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The HEC onomist Février 2012 | N°8 Comité HEC Lausanne INDEX Bilan Facebook à 100 milliards, le pari insensé Economie Matières Premières Entretien d’embauche Les questions les plus folles Conférence “Coca Cola : More than a drink…” HEC Lausanne Sailing Team Le HLST à Monaco Sport Journée de Ski Soirées Carnaval HEC 3 6 7 9 11 13 15 Editorial Doit-on intervenir en Syrie ? A ce jour aucune des inter- ventions occidentales, américaines seules ou groupées, ne peuvent se targuer d’avoir été des succès (Viet- nam, Irak1, Irak2, Afghanistan). Le cas récent de la Lybie est différent. On peut parler sans équivoque de ré- ussite militaire, mais la réussite poli- tique est plus mitigée (la démocra- tie amenant à la charia), en tout cas prête au débat. Dans cette zone géopolitique ex- plosive, à l’heure où Israël menace d’attaquer l’Iran (bientôt détentrice de l’arme nucléaire), soutien finan- cier d’une Syrie stratégique et amie du Hezbollah (lui même ennemi d’Israël), n’importe quelle action de l’Occident ferait effet d’une allumette dans un baril de poudre. S’ajoute à cela la situation interne, qui ne relève pas seulement de re- vendications socio politiques mais aussi de vrais clivages ethnico re- ligieux, renforcés par des alliances atypiques, à l’instar de minorités kurdes ou chrétiennes soutenant le

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The HEConomistFévrier 2012 | N°8 Comité HEC Lausanne

INDEXBilanFacebook à 100 milliards, le pari insensé

EconomieMatières Premières

Entretien d’embaucheLes questions les plus folles

Conférence“Coca Cola : More than a drink…”

HEC Lausanne Sailing Team Le HLST à Monaco

SportJournée de Ski

SoiréesCarnaval HEC

3

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9

11

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EditorialDoit-on intervenir en Syrie ?

A ce jour aucune des inter-ventions occidentales, américaines seules ou groupées, ne peuvent se targuer d’avoir été des succès (Viet-nam, Irak1, Irak2, Afghanistan). Le cas récent de la Lybie est différent. On peut parler sans équivoque de ré-ussite militaire, mais la réussite poli-tique est plus mitigée (la démocra-tie amenant à la charia), en tout cas prête au débat. Dans cette zone géopolitique ex-plosive, à l’heure où Israël menace d’attaquer l’Iran (bientôt détentrice de l’arme nucléaire), soutien finan-cier d’une Syrie stratégique et amie du Hezbollah (lui même ennemi d’Israël), n’importe quelle action de l’Occident ferait effet d’une allumette dans un baril de poudre. S’ajoute à cela la situation interne, qui ne relève pas seulement de re-vendications socio politiques mais aussi de vrais clivages ethnico re-ligieux, renforcés par des alliances atypiques, à l’instar de minorités kurdes ou chrétiennes soutenant le

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2 The HEConomist | Février 2012 2régime de Bachar Al Assad.Un conflit de plus au sein de cette région du globe dans lequel seraient embour-bées les forces militaires de l’Occident pourrait s’avérer dramatique tant au plan économique qu’au plan politique (hausse du ressentiment antiocciden-tal) au sein d’un monde changeant dans lequel les grandes puissances d’hier doivent désormais prendre en consi-dérations des forces nouvelles dont les réactions possibles ne nous sont pas connues.

Plombés par des recettes pub-liques défaillantes et une menace de montée des prix du pétrole, tant l’Amérique que l’Europe ne peuvent plus et ne doivent plus, pour leur propre survie (politique mais aussi économ-ique) se permettre de telles interven-tions. Les temps ne sont plus à la tenta-tive de propagations des valeurs, le cas de la Lybie (coût au 30 septembre 2011 : environ 320millions d’euros) nous le montre.

