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Dans ce numéro ECHOS CENTRELEC J O U R N A L D E C E N T R E L E C N U M E R O 1 2 D é c e m b e r 2 0 0 4 ECHOS CENTRELEC ECHOS CENTRELEC 1 Echos CENTRELEC Cycle de vie des investissements : Quelle valeur ajoutée pour les fournisseurs des produits d’automatisation ? Les entreprises industrielles sont confrontées aujourd’hui à une concurrence de plus en plus forte aussi bien au niveau de leur marché local qu’au niveau de l’export. Pour être compétitifs, les entreprises se livrent à un combat quotidien visant l’augmentation de la productivité et la maîtrise des rapports qualité/prix de leurs offres. Souvent cela n’est possible que si l’entreprise engage de nouveaux investissements visant à mettre à niveau les outils et méthodes de production existants. Faut il améliorer les installations existantes ou carrément les remplacer ? Quel est le cycle de vie des investissements et comment le bien gérer ? Voici bien des questions que les entreprises posent et se posent à chaque nouvel investissement. Justifier, appliquer, installer, exploiter, maintenir et améliorer, telles sont les phases du cycle de vie d’un investissement. La rentabilité d’un investissement passe obligatoirement par la maîtrise technico-économique de chacune de ses phases. Aider nos clients à appréhender et maîtriser le cycle de vie de leurs projets d’automatisation, telle est la principale valeur ajoutée que CENTRELEC veut apporter à ses clients. Cela nous pousse nous même à investir pour acquérir et capitaliser de la compétence et de l’expertise pour accompagner nos clients dans leurs investissements : Compétences techniques et commerciales, Système d’information , Système Qualité, Focalisation totale sur nos clients, etc… tels sont nos atouts pour vous accompagner dans les différentes phases de vos projets d’investissements. Dossier Dimensionner Elmostafa EL HAZIMY Directeur Commercial La compatibilité éléctromagnétique (CEM) CEM Supervision industrielle : PC industriels ou ordinateurs de bureau, Que choisir ?

JOURNAL DE CENTRELEC MERO12U ECHOS CENTRELEC N 40 …

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Dans ce numéro

ECHOS CENTRELECJ O U R N A L D E C E N T R E L E C

NU

MERO 12

D

écember

2004ECHO

S CENTRE

LEC

ECHOS CENTRELEC 1

Echos CENTRELECCycle de vie des investissements :Quelle valeur ajoutée pour lesfournisseurs des produitsd’automatisation ?

Les entreprises industrielles sont confrontéesaujourd’hui à une concurrence de plus en plus forteaussi bien au niveau de leur marché local qu’au niveaude l’export.

Pour être compétitifs, les entreprises se livrent à uncombat quotidien visant l’augmentation de laproductivité et la maîtrise des rapports qualité/prixde leurs offres. Souvent cela n’est possible que sil’entreprise engage de nouveaux investissements visantà mettre à niveau les outils et méthodes de productionexistants.

Faut il améliorer les installations existantes oucarrément les remplacer ? Quel est le cycle de vie desinvestissements et comment le bien gérer ? Voicibien des questions que les entreprises posent et seposent à chaque nouvel investissement.

Justifier, appliquer, installer, exploiter, maintenir etaméliorer, telles sont les phases du cycle de vie d’uninvestissement.

La rentabilité d’un investissement passeobligatoirement par la maîtrise technico-économiquede chacune de ses phases.

Aider nos clients à appréhender et maîtriser le cyclede vie de leurs projets d’automatisation, telle est laprincipale valeur ajoutée que CENTRELEC veutapporter à ses clients. Cela nous pousse nous mêmeà investir pour acquérir et capitaliser de la compétenceet de l’expertise pour accompagner nos clients dansleurs investissements : Compétences techniques etcommerciales, Système d’information , Système Qualité,Focalisation totale sur nos clients, etc… tels sont nosatouts pour vous accompagner dans les différentesphases de vos projets d’ investissements.

Do

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Elmostafa EL HAZIMYDirecteur Commercial

La compatibilitééléctromagnétique (CEM)

CEM

Supervision industrielle :PC industriels ou

ordinateurs de bureau,Que choisir ?

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ECHOS CENTRELEC2

Nou

veau

tés

NouveautésONDULEURS :Le Smart-UPS VT(10 à 40 KVA)

Smart-UPS VT est un onduleur triphasé (3:3) dansun format Tour compact basé sur la fiabilitélégendaire de la gamme leader du marché Smart-UPS d'APC.

Smart-UPS VT offre une double conversion en ligne,ainsi que des batteries internes et externes, uneautonomie prolongée et des armoires de batteriedans une conception conviviale et évolutive.L'onduleur comprend un disjoncteur de bypass demaintenance intégré pour le remplacement desmodules tandis que l'alimentation secteur continueà fournir la charge, et une double alimentationsecteur pour une disponibilité accrue.

