Focus Pour Elle

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la chaleur dun Foyer pour chaque enFant

U n s u p p l m e n t t h m a t i q u e d e S m a r t M e d i a

De la famille au travail, deux expertes nous racontentMODLE FEMININ

Interview

FOCUS

Formation

Business Women

Sant

DCEMBRE 2015

P O U R E L L E

U N S U P P L M E N T T H M A T I Q U E D E S M A R T M E D I A

2 Editorial Alan Doss

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Quand, en 2014 au Nigria, les terroristes du groupe Boko Haram ont kidnapp 200 jeunes filles, le monde entier sest demand: com-ment de telles atrocits sont-elles possibles? Or la triste ralit est que ces violences abominables taient symptomatiques dune tragdie bien plus grande chelle qui se droule jour aprs jour dans des pays du monde entier. le non-respect, opinitre et sauvage, des droits de la femme. Ce dni flagrant et persistant peut prendre diverses formes, depuis la violence domestique jusqu linterdiction pour les filles daller lcole.

Tout cela est possible parce que la socit, les gouvernements et les individus ont renonc ap-pliquer les principes clairement noncs dans la Dclaration uni-verselle des droits de lhomme. Outre cela, ils font des leons dhistoire, qui montrent que lmancipation des femmes nest pas quune question morale; cest aussi un impratif social et cono-mique. Les socits qui prsentent les disparits les plus faibles entre les sexes font mieux sur tous les indicateurs que ce soit en

matire de sant, de performance conomique ou de niveau ddu-cation. Les femmes disposant dun revenu ont davantage tendance que les hommes investir dans lducation de leurs enfants, ce qui est un des meilleurs moyens de stimuler la croissance et de r-duire la pauvret.

Bien qu lchelle mondiale, on constate une progression r-gulire des mouvements pour les droits des femmes et quon soit de plus en plus sensible lgalit, dans lensemble, la situation reste alarmante. Les femmes conti-nuent de faire face toutes sortes de barrires institutionnelles qui les empchent dchapper la vio-lence et la pauvret, de crever les plafonds de verre sur le march du travail, de rduire les carts sa-lariaux et dabolir les contraintes structurelles et juridiques qui les empchent de prendre les dci-sions qui concernent leur vie et celle de leur famille.

Dans le domaine des affaires et de la politique, o se prennent les grandes dcisions qui affectent les vies des femmes comme des hommes, la participation des

femmes reste trs ingale. Celles-ci ne reprsentent en effet que 20% des lgislateurs dans le monde, et elles restent largement sous-re-prsentes dans les conseils dad-ministration des plus influentes multinationales. Et pourtant, nous savons depuis longtemps que les socits qui jouissent dun haut niveau de dveloppement et dinclusion sont aussi celles o les pratiques discriminatoires ont t progressivement, voire complte-ment, limines. La participation civique des femmes cre des so-cits plus saines, plus paisibles et plus durables, et en retour, des gouvernements plus reprsen-tatifs, plus responsables, et plus ractifs. Bref: Lmancipation des femmes est le meilleur moteur de dveloppement qui soit.

Or le progrs est possible. Lorsque, dans le cadre de ses Ob-jectifs de dveloppement du mil-lnaire, lONU a fix 2015 lho-rizon vis pour lradication des ingalits entre les sexes, beau-coup estimaient cette chance bien trop ambitieuse. Et pourtant, grce des mesures partant de la base, accompagnes de rformes

politiques, le taux dducation des femmes a explos. Dans beaucoup de pays dvelopps et en dve-loppement, les femmes sont d-sormais plus nombreuses que les hommes poursuivre des tudes suprieures.

Mais nous devons aller plus loin et plus vite. Les Objectifs de dveloppement durable qui viennent dtre adopts par lONU incluent deux initiatives express-ment conues pour promouvoir lmancipation des femmes, en leur assurant une ducation ou-verte et quitable afin daplanir les ingalits entre sexes dici 2030.

De tels objectifs ambitieux fournissent un paradigme pour parvenir un monde plus qui-table pour toute une moiti de lhumanit, o quelle vive.

Si nous tenons vraiment raliser ces objectifs et faire des exactions de Boko Haram et de toutes les formes de violence et de discrimination envers les femmes et les enfants des ves-tiges sinistres du pass, nous ne soulignerons jamais assez lim-portance dun leadership inspir et lucide. Dans la socit civile, les militants doivent mobiliser leurs semblables pour susciter le chan-gement partir de la base; quant

aux dirigeants politiques ils leur incombe de frayer le chemin de lgalit entre tous les citoyens et de mettre en place les cadres juri-diques indispensables.

Lre de la femme nest pas lhorizon elle est dj l. Dans cet esprit, la Fondation Kofi An-nan, en collaboration avec toutes sortes dacteurs de bonne volont, uvre btir un monde plus juste et moins violent, un monde o femmes et filles peuvent exercer pleinement leurs droits et liberts dans leur foyer, dans les urnes, dans leur ducation et dans le monde du travail. Cest le monde auquel nous aspirons; cest le monde dont nous voulons et de-vons faire une ralit.

Alan Doss, Directeur excutifFondation Kofi Annan

FOCUS POUR ELLEChef de projetEnora [email protected]

Country ManagerJeroen Minnee

Rdacteur en chefMatthias Mehl

Equipe ditorialeSMA

DesignSmart Media Agency S.A.

