ELLE EST PAS BELLE

LA VIE ?!

Novembre 2011 - n° 6 - lebonbon.fr

LYONCENTRE

3 — LYON

sommaire

6. La Cuisine

34. Houari Kecir

10. Festival du film court

38. FST Handwear

14. Nuit Résonance

44. Dandyfrog

5. Le Bon Timing6. Le Bon Commerçant10. Les Bonnes Étoiles

12. Les Bons Plans14. Le Bon Art

16. Le Bon en Arrière18. Le Bon Astro

20. La Bonne Destination22. Le Bon Look

24. Le Bon Moment29. Le Casse Bonbon

30. Les Bons P’tits Diables32. Le Bon Jeu

33.Le Bon Blabla

34. Le Bon Uppercut36. Les Bons Shops38. Le Bon Artisan

40. Le Bon Lyonnais42. Les Bons Snapshots

44. Le Conte est Bon46. Le Bon Agenda

Novembre 2011

Des canuts,

à la création,

contemporaine,

15-30 NOV.2011

EXPOSITIONS

ATELIERS CRÉATIFS

BALADES URBAINES

DÉFILÉS...

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La ville comme on l’aime, festive5 — LYON

le bon timing Les évènements à ne pas manquer !

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The KillsLe groupe est né en 2001, de la rencontre entre le producteur anglais Jamie Hince (alias Hotel) et la chanteuse américaine Alison Mosshart (alias W). Depuis, ils sont les meilleurs représentants d’un rock pur et dur : « irrémédiablement branleur, nihiliste, donc parfaitement jouissif. » On les aime jusqu’au point de les idolâtrer secrètement ! Mardi 15 novembre au Transbordeur à 20h30.

Ruy Blas de Victor Hugo Pour inaugurer la nouvelle grande salle du TNP, Vic-tor Hugo s’imposait. Ruy Blas est un héros, laquais secrètement amoureux de sa reine, au service d’un puissant, animé d’un désir de vengeance. Pourra-t-il détourner la machination mise en place pour compro-mettre la reine ? Cela vous rappelle quelque chose ? Du 12 novembre au 11 décembre Au TNP - relâche les lundis.

Freestyle Indoor Air Master Show aérien de plusieurs disciplines: moto, mini moto, vélo et pour la 1ère fois en France moto des neiges. Les pilotes ne sont plus des concurrents mais des artistes qui se mettent en scène pour le plaisir du public.Un spectacle « hors normes » digne des plus gros shows américains pour vibrer aux rythmes des moteursLes 25 et 26 novembre au Palais des sports 350, av Jean Jaurés 69007. - www.freestyle-lyon.fr

BewolElle proposera dorénavant une fois par mois une performance réalisée par les grapheurs Stereotype et Dalas/Ré. Ils viendront customiser au poska des sneakers Adidas ainsi que des casquettes. Vous pourrez passer commandes directement auprès d’eux selon vos envies. 13, rue Thomassin 69002 /Ouvert de Mar au Sam de 11h à 19h - Tél : 04 78 88 51 19 - www.bewol.com facebook : Boutique.BEWOL

Concert

Évènement

Théâtre

Exposition

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le bon commerçant

Aux pieds des pentes, dans ces rues entremêlées au charme intemporel se cache un restaurant comme le Bonbon les aime. Histoire de passion et de convic-tion assaisonnée d’une pointe de folie. Parce qu’il faut oser ouvrir un restaurant dans la capitale de la gastronomie et se faire une place au milieu des nom-breux établissements. Mais visiblement, Charles ne s’est pas posé autant de questions, il a cru en son projet et il y est arrivé. Alors venez avec moi le ren-contrer au milieu des assiettes encore chaudes et des casseroles qui chantent.

Quelques marches à descendre et me voilà pous-sant la porte de La Cuisine. Nom simple et efficace qui donne déjà l’impression d’être en terre connue, comme à la maison. Le maître des lieux m’accueille et je découvre la salle : murs en pierre, bois, immense miroir, couleurs violine et rouge. Loin des tendances épurées et souvent aseptisées où on a l’impression d’être dans un bloc opératoire plutôt que dans un restaurant, ici Charles a voulu un esprit bistrot avec un supplément d’âme, une marque d’élégance. Lumière tamisée, je lis la carte. Contrairement au midi où le leitmotiv est rapidité et efficacité, l’éta-blissement se teinte d’une ombre chaleureuse le soir.

Mon regard parcourt ces terminologies culinaires. Un monde mystérieux pour moi qui suis une fidèle des produits surgelés et autres fast-foods américains. Des plats traditionnels avec une touche méditerra-néenne, « ni trop gastronomique, ni trop simple ». Un bel entre-deux qui ravit tous les palais. Mes coups de cœur : calamars à la plancha, confiture de balsa-mique, magret de canard fumé à cru, rôti à la fleur de sel de Bretagne (une invention de la maison !) et une omelette norvégienne flambée au Grand Marnier à faire pâlir ma grand-mère qui pourtant s’y connaît.

