A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2010 : 95ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc96 ans de déni : ça suffit !

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VEILLE MEDIA

Vendredi 14 janvier 2011

Retrouvez les news sur :http://www.collectifvan.org

SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

Turquie: L’assassin du journaliste Hrant Dink pourrait être relaxé Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous présente ce Communiqué de Presse publié sur le site de Reporters Sans Frontières en date du 11 janvier 2011. "Reporters sans frontières exprime son indignation et sa consternation face à la possible relaxe d’Ogün Samast, assassin présumé d’Hrant Dink, directeur de publication de

l’hebdomadaire Agos, tué par balles le 19 janvier 2007, devant les locaux de son journal."

Revue de Presse de l'I.A.C.S [Institut Assyro-Chaldéen-Syriaque] - 10 janvier 2011 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – "Yilmaz Kerimo, député suédois d'origine assyro-chaldéenne-syriaque, a proposé une motion au sujet de l'éventuelle autonomie des Assyro-Chaldéens-Syriaques d'Irak (chrétiens d'Irak). Cette motion devait lancer une commission en vue d'offrir une zone franche sous les auspices de l'ONU." Le Collectif VAN diffuse ici la Revue de Presse de l'I.A.C.S [Institut Assyro-Chaldéen-Syriaque] du 10 janvier 2011.

Lyon : "Et si l'histoire ottomane était avant tout une histoire européenne?" Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Notons que le slogan répété à l'envi de "L'Histoire aux historiens" ne concerne visiblement pas cette conférence qui invite Madame Huguette MEUNIER-CHUVIN, Chargée de mission auprès du Commissariat Général de la Saison de la Turquie en France : une personnalité sans nul doute de grande valeur mais dont nous ne connaissons pas les travaux scientifiques concernant l'histoire ottomane. A tout le moins, nous avons pu constater que le dossier de presse de la Saison de la Turquie en France ne comportait pas une seule fois le mot "arménien", et que cette Saison - qui aurait dû être l'occasion de rendre justice et hommage aux contributions architecturales, artistiques, littéraires, théâtrales, artisanales, etc. des fils de la nation arménienne dans l'Empire ottoman -, n'a été qu'une vaste opération de détournement d'héritage...

Presse arménienne : Revue du 12 janvier 2011 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous propose cette Revue de Presse parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie le 12 janvier 2011. "Le Maire d’Erevan a abordé avec le directeur régional de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) des questions relatives aux programmes réalisés sur financement de la BERD, notamment la sécurité et la modernisation du métro d’Erevan qui prévoit des investissements capitaux en deux tranches, ainsi que le traitement des déchets ménagers de Noubarachen (non loin de la capitale), rapportent Hayastani Hanrapétoutioun, Azg, et Haykakan Jamanak."

Collectif VAN : l'éphéméride du 14 janvier 2011 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien.

L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). «14 janvier 1921 -- Le mandat français en Cilicie et l'expulsion des Arméniens. Adana, 14 janvier 1921 : Lettre de Vahan Portoukalian à Kourken Tahmazian. Extraits : « Les événements ont fait que nous avons dû rester en plein Kémalistan. Il n’était pas possible de se dérober et de plaquer ici nos orphelins, sans rester avec eux. Sans doute environ 250 des orphelins arméniens ont pris la fuite et ont émigré avec la foule, mais il en reste encore ici 450 dont la plupart des tout-petits. Adana est devenu certainement plus turc qu’il ne l’était avant la guerre. » »

Sud-Soudan: El-Béchir pour une annulation de la dette extérieure Le président Omar el-Béchir n'a jamais promis à l'ancien président américain, Jimmy Carter, que le Soudan prendrait en charge la dette extérieure du Sud-Soudan en cas de séparation avec le Nord à l'issue du référendum en cours, indique un communiqué officiel.

L'info vue par la TRT (3) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "L'ancien ministre allemand des Affaires étrangères, Joschka Fischer, fait l'éloge de la Turquie. "Les efforts déployés par la Turquie pour résoudre les questions, sont très appréciés" a déclaré Fischer, martelant le rôle prééminent de la Turquie en tant que puissance régionale."

Trois Bulgares sont enlevés au Darfour Un équipage, composé de trois Bulgares, pilotant des avions pour le compte du Programme alimentaire mondial (PAM), a été enlevé au Darfour, dans l'ouest du Soudan, a-t-on appris jeudi.

L'info vue par la TRT (2) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Le président de la République Abdullah Gül s'est exprimé sur les propos de Mme Merkel critiquant la Turquie concernant la question chypriote. « Elle aurait dû se préserver de blesser les parties. Il incombe de grandes responsabilités aux grands puissances. Le secteur chypriote grec avait été accepté au sein de l'Union en violant les principes de l'UE ». a-t-il affirmé."

La presse informée sur Erzeroum, les relations gréco-turques Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Grigoris Delavekouras, a rappelé jeudi dans sa conférence de presse l'idée,

discutée en détail, lors de la visite à Erzeroum du ministre, Dimitris Droutsas, sur la convocation d'un sommet UE-Turquie après les élections à Ankara, afin que les partenaires européens renouvellent leur engagement sur l'adhésion à part entière de la Turquie.

L'UE signe un grand contrat gazier avec l'Azerbaïdjan L'Union européenne a signé jeudi un accord de grande envergure pour l'importation de gaz naturel d'Azerbaïdjan, afin de réduire la dépendance vis-à-vis des approvisionnements russes.

L'info vue par la TRT (1) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "A la Chambre des Lords britannique, La Turquie a été abordée sur la démarche de la Baronne chypriote turque Meral Ece."

Diplomatie: les ministres arménien, russe et azerbaïdjanais à Moscou fin janvier Une rencontre des ministres des Affaires étrangères arménien, russe et azerbaïdjanais Edouard Nalbandian, Sergueï Lavrov et Elmar Mamediarov est prévue le 24 janvier à Moscou, a annoncé vendredi aux journalistes le chef de la diplomatie arménienne.

Pas de guerres de religion en France ! Je reviens ce soir de la messe de Noël célébrée en l’église copte orthodoxe de Châtenay-Malabry. J’y allais pour deux raisons, toutes deux essentielles. La première c’est que la France a toujours été la protectrice traditionnelle des chrétiens d’Orient : c’est à cela que je dois aujourd’hui d’être Français, comment l’oublier ?

Dépêche de l'APA [ 14 jan 2011 11:55 ] - Agence de Presse d'Azer-baïdjan Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 14 janvier 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "« Le règlement du conflit de Haut-Karabakh est prolongé » a indiqué pour l’APA, le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso."

Pièce de théâtre sur le génocide arménien en Turquie Le célèbre acteur turc de théâtre, metteur en scène et producteur Haldun Dormen a l’intention de réaliser une pièce sur le génocide arménien, le 24 avril 2011.

Accord gazier majeur entre l’Union européenne et l’Azerbaïdjan José Manuel Barroso, le président de la Commission a profité hier de sa vi-site à Bakou pour signer cet engagement qui permet aux Vingt-Sept de di-versifier leur approvisionnement énergétique et réduire leur dépendance vis-à-vis de la Russie.

Nucléaire : «l'Iran est prêt à coopérer» avec l'Occident Les 21 et 22 janvier prochains, Iraniens et Occidentaux se retrouveront à Istanbul pour tenter de régler le différend sur le programme nucléaire mili-taire, dont Téhéran chercherait à se doter, comme l'en accusent Washing-ton et Paris.

L’Europe ne nous fait plus rêver Fin décembre, le romancier turc Orhan Pamuk disait son désenchantement à l’égard du Vieux Continent, longtemps érigé en modèle dans son pays. Un texte plus actuel que jamais, à l’heure où la Grèce prévoit de construire une clôture à sa frontière avec la Turquie.

Le Darfour ne doit pas être l'oublié du referendum soudanais Et si les projecteurs se braquent sur le sud Soudan, il est une région sou-danaise dont on ne parle plus ou presque : le Darfour. Un collectif de 17 Organisations Non-Gouvernementales tire la sonnette d’alarme face aux violences qui se poursuivent dans la région.Les ONG déplore une situation qui ne cesse de s'aggraver. Dans un communiqué elles recommandent vi-vement au Conseil de sécurité de l’ONU de réclamer des rapports publics réguliers sur la situation humanitaire et des droits humains au Darfour et sur l’ensemble du territoire soudanais.

Erevan facilite les échanges avec le Haut-Karabakh Le président arménien Serge Sargsian a signé jeudi des amendements à la Loi sur les traités internationaux, qui autorisent Erevan à conclure des ac-cords avec les pays non reconnus, notamment la république autoprocla-mée du Haut-Karabakh, a annoncé le service de presse du chef de l'Etat arménien.

Une manifestation au centre de rétention Réseau éducation sans frontières appelle aujourd'hui à une manifestation à 18 heures devant le centre de rétention de Nîmes pour demander la libé-ration de Vazgen, un enfant arménien de 6 ans, de son père David et de Vanine, la compagne de celui-ci. Cette famille a été arrêtée il y a une se-maine en Haute-Loire.

Afghanistan: les AWACS opéreront depuis la Turquie, confirme An-kara Le ministère turc des Affaires étrangères a confirmé que les avions-radar

AWACS de l'OTAN chargés de vols de surveillance au-dessus de l'Afghanis-tan afin de contribuer à la gestion de l'espace aérien de ce pays opéreront au départ de la base aérienne de Konya, dans le centre de la Turquie, a rapporté jeudi la presse turque.

INFOS COLLECTIF VAN

Turquie: L’assassin du journaliste Hrant Dink pourrait être relaxéInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous

présente ce Communiqué de Presse publié sur le site de Reporters Sans Frontières en date du 11 janvier 2011.

Reporters Sans Frontières

Turquie

Publié le mardi 11 janvier 2011.

Reporters sans frontières exprime son indignation et sa consternation face à la possible relaxe d’Ogün Samast, assassin présumé d’Hrant Dink, direc-teur de publication de l’hebdomadaire Agos, tué par balles le 19 janvier 2007, devant les locaux de son journal.

Ogün Samast avait été interpellé le 20 janvier 2007, à la gare routière de Samsun (Nord) alors qu’il tentait de se rendre dans la région de Trazbon. Il est détenu depuis lors dans la prison de type F de Kandira, au sud d’Istan-bul.

Il est inculpé avec 19 autres personnes, dont les commanditaires présu-més Yasin Hayal et Erhan Tuncel, pour l’homicide du journaliste et l’appar-tenance à un groupe terroriste. Cependant, le procès (en cours actuelle-ment) n’a pas permis d’identifier les vrais responsables au sein de l’appa-reil d’Etat.

Le 25 octobre 2010, la 14e chambre de la cour d’assises d’Istanbul a transféré le dossier d’Ogün Samast au tribunal d’assises pour enfants d’Is-tanbul, l’accusé étant âgé de 17 ans au moment des faits. Or, selon la loi sur les procédures pénales (CMK), un mineur ne peut être détenu plus de cinq ans s’il n’a toujours pas été reconnu coupable et que sa peine n’a pas été confirmée dans ces délais. Ogün Samast pourrait donc, en vertu de cette loi, être libéré en janvier 2012.

Le transfert du dossier d’Ogün Samast constitue un énième contretemps

dans le procès qui doit déterminer les responsables de la mort du journa-liste. Le 6 janvier 2011, l’avocate d’Hrant Dink, Fethiye Cetin, a publié un rapport dénonçant les trop faibles avancées du procès. Selon elle, il ne fait aucun doute que les forces de police et la gendarmerie de Trabzon ainsi que la police d’Istanbul et les renseignements généraux ont tout fait pour dissimuler les pièces à convictions qui pourraient établir leur éventuelle implication dans cette affaire. Elle a ainsi déclaré à Reporters sans fron-tières : “Le meurtre n’est pas l’affaire de trois ou cinq jeunes qui sont pas-sés à l’acte, poussés par des sentiments nationalistes. On ne peut pas non plus parler de quelques fonctionnaires qui se sont infiltrés au sein de l’Etat pour éliminer Hrant Dink. L’Etat est impliqué à tous les niveaux, à com-mencer par l’état-major de l’armée, la justice, le gouvernement, les forces de l’ordre, les médias, les forces paramilitaires ; tous les acteurs politiques ont joué un rôle dans son meurtre, pour le dissimuler ou pour empêcher que les véritables responsables ne soient identifiés.”

La poursuite, pour la deuxième fois, du journaliste Nedim Sener, auteur du livre “L’assassinat de Dink et les mensonges des renseignements”, prouve à quel point la recherche des commanditaires pose problème aux autorités turques.

Inculpé pour “atteinte au secret de la correspondance privée”, “insulte à la personne” et “tentative d’influencer le bon déroulement d’un procès”, le journaliste de Milliyet risquait jusqu’à 12 ans de prison. Il a heureusement été relaxé le 23 décembre 2010.

Les éléments d’enquête apportés dans son livre ont d’ailleurs été utilisés par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui a condamné la Turquie à 133 595 euros de dommages et intérêts pour avoir attenté au droit à la vie, à la liberté d’expression et à un recours effectif d’Hrant Dink. Le 14 septembre 2010, la CEDH a établi que les autorités turques n’ont pas pris les mesures nécessaires pour empêcher l’assassinat du journaliste et qu’aucune enquête efficace et indépendante n’a été menée pour déter-miner le rôle des fonctionnaires de l’Etat dans ce meurtre.

Les longueurs et les irrégularités qui entachent la procédure judiciaire ré-vèlent à quel point la justice turque peut être à deux vitesses : rapide à condamner les journalistes pour propagande d’une organisation terroriste, extrêmement lente à juger les coupables de l’assassinat de l’un d’entre eux. Reporters sans frontières s’alarme qu’en raison de la lenteur du pro-cessus judiciaire, l’assassin d’Hrant Dink, majeur depuis plus de deux ans, puisse être libéré sans avoir purgé de peine. L’organisation rappelle que le procès avait été tenu à huis clos jusqu’à la majorité d’Ogün Samast afin que ses droits en tant que mineur soient respectés. Il est extrêmement in-quiétant pour la lutte contre l’impunité qu’un tel criminel, qui n’a jusqu’à présent fait preuve d’aucun remord ou repentir, soit ainsi relaxé. Enfin, si

le déroulement du procès aboutit à sa libération, il est peu probable que les véritables commanditaires du meurtre soient jugés et condamnés. Alors que le 19 janvier prochain, les quatre ans de sa disparition seront commémorés, il est urgent que justice soit enfin faite à Hrant Dink et à sa famille.

La prochaine audience se déroulera le 7 février 2011.

http://fr.rsf.org/turquie-l-assassin-du-journaliste-hrant-11-01-2011,39280.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=50987

Collectif VAN : l'éphéméride du 14 janvier 2011Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La rubrique "Ephémé-

ride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle re-cense la liste d’événements survenus à une date donnée, à diffé-rentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’associa-tion suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

Ça s’est passé un 14 janvier (les événements sont clas-sés du plus ancien au plus récent) :

14 janvier 1903 -- France : Par décret du président de la République en date du 14 janvier 1903, est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'Honneur, Mme Veuve Maurice Carlier, née Emilie Thévenin. S'est fait remarquer par son courage et son dévouement dans les événements de Sivas en 1895. (Journal officiel, 15 janvier 1903.) Car-lier, Emilie. Au milieu des massacres, Journal de la femme d'un Consul de France en Arménie. Paris, Félix Juven, 1903. Imprescriptible.fr : PARIS. Félix JUVEN, éDITEUR, 1903 http://www.imprescriptible.fr/documents/carlier/

14 janvier 1915 -- Turquie, dans le village arménien de Satmants : Meurtres, pillages et enlèvements commis par les tchétés kurdes de l’O.S. [Organisation Spéciale], sous le commandement d’Ömer Naci, un cadre militaire du CUP, dans le kaza de Saray-Mahmudiye, situé sur la frontière avec la Perse. Du 15 décembre 1914 au 14 janvier 1915, ce sont les vil-lages arméniens de Hasaran le 15 décembre, Satmants le 20 décembre,

Akhorig et Hasan Tamran le 30 décembre, Avzarig le 14 janvier 1915, qui sont visés. (Barby, 1917:235-240 ; Kévorkian, 2006:278). Online Encyclopedia of Mass Violence: L’extermination des Armé-niens par le régime jeune-turc (1915-1916) http://www.massviolence.org/L-extermination-des-Armeniens-par-le-re-gime-jeune-turc-1915?artpage=5

14 janvier 1916 -- Les témoignages d’un déporté d’Ezeroum : « Nous ar-rivâmes à Souroudj le 24 septembre. Nous eûmes enfin une maison pour nous abriter. Nous prîmes un peu de repos et, en nous procurant de l’ar-gent venu de Constantinople et d’Alep, nous pûmes vivre jusqu’au 14 jan-vier 1916. Bien des gens moururent de maladie au cours du voyage, inca-pables de résister aux atroces privations qu’ils avaient dû subir. Le 14 jan-vier, par une froide journée d’hiver où la tempête de neige faisait rage, l’ordre arriva de transporter le convoi à Raka. Après avoir subi des souf-frances indicibles qui durèrent sept jours, nous arrivâmes enfin à Raka, sur le bord de l’Euphrate, couchant à la belle étoile. Nous demeurâmes 14 jours dans ce lieu. » J. Naayem, Les Assyro-chaldéens et les Arméniens massacrés par les Turcs. Documents inédits recueillis par un témoin oculaire, Paris, Bloud § Gay, 1920 Imprescriptible.fr : Récit d’un déporté d’Ezeroum, Saghérian, de Baïbourt, fait à Alep, le 16 décembre 1917 http://www.imprescriptible.fr/documents/naayem/d08.htm

14 janvier 1917 -- Une série de rapports (transmis par la Légation de Constantinople, dans son rapport n° 548 ; Archives, n° 5079) datés des 14 et 29 janvier, 7 et 29 février 1917, décrivent la destruction des Villages de la Mer Noire. Les persécutions anti-helléniques en Turquie depuis le début de la guerre européenne. D'après les rapports officiels des agents diplo-matiques et consulaires. PARIS, LIBRAIRIE BERNARD GRASSET, 1918 Imprescriptible.fr : Les Persécutions anti-helléniques en Turquie depuis le début de la guerre européenne, Chapitre III, Samsoun http://www.imprescriptible.fr/documents/grecs/p2c3.htm

14 janvier 1921 -- Le mandat français en Cilicie et l'expulsion des Armé-niens. Adana, 14 janvier 1921 : Lettre de Vahan Portoukalian à Kourken Tahmazian. Extraits : « Les événements ont fait que nous avons dû rester en plein Kémalistan. Il n’était pas possible de se dérober et de plaquer ici nos orphelins, sans rester avec eux. Sans doute environ 250 des orphelins arméniens ont pris la fuite et ont émigré avec la foule, mais il en reste en-core ici 450 dont la plupart des tout-petits. Adana est devenu certaine-ment plus turc qu’il ne l’était avant la guerre. Les premiers temps, les mi-

lieux officiels français s’imaginaient que cet exode s’était déclenché sur un mot d’ordre venu de Paris : on voit qu’ils ne connaissent guère les diri-geants arméniens de Paris, puisqu’ils les croient susceptibles de donner des mots d’ordre. Est-ce que vous avez vu le général Dufieux ? C’est vrai-ment une noble et grande figure, un grand caractère. Les Ciliciens lui de-vront beaucoup. Je suis persuadé que s’il n’avait tenu qu’à lui, les orphe-lins ne seraient pas restés ici. En effet, en dehors de toute question de sé-curité, la situation de ces enfants est devenue bizarre dans un pays où il n’y a plus d’Arméniens et où par conséquent il ne sera plus possible de les placer, de leur créer des moyens d’existence; ce qui est vrai pour les gar-çons, l’est encore plus pour les filles. Quant au retour des chrétiens, il est fort hypothétique : reviendront ceux qui ont des intérêts à liquider et pour faire cette liquidation, enfin très peu de gens. Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mardin 1915 Imprescriptible.fr : L’évacuation française de la Cilicie en 1921 vue par l’officier Vahan Portoukalian http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome3/p2b#

14 janvier 1942 -- A Szczakowa (Pologne), un juif est pendu en guise de représailles par la Gestapo. - 1 000 juifs d'Izbica Kujawska (Pologne) sont déportés au camp d'extermi-nation de Chelmno, où ils sont assassinés. Skynet : 14 janvier, ce jour-là, n'oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2011/01/11/14-jan-vier-ce-jour-la-n-oubliez-pas.html

14 janvier 1943 -- Pendant plusieurs jours, une partie des 8 000 juifs du ghetto de Lomza (Pologne) est déportée au camp d'extermination d'Ausch-witz. Les autres sont assassinés près de la ville, dans la forêt de Galczyn. Skynet : 14 janvier, ce jour-là, n'oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2011/01/11/14-jan-vier-ce-jour-la-n-oubliez-pas.html

14 janvier 1943 -- 13-14 janvier : Rafle de juifs à Rouen (familles fran-çaises pour la première fois). 1939-1945 : chronologie de la guerre http://lesfortsenmoselle.perso.sfr.fr/1939_1945_chronologie.htm

14 janvier 1945 -- 150 malades et membres du personnel de l'hôpital or-thodoxe juif de Varosmajor (Hongrie) sont massacrés par des bandes de l'extrême droite.

