140

Click here to load reader

Le Bien Public 15 Septembre 2010

  • Upload
    stefano

  • View
    4.592

  • Download
    148

Embed Size (px)

Citation preview

N 238 - Mercredi 15 Septembre 2010 - 1 - Fond en 1851BIENPUBLIC.COM2298521Journede la filirechevalen BourgogneActivits/prestationsVillageexposantsEntre gratuiteDIMANCHE19 SEPTEMBRE lhippodromede Vitteaux> Dmo des disciplinesquestres : obstacle, voltige,dressage, horse-ball etc> Balades en calche> Baptmes poneys> Produits du terroir> Matriel questre> Emploi et formationdans la filire quine> Animations enfants> Buvette/repas 1117heures23318243HIMSNJ*gabaaf+[A\J\L\F\KFOOTBALL PAGE28Auxerre affronteMilan en LiguedeschampionsAprs Lyon (10 face Schalke 04, hier soir),les Bourguignons se dplacent, ce soir, en terrelombarde pour affronter le terrible Milan AC.ASSISESUn Dijonnaisjugen appel pour violIl avait t acquitt par unjury cte-dorien. AChalon-sur-Sane, unnouveau procs commence. PAGE6FAITSDIVERSAuxonne : laffaireVantillard relanceJonathan Vantillard, 19 ans, sanshistoire, avait t retrouv couvertde sang au petit matin. PAGE5ACCIDENTDUTRAVAIL PAGE5Un homme tu dansune toupiede bton Saint-ApollinaireLesptitsplatsdanslcranLes missions de cuisine, notamment les missions de tlralit, se multiplient sur le petit cran. Pour autant,arriventelles nous ramener derrire les fourneaux ? Photo Roxanne Gauthier PAGES 2 ET 3AGRICULTUREDes affrontementsavec les forces delordre ont eu lieu, hier, Rennes. PAGE 13CONOMIELesentreprisescte-doriennesdubtimentendanger PAGE 4Coupdecolredespaysans02VNEMENTCOTE-D'ORLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010GASTRONOMIE. Les Franais se remettent de plus en plus derrire les fourneaux avec lapparition sur le petit cran de nombreuses missions culinaires.Cuisineet tlvision : unduo qui fait recetteConvivialit. Elle fait partie de la cuisine en France. Latlralit le retranscrit et redonne lenvie de tisser des liens.Technique. Les astuces dvoiles la tlvision sont suivies avecattention par les tlspectateurs qui veulent les reproduire la maison.Rendezvous. Les pisodes 6 et 7 de MasterChef, mission dans laquelle lesapprentis cuisiniers rivalisent dingniosit, seront diffuss demain soir, sur TF1.Les missions de tl-ralit de cuisine sesont multiplies cesdernires annes. Pour lechef toil de lHostelleried uC h a p e a uR o u g e ,William Frachot, cest CyrilLignac qui a lanc le con-cept : Cest un prcurseur,son mission a redonn seslettres de noblesse au m-tier. Aprs avoir lanc sonprogramme, il y a eu beau-coup plus dapprentis cuisi-niers dans les CFA. De la tl la ralitDu ct de lAtelier deschef s,quidi spensedescours de cuisine en centre-ville de Dijon, la tlralitculinaire a t une aubainepour se dvelopper. Le d-cor de la boutique ressem-ble dailleurs beaucoup ceux de la tlvision. Pour-tant cette chane dcoles decuisine et son dcor a tcre en 2004, avant le d-but des programmes de tl-ralit de cuisine.LAtelier des chefs a aussiun partenariat avec lmis-sion de TF1 MasterChef. Nous avons deux anima-t i ons aut our de Mast er-Chef , explique ValrieGrandet qui a cr la fran-chi sedi j onnai se.Cescours vont se poursuivretout au long de lanne. Pour Valrie, la tlraliten cuisine, cest le reflet dela vie actuelle. Les actifs ur-bains ont envie de savoircuisiner, mais nont pas for-cment eu de transmissionde savoir culinaire commecela se faisait par le pass.De plus, en France, il y a laculture de la table et de laconvivialit autour de celle-ci. Ici toutes les tranchesdge se retrouvent et leshommes viennent autantque les femmes. Sandrine est une habitue,elle a dj pris plusieurscours dans cette cole : Audpart, je suis venue ici caron mavait offert un cours.Je ne regarde pas les mis-sions de tlralit sur lacuisine. Je prfre pratiquerplutt que de regarder. Icion apprend plein dastucesafinde raliser des plats sim-ples pour tous les jours. Patricia et Patrick sont euxvenus en couple et ne se di-sent pas influencs par latlvision pour se mettreaux fourneaux. En revan-che, le concept de latelierest trs bien : on pratique eton mange ce que lon a faitensuite. De sonct le chef de late-lier, Anthony Rabulliot,aime faire partager sa pas-sion et son got des bonsproduits : On essaye desensibiliser les gens cuisi-ner avec des produits frais.Du coup, je retrouve certai-nes personnes quand je faismon march le matin. Les missions de cuisine, ilen entend galement beau-couppar l erdur ants escours : Cela fait beaucoupdiscuter les gens. Certainsveulent savoir comment fai-re tel plat, ou quelle techni-que utiliser, ou encore avoirdes astuces dun chef. Entout cas, cela donne envieaux gens de faire plus decuisine. Un Chalonnais ayant par-ticip au Combat des r-gions de M6a mme t coa-ch par Anthony Rabulliot latelier avant son passage la tl. Dans dautres domai-nes, la cuisine prend aussiplus de place. Par exempleau niveau de la presse, com-me lexplique Marie-Hlnequi tient le Tabac des Ducs Dijon : On a plus de de-mande maintenant au ni-veaudes magazines de cuisi-ne comme celui de CyrilLignac et les titres se sontdvelopps. Mme constat au niveaulittraire la librairie GibertJoseph, galement Dijon,quicons acr epl usi eur srayons aux livres de recetteset de conseils des stars de latlralit culinaire.GRGORY [email protected] des chefs sesitue 18, rue Chaudronnerie Dijon. Pour plus de renseignement consulter le site internet : www.atelierdeschefs.frDepuis quelques annes latl a investi la cuisine, moins que ce ne soit linverse. Les Franais retournent leurs fourneaux.A lAtelier des chefs, les cours de cuisine se droulent dans la bonne humeur et la convivialit. Photo Roxanne GauthierLes missions de cuisine fontbeaucoup parler durant les cours. Anthony Rabulliot, chef de lAtelier des chefsLesastucesduchef dansvotreassietteLAtelier des chefs propose de nombreux cours tout aulong de lanne ainsi quune boutique. Durant les ateliersles lves peuvent compter sur un chef qualifi pour connatre les astuces dun vritable chef. Certains cours permettent de raliser un plat que les participants peuvent ensuite dguster autour dune table (ou emporter), les midisou les soirs. Dautres proposent dapprendre des techniques ou de travailler sur une thmatique en lien avec lesproduits de saison.LE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010CTE-D'OR / VNEMENT03Encarts publicitaires. -Grand Quetigny (ditions Rgiondijonnaise et Dijon), Bouillot Eric (dition Beaune).Que pensez-vous des missions de tlra-lit concernant la cuisine ?Je regarde toujours un peu ce qui se faitdans ce genre de programmes, mme si jesuis un peu tanche la tlcommande. Cer-tains cuisiniers amateurs ont vraiment debonnes ides et de la technique, mme si jene suis pas un trs grand fan de ces mis-sions. Personnellement je ne veux pas parti-ciper ce genre de chose, je ne veux pas fairela star la tl, pour moi la reconnaissancepasseplus par les toiles duguideMichelin. Quest-ce que cela apporte votre profes-sion?Cela redore le blasonducuisinier car les t-lspectateurs ont une meilleure image dumtier. Ce qui me fait ragir ce sont les gensduncertainge, ayant fait unmtier ncessi-tant des tudes suprieures, et qui disent aucours de ces missions avoir toujours voulutre cuisinier. Cela montre que scolairementparlant, avant, quand on ntait pas trs bon lcole, il y avait la cuisine. Maintenant lecuisinier a une meilleure image. Ce qui estbienaussi cest que les spectateurs sont sensi-biliss aux produits frais. On est all trs loinavec la malbouffe, dsormais les gens nesont plus dupes, ils prfrent bien mangerpour vivre mieux. Vos clients abordent-ils le sujet de la cuisi-ne la tlvision dans votre restaurant ? Oui, cest un sujet de conversation qui re-vient souvent table. Les clients se rendentcompte de tout le travail que ncessite lla-boration de leur plat. Toute la rflexion quily a avant de le raliser. Que pensez-vous des gagnants de ces mis-sions, peuvent-ils devenir chefs eux aussi ? On verra, mais je ne pense pas que les garsqui sortent de ce genre de programmes vontouvrir directement un restaurant et obtenirunetoileauguideMichelin. Il yacequelonvoit la tl, mais derrire il y a beaucoup dechoses apprendre avant de devenir un res-taurateur de qualit. Comme lagestiondunequipe, la connaissance des vins, etc. Cestun mtier qui peut mener trs haut, mais olon peut aussi se retrouver trs bas. SOUS LILDUCHEF WILLIAMFRACHOTWilliam Frachot, chef de lHostelleriedu Chapeau Rouge. Photo Roxanne GauthierGASTRONOMIE. Les Franais se remettent de plus en plus derrire les fourneaux avec lapparition sur le petit cran de nombreuses missions culinaires.Cuisineet tlvision : unduo qui fait recetteConvivialit. Elle fait partie de la cuisine en France. Latlralit le retranscrit et redonne lenvie de tisser des liens.Technique. Les astuces dvoiles la tlvision sont suivies avecattention par les tlspectateurs qui veulent les reproduire la maison.Rendezvous. Les pisodes 6 et 7 de MasterChef, mission dans laquelle lesapprentis cuisiniers rivalisent dingniosit, seront diffuss demain soir, sur TF1.VOTREAVISQuepensez-vousdesmissionsdecuisine?SARAHTOUCHAL22 ans, tudiante Dijon Ces missions sont int-ressantes, les gens y expri-ment leur passionet sont ju-gs sur leurs comptences.Cela donne pas mal didespour faire des petits plats la maison. Ce sont des mis-sions que lonpeut regarderenfamille et a donne enviede participer. Les comptencessont mises en valeur Mes enfants adorent cesmissions. adonneenviedefaire de la cuisine lancien-ne et enfamille. Le ct con-vivialit est aussi mis en va-leur ce qui incite organiserdes repas. Cest aussi encou-rageant car onsaperoit quedes amateurs sont capablesde russir de belles choses. HUGUESJARDINGrant de magasin Dijon Cela encouragefairedela cuisineplus saine Je suis une fande Topchef,mais enversionamricaine.Je regarde ce genre dmis-si on car cel a donne desides pour cuisiner la mai-son, cest ludique et sympa.Je suis admirative car, demon ct, je narriverai ja-mais au rsultat que les par-ticipants obtiennent. INGRIDSPEICHER36 ans, sansprofessionJadoreTopchef,maisversionamricaine !nGRAINEDEMOUTARDELes missions de cuisine donnent envie de cuisiner.Cest ce qui ressort de notre enqute sur le dvelop-pement de la tlvision culinaire. Pour atteindre ce suc-cs, les recettes sont dsormais notoires : prenez un chef,bien frais, pas trop vieux, ni trop connu au moment dulancement de lmission. Ajoutez une poigne dlvesau caractre bien tremp. Autant dhommes que de fem-mes si possible. Assemblez et narrtez jamais de remuerafindviter auspectateur de zapper. Garnissez daffectif,de conseils, de bonne humeur, de coups de gueules et detendresse, puis rservez. Dans un plat part, faites reve-nir un lve plus brillant que les autres. Vrifiez que lachair est bien rose. Et lil vif. Assaisonnez et tenez auchaud afin dassurer la succession des pisodes. Au der-nier moment, en ayant prpar une belle table, sortez legrand gagnant du four, thermostat 6. Dressez, dgustezet donnez rendez-vous la prochaine saison. En cas din-digestion, coupez le poste. Et sortez dner au restau-rant.Comme un gotde reviensyPAR JEANPHILIPPE GUILLOTSOMMAIRECtedOr p.04Faits divers p.05Justice p.06Carnet p.10Grande rgion p.12France et Monde p.13Grand angle p.18Bourse p.17Hippisme p.20Sports p.22Arts & Loisirs p.30Le portrait p.34Le forum p.35Les gens