GraphismeAnja Cavelti

Canal de distributionL'Hebdo, Dcembre 2015

ImpressionSwissprinters

SMART MEDIASmart Media produit et publie des supplments thmatiques qui pa-raissent avec les mdias suisses. Nos publications innovatrices per-mettent dattirer lattention sur nos clients et de renforcer leurs marques. Notre contenu rdac-tionnel se distingue par sa qualit et son originalit.

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Bonne lecture!

Enora BrunetChef de projet

L'mancipation des femmes

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4 ducation

Sandoz sengage pour la sant de la mre et de lenfantDepuis le dbut de cette anne, Sandoz sengage pour la sant des nouveau-ns et de leurs mres: deux des huit objectifs de dveloppe-ment sont la baisse de la mortalit infantile et lamlioration de la sant des mres. Sandoz voudrait atteindre ces objectifs en amlio-rant laccs des mdicaments de haute qualit un prix raisonnable. En mme temps, la prise en charge mdicale et lducation pour les mres et les enfants doivent tre amliores au niveau mondial.

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Accs lducation: un combat encore dactualit

A nos yeux doccidentaux, lac-cs lducation semble une vidence laquelle on ne prte mme plus attention. Pourtant, mme au XXIe sicle, tout le monde ne bnficie pas de cette chance. En effet, dans de nombreuses rgions du globe, les filles en sont encore prives, ou y ont accs seule-ment pour une courte dure.

Dans les pays pauvres, il est frquent que les parents d-cident denvoyer les garons lcole, tandis que les filles soccupent de la maison, des tches mnagres ou encore de garder leurs petits frres et surs. Les mariages prcoces sont galement rpandus, en raison du poids financier que peut engendrer une fille et clibataire dans une famille en situation de prcarit.

Si ces mariages prcoces in-terrompent les tudes des filles, ils entranent galement des grossesses prmatures, ce qui provoque des risques pour la sant des jeunes filles, souvent enceintes avant lge adulte. Lorganisation non gouverne-mentale Enfants du Monde, tablie Genve, simplique activement pour amliorer

cette situation. Lassociation mne des projets ducatifs au sein de quatre pays: Guatema-la, Burkina Faso, Niger et Ban-gladesh. A travers les coles qu'elle soutient, elle scolarise plus de 33'500 enfants, dont 50% sont des filles. Enfants du Monde entreprend par ailleurs diffrents projets de sensibili-sation auprs des parents sur limportance de la scolarisation des filles pour elles-mmes mais galement pour la socit.

A titre dexemple, plus du tiers des filles de moins de 18 ans sont dj maries en Afrique subsaharienne, o lassociation est prsente. Sans pouvoir terminer leur scolari-t, les jeunes filles nacquirent pas non plus de comptences professionnelles. Si cette situa-tion affecte dabord les jeunes

filles directement et les femmes en gnral, elle se rpercute galement sur lensemble dune rgion ou dun pays. Car au final, ce manque dpanouis-sement instructif et profes-sionnel nuit au dveloppement social et conomique du pays, en figeant son tissu cono-mique au lieu de le dynamiser. Cest pourquoi, en plus dagir concrtement via ses coles, Enfants du Monde tente de faire prendre conscience aux populations concernes que le mariage prcoce nest pas la seule option pour que leur fille puisse devenir indpendante financirement.

En Suisse, alors que les en-fants rechignent parfois aller lcole, Enfants du Monde offre la possibilit de parrai-ner ses programmes.

Laccs lducation devrait tre un droit pour tous. Pourtant, dans certains pays, les filles sont souvent retires de lcole trs jeunes en raison des difficults conomiques. Plusieurs organisations tentent de changer la donne.TEXTE THOMAS PFEFFERL

Sandoz sengage pour la sant de la mre et de lenfantEn mars 2015, Sandoz annonait le lancement dun nouveau programme du nom de New Life & New Hope, cet effet . Il doit permettre de rduire la mortalit des mres et enfants en relation avec la naissance. New Life & New Hope est un programme de Sandoz Corporate Responsibility et il est bas sur le sponsoring de quatre formations en obsttrique et soins aux nouveau-ns. Ainsi, 100 personnels soignants ou sages-femmes seront forms en thiopie. Ces 100 person-nels soignants devront alors prendre en charge environ 40 000 femmes enceintes aux alentours dAddis-Abeba. Les for-mations sont soutenues par lassociation des sages-femmes thiopiennes .

En 2014 dj, Sandoz avait annonc quelle allait sengager long terme pour la rduction du nombre des dcs den-fants. La cl pour cela est lantibiotique Amoxicilline. La mme anne, environ 100 000 botes 250 mg ont t livres lONU.

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De l'ducation l'excellence 5

Cest exactement ce quoi se prparent les coles dhtelle-rie en Suisse. Le secteur encore

pudiquement appel htelle-rie-restauration, a de lavenir: le World Travel & Tourism Council Institute prvoit 277 millions de postes dans ce do-maine travers le monde lan-ne prochaine.

Lorsque lon parle dhtel-lerie-restauration, cest laspect culinaire qui vient premi-rement lesprit. Pourtant, le secteur ne concerne pas uni-quement les palaces et les res-taurants gastronomiques, mais aussi les casinos, les centres touristiques de standing, les parcs thme, les infrastruc-tures sportives.