Si notre cœur nous appelle à aller soutenir un peuple à la merci de tyrans notre raison doit nous inviter à opérer un calcul rationnel quant à nos intérêts. Laisser mourir le peuple syrien à la manière de la très forte et influente ré-solution de l’ONU le 16 février n’est pas non plus une solution. Des soutiens

stratégiques, logistiques, économ-iques, et diplomatiques doivent être pourtant dirigés dans ce sens. Qu’on se le dise, le régime syrien ne peut désormais plus que basculer, la situa-tion atteindra son comble tôt ou tard diagnostiquant la mort du régime de « naturelle ». Espérons que cette mort vienne le plus vite possible...

Renaud-Selim SanliEtudiant en 3eme année

Sciences Politiques

Impressum

Editeur : Comité HEC LausanneInternef, CH-1015 [email protected]

Rédacteur en Chef :Frédéric Maillard

Rédacteurs:Abel Ganz, Léa Montfajon

Imprimeur :S’Impression, Saint-Prex

Copyright © 2011 Comité HEC

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3The HEConomist | Février 2012

BilanFacebook à 100 milliards, le pari insensé

La valorisation de la société est spec-taculaire mais son modèle économ-ique, lui, soulève des doutes. Début de la fin?

Au royaume des sociétés cotées à très haute capitalisation, le prince de l’e-économie s’apprête à monter sur le trône. Facebook a déposé son dos-sier auprès de la SEC, l’autorité bour-sière américaine, pour une entrée en bourse record qui devrait avoir lieu dans le courant du deuxième trimestre 2012. Le réseau social pourrait lever 5 à 10 milliards de dollars. Sa valorisa-tion: 100 milliards, soit presque trente fois son chiffre d’affaires de 3,7 milli-ards. Plus qu’Amazon (88,3) et McDon-ald’s (95,6). «Personne ne peut ignorer qu’il y a clairement une exagération. En termes de critères traditionnels de val-orisation, ce n’est pas justifiable, même pour une société de l’ampleur de Face-book.» L’avocat spécialiste des nouvelles technologies Michel Jaccard n’est de loin pas le seul à partager cette opinion: la création de Mark Zuckerberg ne vaut pas un tel montant. Même si – semble-t-il – des investisseurs s’arrachent ces actions à prix élevé. «C’est une simple conséquence de la loi de l’offre et de la

demande, estime Panagiotis Spilio-poulos, chef de la recherche chez Vontobel. En ne mettant que 10 mil-liards au maximum sur le marché, soit 10% de son capital, Facebook provoque un effet de rareté efficace qui booste sa valeur.» Dévoilés pour la première fois, les résultats réels, eux, démontrent la profitabilité du réseau: il encaisse en 2011 un béné-fice net d’un milliard. Or la méfiance prévaut, tant le ratio de valorisation actuellement appliqué est jugé «in-cohérent». «Je ne recommanderai en aucun cas d’acheter des parts, avertit Panagiotis Spiliopoulos. La valori-sation est clairement excessive et ne laisse aucune place à l’erreur.»

Jeux de casino Il n’empêche que l’entrée en bourse, fignolée sur les marchés secondaires, constitue une véritable mine d’or. Pour le fondateur, bien sûr, Mark Zuckerberg, qui devrait être propulsé dans le top 10 des for-tunes mondiales. Mais aussi pour les actionnaires privilégiés, pres-sés d’être récompensés pour les risques encourus, tels que le fonds

Par Dino Auciello, le 15 février 2012

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Digital Sky Technologies et la banque d’affaires Goldman Sachs. Leurs capi-taux injectés à fin 2010 ont par ail-leurs projeté la valorisation du réseau social à hauteur de 50 milliards… Michel Jaccard: «Reste à déterminer quel jeu jouent les banques d’affaires et certains investisseurs historiques. Le dysfonctionnement du marché sur la valorisation au moment de grosses entrées en bourse est certainement amplifié par des intermédiaires qui ont un intérêt financier évident. Ce-lui de placer contre commissions des participations auprès de souscripteurs qui subiront eux, le cas échéant, la cor-rection de valeur par la suite.» Acheter des actions au prix fort dans le but de les revendre encore plus chères. De quoi encourager les jeux du casino boursier. «Il y a bien sûr un risque de spéculation autour de l’opération de l’IPO elle-même, soutient Daniel Pel-let, analyste chez Bordier & Cie. Les détenteurs individuels d’actions pour-raient très vite être tentés de sortir rapidement du capital, après une forte progression initiale, tandis que les institutionnels et les banques vont observer de plus près comment fonc-tionne le groupe, dans une perspective à plus long terme.» Le risque boursier réside notamment dans la défiance qu’inspirent les jeunes entreprises In-ternet. A preuve, les récentes cotations du secteur dont l’évolution est jugée