Autour de ce joyeux restaurateur, une équipe dyna-mique s’active. Julien, le chef de cuisine, est assisté de deux autres aficionados de la cuisson-minute et techniques culinaires. En salle, Bérangère (Béro pour les habitués) est aux petits soins avec les clients. Et comme un chef d’orchestre, Charles guide cette famille au rythme des bruits de vaisselle. Après avoir beaucoup baroudé à travers la France, l’Angleterre et l’Espagne, il a décidé de poser ses valises et ses couteaux dans notre ville. Mais attention, pas n’im-porte où ! Le choix du quartier était important pour le jeune homme. Métissé, vivant et artistique, il reflète l’image de sa cuisine aux diverses influences. Et puis,

La CuisineL’EAU À LA BOUCHE

Texte Alexia BarbeyPhoto Nicolas Raspail

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le bon commerçant

ce qui le passionne par-dessus tout dans son métier, ce sont les rencontres : l’esprit village qui règne dans ce quartier, les amitiés liées avec les autres commer-çants. En un mot, la convivialité, en deux, une « belle simplicité », comme il aime à décrire sa cuisine.

Ne jamais se laisser porter par le courant, toujours proposer quelque chose de nouveau, c’est aussi cela qui fait la réussite de ce lieu. Du 22 au 30 novembre, il propose une semaine antillaise pour mettre un peu d’exotisme dans votre hiver. Au programme : plats typiques, décoration, peintures, musique et tenue assortie pour l’équipe (petit plus qui vous fera sali-ver, j’en suis certaine : dégustation de punch et rhum arrangé fait maison). Et tous les mardis soir, concert de jazz manouche pour une ambiance cosy et décon-tractée.

Et si vous n’êtes pas encore convaincus par l’univers de Charles, sachez qu’il fait des profiteroles comme dans vos meilleurs souvenirs, des vraies de vrai, avant que votre goût ne soit saccagé par des années de malbouffe. Finalement, c’est un restaurant assez dépaysant !

9, rue Saint-Polycarpe - 1er

Ouvert du mardi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30

Tél. : 04 78 28 15 31contact@restaurant-lacuisine.fr

www.restaurant-lacuisine.fr

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les bonnes étoiles

la cinémathèque de Grenoble), Paul-Jean Tavernier (responsable de Panavision Rhône-Alpes) et Nicolas Silhol (réalisateur).

Lyon est-elle une ville cinématographique stimu-lante ?Lyon est une ville éminemment cinématographique, par-delà même son histoire avec les frères Lumière. Elle est très cinégénique. Mais Villeurbanne devient aussi une ville très cinématographique, avec le pôle Pixel et ses studios de cinéma, l!installation de Rhône-Alpes Cinéma.

24 images seconde, tout est une histoire de regard et de cadrage. L’édition du Festival du film court de Villeurbanne promet une nouvelle fois découvertes, sensations et émotions. Parce que le cinéma n’est pas une question de format et le talent encore moins de budget, rencontre avec Laurent Hugues, direc-teur du festival :

Vous êtes directeur du Festival du film court de Vil-leurbanne, quels nouveautés et thèmes pour cette 32e édition ?Nous avons orienté cette 32e édition sur le thème du casting. Un festival de courts-métrages, c’est finale-ment un défrichage de talents, une mise en contact de réalisateurs avec la vérité du public, et tout cela débouche toujours sur des noms qui émergent, des films qui sont autant de promesses d’avenir certain dans le 7e art.

Le court-métrage est-il une forme artistique qui a encore sa légitimité ?Évidemment ! Même si des réalisateurs de long-métrage viennent maintenant de la pub et du clip, le court-métrage reste une forme d’expression cinéma-tographique suffisamment difficile à écrire et à réali-ser pour que tous les espoirs du cinéma de demain y résident encore et toujours.

Quelles sont vos attentes vis-à-vis de la compétition ? Êtes-vous impatient de découvrir de nouveaux Kas-sovitz, Jeunet, qui ont présenté leurs premiers films au Festival du film court de Villeurbanne ? Y a t-il une tendance dans les thèmes traités par les films des compétitions cette année ?Un peu comme le chercheur d’or avec son tamis, il y a donc toujours une attente très forte. Les sélec-tions sont un reflet assez fidèle de la production. Cette année révèle une véritable inquiétude dans les thématiques abordées : précarité, incertitudes sur l’avenir, effets de la maladie ou de la vieillesse, et de très fortes préoccupations sur le sort des immigrés clandestins. Un regard finalement plus humain et touchant que celui des reportages télé et des infos. Quel sera le jury officiel ? Pourquoi le choix d’Éric Guirado et Anne Girouard ?Nous avons pris le parti de ne plus inviter au jury que des gens que nous aimons et dont nous appré-cions le regard sur le court-métrage. Anne Girouard est comédienne de théâtre (Guenièvre dans la série Kaamelot), et est en train de percer sur grand écran. Éric a été un spectateur assidu du Festival et nous avons entretenu un lien particulier avec lui et avec ses films. Les quatre autres jurés seront Olivier Ber-lemont (producteur), Guillaume Poulet (directeur de

Festival du f ilm court

ZOOM SUR...

Texte Aurélie Alex et Benoit Laplanche-ServignePhoto DR

Quels sont les lieux lyonnais qui vous sont chers ?Si je devais me limiter à Lyon, je dirais la Presqu’île pour avoir beaucoup fréquenté les salles des CNP et avoir nourri une bonne partie de ma passion du cinéma.