p.36LILDEDELESTRECONTACTSADRESSE7, boulevard ChanoineKir, BP 21550, 21015 Dijon CedexTLPHONE / FAX / MAIL03.80.42.42.42 / 03.80.42.42.10 / [email protected]'ORCONOMIE. Des entreprises locales souffrent des prix sacrifis de certains concurrents.Le btiment fait grise mineTendance. La surenchre dans la baisse des prix afin deremporter des marchs se retrouve au niveau national.Impitoyables. JeanLouis Paquet, prsident de la FFB21,accuse les banques de ne pas faire preuve de souplesse .Sil sagit dune surpri-se pour beaucoup, leplacement en redres-sement judiciaire de lentre-prise de btiment dijonnaiseFerraroli na fait que confir-mer les craintes de Jean-Louis Paquet, prsident de lafdration franaise du bti-ment de Cte-dOr (FFB).Celafait unanet demi queje tire la sonnette dalarme ausujet des niveaux de prix par-fois suicidaires proposs auxclients. Certaines entreprisessont aux abois, et massacrentles prix pour remporter desmarchs , indique-t-il.Sur leplandelactivit, onressent une reprise depuisjuillet, mais les prix restentbeaucoup trop bas, alors queles charges nont aucune-ment baiss , poursuit Jean-Louis Paquet. Par ailleurs, certains groschantiers sont dvolus degrosses entreprises, qui sontloin dtre toutes locales. Lasituation est dautant plusproccupante. La reprise delactivit est absolument n-cessaire, pour que les prix re-montent et quainsi le tissuconomique local soit main-tenu. Pour le moment, je re-commande nos adhrentsde rsister la baisse de prixet de rduire la voilure.Certaines entreprises ontrcemment changdemains,au plus mauvais moment. El-les mritent encore plus queles autres une aide particuli-re, que ce soit par les matresdouvrage ou par les ban-quiers , souligne le Cte-dOrien. Le march actuel com-mence frmir mais le volu-me nest pas suffisant pourremplir les carnets de com-mande des entreprises loca-les , confirme Pascal De-v r o e , p r s i d e n t d elentreprisedijonnaiseSTCE. On doit serrer les prix aumaximumpour trecompti-tif. Certains travaillent per-te pour ne pas l i cenci er.Aujourdhui, aucune entre-prise qui rpond un appeldoffres ne gagne de l ar-gent , ajoute-t-il. On est un peu rassur parla reprise de la promotionprive, qui reprsente 7 ven-tes sur 10 et qui bnficie en-core de la loi Scellier. Pour cequi est du logement social, ilest plus difficile de faire desprojections. On dirait que lescollectivits ont du mal me-surer le niveau de difficultdans lequel nous nous trou-vons , note Pascal Devroequi concl ut : Ce genredvnement doit susciter desprises de conscience, sansquoi les cas comme celui deFerraroli vont se multiplier. [email protected] secteur du btiment enCtedOr est en souffrance. Un exemple avec lentreprise Ferraroli, place enredressement judiciaire parle tribunal de commerce.Le secteur du btiment est en crise, en raison dune baisse excessive des prix. Photo archives LBPFerraroli : la dcision du tribunalLe tribunal de commerce de Dijon a confirm hier le placement en redressement judiciaire de lentreprise Ferraroli,avec poursuite dactivit. On a un an pour faire nos preuves, avec une audience tous les deux mois, pour prouvernotre viabilit. On va rduire nos cots et sintresser dautres types de march pour sortir de cette guerre de prixsuicidaires , a indiqu Denis Hascal, prsident de la socit dijonnaise, qui compte actuellement une soixantaine desalaris. Ce dernier a prcis que les salaires vont trepays et que plusieurs licenciements sont prvoir .Les difficultsde Ferraroli sontune consquencelogique de lasituation. Jean-Louis Paquet, FFB 213960 Depuisle1erjuillet, le39 60 est lenumrouniquedelAssuranceretraite, pourtout leterritoire. Il sesubstitueaunumroutilisjusqualorsparlaCarsat BourgogneetFrancheComt.Divorce. Loubna habite Chevigny-Saint-Sauveur. Elle est la maman dun garon de 10ans qui vit aux Etats-Unis et quelle na russi voir que dix jours en trois ans. lire en page 9TMOINDenis Hascal, prsidentde Ferraroli depuis unan et demi, sest exprimhier sur ce qui a conduitlentreprisetreentat decessation de paiement.En2009, onavcusur lesmarchs remports en2008, avec des prix qui setenaient encore. Actuelle-ment, on rentre trop peudaffaires car onneveut pasvendre perte. On na d-sormais plus dautres choixque de rduire les cots. DENISHASCALPrsident de FerraroliRduirelescotsLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010FAITS DIVERS / CTE-D'OR052307753Horrible accident du tra-vail, hier aprs-midi sur lesite de la socit Dijon-B-ton, route de Gray, Saint-Apollinaire : un employ delentreprise a t tu par unetoupie bton.Le drame sest droul vers 15 heures: FranckGuillermet, un homme de33 ans originaire de lIsre,tait occup au nettoyaged une toupi e, l orsque l echauffeur a remis le systmerotatif en marche.Lemploy, qui tait pen-ch au niveau de la trappe, at happ.A larrive des secours,quipe mdicale du SAMUet pompi ers de Di j on, i lavait cess de vivre.Le chauffeur du camiontoupie, extrmement cho-qu par laccident, a d trevacu sur lhpital gn-ral.Les gendarmes de la briga-de de Quetigny, rejoints parun reprsentant du parquetde Dijon et par des mem-bres de linspection du tra-vail, se sont rendus sur leslieux du drame, o ils ontouvert une enqute.Une autopsie du corps dela victime devrait se drou-ler aujourdhui linstitutmdico-lgal de Dijon.G.D.SAINT-APOLLINAIRETu dans une toupie btonAUXONNENouvel appel tmoinsdans laffaire Vantillard Laf f ai r eavai tf ai tgrand bruit dans leVal de Sane : au pe-tit matin du samedi 14 avril2007, un livreur de produitspharmaceutiques dcou-vrait au numro 4 de la ruede la Paix, Auxonne, aupied dun escalier, dans unecour intrieure, un jeunehomme d une vi ngt ai nedannes, couvert de sang,inanim. Laffaire Vantillard ve-nait de natre: JonathanVantillard, un jeune hommede19ans sans histoire, extr-mement apprci, dcdaitsix jours plus tard des suitesde ses blessures lhpitalgnral de Dijon.1 500 personnes la marche silencieuseA lannonce de son dcs,1 500 personnes staientrassembles Auxonnepourune marche silencieuse lammoire du jeune homme,handicap, lve au lyce Si-mone-Weil de Dijon. Et ilstaient encore autant assis-ter ses obsques, quelquesjours plus tard.Pendant ce temps, les gen-darmes travaillaient darra-che-pied. Et la mre de la vic-time Mme Dos Santos, sedmenait duct des mdiaspour ne pas que son fils tom-be dans loubli.Les gendarmes, aprs delongs mois denqute, taientparvenus reconstituer lesdernires heures de Jona-than.Le vendredi 13 avril, le jeu-ne homme stait rendu chezun ami, une quinzaine deminutes pied du domicilede sa mre, pour y retrouverdautres copains et passer une soire entre potes ,qui stait droule fort cal-mement.Vers minuit, ainsi qu ilavait coutume de le faire, ilavait tlphon sa mrepour lui annoncer quil ren-trait, et il avait quitt le domi-cile de son ami.Il navait t retrouv que6 h 30 plus tard, baignantdans sonsang aupiedde les-calier, 100 mtres de chezsa mre, qui demeure ruelledu Jura. Son corps portaitplusieurs fractures, notam-ment la tte.Quelquun a crois le che-min de Jonathan, entre mi-nuit et 6 heures du matin,dans le centre dAuxonne.Quelquun qui la frappavec une violence extrme.Des dizaines de personnesont t entendues, un habi-tant de la rue de la Paix a m-me t un temps incarcrpour non-assistance per-sonne endanger, mais nul nesait qui a frapp Jonathancette nuit-l, jusqu lui don-ner la mort.Les gendarmes de la sec-tion de recherches de Dijonnont pas abandonn le dos-sier, et sont toujours en con-tact avec la mre de la victi-me.Rexamen du dossierEt priodiquement, denou-velles pistes sont revrifies,les dossiers sont de nou-veaux rexamins, les scellssont de nouveau tudis.Sans que les enquteurs neprcisent de quels lmentsil sagit, quelques-uns de cesdossiers viennent dtre en-voys un laboratoire sp-cialis. Ils seront analyss,ou ranalyss partir detechniques nouvelles de po-lice scientifique et techni-que.Certitude des enquteurs,plus de trois ans aprs lesfaits : il y a eu des tmoins dece qui sest pass entre mi-nuit et 6 heures du matin,dans la nuit du 13 au 14 avril2007. Et ces tmoins ne sesont pas manifests.Anonymat garantiIls ont donc lanc hier unnouvel appel : ceux qui sa-vent quelque chose, ont sim-plement aperu ou mmeentendu quelque chose cettenuit-l peuvent se manifesterauprs des enquteurs enc o nt a c t a nt l e03.80.70.67.80. Lanony-mat peut leur tre garanti ,affirme un officier de la sec-tion de recherches de Dijonen charge du dossier, et ilfaut que ces tmoins poten-tiels sachent que mme cequi peut leur paratre le plusanodin peut tre de la plusgrande importance pour lesinvestigations .GILLESDUPONTQui a tu Jonathan Vantillard, un Auxonnais de 19ans, dans la nuit du 13 au14 avril 2007?Les gendarmes cherchent toujours etlancent un nouvel appel tmoins.Jonathan Vantillard a t tu au cours de la nuit du 13 au14 avril 2007. Photo LBPENBREFDIJONIl crache en direction des policiersUne patrouille de la brigade VTT a interpell lundi, peuaprs 19 heures, rue Chabot-Charny, Dijon, un pitonqui, la vue des gardiens de la paix, avait crach dans leurdirection. Lors du contrle et de la palpation de scurit,les policiers ont dcouvert que le piton cracheur , unressortissant gorgien g de 34 ans, domicili Mont-de-Marsan, dans les Landes, tait arm dun couteau crandarrt. Lhomme, qui a refus de dcliner son identit, at conduit au commissariat central et plac en garde vue.DIJONFeu rouge et stupfiantsUne patrouille du commissariat de secteur des Grsilles,en mission de liaison, a vu lundi vers 15 heures un vhiculela dpasser puis brler un feu rouge boulevard Franois-Pompon, Dijon. Le vhicule a t intercept quelquescentaines de mtres plus loin. Son conducteur, un Dijon-nais g de 36 ans, a t pri de se soumettre un contrledalcoolmie et untest de dtectionde stupfiantsqui arvl quil conduisait sous lemprise de la drogue. Son v-hicule a t immobilis, et il a t conduit la brigade desaccidents et dlits routiers du commissariat de Chenvepour y tre entendu.DIJONUn abribus incendiLes pompiers sont intervenus hier, vers 2 heures du matin,face au numro 219 de la rue dAuxonne, Dijon, o unabribus venait dtre incendi. La partie vitre, qui abriteles affiches, a t dtruite par les flammes. Les policiers dela scurit publique se sont rendus sur les lieux, et la sretdpartementale a ouvert une enqute.Quelquun acrois le cheminde Jonathan entreminuit et 6 heures.06CTE-D'OR / JUSTICELE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010Vous aider per-dre des kilossans fatigue nifrustration, tel estlemtier deFa-bienne MILLET-ARMBRUSTER,nutritionniste, etDidier PERRIN,ingnieur nutritioniste et ditticien,membres du rseau Maigrir2000 .Pourcesspcialistesdelanutri-tion, il est possible datteindre et deconserver son poids de forme (celuidanslequel onsesent bien, enpleine sant) en mangeant de toutet en se faisant plaisir. La russitepassepar unprogrammeconusurmesurepourlapersonne(en-fant, ado ou adulte) en fonction deson mode de vie et de ses gots.Pasdergime, pasdecaloriescompter, mais un rquilibrage ali-mentaire en profondeur, assortidexpl i cati onsclaires et pr-cises sur lesmcanismes dela nutrition, pourrapprendre tre lcoutede son corps.Aprs un bilannutritionnel gratuit, le suivi dureaussi longtempsquencessaire,en moyenne un an, le temps de r-tablir une relation saine avec lanourritureetdacqurirdfinitive-ment les bons rflexes.Maigrir 2000 en Cte-dOr :Fabienne MILLET-ARMBRUSTER,4, rue de lAncien-Hpital, 21220Gevrey-Chambertin.Tl. 03 80 58 51 39.Didier PERRIN, 29, rueNicolas-Lenoir-le-Romain, 21000 Dijon.Tl. 03 80 63 98 58.http://www.maigrir2000.comMieux se nourrir pour tremieux dans son corps !2337362(Publi-information)ASSISES. Le procs en appel dun Dijonnais sest ouvert hier devant la cour dassises de Chalon.Accus de viol par sonex :lacquitt nouveaujugLes larmes de laccusont coulplusieursre-prises hier, au palais dejustice de Chalon-sur-Sane,lors du premier jour de sonprocs en appel, devant la ju-ridictioncriminelle de Sane-et-Loire. Le 24 fvrier 2010,au terme de deux jours decomparution, lacourdassisesde la Cte-dOr prononait, lgard de ce Dijonnais de 37ans, unacquittement pour lesfaits de viol que lui reprochaitson ex-compagne. Heureuxque la justice nait pas retenusaculpabilit, il dchantait ra-pidement enapprenant queleParquet gnral, qui avait re-quis son encontre huit an-nesdeprison, et lapartiecivi-le, avaient fait appel de cettedcision.Un nouveau procs a doncdbut mardi, sous la prsi-dence du conseiller YvesPlantier. Voustesaccusdeviol. Lapeine encourue est de15ans, adclarlemagistrat laccus, en rappelant quecelui-ci avait t plac en d-tention du 2 novembre 2007au 19 mars 2008, dans le ca-dre de cette affaire. Et quenloccurrence, il stait djpr-sent libre sonpremier pro-cs.Auxctsdestroisjugespro-fessionnels, les 12 jurs tirsau sort ont dcouvert ce quitait reproch cet homme, travers la lecture de lordon-nance de mise enaccusation.Le 31 oct obr e 2007, 23 h 05, la brigade anticrimi-nalit de Dijonintervenait audomicile dune jeune femmede 22 ans, rue du Faubourg-Raines, Dijon. Pieds nus, en-roule dans une serviette, ellese plaignait, enpleurs, davoirt victime dun viol, et dsi-gnait son ex-compagnoncomme agresseur.Le mdecin qui lexaminaitquelques instants plus tarddans les locaux du Centredaccueil des victimes dabussexuels et des enfants maltrai-ts (Cavasem) relevait sur soncorps des traces de brluressuperficielles. La victimeavait notamment dclar quesonex-compagnonavait pas-s son briquet allum danssonentrejambe...Des versions divergentesInterrog, lex conjoint re-connaissait avoir eu un rap-port sexuel, mais affirmaitquil tait consenti ; et quecest elle qui avait fait le pre-mier pas en lembrassant. Ilsoulignait aussi que son ex-compagne avait eu des pro-blmes psychologiques enrai-son dabus sexuels commissur elle par songrand-pre.Lorsdelaconfrontation, quiavait suivi, chacunavait main-tenu ses dclarations ; laccu-savait considrque, par cesaccusations, sonex-conjointevoulait lui faire perdre le droitde visite et de garde de leurfille. Justement, la premiredmarche quil a entreprise,aprs lacquittement, cest endirection du juge des affairesfamiliales, pour demander pouvoir exercer son droit devisite et dhbergement dansdes conditions normales.Lexamende la personnalitde laccus a fait apparatredes problmes rcurrentsavec lalcoolisme, et deuxcondamnations pour des vio-lences, lies cet tat .Laplaintedposesonen-contre par la mre de sa pre-mire fille, pour des attouche-ment s sur l eur enf ant , adbouch sur une ordonnan-ce de non-lieu.Avec laudition de tmoinset dexperts. les plaidoiries deMeEmilieTostainpour lapar-tie civile, MeJulie Lacour ladfense, ainsi que le rquisi-toire de lavocat gnral Fr-dric Jacques, ce procs sepoursuivra jusqu jeudi.ANNEFRANOISEBAILLYLe procs en appel dun Dijonnais, accus davoir viol son excompagne, a dmar r hi erChal on. I lencourt 15 ans de rclusion.Je contesteradicalementles faits qui mesont reprochs. LaccusJessyGoussardest gde14ans, lorsquil est admis, enjuillet 2005, auxurgencesp-diatriquesduCHUdeDijon.Souffrant de douleurs lapoitrine, une radiologie estpratique. Linternequi pro-cde lexamende celle-cinidentifieaucunepathologiesusceptibledemettreendan-ger laviedeladolescent. Unmoisplustard, lammeradioest nouveauexamineparunmdecinconfirmqui dia-gnostiqueuneformationtu-moraledveloppesurlacagethoracique. Des examenscomplmentairestablissentquil sagit duncancer. Lan-nesuivante, ladolescent d-cdedessuitesdesamaladie.Depuis, safamillednoncelafautedes services hospita-liers, et rclame rparationpourleprjudicesubi devantlajuridictionadministrative.Selonles requrants, lemoisderetardprisavant lidentifi-cationrelledelamaladieadautant repoussledbut detraitement appropri.Oui ! il yabieneufauteduCHUdanscedossier, acon-firmlerapporteurpublic, quisappuyant sur un dossierdexpertise, asoulignlerreurdediagnosticcommiselorsdupremierexamen.Pour autant, cettefautea-t-elleeuuneincidencedirectesur le dcs du jeune hom-me ?Non, selonlemagistratqui atabli quelquipemdi-caleavait, unmois aprs sonerreur, appliquleprotocoledesoinsadaptscegenredemaladieet quceniveau-l,riennepouvait trereprochauxpraticiens.Soulignantparailleurs, quil sagissait duncancerassezraredont lissueest,danslamajoritdescas,fa-tale, leretardprisdansletrai-tement navait malheureuse-ment paseudincidencesurlamort dujeunegaron.Ledfenseurdesintrtsdesrequrants napas tdecetavis, soutenant aucontraire,quesi lebondiagnosticavaittralisdslepremierexa-men,ilauraittpossibleden-visager uneinterventionchi-rurgicale, laquelle auraitpeut-trepermisdesauver laviedeladolescent.Il atconcluaurejet desre-qutes. Laffaireatmiseendlibr.TRIBUNALADMINISTRATIFRetard de diagnostic fatal au CHU ?Le prsident Yves Plantier : Vous tes accus de viol. Lapeine encourue est de 15 ans. Dessin darchives ZziiggLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010CTE-D'OR07 Chaque semaine, je rends visite mes petits-enfants qui habitent Fixin. Depuis lan dernier, il ne men cote plus que 3 pour monvoyage aller-retour au lieu de 12,60 . Cest autant dargent de pocheque je peux leur donner en plus. Yvette, 68 ans, retraite,Fontaine-Franaise - Fixin Lignes 34 et 60le voyageavec unTicketCte-dOr*1,50ilyaforcmentuneformuletranScopourvouS !* tarifs et conditions sur www.cotedor.fr231847823398742339945La socit E. a t lon-guement cite, hier, la barre du tribunalcorrectionnel. Une affairecomplique, une nbuleu-se , soulignera lavocat duprvenu, anciendirecteur decettesocit. Ledirigeant estsouponn davoir mis 27fausses factures pour unmont ant de 55000 etdavoir utilis la carte bleuede lentreprise hauteur de7 000 des fins personnel-les. Mais laffaire est pluscomplique quelle ny pa-rat. Le prvenu refuse en ef-fet dendosser la responsabi-lit des fausses factures. Ilreconnat les avoir critesmais nie farouchement lesavoir envoyes aux clients. Ilvoque une comptabilitartificielle dont le prsidenttait, selon lui, au cou-rant . Du ct de laccusa-tion lancien directeur estmalmen il ment commeun arracheur de dent (...). ona voulu ( N.D.L.R. les autresdirigeants) sortir Monsieurde la panade et cela vous re-tombedessus (...) Les faussesf act ur esontt r ompl acomptabilit (...) .Le prvenu, bien quabat-tu, tente de se faire entendre.Il explique autribunal quil atravaill avec acharnementpour construire une usine.Quil na pas t pay, oupartiellement pendant lesdeuxder ni r esannes trois salaires en 2007 et unsalaire en 2008 . Quensui-te, son licenciement, ilnest pas parvenu obtenirl espapi er sper met t antd ouvr i rs esdr oi t sauxAssedic.La procureure, elle, estime que la socit na pas pros-pr sous la direction duprvenu . Elle voque lapression dont il se dit victi-me : Elle tait peut-tre l-gitime. Elle ne vous ddoua-ne pas de la responsabilitpnale. Le parquet se d-clare peu convaincu par ladfense qui dit que les fac-tures ont t envoyes parquelquun dautre . La pro-cureure requiert 6 mois deprison avec sursis.Pour la dfense du prve-nu, Matre Gavignet voque-ra un dossier incomplet: Le responsable dune so-cit, cest son dirigeant, ilsagit du prsident. La partiecivile joue gros et prfre en-tretenir la confusion (...) Ellese pose en victime (...). Onsest rveill lorsquil y a eules condamnations au pru-d homme. I l v oque23 000darrirs de salairepour son client. Lavocat ademand un supplmentdinformations et souhaitune confrontation entre lesprotagonistes. Laffaire a tmise en dlibr au 12 octo-bre.C. V.TRIBUNALCORRECTIONNELQui a envoy les factures ?Undi r i g e a n t pr v e n udavoir rdig 27 faussesfactures accuse le prsident de l a soci t de l esavoi r envoyes en touteconnaissance de cause.Lancien patron dune auto-cole tait la barre, hier. Ilcomparaissait pour agres-sion sexuelle. Les deux jeu-nes femmes venues raconterleurs msaventures nont past totalement convaincan-tes. Lune, que lon sent fragi-le, a expliqu que ce trauma-tisme avait boulevers sa vie.Le problme cest quon nevoit pas bien ou se trouvelagressionsexuellecaractri-se. Il sembleacquis, par con-tre, quemainbaladeuseetfamiliarit, riment avec lapersonnalit triviale du mo-niteur, g de 60 ans. Le pro-cureur a requis 6 mois avecsursis. Les deux jeunes fem-mes, qui ont port plainte,ont demand, elles, le rem-boursement des leons deconduite. Dlibr le 12 oc-tobre.C.V.TRIBUNAL CORRECTIONNELZro de conduite08CTE-D'ORLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010CETTESEMAINE443870696-QuantitlimiteetnonrenouvelableBEAUNE - rue GuynemerCHTILLON-SUR-SEINERoute de TroyesMARSANNAY-LA-CTE708 rue de Ia Pice CornueMONTBARD - Rte de SemurFinsdesrieLIVRESJardinage, BD,loisirs cratifs... Chansonsd'artistes en BD : 195 Planter, soigner,rcolter :................350SurstockdufournisseurDVDComdies musicaIeset romantiques Le lot de 3 DvD : .. 995FinsdelogeVINS Ctes de Blaye,la bouteille de 75 cl :........... 350(soit 467 le litre) Ctes de Bourg,la bouteille de 75 cl :........... 350(soit 467 le litre) Muscatde Beaumes de venise,la bouteille de 75 cl :............. 750(soit 10le litre)*L`abus d`alcool est dangereux pour la sant, consommer avec modrationAGENDASSCOLAIRES2010-2011 Ex. : L'agenda 12x17 cm :..................................0952340278Les deux jeunes gens,qui comparaissaienthier matin, au tribu-nal correctionnel, avaienttinterpells1erfvrier2009, alors quils venaientde pntrer, de nuit, dansune maison abandonne,non loin du port du Canal.Les prvenus ont expliquaupr si dent Chal opi nquils avaient investi cettemaison pour la nettoyer afin dy loger une famille deRoumains qui navait plusde toit. Un voisin, qui avaitvu lun des hommes pn-trer dans la maison avaitprvenu la police qui taitintervenue.La dfense, par la voix deMatre Estve, na pas m-ch ses mots : Ces jeunesgens sont deux militants, ilsse retrouvent devant vouspour avoir refus le prl-vement biologique ADN, siintrusif. Ce prlvement estrservauxvolsetdlitsquand il y a des indices gra-ves et concordants, ce quinest pas le cas dans ce dos-sier. Et le vol, dont ils sontaccuss, nexiste pas. Pour pntrer dans le pa-villon, les jeunes avaientcoup une chane. Les poli-ciers les avaient dcouvertsport eursd unepel l eenplastique et dun seau. Lesforcesdelordreavaientgalement trouv trois bou-teilles de vin et un pot deconfiture.Les militants ont ni avoirvul esboutei l l esetvol quoiquecesoit. Noustions l pour nettoyer lacave et la prparer pour lafamille. Matre Estve ademand la relaxe pour levol et la nullit pour le re-fus du prlvement.Laffaire a t mise en d-libr au 12 octobre. la sortie du tribunal ungroupe compos des mili-tants dAttac, de la Caissede solidarit, de la confd-ration paysanne, du CNT,du collectif Un toit pourtoi , de lespace autogrdes Tanneries, a salu la r-sistance des deux insoumis.Le rassemblement sest