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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?! Mai 2013 - n° 43 - www.lebonbon.fr PARIS CENTRE

Paris Centre - Mai 2013

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Découvrez le magazine Le Bonbon Centre du mois de mai 2013.

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ELLE ESTPAS BELLE

LA VIE ?!

Mai 2013 - n° 43 - www.lebonbon.fr

PARISCENTRE

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Photos © Flavien Prioreau www.flavienprioreau.comTél. : +33 6 98 31 34 92 Modéle : Fabrice Abokoun

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1 — CENTRE

édito 'Bon'jour !Président

Jacques de la Chaise

[email protected]

Photo couverture

Flavien Prioreau

Rédactrice en chef

Camille Clance

[email protected]

Graphiste

Gaëlle Lepetit

Secrétaire de rédaction

Louis Haeffner

Rédaction

Marion Buiatti, Mike Lol,

Bonnie Bonne, Blandine Ponton

Photographes

Marion Buiatti, Tarantoscope,

Odilon Corby, Bruno Commergnat

Contactez-nous

[email protected]

01 48 78 15 64

Le Bonbon

12, rue Lamartine - Paris 9e

SIRET 510 580 301 00032

Régie publicitaireNicolas Portalier

06 48 26 92 12

B.O.N.H.E.U.R, joie, allégresse, il est là, il est revenu, HE IS BACK, faites le plein de vitamine D, sortez le rosé, les sandales, les vélos, à mort les après-midis sous la couette, on l’a voulu, on l’a eu, le soleil est redevenu notre meilleur copain.

Marrant à quel point le bonheur ne tient qu’à un fil. Aller travailler à pied. Manger une glace sans risquer l’hypothermie des mains. Enfiler un t-shirt, et pas de chaussettes. Se souvenir du goût du Monaco. Prendre un coup de soleil sur le nez. Liste non exhaustive.

La première terrasse de la saison, celle où on regarde le soleil décli-ner en sirotant son Sancerre pas-super-bon-mais-on-s’en-fout-parce-qu’on-est-trop-bien-là, sans même ressentir un frisson parce qu’il fait plus de 20°C, quand on sait que la nuit ne sera pas là pour de vrai avant 21h30 : le kiff est comparable à la première baise de la journée…

Et puis je sais pas vous, mais en ce moment j’aime tout le monde. Ma concierge portugaise est arrivée à me tenir 20 minutes sur un problème de boîte aux lettres la dernière fois, j’ai presque trouvé ca rafraîchis-sant. C’est là que j’ai compris que l’été était on his way. On est en mai. Non mais réalisez : on est en mai, le meilleur mois ! Ca veut dire qu’après c’est juin, et puis juillet et août. Et en hommage à toutes ces semaines de grisaille et de froid polaire, de plaintes taciturnes et de rhinopharyn-gites, on se doit, nous Parisiens responsables, de célébrer la vie et la mélanine. Musique solennelle, main sur le cœur, drapeau rose bonbon bien haut dans le ciel, Donna Summer en fond sonore.

Love.

Rédactrice en chefCamille Clance

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3 — CENTRE

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26 RUE PIERRE FONTAINE 75009 PARISSUR INVITATION : [email protected]

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JEUDI 23 MAI 22H00 AU DANDY

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3 — CENTRE

sommaire

10. Happy Families

20. Segoola Opticien

8. Jerôme Delormas6. Thomas VDB

28. La Maison des Contes22. Tarantoscope

Mai 2013

5. Le Bon Timing6. La Bonne Étoile

8. Le Bon Directeur12. Les Bons Plans

14. Le Bon Spot

16. Le Bon Spectacle17. Les Bonnes Annonces

18. Le Bon Astro20. La Bonne Boutique22. Les Bons Hommes

24. Les Bons Shops26. Les Bons Snapshots

28. Les Bons P'tits Diables30. Le Bon Agenda

32. Les Bonnes Adresses

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5 — CENTRE

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Beaubourg - La bière en fêtePour la première fois, Beaubourg accueille un mar-ché nocturne et éphémère qui sent bon l’orge et le houblon. Réservé aux majeurs, on y croise Christian Etchebest et François Berléand, on y boit des pres-sions au Café des Brasseurs et on y fait son petit marché de produits issus de l’agriculture bio. Et hop.Le 21 mai de 17h à 1h - Place Georges PompidouInfos sur www.tendancesbiere.fr à partir du 16 avril

Marché

L’expo trop fraîche by Tic Tac La pastille la plus rafraichissante s’expose à l’Es-pace W ! 5 artistes et directeurs artistiques créent une exposition collective autour de 4 thèmes : Fresh, Fun, Music et Games. Grems, Monsta, JeanSpezial, Alexandra Bruel et Vainui de Castelbajac rassem-blent une quinzaine d’artistes de tous horizons. Be There, Be Fresh !Espace W - 44, rue Lepic - 18e - Du 14 au 31 mai, 7j/7

Expo

5 — CENTRE

le bon timing Les événements à ne pas manquer !

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Food Pop Up Cheese - Le chèvre se fait glam……Et s’installe place des Vosges, rien que ça. Dans une super galerie, oui mesdames et messieurs. Au programme, des ateliers thématiques gratuits pour découvrir, déguster et cuisiner les fromages de chèvre. Miam/bêêêê.Du 31 mai au 2 juin - Galerie Nikki Diana Marquardt 9, Place des Vosges / 34, rue de Turenne - 4e Entrée gratuite - www.fromagesdechevre.com

Le guide d’une Parisienne

à Paris

et une sacrée dose d’autodérision.

Delphine Desneiges Deedee Paris - Ses 5 saisons à ParisOn l’aime d’amour, la blogueuse bien faite du cerveau comme de la garde-robe. Et voici qu’elle nous livre son Paris à elle, en 5 saisons, sous la forme d’un joli guide. Un must have qui ne tient pas dans une boîte à chaus-sures, dans lequel vous ne pourrez pas glisser votre iPhone, mais un must have quand même.Deedee, 5 saisons à Paris 15,90 !www.deedeeparis.com

Guide

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la bonne étoile

Après En Rock Et En Roll puis Presque Célèbre, l’ex- journaleux (mention musique) revient avec un nou-veau spectacle : Thomas VDB Chante Daft Punk. Un truc impossible et complètement délirant dont on a eu envie de causer avec lui…

C’est quoi ce délire sur Daft Punk ?Mes deux précédents spectacles étaient assez « stand-up », et Kader Aoun, avec qui je bosse depuis longtemps, m’a stimulé pour utiliser mon passé de journaliste rock dans le théâtre de rue… Il m’a dit « fais un concert » ! « L’inchantabilité », et l’idée qu’un débile puisse arriver avec la prétention de pouvoir chanter du Daft Punk m’ont fait marrer. J’ai voulu faire un truc qui intrigue les gens.

