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1 impact N°47 ÉTÉ 2015 Fotolia / Doris Heinrichs STRATÉGIE ET PQR Malgré son jeune âge, Dacia a déjà une belle histoire. Pouvez-vous nous la résumer ? NICOLAS MONNOT : Tout a démarré avec le rachat par Renault de Dacia, entreprise au départ roumaine. Par opportunité, il avait été décidé d’im- porter en France la Logan – premier modèle Dacia génération Renault – pour la propo- ser au réseau français de concessionnaires. C’était une voiture très simple, a minima, au design et à la mécanique élémentaires. Purement fonctionnelle, mais sûre et dotée de la garantie constructeur, elle s’est impo- sée en concurrence au marché de l’occa- sion, mais aussi comme la 2 e voiture pour remplacer la vieille auto du foyer. La Logan était certes déconnectée de tout affect parti- culier, mais elle répondait aux attentes d’une clientèle contrainte sur les prix et ouverte à une logique assu- mée pour le low cost automobile. En 10 ans seu- lement, tout a changé. D’abord, la gamme s’est fortement élargie, avec désormais 6 modèles. Le design, qui était un critère de rejet, s’est métamorphosé. Dacia, ce sont maintenant de jolies autos, reconnues comme telles. Concernant les prestations techniques et de service que demandent les clients, la marque s’aligne désormais sur n’importe quel véhicule généraliste : navigation embar- quée avec écran tactile, téléphonie Bluetooth, régulateur de vitesse… tout cela avec des technos éprouvées. Voilà comment Dacia est passé, en 10 ans, de la 2 e voiture “utilitaire” d’appoint à la voi- ture principale du foyer. La Sandero n’est pas par hasard l’une des stars du marché français, tout comme le Duster, qui est un phénomène. Dacia ressort parmi les véhicules les plus fiables. Ce sont des véhicules à la techno- logie éprouvée, simple, récupérée de la gamme Renault, avec un niveau de qualité et de durabilité incroyable. En rapport qua- lité-prix, nous sommes objectivement imbat- tables et veillons scrupuleusement à le rester. Avec un modèle Dacia, le client ne renonce donc à rien. Fini la “sous-voiture” : 74% D’IMPACT Annonceur : TERRES OLÉO PRO Dispositif PQR 66 : 1 PAGE QUADRI Période : FÉVRIER 2015 Responsable annonceur : FLORENCE DOAT MATROT Agence conseil : OUT OF BOX Responsable agence conseil : PATRICE MATHIEU Agence média : COSPIRIT MEDIA TRACK ÇA BOUGE Toutes les news de la presse quotidienne régionale PAGE 3 MA PQR À MOI Olivier Delacroix parle avec l’accent PAGE 4 SUITE EN PAGE 2 En 10 ans seulement, tout a changé. N o 47 ÉTÉ 2015 LE SCORE L’INFORMATION A RENDEZ-VOUS AVEC LA COMMUNICATION impact l’acte de décision ne relève plus pour lui d’un achat low cost et un peu “triste”, mais d’un choix de consommation malin et assumé, dans lequel intelligence et plaisir ont toute leur place. Pour occuper la 5 e place des constructeurs en France, les consommateurs vous ont manifestement suivis… N. M. : Tout ce travail de transformation fait sur la marque a trouvé son écho dans l’émer- gence d’un mouvement profond qui s’opère chez le consommateur. NICOLAS MONNOT Renault et Dacia. Directeur marketing France La couverture du cahier 4 pages PQR 66, paru le 8 avril 2015. Conseil et coordination: Publicis / Le Garage Création: Marcel Paris Conseil média: OMD Du haut de ses dix ans, aux côtés de constructeurs plus que centenaires et de marques importées présentes depuis des années, Dacia se retrouve au 5 e rang (4 e hors flottes professionnelles) des marques automobiles vendues en France, marché particulièrement concurrentiel… Sur ces 10 ans, Nicolas Monnot nous apporte explications et souffle marketing. 10 ANS DACIA LE CARTON D’ANNIVERSAIRE

Newsletter Impact n°47

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Page 1: Newsletter Impact n°47

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STRATÉGIE ET PQR

Malgré son jeune âge, Dacia a déjà une belle histoire. Pouvez-vous nous la résumer ?NICOLAS MONNOT : Tout a démarré avec le rachat par Renault de Dacia, entreprise au départ roumaine.