d-roul dans le calme et enprsence de policiers.C. V.TRIBUNALCORRECTIONNEL. Laffaire est en dlibr.Insoumis aufichage ADNDeux jeunes militants, quiavaient refus un prlvement ADNlissuedunearrestation, ont comparu, hieren correctionnel. la sortie du tribunal un groupe de manifestants attendait les deux prvenus. Photo C. V.Lecomitdpartemental delUMP21, prsideparAlainSuguenot, sesttenulundi soirTalant,enprsenceduminis-treMarc-PhilippeDaubresse,secrtairegnral adjoint delUMP. Loccasiondefaireva-lider, auprsdes80personnesprsentes, desdcisionsprisesenbureaupolitiqueet notam-ment les candidatures auxlections cantonales. Lesnomsdesecrtairesdparte-mentauxadjoints sont aussidornavantconnusenatten-tedelavalidationdfinitivedeParispourtravaillerauctdePierreBolze, chargdemis-sion. Ainsi, lluedijonnaiseetconseillrergionaleCatheri-neVandriesseprendenchargelepleRelationavecleslusetFormation(elleseraassistede Pierre Jacob), DamienThieuleux, djlattedesJeunespopulaires, lepleAni-mationetDbats(assistdAn-ne-MarieMeney-Rollet),Jean-PhilippeMorel, prsident duparti radical Valoisienet luLongvic, lepleRelationavecles mouvements associs,Jean-CharlesBonnet, lepleNouveauxadhrents et St-phaneLang(assistdeLouisSamouillanet MartinMa-thieu), lepleCommunica-tion.Anoter galement quunclubdesmairesatconstitu,avecsatteJean-MarieFai-vret (mairedEguilly) et AlainCharlet. Ilsauront enchargeles relations avecles lus lo-caux. Quant auxlectionsin-ternes, lesmembresdescomi-tsdecirconscriptionsserontconnusfinoctobre. Ilslirontensuiteleprsidentversfinno-vembre.C.B.INFORetrouvezlescandidaturessoutenuesparlUMP21auxcantonalessurnotrewww.bienpublic.comPOLITIQUEDu nouveau lUMP 21Lasuppressiondelanavettequi reliait la gare TGV deMontbardAvallon(Yonne),effective depuis le 1erseptem-bre, provoquedenombreusesractions de mcontente-ment. Selonle conseil rgio-nal, cette dcisiona t moti-ve par le double emploi quereprsentait ceserviceaveclaliaison TERAvallon-Paris.Uneligne sur laquelleprs de18millions deuros ont t in-vestis et qui met, pour relierlYonnelagaredeBercy, unquart dheure de plus que lasolutionqui combinait bus etTGV. Pour unprix toutefoismoins lev (30 contre50).CommunicationReste que la ligne de bus as-surait desarrtsdansdesvilla-ges de la Cte-dOr (Toutry,Epoi s s es , Cor r ombl es ,Athi e) et l es habi t antsavaient prislhabitudedeluti-liser pour faire laller-retoursoit Montbard, soit Aval-lon, dans la matine. Jai re-udenombreuxcourriers d-plorant cette dcision ,assure Marcel Chastang, lemairedEpoisses, qui dplorepar ailleurs un manque decommunication. Le servicec ot a i t cha q ue a nn e200 000euros pour untrafictotal de 16 500 voyageurs.Pourtant lamotivationnestpas financire. Il sagit deredi-riger les voyageurs pour Parissur laligneTERpour laquellenous avons consenti ungroseffort financier, assure-t-onladirectiondes transports dela Rgion. Reste que les usa-gers des arrts intermdiairesvoient unservice disparatre.M. Chastang voque, pour yremdier, la mise en placedune navette cofinance parleDpartement et lescommu-naut s de communes deMontbardet Semur. MONTBARDLe bus dAvallon supprimENBREFEXPULSIONRassemblementdevant la prfectureLe rseau Education sansfrontire organise un rassem-bl ement , vendr edi 17 18heures, devant la prfectu-re, pour dnoncer la politi-quedes expulsions. Lerseauprendlexempledunefamilletchtchne, parraine enjuin, qui a t arrte dbutseptembre et envoye encen-tre de rtention Lyon. La fa-mille a refus dembarquer, lecentredertentionapris actede cette volont, mais la fa-mille a t mise la rue.TABLE RONDELogement et prcaritUne table ronde Logementet prcarit est organisejeudi 7octobre, 18heures, la Maison des Associations,1, rue des Corroyeurs, Di-jon. Avec Manuel Domergue(Collectif Jeudi Noir, journa-liste Alternatives conomi-ques), Jean Frouin (Ligue desDroits delHomme), ThomasPlace (MACIF), Yves Gros-prtre (CNL), Bernard Tho-mas (ALIS).LE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010CTE-D'OR092340468La nouvelle AUDI A1entre en scneLe lancement de la nouvelle AudiA1 a runi, jeudi 9 septembre, prsd'unmillierdepersonnesauZ-nith. FranckRopert, directeur, etles quipes des concessions MGCMotorsdeDijonet Beaune, ontlev le voile sur cette citadine high-tech. Elgamment prsents surdes podiums, dans une ambiancedigne d'un Salon de l'auto, les v-hiculesontsuscitl'engouementdes visiteurs.Sophistique et dynamique, l'A1arbore une ligne sobre et lgante,teinte de sportivit. Ses mensura-tions rduites lui confrent une agi-lit sans gale. Vritable concentrd'nergie, elle met enuvre lemeilleur des technologies actuel-les : downsizing, turbocompres-sion, ESP, injection directe,Stop&Start... Ses moteurs TFSiet TDi font rimer puissance et co-nomie.Dans l'habitacle, place au luxeavec un design recherch, desmatriaux de haute qualit et desfinitions soignes dans les moin-dres dtails. Les options (systmede navigation, phares automa-tiques, clairage intrieur led, clen main libre...) ajoutent auconfort.Disponible en quatre niveaux de fi-nitions, l'Audi A1 se distingueaussi par ses nombreuses possi-bilits de personnalisation.A dcouvrir chez MGC Motors : DIJON-SUD2, rue Jean-MoulinCHENVETl. 03 80 54 90 00 BEAUNERoute de Beaune - RN 74LADOIX-SERRIGNYTl. 03 80 26 40 53(Publi-information)Sur laphoto, Jamel porteluniformedes tudiantsamricains, avecuncha-peaudeformecarre. Lepetitgaronnapas encore10ans,mais dans les yeux de sa ma-man, LoubnaEl Bakkouri, onperoit de la fiert, mle beaucoupde tristesse. Parcequelhistoiredecet enfant estavant tout celledundchire-ment. Pour comprendre, ilfaut remonter 1999. Cetteanne-l, Loubna, qui demeu-re aujourdhui Chevigny-Saint-Sauveur se rend auxtats-Unis, enFloride, oestinstallundeses cousins.Elledisposedunvisatouris-tique valable seulement troismois. Mais l-bas, ellerencon-trecelui qui vadevenir lepredupetit Jamel, unAmricain,quelle pouse fin 2000. LecouplesinstalleenArizona, Tucson mais Loubna nac-complit pas les dmarches luipermettant de rgulariser sasituation.Leffet 11septembreLe 7 juillet 2001, son petitgaronnat et dans les moisqui suivent, la jeune mamandoit trehospitalise. Cest lqueles services delimmigra-tionamricains lareprent unmomentoilssontparticu-lirement sur les dents : les at-tentats du11septembrevien-n e n td es ep r o d u i r e .Interpellepuis incarcre, lajeune femme est finalementexpulsedes tats-Unis dbut2002, frappedune interdic-tiondentre sur le territoireamricainpourdixans. Dbu-te alors une sparationdou-loureuse qui natoujours paspris fin ce jour. Jai pure-tourner au tats- Unis en2007, avec une drogation,pour divorcer dupre de Ja-mel. Il aobtenusagardemaisla dcisionde justice lui faitobligationdenvoyer notrefilsdeux fois par an en France,afin quil puisse tre avecmoi , explique-t-elle.Une obligationqui reste unvupieu : depuis le divorce,Loubna El Bakkouri na vusonfils enFrancequunefois,durant dixjours, lt 2008,avec unpre omniprsent etlaissant trs peu de libert sonex-pouse, dans ses rap-ports avec sonfils. Dix joursentroisans : onest trsloinducompte et la jeune maman,qui arefait saviedepuiset aeuunautrepetit garongde2ans, sedsespre : jesuis d-munie. je nai pas les moyensdobliger lepredeJamel seconformer ses obligations,jai limpressionquelelienestdeplus enplus distenduavecmonfils. Jenveuxbeaucoupltat amricainpour cettesi-tuationBERTYROBERTCHEVIGNY-SAINT-SAUVEURUnemre, unfilset unocanEn 2006, nous avi ons racont lhistoire de LoubnaEl Bakkouri. Quatre ans plustard, cette jeune maman esttoujours prive de son fils.Un lien avec son fils de plus en plus difficile maintenir pour Loubna El Bakkouri. Photo B.R.En qute de soutiensPlutt dmunie face une situationola distance et ladministration dun pays tranger sont autant de barrires difficilement franchissables, Loubna El Bakkouri cherche changer sur ce quelle vit avec dautres personnes confrontes des cas similaires. Vous pouvez lui crire ladresse suivante : [email protected]. Dans son dition du 31 janvier 2006, le Bien public avait dj voqu sonhistoire et lpoque, la jeune maman avait reu de nombreux messages de soutien.Jailimpressionde navoir tquune mreporteuse pour lui. Loubna El BakkouriLe portraitde Jean-Pierre Billoux,propritairedu Pr-aux-ClercsLe dossier de lasemaine : laroportDijon Bourgognese prpare undcollage imminentBoostAvenir : chasseur de ttespour la mtallurgieDemaindansEcoplus21, retrouvezENBREFCONFRENCEChangementsenvironnementauxetmaladiesinfectieusesLe23septembre11heures, danslamphithtreMartin(1ertagedelafacultdeMdecine, B1), leprofesseurJean-FranoisGugandonnerauneconfrencesurlethme : Changementsenvironnementauxplantaireset maladiesinfectieusesmer-gentes.Jean-FranoisGugan,directeurdeRecherchelInsti-tut derecherchepourledveloppement Montpellier, profes-seurlEcoledesHautesEtudesenSantPubliqueRennesetParisetenseignant-chercheurlUniversitdeMontpellierIIoil enseignelcologieet lvolutiondesmaladiesinfectieu-ses, etmembreduHautConseil delaSantPublique, arcem-ment conduit larflexioninterministriellesurlechangementclimatiqueetsesimpactssurlasantenFrance.10 CARNETTl : 03.85.90.69.19Fax : 03.85.94.02.54www.bourgogne-obseques.comLE BIEN PUBLICMercredi 15septembre 2010Depuisplus de 20 ansau servicedes famillesROC ECLERC votre coute2302018DIJONQUETIGNYBEAUNECentre funraire222, rue d'Auxonne(face cimetire)03 80 67 20 73Grande surface funraireet expo monuments17, rue des Chalands03 80 71 92 9221, av. des Stades(face cimetire)03 80 24 98 98FAUVERNEYM. et Mme Michel JACQUINOT,M. Daniel JACQUINOT,M. et Mme Michel TROJAK,ses enfants ;Catherine et Denis BONIN,Isabelle et Bernard LAMOURET,Benoit TROJAK et Laurence ROBERT,Arnaud TROJAK et Emilie ROSSIGNOL,ses petits-enfants ;Guillaume, Mathieu, Adrien, Loc,Quentin, Antonin, Thomas,ses arrire-petits-enfants ;Mme Michelle CHADOEUF,Mme Colette CHADOEUF,M. et Mme Jean CUROT,M. et Mme Alain CUROT,M. Jacky CUROT,ses neveux et nices ;ses cousins et cousines ;et toute la famille,ont la tristesse de vous faire part du dcs deMadameJeanne JACQUINOTne CHADOEUFsurvenu Dijon le 14 septembre 2010dans sa 98eanne.Ses obsques seront clbresle vendredi 17 septembre 2010 14 h 30 en lglise de Fauverneyo lon se runira.Condolances sur registres.Fleurs naturelles uniquement.Elle est partie rejoindre pour lternit son mariArmanddcd le 24 mars 1981.La famille remercie particulirement le personneldu Doyenn pour son dvouement.Cet avis tient lieu de faire-part et de remerciements.Pompes funbres Denis - GenlisTl. 03 80 37 70 67AVIS DE DCSLONGVICLe monde combattant deLongvic AAMAC FNACA a leregret de vous faire part dudcs de leur adhrent etamiJacques ROUSSELOTAncien combattant AFNLesobsquesaurontlieulejeudi 16 septembre 9 h 45enlasalleducrmatoriumde Dijon Mirande.BEAUNEMARCILLY-SUR-TILLEM. Andr VUILLAUME,son poux ;Martine MARTIN,Christine BOCCON et Jacques,ses enfants ;Stphanie et Pierre-Emmanuel,Tiphaine, Thomas et Anna,ses petits-enfants ;ainsiquetoutelafamilleetses amis,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMadameArmelle VUILLAUMEne BROCARDsurvenu le 13 septembre2010 lge de 75 ans.Ses obsques religieusesseront clbres le vendredi17 septembre 2010 15 heuresenlgliseSaint-Nicolas de Beaune.Condolances sur registres.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Roc-Eclerc BeauneTl. 