Si tu étais encore journaliste, comment chroni-querais-tu ton spectacle ?Tu me demandes de m’envoyer des fleurs là ! Je dirais sûrement : « ça fait du bien de voir un spectacle où les mecs demandent pas si y’a des couples dans la salle. » C’est pas dur, c’est un show comme j’aime-rais en voir, avec des choses qui me font marrer moi. Je sors des travers du stand-up, c’est pas des bla-gues sur Daft Punk. Sur scène, je montre un person-nage un peu fou qui pense que c’est une bonne idée de devenir un « chanteur de French Touch » au lieu

d’être un humoriste… Le débile qui croit que c’est un genre musical ! Donc je dirais que c’est un spectacle original, avec plus d’énergie et de folie que ce qu’on propose habituellement.

Pendant le show, tu chantes Voyage dans le temps (attention moment hautement hilarant, ndlr). Où irais-tu si tu pouvais voyager dans le temps juste-ment ?Ah oui, c’est bientôt un classique cette chanson ! (sourire) Qu’est ce que je pourrais bien foutre ? J’irais dans 5 minutes, histoire de gâcher ma cartouche Voyage dans le temps (il chante). J’irais au début des années 70, à Londres, pour aller aux concerts de Queen, Sparks, Roxy Music et David Bowie. Je serais très content.

Revenons à Daft Punk… Vrai fan ou opportuniste ?C’est plus un prétexte de comédie, je ne parle pas que d’eux d’ailleurs dans le spectacle. J’adore l’al-bum Homework, où il y a mes morceaux préférés d’eux : Rollin’ & Scratchin’ et Rock’n Roll. Mais pour être honnête, je suis assez allergique à l’Auto-Tune et au vocodeur. Même si j’ai trouvé deux, trois morceaux hallucinants sur la BO de Tron, et que Discovery est ouf. En vrai, avec Kader on se disait que Daft ou Les Chœurs de l’Armée Rouge, c’était pareil. Il y avait une

“MAIS C’EST QUI CE DÉBILE ?”

Texte Marion BuiattiPhoto DR

Thomas VDB

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promesse de l’inchantable. Je ne savais pas qu’ils allaient sortir un nouvel album quand j’ai monté le spectacle. Je n’ai pas anticipé le truc… mais bon, j’espère que je vais leur filer un petit coup de pouce ! (rires)

En plus de musique, tu parles aussi d’amour et de sexe… Sur scène, tu as l’air d’un ado attardé.Totalement ! Il a 13 ans ce perso, il rêve. C’est un peu moi quand j’étais gamin finalement. Quand il parle de la rupture, son côté revanchard, « aigriard », me fait marrer. C’est ridicule. Il fait des raccourcis du genre « quand t’es une star tu peux baiser plein de meufs. » Ça m’amuse de montrer sa bêtise, sa façon de criti-quer les gens, de faire de mauvaises vannes tout en étant persuadé qu’il est ultime.

Et ça se fait de te demander ton âge en vrai ?36 ans. Je sais que je les fais pas (rires).

Régression oblige, c’est quoi ton bonbon préféré ?Ah je suis très bonbecs, très sucré comme mec ! J’adore les Fili-Tubs de Lutti. Des espèces de trucs acidulés avec de la guimauve dedans. C’est une tuerie !

Thomas VDB Chante Daft PunkDimanche 5 et mardi 7 mai à 21h15

Au Point VirguleEt les 22 et 23 novembre

Au Café de la Danse

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le bon directeur Texte & Photo Marion Buiatti

Jérôme Delormas

LE CERVEAU DE LA GAÎTÉ LYRIQUE

9 — CENTRE

Cap sur l’ère numérique ! À la barre, le capitaine Jérôme Delormas, directeur artistique de la Gaîté Lyrique. Avec sa flotte de conseillers, il vogue sur la mer de la culture d’une génération dont l’hymne pourrait être Technologic de Daft Punk, afin d’en extraire les trésors. Il nous explique le lieu hybride dont il est en charge.

Musée, salle de concert, de cinéma, lieu de vie… Qu'est vraiment La Gaîté Lyrique ?C’est un lieu de production de contenu virtuel et réel. On y aborde des sujets sous diverses facettes. Parce qu’un monde en noir et blanc, c’est pas terrible par rapport à un monde en couleurs… La Gaîté est une antenne, une membrane sensible qui relie tout un tas de mots clefs entre eux pour constituer un texte que chacun peut s’approprier. On y explore la pop culture au sens large, car il n’y a pas de « culture consacrée » ou de « sous-culture ». Ici elle appartient à tous, la culture a un côté citoyen.

Quelle est la particularité de la Gaîté ?Il y en a deux. Elle répond d’abord à l’attente d’une génération, une jeunesse qui ne s’y retrouve pas vrai-ment dans la pop culture actuelle, à Paris en parti-culier. Mais c’est aussi, et surtout, un lieu de décryp-tage de ce qu’il se passe aujourd’hui. On oscille entre le danger et le potentiel fabuleux du numérique qui est une grande révolution sur laquelle on doit s’in-terroger.

En quoi la Gaîté est parisienne ?Parce qu’un endroit comme celui ci n’existe tout sim-

plement pas ailleurs. Les étrangers qui nous visitent le disent. En terme d’équipement et de ligne édi-toriale, on ne trouve même pas ça au Japon ou aux USA. On a notre propre studio de production pour le son et l’image, des conseillers artistiques internes et externes, un incubateur de Startup (Creatis)… On est interconnecté. Le bâtiment s’apparente à un ins-trument, l’intérieur a été pensé comme un poumon. C’est unique en son genre et ça donne beaucoup de chaleur et de vie à la création numérique dont l’esthétique machinique et technoïde fait peur et impressionne.

Comment fonctionne le lieu ?Le bâtiment de près de 10 000m2 appartient à la ville de Paris, mais c’est une société privée qui fait vivre l’entité. On nous subventionne, ce qui nous donne une certaine liberté, mais on doit aussi respecter un cahier des charges et des obligations comme la diversification du public, des prix raisonnables, la gratuité de l’accès au centre de ressources (sorte de bibliothèque/médiathèque hyper connectée où l’on peut même jouer aux jeux vidéos ! ndlr). La Gaîté répond à un besoin de partage et de qualité.

Ne ratez pas…Le Festival des Enfants

Avec l’exposition Capitaine Futur et les Supers Pouvoirs

Du 7 au 26 mai - De 5 à 105 ans !La Gaîté Lyrique - 3 bis, rue Papin - 3e

Tél. : 01 53 01 51 51 - www.gaité-lyrique.net

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le bon plan

Avoir des enfants à Paris : tout un programme. Je ne vais rien apprendre aux heureux-déjà-parents, et je ne veux pas freiner la démographie de notre joli quartier mais c’est un fait : c’est parfois/souvent une galère. Sauf que… Ô bonheur ! Le messie est bientôt là.