décevante. C’est notamment le cas de Groupon qui poursuit sa chute depuis son entrée en bourse au mois de novembre 2011. Le site d’achats groupés au modèle souvent critiqué vient d’annoncer une perte trimes-trielle de près de 43 millions de dol-lars.

Un modèle à repenser

L’empire Facebook, un colosse aux pieds d’argile? C’est après son IPO que sa viabilité à long terme sera testée. Les futurs inves-tissements permettront de mesurer la qualité du management et la ca-pacité de l’entreprise à renouveler son modèle d’affaires. A commenc-er par les revenus engendrés par la publicité, une part de 85% de son chiffre d’affaires. En 2011, selon l’institut de recherche marketing ComScore, une annonce sur quatre est visualisée sur le réseau social aux Etats-Unis. Toutefois, le marché de la publicité en ligne n’a pas atteint sa

“Il n’empêche que l’entrée en bourse constitue une vé-ritable mine d’or.”

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5The HEConomist | Février 2012

pleine maturité pour satisfaire l’appétit de Facebook. D’autant que les grandes marques n’ont pas encore délaissé les médias traditionnels au profit des plates-formes Web. «Il faut faire le bon choix d’investissements, poursuit Daniel Pellet. Pour attirer davantage de revenus et mieux contrôler sa crois-sance, Facebook pourrait par exemple créer sa propre régie publicitaire et re-chercher d’autres sources de revenus, comme dans l’événementiel.» Les sup-ports mobiles constituent par ailleurs un enjeu de taille pour sa croissance. Or le réseau social n’est pour l’heure pas parvenu à monétiser ses applica-tions pour smartphones. Mais c’est surtout sur sa vaste base d’utilisateurs que sont braqués les yeux des investis-seurs: ces 845 millions d’«amis» à tra-vers le monde et leurs données privées convoitées par les annonceurs. Né il y a huit ans aux Etats-Unis où il compte près de 160 millions d’utilisateurs, le géant du Web voit aujourd’hui ses zones d’influence se déplacer sur les marchés émergents: plus de 40 mil-

lions de connectés en Inde et en In-donésie, 35 au Mexique ou encore 38 au Brésil. Une stratégie plus agressive dans ces régions à fort potentiel s’avère nécessaire. Elle contribuerait aussi à contrecarrer le ralentissement inexo-rable du taux de croissance des adhé-rents au site. Un phénomène observé depuis 2009. «Ce type d’entreprises est facilement périssable», avance même un analyste, en évoquant le réseau so-cial musical Myspace, vite adoré, puis déserté. Les nouvelles générations pourraient se détourner de la plate-forme au profit d’autres réseaux plus petits et plus spécialisés. D’autant que la colère gronde parmi les utilisateurs actuels. Mark Zuckerberg fait face à une fronde d’«amis» soutenue par les autorités gouvernementales qui dé-noncent l’exploitation de leurs don-nées privées. Un ras-le-bol qui pour-rait précipiter la chute du réseau. Mais rien n’est encore joué pour le géant du Web social. Une fois entré en bourse, Facebook montrera assez rapidement s’il se profile comme le Google de de-main… ou le prochain Groupon.

