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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?! Décembre 2012 - n° 38 - lebonbon.fr PARIS CENTRE

Paris Centre - Décembre 2012

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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris Centre du mois de décembre 2012.

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elle estpas belle

la vie ?!

Décembre 2012 - n° 38 - lebonbon.fr

pariscentre

Photos © Flavien Prioreau

Tel: 06 98 31 34 92

www.flavienprioreau.com

Modéle : Marin

1 — CENTRE

édito Bon’jour !

Aujourd’hui, j’ai fait de la soupe. Pour une fois que le froid ne me donne

pas envie de tartiflette, j’ai sauté sur l’occasion. J’ai fait de la soupe,

comme ça, moi-même, avec des vrais légumes (bio, j’assume, victime

de la mode, tel est mon nom de code), mon couteau en céramique, mon

mixeur plongeant. J’avoue, j’étais pas forcément partie dans un truc très

tradi, j’ai spontanément pensé épices, légumes oubliés, lait de coco,

pain d’épice : il faudrait peut être que j’arrête de regarder « Un Diner

Presque Parfait ». Bref lave, épluche, coupe, cuit, broie : ça sentait bon

chez moi, ça sentait l’hiver, le potimarron, si j’avais envie de solliciter un

peu plus ton imagination, joli Bonbon, je dirais même que ça sentait le

sapin – sans mauvais jeu de mot des années 50, je parle bien du coni-

fère - et le feu de cheminée, ouep. Pour de vrai, quoi de plus jouissif /

romantique / réconfortant qu’une soupe maison ? Le seul inconvénient

étant qu’en général tu en fais tellement que tu en manges pendant 15

jours. Et puis que le truc diététique de base (oui, tu t’es obligée à ne pas

mettre de beurre parce que tu sais déjà que tu vas prendre cher à Noël)

devient limite aligot parce que tu y rajoutes de la crème, du fromage, des

pâtes et du jambon. Ben oui, tu as froid, pardi. Et c’est là que toi, petit

Bonbon joyeux, tu te dis « Mais qu’est ce qu’elle a cette excitée à nous

parler céleri rave et petit bouillon ? », mais Bonbon joli, estime toi heu-

reux ! Je viens de t’éviter l’édito rituel sur la liste au Papa Noël, la magie

de la St Nicolas et autres réjouissances christmatesques !

Je te le souhaite bien bon cela dit.

Bisous d’amour.

Camille Clance

Rédactrice en Chef

Publicité

[email protected]

06 33 54 65 95

Président

Jacques de la Chaise

[email protected]

Rédactrice en chef

Camille Clance

[email protected]

Graphiste

Romain Launais

Secrétaire de rédaction

Anne-Charlotte Anris

Rédaction

Marion Buiatti, Coralie Dienis, Clémence

Goudard, Odilon Corby

Photographes

Géraldine Doyen, Clémence Goudard,

Sophie de Nazelle, Odilon Corby

Photo couverture

Flavien Prioreau

Responsable culture et partenariats

Charlotte Perget

Petites annonces

[email protected]

Rejoignez le Bonbon

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Contactez-nous

[email protected]

01 48 78 15 64

SAS Le Bonbon

12, rue Lamartine

75009 Paris

SIRET 510 580 301 00032

3 — CENTRE

3 — CENTRE

sommaire

6. Le Square

18. WhatSize

10. Christian Constant

24. Sauver le Monde des Hommes

14. L’îlot

28. Banlieue et S.D.F.

5. Le Bon Timing

6. Le Bon Commerçant

10. La Bonne Étoile

12. Les Bons Plans

14. Le Bon Resto

16. Le Bon Ciné

17. Les Bonnes Annonces

18. La Bonne Pointure

20. Les Bons Plans

22. Les Bons Snapshots

24. Le Bon Sauveur

26. Le Bon Horoscope

28. La Bonne Initiative

30. Le Bon Agenda

32. Les Bonnes Adresses

Décembre 2012

5 — CENTRE

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Padiglione

dubble

Entre vous et moi

Artiste accomplie, Alexandra Duvivier vous subju-

guera dans ce spectacle qui fait partie des plus gros

succès du Double Fond. Féminine et facétieuse, elle

dose charme, humour et gouaille pour enchaîner des

tours rapides, relevés d’une petite histoire, d’une

bonne blague ou d’un jeu de mots.

Jusqu’au 29 décembre 2012 au Double Fond

1, place du Marché Sainte-Catherine - 4e

Et l’homme… créa le robot !

Une exposition inédite dédiée à celui qui peut

apprendre, raisonner, interpréter, s’adapter et déve-

lopper ses capacités : le robot ! D’où viennent les

robots ? À quoi servent-ils ? Quel est le devenir de la

robotique ?

Jusqu’ au 3 mars 2013 au Musée des Arts et Métiers

60, rue Réaumur - 3e

www.arts-et-metiers.net

Happening La Cooking @ Segoola

Pour sa première édition, la Cooking by Viktoria

investit clandestinement un opticien dans le Haut

Marais parisien. Rendez-vous chez Segoola, bou-

tique métamorphosée en laboratoire illicite le temps

d’une soirée. Vos combinaisons vous y attendent.

Le jeudi 13 de 20h à minuit chez Segoola

104, rue de Turenne - 3e

www.segoola.fr

Fabien Granet

Détournées, télescopées puis remises en scène,

c’est par un grand big-bang que naissent les images

de Fabien Granet. Comme des fragments multiples,

ses dessins se nourrissent d’une constellation de

référents, allant de son quotidien à l’histoire de l’art,

en passant par le cinéma, l’imagerie populaire…

Galerie Gabriel & Gabriel - 68, rue du Vertbois - 3e

Tél. : 09 64 20 85 51 - www.gabrieletgabriel.com

Théâtre

5 — CENTRE

le bon timing Les événements à ne pas manquer !

Shopping

Découverte

DR

/ D

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DR

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Découverte

7 — CENTRE

7 — CENTRE

le bon commerçant Publi-reportage Camille Clance

Photo Marion Buiatti

Allez hop, le Bonbon toujours aux avant-postes

pour faire mentir les clichés et autres stéréotypes.

Aujourd’hui, on s’attaque à « Le service dans les

cafés parisiens est déplorable, les gens sont aigris,

désagréables et tous gris. » Et c’est là que j’inter-

viens, donc.

Une localisation idéale

Bienvenue au Square, joli bistrot voisin presque

limitrophe du tout aussi joli Square du Temple, point

de convergence de la rue de Bretagne et de la rue

du Temple qu’on aime d’amour. Des brocantes, des

brunchs, des terrasses : il s’en passe des choses

dans ce quartier au charme sans égal « Ce qu’on

préfère ici, ce sont les habitants, raconte Willy, l’im-

mense patron du Square (immense parce qu’il est

grand, je précise). Notre raison de nous lever le matin

avec plaisir, ce sont nos habitués. C’est une véritable

petite famille que l’on a su recréer, au sein de ce petit

village qu’est le 3e arrondissement. Nous faisons en

sorte que la frontière serveur-client soit la plus mince

possible. Pas de prise de tête, pas de code, on est le

bienvenu si on a envie de venir prendre son café du

matin en pyjama. Je serais presque tenté de voler à

Mac Do son “Venez comme vous êtes !”»

Un QG en puissance

Voilà 5 ans que Willy, son petit frère Antoine et

leur père se sont associés pour reprendre l’affaire.

