•ccnews n°27 - 9 mars 2015

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Numéro 27 – 9 mars 2015

Sommaire ■ Apple Pay : l’authentification faible P.1 ■ CAC 40 : Gemalto cède la place à Peugeot P.2 ■ Première mondiale : Intermarché digitalise les courses grâce aux étiquettes NFC de Store Electronic Systems P.3 ■ La GSMA soutient le marché numérique unique européen P.4 ■ MONEXT propose son offre PCI Trusted Services P.4 ■ La Lituanie va équiper ses ambassades avec des capteurs optiques d’empreintes digitales de Morpho s P.5 ■ Ingenico Mobile Solutions lance le RP170c une solution mPOS NFC P.6 ■ NFC dans le métro à Madrid P.7 ■ Qualcomm crée la biométrie en 3D P.8 ■ Bulletin d’inscription P.9

Apple Pay : l'authentification faible De nouveaux exploits de fraudeurs viennent de démontrer l'importance du « maillon faible » dans les systèmes de paiement. Chez Apple Pay, c’est la procédure d’authentification. Dans les nouveaux instruments de paiement les offreurs affirment que leur produit est sécurisé, sans préciser leur niveau de sécurité. Chez Apple Pay, la sécurité repose en partie sur la tokenisation et la biométrie. Le « maillon faible » d'Apple Pay est l’approvisionnement des cartes bancaires, une opération qui consiste à enregistrer ses cartes en les scannant à l'aide de l'application photo de l'appareil. C’est ce que révèle le site Drop Labs. Le système de fraude des délinquants est dramatiquement simple: des bandes criminelles organisées distribuent des iPhones pré-approvisionnés avec des cartes volées, à des complices, des « mules », qui vont les utiliser pour faire des achats frauduleux. Celles ci ont eu lieu autour de la ville de Miami en Floride et Dallas. Les cartes prépayées sont les premières concernées car elles peuvent être rapidement utilisées pour recevoir de l'argent ou une bien. Comble de l'ironie: le conseilleur est le payeur, les magasins Apple ont été les cibles les plus intéressantes pour les fraudeurs. Pour les fraudeurs, il est beaucoup plus intéressant d'utiliser des cartes volées enregistrées dans des portefeuilles électroniques comme Apple Pay que pour des achats à distance. En effet, dans les transactions de commerce électronique, le fraudeur doit attendre la livraison, ce qui laisse un délai d'au moins 24 heures au commerçant pour vérifier la validité du paiement. En revanche dans les transactions en face à face le produit est donné au client dès que le paiement est validé. Manifestement, il y a un problème d'authentification de la carte dans les échanges entre Apple Pay et la banque de l'émetteur.


