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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris Centre (1er, 2eme, 3eme et 4eme) arrondissements du mois d'avril 2011
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édito“bon”jour
RÉGIE PUBLICITAIRE06 83 22 97 [email protected]
Président
Jacques de la Chaise
Rédactrice en chef
Sandra Serpero
Maquette
Alexandra Praud
Rédaction
Marine Borel, ALP, Monialisa, Stéphane
Bourbon de Penthièvre, Sandra Serpero
Responsable culture et partenariat
Macha Binot
06 22 36 20 88
Photographes
Amélie Chassary, Arnaud Chaillou, Carl
Labrosse, Fanny Latour, Bruni Abehassera,
Fabrice Demessence
Illustrateurs
Guillaume Ponsin
Styliste
Anthony Watson
Secrétaire de rédaction
Ivan Caullychurn
Grands comptes & site Internet
Matthieu Lesne 06 50 71 92 71
Chef de pub
Nicolas Portalier
06 83 22 97 63
Stagiaires
Justine, Valentine, Julien,
Charles et Antoine
Petites annonces
Rejoignez le Bonbon
Contactez-nous
01 48 78 15 64
S.A.S Le Bonbon
31 bis, rue Victor-Massé,
75009 Paris.
SIRET 510 580 301 00016
ISSN : en cours
Imprimeur
Centre Impression
- Prénom : Jacques- Nom : de la Chaise
- Profession : créateur et président du Bonbon magazine- Signes particuliers : veut qu’on l’entende mais est à l’écoute- Signes distinctifs : punchy, tenace, épicurien, audacieux- Un autre : son fils- Sa devise : « Que le Bonbon soit avec vous ! »- Il aime : tout de suite et à jamais- Il déteste : tout de suite et à jamais- Un genre : l’aventure- Une substance : l’adrénaline- S’il était un objet : une boîte à idées- Pour se déplacer : un scooter- Mot préféré : proximité- Moyen de communiquer : le téléphone- Nuit blanche mensuelle : le bouclage - Une boisson : le champagne- Un jeu : le poker- Un lieu : le Bus Palladium- Une valeur : l’amitié- Une envie : Bonboniser Paris- Un soutien : Tom- Une équipe : NOUS- Un mot doux pour lui : « Boss, on te kiffe ! »
Sandra Serpero
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LES BonBonS modE d’EmPLoICommEnT PRofITER dES Bonbons
dESCRIPTIf d’Un Bonbon
1 ChoISISSEz
Repérez les Bonbons pré-découpés au milieu du magazine.
2 dÉTAChEz
Détachez ces Bonbons qui vous feront bénéficier d’offres et d’avantages.
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Présentez vos Bonbons au moment de payer et vous bénéficierez immédiatement de l’avantage annoncé !
À la tête du clientEnseigneLe nom du commerçant
CoordonnéesAdresse et téléphone
descriptionLe type de commerce
AvantageDéfinition du type d’offre
Salon de coiffure coloristeentre chic et trash coupe sur cheveux secs et en musique.154, rue Saint Honoré 75001Tél. : 01 40 20 40 19wwww.alateteduclient.net
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sommairemiam miam !
Page 6. chez dimitris
Page 34. le bon spot
Page 10. laetitia dana
Page 38. joséphine vannier
Page 14. backslash Gallery
Page 44. thomas vdb
Page 5. Le Bon TimingPage 6. Le Bon CommerçantPage 10. La Bonne ÉtoilePage 12. Les Bons PlansPage 14. Le Bon ArtPage 16. Le Bon en ArrièrePage 18. Le Bon Look
Page 21. Le Casse BonbonPage 24. Le Bon MomentPage 26. Le Bon AstroPage 28. Les Bons TuyauxPage 30. Le Bon DocuPage 32. Le Bon JeuPage 34. Le Bon Spot
Page 36. Les Bons ShopsPage 38. Le Bon ArtisanPage 40. Les Bons P’tits DiablesPage 42. Les Bons SnapshotsPage 44. Le Conte est BonPage 46. Le Bon Agenda
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6/8 Square Ste-Croix de la Bretonnerie75004 Paris
01.42.77.69.34✶
25 rue Francisque Gay75006 Paris
01.43.29.67.07
Ouvert de 11h30 à minuit • 7 jours sur 7
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américaines en plein cœur de Paris !Découvrez les spécialités
le Bon timingles événements à ne pas manquer
le meilleur biStrot pariSien Parce qu’on ne récompense pas que les actrices et les films, on est heureux de vous annoncer que le Prix Staub-Lebey du meilleur Bistrot parisien 2011 a été décerné au Bistro Volnay qui se trouve dans le 2e arrondissement. Amis du quartier vous savez ce qu’il vous reste à faire ! Bistro Volnay,8, rue Volney, Paris 2e. Tél. : 01 42 61 06 65
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événement
eXposition
cachemire la boutiQue eXtraordinaireLa Boutique Extraordinaire vous invite à découvrir le cachemire haut de gamme de La Fée Parisienne. Cachemire d'Écosse, fibres longues, couleurs mer-veilleuses, teintures "ecofriendly", toucher sublime, Made in France, La Fée Parisienne séduit ! En avril, La Boutique Extraordinaire fait 20 % sur les pulls et ac-cessoires de la collection printemps/été rien que pour vous ! Jusqu'à fin avril à La Boutique Extraordi-naire, 67, rue Charlot, Paris 3e. Tél. : 01 57 40 68 85
danS leS petitS papierS du grand cerf L’association Artistes Créateurs en Mouvement et le cabinet de conseil New Angles inaugurent les « Sai-sons du Grand Cerf » et fêtent le printemps avec une première exposition « More with less – Le papier à l’œuvre », à ne pas louper. Du 1er au 30 avril, 8, passage du Grand-Cerf, Paris 2e.(photo : œuvre de Maryline Pomian)
tania bruZSImprégnée de peinture ancienne et classique, Tania Bruzs puise son inspiration formelle dans la tradition picturale : « Je pense abstrait, je peins figuratif. »Une artiste à découvrir et à rencontrer sur place les dimanches 10 avril, 1er et 8 mai.Du 7 avril au 14 mai, Galerie Pour que l’Esprit Vive, 2, rue Léopold-Bellan, Paris 2e.