03 80 24 98 98MESSIGNY-ET-VANTOUXJeanne MAROTEL,son pouse ;Ren, Marie, Pascale,Denise, Georges,ses enfants et leurs conjoints ;ses petits-enfants et arrire-petits-enfants ;ainsi que toute la famille,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMonsieurJean MAROTELsurvenu le 14 septembre2010 lge de 80 ans.La crmonie religieuseaura lieu le vendredi 17septembre 2010 10 h 45 enlglise de Messigny-et-Vantoux.Condolances sur registres.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Roc-Eclerc DijonTl. 03 80 67 20 73CHENVEMauricette BRAUD,son pouse ;Marie-ChristineBRAUDetMichel LEMOINE,Florence et Philippe BOUQUET,ses filles et ses gendres ;Oliver BOUQUET,son petit-fils ;Colette GAILLARD et MoniqueBOUCHER,ses belles-surs ;ainsiquetoutelafamilleetses amis,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMonsieurPierre BRAUDsurvenu le 13 septembre2010 lge de 78 ans.La crmonie religieusesera clbre en lgliseSaint-Nazaire de Chenve levendredi 17 septembre 14 h 30suiviedelinhuma-tion au cimetire deChenve.Votretmoignagedesym-pathiepourrasinscriresurun livre damiti.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Roc-Eclerc QuetignyTl. 03 80 71 92 92FRANXAULTMme Berthe VIELLARD,son pouse ;Jean-Claude et AnnieVIELLARD,Christiane et Marc VIARD,Annie et Pierre-FranoisDEVOS,ses enfants ;Christian et Valrie,Emmanuel et Valrie,Valrie et Grald,Xavier et Marjorie,Christophe et Nathalie,Stphan et Karine,ses petits-enfants ;ses arrire-petits-enfants ;Ginette VIELLARD,sa belle-sur ;ses neveux et nices ;ainsi que toute la famille,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMonsieurGrard Andr VIELLARDsurvenu le 13 septembre2010 dans sa 91eanne.Ses obsques auront lieu levendredi 17 septembre 201011heures enlglisedeFranxault.Condolances sur registres.Ses enfants remercient lepersonnel de lEHPAD deSaint-Jean-de-Losne pour sondvouement et sa gentil-lesse.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.PF Giraudet - Saint-Jean-de-LosneTl. 03 80 39 06 88SAULIEU - ISLANDM. Pierre GANDON,son poux ;M. et Mme Vroniquede SAINT CHARTRIER,sa fille ;ses petits-enfants ;et toute la famille,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMadameAndre GANDONsurvenu le 13 septembre2010 lge de 79 ans.La crmonie religieusesera clbre le jeudi 16septembre 2010 10 h 30 enla basilique Saint-Andochede Saulieu.Condolances sur registres.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.MmeGANDONreposelachambre funraire SaintSaturnin de Saulieu.DIJONVOULAINES-LES-TEMPLIERSLEUGLAYMme Claudine OLIVEIRA,son pouse ;M. et Mme Marcelle et RenOLIVEIRA,ses parents ;Christelle OLIVEIRA,sa sur et Francis ;M. et Mme Christiane etPierre LAMOTHE,ses beaux-parents ;ses belles-surs et beaux-frres ;toute la famille et amis,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMonsieurLaurent OLIVEIRAsurvenu accidentellement le13septembre2010lgede 46 ans.La crmonie aura lieu jeudi16 septembre 2010 10 h 30en lglise de Voulaines-les-Templiers o lon se runira.Laurent repose au funra-rium les Trois Lys 5, avenuede la Gare, 21400 Chtillon-sur-Seine.Condolances sur registres.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.HP RaillardTl. 03 80 91 03 37DIJONM. et Mme Michel CORNETET,Mme Monique PETITHUGUENIN,M. et Mme Christian DELAINE,Mme Martine ANOUILH,ses enfants ;Isabelle et Philippe, Sverineet Alexandre, Erik et Ann,Magali et Franck, Benjamin,Silvre, Alexandre,ses petits-enfants ;Axel, Julie, Samuel, Loris,Mlina, Arthur, Emilie,ses arrire-petits-enfants ;les familles ANOUILH,BILLEY, FEURTEY,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMadameAnne-Marie ANOUILHne BILLEYsurvenu le 14 septembre2010 dans sa 98eanne.Les obsques serontclbres en la chapelleSaint-Martin de Fontaine-ls-Dijon le vendredi 17septembre 15 heures.InhumationaucimetiredeFontaine-ls-Dijon danslintimit de la famille quirappelle votre souvenirson pouxGastondcd en 1994,son filsPascaldcd en 1960,son gendreJean-Mariedcd en 1983.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes Funbres Meurdra DijonTl. 03 80 65 21 22SAINT-APOLLINAIRELes membres du bureau, lesadhrents, les sympathisantsdelaFNACA, ont leregretdevousfairepartdudcsde leur adhrent et amiMichel MICHELINSes obsques auront lieu lejeudi 16septembre201013h45enlasalledecr-monie du crmatoriumdeDijon-Mirande.LE BIEN PUBLICMercredi 15septembre 2010Tl : 03.85.90.69.19Fax : 03.85.94.02.54www.bourgogne-obseques.comCARNET119h30 : MmeSuzanneMo-thr. Eglise Sainte-Chantalde Dijon.9h30 : M. PierreRemond,82 ans. Eglise Notre-DamedAuxonne.9h45 : MmeSuzanneDrie,neLeclerc, 86ans. Crma-torium de Dijon.10 heures : Alain Bril, 81 ans.Eglise Saint-Bernard de Di-jon.10 h 45 : M. Claude Mathieu,ditDomi ,67ans.Crma-torium de Dijon-Mirande.10h45 : M. PhilippePetot,53 ans. Eglise de la Visitationde Chevigny-Saint-Sauveur.11 heures : M. Roger Beu-chot, 83 ans. Eglise de Beire-le-Chtel.11heures : MmeAliceSau-ner, 95 ans. Eglise de Pontail-ler-sur-Sane.13 h 45 : M. Francis Gros, 53ans. Crmatoriumde Dijon-Mirande.14 h 30 : M. Frdric Alle-mand, 46ans. EgliseSaint-Paul Dijon.14 h 30 : Mme FernandeBoyard, ne Desvoyes, 95ans. Eglise Sainte-Chantal deVenarey-Les Laumes.14 h 30 : M. Lucien Gauthier,80 ans. Eglise Saint-Sympho-rien Nuits-Saint-Georges.14h30 :M. RogerLliebelin,81 ans. Eglise dtevaux.14 h30 : Alphonsine Yong,88ans. EglisedeGrosbois-en-Montagne.14 h 45 : M. Jean-Pierre Fro-gnet, 61 ans. Crmatorium deMirande.15 heures : Mme GilbertePierrot, neDumay, 90ans.Eglise Notre-Dame Joinville(52).15h30 : MmeSimoneTrul-lard, ne Chapuis, 86 ans.Eglise de Losne.16heures : M. Daniel AubinLegros, 45ans. EgliseSaint-Jean de Libourne (33).BEAUNESon pouse, ses enfants,ses petits-enfants, ses arrire-petits-enfants et ses proches,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deMonsieurGrard JAILLETsurvenu le 10 septembre2010 dans sa 81eanne dessuites dune longue maladie.Danssoncombat contrelamaladie, il est rest digne etcourageux.Ses obsques religieusesont eu lieu en lglise Saint-Nicolas dans lintimit.La famille remercie tout par-ticulirement son mdecintraitant, les infirmires do-micile, le groupement desprofessionnelsdesantduPays Beaunois, la MutualitFranaise et lunit de soinspalliatifs ainsi que lesservices de mdecine II etdurgence de lhpital deBeaune.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Roc-Eclerc BeauneTl. 03 80 24 98 98LOSNE - DIJONLes familles MANGONOT etSARLIN,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deMadameColette MANGONOTsurvenu le 14 septembre2010 lge de 97 ans.Ses obsques serontclbres le vendredi 17septembre 2010 15 heuresenlglisedeLosnesuiviesde linhumation au cime-tire de Chaugey.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.PF Giraudet - Saint-Jean-de-LosneTl. : 03 80 39 06 88VELARS-SUR-OUCHERomain BIDAUX,son poux ;Agns MONO,Isabelle BIDAUX et FrdricTOUSSAINT,Jean-Franois et ChristineBIDAUX,ses enfants ;Matthieu, Thomas, Julien etElodie,ses petits-enfants ;Jeanne DPINANT,Antoinette et Jean-ClaudeRECEVEUR,ses surs et beau-frre ;Sylvette MATTONI,Rgis et Suzanne BIDAUX,Jeannine BIDAUX,ses belles-surs et beau-frre ;ses neveux et nices ;et toute la famille,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deJacqueline BIDAUXsurvenu le 13 septembre2010 lge de 67 ans.Ses obsques auront lieu enlglise de Velars-sur-Ouchelevendredi 17septembre14 h 30 suivies de linhuma-tionaucimetiredeVelars-sur-Ouche dans lintimit dela famille.Condolances sur registres.Pompes Funbres Meurdra DijonTl. 03 80 65 21 22JOUEY - CHTELLENOTEmmanuelle et Serge BEGAT,Ludovic DUREUIL,ses enfants ;Arnaud, Solne,ses petits-enfants ;Lucien et Jeannette DEMIZIEUX,Louis et Marie-ThrseCHAPUILLIOT,Jean-Franois et ChantalCHAPUILLIOT,Pierre CHAPUILLIOT,ses belles-surs et beaux-frres ;ainsiquetoutelafamilleetses amis,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMadameMarie DUREUILne PERROTdite Maguy survenu le 13 septembre2010 lge de 71 ans.La crmonie religieuseaura lieu le vendredi 17 sep-tembre201010h30enlglise de Jouey.Condolances sur registres.Lafamillerappellevotresouvenir son pouxJeandcd en 2006.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Maguy repose aux EtsGermain 5, rue des TroisTourelles, 21230 Arnay-le-Duc (salon Mercure).ANCY-LE-FRANC (89)LAIGNESMOUTIERS-SAINT-JEANJean LEWANDOWSKI,son poux ;Aude MAUGUERET et SbastienBENOIST,BriceMAUGUERETetJulieGRANGER,ses enfants ;Timo, Allan,ses petits-fils bien aims ;Evelyne et Robert JUANICO,Claude et Alain BASSAL,Hlne et Christian FOURGAUT,ses surs et ses beaux-frres ;ses neveux et nices ;toute la famille et ses amis,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deLise LEWANDOWSKIne HURAULTsurvenu Auxerre le 14septembre2010lgede59 ans.Lesobsquesaurontlieulevendredi 17 septembre 201011heuresenlachapellede lespace funraire deSemur-en-Auxois.Selon ses volonts, le corpsseracrmatis, lescendresreposeront au cimetiredAncy-le-Franc.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Mme LEWANDOWSKI re-pose lespace funraire deSemur 9, avenue Pasteur.DIJON - LE PUY-EN-VELAYMme Colette GALLET,son pouse ;Jean-Louis GALLET,Patrick GALLET,ses fils ;Clment, Julien, Antoine,ses petits-fils ;Sur Marie-Chantal GALLET,sa sur ;lesfamillesGALLET,PATINet toute la parent,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deMonsieurLouis GALLETConseiller honoraire la Cour dappel de Dijonsurvenu le 12 septembre2010 dans sa 88eanne.La crmonie religieuseaura lieu le jeudi 16 septem-bre 9 h 45 en la cathdraleSaint-Bnigne Dijon olon se runira.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Jedemandecequade-mand le larron repentant (Hymne ADORO TE).Pompes funbres gnrales DijonTl. 03 80 68 00 00TICHEYSAINT-APOLLINAIRETALANTSAINT-JEAN-DARMAGNAC (40)Jean-Pierre BENETON,son fils et Dominique sacompagne ;Fabrice, Emmanuel, Mickal,ses petits-fils ;Dylan,son arrire-petit-fils ;ses surs, son frre, sonbeau-frre, sa belle-ur ;sesneveux,nices,cousinset cousines ;et toute la famille,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMadameJeanne BENETONne BOURGsurvenu le 14 septembre2010 lge de 83 ans.Jeanne repose la chambrefunraire de Seurre.Ses obsques religieusesseront clbreslesamedi18 septembre 9 heures enlglise de Tichey o lon serunira, suivies de linhu-mation dans lintimit fami-liale.Condolances sur registres.Le prsent avis tient lieu defaire-part et de remercie-ments.Pompes funbres Bordes - SeurreTl. : 03 80 21 03 20SAVIGNY-LS-BEAUNEBAYARD-SUR-MARNE (52)Dominique REGNIER etFlavia,Brigitte et Patrick BOURGOGNE,Emmanuelle et PhilippeBARRAU,ses enfants ;Maud et Vincent,Nicolas-Thomas et Florence,Anne-Sophie et Alejandro,Simon,Antoine, Louisa,ses petits-enfants ;Jean BARRADEL,son frre ;ses neveux et nices,ont la tristesse de vous fairepart du dcs deGisle REGNIERsurvenu le 14 septembre2010 lge de 84 ans.Ses obsques auront lieu levendredi 17 septembre 10 h 30 en lglise deSavigny-ls-Beaune.Gisle repose au funrariumde Beaune.La famille remercie lquipesoignante du centre NicolasRolin pour son dvouementet sa gentillesse.Ellerappellevotresouve-nir son pouxJeandcd en 2000,Jeanne-Marie et Madeleineses belles-surs,Dominiqueson neveu.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Bordes - BeauneTl. 