EconomieCorrection du facteur de puissanceen entréeChargement de la batterie àcompensation thermiqueBypass manuel de maintenanceFacilité de maintenanceBatteries remplaçables parl'utilisateurRemplacement de la batterie sansoutilsAutotest automatique

DisponibilitéDouble entrée secteurDurée de fonctionnement évolutiveBatteries échangeables à chaudBypass interne automatique

Compatible avec le générateur

Simplicité de gestionGérable par réseauÉcran LCD

Alarmes sonoresFréquence programmable

ProtectionRégulation de fréquence et detension

Minimise les coûts d'installation en autorisant l'emploi de générateurs etde câbles de plus petites dimensions.Prolonge l'autonomie des batteries en régulant la tension de la charge enfonction de la température réelle des batteries.Réduit les coûts d’installation, en évitant le by-pass manuel externe.

Remplacement facile des batteries.

Réduit les risques de rupture de charge en permettant de remplacer labatterie vite et facilementAssure une détection précoce des dysfonctionnements par un autotestpériodique de l’onduleur

Permet la connexion à deux sources différentes d’énergiePermet d'augmenter rapidement la durée de fonctionnement si nécessaire.Permet un remplacement des batteries sans interruption de l’alimentationFournit l'alimentation secteur aux charges connectées en cas de surchargeou de panne d'un onduleur.Garantit la fourniture d'un courant stable et constant afin de protéger votreéquipement lors de l'utilisation d'un générateur.

Permet de gérer l'onduleur à distance sur le réseau.Gère localement l'onduleur via un écran à texte permettant l'établissementd'un diagnostic rapide grâce à des conditions et des événementsdéclencheurs d'alarmes mis en mémoireInforme du changement des conditions de l'alimentation secteur et de l'onduleur.Assure la compatibilité avec diverses fréquences en entrée.

Préserve la durée de vie de la batterie et optimise la durée de fonctionnementen corrigeant les mauvaises conditions de fréquence et de tension sansdécharger la batterie.

Le Smart-UPS VT est la solution idéale, aussi bienpour les centres de données que pour les applicationsindustrielles.

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ECHOS CENTRELEC 3

Doss

ierDossierLa compatibilité

éléctromagnétique (CEM)

Introduction :Comme tout système physique en activité, lesappareils électriques et électroniques interagissentavec leur environnement. Ils présentent une certainesensibilité aux phénomènes qui les concernent, etles perturbent à leur tour.

L’utilisation croissante des appareils électriques etélectroniques, et l’usage de plus en plus répandu desystèmes de traitement d’information utilisant dessignaux de faible énergie, et de ce fait sensibles auxperturbations, a rendu nécessaire une approchenouvelle de cette problématique : la compatibilitéélectromagnétique.

L’objectif fondamental ne peut être atteint sans quedes dispositifs techniques ne soient mis en œuvre,tant pour limiter la gêne que provoque l’usage d’unappareil ou d’une installation, que pour protégerchaque appareil des effets néfastes des autres. Cesdispositifs présentent un coût supplémentaire pourles produits, et donc une pénalité sur le plancommercial. Il était donc nécessaire d’instaurer unrégime équitable en adoptant des mesurescontraignantes qui s ’appliquent à tous.

Définitions :« La compatibilité électromagnétique » ou encoreappelée CEM est l'aptitude d'un dispositif, d'unappareil ou d'un système à fonctionner dans sonenvironnement électromagnétique de façonsatisfaisante et sans produire lui-même desperturbations électromagnétiques de nature à créerdes troubles graves dans le fonctionnement desappareils ou des systèmes situés dans sonenvironnement. »

Par « appareils » il faut entendre : « tous lesappareils électriques et électroniques ainsi que leséquipements et systèmes qui contiennent descomposants électriques et/ou électroniques. »Par « perturbation électromagnétique » il fautentendre : tout phénomène électromagnétique,notamment un bruit électromagnétique, un signalnon désiré ou une modification du milieu depropagation lui-même, susceptible de créer des

troubles de fonctionnement d'un dispositif, d'unappareil ou d'un système.

Deux aspects sont inhérents à cette définition :

- l’aptitude d’un appareil à fonctionner dans unenvironnement plus ou moins perturbé (immunité)

- l’aptitude d’un appareil à fonctionner sans perturberl’environnement de manière excessive (émission).

La notion de Compatibilité électromagnétique naîtde la confrontation de ces deux aspects autour d’uneligne de partage.

Les perturbations :

La perturbation d’un équipement met en jeu troiséléments susceptibles d’être caractérisés :

- La source de perturbation, qui se caractérise par sapuissance, sa durée, son spectre de fréquence, leschamps qu’elle génère,

- le vecteur par lequel la perturbation est transmise,on parle de mode de couplage,

- l’équipement victime de la perturbation.