En photo : Christian Carion - parrain du festivalAnne Girouard - Jury

www.festcourt-villeurbanne.com

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les bons plans les bons plansTexte Aurélie Alex

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Texte Aurélie Alex

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LuxosantéLa santé par la lumière

Vous ne supportez plus cette sensation de chaleur intense qui envahit soudain votre décolleté, le cou, puis monte au visage. Marre de ces bouffées et rou-geurs ! Très variables d’une femme à l’autre, les désa-gréments de la ménopause peuvent parfois rendre la vie impossible. Valérie et Nathalie ont justement pensé à ces problèmes féminins dans leur centre de luxopuncture au cœur de Lyon. Dans un bel appar-tement à la décoration apaisante, elles pratiquent cette méthode qui existe depuis plus de dix ans en France. En effet, sans laser, ni aiguille et 100% natu-relle, la luxopuncture est indolore et non agressive, agissant simplement sur les points réflexes de votre corps avec un faisceau infrarouge. La cure a pour objectif d’atténuer l’inconfort de la ménopause, réduire la fréquence et l’intensité des bouffées de chaleur et améliorer le sommeil, l’humeur et la forme générale. Avec une séance par semaine pendant sept semaines, puis trois séances tous les six mois, vous retrouverez enfin une vie normale et cette rébellion hormonale ne vous fera plus peur !

51, rue du Président-Herriot - 2e

Tél. : 04 78 62 20 83 ou 07 86 83 26 84contact@luxosante.com / www.luxosante.com

Bon RéveilCroissants & Co

Le soleil vient de se lever. Mais l’ami Ricoré ne vous fait plus rêver depuis longtemps ! D’ailleurs à la moindre écoute de ce slogan, vous avez envie de retourner direct sous la couette ! Pourtant l’appel des croissants chauds, des tartines craquantes et de la confiture dégoulinant de sucre vous empêche de retourner aux pays des merveilles. Premier pro-blème à régler : s’extraire de son lit. Deuxième : frigo vide. Pas de panique ! Vous n’avez qu’à sortir un bras de vos draps, choper votre potable, composer un numéro de téléphone et David vous livre votre ptit déj’. Formule gourmande, royale (pour sortir le grand jeu à votre dulcinée), fruitée, salée-sucrée ou tradi-tionnelle. On dit que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, David illustre parfaitement ce proverbe. Debout à 6h, il parcourt la ville pour que votre réveil se fasse du bon pied. Des produits frais et authen-tiques, des artisans locaux (boulanger, chocolatier). « Le petit déjeuner étant le moment le plus important de la journée, Bon réveil s’engage à apporter un ser-vice soigné : gants blancs, boissons chaudes servies sur place. Possibilité d’ajouter le journal, le pain ou sandwich du midi, bouquet de fleurs... » Le seul pro-blème c’est que, maintenant, je n’ai plus aucune rai-son de râler le matin !

Sur réservation: Tél. : 06 28 19 61 73 www.bonreveil.fr - contact@bonreveil.fr

Le vendômeAu pas, au trot, au galop

C’est une histoire de passion pour le grand mammi-fère ongulé domestique, caractérisé par de longs membres qui font de lui un coureur remarquable. « Quésaco ? », me dîtes-vous. (Oui, j’ai le pouvoir de vous entendre lire). Alors pour être plus précise, je vais vous parler des descendants de Pégase. Enfin surtout de celui qui voue une passion depuis de nombreuses années au cheval en général et aux courses en particulier. Et pour info, vous pouvez le trouver dans son établissement, il vous conseillera pour miser sur le bon canasson…

Bruno n’a pas un parcours typique. D’origine lyon-naise, il est animé depuis tout petit par un attache-ment irrémédiable envers ces bêtes à quatre pattes. Son oncle possédant un ranch, il a passé une grande partie de son enfance à gambader joyeusement au milieu des hennissements. En face de lui, assise à une table dans son café, il me montre des photos d’antan : Ses débuts de propriétaire de chevaux, les récompenses… Après quelques années à tra-vailler pour tout autre chose, il décide d’allier l’utile à l’agréable en ouvrant un restaurant PMU. Entouré d’une petite équipe, dont René, un ancien joker reconverti en cuistot, et Chloé, il souhaite casser l’image négative du Pari mutuel urbain. Ici, c’est la passion qui réunit avant tout les habitués et les gens de passage avec, à l’arrière, une salle au calme pour les joueurs. Dans un esprit convivial, « faire que les

gens se sentent bien », il propose une carte simple avec des plats traditionnels tous les jours diffé-rents selon l’humeur et les saisons. (Évidemment la viande de cheval est formellement interdite… ) Bruno habite dans le 6e à deux pas de son établissement. Il aime son quartier pour les liens noués au fil du temps. Quand il n’est pas devant un écran à regar-der le galop des sabots, il va déjeuner aux Brotteaux, à L’Est Brasserie, puis faire escale chez Smart pour quelques emplettes avant d’aller retrouver ses amis autour d’un verre au Grand Café des négociants. Et soudain me revient en mémoire cette publicité qui passait quand j’étais petite, juste avant la météo, vous vous souvenez avec Omar Sharif… Et bien pour Bruno aussi c’est son dada !

110, rue Vendôme 69006Tél: 04 78 24 95 05

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le bon art

Je vous arrête tout de suite, ce n’est pas grave si les concepts et réflexions des artistes contemporains vous échappent parfois. Pas de quoi dramatiser face à votre ignorance lorsqu’on vous demande de citer le vidéaste majeur de ces dix dernières années. Warhol ? Ok, vous connaissez vos classiques, mais les années 80 c’est fini depuis longtemps. Alors pour remédier à votre inculture en la matière, quoi de mieux qu’une soirée où vous pourrez picorer, trin-quer et discuter à côté des œuvres exposées dans le cadre de la 11e Biennale de Lyon.