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CCNews N°27 – 9 mars 2015

CAC 40 : Gemalto cède la place à Peugeot Le 23 mars 2015, Gemalto quitte le CAC 40 pour céder la place à Peugeot. La Bourse n'aura supporté la présence d'une valeur technologique que durant 2 ans et 3 mois. Déjà, les « observateurs » considèrent que Gemalto n'est plus la star du marché. L'entreprise néerlandaise ne représente que la plus petite capitalisation de l’indice parisien, à 6,2 milliards d’euros, alors que Peugeot est capitalisé à 12 milliards d'euros. « PSA remplace Gemalto dans l’indice phare du marché français. Une renaissance pour le premier, une libération pour le second ». Titre accrocheur, mais dont le texte qui suit ne fournit aucune information, sauf un rappel qui à lui seul justifierait le titre. La journaliste de l’Opinion cite une déclaration d'Olivier Piou du 7 novembre 2013, quelques mois après son entrée au CAC 40 : « Curieusement, cela crée un environnement très improductif autour de vous, sous prétexte que vous devenez exemplaire.* » Et de citer en exemple un courrier : « Huit jours après cette « promotion », j’ai reçu une belle lettre nous demandant d’expliquer notre politique en matière de papier recyclé ! On utilise bien sûr du papier recyclé, mais d’ici à en faire un long questionnaire… » Et d’ajouter : « on comprend que les grandes entreprises se noient sous ce type de demandes si elles cherchent à plaire ». Voilà donc l'explication. Olivier Piou est content de quitter le CAC 40 parce que ça évitera à ses services de répondre à des questions sans intérêt. En réalité, Gemalto est victime des jeux de chaises que connaît la Bourse tous les trois mois. A chaque trimestre, le troisième vendredi des mois de mars, juin, septembre et décembre, sept experts du conseil scientifique d'Euronext décident de sortir des entreprises de l'indice et d'en faire entrer d'autres pour conserver cet esprit de « quarantaine ». Il se peut donc que dans un prochain trimestre, Gemalto puisse revenir, tout comme Peugeot l'a fait après avoir quitté l'indice en septembre 2012. Deux annonces ont provoqué, la baisse du cours en bourse et, par voie de conséquence, cette sortie de l'indice : l'annonce d'Apple de l'utilisation d'une SIM dans sa dernière version de l'iPad et la révélation du piratage par la NSA du chiffrement des cartes SIM produits par Gemalto. Or, dans le premier cas, la décision d’Apple ne signifie pas la chute des commandes pour l’industrie de la carte à puce. On devrait s’interroger (et c’est bien ce que je ne manquerai pas de faire) sur la qualité et la sécurité de ces SIM Apple. Etre un grand du marketing ne signifie pas détenir les compétences en sécurité (voir en page 1 : « Apple : l’authentification faible). Pour le deuxième point, le comportement inadmissible et injustifié des services d’information (espionnage) des Etats-Unis et de Grande-Bretagne, en 2010/2011 n’obère en rien l’avenir de Gemalto. Du côté boursier, on est loin de l'affolement général. Pour l'instant, le cours a grimpé d'un petit 0,65 % pour atteindre les 70,80 euros. Rappelons que l'action était côté à 65,40 le 9 février 2015. Il est vrai que l'heure est à l'euphorie dans les milieux boursiers avec un CAC 40 qui a tutoyé les 5.000 points cette semaine. * L’Opinion http://www.lopinion.fr/7-novembre-2013/france-on-se-barre-on-se-bat-5885




Première mondiale : Intermarché digitalise les courses grâce aux étiquettes NFC de Store Electronic Systems Store Electronic, leader des systèmes d'étiquetage électronique de gondole (EEG) pour la grande distribution alimentaire et non-alimentaire, annonce une expérience d’achat inédite aux consommateurs dans le tout nouvel Intermarché d’Issy-les-Moulineaux, près de Paris. Initiée et coordonnées par la STIME, filiale informatique du Groupement des Mousquetaires, et en étroite collaboration entre BudgetBox et Store Electronic Systems, la Direction Marketing, la Direction de l’Enseigne Intermarché Express et Intermarché ont lancé une application de «self-scanning» sans contact intégrant des coupons personnalisés. L’application exploite la technologie NFC (Near Field Communication) intégrée dans les étiquettes électroniques G-tag+ NFC de SES. Par cette application, les clients constituent leur panier d’achat en approchant leur Smartphone de l’étiquette électronique. En prime, ils bénéficient instantanément de bons de réduction dédiés et en rapport avec leur panier. L’application a pour objectif de permettre aux clients de réaliser leurs courses de manière plus simple et plus rapide. Selon Intermarché, 90 % des consommateurs réclament un temps d’attente moins long en caisse et 76% des utilisateurs de Smartphone l’utilisent pendant leur shopping en point de vente. En adoptant ces nouvelles technologies Thierry Cotillard et Jean-François Hellio, adhérents Intermarché Issy Bords de Seine, affirment leur stratégie d’intégration des meilleures solutions technologiques pour répondre aux attentes de consommateurs connectés toujours plus nombreux. De son côté, David Dugué, Adhérent & Administrateur à la STIME, considère que le « self-scanning » sans contact développé en collaboration avec SES et BudgetBox répond à cette exigence tout en proposant une nouvelle expérience aux clients d’Intermarché ». Intermarché, pionnier dans l'adoption des étiquettes électroniques, est l’enseigne la plus équipée au monde avec plus de 1 300 supermarchés SES. Dans le cadre de cette première mondiale, Intermarché a installé dans son magasin d’Issy-Les-Moulineaux la nouvelle gamme SES, la G-tag+ NFC, qui permet de relayer efficacement les politiques de promotion et de fidélisation de l’enseigne grâce à ses écrans animés et à son interactivité avec les smartphones des consommateurs en rayon. Thierry Gadou, PDG de Store Electronic Systems, conclut : « Nous nous félicitons de ce lancement, fruit d’une collaboration de long terme avec Intermarché et la STIME afin de proposer des innovations valorisantes tant pour les consommateurs que pour les magasins. SES est fier d’accompagner Intermarché dans cette première mondiale qui marque une nouvelle étape importante dans la révolution digitale du commerce physique ». D’après le communiqué de presse de Store Electronic Systems.