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le Bon commerçantcommuniqué Sandra Serpero / photo arnaud Chai llou
Il y a chez ce traiteur grec comme un petit air de vacances et tous les embruns d’une cuisine ensoleillée qui respire la fraîcheur. ‘’Dimitris’’ règne en maître dans le quartier et compte de nombreux adeptes depuis son ouverture il y a 4 ans. Et ce succès n’est pas là par hasard : cette affaire de famille au bon goût d’authentique, multiplie les saveurs et vous propose un beau voyage au bout de la fourchette !
Dans la vie il y a des choses qui rassurent, et savoir que c’est la maman de Dimitris qui officie en cuisine, fait partie de ces choses-là. Zoïtsa Siassiaridis, (très difficile à prononcer mais si chantant à l’oreille) est accompagnée d’un cuisinier d’origine crétoise Nikos Samo-nakis. « Ma mère a le secret de recettes transmises de mères en filles et Nicos vient ajouter une pointe de finesse à sa cuisine grâce à ses origines : le duo fonctionne à merveille ! », nous glisse le char-mant Dimitris. Concrètement cela nous donne une foule d’in-contournables à la carte comme le tarama, le caviar d’aubergine, le tzatziki, la moussaka, les poivrons farcis au riz et à la viande, le feuilleté à la féta… Mais aussi des confections origi-nales signature de la maison comme le tarama blanc et crevettes, la salade de betterave hachée au yaourt ou encore l’éléoféta (olives de Kala-
mata battues avec de la féta). De quoi rame-ner un beau butin à la maison pour une soirée exotique ! Car ici, vous l’aurez compris, tout est à emporter. Pourquoi ? « On a démarré sur le mode traiteur dans la famille, mon frère a la même affaire dans le 11e arrondissement et de-puis nous sommes restés là-dessus. Mais ouvrir un restaurant fait partie de mes projets… » On trépigne…
Bref, pour ce qui est de l’ici et maintenant, ce qui fait toute la différence ‘’Chez Dimitris’’, c’est la qualité des produits : toutes les matières premières sont issues du petit terroir grec. Comme la féta qui vient de la côte ouest de la Grèce ou les olives du centre du pays. Et quoi de mieux qu’un bon vin pour accom-pagner ces appétissants mets ? « Je suis en contact avec un sommelier de renom qui nous trouve les vins les plus rares de Grèce. Je travaille avec lui depuis de nombreuses années et je propose à mes clients une vingtaine de références de qua-lité. » Et même une exclusivité ! Un vin rouge qui porte son nom le NAOUSSA DIMITRIS issu de jeunes vignes en Grèce.
Quant à nos amis gourmands, ils ne sont pas oubliés : les pâtisseries grecques mixent avec grâce noix, amandes et miel autour d’une fa-randole de petits gâteaux dont on se délecte
LE TRAITEUR QUI SE DÉMARQUE
Dimitris
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dimitris
à chaque bouchée. « Le plus typique, c’est le chausson crétois qui allie la douceur du miel et le craquant des noix. Nos pâtisseries ressemblent beaucoup aux pâtisseries orientales. » Et pour en-core plus de douceur, nous vous conseillons un petit tour au rayon confitures qui ne manque pas d’originalité : à la rose, à la bergamote...
Et pour tous ceux qui ont encore des questions sur la cuisine grecque, Dimitris en parle ain-si : « C’est une cuisine fine et légère composée de beaucoup de légumes. Elle est très riche en plats car chaque région à sa spécialité ».
À tous ceux qui ne connaissent que la mous-saka, on conseille vivement cette adresse pour découvrir une cuisine méditérranéenne savou-reuse à souhait.
les adresses de dimitris Le potager du Marais, 22, rue Rambuteau, Paris 3e. Little Italy, 92, rue Montorgueil, Paris 2e.L’olivier, 15, rue Faubourg-du-Temple, Paris 3e.
dimitris27, rue Rambuteau, Paris 4e.Tél. : 01 42 74 06 25Ouvert le lundi de 16h à 20h, du mardi au samedi de 10h à 13h30 et de 16h à 20h et le dimanche de 10h à 13h.
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la Bonne étoileteXte Sandra Serpero / photo Brun i aBehaSSera / styliste anouShka
LA PERLE SOULÀ 27 ans, cette fille-là a le groove des grandes et vous emporte ni une ni deux dans le sillon de sa voix. Dans la lignée de ses idoles, sa musique mixe habilement les styles et affirme une vraie personnalité. C’est à la Comédie des Boulevards chez son ami Mika qu’on la retrouve, joyeuse comme un pinçon à quelques jours de la sortie de son premier album. Happy Laeti !
Laetitia, ton parcours en quelques mots ? L’École des fans à 5 ans avec la Compagnie Créole : ça c’est pour l’anecdote ! Des études de communication, un début de carrière dans le domaine et puis le déclic, en 2009, j’ai tout plaqué pour me consacrer à la musique parce que c’est ça qui me donne le plus de plaisir dans la vie.
Et depuis ? Pas mal de scènes : la première par-tie de Michael Mc Donald au Casino de Paris, de Ryan Leslie à l’Elysée Montmartre, La Bel-levilloise, Le Réservoir… La sortie imminente d’un maxi « Coffee shop » avec le musicien-Dj Lemy Léopard avec qui je forme le groupe « Lounge Coffee » dans un style garage, deep house. Et la préparation de mon premier al-bum qui sort en avril.
Parles-nous un peu de cet album et de ton style musical ? C’est un album qui me ressemble et qui mixe des musiques aux in-fluences variées. Un feu d’artifices de tout ce que j’aime, avec une base soul hip-hop et des pointes de jazz et d’afrobeat. C’est une auto-prod par choix et pour garder le maximum de liberté.
Sur scène, ça donne quoi ? On est huit : cla-vier, guitare, basse, beat-boxeur, une MPC et deux choristes et c’est un bonheur à chaque fois ! J’adore la scène parce que ça me permet
d’échanger et de partager avec le public.
Ta culture musicale ? Je me la fais tous les jours en écoutant
ce qui sort. Plus jeune, j’étais très R&B US à tenter de danser comme les Destiny’s Child dans la cour d’école ! Puis au fil du temps, je me suis ouverte à d’autres univers qui m’ont enrichie notamment les musiques du monde où la bonne humeur se transmet dans les mé-lodies.
Une idole ? Même plusieurs ! Outkast pour son éclectisme musical, le bon flow de Big Boi et l’excentrisme d’André 3000.
“LoVE anD HaPPynEss.”
