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1 0 8 e A n n ée. — N* 5 Lg jrUMaiRO VINO-Ü C E m S iE S Dimanche 1er Février 1931 LE COORRIER DE L'OISE «JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS ' : . - _____ ___________________________________________________________ - = L ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- , ' A B O N N I ‘ / l "orPur«aux P* Poata Dbmbai . *-• ■««*»'?- ■*' '•'* 1T Six m o is ........ . *•«.» S 7 Us ,-ITïc marnants parten ÎÎM E N T B On s'üboime aux Bureaux du Journal et dans tous le» i.uri au« - 1 .'nhuiiue/un'it ç>l - a ’a-vâfin;o.et .«rooUtmc etc .«roi» u^aviÿ contraire» du i- da choqua moia b u reau x réd a ctio n s : « . ... m*- llrw tcor Commercial a d m in ist r a t io n Û -1V il SESTSTI-TS r 4 S. VKIMOR JE-TX: 3D-EIB H V SM T ÏT IO irH Annonça Mgcle#........... .. 1 tr. SO le ligne. 1 Rédcmu Aimoaci volontaire* .... 1 tr. 26 ta Ugn«. 1 *' ■* .. .................................. **•— Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas renoms Ii’Rgrieulture à l’honneur / L’Agriculture est à l’hon neur parce que c’est sur la question du blé qu’est tombé le précédent affreux ministère Steeg... et elle est à l’honneur encore parce que dans le présent ministère Laval, c’est André Tardieu qui en est ministre aidé en cela par un sous- secrétaire d’Etat qui est un homme nouveau, et qui paraît pouvoir jouir d’un certain prestige. Ancien officier, docteur en droit, diplômé de l’Univer sité d’Oxford, fds et petit-fils de par lementaires, M. Achille Fould est député des Hautes-Pyrénées depuis 1919. Ancien combattant, très « Croix de guerre », père de famille, terrien convaincu, il semble avoir tout ce qu’il faut pour donner confiance et pour devenir un excellent collaborateur d’André Tardieu en un poste des plus importants. Certains journaux qui rendaient compte de la combinaison ministé rielle s’étonnaient un peu de voir Tar dieu à l’Agriculture en soulignant néanmoins l’importance significative de sa présence à la tête de ce dépar tement. « Si M. André Tardieu s’est con tenté modestement de l’Agriculture, écrit de Kérillis, ce ne sont pas les agriculteurs qui se plaindront d’avoir à leur tête, en ce moment, un chef de sa qualité. A son poste, dont il ne faut pas oublier qu’il est un levier de commande électoral..., etc... ». A Sans doute l’Agriculture est bien un « levier de commande » électoral, mais est-il besoin de faire observer qu’elle n’est pas que cela ! Pour au tant que la présente combinaison mi nistérielle est susceptible de dürer, nous nous réjouissons grandement de voir M. André Tardieu en possession d’un « levier de commande » aussi puissant. Mais, plus et mieux qu’un « levier de commande » électoral, l’Agriculture est un « levier de com mande » vital, elle est l’élément es sentiel de la stabilité et de la prospé rité nationales et c’est pourquoi sur tout nous nous réjouissons de voir à sa tête un esprit aussi neuf et aussi actif que M. André Tardieu. Le ministère de l’Agriculture fut créé én. 1881, mais c’est surtout à partir de 1895 que l’Agriculture fran çaise commença à se relever coura geusement sous l’impulsion de Mé- îine. Dans le fameux ministère d « concentration républicaine » qu’il présida en 1895, Méline ne jugea pas indigne de réclamer pour lui le porte feuille de l’Agriculture. Nous enten dons bien l’objection que certains ne manqueront pas de faire : « J’Agri culture a besoin de compétences, elle n’a que faire de personnalités bril lantes mais dépourvues de capacités techniques, elle a besoin de bras et non d’idées ». Assurément. Mais l’Agriculture ne manque pas- de tech niciens et d’hommes d’expérience très pertinemment renseignés sur la ques tion des engrais et du rendement à l’hectare, ainsi que sur tout autre question similaire. Elle nous paraît surtout avoir besoin d’une législation adéquate aux circonstances actuelles, d’une législation qui dans l’économie nationale ne la sacrifie pas stupide ment au développement inconsidéré de l’Industrie. Elle a besoin d’être protégée et défendue non seulement contre tous les « dumping » et contre toutes les entreprises de démoralisa tion venant de l’Etranger, mais encore et très particulièrement chez nous, contre toute une partie de l’opinion publique. L’homme des ehamps n’est pas bien vu dans l’opinion de ces énormes ag glomérations urbaines qu’on ne peut vraiment plus appeler des villes, mas ses amorphes et inquiétantes: Dans la mentalité de plus en plus socialisante d’un très grand nombre de contem porains, l’Agriculteujr fait figure d’aristocrate, de féodal, etc... C’est un « gros » qui loin de nourrir les petits ne songe qu’à les affamer et contre lejjuel il faut se défendre. Et l’on gé néralise ; naturellement ! On oublie, que la France est un pays de petite et moyenne propriété et qüe poür quel ques gros il y a une énorme quantité de petits qui étant pareillement cul tivateurs sont absolument logés à la même enseigne. On oublie que l’Agri culture périclite faute de prestige. On n’apprécie, on ne prône, on ne vante que l’Industrie, que l’Usine, que l’ou vrier spécialisé, que le travailleur or ganisé. Le camarade syndiqué, parlez- moi de cela ! De là, dépeuplement des campagnes, surpeuplement des villes, démoralisation générale et dépeuple ment tout court, avec, par dessus le marché, le chômage toujours mena çant. Notre population agricole qui était jusqu’à présent de 54 '% est tombée 44 % et elle diminue tous les jours. Si le chômage s’étend, il at teindra surtout ,4e travailleur fran çais qui s’est réfugié dans les villes, alors qu’aux champs, où il n’y a pas de chômage, le travailleur étranger polonais et tchéquo-slovaque conti nuera à gagner sa vie ! Il est grand temps de s’attacher à quelques-unes des articulations du rapport que M. Louis de Chappedelai- ne a présenté naguère au nom du ca binet Tardieu sur l’outillage national. Celles de ces articulations qui con cernent l’outillage agricole sont es sentielles. Il y a lieu maintenant de passer à la réalisation. « L’Agriculture, — souligne le rap port Chappedelainie, — demeure la source principale de la richesse na tionale, et nos populations (rurales constituent la réserve où vient se re nouveler notre race ». Le plan d’outillage agricole com porte toute une série d’améliorations urgentes ; il faut répandre l’hygiène da!n,s les campagnes, améliorer l’habitation rurale,— entretenir et dé velopper le réseau vicinal, — poursui vre l’électrification des campagnes, — développer le crédit et les associations agricoles, — améliorer le régime des eaux, — pourvoir au reboisement, etc. ; — le tout, dans un large esprit de décentralisation, en laissant aux départements et aux communes une grande initiative. « En modernisant les moyens de production dans nos campagnes, •— conclut le Rapporteur, — en appor tant à leurs habitants le bien-être, la salubrité, la santé, nous les encou ragerons à rester attachés au sol et nous contribuerons ainsi le plus effi cacement à maintenir les fortes ver tus de la race ». L’Election sénatoriale du 22 mars 1931 Les Délégués sénatoriaux C’est le dimanche 15 février que tous les Conseils municipaux de l’Oise se réuniront pour nommer leurs délégués et suppléants en vue de l’élection d’un Sénateur, en remplacement du regretté M. Noël, décédé. Ces nominations se feront, au scru tin secret, à la majorité absolue des suffrages sur les bases ci-après : Les Conseils composés de 10 mem bres éliront un délégué et un sup pléant. Ceux de 12 membres, deux délégués et un suppléant. Ceux de 16 membres, trois délégués et un suppléant. Ceux de 21 membres, six délégués et deux suppléants. Ceux de 23 membres, neuf délégués et deux suppléants. Et ceux de 27 membres éliront douze- délégués et trois suppléants. Au troisième tour, en cas d’égalité de suffrages, le plus âgé sera élu. Avec les délégués de droit, parle mentaires,.^conseillers généraux et d’ar rondissement, le nombre des délégués sénatoriaux de l’Oise sera d’environ 1.110, le 22 mars prochain, comme lors des précédents, scrutins. Une protestation des Associations de tourisme L’Automobile-Club de France, la Fédération Nationale des Clubs Auto mobiles de France, le Touring Club de France, l’Union Motocyclistes de Fran ce et la Fédération des Syndicats d’ini tiative viennent de protester auprès de la Commission des Finances de la Chambre contre l’institution d ’u n e nouvelle taxe de 0 fr. 10 par litre d’es sence qui viendra encore grever le budget des automobilistes et des mo tocyclistes. L’essence paie déjà en France des impôts se chiffrant environ à 50 % de son prix de vente et l’Automobile rap porte à l’Etat des sommes dépassant largement 3 milliards. Il paraîtrait plus sage de laisser ces recettes s’accroître par l’augmentation normale et continue de l’usage et du nombre de véhicules plutôt que de contrarier ce développe ment par le vote d’une taxe nouvelle sur l’essence, la consommation de car burant étant un des chapitres les plus lourds du budget des Automobilistes. L’Automobile-Club de l’Ile-de-Fran ce vient d’écrire à tous les parlementai res da sa zone d’influence pour join dre ses protestations à celle de's autres Associations de Tourisme. Concours général agricole de Paris en 1931 A travers Sentis AVIS Le concours général agricole de Pa ris se tiendra en 1931, au Parc des Expositions de la Ville de Paris (Porte de Versailles), du mardi 15 au diman che 22 mars 1931. A ce concours seront admis les ani maux reproducteurs des espèces bo vine, ovine, porcine et caprine, les ani maux gras des espèces bovine, ovine et porcine, les chiens de berger, les produits agricoles et horticoles, les' vins, cidres, poirés et eaux-de-vie. Des épreuves pratiques de contrôle laitier et beurrier y seront organisées. Les P. T. T. au service du public Pharmacie ouverte i ‘Dimanche : i" Février. — Pharmacie Lesage, place Henri-IV. Les réunions du samedi 31 et dimanche 1er février iSAMEDI : Salle des Fêtes, rue du Cimetière St- Rieul, à 8 heures 45, soirée théâtrale au profit du timbre antituberculeux. Théâtre Municipal Cinéma, soirée à 8 heures 45. DIMANCHE : Salle du Jardin d’Horliculture, réu nion mensuelle à 14 heures. Théâtre Municipal Cinéma, matinée et soirée. Déclarations relatives à l’impôt sur les traitements, salaires, pensions et rentes viagères Cela ne suffirait pas du reste si l’on ne parvenait en même temps à con vaincre le public de l’éminente dignité du travailleur agricole. Il ne s’agit pas de rabaisser l’ouvrier d’usine, le mécanicien lui aussi est indispensable au fonctionnement du machinisme moderne, ne serait-ce qu’à celui du machinisme agricole qui se développe de jour en jour. Mais enfin, on se nourrit de pain et non de limaille de fer, c’est pourquoi la charrue est encore et pour long temps d’importance primordiale, com me aussi la vigueur physique et mo rale de la race, laquelle n’est entière qu’aux champs. La présence d’André Tardieu au ministère de l’Agriculture est bien faite pour rendre du prestige aux cho ses de la terre ; elle est tout à fait de nature à illustrer par des démons trations pratiques les vérités que nous venons d’indiquer. Souhaitons qu’il reste assez longtemps au pouvoir pour que la vie et le travail agricole soient remis à leur place qui, dans l’éco nomie nationale, est la toute pre mière. A. C henet . DÉPflHTEfBEIlT Le coût de la vie La Commission départementale d’é tudes relatives au coût de la vie s’est réunie à la Préfecture, le 21 janvier courant, sous la présidence de M. le Secrétaire Général. Après avoir relevé les cours des dif férentes denrées retenues dans le cal cul, la Commission a constaté que l’in dice général du mouvement de la vie au premier janvier 1931, était de 5,87. Caisse nationale de Crédit agricole Dans la liste que publie le Journal Officiel des caisses régionales de cré dit agricole mutuel appelées à parti ciper à l’élection de huit délégués des caisses régionales à la commission plénièi*b de la caisse nationale de cré dit agricole, figure pour l’Oise la Caisse régionale de crédit agricole mutuel de l’Oise, 7, rue du Palais-de-Justice* à Beauvais, Allocations familiales Par arrêtés du 19 janvier 1931, mo difiant, en ce qui concerne les alloca tions familiales, les décrets du 10 août 1899, est agréé pour les marchés de travaux publics passés au nom de l’Etat, des départements, des commu nes et des établissements publics de bienfaisance à exécuter, dans les dé partements de l’Ardèche, de la Creuse, de l’Isère, du Gard, du Jura, de la Loire, du Loiret, de la Loire-Inférieure, de la Nièvre, de l’Oise, du Rhône, de la Somme, et du Var, le service d’allo cations familiales institué par l’entre prise Drouard frères, qui a son siège à Paris, 4, square Georges-Lesage. Le Bouquet provincial de la ronde mutuelle de l’Oise aura lieu le 3 mai à Longueil-Sainte-Marie La Compagnie d’Arc de Longueil- Sainte-Marie a l’honneur de faire con naître que la fête du Bouquet provin cial est fixée au 3 mai, au lieu du 31, cette dernière date étant prise par la Société des Agriculteurs de l’Oise qui organise un concours à Gompiègne, Il est rappelé aux commerçants, in dustriels, agriculteurs et à tous em ployeurs, ainsi q u ’a u x particuliers ayant des domestiques à leur service, qu’ils doivent adresser au Contrôleur des Contributions Directes, avant le 31 janvier, la déclaration des salaires qu’ils ont payés en 1930 à leurs em ployés, ouvriers ou domestiques. Cette déclaration doit indiquer : 1° Les noms et adresses des person nes occupées au cours de l’année 1930 et dont le salaire, calculé pour une an née entière, dépasse 10.000 francs. 