« C’était un tas de ruines quand nous avons réinvesti

les lieux ! Notre père a toujours été dans le milieu de

la restauration, il possédait d’ailleurs un café à Saint

Germain où l’on a passé notre enfance. Donc forcé-

ment, on a évolué dans ce milieu, on y a travaillé très

tôt, et on a rapidement eu le goût du métier, continue

Willy. Notre famille paternelle est aveyronnaise, et

nous a transmis des valeurs primordiales que nous

mettons en avant tous les jours au Square. L’accueil

et le respect du client sont ainsi des priorités. Ici, ils

se sentent considérés, ils sont comme chez eux. »

Une carte teintée de tradition

Le côté aveyronnais, c’est aussi d’en donner pour leur

argent aux gens. Le choix des produits est donc pri-

vilégié ici. « Par exemple, notre Cantal vient directe-

ment d’un petit producteur et fait en général le bon-

heur de nos gourmets. C’est un peu la ligne éditoriale

de notre cuisine : sincère, bonne, un peu tradition-

nelle le midi, et franchement plus jeune le soir avec

des burgers qui ont beaucoup de succès. Toutes nos

entrées et nos desserts sont faits maison sur place. »

Des soirées hautes en couleurs

Parfois, au détour de la rue du Temple, vous enten-

drez un vacarme presque musical émaner du Square.

Pas d’inquiétude, c’est juste une soirée Fanfare.

Oui oui, vous lisez bien, une fanfare, une qui joue

fort, qui met l’ambiance, qui réchauffe les cœurs.

Et qui remplit les verres ! « C’est une ambiance

un peu spectacle, ça change ! Les gens viennent

Le Square

Un QG AU CArré

8 — CENTRE

le bon commerçant

Le Square

165, rue du Temple - 3e

Tél. : 01 42 72 22 75

spontanément se ravitailler au bar, se regroupent

autour de l’orchestre pour partager ce moment un

peu hors du temps. Mais on invite aussi des groupes

rock, pop, des chanteurs que l’on aime particulière-

ment. On organise aussi beaucoup de soirées à thème

– créoles, cubaines par exemple, avec la cuisine qui

va avec ! Et puis nombreux sont nos clients qui fêtent

leur anniversaire ici. On se refuse à la privatisation,

car ce n’est pas l’ADN du lieu. Privatiser, ce serait

refuser l’accès à nos habitués contre un joli chèque :

ce n’est pas notre philosophie. Par contre, on réserve

avec plaisir une partie de la salle, où les gens laissent

souvent libre court à leur folie en ce qui concerne la

décoration. »

Une décoration bien pensée

Briques, pierres apparentes, lustre vintage… On aime

l’esprit un peu industriel, un peu rétro, un peu brut

de l’endroit. « Quand nous sommes arrivés ici, l’en-

semble des murs était recouvert de formica brun,

pas très avenant. En creusant un peu, on a découvert

toutes ces belles pierres. L’espace recelait de tré-

sors de charme que les anciens propriétaires avaient

masqué pour je ne sais quelle raison. Forcément, on a

mis tout ça à nu, pour arriver à ce résultat. Dont nous

sommes fiers ! Les gens se sentent bien ici, et c’est le

principal pour nous. »

La terrasse, miam miam la terrasse

Oh oui, la terrasse. Elle est au soleil depuis le matin

jusqu’à au moins 16h. Souvent prise d’assaut, et on

comprend pourquoi. On en oublie presque le mur-

mure de la ville. Parce que le parisien est addict au

café en terrasse, surtout lorsque le soleil pointe le

bout de son nez, et pour plein d’autres raisons, le

Square est définitivement l’adresse à retenir !

8 — CENTRE

10 — CENTRE 11 — CENTRE

la bonne étoile

Début septembre, j’apprends que le Chef et jury de

l’émission Top Chef, prépare un coup avec Mono-

prix. Il s’agit de foie gras, je suis toute ouïe, j’insiste

pour le rencontrer (Constant hein, pas le foie gras,

quoique).

Pourquoi est-il important d’être Constant ?

En cuisine il faut toujours avoir de la rigueur, de la

régularité, de la passion et l’amour de ce que l’on

fait. être « Constant » c’est rester moi-même, tout le

temps, ne jamais changer quelle que soit la situation.

Même quand on collabore avec Monoprix donc ?

Bien sûr. La collaboration s’est faite via le fabriquant

de foie gras Grand Auguste, avec qui je travaille dans

mes établissements. Il m’a demandé d’établir ma

recette, a proposé l’ensemble à Monoprix et voilà !

J’ai choisi le design pour présenter le produit, une

cocotte Staub en céramique : un récipient malin

qui peut resservir pour faire des œufs cocottes, une

crème vanille, une mousse au chocolat…

Et ce foie gras, comment se déguste-t-il ?

En apéritif, à plusieurs, pour démarrer les fêtes, avec

une salade et accompagné d’une bonne bouteille de

Champagne. Sa présentation invite à le partager et

c’est ça que j’adore. C’est vraiment quelque chose de

familial, de convivial.

À noël, c’est bûche or not bûche ?

Pas bûche ! Plutôt un roulé à la châtaigne. Avec une

crème au beurre à la châtaigne. Ce sont des souve-

nirs d’enfance, l’hiver en famille, le partage. Ma mère

avait l’habitude de faire des roulés qui ressemblaient

beaucoup à des bûches pour le réveillon.

Dans la série gourmandise, avez-vous un bonbon

favori ?

Les dragées Pécou. Ce sont les meilleures du monde !

Elles sont d’une finesse ! L’enrobage est fondant, et

très délicat autour de l’amande. C’est parfait après

un café ou à un mariage. Quand on en a goûté une,

ce n’est plus possible d’en manger d’une autre sorte !

Et vous, comment interpréteriez-vous le bonbon ?

Ce serait un bonbon de Noël. Une truffe au chocolat,

avec une touche de truffe noire et de whisky.

Si Paris était un plat, quel serait-il ?

Paris, c’est les monuments, c’est vieille France, c’est

l’Histoire… Ce doit être très élégant, et très bon

comme un vol au vent !

Christian Constant

Un CHEF EntIEr, MA FoI !

Texte et Photo Marion Buiatti

10 — CENTRE 11 — CENTRE

Et si vous deviez faire de la tour Eiffel un plat, com-

ment se composerait-il ?

Ce serait gigantesque. Je verrais bien un chapon

bourré de foie gras ! Avec des marrons, des châ-

taignes et un bon jus. Il faut que ce soit magique,

festif, exceptionnel mais aussi accessible. Ce n’est

bien sûr pas un plat de tous les jours, c’est sublime,

comme la Tour Eiffel !

La question vache de noël : pouvez-vous nous racon-

ter un évènement où vous avez eu « les boules » ?

C’était en 1997, pour ma réception de mariage au

Crillon (où il a été chef pendant 7 ans, ndlr). Les

pâtissiers avaient passé des heures sur une pièce

montée extraordinaire… que j’ai vue par terre sous

une porte. Ils pensaient que j’allais les mordre (au

Crillon il était surnommé le pitbull, ndlr). Mais au

final j’étais plus dégoûté pour eux que pour moi… Je

les ai réconfortés, mais je pense qu’ils ne s’en sont

pas remis ! (rires)

Sa bonne adresse :

Epicerie Israël - 30, rue François Miron - 4e

retrouvez Christian Constant…

Chez Monoprix, avec sa cocotte de foie gras

de canard entier mi-cuit pour 33,99 € les 160g.

www.maisonconstant.com

12 — CENTRE 13 — CENTRE

les bons plans Texte & Photo Raphaël Bosse-Platière

dubbleDeux fois plus de plaisir

Dans une publicité devenue culte, Aimé Jacquet

disait : « tu vois, ça coûte pas plus cher de bien

manger ». Et l’ancien sélectionneur des Bleus ne

croyait pas si bien dire. Ca s’appelle le fast-good.