Depuis la fondation de sa premire cole htelire en 1982, le Swiss Education Group sest dvelopp jusqu devenir un leader mondial de

la formation htelire, recon-nu dans le monde entier. Res-tant fidle la tradition de la gestion htelire suisse, tous les programmes mis en place au sein de Swiss Education Group allient enseignement acadmique et exprience pratique. Chaque programme est spcialement conu pour rpondre aux besoins des employeurs de lhtellerie et l'incroyable succs du Swiss Education Group a pouss lindustrie htelire sinspi-rer de nouveaux standards. Toutes les coles partenaires sont soumises une assurance qualit acadmique rigoureuse garantissant aux tudiants de recevoir le haut niveau de for-mation renomm caractris-tique de la Suisse.

Ils taient 6287 tudiants ve-nir tudier dans ces coles en 2014, de par le monde, de 84 nationalits diffrentes. Une majorit de femmes (62%) sortent de ces coles. Portrait de lune dentre elles.

Sophie Wikstrom, jeune et ambitieuse diplme de l Hotel Institute Montreux vient de crer Nice Life sur la Riviera vaudoise. Le concept de la start-up est prometteur: il repose sur la prise de conscience de ce que l'on mange pour amener tout un chacun se sentir mieux. Cest sur ses expriences an-trieures, rendues possibles grce au Swiss Education Group, que Sophie a tir ses connaissances pour lancer son propre projet. Aprs

avoir travaill dans la gestion dhtels de luxe, elle a gale-ment particip la vie dh-tels haut de gamme tels que le Ritz Paris, le Four Seasons, le Ritz Carlton. Sa mission est dsormais d'inciter les gens choisir une vie plus heureuse et plus saine, grce des valeurs fondamentales, un tat desprit bienveillant envers le corps, la plante et la socit. Aprs avoir tudi dans un environnement in-ternational avec 62 % d'tu-diantes, Sophie est simple-ment l'une des nombreuses femmes qui a russi se for-ger une place dans l'industrie htelire et reprsente un modle pour bon nombre de jeunes femmes qui viendront aprs elle.

La Suisse est consid-re comme le berceau mondial du service en htellerie-restauration. Terre dexcellence pour les formations, elle se distingue par la qualit de ses prestations. Par-tout dans le monde, les employeurs du secteur cherchent des managers gestionnaires trs qualifis, justifiant dune formation prestigieuse et dexp-riences internationales en stage. Autant dire que les exigences sont leves!TEXTE INS SOLAL

Swiss Education Group, la rfrence mondiale de la formation htelire


6 Women back to business

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La rintgration professionnelle pour les femmes

Aprs un break familial, par exemple pour un cong maternit, les femmes qui veulent reprendre une acti-vit professionnelle peuvent bnficier dun coup de pouce pour se remettre dans le circuit. Car aprs plusieurs mois passs en tant loign du monde professionnel, il peut arriver quune lgre

mise niveau savre nces-saire ou bnfique afin de se familiariser avec dventuelles nouvelles exigences, voire des pratiques qui ont volu ou des techniques et modes op-ratoires qui viennent de faire leur apparition.

En Suisse, plusieurs uni-versits et hautes coles pro-posent par exemple diffrents cursus et formations destins spcifiquement aux femmes qui veulent rintgrer le monde professionnel. Le sec-teur acadmique a donc pris le pouls du march du travail, au sein duquel des efforts sont de plus en plus entrepris dans loptique datteindre lgali-t entre hommes et femmes. Dans ce cadre, les centres de formation affichent gale-ment une volont promou-voir la gente fminine dans

lconomie. Pour cela, plu-sieurs structures ddies la formation professionnelle et universitaire ont mis en place des cours et programmes labors prcisment dans le but de favoriser la prsence des femmes dans les secteurs conomiques et les positions de cadre. Ainsi, la parit entre hommes et femmes tend ga-lement sinstaurer dans le monde acadmique. Car au-jourdhui, on constate encore que dans les filires dtudes conomiques, les hommes sont davantage reprsents.

Pourtant, sur le march du travail et dans les milieux universitaires, les femmes qualifies et formes dans les milieux conomiques ainsi que du droit sont trs recherches. Dailleurs, cer-taines universits du pays

favorisent lmergence de synergies entre monde aca-dmique et professionnel pour les tudiantes, notam-ment par lorganisation de foires de recrutement la-bores conjointement avec de grandes entreprises et acteurs conomiques. Des stages de courtes dures peuvent galement tre pro-poss au sein de plusieurs socits partenaires.

Ainsi, les femmes, souvent apprcies pour leurs capacits multitasking, leur sens pratique et de lorganisation ainsi que leur intelligence sociale plus dvelopps que les hommes, peuvent intgrer diffrentes filires et programmes qui les soutiendront et leur donneront les moyens pour reprendre un poste haute responsabilit ou rorienter leur carrire.

Aprs une pause familiale ou un changement de car-rire, les femmes peuvent bnficier de diffrentes structures pour rintgrer le monde profession-nel. Tour dhorizon des formations existantes et des lments prendre en compte pour russir cette transition.TEXTE THOMAS PFEFFERL

Scolariser, duquer et formerAu Niger, moins de 30% des enfants sont scola-riss. Le taux danalpha-btes atteint 68%. La moiti de la population a moins de 15 ans.Les 173 lves de lAs-sociation Au Cur du Niger sont scolariss selon le programme National du Niger. 17 filles frquentent le Collge Zinder, aprs 6 ans dcole avec lAssociation.En 2012, nous avons pu construire le Centre dAccueil et de formation Aprs-demain , qui com-prend 6 classes dcole, 2 rfectoires, 2 dortoirs, 1 salle dinformatique, 1 infirmerie, des bureaux, des locaux techniques, un enclos chvres et poules, un potager.Les dons permettent de participer au fonctionne-ment courant du Centre. Les parrainages nous permettent de sortir des ruelles ensables de Zinder des filles ou garons orphelins pour leur donner une meilleure ducation et une scolarisation complte.