2° Le montant des sommes payées à chacune de ces personnes pendant l’année écoulée. Les sommes à déclarèr sont les rétributions nettes. Il n’y a pas lieu d’y comprendre le montant des retenues et versements effectués en exécution de la loi sur les assurances sociales. 3° La période à laquelle s’appliquent ces paiements, si elle est inférieure à une année. Les commerçants, industriels et tous chefs d’entreprises ne sont pas tenus seulement de déclarer les salaires de leur personnel permanent. Ils ont aus si l’obligation de faire connaître les rétributions des personnes qui remplis sent chez eux des fonctions suscep tibles d’être exercées simultanément dans plusieurs entreprises. (Rentrent dans cette catégorie, pour ce qui con cerne les sociétés, les fonctions d’ad ministrateur, commissaire aux comp- tgs etc.). Ils doivent également déclarer les commissions et courtages payés à des commissionnaires, courtiers et inter médiaires de commerce, ainsi que les honoraires alloués à des personnes dont ils ont utilisé le concours profes sionnel et à qui ils ont versé au moins 1.000 francs pendant l’année. Enfin les personnes et sociétés qui paient des pensions ou rentes viagères supérieures à 1.250 francs par an doi vent en faire la déclaration dans les mêmes conditions que celles qui sont prévues pour les salaires. Ml!Pignochet, directeur des Postes de la Seine et départements limitro phes, a adressé aux receveurs sous ses ordres la circulaire suivante que le pu blic. verrait avec plaisir appliqué dans les principaux bureaux de l’Oise : Lô public, dit M. Pignochet, aux re ceveurs des P. T. T., se plaint d’être astreint à des stationnements prolon gés aux guichets des bureaux de poste. Ces longues attentes »,résultent, pour une part, de ce que :1 ° des travaux d’ordre intérieur sont exécutés sous les yeux du public ; 2° le travail est mal réparti entre les guichets ; 3° l’entr’aide est insuffisante. Travaux d’ordre intérieur. — Ces tra vaux ne doivent jamais être exécutés au guichet en présence du public. Dès qu’une personne se présente, il faut la servir et interrompre toute autre tâche. Répartition du travail entre les gui chets. — L’étude minutieuse des fluc tuations du travail aux différentes heu res de la journée, permettra de propor tionner à tout instant, dans la limite des emplacements et du personnel dis- pémoies, le nombre des guichets à l’importance du trafic. Les receveurs s’attacheront en outre à égaliser la tâ che des divers agents, car rien n’indis- pose plus le public que l’obligation dm stationner à un guichet lorsque le gui chet voisin est inoccupé. Pour obtenir ce résultat, il ne faut pas hésiter à mo difier, même en cours de journée, les attributions des guichets. L’entr’aide. — Elle doit s’exercer dans une large mesure. Pour la faci liter, il est nécessaire de grouper les guichets d’après la nature de leurs at tributions. Il y a bien des manières de pratiquer l’entr’aide, et la plus efficace ne consiste pas toujours à effectuer in tégralement une opération pour le compte du guichetier encombré. Bien souvent, de meilleurs résultats seront obtenus en lui préparant sa tâche, par exemple en effectuant la pesée et l’af franchissement des objets, la recher che des correspondances adressées pos te restante, celle des fiches et docu ments relatifs aux services de la caisse d’épargne et des pensions, etc... D’autres mesures d’organisation per mettent d’accélérer l’écoulement du traie et d’éviter les demandes de ren seignements et les allées et venues du public d’un guichet à un autre. G’est ainsi que dans un bureau bien tenu, les attributions de chaque guichet sont indiquées très clairement et que tous les guichets sont pourvus de car net de timbres et de figurines en quan tité suffisante pous assurer la vente au détail des timbres-postes de valeur cou rante. Une circulaire ultérieure préci sera, d’ailleurs, ce que j’entends par «, vente au détail ». Cimetière communal REPRISE DE TERRAINS Troisième et dernier Avis Fédération des chasseurs et pêcheurs de l’Oise Drame du braconnage Nous avons relaté voici quelque temps l’attentat dont avaient été victf- mes le garde Hutin, attaché à la Fé dération des Chasseurs et Pêcheurs de l’Oise, pour la répression du braconna ge et M. Hamot, stagiaire agricole qui raccompagnait dans une tournée de surveillance pour la répression du bra connage. Deux braconniers, les nommés d’Herbe et Moeyaert, surpris à 11 heu res du soir à braconner à la lanterne dans les territoires en bordure de l’Oi se et de Seine-et-Marne n’ont pas hé sité à tirer à moins de six mètres de distance deux coups de feu sur l’un et l’autre de nos hommes, les blessant tous deux .grièvement.. Le Tribunal de Meaux, appelé à con naître cette affaire -en première instan ce, avait condamné les deux criminels à deux mois et 1 mois de prison. Sur appel à minima du Procureur de la République, l’affaire est venue ces . . , . . jours derniers devant la Cour d’Appel Le Maire porte a la connaissance des I ■> n . * milles mie le carré situé à l’entrée I ____ . familles que le carré situé à du cimetière à gauche et dans lequel sont inhumées les personnes décédées en 1901 à 1904, va être repris. En conséquence, il va être procédé à l’enlèvement des insignes funérai- res placés sur ces sépultures et qui n’ont pas été réclamés par les famil les. * ------ A V I S Le tirage de la tombola des Secré taires et Employés communaux a eu lieu lundi dernier 26 janvier. La liste des numéros gagnants sera à la disposition du public à partir de mercredi prochain 4 février. S’adresser au Concierge de la Mai rie. deux meurtriers ont vu leur peine portée à 8 mois de pri son, la partie civile obtenant 1.000 tr de dommages-intérêts, après un très vif réquisitoire dé M. l’Avocat Géné ral et une plaidoirie extrêmement éner gique de M8 Radot, avocat de la Fédé ration chargé des intérêts de celle-ci et partant de ses adhérents dans cette affaire. Ces résultats ont pu être obtenus, grâce à l’intervention de la Fédération de l’Oise à laquelle tous les chasseurs ont le plus grand avantage à s’affilier pour la défense de leurs intérêts et pour l’amélioration de la chasse. Société d’Horticulture de Sentis et région Demain dimanche, premier février, à 14 heures, salle du Jardin, réunion mensuelle et conférence de M. Barotte sur la taille du pommier et du poi rier. Proposition d’adjonction d ’u n Se crétaire et d’un Trésorier adjoints. Deux dates à retenir L’Amicale des anciens élèves de l’éco le Libre de la rue de Villevert, don nera deux séances récréatives, en la nouvelle salle des fêtes de la rue du Cimetière Saint-Rieul. En soirée, le sa medi 14 mars ; en matinée, le diman che 15 mars. Ligue des Jeunes Pour les grandes séances données par les Jeunes de la Ligue Patriotique des Françaises, les 14 et 15 février, la location se fera le dimanche 8 février de 9 heures 30 à 11 heures, n° 3, rue du Chat-Harêt. « La Rose du Carmel » Nous rappelons que c’est mardi pro chain 3 février et le mercredi 4 qu’au ront lieu à la salle Jeanne d’Arc les (représentations annoncées de Ite, cé lèbre pîbee de théâtre LA ROSE DU CARMEL drame lyrique en 4 actes et 6 tableaux de MM. Gosselin et Jullien. Le rôle de Sainte Thérèse sera tenu par Mlle Seguy, du théâtre de la Gaieté Lyrique. Ce grandiose spectacle qui reconsti tue dignement la vie et le triomphe de Sainte Thérèse a été déjà représenté plus de trois cents fois, avec un succès sans précédent. Prix des places : 8 francs, 6 francs, 4 francs. Il sera, croyons-nous, très prudent de retenir ses places à l’avance. La location sera faite chez Mlle Hus- ser, 19, rue de Yillevert, le dimanche premier février de 14 heures à-17 heu res et les lundi, mardi et mercredi, dans la journée. La Chambre (l'Agriculture de l'Oise demande la réglementation du Mérite Agricole Soirée théâtrale Nous rappelons que ce soir, samedi 31 janvier, dans la nouvelle Salle des Fêtes, 6, rue du Cimetière Saint-Rieul, à Senlis, le « Tréteau Bienfaisant •», groupe artistique d’amateurs, inter prétera la charmante et amusante co médie en quatre actes de MM. Georges Berr et Louis Verneuil Monsieur BEVERLEY Programmes avec analyse de la piè ce illustré par M. Hallo. Décor de M. Louis Cornu. Mise en scène de M. Paul Rivierre. Rideau : 20 heures 45. Entrée : 5 francs. La recette sera versée à la Caisse du Timbre Antituberculeux. Le Mérite agricole Sont nommés : Officiers du Mérite Agricole MM. Le Guevellou, éleveur à Là Chapel- le-en-Serval (Chevalier du 4 août 1912). Legrand, jardinier à Chambly (Che valier du 9 février 1922). Chevaliers du Mérite Agricole MM. Gazedienne, entraîneur à Lamor- laye. « Veyre, vacher à Chambly. Mahon, cultivateur à Verberie. Renard, maréchal-ferrant, à Thury- en-Valois. Marissal, agriculteur à Villeneuve-. sur-Verberie. Hérouart, jardinier à Gouvieux. Coqueret, ouvrier agricole à Orry-la- Ville. Garé, cultivateur à Belle-Eglise. Cœurderoy, agriculteur à Crouy-en- Thelle. Nos félicitations. r Joindre à toute demande de changement d’adresse la dernière bande du journal et 1 franc pour frais de nouvelles bandes, a H é **" La Chambre d’Agriculture de l’Oise réunie en session ordinaire a émis plu sieurs vœux dont un concernant la ré glementation de la distinction du Mé rite Agricole ^ La Chambre d’Agriculture de l’Oise, Considérant que l’ordre du Mérite Agricole qui, par définition, est une dis tinction destinée à récompenser le mé rite professionnel, devrait être décade née en dehors de toute autre considé ration ; Considérant que très fréquemment, pour ne pas dire, presque toujours, la plupart des propositions, minutieuse ment choisies .par les représentants qualifiés de l’Agriculture, sont, au der nier moment, remplacées par d’autres propositions à caractère nettement po litique : Proteste énergiquement contre les injustices flagrantes qu’oocasionne le caractère politique de l’attribution de cette décoration; Demande que ne puissent plus être décernées que des décorations du Mé rite Agricole proposées ou approuvées par les Chambres d’Agriculture, Nomination de notaire Par décret présidentiel en date^ du 18 janvier, M. Paul Lepetit, licencié en droit, est nommé notaire à Provins, en remplacement de Me Venet. M" Paul Lepetit est le second fils de nos sympathiques concitoyens, M. et Mme Lucien Lepetit. Nous adressons nos compliments au nouveau notaire et à M. et Mme Lucien Lepetit. ^ Au Salon des Beaux-Arts de Nice De Nice, nous parviennent des échos du 37e Salon des Beaux-Arts qui s’est ouvert récemment dans cette ville. Une de noc compatriotes « Tuardna » y a obtenu un très grand succès en présentant « une Vue d’Eze ». du plus bel effet. Nous savons d’autre part, qu une rue du portail Nord de la Cathédrale de Senlis, a permis au monde des arts d’admirer une des beautés de notre ci té. « Tuardna » reste une Senlisienne fidèle et zélée qui n’oublie pas sa petite ville et s’emploie à la faire aimer même à des centaines de kilomètres. Nous adressons nos plus sincères compliments à l’habile et sympathique artiste. Jurés appelés à siéger aux Assises Parmi les jurés appelés à siéger aux prochaines assises de l’Oise, dont la session s’ouvrira à Beauvais, le lundi 2 mars, nous relevons les noms sui vants de notre arrondissement : MM. René Lamouche, propriétaire à Crouy-en-Thelle. Ernest Dupont, propriétaire à Ver berie. Charles Dumont, cultivateur à Cuver- gnon. Alfred Tronquez, propriétaire à N euilly-en-Thelle. Louis Tantost, propriétaire à Mon- tataire. Louis Varloquet, régisseur à Fontai- ne-Chaâlis. Jean Daubin, carrier à Saint-Maxi- min. Edgard Thuilleux, retraité à Gou vieux. Gharlemagne Lépine, employé à No- gent-sur-Oise. Fernand Gondel, cultivateur à Pcjfc- tarmé. Oscar Voiriot, retraité à Verneuil. Jules Lelong, retraité à Apremont. Henri Vilain, propriétaire a MesniD en-Thelle,

