur l’Occident. La forteresse Pierre-et-Paul, Petrovorets, la perspective Nevski, la place des Décembristes ou le Palais d’hiver renvoient à des périodes épiques ou dramatiques de l’histoire russe. Mais Saint-Pétersbourg est aussi une ville de foi, riche des grands sanctuaires que sont la cathédrale Saint-Isaac, l’église du Saint-Sauveur-par-le-Sang-Versé ou la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, devenue la nécropole dynastique des Romanov. La "Venise du Nord" vaut également par les chefs-d’œuvre qu’abrite le musée de l’Ermitage, des trésors scythiques rassemblés dès l’époque de Pierre le Grand aux collections d’icônes médiévales et à certaines des toiles les plus fameuses de nos peintres impressionnistes.

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Du 16 au 24 juillet 2011, avec Olga Tchernova, Presto jusqu’au 15/05/2011 : 2 195 €, puis 2 245 €

La découverte de la Vieille Russie, de Moscou aux anciennes cités établies au nord-est et jusqu’au cours supérieur de la Volga, est l’occasion d’une plongée aux origines de la Rus, quand s'affrontaient les principautés qui furent plus tard inféodées à la puissance grandissante de Moscou. A Souzdal, Vladimir, Rostov-le-Grand ou Iaroslavl et au couvent Novodievitchi, nous mesurerons la forte influence et le rôle des monastères qui rivalisaient avec le pouvoir temporel des princes. Ce sont les figures des saints Boris et Gleb, d’Ivan le Terrible et de Boris Godounov que l’on peut ainsi rencontrer à Kidechka ou à Alexandrov où le tsar qui inspira Eisenstein avait établi son kremlin. Nous retrouverons le souffle de l’antique tradition orthodoxe et sa plus belle expression dans les icônes d’Andreï Roublev à la galerie Tretiakov tandis que le musée d’Histoire de Moscou nous éclai-rera encore sur la genèse de cette "différence russe" revendiquée par Alexandre Soljenitsyne.

La découverte de la Vieille Russie, de Moscou aux anciennes cités établies au nord-est et jusqu’au cours supérieur de la Volga, est l’occasion d’une plongée aux origines de la Rus, quand s'affrontaient les principautés qui furent

Moscou et l'Anneau d'orVladimir, Souzdal, Sergei Possad

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Croisières sur la Volga et la Neva

• Du 4 au 15 juillet 2011, avec Anne Jouveau, Prix à partir de 2 820 €• Du 17 au 28 août 2011, avec Nadia Pchenko

Presto jusqu’au 15/06/2011 : à partir de 2 770 €, puis à partir de 2 820 €• Du 8 au 19 septembre 2011, avec Nadia Pchenko, Presto jusqu’au 05/07/2011 : à partir de 2 770 €, puis à partir de 2 820 €

De Moscou à Saint-Pétersbourg CF 35 - 12 joursA bord du Maïakovsky

Au fil de l’eau, de Moscou à Saint-Pétersbourg, au fil du temps, de la Russie des tsars à la Russie moderne, cette croisière vous conduira dans un univers de légende en suivant le rythme majestueux de fleuves fabuleux : la Volga et la Néva. Après Moscou qui nous contera aussi bien la légende des tsars que l'histoire de la Russie soviétique, la Vieille Russie où plane le souvenir de Boris Godounov, le canal des Cinq mer vous mènera vers les îles du lac Onega et aux rives du lac Ladoga. Vous traverserez de superbes paysages au silence feutré et des cités histo-riques dont les joyaux artistiques vous émerveilleront avant de découvrir les trésors de la cité de Pierre le Grand.

• Du 18 au 25 septembre 2011, avec Olga TchernovaPresto jusqu’au 15/07/2011 : 2 495 €, puis 2 545 €

Illustrant les rêves des sou-verains qui les voulurent capitales, Saint-Pétersbourg et Moscou rivalisent encore par le

prestige de leurs architectures et de leurs musées. Contemporaines

de moments bien distincts de l’histoire russe, ces deux capitales si différentes

révèlent les diverses facettes d’une identité patiemment forgée face aux défis

extérieurs. La place des Cathédrales du Kremlin, l’église de l’Ascension ou la basi-

lique de Basile-le-Bienheureux rappellent les temps qui virent l’émergence pro-gressive de l’ancienne Moscovie. Née de la volonté d’un prince éclairé sou-cieux d’amarrer son empire à l’Europe, Saint-Pétersbourg doit à Rastrelli et à d’autres architectes européens sa

parfaite ordonnance classique, mais, toute tournée vers l’Occident qu’elle soit, elle n’en est pas moins aussi dépo-sitaire d’une part de l’âme russe, et c’était une impression de dépaysement absolu que ressentaient les romantiques venus découvrir ses orgueilleux sanctuaires en même temps que la magie des "nuits blanches" du solstice d’été.

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Illustrant les rêves des sou-verains qui les voulurent capitales, Saint-Pétersbourg et Moscou rivalisent encore par le

prestige de leurs architectures et de leurs musées. Contemporaines

de moments bien distincts de l’histoire russe, ces deux capitales si différentes

révèlent les diverses facettes d’une identité patiemment forgée face aux défis

extérieurs. La place des Cathédrales du Kremlin, l’église de l’Ascension ou la basi-

lique de Basile-le-Bienheureux rappellent les temps qui virent l’émergence pro-gressive de l’ancienne Moscovie. Née de la volonté d’un prince éclairé sou-cieux d’amarrer son empire à l’Europe, Saint-Pétersbourg doit à Rastrelli et à d’autres architectes européens sa

Moscou et Saint-Pétersbourg

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Russie

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SvirstroyKirillovGoritsy

OuglitchIaroslavl

Moscou

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En suivant les étoiles...Le camino francèsAmateurs de grande randonnée, admira-teurs de l’art roman, passionnés d’histoire médiévale, ils sont des milliers à côtoyer chaque année les pèlerins portés par la foi sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. D’auberges en monastères, d’églises en basiliques, par les chemins de France, de León, de Galice, munis ou non de leur carnet de pèlerin, ils mettent leurs pas dans ceux de Charlemagne et de Roland, qui chassèrent les infidèles du tom-beau du saint, et des innombrables voya-geurs qui suivirent, à partir du Xe siècle, la "voie lactée", convergeant des diverses régions de l’Europe franque ou germanique vers Roncevaux avant d’emprunter le camino francès vers Saint-Jacques. Après une marche souvent éprouvante, une der-nière étape à O Pedruzo, le Monte del Gozo – le mont de la Joie – porte bien son nom : enfin, le voyageur aperçoit le but de sa quête, les flèches de la cathédrale qui abrite le tom-beau du saint.

Jacques le MajeurJacques de Zébédée, fils de Marie Salomé et frère de Jean, fut, selon les évangiles, l’un des premiers disciples du Christ. Les écrits de l’évêque Isidore de Séville, à l’époque du royaume wisigothique, lui attribuent l’évangélisation de l’Espagne. Exécuté à son retour à Jérusalem sur ordre d’Hérode Agrippa, son corps aurait été transporté par ses disciples dans une barque mira-culeuse qui aurait accosté à Iria Flavia – aujourd’hui Padrón –, sur les rivages de Galice. L’emplacement de son tombeau était oublié, l’émirat de Cordoue s’étendait jusqu’aux portes de la Galice, lorsqu’en l’an 814, l’ermite Pelage vit en songe une étoile qui le guida à un tombeau que l’évêque Théodomir reconnut pour celui de saint Jacques, et Alphonse II le Chaste, roi des Asturies, y fit édifier la première église de ce qui deviendrait la cité de Saint-Jacques.

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Pour visiter Saint-Jacques-de-Compostelle avec Clio

Le MatamoreEn 844, le roi Ramire Ier, qui venait d’être vaincu par l’émir de Cordoue, Abd er-Rahman II, reçut en songe la visite de saint Jacques qui l’assura de son aide. Le len-demain, il affronta à nouveau les infidèles sur la colline de Clavijo. Au plus fort de la bataille, apparut, descendu du ciel, un chevalier monté sur un destrier blanc qui, abattant de son sabre des milliers d’enne-mis, lui assura la victoire : saint Jacques le "tueur de Maures" – le Matamore – fut dès lors le saint protecteur de la Reconquista. Le roi Ramire décida que, chaque année,

Le chemin de Saint-JacquesLe camino francès de Roncevaux à Saint-JacquesES 34 - 8 jours • Du 10 au 17 septembre 2011, avec Adeline Rucquoi,

Presto jusqu’au 10/07/11 à partir de 1 765 €, puis à partir de 1 795 €

Saint-Jacques-de-Compostelleacheva la nef, mais fit surtout preuve de ses talents dans la réalisation du chœur des chanoines et le magnifique porche de la Gloire, chef-d’œuvre de la sculpture médiévale dans la tradition de la sculpture romane bourguignonne. Loin des repré-sentations conventionnelles figées, maître Mathieu a su insuffler la vie aux images des apôtres, des prophètes et des vingt-quatre vieillards de l’Apocalypse.

...dans une parure baroqueSi les influences gothiques dominaient dans la reconstruction du cloître entre-

prise au XVe siècle, ce fut après le Moyen Age, pour lutter contre la désaffection des pèlerins, que le comte d’Alba Real, qui trouvait la cathédrale "vétuste", décida en 1658, d’enchâsser l’édi-fice roman dans un écrin baroque churrigueresque. Après avoir dégagé de vastes esplanades, on plaqua sur ses flancs des façades plus conformes au goût du jour : le portique de la Quintana, la tour de l’hor-loge puis, surtout, l’Espejo, la façade de l’Obradoiro, dressée en 1740 en avant

du portail de maître Mathieu. Seule la porte des Français fut détruite lors de ces aménagements.

Si, dans la cathédrale, il faut encore admirer le maître-autel, avec sa statue de saint Jacques du XIIIe siècle, l’immense encensoir de laiton, le botafumeiro, qui est balancé sous le transept lors des grandes cérémonies, l’architecture de la ville de Saint-Jacques réserve aussi bien des enchantements, avec ses étroites rúas médiévales, ses hôpitaux, le monastère fondé par saint François d’Assise en 1214, ses églises médiévales aux façades baroques – Sainte-Marie-Salomé et Sainte-Marie-la-Real-de-Sar –, sans compter les magnifiques tapisseries flamandes du musée de la cathédrale...

Noël à Saint-Jacques ES 71 - 4 jours • Du 23 au 26 décembre 2011,

avec Eugène Julien, Prix disponible le 30 juin 2011

une dîme serait versée à la cathédrale de Compostelle, le Voto de Santiago. En 997, une dernière incursion maure, menée par Abu Amir al-Mansour détruisit cependant la totalité de la ville et l’église, n’épar-gnant que le tombeau du saint.

Un joyau roman...En 1078, devant le développement consi-dérable que prenait le pèlerinage, le roi Alphonse VI de León et Castille entreprit la construction d’une nouvelle cathédrale. Rivalités et vicissitudes politiques firent traîner en longueur les travaux, mais, déjà, le style en était fixé : abandonnant les influences mozarabes, la cathédrale de Saint-Jacques devait être résolument ancrée dans l’Occident, avec son plan associant déambulatoire et chapelles rayonnantes. En 1168, maître Mathieu se vit confier la poursuite des travaux. Il

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Quatre mille ans d'histoireAux confins de l'Histoire et de la légende : ThéséeLorsqu'à l'aube du IIe millénaire avant notre ère, les premiers Hellènes – les Achéens d'Homère – arrivèrent dans la péninsule grecque, ces guerriers aux armes de bronze, cavaliers émérites, trouvèrent d'autres pay-sages, d'autres modes de vie que ceux auxquels ils étaient accoutumés. Une anse ou un abri ouvert sur la mer omniprésente, une étroite plaine où poussent l'olivier et de maigres céréales, des collines où paissent les chèvres, tel fut le nouveau décor de leur vie. Chaque groupe se réclamant d'un ancêtre fondateur choisit un site défensif, une éminence, sur laquelle édifier la demeure du chef, le "palais" qui sera le noyau de la future ville : une akro-polis, une ville haute. Le site d'Athènes correspondait parfaite-ment à cet idéal. Ceinte d’une muraille cyclopéenne derrière laquelle les habi-tants alentour venaient se réfugier en cas d'agression, l'acropole d'Athènes à l'époque du Bronze ancien, ne comportait certainement qu'une vaste demeure, un mégaron, composé d'une grande salle à foyer central précédé d'un porche et d'un prodomos, abritant le trône du roi, situé à l'emplacement actuel de l'Erecthéïon. C'est de là que le roi Egée, petit-fils du fonda-teur Cécrops, guetta le retour de son fils, Thésée, qui était parti combattre le Mino-taure. Lorsqu'il vit apparaître la nef arbo-rant une voile noire, croyant son fils mort, il se jeta dans la mer qui porte depuis lors son nom. La légende de Thésée traduit, dans le domaine du mythe, la conquête de la Crète minoenne par Athènes et les autres cités mycéniennes. C'est aussi à Thésée que la tradition attribue le synœ-cisme, l'union des villages d'Attique en une seule cité sous l'égide de sa déesse protectrice, Athéna, bien que le fait ne soit guère attesté qu'au VIIIe siècle av. J.-C.

qui réalisèrent ce qui est considéré dans le monde occidental comme le parangon de la pureté esthétique. Il en confia la décoration à son ami Phidias qui sculpta la gigantomachie du fronton et la frise des Panathénées ainsi que la gigantesque

statue chryséléphantine d'Athéna Parthénos, une des sept merveilles du monde. De nouveaux propylées furent ensuite construits par l'architecte Mnésicles, incluant une pinacothèque, menant au petit temple d'Athéna Niké. A l'emplace-ment de l'ancien palais fut érigé l'Erechtéion. L'Acropole d'Athènes était alors l'un des plus remarquables ensembles monumentaux du monde

antique. Zénon, Socrate, Platon y rencon-trèrent leurs disciples. L'empereur romain Hadrien considérait l'Acropole comme le lieu de tous les savoirs et de tous les arts.