1 - Les sources :

Ce sont :• Les sources naturelles

- phénomènes atmosphériques dont la foudre au senshabituel du terme,- l’effet des rayons ionisants,

• Les sources électrostatiques qui se constituent enparticulier lors de la friction de matériaux enmouvement ou du corps humain sur des matériauxtextiles ;

• Les sources électrochimiques et thermoélectriquesdues en particulier à la mise en présence de métaux

Source Victime(récepteur)

Couplage

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DossierDo

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différents en milieu humide (phénomèned’électrolyse) et sous l’effet de différences detempératures (effet de thermocouple)

• Les sources technologiques : ce sont tous lesappareils dont l’activité électrique est de natureà se propager en partie à l’environnement.

Une autre classification est aussi adoptée pourdistinguer les sources permanentes et transitoires :

Sources permanentes (fréquence fixe)

- Emetteurs radio- Radars- Bruits des moteurs électriques- Communications fixes et mobiles- Ordinateurs, écrans, imprimantes- Variateurs de vitesse AC- Redresseurs- Etc.

Sources transitoires (large bande de fréquence)

- Foudre-Interruption de courant (disjoncteurs)- Défauts dans les lignes d’énergie- Décharge électrostatique- Etc.

2- Les vecteurs de propagation

La transmission d’une perturbation entre la sourceet une « victime » fait intervenir un ou plusieursphénomènes physiques que l’on appelle « couplages ».

Selon les phénomènes en question, sur lesquels nousreviendrons, on parle de couplage par impédancecommune, de couplage capacitif, de couplage

inductif, de couplage électromagnétique. Ceci dit,

la CEM fait une première classification entre lesvecteurs en distinguant :

• Les perturbations conduites : celles qui sepropagent par les câbles de liaison, et en particulierles câbles d’alimentation ;

• Les perturbations rayonnées : celles quin’empruntent pas de voie matérielle, mais agissentpar l’intermédiaire de champs magnétique, électriqueou électromagnétique ;

• Les décharges électrostatiques consécutives àla mise en contact d’un conducteur chargéélectriquement ou à un « amorçage » par ionisationde l’air.

On parle d’interférence lorsque l’énergie transmisedépasse un niveau critique qui entrave le bonfonctionnement du ‘récepteur’.

3 moyens de protection contre les interférences :

1. Supprimer l’émission à la source.2. Rendre le couplage le plus inefficace possible.3. Rendre le récepteur moins susceptible auxémissions.

VictimeSourcemode différentiel(10% des cas)

mode commun(90% des cas)

Id

Id

Ic

Ic Ic

Couplage par conduction

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Dossier

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source

mode commun

victimes : e = = sdφdt

dβdt

Couplage par rayonnement :

Couplage Capacitif :

3- Décibels

Les grandeurs utilisées en CEM sont souventexprimées en quantité logarithmique dB (décibel).

Ceci est dû d’une part au fait que les calculsdeviennent plus simples : les produits se transformenten additions et les quotients en soustractions. D’autrepart, dans les problèmes d’interférences, il est souventnécessaire de comparer des signaux de très grandeet de très faibles amplitudes. Le rapport desamplitudes se transforme alors en leur différence endB.

Le dB représente un rapport logarithmique de deuxvaleurs. Il est donc sans unité.Initialement, le dB a été utilisé pour exprimer lerapport de deux puissances P1 et P2 :

r = 10 log10P1P2

= 10 log10U1 / R

2

U2 / R2 = 20 log10

U1

U2

où U1 et U2 sont les tensions associées aux puissancesP1 et P2, déterminées aux bornes de la mêmerésistance R.

Si le rapport se réfère à une valeur spécifique deréférence, par exemple U2 = 1 µV, on dit alors quela tension est exprimée en dBµV :

U1 (dBµ V) = 20log10 U1 (µV)

Exemple numérique : U1 = 120 dBµV càdU1 = 106 µV= 1 V.

D’une manière générale, pour une grandeur X,exprimée en unité y, on a

X (dB y) = 20log10 X (y)

Difficultés de l’approche CEM :Il est possible d'établir des normes concernant leslimites admissibles de perturbation, déterminées àpartir des limites de susceptibilité des équipements.

Il est impossible d'établir des "règles de cuisine"proposant des solutions "sûres et faciles" auxproblèmes de compatibilité CEM.

Les problèmes de CEM nécessitent un raisonnementet une approche de cas en cas, car :

1) Par exemple, en ce qui concerne les perturbationsconduites par le réseau électrique, il est difficile

mode différentiel

autre câble ou masse métallique

capacité de couplage

Cp sil

dl

d

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voire impossible de localiser un perturbateur dansle réseau.