LAETITIA DANA
12 — centre
Un rêve ? Pouvoir faire voyager ma musique à travers le monde et transporter les gens avec.
Ta devise ? « Love and happiness. » Toujours prendre la vie du bon côté, ça c’est un principe chez moi ! « Simple & Funky », ça le fait aussi ! Comment as-tu connu le BONBON ? La première fois que je l’ai vu c’était dans le Ma-rais dans une boutique rue des Archives, j’ai adoré la couv’ et je l’ai pris avec moi. Depuis, tous les mois je l’attends avec impatience !
Un mot sur le quartier ? (le 2e arr.). QG ! C’est vraiment mon spot depuis toujours, j’y
retrouve mes amis pour manger un bout, faire du shopping, écrire et traîner en terrasse.
Infos sur www.laetitia-dana.com Application iPhone Laetitia Dana par Numads gratuite avec photos, actu et titres en écoute.
Les adresses de LaetitiaBubble Wood, pour leur sélection pointue de créateurs, 4, rue Elzévir, Paris 3e.Little Italy, le spot incontournable pour les en-vies de pâtes ! 92, rue Montorgueil, Paris 2e.L’égoïste, un bar que j’adore, 14, rue de Bre-tagne, Paris 3e.
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les Bons planson a testé pour vous
les Sales gosses Le bistrot bon enfant. Texte Marine Borel / Photo Sandra
1979 It place. Texte Stéphane Bourbon de Penthièvre / Photo DR
C'est l'histoire de deux amis adeptes des soirées parisiennes qui décident d'ouvrir leur restaurant, mixant folie de la fête et
amour des festins, en un tour de quatre mains.Bien cuisiner, ce n'est pas un jeu d'enfant... sauf pour Les sales Gosses.
Ici, tout donne l'impression de revenir dans la maison de cam-pagne de son enfance. Les murs de pierres, les poutres apparentes, le buffet ancien et les nappes rouges à carreaux : autant de Madeleine de Proust qui nous font sentir comme un petit gosse.
Mais ne vous fiez pas aux apparences de ce décor traditionnel, la nourriture est toute aussi française
mais bien plus audacieuse qu'un simple hachis par-mentier. Ici ce sont les petits détails qui font toute la différence... et notre préférence ! La crème de foie
gras dans un œuf cocotte ou les noisettes fraîches dans des linguine au pesto. On
aurait même envie d'y passer juste pour tremper quelques langues de
chats dans leur mousse au choco-lat maison. Avril, ne vous découvrez pas d'un fil, mais profitez-en pour découvrir la terrasse ensoleillée, donnant sur la jolie petite rue
d'Argout, vous risquez d'y prendre vraiment goût.
les Sales gosses, 54, rue d'Argout, Paris 2e.
Tél. : 01 45 08 05 23Ouvert du mardi au samedi, de 12h00 à 23h00.
Cette ancienne crè-merie des années 50 s'est transformée
depuis 2009 en un resto bar club et s’affirme au fil du temps comme le nouvel endroit incontournable du cœur de Paris.Situé entre Le Louvre et Étienne-Marcel, le 1979 est à
la fois chic et décalé. La déco mixe habilement les genres et l’attention aux petits détails lu-diques et atypiques. On y vient à l’heure de l’apéro pour siroter tranquillement un petit cocktail au bar, pour dé-jeuner, bruncher sur la terrasse ou pour dîner entre amis. La carte est exotique et fait la part belle à une cuisine française revisitée. Côté vins, c’est un véritable tour du monde avec des crus venus d’Espagne, d’Argentine ou encore d’Aus-tralie. Quant aux desserts, ils emporteront le cœur des gourmands : crème brûlée à la
barbe à papa, pannacotta par-fumée fraise Malabar, gaufre au Nutella et sa boule de glace… Le plus ? Un club situé au sous-sol dont la programma-tion musicale et les soirées font se déplacer tout le Paris branché. Ici, les DJ en vogue se succèdent aux platines et vous assurent une fin de soi-rée festive sur le dancefloor. Great !le 1979,49, rue Berger, Paris 1er.Tél. : 01 40 41 08 78 Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 02h.
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les bons plans
Et si vous changiez vos soirées point de croix pour des soirées au Point Zéro ? Un sympathique restaurant situé au
cœur de Montorgueil, sans orgueil.
Si l'ambiance y est si chaleureuse c'est peut-être parce que c'est une histoire de famille. Le Point Zéro a été fondé par deux frères, Chris-tophe et Laurent, qui ont repris cette ancienne maison de passe pour la transformer en un res-taurant trendy.
Côté déco, tout a été chiné. Restaurateurs dans l’âme, ils sont aussi habiles brocanteurs et vont jusque dans les fermes de Seine-et-Marne pour trouver bibelots et autres objets déco qui ornent leur bistrot. Lampes d'usine Peugeot, fauteuils club et pieds de table en roue de charrette, du vintage antibanal, très arty-sanal.
Même régime pour la cuisine. La congélation est bannie et les fournisseurs sont à moins de 65 km de Paris. D'où la carte éphémère, dont la
composition change tous les mois. Leur ambi-tion n'est pas de faire du pognon, mais de vous soigner aux petits oignons ! Leur chef formé au Meurice et au Ritz manie avec brio la « bistro-nomie ».
Une appétissante carte à déguster avec un bon verre de vin lové dans les coussins de leur cave au plafond voûté. En particulier le jeudi en fin de journée, seul soir où l'on peut goûter au plateau de finger-food (les plats de la carte miniaturi-sés) et aux cocktails du bar éphémère.
Et si pour vivre heureux il faut vivre caché, ce lieu de vie, lui, a un sacré cachet.
point Zéro,9, rue Paul-Lelong, Paris 2e.Tél. : 01 42 33 45 50 . Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h et du jeudi au samedi de 18h à 02h. Privatisations sur mesure.
le point Zéro Comme chez soi en mieux ! Texte / Photo Marine Borel
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le Bon artteXte Mon ialiSa / photo Carl laBroSSe
La galerie Backslash vient d’ouvrir ses portes dans le 3e arrondissement. En plein quartier du sentier, Delphine Guillaud, séverine de Volkovitch et Hugues albes-nicoux surfent sur la transformation du quartier et s’imposent comme les promoteurs d’une jeune création version arty. Rencontre exaltée avec des passionnés. Backslash Gallery c’est avant tout trois personnes, tout juste trentenaires. Dans le désordre (honneur aux filles), on a Séverine et Delphine, deux anciennes de la galerie Templon et le sympathique Hugues titulaire d’un background en marketing.