Turcs et AnglaisQuand, à l'époque byzantine, Athènes perdit de son prestige, une partie des richesses de l'Acropole furent transportées à Constantinople. Temples et propylées furent transformés en habitations, le Parthénon en église. La conquête par les Turcs, en 1456, n'améliora pas les choses et, après avoir été converti en mosquée, le Parthénon devint le lieu de stockage des poudres que les Vénitiens firent exploser en 1687 ! En 1803, l'ambassadeur britannique, lord Elgin, fouilla les ruines de l'Acropole et emporta, avec l'accord des Ottomans, toutes les sculptures de marbre qu'il avait exhumées et qu'il vendit au British Museum, dont la quasi-totalité de la frise des pana-thénées. Il fallut alors beaucoup d'imagina-tion à Byron, en 1811, pour retrouver dans ces ruines la grandeur d'Athènes ! Quand la Grèce retrouva son indépendance, en 1834, un décret royal rendit l'Acropole aux archéologues et, à la fin du XIXe siècle, elle avait retrouvé toute sa puissance d'évoca-tion et son charme romantique.

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Pour visiter l'Acropole avec Clio

Phidias et PériclèsL'Acropole garda longtemps cette fonc-tion de résidence royale, de la période mycénienne aux siècles dits "obscurs". Les derniers dirigeants à y résider furent certai-nement Pisistrate et les Pisistratides (560-

La Grèce antique et byzantine Attique, Péloponnèse, Delphes, Météores, Egine • GR 31 - 11 jours • Du 12 au 22 septembre 2011, avec Jean-Jacques Maffre, Presto jusqu’au 10/07/11 : 2 295 €, puis 2 345 €

Hauts lieux de la Grèce en famille Athènes, Mycènes, Sparte, Olympie, Delphes • GR 35 - 8 jours • Du 23 au 30 octobre 2011, avec Natasha Kapsokefalou, Presto jusqu’au 20/08/11 : 1 455 €, puis 1 495 €

L'Acropole

510). Dès lors, l'Acropole devint le centre sacré de la cité athénienne, autour du temple dédié à Athéna. Chaque année, la grande procession des panathénées hono-rait la déesse par une circumambulation et l'offrande d'une nouvelle robe brodée à la statue de la déesse, suivie de nombreux sacrifices. En ~480, dans l'euphorie de la victoire de Marathon, commença l'érection d'un nouveau temple au sommet de l'Acro-pole, mais, dix ans plus tard, les Perses de Xerxés s'ouvrirent par la victoire des Ther-mopyles la route d'Athènes et ravagèrent l'Acropole. On dit que seuls subsistaient, après l'incendie, les propylées archaïques et l'olivier qui avait été planté mille ans plus tôt par Cecrops ! Les victoires navales de Salamine puis de l’Eurymédon éloi-gnèrent définitivement le danger et Athènes renaquit de ses cendres. Le tyran Cimon commanda au sculpteur Phidias une statue colossale en bronze représentant Athéna promachos et fit construire une terrasse arti-ficielle pour élargir le plateau sommital de l'Acropole. Quelques années plus tard, en ~447, le grand Périclès fit entreprendre la reconstruction du grand temple d'Athéna la Vierge, le Parthénon. Il en confia les travaux aux architectes Ictinos et Callicrates


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E Byzance à feu et à sangLe 19 janvier 532, l'immense place de l'hippodrome de Byzance était jonchée de milliers de cadavres, une partie du palais impérial – le "Grand Palais" – était ravagée, la basilique Sainte-Sophie, qui se trouvait dans le prolonge-ment de la place, détruite par les flammes... et le pauvre Hypatius, éphémère empe-reur proclamé par la foule contre son gré, était exécuté. Le général Bélisaire venait de réprimer dans le sang la plus grande révolte popu-laire qu'ait connue Byzance, et l'empereur Justinien, qui, sans la pression exercée par l'impératrice Théodora et l'eunuque Narsès, se serait enfui, garda son trône. Une semaine auparavant, instal-lés comme la coutume l'exigeait sur la cathismé, la loge impériale qui commu-niquait avec le Grand Palais, l'empereur et l'impératrice assistaient à l'une de ces courses de chars qui déchaînaient les pas-sions populaires. Spectacle impression-nant, violent, que celui de ces quadriges qui s'élançaient dans une course folle dès que, sur un signe de l'empereur, s'ou-vraient les huit stalles de départ, les thyrai. Sept fois, les attelages devaient faire le tour de la spina qui divisait en deux pistes les 450 mètres de l'hippodrome, chaque aurige tentant de négocier au plus près la courbe autour de la meta à chaque extrémité, prenant des risques insensés, sous les acclamations de la foule.

Les Bleus, les Verts et... ThéodoraLes quatre factions de l'époque romaine s'étaient réduites à deux, les Bleus et les Verts, mais, au-delà de la rivalité spor-tive, elles présentaient surtout une couleur politique. Les Bleus étaient les champions des riches marchands, fournisseurs de la cour, des armateurs, des entrepreneurs, souvent issus de l'aristocratie romaine.

agrandi par Constantin lorsque celui-ci décida, en 324, de transférer à Byzance la capitale de l'Empire romain. La surface plane de la colline dominant la mer de

Marmara n'était pas suffisante et celle-ci fut augmentée, vers le sud, par la réalisation de gigantesques substructions voûtées qui abritaient aussi des échoppes, les écuries, les cages aux fauves et les quartiers des auriges. Cœur de la cité et sym-bole du pouvoir, l'hippodrome fut l'objet de toutes les atten-tions et devait montrer la gloire et la puissance de l'Empereur. La spina était somptueusement décorée et on peut encore y voir aujourd'hui l'obélisque de Théodose, érigé à Karnak par Thoutmôsis III et dressé à Constantinople en 390, "l'obé-lisque muré", bâti de moellons,

mais qui était jadis couvert de plaques sculptées de bronze doré, la colonne serpentine, en bronze, qui fut élevée à Delphes pour commémorer la victoire de Platées et représentait trois serpents enla-cés dont les têtes portaient un trépied en or. Mais il y avait aussi une représentation en bronze d'un quadrige qui fut empor-tée par les Vénitiens en 1204 et dont les quatre chevaux ornent aujourd'hui la basilique Saint-Marc. Lors de la conquête turque, les somptueux bains de Zeuxipe, tout de marbre blanc, édifiés par Sep-time Sévère, servirent de carrière pour la construction de la mosquée de Fatih. Abandonné depuis le XIIIe siècle le Grand Palais, en ruine, fut rasé et remplacé, au XVIIe siècle, par l'impressionnante mos-quée Sultanahmet, la mosquée Bleue. La place aux Chevaux fut encore spectatrice de bien des événements historiques, du massacre des janissaires en 1826 au rapprochement germano-turc à la fin du XIXe siècle, comme en témoigne la très élégante fontaine offerte par Guillaume II, et de la destitution par les Jeunes-Turcs du sultan Abdulhamit II en 1909.

excédés par la lourdeur des impôts et les brimades du préfet Jean de Cappa-doce, les Verts conspuèrent l'empereur qui réagit immédiatement en faisant exé-cuter les meneurs, mais, dans la confusion, plusieurs membres influents de la faction des Bleus furent aussi massacrés et, dès lors, l'émeute devint insurrection, aux cris, un peu prématurés, de Nika : "Victoire". Ce fut la belle Théodora qui, bien que fille d'un montreur d'ours et ancienne courtisane, sut amadouer les chefs des Bleus, moyennant espèces sonnantes et trébuchantes, divisa les rebelles et sauva l'Empire !

At MeydaniLa grande esplanade porte toujours le nom d'At Meydani, "place aux Che-vaux", même si les courses y prirent presque entièrement fin en 1204, lors de la prise de Constantinople par les Latins. Il ne faut cependant pas faire de grands efforts d'imagination pour se représenter ce que dut être l'hippodrome au temps de sa splendeur. Aménagé d'abord à l'initia-tive de Septime Sévère, il fut notablement

L'Hippodrome d'Istanbul

Pour visiter l'Hippodrome avec Clio

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Istanbul Byzantine et ottomane TR 38 - 8 jours • Quatre départs en septembre,

octobre et décembre 2011Prix à partir de 1 505 €

La Turquie, des Hittites aux Ottomans • TR 31 - 14 jours • Du 26 septembre au 9 octobre 2011, avec Alexandre Elouard,


Brousse, Edirne, Istanbul Les trois capitales ottomanes • TR 72 - 8 jours • Du 1er au 8 octobre 2011, avec François Bouée,


TR 31 - 14 jours

Haut lieu de la vie politique de ByzanceIls avaient la faveur de l'impératrice. Les Verts étaient le porte-parole du petit peuple, de ces artisans, petits boutiquiers et vendeurs de rues. Or, ce 11 janvier,

Et aussi en Turquie...

Cinq départs entre juillet et octobre 2011, Prix à partir de 2 665 €

Grand circuit en Turquie orientaleAni, Van, Nemrud Dag, Antioche

TR 32 - 15 jours

Au sud de la TurquieAntioche, Zeugma, Edesse et Harran

Du 24 au 31 octobre 2011, avec François BouéePresto jusqu'au 20/08/11 : 2 010 €, puis 2 040 €

TR 52 - 8 jours


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Ce voyage extraor-dinaire permet de découvrir des sites peu connus qui consti-tuent des éléments essentiels de l’histoire et du patrimoine de l'humanité. La Turquie orientale offre l'occa-sion d'un très beau voyage archéologique à la découverte de Trébizonde, d'Ani, du Nemrud Dag, des mosaïques de Zeugma ou de la légendaire Antioche.

TR 97 - 10 jours

Du 9 au 18 septembre 2011, avec Alexandre Elouard Presto jusqu'au 08/07/11 : 2 060 €, puis 2 095 €

Les rapports entre Troie et l’Occident ont servi de toile de fond à la construction des mythes qui ont marqué l’histoire littéraire hellène du Ier millénaire avant Jésus-Christ. Du retour dans leurs patries respectives des héros qui prirent d’assaut la cité de Priam à l’histoire des Argonautes, en passant par les mythes de fondation de bien des cités grecques d’Orient, c’est à la découverte de ce foisonnement historique et légendaire que vous convie ce voyage en Asie Mineure...

Des cités néolithiques aux villes de l’Orient ancien, des colonies grecques aux forteresses des croisés, le Sud de la Turquie abrite des sites historiques d'un exceptionnel intérêt. Au cours de ce voyage original, nous découvrirons plusieurs joyaux d’Orient tels qu’Antioche, Zeugma ou Edesse et nous ferons l'expérience d'une courte navigation sur l’Euphrate.

TR 51 - 10 jours

Du 3 au 12 juin 2011, avec François Bouée, 1 950 €

Il y a 9 000 ans, le centre de l’Anatolie a abrité l’une des plus anciennes agglomérations du monde : Çatal Höyük. Cette région fut un centre d’essor de la métallurgie et noua des relations privilégiées avec la Mésopotamie. Au IIe millénaire, elle fut marquée par le développement de la puissante civilisation hittite qui atteignit un niveau de développement exceptionnel. Après la destruction de l’Empire hittite, cette culture s’est maintenue, marquée par l’influence de l’Assyrie. Plus tard, elle fut le siège de l’Etat celtique des Galates avant de devenir l’un des grands foyers artistiques chrétiens. Ce voyage nous mènera vers des sites archéologiques exceptionnels rarement visités, malgré leur importance dans l’histoire de l’humanité, pour découvrir des cultures et des civilisations majeures.

Circuit en pays hittiteÇatal Höyük, Cappadoce, Kanesh, Césarée, Alaca Höyük, Hattusas

Eglises et monastères de la Turquie médiévaleEntre Caucase et Ararat

TR 50 - 11 jours

Après le célèbre monastère de Sumela et les vestiges majeurs d’Ani, vous découvrirez de remarquables petites églises, perdues dans une nature sauvage, qui retracent l’histoire complexe et fascinante de cette région aux confins de l’Arménie et de la Géorgie turque. Enjeu de bien des rivalités, elle est considérée comme la source de nombreuses formes architecturales qui se diffusèrent ensuite dans les mondes de Byzance, de l’Occident médiéval puis de la Turquie ottomane… Du 7 au 17 septembre 2011, avec François BouéePresto jusqu'au 05/06/11 : 2 635 €, puis 2 685 €

Une semaine à SmyrneArchéologie en Lydie

TR 56 - 7 jours

Au cours de cette semaine dans une région riche en histoire, entre oliviers et mer Egée, c’est la Lydie, avec Sardes, l’antique capitale de Crésus, au bord de la rivière Pactole, que nous vous invitons à découvrir. Izmir – Smyrne – vous transportera aussi à travers les millénaires, des Grecs ioniens à la naissance du christianisme et à l’apogée ottoman. Au site antique de Clazomènes, célèbre pour son travail de terre cuite, où nous évo-querons Alexandre et Anaxagore, répondront ces petites villes restées hors du temps et qui semblent encore vivre à l’ère de la Sublime Porte, avec leurs maisons anciennes et leurs petites mosquées aux décors raffinés…

Du 24 au 30 septembre 2011, avec François Bouée, Presto jusqu'au 20/07/11 : 1 790 €, puis 1 840 €

Sur les pas des héros de la guerre de TroieTroie, Pergame, Ephèse, Didymes, Milet, Halicarnasse

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Pleins feux sur six voyages d’exception

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Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception Pleins feux sur six voyages d’exception

POL 31 - 10 joursIRL 32 - 13 jours

La Pologne a souvent vu se déplacer ses fron-tières au rythme des poussées germaniques vers l’est et des appétits russes vers l’ouest. L’absence de limites naturelles a contribué à la persistance d’une situation longtemps difficile, mais la nation polonaise n’en a pas moins maintenu, au fil d’un millénaire, une identité slave et catholique qui lui a permis de renaître, même après avoir été durablement privée d’un Etat. Le magnifique patrimoine historique et monumental du pays témoigne de cette unité de destin tout à fait originale. Le port de Gdansk (l’ancienne Dantzig) et le château de Malbork (Marienburg) bâti par les chevaliers Teutoniques rappellent l’importance que revêtirent, dans cette histoire, la Hanse allemande et l’ordre militaire engagé dans la conversion des terres baltes. Cracovie fut la capitale d’une Pologne qui, au temps de sa grandeur, s’étendit de la Baltique aux rives de la mer Noire. Le palais baroque de Wilanow – résidence d’été du roi Jean III Sobiewski – et le manoir natal de Chopin sont autant de hauts lieux d’une nation fière de ses villes anciennes et de ses musées riches de chefs-d’œuvre tels que le Jugement dernier de Memling conservé à Gdansk.