Skynet : 14 janvier, ce jour-là, n'oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2011/01/11/14-jan-vier-ce-jour-la-n-oubliez-pas.html

14 janvier 1990 -- Azerbaïdjan. Pogroms anti-Arméniens de Bakou. Chro-nologie de la semaine sanglante : « A Bakou, le 14 janvier 1990, un groupe de 30 à 40 personnes, s’est rué dans l’appartement des Torossian, un couple âgé, et avec eux se trouvaient aussi deux autres personnes âgées (de la famille). Les criminels les ont tous frappés, ils leur ont pris 3500 roubles, et ils ont obligé ces Arméniens et leurs voisins à sortir de la ville. Là, ils les ont arrosés d’essence et les ont brûlés. » 1990/2010 – Il y a 20 ans, les pogroms génocidaires de Bakou http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=50492

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=51008

Revue de Presse de l'I.A.C.S [Institut Assyro-Chaldéen-Syriaque] - 10 janvier 2011Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - "Yilmaz Kerimo, député

suédois d'origine assyro-chaldéenne-syriaque, a proposé une mo-tion au sujet de l'éventuelle autonomie des Assyro-Chaldéens-Sy-riaques d'Irak (chrétiens d'Irak). Cette motion devait lancer une commission en vue d'offrir une zone franche sous les auspices de l'ONU." Le Collectif VAN diffuse ici la Revue de Presse de l'I.A.C.S [Institut Assyro-Chaldéen-Syriaque] du 10 janvier 2011.

Revue de Presse de l'I.A.C.S [Institut Assyro-Chaldéen-Sy-riaque] - 10 janvier 2011

- Selon Assyrian Universal Alliance & Assyrians of Armenia “Atour”, l'Armé-nie a financé la construction d'un monument à Yérevan (Arménie) dédié à la commémoration des victimes du génocide assyro-chaldéen-syriaque de 1915 (appelé aussi génocide arménien, grec pontique et yézidis). ASSYRIAN GENOCIDE MONUMENT in Armenia http://www.ankawa.com/eng-lish/?p=4695#more-4695

- Lors de la 3e session du Forum des Nations-Unies sur les questions des

minorités, le 14 et 15 décembre 2010 à Genève (Suisse), Jennifer Babaie, porte-parole de "Assyrian Universal Alliance", a rappelé devant un audi-toire, la situation dramatique des Assyro-chaldéens-syriaques d'Irak (chré-tiens d'Irak) et a proposé des solutions politiques à la survie des chrétiens d'Irak, comprenant la création d'une zone autonome dans la plaine de Ni-nive, sous la juridiction du gouvernement central de l'Irak. Son discours complet est disponible sur www.aua.net Third session of the United Nations Forum on minority issues in Geneva, Switzerland

http://www.ankawa.com/english/?p=4694

- Pétition: Autonomie für die Chaldäer-Suryoye-Assyrer im Irak! http://www.facebook.com/event.php?eid=187486674595507

- Vidéo: documentaire suisse sur la recherche d'identité d'un jeune sy-riaque orthodoxe (araméen) de Suisse. Synopsis: Mattia Unval est un jeune araméen de nationalité suisse et fils d'un prêtre syriaque orthodoxe en Suisse italienne. Dès son plus jeune âge, son identité a été façonné par l'usage de la langue araméenne et la pratique de sa religion. La prise de conscience de ses origines se limitait toutefois à ce que lui racontaient ses parents, qui ont fui la Turquie vers la Suisse au début des années 1980. Mattia et son père ont décidé alors de partir en voyage pour visiter leur terre ancestrale: la région du Tur Abdin (Sud-Est de la Turquie), la "Montagne des serviteurs de Dieu". L'héritage du silence propose un angle personnel sur les conditions de vie des Ara-méens, dans la diaspora et sur leur terre, dans le passé et au présent, dans les générations jeunes et âgées, créant une image sur la façon dont cette minorité ethnique et religieuse de Turquie a vécu et continue de vivre aujourd'hui. The Legacy of Silence trailer http://www.facebook.com/event.php?eid=187486674595507

- Yilmaz Kerimo, député suédois d'origine assyro-chaldéenne-syriaque, a proposé le 26 octobre 2010 une motion au sujet de l'éventuelle autonomie des Assyro-Chaldéens-Syriaques d'Irak (chrétiens d'Irak). Cette motion de-vait lancer une commission en vue d'offrir une zone franche sous les aus-pices de l'ONU. Motion 2010/11:U292 Frizon för kristna i Irak http://www.riksdagen.se/Webbnav/index.aspx?nid=410&typ=mot&rm=2010%2F11&bet=U292

TURQUIE: - Description de la ville de Mardin (Sud-Est Turquie) et de sa région, peu-plée notamment d'Assyro-Chaldéen-Syriaques.

Mardin, en Turquie http://www.kusadasi.tv/fr/mardin-en-turquie.html

- Lors de la fête annuelle de la nativité cette année à Mardin (Sud-Est Tur-quie), le préfet de la ville, Hassan Duruer, a annoncé, en présence de Mon-seigneur Nuri Saliba Özmen (évêque syriaque de Mardin) qu'il souhaite le retour du patriarcat syriaque orthodoxe à Mardin, aujourd'hui basé à Da-mas (Syrie) depuis 1933. « Nous voulons revoir le patriarcat syriaque orthodoxe à Mardin » http://fr.zaman.com.tr/fr/newsDetail_getNewsById.action;.node1?newsId=4717

EVENEMENT: Soirée dansante d'hiver organisée par l'association Franco-Syriaque de Montfermeil prévue le samedi 29 janvier 2011. Lien vers événement facebook: Haflé: La Soirée d'Hiver

http://www.facebook.com/event.php?eid=175151825850729

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Lyon : "Et si l'histoire ottomane était avant tout une histoire européenne?"Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Notons que le slogan

répété à l'envi de "L'Histoire aux historiens" ne concerne visible-ment pas cette conférence qui invite Madame Huguette MEUNIER-CHUVIN, Chargée de mission auprès du Commissariat Général de la Saison de la Turquie en France : une personnalité sans nul doute de grande valeur mais dont nous ne connaissons pas les travaux scientifiques concernant l'histoire ottomane. A tout le moins, nous avons pu constater que le dossier de presse de la Sai-son de la Turquie en France ne comportait pas une seule fois le mot "arménien", et que cette Saison - qui aurait dû être l'occasion de rendre justice et hommage aux contributions architecturales, artistiques, littéraires, théâtrales, artisanales, etc. des fils de la nation arménienne dans l'Empire ottoman -, n'a été qu'une vaste opération de détournement d'héritage. Rappelons à cette occa-sion, le scandale du festival de cinéma à Rennes, Travelling Istan-bul , sponsorisé par la Saison de la Turquie : les programmes dis-tribués aux 38 000 spectateurs, qui contenaient à l’origine en

page 3, une présentation chronologique de l’Histoire de la Turquie signalant le génocide des Arméniens, avaient tous été censurés par une photo masquant le texte initial...

Même l'identité arménienne des rares artistes arméniens de Tur-quie à l'affiche de cette Saison turque (Ara Güler, Sarkis) a été passée sous silence. L'histoire ottomane a été une histoire euro-péenne du fait du lien que formait une partie des populations ar-ménienne et grecque avec l'Europe. L'Empire ottoman a choisi sciemment de rompre ce lien en exterminant les 2/3 de la popula-tion arménienne et en expulsant les Grecs de Smyrne et de Constantinople.

Lors de nombreuses conférences universitaires qui ont eu lieu en France, nous avons pu constater que des propos négationnistes ou falsificateurs étaient tenus concernant le génocide arménien et l’extermination de toutes les populations chrétiennes de l’Empire ottoman en 1915. Voire même des positions mensongères justi-fiant ces génocides ("les Arméniens et les Turcs vivaient en paix durant des siècles : il a bien fallu qu'il se passe quelque chose - sous-entendu, la révolte présumée des Arméniens - pour expli-quer ce qui s'est passé...") Nous sommes sûrs que ce type de dé-rives n'aura pas lieu lors de cette conférence dont l'intervenant principal est Faruk Bilici, professeur des universités à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), membre du comité de rédaction des Cémoti.

Conférence à Lyon le 21 janvier 2011 sur l'empire ottoman

Et si l'histoire ottomane était avant tout une histoire européenne?

vendredi 21 janvier · 18:30 - 22:00

Lieu: Amphithéâtre de l’Université professionnelle internationale de Lyon 47, rue du sergent Michel Berthet 69009 Lyon

Créé par : Zafer Girisit

Dans le cade du Cycle Centre Européen d’Etudes et de la Recherche d’Orient Mediterranéé (C.E.E.R.O.M)

M.Faruk BILICI Historien, spécialiste de l’histoire ottomane et de la Turquie

M.Huguette MEUNIER-CHUVIN Chargée de mission auprès du Commissariat Général de la Saison Turquie en France

Lire aussi:

Hommage à Semih Vaner http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=15997

Semih Vaner : les intellectuels turcs en deuil http://www.collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=16052

« Semih Vaner : les intellectuels turcs en deuil » (suite) http://www.collec-tifvan.org/article.php?r=0&id=16133

Cachez ce génocide que je ne saurais voir http://www.collectifvan.org/ar-ticle.php?r=0&id=41499

Débat d'idées autour de la Saison de la Turquie en France http://www.col-lectifvan.org/article.php?r=0&id=40362

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Presse arménienne : Revue du 12 janvier 2011Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous propose cette Revue de Presse parue sur le site de l'Ambassade de France en Arménie le 12 janvier 2011.

Ambassade de France en Arménie

Revue de la presse arménienne du 12 janvier 2011

Affaires intérieures

Le Maire d’Erevan a abordé avec le directeur régional de la Banque euro-péenne pour la reconstruction et le développement (BERD) des questions relatives aux programmes réalisés sur financement de la BERD, notam-ment la sécurité et la modernisation du métro d’Erevan qui prévoit des in-vestissements capitaux en deux tranches, ainsi que le traitement des dé-

chets ménagers de Noubarachen (non loin de la capitale), rapportent Hayastani Hanrapétoutioun, Azg, et Haykakan Jamanak.

Les dernières mutations de haut niveau sont largement commentées par les quotidiens. Haykakan Jamanak a qualifié de « massacre de cadres » les récents changements intervenus au sein de la Mairie, trois semaines après la démission de l’ancien Maire, évoquant les démissions du porte-parole, du chef de cabinet du Maire, de l’architecte en chef et du maire de quar-tier Arabkir. « Le jeu de massacre a-t-il commencé ?» se demande Azg, es-timant que c’est la dernière chance pour les autorités de concrétiser leur promesse de lutte contre la corruption.

Présentant le nouveau maire de quartier Arabkir au personnel de la com-mune, le Maire d’Erevan Karen Karapétian a exigé la mise en place rapide d’une équipe bien organisée, efficace, discipliné et à l’écoute de la popula-tion.

Une enquête criminelle est ouverte à la suite de deux cambriolages en un mois, au bureau du parti d’opposition « Hanrapétoutioun » (République), l’une des composant du CNA. Selon Artak Zeynalian, membre du conseil politique et défenseur des droits de l’Homme, et plusieurs ONG, il ne s’agit pas d’un simple cambriolage (les voleurs auraient fouillé les documents sans toucher à l’argent dans le tiroir), mais d’une agression politiquement motivée, rapporte la presse d’opposition.

Trois personnes ont été accusées pour tentative de fraude électorale et de violences légères à l’égard des agents de la police lors des élections muni-cipales de Tchartchakis du marz (région) d’Aragatsotn, rapportent les quo-tidiens.

L’ensemble de la presse rend compte de la découverte, dans une grotte près du village d’Aréni, du plus ancien établissement vinicole connu à ce jour, datant d'il y a 6000 ans environ. Une cuve pour presser le raisin, des jarres destinées à la fermentation, une tasse et un bol, ainsi que des pé-pins et des restes de raisins pressés, ont été trouvés sur les lieux des fouilles, qui avaient commencé en 2007. Cette information a été publié par la revue archéologique « Journal of Archaeological Science » et reprise par plusieurs titres prestigieux de la presse internationale.

Arménie-Turquie

Se référant à des sources étrangères, Aravot, Jamanak et Azg rendent compte de la réunion à Ankara des ambassadeurs et des chefs des mis-sions diplomatiques de Turquie, ayant à l’ordre du jour principalement des questions relatives au génocide arménien, aux relations arméno-turques et à ASALA (Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie). Selon

les mêmes sources, certains diplomates turcs auraient exigé l’annulation les protocoles signés avec l’Arménie.

Rédaction : Sonia Machinian

http://www.ambafrance-am.org/france_armenie/IMG/pdf/20110112.pdf

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=50986

GENOCIDE ARMENIEN

Turquie

Pièce de théâtre sur le génocide arménien en Tur-quieNAM

Le célèbre acteur turc de théâtre, metteur en scène et producteur Haldun Dormen a l’intention de réaliser une pièce sur le génocide arménien, le 24 avril 2011.

Le projet le plus récent de Dormen a été une pièce en langue kurde "his-toire d’Hiver"dans le cadre du festival du théâtre à Ankara. Après l’exécu-tion de la pièce le célèbre acteur a dit que son projet suivant serait l’orga-nisation d’une pièce sur le génocide arménien a annoncé Internethaber.

« Nejet Bayandur a écrit une belle histoire. Il n’y a aucune accusation dans l’histoire, cela décrit juste comment la belle vie populaire a été écrasée, comment le paradis s’est métamorphosé en enfer. C’est une histoire d’amour et les événements ont lieu à Van. Les amants se rencontrent de nouveau 50 ans plus tard » a dit Haldun Dormen.

vendredi 14 janvier 2011, Stéphane@armenews.com

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=66416

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50998

KARABAKH/RUSSIE/ARMENIE/ AZERBAIDJAN

Diplomatie: les ministres arménien, russe et azer-baïdjanais à Moscou fin janvier12:44 14/01/2011 EREVAN, 14 janvier - RIA Novosti

Une rencontre des ministres des Affaires étrangères arménien, russe et azerbaïdjanais Edouard Nalbandian, Sergueï Lavrov et Elmar Mamediarov est prévue le 24 janvier à Moscou, a annoncé vendredi aux journalistes le chef de la diplomatie arménienne.

"La rencontre initiée par le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov est prévue pour le 24 janvier à Moscou", a indiqué le ministre ar-ménien.

"Il est possible qu'au début du mois prochain une rencontre des coprési-dents du groupe de Minsk de l'OSCE ait lieu" a ajouté le ministre, cité par l'agence Nexs Armenia.

Le Groupe de Minsk de l'OSCE, coprésidé par les Etats-Unis, la Russie et la France, mène depuis 1992 des négociations visant à trouver un règlement pacifique du conflit qui oppose l'Azerbaïdjan et l'Arménie au sujet du Haut-Karabakh.

http://fr.rian.ru/ex_urss/20110114/188337148.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51006

Erevan facilite les échanges avec le Haut-Karabakh20:43 13/01/2011

EREVAN, 13 janvier - RIA Novosti

Le président arménien Serge Sargsian a signé jeudi des amendements à la Loi sur les traités internationaux, qui autorisent Erevan à conclure des ac-cords avec les pays non reconnus, notamment la république autoprocla-mée du Haut-Karabakh, a annoncé le service de presse du chef de l'Etat arménien.

Selon le vice-ministre de Affaires étrangères Chavarch Kotcharian, la loi amendée stipule qu'un acteur non reconnu du droit international peut de-venir partie au traité. Cela signifie que l'Arménie pourra désormais ratifier

les accords signés avec le Haut-Karabakh.

M. Kotcharian a également souligné qu'Erevan se portait garant de la sé-curité de cette république dont la reconnaissance était une question de temps.

"Cette démarche sera accomplie au moment opportun pour profiter au peuple du Karabakh", a-t-il souligné.

Le conflit du Haut-Karabakh a éclaté en 1988, après que cette région peu-plée principalement d'Arméniens eut annoncé sa décision de se séparer de l'Azerbaïdjan. En septembre 1991, les autorités régionales ont proclamé la création de la République du Haut Karabakh avec Stepanakert pour capi-tale. Cette démarche a fourni un prétexte à des affrontements armés à la suite desquels l'Azerbaïdjan a perdu le contrôle du Haut-Karabakh et de sept régions adjacentes.

Le cessez-le-feu instauré entre les belligérants en mai 1994 est toujours respecté. Le règlement pacifique du conflit fait l'objet des négociations menées depuis 1992 dans le cadre du Groupe de Minsk de l'OSCE coprési-dé par les Etats-Unis, la Russie et la France.

L'Azerbaïdjan insiste sur la préservation de son intégrité territoriale, tandis que l'Arménie défend les intérêts de la république autoproclamée, le Haut-Karabakh n'étant pas partie aux négociations.

http://fr.rian.ru/ex_urss/20110113/188332983.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50993

UE/TURQUIE

L’Europe ne nous fait plus rêverCourrier International

Fin décembre, le romancier turc Orhan Pamuk disait son désenchantement à l’égard du Vieux Continent, longtemps érigé en modèle dans son pays. Un texte plus actuel que jamais, à l’heure où la Grèce prévoit de construire une clôture à sa frontière avec la Turquie.

13.01.2011 | Orhan Pamuk | The Guardian

Dans les manuels scolaires que je lisais enfant dans les années 1950 et 1960, l’Europe était une terre de légende idyllique. Pendant qu’il bâtissait sa nouvelle République sur les ruines de l’Empire ottoman, écrasé et dé-

membré lors de la Première Guerre mondiale, Mustafa Kemal Atatürk com-battit certes l’armée grecque. Mais ensuite, avec le soutien de son armée, il entreprit de moderniser le pays par le biais d’un grand nombre de ré-formes socioculturelles qui n’étaient pas anti- mais pro- occidentales. C’est pour légitimer ces réformes, qui contribuèrent à renforcer les élites du nouvel Etat turc (et allaient faire l’objet d’un débat incessant en Turquie au cours des quatre-vingts années suivantes), que nous avons été amenés à épouser et même à imiter un rêve européen merveilleux – et occidenta-liste.

Impératif historique

Les manuels scolaires de mon enfance étaient destinés à nous apprendre pourquoi il fallait séparer l’Etat de la religion, pourquoi il avait fallu fermer les loges des derviches et pourquoi nous avions dû abandonner l’alphabet arabe au profit du latin. Ils regorgeaient aussi de questions visant à percer le secret de la puissance et de la réussite européennes. “Décrivez les buts et les résultats de la Renaissance” était un de nos sujets d’examen d’his-toire au collège. “Si nous avions autant de pétrole que les Arabes, serions-nous aussi riches et modernes que les Européens ?” demandaient les plus naïfs de mes camarades de lycée. Lors de ma première année d’universi-té, chaque fois que ces questions surgissaient en cours, mes condisciples s’inquiétaient de savoir pourquoi nous n’avions jamais eu de Lumières. Le grand penseur arabe du XIVe siècle Ibn Khaldoun a dit que les civilisations en déclin survivent en imitant leurs vainqueurs. Comme les Turcs n’ont ja-mais été colonisés par une puissance mondiale, la “vénération de l’Eu-rope” ou l’“imitation de l’Occident” n’ont jamais eu les connotations humi-liantes décrites par Frantz Fanon, V.S. Naipaul ou Edward Said. Regarder vers l’Europe était un impératif historique ou une technique d’adaptation.