2) les sources de perturbation sont souventimpulsionnelles (large bande de fréquences).

3) dans le cas de phénomènes hautes fréquences ouimpulsionnels rapides, les notions de "terreéquipotentielle", "plan de masse" perdent leursignification (il est nécessaire de tenir compte de lapropagation des phénomènes).

Exemple : un phénomène ayant un front de montéede 5 ns (décharge électrostatique) se propageant àla vitesse de la lumière (c = 3*108 m/s) "occupe"dans l'espace une distance de 1.5 m. Tout observateursitué à une distance plus grande n'est pas au courantqu'un tel front se propage sur le "plan de masse".Un point du plan de masse situé à 1.5 m de ladécharge aura un potentiel différent et la notion de"plan équipotentiel" n'existe plus.

4) les phénomènes sont souvent non-linéaires à causedes e f fets de saturation de matériauxferromagnétiques ou diélectriques.

Solutions et recommandations CEM :1- Equipotentialité des masses :

Schéma de liaison à la terre :

Ligne équipotentielle : mise au même potentiel demasses métalliques différentes.

Les différents schémas de liaison à la terre ne sontpas équivalents du point de vue de la CEM :

- TNC : schéma à proscrire, du fait de l'importancedes courants circulant dans le câble PEN, uniqueconducteur d'équipotentialité.

- TNS : risque de problème CEM si un courant dedéfaut important vient s’ajouter au circuit de terredu schéma TN (conducteur PE). Un circuit séparéde masses pour la CEM (conducteursd'équipotentialité) est préscrit.

- IT : bon comportement CEM, du fait des faiblescourants circulant en cas de 1er défaut.

- TT : bon comportement CEM, si maillage serrédes conducteurs d'équipotentialité et des conducteursde protection.

Maillage :

On montre qu'à l'intérieur d'un milieu conducteur,le champ électrique est nul. Plus généralement, onappelle cage de Faraday une enceinte conductrice

close, à l'intérieur de laquelle le champ électriqueest nul.

On se rapproche de ce cas idéal en maillant lesmasses métalliques en volume par un câblage le plusserré possible. A défaut, on forme un plan de masseà l'aide d'une plaque ou d'une grille métallique :plus les conducteurs se situent près de ce plan,meilleure est la protection. On multiplie lesconnexions entre conducteurs, et on relie ce circuità à une prise de terre unique :

Un câblage en étoile est à proscrire : le maillage pardes liaisons équipotentielles a pour effet de diminuerl'impédance équivalente entre les masses.

2- Câblage

Choix du type de câble :

câbles blindés(tresse, feuillard)

Liaison derelayage E/S TOR

paire torsadéeou unifilairepaire torsadée blindée

capteur liaisonanalogique

interface liaisonnumérique

système liaison depuissance

Séparation des câbles :

séparation métallique

mise à la terredu chemin de câble

d > 1 m

d > qq 10 cm

En dehors des chemins de câble, respecter un distanceminimale entre câbles de nature différente

liaison bas niveau(analogique, numérique)

E/S TORrelayage

câble detransport d’énergie

couvercle métalliquesi environnement perturbé

chemin de câble

h

Ceci est une intersectionsans connexion (champsmagnétiques , donssans interaction

MAIS ceci est uneinductance de couplage !

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.

Conseils : pour éviter la présence d'inductancesparasites dans les circuits, on applique un certainnombre de règles de câblage : liaisons les plus courtespossibles, câblage à angles droit, boucles de surfacesminimales, séparation entre les circuits de puissanceet les circuits sensibles.

D'une manière générale, on cherche à diminuer lasurface des spires que forme le câblage, car celles-ci sont le siège de phénomènes électromagnétiquesproportionnels à leur surface.(fem induite e = – dF/dt,avec flux F = BS proportionnel à la surface).

Câble pour réseau informatique ou réseau locaux en"paire torsadée" : les spires étant torsadéesalternativement dans un sens et dans l'autre, les feminduites dans chaque spire s 'annulent.

3- Connectique :

Règle de raccordement des écrans ou tressesdes câbles blindés :

4- Blindage :

Protection contre les perturbations rayonnées

On évalue l'efficacité d'un blindage en mesurantl'atténuation (en dB) du champ électromagnétiquequi règne dans l'équipement protégé par rapportau même équipement dépourvu de blindage.