Dernière étape des Celtes avant les îles éternelles, l’Irlande, évangélisée par saint Patrick, a été le creuset d’une civilisation originale longtemps préservée de l’influence du continent. Protégée par son isolement, l’île Verte semée de mégalithes fonde son identité avec la langue et les coutumes celtiques que va intégrer harmonieusement l’installation du christianisme au Ve siècle. Elle devient "l’île des saints et des savants" dont le rayonnement atteint l’Europe meurtrie par les invasions barbares avec saint Colomban et ses compagnons. Les entrelacs celtes ornent les croix, les calices et les enluminures précieuses du livre de Kells, tandis que les monastères cou-vrent le pays. Mais l’Irlande est aussi l’île prise entre l’Angleterre et l’océan : avec la conquête anglaise du XIIe siècle commence l’histoire de la longue lutte contre la domination du puissant voisin qui établit son pouvoir sur ses châteaux. De soulèvements en famines, l’Irlande retrouve douloureusement le chemin de l’indépendance au XXe siècle. Muse des poètes et des musi-ciens, la patrie de James Joyce et des Dubliners puise aujourd’hui dans ses racines celtes et ses combats un grand dynamisme économique tout en préservant sa profonde identité culturelle.

Toute l’IrlandeDe Belfast à Dublin, l'Eire, l'Ulster, les îles d’Aran

Dublin

Ulster

Mer d'Irlande

Wexford

Limerick

Ennis

Océan Atlantique

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Cracovie, Wawel

La Pologne Cracovie, Varsovie, Gdansk

Diplômée d’Histoire.

avec Geneviève Lasserre

Diplomé en Histoire de l’art.

avec Eva Luczynska

Falaises de Mo’er

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PB 31 - 9 jours

Accrochée aux rives de la Baltique, les républiques baltes - Lituanie, Lettonie et Estonie - affichent fièrement leur indépendance recouvrée et leurs puissantes attaches européennes. Fortes de leur originalité ethnique et linguistique, elles entrèrent dans l'histoire européenne au début du XIIe siècle, lors du développement de la Hanse. Fer de lance de l'Occident chrétien face aux "païens slaves", les chevaliers Porte-Glaive devinrent seigneurs fonciers, ancêtres des barons baltes. Un circuit pour découvrir toute l'histoire des pays Baltes : Vilnus, capitale des grands-ducs de Kituanie, l'imposant château de Trakai, la colline des Croix de Siauliai, le château de Rundale, le vieux Riga, grand port hanséatique Tallin et les ruelles pavées de Toompea, la ville haute, domaine réservé de la noblesse allemande au Moyen Age...

Les pays Baltes Estonie, Lettonie, Lituanie

Diplômé de l’Ecole du Louvre.

avec Michel Lhéritier

Russie

Biélorussie

Pologne

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Riga Jelgava

Siauliai Klaipeda

Kaunas Vilnius

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Mer Baltique

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IRL 32 Prochains départs Forfait par personne06/08 - 18/08/11 avec Geneviève Lasserre



PB 31 Prochains départs Forfait par personne06/08 - 14/08/11 avec Michel Lhéritier



POL 31 Prochains départs Forfait par personne12/08 - 21/08/11 avec Eva Luczynska



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Varsovie

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Pleins feux sur six voyages d’exception

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ES 35 - 12 jours

Un voyage à la découverte de l’Andalousie et de son identité si particulière, ce Sud de la péninsule ibérique qui en constituait, durant l’Antiquité, la région la plus prospère, du fait de la richesse agricole des terres irriguées de Bétique et des ressources minières de la Turdétanie. C’est là que se dressait Italica, près de l’actuelle Séville. Quand les musulmans furent contraints, par les progrès de la Reconquête, d’abandonner Tolède, Saragosse, Valence, Cordoue et Séville, c’est dans le petit royaume nasride de Grenade que l'Espagne musulmane connut, à la fin de notre Moyen Age, son propre "Siècle d'or". La grande mosquée de Cordoue transformée en cathédrale, les ruines de Medinat az Zahra, le "Versailles omeyade", l’Alcazar et la Giralda de Séville, enfin les palais et les jardins de l’Alhambra de Grenade et du Generalife permettent d’imagi-ner cette époque qui inspira Chateaubriand et Washington Irving. Mais l’Andalousie, c'est aussi les palais Renaissance de Baeza et d’Ubeda, la Casa de Pilatos ou l’hôpital de la Charité de Séville, la cité-monde où arrivaient l’or et l’argent d‘Amérique, les arènes de Ronda où naquit, au XVIIIe siècle, la tradition tauromachique. Enfin, c'est le ciel, les paysages et les parfums de la vega de Grenade immortalisés par Federico Garcia Lorca.

ES 35 Prochain départ Forfait par personne18/09 - 29/09/11 avec Arnault Duhard



La cathédrale de Séville

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Grand circuit culturel en Andalousie

GR 97 - 15 jours

La grandeur du Parthénon et l’admiration qu’ins-pirent les sites de Delphes, d’Olympie ou de Mycènes font trop souvent négliger le patri-moine archéologique et historique de la Grèce septentrionale, celle qui s’étend au nord et à l’ouest de l’Olympe, là où les Anciens plaçaient la demeure des dieux. Ces régions possèdent à Dodone, où les prêtres interprétaient le bruit du vent dans les feuilles des chênes pour décrypter les messages de Zeus, ou au sanctuaire des Cabires de Samothrace, célèbre pour les mys-tères qui s’y déroulaient, plusieurs hauts lieux de l’ancienne religion hellénique. En Macédoine, les tombes de Vergina, parmi lesquelles on pense avoir identifié celle de Philippe, le père d’Alexandre, constituent l’une des plus belles découvertes archéologiques des dernières décennies, alors que le site de Nicopolis bâtie par la volonté d’Auguste pour commémorer sa victoire d’Actium, et l’arc de Galère édifié à Thessalonique nous renvoient à la période romaine. Devenues chrétiennes – Philippes y rappelle les voyages de saint Paul – ces régions sont entrées ensuite dans l’espace de la culture byzantine, ce dont témoignent les nombreuses églises de Kastoria et de Thessalonique ou les vertigineux monastères des Météores.

Une Grèce méconnue Epire, Macédoine, Thrace

Mer Egée

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Professeur honoraire de l’université Paris X - Nanterre.

avec Pierre CabanesDiplômé d’Histoire.

avec Arnault Duhard

IT 82 - 10 jours

Pouilles et CalabreLa Grande Grèce et ses trésors baroques

Naples

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Mer ionienne

Tarente Calabre

Messine

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Lecce

Monte San Angelo

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Le Mezzogiorno italien, le Sud de la péninsule, riche de ses côtes accueillantes et de paysages tels que ceux du massif de la Sila, est aussi le conservatoire d’un héritage historique d’une exceptionnelle richesse. Le site de Métaponte, les trésors du musée de Tarente, les vestiges de la Locres Epizéphyrienne, la Crotone de Pythagore et les magnifiques bronzes de Riace – colossales statues de dieux ou d’athlètes retrouvées en mer il y a une trentaine d’années – nous ren-voient vers les temps de "l’aurore hellénique" qui virent la colonisation de ces régions par les Grecs. Après Rome, Byzance imprima sa marque avant que s’imposât la domination normande, mais c'est aussi de là – à Castel del Monte et à Rocca Imperiale – que régnait Frédéric II de Hohenstaufen, le personnage sans doute le plus fascinant du XIIIe siècle. A l’extrémité méridionale des Pouilles, les sanctuaires de Lecce font de cette petite ville, au même titre que la Noto sicilienne, l’une des capitales du baroque en Italie du Sud…

Le Sassi de Matera

Docteur en Histoire de l’art.

avec Karim Ressouni-

Demigneux

GR 97 Prochain départ Forfait par personne19/09 - 03/10/11 avec Pierre Cabanes



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Monastère des Météores


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Pour tout renseignement contactez Emilie Martinez du Service Groupes à la carte au 01 53 68 48 47 ou par mél : [email protected]

Escapade culturelle en Iran

• 12 jours •

Un voyage de Barbara Lepécheux

Diplômée de l'Ecole du Louvre et diplômée d'ethnologie.

Un voyage de Lionel DumarcetDocteur en Histoire,

Diplômé de l'École du Louvre, Diplômé de l'Institut d'Art et d'Archéologie,

Diplômé des Langues Orientales.

Du 7 au 18 octobre 2011 - 2 470 € - Programme détaillé de ce voyage sur clio.fr ou sur demande

Il est temps de redécouvrir la Perse des légendes : celle des vieillards à barbe teinte, des coupoles d’or d’Ispahan, des cavaliers de la steppe et des palais de Persépolis. Vingt ans après la révolution islamique, et non sans mal, un peuple reprend goût aux couleurs de la vie. Terre natale de Darius, Cyrus et Artaxèrxès, terre aux ressources intarissables sous son allure désertique, terre de richesses humaines et artistiques encore insoupçonnées, l'Iran distille tout l'imaginaire de la Perse légendaire. Ce voyage à Ispahan, Shiraz et Persépolis est une expérience exceptionnelle, qui vaut tous les efforts vestimentaires demandés, pour savourer les plus beaux monuments des cultures achéménide, sassanide ou seldjoukide, et toucher du doigt l'essence de la civilisation persane célébrée par des poètes mythiques.

• 8 jours •

Pour tout renseignement contactez Jennifer Poirson du Service Groupes à la carte au 01 53 68 82 93 ou par mél : [email protected]

Séparées par l’Histoire, la Macédoine grecque et la République de Macédonia, issue de la dissolution de l’ancienne Yougoslavie, présentent un point commun - avoir été marquées par la civilisation byzantine et l’occupation ottomane. Elles ne faisaient qu'un au temps de l’essor du royaume de Philippe II, le conquérant de la Grèce et de son fils Alexandre qui devait, à l’issue d’une épopée fulgurante, subjuguer l’Orient et jeter les bases d’un monde nouveau, celui de la civilisation hellénistique. C’est à Vergina, où a été découverte la tombe de Philippe II, à Pella et Edesse, les anciennes capitales de son royaume, que l’on renoue avec ce passé prestigieux. L'empreinte de Rome demeure à Thessalonique, où se dresse l’arc de Galère, celle de Byzance s’impose dans la région de Chalcidique, au mont Athos et à Ouranopolis.

Séparées par l’Histoire, la Macédoine grecque et la République de Macédonia, issue de la dissolution de l’ancienne Yougoslavie, présentent un point commun - avoir été marquées par la civilisation byzantine et l’occupation ottomane. Elles ne faisaient qu'un au temps de l’essor du royaume de Philippe II, le conquérant

la tombe de Philippe II, à Pella et Edesse, les anciennes capitales de son royaume, que l’on renoue avec ce passé prestigieux. L'empreinte de Rome demeure à Thessalonique, où se dresse l’arc de Galère, celle

Du 29 juillet au 5 août 2011 - 1 980 € - Programme détaillé de ce voyage sur clio.fr ou sur demande

Un voyage de Joy Soulé-Nan

Diplômée en Histoire de l’art.

• 14 jours •

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Complément indispensable du voyage en Chine du Nord déjà proposé par Lionel Dumarcet, ce voyage en Chine du Sud vous fera découvrir la Chine de la soie et des jardins à Suzhou. Il vous entraînera également dans les pas de la Chine ancestrale au musée de Nankin et dans ceux de Sun Yat Sen, le fondateur de la République chinoise. La Chine du XXIe se développera sous nos yeux à Chonqqin et nous retrouverons celle du bouddhisme dans le merveilleux site de Dazu. Nous terminerons ce voyage dans l'Empire du Milieu sur les rives de la rivière des Perles où les comptoirs européens se développèrent à la fin du XVIIIe siècle.

Du 31 octobre au 13 novembre 2011 - 2 935 € - Programme détaillé de ce voyage sur clio.fr ou sur demande

La Chine du Sud

L'Olympe et les dieux

Shanghai, Suzhou, Chengdu, Canton

L'antique Macédoine

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Pour découvrir Qumrân avec Clio

Aux rivages de la mer MorteParcourant vers l'est les collines de Judée, dans un paysage aride, on arrive sou-dain en vue de la mer Morte. Le plateau s'interrompt alors en une falaise abrupte, presque verticale, profondément entaillée, déchiquetée par le passage de petits tor-rents sporadiques. En contrebas, s'étend jusqu'au rivage, une étroite plaine mar-neuse dont les sources d’eau saumâtre n'autorisent que la croissance de quelques palmiers. La falaise calcaire recèle aussi des grottes, naturelles ou artificielles, qui furent de tout temps utilisées par les bédouins alentours pour stocker les den-rées ou abriter les bergers.