Mais ce rêve d’une Europe idyllique, si puissant que même nos intellec-tuels et nos politiques les plus anti-occidentaux y croyaient secrètement, s’est évanoui. Peut-être est-ce parce que la Turquie n’est plus aussi pauvre qu’elle l’était. Ou parce qu’elle n’est plus une société rurale gou-vernée par l’armée, mais un pays dynamique doté d’une société civile ro-buste. Et puis il y a eu, bien sûr, ces dernières années, le ralentissement des négociations en vue de l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne (UE). Personne, ni d’un côté ni de l’autre, n’espère raisonnablement que la Turquie entre dans l’Europe dans un avenir proche. Admettre que l’on a perdu cet espoir serait aussi dévastateur que de voir les liens avec l’Eu-rope se rompre, alors personne n’a le courage de le dire.

Que la Turquie et d’autres pays non occidentaux soient désenchantés par l’Europe, je le sais par mes voyages et par mes conversations. L’une des principales causes de tension entre la Turquie et l’UE est sans nul doute l’alliance forgée par un secteur de l’armée turque et certains groupes de

presse avec des partis nationalistes et le succès de leur campagne pour saboter les négociations d’adhésion. Ce sont les mêmes qui sont à l’ori-gine de poursuites judiciaires à l’encontre de beaucoup d’écrivains dont moi, du meurtre d’autres, de l’assassinat de prêtres et de missionnaires chrétiens. Il y a aussi des réactions passionnelles dont on explique mieux l’importance en songeant à l’exemple de la France : au cours du siècle écoulé, des générations successives de l’élite turque ont pris la France pour modèle, s’inspirant de sa conception de la laïcité et suivant son exemple dans l’éducation, la littérature et l’art Alors voir la France devenir depuis bientôt cinq ans le pays le plus farouchement opposé à l’adhésion de la Turquie a été une grande désillusion et un crève-cœur. Mais c’est la participation de l’Europe à la guerre d’Irak qui a provoqué la plus grande déception dans les pays non occidentaux et, en Turquie, une vraie colère. Le monde a vu l’Europe se faire rouler bien volontiers par Bush et se joindre à cette guerre cruelle et injustifiée.

Lorsqu’on regarde le paysage européen depuis Istanbul ou au-delà, la pre-mière chose que l’on voit est que l’Europe (comme l’UE) est décontenan-cée par ses problèmes internes. Il est clair que les peuples d’Europe ont beaucoup moins d’expérience que les Américains pour ce qui est de vivre avec des gens dont la religion, la couleur de peau ou l’identité culturelle est différente de la leur, et que cette perspective ne les enthousiasme guère : cette résistance rend les problèmes de l’Europe encore plus diffi-ciles à résoudre. En Allemagne, le récent débat sur l’intégration et le mul-ticulturalisme en est une bonne illustration.

Paquets de Gauloises

Avec l’intensification et l’extension de la crise économique, l’Europe risque, en se refermant sur elle-même, de différer sa lutte pour protéger les “bourgeois” au sens flaubertien du terme, mais cela ne résoudra pas le problème. Lorsque je regarde Istanbul, qui devient un peu plus complexe et cosmopolite au fil des ans et attire des migrants venus de toute l’Asie et de l’Afrique, je n’ai aucun mal à parvenir à la conclusion suivante : on ne peut pas interdire indéfiniment l’accès de l’Europe aux Asiatiques et aux Africains pauvres, sans emploi, sans défense, qui cherchent un nouvel en-droit où vivre et travailler. Des murs plus hauts, une politique de visas plus stricte et une surveillance accrue aux frontières maritimes ne feront que retarder l’heure de vérité. Et le pire, c’est que les mesures anti-immigra-tion et les préjugés détruisent les valeurs fondamentales qui ont fait de l’Europe ce qu’elle est.

Dans les manuels turcs de mon enfance, on ne parlait pas de démocratie ni de droits des femmes, mais du fait que sur les paquets de Gauloises que fumaient (selon nous) les intellectuels et artistes français étaient imprimés les mots “liberté, égalité, fraternité”. “Fraternité” en était venu à signifier

l’esprit de solidarité et de résistance promu par les mouvements de gauche. Mais être indifférent aux souffrances des immigrés et des minori-tés et châtier les Asiatiques, les Africains et les musulmans qui mènent une vie difficile dans les banlieues de l’Europe – et même les tenir pour seuls responsables de leurs malheurs –, ce n’est pas de la “fraternité”.

On peut comprendre que l’Europe soit prise d’angoisse et même de pa-nique, et qu’elle cherche à préserver ses grandes traditions culturelles, à profiter des richesses qu’elle convoite dans le monde non occidental et à conserver les avantages acquis tout au long de plusieurs siècles de lutte des classes, de colonialisme et de guerres intestines. Mais, si l’Europe veut se protéger, ne vaudrait-il pas mieux, au lieu de se replier sur elle-même, qu’elle se souvienne de ses valeurs fondamentales qui ont fait d’elle autre-fois le centre de gravité de tous les intellectuels du monde ?

http://www.courrierinternational.com/article/2011/01/13/l-europe-ne-nous-fait-plus-rever

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50995

FRANCE

Pas de guerres de religion en France !PatrickDevedjian.fr Jeudi, 06 Janvier 2011 22:34 France

Je reviens ce soir de la messe de Noël célébrée en l’église copte orthodoxe de Châtenay-Malabry.

J’y allais pour deux raisons, toutes deux essentielles.

La première c’est que la France a toujours été la protectrice traditionnelle des chrétiens d’Orient : c’est à cela que je dois aujourd’hui d’être Français, comment l’oublier ?

La seconde, c’est que cette église copte, Sainte Marie-Saint Marc, est dans la circonscription dont je suis le député : ma présence, c’était aussi celle de notre République.

Cette cérémonie a symbolisé la détermination de la France à préserver son modèle de tolérance et de laïcité : nous ne voulons pas de guerres de religion en France !

Depuis Henri IV et l’édit de Nantes en 1598, l’idéal religieux de notre pays n’a fait que progresser vers la bienveillance à l’égard de la foi des autres,

et plus tard à l’égard des agnostiques et des athées. Il y a eu des reculs momentanés : la révocation de ce même édit de Nantes en 1685, le statut des juifs en 1941, pour ne parler que des plus graves. Mais le consensus de notre pays s’est quand même établi sur ce respect mutuel.

Ce soir à Châtenay-Malabry, non seulement le ministre de l’Intérieur, mi-nistre des cultes, assistait à la cérémonie aux côtés du maire et du dépu-té, mais toutes les religions étaient représentées pour dire cet attache-ment à la liberté de la foi religieuse : les chrétiens, catholiques et protes-tants, les juifs, les musulmans. Ensemble, toutes les institutions laïques ou religieuses ont souligné leur volonté de vivre ensemble et leur détermina-tion à ne pas se laisser intimider par la violence terroriste.

http://www.patrickdevedjian.fr/actualite/france/87-pas-de-guerres-de-religion-en-france

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51005

Une manifestation au centre de rétentionMidiLibre.com

Édition du vendredi 14 janvier 2011

Réseau éducation sans frontières appelle aujourd'hui à une manifestation à 18 heures devant le centre de rétention de Nîmes pour demander la libé-ration de Vazgen, un enfant arménien de 6 ans, de son père David et de Vanine, la compagne de celui-ci. Cette famille a été arrêtée il y a une se-maine en Haute-Loire. « Les gendarmes en tenue civile sont venus cher-cher l'enfant dans son école où il est scolarisé depuis quatre ans », pro-testent les militants de RESF.

Mercredi dernier, le juge des libertés, siégeant en appel, a confirmé le pla-cement en rétention de cette famille en attendant son expulsion.

http://www.midilibre.com/http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50992

TURQUIE/ROYAUME-UNI

L'info vue par la TRT (1)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télé-vision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas

commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

TRT

SELON LA CHAMBRE DES LORDS, L'UE A BESOIN DE LA TURQUIE

L'essor de l'économie, des activités en Afrique, la levée des isola-tions au secteur chypriote turc ont été discutés

Posted 14.01.2011 11:40:42 UTC Updated 14.01.2011 11:40:42 UTC

A la Chambre des Lords britannique, La Turquie a été abordée sur la dé-marche de la Baronne chypriote turque Meral Ece.

Elue à la chambre des Lords, l'année dernière, la Baronne chypriote turque Meral Ece a indiqué que la Turquie allait jouer un rôle plus prééminent en 2011 grâce à la croissance rapide de l'économie turque.

Rappelant que le président de la République Abdullah Gül avait été estimé digne du prix "de l'homme d'Etat de l'année" remis par Chatham House l'année dernière, Mme Meral Ece a affirmé que la Turquie devait prendre place au centre de l'Europe pour la paix, la stabilité et la sécurité durable dans la région et en Europe.

La réunion tenue sur l'initiative de la Baronne Meral Ece a duré deux heures et demie à la Chambre des Lords, où les membres ont exprimé leur avis sur la Turquie.

Ceux qui ont émis des avis favorables sur la Turquie, ont jugé que l'UE avait besoin de la Turquie, en faisant référence à sa croissance rapide et notant qu'elle était un pays puissant,

Il a été observé que la Turquie attendait depuis très longtemps pour inté-grer l'UE et mis l'accent sur la nécessité du règlement au plus tôt de la question chypriote et la levée des isolations frappant la République turque de Chypre du Nord.

Lors de la réunion, le rôle croissant de la Turquie en Afrique, ainsi que l'ou-verture de plus de dix ambassades par cette dernière au cours de l'année 2010 dans ce continent, ont été rapportés.

L'importance de rehausser les relations commerciales entre les deux pays a été exprimée par les membres de la Chambre des Lords, faisant part du soutien de l'Angleterre au processus d'adhésion de la Turquie à l'UE.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=6014b2cd-3d3b-4147-84a4-fc6f9a9ec905&title=Selon%20la%20Chambre%20des%20Lords,%20l%27UE%20a%20besoin%20de%20la%20Turquie

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51013

TURQUIE/AFGHANISTAN

Afghanistan: les AWACS opéreront depuis la Turquie, confirme AnkaraRTL Info

Belga | 13 Janvier 2011 17h13

Le ministère turc des Affaires étrangères a confirmé que les avions-radar AWACS de l'OTAN chargés de vols de surveillance au-dessus de l'Afghanis-tan afin de contribuer à la gestion de l'espace aérien de ce pays opéreront au départ de la base aérienne de Konya, dans le centre de la Turquie, a rapporté jeudi la presse turque.

"Nous avons donné notre accord pour l'utilisation temporaire de la base de Konya par les avions AWACS en tant que contribution globale à l'ISAF (la force internationale d'assistance à la sécurité, dirigée par l'OTAN en Afgha-nistan), a indiqué le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères, Burak Özügergin, dans un communiqué. Il confirmait ainsi des informa-tions parues dans la presse allemande.

Le Comité militaire de l'OTAN (la plus haute instance militaire alliée) a donné vendredi son accord à l'ordre de déploiement de plusieurs E-3A AWACS en Turquie, d'où ils devraient rallier l'Afghanistan. Ces appareils, appartenant à la flotte OTAN de détection aérienne lointaine (NAEWF), sont normalement stationnés à Geilenkirchen (ouest de l'Allemagne) et servis par des équipages de dix-sept nationalités, dont quelques Belges.

La décision d'engager ces appareils en Afghanistan date de juin dernier. Mais sa concrétisation a nécessité des discussions entre alliés sur la répar-tition des coûts (onze millions d'euros pour trois mois), puis de négocia-tions avec les pays survolés lors du transit. Durant des mois, l'Azerbaïdjan et le Turkménistan ont refusé d'autoriser le survol de leur territoire par

crainte d'être "espionnés" au passage par les AWACS, des avions dotés de puissantes capacités de détection radar et des ondes électromagnétiques. (VIM)

http://www.rtlinfo.be/info/monde/international/767599/afghanistan-les-awacs-opereront-depuis-la-turquie-confirme-ankarahttp://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50989

TURQUIE/ALLEMAGNE/CHYPRE

L'info vue par la TRT (2)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Té-lévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont

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TRT

LE PRÉSIDENT ABDULLAH GÜL S'EST EXPRIMÉ SUR LES PROPOS DE MME MERKEL

Les propos de la chancelière allemande avaient été déjà attirés la réaction de M. Erdoğan

Posted 14.01.2011 12:21:08 UTC Updated 14.01.2011 13:01:19 UTC

Le président de la République Abdullah Gül s'est exprimé sur les propos de Mme Merkel critiquant la Turquie concernant la question chypriote. « Elle aurait dû se préserver de blesser les parties. Il incombe de grandes res-ponsabilités aux grands puissances. Le secteur chypriote grec avait été ac-cepté au sein de l'Union en violant les principes de l'UE ». a-t-il affirmé.

M. Abdullah Gül a estimé décevant les déclarations de la chancelière alle-

mande Angela Merkel, de qui il s'attendait à une plus grande attention dans ses déclarations.

"Je m'attendais à une attention particulière, une attitude plus constructive de la part de l'Allemagne, la plus puissante pays de l'Europe. Le secteur chypriote grec a été intégré au sein de l'Union en dépit des principes fon-damentaux de l'UE. Le secteur chypriote grec ne devait pas être accepté au sein de l'Union avant le règlement de la question de Chypre. Alors qu'elle est discutée au sein des Nations Unies, la force de paix y est im-plantées. L'UE a violé ses principes fondamentaux en acceptant l'adhésion d'une île problématique.

L'établissement de la paix requière une attitude plus modérée, sans offen-ser les parties. Le plan Annan soumis au référendum était également le plan de l'UE. Le commissaire européen en charge de l'élargissement de l'époque, M. Günter Verheugen, a déclaré que les Chypriotes grecs les avaient dupés . Mme Merkel devait s'exprimer en connaissance de cause. J'ai été affligé par ses déclarations » a affirmé M. Gül.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=1aaac330-11cc-427f-a762-8356291fe463http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51015

L'info vue par la TRT (3)Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévi-

sion & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas com-mentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négation-nistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

TRT

ELOGE DE JOSCHKA FISCHER À LA TURQUIE

L'ancien ministre allemand des Affaires étrangères, Joschka Fi-scher, fait l'éloge de la Turquie

Voir la vidéo Posted 14.01.2011 08:20:58 UTC Updated 14.01.2011 09:16:02 UTC

L'ancien ministre allemand des Affaires étrangères, Joschka Fischer, fait l'éloge de la Turquie.

"Les efforts déployés par la Turquie pour résoudre les questions, sont très appréciés" a déclaré Fischer, martelant le rôle prééminent de la Turquie en tant que puissance régionale.

Précisant que la Turquie devait avancer dans le processus de négociations avec l'Union européenne sans se décourager, Joschka Fischer a indiqué qu'il ne percevait pas la question chypriote comme un problème essentiel.

Joschka Fischer a répondu aux questions de la TRT à Istanbul.

Joschka Fischer, qui a pris la présidence du groupe d'éminentes personnali-tés du Conseil de l'Europe, formé sur l'initiative de la Turquie, a attiré l'at-tention sur l'importance régionale de la Turquie.

"La Turquie réussit des travaux excellents. J'estime qu'elle joue un rôle très important en tant que puissance régionale. Les avancées enregistrées pour développer de bonnes relations avec ses voisins, sont brillantes. Je pense que les efforts déployés par la Turquie pour résoudre les questions de sa région, sont appréciés par tous" a déclaré Fischer.

Joschka Fischer a conseillé à la Turquie de mener une diplomatie patiente dans ses relations avec l'Union européenne, et critiqué le "partenariat pri-vilégié" avancé occasionnellement par l'Allemagne et la France dans le processus de négociations avec l'Union européenne.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=06b75de2-15ec-4dcc-b576-eef60a00b8e2

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51016

TURQUIE/GRECE

La presse informée sur Erzeroum, les relations gré-co-turquesANA

Vendredi 14/01/2011

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Grigoris Delavekou-ras, a rappelé jeudi dans sa conférence de presse l'idée, discutée en dé-tail, lors de la visite à Erzeroum du ministre, Dimitris Droutsas, sur la convocation d'un sommet UE-Turquie après les élections à Ankara, afin que les partenaires européens renouvellent leur engagement sur l'adhé-sion à part entière de la Turquie.

M. Delavekouras a informé la presse que cette question sera reprise lors des contacts prochainement de M. Droutsas en Pologne, le prochain pays à exercer le semestre de la présidence de l'UE.

Par ailleurs, en commentaire des contacts exploratoires entre la Grèce et la Turquie, M. Delavekouras a informé que les deux premiers ministres, MM. Papandréou et Erdogan, avaient demandé l'accélération des concerta-tions et, dans le cas où aucun résultat ne ressort - en temps utile -, la posi-tion grecque est qu'il faudra avoir recours à la justice internationale.

La seule question à régler est la délimitation du plateau continental, a in-sisté le porte-parole du ministère, refusant de commenter des articles de presse concernant le contenu des contacts exploratoires, soulignant que ces discussions ont un caractère confidentiel.

A propos aussi des entretiens mercredi entre les ministres des Affaires étrangères de Grèce et d'Israël, portant sur les dossiers de coopération énergétique, et en particulier l'intérêt d'Israël pour la construction d'un ga-zoduc qui relierait le gisement de Leviathan avec l'UE via les zones mari-times de Chypre et de la Grèce, M. Delavekouras a confirmé l'intérêt de cette idée et que la Grèce a discuté si elle aurait un rôle de transitaire en raison de sa position géographique, sans que cette question soit abordée plus précisément. La rencontre entre MM. Droutsas et Lieberman, a-t-il dit, a focusé sur la confirmation des intentions des deux pays de coopérer en matière énergétique.

http://web.ana-mpa.gr/anafrench/articleview1.php?id=12215

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51010

GAZ/UE/AZERBAIDJAN

L'UE signe un grand contrat gazier avec l'AzerbaïdjanL'Express

Par Reuters, publié le 13/01/2011 à 19:45, mis à jour le 13/01/2011 à 20:20

L'Union européenne a signé jeudi un accord de grande envergure pour l'importation de gaz naturel d'Azerbaïdjan, afin de réduire la dépendance vis-à-vis des approvisionnements russes.

"Cet accord confirme l'accès direct de l'Europe au gaz extrait du bassin de la Caspienne", a déclaré dans un communiqué le président de la Commis-sion européenne José Manuel Barroso, après avoir signé le texte en com-

pagnie du président azerbaïdjanais Ilham Aliyev lors d'une visite dans ce pays d'Asie centrale.

La Commission précise que l'Azerbaïdjan s'est engagé à fournir à l'Europe suffisamment de gaz pour permettre la construction d'un nouvel ensemble de gazoducs passant par la Turquie. Cet itinéraire est désigné sous le nom de "Corridor Sud".

"Ce corridor relève de notre intérêt stratégique commun. L'Azerbaïdjan veut diversifier ses exportations comme l'UE veut diversifier ses importa-tions", déclare Barroso dans le discours qu'il doit prononcer à Bakou.

"Le Corridor Sud donnera à l'Azerbaïdjan un accès matériel fiable au mar-ché européen de l'énergie, qui est le plus grand au monde."

Trois consortiums sont en lice pour la construction des infrastructures qui doivent raccorder à l'Europe le gisement gazier Shah Deniz II en Azerbaïd-jan. Selon la Commission européenne, Bakou décidera dans les mois à venir quel projet l'emportera entre les gazoducs Nabucco, TAP et ITGI.

Pete Harrison, Gregory Schwartz pour le service français

http://www.lexpress.fr/actualites/2/l-ue-signe-un-grand-contrat-gazier-avec-l-azerbaidjan_952321.html

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51007

Dépêche de l'APA [ 14 jan 2011 11:55 ] - Agence de Presse d'Azerbaïdjan

Le Collectif VAN vous propose un article de l'APA (Agende de presse azérie) daté du 14 janvier 2011. Les articles de ce site (écrits généralement dans un français rudimentaire) ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

APA

Barroso : le conflit de Haut-Karabakh devrait être réglé dans le cadre de l’intégrité territoriale des pays

[ 14 jan 2011 11:55 ] Bakou. Victoria Dementyeva – APA. « Le règlement du conflit de Haut-Ka-rabakh est prolongé » a indiqué pour l’APA, le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso.