Les enseignes proposant une restauration rapide de

qualité se multiplient dans les rues de Paris. Parmi

elles, il y en a une qui sort du lot : « dubble ».

Ouvert depuis le mois d’avril dans la coquette rue de

la Banque, à deux pas de la place de la Bourse, ce

restaurant est déjà bien connu des CSP+ qui tra-

vaillent aux alentours. Et lorsque l’on franchit la

porte, on comprend tout de suite pourquoi.

La décoration vous plonge immédiatement dans une

ambiance agréable. « Mes clients me disent souvent

qu’ils aiment cet endroit pour son côté apaisant, et sa

nourriture fraîche » me confie Jean-François, qui a

changé de vie pour ouvrir son restaurant. Cet ancien

directeur artistique d’agence de pub s’est lancé dans

cette aventure avec un seul mot d’ordre : « propo-

ser une nourriture saine et équilibrée à un prix abor-

dable ». C’est peut être ça le dubble avantage.

Ici, tout est fait maison. De la « salade de penne au

curry et aux aubergines grillées », aux gâteaux du jour,

en passant par les « fusillis à la copa et aux quatre

fromages » : Jean-François cuisine tout avec son

commis. La diversité de la carte permet de venir

toute la semaine sans jamais manger la même chose.

Tous les jours, un nouveau mix de jus de fruits frais

et un plat du jour sont à la carte, ainsi que des wraps

toastés et des bagels. Une carte qui, pendant tout

le mois de décembre, se mettra aux couleurs des

fêtes. Vous pourrez ainsi goûter à la salade « foie

gras, pomme verte et pain d’épice » et au dessert

à prendre absolument, un triffle aux cerises (gâteau

à base de fromage blanc, ndlr) et au Cointreau, dont

la recette est précieusement tenue secrète.

Et contrairement à d’autres enseignes concurrentes,

chez dubble, on peut s’offrir des petits plaisirs culi-

naires sans se ruiner. Le menu qui vous propose un

plat, un jus de fruits frais ou une boisson, et un des-

sert maison est à moins de 10 € ! Et pour ceux qui

n’ont pas le temps de profiter du calme de la salle

ou des quelques places en terrasse, il existe un petit

plus. Il est possible de commander son repas par

téléphone (avant midi) et de venir le chercher à

l’heure de son choix.

dubble

17, rue de la Banque - 2e

www.dubble-food.com

Ouvert du lundi au vendredi, de 8h30 à 15h30

Tél. : 09 81 80 32 20

12 — CENTRE 13 — CENTRE

les bons plans

Le MécèneMarine Chalayer à la Galerie Métanoïa

Il était une fois un site internet, une galerie, et une

artiste. Le site internet, c’est Le Mécène, qui permet

à vous, moi, tous, chacun à son échelle, de financer

l’exposition d’un artiste, une sorte de My Major Com-

pany de l’art, en somme.

L’objectif est de réunir 3 000 € de mécénat dans les

90 premiers jours de la cagnotte pour organiser un

vernissage et une exposition dans une galerie à Paris.

La-dite galerie, c’est la Galerie Métanoïa, créée

en 2006 et située rue Quincampoix, à deux pas du

Centre Pompidou. L’artiste qui a gagné les faveurs

des internautes et qui se verra exposé à la Galerie

Métanoïa du 15 au 23 décembre, c’est Marine Cha-

layer, dessinatrice textile qui marie au gré de son ins-

piration peinture, broderie et étoffes. Elle présentera

une série d’une vingtaine de pièces abstraites, entre

couleur et poésie, nostalgie et rêverie, ainsi qu’un

nouveau travail plus figuratif racontant des person-

nages enfantins et mélancoliques.

Dans le prolongement de l’exposition, ses œuvres

seront en vente en ligne sur le site www.lemecene.fr

pendant 3 semaines.

Marine Chalayer à la Galerie Métanoïa

Du 15 au 23 décembre

56, rue Quincampoix - 4e

Ouvert tous les jours de 11h à 18h30, nocturnes les

mercredis, vendredis et samedis jusqu’à 20h30.

Entrée libre.

Wen ZhouBest Bô Bun ever

Une petite rue piétonne, le boucan des palettes sur

les pavés, des faux airs de Chine : oui, vous êtes bien

rue au Maire.

Compliqué de choisir entre tous les petits boui-bouis

asiatiques quand une envie de nems vous envahit

soudain l’esprit. Le meilleur test : celui de l’autoch-

tone ne ment jamais. Chez Wen Zhou, la population

chinoise se retrouve, et c’est la meilleure garantie,

non ? Le décor ? On s’en fout. Ce qui nous intéresse

ici, c’est l’assiette. Des petits plats typiques de la

province de Wen Zhou – d’où le nom, forcément.

La spécialité, c’est la soupe de poisson tapé. Des

tranches de poisson tellement frappées qu’elles

deviennent fines comme du papier. C’est chaud, par-

fumé, ça fond dans la bouche.

Mais, car il y a un mais, la palme d’or revient au Bô

Bun, subtile mélange de soja, de vermicelles, de

bœuf sauté aux oignons, et petits morceaux de

nems dorés. La Chine toute entière dans un coup de

baguette. Et le pire, c’est que vous pouvez payer votre

tournée : vous n’en aurez guère pour plus de 12 € par

personne, 6,50 € le Bô Bun. Qui dit mieux ?

Wen Zhou

18, rue au Maire - 3e

Tél. : 01 42 74 05 09

Tous les jours midi et soir sauf le dimanche soir

Publi-reportage & texte Camille Clance

Photos DR

14 — CENTRE 15 — CENTRE

le bon resto

Ils sont trois, ils sont jeunes, fringants, ils aiment

bien boire, bien manger : la vie quoi. Stan, Val et oli-

vier ont bénéficié d’un de ces hasards de la vie qui,

souvent, font bien les choses. rencontre.

Olivier, barbe imposante, nonchalance de rigueur, se

fait porte-parole d’un jour. Il y a 4 ans, il rencontre

Val et Stan du Barav. De leur collaboration naîtra

l’Aller-Retour, restaurant de la rue Dupuis spécialisé

dans la viande. Puis s‘en suit l’ouverture en juillet

dernier de l’Îlot, dernier volet en date de la trilogie

du quartier Dupetit-Thouars, avec la participation de

Lou, la nouvelle recrue. « On est partis d’un constat

simple : il est difficile de manger des fruits de mer à

Paris en dehors des brasseries un peu vieillottes. Ça

a son charme, certes, mais on a aussi droit de ne pas

se retrouver dans un repère de touristes dès qu’on a

envie d’huîtres.»