La découverteSelon la légende, ce fut en 1947 qu'un jeune bédouin de la tribu des Taamireh égara une chèvre de son troupeau. Il retrouva la bête au fond d’une grotte où étaient entreposées des jarres, à demi enfouies, qui contenaient des rouleaux de cuir apparemment fort anciens. Ne sachant qu'en faire, il les revendit à un antiquaire de Bethléem. Certains de ces rouleaux furent acquis par le professeur Eléazar Sukenik qui alerta la communauté scientifique sur l'importance exception-nelle de ces textes, et des fouilles furent alors entreprises, à partir de 1949, sur le site de Qumran. L'équipe du père de Vaux de l’Ecole biblique et archéo-logique française de Jérusalem explora alors quelque deux cents cavités et grottes dont dix renfermaient d'autres textes et fragments, rédigés en araméen ou en hébreu, sur parchemin ou, pour deux d'entre eux, sur cuivre. Les archéologues portèrent alors leur attention sur le site archéologique lui-même.

Le site de Khirbet QumrânLes fouilles permirent de repérer les diffé-rentes périodes d’occupation. Les strates les plus anciennes, remontant au VIIIe siècle avant notre ère, semblent appar-tenir à la " ville du Sel " fondée, selon la

Bible, par Ozias, et qui fut rapidement abandonnée. Le site fut à nouveau occupé au IIe siècle av. J.-C., sous le règne de Jean Hyrcan, par une communauté qui sera ensuite identifiée comme celle des Esséniens qui firent prospérer le site, aménageant un système d'adduction d'eau sophis-tiqué, combinant citernes, réservoirs et canalisations, tandis que fut édifiés un complexe de bâtiments communautaires – réfec-toire, laverie, maga-sins, salles de réunion –, l'habitat

règle très stricte et observaient scrupuleu-sement les Lois de Moïse jusque dans les moindres détails. La célébration des fêtes liturgiques était réglée par un calendrier solaire de trois cent soixante-quatre jours. Les réunions, lectures et repas se tenaient dans une grande salle à laquelle les membres de la communauté ne pouvaient accéder qu’après des rites de purification

très complexes. Leurs conceptions de l’au-delà, quoique encore très discu-tées, semblent indiquer une croyance

en la résurrection des corps aussi bien qu’en l’immortalité de l’âme. La com-munauté était très hiérarchisée, mais n'était pas, à proprement parler, une communauté monastique comme l'at-

teste l'existence d’un rituel de mariage.

Les manuscrits de la mer MorteCe fut certainement lors de la révolte juive que furent mis à l'abri dans les grottes une riche bibliothèque provenant soit de la communauté essénienne, soit du temple de Jérusalem, contenant des textes spécifiques aux esséniens aussi bien que des textes de l'Ancien Testament, dont certains sont datés du IIe siècle av. J.-C. bien antérieurs à tous ceux connus jusqu'alors. Le difficile déchiffrage de ces rouleaux a permis de retrouver tous les textes de la Bible hébraïque, à l'ex-ception du livre d’Esther et du premier livre des Maccabées. Le plus célèbre des textes de Qumrân est le manuscrit d’Isaïe, un rouleau de plus de sept mètres daté de 125-100 av. J.-C. Avec cette décou-verte sont parvenus jusqu'à nous les plus anciens témoins des textes bibliques, faisant reculer notre connaissance des textes de plusieurs siècles. Les manuscrits non bibliques retrouvés à Qumrân sont surtout des commentaires de l’Ancien Tes-tament, des règlements juridiques, des méditations poétiques ou des composi-tions liturgiques et la "Règle de la commu-nauté" qui éclaire la pensée religieuse des Esséniens. Une partie de ces manuscrits est aujourd’hui exposée au sanctuaire du Livre à Jérusalem.

Israël, grand circuit archéologique et culturel • IS 31 - 14 jours • Du 10 au 23 septembre 2011, avec André Lemaire, Presto jusqu'au 08/07/11 : 3 135 €, puis 3 185 €

Noël à Jérusalem • IS 10 - 5 jours • Du 21 au 25 décembre 2011, avec Hélène Le Saout, Prix disponible le 30 juin 2011

Une semaine à Jérusalem, de la ville de David à la capitale d'Israël • IS 32 - 7 jours • Du 23 au 29 octobre 2011, avec André Lemaire, Presto jusqu'au 20/08/11 : 2 260 €, puis 2 295 €

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QumrânEt les manuscrits de la mer Morte

Et aussi en Israël...

restant cantonné aux grottes alentour. On découvrit aussi, à l'est, un cimetière renfermant 1 200 sépultures, majoritai-rement masculines. Le site fut en grande partie détruit par un séisme en l'an 31 et, à peine reconstruit, occupé par une garnison romaine lors de la révolte juive de 66 et définitivement abandonné au IIe siècle.

Les EsséniensLes Esséniens, qui se nommaient eux-mêmes "gens de la Nouvelle Alliance" appartenaient à un courant israélite issu des "Pieux". Ils se refusaient à reconnaître comme grand prêtre ceux qui n’appar-tenaient pas à la famille de Saddoq et se désolidarisaient donc du culte officiel du Temple de Jérusalem. Ils suivaient une

presque verticale, profondément entaillée, déchiquetée par le passage de petits tor-rents sporadiques. En contrebas, s'étend jusqu'au rivage, une étroite plaine mar-neuse dont les sources d’eau saumâtre n'autorisent que la croissance de quelques palmiers. La falaise calcaire recèle aussi des grottes, naturelles ou artificielles, qui furent de tout temps utilisées par les bédouins alentours pour stocker les den-

Selon la légende, ce fut en 1947 qu'un jeune bédouin de la tribu des Taamireh égara une chèvre de son troupeau. Il retrouva la bête au fond d’une grotte où étaient entreposées des jarres, à demi enfouies, qui contenaient des rouleaux de cuir apparemment fort anciens. Ne sachant qu'en faire, il les revendit à un antiquaire de Bethléem. Certains de ces rouleaux furent acquis par le professeur Eléazar Sukenik qui alerta la communauté scientifique sur l'importance exception-nelle de ces textes, et des fouilles furent

Esséniens qui firent prospérer le site, aménageant un système d'adduction d'eau sophis-tiqué, combinant citernes, réservoirs et canalisations, tandis que fut édifiés un complexe de bâtiments communautaires – réfec-toire, laverie, maga-sins, salles de réunion –, l'habitat

dans une grande salle à laquelle les membres de la communauté ne pouvaient accéder qu’après des rites de purification

très complexes. Leurs conceptions de l’au-delà, quoique encore très discu-tées, semblent indiquer une croyance

en la résurrection des corps aussi bien qu’en l’immortalité de l’âme. La com-munauté était très hiérarchisée, mais n'était pas, à proprement parler, une communauté monastique comme l'at-

teste l'existence d’un rituel de mariage.

Les manuscrits de la mer MorteCe fut certainement lors de la révolte juive que furent mis à l'abri dans les grottes une riche bibliothèque provenant soit de la communauté essénienne, soit du temple de Jérusalem, contenant des textes spécifiques aux esséniens aussi bien que des textes de l'Ancien Testament, dont certains sont datés du IIbien antérieurs à tous ceux connus jusqu'alors. Le difficile déchiffrage de ces rouleaux a permis de retrouver tous les textes de la Bible hébraïque, à l'ex-restant cantonné aux grottes alentour.

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My Son, centre sacré du ChampaLes Français utilisaient, pour désigner le Vietnam, le terme d’Indo-Chine. C’est à l’influence indienne que se rattache ce royaume qui marqua, entre le IIe et le XVe siècle, l’histoire de l’Annam, au centre du Vietnam. Le peuple, lointainement appa-renté aux Thai et aux Bir-mans, qui vivait dans ce chapelet de petites plaines lit-torales coincées entre l’océan et la chaîne annamitique, vit naître, au IIe siècle, une confé-dération de petites seigneuries qui fut très tôt en contact avec les commerçants, aventuriers, nobles et brahmanes exilés, venus d’Inde et qui apportèrent leur écri-ture, l’usage du sanskrit et leur religion. Profondément hindouisé, le Champa fut érigé, à partir du IVe siècle, en un royaume qui connut son apogée vers le IXe siècle. Le centre sacré du royaume était situé au nord de celui-ci, au sud de la ville moderne de Danang.

My Son, l’écrin de ShivaDès la fin du IVe siècle, le roi Bhadravar-man Ier choisit le site de My Son pour élever un édifice, à la fois temple dynas-tique et temple dédié à Shiva. Naturel-lement, le culte qui y était pratiqué était purement indien, mais le choix du lieu ne fut certainement pas sans réminiscence de la symbolique géomantique introduite par les Chinois au Nord-Vietnam depuis déjà près de six siècles. My Son occupe en effet une petite éminence au centre géométrique d’un amphithéâtre naturel de plusieurs collines concentriques, qui ne manquait pas d’évoquer le linga de Shiva, symbole phallique qui, enchâssé dans son réceptacle féminin, le yoni, symbolise la nature duelle du dieu. Au cœur de ce svayambhu-linga – linga né de lui-même, c’est-à-dire œuvre de la nature – l’homme ne pouvait qu’en par-faire l’image en dressant un sanctuaire,

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réceptacle du dieu, qui magnifierait l’image du linga.

Le siteDécouvert en 1889 par Camille Paris et étudié au début du XXe siècle par Henri Parmentier, le site de My Son n’a pas livré de traces significatives du premier temple. Les vestiges qui nous sont parve-nus sont ceux des édifices réalisés au VIIe siècle par le roi Sambhuvarman, qui se prétendait héritier d’une antique dynastie du Chen-la, puis par tous les rois qui lui succédèrent jusqu’à la fin du Xe siècle, pour former un complexe remarquable associant des kalans ou sanctuaires s.s. en forme de tour et précédés d’un corridor ou mandapa, des kosargrha, annexes ou "sacristies" du temple, au toit en forme de selle, et des gopuras, tours-portails monumentales. Tout était réalisé en briques rouges d’une texture extrêmement fine, liées par un mortier si fin et si adhérent que l’on crut longtemps qu’il s’agissait d’une colle végétale.

Une architecture éléganteChacun des kalans forme une tour au plan rectangulaire dont chaque face est ornée d’un portique. Celui de l’ouest donne accès à la cella tandis que les trois autres étaient autrefois ornés de statues ou de bas-reliefs. Encadrés de colonnes engagées sur les deux tiers

de leur circonférence, ils sont surmontés d’une élé-gante double arche ogivale de style indien, sculptée d’une frise végétale qui semble jaillir de la gueule du monstre qui sert de clef de voûte avant de retomber en ondulant vers la base de l’arche. L’ensemble est couvert de trois étages de toits superposés, de taille décroissante et munis de templions à chaque angle, qui semblent, par un effet de perspective, se multiplier à l’infini vers le ciel.

Une sculpturwe raffinéeLinga ornés, statues de Shiva, de Ganesh, de Vishnou ou de Garuda, naga, monstres et gardiens protecteurs, représentations de la cour céleste hin-doue, danseurs et danseuses célestes, scènes mythologiques : traduits avec sen-sibilité dans le fin grès rose, les sculptures cham, en bas relief ou en ronde bosse témoignent d’une approche originale caractérisée par des lignes trapues, mais jouant avec élégance de courbes douces et pleines. Après avoir admiré au musée Cham de Da Nang – ou au musée Guimet – des œuvres des artistes du Champa, chacun pourra ensuite les reconnaître au premier coup d’œil !

Une civilisation qui s’effaceAprès avoir échappé au tribut chinois, le Champa fut ensuite pris en tenaille entre les royaumes en pleine expansion du Dai Viet au nord et des Khmers d’Angkor à l’ouest. Chassé de My Son en 980, le royaume se reconstitua plus au sud, à Vijaya. Les Chams luttèrent encore à plusieurs reprises contre les Khmers au XIIe siècle, mais furent ensuite soumis à la loi des Viets, et le Champa se dilua progressivement dans les brumes de l’His-toire, ne nous laissant que de merveilleux trésors artistiques qui furent malheureu-sement encore atteints par la folie des hommes durant la guerre du Vietnam...

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Shiva, protecteur du royaume Cham

Pour visiter My Son avec Clio

Trésors d'IndochineDe la baie d'Along aux temples d'AngkorCV 32 - 16 jours

Le VietnamDe la baie d’Along au delta du MékongVT 31 - 16 jours

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Conférenciers, dates et prix, voir page ci-contre.

Découvrir l'Asie du Sud-Est...


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Trésors d'IndochineDe la baie d'Along aux temples d'Angkor

• Du 3 au 18 août 2011, avec Christiane MarchaisPresto jusqu’au 31/05/2011 : 3 725 €, puis 3 775 €

• Du 8 au 23 novembre 2011, avec Monique Gilbert-Meunier Presto jusqu’au 01/09/2011 : 3 825 €, puis 3 875 €

Cet itinéraire nous conduira au cœur de ce monde fascinant né des contacts répétés entre les civilisations chinoise et indienne, à travers les sites histo-riques et naturels les plus prestigieux et les plus évocateurs. Un voyage qui associe les lieux les plus célèbres et les plus envoûtants du Vietnam et du Cambodge. Une croisière de cinq heures dans la baie d’Along, la découverte de la cité impériale de Hué et plus de deux jours complets à Angkor sont naturellement les points forts de ce programme qui ne néglige cependant pas d’aborder tous les aspects de l’histoire de la péninsule indochinoise.