La GSMA soutient le marché numérique unique européen Le 4 mars, après la réunion des ambassadeurs des États membres de l'UE, Anne Bouverot, directrice générale de la GSMA, a annoncé que l'association soutient pleinement les efforts du président de l'Union européenne d'établir un marché unique européen du numérique. L'association s'engage à apporter une aide à la réalisation de cet objectif dans un proche avenir. «La GSMA se félicite de l'annonce faite aujourd'hui par les Etats membres sur la mise au point d'un paquet de réformes. Nous croyons que cela devrait être rapidement suivi par d'autres changements visant à uniformiser les règles du jeu pour tous les investisseurs, établis sur la base du principe du "même service, mêmes règles". Dans un tel cadre, les priorités de la réforme devraient être de: • Maximiser les incitations à l'investissement dans de nouvelles capacités de réseaux et de technologies; • Veiller à ce que les plates-formes de service sont ouvertes et interopérables; • Réduire la réglementation excessive, se concentrant plutôt sur la garantie d'une concurrence effective. "En ce qui concerne les éléments spécifiques de la proposition du Conseil, nous voudrions mettre en garde contre une approche trop normative à la neutralité du net. Les opérateurs mobiles ont besoin pour fournir une gestion efficace des niveaux de croissance rapide du trafic Internet et de se assurer qu'il est possible de développer de nouveaux services parallèlement à l'accès Internet de base.

MONEXT propose son offre PCI Trusted Services Avec 1 milliard de transactions électronique, la gestion de 15 millions de cartes et quelque 300 transactions en ligne permet à Monext, a de nouveau bénéficier du renouvellement de la certification PCI DSS sur les domaines « marchand » (Payline, Payavenue, Tokenisation notamment) et « acquisition ». C’est en 2008 que Monext a obtenu sa première certification, ce qui lui confère une expertise dans le domaine de la sécurité des transactions électroniques par carte de crédit et de paiement. C’est cette expertise qui lui permet de proposer à toutes les sociétés qui traitent et stockent des numéros de cartes bancaires, le service PCI Trustet Services. Ce nouveau service permet à ces sociétés de simplifier leur processus de mise en conformité et d’obtention de cette certification. Rappelons que Monext a été précurseur dès 2010, en développant et mettant en œuvre sa propre technologie de tokenisation. Certifiée PCI-DSS, elle permet d’éliminer les données sensibles dans les systèmes d’information et de réduire ainsi considérablement le périmètre impacté par PCI-DSS. C’est donc en tant que Tiers de Confiance Facilitateur que MONEXT se place, en proposant une solution et un accompagnement adapté à chaque entreprise selon son secteur et sa problématique, en externalisant ses principales contraintes PCI-DSS. Source : communiqué de presse Monext




La Lituanie va équiper ses ambassades avec des capteurs optiques d’empreintes digitales de Morpho

Paris/Vilnius, le 4 mars 2015 Morpho (Safran) a signé un contrat avec le gouvernement lituanien pour la fourniture de 145 MorphoTOP™, des capteurs optiques d’empreintes digitales. C’est la première fois que Morpho travaille directement avec les autorités lituaniennes, par le biais du Service Informatique et Communication du ministère de l’Intérieur de Lituanie.

