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Est U.S.A et Niagara du 01 AU 11 septembre 2016 Votre accompagnateur : Pierre PICQ Franchir l’Atlantique pour découvrir les États-Unis est une expérience inoubliable. Métissés mais profondément unis, les 50 États valent bien mieux que les clichés des prophètes de l’anti-américanisme. Terre d’immigration depuis bien longtemps, les États- Unis sont un pays-monde, une planète à part entière. Si l’ouest des USA émerveille par ses grandes étendues désertiques, ses canyons, sa sublime côte Pacifique… l’est des USA n’a rien à lui envier avec ses villes mythiques à la fois dépositaires de la mémoire de la nation et résolument tournées vers le futur. Boston, foyer de l’lndépendance, New-York, la ville monde, Philadelphie, l’exception culturelle et Washington, la capitale fédérale, vitrine de l’Amérique. Pour cette passionnante odyssée, nous avons ajouté 3 cerises sur le gâteau : la participation à une messe Gospel à New-York, la rencontre du peuple Amish et enfin, les chutes de Niagara, incroyable démesure naturelle dont les eaux écumeuses de la cataracte tombant à une vitesse vertigineuse vous hypnotiseront. Géographie Est des USA, littéralement, le nom peut se rapporter à la côte entière, mais dans la langue courante, il désigne plutôt la moitié septentrionale de cette région. Selon cette définition, la côte Est s'étend de l'État du Maine à la ville de Washington. C'est la région du pays avec la densité de population la plus élevée, car elle comprend les grandes villes de Boston, New York, Philadelphie et Washington. Elle est parfois opposée à la côte Ouest.

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Est U.S.A

et Niagara

du 01 AU 11 septembre 2016

Votre accompagnateur : Pierre PICQ

Franchir l’Atlantique pour découvrir les États-Unis est une expérience inoubliable. Métissés mais profondément unis, les 50 États valent bien mieux que les clichés des prophètes de l’anti-américanisme. Terre d’immigration depuis bien longtemps, les États-Unis sont un pays-monde, une planète à part entière.

Si l’ouest des USA émerveille par ses grandes étendues désertiques, ses canyons, sa sublime côte Pacifique… l’est des USA n’a rien à lui envier avec ses villes mythiques à la fois dépositaires de la mémoire de la nation et résolument tournées vers le futur.

Boston, foyer de l’lndépendance, New-York, la ville monde, Philadelphie, l’exception culturelle et Washington, la capitale fédérale, vitrine de l’Amérique.

Pour cette passionnante odyssée, nous avons ajouté 3 cerises sur le gâteau : la participation à une messe Gospel à New-York, la rencontre du peuple Amish et enfin, les chutes de Niagara, incroyable démesure naturelle dont les eaux écumeuses de la cataracte tombant à une vitesse vertigineuse vous hypnotiseront.

Géographie

Est des USA, littéralement, le nom peut se rapporter à la côte entière, mais dans la langue courante, il désigne plutôt la moitié septentrionale de cette région. Selon cette définition, la côte Est s'étend de l'État du Maine à la ville de Washington. C'est la région du pays avec la densité de population la plus élevée, car elle comprend les grandes villes de Boston, New York, Philadelphie et Washington. Elle est parfois opposée à la côte Ouest.

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Si le terme est utilisé dans un sens strictement géographique, la côte Est contient aussi les États de la Virginie, les Carolines (du Nord et du Sud), de la Georgie, et de la Floride. Pourtant, les derniers États sont généralement classés dans la région du Sud (ou Sud-Est) au lieu de la côte Est.

Transport

En autocar jusqu’à Zaventem pour les participants de la régionale Hainaut Picardie. Par leur propre moyen pour les participants des autres régionales. Vols Bruxelles – Boston via Reykjavik A/R sur Icelandair.

Formalités Pour entrer aux USA, il faut un passeport biométrique et un visa, mais : grâce au Programme d'Exemption de visa (Visa Waiver Program), les citoyens belges peuvent entrer aux Etats-Unis sans devoir d'abord obtenir un visa, s'il s'agit d'un voyage de tourisme ou d'affaires ou si ils se trouvent en transit. Dans le cadre du Programme d'Exemption de Visa, vous pouvez voyager aux Etats-Unis ou y transiter sous les conditions suivantes :

1. Etre ressortissant (non seulement résident) d'un pays participant au Programme d'Exemption de Visa et avoir un passeport électronique, délivré par ce pays. Le passeport doit être valable pour au moins la durée du séjour aux Etats-Unis.

Si la couverture de votre passeport montre le symbole , indiquant qu'il contient une puce, votre passeport est biométrique et conforme pour un voyage sous le Programme d'Exemption de Visa.

2. Obtenir une autorisation électronique de voyage ESTA (Electronic System for Travel Authorization): Tous les citoyens des pays participant au Programme d'Exemption de Visa, dont la Belgique, doivent obtenir une autorisation

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électronique de voyage ESTA avant d'embarquer pour les Etats-Unis sans visa, que ce soit par transporteur aérien ou maritime. ESTA est un système automatisé. Pour faire la demande d’autorisation de voyage ESTA, il faut se connecter au site Internet Esta et remplir le formulaire en ligne. Il vous en coûtera 14 dollars en payant par carte bancaire. Cette demande doit être faite au moins 72 heures avant le départ.

Voici le site Esta officiel sur lequel vous pouvez remplir votre formulaire :

https://esta.cbp.dhs.gov/esta/esta.html?_flowExecutionKey=_c4A7084B0-FCF8-B9B3-D094-01F112F4914F_k8613F16A-B00E-3DFD-B26B-4AF608CEC34D

Logement

Vous logerez dans des hôtels 3 * normes locales (excentrés) - 1 nuit dans la région de Boston : hôtel Days In Methulen ou similaire

- 2 nuits dans la région de New York : hôtel La Quinta Inn Fairfield ou similaire

- 1 nuit dans la région de Philadelphie : hôtel Days Inn Cherry Hill ou similaire

- 2 nuits dans la région de Washington : Metropoint hôtel New Carrollton ou similaire

- 1 nuit dans la région de Williamsport : hôtel Lancaster - 1 nuit à Niagara : hôtel Quality Inn ou similaire - Une troisième nuit dans la région de New York à l’hôtel La Quinta Inn Fairfield ou

similaire.

Pension

Votre séjour est organisé en pension complète à partir du petit-déjeuner du 2ème jour au petit déjeuner du jour 10.

Programme

Jeudi 1 septembre : Bruxelles – Boston Départ en car des différents lieux d’embarquements en Hainaut Picardie. Rendez-vous de tous les participants à Zaventem. Assistance aux formalités.

Envol à destination de Boston sur vols réguliers Icelandair via Reyjkjavik.

Déjeuner à bord.

Arrivée à Boston. Contrôles d’usage à l’aéroport. Accueil par votre accompagnateur francophone et transfert vers l’hôtel Days Inn Methulen. Installation, dîner libre et nuit à l’hôtel. Vendredi 2 septembre : Boston – New York Petit déjeuner continental.