03 80 22 29 07SEURRE - JOIGNY (89)LE MAURICERose-Marie FERREIRA,sa compagne ;Franoise RABUTEAU PARRY,Daniel et Cline RABUTEAU,ses enfants ;Nicolas et Rocaya,Mlanie et Franck,Stphane et Virginie,ses petits-enfants ;La, Coleen, Valentin, Luna,Mah,ses arrire-petits-enfants ;ses surs, beaux-frres ;ses neveux, nices, cousins ;et toute la famille,ont la douleur de vous fairepart du dcs deMonsieurJean RABUTEAUdit Johnny survenu le 13 septembre2010 lge de 84 ans.Jeanreposeenlachambrefunraire des Ets ChristianBordes Seurre.La crmonie religieusesera clbre le vendredi 17septembre 14 h 30 enlglise de Seurre.Les condolances serontreues sur registres.Lafamillerappellevotresouvenir son pouseShirleydcde en 1983,sa filleSuzannedcde en 2010.Cet avistient lieudefaire-part et de remerciements.Pompes funbres Bordes - SeurreTl. 03 80 21 03 20REMERCIEMENTSCORGOLOINMme Corinne CASLANI-BCHE ;Julien et Alexis ;Mme Danile CASLANI ;toutesafamilleetsabelle-famille,trs touchs par les marquesde sympathie et damiti quileur ont t tmoignes lorsdu dcs deMonsieurValry CASLANIet dans limpossibilit derpondre individuellement tous, remercient toutes lespersonnes qui se sontassocies leur peineparleur prsence aux obsques,envoisdefleurs, messagesde condolances et lesprient de trouver ici lex-pression de leur profondereconnaissance.OBSQUESAUJOURDHUI12CARNET / GRANDE RGIONLE BIEN PUBLICMercredi 15septembre 2010Le village dHoutaud, lasortie de Pontarlier, dans leDoubs, a t paralys durant4 heures, vendredi, causedun homme qui se disait ar-m et stait retranch dansles combles de la maison deson ex-compagne.Lhomme, g de 42 ans,trs nerv, avait t rendufurieux aprs une visite Po-le Emploi qui stait mal pas-se.Le forcen se trouvait dansune rue passante proximi-t de commerces et la circu-lation a t coupe dansHout aud,cequiaposdnormes problmes: lacommune est traverse cha-que jour par 13 000 vhicu-les.Les gendarmes ont donnlassaut vers 18 heures, pourdcouvrir le forcen sans ar-mee te nc ompl e t t a tdivresse. Il a t conduit lhpital de Pontarlier.HOUTAUD(25)Un forcenparalyse le villageDeux enfants gs de troisans et 6 mois ont d trehospitaliss, samedi, versminuit, aprs avoir t in-toxiqus par les fumes dunincendie qui stait dclardans la cage descalier deleur immeuble, dans le quar-tier des Champs-Plaisants, Sens.Les jours des enfants nesont pas en danger.Lorigine de lincendie se-rait criminelle : quatre pous-settes auraient t incen-dies dans le hall.SENS (89)Deux enfants intoxiqusdans un incendie criminelUne nouvelle absinthe (la14e) vient de natre dans leHaut-Doubs : La Cluse-et-Mijoux, la distillerie Pernotvient de crer la Berthe deJoux(dunomde cette femmedont le mari, rentr des croi-sades, tua lamant avant delenfermer dans une celluleo elle ne pouvait se tenirqu genoux avec pour seulevue le gibet auquel pendaitlamant) qui titre 56 degrs.Le Haut-Doubs devraitcompter encore deux nou-velles absinthes dans quel-ques semaines : la distillerieGuy et la distillerie Pernotprparent chacune une nou-velle fe verte pour les dixi-mes Absinthiades , du 1erau 3 octobre.LACLUSE-ET-MIJOUX(25)Une nouvelle absinthe 56 degrsLes radars automatiquesinstalls Longeau, Ville-gusien et Vaux-sous-Aubi-gny, en Haute-Marne, ontt recouverts de peintureau cours de la nuit de jeudi vendredi, ce qui les rendtotalement inutilisables.Lesgendarmesonttalerts, et une enqute a touverte.Selon les premires cons-tatations, les trois dgrada-tions de radars automati-ques pourraient tre le faitdune seule et mme per-sonne.Des traces de pneus ontt releves proximit dechacun des appareils, et lesgendarmes vont procder leurs analyses.HAUTE-MARNE(52)Trois radars automatiquesmis hors serviceETAT CIVIL DU14 SEPTEMBRENAISSANCES10 boulevard MarchaldeLattredeTassignyLoane LECLERCDylan STORCKFRACHETAryn VERSCHAEVECoraleen THOMASClara THOMASShirley SCHEIDEnzo MORELKahela BROSSEBrayan DUFOULONAnalle BEGINSouhail LALOUCH56, rue de la Prfecture :Charlotte LI SARLINNathan SOTOMEYArthur BOUHEYPERRETTony PIEZZIAlanis ROLLANDJules CHARPYLuka GRIMPRETAsm MEGHERBILina KONTZQuentin CLEMENCETDCSPierre BRAUD, retrait,domicili Chenve (CtedOr), Rsidence le Clos duRoy, 4 rue des Gallandiers.Jacqueline MILSi, retraite,domicilie VelarssurOuche (CtedOr), 5 Granderue.AnneMarie BILLEY, retraite,domicilie Dijon, 46 rueHenri Bazin.Louis GALLET, retrait,domicili Dijon, 9 bis rueDocteur Chaussier.Pierre MONNIN, retrait,domicili Dijon, 32 rueJoseph Samson.Le record absolu en ma-tire daugmentation dim-pts dtenu par la taxefoncire de 72 contribua-bles autunois a fait louver-ture du JT de TF1 hier.La nouvelle que nous rela-tions hier en page GrandeRgion fait dsormais grandbruit bien au-del des terresbourguignonnes.France 3 tait en tournage Autun hier, tout commeles camras de TF1. Linfopeu commune a fait la Uneduj our nalt l vi s de13 heures, Jean-Pierre Per-nault dtaillant la hausse os-cillant entre 100 et 7 000 %de la taxe foncire de 72foyers autunois, la quali-fiant de record absolu enmatire d augmentationdimpts . Les contribua-bles concerns qui sont despropritaires de terrainsconstructibles sur Autun etsur la commune associe deSaint-Pantalon (bien sou-vent loues comme terresagricoles) sont nombreux ne pouvoir rgler la note ainsi dcuple.Une trentaine dhabitantsen colre avaient manifestlundi, ils se sont nouveauretrouvs sur la propritd un coupl e concern Margennes hier matin. Ttu Lundi, le maire Rmy Re-beyrotte tait apparu in-flexible, se qualifiant lui-m-me de ttu . Il entendinciter les propritaires vendre leurs terrains pourpermettre des jeunes rsi-dents de venir construire etsinstaller. Par ce biais, etmme si la municipalit r-fute avoir vot ce dispositifdans cette opti que, pl u-si eurs di zai nes (cent ai -nes?) de milliers deurossupplmentaires seront ain-si perus par la Ville.Malgr la promesse dtrereus individuellement, lescontribuables demandent leretrait pur et simple de cettem e s u r ea d o p t ee njuillet 2009.M. JUDICAUTUN(71)Un record absolude hausse dimpts Des contribuables se sont retrouvs hier prs du terrain duncouple contraint de dbourser 15 470 de taxe foncire. Photo M. J.Hier au cours de la mati-n e , e nt r e8he ur e se t13 heures, un cambriolagesest produit dans une rsi-dence principale situe enzone artisanale non loin dugarage Renault Ciel. Lamaison a t visite et des bi-j oux et un cof f re- f ort de200 kg ont t drobs. Dunumraire, des bijoux etautres documents se trou-vaient dans le coffre-fort queseuls plusieurs hommes ontpuemporter. Leprjudiceestimportant pour cette famille.Les gendarmes de lacommu-naut de brigades de Saint-Germain-du-Plain mnentlenqute et font appel dventuels tmoins. Des per-sonnes qui auraient remar-qu des personnes suspectes proximit du domicile deCiel, unvhicule lourdementcharg ou un coffre- fortabandonn dans la nature.C. ZAHRACIEL(71)Un coffre-fort de 200 kgdrob chez un particulierENBREFLE CREUSOT (71)La famille dAurlie veutune marche blancheLa famille dAurlie Catal-do, 24 ans, tue au Creusotvendredi soir par son ex-concubin (mis en examenlundi pour assassinat), sou-haite organiser une marcheblanche au Creusot demain, partir de 9 h 30, au dpartdu foyer du 36 rue Saint-Henri, et jusqu la rue La-martine, o Aurlie a tagresse. Hier soir, la fa-mille tait toujours dans lat-tente du feu vert des autori-ts.Les obsques dAurlie Ca-taldo seront clbres le m-me jour, 15 heures 30, enlglise de Saint-Marcel.13FRANCEetMONDEAGRICULTURE. LeministreBrunoLeMaireaannonc, hier Rennes, leversement daides sur trois ans.Uneenveloppede300millionsdeurospourlesleveursDfinition. LeSpaceest leSalondes productions animalesCarrefour europenRennes.PAC. LaFranceet lAllemagnesesont prononces, hier, pour unePolitiqueagricoleeuropenneforteaudelde2013.Trois cents millionsdeuros sur troisans (2011-2013)vont tre dbloqus pour fi-nancer ces plans de dvelop-pement (de llevage, Ndlr) a annonc le ministre devantune salle trie sur le volet, etencercle par les forces delordre qui maintenaient lextrieur des centaines depaysans en colre.Les aides ont pour objectifde consolider les filireslaitires, bovines et porcines,mises mal par les prix bas la production et lenvole r-cente du prix des crales.Le ministre a aussi annoncun souti en d ur gence de30 millions deuros pour lesagriculteurs les plus en diffi-cults. Cette aide pourraitsoutenir certains paysans,trop endetts, quitter la pro-fession.Il a, aussi, annonc le verse-ment anticip dune partiedes aides PAC(Politique agri-cole commune), ce qui repr-sente une avance de 3 mil-liards deuros daides versesen avance aux trsoreries.Alextrieur, les agriculteursprotestataires criaient leurhostilit laFdrationnatio-nale des Syndicats dexploi-tants agricoles (FNSEA), lesyndicat majoritaire, et sonprsident, Jean-Michel Lem-tayer, qui est aussi le prsidentde lorganisation du Salon.Les forces de lordre ont uti-lis des gaz lacrymognespour contenir les manifes-tants, qui de leur ct ont lan-c des ufs, des bouts de fer-raille ou des petits sacs enplastique avec du lisier ou dela bouse. Lve-toi producteur lai-tier , Lemtayer dmis-sion , ont cri les manifes-t a n t s , q u i a r b o r a i e n tnotamment la casquette jau-ne de lEMB(European MilkBoard), une organisationeuropenne minoritaire deproducteurs de lait, ou lescouleurs de la Confdrationpaysanne, Coordination ru-rale, Organisation des pro-ducteurs de lait ou Apli (asso-ciation des producteurs delait indpendants).Ces syndicats minoritairesreprochent la FNSEA lesaccords signs dans le cadrede linterprofession laitiresur le prixdu lait. Plus gnra-lement, ils dnoncent lempri-se de laFNSEA, seul syndicat siger dans des interprofes-sions, l o se dcide la politi-que des filires.Aprs le dpart du ministresous la protection des forcesde lordre, les manifestants sesont pris aux installations dusalon, symboles pour eux deleur malaise.Des stands du ministre delAgriculture, de la FNSEAetdes JA, du CNIEL (interpro-fession laitire) ont t mis sac, et le grand hall qui lesabritait momentanmentvacu par les forces de lor-dre.Interrog plusieurs repri-ses lors dune confrence depresse lissue de son allocu-tion sur son intention de visi-ter le salon, comme cest lacoutume gnr al ement,M. Le Maire a fait valoir quilse rendait immdiatement Berlin pour signer avec sonhomologue Ilse Aigner, la po-sition franco-allemande pourdfendre la prochaine PAC.Hier, lors de louverture du24eSal on de l l evage Rennes (Space), le ministrede lAgriculture, Bruno LeMaire, a annonc des aidesimportantes pour les filiresde llevage.Les syndicats agricoles minoritaires ont violemment manifest leur colre lors de linauguration du salon. Photo AFP5La Poste, qui avaitt condamne en marspar la justice payerles frais dentretiendes tenues de douzefacteurs du Tarn,ne devra leur verserquune indemnitde 5 mensuels.Immigration. La Commission europenne a menac, hier, de poursuivre Paris enjustice pour sanctionner les expulsions de Roms roumains et bulgares. lire en page 15Lancer des projectiles, faire uvrede destruction, ce nest pas unepolitique, cest le renoncement. FNSEA et les jeunes agriculteurs14FRANCE ET MONDELE BIEN PUBLICMercredi 15septembre 2010nPOIVREET SELEn pleine nuit, quelques heures de louverture du Sa-lon de llevage Rennes, le ministre de lAgricultureBruno Le Maire a arrach lElyse et Matignon unepaille : une aide de 300 millions deuros qui sera verse entrois ans aux leveurs de bovins et de porcs. Depuis lesmanifestations de cet t pour obtenir un redressementdu prix du lait, nos compatriotes nignorent plus que lle-vage dans notre pays est en crise. En deux mots, il nenourrit