Questionné sur le règlement du conflit de Haut-Karabakh, le diplomate a déclaré : « le conflit devrait être réglé dans le cadre de l’intégrité territo-riale des pays. Nous saluons les efforts du Groupe de Minsk de l’OSCE. En cas de règlement, l’UE est prête à aider pour la restauration des territoires » a-t-il assuré.

http://fr.apa.az/news.php?id=12141

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51002

Accord gazier majeur entre l’Union européenne et l’Azerbaïdjaneuronews

14/01 01:33 CET

José Manuel Barroso, le président de la Commission a profité hier de sa vi-site à Bakou pour signer cet engagement qui permet aux Vingt-Sept de di-versifier leur approvisionnement énergétique et réduire leur dépendance vis-à-vis de la Russie.

L’Azerbaïdjan va fournir du gaz “sur le long terme” à l’Union européenne et cette dernière va ouvrir l’accès de son marché à Bakou. L’Europe aura un accès direct au gaz de la caspienne qui s’inscrit dans la réalisation du Corridor du Sud.

Ce projet s’inscrit dans les nouvelles routes du gaz très stratégiques aux côtés du projet Nabucco. Ce dernier doit relier à partir de 2014, les champs gaziers d’Asie centrale à l’Europe occidentale via la Turquie et le sud-est de l’Europe en évitant la Russie.

Son grand rival, le projet South Stream mené par Moscou doit approvision-ner l’Europe via les fonds de la mer Noire en évitant l’Ukraine, actuel pays de transit pour les fournitures à l’Union Européenne.

Copyright © 2011 euronews

http://fr.euronews.net/2011/01/14/accord-gazier-majeur-entre-l-union-europeenne-et-l-azerbaidjan/

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50997

NUCLEAIRE IRANIEN

Nucléaire : «l'Iran est prêt à coopérer» avec l'Occi-dentLe Figaro

Par Georges Malbrunot 13/01/2011 | Mise à jour : 14:57

INTERVIEW - Le négociateur iranien Saïd Jalili affirme aborder les pro-chaines négociations dans un esprit constructif.

Les 21 et 22 janvier prochains, Iraniens et Occidentaux se retrouveront à Istanbul pour tenter de régler le différend sur le programme nucléaire mili-taire, dont Téhéran chercherait à se doter, comme l'en accusent Washing-ton et Paris. Après une rencontre à Genève début décembre entre le négo-ciateur iranien, Saïd Jalili, et les représentants des «Six» (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU : États-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine, plus l'Allemagne), le fossé reste grand entre les positions des uns et des autres. Dans une interview accordée au Figaro, Saïd Jalili affirme que l'Iran vient à Istanbul dans un esprit construc-tif, et qu'une «nouvelle coopération» peut voir le jour, pour faire baisser la tension entre Téhéran et l'Occident.

LE FIGARO - Dans quel état d'esprit l'Iran aborde-t-il la rencontre d'Istanbul avec les 5+1 ?

Saïd JALILI - Nous sommes sérieux. Nous nous sommes mis d'accord pour coopérer autour de questions d'intérêt commun. L'Iran a une vision straté-gique de ce que doit être le dialogue autour de ces points communs. Si nos partenaires arrivent à Istanbul avec le même état d'esprit, il est fort probable qu'une nouvelle coopération pourra voir le jour. Un des points d'entente pourrait concerner le nucléaire pacifique. Des accords sont pos-sibles, en matière de désarmement, par exemple : nous pouvons voir en-semble pourquoi ce désarmement ne s'est pas réalisé jusqu'à maintenant? Nous pouvons aussi parler de la présence de 250 ogives nucléaires sur le sol européen. Je suis persuadé que les peuples européens n'approuvent pas une telle présence.

Comment faire pour qu'Istanbul marque le début d'un «nouveau processus de rapprochement» en l'Iran et l'Occident, comme certains l'espèrent ?

Si nos interlocuteurs viennent avec une approche interactive, et non pas

basée sur la confrontation, Istanbul sera le début d'un nouveau processus. Nous pourrons alors avoir des échanges utiles. Certains responsables occi-dentaux ont compris que l'idée d'une confrontation ne peut pas aboutir.

L'interaction peut nous ouvrir de nouveaux horizons de coopération. La République islamique possède des capacités d'actions dans différents do-maines qui sont indéniables.

Comment réagissez-vous aux récents propos de la secrétaire d'État, Hilary Clinton, sur le droit accordé à l'Iran à une certaine dose d'enrichissement de l'uranium, si Téhéran respectait ses engagements ?

Les droits nucléaires des peuples n'appartiennent à aucun responsable, ils sont inscrits dans le Traité de non prolifération (TNP). Le droit du peuple iranien à disposer du nucléaire est donc non négociable. Cela étant, il s'agit d'une déclaration positive, mais elle doit être suivie d'actions concrètes.

Quel geste l'Iran serait prêt à consentir pour rétablir la confiance avec l'Occident, qui vous accuse de cacher un programme nucléaire militaire. Ralentir votre programme nucléaire ? Accorder aux inspecteurs de l'Agence internationale à l'énergie atomique (AIEA) le droit de procéder à des visites plus approfondies ?

Nous avons répondu positivement à toutes les demandes formulées par l'AIEA dans le cadre du TNP. Et de nombreux rapports de l'AIEA ont établi que l'Iran ne s'est jamais écarté de son programme nucléaire pacifique. Maintenant, c'est au tour des 5+1 de redonner confiance au peuple iranien sur le nucléaire, c'est à eux de prendre des initiatives. La France par exemple qui continue de coopérer avec des pays qui n'ont pas adhéré au TNP, et qui produisent même des armes nucléaires. Comment la France peut-elle justifier son attitude vis-à-vis de l'Inde par exemple.

Le compromis basé sur un échange d'uranium faiblement enrichi contre du combustible nécessaire à votre réacteur de recherches médicales est-il toujours sur la table ?

Le TNP et l'AIEA nous autorisent à acheter ce combustible pour l'usage médical que l'on réclame, et les pays qui en disposent doivent nous en vendre. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait ? L'an dernier, les ministres turc et brésilien des Affaires étrangères sont venus nous convaincre d'accepter une telle formule d'échange, mais elle a été rejetée ensuite par les Occi-dentaux. Pour quelles raisons ? Voilà un sujet sur lequel les 5+1 ont à ré-tablir la confiance. Malgré cela, cette offre peut figurer parmi les points de coopération que j'évoquais. Mais comme nous l'avions dit l'an dernier après le refus occidental, si vous ne nous donnez pas le combustible pour

notre réacteur de recherches médicales, nous allons le produire. Et c'est ce qui s'est passé, nous l'avons produit.

Dans son dernier rapport, l'AIEA s'inquiète de voir l'Iran disposer d'une nouvelle génération de centrifugeuses ?

C'est vrai. Nous disposons désormais de nouvelles centrifugeuses qui prouvent les progrès sensibles que nous avons réalisés dans ce domaine, mais toujours sous la surveillance de l'AIEA.

L'Iran a discuté avec les États-Unis en Irak. Voyez-vous d'autres sujets de discussions possibles entre vous et les Américains ?

En Irak, notre coopération avec les Américains était dans l'intérêt du peuple irakien. Les Américains se trouvaient dans un piège et le peuple irakien en souffrait. Nous avons essayé de l'aider, après que les Améri-cains nous l'aient demandé.

Est-ce envisageable en Afghanistan ?

Nous avons évoqué cette question à Genève. Voilà un autre domaine de coopération commune. Nous sommes prêts à continuer à en discuter à Is-tanbul. Mais au préalable, les Américains doivent changer d'approche. Pour nous, l'occupation militaire d'un pays n'est pas une solution.

Quelles conséquences auraient des frappes militaires contre les installa-tions nucléaires iraniennes ?

Cela coûterait cher à celui qui les entreprendrait. Et en plus elles seraient inutiles. Car nous avons domestiqué le savoir nucléaire, qui nous est auto-risé.

Dans combien de temps pensez-vous annoncer votre premier test nu-cléaire ?

Jamais. Nous n'y pensons même pas. Nous sommes à la recherche de désarmement nucléaire. Je vous le répète : nous avons cette ferme convic-tion que l'arme nucléaire n'apporte pas la sécurité, et ne règle aucun pro-blème. Est-ce que l'arme nucléaire dont dispose la France permet de ré-gler toutes les difficultés auxquelles vous êtes confronté ? Est-ce que la France en fournissant l'arme nucléaire à Israël a contribué à régler les pro-blèmes au Moyen-Orient?

Quel fut l'impact des actions de sabotage et des assassinats de vos scien-tifiques sur votre programme nucléaire ?

Nous ne sommes plus au Moyen-Âge, où l'on pouvait priver un peuple de ses droits à la connaissance. Pourtant, la communauté internationale n'a pas hésité à citer des scientifiques dans des résolutions de l'ONU contre l'Iran, exposant ces personnes aux terroristes. Nous avons arrêté les as-sassins du savant iranien Ali Mohammadi, tué au début de l'an dernier. Ils ont été entraînés en Israel, avant d'être téléguidés par ce pays. Nous at-tendons la réaction de la communauté internationale face à ces actes de terrorisme qu'elle prétend pourtant combattre. C'est un mélange de fas-cisme et de pensée moyen-ageuse que de nommer des savants dans des résolutions de l'Onu pour les exposer ensuite à l'action des terroristes. Je suis persuadé que le peuple français condamne ce type d'actions. Mainte-nant il faut savoir si le gouvernement français est prêt à condamner ces actions ?

Par Georges Malbrunot

http://www.lefigaro.fr/international/2011/01/13/01003-20110113ARTFIG00623-nucleaire-l-iran-est-pret-a-cooperer-avec-l-occident.php

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50996

SUD-SOUDAN/DARFOUR

Sud-Soudan: El-Béchir pour une annulation de la dette extérieureAfrique en ligne

Khartoum, Soudan - Le président Omar el-Béchir n'a jamais promis à l'an-cien président américain, Jimmy Carter, que le Soudan prendrait en charge la dette extérieure du Sud-Soudan en cas de séparation avec le Nord à l'is-sue du référendum en cours, indique un communiqué officiel.

Selon le communiqué, le président soudanais aurait plutôt déclaré qu'en cas de séparation, la dette du Su-Soudan devrait être totalement annulée dans le cadre de l'initiative d'épongement de la dette des pays les moins développés.

Le président Carter, qui séjourne actuellement au Soudan comme observa-teur du référendum, avait déclaré à une télévision américaine que le pré-sident el-Béchir avait offert que le Nord prenne à sa charge toute la dette étrangère du pays afin de permettre au Sud d'avoir un bon départ, en cas de sécession.

'Le président (el-Béchir) a estimé que la division de la dette entre le Nord et le Sud, en cas de séparation, est inutile car leurs revenus annuels ne permettraient pas de couvrir le service de la dette et que par conséquent cette dette doit être annulée, une fois pour toute, dans le cadre de l'initia-tive des Pays pauvres très endettés (HIPC)', précise le communiqué.

L'initiative HIPC a été lancée en 1996 par le FMI et la Banque mondiale afin qu'aucun pays ne soit confronté à une dette qu'il ne peut gérer.

Le président el-Béchir a souligné que le fardeau de la dette serait de la responsabilité de trois parties: le Nord-Soudan, le Sud-Soudan et la com-munauté internationale.

La Banque mondiale chiffre la dette externe du Soudan à 35,7 milliards de dollars à la fin de 2009, dont plus de 30 milliards de dollars d'arriérés.

Pana 12/01/2011 http://www.afriquejet.com/afrique-de-l%27est/soudan/sud-soudan:-el-be-chir-pour-une-annulation-de-la-dette-exterieure-2011011267115.html

Trois Bulgares sont enlevés au DarfourMétro Montréal

THE ASSOCIATED PRESS Publié: 13 janvier 2011 15:49 Mis à jour: 13 janvier 2011 15:53

KHARTOUM, Soudan - Un équipage, composé de trois Bulgares, pilotant des avions pour le compte du Programme alimentaire mondial (PAM), a été enlevé au Darfour, dans l'ouest du Soudan, a-t-on appris jeudi.

Selon le ministère bulgare des Affaires étrangères, les trois hommes tra-vaillent pour une compagnie aérienne bulgare sous contrat avec les Na-tions unies, qui gèrent une vaste opération humanitaire au Darfour.

Emilia Casella, porte-parole du PAM, a précisé à Genève qu'ils travaillaient pour le Service aérien humanitaire de l'ONU. L'enlèvement s'est produit sur une piste d'atterrissage d'Um Shalaya, à 60 km au sud-est de Geneina, la capitale de la province du Darfour-Ouest, a-t-elle ajouté.

Le président et chef de la direction de la compagnie aérienne bulgare, Va-sil Valko, a soutenu n'avoir aucun renseignement sur les kidnappeurs, mais affirmé que les secours des Nations unies s'activaient.

Des négociations de paix sont en cours entre le gouvernement et les fac-tions rebelles du Darfour pour mettre fin aux affrontements qui ont fait au moins 300 000 morts depuis 2004, selon les Nations unies.

Les combats ont ralenti, mais le pays a connu un accroissement des enlè-vements de travailleurs humanitaires.

Mercredi, l'ONU a rapporté que trois travailleurs humanitaires d'une agence catholique avaient été relâchés après avoir été détenus pendant trois jours.

http://www.journalmetro.com/monde/article/742478--trois-membres-de-l-onu-enleves-au-darfour

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=51011

Le Darfour ne doit pas être l'oublié du referendum soudanaisRadio Vatican

dernière mise à jour: 08/01/2011 18.33.32

Et si les projecteurs se braquent sur le sud Soudan, il est une région sou-danaise dont on ne parle plus ou presque : le Darfour. Un collectif de 17 Organisations Non-Gouvernementales tire la sonnette d’alarme face aux violences qui se poursuivent dans la région.Les ONG déplore une situation qui ne cesse de s'aggraver. Dans un communiqué elles recommandent vi-vement au Conseil de sécurité de l’ONU de réclamer des rapports publics réguliers sur la situation humanitaire et des droits humains au Darfour et sur l’ensemble du territoire soudanais.

Florent Geel, responsable du bureau Afrique à la Fédération Internationale des ligues des Droits de l’Homme, explique quelles sont les conséquences possibles du referendum soudanais sur la région du Darfour. RealAudioMP3

Des propos recueillis par Marie-Agnès Georges

http://www.radiovaticana.org/FR1/articolo.asp?c=452786

http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=50994

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Clinton to visit Turkey next monthThursday, January 13, 2011ANKARA - Hürriyet Daily News

U.S. Secretary of State Hillary Clinton will pay a "bilateral working visit" to Turkey next month, Turkish Foreign Ministry officials told the Hürriyet Daily News & Economic Review on Thursday.

"The exact date of the visit has not been fixed yet," officials said.

Clinton's trip comes after the U.S. House of Representatives failed to vote on a resolution in late December calling the killings of Armenians at the hands of the Ottoman Empire during World War I as genocide. Her visit will also follow nuclear negotiations in Istanbul set for next week between Iran and the West. 

During Clinton's meetings with Turkish officials, the details of the NATO-led missile defense system are expected to be discussed.

In February, President Abdullah Gül is expected to visit Iran. 

Russia presents new draft of Samsun-Ceyhan agreement to Turkey - Transneft

Transneft18:33 13/01/2011© RIA Novosti. Mikhail Fomichev

Russia handed a new draft of the Samsun-Ceyhan pipeline agreement to the Turkish government in December, Russian oil pipeline monopoly Transneft's President Nikolai Tokarev said on Thursday.

"The Russian side presented our draft of the cooperation agreement when we were in Istanbul in late December, so we can see that cooperation on the project is tangible. The emphasis is on development of a normal eco-nomic model," Tokarev said.

Some difficulties remain, but the participants are working hard to over-come them, Tokarev said.

"The participants, as part of the working group, are meeting almost every month, attracting experts and consultants. This is already not just a con-versation, as it was last year. Today we have already made all the calcula-tions," Tokarev said.

The Turkish side has proposed another meeting again in Istanbul in late January, Tokarev said but declined to comment on likely topics for discus-sion.

In September, Tokarev complained that Turkey was offering Russia unfa-vorable terms for the project. Moscow then presented Turkey with a draft agreement offering oil supplies of 25 million tons per year, well below the initially agreed volume of 60-70 million tons.

Russian Deputy Prime Minister Igor Sechin said in December that Russia and Turkey hoped to agree on investment in the Samsun-Ceyhan oil pipe-line project before the middle of March.

The Samsun-Ceyhan pipeline is designed to carry 60-70 million tons of oil per year from the Turkish port of Samsun on the Black Sea to a Mediter-ranean terminal in Ceyhan to ease tanker traffic burden in the Bosphorus and the Dardanelles straits.

MOSCOW, January 13 (RIA Novosti) 

http://en.rian.ru/business/20110113/162132390.html

Armenian Genocide: Time to face the music08.01.2011  Turkey wishes to enter the European Union as a dynamic, modern and vigorous new country. It has every right to present its application. However, before doing to, it must come to terms with its past, admit what was wrong and move on. One of the greatest evils perpetrated throughout human history was the Armenian Genocide, something which Turkey denies.

What is there to deny? By definition, Genocide is the deliberate and sys-tematic destruction, in whole or in part, of an ethnic, racial, religious, or national group; a massacre, in contrast, is a generalised act of mass mur-der.

April 24, 1915 is generally held to be the day on which the Genocide started, a process which went on during and after World War One which re-sulted in the death of between one and 1,5 million Armenians. In fact, the process started long before, when in the 14th and 15th centuries, Armeni-ans were harshly treated and despised by the Turks who called them gavour, (from which derives keffir, kaffir) or infidel. Lands were pillaged, women were abused, people were summarily executed.

Things started to gain pace and from 1865, the Armenian Community be-gan addressing the Ottoman government complaining about its status as second-class citizens across the Empire but particularly in Western Arme-nia, where the vast majority of the population was based. The leader of the Community, Nerses II, Armenian Patriarch of Constantinople, referred to "forced land seizure ... forced conversion of women and children, arson, protection extortion rape, and murder".

After the victory of Russia in the Russo-Turkish War (1877-1878), the Arme-nians insisted that the Russians should occupy the Armenian-populated provinces until the Ottoman government implemented full reforms. Great Britain opposed this and effectively removed any chance at policing it. The practical result was that Ottoman Sultan Abdul Hamid II unleashed a Kur-dish militia called Hamidiye, who he instructed to "deal with the Armenians as they wished". There ensued a period of provocation by the Ottoman au-thorities (over-taxation), resulting in the massacres in Sasun (1894) and Zeitun (1895/6). Massacres ensued all over the Empire, in Bitlis, Di-yarbekir, Erzerum, Harput, Sivas, Trabzon and Van (Hamidian Massacres, which according to independent figures amounted to the slaughter of be-tween 100,000 and 300,000 people).

Hamid was removed in a coup termed the Young Turk Movement (1908) but by 1909 a counter-coup took place and the Ottoman Army pillaged Ar-menian communities, massacring a further 15 to 30,000 people (Adana Massacre).

From massacres to Genocide

The Ottoman Empire entered the First World War on the side of the Central Axis (Germany and Austria-Hungary) and immediately sought to redress its losses with Russia in the Russo-Turkish war. The result was the Battle of Sarikamis (1914), in which the Ottoman Army was once again annihilated. The Ottoman authorities blamed the Armenians for their part in this vic-tory and so began a policy of systematic genocide. Armenians across the Empire were consigned to unarmed support units, were overburdened with work and were summarily slaughtered by Turkish death gangs.

April 24, 1915 was Red Sunday, when around 250 Armenian leaders across the Ottoman Empire were rounded up and arrested, moved to detention centers near Ankara and then deported.