Par opportunité, il avait été décidé d’im-porter en France la Logan – premier modèle Dacia génération Renault – pour la propo-ser au réseau français de concessionnaires. C’était une voiture très simple, a minima, au design et à la mécanique élémentaires. Purement fonctionnelle, mais sûre et dotée de la garantie constructeur, elle s’est impo-sée en concurrence au marché de l’occa-sion, mais aussi comme la 2e voiture pour remplacer la vieille auto du foyer. La Logan était certes déconnectée de tout affect parti-culier, mais elle répondait aux attentes d’une clientèle contrainte sur les prix et ouverte

à une logique assu-mée pour le low

cost automobile.En 10 ans seu-

lement , tou t a changé. D’abord, la gamme s’est

fortement élargie, avec désormais 6 modèles. Le design, qui était un critère de rejet, s’est métamorphosé. Dacia, ce sont maintenant de jolies autos, reconnues comme telles. Concernant les prestations techniques et de service que demandent les clients, la marque s’aligne désormais sur n’importe quel véhicule généraliste : navigation embar-quée avec écran tactile, téléphonie Bluetooth, régulateur de vitesse… tout cela avec des technos éprouvées.

Voilà comment Dacia est passé, en 10 ans, de la 2e voiture “utilitaire” d’appoint à la voi-ture principale du foyer. La Sandero n’est pas par hasard l’une des stars du marché français, tout comme le Duster, qui est un phénomène.

Dacia ressort parmi les véhicules les plus fiables. Ce sont des véhicules à la techno-logie éprouvée, simple, récupérée de la gamme Renault, avec un niveau de qualité et de durabilité incroyable. En rapport qua-lité-prix, nous sommes objectivement imbat-tables et veillons scrupuleusement à le rester.

Avec un modèle Dacia, le cl ient ne renonce donc à rien. Fini la “sous-voiture” :

74�% D’IMPACTAnnonceur : TERRES OLÉO PRODispositif PQR 66 : 1 PAGE QUADRIPériode : FÉVRIER 2015Responsable annonceur : FLORENCE DOAT MATROTAgence conseil : OUT OF BOXResponsable agence conseil : PATRICE MATHIEUAgence média : COSPIRIT MEDIA TRACK

ÇA BOUGEToutes les news de la presse quotidienne régionale

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MA PQR À MOIOlivier Delacroix parle avec l’accent

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SUITE EN PAGE 2

En 10 ans seulement, tout a changé.

No�47ÉTÉ 2015

LE SCORE

L’INFORMATION A RENDEZ-VOUS AVEC LA COMMUNICATION

impact

l’acte de décision ne relève plus pour lui d’un achat low cost et un peu “triste”,

mais d’un choix de consommation malin et assumé, dans lequel intelligence et plaisir ont toute leur place.

Pour occuper la 5e place des constructeurs en France, les consommateurs vous ont manifestement suivis…N. M. : Tout ce travail de transformation fait sur la marque a trouvé son écho dans l’émer-gence d’un mouvement profond qui s’opère chez le consommateur.

NICOLAS MONNOTRenault et Dacia.

Directeur marketing France

La couverture du cahier 4 pages PQR 66,

paru le 8 avril 2015.Conseil et coordination�:

Publicis / Le GarageCréation�: Marcel Paris

Conseil média�: OMD

Du haut de ses dix ans, aux côtés de constructeurs plus que centenaires et de marques importées présentes depuis des années, Dacia se retrouve au 5e rang (4e hors flottes professionnelles) des marques automobiles vendues en France, marché particulièrement concurrentiel…

Sur ces 10 ans, Nicolas Monnot nous apporte explications et souffle marketing.