Au cours de notre entretien pourtant punchy, ils m’avouent qu’ils n’ont pas fait de vraie nuit depuis six mois. Ils vivent Backslash, mangent Backslash, et dorment Backslash, quand ils peuvent ! Pour preuve, l’abnégation de Hugues qui s’est retrouvé au commissariat le jour de l’ouverture après avoir décoré les rues de Paris avec un des street artistes exposés à la galerie ! De ça ils en rient encore mais côté travail, ici, c’est du sérieux : on soigne, on
écoute et on bichonne les artistes. Les trois jeunes associés s’impliquent à fond dans la sélection et proposent aux artistes au-delà d’une mise en lumière de leur travail, une véritable collaboration au long cours. Du show-room aux espaces de l’immense galerie, tout est mis en place pour valoriser la démarche artistique de chacun. Et si pour cela, il faut casser des murs, qu’à cela ne tienne, ils cassent !
Fait suffisamment rare pour être souligné, les émanations virtuelles de la galerie, le blog, le site web, ainsi que la page Facebook de Backslash bénéficient d’une vraie politique éditoriale, et
les administrateurs exploitent à fond les possibilités offertes par chaque support. Ainsi, chaque vendredi, la communauté Backslash attend les bons plans du week-end annoncés sur Facebook.
Une investigation de chaque instant et un dévouement qui ont déjà payé : quelques mois après une ouverture sous haute tension,
BACKSLASH GALLERY
“ VaLoRIsER La CRéatIon aRtIstIqUE.”
UN AUTRE REGARD SUR L’ART
16 — centre
l’agenda de la galerie est booké jusqu’en décembre prochain et les associés multiplient rencontres et collaborations. Backslash participe notamment à l’événement « Dessins Exquis » au cours duquel des artistes vont se succéder et investir un même support, à la manière d’un cadavre exquis… (jusqu’au 4 avril, au 40, rue Richelieu).
Et pour l’ici et maintenant, c’est Mathilde Lavenne qu’ils vous invitent à découvrir. Cette jeune Lilloise de 29 ans, remarquée au Salon Jeune Création 2010, présente son premier solo show à Paris. Elle marque à son tour les trois niveaux de la galerie de son univers
complexe, avec ses aquarelles habitées par d’inquiétantes créatures protéiformes, de ses murs peints éphémères et de ses délicates sculptures. La galerie Backslash est en passe de devenir un véritable sanctuaire arty. La preuve, elle abrite déjà le premier solo show de Rero, ‘’street artiste’’ connu notamment pour son travail de réappropriation d’espaces, mêlant virtuel ou réel. À suivre de très près.
Backslash Gallery, 29, rue notre-Dame-de-nazareth, Paris 3e.Tél. : 09 81 11 37 44www.backslashgallery.com
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Bon en arriÈre
La crème Nivea a 100 ans !
teXte Sandra Serpero / photo dr
HaPPy BIRtHay pour la crème des familles qui fête ses 100 ans en 2011 ! Retour sur l’histoire d’une crème qui traverse le temps sans prendre une ride.
naissance En 1890, à Hambourg, un pharmacien, le Docteur Oscar Troplowitz rachète le groupe Beiersdorf à son fondateur Paul Carl Beiers-dorf. Rapidement il développe et produit avec succès les premiers rubans adhésifs, les pansements et la colle de caoutchouc. En 1911, il conçoit la crème en étroite collaboration avec le chimiste Isaac Lifschütz et le derma-tologue Paul Gerson U n n a , q u i o n t r e s -pectivement découvert l’Eucerit et ses facultés der-matologiques. Conformément à l’usage, consistant à donner des noms latins aux produits phar-maceutiques, le Docteur Troplowitz baptise sa crème « Nivea », du latin « niveus » signifiant « blanc de neige ». La crème rencontre un succès immédiat car elle a pour avantage de se conserver plus longtemps que les autres crèmes de beauté. Elle est sans conservateur et sans paraben depuis sa création.
un écrin culteDès son invention, NIVEA Crème est précieu-sement conservée dans une boîte en étain de couleur jaune symbolisant le teint diaphane des femmes, très à la mode au début du XXe siècle. Dans les années 20, les femmes s’émancipent et se libèrent de leurs carcans ! La crème s’affirme et revêt un nouveau look avant-gardiste et pétillant bleu et blanc. N’ayant
subi que des modifications mineures au cours de son histoire, la boîte
Crème est devenue en un siècle un standard intemporel.
un parfum emblématique
Essence de bergamote, d’orange, de lavande, de
rose, de lilas et de muguet constituent le parfum délicat
de NIVEA crème.
Quelques chiffres - 100 millions de boîtes NIVEA
crème sont vendues dans le monde chaque année.- 500 millions de personnes l’utilisent.- 200 pays la distribue.- En France, 6 foyers sur 10 achètent au minimum un produit NIVEA par an.
18 — centre
barbara et nathalie sont à la tête de cette bien jolie épicerie et d’une envie com-mune de faire connaître aux citadins la richesse du terroir d’Île-de-france qui propose une foule de produits artisanaux de qualité. une belle et bonne nouvelle adresse ! L’épicerie est dans la tradition un lieu convivial d’échange et d’informations autour de la nourriture. Ici, plus qu’ailleurs le concept prend tout son sens. Dans la mouvance d’un bien-manger et d’une consommation respon-sable, L’échoppée Lo-cale offre à ses clients une large gamme de produits tous issus de producteurs locaux, dans un rayon de 90 km autour de Paris.
Développer un commerce équitable de proximité afin de valoriser à sa juste valeur les savoir-faire artisanaux, voilà le fer de lance de Barbara et Nathalie. Avec le souci de créer une relation de confiance avec les produc-teurs et les consommateurs. « Savoir ce qu’on mange est devenu essentiel aujourd’hui. Mais le consommateur doit aussi accepter la valeur des produits de qualité », nous confie Barbara.
Et à bien y regarder on s’y retrouve niveaux prix dans les rayons parfaitement agencés de cette épicerie : un pot de 200 g de rillette de bœuf (63 % viande de bœuf et le reste de la graisse d’oie) à 8,20 €, c’est pas de l’arnaque !
