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REVUE DE PRESSE Lundi 5 septembre 2016 Nouvelle agression sexuelle pointe Mahabou Publié le lundi 5 septembre 2016 à 6:15 Vendredi en début d’après-midi, pointe Mahabou à Mamoudzou, une jeune femme de 25 ans a appelé la police pour une agression sexuelle. Son agresseur l’aurait violé sous la menace d’un couteau. Il a été interpellé, placé en garde à vue et présenté au parquet. Une surveillance permanente du parc de la pointe Mahabou serait appréciable étant donné les trop fréquentes agressions sexuelles sur ce site du centre ville de la commune préfecture. Le jour férié de l’Ide-El-Kêbir est fixé au 12 septembre Publié le samedi 3 septembre 2016 à 11:27 Alors que les fêtes musulmanes sont annoncées à l’avance dans plusieurs pays, à Mayotte, les religieux conservent l’habitude de ne les décréter qu’après avoir observé la Lune. C’est ainsi que l’observation hier de la Nouvelle Lune a permis au conseil cadial d’annoncer l’Ide-El-Kêbir pour ce 12 septembre. L’Aïd-el-Kébir (aussi nommée Aïd-el-Adha, Aïd al-Kebir ou encore Eïd el-Adha), qui signifie « la Fête du sacrifice », est l’une des célébrations les plus importantes liées à la foi musulmane. Il s’agit d’une commémoration de la soumission d’Abraham (Ibrâhîm en arabe) à la volonté de Dieu lorsque celui-ci lui demanda de sacrifier son fils Ismaël (Isaac pour les chrétiens). Elle est l’un des 4 jours fériés et donc obligatoirement chômés et payés, à Mayotte, avec le 1er janvier, le Lundi de Pâques et le 1er Mai. Port de Longoni Adoption des tarifs prohibitifs de MCG au port: le revirement du président du déparement Publié le lundi 5 septembre 2016 à 7:52 Officiellement, Siobahadine Ibrahim Ramadani ne fait que suivre l'avis du conseil portuaire. Mais il prend un contrepied soudain des conclusions très critiques de son cabinet de conseil à propos des augmentations spectaculaires de la gestionnaire du port MCG. MCG poursuit la manutention sans agrément Le port de Longoni doté d’un outillage de grands ports Face aux augmentations avoisinant les 100% pour certains, des tarifs de location de l’outillage que MCG met à disposition sur le port de Longoni, le Conseil départemental propriétaire du port, avait sollicité les conseils d’un consultant spécialisé. Les conclusions de CATRAM étaient éloquentes puisqu’elles exprimaient de vives critiques sur la méthode utilisée pour rentabiliser les 3 grues et les 4 RTG (portiques). Les usagers du port de Longoni nous avaient donné le tarif de location d’une grue sur le port de Brest, 188 euros de l’heure, ce qui, rapporté à 7 heures, chiffre à 1.316 euros… « On est bien loin des 10.400 euros demandés par MCG », critiquaient-ils. Et alors que les grues bretonnes ne bénéficient pas de la défiscalisation de l’Etat, contrairement à celles de Longoni. Des outils qui avaient été achetés sans consultation des acteurs portuaires, notamment du manutentionnaire, donc sans les adapter au volume du trafic. Ils sont actuellement surdimensionnés, le transbordement ayant chuté depuis quelques mois. Il n’y a d’ailleurs pas de RTG, ni à Fos-sur-mer, ni à Marseille. Il y en a quatre à Mayotte. Contact presse Préfecture de Mayotte - service communication interministérielle - Tél : 06 39 69 00 31, courriel : [email protected] www.mayotte.pref.gouv.fr Préfet de Mayotte @Prefet976

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Nouvelle agression sexuelle pointe MahabouPublié le lundi 5 septembre 2016 à 6:15

Vendredi en début d’après-midi, pointe Mahabou à Mamoudzou, une jeune femme de 25 ans a appelé la police pour une agression sexuelle. Son agresseur l’aurait violé sous la menace d’un couteau. Il a été interpellé, placé en garde à vue et présenté au parquet. Une surveillance permanente du parc de la pointe Mahabou serait appréciable étant donné les trop fréquentes agressions sexuelles sur ce site du centre ville de la commune préfecture.