Les MorphoTOP™* seront utilisés par les ambassades de Lituanie pour traiter toutes les demandes de visas. A ce titre, les empreintes digitales et les photos des demandeurs seront collectées. Ces données biométriques seront alors enregistrées dans une base de données sécurisée. Cette base de données sera accessible aux autorités des pays membres de l’espace Schengen chargées de la

gestion des frontières. Cela leur permettra de vérifier l’identité des personnes à l’entrée de l’espace Schengen, et de s’assurer qu’il s’agit bien de celles qui ont obtenu un visa, ce qui limitera la fraude. Ce dispositif entre dans le cadre du projet VIS (European Visa Information System), qui vise à favoriser l’échange de données relatives aux visas entre les pays membres de l’espace Schengen. Le système VIS, mis en service en octobre 2011, a pour objectif le renforcement de la sécurité aux frontières. Jacques van Zijp, Directeur général de la BU Europe au sein de la division Solutions d’identité gouvernementale de Morpho, a déclaré : « Morpho est déjà présent en Lituanie dans les domaines des télécoms, de la détection d’explosifs et de produits chimiques. C’est la première fois que le gouvernement lituanien fait confiance à nos solutions de gestion d’identité ». L’achat de MorphoTOP™ par le gouvernement lituanien a été en partie financé par le Fonds européen pour les frontières extérieures (ECEB-European Commission External Borders Fund). Communiqué de presse Morpho *MorphoTop™ capture simultanément les empreintes digitales des 4 doigts à plat ou en mode roulé. En option, il assure la détection des faux doigts.




Ingenico Mobile Solutions lance le RP170c une solution mPOS NFC Au salon Mobile World Congress, organisé par la GSMA, Ingenico Mobile Solutions a lancé la première solution mPOS NFC au monde compatible avec Apple Pay, MasterCard Sans Contact et Visa payWave.

Cette solution, sous forme de dongle, est fixé sur le smartphone et utilise les prises jack audio. Elle prend en charge les applications Apple Pay, MasterCard Sans Contact et Visa payWave. Baptisée du nom ésotérique de RP170c, Ingenico Mobile Solutions a développé cette solution pour offrir aux petits commerçants une solution évolutive d'acceptation des paiements sans contact, compatible avec les cartes sans contact EMV ou à bande magnétique. Le RP170c est entièrement compatible avec la plate-forme de m-commerce d'Ingenico Mobile Solutions.

Comme toutes les solutions mPOS déployées par Ingenico Mobile Solutions, la solution RP170c est également disponible en marque blanche pour les commerçants ou revendeurs qui souhaitent mettre en avant leur propre marque. Jacques Guérin, EVP Smart terminals et Mobile solutions d’Ingenico Group tient à rappeler qu’Ingenico Group est à l'origine de nombreuses innovations dans le domaine de l'EMV et NFC. Et de citer en exemple, d’avoir été les « premiers à proposer

des terminaux intégrant des fonctionnalités EMV et NFC combinées aux Etats- Unis et partout dans le monde Fonctionnalités du RP170c : Lecteur NFC/sans contact et lecteur de bande magnétique double piste (MSR) combinés, • Compatibilité avec la plupart des terminaux iOS ou Android et raccordement via une prise audio jack standard 3,5 mm, • Certification EMV sans contact niveau 1, • Certification qVSD et MSD (Visa), M/Stripe et M/Chip (MasterCard), • Port micro-USB pour connexion à un PC et rechargement, • Batterie rechargeable intégrée à durée de vie étendue, • SDK ergonomique pour faciliter l’intégration d'applications mobiles pour les développeurs. Ingenico annonce les premiers produits disponibles en juin 2015.