jrUMaiRO LE COORRIER DE L'OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_02_01_MRC.pdf · ministre aidé en cela par un sous- secrétaire d’Etat qui ... il semble

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1 0 8 e A n n ée. — N* 5Lg jrUMaiRO VINO-Ü C E m S iE S

Dimanche 1er Février 1931

LE COORRIER DE L'OISE«JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS

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L es m anuscrits , insérés ou non , ne son t pas renoms

Ii’Rgrieulture à l’honneur

/ L ’A griculture est à l ’hon­n e u r parce que c ’est su r la question du blé qu ’est tom bé le précédent affreux m inistère Steeg... et elle est à l ’h onneur encore

parce que dans le p résen t m inistère Laval, c’est André T ard ieu qui en est m in istre aidé en cela p a r u n sous- secrétaire d ’E ta t qui est un hom m e nouveau, et qui p a ra ît pouvoir jo u ir d’un certa in prestige. Ancien officier, docteur en droit, diplôm é de l ’Univer­sité d ’Oxford, fds e t petit-fils de p a r­lem entaires, M. Achille F ould est dépu té des H autes-Pyrénées depuis 1919. Ancien com battan t, très « Croix de guerre », père de fam ille, te rrien convaincu, il semble avoir to u t ce qu’il fa u t pour donner confiance et pour devenir u n excellent co llaborateur d’A ndré T ard ieu en u n poste des p lus im portan ts.

Certains jo u rn au x q u i rendaien t com pte de la com binaison m in isté­rielle s’étonnaien t u n peu de voir T a r­dieu à l ’A gricu ltu re en soulignant néanm oins l’im portance significative de sa présence à la tê te de ce dépar­tem ent.

« Si M. A ndré T ard ieu s’est con­ten té m odestem ent de l ’A griculture, écrit de K érillis, ce ne sont pas les ag ricu lteurs qui se p la in d ro n t d’avoir à leu r tête, en ce m om ent, u n chef de sa qualité. A son poste, dont il ne fa u t pas oublier q u ’il est u n levier de com m ande électoral..., etc... ».

ASans doute l’A griculture est bien

u n « levier de com m ande » électoral, m ais est-il besoin de faire observer q u ’elle n ’est p as que cela ! P o u r au ­ta n t que la présente com binaison m i­n istérielle est susceptible de dürer, nous nous ré jouissons grandem ent de voir M. A ndré T ard ieu en possession d ’u n « levier de com m ande » aussi p u issan t. Mais, p lus e t m ieux qu ’un « levier de com m ande » électoral, l ’A griculture est u n « levier de com ­m ande » vital, elle est l’élém ent es­sentiel de la stabilité et de la p rospé­rité nationales et c’est pourquoi su r­to u t nous nous ré jou issons de voir à sa tête u n esprit aussi neuf et aussi ac tif que M. A ndré T ardieu.

Le m inistère de l ’A gricu lture fu t créé én. 1881, m ais c’est su rto u t à p a r tir de 1895 que l’A gricu lture fran ­çaise com m ença à se relever coura­geusem ent sous l ’im pulsion de Mé- îine. D ans le fam eux m inistère d « concentration républicaine » q u ’il p résida en 1895, Méline ne jugea pas indigne de réclam er pour lu i le porte­feuille de l ’A griculture. Nous en ten ­dons b ien l ’objection que certains ne m anqueron t pas de fa ire : « J ’Agri­cu ltu re a besoin de com pétences, elle n ’a que fa ire de personnalités b ril­lan tes m ais dépourvues de capacités techniques, elle a besoin de b ras et non d’idées ». A ssurém ent. Mais l ’A griculture ne m anque pas- de tech­niciens et d’hom m es d ’expérience très pertinem m ent renseignés su r la ques­tion des engrais et du rendem ent à l ’hectare, ainsi que su r to u t au tre question sim ilaire. E lle nous p a ra ît su rto u t avoir besoin d’une législation adéquate aux circonstances actuelles, d ’une législation qui dans l’économie nationale ne la sacrifie pas stupide­m ent au développem ent inconsidéré de l’Industrie . E lle a besoin d ’être protégée e t défendue non seulem ent contre tous les « dum ping » et contre tou tes les en treprises de dém oralisa­tion venan t de l ’E tranger, m ais encore et très particu liè rem en t chez nous, contre tou te une partie de l ’opinion publique.

L ’hom m e des eham ps n ’est pas bien vu dans l’opinion de ces énorm es ag­glom érations urba ines q u ’on ne peu t v ra im ent p lus appeler des villes, m as­ses am orphes et inqu iétan tes: D ans la m entalité de p lus en p lus socialisante d ’un très grand nom bre de contem ­porains, l’Agriculteujr fa it figure

d’aristocrate, de féodal, etc... C’est un « gros » qui loin de n o u rr ir les petits ne songe qu ’à les affam er et contre lejjuel il fa u t se défendre. E t l’on gé­néralise ; natu re llem ent ! On oublie, que la F rance est un pays de petite et m oyenne p roprié té et qüe poür quel­ques gros il y a une énorm e quan tité de petits qui é tan t pareillem ent cul­tivateu rs sont absolum ent logés à la m ême enseigne. On oublie que l ’A gri­cu ltu re périclite fau te de prestige. On n ’apprécie, on ne prône, on ne vante que l’Industrie , que l’Usine, que l ’ou­vrier spécialisé, que le trav a illeu r o r ­ganisé. Le cam arade syndiqué, parlez- m oi de cela ! De là, dépeuplem ent des cam pagnes, surpeuplem ent des villes, dém oralisation générale et dépeuple­m ent to u t court, avec, p a r dessus le m arché, le chôm age to u jo u rs m ena­çant.

Notre population agricole qui était ju sq u ’à p résen t de 54 '% est tombée

44 % et elle d im inue tousles jou rs. Si le chôm age s’étend, il a t­te in d ra su rto u t ,4e trav a illeu r f ra n ­çais qui s’est réfugié dans les villes, alors q u ’aux cham ps, où il n ’y a pas de chôm age, le trav a illeu r étranger polonais et tchéquo-slovaque conti­n u era à gagner sa vie !

Il est g rand tem ps de s’a ttacher à quelques-unes des articu la tions du rap p o rt que M. Louis de Chappedelai- ne a présenté naguère au nom du ca­b inet T ard ieu su r l’outillage national. Celles de ces articu la tions qui con­cernen t l’outillage agricole sont es­sentielles. Il y a lieu m ain ten an t de passer à la réalisation.

« L ’A griculture, — souligne le ra p ­p o rt Chappedelainie, — dem eure la source principale de la richesse n a­tionale, et nos populations (rurales co n stitu en t la réserve où v ien t se re ­nouveler no tre race ».

Le p lan d ’outillage agricole com­porte tou te une série d’am éliorations urgentes ; il fau t répandre l ’hygiène da!n,s les cam pagnes, — am éliorer l ’hab ita tion ru ra le ,— en tre ten ir et dé­velopper le réseau vicinal, — p o ursu i­vre l ’électrification des cam pagnes, — développer le crédit et les associations agricoles, — am éliorer le régim e des eaux, — pourvoir au reboisem ent, etc. ; — le tout, dans u n large esprit de décentralisation , en la issan t aux départem ents et aux com m unes une grande initiative.

« E n m odern isan t les m oyens de p roduction dans nos cam pagnes, •— conclut le R apporteur, — en appor­ta n t à leurs h ab itan ts le bien-être, la salubrité, la santé, nous les encou­ragerons à re s te r a ttachés au sol et nous contribuerons ainsi le p lus effi­cacem ent à m ain ten ir les fortes ver­tus de la race ».

L’Election sénatorialedu 2 2 mars 1931

Les Délégués sénatoriauxC’est le dim anche 15 février que tous

les Conseils m unicipaux de l ’Oise se réuniront pour nom m er leurs délégués et suppléants en vue de l ’élection d’un Sénateur, en rem placem ent du regretté M. Noël, décédé.

Ces nom inations se feront, au scru­tin secret, à la m ajorité absolue des suffrages sur les bases ci-après :

Les Conseils composés de 10 m em ­bres éliront un délégué et un sup­pléant.

Ceux de 12 m em bres, deux délégués et un suppléant.

Ceux de 16 m em bres, trois délégués et un suppléant.

Ceux de 21 m em bres, six délégués et deux suppléants.

Ceux de 23 m em bres, neuf délégués et deux suppléants.

Et ceux de 27 m em bres éliront douze- délégués et tro is suppléants.

Au troisièm e tour, en cas d’égalité de suffrages, le plus âgé sera élu.

Avec les délégués de droit, parle­m entaires, .^conseillers généraux et d’ar­rondissem ent, le nom bre des délégués sénatoriaux de l ’Oise sera d’environ 1.110, le 22 m ars prochain, comme lors des précédents, scrutins.

Une protestation des Associations de tourismeL’Automobile-Club de France, la

Fédération Nationale des Clubs Auto­mobiles de France, le Touring Club de France, l’Union Motocyclistes de F ran ­ce et la Fédération des Syndicats d’in i­tiative viennent de protester auprès de la Commission des F inances de la Chambre contre l’institution d’une nouvelle taxe de 0 fr. 10 par litre d’es­sence qui v iendra encore grever le budget des autom obilistes et des m o­tocyclistes.

L’essence paie déjà en France des im pôts se chiffrant environ à 50 % de son prix de vente et l ’Automobile rap ­porte à l’Etat des sommes dépassant largem ent 3 m illiards. Il paraîtra it plus sage de laisser ces recettes s’accroîtrep a r l ’a u g m e n ta t io n n o r m a le et co n t in u ede l’usage et du nom bre de véhicules plutôt que de contrarier ce développe­m ent p ar le vote d’une taxe nouvelle sur l ’essence, la consom m ation de car­buran t étant un des chapitres les plus lourds du budget des Automobilistes.

L’Automobile-Club de l’Ile-de-F ran­ce vient d’écrire à tous les parlem entai­res da sa zone d’influence pour jo in ­dre ses protestations à celle de's autres Associations de Tourism e.

Concours général agricole de Paris en 1931 A travers Sentis

A V IS

Le concours général agricole de P a ­ris se tiendra en 1931, au P arc des Expositions de la Ville de P aris (Porte de Versailles), du m ardi 15 au d im an­che 22 m ars 1931.

A ce concours seront adm is les an i­maux reproducteurs des espèces bo­vine, ovine, porcine et caprine, les an i­m aux gras des espèces bovine, ovine et porcine, les chiens de berger, les produits agricoles et horticoles, les' vins, cidres, poirés et eaux-de-vie. Des épreuves pratiques de contrôle laitier et beurrier y seront organisées.

Les P. T. T. au service du public

Pharmacie ouverte i‘Dimanche : i" Février. — Pharm acie

Lesage, place H enri-IV .

Les réunions du samedi 31 et dimanche 1er février

iSAMEDI :Salle des Fêtes, rue du Cimetière St-

Rieul, à 8 heures 45, soirée théâtrale au profit du tim bre antituberculeux.

