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Le webzine pas sérieux (...mais gratuit quand même...) N°8 Février 2009

Nawak 8 février 2009

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webzine gratuit

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Page 1: Nawak 8 février 2009

Le webzine pas sérieux

(...mais gratuit quand même...)

N°8

Février 2009

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L'image du mois

La pensée du mois

« Avec une plume, on peut crever un oeil. Ajoutez-y un peu d'encre et vous pourrez briser une vie... »

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NA W A K

Nous allons tenter de répondre aujourd’hui à une question que tous, sans exception, vous vous êtes sûrement un jour posée. Une question qui a plus d’une fois hanté vos nuits et vos rêves les plus fous. C’est le genre de question à laquelle, j’en suis sûr, vous avez toujours souhaité trouver une réponse…

Cette question, c’est :

Pourquoi les choses se trouvent-elles toujours au dernier endroit où on les cherche ?

Aujourd’hui, je vous donne la réponse…

Qui peut me dire ici que cela ne lui est jamais arrivé? Qui peut me dire ici sans mentir, sans croiser les doigts de pieds, qu'il a toujours

trouvé ce qu'il cherchait du premier coup? Qui aurait l'audace, le toupet de me dire qu'il est plus fort que moi et que...ben oui...il

est trop fort du slip?

Personne ne peut dire ça parce que sinon je lui coupe la langue...héhé...

Je te vois bien, toi, là, petit blondinet, oui, toi, en train de chercher ta fiche de paye.

Tout d'abord, tu vas devoir choisir l'un des quatre tiroirs du meuble où tu ranges tes papiers mais après avoir fouillé le premier et le deuxième sans résultats, tu vas tenter une finte et vérifier le quatrième tout de suite mais non ! Ça ne marche pas comme ça ! Non, non, non... Ce n'est que dans le troisième tiroir que tu trouveras cette foutue chemise cartonnée bleue bourrée de paperasse à en craquer. Mais bon, tu ne la trouveras qu'après avoir vérifié la totalité du contenu du tiroir. Dégoûté, tu entreprendras le dur travail de feuilleter les documents un à un. Tu en regarderas un, tu en regarderas deux, puis trois, puis quatre, puis vingt et finalement, tu te taperas tout le paquet pour, enfin, arriver à la dernière feuille dont tu sais, même si elle est retournée, que c'est la bonne et là tu te diras...putain, pourquoi j'ai pas commencé par ce côté...

Rassure-toi, ami lecteur, car tout ceci n'est en rien ta faute et en voici d'ailleurs l'explication.

Tout a commencé il y a plusieurs millier d'années dans une petite bourgade appelée Bourg-la-Gâline. Les quelques habitants de ce petit pâtelin savouraient heureux la tranquilité

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d'une vie paisible au milieu de vaches (les gâlines, dans le pâtois local). Le seul moment de l'année où ces gens s'agitaient était le jour du ''Bourre gâline'', qui était définit par le maire et pouvait tomber à n'importe quelle date. Ainsi, ce jour là, tous les habitant du bien nommé Bourg-la Gâline se rassemblaient sur la place du village et attendait le signal. Ils attendaient des heures durant, qu'il pleuve, qu'il vente...puis retentissait un coup de feu venu du balcon de l'hôtel de ville.

À ce moment précis, tous les Bourgalins se mettaient à courir vers leurs habitations respectives et prenaient chacun le premier objet, la première chose qui leur venait dans les mains. Ils sortaient ensuite de chez eux et se précipitaient vers les champs alentours où les vaches broutaient tranquillement l'herbe bien verte de leur doux pays. Les premiers arrivés gagnaient l'honneur le fourrer l'objet de leur choix dans l'anus d'une gâline, tant qu'il en restait de libres.

Ils étaient fier, les bourgalins. Ils étaient fiers de leurs coutumes et même les perdants, qui repartaient, certe, déçus, retrouvaient leur sourire en entendant les cris de ces pauvres gâlines. Mais les choses, elles, ne trouvaient pas du tout ce rituel à leur goût et l'on peut même dire que le fait de se retrouver une fois par ans dans le cul d'une vache ne les enchantait pas du tout. Des années durant, elles endurèrent ce supplice et puis un jour, elles décidère que ''eh, oh, quand même...ça suffit !'' Alors elles décidèrent de se cacher mais ne sachant pas à quelle date le faire chaque année, ce mode de défense devint un combat de tous les jours.

Voici donc pourquoi, de nos jours encore, les choses se trouvent toujours au dernier endroit où on les cherche.

Ah...on se sent mieux de savoir ça...

...Sid...

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MusiqueCe mois-ci, à l'honneur, un groupe de Punk-core (voir Purée-core)

Stinky Bollocks

Stinky Bollocks est un groupe monté par quatre potes qui cherchent un défouloir et une possibilité d'expression en faisant du son, le tout en restant sincères et sans se prendre la tête.

Du travail pour avancer, un état d'esprit sain pour ne pas gâcher la passion musicale.

Le groupe se compose de Mehdi au chant, Seb à la gratte, Rediwan à la basse et Julien à la batterie.

Sur scène, ils nous livrent un punk-core-purée qui déboîte sa pute avec chorégraphie de Kamel Poilu et tout, du genre qui te débouche les oreilles bien mieux qu'un doigt dans le cul.

Ils font pas mal de concerts alors si vous les avez pas encore vus, bougez votre putain de cul de votre putain de chaise et allez vous farcir une tite ration de purée supplémentaire.

Ils seront en concert le 13 mars 2009 à la Maison de Quartier de Doulon à 20h30 avec CCSF? Et 70's Pornographik Men !

Leur Myspace : www.myspace.com/stinkybollocks

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Merci d'avoir lu NAWAK,

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qui ne sert à rien,

qui ne rapporte rien,

qui ne change rien,

mais qui ne coûte rien...