The Genocide had begun. Aitan Belkind, an eye witness in the Ottoman Army, speaks of the burning alive of 5,000 Armenians by Turks. Whole pop-ulations of villages were taken together and set fire to. "The shortest method for disposing of the women and children concentrated in the vari-ous camps was to burn them."

"Turkish prisoners who had apparently witnessed some of these scenes were horrified and maddened at the remembering the sight. They told the Russians that the stench of the burning human flesh permeated the air for many days after."

The American Consul at Trabzon declares that "Many of the children were loaded into boats and taken out to sea and thrown overboard." Other diplomatic staff witnessed the deaths of thousands of people drowned in the Black Sea. In a forerunner to Nazi-style holocaust practices, many oth-ers were gassed to death while many children, including babies, were de-liberately infected with typhoid fever during "inoculation programes".

One look at this map, and we can see the tremendous scale and organiza-tion of what was a deliberate program of elimination of a people and their cultural influence: Genocide. Confiscations of property, expulsions from an-cestral homes, murder, pillage, rape...all took place under the cloak of "na-tional security" and were joined by a new policy of "mass starvation", de-scribed by the New York Times as "systematic", "authorized" and "orga-nized by the government." President Theodore Roosevelt later described this policy as "the greatest crime of the war."

Another method used by the Ottomans to kill large numbers of people was the forced march, in which people were forced to cover huge distances in inhospitable conditions without having the minimum of equipment for their security. The columns were frequently attacked and pillaged by Turks as the Ottoman soldiers watched on, or else were attacked by the soldiers themselves.

German engineers witnessed thousands of Armenians being forced into cattle-trucks on the Turkish railways. The "total extermination of the Arme-nians in Transcaucasia" was referred to by Major General Otto von Lossow, Head of the German Military Plenipotentiary in the Ottoman Empire in 1918.

Finally, concentration camps. Those who survived the forced marches and disgusting conditions in the cattle trucks were crammed into some 25 con-

centration camps build in Syria, most near the border with modern-day Iraq (i.e. in the middle of nowhere). The following were basically extermi-nation camps:

Radjo, Katma, Azaz, Lale, Tefridje, Dipsi, Del-El and Ra's al-Ain.

Now if that is not a policy of Genocide, I don't know what is. Why doesn't Turkey own up and admit what it did was wrong? The question of repatria-tion of lands stolen from Armenia is another, which belongs to another dirty chapter of international law.

Timothy Bancroft-Hinchey

Pravda.Ru

http://english.pravda.ru/opinion/columnists/08-01-2011/116460-armenia_genocide-0/

Turkish-US strategic partnershipWednesday, January 12, 2011NAMIK TAN

During the long decades of the Cold War, Turkey was primarily known for its military-strategic contribution to NATO in the defense of freedom. Now, we are increasingly known for our regional ties, economic dynamism and secular democracy and Turkish diplomacy has become an active force in projecting peace and stability in a wider geography spanning the Balkans, the Middle East, the Caucasus and Asia.

However, conflicts and disputes in our immediate and further neighbor-hood and beyond are far from resolved. Indeed, the Iranian nuclear issue remains elusive; Iraq is yet to be secured from sources of instability; ef-forts to ameliorate the Arab-Israeli conflict have not produced the desired outcome; Turkish-Israeli relations are passing through difficult times; the Caucasus continues to witness ongoing conflicts; efforts to ensure stability in Bosnia and Herzegovina face challenges; despite positive develop-ments, international efforts in Afghanistan still confront difficulties; and in Cyprus the ongoing isolation of the Turkish Cypriots continues despite at-tempts to achieve a lasting settlement. Turkey plays an important and fre-quently central role on each of these issues, all of which remain high on the United States’ foreign policy agenda.

It is in this wider context that the relationship between Turkey and the U.S. is one of the most important dimensions of our foreign policy. Turkish-U.S.

relations have been characterized for decades by close cooperation, soli-darity and strong bonds of friendship. They are based on common values of democracy, respect for human rights, rule of law and free markets. We have acted together in various conflicts ranging from Somalia, Bosnia and Kosovo to Afghanistan. We stand together in the fight against terrorism.

The positive change in the nature of our bilateral relationship was crowned by the visit of President Obama in April 2009. During his first bilateral overseas trip to Turkey, President Obama chose to use the term “model partnership” in describing Turkish-U.S. relations.

This vision requires deepening and widening bilateral relations in fields other than military and strategic initiatives, notably in economic, commer-cial and cultural spheres. Indeed, the depth of our relations in economic and commercial fields is not yet reflecting the nature of model partnership.

To address this gap, in line with the vision of model partnership, Turkey and the U.S. took a crucial step establishing the “Framework for Strategic Economic and Commercial Cooperation,” or FSECC, in December, 2009. The first meeting of the FSECC was recently held in Washington, D.C., with the participation of four Cabinet-level dignitaries from the two countries. This essential forum will bridge the gap between our private sectors and policy makers, allowing them to address mutual issues and opportunities.

It is unfortunate that two recent incidents have complicated these efforts to elevate our relationship to the level of a model partnership. The Turkish “no vote” on sanctions against Iran in the U.N. Security Council on June 9, 2010, and the Israeli raid on the Gaza aid convoy on May 31, 2010, trig-gered a surge of commentaries in the United States suggesting a shift of axis in Turkish foreign policy and questioning Turkey’s allegiance to the Western world.

Beneath these criticisms lies the Cold War mentality of seeing the world in opposing and exclusive terms. If there was a shift of axis, how could one explain the presence of our troops in Afghanistan? Turkey’s Western voca-tion is a consistent and an irreversible process. We view our goal of Euro-pean Union accession as the main pillar of our commitment to democracy, freedom and free markets and our place in NATO as the backbone of our national security as well as that of regional and global security.

Our relations with the United States and the European Union complement our presence in Eurasia and the Middle East and are not mutually exclu-sive. The intensification of our relations with Syria and Russia does not in-dicate a shift of axis. Similarly, Turkey’s leadership roles in the United Na-tions Security Council, the Group of 20 Nations, the Organization of Islamic Conference, the Council of Europe, the Southeast European Cooperation

Process or the OECD are also complementary. This is a clear example of the strength of Turkish diplomacy and the ability of Turkey to establish meaningful relations with different cultures and geographies.

Turkey is not immune from the consequences of conflicts in her region. The war in Iraq, the conflict in Palestine, disputes in Lebanon, hostilities be-tween Russia and Georgia, the situation in Bosnia, the conflict between Azerbaijan and Armenia and the Iranian nuclear issue have all had a direct or indirect impact on Turkey. It has been severely affected by the wars in Iraq, and our economy was disrupted by the dispute between Russia and Georgia. Most likely, the Turkish economy will be hit worse than any other country by further sanctions against Iran. Therefore, we cannot observe events as an idle bystander. It is with this understanding that Turkey makes serious efforts to reconcile disputing parties in our region and be-yond.

Viewing this multi-faceted active foreign policy as a shift of axis is not only inaccurate but also does an injustice to our sincere efforts to achieve peace and stability, to engage in more trade, to increase interdependency and to solve conflicts through peaceful means.

Turkey’s “zero problems with neighbors” policy is inclusive and not based on religion or ideology. We have accomplished positive changes in our rela-tions with all 12 of our direct and indirect neighbors, only four of which are Muslim-majority countries.

The Israeli raid against the Gaza humanitarian aid convoy in May and sub-sequent developments fed the negative caricature of a supposed change in Turkey’s foreign policy direction. Turkey was the first Muslim-majority country to recognize Israel and the second of all nations to do so after the United States. Our cooperation has continued uninterrupted for more than six decades. The relationship between the Turks and the Jews took root long before that, extending through five centuries. Turkish-Israeli relations have long been a positive factor in a world where we witness violent con-flicts based on religion and faith.

Despite all the anger and resentment among the Turkish public in the wake of the Gaza aid convoy attack, Turkey was ready to address this pro-found crisis with Israel in a manner befitting two friends. We held the view that, as a friend, Israel should accept her wrongdoing, apologize to the Turkish people for the killings and compensate the losses incurred by the families of the victims and those who were injured. This is still where we stand.

The second issue that gave rise to criticisms of Turkish foreign policy is re-lated to Iran’s nuclear program. Turkey is against Iran’s development of

nuclear weapons capability. Iran’s development of a nuclear arsenal would gravely threaten peace, security and stability in our region by triggering a nuclear arms race.

Having said that, I must also emphasize that Iran, as any other country that is party to the Non-Proliferation Treaty, or NPT, has the right to the peaceful use of nuclear energy. Therefore, in order to achieve our goals with respect to Iran, engagement is the only path to follow. This position does not undermine that of the U.S. On the contrary, we are encouraging Iran to be more transparent about its nuclear plans and to address the concerns of the international community.

To be sure, the Tehran Declaration of May 17 does not solve all the prob-lems. However, we believe it offers an important opportunity for the peaceful resolution of the problem. It is with this understanding that we voted against new sanctions at the U.N. Security Council resolution in June. We still believe that diplomacy offers effective avenues to address this is-sue without further heightening the tension in the region.

Our effort to portray a more accurate picture of Turkey in the United States and broaden bilateral relationship is one of the most important aspects of our partnership. The narrow-minded efforts of certain single-agenda ethnic lobbies are all too evident. In particular, the ill-conceived efforts of seg-ments of the Armenian diaspora do not serve the higher and long-term in-terests of the United States or even of Armenia. We must work together to prevent them from harming U.S.-Turkish relations.

Turkish-U.S. relations have withstood the test of time. We overcame one of the biggest challenges to the relationship in 2003 when the Turkish Parlia-ment voted against allowing the U.S. military to enter Iraq through Turkey. In a relatively short period of time Turkey and the U.S. revitalized their strategic partnership, in large part because of its strong foundation. Methodological differences on certain issues do not undermine our shared principles.

Our determination to further enhance the strategic partnership between our countries that will lead us to a brighter future remains unshaken. Tur-key and the United States complement each other. We cannot and should not accept failure, as failure is not an option.

*Namık Tan is the ambassador of Turkey to the United States. This piece is an abbreviated version of an article that originally appeared in Turkish Pol-icy Quarterly (TPQ), available at www.turkishpolicy.com.

http://www.hurriyetdailynews.com/n.php?n=turkish-us-strategic-partner-ship-2011-01-11

Turkish PM: Israel must remove foreign minister(AP)

13 Jan 2011

CAIRO (AP) — The prime minister of Turkey, whose ties with Israel have been badly strained over the past year, has called on the Jewish state to remove its hawkish foreign minister who he says poses an obstacle to Mid-dle East peace.

Avigdor Lieberman is a polarizing figure in Israel and outside, with his out-spoken skepticism about peace with the Palestinians and his questioning of the loyalty of Israel's Arab minority.

He once said Egyptian President Hosni Mubarak could "go to hell," has called for executing Israeli Arab lawmakers who met with Palestinian mili-tant leaders and has advocated bombing Iran and Egypt and was even reprimanded this week by his own prime minister.

Turkish Prime Minister Recep Erdogan called the Israeli minister "a prob-lem at the head of Israel" in an interview broadcast on Al-Jazeera Wednes-day night.

"Israelis must rid themselves (of Avigdor Lieberman) and that is surely their duty and not ours," he told the network.

Deputy Israeli Prime Minister Silvan Shalom rejected that, noting that Lieberman was democratically elected and calling Erdogan's remark "inap-propriate." Shalom said Israel wants to restore close ties with Turkey, but "unfortunately those statements are not helping us to narrow the gaps."

Israel and Turkey built strong military and economic ties over the past 15 years, and Turkey became Israel's closest ally in the Muslim world.

Relations between the two soured, however, with Turkey's government's increasingly vociferous criticism of Israel's treatment of Palestinians. They hit an all-time low in May, when Israeli naval commandos killed nine ac-tivists from Turkey on board a Gaza-bound ship that tried to breach Is-rael's naval blockade.

Israeli commandos said they opened fire in self-defense after meeting what they called unexpected resistance when they boarded the ferry car-rying aid supplies to Gaza.

Turkey withdrew its ambassador from Tel Aviv and Turkish leaders de-nounced Israel repeatedly over the raid. Turkey has made an Israeli apol-ogy and compensation for the victims' families a condition for improved ties.

"When the Israelis meet these conditions we will reassess the situation (to renew relations)," Erdogan told the network.

The unraveling of relations with Turkey elicited some of Lieberman's char-acteristically blunt talk.

He has likened Turkey to Iran on the eve of its 1979 Islamic Revolution, and said it was difficult to distinguish any difference between the anti-Is-rael "vitriol" of the two countries' leaders today.

He countered a Turkish demand for an Israeli apology for the raid with his own demand that the Turkish government apologize to Israel instead for "supporting terror."

Erdogan wants Israel to end its blockade on the Gaza Strip. Israel and Egypt blockaded Gaza after the militant Islamic Hamas seized control there in 2007.

"Netanyahu's government is the worst or the least fortunate in the history of Israel," Erdogan added in the interview.

 Nicolas Cage films Ghost Rider sequel in Turkey(AP)

13 Jan 2011

ANKARA, Turkey (AP) — Nicolas Cage is filming the sequel to "Ghost Rider" in Turkey.

Turkey' Anatolia news agency says the Hollywood actor arrived at the film set Thursday in the town of Goreme in the Cappadocia region, which is fa-mous for caves, houses made of rock and unusual stone formations.

Tourists from around the world visit subterranean cities carved out of soft stone in Cappadocia or ride in hot-air balloons above the mushroom-shaped stone formations.

Anatolia says some parts of the movie also will be filmed in the Turkish province of Denizli, where white limestone terraces form of calcium de-posits also draw tourists.

Genocide Recognition: Continuing a Flawed Political Strategy (Part I)

By: Michael Mensoian

Thu, Jan 13 2011 |

I want to believe that every Armenian hopes for the day when the Turkish leadership acknowledges that the uprooting and murder of some 1.5 mil-lion Armenians was a genocide.

Good men and women, highly motivated and dedicated to Hai Tahd (Arme-nian Cause) and the best interests of the Armenian nation are working to achieve this objective. However, on Dec. 22 the latest fiasco in this annual drama occurred when the House democrat leadership in which our good men and women had placed their trust decided to fool the Armenian American community once again. Specifically, Speaker Nancy Pelosi and the House Democrat Leadership simply decided, without warning, to pull the rug out from under the feet of the Armenian National Committee of America (ANCA) ostensibly because a favorable vote for passage of H.Res.252 (Armenian Genocide Resolution) was not likely. Behind the door machinations by the Turkish lobby aided by President Obama’s refusal to act on his stated beliefs on the genocide are the usual suspects. Maybe this is the moment when the ARF/ANCA finally realizes that while this an-nual pilgrimage to Capitol Hill may capture the emotional support of the Armenian community, it represents an inefficient and ineffective use of re-sources.

It was interesting to compare the response by the ANCA with the obse-quiousness of the Armenian Assembly. Rightfully so, the ANCA conveyed the anger and disappointment of the Armenian American community, whereas the Armenian Assembly issued an immediate press release prais-ing Pelosi and her leadership team for providing invaluable assistance and guidance during the process. The ANCA had every reason to believe that the vote would have been taken under the most favorable circumstances

possible. An unconfirmed report attributed to the Assembly accepted Pelosi’s judgment that the vote would not favor passage.

If genocide recognition encompassed all that was represented by Hai Tahd, there would be no cause for concern. Or if genocide recognition could solve the problems facing the Armenian nation, there still would be no cause for concern. Unfortunately neither is so. The Turkish leaders in Ankara once again must be savoring their victory and it must cause think-ing Armenians in the homeland (Armenia, Artsakh, and Javakhk) and the diaspora to question how priorities are being established and resources are being allocated. Difficult as it may be to accept, while passage of a genocide recognition resolution is important, it is not so important as to neglect other issues that have immediacy and are of greater importance to the future viability of the Armenian nation (see “Genocide Recognition: A Misguided Political Strategy,” the Armenian Weekly, Oct. 17, 2009).

For a moment consider what effect passage of the non-binding H.Res.252 could possibly have. Would it cause the Turkish leadership to recant and fi-nally confess to the world and its own citizens, after a 90-year policy of de-nial, that a genocide did occur? Would the average Turkish citizen willingly accept the moral, economic, and political burden for the crimes some an-cestors several generations removed may have committed? Would Turkey relent and open its border with Armenia? Would it result in Artsakh being recognized as an independent political entity? Would Georgia cease its dis-criminatory policies against the Armenians of Javakhk? Other questions could be asked, but the answers would all be a resounding no.

Furthermore, passage of a resolution would not cause Turkey to implode for the benefit of Armenians and Hai Tahd. Genocide recognition by some two dozen foreign governments has not lessened Turkey’s stature in the world. Presently it holds one of the rotating seats on the UN Security Coun-cil. Having said that, should a resolution recognizing the Armenian Geno-cide pass, it would only serve to harden the resistance of the Turkish lead-ership and the average Turkish citizen. And why not, when President Obama fails to honor his campaign rhetoric recognizing the Armenian Genocide? The president’s need to cajole Ankara by equating its interests and values with those of the United States or elevating Turkey’s contribu-tion as more important than ever should be more than sufficient reason for the ARF/ANCA to reassess its strategy. In addition, many Armenians de-lude themselves by misreading what Turkish academics and others mean when they say that the Turkish people must face their past. Facing their past is a purely psycho-moral exercise that is unrelated to the political and economic ramifications that genocide recognition has for the Armenian people.

Granted, a resolution recognizing the genocide would be an appropriate and significant moral and psychological victory for Armenians. It would go a long way in assuaging the emotional scars that Armenians have borne these many years, not only for the loss of ancestors they never had the opportunity to know, but for the generations forever lost to the Armenian nation. However, now is the time to realize that following the same flawed strategy year after year will invariably yield the same result. Valuable re-sources in political capital, money, individual commitment, and moral sup-port from the Armenian community are being diverted from significantly more important objectives facing the Armenian nation. We need to look no further than Artsakh where some 7,000 of our people sacrificed their lives to liberate these historic Armenian lands. They are no less our martyrs than those whose lives were taken during the genocide.

Myopia is a dangerous political affliction. It has allowed genocide recogni-tion to be raised to the level of a cause celebre, an apparent moral obliga-tion that is given precedence over every other issue. While genocide recognition may meet the legitimate expectations of the diasporan Arme-nians, the need to respond to issues whose solution will contribute to the viability and security interests of the Armenian nation are wanting. There is a failure to see the forest because of the trees. Theoretically, a genocide recognition strategy might be effective if a critical mass of countries (somewhere in the vicinity of 90 or 100 countries) not only supported the Armenian position, but also agreed to apply economic sanctions to pres-sure the Turkish leadership to finally accept responsibility. In the world of realpolitik this is an unrealistic expectation.

Next week, Part II will consider the issues that are vital and immediate to Armenia’s future, but that are being ignored, as well as an important op-portunity for the ARF to expand its political base in Armenia.

http://www.armenianweekly.com/2011/01/13/genocide-recognition-continu-ing-a-flawed-political-strategy-part-i/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+ArmenianWeekly+%28Armenian+Weekly%29

Bilingualism spreads across the Kurdish cities

Kurdish Info 12.01.2010- The Kurds in the region have been working tirelessly for bilingualism since the Peace and Democracy Party (BDP) and Democratic Society Congress (DTK) launched their campaign 25 days ago.The Campaign for Bilingual Life continues in Amed, Hakkari, Van, Şırnak, Siirt, Batman, Mus, Bitlis, Bingol, Iğdır, Mardin, and Izmir, Istanbul, Bursa, Mersin, Adana with many activities.

Many BDP Branches also launched petition campaigns for bilingualism.Sürgücü Municipality in Mardin changed the signs of departments in the building into bilingual ones, Turkish and Kurdish.

Kurdish people in Diyadin district of Ağrı and Seyhan district of Adana launched a petition campaign to support the general campaign across to Turkey particularly in the region.

Iğdır BDP Branch and Kızıltepe Branch in Mardin also launched a petition campaign for bilingualism. The signatures will be sent to the United Nations, European Union and TBMM. The High School students in Çinar district of Diyarbakır broke their pencils in protest against all prohibitions on the Kurdish language and demanded education in their mother tongue.