Pour une fente de longueur l, l'efficacité du blindageest égale à :

EdB = 20log = 20log (l en m, f en Hz)2.lλ

l . f1,5.108

f (MHz) E(dB)

110

1001000

-71-51-31-11

I = 40 mm

L’ouverture pratiquée pour l'insertion d'unconnecteur Sub-D 9 broches : l = 40 mm. Onconstate qu'en très haute fréquence, l'efficacité dublindage est faible.Dans ce cas, il faut associer au connecteur un filtreéliminant les hautes fréquences indésirables.Conseils : limiter la dimension des ouvertures à λ/2;soigner les entrées/sorties de câbles ; pour laventilation de l'équipement : préférer des grillesconstituées de trous circulaires (et non de fentes)de quelques mm de diamètre au plus ; installer desécrans métalliques reliés au reste du blindage sur lesafficheurs, commandes manuelles, etc.

Basse fréquence

En BF, les champs électriques ne posent pasbeaucoup de problèmes : ils sont facilementmaîtrisables. Il n'en est pas de même des champsmagnétiques : en milieu perturbé (par ex. : présenced'un gros transformateur), il se manifestentnotamment sur les écrans de visualisation par desdéformations ou des ondulations de l'image.

Remarque : l'utilisation de fibres optiques

insensibles par nature aux perturbationsélectromagnétiques rayonnées, est une autre solutionenvisageable, excellente, pour l'acheminement designaux analogiques ou numériques.

BB

fem induite

mauvais bon

Bexcellent :

paire torsadée(N.B : les torsades sont grossies pour les besoins du schéma)

En BF (ex. : Hi-Fi)Raccordement à une seule extrémité du câble

(évite la “ronflette” à 50 ou 100 Hz)

En HF (CEM)Raccordement aux deux extrémités

(évite les perturbations HF)

N.B : conducteurs inutilisés : reliés à la masse

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DossierDo

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5- Filtrage : protection contre les perturbationsconduites HF

Le but du filtrage est d'éliminer les perturbationsconduites (le plus souvent en mode commun)par les lignes de transport d'énergie, les lignes detélécommunication, les fils de liaisons analogiquesou numériques etc.

Ferrites

Céramiques magnétiques permettant de réalisersimplement des filtres en émission ou en immunité,pour éliminer des parasites conduits en modecommun. Grâce à sa perméabilité magnétiqueimportante aux hautes fréquences, un tore de ferriteplacé autour d'un conducteur se comporte commeun circuit inductif et résistif, absorbant lesperturbations HF par effet Joule.

Conseil : placer le tore au plus près de l'équipementconcerné.

Transformateur longitudinal

Filtrage des perturbatio ns de mode commun

Transformateur à écran

Un transfo ordinaire transmetles perturbations HF par

couplage capacitif

Le couplage capacitif s’exercevia l’écran : les perturbations HF

sont conduites vers la masse

6- Suppression des surtensions transitoiresconduites

Filtre RC sur équipement AC

équipementR

C

Diode écrêteuse

Varistance (VDR, MOV, ZnO)

équipement

équipementconnexions trèscourtes, surfacede boucle minimale

schéma IT :1

23

PE

branchement, schéma TT et TN-S :

PE

12

3N

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Prod

uitsProduitsVARIATEUR

POWER FLEX 700H

VARIATEUR

POWER FLEX 700VC

Les nouveaux variateurs PowerFlex700H sontaujourd’hui disponibles pour des puissancesallant de 132 à 900kw sous 380V à 690 VAC.

Les PowerFlex 700H viennent compléter l’offrePowerFlex qui va de 0,2 à 6700 kw, basse etmoyenne tension.

Les PowerFlex 700H partagent les mêmesaccessoires que tous les variateurs de la famille :console, carte de communication… ; ils peuventêtre configurés en sensorless vector (contrôlevectoriel), ou en scalaire (V / Hz).

Le nouveau variateur Power 700VC possèdedes fonctionnalités de régulation de vitesse etde couple, et une entrée codeur pour despuissances allant de 0,75 à 132 kW, sous destensions allant de 230 à 690VAC.

Le PowerFlex 700VC possède des entrées etsorties analogiques supplémentaires, unalgorithme PI intégré pour la régulation devitesse ou de couple, la mise en service est rapidegrâce à un menu de démarrage rapide.

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Prod

uits

SMART-UPS RT (1 à 10 KVA)

ProduitsONDULEUR

ANALYSEUR DE RESEAU

APC Smart-UPS RT est une gammed'onduleurs performants à haute densité, destinéeaux réseaux de données, aux laboratoires médicauxet aux applications industrielles. Offrant unetopologie en ligne à double conversion, le Smart-UPS RT protège les données en leur assurant unealimentation fiable. Un nombre illimité de packsde batteries assortis peuvent lui être adjoints pourrépondre aux demandes de durée defonctionnement soutenues des systèmesnévralgiques. Les modèles spécial rack constituentun choix idéal pour les environnements restreints.Avec une capacité atteignant 10 kVA sous unformat pratique, montable en rack 6U, ilspeuventassurer le fonctionnement de serveurs entoute sécurité. Les utilisateurs à la recherche de

capacités extrêmement fiables en matière derégulation de tension et de fréquence, de by-passinterne et de correction de facteur de puissanced'entrée les trouveront dans le Smart-UPS RT.