Le matin visite guidée de Boston où vous vous promènerez sur la Freedom Trail : ce "chemin de la liberté" qui passe par les différents sites et monuments liés à l’histoire de l’Indépendance des États-Unis.

De Back Bay, musée ouvert construit avec plusieurs styles architecturaux comprenant le styles Victorien, Italien, et Gothique à Beacon Hill plus influencé par une autre ère avec ses lampes à gaz, ses arbres feuillus, ses trottoirs en briques et ses maisons de ville construites entre 1800 et 1850 en passant par Newbury Street et le North End, se mêlent histoire et culture.

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Boston est une ville attachante et très agréable, avec un Downtown bien américain, mais aussi de beaux vestiges de la ville coloniale encore éclairés par de pittoresques réverbères à gaz et, en bordure, une Little Italy vivante et pleine de charme. Pour les Américains, le nom de Boston est lié d'abord à la naissance de la nation et à toutes les grandes causes libérales de leur jeune histoire : révolution, indépendance, abolition de l’esclavage, émancipation des femmes. Ville phare de la Nouvelle-Angleterre, Boston est le berceau historique des États-Unis.

Paradoxalement, ce fut aussi la ville de l’intolérance, celle des puritains et des quakers. On y profite aussi d’une qualité de vie à l’européenne, dans les quartiers très cossus des séduisants faubourgs résidentiels le long de la rivière Charles, qui s’apparente plus au Vieux Monde qu’au Nouveau. Depuis une vingtaine d’années, Boston s’est payé une nouvelle jeunesse en bâtissant un grand centre d’affaires, tout en demeurant un pôle universitaire de référence à l'échelle internationale (Harvard et MIT) et un centre culturel majeur. Pour décongestionner la circulation automobile, Boston a augmenté et enfoui sous terre son réseau d’autoroutes du centre-ville. Ce Big Dig fut même le plus grand projet routier urbain de l’histoire des États-Unis. Le résultat est probant: la circulation reste raisonnable, et l’on se surprend à musarder au gré des ruelles chargées d’histoire en oubliant qu’on foule le sol de l’une des plus grandes cités américaines.

Traversée du fleuve Charles vers Cambridge pour la découverte du campus de l’université Harvard.

Doyenne des universités américaines, Harvard est une des écoles les plus prestigieuses au monde. Ses étudiants, triés sur le volet, y bénéficient notamment de conditions d'études exceptionnelles.

Harvard est l'université de tous les superlatifs. Premier établissement d'enseignement supérieur à avoir été fondé aux Etats-Unis, au XVIIe siècle, elle est aussi la plus riche de la planète et se dispute avec la Britannique Cambridge le titre de meilleure université au monde. En plus de l’environnement et des infrastructures exceptionnels qui leur sont offerts, les étudiants diplômés profitent de la renommée internationale de l’établissement lors de leur entrée sur le marché du travail.

Des étudiants triés sur le volet L'illustre institution possède d’abord l'annuaire des anciens élèves le plus prestigieux. Au long des siècles sont sortis de ses rangs plusieurs dizaines de présidents américains et étrangers, 48 prix Nobel (recensés en 2015), une flopée de prix Pulitzer et un nombre toujours grandissant de personnalités influentes dans les domaines politiques, économiques, artistiques…

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Ces résultats reposent d'abord sur une sélection impitoyable. En 2015, pas moins de 37 305 étudiants ont tenté leur chance pour être accepté dans le premier cycle de quatre ans (promotion 2019) ; et seuls 1 990 d’entre eux, soit 5,3 % des postulants, ont été admis.

Un second processus d'admission s'effectue ensuite au niveau du doctorat, pour intégrer l'une de neuf facultés. Néanmoins, là aussi, seuls les étudiants aux cursus les plus brillants auront la chance d'être acceptés. Des conditions d'études exceptionnelles Etudier à Harvard a un coût. Les frais de scolarité de cette université privée s'élèvent ainsi à 64 000 dollars pour un étudiant de 1ère année en 2015. En moyenne, les bourses financent ce coût à hauteur de 76 %, le reste étant pris en charge par les parents (19 %) et les étudiants (5 %).

Si le tarif est conséquent, il comprend le logement : les étudiants du collège universitaire sont d’abord en dortoir avant de rejoindre, en deuxième année, l'une des douze maisons où ils vivront jusqu'à l’obtention de leur diplôme.

Pour contrebalancer, les conditions d'études y sont exceptionnelles. On trouve, sur l'immense campus, des professeurs et intervenants de qualité, des équipements high-tech, plus de 90 bibliothèques, des équipements sportifs, des théâtres et plusieurs musées.

Harvard a également une multitude de clubs et d'associations où les étudiants ont l'occasion de développer leurs projets en tous genres. Et dernier avantage, mais pas des moindres : être pris à Harvard donne accès à un club restreint, celui d'une élite mondiale, dont les diplômés pourront se prévaloir tout le reste de leur vie. Postuler à Harvard Le processus d'admission en 1ère année pour les étudiants américains ou étrangers est identique. Il nécessite de remplir un dossier comprenant notamment les résultats au test d'application universitaire (SAT ou ACT) et un essai de présentation. Il est soumis à un calendrier bien précis : veillez donc à respecter les dates pour mettre toutes les chances de votre côté.

A noter également que le Harvard Club de France aide chaque année de brillants lycéens français à postuler et finance des bourses d'études.

Les anciens d'Harvard Barack Obama, Mark Zuckerberg, John Fitzgerald Kennedy, Georges W. Bush, Al Gore, Tommy Lee Jones, Bill Gates, Natalie Portman, …

Déjeuner de fishcakes à Quincy Market.

Route vers New York en début d’après-midi.

New York City mérite un voyage au moins une fois dans une vie. Situé au nord-est des États-Unis, New-York est le cœur économique et culturel du pays. Les trépidations de cette cité cosmopolite se ressentent particulièrement sur l'île de Manhattan, où citadins, taxis, hommes d'affaires et touristes se croisent jours et nuits dans un flot ininterrompu.

Ville de tous les superlatifs, New York ne manque pas à sa réputation ! Captivante, électrique, démesurée... celle que l'on surnomme "the big apple" se croque en toutes saisons et s'avère, comme promis, pleine de saveurs insoupçonnées.

Ville la plus représentée sur les écrans de cinéma, de King Kong à Woody Allen, New York conserve pourtant toute sa magie et son mystère. Traverser le pont de Brooklyn, se perdre dans Chinatown, flâner dans Central Park, se dresser au pied de la statue de la Liberté ou visiter les musées, autant de raisons pour vous laisser emporter par le rythme trépidant de la ville qui ne dort jamais.

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Découvrir New York Avant de commencer votre visite de New York, mieux vaut connaître la géographie des lieux car la ville est immense.