Théâtre M unicipal Cinéma, soirée à 8 heures 45.

DIMANCHE :Salle du Jardin d’Horliculture, réu ­

nion m ensuelle à 14 heures.Théâtre M unicipal Cinéma, m atinée

et soirée.

Déclarations relatives à l’impôt sur les tra item ents, salaires, pensions

e t ren tes viagèresCela ne su ffirait pas du reste si l’on

ne p arvenait en m êm e tem ps à con­vaincre le public de l ’ém inente dignité du trav a illeu r agricole. Il ne s’agit pas de rabaisser l ’ouvrier d ’usine, le m écanicien lu i aussi est indispensable au fonctionnem ent du m achinism e m oderne, ne serait-ce q u ’à celui du m achinism e agricole qui se développe de jo u r en jour.

Mais enfin, on se n o u rr it de pain et non de lim aille de fer, c’est pourquoi la ch a rru e est encore et pour long­tem ps d’im portance prim ordiale, com­m e aussi la v igueur physique et m o­ra le de la race, laquelle n ’est entière q u ’aux cham ps.

L a présence d ’A ndré T ard ieu au m in istère de l ’A gricu lture est bien faite p o u r rend re du prestige aux cho­ses de la te rre ; elle est to u t à fait de n a tu re à illu s tre r p a r des dém ons­tra tio n s p ra tiques les vérités que nous venons d’indiquer. Souhaitons q u ’il reste assez longtem ps au pouvoir pour que la vie et le trava il agricole soient rem is à leu r place qui, dans l ’éco­nom ie nationale, est la tou te p re­m ière.

A. C h e n e t .

DÉPflHTEfBEIlTLe coût de la vie

La Commission départem entale d’é­tu d e s r e la t iv e s a u c o û t d e la v ie s ’e s t réunie à la Préfecture, le 21 janv ier courant, sous la présidence de M. le Secrétaire Général.

Après avoir relevé les cours des d if­férentes denrées retenues dans le cal­cul, la Commission a constaté que l’in ­dice général du m ouvem ent de la vie au prem ier janv ier 1931, était de 5,87.

Caisse nationale de Crédit agricole

Dans la liste que publie le Journal O fficiel des caisses régionales de cré­dit agricole m utuel appelées à parti­ciper à l ’élection de hu it délégués des caisses régionales à la commission plénièi*b de la caisse nationale de cré­dit agricole, figure pour l’Oise la Caisse régionale de crédit agricole m utuel de l’Oise, 7, rue du Palais-de-Justice* à Beauvais,

Allocations familialesP ar arrêtés du 19 janv ier 1931, mo­

difiant, en ce qui concerne les alloca­tions fam iliales, les décrets du 10 août 1899, est agréé pour les m archés de travaux publics passés au nom de l’Etat, des départem ents, des com m u­nes et des établissem ents publics de bienfaisance à exécuter, dans les dé­partem ents de l’Ardèche, de la Creuse, de l’Isère, du Gard, du Ju ra , de la Loire, du Loiret, de la Loire-Inférieure, de la Nièvre, de l’Oise, du Rhône, de la Somme, et du Var, le service d’allo­cations fam iliales institué par l’entre­prise Drouard frères, qui a son siège à Paris, 4, square Georges-Lesage.

Le Bouquet provincial de la rondemutuelle de l’Oise aura lieu le3 mai à Longueil-Sainte-MarieLa Compagnie d’Arc de Longueil-

Sainte-M arie a l ’honneur de faire con­naître que la fête du Bouquet provin­cial est fixée au 3 m ai, au lieu du 31, cette dernière date étant prise p ar la Société des A griculteurs de l’Oise qui organise un concours à Gompiègne,

Il est rappelé aux com m erçants, in ­dustriels, agriculteurs et à tous em ­ployeurs, ainsi qu’aux particuliers ayant des dom estiques à leur service, qu’ils doivent adresser au Contrôleur des Contributions Directes, avant le 31 janvier, la déclaration des salaires qu’ils ont payés en 1930 à leurs em ­ployés, ouvriers ou domestiques.

Cette déclaration doit indiquer :1° Les nom s et adresses des person­

nes occupées au cours de l’année 1930 et dont le salaire, calculé pour une an­née entière, dépasse 10.000 francs.

2° Le m ontant des sommes payées à chacune de ces personnes pendant l’année écoulée. Les som m es à déclarèr sont les rétributions nettes. Il n ’y a pas lieu d’y com prendre le m ontant des retenues et versem ents effectués en exécution de la loi sur les assurances sociales.

3° La période à laquelle s’appliquent ces paiem ents, si elle est inférieure à une année.

Les com m erçants, industriels et tous chefs d’entreprises ne sont pas tenus seulem ent de déclarer les salaires de leur personnel perm anent. Ils ont aus­si l’obligation de fa ire connaître les rétributions des personnes qui rem plis­sent chez eux des fonctions suscep­tibles d’être exercées sim ultaném ent dans p lusieurs entreprises. (Rentrent dans cette catégorie, pour ce qui con­cerne les sociétés, les fonctions d’ad­m inistrateur, com m issaire aux comp- tgs etc.).

Ils doivent égalem ent déclarer les com m issions et courtages payés à des com m issionnaires, courtiers et inter­m édiaires de commerce, ainsi que les honoraires alloués à des personnes dont ils ont utilisé le concours profes­sionnel et à qui ils ont versé au m oins 1.000 francs pendant l’année.

Enfin les personnes et sociétés qui paient des pensions ou rentes viagères supérieures à 1.250 francs par an doi­vent en faire la déclaration dans les m êm es conditions que celles qui sont prévues pour les salaires.

M l!Pignochet, directeur des Postes de la Seine et départem ents lim itro­phes, a adressé aux receveurs sous ses ordres la circulaire suivante que le pu ­blic. verrait avec p la isir appliqué dans les principaux bureaux de l’Oise :

Lô public, dit M. Pignochet, aux re­ceveurs des P. T. T., se p lain t d’être astreint à des stationnem ents prolon­gés aux guichets des bureaux de poste. Ces longues attentes »,résultent, pour une part, de ce que : 1 ° des travaux d’ordre intérieur sont exécutés sous les yeux du public ; 2° le travail est m al réparti entre les guichets ; 3° l ’en tr’aide est insuffisante.

Travaux d’ordre intérieur. — Ces tra ­vaux ne doivent jam ais être exécutés au guichet en présence du public. Dès qu’une personne se présente, il fau t la servir et interrom pre toute autre tâche.

Répartition du travail entre les gu i­chets. — L’étude m inutieuse des fluc­tuations du travail aux différentes heu­res de la journée, perm ettra de propor­tionner à tout instant, dans la lim ite des e m p l a c e m e n t s et du p e r s o n n e l dis- pémoies, le nom bre des guichets à l’importance du trafic. Les receveurs s’attacheront en outre à égaliser la tâ ­che des divers agents, car rien n ’indis- pose plus le public que l ’obligation dm stationner à un guichet lorsque le gui­chet voisin est inoccupé. Pour obtenir ce résultat, il ne fau t pas hésiter à mo­difier, m êm e en cours de journée, les attributions des guichets.

L’entr’aide. — Elle doit s’exercer dans une large m esure. Pour la faci­liter, il est nécessaire de grouper les guichets d’après la nature de leurs at­tributions. Il y a bien des m anières de pratiquer l’en tr’aide, et la plus efficace ne consiste pas toujours à effectuer in ­tégralem ent une opération pour le compte du guichetier encombré. Bien souvent, de m eilleurs résultats seront obtenus en lui p réparan t sa tâche, par exemple en effectuant la pesée et l’a f­franchissem ent des objets, la recher­che des correspondances adressées pos­te restante, celle des fiches et docu­ments relatifs aux services de la caisse d’épargne et des pensions, etc...

D’autres m esures d’organisation per­mettent d’accélérer l ’écoulem ent du tra ie et d’éviter les dem andes de ren ­seignem ents et les allées et venues du public d’un guichet à un autre.

G’est ainsi que dans un bureau bien tenu, les attributions de chaque guichet sont indiquées très clairem ent et que tous les guichets sont pourvus de car­net de tim bres et de figurines en quan­tité suffisante pous assurer la vente au détail des tim bres-postes de valeur cou­rante. Une circulaire ultérieure préci­sera, d’ailleurs, ce que j ’entends par «, vente au détail ».

Cimetière communal

R E P R ISE DE T E R R A IN S

Troisièm e et dernier A vis

Fédération des chasseurs et pêcheurs de l’OiseDrame du braconnage

Nous avons relaté voici quelque tem ps l’attentat dont avaient été victf- m es le garde Hutin, attaché à la Fé­dération des Chasseurs et Pêcheurs de l ’Oise, pour la répression du braconna­ge et M. Hamot, stagiaire agricole qui raccom pagnait dans une tournée de surveillance pour la répression du b ra ­connage.

Deux braconniers, les nom m és d’Herbe et Moeyaert, surpris à 11 heu­res du soir à braconner à la lanterne dans les territoires en bordure de l’Oi­se et de Seine-et-M arne n ’ont pas hé­sité à tirer à m oins de six m ètres de distance deux coups de feu sur l ’un et l’au tre de nos hommes, les b lessant t o u s d e u x . g r i è v e m e n t . .

Le T ribunal de Meaux, appelé à con­naître cette affaire -en prem ière instan ­ce, avait condam né les deux crim inels à deux mois et 1 mois de prison. Sur appel à m in im a du Procureur de la République, l’affaire est venue ces

. . , . . jours derniers devant la Cour d’AppelLe M aire porte a la connaissance des I ■> n ■ . *m illes mie le carré situé à l’entrée I ____ .fam illes que le carré situé à

du cim etière à gauche et dans lequel sont inhum ées les personnes décédées en 1901 à 1904, va être repris.

En conséquence, il va être procédé à l’enlèvem ent des insignes funérai- res placés su r ces sépultures et qui n ’ont pas été réclam és p a r les fam il­les. *------

A V I SLe tirage de la tombola des Secré­

taires et Em ployés com m unaux a eu lieu lundi dernier 26 janvier.

La liste des num éros gagnants sera à la disposition du public à p artir de m ercredi prochain 4 février.

S’adresser au Concierge de la Mai­rie.

deux m eurtriers ont vu leur peine portée à 8 mois de p ri­son, la partie civile obtenant 1.000 tr de dom m ages-intérêts, après un très vif réquisitoire dé M. l’Avocat Géné­ra l et une plaidoirie extrêm em ent éner­gique de M8 Radot, avocat de la Fédé­ration chargé des intérêts de celle-ci et partan t de ses adhérents dans cette affaire.

Ces résultats ont pu être obtenus, grâce à l ’intervention de la Fédération de l ’Oise à laquelle tous les chasseurs ont le plus g rand avantage à s’affilier pour la défense de leurs intérêts et pour l ’am élioration de la chasse.

S ociété d’H orticulture de Sentis et région

Demain dim anche, prem ier février, à 14 heures, salle du Jard in , réunion m ensuelle et conférence de M. Barotte sur la taille du pom m ier et du poi­rier.

Proposition d’adjonction d’un Se­crétaire et d’un Trésorier adjoints.

Deux dates à retenirL’Amicale des anciens élèves de l’éco­

le Libre de la rue de Villevert, don­nera deux séances récréatives, en la nouvelle salle des fêtes de la rue du Cimetière Saint-Rieul. En soirée, le sa­medi 14 m ars ; en m atinée, le d im an­che 15 m ars.

Ligue des JeunesPour les grandes séances données

par les Jeunes de la Ligue Patriotique des Françaises, les 14 et 15 février, la location se fera le dim anche 8 février de 9 heures 30 à 11 heures, n° 3, rue du Chat-Harêt.

« La Rose du Carmel »Nous rappelons que c’est m ardi pro­

chain 3 février et le m ercredi 4 qu’a u ­ront lieu à la salle Jeanne d’Arc les (représentations annoncées de Ite, cé­lèbre pîbee de théâtre

LA RO SE DU CARM ELdram e lyrique en 4 actes et 6 tableaux de MM. Gosselin et Jullien.

Le rôle de Sainte Thérèse sera tenu par Mlle Seguy, du théâtre de la Gaieté Lyrique.

Ce grandiose spectacle qui reconsti­tue dignem ent la vie et le triom phe de Sainte Thérèse a été déjà représenté plus de trois cents fois, avec un succès sans précédent.