Le Powermonitor 3000 est un analyseur deréseau compact capable de fournir la consommationénergétique, la qualité de l’énergie en temps réel,l’analyse des harmoniques, l’oscillographie et unemultitude d’autres mesures, localement ou via unréseau de communication.

Le Powermonitor 3000 fournit toutes les mesuresde base : tensions, courants, fréquence, puissanceet énergie, et des valeurs calculées tel que laconsommation énergétique, le facteur de puissanceou encore la distorsion harmonique. Le relais peutégalement enregistrer les minima et maxima desdifférentes valeurs et enregistrer les événementssurvenus sur le réseau.

Les versions M6 et M8 du Powermonitor 3000peuvent capter une onde, faire une analyse spectrale

et mesurer des harmoniques jusqu’aux rangs 41et 63, respectivement pour le modèles M6 et leM8.

LE POWERMONITOR 3000 :LA MAITRISE DE L’ENERGIEELECTRIQUE

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Questions fréquentes

ECHOS CENTRELEC 11

Ques

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s fr

éque

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Q1 : Peut-on remplacer le coupleurhydraulique par un entraînementélectronique ?Le coupleur hydraulique est utilisé pour procurer àla charge un démarrage souple et aussi pour amplifierle couple délivré par le moteur en cas d’entraînementd’une grande inertie.

Le développement de l’électronique de puissance aorienté la réflexion des industriels vers des solutionsélectroniques dans ce genre d’application, pourpallier aux frais coûteux d’entretien de ces coupleursmais aussi pour la souplesse d’utilisation etl’économie d’énergie offerte par les variateurs devitesse.

Les industriels se posent la question : faut-il utiliserun démarreur électronique ou un variateur de vitesse?

Le démarreur électronique de part sa conceptionoffre un démarrage souple mais réduit le couplemoteur. Pour les applications à forte inertie ceci setraduit par des temps de démarrage très grands.

Le variateur de vitesse est la meilleure solution pource genre d’applications car il permet d’obtenir lecouple maximal du moteur sur toute la plage devitesse, en limitant le courant absorbé du moteurà des valeurs avoisinant son courant nominal. Levariateur de vitesse permet aussi de faire desrégulations de vitesse ou de débit en réalisant deséconomies d’énergie importantes dans les applicationsventilateurs de tirage par exemple.

Q2 : comment peut-on réaliser unasservissement entre 2 variateurs devitesse pilotant deux moteurs entraînantla même charge ?Les variateurs de vitesse utilisés sur des moteursentraînant la même charge, doivent non seulementtravailler en synchronisation de vitesse, mais aussiassurer un partage de la charge sur les différentsmoteurs.

Ce type d’asservissement nécessite à la fois unerégulation de vitesse et une régulation de coupledes différents moteurs. La consigne de vitesse estdonnée par l’utilisateur à l’ensemble des variateurs,la consigne de couple est donnée par le variateurmaître aux autres variateurs configurés en régulationde couple.

Cette fonctionnalité implique l’existence du mode« régulation de couple » sur les variateurs utilisés.

Les variateurs de vitesse PowerFlex sont équipés demode de régulation de couple pour répondre auxexigences de ce type d’applications.

Cette solution est utilisée pour des moteursentraînant une même charge comme les applicationsde centrifugeuses, de translations des machines ouconvoyeurs avec des moteurs de tête et de queue.

Q3 : que veut dire la fonctionnalité ADRdisponible sur Devicenet ?Cette fonctionnalité permet un remplacement etune configuration automatique des équipementsintelligents communicants sur Devicenet.

Le remplacement des variateurs de vitesse, desdémarreurs électroniques ou encore des relaisnumériques communicants sur Devicenet devientune tâche très facile : il suffit de connecter le nouveléquipement sur l e r é seau Devicenet ,automatiquement celui-ci est détecté et sonparamétrage téléchargé.

Avec cette fonctionnalité, le paramétrage deséquipements intelligents n’est plus une affaire despécialiste, mais une tâche très simple que tout lepersonnel de maintenance peut effectuer. Cecipermettra un gain de temps important lors desarrêts des machines.

Q4 : quelle est la différence entre les sondesPTC et PT100 ?Les sondes de température PTC et PT100 sontutilisées pour protéger les moteurs contre leséchauffements excessifs dus à une surchargethermique ou autres...

Les sondes de température PTC sont desthermistances à seuil de température. Elles ont,donc, un fonctionnement tout ou rien : quand latempérature du moteur dépasse le seuil de la sondePTC, la résistance de celle-ci passe d’une résistancefaible à une résistance infinie. Un relais mesure cetterésistance et active un relais de sortie. Elles sontgénéralement installées au nombre de 3 dans lesenroulements du stator, et sont raccordées en série.