Mention spéciale pour les moutardes qui dis-tillent une grande variété de saveurs (rose,
cresson…) mais aussi aux confitures et aux miels, sans oublier le corner BON-
BONS, avec les bonbons à la rose de Provins ou à la menthe poi-
vrée ou encore les sucres d’orges ou les coquelicots de Nemours.
À noter : dans les se-maines à venir, L’échop-
pée Locale proposera « Le cabas francilien », un
panier composé de fruits & légumes, de fromages et de
yaourts, pour une personne et pour une semaine au prix de 15
euros. Great !
l’échoppée locale, 237, rue Saint-martin, paris 3e.Tél. : 01 42 78 51 73. Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 18h30 et le samedi de 14h à 20h.www.echoppee-locale.fr
L’éPICERIE 100 % ÎLE-DE-FRanCE
teXte et photo Sandra Serpero
L’ÉCHOPPÉE LOCALE
le Bon écolo
avril 2011 | centre— 19
le Bon spot
LA RÉVOLUTION MODE
communiqué Sandra Serpero / photo dav id B.
Voilà une boutique comme il y en a peu à Paris. autour d’une identité forte, elle nous parle mode, sport, art et nouvelle façon de bouger. 2Ws, c’est bien plus qu’une nou-velle marque de vêtements et pas difficile de s’en convaincre quand on rencontre la joyeuse équipe éclectique qui lui ont donné naissance.
Si je vous dit ‘’Yamakasi’’, liberté de mou-vement, art du Déplacement, vêtements fluides, est-ce que ça
vous parle ? Parce que si je vous en parle c’est que les Yamakasi sont le point de dé-part de 2WS. Eclairage : « En fait les Yamakasi n’avaient pas de vêtements qui correspondaient vraiment à leur univers, à leurs mouvements et à leur style si particulier. L’envie de créer une ligne de vête-ments qui leur ressemble a été notre leitmotiv et notre point d’ancrage. Mais chacune de nos pièces est déclinable dans d’autres univers, et s’adapte aussi bien à des sport comme le yoga ou la danse que dans une version street fashion pour tous les jours » nous explique Stéphane de Maintenant.
Et quand on y regarde de plus près, on a bien envie de les porter ces vêtements là : molleton tout doux, capuche coton, manches mitaines, poignets éponges, couleurs flashy, imprimés graphiques… Une première collection qui s’af-fiche en guest sur les portants de la boutique et affirme son identité. Celle d’une rencontre entre les Yamakasi désireux de sortir des clichés de la cité et des bas de survêt, et de Daniel Toti (15 ans chez Lee Cooper) et de Stéphane de Maintenant qui se sont lancés corps et âme
dans la création de cette nouvelle ligne. Derrière ses coupes au tombé im-peccable et au confort absolu, les petits doigts d’une fée, ceux de la créa-
trice Cécilia Sébaoun, qui officié entre autres chez Lacroix, Martine Sitbon et Lady Soul. Mais au 68 de la rue Jean-Jacques Rousseau, il y a bien plus que des vêtements. L’espace qui compte deux niveaux et abrite au premier étage les bureaux de l’équipe de 2WS, réserve de jolies surprises : « Nous avons voulu que cet espace soit ouvert, que ce soit un véritable lieu
2WS
“Un VéRItaBLE LIEU DE VIBRatIons URBaInEs.”
20 — centre
de vibrations urbaines où les gens se rencontrent et échangent. Ici, il y aura des expositions, des soirées training avec des professionnels, des soirées festives avec Dj aux platines… ». Pour être au courant en temps et en heure de tout cela, il suffit de se connecter sur la page facebook de 2WS qui met à jour l’actu de la boutique au fil des évènements (www.facebook.com/world-wildsouls).
Quant à ceux qui se demandent encore qu’est-ce-qui se cache derrière les initiales énigma-tiques de la marque, on vous délivre le mes-sage : 2WS, soit World Wild Soul, en d’autre
termes : « Les âmes sauvages du monde ». Et oui ici tout à un sens. Je vous avez prévenu, 2WS, n’est pas une marque comme les autres. À découvrir de toute urgence même si vous ne savez pas sauter de toit en toit et frôler les murs !
2Ws68, rue Jean-Jacques Rousseau, Paris 1er
Tél. : 01 40 41 05 76Ouvert du mardi au samedi de 11h à 19h.
avril 2011 | centre— 21
les Bons shopsles nouvelles boutiques du quartier
leS SaVeurS de l’orient CUISINE DU MONDE
Dans le feutré passage du Panorama, une table unique et délicieuse a pris ses quar-tiers depuis plus de 2 ans. Unique, et ce n’est pas une formule de style, car c’est le seul restaurant de la capitale à proposer une carte qui distille à la fois les spécialités du Liban, du Maroc et de l’égypte. toutes les splendeurs de l’orient réunies en un seul lieu pour une escapade gourmande que vous n’êtes pas prêt d’oublier !
Ici le voyage commence avec les yeux : un pied dans le restaurant, et on est tout de suite dans l’ambiance. Une lumière tamisée, des pierres ap-parentes, de jolies tables colorées, des chaises basses rehaussées de coussins en tissu, des lanternes, de douces bougies.
Rania, la maîtresse des lieux, pilote avec grâce cette adresse gourmande aux côtés d’une équipe tout sourire. Sur la carte, les réjouis-sances se précisent avec les incontournables de la cuisine libanaise comme les mezze, ceux de la cuisine marocaine avec 7 variétés de cous-cous (merguez, végétarien, kefta…) et ceux de la cuisine égyptienne moins connu du grand pu-blic. Rania nous éclaire : « La Molokheya est le plat emblématique égyptien. C’est une soupe
légère qui se mélange avec de la salade et du riz que l’on sert avec du lapin ou du poulet. ».Du côté des douceurs, les loukoums et le flan à la fleur d’oranger sont des incontournables dont on vous conseille vivement la dégustation. Pour arroser le tout, vous avez le choix entre le thé à la menthe fraîche ou à l’ibiscus mais aussi une grande variété de vins libanais et marocains.
Et quant à ceux qui voudraient se plonger à 100 % dans l’ambiance orientale, la petite terrasse couverte au fond du restaurant vous accueille autour d’une chicha.
À noter que le restaurant propose toute sa carte à emporter et assure les commandes pour vos soirées privées.