Une idée d’avance sur l’économie

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6 The HEConomist | Février 2012

Le saviez-vous ? Depuis plu-sieurs années, nous assistons à des à-coups brutaux des cours des matières premières, à une forte hausse des prix des biens de première nécessité, le tout couplé à une forte financiarisation des marchés de matières premières.En effet, aujourd’hui sur ces marchés coexistent des producteurs, des utili-sateurs finaux, mais aussi des acteurs financiers. Le volume des échanges s’est donc considérablement accru et ce régulièrement depuis une ving-taine d’année. A titre d’exemple, le volume de produits pétroliers échangé aujourd’hui sur les marchés financiers est environ huit fois plus important que celui échangé sur le marché physique qui représente la demande et l’offre réelle de pétrole et pour d’autres com-modités cela peut représenter 15 à 20 fois plus, ce qui augmente d’autant les volumes globaux mondiaux échangés.

En effet, les dérivés sur les matières premières tendent à être considérés par les gérants et investisseurs comme une classe d’actif à part entière, au même titre que les actions et les ob-ligations. Ces investisseurs, qui n’ont pas la vocation de stocker ou détenir physiquement les matières premières, utilisent le plus souvent les marchés de

dérivés pour exposer leur portefeuille à cette classe d’actifs sans jamais en prendre directement livraison. Ceci explique le décalage entre les volumes échangés sur les marchés financiers et les marchés physiques. Pourquoi une telle financiari-sation des marchés de matières premières ? Au début des années 2000, la forte baisse des rendements boursiers ré-sultant de l’éclatement de la bulle in-ternet, combinée par un faible taux d’intérêt du aux politiques moné-taires, ont incité les investisseurs à se diriger vers d’autres sources de rende-ment. Ces types de placements se sont rapidement imposés comme outil de diversification. Ils sont rentables pour les portefeuilles d’actif. Ils assurent une protection contre l’inflation et surtout, sont décorrelés des autres ac-tifs financiers. Quelles sont les conséquences de la financiarisation des mar-chés de matières premières ?Le cours des matières premières ne correspondent plus à une offre et de-mande réelle des consommateurs et utilisateurs finaux. Même les profes-

Economie : Matières premières

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7The HEConomist | Février 2012

sionnels du secteur et acteurs sur les marchés physiques ont du mal à an-ticiper une hausse ou une baisse des prix.Elle a un impact sur l’économie et la vie quotidienne des personnes. Elle peut provoquer une instabilité finan-cière, une volatilité des prix très im-portante et potentiellement des abus et manipulations de marché. Par ail-leurs certains intervenants du marché peuvent tenter d’assurer la maîtrise d’un marché en se plaçant en position dominante et ainsi pouvant peser sur les cours du fait des montants énor-mes investis

Quelles sont les solutions en-visagées ? Ce sujet est devenu une réelle préoc-cupation pour les décideurs politiques. La France, notamment, en a fait une priorité de sa présidence du G20. La régulation de ces marchés de pro-duits financiers dérivés de matières premières, de la même manière que les marchés financiers, est une des so-lutions proposées pour remédier aux effets négatifs de la financiarisation. Il est également proposé d’instaurer des règles spécifiques pour permettre aux producteurs, intermédiaires financi-ers et consommateurs de cohabiter intelligemment. Enfin, tout abus de marché (comme cité ci-dessus) serait réprimandé.

Léa Montfajon, Abel GanzEtudiants 1ere année HEC

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8 The HEConomist | Février 2012

Entretien d’embauche : Les ques-tions les plus folles

“Si vous faisiez la taille d’un crayon et qu’on vous introduisait dans un mixer, comment feriez-vous pour vous en sortir?” Goldman Sachs

“Combien de ballons de basket pou-vez-vous mettre dans cette pièce?”Google

“Combien de questions devez-vous poser pour découvrir un nombre entre 1 et 1000, sachant qu’on ne peut vous répondre que par ‘plus haut’ ou ‘plus bas’?” Facebook

“Comment pèseriez-vous un éléphant sans utiliser de balance?” IBM

“Il y a trois boîtes, une avec seulement des pommes, une avec seulement des oranges, et une avec des pommes et des oranges. Les boîtes ont été étique-tées de façon incorrecte, de telle sorte que les étiquettes n’identifient pas le contenu des boîtes. En ouvrant juste une boîte, et sans regarder dedans, vous prenez un fruit. En regardant le fruit, comment pouvez-vous immédi-

atement étiqueter toutes les boîtes cor-rectement?” Apple

“Vous êtes rétrécis à la taille d’une pièce de monnaie et votre masse est proportionnellement réduite afin de maintenir votre densité initiale. Vous êtes alors jetés dans un mixer vide. Les lames commenceront à tourner dans 60 secondes. Que faites-vous ?”Google