Le jour férié de l’Ide-El-Kêbir est fixé au 12 septembrePublié le samedi 3 septembre 2016 à 11:27

Alors que les fêtes musulmanes sont annoncées à l’avance dans plusieurs pays, à Mayotte, les religieux conservent l’habitude de ne les décréter qu’après avoir observé la Lune. C’est ainsi que l’observation hier dela Nouvelle Lune a permis au conseil cadial d’annoncer l’Ide-El-Kêbir pour ce 12 septembre.L’Aïd-el-Kébir (aussi nommée Aïd-el-Adha, Aïd al-Kebir ou encore Eïd el-Adha), qui signifie « la Fête du sacrifice », est l’une des célébrations les plus importantes liées à la foi musulmane. Il s’agit d’une commémoration de la soumission d’Abraham (Ibrâhîm en arabe) à la volonté de Dieu lorsque celui-ci lui demanda de sacrifier son fils Ismaël (Isaac pour les chrétiens).Elle est l’un des 4 jours fériés et donc obligatoirement chômés et payés, à Mayotte, avec le 1er janvier, le Lundi de Pâques et le 1er Mai.

Port de LongoniAdoption des tarifs prohibitifs de MCG au port: le revirement du président du déparementPublié le lundi 5 septembre 2016 à 7:52

Officiellement, Siobahadine Ibrahim Ramadani ne fait que suivre l'avis du conseil portuaire. Mais il prend un contrepied soudain des conclusions très critiques de son cabinet de conseil à propos des augmentations spectaculaires de la gestionnaire du port MCG.MCG poursuit la manutention sans agrément

Le port de Longoni doté d’un outillage de grands ports

Face aux augmentations avoisinant les 100% pour certains, des tarifs de location de l’outillage que MCG met à disposition sur le port de Longoni, le Conseil départemental propriétaire du port, avait sollicité les conseils d’un consultant spécialisé. Les conclusions de CATRAM étaient éloquentes puisqu’elles exprimaientde vives critiques sur la méthode utilisée pour rentabiliser les 3 grues et les 4 RTG (portiques).Les usagers du port de Longoni nous avaient donné le tarif de location d’une grue sur le port de Brest, 188 euros de l’heure, ce qui, rapporté à 7 heures, chiffre à 1.316 euros… « On est bien loin des 10.400 euros demandés par MCG », critiquaient-ils. Et alors que les grues bretonnes ne bénéficient pas de la défiscalisation de l’Etat, contrairement à celles de Longoni.Des outils qui avaient été achetés sans consultation des acteurs portuaires, notamment du manutentionnaire, donc sans les adapter au volume du trafic. Ils sont actuellement surdimensionnés, le transbordement ayant chuté depuis quelques mois. Il n’y a d’ailleurs pas de RTG, ni à Fos-sur-mer, ni à Marseille. Il y en a quatre à Mayotte.

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Un cadeau immédiat

Autre point souligné par le cabinet CATRAM, les navires arrivant au port munis de grues devront utiliser le matériel du port, sous réserve de payer une « redevance de non utilisation. »Le conseil portuaire qui s’était tenu le 22 juin, à la majorité acquise à Ida Nel, avait validé cette nouvelle tarification. Plusieurs acteurs s’y étaient opposés, « Nous tiendrons compte des observations formulées, « avait assuré Fatima Souffou, la 1ère vice-présidente, suivant là la position du président Soibahadine Ibrahim Ramadani. Ce dernier avait saisi des conseils pour examiner une éventuelle remise en cause de la Délégation de Service public à MCG.Mais depuis, des rencontres ont eu lieu, au port et au conseil départementale. On ne sait quel fut la teneur des échanges, mais les tarifs d’outillage public viennent d’être validés ce 2 septembre (Lire arrete tarifs-020916) par le président du CD. Un revirement qui va loin puisqu’il autorise « exceptionnellement et par dérogation, leur application immédiate sans attendre le 1er janvier 2017. »Selon non informations, d’autres négociations sont en cours au sujet notamment du versement de la redevance de MCG au département.

Fiscalité : « Un coup d’épée dans l’eau pour les communes, un coup de poignard pour les habitants »Publié le lundi 5 septembre 2016 à 5:30