Située à l'embouchure de la rivière Hudson et de l'East River, New York est divisée en 5 arrondissements appelés "boroughs" : Manhattan, le Bronx, le Queens, Brooklyn et Staten Island. Évidemment, Manhattan est le district le plus intéressant à découvrir et plusieurs jours vous seront nécessaires rien que pour en avoir un aperçu. En réalité, Manhattan est une vaste île qui concentre une grande partie des bureaux et des commerces de New York. Cela explique pourquoi il y a autant de personnes à marcher rapidement sur les trottoirs. En réalité, elles rejoignent leurs bureaux car 90% des personnes qui travaillent à Manhattan n'y vivent pas. Histoire de New York Si l'histoire de New York en tant que ville ne commence que tardivement, elle a largement rattrapé son retard grâce à sa place privilégiée dans l'histoire des XIXe et XXe siècles.

Autrefois, l'île de Manhattan était habitée par deux tribus indiennes, les Iroquois et les Algonquins.

Bien que les Français et les Britanniques soient passés dans les environs au XVIe siècle, il faut attendre 1613 pour qu'une colonie européenne s'installe sur l'île. Ce sont des Hollandais qui découvrent l'intérêt de cet emplacement protégé par une vaste baie. En 1626, Peter Minuit, le directeur de la Compagnie hollandaise des Indes rachète Manhattan aux Indiens contre quelques objets d'une valeur estimée à 24 dollars. Sans le savoir, il vient de réaliser la plus belle affaire de tous les temps ! Malheureusement, en 1664, le gouverneur Peter Stuyvesant perd la ville au profit des Britanniques qui la rebaptise New York en l'honneur du Duc d'York, le frère du roi.

En 1783, la Grande-Bretagne reconnaît l'indépendance des Etats-Unis. Un an plus tard, Georges Washington est élu premier président des Etats-Unis et prête serment au Federal Hall à Wall Street.

Durant le XIXe siècle, l'importance de New York ne va cesser de croître. Les vagues d'immigration se succèdent et la ville devient bientôt la plus peuplée du pays. Manhattan s'urbanise, Central Park est en chantier, le Metropolitan Museum of Art est fondé et le pont de Brooklyn enjambe l'East River pour établir la jonction entre Brooklyn et Manhattan.

En 1886, la statue de la Liberté rejoint son socle à l'entrée du port et devient un symbole mondial. En un siècle, New York est devenue la capitale économique, financière et commerciale du pays.

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Le XXe siècle commence avec la création du métro new-yorkais. Peu après, les premiers gratte-ciels apparaissent. La prohibition est votée en 1919 et les gangsters sont de plus en plus nombreux.

Pendant ce temps, la bourse s'envole puis s'écrase, dix ans plus tard. Le 24 octobre 1929 est baptisé le jeudi noir et la crise économique fait des ravages.

La deuxième guerre mondiale fait rage en Europe et les États-Unis apportent leur soutien après l'attaque de Pearl Harbour. New York devient le plus gros port du monde. Quelques années plus tard, l'ONU est créée et New York en sera le siège.

La deuxième moitié du XXe siècle voit les gratte-ciels fleurir dans le paysage new-yorkais. De nombreux musées apparaissent et New York acquiert une dimension culturelle mondiale.

Si l'an 2000 sera une grande année marquée par des festivités mémorables, 2001 sera une année noire. Le 11 septembre, les Twins Towers du World Trade Center sont la cible d'attentats terroristes et des milliers de personnes périssent dans la catastrophe. Le moral de New York en pâtit, mais le dynamisme est toujours là. Le site est baptisé Ground Zero et les projets les plus fous sont envisagés. Finalement, le projet de la Freedom Tower est retenu. La "Tour de la liberté" s'élèvera à une hauteur symbolique de 1776 pieds (541 mètres), en référence à la date de l'indépendance des États-Unis. L'édifice sera surmonté d'une flèche de verre et de métal censée évoquer la flamme de la statue de la Liberté.

Diner de steak à Times Square et nuit à l’hôtel La Quinta Inn Fairfield (ou similaire) situé dans le New Jersey Samedi 3 septembre : New York Petit déjeuner continental.

Départ ce matin à pied vers Battery Park, et traversée en bateau jusqu’à Liberty Island où se dresse la célèbre Statue de la Liberté inaugurée en 1886 après un don de la France. À New York, beaucoup ont oublié ses origines françaises tant elle est devenue le symbole de l’Amérique.

La statue de la Liberté Mesurant plus de 46m de haut, mais paraissant plus parce qu'elle est juchée sur un piédestal de sa propre hauteur, la statue de la Liberté est une sculpture monumentale située sur Liberty Island, une petite île de la baie de New-York. La France l'a offerte aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, pour une inauguration faite le 26 octobre 1886. Depuis ce jour elle a été le symbole d'un grand nombre de thèmes, essentiellement liés à l'espoir, l'immigration ou la liberté.

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La conception La statue de la Liberté est en cuivre repoussé, c'est à dire qu'elle est faite de 300 plaques de cuivre qui ont été martelées jusqu'à ce qu'elles épousent une forme particulière définie à l'avance. Puis elles ont été assemblées sur une structure métallique, une sorte d'échafaudage fixe située à l'intérieur de la statue qui en assure la stabilité, le maintien et la résistance face aux forts vents marins. Les plaques ont été rivetées entre elles de façon très précise pour éviter que les rivets ne soient vus de l'extérieur. La construction a pris 9 ans, de 1875 à 1884, elle a eu lieu à Paris, dans les ateliers Gaget et Gauthier, spécialistes des travaux sur cuivre. La statue a été montée une première fois en plein Paris, pendant près d'un an, pour s'assurer que toutes les pièces pouvaient être assemblées sans problème. Puis elle a été démonté, mis à bord d'un navire de guerre pour être acheminé jusqu'à New-York où les ouvriers américains l'on remonté.

Les difficultés rencontrées Les principales difficultés qui ont été rencontré concernaient essentiellement le financement du monument, car si la statue était à la charge des Français le socle, lui dépendait des Américains. Or, ils n'avaient pas demandé la construction de cette statue, aussi eurent-ils du mal à accepter de payer pour faire son socle. Il a fallu l'intervention de Joseph Pulitzer, rédacteur en chef du journal "The World", pour donner un élan de solidarité envers les promoteurs du projet. A travers des reportages il magnifia la force du monument auprès de la classe moyenne qui accepta de donner pour la construction du piédestal. La classe aisée, surtout celle de la côté Est, plus concernée, n'avait pas réagi aux demandes de financement. A l'époque, il n'était pas courant qu'une personne riche donne son argent pour une telle cause, et ça paraissait normal. Toujours est-il que c'est grâce à Joseph Pulitzer que le financement américain a été bouclé. Du côté français, si le financement n'a pas été si simple à trouver, il l'a quand même été relativement rapidement, le peuple français s'enthousiasmant pour la construction de cette statue. On cite de nombreuses collectivités qui donnèrent pour la grandeur de la France, ce sentiment étant très important au milieu du XIXe siècle.