“Donnez-vous une note de bizarrerie, sur une échelle de 1 à 10 ?” Capital one

“Si vous pouviez être un super-héros, lequel seriez-vous ?” AT&T

“Combien y a-t-il de feux de signalisa-tion dans Manhattan ?” Argus Infor-mation & Advisory Services

“Que faites-vous si vous héritez de la pizzeria de votre oncle ?” Volkswagen

“Expliquez-moi ce qu’il s’est passé dans ce pays ces dix dernières années ?” Boston Consulting

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9The HEConomist | Février 2012

Conférence“Coca Cola : More than a drink…” Guy Wollaert - Chief Technical Officer - Coca Cola Company 6 mars 2012 - 18h - Internef 273

Version française (english version avail-able lower) :Pour sa troisième conférence de l’année, le Comité HEC Lausanne, en collaboration avec l’Association des Alumnis HEC et la faculté HEC, a le plaisir de recevoir Mr Guy Wollaert, directeur technique de la compagnie Coca Cola. Nous connaissons tous la fameuse boisson noire, gazeuse et frai-che, dont la recette reste secrète jusqu’à nos jours, appelée « Coca Cola ». Ce-pendant, cette boisson ne représente qu’une partie de l’activité. En effet, un grand nombre d’autres marques de boissons non-alcoolisées apparti-ennent à la compagnie Coca Cola et cette dernière est très active dans son programme de durabilité. Elle opère dans 206 pays actuellement et, dans un monde aux ressources limitées, elle intègre de l’innovation accompagnée de durabilité dans le but de créer de la valeur pour ses parties prenantes.En tant que directeur technique, Guy Wollaert dirige entre autres l’innovation, la recherche et le dével-oppement, la qualité globale, la sécu-

rité et l’environnement ainsi que la chaîne d’approvisionnement. Notre invité vous montrera comment une compagnie mondialement réputée qui célèbre son 125ème anniversaire continue d’innover toutes ses catégo-ries de produits à travers le monde. Il vous exposera également comment la compagnie voit ses futures crois-sances en fonction de sa capacité de tenir un « business model » durable.Venez à cette conférence et tandis que la recette du « Coca Cola » rest-era secrète, le business qui l’entoure sera exposé !

English version:The « Comité HEC », in collabora-tion with the HEC Alumni Associa-tion and the HEC faculty, is honored to receive M. Guy Wollaert, Chief Technical Officer of the Coca Cola Company. We are all very familiar with the fresh, black, fizzy and “in-gredient secret” drink called “Coca Cola”. However, the single soda oc-cupies only part of the activities. The Coca Cola Company owns many

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10 The HEConomist | Février 2012

other non-alcoholic drink brands and is actively working on its sustainabil-ity program. The Coca-Cola Company operates in 206 countries around the world, and in a world of finite resourc-es, the company integrates innovation with sustainability to create shared value for all of its stakeholders.As Chief Technical Officer, with a mandate that oversees innovation, research & development, science, sci-entific and regulatory affairs, global quality, safety and environment, pro-curement, Freestyle Global Center, and supply chain, Guy Wollaert will

take you on a tour through Coca-Cola’s innovation agenda. He will ex-plain how a company that celebrates a 125-year-old global brand also con-tinues to innovate across all product categories and throughout the world. And he will articulate a strong sense of how the company sees its future growth dependent on its ability to build sustainable business models.We invite you to come to the confer-ence! The “Coca Cola” drink ingredi-ents may stay a secret but the business around it will be shared!

Jonathan LechtmanResponsable Conférences

UNECONFÉRENCEPOURSE CULTIVER!

06-03-12Internef 27318h00Conférence suivie d’un apéritif

Coca Cola : More than a drink ...