Isabelle MacheretFondatrice de lAssociation Au Cur du Nigerwww.aucoeurduniger.ch

www.AuCoeurDuNiger.chPlus d'infos sur notre site internet

L'Association sur le terrain :Scolariser, duquer, soigner et nourrir les enfants de la rue et les filles-mres

avec leur bb. Les former la couture, tricot, broderie, cuisine, cultures, levage de chvres et de poules. Entretien du forage deau de lAssociation

et des btiments du Centre dAccueil et de formation Aprs-demain. Formation et accompagnement aux mres des enfants scolariss.

Possibilit de parrainer un enfant orphelin, de devenir membre de lAssociation, de soutenir nos activits et projets par un don.

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Scolariser, duquer et former LASSOCIATION AU CUR DU NIGER, fonde en 2009 par la fribourgeoise Isabelle Macheret, accueille ce jour 173 enfants orphelins, enfants albinos et filles-mres au Centre Aprs-demain Zinder au Niger, et a engag 27 employs locaux, dont un directeur du Centre et un directeur dcole.

Lactivit principale est dapporter une ducation, scolariser et former les enfants orphelins et les enfants albinos de 4 16 ans et les filles-mres de 14 19 ans, en colla-boration avec les autorits et la population locales.

Pour plus dinformations www.AuCoeurDuNiger.ch

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The Swiss Education Group is an alliance of Switzerlands leading hotel management schools. Its seven campuses are nestled across key locations in both French and German Speaking Switzerland. Boasting a student body of over 6300 students, the Swiss Education Group benefits from a worldwide reputation of excellence and is currently forging the industry leaders of tomorrow. Courses are offered from undergraduate level through to Master Degree level and are recognized worldwide.

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8 Interview Bertile Burel

Un cadeau pour les curieux de nature Le Panda Club propose aux enfants de 6 13 ans des divertissements, des informations, ainsi que de nombreuses actions auxquelles ils peuvent participer. Grce au magazine Panda Club, ils dcouvrent en 5 ditions par an les merveilles de la nature et apprennent en samusant protger les animaux et lenvironnement, ainsi qu en apprcier la valeur.

6-13

Le WWF pour les jeunesprotecteurs de la nature:

wwf.ch/enfants

Numro 3, 2015

Rendons visite aux lmuriens de Madagascar Vente de marque-pages:Es-tu partant?Ton engagementpour le WWF!

Numro 5, 2014

Le caman noir,terreur du fleuve

WWF Suisse, Avenue Dickens 6, 1006 Lausanne +41 21 966 73 73, wwf.ch/contact

Wonderbox est un succs norme. Ces coffrets cadeaux ont claire-ment sduit les consommateurs et sont disponibles dans une large partie dEurope. Comment avez-vous eu lide de lancer ce produit?Mon mari et moi en avons eu lide il y a plus de dix ans, aprs un tour du monde. De retour en France, alors que les ftes de Nol appro-chaient, nous rflchissions aux cadeaux que nous al-lions offrir notre entou-rage. Nous venions de vivre des expriences et des mo-ments trs forts durant nos voyages et nous avons ra-lis que la meilleure ide de cadeau consiste offrir des activits, des expriences, et non des objets.

Aujourdhui, o en est la croissan-ce de Wonderbox?Nous sommes actuellement prsents en France, en Suisse, en Espagne, en Italie ainsi

quen Belgique, avec 300 col-laborateurs rpartis dans ces diffrents pays. Et notre chiffre daffaires progresse denviron 20% par an, pour atteindre 200'000'000 deuros cette anne.

En tant que mre de famille, avec deux enfants en bas ge, comment parvenez-vous concilier vie fa-miliale et entrepreneuriale?Ma vie entrepreneuriale sadapte ma vie familiale et, en tant que cofondatrice, je bnficie dune certaine flexibilit. Par exemple, si un de mes enfants est ma-lade, je peux travailler de-puis chez moi sans avoir me justifier auprs de quelquun. Il est vrai quil faut beaucoup travailler pour lancer son projet pro-fessionnel, mais en mme temps, on profite dune cer-taine libert pour organiser son planning.

Selon vous, en tant que femme, est-il plus difficile de lancer son entreprise?En fait, je considre que les femmes, et plus particuli-rement les mres de famille, sont dexcellentes mana-geuses. Le rle de mre est un rle de management. Il sagit de tout faire pour que ses enfants, ou ses em-ploys, soient autonomes et en mesure dvoluer dans les meilleures conditions. Les femmes ont ainsi un sens pratique plus dvelop-p. En revanche, je constate quaujourdhui, certaines manquent peut-tre dam-bition, ou de culot, pour se lancer.

Quels sont vos conseils pour mener bien son projet professionnel?Dj, il faut en vouloir. Ne pas avoir trop de choix. Une femme qui nest pas oblige de travailler, qui na pas for-

cment la ncessit de russir, sera moins motive crer sa socit. Il faut galement une envie trs forte et tre prte travailler beaucoup. Enfin, dun point de vue entrepre-neurial et commercial, il faut rsoudre un problme, offrir quelque chose de nouveau et sacharner couter les clients. Car lacheteur a tou-jours raison.