10 ANS DACIALE CARTON D’ANNIVERSAIRE

Page 2: Newsletter Impact n°47

2 impact N°�47 ÉTÉ 2015

STÉPHANE GAILLARDDirecteur exécutif du Garage(coordination des entités Publicis France pour le groupe Renault)

« Chez Dacia, ils ont une vraie capacité à “switcher” entre les principes et les logiques de travail pour Renault et pour Dacia. C’est très agréable, on est sur deux univers très différents. »

« Dacia joue son rôle d’agitateur, de trublion, de poil à gratter du marché auto. La communication Dacia consiste à partir des stéréotypes publicitaires du marché automobile pour mieux les secouer et en jouer à contre-pied. Cela crée une deuxième lecture décalée, qui dessine l’esprit Dacia, avec toute la connivence qui va avec pour rassembler la marque et son public de consommateurs. La trace, c’est : on est d’accord entre nous, pas besoin des clichés éculés et du grand barnum publicitaire pour se comprendre en Dacia ! Il y a un esprit communautaire Dacia qui est sous-jacent. Les clients sont les premiers prescripteurs de la marque. »

« Le trublion, le poil à gratter

du marché auto »

« L’enjeu de la création (Marcel), c’est de travailler ce ton, ce format d’expression, ce style décalé Dacia, qui ne laisse personne indifférent. Un territoire précieux pour la marque, car il s’agit de jouer avec pertinence l’effet miroir, de valoriser la liberté d’esprit des clients eux-mêmes quant à leur approche de l’automobile. »« La vérité sort de la bouche des enfants de 10 ans : pour ces trois petits formats TV en 5’’ (avec une version plus longue de 12’’ pour la version en ligne), les démonstrations étaient ultra

simples. Le fait que ce soit des enfants qui singent des situa-tions d’adultes, cela donnait tout son relief au message. Très effi cace et complémentaire du fi lm viral en caméra cachée ! »« Il y a un affect propre à la marque, et je sais que les concessionnaires étaient particulièrement contents de cette grande fête des 10 ans. De façon générale, ils sont très à l’écoute de tout événement Dacia, car la marque a cette caractéristique d’être très réactive à la communication, de faire effi cacement se déplacer les gens, avec, au fi nal, un taux de transformation commerciale qui est bon en concessions. »

LE DISPOSITIF 10 ANS EN 3 ACTESACTE 1�: BUZZ NUMÉRIQUELe 1er avril, les enfants sont joueurs. Un film Internet en vraie caméra cachée. Imaginez des enfants conduisant une Sandero (truquée bien sûr !) sous les yeux interloqués et hagards des adultes voyant ces jeunes pilotes en goguette au péage, à la station-service ou dans les rues de Marseille ! Jeunesse, impertinence, sûreté de soi… le buzz Internet a été phénoménal sur les réseaux sociaux.

ACTE 2�: NOTORIÉTÉ, CÉLÉBRATION ET IMAGEUne puissante campagne TV dès le 2 avril. La voie de l’impertinence des enfants, en formats 5’’ et 7’’ avant le spot. Les voix off de ces enfants pour porter 2 spots de 30’’ qui préexistaient chez Dacia (frugalité marketing oblige).

ACTE 3�: ÉVÉNEMENT, APPROPRIATION ET “DRIVE TO STORE”. Le cahier 4 pages PQR 66, le 8 avril, qui portait un jeu-concours. Un plan numérique massif, au cœur duquel :WEB 66 : 48 sites Internet des journaux,MOB 66 : format Promax, pour la 1re fois pro-posé sur appli mobile (43 applis concernées).

ESPRIT DACIA ET POLITIQUE COMMERCIALEDans un marché très actif promotionnellement, acheter une voiture est un peu angoissant. Pour payer le bon prix entre toutes ces offres et tous ces prix, pas le choix que de s’y coller, d’y passer du temps, de faire le tour des concessions.Avec Dacia, ce travail du bon prix est fait : la politique consiste à proposer d’entrée des prix nets de remises et négos. L’idée même de remise est constitutive du même prix net, stable et homogène partout.