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VietnamDe la baie d’Along u delta du Mékong

• Du 8 au 23 octobre 2011, avec Didier TrockPresto jusqu’au 05/07/2011 : 3 455 €, puis 3 495 €

La longue bande côtière, en forme de dragon, du Vietnam abrite les souvenirs glorieux de plusieurs civilisations raffinées. Des ruines chams, cette élégante puissance indianisée qui menaça Angkor, aux bâtiments coloniaux d’Hanoï ou de Saigon, sou-venirs nostalgiques d’une belle Indochine, en passant par la mélancolique Cité impériale des empereurs Nguyen de Hué, le Vietnam s’affirme comme une terre délicate et grandiose. Après une découverte du Tonkin, nous nous envolerons vers l’Annam. Un second vol nous conduira de Danang à Hô Chi Minh Ville à la découverte de la Cochinchine, haut lieu de la présence française.

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Angkor


Paysages et minorités du Sud de la Chine et du TonkinDétian, Huashan, baie d'Along, Hanoi, Sapa, Yuanyang, Shilin

• Du 21 septembre au 8 octobre 2011, avec Catherine DeschampsPresto jusqu’au 18/07/2011 : 2 990 €, puis 3 040 €

Un voyage pour découvrir toute la magie de ces régions du Tonkin et du Sud de la Chine qui offrent, dans des paysages de rêve, une vie encore authentique... Outre la bruissante Hanoï et la célèbre baie d’Along, vous découvrirez les rizières étagées des hautes collines de Yuanyang, aussi merveilleuses que sur les plus belles cartes postales ; mais, surtout, dans les villages et sur les marchés, vous rencotrerez les traditions parfaitement vivantes des multiples minorités qui peuplent le Haut Tonkin – H’mongs rouges, H’Mongs noirs, H’mongs bariolés, Thai noirs, Dao, Lu, Tay – et, en Chine, les Hani et des Yi.

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Le Laos étonne par la beauté tranquille de ses paysages et le charme de ses anciennes cou-tumes d’où se dégage une harmonie paisible, fruit d’une culture raffinée. Une descente du Mékong en sampan, des incursions sur les plateaux encore marqués par la présence d’ethnies diverses, la découverte de la plaine des Jarres, du temple du Vat Phou et des merveilles de Louang Prabang classées au patrimoine mondial de l’humanité, ajoutent encore à la dimension de ce voyage...

LA 31 - 17 joursLe LaosRoyaume du Million d’éléphants

• Du 4 au 20 novembre 2011, avec Gérard RovilléPresto jusqu’au 31/08/2011 : 3 985 €, puis 4 035 €

Mosaïque ethnique, la Birmanie fut unifiée au XIe siècle par un roi, bouddhiste fervent, qui fit édifier à Pagan des milliers de pagodes qui échappèrent en grande partie à la destruction totale de la ville par les Sino-Mongols en 1287. La prestigieuse Mandalay fut fondée en 1857 par le roi Mindon qui y construi-sit son immense palais royal et d’innombrables pagodes. Entre tradition vivante et futur incertain, la Birmanie demeure parmi les pays les plus attachants du monde asiatique.

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• Du 6 au 21 novembre 2011, avec Alain Mahuzier Presto jusqu’au 05/09/2011 : 3 315 €, puis 3 365 €

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Le conservatoire de la foi bouddhiqueLa légende rapportée dans la chronique du Mahavamsa, veut que ce fût le jour même de la mort du Bouddha histo-rique, au début du Ve siècle avant notre ère, qu'un groupe de disciples débar-qua sur l'île de Ceylan. Dans l'épopée du Ramayana, Ceylan est le domaine du démon Ravana, le ravisseur de Sita. Peuplée de tribus australoïdes dont des-cendent les Veddas d'aujourd'hui, l'île fut effectivement abordée par les Indiens du Nord, au Ve siècle av. J.-C., qui y importèrent, sinon leur langue, au moins l'usage de nombreux termes sanskrits. Ce ne fut cependant qu'à l'issue du ~IIIe siècle que le bouddhisme fut réellement introduit à Ceylan lorsque Mahen-dra, le fils du grand empereur indien Ashoka, convertit le roi Tissa qui régnait depuis la petite cité d'Anuradhapura. Le roi donna à la petite communauté de moines qui s'était immédiatement formée, un pavillon royal qui deviendrait le monastère Mahavihara. Mahendra fit alors mander sa sœur, Sanghamittā, qui arriva de Gaya, en Inde, avec une relique du Bouddha, une omoplate, qui fut enchâssée dans un stupa, et une pousse de l'Arbre de l'Eveil qui prospère encore aujourd'hui, ce qui en fait peut-être le plus vieil arbre du monde ! Les enseignements bouddhiques furent traduits en langue pali et, lorsqu'au siècle suivant se développa en Inde la nouvelle école bouddhique du Grand Véhicule – le mahayana –, Anurhadapura devint le conservatoire de l'enseignement originel, "l'ancienne école" ou theravada.

Ceylan entre dans l'HistoireLa foi bouddhiste devint rapidement le trait d'union entre le peuple et une monarchie dont le pouvoir était tempéré par l'in-fluence des moines, et une grande période de développement commença au ~IIe siècle, sous la dynastie de Vijaya. La réa-lisation de grands travaux de maîtrise de l'eau, la construction de grands barrages et de plus de mille kilomètres de canaux

la jungle. Ce ne fut qu'au XIXe siècle que, redécouvert par les Britanniques, le site fut remis en valeur et que la cité renaquit.

La ville sainteDans un décor tropical, la ville s'étend toujours entre les grands réservoirs qui furent creusés au début de notre ère, le Nuwara Wewa et le Tissa Wewa, bordé par les anciens "jardins du Plai-sir royal". La visite du parc historique commence naturellement par une révé-rence au vieux banian, le Sri Maha Bodhi. Non loin de là subsistent les quarante rangées de quarante piliers du Palais de bronze, le monastère construit par le roi Dutugemunu, et qui comptait, dit-on, mille chambres ornées d'argent et de pierres précieuses. Le site d'Anuradhapura est constellé de stupas de toutes formes et de toutes époques, des dagoba en cinghalais. Le plus ancien et le plus précieux, qui abrite la relique du Bouddha, le Thupa-rama, fut reconstruit au XIXe siècle, mais

le Ruwanweli Seya, le dagoba Abhaya-giri et, surtout, le Jetavanarama, le plus grand de Ceylan avec ses 120 mètres de diamètre, rivalisent de majesté à côté d'innombrables édifices plus modestes, mais tout aussi charmants. La maîtrise des sculpteurs du IVe siècle est parfaitement illustrée par le Samadhi Bouddha, repré-senté dans la position de méditation, qui dégage une remarquable impression de sérénité. On retrouve cette élégance dans les bas-reliefs sculptés dans la roche du temple rupestre Isurumuniya et des élé-gants bassins qui le jouxtent : frise d'élé-phants enjoués, nains bouffons, guerrier au repos assis près de son cheval et, surtout, le célèbre groupe des Amoureux qui s'inscrit dans la plus pure tradition de la sculpture gupta. L'entrée du pavillon Ratna Prasada, le "Palais de gemmes", est toujours gardée par un roi naga de pierre, qui présente avec bénévolence le vase d'abondance et une branche fleurie, symbole d'une paix et d'une prospérité millénaire...

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Pour visiter Anuradhapura avec Clio

d'irrigation donnèrent au royaume une nouvelle prospérité qui lui permit d'étendre son aire d'influence. Cette période fut cependant troublée par l'arrivée d'une nouvelle population venue d'Inde méridio-nale, les Tamouls qui s'établirent dans le Sud de l'île et disputèrent même le pouvoir au roi cinghalais. Mais la succession des dynasties et les ingérences de plus en plus fréquentes des royaumes d'Inde du Sud ne mirent pas un terme à la prospérité d'Anuradhapura. Au IVe siècle, la ville était enclose d'une enceinte de près de 80 kilomètres de périmètre et elle riva-lisait avec les plus grandes métropoles du monde. Cette richesse permit aussi de faire appel aux artistes, sculpteurs, archi-tectes, peintres, médecins, philosophes qui firent d'Anuradhapura, mille ans durant, l'un des plus brillants foyers intellectuels de l'Inde ancienne ; mais, en 993, la conquête par le roi Chola Rajaraja, mit sur le trône une nouvelle dynastie qui transféra sa capitale à Polonnaruwa. Anuradhapura tomba alors dans l'oubli et fut envahi par

Ceylan Au royaume du saphir, du thé et des épices • CEY 31 - 11 jours • Du 13 au 23 novembre 2011, avec Michèle Perrin-Béguin,

Presto jusqu’au 10/09/11 : 2 465 €, puis 2 565 €• Du 19 au 29 février 2012,

Prix disponible le 30 juin 2011

Anuradhapura

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La première capitale cinghalaise

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Pour découvrir Kyongju avec Clio

L'émergence des EtatsDéjà marquée par une civilisation néoli-thique avancée, la Corée vit l'arrivée, à l'aube du Ier millénaire avant notre ère, de peuples de langue toungouze, venus de Mandchourie et de Sibérie. Ils apportaient l'usage du bronze, et une société de structure cla-nique, proto-féodale, hiérarchi-sée, ainsi que l'atteste la pré-sence de dolmens, sépultures réservées à l'élite dirigeante. La constitution d'une première ligue de tribus déboucha, vers le IVe siècle av. J.-C., sur la constitution d'un premier petit royaume, Chosŏn – le "Matin calme" – fondé par Tan'gun, né de l'union du fils du Ciel avec une femme-ours... Bien qu'il maîtrisât la fabrication des armes de fer et qu'il usât de la cavalerie montée, le royaume de Chosŏn fut conquis par la Chine en 108 av. J.-C. Après le retrait des Chinois, la Corée vit l'émergence d'Etats tribaux qui se conso-lidèrent en trois royaumes rivaux, ceux de Koguryŏ, de Paekche et de Silla auxquels s'adjoignit, au IVe siècle et jusqu'en 562, la colonie japonaise de Kaya, "Mimana" pour les Japonais.

Le royaume de SillaNé de l'union de six villages, autour de Kŭmsŏng – l'actuelle Kyongju – qui en devint la capitale, le royaume de Silla était aux mains d'une aristocratie dont la stricte hiérarchie reposait sur l'origine familiale. Les membres de "l'os saint", de pur sang royal, détenaient le pouvoir suprême, mais ceux de "l'os véritable" formaient un conseil aristocratique – Hwa-baek – qui se réunissait pour prendre les décisions les plus graves. Etat guerrier, le Silla, avec l'aide de la Chine, conquit le Paekche en 660 et le Koguryŏ en 668, avant de bouter les Chinois hors de la péninsule en 676, donnant naissance au premier royaume unifié de Corée. Réduisant l'influence des nobles, le roi de Silla se comporta en souverain absolu,

en 528 par le moine Ado, se déclinait en deux écoles, celle de l'avatamsaka-sutra, adoptée par la famille royale, qui compa-rait les mérites à une guirlande de fleurs, tandis que celle de la terre Pure, promet-tant le Salut dans le paradis de l'Ouest par la simple invocation d'Amithaba, fut naturellement adoptée par le bas-peuple.

Kyongju, un "musée sans murs"A son apogée, Kyogju compta peut-être un million d'habitants. La prospérité du royaume permit à ses rois d'édifier de somptueux palais mais dont il ne reste que des vestiges sur les sites de Panwolsong et Sokpinggo. En revanche, au cœur de la ville, un parc protège maintenant une ving-taine de tumuli abritant les tombes royales. La tombe Cheonmachong, la "tombe du cheval volant", découverte en 1974, a livré des milliers d'objets, dont une couronne en or, merveille d'orfèvrerie qui atteste le niveau de développement de la Corée au VIIIe siècle. La tombe Kwaenung – peut-être celle du roi Wonsung – est l'une des plus belles, protégée par un mur portant, sculptés, les douze signes du zodiaque et

précédée d'une allée flanquée de digni-taires, de guerriers et de lions de pierre d'une remarquable facture. Non loin de là, la tour de l'observatoire Cheomsong-dae, érigée au VIIe siècle, montre que les

sciences étaient aussi avancées à cette époque.

Les monastèresLes plus beaux monuments de Kyongju restent cependant ceux qui relèvent du bouddhisme. Le plus remarquable est cer-tainement le temple Bulguksa, édifié en 535. S'il a conservé tous ses escaliers et pagodes de pierre, les temples en bois ont été remarquablement res-taurés selon les plans d'ori-gine. Bien qu'inspirés des tech-niques chinoises, les sculptures coréennes, tant de pierre que de bronze, se caractérisent par leur inventivité et une liberté bien éloignée des représenta-

tions conventionnelles. Il suffit, pour s'en convaincre, d'admirer le grand bouddha du Kulpul-sa, légèrement déhanché sous un drapé mouillé. La grotte de Sŏkkuram, rotonde creusée dans le granit, face au soleil levant, abrite aussi un grand bouddha qui dégage une impression de force et de sérénité rarement égalée, tandis que les bodhisattvas féminines qui l'entourent sont empreintes d'une grâce retenue, sous des draperies remarquable-ment sculptées dans le granit.

La fin de SillaSi les rois de Silla aimaient à se repo-ser près du petit lac d'Anapchi où sub-sistent quelques vestiges du palais qu'y fit construire le roi Munmu en 674, ils devaient aussi guerroyer sans cesse. A la fin du VIIIe siècle, la multiplication des révoltes seigneuriales désagrégea le royaume de Silla et si, en 936, l'unité de la Corée fut rétablie, ce fut sous l'autorité de Wang Kŏn, roi de Koryŏ – aujourd'hui Kaesŏng en Corée du Nord –, et Kyongju ne fut plus qu'une capitale provinciale, statut qu'elle conserva jusqu'en 1601.

La CoréePays du Matin calmeCO 50 - 13 jours • Du 6 au 18 octobre 2011, avec Patrick Maurus,

Presto jusqu'au 05/08/11 : 3 250 €, puis 3 295 €

KyongjuLa capitale du royaume de Silla

et Kyongju devint la brillante capitale d'un Etat centralisé dont l'organisation sociale et administrative reposait sur les préceptes confucéens, à l'imitation de la Chine. Omniprésent, le bouddhisme, introduit

Maître de conférences à l'INALCO.

avec Patrick Maurus

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Des itinéraires originaux, des conférenciers passionnés : des circuits destinés à un petit nombre de privilégiés prêts à de nouvelles découvertes.