Quel regard portez-vous sur le march de lemploi en termes dgalit entre hommes et femmes?

En ce qui concerne la r-munration, les chiffres in-diquent quil y a encore trop dingalits. Il faut donc en parler et aborder davantage cette question pour trou-ver des solutions. Malgr cela, je reste positive quant lavenir professionnel des femmes. La gnration ac-tuelle et la prochaine ne sont pas complexes et les succs entrepreneuriaux fminins sont toujours plus nombreux. Ce qui est en-courageant.

Etre chef d'entreprise et mre de famille, n'a rien d'incompatible!A la tte de la clbre entreprise franaise Wonderbox, qui propose des coffrets ca-deaux permettant de choisir parmi plusieurs activits fun, sportives ou encore pour les couples, Bertile Burel raconte son parcours et le succs de sa socit. Mre de famille et entrepreneuse, elle encourage les femmes se lancer pour raliser leur projet professionnel. Interview.TEXTE THOMAS PFEFFERL

Madame Bertile BurelFondatrice & PDG de Wonderbox.


Saori Terada Interview 9

Un cadeau pour les curieux de nature Le Panda Club propose aux enfants de 6 13 ans des divertissements, des informations, ainsi que de nombreuses actions auxquelles ils peuvent participer. Grce au magazine Panda Club, ils dcouvrent en 5 ditions par an les merveilles de la nature et apprennent en samusant protger les animaux et lenvironnement, ainsi qu en apprcier la valeur.

6-13

Le WWF pour les jeunesprotecteurs de la nature:

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Numro 3, 2015

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Quels sont les strotypes et pr-jugs les plus courants auxquels sont confrontes les femmes dans notre socit aujourd'hui et com-ment impactent-ils le monde du travail?Il sagit de clichs classiques qui prsentent les femmes, les pr-sentant par exemple comme plus motives, comme devant se cantonner des emplois perus comme fminins lis aux enfants, au mnage ou au secrtariat. En parallle, les hommes sont censs tre des leaders forts, dtermins et qui prennent des dcisions sur des bases rationnelles. Ces stro-types limitent fortement laccs des femmes des postes res-ponsabilit. Les femmes sont aussi confrontes la pression sociale dtre une bonne mre , des horaires de bureaux parfois incompatibles avec la vie familiale ou aux prjugs qui considrent le cong ma-ternit comme un frein au d-veloppement de carrire.

En quoi cette problmatique in-tresse-t-elle lONU et comment agissez-vous pour lamliorer?Ces prjugs deviennent par-ticulirement problmatiques lorsquils limitent les possi-bilits des femmes. Il est na-turel que lONU simplique dans cette problmatique car elle est au cur du respect des droits dont chacun doit pouvoir bnficier, homme ou femme. Nous agissons en aidant les Etats modi-fier leurs lois pour quelles cessent de discriminer les femmes et soutenons la pari-t entre hommes et femmes dans lducation, lemploi et tous les niveaux de prise de dcision. Nous travail-lons aussi par exemple avec des juges afin quils prennent conscience de leurs propres prjugs suite des cas o des violeurs ont t acquitts en raison de la faon soit disant provocante dont taient habil-les leurs victimes.

Quelles discriminations figurent dans les lois ou les observe-t-on dans les faits?Il faut savoir que 90% des pays ont des lois qui discri-minent les femmes. En Russie par exemple, 456 professions sont interdites aux femmes, dont celle de conducteur de mtro. En Arabie Saou-dite, elles ne peuvent pas conduire. Et pour sintresser aux faits, on remarque quen Suisse, seuls 2,5% des postes de direction des 100 plus grandes entreprises du pays sont occups par des femmes. Pour le mme travail, les femmes gagnent 18% que moins que les hommes et une femme sur quatre est victime de harclement sexuel durant sa carrire.

Peut-on sattendre ce que ces ingalits disparaissent un jour?Selon les estimations mon-diales bases sur la rpartition des salaires, la participation

la vie active et laccs aux postes de direction, lgalit hommes femmes au travail ne sera atteinte quen 2095 au rythme actuel. Et encore, ce nest pas garanti. Il est donc impratif dagir immdiate-ment, en changeant les lois, les pratiques mais aussi les men-talits.

Comment agir au quotidien face ces injustices?Tout le monde peut agir, par exemple en ragissant des propos sexistes tenus dans la rue, en veillant la manire dont on duque ses enfants ou encore en accordant des

conditions quitables aux hommes et femmes em-ploys dans son entreprise. Pourquoi, par exemple, tant de runions continuent tre organises tard le soir dans les entreprises? Pourquoi si peu de pres prennent leur cong paternit? Pour don-ner lexemple, le Haut-Com-missaire de lONU sest en-gag ne plus participer aux confrences runissant des experts exclusivement masculins, car la voix des femmes est essentielle. Pro-mouvoir les droits de chaque personne, homme ou femme, cest laffaire de tous.

Lgalit hommes femmes en 2095?Au sein du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de lhomme, Saori Terada, conseillre sur les questions de genre, lutte contre les prjugs sexistes et simplique pour rduire lingalit entre hommes et femmes dans les milieux professionnels et ducatifs. Interview.TEXTE THOMAS PFEFFERL

Saori Terada, Adviser on gender integration, Women's Rights and Gender Section, Research and

Right to Development Division, Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights


10 Expression humaine

100% naturel

Rien n'est plus beau qu'un sourire

Exemple par excellence de communication non verbale, le sourire est une preuve de confiance en soi, douverture aux autres, il est lment es-sentiel de beaut. Difficilement

dissimulable, il est lun des points centraux du visage et qui dit beau sourire dit belles dents. Rvolution esthtique oblige, pense-t-on encore quil faut souffrir pour tre belle ?