plus son homme. Les 300 millions de lEtat nesont pas destins aider les leveurs, enpremier lieuceuxqui sont surendetts et ont des revenus mensuels inf-rieurs au SMIC. Ils devront servir la modernisation desbtiments et la mise aux normes (de Bruxelles) deslevages. En apprenant leur arrive Rennes ce coupde pouce en faveur de la filire, les premiers leveurs in-terrogs se sont demands amrement si lEtat se mo-quait deux. Dans un premier temps, cest une aide de 30millions qui leur sera octroye. Une somme bien insuffi-sante pour combler le diffrentiel entre une alimentationdu btail dont le cours a fortement augment et le prix dela viande (ou du lait) qui stagne dsesprment. Le mod-le franais dlevage longtemps surprotg avec ses peti-tes exploitations semble menac de mort. 300 millions :cest, une bagatelle de millions prs, la somme que lEtatsest engag verser lancien ministre de Franois Mit-terrand Bernard Tapie. Cest aussi peu prs le cot de lamalnutrition dans les pays pauvres. Mais il ne faut pasvoir dans ces rapprochements de dplaisants amalgames.Nos 300 millionsPAR PHILIPPE ALEXANDREENBREFDUCATIONUn instituteur jug pour dtention dimages pdoporno-graphiquesUn instituteur de 52 ans bien not a t plac, hier en d-tentionprovisoireet serajugle13octobrepour dtentiondeplus de 15 000 images caractre pdopornographique.Lhomme, arrt lundi matin dans son cole primaire deSaint-Pathus et plac en garde vue, est pass, hier, en com-parution immdiate devant le tribunal correctionnel deMeaux. Mais la prsidente Catherine Morina renvoy le pro-cs, demandant une expertise psychiatrique plus dtaille et un placement sous mandat de dpt afin de garantir(sa) prsence dans un mois.TABACLeve de bouclier chez les buralistesLes buralistes, dont le congrs annuel souvre, aujourdhui, Paris, veulent que lEtat lutte davantage contre la contreban-de, quil sagisse dachats ltranger, sur internet ou sous lemanteauet qui reprsenteraient une cigarette fume sur cinq.Entre 18et 20%des cigarettes consommes enFrance nesont pas achetes chez lundes 28000buralistes de lHexago-ne, estime Pascal Montredon, le prsident de la Confdra-tion des buralistes.PARISEvacuation de la Tour Eiffel suite une alerte la bombeLa Tour Eiffel et le Champ-de-Mars ont t vacus, hier soir,par la police la suite dune alerte la bombe. Peu avant21 heures, dimportantes forces de police procdaient lva-cuation dans le calme de la Tour et de ses abords, o se trou-vaient quelque 2 000 personnes. La socit qui gre la TourEiffel areuunappel anonymevers 20h20, aindiqulaPr-fecture de police de Paris.Le Parlement a dfinitive-ment adopt, hier, lorsdunul-timevoteduSnat, leprojetdeloi prohibant le port duvoileintgral dans lespace public,cette interdictionne devantentrer envigueur quauprin-temps 2011aprs sixmois demdiationet depdago-gie. LeSnat napasapportde modification la versionvote lAssemble il y atoutjuste deux mois, ce qui vautfeuvertdfinitifduParlement.Le texte a t approuv par246voix(UMP, centristes, ra-dicaux, Parti de gauche ainsique 46 socialistes sur 116,dont Robert Badinter, ancienministre de Franois Mit-terrand, Franois Patriat etFranois Rebsamen, aunomde lgalit hommes-fem-mes ) contreuneseule, cellede llue centriste de La Ru-nion, Anne-MariePayet.Niqab, burqa, cagoules...Saluant le vote, lagardedesSceauxMichle Alliot-Marieatoutefois regrett que cer-taines raisons extrieures autexte empchent lunanimi-t sur une telle mesure. Sonprojetdeloinevisepasexpres-sment le voile intgral maisplus largement ladissimula-tiondu visage dans lespacepublic (cagoules dans lesmanifestations...).Reprenant une propositionde loi dupatrondes dputsUMPJean-Franois Cop, letexteinterdit bel et bienleportduniqaboude la burqa danstout lespace public, sous pei-neduneamendede150et/oudunstage de citoyennet.Toutepersonneobligeant unefemmesevoilerserapassibled un an de pr i s on e t de30000damende, selonunnouveaudlit effectif, lui, sittlaloi promulgue.PARLEMENTVoileintgral interdit dans lespacepublicLe nouveau PTZseraciblsurlesnouveauxprimo-accdants,ilse-ra universel cest--direaccordsans conditionderevenuet plus favorablepour les familles avec en-fants, arsumM. Sarkozylorsdunetablerondeorgani-seThiais.Laprincipaledispositionestlerenforcement duPTZ(prttauxzro), qui vaprendrelenomdePTZ+, rservauxpri-mo-accdants sans condi-tionsderessources. Soncotpour lEtat devrait passer de1,22,6milliardsdeurosparanpour380000bnficiairescontre200000250000ac-tuellement.EfficacitPourgagnerenefficacit, lePTZ+serarenduplusattrac-tif, notammentenfonctiondelaperformancenergtique,pourleslogementsneufsdanslesrgionsqui font faceunepnurie.Ilseraciblenprovin-cesurleshabitationsancien-nespour revitaliser lescen-tresbourgspluttquesurlesmaisonsindividuellesisoles.Lesduresdemprunt pour-ront galement treportesjusqu30anspourlesmna-ges modestes et seront fonc-tiondelacompositiondelafa-mille pour favoriser cellesdontlesrevenussontcomprisentre2et4Smic.Legouvernementmaintientgalement deuxautresaidesprincipales: pourceuxqui ontconomisdelargent sur uncompte PEL(Prt EpargneLogement)etlAPL(Aideper-sonnelleaulogement)pourlesmnagesmodestesouencasdepertedunemploi.Ctconomies, legouver-nement supprime, partirdu1erjanvier2011, lePass-Fon-cier, qui permettait depayerleterrainaprslelogement, etlecrdit dimpt sur les int-rtsdempruntsimmobiliers.LOGEMENTDes aides pour augmenterlenombredepropritairesLa rforme des aides laccession la proprit, annonce, hier, par le prsident de la Rpublique, vise augmenter le taux de propritaires de 58 % 70 %enFrance. La TVA 5,5 % sur les oprations de rnovation urbaine sera maintenue , selon Sarkozy. AFPLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010FRANCE ET MONDE15La Commission euro-penne a menac,hier, de poursuivreParis en justice pour sanc-tionner les expulsions deRoms roumains et bulgareset a accus les autoritsf ranai ses de dupl i ci t aprs avoir fait un parallleavec la Deuxime Guerremondiale.Viviane Reding, en chargede la Justice et des droitsfondamentaux au sein delexcutif europen, sestmontre trs svre. Jai t personnellementinterpelle par des circons-tances qui donnent lim-pression que des personnessont renvoyes dun Etatmembre juste parce quel-l es apparti ennent unecertaine minorit ethnique.Je pensais que lEurope neserait plus le tmoin de cegenre de situation aprs laDeuxime Guerre mondia-le , a-t-elle lanc au coursdune confrence de presse. Personnellement, je suisconvaincue que la Com-mi ssi on ne va pas avoi rdautre choix que de lancerune procdure dinfractioncontre l a France pournon-respect de la lgisla-tion de lUE, a-t-elle annon-c.Visiblement ulcre par ladissimulation de lexistencedune circulaire franaiseciblant expressment lesRoms pour les expulsionset froisse par des critiques,la veille, contre Bruxellesdu secrtaire dEtat fran-ais aux Affaires europen-nes Pierre Lellouche, MmeReding a accus de duplici-t des autorits franaises.Fermetde la Commission Il est choquant quunepartie du gouvernementfranais vienne Bruxellesdire des choses et quuneautre partie du gouverne-ment fasse le contraire ,sest-elle insurge. Cestune honte, a-t-elle lanc.Les autorits franaisesont retir lundi la circulaireincrimine. Mme Redingveut lancer cette procduredinfraction pour non-res-pect de la lgislation euro-penne dans les deux pro-chaines semaines .Trop cest trop ! , a-t-ellelanc, ma patience a at-teint ses limites .Dans le dtail, Mme Re-ding veut rappeler Paris lordre pour transpositioninsuffisante dune directiveeuropenne sur la libre cir-culation de citoyens euro-pens et application dis-criminatoire de ce texte.A terme, la France pourraitdonc tre poursuivie de-vant l a Cour de j ust i ceeuropenne avec de fortesamendes la cl.La fermet de la Commis-sion a t salue par lesVerts au Parlement euro-pen. Mieux vaut tard que ja-mais, il faut maintenantquelle passe laction , adclar son coprsidentDaniel Cohn-Bendit.Le Parlement europen avot la semaine dernireune rsolution rclamantlarrt immdiat des expul-sions de Roms, qui a ulcrParis.Le ministre franais delImmigration Eric Bessona tent, hier, de calmer lejeu, mais assur que le gou-vernement continuerait dmant el er l es campe-ments irrguliers malgr letoll quil provoque depuisdes semaines.Prs de 160 Roms rou-mains ont du reste t re-conduits dans la journedhier dans leur pays aprsavoir accept la procduredu retour volontaire moyennant une aide finan-cire.IMMIGRATION. Lapolitiquefranaiseatunenouvellefoismontredudoigt.Roms:BruxellesdurcitletonLa Commission europenne a menac, hier, de poursuivre Paris en justice poursanctionner les expulsionsde Roms roumains et bulgares. Les discriminations ethniques ou raciales nont pas leur placeen Europe , a martel, hier, Viviane Reding. Photo AFPIl ne suffit pasde changerles mots.Le comportementdoit galementtre modifi. Viviane RedingLe parquet a requis cinqans de prison, hier, Lyoncontreleconvoyeur defondsToni Musulin, jug en appelpour le vol de 11,6 millionsdeuros fin 2009, en dplo-rant que ce second procsnait livr aucunindice sur lapartie manquante du butin.La cour a mis sa dcisionen dlibr au 2 novembre. Je veux que vous recon-naissiez le trouble lordrepublic et le fait que, quandon est convoyeur, on a uneresponsabilit particulire ,a lanc lavocate gnrale,Jacqueline Dufournet, de-mandant dalourdir la peinede trois ans de prisoninfligeen premire instance.Rclamant aussi 45 000 damende et une interdic-tion professionnelle dfiniti-ve, ellearegrettquelepr-venuait refus de sexpliquersur le butin non retrouv parles enquteurs. Il va em-porter ses secrets dans sa cel-lule et, ds quil sera largi, ilretrouvera ses 2,5 millionsdeuros manquants , a-t-elledit, dsabuse.Entendu dans la matine,le plus clbre convoyeur deFrance, arborant catogan etbarbe poivre et sel, a assurnavoir pas pris ces sacsde billets, allant jusqu d-clarer : Je ne sais mme passils existent, jeneles ai pas .Press de questions sur lesheures ayant suivi le vol, il amai ntenu que des pas-sants avaient pu se servirdans le fourgon vol, aban-donn dans la rue, oudans lebox lou par ses soins, avantde mettre directement encause le propritaire de cebox. La personne qui peutdire sil manque des sous,cest M. Saint-Martin , alanc Musulin, accusant lepropritaire du box davoir t voir ce quil y avait de-dans avant daller voir la po-lice .Alors que laudience tou-chait sa fin, un avocat re-prsentant le propritaire dubox est venu accuser le pr-venu de diffamation . MeOlivier Baratelli a affirmque le box navait jamaist ouvert par son client avant larrive de la police etdemand au convoyeur dapporter la preuve deses dclarations. La cour seprononcerale26octobresurce point.COURDAPPELCinqans requis contreleconvoyeur defonds Toni MusulinENBREFJUSTICEAffaireBettencourt:lajugepeutpoursuivresonenquteLajugeIsabellePrvost-Des-prez,confortehierparlacourdappel de Versailles, peutpoursuivresonenqutesurunabus defaiblessedeLilianeBettencourt, malgrlepour-voi encassationaussitt an-noncpar lavocat delamil-liardaire. Le1erjuillet, IsabellePrvost-Desprez, prsidentedela15echambredutribunaldeNanterre, staitsaisiedecesupplmentdenqute, dcidlorsdurenvoi sinediedupro-cs opposant FranoiseBet-tencourt-Meyers lartisteFranois-MarieBanier, accu-s davoir profit de lafai-blessedesamrepourobte-nirprsdunmilliarddeurosdedons.IRANLarandonneuseamricaineatlibreLarandonneuseamricai-neSarahShourd, dtenueenIrandepuisjuillet2009, atlibre, hier, aprslever-sement