Une autre difficulté s'est présentée aux promoteurs de la statue : Le manque de main d'œuvre qualifié, pour travailler dans les ateliers. Le milieu du XIXe siècle correspondait au début de la mécanisation, qui se popularisera dans les décennies suivantes. A cette époque l'artisanat était encore le mode de travail le plus classique, mais trouver des ouvriers capables de travailler le cuivre était difficile, alors en trouver plusieurs dizaines, ça a été encore plus difficile. D'où des difficultés pour Auguste Bartholdi, le sculpteur, à faire avancer son projet comme il le souhaitait.

Mais la construction de la statue de la Liberté a aussi été une fantastique réussite dans plusieurs domaines.

Les raisons de la réussite Technologiquement la statue est un vrai exploit, surtout avec les connaissances de l'époque. Le principe du cuivre repoussé était déjà acquis, mais il n'avait jamais été mis en œuvre pour un monument d'une telle taille.

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Le principe d'agrandissement a également été difficile à utiliser. Le sculpteur, Auguste Bartholdi a créé un modèle d’1,20 m, qui lui a servi à la construction d'une statue intermédiaire de 11,50 m (qui a servi de modèle à la réplique parisienne du pont de Grenelle, sur l'île aux cygnes). Ce modèle a été découpé en 12 tronçons, tous mesurés en de nombreux points dans les 3 dimensions, puis reporté sur un modèle en plâtre construit d'après l'agrandissement des mesures. Une fois parfaitement au point, ce modèle en plâtre servait à la construction d'un gabarit en bois, en négatif, sur lequel les ouvriers martelaient les plaques de cuivre. Cette chaîne de construction des pièces, si elle était peu sophistiquée, était pragmatique et s'est révélée d'une redoutable efficacité.

Par ailleurs l'établissement des relations entre la France et les Etats-Unis est aussi un motif de satisfaction. En effet, au début du projet le sculpteur n'avait guère que quelques vagues contacts en Amériques, tous des connaissances d'Edouard de Laboulaye, politicien, juriste et américanophile. C'est lui qui était à l'origine de l'idée de la construction de la statue de la Liberté. Malgré ces faibles contacts, Auguste Bartholdi se rendit sur place et tissa des liens suffisamment forts pour que le projet puisse être lancé, poursuivi et parvenir à son terme. Cette capacité à soulever des montagnes est à mettre au crédit des partisants de la statue.

Les symboles La statue de la Liberté se veut un symbole de la Liberté, bien sûr. Et pourtant c'est loin d'être ainsi qu'elle a été perçu au fil du temps. Initialement il s'agissait de mettre en avant cette valeur commune à tout être humain, mais la raison est plus pragmatique : face au gouvernement autoritaire de Napoléon III, un groupe de républicains français décida sa construction pour mettre en avant l'idée de Liberté des peuples... et plus particulier du peuple français, tout en soulignant la Liberté acquise moins de 100 ans avant par le peuple américain. Cette notion n'était déjà pas partagée par les Américains, qui ne voyaient pas d'un bon oeil l'idée de mettre en avant les libertés collectives, eux, déjà les champions des libertés individuelles. Mais c'est surtout dans les années 1880-1900, puis 1920-1930 que la Liberté est devenue le symbole de l'immigration massive aux Etats-Unis. A cette enseigne, elle avait une connotation négative, les Américains voyaient en elle le symbole de l'envahissement de leur pays par les Européens. Cette sensation a disparu avec le renouveau économique du pays, et avec lui la statue est redevenue fréquentable par les New-Yorkais. Lors de son inauguration, en 1886, la statue a été prise en otage par les Américaines, qui se sentaient à juste titre exclue de la société, mais aussi par la communauté noire qui venait tout juste de recevoir la fin de l'esclavage, ce qui n'avait pas encore changé les mentalités. D'ailleurs la ségrégation fut appliquée pendant la plus grande partie du XXe siècle, les noirs américains ne voyant pas forcément en la statue de la Liberté un espoir.

On constate donc que tous ces symboles se croisent au fil du temps, la statue a été utilisée à de nombreuses reprises pour défendre diverses causes, et ça jusqu'à nos jours où elle est, aux yeux de la plupart des Américains, le symbole de la Liberté qu'ils apportent dans le Monde. Un sondage récent montre toutefois que seul 2% des Américains savent que Miss Liberty est française...

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Sinon, la statue elle-même contient divers éléments symboliques : Les chaînes brisées de l'esclavage, souvent ignorées lorsqu'une réplique de la statue est faite, la tablette qu'elle tient est marquée de la date de l'indépendance américaine, son flambeau éclaire le Monde (Illustrant le nom officiel de la statue : La Liberté éclairant le Monde), et son diadème se compose de 7 rayons correspondant aux 7 mers et Océans et 7 Continents, tels qu'on les comptait à l'époque. Il y en a d'autres. La statue de la Liberté appartient au "National Park Service" depuis le 10 juin 1933. Il s'agit d'une agence fédérale américaine en charge de la protection des parcs nationaux, des monuments nationaux, et autres sites historiques d'intérêt national. Elle est classée en 1924 "Monument national" des Etats-Unis, puis elle a été enregistrée en 1966 au registre national des sites historiques, toujours aux Etats-Unis bien sûr. En 1976 elle entre aux sites remarquables de New-York et depuis 1984 elle fait partie du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Continuation de la découverte par une traversée pour Ellis Island, l’île des larmes et de l’espoir. Cette île accueillait les immigrants désireux de fouler le sol américain. De 1892 à 1954, quinze millions de personnes sont passées ici. Visite du musée de l’Immigration qui a été reconstitué à l’identique et qui retrace l’histoire de l’immigration.

Déjeuner à Chinatown, le fascinant quartier chinois dans un décor venu tout droit de l’orient où vous trouverez de tout pour vraiment pas cher.

Si de nombreuses communautés ont leur quartier de prédilection à Manhattan, le Chinatown de New York est sans doute le plus connu, dépassant en nombre d'habitants le Chinatown de San Francisco. Pénétrer dans Chinatown c'est comme franchir une frontière pour se retrouver dans un autre monde, une enclave de la Chine à New York.

Départ pour un tour de ville guidé : Times Square et Broadway : lieu de plaisirs et de divertissement. Enseignes lumineuses géantes, shows, théâtres et comédies musicales.

5eme Avenue : Empire State Building avec ses 381 m, Cathédrale St Patrick, Rockfeller Center et le Top of the Rock, Trump Tower, magasins de prestige (Tiffany, Saks, LVMH, Cartier…) Madison et Gramery Park : le Flat Iron et des trésors d’architecture méconnus.

Civic Center : Chapelle Saint Paul et son vieux cimetière, le Building Woolworth, merveille architecturale et chef-d’oeuvre technique, le Hall, Le City Hall, le Brooklyn Bridge, la Tweed Courthouse, le Municipal Building.