Des dents plus blanches pour un sourire plus cla-tant sans intervention lourde, grce de fins revtements, cest aujourdhui possible. La nouvelle gnration de fa-cettes pelliculaires prtes poser promet un sourire naturel, clatant et permanent. En harmonie parfaite avec la forme du visage et des lvres, elles saccordent la couleur de la peau et des gencives de chacune et de chacun.

Le concept est rapide, fiable, efficace. Une sance suffit pour des rsultats im-pressionnants. La technique se passe danesthsie et est garantie indolore. De plus, la

mthode de pose de facettes se fait en quelques heures seu-lement. Un sourire radieux et permanent en un tour de mains, comment est-ce pos-sible ?

Aussi fines quune lentille de contact, une facette de 0,2 0,3 millimtres permet de couvrir la zone du sourire de larcade suprieure ou in-frieure de la bouche. Aprs avoir t, en amont, faonnes avec prcision par le prati-cien, les facettes pelliculaires sont directement colles, une une sur lmail de la face vi-sible de chaque dent. Seul un micro-polissage est ncessaire pour faciliter ladhsion. Au-cune gne ou sensation din-confort nest ressentie aprs la pose des facettes. Les dents sont prserves naturellement.

Ds lors, dites adieu aux imperfections esthtiques.

Les petites tches de dcolo-ration ou de produits nocifs lmail comme le tabac et le caf disparaissent. L mail dfectueux et lalignement malencontreux des dents sont arrangs, pour des rsultats garantis long terme.

Une large gamme denviron trois cents facettes conues daprs les formes et teintes des dents naturelles permet toutes les combinaisons pos-sibles, pour un sourire adapt aux exigences de chaque pa-tient. Tailles dans un bloc de cramique considre comme la rfrence des cramiques dentaires, ces facettes inno-vantes sont ultra-rsistantes, de haute qualit et leur teinte permanente est inaltrable.

Enfin un concept de sourire prt porter pour une bouche et des dents clatantes!

Cest peut-tre la plus subtile des expressions humaines, celle que lon recherche immdiatement chez le nouveau-n, qui nous distingue comme tre humain part entire. Mais cest aussi la plus nigma-tique. Il est des sourires que lon noublie jamais. Est-ce la lumire transmise par ce geste quotidien qui le rend si captivant ? La sduction invoque im-perceptiblement tmoigne dune noble volont de partage.TEXTE INS SOLAL

Nouveau Centre Expert en Dentis-terie Esthtique la Clinic Lmanic Aprs 20 ans dexp-rience, la Clinic Lmanic (Lausanne) est devenue un centre de rfrence incontournable en matire de Mdecine Esthtique, Prventive, Rgnrative et Anti-ge disposant dune renomme aussi bien lchelle nationale quinternationale. Grce un savoir-faire dexception ainsi qu lutilisation de dernires technologies de pointe, la Clinic Lmanic offre une diversit de traitements haute qualit allant des plus classiques aux plus novateurs. Elle propose aujourdhui au sein de son nouveau Centre Expert en Dentis-terie Esthtique, plusieurs solutions innovantes permettant de sublimer le sourire et les dents, no-tamment grce au concept SMILE by Clinic Lmanic en exclusivit Suisse, qui permet dobtenir un sourire sur mesure et sans chirurgie grce lutilisa-tion des facettes dentaires les plus fines du monde.

Plus dinformations:Clinic Lmanic, 2 avenue de la gare, 1003 Lausanne021 321 54 44www.cliniclemanic.ch


Sant et bien-tre 11

Lance il y a peu par le groupe Galenica, qui fournit des produits et prestations dans les domaines de la sant, de la beaut et du bien-tre, la plateforme vitaVISTA.ch pro-pose aux internautes daccder une quantit dinformations sur plus de 160'000 produits de sant.

Les utilisateurs peuvent y trouver toutes les infor-mations quils dsirent en recherchant directement les produits par leurs noms mais aussi en slectionnant les dif-frents domaines dapplication qui les intressent. Les inter-nautes trouveront par exemple des informations dans des rubriques consacres lali-mentation pour bb, aux problmes de nez bouch ou encore aux problmes lis la peau grasse.

Sur le site web, on trouve par ailleurs une multitude

dinformations sur la sant r-parties dans plus de 30 thmes. Systme cardiovasculaire, re-mdes naturels, alimentation ou encore cosmtiques consti-tuent autant de sujets abords par la plateforme. La manire dont les informations sont classes et segmentes en dif-frentes thmatiques facilite ainsi la dmarche des inter-nautes dans leurs recherches. Les mdicaments dlivrs sur ordonnance sont par ailleurs indiqus en tant que tel.En collaborant avec les phar-macies et drogueries de Suisse, vitaVISTA.ch offre aussi de nombreuses fonctions utiles. Les adresses et horaires des

enseignes ddies la sant sont consultables, de mme que les services quelles sont susceptibles de proposer, tels que la mesure de la tension artrielle, les tests acido-ba-siques ou encore la manucure. En activant la golocalisation sur son appareil mobile, la plateforme permet en outre dafficher les itinraires directs jusquaux magasins spcialiss et de voir les lignes de trans-ports publics qui desservent les environs. Les numros durgence sont aussi visibles pour les pharmacies qui en disposent.

