LE BENEVOLAT : UNE SOLIDARITE SANS

FRONTIERE

Aline Agoston – Dihia Bouraine – Caroline Ha – Najwa Matouak

PMO 1 – Groupe B

 

SOMMAIRE  

Introduction ….………………………………………………………….……………….1

 

Le bénévolat au fil du temps ..................................................................... 2

Une évolution vers une professionnalisation du bénévolat .................. 2

L’avenir du bénévolat ......................................................................... 3

 

Le profil des bénévoles aujourd’hui en France ........................................ 4

L’identité du bénévole aujourd’hui en France .................................... 4

Les motivations qui poussent la population au bénévolat .................... 5

Annexes …..……….……………………………………………………..….……..6

La solidarité prend de nombreuses formes et touche de plus en plus de domaine ………………………………………………………………………………..….8

La solidarité à l’international : un acte généreux……………….……….….10

L’aide humanitaire.………….. …………………………………………….…..10

Le bénévolat dans les autres pays …………………….…………………….11

Conclusion ..………….………………………………………………………………….12

Bibliographie/Sitographie ………..…………………………………………………13  

 

 

 

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Introduction    

Au cours de ces dernières années, le nombre de bénévoles ne cesse d’augmenter. Cela est dû à l’évolution de la société qui a profondément modifié l'engagement de la population envers le bénévolat et ce, en raison des changements socio-culturels qui sont survenus ces dernières années.

L’identité et la motivation de chacun peut être varié mais en général, la raison qui pousse une personne à faire du bénévolat est : la solidarité. Et cette solidarité, on la retrouve à travers le monde, et chacun exprime son soutien sous forme de diverses et nombreuses actions.

Dans l’avenir, on estime que le bénévolat prendra une place de plus en plus importante et imposante auprès de la société que ce soit de motif social ou professionnel.

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LE  BENEVOLAT  AU  FIL  DU  TEMPS  

 

Le bénévolat est apparu véritablement au début des années 1990. Le moteur des bénévoles s’exprime par leur besoin de se sentir utile en donnant de leur temps à autrui. Cette motivation s’implique dans tous les domaines d’activités, aussi divers que le sport, la culture, l’humanitaire, l’action sociale ou encore l’éducation.

Le nombre de bénévoles ne fait qu’augmenter, on passe de 36% à 40% en trois ans, et c’est le bénévolat direct qui rencontre la plus forte évolution, avec une hausse de 31%, qui comprend majoritairement les engagements de proximité. Cependant, une baisse de bénévolat régulier se fait ressentir dans les associations, en trois ans, on observe une baisse de 7%.

Une progression spectaculaire concernant les jeunes bénévoles, + 32% chez les 15-35 ans, contre +5% atteint chez les séniors et + 10% chez les 35-65 ans.

 

Une  évolution  vers  une  professionnalisation  du  bénévolat  

 

Dans les débuts du bénévolat, les bénévoles ne bénéficient d’aucuns droits ni de protection légale. Mais, depuis, des mesures ont été prises pour favoriser le développement du bénévolat, effectivement les bénévoles sont désormais reconnus et seront dédommagés lors de leurs dépenses engagées pour le compte de l’association. De plus, ces frais engagés par les bénévoles dans le cadre de leur activité peuvent ouvrir droit à une réduction d’impôts.

Les bénévoles élus (présidents, trésoriers, secrétaires) sont autorisés à percevoir jusqu’aux trois quarts du SMIC pour l’exercice de leur fonction, sans qu’ils soient considérés comme des salariés de l’association.

Cependant, la bonne volonté ne suffit plus pour s’engager dans le bénévolat, les structures sont de plus en plus exigeantes en terme de compétences des bénévoles, ce qui entraîne le bénévolat vers une plus grande professionnalisation.

Le bénévolat tient un rôle important dans le monde du travail, il est un moyen d’acquérir de l’expérience, un savoir et de développer des compétences. Certaines comme la prise de responsabilité, d’initiative, le sens de l’organisation, le travail en équipe peuvent même valoriser une validation par le secteur professionnel.

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L’avenir  du  bénévolat  

 

De nombreux bénévoles s’engagent, aujourd’hui, sur plusieurs projets dans différentes associations. On assiste effectivement à des modes d’engagements différents au sein des associations qui se traduisent davantage par "l’intermittence" que par le désengagement, avec, au final, des bénévoles plus nombreux et souvent pluriactifs. La tendance à adhérer à plusieurs associations est aujourd’hui d’ailleurs plus forte qu’avant. Cette intermittence permet aux bénévoles d’être mieux formés, mieux informés. De leur côté, les associations disposent ainsi d’une ressource humaine bénévole souvent plus opérationnelle et tirent profit de cette évolution.