Et le messie se nomme Garance et Bastien, deux entrepreneurs qui ont tout compris. Pour la petite histoire, leurs parents, Patricia et Remy, ont fondé en 1979 la première crèche parentale parisienne, Babillage. Les faits : les parents sont stressés, débordés, ils n’ont le temps de rien. La solution ? Un lieu qui leur est dédié, dans lequel tout est réuni. Tout est com-pris, plus besoin de courir partout. Le concept se nomme Happy Families. Un lieu unique situé au cœur de Paris, où les parents trouveront tout de ce dont ils ont besoin : un café chaleureux et cosy pour gri-gnoter un morceau, un espace pour se faire dorloter - massage, coiffeur, soins esthétiques, des ateliers innovants pour eux et leurs enfants, un espace car-rière pour reprendre leur job en main, un espace kiné/ostéo/nutritonniste pour s’occuper de soi avant ou après la naissance, un espace de jeux pour enfants, sous la surveillance d’un personnel qua-lifié, de la place pour les poussettes, un espace de

change pour les bébés, un lieu intime pour allaiter en toute discrétion, un endroit calme pour la sieste des petits comme des grands, un mobilier fonctionnel et adapté… Le but étant de simplifier au maximum la vie des parents, ils pourront réserver en 1 clic de sou-ris de chez eux… et seront accueillis 7j/7, de 8h à 20h.

Parce que les parents parisiens rencontrent trois types de problèmes, les services dont ils ont besoin sont souvent dispersés aux quatre coins de la ville. Kiné, coiffeur, atelier peinture… Ensuite, qui n’a jamais expérimenté la non-praticité de la quasi-totalité des lieux parisiens ? Garer une poussette, changer une couche, réchauffer un bib relève de la mission impossible. Et enfin… Prendre du temps pour soi devient un fantasme difficile à assouvir. Chez Happy Families, les parents accèdent à des services, dans un lieu où tout est prévu, pendant que leur enfant est pris en charge sur place.

Bien entendu, à l’annonce du projet, les exclama-tions de joie se font légion. Il n’est pas rare qu’une fois rentrés de la maternité, les parents se sentent seuls, perdus et un peu démunis. À la reprise d’une activité professionnelle, ce sont d’autres problèmes qui émergent : manque de temps pour tout gérer, rendez-vous incompatibles avec un emploi du temps

PARIS REND LES PARENTS HEUREUX !

Texte Camille ClancePhoto DR

Happy Families

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chargé… Tout ce stress et ces contraintes ne favori-sent en rien une vie de famille calme et apaisée. D’où l’idée d’un lieu qui fait d’une pierre plusieurs coups. Un espace central et accessible pour tous.

L’initiative est ainsi très attendue. 91% des parents interrogés trouvent le concept génial, plus de 500 inscrits à la newsletter, 350 likers via Facebook et plus de 220 participants à la campagne de crowd-funding dont l’énorme succès est sans équivoque :

plus de 11 000 euros ont été récoltés en seulement quelques semaines. Arte, le Figaro, France Info et bien d’autres s'en sont faits les relais.

Ouverture en août 2013 —

5, rue du Cloître Saint Merri - 4e (au pied de la Fontaine Beaubourg)

http://happyfamilies.fr

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les bons plans Texte Camille ClancePhoto DR

FamiHeroSOS Parents Débordés

Qui n’a jamais rêvé de claquer des doigts pour voir apparaître dans un coup de tonnerre un super-héros en collant carmin qui a réponse à tout ? Figurez-vous que j’ai dégoté Super-Babysitter, FamiHero de son nom d’usage.

Je vous présente Cyril, 37 ans, et Swann, 34 ans, heu-reux parents d'Hector, Martin et Octave. Ces geeks en puissance ont plaqué leurs boulots respectifs il y a 2 ans, dans l'idée un peu dingue de faciliter la vie de milliers de familles en propulsant les petites annonces de la boulangerie de quartier dans l'ère du numérique. De quel constat est né FamiHero ? Swann raconte. « Avant de lancer FamiHero, Cyril et moi avons passé 5 ans à essayer de conjuguer vie profes-sionnelle, vie familiale et vie sociale. Avec 3 enfants et des jobs assez prenants, c'est souvent le volet vie sociale qui passait à la trappe faute de solution pour faire garder nos enfants. Nous en avons eu marre et nous sommes dit qu'il fallait trouver une solution simple, efficace et de confiance pour gérer les aléas du quotidien. Comme cela n'existait pas, nous l'avons créée ! » Concrètement, FamiHero offre aux familles la possibilité de rentrer très rapidement en contact avec des personnes disponibles dans leur quartier. Baby-sitting de dernière minute, aide aux devoirs, sortie d'école, garde pendant les vacances et même une nounou en moins de 20 minutes dans votre

quartier avec le service SOS Héros… Quel que soit le besoin, il suffit de 3 clics sur le site pour le formuler (quoi, où et quand). En quelques minutes, vous rece-vez des candidatures de personnes correspondant à votre besoin et vous n'avez plus qu'à choisir celles avec qui vous souhaitez prendre contact !

Une réactivité au-delà des espérances, certes, mais qu’en est-il des parents anxieux de laisser leur bam-bin à un inconnu ? Swann rassure. « C'est un point clé ! Nous avons beaucoup de héros dispos à Paris, plus de 1500, et pourtant, nous ne courrons pas après le volume. Chaque profil qui s'inscrit sur le site est minutieusement vérifié et 20% d'entre eux ne pas-sent pas l'étape du premier contrôle. Ensuite, nous encourageons nos membres à nous transmettre des justificatifs d'identité et de diplômes et surtout, les coordonnées de leur précédent employeur avec qui nous prenons contact par téléphone. Nous affichons clairement sur chaque profil les vérifications qui ont été effectuées et les familles peuvent laisser une évaluation après avoir fait appel à un héros. Vous pou-vez même voir quel héros est recommandé parmi les personnes faisant partie de votre réseau Facebook ! »

www.famihero.com

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les bons plans Texte Camille ClancePhoto DR

Zoé MajestéCherche ambassadrices !

Avouez : les jeunes entreprises créatives, ça fait toujours un peu rêver. Et si en plus, celle qui est à l’honneur aujourd’hui pouvait faire partie de vos vies ? Introducing Zoé Majesté, nouvelle née dans le monde de la bijouterie fantaisie, et pas que. Julien Combeau, co-fondateur, nous en dit plus.Qu'est ce que Zoé Majesté ?Zoé Majesté est une marque de bijoux française haute fantaisie pas comme les autres. Chez nous pas de magasin physique mais un réseau d'ambassadrices qui organisent des ventes privées conviviales entre copines : les Ateliers Zoé Majesté. Pour toutes celles qui n'ont pas la chance de pouvoir participer à un de nos ateliers, rassurez-vous, nos produits sont également disponibles dans notre e-boutique.Qui crée ?Nos bijoux sont dessinés, créés et sélectionnés par Emilie Jouve, notre créatrice. Rock, indie, bohème, désert chic… nos bijoux sont une invitation au voyage et à l'évasion. Nous mettons l'accent sur la qualité et le savoir-faire. La majorité de notre collection est faite main dans le Sud de la France. Explique nous l'idée d'être ambassadrice ?L'Ambassadrice Zoé Majesté, c'est tout d'abord notre égérie et notre porte-parole. Elle est épanouie, elle aime nos bijoux et elle le fait savoir autour d'elle. C'est également une styliste car elle donne des

conseils personnalisés à ses clientes. C'est enfin une entrepreneuse maligne qui ne souhaite pas s'embêter avec les contraintes de gestion car nous nous occupons de tout : de la gestion des stocks au paiement des cotisations sociales. La notion d'Ambassadrice rejoint l'idée à l'origine de la création de Zoé Majesté : « faire des femmes d'aujourd'hui les entrepreneurs de demain ».Combien une ambassadrice peut imaginer gagner mensuellement ?Il n'y a pas de limite, l'Ambassadrice Zoé Majesté fixe elle-même ses objectifs. Plus elle s'implique, plus elle organise de ventes, plus ses gains augmentent rapidement. Ses efforts sont rémunérés à leur juste valeur.Est-ce que cette activité peut se coupler avec un boulot à plein temps ?Le métier d'Ambassadrice peut être exercé à mi-temps, à temps plein et en complément d'un autre emploi. C'est cette liberté totale d'organisation que viennent chercher nos Ambassadrices. À l'inverse du salariat, elles ne sont plus contraintes par des horaires fixes. Elles s'organisent comme elles le souhaitent, elles peuvent s'occuper de leur famille, déjeuner avec leurs copines et faire du shopping en-dehors des heures de pointe !