Financial District et le sud de l’île : le monde des affaires avec ses tours de Babel et le South Street Seaport sur Fulton St, Battery Park, Wall Street et la Bourse de NY Greenwich et West Village : appelé le Village, bordées d’arbres et de maisons basses en raison de sa topographie. Il vus transportera dans le quartier résidentiel de Chelsea de Londres. Parc anime et bohême de Washington Square

Chinatown et Little Italy : exotisme et dépaysement. Little Italy enclave dans Chinatown, une ville dans la ville. Canal St, Mott street sont les artères principales de Chinatown et Mulberry Street pour Little Italy

Diner typique à Little Italy et nuit à l’hôtel.

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Dimanche 4 septembre : New York – Philadelphie Petit déjeuner continental.

Visite ce matin des pourtours de Central Park et de Harlem.

A l’est, le parc est délimité par la partie de la 5e Avenue nommée pour les prestigieux musées qui se trouvent entre la 70e rue et la 104e rue «Museum Mile». C’est le quartier huppé de New York, des portiers en gants blancs, des stretch limousines et des clubs privés. A l’ouest, le quartier vivant et en vogue du «Upper West Side»: petites rues calmes bordées de brownstones et d’arbres, superbes résidences et appartements de luxe le long de Central Park (notamment le Dakota ou John Lennon et Yoko Ono ont vécu), innombrables boutiques et petits restaurants toujours agréablement

fréquentés le weekend.

Au nord, Harlem est absolument incontournable.

Aujourd’hui vous découvrez un microcosme bien particulier: Harlem, la perle noire de New York. Et c`est à juste titre qu’on la qualifie de perle car elle regorge de trésors, que ce soit au niveau architectural (Harlem compte parmi les plus belles demeures de New York), historique, sociologique (une population a 100 % noire qui vaut la peine d`être mieux connue, et musicale (Harlem est la maison du Gospel, du jazz et du blues). Une visite ou vous découvrirez une nouvelle culture et une société dans la société. Vous vibrerez au rythme lancinant de Harlem. (Un contraste certain avec le «beat» trépidant de la ville `hip` ).

Le point d`orgue, épicentre de la chaleur de Harlem, sera sans conteste d’assister à la messe Gospel où un chœur entonnera des airs spirituels à la beauté troublante. Un moment de pur plaisir et d’émotion intense haute en couleurs et en expériences.

Des chœurs, de la ferveur et de la bonne humeur pour un moment enchanteur. Associé aux chants religieux chrétiens des Afro-Américains, le gospel signifie « évangile » en vieil anglais. Pour la petite histoire, le gospel est à l’origine un chant religieux des Afro-Américains, qui exprime la foi et la souffrance dans un état ségrégationniste. Le gospel est en effet né dans les états du sud des Etats-Unis, à la même époque que le jazz et le blues. Il s’est ensuite développé dans le nord du pays, du fait des mouvements de population noire : Chicago, Detroit, New York.

Les messes Gospel sont célébrées dans des églises baptistes ou catholiques, principalement le dimanche. C’est l’occasion pour les fidèles de s’apprêter, avec beaux habits et chapeaux. Célébrant la parole de Dieu en gaité et en musique, les messes gospel sont un véritable plaisir des yeux et des oreilles.

Pour assister à une messe gospel il faut savoir respecter le culte et se rappeler que c’est avant tout un moment de recueillement et non pas un spectacle. Vous serez témoin d'une ferveur que nous ne connaissons plus, chez nous en Europe, et autrement différente du calme plat qui règne dans nos églises européennes. Ces messes sont ponctuées de sermons enflammés et de chants entraînants et énergiques. Vous ne pouvez pas ne pas être emporté par la joie qui émane de ces cérémonies, et pas besoin d'être croyant pour les apprécier !

C’est un évènement unique et terriblement émouvant.

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Déjeuner Brunch Soul Food dans le quartier.

Après-midi, route vers Philadelphie.

Découverte de la ville de Philadelphie, qui a vu naître les Etats-Unis le 4 juillet 1776.

Vous commencerez l’exploration par le quartier historique d’Indépendance National Historical Park, où se trouve la première banque des Etats-Unis datant de 1795 établie par George Washington, le Hall de l’Indépendance et la fameuse cloche de la Liberté. Se concentrent dans un périmètre de moins d’un kilomètre carré, plus de 30 monuments qui témoignent des premières aspirations des Américains à la Liberté et à l’Indépendance.

Philadelphie Celle que l’on surnomme affectueusement « Philly » collectionne les superlatifs historiques, culturels et gastronomiques. Le « berceau de la création des Etats-Unis » est même un paradis du shopping taxe-free ! A mi-chemin entre New York et Washington DC, Philadelphie est la 2ème ville de la côte Est et la 5ème ville des Etats-Unis. Philadelphie est surtout l’une des métropoles nord-américaines à posséder un centre-ville particulièrement chargé d’histoire. Elle peut s’enorgueillir d’être le « berceau de la création des Etats-Unis » ; c'est ici même qu'eut lieu la Déclaration d’Indépendance des États-Unis le 4 juillet 1776, ainsi que la signature de la Constitution américaine en 1787. Philly fut même première capitale des Etats-Unis, de 1790 à 1800 !

Benjamin Franklin est le grand homme de la ville où il s’établit dès ses 17 ans, et y fonda sa propre imprimerie. On lui doit les lunettes à double foyer, le paratonnerre, la cartographie du Gulf Stream, la 1ère brigade de pompiers volontaires, la 1ère librairie de prêt, le 1er hôpital public, la 1ère mutuelle, le réseau des postes, etc. De nombreux sites sont reliés à sa mémoire.

C’est un quaker anglais, William Penn, qui, en 1682, donna à la ville le nom de "Cité de l’Amour Fraternel", et si elle connut un essor rapide, c’est grâce à sa situation stratégique sur la côte Atlantique mais aussi en raison de son climat de tolérance religieuse. C’est également grâce à William Penn que s’établirent en Pennsylvanie au XVIIIème siècle de nombreux protestants et luthériens persécutés en Europe.

Diner et nuit à l’hôtel Days Inn Cherry Hill (ou similaire). Lundi 5 septembre : Philadelphie – Annapolis - Washington Petit déjeuner continental.

Départ route vers Washington, capitale fédérale des Etats-Unis depuis 1880. Arrêt à Annapolis, une des plus vieilles villes du pays et la capitale de Maryland située en bord de mer, connue pour son architecture géorgienne et le nautisme à voile dans la baie de Chesapeake. Découverte de ses ruelles très anglaises, façades colorées, boutiques toutes plus charmantes les unes que les autres.

Située en bord de mer, sur la baie de Chesapeake, Annapolis fait partie intégrante de la grande agglomération qui regroupe Washington, D.C. et Baltimore, la plus grande ville du Maryland. En 2000, sa population était de35 838 habitants.