L’Îlot, c’est un peu le royaume de la mer à deux pas

de la rue de Bretagne. Décor simple et élégant (on

évite avec bonheur les bouées au mur et les porte-

couteaux en forme de sardine), et surtout, carte à

faire pâlir de désir le commandant Cousteau. « Tout

est frais, livré du jour et cuit sur place, ce qui n’est

pas forcément le cas dans tous les restos de fruits

de mer. Quand vous mangez un bulot qui a la consis-

tance d’un pneu, vous pouvez être certain qu’il a été

livré cuit. Nous rencontrons les producteurs, en parti-

culier les ostréiculteurs, et nous sommes avec plaisir

dépendants des saisons en ce qui concerne les arri-

vages. Nous proposons des variétés aussi diverses

et qualitatives que la Fine de Claire, la Perle Blanche

ou la Belon Prat Ar Coum, mais aussi des crevettes

bios bien fermes comme on les aime, ou de l’anguille

fumée de Suède dont les clients ne se remettent

pas. Le credo : simple, bon, et bon. La carte des vins

suit cette lignée. Elle est composée de véritables

coups de cœur. Bio, naturel ou non, on choisit juste

le meilleur.» Nos petits coups de cœur à nous : le

Kouign Amman, cuisiné par des mains expertes et

bretonnes ; la terrasse, avec vue sur le Carreau du

Temple, habillée de grands bancs accueillants qui

faciliteront les rencontres ; le plateau dégustation,

qui propose presque l’intégralité de la carte en mode

dégustation, et la vente à emporter, pour les pla-

teaux télé un peu sophistiqués. D’ailleurs, les plus

avisés commencent déjà à réserver leurs bourriches

d’huîtres pour Noël !

L’Îlot

4, rue de la Corderie - 3e

Tél. : 06 95 12 86 61

www.facebook.com/lilot.paris

Ouvert du mardi au samedi

L’îlotLES MoUSQUEtAIrES DU CoQUILLAGE

Publi-reportage Camille Clance

Photo Odilon Corby

14 — CENTRE 15 — CENTRE

16 — CENTRE

le bon ciné

nous parisiens, il faut l’avouer, nous avons quelques

gros défauts. ou si vous préférez, disons des traits

de caractères. La fierté par exemple, ou le fait de

tout contester. ou aussi quand parfois, on ne voit pas

plus loin que le bout de son nez.

On se donne souvent rendez-vous à ses pieds, mais

on y va plus souvent pour un bon film que pour le

bâtiment lui-même. Il est pourtant bien enterré dans

notre mémoire le Rex, comme un décor, en surface,

mais vu des coulisses c’est encore mieux et il

faut clairement en profiter.

Il a fallu près de 50 ans pour que

le cinéma de Jacques Haïk soit

reconnu comme monument his-

torique français. Il n’empêche

que ce modèle réduit du Radio

City Music Hall de New York est

aussi beau de l’intérieur, quand

on y prête attention.

À son inauguration, Paris Soir

l’intitulait « Éclat de Hollywood

tombé sur Paris » : il a été construit

par Auguste Bluysen, architecte connu

également pour le Casino du Touquet. Ce

ne pouvait être qu’un succès. Ce qui est d’autant

plus étonnant, c’est le choix de collaboration avec

Maurice Dufrêne pour l’intérieur : à contrario des

paillettes de la grande City, c’est un univers de french

riviera qui s’impose, aux tendances art-déco fan-

tasque, contemporain, surplombé de ciels nuageux

plus vrais que nature. Un décor majestueux, mais qui

traverse l’histoire de l’Europe avec quelques assom-

brissements.

Le Grand Rex tient aussi malheureusement sa célé-

brité de sa réquisition par les Allemands lors de l’oc-

cupation. Pendant cette époque, les amoureux du

lieu restaient fidèles aux séances mais il est rapide-

ment devenu « SoldatenKino » , le cinéma des sol-

dats, dans lequel les propagandes étaient projetées.

Mais de fil(m)s en aiguilles, il se relève d’autant plus

fort à la Libération, et le temps est au succès

pour notre monstre d’image. Il inaugure

en 1988 à l’occasion du Grand Bleu

« le Grand Large », qui devient

à l’époque le plus grand écran

d’Europe. Bon, jusqu’à ce qu’il

soit détrôné par Le Gaumont

Grand Écran Italie.

L’avantage reste la virée en

coulisse, « Les étoiles du Rex »,

qui vous permet d’aller com-

prendre tout ça par vous même.

Une visite dans les secrets du

cinéma pour découvrir sa magie, ses

artifices. Connaître l’histoire du lieu mais aussi

la puissance d’Hollywood. Derrière l’écran, c’est un

parcours initiatique terriblement addictif pour les

amateurs du 7e art : on y retrouve son âme d’enfant.

C’est aussi l’occasion d’être vous aussi au centre de

la scène. Mais je n’en dis pas plus, vous, comme moi,

passez devant tous les jours…

Le GrandRex

rEnDEz-VoUS étoILé

Texte Clémence Goudard

Photo DR

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133, rue Vieille du Temple - 3e

Tél. : 01 42 77 04 14 - [email protected]

www.oska-paris.com

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17 — CENTRE

Trouvez-moi le perroquet qui a

chié sur la tête de Chloé

Ma petite feuille morte, laisse moi te cueillir et t’emmener avec moi.

Charlotte aux fraises, pas trop de crème pour

les fêtes.

Recherche châteauà Montréal,

septembre 2014. Contactez moi au

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Bienvenue à Eléonore Zelda et bravo à Elodie et

Matou !

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À toute l’équipe du

Bonbon, je vous

souhaite de joyeuses

bulles de fin d’année.

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A défaut de trouver un mec, j’ai une

coloc’ poilue! haha ;)

Tom, toujours pas refumé…

respect !

Notre belle aventure continue, après les chupitos les kangourous … et bien d’autres <3

Bah alors Pierrot,

t’es caché où?

Quel kiffe d’être avec

vous, ma petite famille

chérie ! Je vous aime.

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la bonne pointure

Il est de ces endroits où l’on se sent instantanément

bien. Déco mi-indus, mi-vintage ultra chaleureuse,

sélection ad hoc mixant allègrement tendance,

sport et urbano-chic : l’homme est à l’honneur chez

WhatSize, et quel honneur… rencontre avec Max,

fondateur de la boutique.

La naissance de WhatSize

« Après avoir quitté le Centre de Formation de Foot-

ball et terminé mes études de commerce, j’ai inté-

gré la chaine de magasin de sport Courir en tant que

vendeur. Rapidement, j’ai évolué en tant qu’assistant

manager, puis responsable de shop. J’ai décidé à ce

moment là de vivre une expérience professionnelle

extrêmement enrichissante à Londres, toujours dans

le secteur de la Sneakers. Par la suite, je suis devenu

responsable Compte Clefs auprès d’une marque

de chaussures pour terminer comme Sales Mana-

ger France. J’ai ensuite décidé de me mettre à mon

compte et d’ouvrir ma propre agence de distribution

et choisi d’axer mon business sur ma passion depuis

toujours : la Sneakers Haut de Gamme ! L’Agence

WhatSize est ainsi née. Et puis j’ai très vite ressenti

le besoin de dupliquer ma passion au travers d’un

shop : le premier WhatSize Shop s’ouvre dans la rue

Keller (Paris 11e). Très rapidement, l’espace s’avérant

petit, j’ai dû ouvrir un shop plus grand. En janvier

2012, nous avons donc ouvert un second WhatSize

Shop au 21, rue Greneta, dans le quartier de Montor-

geuil.