En bref, une adresse comme on les aime, à part et délicieuse. Texte et photo Sandra Serpero
43, passage du panorama, paris 2e.Tél. : 01 44 82 56 61Ouvert du lundi au jeudi de 12h à 15h et de 18h30 à 23h et le week-end de 12h à 15h et de 18h30 à minuit.
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Communiqué par Mademoiselle Pauline
the 7th
« LE TOIT DU MONDE »
Âmes sensibles s'abstenir, un o.V.n.I vient de se poser sur les toits de Paris. La Babel tremble, retient son souffle, yeux écarquillés et oreille à l'affût du son que l'on entend vibrer, le 7th vient d'ouvrir et fait pétocher les terrasses parisiennes.
Les beaux jours arrivent et c'est la bataille des ter-rasses. On oublie celles déjà trop connues et archip-leines, celles qui nous brumisent la peau alors qu'on préfèrerait voir le serveur se rafraichir dessous, celles trop bruyantes ou trop petites avec vue sur pots d'échappements.Le 7th c'est quoi ? C'est juste la terrasse suspendue la plus impressionnante de Paris avec une vue panora-mique étourdissante avant d'être le nouveau haut lieu des soirées parisiennes pour noctambules assoiffés. Depuis le 1er avril, au 7e étage du Terrass Hôtel, pe-louse au sol, parasol, compositions florales proven-çales et toujours cette vue... où tous les sens sont sol-licités, on s'évade, on échappe à l'agitation parisienne, on décompresse, on apprécie le panorama et on se dit qu'on est des privilégiés. Ici, on boit et on mange, pas l'inverse. On sirote les cocktails rafraîchissants ou pé-tillants imaginés et crées par des barmans de compet' et dans l'assiette c'est fooding fraîcheur et simplicité.
Bruno Bazi, Directeur Général du Terrass Hôtel le confirme : « c'est un nouveau concept, avec tout au long de la saison plein de surprises et d'évènements ». Les surprises restent confidentielles mais les évè-nements sont dévoilés et promettent un été délirant. Tous les mois donc, évènements à thèmes et il est déjà prévu prochainement une soirée marocaine, des soirées en partenariat avec de grandes maisons d'al-cool, qui tant qu'il reste festif n'est point dangereux. Et une fois par semaine le 7th, programmera des afte-rwork « Flair » c'est-à-dire de la jonglerie de bar, donc si vous souhaitez retrouver le Tom Cruise de vos 15 ans, c'est le moment ! Le 7th, en plus d'être « the place to be » une fois la nuit tombée propose les weekends des brunchs à dévorer, généreux et frais ainsi que des après-midis goûters. Le 7th met à l'honneur la beauté de Paris, avec un avant-goût de vacances où l'on ré-serverait volontiers à l'année. La date à retenir, Le 28 avril, grosse fiesta d'ouverture et mi-mai lancement de la carte VIP. À découvrir d'urgence !
the 7th
12 - 14, rue Joseph de Maîstre Paris 18e
Tél. : 01 44 92 34 00Ouvert tous les jours de 11h à minuit.
les bons shops
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le Bon artisan
JOSEPHINE VANNIER
teXte Sandra Serpero / photo Fanny latour
Cette adresse est souvent la première es-cale des étrangers de passage à Paris mais aussi celle de grandes maisons comme Chanel et autres personnalités qui ne s’ap-provisionnent qu’ici. Le secret ? Un chocolat d’une qualité rare, 100 % artisanal et des créations qui rivali-sent d’originalité. Découverte...
Quatre ou cinq collections par an, une styliste, des commandes sur mesure : non nous ne sommes pas dans une
grande maison de prêt-à-porter mais dans une chocolaterie !
Aux manettes on retrouve Julien, secondé par François, son papa qui prend le gouvernail régulièrement. C’est lui qui nous reçoit pour cet entretien tout cacao dans cette jolie bou-tique qui distille une odeur envoûtante jusque sur le trottoir : « Les clients sont toujours éton-nés de cette effluve de chocolat et nous en font la remarque presque systématiquement. Mais c’est normal ici nous ne vendons que du chocolat, ni thé, ni café qui annulent l’odeur. »
Et quand on lui demande pourquoi les clients viennent et reviennent, il répond : « La base chez nous c’est la qualité d’un chocolat à 72 % de cacao, l’originalité de nos créations toutes faites à la main et imaginées par Hélène notre styliste et la possibilité de s’offrir n’importe quel rêve en chocolat. »
Nul doute, quand on y regarde de plus près on découvre aux quatre coins de la boutique des petites merveilles chocolatées : des pianos tout choco mais aussi des cœurs, des livres, des boîtes aux dessins romantiques, des chaus-sures…
« Les instruments de musique sont de grands clas-siques chez nous. On a même réalisé une guitare en taille réelle tout en chocolat ! » Folle création ! Mais il y a plus anecdotique : « Un client nous a amené la photo de sa maison de campagne, avec jardin et animaux et nous l’avons reproduite à l’identique en chocolat ! »
Dans la rubrique « pas comme chez les autres », on trouve aussi ici des chocolats sans sucre pour les diabétiques ou celles qui font at-
CHOCO SHOW
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tention à leur ligne. Côté prix, il y en a pour toutes les bourses : de 4,20 € à l’infini pour la réalisation de vos fantasmes les plus fous…
Et pour Pâques, les surprises seront de taille ! Le thème cette année : « La chasse aux trésors », autour duquel seront déclinées une foule de créations toutes plus craquantes les unes que les autres. Coffres à trésors, bijoux, bateau de pirate, carte, noix de coco, perroquet… feront voguer grands et petits sur une mer de plaisirs.
Le hic ? Venir réserver bien à l’avance pour Pâques parce qu’ici les habitués sont légion et les razzias courantes ! Chocolatement vôtre.
joséphine vannier4, rue du Pas-de-la-Mule, Paris 3e. Tél. : 01 44 54 03 09Ouvert du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h et le dimanche de 14h30 à 19h.
avril 2011 | centre— 25
les Bons petits diaBlesteXte Sandra Serpero / photo dr
Créée en 1989, par sophie Garreau, si Petit est une marque de vêtements pour enfants de 0 à 12 ans qui a tout pour plaire. Matières toutes douces, panaché de couleurs flam-boyantes et fabrication 100 % française et maison.
Si Petit, c’est une histoire de femmes et de rencontres. Celle de deux Sophie et de Marie la couturière. C’est une pre-
mière boutique historique ouverte il y a 20 ans à deux pas de la place des Vosges. Et puis d’une seconde adresse, inaugurée en 2009 rue des Blancs-Manteaux qui mixe boutique et atelier de création au premier étage.