POUR LE CLIENT�: clarté, quiétude et gain de temps, apaisement et confi ance la valeur du véhicule clairement étalonnée sur le marché de l’occasion

POUR DACIA�: un prix, un seul, jamais dégradé, car affranchi de la surenchère promotionnelle ambiante le moyen de protéger l’image et la valeur de la marque

LE PIQUE-NIQUE ANNUEL D’UNE COMMUNAUTÉPrès de 15 000 possesseurs de Dacia se retrou-vant pour un pique-nique, imaginez le parking ! Initié au départ par un fan-club de clients, ce grand rassemblement annuel est devenu une institution. Dacia valorise et encourage désormais cet événement, qui est et reste celui des clients… Juin 2015 : à Paris, au Zénith, puis à Nantes et à Lyon, un événement familial gratuit et particulièrement festif, avec la grande comé-die musicale Love Circus customisée “10 ans seulement” En 2014, le pied de nez Dacia relevait du lieu : pique-nique au Haras de Jardy à Marnes-la-Coquette, l’une des communes les plus riches de France !

VERBATEAM

STRATÉGIE ET PQR

Si c’est toujours l’objet de plaisir et de statut qui demeure la motivation d’achat dominante pour le marché automobile, un phénomène s’affirme et se développe en parallèle. Le consommateur prend de la dis-tance, porte un regard nouveau, à la fois éco-nomique et philosophique, sur la voiture et son usage. Il fait des choix d’arbitrage de consommation qu’il applique à l’automobile.

Il se dit : « Avec 3 ans de garantie et des prestations égales à celles d’autres catégo-ries de voitures généralistes, mais à un prix rationnel hyper compétitif (qui lui permet avec Dacia d’avoir la catégorie A au prix de la B), alors, que vouloir de plus ?! » Il dégage ainsi du budget pour aller en vacances, payer l’école des enfants, s’offrir de bons restos…

Pour défendre un tel positionnement de marque, y a-t-il une conduite marketing particulière ?N. M. : C’était notre volonté de ne pas rester canton-nés dans la rubrique de l’achat low cost contraint et “secondaire”. Mais la réalité est que l’intel-ligence des consommateurs a terriblement accéléré les choses !

Le marketing Dacia consiste à accompa-gner et à valoriser ce mouvement profond amorcé par le consommateur lui-même. Il faut que le client continue de ne renoncer à rien, et surtout pas au prix Dacia.

Par exemple, le dan-ger serait pour nous de commencer à enrichir les véhicules, de les com-plexifier et de les aug-menter un peu en coût. Ce serait risquer de diluer, voire de dissoudre, la p r o m e s s e f o n d a m e n -tale. Achat malin, fruga-lité financière, c’est ce que nous nous app l i -quons à nous-mêmes pour la conduite marketing-

communication de Dacia !Nos concurrents rigolaient bien aux débuts

de Dacia… Maintenant, moins, parce que la marque répond parfaitement à ce solide courant de fond sociétal.

Et ces 10 ans, alors ? Quelles étaient les ambitions de la communication ?N. M. : Quand on n’a que 10 ans sur le marché automobile, face à des marques souvent plus que centenaires, on n’a qu’une chose à faire a priori, c’est se taire !

Mais, avec tout ce parcours déjà réalisé, Dacia se devait de faire exception pour reven-diquer l’impertinence de son âme d’enfant.

En l’absence d’un événement de marque fort en 2015, cet anniversaire s’est imposé comme l’événement autosuffi sant de la com-munication. Jeunesse, succès, état d’esprit de marque préservé et assumé… Avec ce ton

publicitaire Dacia décalé, qui fait écho et valorise la démarche d’achat malin de nos clients, notre but

était de délivrer un message complet de valo-risation de la marque.

Nous avons sorti une série limitée 10e anni-versaire, transversale sur les 6 modèles de la gamme. Porté par des comédiens de 10 ans, Dacia a proposé l’archétype de l’opération globale puissante 360° (voir encadré).

Entre PQR 66, WEB 66 et MOB 66, vous avez largement capitalisé sur l’audience de la PQR.N. M. : Dans le dispositif numérique global très important, les marques de PQR nous ont apporté toute leur puissance conjuguée et multicanale. Au cahier 4 pages dans les titres s’ajoutait notre double présence en WEB 66 (les 48 sites Internet des journaux) et en MOB 66 (43 applications smartphones).