zoemajeste.com

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le bon spot

Nouveau venu dans le cercle de la forme parisienne, le Yoga Village ne se prend pourtant pas au sérieux… En revanche, « les cours sont donnés par des gens sérieux » précise Laurent, le maître des lieux. Et après une heure et demie d’Iyengar (une des huit sortes de yoga proposées) dispensé par la délicate Agathe dans le lumineux et spacieux studio, on ne peut qu’être convaincu de la qualité de l’enseigne-ment.

Chaque posture est expliquée, et corrigée si besoin, pour s’assurer un bon travail du corps sans le faire (trop) souffrir ni le blesser. Ici, le yoga s’apparente plus à une véritable gymnastique corporelle que spi-rituelle, même si l’on ressent directement les bien-faits « zen » de la discipline autant sur le corps que sur l’esprit.« Au Yoga Village, on ne pratique pas un yoga mys-tique ou doctrinaire pour impressionner le néophyte (rires). Pas de Vishnu ni de Shiva, même si je n’ai rien contre, ce n’est pas ma religion… » explique Lau-rent. Le seul clin d’œil aux racines et aux origines spirituelles du yoga reste l’éléphant, emblème du studio qui vous accueille dès l’entrée grâce à un joyeux papier peint signé Philippe Baudelocque pour www.Ohmywall.com. « Il rappelle Ganesh à qui veut, mais il est surtout là de manière décalée et ludique »

insiste-t-il. Vous l’aurez compris, ici on pratique un yoga détendu et très ouvert, souvent en musique (notamment avec le Jivamukti ou le Prana Flow), parfois en anglais avec des yogis américains comme Kira Ryder… Bref, un yoga en phase avec l’énergique quartier de l’Opéra, qui s’inscrit au cœur du monde moderne en somme.« Pour créer le studio, je me suis directement inspiré de ce qui se fait aux Etats-Unis, surtout à New York. Je voulais importer ce côté dynamique et joyeux du yoga. C’est ça qui m’amuse » raconte Laurent qui a découvert la discipline il y a un peu plus de deux ans. « Ça m’a tout de suite plu, même si j’étais très très mauvais ! » confie-t-il. Il est alors cadre sup’ en management et finance, expatrié à Shangaï. C’est là qu’il décide de tout changer, de partir voyager à la découverte des différents yogas en Inde, en Amé-rique Centrale, au Mexique et en Indonésie ; avec déjà l’idée très claire d’ouvrir un lieu pour la pratique de cette discipline sur Paris. « C’est un peu ma crise de la quarantaine » avoue-t-il en souriant. Un sou-rire que l’on retrouve tous les jours de la semaine au studio : « pour moi l’accueil est primordial, c’est aussi pour ça que ça s’appelle Yoga Village. C’est l’idée d’une communauté, d’un lieu où des gens de toutes natures vont se croiser ».Et Laurent ne s’y est pas trompé. En s’installant dans

LA FORME VERSION ZEN’N’FUN

Texte Marion BuiattiPhoto Bruno Commergnat

Yoga Village

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le plus grand quartier des affaires de Paris, il est au cœur d’un véritable foisonnement de personnalités qu’il entend satisfaire par des horaires variés, en adéquation avec le rythme professionnel inhérent au secteur géographique. Ses classes phares se dérou-lent entre midi et deux, et à partir de 18h30. Mais si la « colonne vertébrale » du planning des cours Yoga Village est construite en fonction de la vie profes-sionnelle du quartier, elle s’adapte aussi aux autres traqueurs de bien-être. La preuve : le studio est ouvert tous les jours de la semaine et propose aussi bien des ateliers comme le yoga adultes/enfants

que des cours de Pilates pour des prix raisonnables. Mais pour vous faire une idée, le mieux c’est encore de tester. N’hésitez donc pas à passer la porte de ce paisible lieu… à 10 ! le cours d’essai, ce serait bête de s’en priver !

Yoga Village39, boulevard des Capucines - 2e

Tél. : 01 72 34 58 47www.yogavillage.fr

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le bon spectacle Texte Camille ClancePhoto DR

Anaïs Petit Croque les Grands

Quel est le propos du spectacle ? C'est un spectacle autour de l'imitation (on y retrouve des personnali-tés comme Anne Roumanoff, Carla Bruni, Isabelle Mergault, Cœur de Pirate, Catherine Frot, Véronique Sanson, Florence Foresti…). Mais ce qui m'intéresse, autant que la performance vocale, c'est d'arriver à faire rire grâce à des mises en situation décalées, des textes satiriques, et aussi des parodies musi-cales, puisque je m'accompagne au piano.

Comment décide-t-on de devenir humoriste, c'est quand même une drôle d'idée ? Depuis toute petite, je voulais être actrice. À 20 ans, je suis venue à Paris pour faire une école de théâtre, l'école Claude Mathieu, mais je sentais que ce n'était pas tout à fait mon truc. Qu'il fallait que je trouve un autre moyen d'expression, et surtout que ce que je préférais, c'était faire rire les gens. Un jour, j'ai décidé de mon-ter sur scène et de faire des imitations, comme ça, pour voir. C'était au FIEALD. À ma grande surprise, les gens ont beaucoup ri et sont ensuite venus me demander où ils pourraient me revoir sur scène. C'est ce jour-là je pense, que je me suis dit qu'il fallait que je fasse ce métier.

Raconte-nous ton aventure radio ? En 2011, Yves Le Rolland, le producteur des Guignols, m'a contac-tée suite à une démo que je lui avais envoyée. Il m'a

proposé de faire une chronique radio avec un autre jeune imitateur que je connaissais, Marc-Antoine Le Bret. On a commencé par une chronique hebdoma-daire, La folle semaine d'Europe 1, et cette année on est du lundi au vendredi à 9h55 dans Le Grand direct des médias de Jean-Marc Morandini pour Le Tweet répondeur. C'est très sympa, on s'entend bien avec Marc-Antoine et ses voix sont vraiment excellentes, ce qui rend d'autant plus agréable le travail avec lui. Et grâce à cette chronique, nous avons été repérés par Michel Drucker et avons eu la chance de passer plusieurs fois dans l'émission Vivement dimanche.