Le Collectif pour un moratoire fiscal de 30 ans de Chihabouddine Ben Youssouf avait appelé à manifester ce samedi matin place de la République. Une forte mobilisation aurait pu interpeller dans les ministères dans une période de redressement des budgets des collectivités. Ce ne fut pas le cas, surtout chez les élus.Le conseiller départemental Chihabouddine Ben Youssouf est certain de la justesse de son combat. Vu comme un perturbateur par les élus, parlementaires, départementaux et communaux, qui avaient appelé à l’unité de combat pour « chasser en meute à Paris », il considère sa proposition de moratoire sur la fiscalité comme la seule solution.Pour rappel, la coalition d’élus avaient obtenu en avril dix engagements de Manuel Valls, qui reconnaissait plusieurs injustices, dont la perte annuelle pour le département de 16 millions d’euros à la suite de la transition fiscale, une Dotation globale de fonctionnement en dessous des autres Outre-mer, et chiffrant l’ensemble du préjudice à 50 millions d’euros.Dans le même temps, Chihaboudine Ben Youssouf montait un Collectif demandant un moratoire fiscal de 30 ans, le temps de remettre à jour le cadastre et de procéder aux régularisation foncière. « On ne sait pas qui est propriétaire de quoi, comment voulez-vous que les impôts fonciers réclamés ?!», s’exclamait un membre du Collectif ce samedi matin. Trente années pendant lesquelles l’Etat ne percevrait rien. Il réunit alors 18.000signatures.

Silence du côté de Matignon

Mais George Pau-Langevin ne l’entend pas de cette oreille, qui refuse toute dérogation dans ce domaine. « Je compte sur l’expérience d’Ericka Bareigts, qui en tant que Secrétaire d’Etat à l’égalité réelle, devrait comprendre notre position », espère Chihabouddine. Mais la jeune ministre pourra-t-elle faire entendre une voie différente quand Bercy compte ses sous ? Il faut l’espérer.Du côté des engagements de Manuel Valls, c’est toujours le silence : « On nous a fait monter la mayonnaise en avril, mais trop de temps s’écoule depuis. Pendant ce temps, la fiscalité s’abat sur les habitants de Mayotte », citrique le conseiller départemental d’opposition Daniel Zaïdani.Et la Chambre régionale des Comptes demande aux collectivités des budgets en équilibre.

Remise en cause de l’indexation

Daniel Zaïdani appelle à la désobéissance : « Un élu n’est pas là pour avoir une lecture comptable mais pouravoir une vision économique et humaine. Nous leur avions fourni ce matin une occasion de se mobiliser, mais aucun n’est venu. » Une logique comptable qu’adopte le président du département, fait-il remarquer : «

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En gelant l’indexation de certains agents, et en ayant fait voter le 31 décembre 2015 une délibération permettant de remettre en cause le principe de l’indexation. »Ibrahim Madi, membre actif du Collectif, décrit le contexte et explique l’absence de mobilisation de la population : « La propriété de la terre est un héritage culturelle dans notre société. Chacun en possède. Nous pouvons donc être propriétaire et pauvre. On nous dit de payer des impôts alors que le cadastre n’est pas terminé. Certains paient, beaucoup, car d’autres pas, faute de savoir qui est propriétaire. La fiscalité est donc confiscatoire et discriminatoire. Les gens pleurent mais sont fatalistes ici, ‘Dieu réparera l’injustice’, pensent-ils »Il observe d’autre part que les recettes pour les communes sont moindres qu’attendues, notamment en raison d’une assiette de contribuables mal cernée, « c’est donc un coup d’épée dans l’eau pour les communes, mais un coup de poignard pour nous tous. Il faut tout remettre à plat, et 30 années ne seront pasde trop.»Ils vont demander à rencontrer Ericka Bareigts.

Anne Perzo-Lafond

SocialScolarisation des enfants « décasés » : 47 enfants en attente dans le sudPublié le lundi 5 septembre 2016 à 5:15

Des écoles surchargées sous la pression de l’immigration clandestine, des villageois qui filtrent les entrées réservées aux enfants de parents en situation régulière, des familles qui furent décasées mais qui reviennentpeu à peu dans le sud, quitte à changer de villages… C’était ça la rentrée scolaire à Mayotte. Une association se bat pour que les plus jeunes retrouvent le chemin de l’école.« Beaucoup d’enfants parmi les familles replacées n’arrivent pas à réintégrer les écoles », se plaint Kamaralay Djamil Saindou, représentant l’association Solution éducatrice.C’est lui qui avait alerté sur les premiers « décasages » dans le sud. Les mairies demandant des attestationsd’hébergement désormais contrôlées, avant d’inscrire les enfants, il a trouvé une solution : « Nous avons envisagé de créer une adresse postale et la leur fournir. Car 47 élèves ne sont toujours pas scolarisés dans la commune de Chirongui. »Une idée qu’il souhaite soumettre à la maire Roukia Lahadji, « mais elle a décommandé les 3 rendez-vous que nous avions pris. » Il nous explique aussi qu’il fut agent de la mairie, et ce n’est plus le grand amour avec son ancien employeur.