TN 40 - 14 jours

Un voyage d'exception pour découvrir les trois régions qui composent le Tibet historique. L'Ü-Tsang – aujourd'hui la région autonome du Tibet – occupe les hauts plateaux tibétains. Vous y découvrirez natu-rellement le Potala et, autour de Lhassa, tous les grands monastères des différentes écoles bouddhistes tibétaines qui s'égrènent sur les flancs de la vallée de Lhassa. L'Amdo est le cœur du Tibet oriental qui conserve vivantes ses traditions autour du monastère de Labrang mais aussi du monastère de Kumbun, cher à Alexandra David-Néel. Le Kham, la troisième région tibétaine, est une zone plus difficile d'accès, mais c'est à bord du train de la désormais célèbre ligne Pékin-Lhassa que vous aurez l'occasion de la traverser avant d'emprunter le tronçon mythique de cette ligne qui, depuis 2006, monte à l'assaut des hauteurs tibétaines, empruntant un col à 5 072 mètres d’altitude, ce qui en fait la ligne la plus élevée du monde.

Labrang

Le YunnanLes hautes vallées de la Chine du Sud

Du 8 au 21 octobre 2011Presto jusqu’au 05/08/2011 : 2 495 €, puis 2 545 €

Bordée par la Birmanie, le Laos et le Vietnam, le Yunnan est la province mon-tagneuse du Sud de la Chine, une "autre Chine", tropicale, fores-tière et monta-gneuse.

Souvent présenté comme la Chine des minorités, le Yunnan est effectivement le berceau de nombreux peuples qui essaimèrent dans toute l’Asie du Sud-Est : Dai, Yi, Hui, Bai… et les Naxi du haut Yang Tsé qui conservent des traditions proches de celles des anciens Tibétains. Le Yunnan est aussi fait de paysages de mon-tagne extraordinaires, combinant des sommets subhimalayens et de riantes vallées qui jouissent d’un éternel printemps où une tradition populaire place le royaume mythique de Shangri-lâ, le pays de la paix éternelle décrit par James Hilton dans son roman L’Horizon perdu. Brassage de cultures, originalité préservée malgré la percée du modernisme, paysages hors du commun, ce voyage se révélera d’une extraordinaire richesse, que vous soyez familiers ou non avec la culture chinoise.

CH 33 - 14 jours

Du 13 au 23 août 2011Presto jusqu’au 10/06/2011 : 2 145 €, puis 2 195 €

Petite terre balkanique perdue au bout de l’Eu-rope, l’Albanie fut long-temps entourée d’une aura de mystère pour les Occidentaux. Plus secrète que sa voisine croate, l’Albanie se moder-nise peu à peu et offre à qui veut la découvrir la

diversité de ses paysages et un passionnant patrimoine antique et médiéval. De la colonisation grecque à l'Illyrie romaine et aux empe-reurs byzantins, des Bulgares aux Vénitiens et à la figure héroïque de Skanderberg, l'Albanie, mosaïque de l’Histoire, a préservé un patrimoine exceptionnel et évocateur.

L'AlbanieLe pays des aigles

De Pékin à LhassaEt le train du toit du monde

ALB 31 - 11 jours

CH 97 - 15 jours

avec Catherine Rambaud Diplomée d'Histoire et de sociologie.

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avec Pierre Cabanes

Professeur honoraire de l’université Paris X- Nanterre. Fondateur de la mission archéologique et

épigraphique française en Albanie.

Et aussi le Tibet

Lhassa

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Chengdu

Kunming

Wuhan

Canton

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Ganden

Tongren

Pékin

Kumbum

Golmund

avec Elisabeth Ferrier Guide-conférencière nationale.

TibetLe toit du monde

• Du 7 au 20 août 2011, avec Stéphane Martin Presto jusqu'au 05/06/2011 : 3 450 €, puis 3 495 €

• Du 16 au 29 septembre 2011, avec Françoise Wang Presto jusqu'au 10/07/2011 : 3 495 €, puis 3 545 €

• Du 2 au 15 octobre 2011, avec Olivier Brunet Presto jusqu'au 31/07/2011 : 3 415 €, puis 3 465 €


Parmi nos voyages rares


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• Du 12 au 26 juillet 2011 Presto jusqu'au 10/05/2011 : 3 625 €, puis 3 675 €

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MadagascarL'île continent

Du 2 au 15 octobre 2011Presto jusqu’au 31/07/2011 : 4 440 €, puis 4 490 €

La "Grande Île" mérite, mieux que toute autre région du globe, l’appellation de "pont entre deux mondes", car elle doit à l’Afrique et à l’Asie son milieu naturel, son peuplement, son histoire, son héritage culturel. Ni l’expansion maritime arabe ni les voies ouvertes par Vasco de Gama, puis par les Portugais, les Hollandais, les Français et les Anglais, ne sont parvenues à infléchir un destin qui se jouait au centre du pays, sur les hauts plateaux : sous l’autorité des Mérinas et de leurs souverains, les Malgaches réussirent, avant la colonisation française, la réunification du pays.

MAD 50 - 14 jours

La Norvège en croisière à bord de l'Express côtierDe Bergen au cap NordNO 90 - 12 jours

Grandioses et somptueux, les fjords qui découpent à l’infini la côte norvégienne sont aussi un obstacle majeur à la circulation terrestre et, depuis l’époque des Vikings, la mer fut le moyen privilégié pour relier entre elles les villes côtières. Depuis la fin du XIXe siècle, l’Express côtier assure avec régularité la liaison entre le Sud et l’Extrême Nord du pays. Nous vous convions donc à prendre place à son bord, de Bergen à Kirkenes et retour vers Trondheim, à profiter des paysages extraordinaires comme celui du fjord de Geiranger durant la naviga-tion, mais aussi, lors des escales les plus longues, à visi-ter les charmantes cités qui s’égrènent de Trondheim à Tromso et de découvrir le cap Nord.

Le Nordlys

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Diplômée d’Histoire.

avec Monique Meunier

Cabine catégorie I 2 : 4 320 €Cabine catégorie J 2 : 4 775 €Cabine catégorie N 2 : 4 915 €Cabine catégorie P 2 : 5 095 €

Cabine individuelle : nous consulter

Du 22 août au 2 septembre 2011

Prix à partir du 21/06/2011 : + 50 €

Prix Presto jusqu'au 20/06/11

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EstonieMer Baltique

Mer du Nord

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Hammerfest

Cap NordHonningsvag

Kirkenes

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Deux voyages en Afrique avec Jean-Christophe Huet

Docteur de l'université de Paris IV-Sorbonne. Membre de la Société des africanistes.

Du 2 au 14 juillet 2011, 4 925 €

Au cœur de l’une des plus belles régions d’Afrique se trouvent les sites où, pour la première fois peut-être, l’aube se leva sur une huma-nité en enfance. Ces vestiges,

conservés strate après strate dans la gorge d’Olduvai et mis au jour au cours des dernières décennies nous ont révélé des pages entières du grand livre de nos origines. Mais la Tanzanie offre plus encore : les plus belles peintures rupestres d’Afrique orientale, la côte de l’océan Indien et ses anciennes cités, Zanzibar, île de légende et, bien sûr, le Kilimandjaro et les grands animaux sauvages qui forment une fascinante toile de fond à toutes ces découvertes, évocatrices des débuts de la Création.

TanzanieDu Kilimandjaro à Zanzibar

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J 1 : Paris - DelhiVol de Paris vers Delhi. Nuit à Delhi en hôtel 5*.

J 2 : DelhiTour de ville puis visite du Musée archéologique national qui illustre les multiples aspects de la culture indienne. Déjeuner en ville. Vol vers Patna. Nuit à Patna en hôtel 5*.

J 3 : Vaishali - KumraharVisite de Vaishali où se déroula au Ve siècle av. J.-C. le deuxième concile bouddhique. Nous verrons le pilier d’Ashoka et les restes du stupa construit pour abriter les cendres du Bouddha. A Kumrahar, nous découvrirons les vestiges de l’ancienne ville de Pataliputra, où s’est tenu, vers 249 av. J.-C., le troisième concile bouddhique, sous l’impulsion de l’empereur Ashoka. Nuit à Patna.

J 4 : Nalanda - Rajgir (160 km)A Nalanda, nous verrons les restes du grand stupa de Siriputta et les ruines de l’université bouddhiste qui, durant des siècles, délivra l’Ensei-gnement à des milliers d’étudiants originaires de toute l’Asie. A Rajgir, ancienne capitale du royaume de Magadha, où le Bouddha résida plusieurs fois, nous visiterons la colline des Vautours où aurait été prêché le Sutra du Lotus blanc de la Loi merveilleuse. Nuit à Bodhgaya en hôtel 3*.

J 5 : BodhgayaCe fut à Bodhgaya, la ville la plus sainte du bouddhisme, que le Bouddha atteignit l’illumina-tion, après avoir médité sous l’arbre de la Bodhi. Visite du temple de la Mahabodhi construit par l’empereur Ashoka, et de nombreux temples et monastères, fondés par des communautés bouddhistes japonaise, thaïlandaise et tibétaine.Visite du Musée archéologique. Train de nuit de Gaya à Calcutta. Dîner et nuit dans le train.

J 6 : CalcuttaVisite de la première capitale de l'empire des Indes britanniques : le grand parc de Maidan, le mémorial Victoria, la cathédrale Saint-Paul, le palais de justice et l'Assemblée nationale puis le BBD Bagh, où s’élèvent les bâtiments officiels qui rappellent que Calcutta fut capitale des Indes anglaises, puis les bazars des quartiers nord de la ville. Nuit à Calcutta en hôtel 4*.

J 7 : CalcuttaVisite de l'Indian Museum, où nous verrons en particulier les salles consacrées au stupa de Bharhut, la superbe collection de sculptures

du Gandhara. Vol vers l'Orissa. Nuit à Bhubaneshwar en hôtel 4*.

J 8 : Ratnagiri Lalitgiri

Visite du site bouddhique de Ratnagiri avec son stupa de briques entouré de petits sanc-tuaires et chaitya,

et des ruines de trois monastères décorés de statues de Bouddha, et de son musée. A Lalitgiri, visite des vestiges de trois monastères et d'une salle absidiale et du musée qui présente des sculptures Mahayana : statues colossales de Bouddha, de Bodhisattva et de Tara. Pique-nique en cours de route. Nuit à Bhubaneshwar.

J 9 : BhubaneshwarMentionnée lorsque l'empereur Ashoka s'empara du royaume Kalinga, la ville de Bhubaneshwar se développa à partir du VIIe siècle et devint un grand centre shivaïte... Des centaines de temples furent édifiés, surtout sous la dynastie des Ganga : temples Rajarani, Parasurameswara, Mukteswara, Siddheshvara. L'après-midi, pro-menade au bord du lac Bindusagar, bordé de temples, sur les murs desquels les nymphes célestes expriment toute la grâce de la tradition de danse de l'Orissa. Nuit à Bhubaneshwar.

J 10 : BhubaneshwarLes collines jumelles d'Udayagiri et Khandagiri furent creusées de grottes, au IIe siècle av. J.-C., par des moines jaïns, et illustrées par des scènes religieuses ou royales. Visite du Musée d'Etat de l'Orissa. Déjeuner à Bhubaneshwar et route vers Puri. Nuit à Puri en hôtel 3*.

J 11 : Konarak - PuriLe temple de Konarak est un véritable hymne de pierre pour chanter les invocations au dieu soleil Surya. Construit au XIIIe siècle, le sanctuaire est un gigantesque char solaire tiré par des che-vaux de pierre. Le décor, un des plus riches de l'Inde, se compose d'une multitude de sculptures et de reliefs : dieux, naga et nagini, musiciens, danseuses, couples amoureux peuplent les murs du temple. Les plinthes, les murs et les piliers de la salle des Offrandes, le bhoga-mandapa, sont couverts de sculptures. Retour à Puri, où nous découvrirons, de l'extérieur, le temple de Jagannath, le seigneur de l'Univers, qui abrite des statues de bois représentant Vishnu-Jagannath lui-même, Balabhadra son frère et Subhadra

Le Bihar et l'Orissa

Les vols internationaux Paris/Delhi/Paris, avec ou sans escale sur lignes régulières Les vols intérieurs Delhi/Patna, Calcutta/Bhubaneshwar et Bhubaneshwar/Delhi sur lignes régulières Le train de nuit Gaya/Calcutta en 2e classeLes taxes aériennes L’hébergement en chambre double en hôtels 3*, 4* et 5* La pension complète du petit déjeuner du 2e jour au dîner du 13e jour, le déjeuner du 8e jour sera pris sous forme de pique-niqueLes déplacements en autocar privé Les visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : ce circuit se déroule en partie dans des régions où l'infrastructure touristique est peu développée, mais l'hébergement sera assuré dans des hôtels tout à fait convenables. Lors de la nuit en train, les voyageurs sont répartis dans les compartiments à 4 couchettes, indépendamment des options chambre double ou chambre individuelle. Plusieurs déjeuners seront également assurés dans de petits restaurants locaux. La visite intérieure du temple de Puri est interdite aux non hindous. FORMALITES : passeport valable 6 mois après votre retour + visa.

IN 98 PRESTATIONS INCLUSES

sa sœur. Nous flânerons dans le marché sur le parcours qu'empruntent les chars portant les statues divines lors de la procession estivale. Dîner et nuit à Puri.