Nous avons bien travail lé avec 366, puisque c’est la première fois que le for-mat Promax a été appliqué dans une ver-sion mobile. Pour le prospect, profiter, sur son smartphone, de ce triptyque message image – accès vidéo – géolocalisation (pour le guider sur la concession Renault/Dacia

la plus proche), ce n’est pas rien. J’ajoute que, de tous les sites sur lesquels nous étions présents, c’est le WEB 66 qui

s’est distingué par un taux de clic effectif de 1 %, ce qui est très au-dessus des standards.

L’ensemble du dispositif 10e anniversaire n’aurait pas eu de sens sans la PQR.

C’est très satisfaisant qu’une telle politique “drive to store” prenne appui sur la puis-sance, le statut, l’affi nité et la crédibilité des marques PQR.

Qu’en retenez-vous ? Quels résultats de ventes dans le réseau ?N. M. : Commercialement, cela a cartonné !

Ce 10e anniversaire a connu un trafi c utile impressionnant. Il a généré le 2e meilleur mois de commandes pour la marque en 10 ans ; le meilleur mois de commandes pour la nouvelle Sandero depuis son lancement.

Avec un excellent ratio coût de l’opéra-tion / retombées commerciales effectives, cet anniversaire restera comme une opéra-tion d’exception pour Dacia.

Propos recueillis par Emmanuel de [email protected]

Choix malin, arbitrage de consommation.

Vous ne renoncez à rien.

La double-page intérieure du cahier 4 pages...

WEB 66. Exemple d’un habillage de page d’accueil.

Et la dernière de couverture.

Spot 5’. 10 ans seulement et déjà le soleil couchant de la corniche.

10 ans et déjà au volant de la Duster. Film viral tourné en caméra cachée.

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3impact N°�47 ÉTÉ 2015

La Dépêche du Midi lance son appli Tourisme Le célèbre Guide Été de La Dépêche est mainte-nant adapté sur mobile et téléchargeable sur l’App store. Patrimoine culturel et naturel, balades et ran-données, sites incontournables à visiter, festivals, restaurants… Ce contenu particulièrement riche est d’autant plus valorisé grâce à la géolocalisa-tion : les mobinautes/visiteurs trouveront t rès faci lement les l ieux à vis i ter en fonction de leur positionnement.

Un site de sports pour le groupe Centre FranceLe groupe Centre France - La Montagne a lancé, le 2 avril, sports-auvergne.fr, le premier pure player régional dédié à100 % au sport. Outre l’actualité des équipes phares et des person-nalités sportives de la région (ASM, Clermont Foot, l’équipe de basket de la JAV), cette inno-vation éditoriale a aussi pour ambition d’em-brasser tout le prisme du sport et de ses valeurs avec des analyses, des comptes rendus ou les résultats des événements de la région.Le site de sports-auvergne.fr a déjà enregis-tré, après un mois d’exploitation, 90 000 visites pour plus de 330 000 pages vues. Une appli-cation est également disponible sur App Store et Google Play.

La PQR intègre Internet GlobalLa PQR intègre la mesure 3 écrans “Internet Global” de Médiamétrie. Les premiers résultats portent sur la période d’avril et montrent que 22,4 millions d’internautes sont en contact chaque mois avec une marque

de PQR via un ordina-teur, une tablette ou un mobile, soit une cou-verture de 43,4 % de la population française.

Midimédia Publicité se positionne sur le marketing direct Midimédia s’associe à ADL Partner pour proposer une solution drive to store permettant aux annonceurs locaux de mener des campagnes de marketing direct simples et adaptées à leur secteur d’activité ainsi qu’à leur zone de chalandise. Dès le mois d’avril ont été mis en place des packs E-MAIL ou SMS englobant toutes les étapes de mise en œuvre d’une campagne : le conseil, la location des adresses, le routage des messages et la remise d’un reporting. Cette offre, aux tarifs com-pétitifs, répond aux besoins des annonceurs et prospects pour géné-rer du trafic en point de vente via des solu-tions web et mobile complémentaires aux actions de communi-cation traditionnelles.