En plus, la plupart des associations rencontrent la difficulté du renouvellement de leurs bénévoles et de leurs responsables, des projets portés par de nouveaux bénévoles sont donc avantagés. Parrainés, par exemple, par des anciens, cela permettrait de développer les relations intergénérationnelles et favoriserait la complémentarité des compétences.

Le bénévolat constitue une activité qui sera amenée à tenir une place de plus en plus importante dans la société. Il parait donc essentiel d’assurer les conditions de son développement grâce à la validation et à la valorisation des compétences et des qualifications des bénévoles. L’engagement associatif se relève être une activité porteur de lien social et d’apprentissage de la démocratie.

HA Caroline

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LE  PROFIL  DES  BENEVOLES  AUJOURD’HUI  EN  FRANCE  

 

« Est bénévole toute personne qui s’engage librement pour mener une action non salariée en direction d’autrui, en dehors de son temps professionnel et familial ». Telle est la définition exacte du bénévole, mais aujourd’hui quelle est l’identité de ses personnes qui s’engage auprès d’une association, ou d’une organisation ? Précisons que cet engagement libre peut s’exercer au sein d’une association, dans un autre organisme, il est également utile de savoir pourquoi les gens s’engagent dans une action humanitaire alors que nous sommes dans une société de plus en plus individualiste.

Un bénévole peut s’engager sous différentes formes en terme de temps (régulièrement ou ponctuellement), en terme de lieu (local, national, internet). Elle peut aussi s’organiser dans le cadre d’une mission précise (savoir-faire d’une personne place dans l’organisation).

L’identité  du  bénévole  aujourd’hui  en  France  

Aujourd’hui au niveau de la répartition des bénévoles, les hommes et les femmes sont repartis de façon égalitaire soit à 50% pour chaque sexe. Au niveau de l’âge, les Français s’engagent très jeunes dans le monde associatif, dès 18 ans, dans une proportion de 33% pour les 18-25ans. C’est à peine 8% au-dessous de la moyenne générale (36%), soit un résultat très positif, compte tenu de leur faible expérience en la matière et des nombreuses autres sollicitations de la vie sociale (études, recherche d’emploi, loisirs, amis, réseaux sociaux...) dont ils sont l’objet. De plus, elles peuvent nous laisser deviner l’évolution du bénévolat de demain. Toutefois les plus de 60 ans restent la population la plus engagée dans le milieu associatif est représentent près de la moitié des bénévoles. Cela peut s’expliquer par le fait que cette tranche de la population possède plus de temps libre (il s’agit souvent de personnes retraitées). Un récent sondage démontre que le niveau d’étude ne va pas impacter un engagement « adhérent », au contraire un engagement bénévole qui passe de 25% pour les personnes non diplômé à 58% pour les personnes possédant un diplôme supérieur au bac.

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Les  motivations  qui  poussent  la  population  au  bénévolat  

Il existe différentes raisons qui peuvent encourager une personne à s’engager dans le bénévolat. D’après le même sondage, la première raison qui amène une personne à faire du bénévolat est un choix altruiste « être utile a ̀ la société ́... ». Suivie par un choix plus personnel « rencontrer des personnes qui ont les mêmes goûts, se faire des amis...et s’épanouir, occuper son temps libre ». Il y a d’autres raisons qui peuvent pousser au bénévolat telles que « défendre d’une cause » par exemple.

Une personne adhérente, ne s’engagera pas pour les mêmes raisons qu’un simple bénévole, en effet le bénévole s’engage dans un premier temps pour une satisfaction personne « rencontrée lui-même des gens ». L’utilité sociale apparaît seulement en troisième position.

MATOUAK Najwa

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Annexes    

 

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LA  SOLIDARITE  PREND  DE  NOMBREUSES  FORMES  ET  TOUCHE  DE  

PLUS  EN  PLUS  DE  DOMAINE  

La solidarité est présente à peu prêt partout de nos jours : en économie, finance, à l’international, national, etc. Nous allons ici parler de différentes formes de solidarité.

ð En matière d’asile et de réfugié Lorsqu’une personne d’un pays étranger vient demander asile pour cause de danger de persécution par son pays ou par l’autorité, l’Etat accorde sa protection.