Rendez-vous le 24 novembre prochain pour explorer les méandres des esprits plus ou moins torturés, farfelus ou révolutionnaires d’artistes venus de tous horizons. Pour ne pas vous sentir submergé par un trop-plein d’informations, plein fard sur quelques événements à ne pas manquer en cette veille de week-end. Commençons par la galerie Céline Moine qui présentera Cold, une performance photogra-phique de Pénélope Octavio : « Un frigo, une mise à nu. Au visiteur de se confronter avec un espace exigu et d’en faire une petite prison… ou un refuge imagi-naire. » Après cette mise en bouche électroména-gère, vous pourrez vous dégourdir les gambettes place des Terreaux lors d’un véritable bal où cinq DJ

vous entraîneront dans une danse endiablée. Après ce moment de frivolité, retour à l’abstraction avec l’exposition Comique Géométrique à La Salle de bain. Ensuite, détour sur les hauteurs de la ville avec les œuvres de Lina Manousogiannaki qui abordera les thèmes « d’une génération sans cesse grandissante, franchissant l’âge de la retraite, et celui de l’âge d’or des super-héros reflétés par les comics américains des années 60. » Pour finir en beauté ces pérégri-nations artistiques, point de ralliement à la galerie Spacejunk qui sera ouverte jusqu’à minuit pour l’oc-casion : DJ « et images figuratives déformées par la vitesse et le mouvement » signées Will Barras. Ce parcours est bien sûr non exhaustif ! (Galerie Le Bleu du ciel avec les photographies de Tom Wood, projections et rencontres à l’École nationale des beaux-arts et beaucoup d’autres lieux… ) À vous de faire le vôtre au grè des rencontres au fil de la soi-rée… Sachez simplement que tout est ouvert jusqu’à 22h voire plus, maintenant c’est à vous de jouer !

Le 24 novembreTél. : 04 27 46 65 65

www.biennaledelyon.com info@biennale-de-lyon.org

Nuit Résonance

FIESTA ARTY

Texte Aurélie AlexPhoto DR

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le bon astro le bon astroTexte Gaya et son équipe Novembre 2011

BELIER 22 mars / 21 avril

Vous serez à fleur de peau et aurez la larme à l’œil. Certes, l’influence de Vénus amplifiera vos émotions, mais elle vous apportera également un pouvoir de séduction à toute épreuve. Donc laissez vous aller c’est le mois de l’amour. Profitez comme il se doit de ce mois fort en sensations et utilisez votre séduction pour atteindre vos objectifs professionnels !

TAUREAU 22 avril / 21 mai

Vous poussez parfois le bouchon un peu trop loin. Ne faites pas payer à votre entourage vos déboires pas-sés. Vous avez des facilités et vous en jouez ! Mars entrera dans votre signe ce mois-ci et pourrait bien faire voler bon nombre de vos certitudes ! Une invita-tion inattendue apportera des réponses insolites qui vous serviront pour votre avenir professionnel.

GEMEAUX 22 mai / 22 juin

Mettre de l'eau dans votre vin n'est pas votre fort, mais vous n'aurez pas le choix ce mois-ci. N’ayez crainte, votre diplomatie légendaire viendra à bout de vos doutes. Vous aurez un peps à faire pâlir les plus vigoureux ! De plus, vos conseils vaudront de l'or, alors, ne les gardez pas pour vous.

CANCER 23 juin / 21 juillet

Ne criez pas trop fort, les murs de votre bureau ont des oreilles ! Vos nouvelles idées risquent de provo-quer des réactions vives parmi vos collègues. Jalou-sie ? Mars fait souffler sur vous un vent de rébellion, mais prenez garde, surtout si vous attendez que votre direction vous suive sur votre projet qui vous tient particulièrement à cœur !

LION 22 juillet / 23 août

C'est le mois de l'amour pour les natifs du lion. Vous redécouvrez certaines odeurs, certaines caresses qui vous ont ému, vous qui aviez mis l’amour en der-nière position sur vos priorités. Une voie inattendue vers de nouveaux horizons pourrait bien vous désta-biliser. Beaucoup de joies et de plaisirs s'offrent à vous, en particulier en fin de mois. Ouvrez les bras et accueillez-les !

VIERGE 24 août / 23 sept.

Des sourires, des regards, tout sera réuni pour égayer votre mois de Novembre. C’est un mois placé sous le signe de la communication. Votre entourage sera aux petits soins et vous n’aurez qu’à vous laisser chou-chouter et profiter de l’instant présent. Prenez garde, cependant, à ne pas oublier d’atteindre les objectifs que vous vous étiez fixés pour cette nouvelle rentrée !

Vous avez des questions, nous avons les réponses. Appelez Gaya et son équipe.Audiotel 7/7j et 24/24h au 08 92 68 29 29 (0,34 cts la minute).

En RDV Privé au 01 75 43 08 55

BALANCE 24 sept. / 23 oct.

Vous devrez balayer devant votre porte ce mois-ci. Il serait temps de prendre les bonnes décisions ! Evi-tez de vous poser trop de questions, en particulier sur des sujets qui ne vous concernent pas directe-ment. L’expérience que vous avez acquise dans le passé vous permettra de vous engager sur de nou-velles voies. Alors foncez !

SCORPION 24 oct. / 22 nov.

Les commérages iront bon train et vous risquez de douter de vos capacités. Restez vigilant car votre ca-ractère impulsif vous jouera de vilains tours, comme d’habitude vous parviendrez à composer avec cet aspect de votre personnalité pour mieux rebondir ! Côté cœur sachez prendre des risques, jetez-vous à l’eau, vous ne serez pas déçu…

SAGITTAIRE 23 nov. / 22 déc.