Le premier supplément “Luxe” de La Provence

Le Groupe La Provence a lancé, le 13 mai 2015, son 1er supplément “Luxe”, un numéro d’exception dédié aux plus belles adresses de la région.Tiré à 35 000 exemplaires, ce magazine grand format de 36 pages est offert avec le quotidien La Provence et diffusé dans des lieux sélection-nés de la cité phocéenne, tels que les spas, les hôtels, les restaurants, les cliniques ou les cercles sportifs.Ce magazine reprend les tendances et les marques référentes en matière de joaillerie, maroquinerie, bien-être, mode, high-tech, décoration, archi-tecture, art, automobile et nautisme.Fort du succès de ce 1er numéro, La Provence prend d’ores et déjà ren-dez-vous avec ses lecteurs en fi n d’année, pour la prochaine parution.

Le Web66 en pôle sur le panel tablettesLes premiers résultats de la mesure d’audience sur tablettes sont sor-tis sur le panel dédié de Médiamétrie. C’est la 1re mesure automatique des usages de la tablette qui utilise une nomenclature comparable à celle de l’audience de l’Internet fi xe et mobile. Les 1 000 panélistes inter-rogés, âgés de 15 ans et plus, mesurent le surf réalisé uniquement via une connexion wi-fi avec une restitution trimestrielle des résultats. Sur ces 1ers résultats, le Web66 se positionne d’emblée à la 1re place des offres d’infos/actualités avec plus de 5,3 millions de VU mensuels, soit une pénétration de 27,8 %.

366 lance #Global TerritoireLa régie a lancé courant mai sa place de marché privée, forte de 48 sites et de 18 millions de visiteurs uniques par mois. Cette place de marché permet-tra d’acheter des espaces premium en temps réel et de cibler au mieux les campagnes des annonceurs. Cette offre sur mesure combine 5 formats premium, des contextes éditoriaux comme les news, le sport ou encore l’économie, et des segments d’audience exclusifs pour une communication unique.

NICE-MATIN INNOVE POUR LE 68E FESTIVAL DE CANNES Nice-Matin Festival, nouveau journal gratuit de 16 pages a été distribué à 5 000 exemplaires sur la croisette durant le Festival de Cannes. En plus de couvrir tous les aspects de l’événement, autant l’actualité de la compétition que les nuits cannoises, une couverture digitale du Festival était proposée sur les réseaux sociaux, avec des présentations de fi lms sur Instagram ou encore des critiques de journalistes sur Vine.

SUD OUEST LANCE SON PORTAIL ÉCONOMIQUEAprès avoir renforcé son offre éditoriale en dédiant une page spéciale à l’économie régionale chaque lundi et chaque jeudi, Sud Ouest propose un portail d’informations et de services de référence

à destination des entreprises, des décideurs et des particuliers sur sudouest.fr.

OUEST-FRANCE EMBARQUE LE MONDE MARITIME Le 3 juin est paru le premier supplément “La mer, notre avenir”, qui sera publié dans le journal. L’objectif de cette publication : s’adresser au grand public et aux décideurs pour aborder tous les enjeux liés à la mer (alimentation, santé, transport, loisirs, énergie, environnement). Sur la base de trois rendez-vous annuels, disponibles en version numérique, ces suppléments disposeront d’une audience nationale.

LE TÉLÉGRAMME S’ENGAGE POUR LA LUTTE CONTRE LE CANCERLe Groupe Télégramme a décidé de se mobiliser autour de l’objectif de faire diminuer le nombre de cas de cancer en Bretagne, en proposant des campagnes de communication ciblées. Compte tenu de la forte audience du Groupe Télégramme (près d’un million de contacts quotidiens), cette action, qui a pour objectif d’informer, d’alerter et de faire prendre conscience, pourra créer une dynamique durable avec des effets sensibles sur le nombre de décès liés au cancer.