Democratic and Patriotic Youth for High School (DYG-L) in Batman and In Kiziltepe (Mardin) held a press conference, to ask for education in Kurdish and symbolically broke their pencils like many high school students have been doing lately to demonstrate their demand. Three hundreds students took part in the press conference held in front of Atatürk High School in the town.

At the forefront, Kurdish shopkeepers in Tatvan in Bitlis changed their price tags from Turkish to both Turkish and Kurdish.

Hakkari Municipality replaced the signs of their departments with both languages as well. Then the municipality handed out bilingual new-year calendars. Kurdish shopkeepers in Özalp in Van changed their price tags from Turkish to both Turkish and Kurdish.

BDP Idil Branch hung another sign board in Kurdish next to their Turkish sign board.

Adana 6th Heavy penal Court refused Kurdish statements of the defendants at the court. BDP Seyhan Branch Co-Chair Hüseyin Beyaz’s request to speak in Kurdish at the court was considered as “using his right to remain silent" by the judge.

However, İzmir Women Assembly of BDP issued a press release to present their support to the campaign while Balveren Municipality in Şırnak replaced the signs of their departments with both languages as well.

Cizre Municipality prepared the Kurdish written trophies for the cup winners of Football Tournament for the People. The municipality targeted poor young people who need more sporting activities.

Akdeniz Municipality in Mersin handed out the new-year calendars with three languages, Turkish, Kurdish and Arabic. Mersin is the city where around 300,000 Kurdish people forcibly emigrated due to the conflicted

atmosphere in the eastern Turkey in 1990s.Former deputy from the ruling party Justice and Development Party

(AKP) Mehmet Bekaroğlu condemned the judicial institutions’ approach to Kurdish Language which is mostly considered as an unknown language in the courts in Turkey. He said, the state which has defined the Kurdish Language, which already 20 million people speak it, is not legitimate for all citizens of Turkey.

However, some other politicians from AKP Ağrı Branch organization refused Kurdish names for the city’s villages. BDP politicians in Ağrı criticized this attitude as being two-faced.

January 13 will be another milestone for the Kurdish question

Kurdish Info 12.01.2011- The historic mass trial of 153 Kurdish politicians will continue with its second hearing on January 13 in the Diyarbakır 6th Heavy Penal Court. The trial was postponed due to the chaos that ensued after the court’s prohibition of the Kurdish language in court. Kurds who support the Kurdish defendants will hold a mass march in Diyarbakır in support of them and to warn the government against the prohibition of the Kurdish language, one more time besides other activities to protest the attitude of the judiciary and government.

Besides many foreign observers and the press from out of Turkey, many deputies; executives from Peace and Democracy Party (BDP); NGO leaders; intellectuals; lawyers; and trade unionists will attend the march, condemn the trail and appear in court as observers.

There are also many other protests which will continue as more cities plan to host their own.The hearing will continue until January 28 if it goes how it was planned.All hotels and motels in Diyarbakır were already fully booked by observers and the press.

According to the Kurdish politicians and lawyer’s expectations, the court intends to allow the statements in Kurdish during the trail. There are 12 more KCK cases on trial and this one will be the milestone and compass for others.

However, thousands of women marched in Batman and Urfa for freedom of Kurdish politicians whose hearing will be held on January 13. Democratic and Free Women Movement (DÖKH) held the meetings to draw attention to these cases.

Women criticized the ruling government for acting in a racist and ultra-nationalist manner against Kurds and particularly Kurdish politicians.

Women also supported the campaign for bilingualism in the region. Many officers from the Peace and Democracy Party (BDP), mayors, NGOs and Kurdish citizens attended the meetings in Batman and Urfa. Women cheered slogans, waved banners and read out letters from political

prisoners during the meetings.

Turkey's Prime Minister Recep Tayyip Erdogan commits crime against humanity

KNK- Kurdish National Congress (KNK) has written to the Presidency of the European Union, the Presidency of the European Commission and the Secretary-General of the United Nations to highlight what amounts to crimes committed by the Turkish government and state officials in relation to the ban of Kurdish education and teaching which constitutes an existential matter for the Kurdish people living in Turkey.The Letter said that "the inclusion of Kurdish in education is being refused in order to subject the language to assimilation. This process of assimilation has been conducted systematically since the creation of the Republic."

According to the letter, which includes several documents, "the inclusion of Kurdish in education is being refused in order to subject the language to assimilation. This process of assimilation has been conducted systematically since the creation of the Republic."

The excerpts presented as evidences by the KNK have been gathered from state reports, statements by the Armed Forces and speeches delivered by the Prime Minister. "The carefully planned process of assimilation - reads the letter - will continue as long as Kurdish is banned from general education and is denied assurance through legal and constitutional measures and subsequently resulting in the tragic extinction of a language and the doom of a people."

Underlining that "assimilation is clearly a crime against humanity", the KNK stressed in its letter that "during a press conference in Germany along German chancellor Angela Merkel, Turkey's Prime Minister Tayyip Erdogan uttered the words "assimilation is a crime against humanity" regarding the need for protecting the language of Turks in Germany. However, these words obviously do not apply when it comes to Turkey where the Prime Minister himself as well as the entire government commit assimilation against the Kurdish language."

The letter concludes with an expectation of solidarity and support "for the Kurdish people in relation to solving the issue of Kurdish teaching and education, which is a core right, and against these crimes against humanity by the Turkish State and government."

The prohibition of Kurdish language in prison

Kurdish Info 11.01.2011- Kurdish prisoners detained in Adra prison near Damascus, were deprived of their native language with their relatives on the phone. Turkey, Iran and Syria are the three countries where the Kurdish language is under severe restrictions.Now Kurdish prisoners have

no right to speak their native language in conversations with their relatives through the phone in Adra prison, according KurdWatch, an independent website that reports violations of the rights to the Kurdish population in Syria.

Prisoners have the right to speak on the phone once a week, but Arabic is the only language allowed for several weeks for these weekly conversations, while many of them can not speak Arabic, said the site Internet.

Any rapprochement between Syria and Turkey ended with privatization of rights and repression against the Kurds. Dozens of Kurds had been arrested before and after the visit of Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan in Damascus October 11, 2010 for a meeting with Syrian President Bashar Al-Assad.

Trafficking diplomacy has multiplied, particularly since the cease-fire declared Aug. 13, 2010 by the PKK, the Kurdistan Workers' Party for a peaceful solution to the Kurdish question. After several meetings at ministerial level, both countries had signed an agreement on PKK militants. The agreement provides for exchange of prisoners between the countries, members of the PKK from Syria citizens can spend their time in prison in Syria. The Turkish Grand Assembly had swallowed this steep and inserted into the legislation early last November.

Turkey, Iran and Syria are the three countries where the Kurdish language is under severe restrictions or denial as in the case of Turkey. Despite heavy pressure, massacres, negative actions and assimilation policies, the Kurdish language with all its dialects is not lost, and won the ground in all areas of life.

The Kurds of Syria, whose population is estimated at 2 million people, about 9% of the population, have a status of "foreign citizens", formalized by a red identity card distributed by the Department of Interior since 1962. Today, more than 300,000 Kurds have no citizenship, according to sources. The Kurdish language is not recognized as an official language and is not taught in schools. It is prohibited to publish material in Kurdish in 1958 and the Minister of Culture had extended the ban to listen and circulation of music cassettes and videos Kurds in 1987. The prohibition to teach Kurdish in schools and universities has been reaffirmed in a secret decree issued in 1989 which also prohibited the use of this language in all official institutions, according to sources. Other sources report that the maximum sentence attesting to the fact of printing texts in the Kurdish language and teach the Kurdish language has been extended to five years imprisonment. Kurdish is also forbidden to use at private parties and workplaces. By cons, in practice, it seems that the authorities condone the use of a small number of documents in Kurdish. But, writers, poets, politicians, journalists and citizens, are all still subject to prosecution and convictions for the use of Kurdish language.

In Turkey, the Kurdish language was banned after the military coup of 1980. Today she is slowly regaining his place in the public sphere but

prosecutions, prohibitions and convictions are continuing. Turkey is the only country that has denied the existence of the Kurdish people and its language for a long time. Kurdish is still not officially in the country despite a television channel launched by Kurdish government, which contrasts with the repression of the Kurdish language. It is an artificial freedom without legal basis and a corrupt government policy. Today, the Kurdish population in Turkey is estimated at 20 million people, according to Kurdish sources.

In Iran, where the Kurdish population estimated at 10 million people, Kurdish is forbidden and has more freedom in relation to these two countries. However, in some cities like Saqhez and Sanandaj, in Iranian Kurdistan, the Kurdish language was banned in schools in November 2010. Education official Saqhez had said the decision was taken to "protect students who do not speak Kurdish”, an absurd reason. (MA)

Demirtas: We are a democratic alternative for the government

Peace and Democracy Party (BDP) leader Selahattin Demirtas said his party is a democratic alternative for the government and they may be targeted for denouncing ruling AKP's politics.

Speaking to senior party officials in Ankara Demirtas underlined the importance of preparations for the general elections in June saying that BDP is an important alternative for the government. He called every member to participate actively during BDP's election campaign.

“The election process is an opportunity for us to move forward and gain important grounds” he told his party officials.If we want a permanent solution (for the Kurdish Question), if we want to be victorious on the struggle of a future in which Turkey becomes a democratic country, this election process is an important step.”

BDP leader said his party managed to show Turkey's people that AKP's real face and it's solutions are “virtual” and added that BDP is a party which decodes AKP's politics. He also said that his party members even the organization itself may be targeted.

Demirtas warned his party officials that the process leading to the elections is very important for democracy struggle in Turkey.

BDP now has twenty deputies at the Turkish parliament. Pro-Kurdish made huge gains in local elections in 2008 and now preparing for the general elections in June 2011.ANF

Karayilan: We will not withdraw our autonomy demand

President of the KCK's Executive Council Murat Karayilan says they will not withdraw their demand for Democratic Autonomy under any circumstances. Speaking to ANF Turkish Service Karayilan said the "Democratic Autonomy" proposal of Kurdish organizations can be debated and reformed but there is no way that Kurdish people will step back and accept another solution.

Karayilan underlined the fact that Democratic Autonomy Project does not include maximum demands for Kurdish people and is an acceptable solution project for Kurdish people.

"If you don't want to assimilate us, if you want to protect Kurdish language and culture you should recognise a separate statue (for Kurdish people)" Karayilan said.

Karayilan said Kurdish Question can not be solved with the "individual rights" perspective. "Collective rights of Kurdish people must be recognised" he added.

"Nobody offered us any solution project for Kurdish Question until now. Why? Because they don't want to solve the problem. They didn't give up assimilation politics. They should have a project and perspective"

Underlining Turkey's need for a constitutional reform Karayilan said the centralized government practice must be abandoned and it's not possible to govern the country from Ankara.

Karayilan also said that Democratic Autonomy Project will help democratization of the Turkish Republic and the state actors.

He insisted that Kurds don't demand a seperate state but they want to live in a democratic state where Kurds, Turks and other ethnic groups can enjoy their cultural rights.

Karayilan harshly criticized the Turkish government, especially Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan for his remarks which defends Turkey's official "one language, one nation, one flag and one homeland".

He said the move for Democratic Autonomy showed the real face of Erdogan, who says he favors rights of Kurdish people.

Speaking on the upcoming trial of the Kurdish politicians in Diyarbakir, Karayilan said the judges should let the defendants make their defense speeches in Kurdish.ANF

AKP forms Hamas-like organisation in Turkey

Duran Kalkan, the member of the Executive Council of Democratic Confederation of Kurdistan (KCK), said that the release of the Hezbollah’s members was the government project.

In an interview with Kurdish Satellite TV Duran Kalkan stated that AKP and some foreign hands were behind the release of Hezbollah’s members from prison.

Kalkan claimed that AKP, the Islamic Justice and Development Party, has

long been considering of formation of a Hamas-like organisation in Turkey. “the decision to form such an organisation was made in 2007, there is nothing new about this project, the AKP is in favour of it, the only new thing is the AKP’s endorsement of this project,” said Kalkan.

Peace and Democracy Party's (BDP) leader Gultan Kisanak said early that the release of the Islamists Hezbollah members and their participation in the legal politics of Turkey will be a disaster for the country.

The leading members of the Turkish Hezbollah were released after 10 years in prison. The organization is regarded as responsible for the deaths of hundreds of people during the mid-1990s, the worst years of the conflict between the PKK (Kurdistan Workers Party) and Turkish army.

Treating Kurdish Lives with Contempt

Huseyin Ali - Turkey discusses release of Hezbollah leaders and their involvement in murders. Indeed, a shocking development. Beyond the political and legal scandals, releasing those responsible for makeshift graves where hundreds of bodies were found, that event will create a moral collapse in society. After this incident no one can respect law and justice.It has not traced such people who committed so many murders and it has not found the organization. There was nothing more shocking than this in the history of Turkey. In the face of these tombs and these events, even those who are natural pessimists said, "It could not be this much".

Only those which are hard to be understood by humanity; could be seen in horror movies and Turkish society has watched those like a horror movie. Perhaps at those times, many people´s spiritual world had been broken.

Even while I am writing this article, I am still surprised at how such a release could happen. If they are being released, there should be no one in the prisons of Turkey. Even the most serious common crimes remain mild by comparison with these crimes. The release in no way can be explained. To be released into the community, without a clear serving of sentence is uncommon.

This is one aspect of the whole incident. Another aspect is the use of these people by the Turkish state against the Kurdish Struggle for Freedom. That was the most corrupted side of the war implemented by Turkish state after 1992. They, and the majority of them were Kurds, massacred many Kurdish patriots. This aspect of the history of Kurds could be said that it was the worst kind of betrayal. Kurdish people had been stabbed in the back.

None of those killed were PKK militants nor were they party members, but 95 % of them could be described as supporters and patriots. Only 5 % of them were PKK sympathizers. They, Hezbollah, have become the tools of imperialists and colonialists which is practiced everywhere against

freedom fighters.

"Drain the water and kill the fish"Those decisions have been taken in detail by the state itself, the

Hezbollah organization was fighting the Kurdistan Workers’ Party (PKK). This decision is at the cosmic rooms of the general army stuff.That period is known to run JITEM and Hezbollah was bred. National Intelligence Organization (MIT) is also another actor in the planning of this dirty war. Archives of these organized counter-attacks are available at MIT. MIT reported how permanently carried out and the results of this dirty war to his centres.

And it is well known that the murders were held under supervision of the police and the gendarmerie. Otherwise, the public would have finished them by themselves. In the conditions prevailing in those days, these kinds of murders could not be done without the support of state protection. Many studies have been presented about this reality already. Kurdish people know it very well. Kurds already revealed how they saw these attacks which they defined as “Hizbul-kontra” from the very beginning.

Another striking point is that all Islamic political communities, media, organizations found the victims guilty, but not the perpetrators of the murders. If it is searched at first archives of press community and political Islamic media, that will be found that they were supporters of this dirty war and they legalised it. There was no opposing attitude.

These incidents remind us once again of the dark face of that era. That showed that the Turkish state may resort to any method to crush the Freedom Struggle of the Kurds. Certainly those used mostly were not directly state agents. However, what they did were more dirty and betrayal than what agents would have done.

Of course the Kurdish people knew them well. They have a deep understanding about these kinds of attacks and organizations. Even if the younger generations may be unaware of this dirty war, Kurds over 25 years old have seen this very well. In other words, the Kurdish people know very well what is happening.

We do not know how their lives will be, the ones who are free. However, the majority of those people realized that they were used. After being used, they saw how their leaders were killed. Their leaders might also have entered into a mutual use. The result is that everyone has seen actual user and at the end of job is the state.

If it could takeover, the Turkish state would not leave any evidence by killing many of those used in this dirty war. It already eliminated many people used in order to cover up any evidence. It is a lie that their faces were changed by plastic surgery and they have been sent to other places. Indeed, most of them were killed. For instance, Alaeddin Kanat who is called general Zinar is one of them.

We hope that those released took lessons from past. They will not be

instruments of dirty state policy. Because as long as not solving Kurdish problem, the state continues to dirty fight. For this purpose, the state uses many others.

Hezbollah and others must know that Turkey is a private war state against the Kurds. The state is structured as a private war state against the Kurds. All policies and practices are a private war towards the goal of to destroy national existence of the Kurds. Not to intent to decision and to solve the Kurdish problem, today Turkey is a special state of war and psychological state of war against the Kurds. It engages in a multi-dimensional dirty war.

It can be seen better by Hezbollah militants in prison. Comments made about those released say that they will be used as opponents of the new Ergenekon by the AKP.

I guess in this situation, they will suffer greatly again. The most accurate way those released is to apologize to especially with all the organizational structure of the Kurdish people and all of Turkey and to start a new life (including political life) in society.

Discovery of mass graves in Turkey

Kurdish Info 06.01.2011 - The bones of at least 12 people, mostly civilians, were discovered in a mass grave in Kurdistan, during an investigation into the fate of Kurds missing since the 1990s. More than 30 mass graves have been discovered so far, according to human rights organizations. Nine young people had left their families in 1999 to join the ranks of the Kurdistan Workers’ Party (PKK) in the region of Bitlis, but these young unarmed people, killed by the Turkish army, were found 10 years later in a garbage dump, an atrocity denied by the authorities so far.

But during an investigation, seized by families of missing persons, missing 36 fighters of the PKK, the prosecutor Mutka, a town of Bitlis province, populated by Kurds, ordered Wednesday, January 5, the launching of a search into a wasteland used as A landfill at the exit of the village.

The bodies of twelve persons, including nine youths and three unarmed guerrillas of the PKK, have been exhumed in the first area where excavations were carried out, according to the Association of Human Rights (IHD). "The bones were safe," said his side the chairman of the Bar of Bitlis, Enis Gül, who was present at the scene as an observer.

"For the time excavations were made on a single area. We have made appeals to various places. But it is not known yet whether there will be new excavations," said Serdar Celebi, the lawyer member of IHD. The delegation of the IHD at the scene described the discovery of this common grave of "extrajudicial executions".

Similar excavations have led to the exhumation in 2009 of human bones

and clothing in the province of Sirnak Kurdish city. They led to the opening in September of the trial of seven defendants, including a police colonel, accused of involvement in summary executions of 20 people in the 1990s. Several complaints were filed by families of the disappeared and the Association of Human Rights, against former Turkish leaders, including former Turkish President Suleyman Demirel, former Prime Minister Tansu CILER, following a confession of Atilla Kiyat, retired Vice Admiral. "The unsolved political killings (Faili meçhul Turkish) were a state policy between years 93 and 97," he said.

At least 31 mass graves have been discovered by human rights organizations and the inhabitants of the Kurdish region with the help of the PKK. The inhabitants have discovered two mass graves in September 2010 in Diyarbakir, capital of the Kurdish region, where clothing and bones of PKK members had been found. According to eyewitnesses, the bodies were burned and abandoned by the army after heavy fighting between 1993 and 1998 near Zera, a village in the region of Diyarbakir. But justice has not yet been achieved for the dead.

Eleven other bodies, all members of the PKK, have been exhumed on June 9, 2010 in a village in Gercus, a city of the province of Batman. They were killed in 1995 during a confrontation with the Turkish army. "The Turkish army attacked the fifteen guerrillas with thousands of soldiers backed by tanks, fighter planes and helicopters. The battle lasted for several hours early, four guerrillas were killed. They were dragged, and then run over by tanks. Cobra helicopters were dispatched from the city of Sirnak, and eleven guerrillas were killed after 11 hours of combat," said Numan Amed, a witness, fighting the PKK. His testimony had led to the discovery of mass graves and identification of the bodies. But in total fifteen Kurdish guerrillas were killed and were buried in three different places, according to Meda. "Sari Selim, a guerrilla commander of the region Mardin, also lost his life during this confrontation. His head was cut off by a soldier and his headless body was dragged along the ground attached behind a military vehicle in the villages Silebin, Midelbe and Baminire of Gercus "continued the witness.

Turkey knew mass graves in 1989, a Kurdish journalist has revealed. Kasaplar Deresi (Butcher's Creek), a place of discharge from the army in the province of Siirt, was the first mass grave discovered in which nine people were exhumed by the authorities, but the names of at least 73 others buried in this mass grave came to light. The guerrillas killed in clashes or people abducted by the security forces have been thrown with their clothes on Kasaplar Deresi, sometimes from garbage vehicles, witnesses said. More than 100 bodies found in this mass grave were exhumed over the last 20 years.