La ville abrite l'académie navale d'Annapolis (en anglais United States Naval Academy) et le St John's College. Dans cet institut d'enseignement supérieur d'un genre particulier, l'apprentissage est libre, guidé mais non dirigé, basé sur des discussions avec des érudits et sur des recherches et lectures personnelles.

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Aujourd'hui, Annapolis est célèbre pour son architecture géorgienne et le nautisme à voile dans la baie de Chesapeake.

Histoire En 1649, des puritains exilés de la Virginie et menés par William Stone fondent la colonie de Providence sur la rive nord de la rivière Severn. Ce n'est qu'en 1694qu'elle est nommée Annapolis en l'honneur de la princesse Anne, après avoir été d'abord baptisée Providence par ses fondateurs puritains, puis Anne Arundel's Towne en l'honneur de la femme de Lord Baltimore. La ville demeure jusqu'en 1808 un port négrier où les esclavagistes débarquent leurs esclaves, vendus par la suite aux planteurs de tabac ou de coton du Sud. C'est au port d’Annapolis qu'est arrivé l'ancêtre gambien de l’écrivain Alex Haley.

Port de pêche prospère, Annapolis devint temporairement la capitale des États-Unis après la signature du traité de Paris en 1783. Mais, en dépit de sa candidature, la ville n'a pas conservé ce rôle de manière permanente. Au lieu de cela, il a été décidé de créer une capitale de toutes pièces à Washington, DC.

Le Congrès a tout de même siégé dans la maison d'Etat (State House) du 26 novembre 1783 au 3 juin 1784 et c'est donc à Annapolis, le 23 décembre 1783, que le général Washington a donné sa démission en tant que commandant en chef de l'Armée continentale.

Déjeuner de crabcake, spécialité de Maryland.

Continuation pour Washington et visite panoramique : autour de l’obélisque du Washington Monument sont réunis des édifices tels que la Maison Blanche, le Lincoln Memorial et, au-delà du Tidal Basin, le Jefferson Memorial. Découverte également de la Cour suprême et le Capitole, où siège le Congrès et au pied duquel s’élance la perspective grandiose du Mall, bordé de musées illustres.

Née en 1783, à la fin de la guerre d'Indépendance, la ville de Washington est le fruit d'une volonté de construire une capitale fédérale qui soit neutre, ne favorisant ni son propre État ni sa région. C'est pour cette raison que la ville ne possède pas de représentant au Congrès et que vous trouverez sur certaines plaques d'immatriculation une mention "Taxation without representation" ("les impôts sans les représentants").

De là émergea l'idée de placer la capitale à une place centrale dans le pays en prélevant une portion de territoire à deux États, un État du Nord et un État du Sud. Le Maryland et la Virginie se virent donc amputés de 260 km² au profit d'une

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nouvelle entité, le District de Columbia (DC). Voilà pourquoi les anglophones, pour ne pas confondre avec l'Etat de Washington situé au nord-ouest du pays, appelle la capitale "Washington DC".

Créée pour accueillir le gouvernement et les institutions fédérales des États-Unis, Washington fut conçu minutieusement pour lui donner une certaine grandeur notamment en termes d'architecture et d'urbanisme. Georges Washington confia alors l'élaboration des plans de la ville à Pierre l'Enfant, un ingénieur d'origine française qui avait combattu à ses côtés. Ce dernier s'inspira alors des plans de certaines villes européennes pour donner à la nouvelle capitale un certain éclat.

Aujourd'hui encore, Washington est une ville agréable à vivre et à visiter et les plans originaux de Pierre l'Enfant sont toujours en vigueur. Les avenues sont larges et bordées d'arbres, les monuments et édifices administratifs sont grandioses, les bâtiments sont bien espacés… et pour ne pas rompre cette harmonie, sachez que les gratte-ciels sont interdits….

Aux environs de la Maison Blanche, d'immense espace vert accueille des matchs de baseball amateurs. A noter, sur place, les forces de l'ordre et les services secrets (en charge de la protection du Président des Etats-Unis) sont omniprésent. Après quelques heures dans la ville, le ballet des hélicoptères ne vous troublera plus.

Washington est aussi une ville qui rayonne sur le plan culturel. Elle comprend de nombreux musées célèbres dans le monde pour leur qualité. La richesse des collections est saluée par tous et ces différentes attractions attirent chaque année plusieurs millions de visiteurs.

Arrêt au cimetière d’Arlington, important cimetière militaire américain créé durant la guerre de Sécession sur les terrains d'Arlington House, l'ancienne propriété de l'épouse du général Lee, le chef des armées confédérées.

Il est situé exactement en face de Washington D.C., de l’autre côté du fleuve Potomac à côté des bâtiments du Pentagone.

Plus de 290 000 personnes sont enterrées sur ce terrain de 2,53 km², des anciens combattants de toutes les guerres américaines, de la guerre d'Indépendance aux derniers conflits du XXIe siècle en Irak ou en Afghanistan, en passant par la guerre de Sécession, les deux guerres mondiales, la guerre de Corée et la guerre du Vietnam.

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Diner et nuit au Metropoint Hôtel New Carrollton (ou similaire). Mardi 6 septembre : Washington Petit déjeuner continental.

Le matin excursion au Mont Vernon pour la visite de la résidence de Washington "père de la nation" resté très présent dans le coeur des Américains. Le site très préservé de cette ancienne plantation n'a pas changé depuis la mort du héros de l'indépendance en 1799. La maison de style géorgien fut décorée et meublée par George Washington lui-même.

Tombe de George et Martha Washington à Mount Vernon

Déjeuner. Puis visite du Musée Nation de l’Air et de l’Espace qui fait partie de la Smithsonian Institution (regroupant 18 musées dont deux à New York et 140 millions d’œuvres spécimen). C'est le musée le plus visité des États-Unis. Ouvert au milieu des années 1950, il a accueilli 14,5 millions de visiteurs en 2001. On y trouve notamment le Spirit of Saint Louis (avion de Charles Lindbergh), et l'appareil sur lequel les frères Wright ont effectué le premier vol en 1903.

Dîner dans le quartier animé de Georgetown et nuit à l’hôtel.

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Mercredi 7 septembre : Washington – Baltimore – Amish Country – Williamsport Petit déjeuner continental.

Route vers Williamsport.

Arrêt à Baltimore, grand port américain, magnifiquement située sur l’embouchure de la rivière Patapsco. Cité d’affaires moderne, elle a connu une très forte expansion industrielle, mais elle préserve jalousement plus de deux siècles d’histoire et de culture.

Ballade dans la partie ancienne de la ville, Inner Harbor autour du port, l’Aquarium National, le plus ancien navire de guerre américain le « USS Constellation » devenu musée, le phare de Chesapeake, le quartier de Fells Point où sont rassemblés les vieux marchés et jolies maisons à l’architecture des années 20. Continuation vers l’Amish County.