P rix des places : 8 francs, 6 francs, 4 francs.

Il sera, croyons-nous, très prudent de re ten ir ses places à l ’avance.

La location sera faite chez Mlle Hus- ser, 19, rue de Yillevert, le dim anche prem ier février de 14 heures à -17 heu­res et les lundi, m ardi et m ercredi, dans la journée.

La Chambre (l'Agriculture de l'Oise demande la réglementation

du Mérite Agricole

Soirée théâtraleNous rappelons que ce soir, sam edi

31 janvier, dans la nouvelle Salle des Fêtes, 6, rue du Cimetière Saint-Rieul, à Senlis, le « T réteau B ienfaisant •», groupe artistique d’am ateurs, in ter­prétera la charm ante et am usante co­m édie en quatre actes de MM. Georges B err et Louis V erneuil

M onsieur B E V E R LE Y P rogram m es avec analyse de la piè­

ce illustré p ar M. Hallo.Décor de M. Louis Cornu.

Mise en scène de M. P au l Rivierre. R ideau : 20 heures 45.

Entrée : 5 francs.La recette sera versée à la Caisse du

T im bre Antituberculeux.

Le Mérite agricoleSont nom m és :

O fficiers du Mérite Agricole MM.

Le Guevellou, éleveur à Là Chapel- le-en-Serval (Chevalier du 4 août 1912).

Legrand, ja rd in ier à Chambly (Che­valier du 9 février 1922).

Chevaliers du Mérite Agricole MM.

Gazedienne, en tra îneur à Lam or- laye. «

Veyre, vacher à Chambly.M ahon, cultivateur à Verberie.Renard, m aréchal-ferran t, à T hury-

en-Valois.M arissal, agriculteur à Villeneuve-.

sur-V erberie.Hérouart, ja rd in ie r à Gouvieux.Coqueret, ouvrier agricole à O rry-la-

Ville.Garé, cultivateur à Belle-Eglise.Cœurderoy, agriculteur à Crouy-en-

Thelle.Nos félicitations.

r Joindre à toute demande de changement d’adresse la dernière bande du journal et 1 franc pour frais de nouvelles bandes,

a H é ** "

La Chambre d’A griculture de l ’Oise réunie en session ordinaire a émis p lu ­sieurs vœux dont un concernant la ré ­glementation de la distinction du Mé­rite Agricole ^

La Chambre d’A griculture de l’Oise, Considérant que l’ordre du Mérite

Agricole qui, par définition, est une dis­tinction destinée à récom penser le m é­rite professionnel, devrait être décade née en dehors de toute autre considé­ration ;

Considérant que très fréquem m ent, pour ne pas dire, presque toujours, la p lupart des propositions, m inutieuse­m ent choisies .par les représentan ts qualifiés de l’Agriculture, sont, au der­nier moment, rem placées par d’autres propositions à caractère nettem ent po­litique :

Proteste énergiquem ent contre les injustices flagrantes qu’oocasionne le caractère politique de l’attribution de cette décoration;

Demande que ne puissent plus être décernées que des décorations du Mé­rite Agricole proposées ou approuvées par les Cham bres d’Agriculture,

Nomination de notaireP a r décret présidentiel en date^ du

18 janvier, M. P au l Lepetit, licencié en droit, est nom m é notaire à Provins, en rem placem ent de Me Venet.

M" Paul Lepetit est le second fils de nos sym pathiques concitoyens, M. et Mme Lucien Lepetit.

Nous adressons nos com plim ents au n o u v e a u n o ta i r e e t à M . e t M m e L u c ie n Lepetit. ^

Au Salon des Beaux-Arts de Nice

De Nice, nous parviennent des échos du 37e Salon des Beaux-Arts qui s’est ouvert récem m ent dans cette ville.

Une de noc com patriotes « T uardna » y a obtenu un très grand succès en p résentan t « une Vue d’Eze ». du plus bel effet.

Nous savons d’autre part, qu une rue du portail Nord de la Cathédrale de Senlis, a perm is au m onde des arts d ’adm irer une des beautés de notre ci­té. « T uardna » reste une Senlisienne fidèle et zélée qui n ’oublie pas sa petite ville et s’emploie à la faire aim er même à des centaines de kilomètres.

Nous adressons nos plus sincères com plim ents à l’habile et sym pathique artiste.

Jurés appelés à siéger aux AssisesP arm i les ju rés appelés à siéger aux

prochaines assises de l’Oise, dont la session s’ouvrira à Beauvais, le lundi 2 m ars, nous relevons les nom s sui­vants de notre arrondissem ent :

M M .R e n é L a m o u c h e , p r o p r ié ta i r e à

Crouy-en-Thelle.E rnest Dupont, propriétaire à Ver­

berie.Charles Dumont, cultivateur à Cuver-

gnon.Alfred Tronquez, propriétaire à

N euilly-en-Thelle.Louis Tantost, propriétaire à Mon-

tataire.Louis Varloquet, rég isseur à Fontai-

ne-Chaâlis.Jean Daubin, carrier à Saint-M axi-

m in.Edgard Thuilleux, retraité à Gou­

vieux.Gharlem agne Lépine, employé à No-

gent-sur-Oise.F ernand Gondel, cultivateur à Pcjfc-

tarm é.Oscar Voiriot, re traité à V erneuil. Ju les Lelong, re traité à Aprem ont. Henri V ilain, propriétaire a MesniD

en-Thelle,

Page 2: jrUMaiRO LE COORRIER DE L'OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1931-1932/bms_js_1931_02_01_MRC.pdf · ministre aidé en cela par un sous- secrétaire d’Etat qui ... il semble

LE COURRIER DE L’OISE

êtreCaisse des Ecoles

Il a été rem is a la Mairie pour versée dans la Caisse des Ecoles, somme de 153 fr. 15, p rodu1* d u n e quête faite au cours du Bal des Ar-

Le M aire tant en—son nom personnel, qu’en celui des merfibres de la Com­m ission Scolaire, adresse ses bien vifs rem erciem ents aux organisateurs et aux donateurs.

La Saint-Sébastien

MAIRIE DE SENLIS

Barèmes des prix normaux des viandes au détail

arrêtés par la Commission Consultative dans sa séance du 15 Janvier 1931

V IA N D E D E BOEUFju r la base du p rix de 12 fr. 20

le k ilo de viande netPRIX AU KILO

catégorieF i l e t .......................

llumsleaek . . . . . . .E n trecô te ........................................llavette, onglet et ham pe . .T ranche sans os.............................T ranche avec os . . . . . Gite à la noix sans os . . .Gîte à la noix avec os. . . .

2* Catégorie (avec os)P a l e r o n ........................................B isse côte on persillé . . . . P lat de côtes (milien). . . . . Bavette à pot-au-feu . . . . Milieu de ja rre t (rond de gîte) .Tendron ........................................

3* Catégoriec o l l e t ..............................................P oitrine et bou t de p lat de côte Bout de ja rre t et jo in t . . .

1 r* CatégorieEscalope sans os . . . . . .Noix ue veau sans os.......................Quasi avec o s ............................ .Filet de rognon ou longe avec os.Côtes prem ières avec os. . . .

2* Catégorie (avec os)Côtes déco u v ertes . . . . . .Epaule m i l i e u ...................................T endron ..............................................Poitrine et c o l l e t .............................ja r re t . . ........................................

VIANDE DE MOUTON su r la base du p rix de 20 fr. 40

le k ilo de viande net p . C a tég o r ie

Selle sans os............................-,

Filet ou côte de filet . . . . .Côtes p re m iè re ............................ •

2° C atégorie Côtes découvertes ou basses côtes.tp a u le ....................................................

3 ’ C atégorieHaut de côte. . . . . . . .Poitrine . . . . . . . . .C o l le t ............................................. •

Q ualité1'* ï*

26 50 24 5021 20 19 2)21 20 19 2019 20 17 20H 70 16 7018 20 16 2014 30 12 5015 70 13 7011 ;o 11 20

12 20 10 2012 20 10 2)12 20 10 2)11 50 9 5011 50 9 5011 00 9 00

10 50 8 5010 50 8 50

9 20 7 20

iV •fr. 40

28 03 25 0026 00 23 0020 50 17 5020 50 17 5020 50 17 50

19 00 15 0019 00 15 0117 00 14 0116 00 13 0016 00 13 01

28 40 24 4121 40 20 4022 40 18 4022 40 18 4023 10 19 4021 40 20 40

22 40 18 4020 40 16 40

17 40 13 4016 40 12 4016 40 12 40

Union des Commerçants et industriels de Senlis et région

Le B ureau s’excuse auprès des m em ­bres de l’Union, qui, pour une raison quelconque : omission, erreur d’adres­se ou de distribution, n ’au raien t pas reçu les convocations et invitations à l’assem blée générale, au banquet et au bal, qui auroqt lieu le dim anche 15

. février.Il les prie, ainsi que les Commer­

çants encore non adhérents, avec une insistance particulière pour ces der­niers, de vouloir bien s’inscrire et re ­m ettre leur adhésion aux adresses sui­vantes :

MM. Duchet, 6, place de la Halle ;P rigault, 14, rue Sainte-Gene-

vièveLesage, 2,

bourg.place Sain t-F ram -

Sport Vélocipédique SenlisienDim anche prochain prem ier février,

Grand P rix de la Ville de Senlis de cross.

V estiaire et dossards de 13 heures 45 à 14 heures, Café du Commerce. A 14 heures 15, départ en groupe route de Crépy où aura lieu le départ défini­tif.

Arrivée face aux E tablissem ents ;« Law » prévue vers- 15 heures 15.

Les concurrents passeront deux fois au croisem ent du Chemin L atéral et de la route de Crépy.

Sont déjà engagés :T indillier, Melchior, C arpentier et

Stourbe, du C. C. A ulnay ; Herbain, Collery,’ Foubert, du C. C. Creillois ; Gallard, Destailleur, Mast, Gille, Simon,. Opdenhove, Nézée, Letellier, Mercier, Hobigand, etc., du S. V. Senlis, et les engagem ents ne seront clos que ce soir à 19 heures.

Belle partie de cross en perspective, car T indillier est un des m eilleurs Grossmen de la région parisienne, nous verrons notre jeune Champion de l ’Oi­se Opdenhove aux prises avec lui.

M onsieur LUZURIER,Dépôt du Petit Parisien,

12, Rue du Châtel a l ’avantage de vous in form er qu’à la date du prem ier février 1931, il est dépositaire central du JO U RNAL et du M ATIN .

Les personnes qui en dehors de sa clientèle habituelle désireraient être li­vrées à domicile poür ces deux grands quotidiens, sont priées de s’adresser, 12, rue du Châtel.

Ceci conform ém ent aux instructions données p a r ces deux A dm inistra­tions. 5163

Cross populaire de I’ « Auto »Le dim anche 18 février dernier a eu

lieu, à V incennes, le cross populaire organisé p a r le jo u rn a l L ’Auto.

Sur 900 concurrents qui p riren t le départ, 600 seulem ent accom plirent entièrem ent le parcours rendu très dif­ficile par les pluies récentes.

Nous relevons au classem ent, géné­ra l :

85’ Louis Bontemps.93* René Berge.E t au classem ent par catégorie :12’ Louis Bontem ps (catégorie J u ­

niors).3* René Berge (catégorie : produits

chim iques).Nos félicitations aux deux jeunes

gens qui m iren t en bonne place les couleurs de Senlis.

D im anche dernier, nos sym pathi­ques chevaliers de l’arc des Compa­gnies du Bastion de la Porte de M eaux et du M onlauban, célébraient ensem ­ble, la Saint-Sébastien.

Le m atin, ils ont assisté en notre vieille cathédrale, à la m esse dite en leu r honneur, en présence d’une nom ­breuse assistance, par M. l ’abbé He- duin, vicaire, et au cours de laquelle la m aîtrise s’est fa it-entendre.

M. l’abbé Héduin, en l ’absence de M gr Dourlent, excusé, a prononcé une touchante allocution, félicitant les a r­chers de conserver les traditions de dé­vouement, d’honneur et de loyauté, et de se conduire en « véritables cheva­liers ».

A l’issue do la messe, les archers précédés de leurs tam bours et d ra­peaux, et accom pagnés dé leurs digni taires et officiers ont parcouru la ville et ont gagné l’Hôtel du Grand. Cerf pour le banquet de la Saint-Sébas tien.

Celui-ci a été servi dans les m agni fiques salons qui font l'adm iration de tous les hôtes.