Ensemble, ces trois fées créatives proposent chaque saison des collections dont les enfants raffolent. La raison de ce succès ? Le choix des matières qui rivalisent de douceur : bambou, laine polaire, coton que les enfants ne veulent plus troquer et que les mamans adulent pour leurs facilités d’entretien.
Le plus ? Une déclinaison adulte pour les pièces phares et des propositions sur mesure qu’on peut faire à la commande pour les coups de cœur. Incontournables, le petit imperméable doublé de polaire et le petit kimono en bambou décliné en plusieurs coloris.
Cerise sur le gâteau, une fourchette de prix hy-per raisonnables de 16 € à 140 €.
Le tout saupoudré de conseils avisés, de jolis sourires et d’une véritable envie de faire plaisir. On adore.
l’atelier si petit, 23, rue des Blancs-Manteaux, Paris 4e.
Tél. : 01 42 74 09 36. Ouvert le lundi de 12h à 19h, du mardi au samedi de 10h30 à 19h et le dimanche de 14h30 à 18h30.
si petitL’atelierSo mignon
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CaMILLE Et LILLIa
Elles ont respectivement 8 et 6 ans, elles sont sœurs, d’origine ukrainienne et vivent dans le centre de Paris au cœur du 2e ar-rondissement. Rencontre avec des petites Parisiennes à l’accent d’ailleurs.
Vous allez à quelle école les filles ? (En chœur) : à l’école de Beauregard.
Vous aimez l’école ? Camille : non pas trop, je préfère faire du roller !Lillia : Oui moi j’aime bien.
En quelle classe êtes-vous ? Camille : CE1Lillia : CP
Pâques ça représente quoi pour vous ? Camille : Ben c’est une fête où on fait plein de gâteaux, il y a des œufs aussi qu’on va peindre et on aura aussi des chocolats.
Lillia : Maman va aussi nous faire de la brioche et je vais pouvoir manger du chocolat.
C’est quoi votre gourmandise préférée ? Camille : Les bonbons au miel.Lillia : Les coulissons. (Les calissons en fait !)
Votre monument préféré à Paris, c’est le-quel ? Camille : Notre-DameLillia : Versailles et le Louvre aussi.
qu’est-ce que vous écoutez comme musique ? Camille : Joe Dassin. J’adore la chanson « Les Champs-Élysées ». Lillia : Une souris verte.
Cet été vous allez partir où en vacances ? En chœur : en Ukraine chez nos grands-parents.
Un message à faire passer pour les lec-teurs ? Camille : Les Bonbons, c’est important !
Paroles d’enfants
teXte et photo Sandra Serpero
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Pour profiter des “bonbons” de réductions, il vous suffit de prononcer le mot magiquele Bonbon au moment de payer et vous bénéficierez de l’offre annoncée !
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© Carl Labrosse
retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon .fr
le conte est Bon
Rendez-vous au Café Charlot, une plaque d’immatriculation à la main (le signe de reconnaissance qu’il m’avait donné par téléphone). arrive un grand garçon tout simple : jean et Wayfarer sur le nez. Je le reconnais… ou presque !
Thomas VDB sévit au Point Virgule de-puis la mi-janvier dans un seul en scène Presque Célèbre où il parle de sa vie et
de ses tribulations d’humoriste un peu mais pas tout à fait célèbre. Il est tour à tour (très) drôle, touchant, sympa et cosmique.
Ancien journaliste rock français, Thomas n’est pourtant pas un jeune premier de la scène. Pendant quatre ans et demi, il a joué son one-man show intitulé ‘’En rock et en roll’’, dans lequel il parlait de son univers musical et de ses nombreuses anecdotes attenantes. Aujourd’hui, c’est un tout nouveau spectacle écrit avec son compère Benjamin Parent, mis en scène et rodé sur les routes de France, qu’il propose. « Presque célèbre » n’est pas un one-man « classique » mais un spectacle porté brillamment par la fougue et l’énergie de Tho-mas qui vous embarque ni une ni deux dans
son univers et vous fait rire encore et encore. Six mois l’attendent en résidence dans le Ma-rais, au mythique Point Virgule où il s’amuse, raconte sa vie, donne son avis et fait partager les situations que sa jeune notoriété lui apporte. Depuis Thomas a adopté le style Dolce Vita du centre de Paris et ça lui va plutôt bien ! Tho-mas aime les troquets parisiens qu’il fréquente avant et après le spectacle : le Pick Clops par exemple. « J’y retrouve tous les copains qui jouent au Point Virgule. Dur de ne pas rentrer chez moi alcoolisé… »
Thomas est un mec cool. Avec lui, on a envie de partager une bière, des plans musiques, des blagues et des devinettes ! Il aime le rock (ok on a compris), les icônes (Freddie Mercury et John Lennon, un peu moins Michel Sardou et Grégoire), les chiens, les pâtisseries et le vin rouge. Il est drôle, sarcastique même mais pas cynique. Réaliste mais pas fataliste. Maladroit mais pas looser. En bref, Thomas, c’est un peu l’ami qu’on rêve toutes d’avoir : celui qui nous fait marrer avec finesse et simplicité. Au cours de notre entretien, toujours avec le même hu-mour qui le caractérise, il me raconte que par-fois il voit des gens dans le métro passer devant
teXte alp / photo FaBr iCe deMeSSenCe
THOMAS VDBÀ LA VIE COMME À LA SCèNE
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ses affiches et qui ne se rendent pas compte que c’est lui. Une situation normale, qui le fait marrer : « La vie des presque célèbres en fait ! »
Le + de Thomas VDB : Le gimmick in-croyable scandé et chorégraphié (que je ne peux vous dévoiler bien sûr). Un must !
Le ++ de Thomas VDB : Venez avec une paire de lunettes 3D, pour la blague !
Entre nous : pas ultra célèbre encore mais pas inconnu non plus, ce garçon n’aura bientôt plus besoin de venir à un rendez-vous avec une plaque d’immatriculation pour qu’on le recon-naisse.
thomas VDB, Presque Célèbre au Point Virgule, 7, rue sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris 4e. Du mercredi au samedi à 19h00. Jusqu’au 30 juin 2011. Tarif plein : 19 € / Tarif réduit : 15 €.
ses bonnes adressesLe bar La Panfoulia7, rue Ste-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris 4e.Le restaurant schwartz’s Deli16, rue des Écouffes, Paris 4e.Le Disquaire-Librairie Parallèles47, rue St-Honoré, Paris 1er.La Friperie King of Frip33, rue du Roi-de-Sicile, Paris 4e.