Guy WollaertChief Technical Officer de Coca Cola

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11The HEConomist | Février 2012

HEC Lausanne Sailing TeamLe HLST à Monaco du 1er au 5 février 2012

Pour la 2ème et dernière ré-gate de préparation avant la Course Croisière de l’EDHEC, nous nous sommes rendus à la Primo Cup de Monaco où nous étions l’équipage le plus jeune et l’un des moins expéri-menté du circuit !! La Primo est une régate internationale d’un bon niveau de compétition comprenant tout de même plusieurs Champions d’Europe dans le peloton de tête.

Après le 1er jour, nous étions 13ème sur 23 mais nous remontons finale-ment à la 11ème place à l’issu du week-end. Nous n’irons pas jusqu’à dire que c’est un bon résultat mais au vue du niveau relevé et de notre préparation en Surprise, nous ne pouvons qu’être satisfaits de nous. En tant qu’équipage le plus jeune et le seul 100% étudiant, une place dans la première moitié de ce classement est de bonne augure pour la CCEDHEC.

Suite à la page suivante...

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12 The HEConomist | Février 2012

Les vagues et la fameuse (en voile) grosse houle de Monaco ont tout de même réussies à terrasser 2 de nos marins d’eau douce et ce qui a amené quelques bons moments de rigolade lors de leurs vomissements.

Marc SternResponsable du Team

Le HLST à Monaco du 1er au 5 février 2012

Pour la 2ème et dernière régate de préparation avant la Course Croisière de l’EDHEC, nous nous sommes rendus à la Primo Cup de Monaco où nous étions l’équipage le plus jeune et l’un des moins expérimenté du circuit !! La Primo est une régate internationale d’un bon niveau de compétition comprenant tout de même plusieurs Champion d’Europe dans le peloton de tête.

Après le 1er jour, nous étions 13ème sur 23 mais nous remontons finalement à la 11ème place à l’issu du week-end. Nous n’irons pas jusqu’à dire que c’est un bon résultat mais au vue du niveau relevé et de notre préparation en Surprise, nous ne pouvons qu’être satisfait de nous. En tant qu’équipage le plus jeune et le seul 100% étudiant, une place dans la première moitié de ce classement est de bonne augure pour la CCEDHEC.

Voilà un bref contre-rendu de la régate :

J0 - 1er février Arrivée à Monaco et matage du bateau -- J1 Premier entrainement et inscription au Yacht Club de Monaco. -- J2 Trois manches sont lancés durant la journée 14ème-11ème-11ème J3 Une seule manche a pu être courue, nous nous emparons d’une

belle 7ème

J4 – 5 février Durée du 1er bord de près 1h10 / Vent 2.5 nœuds / Vagues 1.5 - 2 mètres / Vitesse du bateau –0.2 à 1.1 nœuds! Retou Suisse dans la nuit.

21ème-5ème

Les vagues et la fameuse (en voile) grosse houle de Monaco ont tout de même réussies à terrasser 2 de nos marins d’eau douce et ce qui a amener quelques bon moment de rigolade lors de leur vomissements.

Toute l’équipe tient à remercier la Société Nautique de Genève et Michel Glaus, pour le prêt du Surprise sur lequel nous avons navigué ainsi que l’École hôtelière de Lausanne qui nous a prêté sa remorque pour le bateau.

Notre préparation pour la Course Croisière de l’EDHEC se déroule donc pour le mieux que se soit sur l’eau ou à terre. En effet, la recherche de sponsoring avance à grand pas, il nous tarde de vous présenter nos nouveaux partenaires !

Toute l’équipe tient à remer-cier la Société Nautique de Genève et Michel Glaus, pour le prêt du Surprise sur lequel nous avons navigué ainsi que l’École Hôtelière de Lausanne qui nous a prêté sa remorque pour le ba-teau.

Notre préparation pour la Course Croisière de l’EDHEC se déroule donc pour le mieux que se soit sur l’eau ou à terre. En effet, la recherche de sponsoring avance à grand pas, il nous tarde de vous présenter nos nouveaux partenaires !