A la table d’honnour : MM. Carter, connétable de la Compagnie d’arc du M onlauban ; Louât, m aire, vice-con nétable de la Compagnie du Bastion; Georges-Picot, conseiller général; An dré Troncin, ' conseiller d ’arrondisse m e n t; Hottin et Maillet, capitaines; H ennequin, ad jo in t; Demoinet, prési­dent du Syndicat d’in itiative; Fossiez conseiller m unicipal; W arusfel, con­seiller m unicipal et rédacteur à la Gazette de l’Oise; Legrand, rédacteur au Courrier de l’Oise; Dischgand, se­crétaire général de la M airie; Kastner, com m issaire de police ; G authier et Ca- m illi, capitaine et lieu tenant de la Compagnie d’arc de C haînant; Uytters- proî, Cham bellant, Bricot de la m êm e Com pagnie; Jean Guire, roi; Flodrops, roi ; Vincent, em pereur; Bontemps, lieutenant honoraire; Badin, Leblond, Lécuyer, lieu tenants; Schneideé et P ré­vost, sous-lieutenants; F lipon et Poi- devin, secrétaires; MM. Fauvet, Bau- dry, Bollé, Roger M arin, Bonnet, Bour­sier, M artin, Lebota, Louis Guiro, Balle- fort, Lam aire, Chauvin, Bourgogne, Dc- bras, Dupuis, Aurois, G authier, Lu­cien Poidevin, Van der Crussen, Ernest Lefèvre, M. et Mme H. Lefèvre, Le- clerc, etc.

Le m enu était excellem m ent com­posé, arrosé des vins des m eilleurs m arques, il a été servi sous la direc­tion do MM. V ondrack et Davidsen, et tous les convives ont été unanim es pour fa ire le plus vif éloge de l ’Hôtel si bien réputé du G rand Genf.

Voici le m enu :H ors-d’ceuvres variés, Suprêm es do

Soles Dieppoises, Gigue de V enaison à la G rand V eneur, M ousseline de M ar­rons, Poularde poêlée G rand Cerf, Sa­lade de- saison, From ages, Tarte m ai­son, Corbeilles de fruits, V ins de Tou- ra ine blanc et rouge, Pom m ard 1921, Grand Crém ent frappé, Café, Liqueurs.

Au cham pagne, M. M aillet, capitaine de la Compagnie du Bastion, après avoir rendu hom m age à l’excellente cuisine de l ’hôtel du G rand Cerf, a pré­senté les excuses de MM. Roussillon, sous-préfet; Jean Dehesdin, connéta­ble do la Compagnie du Bastion ; T ur- quet, capitaine honoraire de la Compa­gnie du M ontauban; de Pontalba et Moquet, connétable et capitaine de la Compagnie d’arc de M ontlévêque; Le- pape, ad joint; Gazeau, vice-président de la M usique m unicipale, et en retour, a adressé à ces personnalités ses re ­grets et ses sentim ents dévoués.

Puis, M. M aillet a rem ercié M. Louât, vice-connétable, de son dévouement à la cause des archers, ne craignant pas de s’arracher aux douceurs de la vie fam iliale pour partic iper à cette jo u r­née de Saint-Sébastien, il exprim a sa gratitude à M. B ernard Carter, le gé­néreux m écène des archers, capitaine d’infan terie de l ’arm ée am éricaine pendant la grande guerre, décoré de la Croix de Guerre et de la Croix de la Légion d’honneur; M. Maillet a eu éga­lem ent des mots touchants pour M. P ierre Georgass-Picot, récem m ent nom ­m é qhevalier de la Légion d’honneur ; M. Troncin, capitaine honoraire de la Compagnie d’arc, qui a eu l ’excellente idée d’organiser un challenge. Et M. M aillet a term iné p a r des rem ercie­m ents à MM. Hennequin, ad joint; De­moinet, p résident dévoué du Syndicat d’initiative, à tous les officiels, à tous les m em bres honoraires et a levé son verre à la santé de tous les convives, de’ la Presse, et à la prospérité des Compagnies d’arc de Senlis et de celles voisines.

M. André Troncin après avoir rem er­cié les archers de leur aim able invita­tion, a fait un rapprochem ent in téres­san t entre la Bataille de Bouvines ga­gnée par les archers et la 'Bataille de la M arne, gagnée p ar les Poilus, hé­ritiers des archers d’autrefois. Avec hum our, M. Troncin a fait l’éloge du sport en général, et du tir à l’arc en particulier. « Adm ettons trois parties « en dix haltes dans nos réunions. ,« E tant donné que nous faisons 100 « m ètres p a r halte, cela fait 3 kilomè- « très. P endan t ces trois parties, p a r­ie ten t 60 flèches qui dem andent cha- «. que fois un effort de 13 à 14 kilos. « Total de la séance : 780 à 840 ki- « los ».

« Au dernier Bouquet, il y a eu 1.800 « tireurs, c’est un beau succès. Dans « le Grand P rix et le P rix Général, « les tireu rs ont parcouru chacun 5 « kilom ètres 500 à 6 kilom ètres et tous « ensem ble ont fait un total de 9.900 « kilom ètres à 10.800 kilom ètres. Cha­ir que archer a lâché 110 flèches, occa- « sionnant un effort de 1.430 à 1.450 « kilos. Il a été lancé 19.800 flèches, «. c e q u i a o c c a s io n n é u n e d é p e n s e « physique générale égale à 257.400 « kilos ou 277.200, selon que l’effort « portait sur 13 ou 14 kilos ».

En clôturant, M. Troncin a levé son verre à la santé des Connétables, MM. Louât et Carter, des Capitaines Hottin et M aillet, des archers et de son am i M. Georges-Picot, qu ’il a com plimenté pour sa récente nom ination dans la Lé­gion d’honneur au titre de l ’éducation physique.

M. Louât après avoir déclaré que bien que désigné, com m e vice-conné­table des archers, il n ’avait aucune compétence pour lancer la flèche, m ais que c’était sa fonction de M aire qui lui valait cet honneur, et après avoir rap ­pelé le souvenir de so’n-prédécesseur, M. Escavy, qui l’an dernier, présidait encore le banquet de Saint-Sébastien, M. Louât a évoqué l ’histoire de la che­

valerie d ’arc à travers les âges, cheva­lerie qu’il a tenu à saluer, vieux .sport qui a su conserver ses nobles trad i­tions d’honneur, d’ordre et de loyauté à travers les âges. 11 a tenu à souligner la parfaite union de nos deux Compa­gnies d’arc et leur prospérité. M. Louât a salué les jeune et vieux rois, et l’em ­pereur et a term iné en levant son verre à toutes les personnes présentes et en particulier à M. Carter pour l’intérêt si grand qu’il porte aux archers et à M. Gcorges-Picot qui vient de recevoir une récom pense si bien méritée.

M. Georges-Picot, très simplement, après ses rem erciem ents aux archers pour leur aim able invitation et en |a r - ticulier au capitaine Maillet, a célébré, lui aussi, les belles qualités de la jh e - valerie fran ça ise , et modestement a reporté sur tous les sportifs qui vaillent depuis 12 années avec p r o s p é r i t é de la cause du sportTla (V11̂ de la Légion d’honneur qui v ie» de lui être décerné. Et après avoir félicité les archers de pra tiquer la gaieF et la franchise qui sont bien les caioctères de la France, le Conseiller général a levé son verre à cette gaieté d à cette franchise.

Les paroles de MM. Maillet, Troncin, Louât et Georges-Picot ont été chaleu­reusem ent applaudies.

Quelques chanteurs ont égayé en­suite les convives.

Le soir, à 19 heures, un dîner am i­cal a réuni les archers et leurs amis à l ’Hôtel Henri-IV.

A 21 heures 30, toute une jeunesse se trouvait à l ’Hôtel des Arènes où aux sons d’un orchestre entraînant, un bal magnifique se déroula dans les salons de cet hôtel.

MATCH DE BIEN FAISAN C ESé lec t io n Senlis-Balagny, contre E n ­

te n te Creil-Chanlilly et Montataire, à ■ M onta ta ire , le p r e m ie r m a r s 1931.

En vue de venir en aide à un joueur de l’U. S. Balagny blessé à Senlis le 30 novembre dernier et dont on nous an ­nonce le complet rétablissem ent d’ici quelques sem aines, les. comités de TU.B Balagny et du G. S. Senlisien ont décidé d’accord avec la Ligue et les Clubs voisins, d’organiser à M ontataire le prem ier m ars prochain, un m atch de B ienfaisance en m êm e tem ps que de propagande, dont la recette sera versée intégralem ent au blessé.

Ce m atch se d isputera entre une sé­lection de joueurs de Senlis et de Ba­lagny contre une sélection de joueurs des c lubs de C re il-S a in t-Ju st, C han til­ly et M ontataire.V C’est dire tout l ’intérêt que présente cette rencontre à laquelle tous les spor­tifs Senlisicns voudront assister et afin de satisfaire ces derniers nous sommes heureux de les inform er que le C. S. S. se chargera d’établir un service d’auto­bus entre Senlis et M ontataire à un prix modique dont nos lecteurs seront in ­form és incessam m ent.

Les places devront être retenues à l’avance à l’Hôtel du Nord.

Ajoutons qu’en lever de rideau dci m atch précité une sélection des ré­serves du G. S. Senlis et de l’U. S. Ba­lagny disputeront très probablem ent un m atch am ical sous les couleurs de Ba­lagny ; l’autre rencontre de disputant sous les couleurs du C. S. S.

Gyx.

P O U R L'ACHATd e m o n t r e s , p e n d u le s , r é v e i l s

o u c a r i l l o n s£vitez ces marchands n’ayant aucune notion professionnelle

A d ressez -v o u s àC . S C H E C H Î

9, rus d8 PApport-au-Pain, à SENLIS

l ’Horloger de métierqui fa i t les réparations lui-même'.

C’est pour vous la meilleure G A R A N T IE de B O N N E M A R C H E

Réunion m ensuelleIl est rappelé aux M embres du _ C.

S. S. que le bureau et la commission se réuniront m ercredi 4 février 1931, à 20vheures 30, à l ’Hôtel de Ville, salle des/réunions. Aussi du reste qu’il en a été décidé en assem blée générale et que cette réunion s’est toujours tenue aussi

.depuis.Aucune convocation ne sera adres­

sée.Les capitaines d’équipe sont instam ­

m ent priés de régler les cotisations des joueurs au Trésorier, qui se m ettra à leur disposition à l’issue de la réunion.

Le Comité.

Accident de la routeDimanche soir, vers 17 heures, un au­

tomobiliste de Senlis, M. M..., qui était venu passer l’après-m idi avec son beau-frère, M. Ricaux, couvreur à Roi- sel (Somme), passait avec son autom o­bile sur la route de Roisel à T incourt- Boucly, en vue du retour. Il venait de franch ir le passage à niveau et a rri­vait en haut de la côte qui se trouve à 500 m ètres de là, quand il aperçut de­vant lui deux fem m es qui m archaient côte à côte et qui suivaient la m ême direction que lui.

Supposant qu’elles venaient au con­traire à sa rencontre, M. M... appuya sur sa droite dans l’intention de les croiser, alors qu’en réalité il avait à les doubler.

Arrivé à hauteur des deux fem m es, il ne put éviter de les accrocher.

Toutes deux roulèrent sur la chaus­sée et l’une, la plus jeune, iklice M as- cré, 19 ans, de Tincourt-Boucly, resta inanim ée sur la chaussée. L’autre, M a­dam e Amélie Gallier, paraissait m oins éprouvée.

Le chauffeur ayant stoppé, fit m onter Mme Gallier dans sa voiture et avec l ’aide de son com pagnon, il p laça Mlle M ascré sur les coussins de la ban ­quette afin de la transporter de suite chez le docteur M ariani, de Roisel.

Celui-ci, ayant exam iné la blessée qui n ’avait pas repris connaissance, dé­couvrit une fracture à la base du crâne et conseilla de la reconduire de suite

son domicile.Un nouvel exam en fait hier après-

m idi a perm is au praticien de décla­re r que sauf com plications, Mlle M as­cré s’en tirera it avec un traitem ent sé­rieux et p lusieurs mois de repos.

L’enquête à laquelle s’est livrée la gendarm erie n ’a pas perm is d’établir d’une façon absolum ent exacte, les cau­ses de cet accident, car les tém oins font défaut.