Déjeuner de spécialités Amish.

Visite de la région avec celle d’une ferme et d’une maison typique Amish. Des petites fermes, la plupart fonctionnant par le force des moulins à vent et des chevaux, produisent ensemble plus d'aliments qu'aucun autre comté non-irrigué de toute l'Amérique du Nord. Choisissant de vivre sans voiture, ni électricité ou télévision ; beaucoup de personnes ici embrassent un style de vie qui a disparu des États-Unis il y a des générations.

Les Amish sont les héritiers des premiers anabaptistes. Le fondement principal de leur doctrine religieuse est de ne pas baptiser les enfants car ce n'est nécessaire car pour être sauvés, ils n'en ont pas besoin. Seuls les adultes qui connaissant le sens du bien et du mal, eux, doivent l'être. Ils croient dans la séparation de l'église et de l'état (l'homme ne peut pas faire serment d'allégeance à n'importe qui d'autre que Dieu). Ce mouvement semble en fait être naît d'une réaction contre l'église officielle de l'époque trop laxiste selon certains et surtout vivant dans la luxure. En réaction, ils adoptèrent un mode de vie ascétique, comme les Quakers et les Mennonites.

Bien que né en Europe, les seules communautés existantes encore aujourd'hui sont établies aux Etats Unis. Ils vivent dans vingt-deux états américains ainsi que dans l ' Ontario au Canada. 70 % des 140 000 Amish d'aujourd'hui vivent principalement en Pennsylvanie (où elles s'installèrent tout d'abord), dans l'Ohio et dans l'lndiana. Les autres communautés ont vécus ou vivent dans l'Arkansas, le Delaware, la Floride, l ' Illinois, l'lowa, le Kansas, le Kentucky, le Maryland, le Michigan, le Minnesota, le Missouri, le Nebraska, le Nouveau Mexique, New York, l'Oklahoma, l'Oregon, le Tennessee, la Virginie, et le Wisconsin.

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Il est à noter que près des 3/4 de ces installations date d'après 1940.

Aujourd'hui encore, ils mènent une vie retirée mais active dans un monde qui n'est pas le nôtre, à l'écart de ceux qu'ils appellent " les Anglais ", n'ayant pour lois que celles de la Bible. Les objets Amish possèdent une beauté singulière et un charme fonctionnel et net. En visitant Lancaster County en Pennsylvanie, l'impression de reculer dans le temps est accentuée par le refus des Amish d'utiliser le téléphone, l'électricité, les pneus, les machines agricoles modernes, la plomberie intérieure, les boutons, aujourd'hui acceptés avec

réticence, étaient considérés comme une manifestation de vanité.

Les Amish n'utilisent pas de voitures, préférant leurs charrettes et leurs carrioles à chevaux élégantes et classiques.

L'esthétique amish pourrait se résumer par cette phrase d'Horatio Greenough : " Si l'excès est raboté, le superflu supprimé, le nécessaire même, réduit à sa plus simple expression, nous nous apercevrons alors, quelle que soit l'organisation, que la beauté nous attendait. "

Les intérieurs amish sont très colorés, les murs souvent peints de couleurs vives. Les pièces aux meubles de bois spartiates sont réveillées par du verre, des céramiques et des textiles de couleur. Les jardins aussi offrent des fleurs aux teintes vives et même éclatantes, l'écarlate et l'orange se détachant sur le blanc et le vert des murs de la maison.

Les premiers quilts amish datent des années 1860. Ils ont presque toujours été assemblés à l'aide de vieilles machines à pédale. Avant cela les femmes tissaient d'épaisses couvertures en laine pour les lits.

Continuation via rapide tour d’orientation de Harrisburg, capitale de la Pennsylvanie.

La ville de Harrisburg est la capitale du Commonwealth (ou État) de Pennsylvanie et le siège du comté de Dauphin. Elle a joué un rôle majeur dans l'histoire du pays, notamment durant la migration vers l'ouest, la guerre de Sécession et la révolution industrielle. La municipalité ne regroupe que 49 528 habitants (2010) mais est la ville-centre d'une aire urbaine de plus de 500 000 habitants, la quatrième de l'État. Histoire Le site qu'occupe la ville actuelle de Harrisburg, le long de la rivière Susquehanna, semble avoir été occupé par les Amérindiens dès 3000 ans av. J.C. Connu par les Amérindiens comme « Peixtin », ou « Paxtang », la région était un important lieu de repos et un carrefour pour les commerçants Indiens d'Amérique, comme les sentiers menant de la Delaware dans la rivière Ohio et du Potomac à la Susquehanna supérieure qui se regroupaient là.

Le premier contact européen avec les Indiens en Pennsylvanie a été effectué par l'anglais, le capitaine John Smith, qui a voyagé de la Virginie jusqu'à la rivière Susquehanna en 1608 et a visité la tribu des Susquehanna.

En 1719, le marchand anglais John Harris Sr. s'installa sur le site de l'actuelle Harrisburg et acquit 14 ans plus tard 800 acres (3,2 km²) dans les environs. En 1733, Harris a obtenu une licence pour exploiter un ferry, et l'endroit était connu depuis longtemps par la suite comme Harris Ferry, (traversier de Harris).

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Durant la Guerre de Sept Ans, un fortin militaire nommée Fort Hunter fut construit pour contrer des attaques franco-indiennes venant de Fort Duquesne.

En1785, John Harris Jr. décida d'installer une ville sur les terres de son père et la baptisa Harrisburg.La municipalité de Harrisburg fut constituée en 1791. La ville fut choisie comme la capitale du Commonwealth de Pennsylvanie en octobre 1812.

Au cours du XIXe siècle, Harrisburg

devint le centre d'un important trafic ferroviaire et des industries (acier et fer) se développèrent autour de la ville.

Durant la guerre de Sécession, Harrisburg abrita un important camp d'entrainement de l'armée nordiste. Des dizaines de milliers de soldats passèrent par le Camp Curtin.

Étant un nœud ferroviaire important, la ville fut un lien vital entre la côte atlantique et les États du Middle West. Pour ces raisons, Harrisburg fut la cible de l'armée de Virginie du Nord du général Lee à deux reprises.

En juin 1972, la ville fut frappée par d'importantes inondations dues aux restes de l'ouragan Agnes.

Le 28 mars 1979, la ville fut également le cadre de l'accident nucléaire de la centrale de Three Mile Island, située à une quinzaine de kilomètres au sud de la ville sur la rivière Susquehanna, dont le second réacteur a en partie fondu.

Touché de plein fouet par un endettement massif, le conseil municipal a voté en octobre 2011 pour déclarer la ville en cessation de paiements.

Dîner et nuit à l’hôtel Lancaster (ou similaire). Jeudi 8 septembre : Amish Country – Niagara Petit déjeuner continental.

Départ pour traverser la frontière canadienne.

Déjeuner en cours de route et arrivée à Niagara Falls.