La chaussure, l’homme : deux évidences

« Je viens d’un quartier du 93 où la Sneakers permet-

tait de se différencier les uns des autres. Et puis la

Street Culture fait partie de ma vie à 100%… Le choix

de privilégier l’homme s’est imposé naturellement

car le marché de la Sneakers Haut de Gamme touche

essentiellement la clientèle masculine. »

Un shop à l’ambiance particulière

« C’est un univers dans lequel le cuir, le bois et

les matières métalliques apportent une certaine

richesse qui nous permet d’entrer en communication

plus rapidement avec le client, qui souvent se sent

comme à la maison. Cette ambiance nous accom-

pagne depuis mon séjour à Londres où cette culture

du vintage est très présente. Le graff (qui domine

l’espace) y est aussi pour beaucoup dans l’atmos-

phère : il nous a été offert par l’artiste brésilien Loro

Verz »

Quand clientèle et sélection ne font qu’un

« J’habille l’Homme et la Femme dynamique qui sont

passionnés de belles Sneakers de grande qualité.

Ce sont des gens qui en général adorent la Street

Culture, et qui aiment voyager à travers notre uni-

vers vestimentaire mais aussi et surtout musical et

de déco… Car nous ne vendons pas seulement de la

chaussure. Nous travaillons par exemple avec une

artiste irlandaise qui se nomme SweetLime et qui

réalise des bijoux faits main d’une grande finesse,

ainsi que 2 créatrices françaises, Alice Hubert et

WhatSizeL’HoMME SHoE SHoE

Texte Camille Clance

Photo Charles Guillet

18 — CENTRE 19 — CENTRE

Eloïse Fiorentino. Le reste de la sélection de Denim

ou de Chino est essentiellement la gamme premium

de la marque Scotch&Soda qui nous arrive tout droit

des Pays-Bas. Et puis, il y a aussi des sélections de

vinyles qui éveillent notre intérêt, sans oublier les

blousons en jean et les lithos de l’artiste lyonnais

Spé. Il est issu du Graffiti et fait partie de 1984,

incroyable collectif d’artistes français à suivre abso-

lument. »

Des créateurs triés sur le volet

« Parmi les créateurs auxquels nous tenons, il y a

Groundfive, qui a été crée à Gap par 2 amis et fans de

baskets de qualité, surfant sur un design très italien.

Nous avons aussi deux marques danoises particuliè-

rement dynamiques en terme de design : House of

Montaigue et Shoe The Bear (Copenhague) qui pro-

posent des produits haut de gamme (de 110 € à 340

€). Mais aussi le hollandais Filling Pieces, ou encore

Mr Moustache qui est une jeune marque française :

leur packaging est une boîte à vin en bois ! La French

Touch, quoi… »

La liste au Papa noël de Max

« Continuer à prendre du plaisir auprès de ma famille,

de mes amis et de mes partenaires… Et voyager ! »

Ses bonnes adresses

Restaurant Chez Pierrot

18, rue Etienne Marcel - 2e

l’Expérimental Cocktail Bar : 37, rue St Sauveur - 2e

Rice&Beans : 22, rue Greneta - 2e

WhatSize

21, rue Greneta - 2e

Tél. : 09 81 96 36 72

www.what-size.com

[email protected]

20 — CENTRE 21 — CENTRE

les bons plans Publi-reportages Rachel Thomas & Camille Clance

Photo Ecotribu

Solstice des créateurs #5Vente éphémère de mode et déco éthiques by Ecotribu

Avis à tous les friands de mode et déco solidaires,

la 5ème édition du Solstice des Créateurs est l’évène-

ment à ne pas manquer les 15 et 16 décembre pro-

chains. Cette vente éphémère de créateurs éthiques

et solidaires organisée par Ecotribu présente le

travail de 20 créateurs engagés. Vous découvrirez

une sélection pointue de créations en adéquation

avec l’esprit de l’association : de l’éthique, du manu-

facturé et du local, de l’écolo et du recyclage. Des

pièces uniques qui donnent du sens ici et ailleurs.

Refaites votre garde-robe, ou trouvez des cadeaux de

Noël 100% écolos ! Au programme, de la mode (Nina

Robin, Jac Totum…), des accessoires (Toubab Paris,

Pampa & Pop…), de la déco (Vanessa Morandini…),

des idées originales pour petits et grands.

Pour sa 5ème édition, Ecotribu organise en supplé-

ment une exposition sur le thème de la couleur avec

des invités de choc ! Betty de Paris, artiste plasti-

cienne présentera « Couleurs Nature » arbre à sou-

haits, composé de tissus teints uniquement avec des

plantes. Rosa Tapioca, créatrice, nous explique le

DYE LAB, la machine de teinture 100% écolo ! Agnès

Robin, designer textile, vous fera voyager à travers sa

peinture.

Solstice des créateurs #5 - Association Ecotribu

Les 15 et 16 décembre 2012 - Entrée Libre

Ouvert de 11h à 20h

http://ecotribu.worpress.com

Galerie Art&Events - 79, rue Quincampoix - 3e

PadicoiffurePère et fille

Il était le roi du chignon. Un artiste hors pair, un

homme généreux, drôle, et qui manque au monde de

la coiffure depuis sa disparition en 2011, j’ai nommé

Alain Padiglione. C’est sa fille Stéphanie, digne héri-

tière, ex-professionnelle de la mode, qui a repris le

flambeau et le salon de la rue Jean du Bellay.

« J’étais conseillère en image jusqu’en 2009, année

durant laquelle j’ai décidé de rejoindre mon père.

Par profonde envie de me rapprocher de lui, et d’ap-

prendre toutes les ficelles du métier qu’il maitrisait

à merveille. La meilleure motivation du monde.»,

explique Stéphanie la passionnée.

Le salon que père et fille ont ouvert ensemble en

2009 est à leur image : simple, convivial, chaleureux.

L’espace est vaste et lumineux, et donne envie d’y

passer quelques heures à se faire chouchouter. Par-

lons chouchoutage justement : nous ne sommes pas

dans un simple salon de coiffure. Manucure, soins

du visage (avec notamment le prodigieux système de

courant galvanique), mais aussi lissage brésilien (par

Prestige et Inoar) et autres réjouissances capillaires

orchestrées par la marque Sebastian (dont les new-

yorkais raffolent), ou encore Wella pour la couleur. Le

tout dans un Paris qui fleure bon la tradition et l’his-

toire…

Padicoiffure

3, rue Jean du Bellay - 4e

Tél. : 01 43 54 34 16

www.padicoiffure.fr

20 — CENTRE 21 — CENTRE

les bons plans Texte Camille Clance

ALittleMarket.comPetits plaisirs de Noël

Une fois n’est pas coutume, on part dans le 17e pour

un joli marché de noël qui risque de faire des heu-

reux ! Connaissez-vous le site ALittleMarket.com ?

Ce site internet dédié aux créations Made in France

et faites-main a été lancé en 2009, et regroupe

aujourd’hui plus de 40 000 créateurs proposant

900 000 créations : mode, bijoux, accessoires, déco-

ration… Mais plus qu’un simple site d’achat, ALitt-

leMarket.com organise régulièrement des évène-

ments physiques qui permettent aux acheteurs de

rencontrer leurs créateurs préférés.

C’est dans cet état d’esprit qu’a été imaginé « Le

Marché des Batignolles », qui prendra place dans

le joli quartier des Batignolles dans lequel les illu-

minations de Noël ont une saveur particulière, et la

magie de Paris prend tout son sens. À cette occasion,

plus de 55 créateurs du site seront présents pendant

3 jours afin de vendre une multitude de créations.

Enfin une alternative sympathique, dynamique, et

purement française à la course au shopping de Noël.