Des logements décents

Nous avons contacté la maire PS, qui évoque un emploi du temps dense, et qui fait part de ses avancées : «J’ai mis en place une organisation pour rescolariser une vingtaine d’enfants sur Tsimkoura et Chirongui. Je vais faire des mutations pour les scolariser dans les villages où habitent leurs parents, je ne gère pas ceux qui habitent ailleurs. »Roukia Lahadji fait par ailleurs un préalable des conditions de logement : « S’ils habitent dans des zones à risques, dans des cases plantées dans la mangrove ou dans les lits des rivières, je ne donne pas de suite favorable. On ne peut pas régler tous les problèmes en même temps, mais il faut bien commencer par des logements décents. »L’élue annonce avoir bouclé le financement des logements sociaux du lotissement Stade 2 à Chirongui.Kamaralay l’affirme, les familles qu’il suit ne sont pas dans des maisons en dur, « mais ils ne sont pas non plus dans des zones à risques. »Le problème de scolarisation n’est donc toujours pas réglé. Alors que ces familles, chassées par les habitants, sont en situation régulière. Certaines refont donc leur vie dans un autre village. Et alors que tous les pédopsychiatres s’accordent pour dire que de tels changements, doublé d’une absence de scolarisation, peuvent déstabiliser durablement les enfants, signes qui se retrouvent après à l’adolescence.

Anne Perzo-Lafond

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IntégrationRéunion fructueuse du syndicat SNUipp au ministère de l’Education nationale sur l’intégrationPublié le lundi 5 septembre 2016 à 5:00

Ce n'est pas la première fois que la problématique de l’ancienneté des instituteurs de la collectivité ayant basculé vers la fonction publique d'Etat est évoquée. Mais elle n'avait jamais été traitée. Ça va changer, affirme le ministère de l'Education nationale.Le SNUipp-FSU (syndicat du premier degré) mené par Regis Metzger, Luce Desseaux et Rivomalala Rakotondravelo, a été reçu le jeudi 1er septembre 2016 pendant plus d’une heure au ministère de l’Education Nationale par Jérôme Teillard, Directeur Adjoint de Cabinet de la Ministre, accompagné de Maud Phélizot, conseillère en charge des ressources humaines et de l’enseignement privé, Henri Ribieras, Chef deservice et adjoint à la directrice générale pour les questions transversales (DRH) et d’un représentant de la DGRH.L’unique point abordé portait sur la prise en compte de l’ancienneté générale de service des anciens instituteurs de la collectivité départementale de Mayotte (CDM) qui ont été intégrés dans la fonction publiquede l’Etat.Le SNUipp-FSU a rappelé les mobilisations qui ont eu lieu, les avancées que le gouvernement a accordées aux anciens agents de la CDM qui ont été intégrés dans les corps propres, la réunion au conseil supérieur de la fonction publique du mois de juillet dernier ainsi que la grève qui se prépare pour le 13 septembre.

Une procédure plus favorable

« Malgré les précédentes interpellations, le Directeur de Cabinet Adjoint de la ministre a avoué que c’est la première fois que le dossier allait être aussi sérieusement étudié », rapporte Rivo dans un communiqué. Jérôme Teillard a néanmoins insisté sur le fait que la procédure d’intégration des instituteurs de la CDM a été plus favorable que celle des autres anciens agents de la CDM. Ce que le SNUipp a contesté.Cependant, le dispositif qui sera mis en place devrait être plus rapide que pour les agents du département, qui ont dû passer par des corps passerelles. Le Directeur Adjoint de Cabinet s’est engagé à mobiliser les différents services concernés pour une analyse fine de la situation.« Une nouvelle rencontre avec les organisations syndicales aura lieu après que le ministère de l’Education Nationale se sera accordé avec le ministère de la Fonction Publique et le ministère des Outre-mer », déclarele représentant du SNUipp.