Théâtre Municipal CinémaP rogram m e des 31 Janvier

et 1" Février 1931Sam edi, soirée à 8 h. 45

Dimanche, m atinée à 2 heures 45Soirée à 8 h. 45

L’ETRAN G E A V E N TU R E ------------ DU VAGABOND-POETE

Interprétation :François Villon : John Barrym ore

Louis X I : Conrad Veidt Catherine de Vauxellcs : M arceline Day

Duc de Bourgogne : Lawson Butt Comte Thibault : Henry Victor

LE COEUR & LA DOT Grande Comédie

avec Charles Rogers et M ary Brian.

— o— E c la i r J o u r n a l — o—

(Les Actualités Mondiales)

5142

Spéc ia l i té Optique so ignéeV e r r e s p o u r tou tes vues

C. s. s.M atch du 25 janvier 1931

(Cham pionnat)

A SENLIS :

U. S. B alagny (1), fiat C. S. Senlis (1) par 2 buts à 1.

Tout comme à Balagny... Senlis do­mine, m ais B alagny gagne...

Pour la troisièm e fois, ces équipes s’affrontaient à Senlis ; Balagny pré­sentan t un team excellent, Senlis, une é q u i p e am putée d e B e r n a r d , Lem jifta et Castella, non qualifiés à la date au prem ier m atch 2 novembre 1930.

Senlis gagne le toss et prend l ’avan­tage du vent, ce qui lui perm et de do­m iner com plètem ent son adversaire ; Balagny met à profit une discussion adverse vraim ent inutile et m arque ; Senlis essaie d’égaliser m ais en vain, le goal visiteur dans un bon jour fait une partie rem arquable p ie centre a- avant des « m arine et ciel » s’échappe et seul à quelques m ètres botte sur le gardien de but ; Tinter gauche drible plusieurs adversaires et schoot, m ais le keeper arrête in-extrém is ; de même su r de nom breuses occasions, et le re ­pos arrive.

H eureusem ent pour les Senlisiens, à la rem ise en jeu, le vent s’est apaisé et ne souffle p lus que par instant, leur évitant d’être dom inés; la partie est bien équilibrée, les attaques Senlisien- nes m anquent de peu de réussir ; ce n ’est plus la chance de Balagny... Elle est pour les « noirs » cette fois, et c’est avec beaucoup de peine que Senlis éga­lise ; un m atch nul est envisagé pon­dant longtem ps, m ais un centre de l ’ai­lier droit de B alagny est bien repris par son inter-gauche qui donne la vic­toire à son club. Quelques minutes après, m algré de vives réactions Sejili- s ien n e s /la fin est sifflée sur ce résul­tat. L’arbitrage de M. P rincé plut à tous, joueurs et spectateurs. La vic­toire revint à l’équipe qui tîn t la partie de bout en bout et il est juste que Ba­lagny profite des trois points qui (ré­gulièrem ent ne pouvaient pas lu i1 é- chapper la prem ière fois.

Le cham pionnat est term iné, les Sen­lisiens se classent quatrièm e derrière Beauvais, S aint-Sauveur et Balagny et devant Breteuil, Grandvilliers, Ercuis et Mouy.

C’est somme toute une place très ho­norable, les deux saisons précédentes, Senlis avait dû disputer quatre b arra ­ges pour rester dans sa série.

A PONT :Club Sainte-M axence (3), bat C. S.

Senlis (3), par 3 buts à 1.La défaite des jun io rs est m oins fla­

g rante que celle du m atch aller, il y a un progrès très net chez les jeu ­nes.

Matches du premier, février 1931 A GOUVIEUX :

G. S. Senlis (1), contre U. S. Gou-v i e ù x (1 ) .

Départ des Senlisiens à 13 heures 15 place du Chalet.

A SENLIS :A 13 heures : U. S. M esnil-en-Thelle

(J.), contre C. S. Senlis (J.).Nous aurons le p la isir de voir évo­

luer nos chers jun io rs devant une for­m ation très au point qui va leur don­ner du fil à retordre. Chéry,,, du cran !

A 14 heures 30 :C. S. Avilly-Saint-Léonard (2), contre

C. S. Senlis (2).Les réserves du C. S. S. avec leur

équipe actuelle doivent fourn ir une ex­cellente partie et surclasser leurs ad­versaires assez nettem ent ; c’est toute­fois une opinion, car il ne fau t pas ou­blier qu’on doit toujours se méfier d’un plus petit que soi.

La sem aine prochaine :— u Rhapsodie Hongroise »—

Service des épavesDans la sem aine écoulée, il a été

déclaré au C om m issariat de Police (Service des Epaves), les trouvailles suivantes, faites sur la voie publique :

— Un stylo à pompe.— Une m anivelle d’auto.— Un béret rouge.— Une fourche à quatre dents.— Une paire de lunettes pour p res­

byte (doublé-or, m onture des verres ouvragée en argent).

— Un gant de peau, couleur noire, pour m ain gauche.

— Un billet de 10 francs.Pour tous renseignem ents, s’adres­

ser au Com m issariat de police (Servi­ce des Epaves). S’abstenir de télépho­ner.

M onsieur M a u r ic e COTTRAU, a l’honneur d’inform er le public qu’il est établi cordonnier depuis le 26 ja n ­vier dernier, à Senlis, 5, rue Léon- Faulrat.- - Réparations en tous genres - -_ _ _ - Travail soigné - - - -- - - - P rix modérés - - - -

5137

Matches restant à jouer à Senlis8 février : Racing Club de France

(R.), contre C. S. S. (1).15 février : U. S. Gennevilliers (1),

contre C. S. S. (1).22 février : E. S. Creil (1), contre C.

S S. (1) ; U. S. P uteaux (2), contre C. S. S. (2).

1er m ars : C. S. Antillais, contre C. S. S. (2).

8 m ars : Stade F rançais (R.), contre C. S. S. (1).

15 m ars : U. S. Agence Havas (1), contre C. S. S. (1).

22 m ars : C. A. S. G. (R.), contre C. S. S. (1).,

29 m ars : U. S. Gouvieux (1), contre C. S. S. (1).

5 avril : A. S. Douvres (1), contre C. S. S. (2).

12 avril : (Terrain réservé pour le m atch d e barrage de deuxième série)

‘ 19 avril : U. S. Banque Morgan, con tre C. S. S. (1).

Tous ces m atches seront certaine­m ent très p laisants à suivre, si l ’état du terrain des sports s’y prête.

Les rencontres des 8 et 15 février prochain, prom ettent d’être particuliè­rem ent intéressantes ; la question de qualification de joueurs n ’ayant plus d’objet, le C. S. S. va pouvoir enfin op­poser un « onze » homogène.

LMaison Fouqué-fMouret

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Voleur pincéDimanche soir, vers 19 heures 30, M.

Triboulet M aurice, peintre, route de Crépy, à Senlis, déposait sa bicyclette devant le bureau de tabac Fruchard, 22, rue de P aris et pénétrait dans cet établissem ent pour y faire des achats.

Au m ême moment, un individu s’ap­prochait de sa bicyclette, et dévissait et enlevait la lanterne dont elle était m unie et prenait la fuite.

Mais M. Henwood qui se trouvait dans le couloir de sa m aison d’habita­tion à proximité, avait rem arqué cette soustraction et s’em pressa de venir prévenir les consom m ateurs qui se trouvaient au débit Fruchard.

M. Triboulet constata alors que sa bicyclette était délestée de son ap p a­reil d’éclaiage et se m it en quête de trouver le voleur.

Il le rejoignit, rue du Long-Filet.Après l’avoir fouillé, il retrouva sa

lanterne. Il am ena alors, le voleur de­vant M. K astner, Commissaire de Po­lice. Interrogé par ce m agistrat, ce dernier reconnut le vol qui lui était re ­proché et avoua avoir volé cette lan­terne m arque «. Radson », ’une valeur de 150 francs, pour la revendre.

C’est un nommé Ruelle Henri, 28 ans, employé tem poraire à la Compagnie d e s c h e m i n s de f e r d u N o rd , et domici­lié à Senlis, à la Biguë.

Cet individu m arié et père de quatre enfants a été laissé en liberté, m ais invité à se tenir néanm oins à la dispo­sition de la justice.

Le P arquet de Senlis a été saisi de cette affaire qui au ra son épilogue de­vant le tribunal correctionnel.

A propos des briseurs de lampes électriques

On nous écrit :Le bris des réflecteurs et des lam ­

pes et les coups de revolver tirés rue du Tem ple, sont deux faits entière­m ent distincts qui se sont produits à deux jours d’intervalle.

Dans la nu it du sam edi 17 au di­m anche 18 courant, vers m inuit, p lu ­sieurs individus ont brisé à coup de pierre, les lam pes et réflecteurs de cette rup.

Lundi 19 courant, une automobile stationnait dans la m êm e rue, quand vers 10 heures et quart, p lusieurs in ­dividus m ontèrent dans cette voiture. A ce m om ent, l ’un d’èux tira deux coups de revolver. Aussitôt après, la voiture dém arra.

Police de roulageAu cours de la sem aine écoulée, les

agents de 1a. police m unicipale, en ser­vice à la circulation, ont relevé à la charge d’automobilistes, quelques con­traventions pour défaut d’éclairage à leur véhicule et vitesse excessive à des tournants dangereux.

Etrangers indésirablesP ar application de l’article 3 du dé­

cret du 10 ju ille t 1929, réglem entant la police des étrangers sé journan t en

France, M. le Commissaire de Police, a notifié à trois ressortissants italiens en résidence à Senlis que le contrat de travail qu’ils avaient produit a été visé défavorablem ent par les services du M inistère du Travail, et que dans ces conditions, ils ne pouvaient prétendre à l’obtention de la carte d’identité de travailleurs.

Ces étrangers ont été avisés, p ar ce m agistrat, qu’un délai de hu it jours leur était im parti pour quitter le te rr i­toire français.

A la CorrectionnelleLa femm e Fleuron, née Chenevais

Cécile, 39 ans, m anouvrière, domici­liée aux Fours à Chaux, qui avait été inculpée par M. le Com missaire de police, de m enaces de mort, à l ’égard de la veuve Delayen, a été condamnée, le 28 courant, par le T ribunal correc­tionnel de Senlis, à deux mois de p ri­son avec sursis.

Suspension de permis de conduire à la suite d’un jugement de condamnation pour blessures involontairesA la suite d’un jugem ent rendu par

le T ribunal correctionnel de Beauvais et portan t condam nation pour b lessu­res involontaires, et de l’avis ém is le 13 janv ier 1931, par la Commission consultative départem entale des re­traits de perm is de conduire, M. le P ré­fet de l’Oise a pris un arrêté en date du 17 courant, à l’encontre de M. B..., fa u ­bourg Saint-M artin à Senlis et aux ter­mes duquel le droit, pour ce dernier, d’utiliser le perm is de conduire dont il est titu laire est suspendu pour une du­rée de huit jours,

M. le Com m issaire de police a notifié cette décision à l’intéressé et lui a re­tiré son perm is de conduire qui a été adressé à la Préfecture.

Mouvement mensuel des étrangersD’après les contrôles de la police,

le m ouvem ent des étrangers a été le suivant pendan t le mois de janv ier courant ;

1° ArrivéesDoux Belges.Un Polonais.Un Portugais.

2 * DépartsDeux Suisses.Un Italien.Un Polonais.Six Belges.Un Serbo croate,

soit au total 4 arrivées et 11 départs. (Ouvriers agricoles et industriels).

Pendant la m êm e période, les servi­ces de la police ont procédé au renou­vellem ent de 62 cartes d’identité.

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— Nous apprenons le prochain m a­riage de Mlle G erm aine Houlet, fille de M. et Mme M arcel Houlet, du Po- teau-Senlis, petite-fille de M. et Mme Albert Houlet et de Mme Em ile Pou­lain, avec M. Lucien Rousseau, fils de M. et Mme Oswald Rousseau, de Froyères (Oise), petit-fils de M. Ed­m ond Rousseau, Chevalier de la Lé­gion d’honneur, et de Mme Edm ond Rousseau, et de Mme Lucien Dupres- soir.- La bénédiction nuptiale leur sera donnée le sam edi sept février pro­chain, à onze heures et demie précises, en la Cathédrale de Senlis.

Quelques lettres de fa ire-part ayant été égarées, les fam illes des fu turs époux prien t leurs am is et connaissan­ces d’agréer leurs excuses et de bien vouloir considérer l’avis de fa ire-part çi-dessus comme tenan t lieu d’invita­tion à la bénédiction nuptiale.