ð Les chantiers internationaux International ne veux pas dire que l’action se situe à l’étranger mais fait référence à la diversité culturelle des volontaires. Des actions utiles à la collectivité sont réalisées par un groupe de 10 à 20 bénévoles ayant des origines culturelles et géographiques différentes sur une période de 2 à 3 semaines (le plus souvent en été). Plusieurs associations jeunesse proposent ainsi des volontaires, on appelle cela « volontariat long terme » et concernent plusieurs dispositifs : Service Volontaire Européen, Service Civique, Volontariat Moyen et Long Terme situé sur plusieurs zones géographiques (Afrique, Asie, Amérique, Europe).

ð Le commerce équitable Il s’agit de partenariat commercial qui respecte certaines règles : le dialogue, la transparence et le respect. L’objectif est d’avoir une plus grande équité dans le commerce international, ainsi, il permet de contribuer au développement durable, en effet il offre de nombreux avantages :

-­‐ Meilleures conditions commerciales -­‐ Garantie les droits des producteurs, travailleurs qui sont marginalisés

(le plus souvent des pays du Sud) Le commerce équitable essaie de convaincre l’opinion publique pour que le commerce international soit plus équitable.

ð En cas de crises et de catastrophes On appelle crise humanitaire une situation où la vie de beaucoup de personnes est en danger, ainsi de nombreuses actions sont mises en œuvre pour éviter la catastrophe ou du moins limiter les dégâts. Généralement, l’aide intervient en cas de catastrophes naturelles telles que des séismes, inondations ou pour des conflits humains tels que la guerre. Ces actions sont menées en France mais aussi à l’international et respectent de nombreux principes fondamentaux.

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ð L’économie sociale et solidaire L’ESS est « un ensemble d'initiatives économiques à finalité sociale qui participent à la construction d'une nouvelle façon de vivre et de penser l'économie (…). Elle place la personne humaine au centre du développement économique et social » (2e Rencontre internationale sur la globalisation de la solidarité, octobre 2001, Québec).

ð L’humanitaire L’action solidaire, humanitaire aide les populations les plus défavorisées tout en s’inscrivant dans une optique d’échange, bien qu’elle se pratique le plus souvent à l’international, on voit de plus en plus d’actions nationales qualifiées « humanitaires » telles que celle du Samu.

ð La micro finance

Elle regroupe l’ensemble des services financiers destinés à aider les populations exclues du système bancaire classique, elle permet ainsi aux personnes de cette population de développer leur activité qui leur permettra de toucher un revenu. Il s’agit de finance de proximité, elle offre ainsi de nombreux services financiers tels que des formations, et le bénéficiaire du service est suivi par un agent de crédit qui est là pour l’aider, le conseiller et l’accompagner.

ð Dans le domaine du médico-social Il s’agit d’action ayant pour objectif d’améliorer les conditions sociales et sanitaires d’une population donnée en agissant sur les maux sociaux sanitaires afin d’éviter la détérioration de la santé de ces populations.

Comme nous venons de le voir la solidarité est présente partout dans le monde sous plusieurs formes et touches de nombreux domaines. L’action sociale se développe de plus en plus et donne jour à de nombreuses associations ayant pour seul but d’aider son prochain. Il s’agit là de la preuve irréfutable d’une prise de conscience de la population qui se sent d’avantage concerné du sort des autres. Au vu de l’actuelle situation des différents pays l’action sociale et l’appel à la solidarité devraient se développer dans les prochaines années.

AGOSTON Aline

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LA  SOLIDARITE  A  L’INTERNATIONAL  :  UN  ACTE  

GENEREUX…  

 

L’aide  humanitaire  

L’aide humanitaire, généralement destinée aux populations les plus pauvres et les plus vulnérables, vise à répondre aux besoins de première nécessité (boire, manger, se loger et se vêtir) et à faire valoir et défendre la dignité humaine, les droits de l’homme, et le droit international.

On distingue l’aide permanente (centres de soin, éducation, soutien agricole, assainissement…), de l’aide d’urgence (aide alimentaire, accès à l’eau potable, hébergements temporaires…) qui relève de phénomènes exceptionnels, comme un tremblement de terre.

Le bénévolat humanitaire se développe de plus en plus. En effet, on peut voir de plus en plus de personnes souvent avec un emploi, profiter de leur RTT ou vacances pour se consacrer 8 à 15 jours, voire plus, à une mission humanitaire à l’autre bout du monde, en Asie, en Afrique et biens d’autres destinations.

 

 

 

 

Les équipes bénévoles sont souvent constituées de médecins, infirmiers ou aides-soignants, ainsi que plusieurs citoyens.

Ces missions permettent aux bénévoles, de voir d’une façon différente les relations humaines, et influent même sur la vie quotidienne.