Les Chutes du Niagara forment l’une des plus grandes merveilles de la nature. Situées en plein centre-ville, leur hauteur n’est pas exceptionnelle, mais leur

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ampleur et la puissance des eaux qui s’engouffrent ne peuvent manquer d’impressionner les visiteurs : 6 810 000 litres d’eau par seconde. La mode de la lune de miel aux Chutes du Niagara fut lancée par Joseph Bonaparte, qui de retour de son voyage fit un récit tellement palpitant aux notables de la région qu’il leur donna envie de l’imiter.

L’excursion à bord du bateau Hornblower vous mènera jusqu'au pied des chutes canadiennes dites en fer à cheval : une expérience enivrante que vous n'êtes pas prêts d'oublier.

Diner et nuit à l’hôtel Quality Inn (ou similaire). Vendredi 9 septembre : Niagara – New York Petit déjeuner continental.

Le matin, temps libre à Niagara.

Déjeuner panoramique.

Départ vers New York et installation à l’hôtel La Quinta Inn Fairfiekd (ou similaire).

Diner et nuit. Samedi 10 septembre : New York – Zaventem Petit déjeuner continental et temps libre jusqu’au transfert vers l'aéroport en début d’après-midi en fonction de l’horaire de votre vol retour. (repas de midi libre) Assistance aux formalités d’enregistrement et envol à destination de Bruxelles sur vols Icelandair via Reykjavik. Dîner, film et nuit à bord. Dimanche 11 septembre : Zaventem – Différents lieux dans les régions Petit déjeuner à bord puis arrivée à Bruxelles.

Transfert en car vers les différentes régions.

Climat Le climat à cette période de l’année est très favorable. Vous pouvez avoir des températures oscillant entre 25 et 30°.

Electricité Généralement : 110-115 volts et 60 périodes (en Belgique : 220 volts et 50 périodes). Attention : si vous achetez du matériel aux États-Unis, prévoyez l’adaptateur et/ou le convertisseur électrique qui conviennent. Les fiches électriques américaines sont à deux broches plates.

On conseille d'apporter un adaptateur si vous voulez recharger la batterie de votre appareil numérique, de votre ordi ou de votre téléphone portable. Les appareils avec un

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moteur, type sèche-cheveux, rasoir électrique... nécessitent eux un convertisseur.

En cas d'oubli, vous pourrez vous procurer un adaptateur dans les aéroports, à la réception de la plupart des hôtels, ou dans une boutique d'électronique, mais c'est nettement moins vrai pour les convertisseurs.

Argent Le dollar américain est la monnaie officielle.

Pour les petites dépenses, le plus simple est d'emporter quelques dollars changés en Europe (ça peut dépanner) et de retirer sur place du liquide avec une carte de bancaire. On trouve des distributeurs automatiques de billets partout (appelés ATM pour Automated Teller Machine ou cash machines), jusque dans certaines petites épiceries ! Cela dit, évitez de retirer des petites sommes à tout bout de champ, car une commission fixe (2-3 $) est prélevée à chaque transaction en plus de celle appliquée par votre banque : elle est souvent plus élevée dans les ATM situés dans les petits commerces, boutiques et hôtels où les retraits sont limités à 100+200 $. En dernier ressort, si vous devez quand même changer de l'argent, adressez-vous aux petits bureaux de change en ville.

Cartes de paiement : Aux États-Unis, on parle de « plastic money », ou « plastic » tout court. C'est le moyen le plus simple et a priori le plus économique de payer : le taux est meilleur que si vous achetiez des dollars avant le départ ou que vous en changiez sur place. De plus, les paiements par carte évitent aussi la banqueroute en cas de plafond de retrait déjà atteint ou pas relevé avant le départ ! Ayez votre passeport avec vous, il vous est parfois demandé. Les cartes les plus répandues sont la MasterCard, la Visa et bien sûr l'American Express, appliquant des commissions très faibles.

Les Américains paient tout par carte, même 5 $. Dans les magasins, dès que vous présenterez une carte de paiement, on vous posera systématiquement la question : « Debit or credit ? ». Si vous n'avez pas de compte aux États-Unis, la réponse est « Credit ».

Le code secret n’étant pas rentré en vigueur aux USA, il faut signer pour chaque transaction. Certains commerces sont munis d’écrans de paiement sur lesquels on paraphe avec un stylo électronique, voire directement avec son doigt. Dans les lieux les plus branchés, les additions se font sur iPad (avec facture envoyée par e-mail !).

Santé La sécurité sanitaire est excellente aux États-Unis, mais elle coûte les yeux de la tête, même pour les Américains. Pas de consultation médicale à moins de 150-200 $, et on ne vous parle même pas d'une visite aux urgences qui coûte plusieurs milliers de dollars. Pour les médicaments, multiplier par deux au moins les prix français. Voilà pourquoi il est impératif de souscrire avant le départ une assurance voyage intégrale avec assistance-rapatriement. L’assurance que nous avons souscrite ne suffit pas en cas d’hospitalisation. Aucun vaccin exigé sur le sol américain mais, comme partout, soyez à jour de vos vaccinations « universelles » : tétanos, polio, coqueluche et diphtérie (DTP), hépatites A et B.

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Décalage horaire Il y a 6 heures de décalage horaire entre la Belgique et l’est des U.S.A. Quand il est 12 H 00 en Belgique, il est 6 H 00 du matin à Washington.

Inscriptions et paiements

Les inscriptions sont à transmettre à la régionale Hainaut Picardie (8 rue Saint-Joseph à 7700 Mouscron) au moyen du bon de commande figurant dans le catalogue.

Par la suite, vous recevrez un avis de paiement reprenant le numéro de compte sur lequel il faut verser l’acompte (Attention, changement de numéro de compte). Six semaines avant le départ, vous recevrez un virement afin de verser le solde du séjour.

Pour tous renseignements complémentaires, vous pouvez joindre Mr. Alain Desmet au 056/39 15 46.

Prix

Prix de base 3006 € Supplément non Mutualiste chrétien + 75 € Supplément single 500 € Acompte 902 € Compris dans le prix

- les transferts régions-Zaventem A/R en car (voir lieux d’embarquements) - les vols Zaventem/Boston/New-York/Zaventem - les taxes aéroports connues au 27/11/15 - les déplacements en car de grand tourisme climatisé - le logement - la pension complète du petit déjeuner du 2ème jour au petit déjeuner du 10ème jour - les visites et entrées mentionnées au programme - un guide francophone et des guides locaux - les assurances annulation, bagages, interruption de séjour - l’accompagnement Énéo.

Non compris dans le prix

- les éventuels suppléments (fuel, taxes aériennes, taux de change) - les boissons - les repas du soir du 1er jour et repas de midi du 10ème jour - les dépenses personnelles - toutes prestations non mentionnées.

AU PLAISIR DE VOUS RENCONTRER

LORS DE CE CIRCUIT EST U.S.A ET NIAGARA