Nous sommes heureux d’adresser nos m eilleurs vœux de bonheur aux fu turs époux et nous prions leurs fa ­m illes d’agréer nos plus sincères com pliments.

NECROLOGIE— Nous avons appris la m ort su r­

venue à P aris, en son domicile, à N euilly-sur-Seine, de la baronne d’As- tier de la Vigerie, née de France.

Elle était la m ère et belle-m ère du baron d’Astier de la Vigerie, du comte et de la comtesse de Coulombiers, de M. et Mme B audreuil de Fontenay.

Nous adressons aux fam illes en deuil, nos plus respectueuses condo­léances.

— M adame Charles H ubert et ses fils, M. et Mme Valère Perséguers, font p art du décès de Mme Veuve Hubert, leur belle-m ère et g ran d ’mère, à Bois- Colombes, le 20 janvier.

Les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intim ité.

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ÉTAT CIVIL DE SENLISdu 22 au 30 janv ier

Naissances 23. M arie-Antoinette Bonnot

Fontaine des Arènes.5 bis,

Décès22. Edouard Bossuet, 66 ans, m anou-

vrier, dem eurant à Lam orlaye, décédé 1, faubourg Saint-M artin.

23. Georges-Arthur Fleury, 64 ans, m anouvrier, 1, faubourg Saint-M artin.

23. A rm and-E m m anuel Féray, 48 ans, dem eurant à Courteuil, décédé I, faubourg Saint-M artin.

24. Mme Louise-Zoé M artin, veuve Cham bellant, 87 ans, 18, rue des J a r ­diniers.

25. Lucien M arquet, 52 ans, m anou­vrier, 1, faubourg Saint-M artin.

25. P ierre Bonnot, 65 ans, m anou­vrier, dem eurant à Creil, décédé 1, fau ­bourg Saint-M artin.

28. Mme M agdeleine Graillot, veuve Chalumeau, 85 ans, dem eurant à P lail- ly, décédée 1, faubourg Saint-M artin.

Publications de Mariages24. Entre M. M arcel-Léon Graffieaux,

employé des Pont et Chaussées à Sen­lis, et Mlle Fernande-Adèle-Léone Le­grand, sans profession, dem eurant à Bouvellemont (Ardennes).

27. Entre M. Louis-Lucien Savouret, cultivateur, dem eurant à Orry-la-Ville, et Mlle Denise-M arie Levasseur, sans profession, dem eurant à Senlis, rue du M oulin Saint-Tron.

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LE COURRIER d e L’OISE 'î

l ’adm inistration pourra procéder sur leur dem ande à la recherche des res­sources aquifères à u tiliser ptpur leur procurer des eaux de bonne qualité en quantité suffisante avec des dépenses aussi réduites que possible. Cette in ­tervention leur sera précieuse car, m al­gré les prescrip tions des circulaires m inistérielles des p rem ier octobre 1904 et 10 ju ille t 1910, la solution la m ieux appropriée aux besoins et la m oins onéreuse n ’est pas toujours adoptée.

« Lorsque des com m unes auront re­çu les renseignem ents nécessaires au su jet des eaux à utiliser, il leur ap p a r­tien d ra de fa ire étudier le p rojet p ar un hom m e de l ’art de leur choix, selon les bases indiquées.

« Lorsque les m unicipalités désire­ront bénéficier du concours des agents de l ’Etat, e lles pourront, selon leur gré, faire appel pour la recherche des eaux à utiliser ou pour l’étude du projet, auService hydraulique (Ponts et Chaus­sées), ou au Service du Génie Rural, et elles devront spécifier leur choix dans leur dem ande qui sera transm ise par le P réfe t au M inistre de l’Agricultnire, sous le tim bre de la Direction des Eaux et Forêts.

e l y s e e -c h a n t il l y l’avantage du vent et du soleil, et mène maintes attaques dangereuses. Un centre bien repris de la tête est expédié au fond des filets Bornellois, et peu après un second heading porte à deux points l ’avance des locaux. Le 3e but sera le plus beau de la partie ; l ’alier droit file le long de sa touche, centre impeccable­ment et l ’ailier gauche qui s’est' rabattu bat sans rémision le portier des « blancs ». Le repos arrive sur le score da 3 à 0 en faveur de Pont.

A la reprise, Pont vit sur son avance, et Bornel qui s’adosse au vent à son tour en profite pour attaquer sans répit. Son équipe joue bien, combine assez agréa­blement et voit ses efforts récompensés par un, puis deux buts. Mais la perspec­tive du match nul réveille les jeunes Pontois et quelques minutes avant la fin l ’avant-centre rentre le quatrième et der­nier but. Les deux équipes jouèrent avec beaucoup de coeur. Bornel possède une solide défense ; q u an t à Pont, on ne peut lu i re p ro c h e r que l’ex trêm e jeunesse de ses é q u ip iers , m ais c ’est u n défau t qu i socorrige aisément.

Match amical. — A Pont : Club Sainte- Maxence (3) bat C. S. Senlis (3) par 3 buts à 1 .

Dimanche prochain. — Match Inter­groupe de 3“ série, à Beauvais : Club Sainte-Maxence (1) contre G. S. P. Beau­vais (1).

Match amical. — A Pont : Club Sainte- Maxence (2) contre Etoile Sportive de Creil (2).

Venez lire les Scénarios des Films que nous vous présentons_____

Vendredi, 30, Samedi 31 Janvier, soirées à 21 heures

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Première Partie

ECLAIR-JOURNAL

Tlé d'hier» .. des année/ davance.avec Betty aira et L,ari ae vogi Dans la paix du monastère

où il est novice frère Paul hésite et doute. Venez à l’Elysée vous connaîtrez

sa destinée

L’adaptation musicale des films est faite par M. Jean BOCHARD

Pendant l ’Entr’acte, MusiqueL ’E T A B L I S S E M E N T D E S P R O J E T S

D’A D D U C T IO N D’E A U

Deuxième Partie Le développem ent qu’ont pris, au cours de ces dernières années, les ad ­ductions d’eau potable dans les com­m unes rurales, a am ené le P arlem ent à voter des crédits pour faciliter à ces com m unes l’établissem ent des projets d’adduction.

Comment seront utilisés ces crédits ? A qui les m unicipalités pourront-elles confier le soin d’établir un projet ? A quelles conditions sera accordée la g ra­tuité de l ’étude d’un projet ?

C’est à ces différentes questions que répond une circulaire récente du Mi­nistère de l ’A griculture dont nous re ­produisons l ’essentiel :

« Les m unicipalités dem eurent li­bres, comme auparavant, de faire éta­blir les projets à leurs fra is par les hom m es de l’art de leur choix. Dans ce cas, les projets seront étudiés et p résentés conform ém ent aux règles é- tablies p ar les textes en vigueur su r la m atière.

« Le concours technique de l’E tat ne peut com prendre l’étude complète du projet pour toutes les com m unes sus­ceptibles de bénéficier de subventions sur les fonds du Pari-M utuel, car les crédits nécessaires seraien t trop im ­portants. Pour ten ir compte des in ten­tions m anifestées p a r le P arlem ent à diverses reprises et notam m ent lors du vote de la loi du 31 m ars 1903, il y a lieu do venir p lus particulièrem ent en aide aux petites com m unes, ainsi qu’à celles dont l’alim entation laisse le plus à désirer, et, dans la lim ite des crédits m is à la disposition de m on départe­ment, l ’étude gratuite du projet pourra leur être accordée.

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avoué à Senlis.

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du 25 Mai 1929

A h t . 2Etude de Me Gaeton LOIR

avoué à Senlis 43, rue de la République a’ÉDicerie et Débit de Boissons

ex p lo ité à SEN LIS16, rue de Beauvais

dépendant de la succession de Madame ROPIQUET.

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^.Suivant acle sous seings privés en date à Paris du 31 décembre' 1930, enregistré à Pont-Sainte- Maxence le 8 janvier S931. folio28, case 13, aux droits de 9.948 fr. 56,. Monsieur DEHARVBNG Cons­tant et Madame Germaine-Andrée GUYOT, son épouse de lui auto­risée , demeurant ensemble à Pont-Sainte-Maxence, ont vendu à Monsieur LAMBEAUX Valéry, demeuramt à R ozoy-sur-Serre (Aisne), le fonds de com m erce de cidrerie et entrepôt de b iè­res qu’ils exploitaient à Pont- Sainte-Maxence (Oise5.

La prise de possession a eu lieu le P r janvier 1931.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours de la présente insertion par l ’acquéreur au fonds vendu et simultanément au Cabinet des| soussignés.

La présente insertion a paru au Journal Officiel des Ventes de Fonds de Commerce le 24 jan­vier 1931.

Pour extrait :5117 MARCEL.

Art. 9.

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Louis TERRAUD(Ex-Collaborateur et Successeur)

Membre de la Compagnie des Conseils Juridiques delà Seine

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DEUXIEME INSERTION

Suivant acte s. s. p. en date à Chambly du 14 janvier 1931, enre­gistré à Neuilly-en-Thelle, le 19 janvier 1931, folio 52, numéro 9, Monsieur et Madame Emile BOURDREZ ont vendu à Made moiselle Lucie-Henriette GUI- MIER, demeurant à Saint-Denis (Seine), rue de l’Avenir, n° 38, le fonds de com m erce de vins, liqueurs, restaurant, hôtel et cinéma, par eux exploité à Cham­bly (Oise), place du Parterre, n° 11, et rue de Paris, n° 8 , et cédé le droit aux baux.

Oppositions, s’il y a lieu, dans les dix jours de la présente inser­tion au fonds vendu pour la vali­dité, et encore à la Société Ano­nyme « LA FRANÇAISE VINI- COLE », 18, route cie Saint-Leu, à Epinay-sur-Seine.

La présente insertion a paru au Bulletin Officiel des Ventes de Fonds de Commerce le 31 janvier 1931.

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Les créanciers de la faillite- CHARPENTIER, garagiste à La- mor.ave. sont invités à se trouver le Mardi 10 Féerier 1930, à dix [ heures et demie du matin, au Greffe du Tribunal de Commerce de Senlis, place Saint-Pierre, pour la clôture d is vérifications et affirmations des créances. Cette réunion sera la dernière qui aura lieu à cet effet.

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Par jugement en date du 27 janvier 1931, le Tribunal de Com­merce de Senlis a, sur requête d’un créancier, déclaré le sieur Maurice LOURY, débitant à Ment lognou, en état de faillite ; a nom­mé M. Moquet juge commissaire et M® Henry Escavy, syndic pro­visoire.

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M" Gaston Loir, avoué à Senlis, [ 43, rue de la République ;F M® Henry Escavy, avoué à Sen- [ fis, rue de Villevert ;

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L’adjudication aura lieu le Sa­medi 1 4 Février 1 9 3 1 , à qua­torze heures, en l’Etude et par le ministère de M® Louis BARBIER, notaire à Creil, commis à cet effet.’

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M® Georges Morand, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M® Marcel Vidy, notaire à Chantilly ;

Et à M® Louis Barbier, notaire à Creil, rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Etude de M® TÊTARD, notaire à Senlis

(successeur de M® Petit).

A louer, Maison Bourgeoisesise à Senfis, place Lanavit, 13. S’adresser à M* Têtard, notaire.

A céder, petite Entreprise demaçonnerie et couverture. Tra­vaux assurés jusqu’à fin 1931. Prix demandé 15.000 fr. représen­tant la valeur du matériel. Comp­tant à débattre. 664

A louer à l’amiable, Maison Bourgeoise sise à Senfis, rue Sainte-Marguerite. — S’adresser à M® Têtard, notaire.

A vendre à l’amiable, Maison Bourgeoise sise à Senlis, rue Thomas-Couture, n® 12. — S’adr. à M® Télard, notaire.

E tude de M« LANGLOIS, notaireà Senlis.

A vendre à l’amiable, Terrain à Bâtir, 659 mètres 50, à SenlisI route de Montlévêque. — S’adr à M® Langlois, notaire.

Etude de M« DURAND, notaire à Pont-Sainte-Maxence.

A vendre aux enchères, le Sa­medi 21 Février 1' 31, à 14 heures en la Mairie de Fleurines, par lë ministère de M® Durand, notaire une Maison sise à Fleurines, en la rue du Puits-Bertaux ou dé la Mare, et 9 ares 1 O centiares de Terre, terroir de Fleurines.

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Du Samedi 31 Janvierau Samedi 14 Février

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