Terminé les combats de catch dans les rayons des

grands magasins pleins à craquer, vous éviterez

aussi grâce à ALittleMarket.com les marchés tradi-

tionnels où pullulent bougies en cire d’abeille, bon-

nets péruviens et autres lampadaires marocains.

C’est ainsi que les passants trouveront de quoi

satisfaire les petits et les grands en vagabondant

entre les stands : bijoux, décoration pour la maison,

décoration pour la chambre des enfants, mais aussi

des jouets, du prêt-à-porter ou encore des acces-

soires de mode ! Des centaines de propositions pour

enfin prendre le parti de l’originalité, et redonner une

vie au sapin ! Car en privilégiant l’objet de créateur,

on s’offre la possibilité de personnaliser le présent

d’une manière unique.

Tout au long de l’année, ALittleMarket.com organise

une multitude d’évènements à retrouver sur le site.

Ateliers créatifs, salons de créateurs, journées du

fait-main : redécouvrez le plaisir de consommer et

d’offrir du Made in France, et de découvrir des créa-

teurs pleins d’imagination.

Pour ceux qui n’auront pas la chance de pouvoir flâ-

ner au délicieux Marché des Batignolles, les créa-

teurs vous attendent sur le site internet.

Le marché des Batignolles d’ALittleMarket.com

Vendredi 14 décembre de 11h à 20h

Samedi 15 et dimanche 16 de 10h à 20h

Place Richard Baret - 17e

Plus d’infos sur alittlemarket.com

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24 — CENTRE 25 — CENTRE

le bon sauveur Texte Camille Clance

Photo DR

Sauver le Monde

des HommesLE MESSIE En CArDIGAn

toi, Homme Bonbon. oui toi, avec ton écharpe trop

courte, ton jean que tu as mis toute la semaine et ton

manteau « trop grand mais super chaud ». Homme

Bonbon, j’ai la solution.

Alexandra et Pierre sont deux jeunes gens pleins

d’avenir et de bon sens. Tous deux diplômés de

Science Po, après divers obscurs parcours dans

la finance et le droit, ils décident de concrétiser

leur projet de fin d’études : Sauver le Monde des

Hommes. Intitulé ambitieux, me direz-vous. Explica-

tions de Pierre, le Sauveur en Chef. « Nous sommes

partis de plusieurs constats probants. Le premier,

c’est qu’il n’existait pas d’offre prêt-à-porter mas-

culin pour les hommes qui ne se reconnaissent pas

dans les grandes chaînes entrée de gamme, ni dans

les marques tendance trop chères, pas forcément

qualitatives et assez pompeuses. En tant que mec

avec la trentaine en point de mire, j’aime ressembler

à quelque chose sans pour autant avoir le même look

que tout le monde. Les vrais exemples d’élégance

sont autrement légendaires que ceux qu’on voit dans

les magazines de nos jours. C’est à eux que j’ai envie

de m’identifier. » C’est ainsi que naît la gamme des

‘’Incontournables’’, tout droit sortie des gardes-

robe des héros urbains, de ces icônes de la condi-

tion masculine ; « un véritable panthéon du vestiaire

masculin. » Le pull matelot de St James immortalisé

par Gainsbourg, la Flight Jacket de l’Armée US de

Schott portée par Gregory Peck et Sinatra, ou encore

les sneakers Jack Purcell chères à James Dean.

Autre constat : l’homme n’aime pas faire du shop-

ping. « Il n’est souvent pas capable d’apprécier une

silhouette dans sa globalité, d’assortir des pièces, de

déterminer si une coupe lui va ou pas. Aussi, sa fré-

quence d’achat est moindre que celle d’une femme :

quand il entreprend d’aller faire les boutiques, il

achète en masse, deux fois par an, et ne remet plus

les pieds dans un magasin. » Ainsi, Sauver le Monde

des Hommes a eu la brillante idée de développer

une poignée d’applications (Logiciels ? Codes ? J’ai

décroché quand Pierre a tenté une explication.) Tou-

jours est-il que c’est génial, voire même révolution-

naire. Pour commencer, le Dresspad, grand écran

tactile qui surveille la boutique et permet de visua-

liser les pièces de la collection, d’accéder à toute

l’histoire des « Incontournables » et bientôt de créer

des looks. Puis le Dressomaton – mon préféré : deux

caméras, une tablette tactile. Vous cherchez une

veste, mais laquelle choisir ? Bleu, marron, noir ?

Jean, velours ? Le Dressmaton vous prend en photo

de face et de ¾ profil, et vous permet de comparer

les essayages, et même d’envoyer les clichés à votre

24 — CENTRE 25 — CENTRE

moitié (ou à votre maman, faute de) pour glaner son

avis. Je vous l’avais dit, révolutionnaire.

Bien entendu, l’offre s’étend à d’autres marques, tou-

jours dans la lignée de « l’abordable gratifiant ». Prim

I Am, créateur danois doux et pas cher, Ben Sherman

le fameux, la marque de foulards Swann Homme

inspirée du monde de Proust et fabriquée en Nor-

mandie, ou encore Emrø, qui maîtrise à ravir l’épuré

scandinave.

Pour Noël, ne manquez pas l’opération « How to

Please a Man for Christmas » (du 8 au 25 décembre),

où l’art de faire plaisir à l’homme de votre choix

(sélection thématique sur des profils masculins

aussi divers que le Dandy, le Patriote, le Soundlover…

Qui ne se limite pas à la garde-robe !)

Sauver le Monde des Hommes

42, rue Saint Antoine - 4e

www.sauverlemondedeshommes.com

BéLIEr 22 mars / 21 avril

En ce mois festif vous aurez à cœur de vous occuper

de vos proches et de leur faire plaisir. Côté boulot le

succès sera au rendez-vous, Mercure vous donnera

une totale présence d’esprit et une grande souplesse.

Côté cœur, une page se tournera… pour le meilleur !

Vous vous montrerez tour à tour conquérant(e),

amical(e), léger(e) ou sérieux(se). En couple lâchez

un peu de lest et vous verrez que tout ira mieux.

Laissez libre cours à votre tempérament fougueux et

battant. Un dernier conseil : gardez espoir en l’avenir.

tAUrEAU 22 avril / 21 mai

L’hiver arrive, mais étonnamment votre moral est au

beau fixe. Vous avez la pêche et vous la partagez avec

votre entourage. Célibataire, c’est le moment de sor-

tir, les astres sont de votre côté ! En couple, la routine

s’installe et vous en avez plus qu’assez. Côté travail,

des responsabilités que vous n’attendiez pas vont

chambouler votre programme. N’ayez crainte tout va

rentrer dans l’ordre aux alentours du 12 décembre.

Un mois agité qui vous donnera assez de force pour

entreprendre tous vos projets laissés de côté durant

l’automne.

GéMEAUX 22 mai / 22 juin

Après quelques semaines plutôt moroses, vous

retrouvez enfin votre dynamisme et votre bonne

humeur légendaires ! Les rencontres et les nouveaux

projets s’enchaîneront et le mois de décembre ne

vous laissera aucun répit. Au boulot, faites atten-

tion à ne pas vous laisser déborder et soyez attentifs

aux instructions. Côté santé, n’hésitez donc pas à

prendre quelques jours de repos pour décompresser

et profiter de votre aura rayonnante ! Côté cœur, vos

désirs vont se concrétiser et une jolie relation poin-

tera le bout de son nez.