Les sondes de température PT100 mesurent d’unefaçon continue la température du moteur. Des relaisdédiés permettent de récupérer cette mesure,l’afficher et envoyer des seuils d’alarme et dedéclenchement. Elles sont généralement installéesdans les paliers et les stators.

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ensi

onne

r

DimensionnerSupervision industrielle :PC industriels ou ordinateurs de bureau,Que choisir ?

Lors de la mise en place d’une application desupervision, le choix d’un ordinateur adapté àl’environnement de l’usine est primordial. Unordinateur de bureau résistera-t-il à la températureet à l’humidité élevées de l’usine ? Aux vibrationset aux rayonnements électriques des machinesavoisinantes ou aux chocs produits par des heurtsou des coups ? Aux projections ? Que choisir ?

Le choix d’un ordinateur est, pour les utilisateursinformatiques, synonyme de performances dusystème: vitesse processeur, taille disque dur, tailleRAM, taille de l’écran et sa technologie…etc.

Pour les utilisateurs industriels, les critères del’environnement ont une importance capitale, laconduite de leurs process en dépend.

L’environnement de bureau est en principe propreet conditionné, alors qu’un environnement industrielest soumis à des conditions extrêmes : température,humidité, vibrations, chocs, poussières, matièrescorrosives, manipulation rude des interfaces (mainsou gants sales sur le clavier), projections écoulementdes fluides, impératifs de montage et fonctionnement24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Alors qu’un ordinateur de bureau peut fonctionnerparfaitement dans l’environnement propre d’unbureau, dans un environnement industriel, les rudesconditions risquent de générer des coûtssupplémentaires, des pertes de production et laréduction de sa durée de vie.

Points forts de la conception industrielle :

Les PC industriels Allen-Bradley sont conçus pourrésister aux conditions les plus rudes.

Composants :

Les PC industriels Allen-Bradley utilisent lesmeilleures composants de leurs catégories, pour unefiabilité maximale.

Conception :

Les PC, les écrans et les claviers sont des systèmesà composants électroniques qui fonctionnent

ensemble pour produire les résultats requis. Mêmeles systèmes constitués de composants de la plushaute qualité ne résisteront pas aux environnementsrigoureux, à moins d’être conçus dans ce sens. LesPC industriels d’Allen-Bradley sont conçus pouraffronter les conditions industrielles particulières :

• Résistance aux chocs ;• Vibrations mécaniques ;• Haute résistance des organes essentiels à la corrosion ;• Intégration des composants pour réduire leur exposition à l’environnement ;• Conception sous forme de coffret industriel.

Tests et homologations

Les PC, les écrans et les périphériques de bureausont testés et homologués pour un environnementde bureau. Les PC industriels Allen-Bradley sonttestés et homologués pour les environnementsindustriels : composants reconnus UL 1950, FCCclasse A, Marquage CE-systèmes d’information,armoires étanches NEMA (NEMA 12, 4X et 4) etIP65.

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Coût total d’investissement réduit :

L’utilisation d’un PC bureautique pour uneapplication industrielle, engendrera trèsprobablement à terme, des coûts supplémentairesau coût d’investissement initial.

Qualité bureautique :

Les coûts supplémentaires peuvent inclure :

• Les prix d’achat des composants de rechange quandles ordinateurs de bureau sont en panne ;

• Les ressources de maintenance supplémentairespour accéder aux lecteurs d’un ordinateur particulier;

• Les coûts des armoires, des coffrets etrefroidissement ;

• La fixation des dispositifs de l’ordinateur et lemontage du système sur amortisseurs ;

• La prise en charge de plusieurs drivers due à unchoix de composants disparates ;

• Un montage complexe, en raison des dimensionsnon adaptées de l’ordinateur de bureau avec sonsystème de mise en armoires.

Qualité industrielle :

Un PC industriel robuste représente un coût totald’investissement bien moins élevé pour lesutilisateurs en milieu industriel car il fonctionnemieux et plus longtemps, et nécessite moins demaintenance. En outre, le temps de formation dupersonnel est moins important.

Les PC industriels Allen-Bradley sont conçus à partirde composants testés dans des environnementsindustriels pour en constituer une plate-formehautement intégrée.

L’offre PC industriels VersaView d’Allen-Bradleys’adapte aux besoins des utilisateurs en offrant desPC rackables, des Panels PC et des écrans industriels,en plus d’une panoplie de périphériques detechnologie industrielle : souris, claviers...

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Solu

tion

s SolutionsLe Système CompactLogix

Le CompactLogix est un nouveau système de lafamille des automates Logix 5000 adapté aux petiteset moyennes applications qui requièrent des solutionsde contrôle commande avancées.