Tes bonnes adresses ? Lush - 18, rue Vieille-du-Temple : j'adore leurs produits, c'est frais, fait à la main et ça sent trop bon - Scaramouche - 161, rue Saint-Martin : excellente librairie spécialisée dans le théâtre et le cinéma - Berthillon - 31, rue Saint-Louis- en-l'Île : les glaces de l’enfer !

Anaïs Petit croque les Grands mis en scène par Vincent Auvet, écrit par Anaïs

Petit, James No et Guillaume MeuriceVendredi à 19h – samedi et dimanche à 17h à La Comédie République puis à La Grande Comédie

Promo spéciale pour les lecteurs du Bonbon : 10 ! la place au lieu de 24 ! sur place

ou par téléphone au 01 48 65 97 00

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Le Mecène

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BÉLIER 22 mars / 21 avril

Au mois de mai la bonne humeur sera au rendez-vous mais attention à ne pas croiser les cornes d’un taureau ! Les Béliers en couple connaitront des ins-tabilités, la faute à Jupiter qui veut passer devant Mercure. Célibataires ? Ne vous précipitez pas pour prendre des décisions ! Vous aurez envie de vous éclater sans vous prendre la tête et vous aurez bien raison ! Côté santé, votre énergie sera débordante, profitez-en pour la canaliser en chaussant vos chaussures de sport ou… en vous défoulant sur la piste de dance !

TAUREAU 22 avril / 21 mai

Amis Taureaux, des problèmes de communication arrivent en début de mois. Pensez à tourner sept fois votre langue dans votre bouche… En couple, c’est « l’amour vache » à partir du 8, question d’argent sû-rement ! Célibataires, profitez du début du mois pour séduire car le découvert risque de pointer son mu-seau ! Motivés, dynamiques mais impatients, pensez à affûter vos arguments pour convaincre vos interlo-cuteurs. Bref, pas le meilleur des mois pour vous mes amis, heureusement que le soleil est là. Il ne tient plus qu’à vous de me faire mentir.

GÉMEAUX 22 mai / 22 juin

Ce mois-ci sera plus calme que le mois précédent, et les moments partagés avec vos amis seront bons. Une harmonie familiale s’instaure, et peu de pro-blèmes viendront parasiter cette entente. La pre-mière quinzaine du mois, vous aurez la tête ailleurs et manquerez de sens pratique. Côté amour, vous au-rez l’impression de ne pas être sur les mêmes aspira-tions que celles de votre partenaire. Pas de panique, la réalité n’est pas si sombre que ça !Célibataires, vous avez tellement peur de souffrir, que vous vous braquerez à toute possible rencontre.

Texte Dame Bonbon

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CANCER 23 juin / 21 juillet

« En mai, fais ce qu’il te plaît », oui mais pas trop tout de même ! Attention à votre coté cigale, qui avec les beaux jours, pourrait vous jouer de mauvais tours. Vous souhaitez renouveler votre garde robe, bous-culer vos habitudes, sortir… oui mais avec qui ? Céli-bataires, votre quête d’une relation stable et sincère est sur le point d’aboutir. En couple, votre conjoint a besoin de votre énergie pour vous suivre jusqu’au bout de la nuit ! Veillez cependant à ne pas trop bousculer vos collègues qui ne comprendraient pas toujours vos folles envies de…

LION 22 juillet / 23 août

Mars et le soleil sont de retour, et ce n’est pas pour vous déplaire - crinière au vent, canine luisant dans les rayons, allure féline, vous vous sentez revivre ! Mais gare aux coups de gueule, et aux coups d’œil coquins par-dessus l’épaule. Vous pourriez vexer votre entourage, à gonfler le torse comme ça. Bon, que cela ne vous empêche pas, chèr(e)s Lion(ne)s, de vous goinfrer de tranches de vie crues, de croquer quelques gambettes, et de déchiqueter quelques cœurs au passage, pour la beauté du geste. Jupiter soutient vos initiatives, la savane n’a qu’à bien se te-nir...

VIERGE 24 août / 23 sept.

Le mois de mai s’annonce tout gris ! Maladie, déprime, problèmes au travail… les astres ne vous épargneront pas. Pour conjurer le sort, deux solutions s’offrent à vous : marcher à l’envers pendant 30 minutes par jour ou systématiquement mettre six sucres dans votre café. L’amour sera votre seule joie : en couple, attendez-vous à un heureux événement. Célibataires, une rencontre cruciale aura lieu le 3e jeudi du mois. Passez au Dandy le 23 mai, c’est sûrement là qu’une bonne surprise vous attend ;)

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BALANCE 24 sept. / 23 oct.

Après les frelons dans la culotte en avril, c’est fina-lement le bourdon qui vous accompagnera en amour ce mois-ci. La tête en vrac et le cœur en purée, vous avez été pris(e) le doigt dans le pot de miel et ça, votre conjoint(e) ne vous le pardonnera pas ! Enfin, garder le miel, vous en aurez besoin pour retrouver équilibre et moral. Au bureau, un malentendu risque de compliquer vos relations, on vous reprochera d’avoir fait deux poids, deux mesures dans vos choix. Bref, mai pèsera lourd sur les Balances.

SCORPION 24 oct. / 22 nov.

Un début de mois morose vous attend petits Scor-pions, mais pas de panique ça devrait se calmer à partir du 18. En couple, l’heure est à la remise en question. Si vous hésitez, fuyez ! Vénus n’est pas vraiment dans votre poche… Célibataires, aucune rencontre ne devrait être décisive ce mois-ci, mais rien ne vous empêche de vous amuser et de faire res-sortir votre côté piquant ! Le vrai point positif d’avril est sans conteste votre forme : vous avez une pêche d’enfer et ça vous rend heureux(se). Entre nous, c’est le principal non ?

SAGITTAIRE 23 nov. / 22 déc.

C’est le moment de rester chez vous. Faites tout ce que vous voulez, mais faites le seul. Les astres sont trop mal alignés pour vous garantir une vie sociale épanouie. Pour vous éviter toute déprime, passons le sujet « amour ». La seule grosse déglingue du mois autorisée ? Votre visite chez le psy. Et encore, s’il vous reste de quoi le payer. Si vous avez un boulot, ne comptez ni sur une promotion, ni sur une augmen-tation, car c’est tout juste s’ils ne vous virent pas. Santé : comme vous ne sortirez pas, aucun risque de maladie.

CAPRICORNE 23 déc. / 20 janv.

« En mai fais ce qu’il te plaît » oui, mais pas vous ! Après un début de mois sur les chapeaux de roues, la pression retombe et le moral aussi. Seul remède : sortez, buvez, faites l’amour avec le ou les être(s) aimé(s). Vous avez tellement attendu le printemps, ne passez pas à coté, évadez-vous dès que possible de votre quotidien, lancez-vous, en un mot : OSEZ !