J 12 : Raghurajpur - Dhauli - HirapurVisite du village de Raghurajpur où cinq cents artistes vivent de leurs créations : peinture sur feuille de palme sculptée, sur soie ou sur papier. Sur le site de Dhauli se trouvent les fameux édits de l’empereur Ashoka, gravés dans le roc vers 257 av. J.-C. Nous ferons également un détour vers le village d'Hirapur où se trouve un surprenant sanctuaire en plein air consacré aux soixante-quatre déesses-mères. Nuit à Bhubaneshwar en hôtel 4*.

J 13 : Bhubaneshwar - DelhiVol vers Delhi. Dans la nuit, vol vers Paris.

J 14 : Delhi - Paris - Arrivée à Paris.

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New DelhiLucknow

Bhopal

Bhubaneswar

Calcuta

PatnaGanges

Golfe du Bengale

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RatnagiriKonarakPuri

Bodhgaya

VaishaliNalanda

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A l’écart des grands flux touristiques, ce circuit vous propose de retrouver les racines les plus profondes de la civilisation indienne et ses expressions artistiques les plus étonnantes. A Rajgir et Vaishali, nous évoquerons les grandes épopées et la naissance du jaïnisme, puis, à Bodhgaya – la cité de l’illumination –, l’histoire et la légende du Bouddha. Si Calcutta doit se lire, au-delà des clichés classiques, comme un véritable palimpseste, l’Orissa présente une remarquable synthèse entre les traits ancestraux de la civilisation aryenne, le bouddhisme, le brahmanisme et, même, les influences grecques par-delà les conquêtes d’Alexandre.

IN 98 - 14 jours

IN 98 Prochain départ Forfait par personne12/11 - 25/11/11 avec François Bouée



avec François BouéeDiplômé de l’Inalco.

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GRANDS VOYAGEURS


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LES POINTS FORTS Le Musée national de Delhi Le temple de la Mahabodhi à Bodhgaya L'Indian Museum à Calcutta Le temple de Konarak Le petit temple des Soixante-Quatre Yogini à Hirapur

De l'arbre du Bouddha au temple du SoleilPatna, Calcutta, Puri, Bhubaneshwar

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Le temple de la Mahabodhi à Bodhgaya

J 1 : Paris - DhakaVol à destination de Dhaka. Nuit à bord.

J 2 : DhakaVisite de Dhaka, capitale grouillante de vie dont nous retracerons l'histoire en visi-tant le palais Rose, l'église arménienne, la mosquée Sitara, érigée à l’époque moghole... Promenade à pied dans le bazar Shankharia. Nuit à Dhaka en hôtel 5*.

J 3 : Sonargaon - Comilla (90 km)

Départ vers Sonargaon, "la Ville d’or", l'ancienne capitale orientale du Bengale et dont les villages de Painam Nagar et de Mograpara gardent quelques vestiges : la mosquée Goaldi, bel exemple d’art bengali prémoghol. Visite du musée d’Art populaire. Arrêt à la mosquée Fateh Shâh et au mausolée de Ghiyas ud-Din Azam Shâh. Visite des temples et monastères bouddhiques de Mainâmati et du palais de la reine Mainâmati. Visite du musée local : terracota et superbes statues en bronze. Nuit à Comilla en hôtel 2*.

J 4 : Comilla - Sylhet (260 km)Longue route au cœur des collines verdoyantes du Nord-Est. Visite de la belle mosquée Hatkhola à Sarail. Déjeuner à Srimangal et visite du Nirmmai Shib Bari. Traversée d’une région de forêts et de plantations de théiers. Nuit à Sylhet en hôtel 5*.

J 5 : Jaintapur (145 km)Excursion à Jaintapur. Visite du mausolée de Shah Paran, célèbre soufi du XIVe siècle. Visite du palais du Rajbari, du temple shivaïte de Jainteshwari et des monuments mégalithiques. Route vers Jaflang, entourée de collines cou-vertes de théiers. A Sylhet, visite du mausolée de Makhdum Shah Jelal ud-Din, l’un des propagateurs de l’islam au Bengale au XIVe siècle. Nuit à Sylhet.

J 6 : Sylhet - Dhaka (350 km)

Après un passage par Zinda Bazar et Bandar Bazar, longue étape à travers collines, vallées, plaines et rivières pour rejoindre Dhaka. Nuit à Dhaka en hôtel 5*.

J 7 : DhakaVisite de la ville moderne : le Parlement, œuvre audacieuse de l’architecte américain Louis Kahn, la mosquée Satgumbad, la

mosquée Bayt ul-Mukarram, les monastère et temple Dharm arajikha. Visite du Lalbagh, le "fort Rouge" : pavillons d’audiences, hammam, mosquée, mausolée, de style moghol, alliant la pierre, le marbre et le stuc. Visite des vestiges du palais Bara Kotra et du caravansérail de Chota Kotra. Nuit à Dhaka.

J 8 : Dhaka - Bogra (200 km)A Tangail : visite de la mosquée Atiya, d'archi-tecture bengalie en briques avec décoration de terracotta. Traversée du Brahmapoutre au pont de Banghabandhu. A Bogra, visite du musée Nawab Bari, et promenade à pied dans le petit quartier hindou. Nuit à Bogra en hôtel 4*.

J 9 : Bogra - Mahâsthângarh - Dinajpur (110 km)

Excursion à Mahâsthângarh, la plus ancienne capitale de l’époque Maurya. Toutes les grandes époques architecturales de l’Inde du Nord, de la protohistoire au XIIe siècle, y sont représentées. Visite du musée (terracotta, statues en pierre, en bronze...), des murailles, des anciens monastères, du temple hindou de Govinda Bhita ainsi que des sites voisins de Gokul Medh, de Vasu Vihâr et de Vihâr Dhap. Nuit à Dinajpur en hôtel 2*.

J 10 : DinajpurVisite du temple en briques dédié à Krishna. Excursion entre paisibles collines et vastes rizières. Visite du temple hindou de Kantanagar, décoré de métopes en terre cuite. A Saidpur, arrêt près d’une église datant de l’époque du Raj britannique. Visite de Thakurgaon puis de la belle petite mosquée Nayabad à Karahole. Nuit à Dinajpur.

J 11 : Dinajpur - Paharpur - Rajshahi (210 km)

Visite des ruines du fort de Ghoraghat, de la mosquée du XVIIIe siècle et de la mosquée Sura. Visite du monastère de Somapura à Paharpur . Nuit à Rajshahi, sur les rives du Gange en hôtel 3*.

J 12 : Rajshahi - Gaud - Rajshahi (200 km) Excursion à Gaud, ancienne capitale des rois hindous Sena. Visite de ses mosquées en architec-

Le Bangladesh

Les vols internationaux Paris/Dhaka et retour, avec escaleLes taxes aériennes L’hébergement en chambre double en hôtels de 2* à 5* La pension complète du petit déjeuner du 2e jour au dîner du 16e jour Le circuit en autocar privéLes visites mentionnées au programme L'accompagnement culturel par un conférencier Clio

BON A SAVOIR : le tourisme étant encore peu déve-loppé, les hôtels, hors de Dhaka, sont d'un confort modeste, les déplacements s'effectuent sur des réseaux routiers encombrés et souvent en mauvais état et les déjeuners sont pris dans des restaurants locaux dont le menu n'est pas toujours très varié. Ces réserves sont toutefois largement compensées par le plaisir d’être souvent seuls sur des sites envoûtants et d'effectuer un circuit à l'intérêt exceptionnel. FORMALITES : passeport valable 6 mois après votre retour + visa.

BD 50 PRESTATIONS INCLUSES

ture bengalie traditionnelle, ornées de panneaux de terracotta. Le village de Firozpur abrite le mausolée et la mosquée de Shah Niamatullah et le palais Tahkhâna. Nuit à Rajshahi.

J 13 : Rajshahi - Khulna (265 km)Visite du quartier du Baro Kuthi, centre de production d’indigo à l’époque britannique, puis du musée Varendra. Départ vers le Sud. Arrêt à Puthia et visite des temples de Shiva, Jagannath et Govinda et arrêt devant le rajbari. A Pabna, visite du temple de Jor Bangla et de la mosquée Shahzadpur. Traversée du Gange. Nuit à Khulna en hôtel 3*.

J 14 : Bagherat (150 km)Excursion à Bagherat, une des îles du delta du Gange et du Brahmapoutre. Visite des mosquées médiévales, de la "mosquée aux Soixante Coupoles", de la mosquée Ronvijoypur, au puissant dôme de brique, de la mosquée Noygumbad, du mausolée de Khan Jahan Ali. Visite du temple shivaite d'Ayodhyace. Trajet vers Mongla, à l’entrée des Sunderbans, dont l'église traduit la rencontre entre le christianisme, le bouddhisme et l’islam. Nuit à Khulna.

J 15 : Khulna - Dhaka (360 km)Route vers Dhaka par Gopalganj et Narayanganj. Visite de la mosquée et du mausolée de Bibi Miriam. Nuit à Dhaka en hôtel 5*.

J 16 : DhakaVisite du temple shivaïte de Dhakeshwari. Promenade en bateau sur la rivière Buriganga. Visite du Musée national. Nuit à Dhaka.

J 17 : Dakha - Paris - Vol vers Paris.

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Si le Bangladesh manque encore d’infrastructures touristiques, il présente cependant un intérêt culturel certain. Terre de bouddhisme, d’hindouisme, de tantrisme, puis d’islam, pays d’eau et de terre où l’architecture en brique traditionnelle reste un sujet d'émerveillement, le Bangladesh offre des joyaux de l'architecture bouddhiste, hindouiste et musulmane. La douceur des paysages et l’accueil des Bangladeshi ajoutent à l’intérêt de ce voyage qui est une découverte en soi, mais aussi un complément du voyage au Bengale occidental.

BD 50 - 17 jours

A la découverte du Bengale oublié LES POINTS FORTS Le site archéologique de Mainâmati Le Parlement de Dakha Mahâsthângarh , capitale de l'époque Maurya

Le monastère bouddhique de Somapura à Paharpur

La mosquée Chhota Sona à Gaud Les mosquées de Bagherat Le Musée national de Dakha

BD 50 Prochain départ Forfait par personne25/11 - 11/12/11 avec Gérard Rovillé



avec Gérard Rovillé Diplômé d'ethnologie.

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VOYAGEURS AVERTIS


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Le Temple de Kantanagar à Dinajpur

Le monde Indien avec Clio...

• Du 6 au 20 août 2011, avec Geneviève Rouy, Presto jusqu’au 04/06/2011 : 3 355 €, puis 3 395 €

• Du 5 au 19 novembre 2011, avec Catherine Deschamps, Presto jusqu’au 04/09/2011 : 3 695 €, puis 3 755 €

IN 31 - 15 jours

L’espace entre l’Himalaya et les cours d’eau qui marquent les limites septentrionales du monde dravidien est demeuré, au fil des siècles, le lieu d’une prodigieuse floraison culturelle, des enva-hisseurs aryens porteurs de la religion védique aux grands sou-verains moghols contemporains de Louis XIV, des terres d’origine du bouddhisme aux lieux de pèlerinage de la tradition hindoue. C'est aussi le pays de l’ancien Empire maurya, celui du royaume indo-scythe des Kushans, la terre de la renaissance hindouiste de l’époque gupta. Splendeurs mogholes d’Agra ou de Fatehpûr Sikri, forteresses du Rajasthan et souvenirs du temps des maharadjahs, autant d’images qui font de l’Inde du Nord un monde aux multiples facettes où se côtoient le luxe des palais de Jaipur, les peintures des grottes sacrées d’Ajanta ou d’Ellora, le foisonnement baroque des sculptures de Khajurao et le silence de l’ascète en méditation.

Fatehpûr Sikri


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Sikkim et BhoutanRoyaumes de l’Himalaya

Situés à l’est du Népal, sur les contreforts méridionaux de la chaîne himalayenne, les deux petits royaumes du Sikkim et du Bhoutan offrent de somptueux paysages. Ces régions ont été des refuges pour le bouddhisme – chassé de son foyer d’origine par la réaction hindouiste – qui en a fait un véritable conservatoire religieux mêlant les ensei-gnements de l’Eveillé aux vieilles traditions chamaniques indi-gènes. C’est aussi le monde du thé que l’on découvre autour de Darjeeling, avant de gagner le Sikkim et les monastères proches de Gangtok, sa capitale. C’est une architecture militaire tout à fait originale que révèle ensuite le Bhoutan, celle des couvents fortifiés ou dzongs tels que ceux de Simthoka et de Punakha, ce dernier béni par l’apôtre du pays, Gourou Rimpoche.

IN 39 - 15 joursL’Inde du Sud et les royaumes du Deccan Madras, Madurai, Cochin, Mysore, Hampi, Goa

IN 34 - 18 jours

L’Inde méridionale séduit par la variété de ses paysages et de ses cultures régionales, des foules colorées du Tamil Nadu aux côtes tropicales enchante-resses du Kerala, des hauteurs verdoyantes des Ghats occiden-taux aux plateaux monotones du Karnataka. De somptueux sanctuaires – ceux de Tanjore, Madurai, Mahabalipuram ou Aïhole – témoignent toujours de la vitalité d’une religion vieille de plus de trois millénaires. Véritables villes, les temples dravidiens du Tamil Nadu conti-nuent à vivre au rythme de la ferveur populaire. C’est là que se dévelop-pèrent au fil des siècles de puissants royaumes tels que ceux du Chola, des Chalukyas ou de Vijayanagar. Les côtes de l’Inde du Sud portent aussi la trace de l’histoire coloniale de l’Inde : les Portugais à Cochin ou à Goa, les Français à Pondichéry, les Anglais à Madras et à Bombay...