dune cautiondeprsde500000dollars,maissesdeuxcompagnons, arr-tsenmmetempsquelle,resteront enprisonjusquleur procs pour espion-nage. SarahShourdavaittarrtele31juillet 2009avecdeuxautres randon-neurs amricains enterri-toireiranienprsdelafron-ti re avec l e Kurdi stanirakien.GUINEMortduprsidentdelaCommissionlectoraleLeprsident delaCommis-sionlectoraledeGuine,BenSkouSylla, condamnpourfraudelectoraleaupremiertour delaprsidentielle, estmort de maladie lhpitalSaint-LouisParisquelquesjoursdusecondtour, aannon-c, hier, sonpouse, SyllaSirKeta.16FRANCE ET MONDELE BIEN PUBLICMercredi 15septembre 20102318200ENBREFALIMENTATIONPremirebaisseenquinzeansdunombredaffamsdansle mondePour la premire fois depuis quinze ans, le nombre de person-nes souffrant de la faim dans le monde a baiss en 2010, 925 millions, selon lOrganisation des Nations unies pourlalimentation et lagriculture (FAO), qui juge nanmoins cechiffre inadmissible . Alors que la barre symbolique dumil-liardde personnes avait t dpasse en2009, avec 1 023 mil-liondaffams, cechiffreareculde9,6%cetteanne, selonlaFAO.ESPAGNEArrestations dans lentourage de lETANeuf membres prsums dumouvement basqueradical Ekin,considr par lajustice espagnole comme partie intgrante dela nbuleuse du groupe arm ETA, ont t arrts dans la nuitde lundi mardi par la garde civile, a indiqu le ministre delIntrieur. Cette opration, la premire contre lentourage delETA depuis lannonce dun cessez-le-feu le 5 septembre, apermis de dmanteler ladirectiondEkin, aassur dans uncommuniqu le ministre de lIntrieur.NOMINATIONMichelle Bachelet nomme la tte de Onu-femmesLex-prsidente du Chili Michelle Bachelet a t nomme,hier, la tte de la nouvelle structure de lOnucharge dacc-lrer lamlioration de la condition des femmes dans le mon-de, Onu-femmes, a annonc le secrtaire gnral de lOnuBan Ki-moon. Mme Bachelet a quitt la prsidence du Chilienmars et atlundes chefs dEtat les plus populaires duChi-li. LOnu sest dote dbut juillet dune nouvelle structure dis-posant de puissants pouvoirs et charge dacclrer lamlio-ration de la condition des femmes et des filles dans le monde.Aujourdhui, lesparties ont enta-m des discus-sions srieuses sur des ques-ti ons de fond , a dcl arlmissaireamricainpourleProche-Orient GeorgeMit-chell. Parmi lesquestions-clsduconflit figurent lesfronti-resdunfuturEtatpalestinien,lascuritdIsral, lesort desrfugispalestiniens, lestatutdeJrusalemouencorelaco-lonisationjuive. MM. Abbaset Netanyahusesont rencon-trsdeuxreprisesdanslasta-tionbalnairedeCharmel-Cheikhenprsencedelase-crtairedEtatHillaryClintonet deM. Mitchell qui doit ren-contrer, demain, Damas leprsidentsyrienBacharal-As-sad. Lesngociationsdepaixdirectes, gelesdepuisdcem-bre2008, ont trelancesle2septembreWashington.MM. NetanyahuetAbbasontconvenudeserencontrertouslesquinzejours.ClimatdifficileCespourparlerssoussuper-visionamricainesedrou-lent dansunclimat difficilemoins de deuxsemaines delexpiration, le26septembre,dugel partiel delacolonisa-tionjuivedanslesterritoirespalestiniensoccups, aucurdes tensions. EnIsral, unhaut responsable a affirmque M. Netanyahune cher-chait pastorpillerlesngo-ciations, bienaucontraire.LesPalestiniens, eux, veulentdfinirlesfrontiresdunfuturEtat palestinienet aborderlesquestionsdustatut deJrusa-lemetdudroitauretourdesr-fugispalestiniens.ISRAL/PALESTINIENSRetour audialoguedepaixLe Premier ministre isralien Benjamin Netanyahu etle prsident palestinien Mahmoud Abbas ont eu, hier,en Egypte de nouvelles discussions de paix.H. Clinton (C) prvoit de runir une nouvelle fois, aujourdhui Jrusalem, B. Netanyahuk (G) et M. Abbas. Photo AFPLE BIENPUBLICMercredi 15septembre 2010CONOMIE / FRANCE ET MONDE17LA BOURSEMARCHS FINANCIERSSance du mardi 14 septembre 2010Les chiffres cls SMIC : Taux de chmage : Plafond Scurit Sociale : Ind. INSEE loyers : JJKJEURONEXTCAC 40J+ 0,19 %3774,4 ptsDOW JONES 18hEUROSTOXX 50NIKKEIBRENT 18h+ 0,18 % 10563,5 pts+ 0,05 % 2806,47 pts + 0,54 % 79,46 $- 0,24 % 9299,31 pts+ 0,57 % / an118,26 (2me tr. 2010)9,3 % (2me tr. 2010)8,86 / heure2885 / moisAB Science10,98- 0,09- 15,41ABC Arbitrage6,66- 2,06+ 1,22Accor26,45+ 0,17+ 1,10ADP59,6+ 0,79+ 5,81Air France-KLM11,26- 1,10+ 2,36Air Liquide90,21+ 0,68+ 16,08Alcatel-Lucent2,24+ 0,58- 5,96Alstom37,66+ 1,66- 23,24Altamir Amboise5,85- 0,85+ 11,43Alten20,53+ 0,15+ 5,28Altran Techno.2,91+ 1,96- 21,84Anf Immobilier30,35- 0,33+ 3,17April Group21,99+ 0,27- 9,13A.P.R.R.54,16-+ 1,35Areva CIP326,05- 0,50- 6,58Arkema36,2- 0,48+ 39,23Assystem12,45+ 1,14+ 55,43Atos Origin34,655- 1,37+ 8,01Audika19,25- 0,31- 13,29Axa13,21- 0,68- 20,13Beneteau11,24+ 0,49+ 4,85Bic59,98-+ 24,18bioMerieux79,2+ 0,96- 3,04BNP Paribas Act.A56,13+ 0,27+ 0,41Boiron25,11- 0,28- 15,77Bollore149- 1,10+ 29,62Bonduelle68,85- 1,64- 13,35Bongrain51,45- 2,63- 2,83Bourbon29,825- 0,20+ 13,19Boursorama8,67- 1,37- 10,34Bouygues32,88- 0,12- 9,73Bull2,78+ 2,96- 9,15Bureau Veritas48,58+ 0,47+ 33,44Burelle153,9- 0,06+ 94,83Camaieu185+ 2,78+ 30,28Canal +5,458+ 0,70- 3,91Cap Gemini36,59+ 0,21+ 14,45Carrefour37,61+ 0,25+ 12,07Casino Guichard69,28- 0,52+ 10,79CDA-Cie des Alpes20,39+ 1,95- 17,48Cegedim54,36- 0,04- 5,46CeGeREAL21,78- 0,09- 14,59CFAO27,205+ 0,41- 5,11CGG Veritas16,66- 1,77+ 11,59Christian Dior90,14+ 1,43+ 25,61CIC actions A124,03+ 0,76+ 2,50Ciments Francais65,33+ 5,13- 11,72Club Med.13,92- 4,00+ 8,33CNIM71+ 1,43-CNP Assurances14,415+ 0,42- 14,91Colas149,4+ 0,34- 14,38Crcam Brie Pic2cci18,06- 0,22+ 8,93CRCAM Paris et IDF60,05+ 0,54+ 2,46CRCAM Nord Fr.19,06+ 0,32- 3,25Credit Agricole11,685+ 0,82- 5,46Danone44,35+ 0,38+ 3,55Dassault-Aviation593- 1,66+ 12,95Dassault Systemes51,25+ 1,18+ 28,93Delachaux S.A.56- 1,60+ 36,62Derichebourg3,416- 1,84+ 9,84Devoteam19,25+ 2,39+ 6,53Edenred14,525+ 0,03+ 11,73EDF32,815- 0,17- 21,04Edf Energies Nouv.32,265- 0,11- 10,40Eiffage37,6+ 1,53- 4,69Elect.Strasbourg115- 1,66-Entrep. Contract.82,23+ 0,16+ 26,70Eramet215,85- 0,58- 2,22Essilor Intl48,745+ 0,25+ 16,75Esso95,35- 0,56+ 10,10Etam Develop.32,17- 4,20+ 79,92Euler Hermes59,8+ 0,52+ 14,36Eurazeo48,025- 0,72+ 3,30Euro Disney4,39+ 2,57- 9,48Euro Ressources4+ 3,36+ 9,59Eurons Scient.37,165+ 0,88- 2,68Eurosic25,44+ 0,43+ 10,61Eutelsat Communic.28,975- 0,60+ 29,01Exel Industries28,39+ 0,50+ 13,56Faiveley Transport+61,6+ 1,23+ 10,99Faurecia15,6- 0,57+ 1,30Fdl17,9+ 0,51- 0,28F.F.P.42,95- 1,04- 4,04Fimalac31,49+ 1,58- 18,90Fleury Michon34,5- 0,86+ 0,06Fonciere des Murs17,82+ 0,28+ 15,71Fonc.Regions.81,49+ 4,10+ 14,16Fonc.Lyon.33,66+ 5,85+ 0,48Fonciere Massena11,89- 0,67+ 12,28Fonciere Paris-Fra94,15+ 0,09- 7,63France Telecom16,37-- 6,08Gameloft3,56- 2,47+ 0,85Gaumont55- 2,65+ 41,03Gdf Suez26,43- 1,25- 12,73Gecimed1,34-+ 8,94Gecina81,9+ 2,49+ 7,57Generale de Sante11,25-- 15,60GFI Informatique2,81- 1,06+ 0,36Gi46,5- 1,08- 5,08GL Events21,4- 0,93+ 24,85Groupe Crit20,75+ 4,32+ 15,28Groupe Eurotunnel6,453- 0,08- 1,33Guerbet S.A81,92- 1,09- 15,68Guyenne Gascogne79,5- 1,85+ 24,80Haulotte Group7,92+ 4,62+ 25,52Havas3,621+ 0,61+ 29,74Hermes intl156,6- 1,82+ 67,83Hi Media2,95- 1,34- 40,16Icade79+ 0,37+ 18,35Iliad73,76- 0,31- 11,69Imerys42,48+ 0,84+ 1,11IMS(Int.MetalSer)10,85- 0,91+ 12,79Ingenico20,38- 2,95+ 26,22Inter Parfums24,24+ 0,50+ 48,07Intle Plant.Heveas66,05- 3,01+ 43,59Ipsen26,35- 0,21- 32,02Ipsos32,125- 0,23+ 51,82JC Decaux19,8+ 0,66+ 16,23Kaufman et Broad19+ 0,74+ 11,90Klepierre26,5+ 2,18- 6,66Korian17+ 0,29- 15,00Lafarge41,5+ 0,74- 28,21Lagardere30,15+ 1,04+ 6,12Lanson-Bcc52,98+ 0,17+ 41,43Laurent-Perrier74+ 2,07+ 37,01LDC69,55-- 14,40Legrand25+ 0,56+ 28,37Lisi (ex GFI Ind.)43,6- 0,91+ 27,11L'Oreal83,46+ 0,22+ 7,00LVL Medical Gpe16,7+ 0,12+ 2,14LVMH Moet Hen.101,3+ 1,39+ 29,24M6-Metropole TV17,635+ 1,03- 1,86Maisons Fce Conf.29,61- 1,30+ 16,57Manitou12,03+ 0,25+ 15,90Manutan Inter.44,9-+ 12,28Maurel et Prom9,201- 0,01- 27,40Medica13,83- 1,25+ 6,38Meetic23,04- 1,58+ 21,26Mercialys27,91+ 0,78+ 13,69Mersen28,79- 0,72+ 13,35Michelin63,92- 0,23+ 19,30Natixis4,718- 2,08+ 33,01Naturex35,43+ 0,37+ 27,22Naturex Preference---Neopost56,96+ 2,06- 1,23Neurones6,84- 0,15+ 12,87Nexans51,5+ 0,47- 7,74Nexity26,46+ 1,57+ 3,93NextradioTV13,97- 0,14- 0,21Nicox2,806+ 0,07- 51,84Norbert Dentres.53,3+ 0,47+ 39,68NRJ Group6,8+ 2,72+ 20,14Odet(Financ.)297,48+ 2,94+ 38,04Orpea31,36+ 1,69- 0,85PagesJaunes7,889- 0,14+ 1,14Paris Orleans19-- 8,87Pernod Ricard60,13+ 1,06+ 0,37Peugeot23,36- 0,21- 1,29Pierre Vacances48,88+ 1,41- 9,06Plastic Omn.38,4- 0,78+ 100,42PPR114,7+ 0,53+ 36,16Publicis Groupe35,245- 0,28+ 23,67Rallye26,85- 0,61+ 9,59Recylex S.A.6,74- 0,59- 24,27Remy Cointreau46,575+ 1,90+ 30,81Renault35,75- 0,57- 1,24Rexel12,83+ 0,39+ 25,78Rhodia17,34- 0,69+ 37,51Robertet101,01+ 0,50+ 18,85Rubis71,67+ 0,25+ 16,16Safran19,97- 1,38+ 45,87SAFT28,23+ 0,89- 16,38Saint-Gobain32,165- 0,29- 15,51Samse60,49+ 1,78+ 6,12Sano-Aventis49,21+ 0,29- 10,62Sartorius Sted Bio30,5- 3,79+ 8,93Schneider Electric90,87- 0,05+ 11,12Scor Se17,68+ 0,63+ 1,03Seb61,72- 0,29+ 55,47Seche Environnem.56,01-- 6,56Sechilienne Sidec21,27- 0,07- 24,97SeLoger.com37,62- 0,87+ 67,05Sequana10,265- 0,15+ 28,63SIIC de Paris19,01+ 0,05+ 16,27Silic91,1+ 2,28+ 7,18Smtpc25,31- 0,94- 9,09Societe Generale46,11+ 0,68- 5,80Sodexo47,735+ 0,52+ 19,74Soitec7,375- 0,16- 26,19Somfy149,15- 0,57+ 16,52Sopra group CA54,3+ 0,56+ 9,70Sperian Protection116-+ 130,20Stallergenes61,69- 0,82+ 4,83Stef-TFE39+ 0,91- 9,30Steria Groupe21,24+ 0,05- 1,26Suez Env.13,68+ 3,01- 15,16Sword Group25,3- 1,90+ 3,22Synergie19,31+ 1,63+ 7,94Technicolor4-- 19,03Technip55,96+ 1,58+ 13,28Teleperformance20,14+ 2,05- 11,20TF112,215- 2,04- 5,24Thales27,425+ 0,29- 23,70Theolia1,43- 1,38- 26,55Thermador Gp107,01- 0,65+ 11,47Tonn F.Freres29,21- 0,03- 5,47Total39,425+ 0,18- 12,40Toupargel Groupe14,52- 1,56- 5,10Tour Eiffel55,01+ 1,14+ 4,40Transgene15,07- 0,59- 27,51Trigano15,59+ 0,58+ 23,24Ubisoft Entertain7,396+ 0,46- 25,44Unibail-Rodamco161,1+ 1,35+ 4,81Union Fin.France27,95- 1,06+ 11,58Valeo30,11+ 0,64+ 22,75Vallourec70,94+ 0,52+ 11,67Veolia Environ.19,635- 1,08- 15,09Vetoquinol28,5+ 1,17+ 27,80Vicat50,35+ 0,20- 14,37Viel et Cie2,74-- 6,80Vilmorin & Cie76,67- 0,17- 5,41Vinci37,72+ 0,16- 4,43Virbac103,6+ 0,97+ 42,44Vivendi19,82+ 0,71- 4,69Vranken - Pommery34,7- 0,86+ 17,03Wendel45,995+ 0,12+ 7,46Zodiac Aerospace50,45-+ 73,19Valeurs assimilesDexia3,387- 0,70- 24,06EADS19,18- 0,16+ 36,17STMicroelectr.5,619+ 0,57- 12,54Valeurs zone euroArcelorMittal25,205- 1,79- 21,67Banimmo A (D)15+ 0,07- 0,73Bemmo-Sica61,9+ 0,93+ 0,16Beni Stabili0,64- 1,54+ 4,92Conimmo-Sica97,5- 0,12- 1,13Completel28+ 2,56+ 10,85Corio48,985+ 0,53+ 2,72Dexia VVPR Sico.0,003- 40,00- 70,00Eurocommercial33,13+ 0,59+ 15,03Fedon4,49- 0,66- 32,88Fiat Ord.Sico.10,37+ 1,77+ 1,67Gemalto30,74+ 0,67+ 0,79Montea C.V.A.21,65- 0,23- 13,02Orco Prop. Grp7,49- 3,35+ 16,85Rentabiliweb (D)7,85+ 1,82+ 12,14SES17,875- 0,33+ 13,46United Anodisers4,27- 1,39+ 37,74VastNed Retail47,85+ 2,35+ 4,40Valeurs internationalesAGTA Record16,5- 1,79+ 3,45Brasserie Cameroun--+ 6,94Bras.Ouest Africa.--- 7,55C.F.O.A--+ 12,56Forest.Equatoriale350-+ 72,41HSBC Holdings8,09- 0,74+ 2,53Latonia Invest.---Nyse Euronext23,13+ 0,13+ 31,01Oxis Intl Rgpt0,09-- 43,75Schlumberger45,84- 2,20+ 0,31Televerbier--+ 18,34Total Gabon270,5-+ 3,64Zci Limited1,19-+ 9,17Etats Unis EUR/USD0,78121,2801Gde-Bret. EUR/GBP1,20310,8312Jap