Vous qui vouliez recevoir des démonstrations d'af-fection vous serez servi ! Vous passerez le mois sous la couette à vous réchauffer contre votre partenaire ou en famille. Si vous êtes célibataire l’amour arrive enfin… Vous pourriez bien croiser l’être qui cham-boulera votre vie si vous ouvrez bien les yeux !

CAPRICORNE 23 déc. / 20 jan.

Vous devrez d’abord conclure ce qui a été entrepris pour avancer. Évitez de multiplier les chantiers. Vous allez tirer un trait sur le passé… Quel bonheur ! Vous allez enfin pouvoir créer une nouvelle vie et de nou-velles activités. L’influence de ce mois vous protè-gera, soyez-en sûrs ! Surprenez-vous et surprenez-les !!!!

VERSEAU 21 jan. / 19 février

À force de jouer les glaçons ambulants, vous allez faire fuir tous ceux qui oseront s’approcher de vous. Et cela pourrait avoir des répercutions sur le plan professionnel… Attention, vous pourriez bien faire échouer vos projets ! Un petit effort : affichez votre plus beau sourire et réchauffez tout ça !

POISSON 20 fév. / 21 mars

Il est grand temps de mettre à profit tout ce que vous avez appris. Vous êtes en train de préparer votre hi-ver, un petit relooking d’intérieur serait le bien venu ! Bref prenez-vous par la main ; exercice, gymnastique ou massage afin de vous permettre d’atteindre vos objectifs. Vous avez rencontré l'amour de votre vie, chouchoutez-le bien !

20 — 21 —

la bonne destination Communiqué Macha BinotPhoto DR

La rentrée nous a tous fait nous ré-inscrire dans des clubs, des loisirs, des échappatoires à nos vies stressantes.

Quoi de plus agréable que de passer l’hiver en jeu d’équipe ou en individuel à vouloir se surpasser dans une compétition en dehors de celle du bureau ? Esprit d’équipe, esprit corporate ou esprit de compé-titeur, on brûle tous d’envie de se faire connaître par autre chose que notre fonction au sein du bureau. Une belle passe, un revers dont on parle encore devant la machine à café. Non pas celui du revire-ment de situation dû aux détournements des objec-tifs de la boîte mais bien celui sur terre battue qui a permis à Jean de battre Paul, nos deux fidèles aco-lytes de l’édito du Bonbon EST du mois de Juin 2011. Nous même avons notre équipe… de football au sein du Bonbon avec joueurs, entraineurs et Pompom girls ! Une fois tout ce petit monde recompté, nous avons trouvé un bon plan pour se déplacer dans les compétitions.

Les Hôtels Ibis ont créé une offre dédiée aux sportifs. Dans 312 hôtels en France et 500 en Europe, IbiSport s’adresse aux sports individuels, collectifs ou intel-lectuels - entraineurs, arbitres, médecins ou diri-geants - dans le cadre de compétitions ou de mani-festations sportives. Du coup, nous voilà partis dans de grandes envolées et de belles perspectives sur l’équipe du Bonbon ! Plus de raison de se freiner dans

l’ascension sportive de l’équipe ! Pour 17 ! par per-sonne en chambre double, l’offre IbiSport s’adapte même aux calendriers des compétitions avec ce tarif disponible le week-end (vendredi, samedi et dimanche), les jours fériés et les veilles de jours fériés ! Ils ont même prévu des salles de réunion pour le dernier briefing tactique avant la rencontre et la victoire sur l’adversaire ! Les check-out se font jusqu’à 17h pour se reposer de cette victoire bien méritée ce matin-là ! Des tables de massage sont même mises à disposition pour éviter la courbature du lendemain et sur-lendemain. Ils ont réuni tous les services qui nous permettent, à nous, grands com-pétiteurs, de mettre toutes les chances de notre côté pour remporter la coupe.

Et quoi de plus agréable que de passer la ligne d’arri-vée du Marathon que l’on avait prévu de faire en 4h30 avec un timing parfait, quoi de plus jouissif que de marquer le but décisif ! Au moment où ce texte est écrit, la France s'incline héroïquement devant les All Blacks, Tony Parker est revenu passer la saison avec son équipe de Villeurbanne, on vient de gagner deux matchs au Bonbon… La fameuse expression « Anima Sana In Corpore Sano » ne peut donc que s’appliquer d’autant qua ça fait du bien au corps et aussi à l’es-prit.

Bonne compét ! Au plaisir de se croiser dans les cou-loirs des hôtels Ibis.

Le sport, ça te gagne!!

PLUS AUCUNE EXCUSE POUR NE PAS GAGNER !

la bonne destination

HOTEL IBIS SPECIAL SPORTIFSwww.ibishotel.com

VirginieAcadémique : Repetto / Veste : Uniqlo

Bracelets : Marion Godart / Mitaines : Maison FabreSac à dos : Paul Smith

Casque audio : IN 2—

Virginie est DA, conceptrice pub free-lance

AntoineFuseau détourné en manches longues : Repetto

Gilet Teddy : Paul SmithBracelet porté en collier : Marion Godart

Casque audio : IN 2—

Antoine est co-créateur de Terebenth

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le bon look le bon lookPhoto Amélie Chassary www.ameliechassary.com

Styliste Anthony Lee Watson

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La Consigne, resto-bar à vins (Valable jusqu’au 5 déc. 2011)

Spa Osmose(Valable jusqu’au 5 déc. 2011)

Spa – Gommage corporel au thé vert - Massage12, rue de la Barre - 2e

Tél. : 04 78 79 94 40 - www.spa-osmose.comRejoignez-nous sur Facebook : spa osmose