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Le  bénévolat  dans  les  autres  pays  

Aux États-Unis…

Le premier pays du monde pour le bénévolat est les Etats-Unis, avec 93 millions d’Américains qui le pratiquent à différents degrés selon une étude universitaire, il implique surtout les retraités et les femmes.

Le bénévolat américain est particulièrement développé dans le domaine des arts et contribue au fonctionnement de nombreuses institutions culturelles : par exemple, environ 1 500 personnes travaillent gratuitement pour le musée des beaux-arts de Boston. Les missions des bénévoles sont diverses : assurer la promotion de l’institution culturelle dans la ville, s’occuper des guichets, guider les visiteurs dans les musées, etc. En France peut d’associations jouent ce rôle.

Au Canada…

En 2010, plus de 13.3 millions de personnes, soit 47% des Canadiens de 15 ans et plus, ont consacré 2 millions d'heures environ au bénévolat. Au Canada, le bénévolat se réalise de manière structurée entre la personne qui donne de son temps, le bénévole, et un organisme sans but lucratif (OSBL). Les OSBL offrent de nombreuses possibilités de bénévolat, offertes aux bénévoles par divers moyens.

Les centres d'action bénévole constituent une des sources de recrutement de bénévoles.

… mais avec des limites.

L’aide humanitaire perçue comme un acte juste et généreux, doit aussi être impartiale et libre de tout mouvement ou pensée politique. Si cela n’est pas respecté des problèmes peuvent être engendrés, car l’aide humanitaire a des conséquences sur les conditions sociales, économiques et culturelles d’un pays ou d’une région en crise. Elle agit en présence de parties en conflit et de forces militaires, elle est exposée aux intérêts d’acteurs politiques locaux et internationaux. Mal pensée, elle peut, en outre, influencer les marchés locaux, les habitudes sociales et bouleverser les structures hiérarchiques. Les organisations humanitaires se retrouvent ainsi souvent face à des dilemmes politiques, économiques ou sociaux, qui les placent face à des choix impossibles et les obligent à renier certains de leurs principes.

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BOURAINE Dihia

 

Conclusion      

 

 

 

« Le bénévolat, c'est l'art d'aider les autres en s'aidant soi-même »

Le bénévolat évolue avec les changements de la société, hier un véritable acte de générosité qui tend parfois, de nos jours, à devenir un acte professionnalisant, d’où le nombre important de bénévoles qui adhèrent à plusieurs associations en même temps. Les motivations le plus souvent énoncées par les bénévoles sont la volonté de se rendre utile, le fait de rencontrer de nouvelles personnes, de découvrir des domaines, pour la population inactive (seniors, sans emplois) c’est aussi l’occasion d’utiliser ces compétences, et d’acquérir une expérience professionnelle, et parfois même de créer un réseau. Le bénévolat, n’est pas seulement un acte national, il dépasse les frontières, les religions, l’appartenance politique ou ethnique. En France, le bénévolat, surtout des jeunes, n’est pas encore très développé, contrairement au pays d’Amérique du nord, le canada et les Etats-Unis, ou les jeunes sont investis grâce à une propagande de l’état.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bibliographie    

• SIMONET Maud, Le travail bénévole, engagement citoyen ou travail gratuit ?, La dispute, coll. « Travail et salariat », 2010

• PUJOL Laurent, Management du bénévolat, Vuibert, 2009

• ROBICHAUD Suzie, Le bénévolat. Entre le cœur et la raison, Préface, 2003

• DHOQUOIS Anne et HESSEL Stéphane, Bénévoles…et vous ? , Essai, 2011

 

 

Sitographie  

• BAZIN  Cécile,  MALET  Jacques,  Le  bénévolat  en  France  en  2013  et  ses  évolutions  récentes,  Recherches-­‐solidarités,  2013    >>  http://recherches-solidarites.org/media/uploads/ifop-2013.pdf

• MOYEN Jean, Le bénévolat-volontariat : quelles évolutions ?, ceserlimousin, 2007 >> http://www.ceserlimousin.fr/wp-content/uploads/2007/06/BENEVOLAT-VOLONTARIAT.pdf

• CORNU Sylvie, La situation du bénévolat en France en 2013, associations.gouv, 2013 >> http://www.associations.gouv.fr/IMG/pdf/dp_conference_18062013.pdf

• Le bénévolat humanitaire, vision du monde >>  http://www.visiondumonde.fr/agir/le-benevolat-humanitaire

• S’engager dans l’humanitaire, jeune et bénévole >> http://jeuneetbenevole.org/humanitaire.php