Another suspicious death in Turkish army

Two bullet holes were detected on the head of Bilal Çıplak who was claimed to have committed a suicide with a G-3 gun during his military service in İzmir. Çıplak's family is preparing for a legal fight that will extend up to ECHR.

20 year-old Bilal Çıplak from Elbistan was doing his military service for six months at İzmir Menemen 57. Artillery Brigade Command when he was claimed to kill himself during his guard duty. Çıplak was reported taken to Menemen State Hospital but could not be saved despite all medical efforts.

However, the autopsy of the Kurdish soldier in İzmir Forensic Medicine Institution revealed that two bullet holes were detected under Çıplak's right eyebrow and both woundings were lethal and made from a close distance.

Following the murder on 8 November, Aegean Army Command Military Prosecutor's Office launched an investigation which is however discussed to be laid aside, like other previous soldier murders.

Bilal's uncle Bahattin Çıplak remarked that they are right about suspecting of the death of their child, adding; "How can a person fire two bullets on himself? Our son has been buried in a concave for two months. We are waiting for the conclusion of the military investigation. If we don't get a result, we will apply up to ECHR. ANF

RSF called for cancellation of arrest warrant of Kurdish journalist

ANF 08.01.2011-Reporters Without Borders called on the appeal court in Diyarbakir to cancel the arrest warrant against Emin Demir, former editor of Kurdish Azadiya Welat who was sentenced to 138 years in prison.

Reporters Without Borders called on the appeal court in Diyarbakir to cancel the arrest warrant against Emin Demir, former editor of Kurdish Azadiya Welat who was sentenced to 138 years in prison.

The organization said that RSF is expecting the appeal court to reject the iniquitous and disproportionate sentence against the journalist.

Demir, aged 24, was charged with supporting the cause of the Kurdistan Workers Party (PKK). The court issued a warrant for her arrest since she did not attend the hearing.

The newspaper Azadyia Welat has already been suspended eight times by the Turkish justice system. At least nine of its journalists are currently in prison, including two other former editors, sentenced on similar charges to those against Demir, to unbelievable sentences. Vedat Kursun was sentenced on 13 May 2010 to 166 years in prison. Ozan Kilinç was sentenced in his absence on 9 February to 2010 to 21 years in prison. He was also stripped of his civic rights. The three ex editors have now been sentenced to a total of 325 years in prison between them.

"This judicial harassment of the country's sole Kurdish-language newspaper contrasts with political statements in support of openness towards the Kurdish minority that have been made since 2009. The Kurdish question remains taboo and is used as a pretext for legal proceedings against too many media and journalists in Turkey" the statement read.

The organisation also repeated its call for amendments to the anti-terror law and for the release of Berivan Eker, Bedri Adanir, Vedat Kursun, Ozan Kilinç and all the other journalists imprisoned under this law for their work as journalists.

The PDK withdrew its complaints against the media

Kurdish Info 11.01.2011- The Kurdistan Democratic Party (KDP) of the regional president of Iraqi Kurdistan, Massoud Barzani, has decided to withdraw all his complaints against the media and journalists, said Nechirvan Barzani, the vice-president of the party.

"We, as a PDK, announcing that we have decided to withdraw all complaints brought against newspapers, journalists and writers," said vice-president of KDP, in an interview with the Kurdish website Rudaw.net. This declaration followed the temporary suspension of the weekly Destur, announced Jan. 5 by the newspaper in its 64th edition, for economic reasons and the trial opened against him.

The KDP had withdrawn the complaint against the two editors of the newspaper "Awene," Marwan Wrya Qani Aras and Fatah, prosecuted for their article "What the President of the autonomous region of Kurdistan said?", which was published in June 2010. Reporters Without Borders (RSF) expressed its satisfaction with this announcement by Massoud Barzani, President of the Kurdistan Democratic Party, in an interview on January 7, 2011 the daily pro-KDP Khebat.

Following protests at national and international, Barzani had "clearly" expressed for the freedom of the press, at the 13th Congress of his party in December.

Reporters Without Borders has reiterated its support for all initiatives to defend the freedom of the press in the region.

The organization had repeatedly expressed its concern at the increasing number of cases against journalists and non-partisan media in Iraqi Kurdistan. "These are not only non-partisan media that are in the crosshairs. Today, the publishing directors spend their time in the corridors of the courts" RSF stated in a report entitled "Iraqi Kurdistan: the trial as it’s raining.”

Mera Ahmed, editor of "Lvin", has identified no fewer than 27 complaints in court against the magazine, including "at least seven political nature" that were filed by the KDP, quoted by AFP.

The newspaper "Hawlati" is covered by nine different complaints,

according to its chief editor, Kamal Rauf, for whom "their goal is clearly to intimidate the media, and thus influence them," reported AFP.

The secretary of the KDP politburo was filed July 25, 2010 against the weekly Roznama, demanding a billion dollars in damages for an article published July 20 on the smuggling of oil from Kurdistan and Iran saying reported trafficking "millions of dollars" to the two traditional parties Kurds, the KDP and the Patriotic Union of Kurdistan (PUK) of Iraqi President Jalal Talabani.

The trial of the weekly which belongs to the opposition party leader Goran (change) Nicherwan Moustafa, had opened on Aug. 8 in Erbil, capital of Iraqi Kurdistan, and the Court should give its verdict on August 23. No verdict has been delivered so far.

The magazine Rega was sentenced last month to a fine of 35 million dinars (about 30,000 dollars) for an article on the case Sardasht Osman, a journalist who wrote highly critical articles against the Kurdish leaders and corruption, and murder in May after he was kidnapped in broad daylight in front of the university where he studied in Irbil. (MA)

Life in Maxmur camp becomes a film

Maxmur Camp, where thousands of Kurdish people fleeing to South Kurdistan between the years 1993-94 because of the pressures of the Turkish state, became a film which tells of the difficulties and shattered lives in Mahmur camp.

Thousands of Kurdish people were facing the pressures of the state in the years 1993-94 when hundreds of villages were evacuated and thousands of people were disappeared in Turkey and went to South Kurdistan side by walking and settled into Maxmur camp. The camp, which has been made the subject of bargaining between Turkey-Iraq-USA and UN and came to the agenda each time with the questions will it be evacuated or remain, has been the subject of a movie this time.

The ‘Jenura’ film, which is about the challenges of thousands of people living in the Maxmur refugee camp, treats the last view the German journalist Angelina faces during her last visit. Coming to Mahmur to visit the people she had photographed in her previous visits, finds herself in an unhoped tragedy.

The challenges waiting for thousands of people who are trying to rebuild their lives under the scorching desert heat, aren’t the desert heat, shelter and waterlessness alone. The film presents sections from the lives of small Jenura and the scorpion hunter who are giving a struggle for life in a desert after being deprived of their lands.

The film Jenura directed by Yakup Kamay will participate at International Film festivals after the Gala which will be held in Zurich in the coming weeks.ANF

Think Again: Congress comes up lame in last session 30 Share January 12, 2011

The 111th Congress held its lame-duck session until Christmas to wrap up unfinished business before Democrats ceded control of the House of Rep-resentatives to the Republicans. But the business it failed to address is a most fundamental one.

Up until the last hours, there was hope that Reps. Adam Schiff, Brad Sher-man, Howard Berman, Frank Pallone, Chris Van Hollen and other lawmak-ers were going to successfully bring House Resolution 252, the Armenian Genocide bill, to a floor vote.

There was bipartisan support, and had the bill been brought to a vote, it would have passed. While the resolution was non-binding, thus not having the force of law, it was a meaningful expression of Congress that America was drawing the line when it comes to our principles and values.

Some think this bill addressed a "historical" issue limited to the concerns of the Armenian American community, but such an assessment is short-sighted. The line Congress would have drawn with passage of House Reso-lution 252 was about our country's credibility on human rights and ending the cycle of genocide. We would have demonstrated our unwillingness to compromise our American values and principles to help the Turkish gov-ernment's continued denial of a crime against humanity.

It would have also sent a strong signal that Turkey's support of Sudan's leadership that has committed genocide in Darfur is unacceptable.

This is the opportunity that the House Democratic leadership, Speaker Nancy Pelosi and Majority Leader Steny Hoyer missed when they betrayed their commitments to get this legislation passed. Instead, they willfully chose to continue making our country an accomplice to Turkey's genocide denial, which flies in the face of America's great history in helping victims and survivors of the Armenian Genocide and other genocides around the world.

Failure to bring the legislation to a vote also has put many members of Congress in a precarious position with constituents, making it seem like they don't have the wherewithal to deliver on promises. Pelosi made a cold political decision to give the Obama Administration the cover it wanted with Turkey, but at a huge price.

This time, trust, which takes a long time to build, has been seriously un-dermined between many representatives and their constituents, naturally leading to calls for accountability at the ballot box. When elected leaders try to spin their way out of these situations, they underestimate the intelli-gence of voters and their ability to see through the rhetoric. In the end, voters want honesty and values-based decisions.

This is a tough reminder of an old lesson in politics: that there is no such thing as permanent "friends" or permanent "enemies," only permanent in-terests. The "permanent interest" I worry about most is our country's val-ues and principles, the compromise of which is a very high price to pay for "friendship" with a country like Turkey.

If we don't draw the line when it comes to covering up a crime against hu-manity, then what is left? This eats away at our nation's very foundation.

At the same time that Pelosi made her Faustian bargain, President Obama held a press conference to discuss a variety of issues where he was asked about closing Guantanamo. He said: "But it is important for us, even as we're going aggressively after the bad guys, to make sure that we're also living up to our values and our ideals and our principles."

He said this in the context of rebuilding our country's credibility in the world.

What made watching the president make that statement especially painful is that on the same day he was talking about the importance of living up to our "values" and "ideals" and "principles," he was selling them out with the government of Turkey.

Values, ideals and principles aren't things you apply selectively when con-venient. You either have them or you don't.

ZANKU ARMENIAN is a resident of Glendale and a corporate communica-tions professional. He can be reached at zanku.armenian@gmail.com.

http://www.glendalenewspress.com/news/opinion/tn-gnp-zanku-20110112,0,5731475.story

Hrant Dink Commemorative Conference

On the fourth anniversary of Hrant Dink's seath, you are warmly invited tothis conference  on

"Persecution of Indigenous Peoples,  Unrepresented Nations and otherMinotities " (in Turkey, Pakistan, South America and Iraq) on 18th January, (eve of Hrant Dink Day) between  3 p.m. and 6 p.m  in Committee Room 2 of the House of Lords, Westminster,

Content :

1    Tibute to Hrant Dink, and his world-wide signifigance (Eilian Williams) Turkey's targeting of the Kurds and 'Others' in Turkey (Desmond Fernan-des, genocide scholar and Kasim Agpak - FED-BIR, the Kurdish Federation in the UK)

2    The 1881 Genocide of the Mapuche and Tehuelche in ArgentinanPatagonia in the so-called  "Conquest of the Desert" and their currentpersecution in Chile (Reynaldo Mariqueo)

3    Tribute to the late Salman Taseer, assasinated  governor of  of thePunjab The treatment of Christians and other Minorities in PakistanThe case of Asia Bibi-possible solutions(Wilson Chowdhry and Alex Choudhry of the British Pakistani Christian Association , Cllr Raza Anjum on his mission to help Asia Bibi) Revd. Alwin Samuel of CLAAS (Centre for Le-gal Aid and Settlement) Mushtaq Laharie or Lash ( Chairman of Third World Solidarity) Pakistan's persecution and possible Genocide of the Baluchis

4 The  Persecution of Minorities in Iraq (Saad Tokatly, Iraqi Christianrepresentative) Autonomy and a Genocide Recognition  in Iraq. A  Solution to thesuffering of Minorities?(Adnan Kochar of the Centre of  Halabja- CHAK)

(Short Discussion following each section)

The Conference is  sponsored by  Baroness Finlay of Llandaff andBaroness Cox

RASSEMBLEMENTSEXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS

Agenda - Paris : "Comprendre et combattre le néga-tionnisme" à l'ESGInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN est partenaire des 8e Entretiens de l’ESG Management School qui se tiendront à Paris le dimanche 30 janvier 2011 de 9h30 à 18h, sur le thème "Comprendre et

combattre le négationnisme", aux côtés du Mémorial de la Shoah, de l'Arche, de la Licra, de SOS Racisme, de RCJ, des Editions Autrement, des Nouvelles d'Arménie Magazine, etc.

Armand Derhy, directeur de l’ESG Management School, et Frédéric Encel, politologue, professeur à l’ESG Management School, accueilleront les parti-cipants. Yves Ternon, historien, spécialiste des génocides, procèdera à l'ouverture du Colloque où prendront notamment la parole Valérie Igounet, historienne, Raymond Kevorkian, chercheur à l’Institut français de Géopoli-tique (Paris 8), Gérard Rabinovitch, directeur de recherches au CNRS, An-toine Vitkine, essayiste, réalisateur, Patrick de Saint-Exupéry, grand repor-ter, directeur de la revue XXI, Dominique Sopo, président de SOS Racisme, Richard Prasquier, ancien délégué de Yad Vashem - France, Julien Zarifian, chercheur à l’Institut français de Géopolitique (Paris 8), Alain Jakubowicz, président de la Licra, André Kaspi, historien, président de la Commission Histoire de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, Patrick Klugman, avocat, conseiller de Paris, et des personnalités politiques.

ESG : Comprendre et combattre le négationnisme

Les 8e Entretiens de l’ESG Management School

Dimanche 30 Janvier 2011 de 9h30 à 18h

9h30 Accueil par Armand Derhy, directeur de l’ESG Management School, et Frédéric Encel, politologue, professeur à l’ESG Management School

09h45 Ouverture des travaux par Yves Ternon, historien, spécialiste des génocides

10h-11h30 Comment naît et se développe le négationnisme ?

Valérie Igounet, historienne / Raymond Kevorkian, chercheur à l’Institut français de Géopolitique (Paris 8) / Gérard Rabinovitch, directeur de re-cherches au CNRS / Antoine Vitkine, essayiste, réalisateur

Modérateur : Stéphane Encel, historien, professeur à l’ESG Management School

11h30-13h Les négationnismes d’Etat

Patrick de Saint-Exupéry, grand reporter, directeur de la revue XXI / Domi-nique Sopo, président de SOS Racisme / Richard Prasquier, ancien délégué de Yad Vashem - France / Julien Zarifian, chercheur à l’Institut français de Géopolitique (Paris 8)

Modérateur: Vartan Kaprielian, Directeur d’Antenne AYP FM

13h-14h Pause

14h-15h30 Des lois, pour quoi faire ?

Alexis Govciyan, conseiller régional, président de Europe de la Mémoire / Alain Jakubowicz, président de la Licra / André Kaspi, historien, président de la Commission Histoire de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah / Patrick Klugman, avocat, conseiller de Paris

Modérateur : Ilana Cicurel, journaliste à radio RCJ

15h30-17h30 Les voix de la France

Patrick Devedjian, député, président Conseil Général des Hauts-de-Seine / François Hollande, député, ancien Premier secrétaire du PS / François Zi-meray, ambassadeur de France pour les Droits de l’Homme

Modérateur : Ivan Levaï, journaliste

17h30-18h Clôture des travaux par le Grand témoin Claude Lanzmann

Dimanche 30 Janvier 2011 de 9h30 à 18h

Grand amphithéâtre de l’ESG Management School

25 rue Saint-Ambroise - 75011 Paris

Contact : Amélie Malinverno / 01 53 36 44 27 / amalinverno@esg.fr

8e-entretiens-ESG-MS:Mise en page 1 07/01/11 10:12 Page1

Agenda - Du Jeudi 21 octobre au dimanche 27 février 2011: Exposition au CPAAgenda - Du Jeudi 21 octobre au dimanche 27 février 2011: Expo-sition au Centre du patrimoine arménien - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Du Jeudi 21 octobre au dimanche 27 février 2011 du mardi au dimanche de 14h00 à 17h30, fermés les jours fériés et du 25 décembre au 6 janvier inclus

CENTRE DU PATRIMOINE ARMÉNIEN

Exposition bande dessinée et histoire : "Surtout n'en oubliez au-cun ! Regards dessinés sur les génocides".

Depuis la fin des années 1970, cases et bulles ont dépassé le simple diver-

tissement et se sont engagées sur de nouvelles voies. Depuis 1979 avec la publication de "L'Île aux chiens", probablement la première bande dessi-née francophone à prendre un génocide pour sujet central, tandis qu'aux Etats-Unis, Art Spiegelman travaille sur "Maus", les souvenirs authentiques de son père rescapé de la Shoah, cet art apparaît comme un nouveau moyen de rendre compte de notre Histoire, en touchant toutes les généra-tions et en abordant tous les génocides.

L'exposition rend témoignage par des planches originales ou des extraits d'albums, croisés avec des images d'archives, de films ou de livres. (Expo-sition itinérante à partir de mars 2011). Rens. : 04 75 80 13 00 http://www.patrimoinearmenien.org

CPA, 14 rue Louis Gallet, 26000 Valence

http://www.armenoscope.com/agenda/rech.asp?type_info=ponctuelle

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=49790

Agenda - Alfortville : commémoration de l'assassinat de Hrant DinkAgenda - Alfortville : commémoration de l'assassinat de Hrant Dink - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

A la mémoire de Hrant Dink

Diffusion du film

Nous avons bu la même eau de Serge Avédikian, précédé du reportage « L’Assassinat de Hrant Dink » tourné par Arte

En présence de Serge Avédikian

Mercredi 19 Janvier 2011 à 19h30

Centre de Jeunesse Arménien Place Achtarak 2-2 bis Boulevard Carnot 94140 Alfortville Contact : 0618311162 www.nazarpek.fr

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=50962

Agenda - 22 janvier : Rencontre-dédicace avec Eric SémerdjianAgenda - 22 janvier : Rencontre-dédicace avec Eric Sémerdjian - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

Jeunesse arménienne de France

Dans le cadre d’Amnésie Internationale la Jeunesse arménienne de France organise

Rencontre-dédicace avec Eric Sémerdjian auteur de « Mémoire de la douceur qui vient »

22 janvier 2011

Librairie Maupetit 142 la Canebière Marseille 1er à 16h30

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=50908

Agenda - 30 janvier: Danses folkloriques armé-niennesAgenda - 30 janvier: Danses folkloriques arméniennes - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Villiers-le-Bel - Spectacle de danses folkloriques arméniennes - Troupe de danse Astrig - Es-pace Marcel Pagnol, dimanche 30 janvier 2011 à 14h - Croix Bleue des Arméniens de France

Diasporamag

Ce spectacle de danses folkloriques arméniennes est interprété par la troupe de danse Astrig sous la direction de Katarina et Aram Arzoumanian et organisé par la Croix Bleue des Arméniens de France. Tarif : 10 €.

Réservation : Anita Boghossian : 01-39-90-76-19/06-16-79-93-26.

Espace Marcel Pagnol, Rue Gounod 95400 Villiers-le-Bel

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/dansesfolkloriquesarme-niennes346e342.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=50968

Agenda - 8 Février 2011: « Comptines de miel et de pistache» au Théâtre du Garde-ChasseAgenda - 8 Février 2011: « Comptines de miel et de pistache» au Théâtre du Garde-Chasse - Agenda Collectif VAN - www.collectif-van.org

A voir en famille à partir de 7 ans !

« Comptines de miel et de pistache» d’après Comptines de miel et de pistache de Nathalie Soussana et Jean-Christophe Hoarau, Di-dier jeunesse

MARDI 8 FEVRIER 2011 à 19H

Nathalie Soussana, conception, mise en scène Jean-Christophe Hoarau, ar-rangements, direction musicale

Xanthoula Dakovanou, chant, percussions Dogan Ertener, chant, percussions Gilles Andrieux, saz, tanbur, kemençe Yannick Thépault, clarinette, clarinette basse, flûtes Yannis Vlachos, oud, bouzouki, luth Anne Bothuon, décor et costumes Chantal Atlani, direction de production

Avec le soutien à la production et à la diffusion d’ARCADI.