Si le site se veut une vri-table vitrine de loffre en ma-

tire de produits et de points de vente dans le domaine de la sant, il tablit galement un lien direct avec ces tablis-sements puisquil permet de rserver des produits en ligne pour ensuite aller les rcup-rer dans une enseigne.

A noter galement: vitaVISTA.ch offre la possi-bilit de personnaliser ses re-cherches, par exemple en indi-quant sa pharmacie habituelle pour quelle apparaisse en tte de liste lors de rservations de produits. Et une liste-mmo est galement propose afin de ne rien oublier lors de son prochain passage en pharma-cie ou en droguerie.

Ouvert rcemment, le site vitaVISTA.ch regroupe de nombreuses informa-tions sur les produits de sant. Vritable pharmacie virtuelle, la plateforme permet galement de r-server des articles en ligne et de localiser les diffrents points de vente.TEXTE THOMAS PFEFFERL

Une nouvelle plateforme web ddie la sant

Les Bains du Val d'IlliezSitu Val-dIlliez, 8 km de Champry au coeur du domaine skiable des Portes du Soleil, Thermes Parc, vritable oasis de bien-tre et de dtente, vous accueille toute lanne dans un cadre verdoyant et enchanteur et vous pro-pose de nombreux services et prestations. Profitez des bains dans une eau thermale naturelle et sulfu-reuse, musclez-vous grce nos cours daquabike ou relaxez-vous avec un massage ou un soin du visage. De plus, vous avez la possibilit de vous res-taurer au Snack des Bains ou au restaurant La Bergerie o vous seront servi des plats adapts aux saveurs du Valais. Quatre rsidences composes de plus de 100 apparte-ments allant du studio au 5 pices Deluxe avec vue sur cette belle rgion sont disposition pour complter votre sjour.

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12 Beaut et bien-tre

vitaVISTA.ch vous suit partout.

Accdez 24 heures sur 24 toutes les pharmacies et drogueries suisse et leur 160000 produits de sant et de beaut.

Visitez notre site: www.vitavista.ch

Lhiver est la saison sche pour la peau et les cheveux

Durant les rudes mois dhiver, les gens semmitouflent dans des charpes en laine, des gants et des bonnets pais pour se protger du froid glacial. Mal-gr tout, le vent incisif parvient souvent sinfiltrer sous les vtements. Pour ne pas sentir le froid chez eux, la plupart ont tendance pousser le chauffage. Par ailleurs, beaucoup de personnes prennent une deux douches par jour. Ces habitudes se traduisent par une peau sche et rugueuse.

Lhydratation naturelle de lpi-derme est assure par les glandes

sbaces. Loges dans la couche su-perficielle de la peau, elles produisent des lipides, cest--dire des corps gras. Mais elles ne sont pas actives partout de la mme manire: il y a par exemple moins de glandes sbaces dans les cuisses que dans dautres parties du corps. La peau se dessche donc plus vite cet endroit. Avec lge, laction des glandes sbaces diminue gale-ment. Le processus est donc encore plus rapide pour les personnes ges ainsi que pour les personnes souffrant deczma et de dshydratation.

RHYDRATER

Tous les produits de soin de la peau ne conviennent pas toute lanne. Les gels et les toniques sont contreproductifs durant les mois dhiver froids, dit Da-niela Kleeman, spcialiste en dermato-logie et vnrologie. Ils desscheraient encore davantage la peau. Il faut utiliser des produits de douche liporestituants.

La solution idale pour lhiver est duti-liser des produits trs riches en ures. Elles retiennent mieux lhumidit ajoute Kleeman. En rgle gnral, plus la peau est sche et plus la crme doit tre riche. Le mme principe sapplique aux cheveux. Les spcialistes de la cos-mtique savent quil est important duti-liser un soin de rhydratation du cheveu pour viter quil devienne sec et rche.

AGIR PLUTT QUE RAGIR

Dautres mesures sont galement effi-caces pour prvenir la dshydratation de la peau: il faut viter de surchauffer les pices et veiller utiliser une protec-tion suffisante lors des expositions au soleil. Kleeman ajoute: Il nest pas bon de rester trop longtemps sous la douche ou dans le bain et la temprature de leau ne doit pas tre trop leve. Les personnes souffrant de rhume des foins ou dasthme ont davantage besoin dun soin cutan intensif toute lanne.

A VITER DE PRFRENCE

Il est conseill de prter attention la composition des produits capil-laires. Il est en effet prfrable dvi-ter certains ingrdients, par exemple les silicones ou les parabnes. Les parabnes sont un groupe de subs-tances chimiques utilises en tant que conservateurs dans les cosm-tiques. Mme si aucune tude na clairement dmontr leur toxicit, ils ont t dcels dans des tissus tumoraux de cancer du sein. Le lien direct na toutefois jamais t tabli. Les experts recommandent quand mme de ne pas acheter des pro-duits capillaires bas de gamme mais des produits de haute qualit car ils contiennent souvent une quantit moindre de ces substances probl-matiques. Mais on ne peut cepen-dant pas totalement lexclure. Il est donc bon de jeter un il la compo-sition au dos de lemballage.