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CONCERTS
Jusqu’au 1er juin à 21h45 - Lise au pia-no. Lise captive autant par son jeu de piano puissant et habité que par sa voix troublante. Salle La Bohème, Les Déchargeurs, 3, rue Déchargeurs, Paris 1er.
Le 11 et le 27 avril à 19h45 - Lola Lafon. Une voix douce, celle d’une chanteuse de rue. Au Sentier des Halles, Paris 2e.
ON AIME
Jusqu’au 9 avril - Colette rend hommage à la marinière, un intemporel de la mode qui incarne le chic à la française et invite 10 marques historiques dont Chanel, Comme des Garçons, Hermès, Ladurée, Montblanc, Nike (photo)… à revisiter leur produit ico-nique. Colette, 213, rue St-Honoré, Paris 1er.
SPECTACLES
Les dimanches 3, 10 et 17 avril - « Com-plètement givrées ». Le temps d’une soirée, une fête surprise qui devait être mémorable vire au cauchemar… L’amitié entre ces trois copines, une star montante, une styliste homosexuelle et une femme de footballeur va être mise à rude épreuve. Comédie des Boulevards, 39, rue du Sentier, Paris 2e.
Les 7, 14, 21 et 28 avril - Audrey Vernon, « Comment épouser un milliardaire », le premier one-man show économique. Au Sentier des Halles, Paris 2e.
EXPOSITIONS
Jusqu’au 10 avril - Hervé Guibert, pho-tographe. Première rétrospective en France de l’œuvre d’Hervé Guibert qui regroupe 230 tirages de l’écrivain photographe et présente son film, La Pudeur ou l’Impudeur. La Maison européenne de la Photographie, 82, rue François-Miron, Paris 4e.
Jusqu’au 23 mai - Jean-Michel Otho-niel, My Way. Une rétrospective de son parcours de 1987 à aujourd’hui, complétée par une exposition atelier, présentée dans la Galerie des enfants simultanément. Au Centre Pompidou, Place Beaubourg, Paris 4e.
Jusqu’au 30 novembre - ANIMAL. Le nouvel accrochage de la galerie d’études confronte les styles et les époques sous l’angle de l’animal : mobilier, arts de la table,
aGenda des manifestations culturelles
le Bon agenda
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mode, textile, jouets, affiche, bijoux… et ré-vèle les façons multiples comment l’homme s’approprie l’animal. Musée des Arts décoratifs, galerie d’études, 107, rue de Rivoli, Paris 1er.
Jusqu’au 30 avril - Daniel Firman : "Backflip". 10, impasse Saint-Claude Paris 3e.
THÉÀTRE
Jusqu’au 22 mai - ‘’Les Joyeuses Com-mères de Windsor’’ de William Shake-speare, mis en scène d’Andrés Lima. La Comédie Française, salle Richelieu.
Du 5 avril au 25 mai, les mardis et mercredis à 21h15 - « La petite dans la forêt profonde ». Mise en scène Émilie Julie Gilbert avec Pauline Sotto. Philippe Minyana récrit un des mythes des Métamor-phoses d’Ovide. Une seule comédienne porte les mots, la chair et les larmes d’une enfant brisée. Théâtre du Marais, 37, rue Volta, Paris 3e.
Jusqu’au 23 avril - ‘’Une journée ordi-naire’’ avec Alain Delon, Elisa Servier et Anouchka Delon. Les Bouffes Parisiens.
Jusqu’au 8 mai - ‘’À deux lits du délit’’. Au théâtre de la Michodière, Paris 2e.
C’EST NOUVEAU
Ou presque ! À l’occasion de ses 20 ans de création, la styliste Nathalie Garçon a décidé d’offrir une cure de jouvence à sa boutique éponyme parisienne de la Galerie Vivienne. Un espace raffiné et moderne, rendez-vous des femmes en quête d’une garde-robe chic et espiègle.
ON CRAQUE
Pour ces tee-shirts à la griffe enfantine, poétiques à souhait et hyper originaux de la marque Bidibulle. Coup de cœur absolu ! En vente chez Addiction, 35, rue des Blancs-Manteaux, Paris 4e.
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les Bonnes adresses
Le Bonbon est imprimé sur du papier issu de forêts gérées durablement, sur un site labellisé imprim-vert avec des encres végétales. Ne pas jeter sur la voie publique.
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1/ tr o iz e nFantS
14, rue de Turenne - 75004
Tél. : 01 42 74 44 95
2/ hd d i n e r
6/8, square Ste-Croix-de-la-Bretonnerie - 75004
Tél. : 01 42 77 69 34
3/ l i n a'S
50, rue Etienne Marcel - 75002
Tél. : 01 42 33 37 37
4/ th e 7th
12 - 14, rue Joseph de Maîstre - 75018
Tél. : 01 44 92 34 00
5/ l a Cav e e lzév i r
16, rue Elzevir - 75003
Tél. : 01 42 78 25 04
6/ Gw e n C h o C
5, rue du Temple - 75004
7/ p e r l e i
7, rue Gomboust - 75001
Tél. : 01 42 96 46 89
8/ l e S S a l e S G o SS e S
54, rue d'Argout - 75002
Tél. : 01 45 08 05 23
9/ l a B o utiQ u e e Xtrao r d i na i r e
67, rue Charlot - 75003
Tél. : 01 57 40 68 85
10/ M e rCato
36, rue Vivienne - 75002
Tél. : 01 40 26 66 66
11/ B uBB l e w o o d
4, rue Elzévir - 75003
Tél. : 01 44 78 03 86
12/ S a lo n d e thé MaSM o u d i
64, Bd Sébastopol - 75003
M° Etienne Marcel
13/ G i l B e rt G i l B e rt
35, rue Francois-Miron - 75004
Tél. : 01 44 59 32 09
14/ o C o rC o vad o
7, rue Simon-Lefranc - 75004
Tél. : 01 42 71 52 07
15/ À l a tête d u C l i e nt
154, rue Saint Honoré - 75001
Tél. : 01 40 20 40 19
16/ l e S éto i l e S d u r e X
1, boulevard Poissonnière - 75002
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