L’art, la musique, la poésie, la cuisine rassemblent les peuples bien plus sûrement que l’histoire qui parfois les déchire. Les images de ce spectacle sont nées de rencontres, d’émotions au détour d’un refrain, d’une mélodie

belle et grave, du regard brillant d’une petite fille qui chante comme elle respire, d’une jeune kurde qui interprète le premier couplet d’une chanson en kurde, le second en turc et le troisième en arménien, d’une amie grecque qui apprend à un turc à préparer les Baklavas, d’un chanteur turc qui me confie que sa femme, chantait à l’école arménienne les mêmes chansons que lui... Lorsque l’histoire les malmène, les hommes prennent parfois des chemins de traverse.

Sur le plateau trois espaces distincts : l’intimité de la maison symbolisée par un tapis sur lequel se tiennent trois musiciens et leurs instruments tra-ditionnels (Saz, bouzouki, luth, kâmanchê, oud, clarinette, ney…), une ba-lançoire et une « dune de sable ». Deux amies à l’âge des jeux d’école, de la séduction et des rêves. L’une épousera un marin l’autre un berger. Vient ensuite le temps des naissances et de la réalité du quotidien avec ses rires et ses inquiétudes.

Deux destins qui divergent pour se retrouver au moment du départ vers l’exil. Quelques objets, des costumes aux couleurs de l’orient, la projection d’illustrations somptueuses, la présence des interprètes –chanteurs, musi-ciens et danseurs- sont autant d’éléments qui permettent d’aller à la ren-contre de ce monde rude, tendre, lumineux, chatoyant, de vous offrir, avec enthousiasme, énergie, et bonheur un petit bout d’essentiel.

Tarif adulte : 8 € Tarif enfant : 6 €

Théâtre du Garde-Chasse 181 bis rue de Paris - 93260 - Les Lilas renseignements et réservations au 01 43 60 41 89 retrouvez toute la programmation sur www.theatredugardechasse.fr

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=50637

Agenda - 11 février 2011 - Trio Arto TunçboyaciyanAgenda - 11 février 2011 - Trio Arto Tunçboyaciyan - Agenda Col-lectif VAN - www.collectifvan.org - Anvers - Belgique - Trio Arto Tunçboyaciyan - Vendredi 11 février 2011 à 20h30 - Zuiderper-shuis - Centre des Cultures du Monde

Diasporamag

L'excellent Trio Arto Tunçboyaciyan réunit trois géants de la musique turque : Arto Tunçboyaciyan , Ilhan Sahin et Halil Kara Duman . Un savou-reux mélange, tout en couleurs, de jazz et de musique traditionnelle turque, (makam Taksim).

Arménien d'origine, le percussionniste Arto Tunçboyaciyan a travaillé avec Miles Davis et Al Di Meola et sa formation l' Armenian Navy Band a joué sur tous les continents . Sahin Ilhan au saxophone Halil Kara Duman , au qanun est réputé pour sa maîtrise du makam turc classique et ses improvisations.

Zuiderpershuis - Centre des Cultures du Monde Waalse Kaai 14, 2000 Anvers, Belgique tel. 32 2 248 70 77 fax 32 2 248 06 30

Réservations

Billets par téléphone, email ou via le site : Par téléphone: en 32 48 32 01 00. Via e-mail : reservatie@zuiderpershuis.be . Votre réservation n'est valable que lorsque vous recevez une confirmation de notre part.

http://www.diasporamag.com/agenda/belgique/trioartotunboyaciyan882ui820.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=50511

Agenda - 11 mars 2011: Comédie musicale en fran-çais "Sayat Cola"Agenda - 11 mars 2011: Comédie musicale en français "Sayat Cola" - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Marseille - Vendredi 11 mars 2011 à 20h30 - Comédie musicale en français "Sayat Cola" de Serge Eurdékian, mise en scène Hagop Kalfayan - Théâtre de la Penne sur Huveaune - 2 heures de rire, 11 chansons originales, 12 acteurs-chanteurs - Organisée par l'association Doun au théâtre de la Penne sur Huveaune

Diasporamag

Théâtre de la Penne sur Huveaune chemin Noël Robion. 13821 Penne sur Huveaune

Tarif : 20 €, gratuit pour les – 10 ans. Rens. et réservations : 06-09-87-45-25.

http://www.diasporamag.com/agenda/pacacorse/sayatcola51398.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=50523

Agenda - 19 mars 2011 : Aznavour, une vie de chansons au Grand RexAgenda - 19 mars 2011 : Choeur Spectacle Aznavour - Agenda

Collectif VAN - www.collectifvan.org

“Une vie de chansons” Le Grand Rex 1, Boulevard Poissonnière - 75002 Paris M° Bonne Nouvelle

www.choeurdefranceparis.org

Ne pas jeter sur la voie publique. Vous avez manqué le spectacle du Zénith à Paris…

Deux dates supplémentaires sont programmées en mars 2011, dans un autre lieu exceptionnel en plein “choeur” de la capitale : Le Grand Rex.

Le Choeur de France Paris, accompagné de 7 musiciens, rendra hommage à Monsieur Charles AZNAVOUR.

Venez nombreux applaudir “les comédiens”, vibrer aux chansons d’amour et de nostalgie, d’aventure et de voyage.

Vous connaissez certainement ces mélodies et nous espérons que vous chanterez avec nous pour faire de ce concert un grand moment d'émotion partagée.

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=51001

Agenda - Exposition: Irène Némirovsky, « Il me semble parfois que je suis étrangère»Exposition: Irène Némirovsky, « Il me semble parfois que je suis étrangère» - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Du 13 octobre 2010 au 8 mars 2011

Née en 1903, Irène Némirovsky a quinze ans quand les troubles révolution-naires chassent sa famille de Russie. C’est à Paris, à dix-huit ans, qu’elle publie ses premiers contes. En 1929, un roman implacable et controversé, aussitôt porté à l’écran, fait sa renommée : David Golder. Une dizaine de romans suivront, dictés par l’héritage familial, le souvenir d’être russe, l’étrangeté d’être juive, le sentiment d’être française, l’angoisse d’être apatride, puis par l’obligation de faire vivre son foyer malgré les lois de Vi-chy.

L’orgueil de l’artiste, le talent de la satiriste, le rejet des hérédités, le dé-dain de la politique ont pu abuser cette femme dont l’oeuvre est si sou-vent lucide. Réfugiée en 1940 dans un village du Morvan, mère de deux filles, contrainte de publier sous un prête-nom, elle est arrêtée le 13 juillet 1942 par la police, puis déportée à Auschwitz alors qu’elle élaborait la troi-sième partie de Suite française, son roman-fleuve. « Moi, disait-elle, je tra-vaille sur de la lave brûlante… »

Le Mémorial de la Shoah a réalisé cette exposition en partenariat avec le Museum of Jewish Heritage, qui a accueilli en 2008 une première exposi-tion consacrée à Irène Némirovsky, et l’Institut Mémoires de l’édition contemporaine (IMEC) qui conserve une grande partie des archives de l’écrivain, dont le manuscrit de Suite française. Elle permet de découvrir de très nombreuses archives originales et d’appréhender l’oeuvre et la personnalité complexe de la romancière.

Commissariat de l’exposition

Olivier Philipponnat, écrivain, coauteur de La Vie d’Irène Némirovsky (éd Grasset/Denoël, 2007).

Coordination de l’exposition : Sophie Nagiscarde, responsable du service des activités culturelles et Ma-rie-Edith Agostini, coordinatrice des expositions temporaires au Mémorial de la Shoah.

Scénographie : Du & Ma Graphisme : Anette Lenz

Entrée libre – niveau 1

visites guidées

Visites guidées gratuites de l’exposition les jeudis 4 novembre, 2 dé-cembre 2010 et 6 janvier 2011 à 19 h 30 sans réservation préalable.

Publication

Irène Némirovsky, un destin en images Avant-propos d’Olivier Philipponnat, préface d’Olivier Corpet et Jacques Fredj (coéd. Denoël / IMEC, 2010)

Fascinante mise en images d’un destin exceptionnel, cet album compor-tant des textes inédits et plus d’une centaine d’illustrations, retrace la vie d’Irène Némirovsky.

Prix : 25 euros En vente à la librairie du Mémorial de la Shoah ou sur www.memorialdelashoah.orghttp://www.memorialdelashoah.org/http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=48632

Agenda - Mémoires d’une déportée arménienneAgenda - Mémoires d’une déportée arménienne - Agenda Collectif

VAN - www.collectifvan.org - Dans “Mémoires d’une déportée ar-ménienne”, Pailadzo Captanian, femme d’instituteur et honorable mère de famille de Samsoun, tient un journal détaillé des tra-giques événements qui marquèrent sa déportation. Une réédition portée par la toute jeune maison Jacques Flament Editions. Pré-face et annotations d'Anahide Ter Minassian.

Imprescriptible

Les “Mémoires d’une déportée arménienne”, de Pailadzo Captanian, furent publiés à Paris par l’éditeur Flinikowski, en 1919.

Ce document de Pailadzo Captanian constitue à coup sûr un témoignage capital sur le génocide arménien et les déportations de 1915.

Pailadzo Captanian, femme d’instituteur et honorable mère de famille de

Samsoun, tint un journal détaillé des tragiques événements qui mar-quèrent sa déportation. Destination initiale : Deïr-Ul-Zor, lieu de sinistre mémoire de la destruction raisonnée et programmée où furent massacrés près de 200 000 Armé-niens. Heureusement pour elle, son voyage au bout de l'enfer prendra fin à Alep.

Le journal qu’elle tenait ayant été perdu, elle a restitué de façon métho-dique et structurée ses souvenirs profondément marqués par les souf-frances et les humiliations endurées durant son épouvantable marche au sein des caravanes de déportés.

"Préface et annotations d'Anahide Ter Minassian"

* Date de parution : 10 décembre 2010 (réédition) * Maison d'édition : Jacques Flament Editions * N° ISBN : 9782363360052 * Nombre de pages : 160 * Prix éditeur :14,90 €

Se le procurer :

Jacques Flament Editions http://www.jacquesflament-editions.com/ac-cueil.html : "Un canal de vente unique (internet), des ouvrages disponibles en version papier répartis en collections rétrospectives ou contemporaines, claire-ment typées par leur présentation et leur contenu : tel sera le cadre origi-nal et innovant de cette nouvelle maison d'édition farouchement indépen-dante, artisanale, hors des circuits industriels traditionnels du livre, loin géographiquement du sérail éditorial parisien, dont la finalité est la réédi-tion d’ouvrages rares et la mise à jour de voix nouvelles originales."

http://www.imprescriptible.fr/parutions/captanian

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=50422

Agenda - Vient de paraître : "Les Arméniens en France"Agenda - Vient de paraître : "Les Arméniens en France" - Agenda

Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les Editions de l'Attribut lancent la collection "Exils", l'immigration à visage humain, et an-noncent la sortie du livre "Les Arméniens en France, Du chaos à la reconnaissance", par Anouche Kunth et Claire Mouradian. Révé-

lant les strates d'une notion souvent controversée, la collection Exils brosse le portrait de l'immigration en France à travers ses soubresauts : déracinement, quête d'identité, double culture, in-tégration, résistance, reconstruction... Par une analyse rigoureuse mais aussi des récits, des portraits et des témoignages des immigrés ou enfants d'immigrés, elle invite à mieux percevoir la réalité sensible et charnelle de ces femmes et de ces hommes qui ont quitté leur pays pour rejoindre la France.

Les Arméniens en France Du chaos à la reconnaissance Par Anouche Kunth et Claire Mouradian

C’est au début des années vingt que les Arméniens, rescapés du génocide, interdits de retour dans leur pays, deviennent une communauté inscrite dans le paysage français. Stigmatisés durant l’entre-deux-guerres comme "inassimilables", on se plaît à les donner aujourd’hui en modèle d’intégra-tion, du fait d’une réussite sociale dans de nombreux domaines.

Dans une première partie fort documentée, Claire Mouradian, spécialiste reconnue du sujet, retrace les étapes de cet exil et analyse la façon dont les Arméniens ont toujours tenu une place particulière dans la société fran-çaise.

A travers des récits d'exil poignants et des portraits finement ciselés, Anouche Kunth nous entraîne ensuite au sein d'une géographie qui retrace les errances d'un peuple apatride. Celles de Papken Injarabian, d'Elisabeth Adamov ou de Varvara Basmadjian, emportés sur des chemins chaotiques qui finiront par les mener en France, ou celles des secondes générations, Alice Aslanian, Simon Abkarian et Karine Arabian, héritiers des violences passées, en quête de leur identité.

Les Arméniens en France. Du chaos à la reconnaissance. Anouche Kunth et Claire Mouradian. Collection "Exils". Editions de l'Attribut. 168 pages, 23 euros.

Les Editions de l'Attribut lancent la collection "Exils", l'immigration à vi-sage humain : révélant les strates d'une notion souvent controversée, la collection Exils brosse le portrait de l'immigration en France à travers ses soubresauts : déracinement, quête d'identité, double culture, intégration, résistance, reconstruction... Par une analyse rigoureuse mais aussi des récits, des portraits et des té-moignages des immigrés ou enfants d'immigrés, elle invite à mieux perce-voir la réalité sensible et charnelle de ces femmes et de ces hommes qui ont quitté leur pays pour rejoindre la France. La collection Exils, c'est l'im-

migration à visage humain.

Livres en vente en librairie ou en ligne sur le site Internet des Editions de l'Attribut : Editions de l'Attribut

Editions de l'Attribut 3 rue Peyrolières 31000 Toulouse

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=49551

Agenda - Nos terres d’enfance - L’Arménie des sou-venirsAnahide Ter Minassian, Houri Varjabédian

- Nos terres d’enfance - L’Arménie des souvenirs - Anahide Ter Minassian, Houri Varjabédian (sous la direction de) - Editons Parenthèses - Collection diasporales / littérature -Nos terres d’enfance - L’Arménie des souvenirs - en librairie le 23 septembre 2010 - diffusion : Harmonia Mundi 16,5 × 23 cm, 352 p., 2010. ISBN 978-2-86364-180-4 / 25 €

L'événement littéraire de la rentrée, c'est la sortie, aux Éditions Parenthèses/Collection diasporales (Marseille), du livre "Nos terres d'enfances, l'Arménie des souvenirs" : sous ce titre, Ana-hide Ter Minassian et Houri Varjabédian ont regroupé 43 textes d'auteurs qui évoquent leur enfance arménienne. Textes d'Arthur Adamov, Michael Arlen, Helena Bonner, Carzou, Ara Guler, Anas-tase Mikoyan, Sergueï Paradjanov, William Saroyan, et de tant d'autres... A découvrir de toute urgence.

Le parcours des « terres d’enfance » proposé dans ce livre, de la banlieue new-yorkaise à Téhéran, de Bagdad à Bakou, de Erevan à Istanbul, de Bey-routh à Trébizonde, de Paris à Mouch, gomme volontairement l’espace et le temps. Tous les acteurs de ces voyages involontaires, sous une forme ou une autre, ont écrit sur les paysages ruraux ou urbains de leur enfance, re-trouvant dans des quotidiens contrastés la marque de leur appartenance multiple : une identité revisitée dont chaque signe est vécu dans le regard de l’autre.

Les textes rassemblés dans cette anthologie sont pour la plupart autobio-graphiques : ce sont des autofictions ou des témoignages, des documents « qui recréent la vie » et réinventent une continuité dans les bribes et les itinéraires. Quel que soit le genre, il s’agit toujours d’un regard sur une en-fance réinterprétée, entre souvenirs et rémanences. Si, comme en Occi-dent, l’écolier a été une figure montante de la littérature, les violences et les ruptures qui ont marqué l’histoire des Arméniens au xxe siècle ont assi-gné à l’enfant une fonction charnière dans la transmission d’une langue et d’une histoire.

43 textes avec notamment des extraits de : Arthur Adamov, Alexandrian, Nina Berberova, Helena Bonner, William Saroyan, Ara Güler, Séda, Martin Melkonian, Sergueï Paradjanov...

Textes rassemblés et commentés par Anahide Ter Minassian et Houri Varja-bédian.

Textes de : Arthur Adamov, Avétis Aharonian, Alexandrian, Michael Arlen, Peter Balakian, Kaspar Bedeyan, Krikor Beledian, Nina Berberova, Berdjou-hi, Zaven Bibérian, Helena Bonner, Carzou, Chahan Chahnour, Armen Ché-koyan, Eleonore Dabaghian, Zabel Essayan, Anchèn Garodouni, Nubar Gulben-kian, Ara Güler, Arménak Hagopian, Hamasdegh, Simon Kapamadjian, Ar-ménouhie Kévonian, Viken Klag, Violette Krikorian, Lass, Mathéos Mamou-rian, Meguerditch Margossian, Hrant Matevossian, Martin Melkonian, Ha-gop Mentsouri, Anastase Mikoyan, Chavarche Nartouni, Armen Ohanian, Sergueï Paradjanov, Nicolas Sarafian, Martiros Sarian, William Saroyan, Sé-da, Léon Surmélian, Vahan Totovents, Antranik Zaroukian, Hratch Zarta-rian.

Textes inédits en français, et textes traduits de l’arménien, du russe, du turc et de l’anglais.

« J’ai passé les premières années de ma vie, entouré d’un peuple de ser-vantes : ma gouvernante arménienne, ma “demoiselle” française, ma nourrice Macha, dont un oeil était vert, l’autre bleu, ma soeur enfin que je range parmi les servantes, sans doute parce que ma mère me préférait à elle. » Arthur Adamov

« Mais, avec un rai de lune, plus d’une fois j’avais la vision furtive d’une femme du voisinage ôtant sa robe derrière un drap blanc formant écran, silhouette noire aux seins brusquement dressés quand elle levait les bras, premier émoi de la sensualité enfantine. » Alexandrian

« C’est en jouant au base-ball, un jour à la mi-mars, où la neige avait fon-du sur le trottoir cimenté de Dickerson Road, que j’éprouvai le sentiment nouveau de n’être pas comme les autres. » Peter Balakian

« Debout à côté du bureau qui m’arrivait sous le menton, je touchais avec précaution les revues médicales, les coupures de journaux, les crayons, les plumes, les enveloppes aux timbres étrangers, la glace à main sertie d’ar-gent. Mon grand-père aimait l’avoir à portée de main ainsi qu’un flacon de parfum raffiné dont il aspergeait de temps en temps sa barbe blanche, droite et soyeuse.

Au contact de mes joues, cette barbe me paraissait bien différente de celle, gris vert, bouclée et rigide, de mon grand-père Ivan Dmitrievitch. » Nina Berberova

« Mes grands-pères portaient le fez à la turque. Mes grand-mères se si-gnaient à la pleine lune. Et je me souviens pour eux. Je me souviens d’existences évanouies qui parfois me visitent. » Martin Melkonian

« Fin novembre 1988. Le téléphone sonne. La sonnerie est longue, c’est l’interurbain. Erevan. Rien d’étrange. À cette époque, je parlais avec Erevan le matin, le jour, la nuit. À Kirovabad, des femmes et des enfants étaient enfermés dans une église. Sur mon bureau, le télégramme d’un prêtre : un appel au secours. » Elena Bonner

« Quand elle entendait son fils Aram parler des affaires qu’il traitait, elle recueillait ses paroles et les semait autour d’elle, et elle aimait particuliè-rement le son des syllabes alicante. Elles s’harmonisaient bien avec l’ar-ménien, ou du moins avec sa version de l’arménien, qui était unique et re-gorgeait de toutes sortes d’inexactitudes et d’inventions. » William Sa-royan

72, cours Julien — 13006 Marseille — France téléphone : [33] 0 495 081 820 télécopie : [33] 0 495 081 824 courriel : info@editionsparentheses.com

Contact presse : Jasmine Badr editions.parentheses@gmail.com

Lire aussi : http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=48135

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/0454b29de60193f02/index.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=47425

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I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 ParisTel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00

Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : labassijysuis@radiofrance.com et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : aafc@free.fr

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Collectif VANVigilance Arménienne contre le Négationnisme

Boîte vocale : 09 50 72 33 46 contact@collectifvan.org - www.collectifvan.org

Collectif VAN - BP 2008392133 Issy-les-Moulineaux Cedex

Les Infos Collectif VAN sur :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=0