L'Inde du NordDelhi, Jaipur, Agra, Bénarès

IN 57 - 20 joursLe RajasthanA l'occasion de la foire de Pushkar

• Du 4 au 23 novembre 2011, avec Stéphane Martin, Presto jusqu’au 02/09/2011 : 3 575 €, puis 3 625 €

Parmi les hauts lieux de la spiritualité indienne, le temple de Brahma de Pushkar présente un intérêt tout particulier, du fait de l'importance que revêt chaque année la foire qui s'y tient, une manifestation qui est à la fois un moment de transactions commerciales et un pèlerinage. C'est dans une agitation pittoresque, colorée par les saris des femmes et les turbans des hommes que s'échangent chameaux et chevaux pendant que les fidèles se pressent au temple de Mira Bai et que les ascètes, plongés dans leurs méditations, s'ins-tallent résolument hors du temps...

• Du 30 juillet au 20 août 2011, avec Michel Angot, Presto jusqu’au 25/05/2011 : 6 210 €, puis 6 260 €

LNB 90 - 22 jours

Si le bouddhisme se divise tra-ditionnellement en petit et grand véhicules, le monde himalayen vit cependant se développer une troisième voie, celle du foudre-diamant, le Vajrayana, fortement influencé par le tantrisme indien. Aujourd’hui, l’image de cette spiritualité est intimement liée dans les esprits au monde tibétain où il trouva sa plus puis-sante expression dès le VIIIe siècle en se superposant à la structure politique féodale du pays. Mais la civilisation tibé-taine ne se limite pas au Tibet : de nos jours, la majorité des monastères actifs se situent en territoire indien : le Ladakh, en particulier, garde encore intactes des traditions en voie de disparition. Le Bhoutan également est un véritable conservatoire de traditions dans lesquelles l'adhésion au bouddhisme tel qu'il lui fut enseigné par Padma Sambhava joue toujours un rôle essentiel.

Le Ladakh, le Népal et le BhoutanLe bouddhisme himalayen

• Du 5 au 22 novembre 2011, avec Christel Nicaise, Presto jusqu’au 31/08/2011 : 3 695 €, puis 3 745 €

• Du 10 au 24 novembre 2011, avec Olivier Brunet, Presto jusqu’au 08/09/2011 : 3 945 €, puis 3 995 €

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Le pays de l'extrêmeAu nord du Chili, la province d'Anto-fagasta, avec 350 kilomètres d'est en ouest, occupe la partie la plus large de ce pays filiforme. Le voyageur qui se rend, par avion, à Antofagasta ou Calama, ne peut qu'être surpris par cet espace totalement aride – le désert d'Atacama – qui borde l'océan Pacifique et monte progressive-ment à l'assaut de la cordillère des Andes vers les hauts plateaux étagés entre 2 000 et 4 500 mètres d'altitude, dominés par les cônes altiers aux neiges étince-lantes des grands sommets volca-niques du Llullaillaco (6 739 m), du Licancábur (5 915 m) et de l'Ojos del Salado (6 892 m). La position de l'Atacama sous le tropique du Capricorne, sur la façade ouest du continent sud-américain longée par les eaux froides du courant de Humboldt, en fait, avec le Tanezrouft saha-rien, le désert le plus aride du monde. Seules les zones alimentées par des nappes phréatiques descendues des Andes ou le long du Rio Loa, le seul fleuve exoréique de la région, portent un peu de végétation, acacias épineux et herbes ichu et tola qui permettent le pâturage des lamas. Combinée avec l'altitude du plateau andin, la sécheresse de l'atmosphère lui donne un air d'une transparence exceptionnelle. Il n'est cer-tainement pas de meilleur endroit au monde que la petite ville de San Pedro de Atacama pour contempler la voûte céleste et admirer la Voie lactée. Les astronomes ne s'y sont pas trompés qui ont installé, à 5 640 mètres d'altitude, sur les hauteurs du Cerro Toco, le plus haut télescope du monde.

Des paysages naturels à couper le souffleSi désert rime souvent avec monotonie, ce n'est pas le cas du désert d'Atacama. La chaîne côtière, la cordillère Domeyko et les hauts plateaux furent, lors des périodes plus humides, profondément entaillés par les torrents en canyons aux

flancs abrupts, les quebradas, dont les grès et calcaires prirent, sous l'effet de l'oxydation en milieu désertique, des teintes ocre, rouges, violettes qui leur donnent un aspect grandiose : au soleil couchant, la plus célèbre d'entre elles, la vallée de la Lune, offre un spectacle surréaliste. Au cœur de la région, un

A la marge du monde incaMalgré un milieu naturel très hostile, l'Atacama fut le siège d'une culture spé-cifique, différente de celle des Aymaras et des Diaguitas dont les domaines s'étendaient au nord et au sud de la région. Ce ne fut qu'en 1958 que le père jésuite Gustave Le Paige décou-

vrit le site de Tulor qui atteste que, trois mille ans avant notre ère, une communauté d'Indiens atacamais se livrait à une agri-culture soignée, à l'élevage des lamas et, surtout, à un important commerce caravanier avec les régions côtières. Plus tard, les Atacamais, pour se défendre des agressions des Aymaras, habitèrent des cités fortifiées telles que la pukara de Quitor, perchée non loin de la rivière San Pedro, qui fut ensuite occu-pée par les Incas qui, au moment de la plus grande expansion de leur empire, imposèrent leur suze-

raineté sur la région de l'Atacama. En 1540, le siège et la prise de Quitor par les conquistadors Fransisco de Aguirre et Pedro de Valdivia sonnèrent le glas du peuple atacamais.

Des richesses inestimablesTrois modestes cités, trois oasis, ras-semblent la quasi-totalité de la popula-tion de l'Atacama, mais la région est sans conteste l'une des plus riches du Chili grâce à ses ressources minérales. Si, longtemps, les grands salars n'étaient exploités que pour le sel, le XIXe siècle fit du Nord du Chili le plus important four-nisseur de nitrates du monde. Depuis le début du XXe siècle, la gigantesque mine à ciel ouvert de Chuquicamata exploite les plus grands gisements mondiaux de minerais de cuivre, mais, aujourd'hui, c'est le salar d'Atacama qui revient au premier plan, grâce à ses ressources en lithium – plus d'un quart des réserves mondiales –, métal hautement stratégique dont la demande est en pleine explo-sion pour la fabrication des batteries de nouvelle génération qui équiperont les automobiles électriques du futur.

Atacama

Pour découvrir le désert d'Atacama avec Clio

La richesse d'un désert

vaste bassin d'effondrement, empli ensuite de sédiments d'origine gla-ciaire, forme une dépression où vinrent se jeter durant des millénaires les eaux des torrents descendants des Andes. Leur évaporation conduisit à l'accu-mulation d'immenses dépôts salins : le Salar d'Atacama. Efflorescences de sel d'une blancheur insoutenable, concrétions salines, y alternent avec des laisses d'eau saumâtre où réussissent à proliférer des algues microscopiques qui font la provende des flamants roses.

Lagunes et geysersSur les hauts plateaux, à plus que 4 000 mètres d'altitude, les lagunas sont des dépressions où se rassemble l'eau de fonte des neiges qui, sous le bleu pro-fond du ciel, prend des teintes irréelles. Au nord du grand salar, la géologie offre aussi un autre spectacle impres-sionnant, celui des quelque quatre-vingts petits geysers du plateau d'el Tatio qui, entre vapeurs et fumerolles, projettent leurs jets d'eau bouillante chaque matin au lever du soleil sous le regard inquiet des vigognes.

Le Chili et l'île de PâquesSantiago, Valparaiso, Chiloé, le désert d'Atacama • CHIL 35 - 17 jours

• Du 7 au 23 novembre 2011, avec Alexandre Elouard,Presto jusqu'au 05/09/11 : 5 125 €, puis 5 175 €

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Découvrir les Amériques avec ClioLe PérouDe Lima à Sipan et d'Arequipa à Cuzco et au lac Titicaca

• Du 2 au 19 aôut 2011, avec PASCAL WINDLAND,Presto jusqu’au 31/05/2011 : 5 355 €, puis 5 395 €

• Du 8 au 25 novembre 2011, avec THOMAS AUBRY,Presto jusqu’au 07/09/2011 : 4 995 €, puis 5 095 €


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Les temples de Pachacamac, les étonnants tracés de Nazca, les murailles de l’ancienne Cuzco, les forteresses de Sacsahuaman, de Machu Picchu ou d’Ollantaytambo permettent d’imaginer ce que fut la puissance de l'Empire inca dont le brutal effondrement donna naissance à un monde colonial dont la découverte – à Lima, Pisco, Arequipa ou Cuzco – est souvent une véritable révélation...

PE 32 - 18 jours

L'Ouest américainLos Angeles, Monument Valley, le Grand Canyon, San Francisco

US 32 - 18 jours

• Du 8 au 25 septembre 2011, avec FRANÇOIS MOULIGNAT,Presto jusqu’au 05/06/2011 : 4 565 €, puis 4 615 €

Les paysages naturels exceptionnels, préservés dans les grands parcs nationaux de l’Ouest américain furent le décor grandiose de la légende du Far West. Mais la conquête de l'Ouest n’est cependant qu'une étape dans l'histoire de cette région. Au fil de la découverte de ses principaux musées, des sites des Indiens Hopi, et de villes aussi différentes que Los Angeles, San Diego et San Francisco, nous avons voulu également mettre l'accent sur la richesse historique de ces territoires qui furent parmi les derniers à entrer dans l'Union…

L'Equateur et les îles GalapagosLe "milieu du monde"

EQ 31 - 17 jours

• Du 12 au 28 octobre 2011, avec CHRISTIANE MARCHAIS, 4 990 €

Cordillères volcaniques, forêt amazonienne, kaléidoscope des peuples et des cultures indiennes réalisent en Equateur l’une des synthèses les plus réussies de l’univers sud-américain. Le charme de Quito, l’exubérance végétale de l’Amazonie, les marchés indiens et

une croisière vers les îles Galapagos rendront ce voyage inoubliable.

Grand circuit au BrésilRio de Janeiro, Manaus, IguaçuBR 31 - 16 jours

• Du 13 au 28 novembre 2011, avec HENRI DRAVET,Presto jusqu’au 10/09/2011 : 5 130 €, puis 5 190 €

Vous découvrirez tous les aspects majeurs du Brésil, de Manaus au sein de la forêt amazonienne, aux chutes d’Iguaçu, à la frontière argentine, mais aussi les rivages enchanteurs de Salvador de Bahia, la mégalopole de Rio de Janeiro et Brasilia, symbo-lisant la marche vers le futur de ce pays fascinant, les plateaux et sierras qui furent le cœur du Brésil colonial, mélange ethnique et culturel où l’art hispano-portugais fut fécondé par le déferlement de vie et d’énergie d’un monde tropical exubérant, .

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CubaArchitecture coloniale et paysages

CU 51 - 14 jours

• Du 7 au 20 août 2011, avec JEAN-BERNARD ROUCHERAY,Presto jusqu’au 05/06/2011 : 3 345 €, puis 3 395 €

"La terre des merveilles", tel est le qualitatif que lui donne Christophe Colomb quand il l'aborda en 1492. Vous en décou-vrirez les villes capitales - La Havane, Trinidad, Santiago -, et le parcours dans l’île vous permettra de saisir la multiplicité des populations qui ont écrit son histoire, et la diversité des cultures caraïbe, hispanique et afro-cubaine. Vous serez aussi conquis par une nature à couper le souffle, par la végétation luxuriante de la vallée de Vinales ou l’aridité de la mythique Sierra Maestra…

Grand voyage archéologique en Amérique centraleMexique, Guatemala, Honduras

MX 33 - 22 jours

• Du 12 novembre au 3 décembre 2011, Presto jusqu’au 10/09/2011 : 4 795 €, puis 4 865 €

Ce grand circuit exceptionnel vous permettra une décou-verte approfondie de la Méso-Amérique. Axé sur les civilisations précolombiennes, il vous mènera sur les sites prestigieux de Palenque, Tikal et Copan. Il vous fera découvrir aussi le Mexique baroque à San Cristobal de las Casas, le pueblo tzotzil de San Juan Chamula, l’atmosphère africaine de Livingstone, l'animation du marché de San Francisco el Alto…

Une extraordinaire découverte de l'île de Pâques

ILE 31 - 13 jours

• Du 9 au 21 août 2011, avec MICHEL ORLIAC,Presto jusqu’au 06/06/2011 : 4 190 €, puis 4 240 €

Mata Kite Rani : "Des yeux regardent les étoiles…" Tel est le nom que les Pascuans donnaient aux moaï... Le paysage époustouflant du cratère du Rano Kao, la richesse de son patrimoine, les vestiges des maisons-bateaux des premiers Pascuans, les pétroglyphes illustrant le mythe du dieu Make-Make et la chaleur de l’accueil de ces hommes qui peuplent Rapa Nui, cette île du bout du monde, feront de ce voyage, accompagné par les meilleurs spécialistes des cultures du Pacifique, une expérience inoubliable.

Le Chili et l'île de PâquesSantiago, Valparaiso, Chiloé, le désert d'Atacama

CHIL 35 - 17 jours

• Du 7 au 23 novembre 2011, avec ALEXANDRE ELOUARD,Presto jusqu’au 05/09/2011 : 5 125 €, puis 5 175 €

Santiago et Valparaiso, les paysages contrastés de la cordillère des Andes de la forêt valdivienne du district des lacs aux couleurs étincelantes du désert d'Atacama, des églises en bois de Chiloé aux geysers de hauts plateaux andins : un voyage pour appréhender l'essentiel du Chili complété par la découverte de la mythique île de Pâques...

Et aussi...Le Chili, la Patagonie et l'Ile de PâquesCHIL 34 - 17 jours • Du 9 au 25 février 2012, Programme, dates et prix disponibles le 30 juin 2011

Et aussi...L'ArgentineBuenos Aires, Ushuaia, Iguaçu et les missions jésuites du ParaguayARG 31 - 18 jours • Du 12 au 29 janvier 2012, Programme, dates et prix disponibles le 30 juin 2011

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