VERSEAU 21 jan. / 19 février

La vie est un long fleuve tranquille, oui mais non. Pas ce mois-ci en tout cas ! Et à tous les niveaux. Vous pensiez avoir rencontré l’homme de votre vie, ou en couple être sur la même longueur d’onde, c’est pas gagné. Votre concubin ou nouvelle « target » n’est pas aussi sincère que vous vous l’imaginez. Il va falloir discuter et mettre les choses au clair ! Au boulot, vous allez être littéralement sous l’eau, et c’est peu de le dire. On va vous solliciter de partout ! Côté san-té : prenez soin de vous, car au vu de ce mois qui vous attend, ça ne va pas être de tout repos !

POISSONS 20 fév. / 21 mars

En mai… Oh putain en mai… La joie de vivre, le gazon maudit, la bibine à tous cris, les nénuphars en vrilles, les roses qui se font la malle, les tétards qui font tétons, pour faire bander les riris et les tontons, les horties tout brulés… C’est pas le tout mais il faudrait peut-être penser à trouver un boulot pour la rentrée ! En attendant, profitez du soleil, du sable fin, des ter-rasses en relief, des copines, pas trop des copains ;-)Et surtout ne cherchez pas un amant car le plus beau et le plus tendre est à côté de vous chaque jour pour

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le bon astro Mai 2013

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la bonne boutique

VOS YEUX ONT DU « GOOT »

Publi-reportage Marion BuiattiPhotos DR

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À vue de nez, Segoola Opticien ressemble à une bou-tique de lunettes tout à fait ordinaire… mettez donc vos carreaux et regardez plus près. C’est LA nouvelle adresse d'avant-garde optique et solaire dont l’es-pace a été pensé par l’architecte d’intérieur Karine Lewkowicz et Alexia Cohen, la propriétaire des lieux. Une boutique-écrin incontournable où créateurs, modeuses, artistes et même globe-trotters se croi-sent dans le Haut Marais. Loin des opticiens tradi-tionnels, Segoola est avant tout un lieu d’échange.

Ayant grandi dans le monde de l’optique, Alexia a vite saisi que les lunettes pouvaient avoir un rôle majeur dans la vie de tous les jours. Elle a vu ce produit comme un objet de mode, comme quelque chose de précieux et parfois même comme « un copain ». Installé depuis un an dans un des quartiers les plus branchés de la capitale, Segoola mise sur des marques internationales, confidentielles et ori-ginales. Sunday Somewhere (que vous ne trouverez nulle part ailleurs en France), Graz, Garrett Leight, Götti, Be Kind, Thierry Lasry, Illesteva, Linda Farrow, Retro Super Futur, Clayton Franklin… Ainsi que des modèles vintage de première main, chinés par delà

le globe. À contre-courant des grandes chaînes d’op-ticiens qui vendent des « griffes », Segoola a fait le choix de ne travailler qu’avec des lunettiers et des verriers (comme Essilor) possédant un savoir-faire irréprochable. Présentées sous cloches et sous globes, telles des œuvres d’art, les lunettes sélec-tionnées par Segoola sont comme des bijoux prêts à sublimer les visages. Allez, on passe à l’essayage, et avec un peu plus d’une douzaine de miroirs baroques qui jalonnent les murs du lieu, on peut s’observer sous toutes les coutures. Ça ne nous suffit pas ? Alexia propose de nous prendre en photo avec son Polaroïd. Un cliché qu’on peut emporter chez soi, ou laisser sur le Wall of Fame (textuellement « mur de la gloire », ndlr) de la boutique où chacun semble dire : « Les lunettes et moi on fait bon ménage, non ? »Jeune et branchée, Alexia sortira à la rentrée sa propre ligne de lunettes, biodégradables s’il vous plaît… et dont les étuis seront confectionnés par des prisonniers européens. Segoola se veut avant tout « social », c’est pourquoi la boutique tient aussi à servir de « vecteur artistique ». Ainsi donc organi-sera-t-elle bientôt l’exposition de l’artiste-peintre Steve Pitocco. Segoola offre aussi des compilations

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CD de 7 titres, en collaboration avec le label Para-noïak, à qui passera par la boutique. Le dimanche, des ateliers sont sporadiquement organisés. Récem-ment, un coiffeur est venu travailler sur les cheveux de clients, qui ensuite prenaient la pose avec une paire de lunettes du magasin pour tenter de la rem-porter. Une vision d’ensemble très moderne, et très mode finalement. Clément, collaborateur et direc-teur artistique de Segoola, insiste d’ailleurs sur ce côté mode : « on n'est pas obligé d’être contraint à porter des lunettes pour les aimer. Avec Alexia, on n’a pas de problèmes de vue, mais on en porte quand même ! D’ailleurs, certaines personnes viennent

pour acheter de la lunette à collectionner, sans verre correcteur. La lunette est devenue un accessoire de mode indispensable pour compléter une tenue. C’est la cerise sur le gâteau ! »

104, rue de Turenne - 3e Le lundi de 14h à 19h

Du mardi au vendredi de 10h30 à 19hLe dimanche de 14H à 19h

—Tél. : 01 42 74 55 20

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les bons hommes

VIDEO BROTHERHOOD

Texte Camille Clance Photo Tarantoscope

Tarantoscope

Il y a Régis, le sérieux cultivé, et Damien, le teigneux à lunettes. Ils sont deux, ils sont frères, ils sont pari-siens, et ils sont drôles. C’est en tout cas ce qui se murmure dans le Marais et au-delà. Ils forment une entité vidéo, le Tarantoscope, qui sévit sur le net depuis quelques semaines. Entretien.

Le Tarantoscope, qu'est-ce que c'est ?D : C’est une petite prod audio-visuelle parisienne. Mais c'est surtout un bureau, où avec mon frère, on a l'opportunité de faire ce qu'on a toujours eu envie de faire. Si on a une idée, on la tourne, on fait la musique, et on la monte… le jour même.

Comment le concept est-il né ?R : Le Tarantoscope est né de manière vraiment natu-relle. Mon frère voulait jouer dans des comédies, moi je voulais filmer des choses sans dépendre de per-sonne. Il y a deux ans, on a trouvé un concept de série qui nous parlait et on a écrit une saison.D : Et bim…

Quels sont vos parcours à tous les deux ?D : Je joue la comédie depuis l'adolescence. Je suis Dj et je fais de la musique depuis toujours. Je me suis très vite rendu compte qu'au quotidien je n'ai-mais que la musique et les images. J’ai aujourd’hui la chance de réussir à vivre de tout ça.R : Je suis diplômé en droit, j'ai commencé ma car-rière comme journaliste puis attaché de presse puis traducteur puis expatrié plus de 8 ans à l'étranger… Rien de plus normal avec un parcours qui ne res-semble à rien que de faire une profession où cela a un sens.

Comment définiriez-vous votre humour ?R : On aime l'absurde, l'humour noir, les trucs débiles.D : On rit autant devant des séries britanniques comme Black Books que devant une bonne teen comédie américaine qui tire sur des grosses ficelles. On prend du plaisir à regarder un podcast bien fait comme on en prend à regarder Kaamelott (et même la dernière saison, hein…).

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Ca ne vous effraie pas de surfer sur la même vague que les Norman et autres Baptiste Lorber ?D : On veut faire des images très vite et les diffuser quasiment en temps réel. Les gens sont de plus en plus exigeants et pour se faire une petite place sur la toile, il faut savoir innover. Mais c'est le meilleur moyen à nos yeux de faire les choses rapidement et de donner à nos films la dimension humaine qui nous est chère et que l'on retrouve entre autre chez Nor-man et Baptiste Lorber.