Bonjour à tous ! Nous vous souhaitons une bonne rentrée et que ce 2ème se-mestre se passera bien.Dans l’optique d’obtenir une meilleure interaction avec vous sur Facebook, nous changeons d’adresse ! Ajoutez nous comme ami ! L’adresse http://www.facebook.com/comiteheclausanne

La page fan restera active, mais n’hésitez pas à nous rejoindre sur ce nouveau compte !

A bientôt !

Le Comité change d’adresse Facebook !

Guillaume ChevallerauResponsable Informatique

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13The HEConomist | Février 2012

Sport

Journée de ski HEC : samedi 3 marsLa saison de ski arrive gentiment à sa fin, mais le Comité HEC organise une journée de ski aux Crosets !! Viens profiter de skier une dernière journée avant que le dur travaille recommence!

Pour 66.- le Comité a organisé pour toi le transport en car de l’uni jusqu’à Champéry, ainsi que le forfait de ski dès 11h jusqu’à 19h avec ski noc-turne ! Pour les moins courageux, ou les alcooliques, il y aura la possibilité

de boire un apéro ensemble en bas du télécabine ! Et pour bien finir la journée, on se retrouvera tous à l’hôtel « Le National » pour déguster une bonne fondue !Toutefois, le nombre de place est lim-ité à 50 personnes ! Alors dépêche toi de t’inscrire !!Au plaisir de te voir lors de cette journée de débauche et bonne rentrée !

Vanessa FaradayResponsable Sports

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14 The HEConomist | Février 2012

Soirée Malgré ces températures sibéri-ennes, le printemps va gentiment faire son apparition sur le campus. Et qui dit printemps dit CARNAVAL!!!

Cette année, le Carnaval HEC prend des airs de Mardi Gras (qui par ailleurs était le mardi 21) avec une soirée spé-cialement conçue pour cette occasion! En effet, comme la tradition le veux lors de Mardi Gras à la Nouvelle-Orléans, tous les hommes se verront remettre quelques colliers à perles à l’entrée du D! qu’ils devront redistribuer aux femmes à l’intérieur du club.

Mais attention chers amis, ces colliers peuvent se monnayer assez cher (des voix m’ont dit qu’à la Nouvelle-Orléans, les filles montrent leurs deux atouts pour recevoir un collier...) car les trois filles avec le plus de collier se verront remettre une carte de membre du D! valable jusqu’en été 2013 ainsi qu’une bouteille pour la grande gagnante! Ne soyez donc pas trop généreux;-)

Afin de bien débuter la soirée, l’Association des Étudiants en Droit de Lausanne organise une before au N2o (place de l’Europe, anciennement Café Luna) où tous les HEC sont bienvenus! Et comme le veut la coutume, des prix

spéciaux vous seront proposés tout au long de la soirée sur les boissons.

Ouverture des portes: 23hPrix: 10.- avant minuit, 15.- après, entrée gratuite avec la carte de membre.

Manuel SchmiedResponsable Soirées

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15The HEConomist | Février 2012

Jeux

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N° 1

HORIZONTALE

1 - Théorie dʼespace et de temps 2 - Mettre de côté 3 - Dans les chaînes - Bamako y est capitale 4 - Symbole dʼune grande distance - Dans les impôts - Travail forcé 5 - Compositeur et femme de lettres - Astate 6 - Lion de Damas - Appela 7 - Calculatrice abrégée - Fatiguerais 8 - Chanteur de Joy Division 9 - Curé de Saint-Sulpice au 17ème siècle - Enthousiasme 10 - Jeux... de lʼantiquité - Appris

VERTICALE

1 - Mise en liberté 2 - Qui concerne lʼEglise 3 - Dans les règles - Sodium - Jeux de société 4 - Pige - Un attribut dʼHermès 5 - Ville de Sibérie occidentale - Confiante 6 - Penser 7 - Méprisable - Espèces 8 - Mère dʼHorus - Courrier anglais 9 - Dans les règles - Filtras 10 - Coupas les cheveux en quatre - Lettre grecque

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