La Consigne donne le ton avec sa sélection de spiritueux soigneusement choisis Plat du jour : 10!50, entrée + plat / plat + dessert : 13!, entrée-plat-dessert : 15!50 - Gare des Brotteaux 13 ter, place Jules-Ferry - Tél. : 04 37 24 30 52

Grand déstockage à prix super bonbon : luminaires, poufs acidulés… profitez, profitez !34, rue Franklin - 2e – M° Ampère-Victor-Hugo 9, rue Saint-Jean - 5e – Bus C3 gare Saint-Paul Tél. : 06 80 05 70 34

Petit déj à la française ou à l’anglaise au choix. Une bonne adresse pour les amateurs de petits déjeu-ners ! 9, rue des Quatre-Chapeaux - 2e

Tél. : 04 78 42 83 10 - Mar. au sam. de 9h à 19h Brunch le dimanche de 11h à 16h

Les Escapades de Jef(Valable jusqu’au 5 déc. 2011)

Polo Club(Valable jusqu’au 5 déc. 2011)

Destockage de vins du pays de la Drôme

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Formules petit déj de 9h à 11h du

mardi au samediLe Bonbon aime ça :)

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le casse bonbon

Le vendredi 14 octobre 2011, le G20 réunissait ses ministres des finances à Paris, Arnaud Montebourg se prononçait en faveur de François Hollande pour le deuxième tour de la primaire socialiste, les Indignés se mobilisaient dans les grandes villes du monde entier et France-Soir annonçait sa disparition en format papier. Mais la véritable info n’était pas là. Sur les coups de minuit, Marie remportait la grande finale de Secret Story 5 devant 3,2 millions de télés-pectateurs !

Voilà, ça c’est important ! Non parce que franchement, les maussades, les pas contents, les fâchés de la planète, on s’en cogne un peu. Ce qu’on veut savoir, c’est si Marie va gagner, si elle va plaquer Geoffrey, pécho Zelko, régler ses comptes avec Juliette ou si elle va enfin poser nue, la bougresse. Quelques heures plus tôt, c’est Koh Lanta qui livrait son lot hebdomadaire de boue et de vers de terre à déguster devant plus de 7 millions de téléspectateurs. Bon appétit.10 ans après les grands débuts de Loft Story, sous la houlette du déjà tordant Benjamin Castaldi, la télé-réalité a imposé ses codes sur la télévision fran-çaise. Pas une chaîne sans son programme estam-pillé « réalité », de l’hertzien à la TNT. La liste de ces méfaits cathodiques est effarante : L’amour est dans le pré, L’étoffe des champions, Danse avec les stars, Les anges gardiens, Les anges de la télé-réa-lité, Moundir cherche l’amour, Moundir cherche son

français etc… Pendant ce temps, la culture disparait silencieusement de nos petits écrans, reléguée en antépénultième partie de soirée. Il y a pourtant erreur sur la marchandise. De réalité, il n’est point question dans cette télévision. On en est même de plus en plus loin. Désormais rodés à l’exer-cice, les candidats sont devenus des acteurs, rému-nérés pour offrir leur intimité. Ils jouent les rôles que la production veut bien leur offrir, monnayant une image qu’ils tenteront de faire vivre à la sortie, en

écrivant un bouquin, un single ou en deve-nant coach sportif. La Marie de Secret

Story l’a bien compris : pas de rêve de star chez la princesse silico-

née, elle veut juste ouvrir une sandwicherie. Preuve qu’elle est pas si débile qu’elle veut bien le laisser croire la Marie.

La réalité, elle est dans les JT, les reportages, les documen-

taires et elle fait bien flipper. Regarder des gamins faire étalage

de leur bêtise, c’est reposant et ça donne l’impression de pas être trop con.

Ce que sanctifie la télé-réalité, c’est l’ère de la confession. L’intime étalé en prime-time, à longueur de journaux people et jusque chez nos politiques. Les fonds de tiroirs, les fonds de poubelles. C’est tout l’art du story-telling. On vous raconte une histoire. Pendant ce temps, la vérité est bien loin. Allez, je vous laisse, je vais me prendre un sandwich chez Marie. Parait qu’elle fait un jambon-beurre suc-culent. J’espère qu’elle a largué Geoffrey… Il a faim le Marius !

Télé RéalitéPOUBELLE STORY

Texte Marius Lacatus

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la bonne expo

Le chef d’œuvre de Fritz Lang fait l’objet d’une expo-sition à la Cinémathèque française du 19 octobre 2011 au 29 janvier 2012. Celle-ci nous fait pénétrer au cœur des rouages du long métrage allemand de 1927, pendant que le Bonbon prépare la soirée électro de cette fin d’année sur le même thème au Bataclan.

Un chef d’œuvre de science-fiction…Film muet en noir et blanc, il nous transporte dans un futur imaginé dès le début du 20e siècle, au centre d’une mégapole de 2026 scindée en deux mondes. Les ouvriers œuvrant sous les sols pour assurer le bien-être des bien loties classes dirigeantes sur-plombant la terre depuis leurs jardins suspendus. Les premiers se rebellent, mais une explosion va donner naissance à un monstre-machine……Retranscrit à la Cinémathèque.L’exposition s’articule selon un parcours dont chaque pièce est consacrée à une séquence du film, six au total (La Cité des Fils, La Ville Ouvrière, La Ville Haute, Le Laboratoire Rotwang, Les Catacombes, et La Cathédrale). Elle présente son univers entre projec-tions et exposition de pièces uniques. Des appareils aux costumes, en passant par des photos plateau (plus de 800) et des dessins originaux jusqu’alors inédits en France, sans oublier la fameuse femme-robot reconstituée par Walter Schulze-Mittendorff. Une collection unique, complétée par des confé-rences et activités pédagogiques.