Si je vous accorde 3 vœux, là maintenant tout de suite ? D : Vivre du Tarantoscope. Que l'hiver ne dure à nou-veau que 3 mois. Et que les Daft Punk fassent le pre-mier concert de leur prochaine tournée à mon anni-versaire.

Bosser en famille, c'est pas un peu compliqué ?R : Si mais heureusement, on a pu quand même choi-sir avec qui dans la famille.

Vos bonnes adresses dans le centre ?Yasube - 9, rue Sainte-Anne : brochettes japonaises vraiment coolL'As du Fallafel - 34, rue des Rosiers : tout est dans le titreHiguma - 32 bis, rue Sainte-Anne : cantine japonaiseLe Connétable - 55, rue des Archives : bistrot à découvrir tard la nuit

Retrouvez les frères Taranto sur Facebook et leur chaine Youtube : Tarantoscope

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les bons shops Publi-reportage Blandine Ponton Photo DR

De NeuvilleChocolat français

Le chocolat fait partie de notre histoire, de nos goûters, de nos fêtes, de nos craquages, de nos plaisirs. De Neuville est un chocolatier français, ni belge, ni suisse, quasi mythique, chez qui le chocolat noir règne en maître.

Une chocolaterie au centre de la France, quel meilleur gage de qualité et d’authenticité ? Les équipes De Neuville rivalisent d’originalité, maniant épices, fèves d’ici et d’ailleurs, fleurs et fruits pour créer des saveurs que même votre imagination de gourmand ne saurait désirer… Hum… De Neuville a vu le jour en 1986, soit il y a près de 27 ans et s’est rapidement développé, affichant aujourd’hui près de 150 boutiques en France. On ne doute plus de la raison de ce succès.Le chocolat à la française façon De Neuville, c’est quoi pour de vrai ? Déclinés au travers de 2 collections Douces tentations et Initiation chocolat, de proportions délicates, les ganaches et leur chocolat d’enrobage y sont à l’honneur, bien évidemment pur beurre de cacao conformément à la tradition chocolatière bien de chez nous. À cela s’ajoute une vraie dimension créative tant au niveau visuel que gustatif.Et si les bonbons de chocolat sont bien entendu la spécialité de la maison, l’imagination des chocolatiers De Neuville n’a guère de limites en innovations chocolatières… À l’image de la

collection Téo Cacao, à destination des enfants, réalisée à partir d’ingrédients de grande qualité où l’on retrouve sucettes, guimauves, p’tites tablettes, pièces et lentilles… Ou encore la collection Alphabet, qui permet de créer une boite personnalisée d’un message écrit grâce à des lettres en chocolat noir, au lait ou blanc. Une excellente manière de célébrer un événement hors du commun ! Mais on ne s’arrête pas là… Macarons, spécialités régionales (telles que les Calissons ou les pâtes de fruits) : les boutiques regorgent de surprises.En parlant d’événement à célébrer, la Fête des Mères approche ! Et De Neuville a pensé à tout. Plongez votre maman dans l’univers (gourmand) de la beauté grâce à ce coffret pensé spécialement pour les plus coquettes d’entre elles. Flacon de parfum, sèche-cheveux, bigoudis, peigne et brosse se déclinent en chocolat noir ou lait et s’accompagnent de bonbons de chocolat de la collection Douces Tentations. Un must have carrément chocolaté.

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les bons shops Textes Bonnie Bonne & Camille ClancePhotos Odilon Corby & DR

Crèmerie LevisteFine fromagerie

C’est pour des endroits comme celui-ci qu’on aime Paris centre comme un village de province. Et voilà ce qu’il manquait au quartier : une fromagerie, tout ce qu’il y a de plus traditionnelle. La famille Leviste est à l’origine de ce lieu unique, ouvert en janvier dernier.Voilà cinq années que l’aventure a commencé. Pré-sente sur les marchés de Nogent, Villemonble et Neuilly, cette crèmerie qui ne propose que des pro-duits AOC/AOP a investi son premier espace dans la jolie rue des Gravilliers. Une déco simple et inti-miste, qui laisse toute son importance à la star des lieux : le fromage. Principalement au lait cru, affiné, il est issu de petits producteurs. Même si quelques références (moins de cinq) proviennent d’Angleterre ou de Hollande, le fromage des Leviste est principalement français, rapatrié des quatre coins de notre jolie contrée et soigneusement sélectionné par nos experts en goût. La qualité est ici le maître mot ! « Nous comptons 211 produits, explique Sophie, maîtresse des lieux, dont 180 fro-mages. Les autres concernent le lait, le beurre… Et le meilleur bien entendu ! » La sélection de fromages est complémentée par une petite cave qui a tout d’une grande. Du rouge, beaucoup, du rosé aussi en prévision de l’été… Le tout servi par une équipe jeune et dynamique : que demande le peuple ?

90, rue des Gravilliers - 3e - Tél. : 06 18 93 51 87

Eileen Gray à BeaubourgModern Lady

Beaubourg est à Paris centre ce que le spéculoos est à l’expresso : la halte réconfortante, qu’on connaît par cœur mais qu’on a toujours un plaisir régressif à retrouver sur son passage. D’emblée, la modernité des pièces est percutante. L’œil passe de dates à une vitrine, une date, une vitrine : il s’agit bien de pièces éditées dans les années 10, 20, 30. Eileen Gray, née en Irlande, s’est rapidement passionnée pour la technique du laqué. En 1907, lorsqu’elle emménage définitivement à Paris, dans son appartement de la rue Bonaparte qu’elle conservera jusqu’à la fin de sa vie (modèle de contemporanéité comme en témoignent les pho-tos présentées dans la rétrospective de Beaubourg), elle s’associe avec le maître laqueur Seizo Sugawara. S’en suivent de glorieuses collaborations avec le sty-liste Jacques Doucet ; l’ouverture de la galerie Jean Désert rue du Faubourg-Saint-Honoré, qui concorde avec la rencontre avec l’architecte Jean Badovici. De cet amour aussi professionnel qu’intime naîtra d’ailleurs le projet de la maison E 1027, construite à Roquebrune-Cap-Martin dans le sud de la France. Les plans et maquettes, visibles lors de l’expo, témoignent d’un avant-gardisme époustouflant.

Jusqu'au 20 mai Centre Pompidou

19, rue Beaubourg - 4e

Tél. : 01 44 78 47 99

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Il vous suf!t de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous béné!cierez de l’offre annoncée !

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les bons p'tits diables

ONCE UPON A TIME…

Texte Camille ClancePhoto DR

La Maison des Contes et des Histoires

La Maison des Contes et des Histoires, c’est une structure située au cœur du Marais mixant art et contes et s’adressant aux enfants de 6 mois à 13 ans. Entre poésie et éducation, j’ai rencontré Sarah Piazzo, responsable de la vie dans la Maison.