La peau craqule, les cheveux deviennent secs et rches. Durant les mois dhiver, le corps ncessite un soin particulirement intensif. Mais lemploi de produits non adapts peut aboutir des rsul-tats inverses ceux escompts.TEXTE LENA ZUMSTEG

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Une beaut rayonnante et prenne prend ses sources de lintrieur. La fermet et llasticit de la peau et du tissu conjonctif sont dtermins par une prsence suffi sante de collagne, dlastine et de protoglycanes. Les cellules responsables de la synthse de collagne et dlastine (les fi bro-blastes) ncessitent des lments constitutifs et nutritifs spcifi ques qui peuvent tre obtenus par le biais de la nutrition. Des tudes scienti-fi ques dmontrent que la prise de peptides de collagne hautement doss combine dautres lments constitutifs diminue la profondeur des rides et amliore laspect du tis-su conjonctif aprs 4 8 semaines de prise. Une nutrition spcifi que peut avoir des effets anti-ge naturels. Le collagne innovant BeautyCollagenComplex BCC peut vous soutenir!

Le tissu conjonctif et les couches profondes de la peau font partie de ce quon appelle la matrice extra cellulaire (ECM), qui entoure chaque cellule. Cest dans la matrice extra cellulaire que les fi bres de structure telles que le collagne et llastine sont cres. Les protoglycanes sont galement prsentes dans la matrice extracellulaire et permettent dhydrater les tissus de lintrieur.

Le collagne et llastine sont des protines constitues dun spectre spcifi que daci-des amins (glycine, L-proline, L-lysine, L-mthi onine, L-thronine). La con som-mation de peptides de collagne de faible masse molculaire et de haute qualit (par exemple : BeautyCollagenComplex BCC) est la manire la plus simple dobtenirces acides amins. Ceux-ci sont despetites particules de collagnes qui sont bien assimilables par le corps.

Le vieillissement de la peau et du tissu con-jonctif sont causs par plusieurs facteurs, particulirement les changements hormo-naux (pr-mnopause et mnopause), le manque de sommeil, fumer, lexposition exa-gre au soleil ou encore le stress oxydatif. Des antioxydants naturels et complexes aident combattre le stress oxydatif en neu-tralisant des radicaux libres (extraits de plantes et de fruits tels que th vert, cynor-rhodon, melon, gentiane, edel weiss et Q10).

Le vieillissement cutan saccompagne souvent de nouvelles proccupations desant telles que lostoporose, la pertede cheveux, la fatigue, lirritabilit, la nerv-osit, la cholestrolmie ou encore desproblmes articulaires. Les complments alimentaires peuvent offrir un soutien appr-ciable particulirement lorsquils contiennent du calcium, les vitamines D et K pour la pr-vention de lostoporose ; du millet, desvitamines et des acides amins pour les cheveux et les ongles ; du magnsium, les vitamines du groupe B et des acides ami-ns lors de fatigue et pour les muscles ; des bta-glucanes hautement doss pour aider maintenir une cholestrolmie normale.

La beaut, mais aussi la sant et le bien-tre peuvent tre soutenus par une nutrition spcifi que.

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14 Femme et famille

Tresse au beurreRecette pour 4 personnesCette recette peut-tre ralise avec ou sans robot ptissier.

Ingrdients : 500 gr de farine pour tresse 2 dl de lait 1 cube de levure frache 100 gr de beurre 2 ufs 5 gr de sel 1 CS de miel

Procd :Dans le bol Kenwood, dposer le sel, la farine, la levure frache, le beurre en morceaux, le lait, un uf, le miel et ptrir le tout laide du crochet sur la vitesse minimum pendant 20 minutes.

Une fois la pte bien ptrie et bien lisse, retirer le crochet, laisser lever la pate 30 - 35 dans le Cooking Chef pendant 30 min. sans oublier de mettre la protection anti-claboussures.

Confectionner la tresse et laisser reposer la pte 5 min. temprature ambiante

Badigeonner la tresse avec luf pour obtenir une belle couleur pendant la cuisson.

Cuire la tresse 185 au four pendant environ 30 35 min.

Laisser refroidir et dguster

CS = cuillre soupeCC = cuillre caf

Exprience culinaireUn robot ptissier qui pr-parerait un plat de A Z en un rien de temps, impos-sible? Pas sr! Dcouvrez le robot cuiseur Kenwood Cooking Chef Premium. Il intgre toutes les fonctions classiques d'un robot. Car bien sr, il ptrit, il fouette, il mlange, il mixe, il rpe et il mince. Mais il possde surtout un dtail qui fait toute la diffrence: il cuit!

Bientt Nol, lais-sez-vous tenter par la bche chocolat, poire et clmen-tines. Surprenez vos invits avec de beaux desserts tout en conomisant du temps. Pour lentre, ralisez des pe-tits choux au foie gras avec une pte monte en un clin

doeil et ravissez ainsi les pa-pilles de chacun.

Aprs les Ftes, le pa-nier vapeur vous offre une cuisine lgre, sans matire grasse, afin de regagner votre ligne. Poissons maigres et lgumes cuits la vapeur conservent ainsi tous leurs bienfaits et dgagent une sa-veur agrable.

Cuisinez avec les enfants, pour leur donner le got de lart culinaire. Le ptrin in-tgr la machine est idal pour russir la pte pain ou pizza, les brioches, les nouilles. Une activit lu-dique et instructive pour pe-tits et grands qui laissera des souvenirs inoubliables dans les esprits de chacun!


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Mixer, mlanger, ptrir, hacher et maintenant cuireLa technologie de pointe de linduction, allie lengrenage plantaire Kenwood, permet simultanment de mlanger et de cuire. Ainsi Cooking Chef nous ouvre un univers de nou-velles possibilits.

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