26 —

le bon astro

CAnCEr 23 juin / 21 juillet

L’hiver arrive vous souffrez d’une baisse de tonus et

ça se ressent. Évadez-vous, partez vous ressourcer,

sortez de votre carapace, brisez ce cercle vicieux

et reprenez le dessus ! Lancez-vous, osez, sautez,

fermez les yeux et laissez-vous aller ; ce mois de

décembre vous offrira de nombreuses opportunités

de rencontres ! Si vous ne les laissez pas passer le

21 décembre vous profiterez donc de la fin du monde

sous votre couette au chaud, à deux ! Un pas en

arrière ne marquera pas un échec mais une avancée

pour vous .

LIon 22 juillet / 23 août

La fin du monde ne vous fait pas peur. Vous déci-

dez de l’affronter la tête haute, en prenant quelques

résolutions primordiales pour préparer la nouvelle

année qui approche. Serrage de ceinture peut-être,

mais on ne vous empêchera pas de croquer la vie à

pleines dents. Mars en Vénus vous confère l’énergie

nécessaire à vos projets les plus ambitieux, et fait

grimper au plafond votre libido hivernale. Dansez,

riez, tentez, buvez, aimez, car ce dernier mois de

l’année va vous combler ! En couple, gare toutefois

aux prises de bec aux alentours de Noël.

VIErGE 24 août / 23 sept.

Amour. Célibataire : ne tentez pas les pickpockets,

votre cœur est un bien précieux, ne le donnez pas au

premier venu. En couple : un homme avec une boucle

d’oreille va mettre en danger l’être aimé, restez sur

vos gardes ! Niveau boulot, c’est pas de la tarte pour

décembre ! Vous allez en baver, mais toujours avec le

sourire… Attention au surmenage qui pourrait avoir

des effets néfastes sur votre santé. Avec une ten-

dance à la gourmandise et aux excès de tous genres,

gare à la crise de foie et à l’épuisement !

Texte Dame Sucette

BALAnCE 24 sept. / 23 oct.

Côté coeur, rien ne va plus. Vous allez vous faire

balancer ! Ne perdez pas espoir, pomponnez-vous

et allez dans votre bar fétiche. Faites-vous ccom-

pagner de vos copines les moins jolies et foncez ! Au

boulot, l’ambiance est au rendez-vous. Vous faites

du bon travail et vous pouvez espérer une augmen-

tation avant la retraite. Santé : Pensez à vous couvrir

et sortir tout votre attirail (bonnet, cagoule, écharpe,

gants…) afin de ne pas tomber malade et pouvoir

profiter de cet hiver avec un nouvel amoureux… qui

sait ?

SCorPIon 24 oct. / 22 nov.

Mercure et Vénus vont feront tourner en bourrique

ce mois-ci ! Vous serez amené à résoudre moulte

conflits. Jupiter se confrontant avec Vénus en milieu

de mois, mesdames, messieurs en couple, atten-

dez-vous à vous chamailler ! Célibataires, faites

attention à vos futures rencontres, apprenez à vous

maîtriser (que diable !). Mais rassurez-vous natifs du

Scorpion ! La fin d’année sera des plus exquises, les

astres seront bienveillants en fin de mois, vous lais-

sant en paix pour les fêtes de Noël ! PS : attendez-

vous à être gâté(e) par vos proches…

SAGIttAIrE 23 nov. / 22 déc.

Le mois de décembre est votre mois, vous fêtez

votre anniversaire et tout se chamboule dans votre

tête. Des projets vont tomber à l’eau pour vous offrir

d’autres perspectives auxquelles vous n’aviez pas

réfléchi, ne vous affolez pas tout va rentrer dans

l’ordre vers le 8 décembre. Votre carrière va prendre

le tournant que vous attendiez depuis des mois : ne

ratez pas le côche ! L’amour est au rendez-vous mais

vous n’avez pas la tête à ça, c’est dommage car vous

pourriez rater le prince charmant.

CAPrICornE 23 déc. / 20 janv.

Vous avez l’impression que vous ne comptez pas, que

votre avis n’est pas assez pris en compte, bref, que

vous ne vous exprimez pas assez en cette fin d’an-

née. Imposez-vous ! Vous avez un rôle à jouer, que ce

soit dans votre milieu familial ou dans votre couple,

et tout le monde attend que vous vous exprimiez !

Côté travail, c’est le moment de demander une pro-

motion. Foncez.

VErSEAU 21 jan. / 19 février

Ah, enfin décembre ! Le mois que l’on apprécie pour

sa magie, Noël en famille et le passage dans une

nouvelle année. Pour vous les Verseaux, ce mois

sera « coquin », célibataires, vous allez rencon-

trer quelqu’un de tout à fait different de toutes vos

anciennes relations, et ce sera LA personne. Un bon

conseil, ne laissez aucune porte fermée. Côté job,

voilà une année bien remplie qui prend fin, et vous

finirez sur les chapeaux de roues ! Votre moral sera

explosif et ça, c’est plutôt une bonne nouvelle.

PoISSonS 20 fév. / 21 mars

Une fin d’année harmonieuse et douce se profile pour

décembre… Les enfants qui s’entendent à merveille,

votre étalon qui vous monte allègrement. Au boulot,

vos collègues sont de vrais copains. Attention, tout

de même au copinage au travail, il faut toujours gar-

der une petite distance de sécurité ! C’est vrai quoi

à la fin… Vous allez passer de superbes fêtes de fin

d’année, en famille… car tout compte fait, il y a rien

de mieux !

26 — 27 —

le bon astro Décembre 2012

28 — CENTRE 29 — CENTRE

la bonne initiative Texte Coralie Dienis

Photo Géraldine Doyen

Minibus blanc, raï ou rap dans les baffles, vous les

avez peut être croisés au détour de la rue de Bre-

tagne ou près des Halles, un soir où, partiellement

éméché, vous cherchiez une gargote branchée pour

finir en beauté votre soirée…

Eux, ils ont entre 19 et 23 ans. Ils s’appellent Sabria,

Mehdi, Samir, Yanis, Julie, Marine ou encore Yohann,

et, chaque vendredi soir depuis trois ans, ils quittent

les tours de Drancy pour décompresser d’une lourde

semaine de boulot. Comme tout le monde me direz-

vous ! À ceci près que leur raison de ne pas retrouver

leur doux plumard est, sans aucun doute, bien dif-

férente de la vôtre. « Arrête-toi ! J’en ai vu là-bas ».

La camionnette stoppe sa course. Chacun se met en

ordre de bataille et c’est armés qu’ils descendent.

De sandwichs, de cafés bouillants, de moulinés de

légumes.

En bons soldats, la technique est rôdée, les gestes

millimétrés. Un groupuscule de deux se détache

du peloton et se dirige vers un amas de couver-

tures étendu à même la chaussée de la rue Réau-

mur. « Bonsoir, excusez-nous de vous déranger,

avez-vous besoin de quelque chose ? ». Tiré de son

sommeil, le couple couché sous cet abri de fortune

sursaute. Ils ont une soixantaine d’années, peut-être

plus. Peu importe, au vu de la situation ce genre de

questionnement frôlerait l’indécence ! Ils accep-

tent un café, quelques vêtements chauds, rendent

un sourire. Les effluves de musiques s’éloignent,

les jeunes sont déjà repartis pour venir en aide aux

autres. Et des « autres », rien que dans le centre de

Paris ce n’est pas ce qui manque. À 2 heures à peine,

des 140 sandwichs et des dizaines de litres de bois-

sons chaudes, il ne reste rien.