NFC dans le métro à Madrid La ville de Madrid a démarré un test portant sur une solution de paiement des transports avec un smartphone. L’opération test durera huit mois et impliquera cinquante personnes. L'objectif est d'intégrer tous les pass de transport existants dans le smartphone. En outre, l'introduction de la technologie NFC permettra également aux utilisateurs de connaître le solde de leur carte de transport public et de la recharger. Pour le développement de ce projet pilote, le Madrid Regional Transport Consortium a conclu un accord avec Madrid Municipal Transport Company (EMT), Telefónica España, Gemalto Espagne et Samsung Móviles, dont l'un des modèles a été choisi pour effectuer les tests. Pour Pablo Cavero, secrétaire régional des Transports, de l'Infrastructure et du Logement « cette alliance montre que notre R & D et la coopération public-privé dans le secteur des transports publics continuent d'être des facteurs de référence qui font de la Communauté de Madrid un exemple à suivre au niveau international ». Le système se compose notamment d'un émulateur de carte de transport public dans la carte SIM du téléphone, combinant la technologie NFC se rapportant à des téléphones cellulaires avec la puce MIFARE DESFire de NXP. Parmi les avancées majeures qui ont été offerts avec la carte des transports publics, les usagers pourront adapter la période de validité de leur pass à leurs besoins. Ce qui signifie que l'achat peut être planifié et représenter ainsi une économie appréciable pour l'utilisateur régulier de transport public. En outre, la technologie sans contact offre aux utilisateurs d’autres avantages, comme sa taille pratique, sa validation rapide, et la possibilité de consulter le solde avec les applications offerts et la récupération en cas de perte de la carte de transport. De même, il permet de s’adapter au profil de l'utilisateur (Jeune personne, adulte ou senior) ou de changer de zone sans avoir à remplacer la carte. De plus, les options d’abonnement Inter-Zone seront également disponibles. Les autorités de transports ont également agit dans le domaine de l'accessibilité dans les bus en les adaptant aux personnes à mobilité réduite. Enfin, les tests ont commencé sur les systèmes anti fatigue pour le conducteur, qui génèrent des alarmes et des actions dans le véhicule s’il est détecté un comportement anormal dans la conduite du bus. Toutes ces avancées technologiques font dire aux responsable des transports que la R & D est présente dans tous les domaines des transports publics, avec un même objectif : une gestion efficace et efficiente, dans lequel le bénéficiaire ultime est toujours l'utilisateur.




Qualcomm crée la biométrie en 3D Qualcomm a annoncé sa toute dernière innovation : l'authentification biométrique par les empreintes digitales en 3D. Commercialisé sous le nom de Snapdragon Sense ID 3D, ce nouveau produit est basé sur la technologie des ultrasons. Cette technologie permet, selon Qualcomm, de capturer les détails des empreintes digitales en trois dimensions. Ce qui permet une qualité d'image supérieure pour la reconnaissances des caractéristiques uniques des personnes. Quels sont les avantages de cette technologie par rapport aux procédés classiques ? Avec les procédés classiques les images résultantes du scanning des empreintes ne révèlent que leur aspect superficiel. Le procédé Qualcomm utilise une technologie à base d'ultra sons qui va enregistrer les caractéristiques de l'empreinte en trois dimensions qui révèlent les coins et recoins du dessin de la peau. On obtient une carte détaillée des terminaisons de crêtes, des bifurcations et même des pores sudoripares qui font l'unicité de l'empreinte. Par ailleurs, la solution permet d'être très précise dans la restitution des détails de l'empreinte même si les doigts sont humides de sueur, ou autre contaminant. Dans le cas de scanner d'empreintes digitales placés dans un smartphone, la solution Sense ID peut lire les empreintes au travers de divers matériaux comme du verre, de l'aluminium, du plastique… Ce qui permet aux constructeur de smartphones de prévoir de nouveaux concept et de placer le lecteur d'empreintes dans de nouveaux espaces du smartphone. Selon la technologie développée dans la solution Qualcomm, Shnapdragon Sense ID est beaucoup plus difficile à pirater. En effet, la simple copie d'une empreinte copiée ne révèle que le dessin en surface et non pas en profondeur dans tous ses détails. Une reproduction d'un faux doigt ne dupera pas le lecteur de Qualcomm qui ne reconnaît qu'un vrai doigt avec toutes ses caractéristiques en relief. Côté normes, Qualcomm a intégré la FIDO Universal Authentication Framework, qui est reconnue comme la norme dans le domaine de la biométrie. Enfin pour augmenter la sécurité de la solution, l’activation de la solution d’authentification est réalisée sur le smartphone et non sur le Cloud. En savoir plus : Vidéo de Qualcomm sur You Tube https://www.youtube.com/watch?v=FtKKZyYbZtw



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