ÇA BOUGE

La Voix Médias se lance sur le NativeLa Voix Médias dispose d’une offre Native Advertising composée de 3 produits : le publi-info, la publication suggérée et le webdoc publicitaire. Ces 3 produits sont proposés sur l’ensemble des supports. Ce nouveau format publicitaire numérique intègre la communication au cœur du contenu édito-rial. Il permet aux annonceurs de profi ter pleinement de la puissance de la marque éditoriale tout en prenant soin de ne pas perturber la compréhension du contenu par les internautes. Elle s’enrichit également d’une offre Data qui permettra de cibler en temps réel les campagnes publicitaires en fonction des comportements des internautes.

offres d’infos/actualités avec plus de 5,3 millions de VU mensuels, soit une

grâce à la géolocalisa-tion : les mobinautes/visiteurs trouveront t rès faci lement les l ieux à vis i ter en fonction de leur

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STABILO DATES

En se comparant à ses concurrents, Leclerc rassure ses clients en se positionnant comme étant le moins cher, même pendant les vacances.

Volkswagen challenge les plus petits pour s’appliquer à l’écriture avant la rentrée des classes. Aux parents d’être de bons éco-conducteurs !

Avec son offre ACCESS ÉVÉNEMENT, PQR 66 propose à tous les annonceurs un tarif exceptionnel de 178 k€ nets s’ils communi-quent en pleine page quadri sur un événement calendaire.

À VENIR :RENTRÉE DES CLASSES1ER SEPTEMBRE 2015

BRADERIE DE LILLE 5 ET 6 SEPTEMBRE 2015

OUVERTURE DE LA COUPE DU MONDE DE RUGBY 18 SEPTEMBRE 2015

JOURNÉES EUROPÉENNES DU PATRIMOINE19 AU 20 SEPTEMBRE 2015

SEMAINE DU GOÛT12 AU 18 OCTOBRE

… Toutes les dates sur demande à votre régie

Exemples de campagnes PQR 66 pour les vacances d’été

MA PQR À MOI

Votre PQR à vous, c’est où ?Je suis d’Évreux, où ma famille vit. Très attaché à ma région, je suis resté un Ébroïcien revendiqué et j’y suis dès que je le peux.Évreux est une typique petite ville de province de 50 000 habitants, avec sa ZUP, son milieu bour-geois et ses frottements sociaux, ses réfl exes des uns et des autres pour se protéger, et où tout se sait. Je me suis construit là-bas, dans ce microcosme, où j’avais ma petite notoriété d’avant-centre de l’EAC (Évreux athlétique club football), puis de chanteur du groupe Black Maria. Je n’aurais pas été le même homme en venant d’ailleurs.J’ai découvert la presse à 15 ans en achetant mon premier Paris Nor-mandie. De 21 à 23 ans, j’y ai fait mes débuts de journaliste comme responsable de la rubrique “Palais de Justice” pour suivre les procès au tribunal correctionnel. Pour-quoi cet homme-là se retrouve-t-il devant un juge pour avoir conduit avec 2 grammes, ou pour avoir cambriolé ? Rien de mieux qu’un tribunal pour écouter, ressentir et comprendre les failles des uns et des autres. J’avais déjà ce grand intérêt pour l’humain. Paris Normandie m’a clairement orienté vers le travail d’écoute et vers mon intérêt à savoir radiographier et relater clai-

rement le réel, les personnes qui sont en face de vous…

Journalisme et presse régionale : quelles spécifi cités ?Il y a en province un schéma : non seulement tout le monde lit la presse locale, mais il y a énormé-ment d’acteurs témoins de l’infor-mation même qui y est délivrée. Il en ressort une exigence propre au lecteur de PQR quant à la rigueur et à la justesse des retours d’info qu’il attend. On ne joue pas avec la force du microcosme, on ne peut pas tri-cher, se la raconter comme ça à la légère, ni tomber dans l’exercice de style gratuit. Le lecteur peut parallèlement regarder BFM, lire

Libé ou Le Monde, mais, devant l’information sur son lieu de vie, il est aux aguets sur l’idée de vérité.