Etudiants étrangers: possible mise en place d’un protocolePublié le vendredi 2 septembre 2016 à 14:12

A l'issue de leur manifestation ce mercredi 31 août, les étudiants étrangers voulaient être reçus à la préfecture de Mayotte. Le nouveau Secrétaire général, Eric de Wispelaere, avait demandé un peu de temps pour prendre connaissance du dossier. Un premier vrai échange a donc eu lieu ce vendredi à 11h.Ils ont défilé en chantant la MarseillaiseAnissa Abou Djanfar et ses comparses ont donc pris le temps d’expliquer les raisons de leur mobilisation, quitourne autour de l’impossibilité pour un Bachelier, né à l’étranger, mais ayant effectué ses études à Mayotte, de suivre des études supérieures. Le Centre universitaire demande en effet au minimum un récépissé, quantà la métropole, une carte de séjour est indispensable pour s’y rendre.Ils avaient anticipé la rentrée universitaire et pris leur plume début août pour adresser un courrier au préfet. Un de leur enseignant avait fait pareil, en insistant sur la qualité de ses élèves, et en interpelant le préfet sur une règlementation qui freine la réussite: « Est-ce vraiment l’esprit de nos lois ? »

Le vice-rectorat en relais

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C’est donc fort de ce questionnement qu’ils ont abordé le sous-préfet. « Il nous a expliqué qu’il allait mettre en place un protocole qui permettra à tout élève qui interpelle un proviseur sur sa situation, d’avoir la garantie que son dossier soit transmis au vice-rectorat, qui lui même interpellera la préfecture », rapporte Anissa Abou Djanfar.Une bonne nouvelle donc, mais s’ils ont l’impression d’avoir été entendus, « il semblait comprendre nos problèmes, et s’est justifié en évoquant un nombre important de fraudes », elle attend de voir, « l’ensemble nous sera présenté de manière plus formelle mardi prochain. Nous verrons à ce moment là. » Il y aura donc un examen au cas par cas. Une liste des 75 cas concernés a été remise au sous-préfet.« Ni optimiste, ni pessimiste », Anissa reste méfiante vis à vis de ce qu’elle considère n’être pour l’instant que « des paroles de politiques »… C’est malgré tout la première fois qu’une réponse est en passe d’être apportée sur ce sujet de fond.

Anne Perzo-Lafond

SocialFermeture des Allocations familiales pour cause de dégât des eauxPublié le vendredi 2 septembre 2016 à 15:32

Suite à un dégât des eaux, la Caisse de Sécurité Sociale de Mayotte (CSSM) informe son public que l’accueil sur le site des allocations familiales à Kawéni est suspendu jusqu’à nouvel ordre.Dans la nuit du jeudi 1er septembre à vendredi 2 septembre 2016, un important dégât des eaux a eu lieu dans les locaux des allocations familiales à Kawéni. Le rez-de-chaussée (réception du public) ainsi que le 1er étage de l’immeuble ont été totalement inondés et sont actuellement impraticables. En conséquence, la CSSM indique qu’elle est contrainte de fermer l’accueil du public jusqu’à rétablissement de la situation.Les prestations du mois de septembre 2016 seront versées aux dates prévues sur les comptes bancaires des allocataires. Dans cette attente, les allocataires pourront être reçus sur les autres sites des allocations familiales (Labattoir-Hôtel de ville) ainsi que les permanences de Sada (mairie annexe) et Hamjago (maison des services) aux jours et horaires habituels.La CSSM informera le public de la reprise de l’accueil des allocataires à Kawéni dès le rétablissement de la situation.

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Nouvelle manifestation du Collectif sur la régularisation Foncière et la fiscalité dérogatoire à Mayotte Par Emmanuel Tusevo

Le Collectif sur la régularisation Foncière et la fiscalité dérogatoire à Mayotte a organisé à nouveau une manifestation citoyenne le samedi 3 septembre 2016 à Mamoudzou.Plus de 200 personnes se sont rassemblées pour dire " NON" à un impôt confiscatoire et réclamer une sécurisation foncière.Les participants ont écouté avec gravité les différents orateurs qui ont martelé en français et en mahorais la revendication d'une fiscalité dérogatoire à Mayotte en 30 ans.Ces derniers ont affirmé que les mahorais étaient près de ce but. Ils ont rappellé à cet effet que la pétition relative à la régularisation foncière et à la fiscalité dérogatoire a recueilli plus de 17 000 signatures des habitaznts de Mayotte en avril dernier."Nous voulons un cadastre fiable avant l' application des taxes sur l' habitat et le foncier. ", ont - ils tous souligné.Ils ont annoncé que le repport établi à la suite de cette pétition a obtenu le soutien de nombreuses instances locales et nationales."Nous attendons avec beaucoup d'espoir, la décision de Michel SAPIN, Ministre des Finances et des Comptes publics conformément au courrier qu' il nous a adressé le 16 juin 2016.", ont affirmé les leaders du Collectif.

EMMANUEL TUSEVO DIASAMVU

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