Metropolis, le futur omniprésent.Simultanément, une version restaurée intégrale du film sort en salle le 19 octobre, et deux rétrospec-tives sont également à découvrir du 18 octobre au 4 décembre. L’une sur Fritz Lang, l’autre intitulée « Cités Futuristes », qui retransmettra les films de science-fiction sur le même thème. Metropolis Bonbon Party.Le Bonbon a choisi ce thème pour sa prochaine grande soirée événement, la Metropolis Bonbon Party, qui se tiendra le jeudi 10 novembre 2011 au Bataclan avec le soutien de la Cinémathèque. L’at-mosphère futuriste grinçante issue de l’univers de Lang incarne à merveille l’essence de l’électro, et donnera vie à un thème à la fois dans la mouvance et complètement décalé, dans l’esprit bonbon. Une version décomplexée sur fond de concerts, DJ sets, performeurs, effeuilleuses et animations pour la soi-rée fantasmagorique de l’année. Plus d’informations sur www.lebonbon.fr.

Soirée METROPOLIS BONBON PARTY au Bataclan le 10 novembre 2011

Préventes disponibles sur Digitick et Fnac Billetterie—

Exposition à la Cinémathèque française51, rue de Bercy, 75012 Paris

Tél. 01 71 19 33 33 - www.cinematheque.fr

Metropolis

Texte Pascaline Lechene

S’EXPOSE À LA CINÉMATHÈQUE ET SE VIT AU BATACLAN

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les bons p'tits diables Texte Sabine CasselPhoto Michel Sedan

Les petites jalousies entre frères et sœurs

Sept enfants entre 6 et 10 ans sont réunis pour un anniversaire : Lili, Deva, Rose, Txomin, Gaspard, Maxime, Manon ont tous un frère ou une sœur.

Avez-vous été jaloux de votre frère ou de votre sœur ? Lili 8 ans : Ben oui ! Parce que je suis à la grande école depuis 3 ans, et depuis tout ce temps, j’ai été la chouchoute de la maîtresse, et maintenant qu’il est dans la grande école, c’est mon petit frère le chou-chou, ce n’est pas juste !Deva, 7 ans : Moi, j’étais un peu jalouse parce que ma petite sœur, on la trouvait un peu plus mignonne que moi, ça me rendait triste. Quand on lui offre un jouet, je lui pique et je lui donne un vieux jouet. Comme elle est petite, la plupart du temps, elle dit rien, mais parfois elle ne se laisse pas faire, elle me tire les cheveux et ça fait mal. Maintenant elle a presque 19 mois, j’aimerais bien dormir dans la même chambre qu’elle, mais mes parents me disent que ça n’est pas possible parce qu’elle pleure trop la nuit. Maxime : Moi je suis jaloux parce qu’elle est plus

petite que moi, on lui donne souvent raison et je dois céder sur tout, pour me venger je la fais pleurer.Manon : Je ne suis pas jalouse de mon frère Maxime !Rose : Oui, j’étais jalouse parce Txomin mon frère était plus grand que moi, il faisait plein de choses qui m’étaient interdites, cela me rendait envieuse et jalouse.Gaspar, petit frère de Lili : À l’école, elle ne veut pas jouer avec moi dans la cour et à la cantine, elle se met avec ses copines et jamais avec moi. Je suis jaloux de ses copines qui m’enlèvent ma sœur. Je me chamaille avec ma sœur quand elle a des cadeaux, je suis jaloux si son cadeau est plus grand ou mieux que le mien.Txomin : J’ai fait une vraie crise de jalousie quand mon père est parti 3 jours au Maroc avec ma petite sœur, et je suis resté à Paris avec Maman. Quand ils sont ren-trés, je les ai boudé. Quelques mois plus tard, c’était mon tour de partir seul un long week-end avec Papa. Finalement, ils sont tous d’accord : on est jaloux, mais c’est quand même super d’avoir un frère ou une sœur.

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le bon uppercut

Un direct du bras avant, un crochet, suivi d’un ove-rhand et de deux cross-counters. Esquive, défense et victoireeee par KO ! Dans ma salle de bains, devant le miroir encore embué, j’affronte un adversaire imagi-naire. Je me vois dans Million Dollar Baby, Fighter ou le cultissime Raging Bull. Oui je n’ai pas la carrure de Jake La Motta, surnommé le Taureau du Bronx, mais j’éprouve une fascination pour ce sport mythique. Voulant en savoir plus, j’ai décidé d’aller à la ren-contre d’un passionné dans son club, le Lyon Sport Boxe.