Avec une mémoire utilisateur allant jusqu’à 1,5 Mo,des voies série, EthernetIP ou ControlNet intégrées,des communications DeviceNet modulaires et lapossibilité de connecter jusqu’à 30 modules d’E/Slocales, le CompactLogix hérite de toutes les fonctionsévoluées de la toute dernière génération d’automatesLogix , notamment :

• Un processeur Logix hautes performances aveccoprocesseur à virgule flottante intégré pour untraitement de la commande et de l’informationd’une exceptionnelle rapidité ;

• Un jeu d’instructions multidiscipline complet

pour la commande séquentielle, de procédé, demouvement et de variation de vitesse très rapide ;

• Un système d’exploitation multitâche en tempsréel ;

• L’environnement de développement RSLogix5000qui intègre les toutes dernières versions des langagesde programmation en diagramme à relais, graphede fonctionnement séquentiel, texte structuré etdiagramme de blocs fonctionnels, conformes à lanorme CEI-61131-3.

E/S Compact I/OLe CompactLogix est équipé d’E/S Compact I/O,une plate-forme d’E/S extensible qui permet auxutilisateurs de bénéficier de la modularité des grandes

plates-formes de commande dans une plate-formeéconomique. La conception modulaire et sans châssis,l’automate CompactLogix permet son montage surrail DIN ou sur panneau, avec une économie d’espacede 20 à 40 % par rapport aux types de montageclassiques.

Scrutateur DeviceNetLes modules scrutateurs DeviceNet 1769-SDNoffrent des possibilités de connexion à un grandnombre de produits compatibles DeviceNet enprovenance de divers fournisseurs. Chaque module1769-SDN prend en charge jusqu’à 64 stationsDeviceNet avec des fonctions évoluées telles que leremplacement automatique des équipements (ADRpour Automat ic Device Replacement )

Port sérieLes automates CompactLogix comportent égalementun port série RS-232 (deux sur le modèle 31) quipermet la connexion d’équipements tels que desterminaux de programmation, des modems, deslecteurs de codes-barres, des balances ou desimprimantes, à l’aide des protocoles DH-485, DF1ou ASCII.

Port Ethernet et ControlNet :La voie EtherNet/IP à 10/100 Mbits/s intégrée dansles automates L32E et L35E accepte jusqu’à 32connexions EtherNet/IP simultanées à grande vitessepour les E/S distribuées.

Pour les applications requérant un haut niveau dedéterminisme, le processeur L35C présente un portControlNet redondant à 5 Mbits/s acceptant lescommunications prioritaires avec d’autres automatesLogix, les E/S distribuées et les autres équipementsindustriels, ainsi que la messagerie d’égal à égalpour l’édition de programme, le transfert et lechargement de programmes et l’échange de donnéesavec d’autres automates et ordinateurs.

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Notre équipe

Technologie

Technologie

Notre support logistique

Le SLC500 : 1,6 millions de processeurs installéset une technologie en constante évolution

Abdessamad BARKAOUIRéception / préparation

Youssef RAJIBRéception / préparation

Najlae BENNANIAssistante Lojistique & achats

Taha ACHABAKLivraison

M’hamed BARKAOUILivraison

Abdessamad DAMIRAgent Transit

Abdelilah TIKAChef Service Logistique & Achats

Rachid MOULDIAcceuil / Facturation

L’ automate programmable SLC500 d’AllenBradley est sans doute, un des automates les plusinstallés à travers le monde avec plus de 1,6 millionsde processeurs sur des applications aussi variées quele séquentiel, le process ou la commande d’axe.

STATISTIQUES SLC 500 :

• Un MTBF de plus de 1 000 000 heures ;• Plus de 1,6 millions de processeurs et 12,5 millionsd’E/S installés dans le monde ;• Plus de 7000 processeurs vendus chaque mois àtravers le monde ;• Plus 80 références de modules d’E/S disponiblescompatibles avec les réseaux DeviceNet, EtherNet,ControlNet et autres réseaux…

DERNIERES EVOLUTIONS :

• Fonctionnalités Webserver• Coupleur USB• Fonctionnalités de passerelle Pass-through sur leSLC 5/03• Nouveau protocole DF1 Modem-radio sur portsérie pour les applications SCADA.

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Journal d’information CENTRELEC38, Bd Abdellah - Ben Yacine - Casablanca

Tél. : 022 44 47 00 (LG) - Fax : 022 44 47 07E-mail : [email protected] - Site web: www.centrelec.com

Publication trimestrielle réalisée par le service Marketing et Communication de CENTRELEC

Les automates SLC 500 :1,6 millions de processeurs

et 12,5 millions d’entrées-sortiesinstallés à travers le monde