Un vendredi soir banal pour ces jeunes venus d’un

« quartier dit défavorisé ». Pour ces quelques uns qui

cassent avec brio tous les préjugés, qu’on peut avoir

sur la banlieue. Eux pour qui venir en aide à ceux

qui n’ont rien est devenu un credo. « Un geste natu-

rel quand on a vu des frères, des amis, se détruire,

devenir S.D.F. ou même y passer » nous dira Yanis,

un des vétérans de cette équipée hors du commun.

Mais pour les bonnes actions comme pour vos lon-

gues soirées de fiesta il faut un minimum de moyens.

Eux les ont trouvés au sein de leur quartier du 93

Wesh ! T’as besoin

d’aide ?DE PAnAM-CEntrE,

LES JEUnES DE DrAnCy Sont LES BoSS !

28 — CENTRE 29 — CENTRE

où la préparation des maraudes commence dès la

sortie des classes. Pendant que d’autres jouent, les

enfants de Cachin se réunissent dans le local jeunes.

Petites mains gantées, charlottes sur la tête, ils pré-

parent les sandwichs à la chaîne pendant que les

mamans réchauffent soupes et cafés avant de les

mettre presto dans des thermos. Ensuite, ils trieront

les vêtements gracieusement donnés à l’associa-

tion. Bonnets par là, manteaux par ci, couvertures là

bas… « Il y en a de plus en plus. C’est bien. Mais il n’y

en aura jamais assez »

Donc : parce qu’on a tous des trucs qui trainent dans

nos armoires dont on ne se revêtira jamais, Sabria

et les autres seront ravis de recevoir les fonds de

placard du tout Paris ! Pulls, manteaux, couvertures,

bonnets, nourriture…Tout est permis ! Et, pour ceux

qui voudraient se délester de menue monnaie, bonne

nouvelle : les bonnes actions sont déductibles d’im-

pôts.

À bon entendeur : Je vous salue !

Pour plus d’informations, contactez Brahim

Tél. : 06 99 82 37 57

30 — CENTRE

THÉÂTRE

Full Metal Molière

Deux acteurs ratés prennent en otage tout un théâtre

pour infliger aux spectateurs une version très

spéciale du « Malade imaginaire ».

Jusqu’au 30 décembre

Le Point Virgule

7, rue Sainte-Croix de la Bretonnerie - 4e

Tél. : 01 42 78 67 03

www.parisetudiant.com/etudiant/sortie/full-metal-

moliere-paris-04-2.html

SHOPPING

Segoola

L’opticien en vue du Marais, vous convie à ses

animations de décembre !

-Dimanche 02 = Atelier Macaron, Segoola X Granny

Alice (14h - 18h, entrée libre)

-Dimanche 09 = Atelier Coiffure, Segoola X The

Hairdresser (14h - 18H, entrée libre)

-Dimanche 16 = Atelier Vide dressing (14h-18h,

entrée libre)

Segoola - 104, rue de Turenne - 3e

www.segoola.fr

EXPOSITIONS

Adoka niitsu

La Galerie Hors-Champs est heureuse de présenter

l’artiste japonaise Adoka Niitsu, et sa nouvelle

exposition concentrée sur son travail autour du

dessin et de la lithographie, sur sa réflexion autour

du support et de la transmission.

Jusqu’au 13 janvier

Galerie Hors-Champs

13, rue de Thorigny - 3e

www.galerie-hors-champs.com

the Birth of Gravity

L’artiste japonaise de 61 ans a toujours partagé sa

carrière entre des séries pour des grands noms de la

mode (en septembre 2012, 80 photos de YurikoTakagi

ont été publiées dans le livre PleatsPlease d’Issey

Miyake) et des projets très personnels (Confused

Gravitation, Nus Intimes, etc).

Jusqu’au 15 janvier

Galerie Lazarew

14, rue du Perche - 3e

www.galerie-lazarew.fr

Posters, posters…

Poster for tomorrow – projet principal de l’association

4 tomorrow – est un concours international

d’affiches sur des thèmes liés aux droits de l’Homme

et aux libertés fondamentales. Les 100 meilleures

affiches sélectionnées par un jury international font

l’objet d’une exposition simultanée autour du 10

décembre de chaque année, pour célébrer la Journée

internationale des droits de l’Homme.

Du 6 au 9 décembre 2012 / 12h – 18h

Musée des Arts Décoratifs

103, rue de Rivoli - 1er

Tél. : 01 44 55 57 50

Something for the Weekend

Des figurines de maquettes colonisent notre

environnement et s’approprient avec impertinence

divers éléments du réel. Comme pour témoigner

de l’existence d’un micro-monde photosensible,

Jean-Joseph Renucci les photographie dans des

dispositifs imaginaires et parvient à prolonger la vie

de ces liliputiens hors-champ.

À partir du 6 décembre Du mercredi au vendredi

14h30 -19h et samedi 10h - 19h

Galerie Nivet-Carzon

2, rue Geoffroy Langevin - 4e

Tél. : 09 54 29 30 10

le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

30 — CENTRE

Et oP !

Pendant un an, l’exposition collective « Et Op ! »

invite de jeunes artistes et des artistes de renom

à présenter leur travail sur l’art cinétique et à le

partager avec les adultes comme les enfants : 9

artistes se succèderont, ambiance hypnotisante à

souhait !

Jusqu’au 18 mars 2013.

Musée en Herbe - Ma Première Galerie

21, rue Hérold - 1er

Tél. : 01 40 67 97 66

www.parisetudiant.com/etudiant/lieu/le-musee-

en-herbe-ma-premiere-galerie.html

CONCERT

Be Jazz !

Cruz Control présente son premier album teinté

de jazz progressif : « Le Comment du Pourquoi? ».

Le jeudi 6 décembre

Centre Wallonie-Bruxelles

127-129, rue Saint-Martin - 4e

Tél. : 01 53 01 96 96

le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

gLAdy’S

Se met Aux

couLeurS de noëL !

Venez gâter Votre

comPAgnon

à PoiLS.

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Glady’s

32 — CENTRE

les bonnes adresses Régie publicitaire

[email protected]

06 33 54 65 95

SEGOOLA

104, rue de Turenne - 3e

Tél. : 01 42 74 55 20

L’ASSIETTE À CARREAUX

45, rue des Petits Carreaux - 2e

Tél. : 09 53 27 33 83

EKJO

32, rue de Poitou - 3e

Tél. : 01 42 72 31 85

OSKA

133, rue Vieille du Temple - 3e

Tél. : 01 42 77 04 14

THE BEAUTY LOUNGE

13, rue Ferdinand Duval - 4e - 69, rue d’Argout - 2e

Tél. : 01 42 74 43 34

DYVINE

58, rue d’Argout - 2e

Tél. : 01 42 33 98 11

LA PETITE CHAMBRE BLEUE

31, rue d’Argenteuil

32, rue Saint Roch - 1er

PEPA’S

48, rue des Petits Carreaux - 2e

Tél. : 01 42 36 06 77

GLADY’S

26, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 48 78 70 14

PADIGLIONE

3, rue Jean du Bellay - 4e

Tél. : 01 43 54 34 16

DUBBLE

17, rue de la Banque - 2e

Tél. : 09 81 80 32 20

32 — CENTRE

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Samedi 15 décembrede 18h à 2h

101, rue amelot - 11e

entrée libre

préSente