Des parallèles avec votre Dans les yeux d’Olivier ?Pour le journaliste PQR, savoir écouter puis écrire proche, c’est endosser chaque jour cette pres-sion quotidienne, cette exigence très PQR du parler juste, vrai et à tout le monde. Pour moi, c’est la base, la règle d’or du métier de journaliste, non ?Avec ce que je fais pour France 2, en allant à la rencontre de per-sonnes et de dest inées, c’est « moins on me voit et mieux je me porte ». Le parallèle avec la presse locale tient de cette façon de faire, fondée sur la parfaite confi ance qui doit s’établir préalablement entre le sujet et le journaliste.Au final, il en va de la confiance que le téléspectateur prête à son émission, tout comme de celle que réserve le lecteur à son jour-nal local.

Une anecdote avec la PQR ?Dans le cadre d’un tournage pour Dans les yeux d’Olivier à Perpi-gnan, le hasard m’a fait passer un moment chez un couple ami de la personne que je suivais. Lui était ancien policier, et sa femme res-tauratrice. Tous les deux étaient

les correspondants de L’Indépen-dant pour relater au journal ce qui se passait, avec photos et articles, pour deux ou trois petits bleds. Toutes les semaines, ce travail, non seulement les passionnait, mais leur faisait jouer un vrai rôle au niveau local. Ils étaient fi ers de me montrer leurs parutions. C’est un simple mais très beau signe de l’importance qu’a l’information locale.On sait ce qui se passe à Bamako, en Syrie… mais dans la ville d’à côté ? Les gens ont besoin de savoir qu’ils existent. Qui va par-ler de ce qui s’est passé chez moi, à Perpignan, à Évreux, à Mont-Saint-Aignan, à Quimperlé, à Mari-gnane… ? Qui va parler de nous ? La presse régionale.

Un petit slogan ? Allez, juste un !“C’est arrivé près de chez toi.”Et l’image, ce serait une mosaïque de visages, du jeune footeux au chef d’entreprise, en passant par la responsable des costumes de la Saint-Jean…

Propos recueillis par Emmanuel de Chevigny.

[email protected]

Dans les yeux d’Olivier : prochaine session en septembre prochain sur France 2

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DANS LES YEUX DU LECTEUR

OLIVIER DELACROIXJournaliste, réalisateur, producteur TV(Dans les yeux d’Olivier – France 2)

La saison des barbecues est annoncée par Pavillon France. N’hésitez pas à oser les brochettes de la mer !

POUR TOUT CONTACT AVEC LA RÉDACTION D’IMPACT PQR�:01�80�48�92�[email protected]À VENIR SURWWW.366.FR

MESURES D’AUDIENCE• One Global 2015 V2Audipresse a dévoilé les résultats de la nouvelle vague de l’étude One Global. La V2 est parue le 9 juillet 2015.

• One 2014 Les tout derniers chiffres de l’étude unique de mesure d’audience de l’ensemble des familles de presse (magazines et quotidiens) ont été publiés le 9 avril.

MESURES D’AUDIENCE SUR CIBLES DÉCIDEURS• Audipresse Premium 2014. Les résultats de l’étude d’audience de

référence menée par Audipresse sur les cibles décideurs économiques et les Français à hauts revenus. PQR 66 est la 1re marque identifi ée pour parler à cette cible, avec 74 % de pénétration.

• Les décideurs de la grande distribution (Ipsos).

• Les décideurs des collectivités territoriales (Ipsos).

MESURES DE L’EFFICACITÉ• Suivi Impact 66 : plus de 3 000 post-tests d’impact (Ifop). Base enrichie chaque année (IREP : “La persistance mémorielle” ; IREP 2009 : “Effi cacité court terme et long terme”).

• PQR-PRO : post-tests d’impact (TNS Sofres) sur la cible des décideurs en

entreprise (IREP : “CAWI et décideurs”).

• PQR-SCAN : post-tests sur les ventes, marchés-tests (Consoscan, Marketing Scan…).

MAINTENANT SUR WWW.366.FRLes Unes du jour chaque matin, les études, les standards d’impact, les tarifs, les diffusions,

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