Racontez-nous la naissance de la Maison des Contes et des Histoires.La Maison des Contes et des Histoires a ouvert ses portes il y a 10 ans. Née de la rencontre entre une historienne d'art et une conteuse, cette galerie d'initiation à l'art pour les enfants se construit sur deux piliers fondamentaux : la galerie d'illustra-tions jeunesse et le « contier », espace consacré au conte. Tous les 3 mois environ, nous proposons une thématique d'exposition différente. Cela peut être un pays (nous venons d'achever une exposition sur le Brésil), un auteur (Grimm, Kipling, Andersen..), un uni-vers thématique (comme par exemple Les métamor-phoses), un animal ( le chat, le loup, les oiseaux…), une œuvre précise (Les Malheurs de Sophie).Autour du thème choisi, nous exposons des illustra-tions originales d'albums pour la jeunesse dans la partie galerie, avec un espace dédié à l'illustration ancienne. La galerie est ainsi agrémentée de jeux qui permettent aux enfants de rentrer doucement dans l'univers des illustrateurs et dans la thématique de l'exposition. Autour de cette exposition d'illustra-tions, nous proposons toute une série d'activités d'écoute et de création : les séances de contes qui

se déroulent dans le « contier », petite niche située au fond de la galerie, décorée d'une forêt et remplie de livres ; les ateliers d'initiation à l'histoire de l'art, et les ateliers d'arts plastiques. Quelle est l'ADN de la Maison ? Son ambition : créer un lieu pour la circulation de toutes les histoires des hommes, qu'elles passent par le regard ou par la parole (par les illustrations exposées dans la galerie et grâce aux histoires des conteuses). Un lieu d'épanouissement des imagina-tions des plus petits comme des plus grands. Qu'est ce qui se passe dans vos murs ? Autour des thématiques de nos expositions tempo-raires, la Maison propose : des séances de contes et des ateliers pour les enfants de 6 mois à 13 ans. Mais aussi des formations à l'art de conter, et des veillées de contes pour adultes. Nous accueillons les familles mais aussi les écoles, les centres de loisirs, et autres structures désireuses d'emmener des enfants ou des adultes écouter des histoires, inventer des his-toires, ou participer à un atelier créatif. Quelle est la fonction des contes et histoires dans la vie d'un enfant ?Le conte aide à grandir. Chaque conte contient en lui une petite vérité, la mise en scène d'une épreuve, le jeu de relations affectives qui servent au développe-ment et à la construction de l'enfant.

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Les contes aident l'enfant à résoudre ses conflits affectifs en évoquant les difficultés de la vie, et ont, dans ce sens, une fonction réparatrice.

Les séances régulières Les Comptines en douceur, pour les enfants

de 6mois à 2 ans : les dimanches matins à 11h (1 dimanche sur 2)

Le Petit Théâtre des contes pour les enfants de 3 à 5 ans : le samedi matin à 11h

L'art après l'école « Je joue avec les histoires » pour les enfants de 3 à 5 ans : le mardi à 17h

Les Goûters Contés pour les enfants

de 4 à 12 ans : le mercredi à 15h30L'atelier des Créateurs pour les enfants

de 4 à 12 ans : le mercredi à 16h40Les séances de contes pour les enfants

de 4 à 12 ans : le samedi à 16h30—

La Maison des Contes et des Histoires7, rue Pecquay - 4e

Tél. : 01 48 87 04 0114h-18h tous les jours

FB : La Maison des Contes et des Histoireswww.contes-histoires.netwww.contes-histoires.net

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SORTIES

3,2,1… Photographiez !Montrez le charme des berges de Seine parisiennes… Ne soyez pas cliché, mais assurez le visuel pour que votre photo soit l’une de celles choisies par un jury pour être exposée en plein air courant juin et juillet sur la façade de l’immeuble du 4, rue Lobau (4e). Vous avez jusqu’au 18 mai pour poster votre œuvre sur les sites Wipplay.com, Paris.fr ou Lesbergesparis.fr et croisez les doigts !

Friday Night FeverLa Gaîté Lyrique sort sa boule à facettes avec sa soirée I Feel Disco ! Vendredi 3 mai, sortez vos plus belles vestes à paillettes pour dansez all night long. À partir de 23h30, Escort, Pilooski, Romain BNO, Uncle O et Patrick Vidal se bougent pour provoquer vos déhanchés. 16 ! plein tarif / 12 ! tarif adhérentwww.gaite-lyrique.net

SHOPPING

Belle Belle BelleComme le jour… Si Claude François devait recommander un livre sur l’art du make up, ce serait sûrement celui de Bobby Brown : Leçon De Maquillage. La make up artist internationalement reconnue, et fondatrice de la marque de cosmétiques du même nom, sort enfin un ouvrage avec tous ses trucs et astuces pour se faire belle au quotidien. Des conseils de pro pour 15,90 ! (éd. Marabout) ? Comme dirait Jean-Marc Généreux : j’achète !

Palmiers et skullsCette saison, Faguo s’associe à A Question Of pour réaliser sa première collection capsule en coton biologique. On aime les designs mi-trendy mi-naïfs et les couleurs, parfaites !En exclusivité chez Colette – 65 ! la paire

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ENFANTS

Le Musée en HerbeVenez découvrir la toute nouvelle exposition événement - Dans la peau de Hundertwasser Pour un public à partir de 3 ans, présentant cet artiste engagé aux multiples facettes : peintre, architecte, écologiste et philosophe ! Des visites animées pour les adultes et des visites dont les enfants sont les héros complètent les visites libres. - Jusqu'au 31 décembreLe Musée en Herbe - 21, rue Hérold - 1er

Tél. : 01 40 67 97 66

Spectacle Contes et Musique : La Musette à LisetteEmbarquez dans un voyage plein de surprises : on entre dans un grenier aux souvenirs et on y croise des créatures étranges, des vendeuses de mots, des animaux inattendus et des croyances particulières. La musique accompagne les mots et se transforme en personnages qui chantent et dansent au son de l'accordéon… Le mercredi 15 mai à 15h - 12 ! - à partir de 5 ansLa Maison des Contes et des Histoires7, rue Pecquay - 4e - Tél. : 01 48 87 04 01 www.contes-histoires.net

Nous sommes un organe d’état.

Nous sommes sous contrôle. Nous n’avons aucune autonomie. Vous n’avez plus le choix : écoutez nous!!

Musique live, talk shows, infos, débats, 24h sur 24, 7 jours sur 7. Notre contenu est certi"é conforme.

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les bonnes adresses Régie publicitaireNicolas Portalier

06 48 26 92 12

WINE TOUCH61, rue Quincampoix - 4e

Tèl. : 09 80 92 70 13

GLADYS26, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 48 78 70 14

AUTRES IMAGES…Tél. : 06 99 10 83 15

LA MECÈNE76, rue Quincampoix - 3e

DE NEUVILLE36, rue Vieille-du-Temple - 4e

63, rue Saint-Louis-en-l'Île - 4e

27, rue de Bretagne - 3e

LA FROMAGERIE LEVISTE90, rue des Gravilliers - 3e

Tél. : 06 18 93 51 87

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25 Boulevard Sébastopol 75001 PARIS Métro Châtelet

Tél. 01 44 76 80 90