Houari Kecir pourrait vous en parler pendant des heures. Après avoir pratiqué de l’athlétisme, c’est tardivement qu’il découvre ce sport. « Au départ, c’est l’aspect technique et historique qui m’a donné envie. » Évidemment, la tentation de citer Mohamed Ali est trop forte, symbole au-delà des frontières et des cultures. Il y a aussi Mike Tyson, Oscar de la Hoya, Joe Frazier… « Attitudes, recherches personnelles, travail silencieux, tous ces aspects m’ont bouleversé » m’explique Houari. À mon tour de l’interroger sur cette solitude qui peut sembler vertigineuse vue de l’exté-rieur, et lui de me répondre : « Justement cette soli-tude permet l’analyse parce que le premier combat n’est pas face à son adversaire mais avec soi-même. Beaucoup de gens qui font ce sport sont en quête de

quelque chose. L’intérêt est bien sûr au-delà du phy-sique, il est moral aussi. »

Il enseigne ce « noble art » depuis huit ans comme coach accompagnateur. « Je ne donne pas des cours, j’accompagne dans une relation humaine et person-nelle. Le but est de créer des contacts, des interfé-rences entres les gens. » Univers d’homme qui tend à se démocratiser auprès de la gent féminine : « Cela fait des années qu’on propose des cours de boxe fémi-nine, bien avant que ce soit devenu un phénomène. Les gens s’imaginent que c’est un monde misogyne mais c’est faux. Dans mes cours, les filles et les garçons travaillent ensemble et c’est à chacun de s’adapter. » L’enseignement est primordial pour Houari parce que boxer, c’est avant tout apprendre des règles. Challenge fait à soi-même quand il faut courir sous la pluie et dans le froid. Mais rien n’arrête ce passionné qui peut rester des heures devant des combats à décortiquer le moindre geste. La boxe, c’est un peu l’école de la vie, formule facile mais assez vraie fina-lement de cet état d’esprit très loin des clichés. Parce qu’il faut avoir l’intelligence d’esquiver les coups et de les porter au bon endroit, ce sport mythique et mythologique est bien trop sous-estimé. Alors si vous avez envie d’enfiler les gants, c’est à la Croix-Rousse que cela se passe en compagnie de Houari.

Houari Kecir

DANS LES CORDES

Texte Aurélie AlexPhoto Antoine Magnien

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les bons shops les bons shops

Zoé BonbonBijoux craquants

« Elle avait des bagues à chaque doigt, des tas de bracelets autour des poignets et puis elle chantait avec une voix qui sitôt m’enjôla… » Cette chanson aurait pu être écrite en pensant à Corinne, la créa-trice des bijoux fantaisistes et acidulés que toutes les filles s’arrachent. Et on n’est pas peu fiers que ces bracelets sucrés sortent d’un atelier à deux pas de la place des Célestins.

Dans un appartement haussmannien où les boîtes remplies de perles s’entassent, la jeune femme me raconte comment cette belle aventure a commencé. C’était il y a dix ans, après une vie parisienne trépi-dante, elle décide de prendre l’air dans une maison à la campagne avec ses enfants. Par hasard, elle découvre un coffret avec des boutons en nacre à l’in-térieur. N’ayant jamais pensé avoir l’âme artistique, elle confectionne pourtant un bracelet avec ce tré-sor de l’enfance. Remarqué par ses amis, l’un d’eux lui propose de commercialiser ses bijoux en petites séries. Et voilà, la machine était lancée. Depuis on ne l’arrête plus. Zoé Bonbon est presque sur tous les continents ! 100% français, ces bracelets sont aujourd’hui l’ac-cessoire indispensable de toute modeuse qui se respecte. De la petite fille à la femme d’âge mur, en passant par l’ado rebelle ou la working girl over boo-kée, ces créations touchent toutes les générations. Le secret de ce succès ? Des impressions colorées

et pop pour tous les goûts. Avec deux collections par an, Corinne dévoile à chaque fois un univers décalé et original qu’elle décline avec colliers et foulards en soie imprimés : un monsieur pain d’épices orangé, un ours polaire blanc crémeux ou un rhinocéros noir ébène agrémentent les nouveaux sautoirs. Mais une question me taraude : pourquoi ce nom Zoé Bonbon ? Le sourire aux lèvres, la créatrice m’avoue qu’elle était une petite fille un peu menteuse qui aimait signer ses copies avec ce pseudonyme. His-toire d’enfance et de famille car son mari est à ses côtés depuis le début de cette ascension. Avant de prendre congé, Corinne me remercie une pointe de timidité dans la voix, toujours étonnée de l’intérêt que suscite son travail. Modeste et sympathique, au fond pas si courant !

13, rue Émile-Zola - 2e

Tél. : 04 72 77 92 16Ouvert du lundi de 14h à 19h et du mardi au samedi

de 10h à 19hwww.zoebonbon.com

Texte Aurélie Alex

Ma petite robe noireBlack Dressing

La sonnerie du réveil vous arrache des bras de Mor-phée. Un jus d’oranges pressées, une douche. Mais les choses se compliquent devant votre dressing… Un quart d’heure plus tard, vous n’avez toujours pas choisi : quelle couleur ? Jupe ou pantalon ? Chemise ou tee-shirt ? On connaît toutes ce désarroi matinal ou l’indécision de pré-soirée. Mais faites comme moi, allez chez Lisa ! Elle vous comprendra et vous conseillera pour trouver la pièce indispensable à votre garde-robe, j’ai nommé : la petite robe noire. « Toutes les choses naissent d’un manque. » Aimant la couleur de l’ébène et les vêtements pratiques, elle décide d’ouvrir une boutique basée sur un concept simple mais qui n’existait pas : rassembler des col-lections de créateurs autour de la robe noire. Depuis maintenant quatre ans, Lisa accueille les clientes, dans son univers composé de pièces signées Valen-tino et Moschino ainsi que des modèles faits maison. Les accessoires sont aussi au rendez-vous avec une sélection de chaussures et de sacs. Considéré à tort comme une non-couleur, le noir est toujours chic et élégant car il permet une pointe de folie là où on ne l’attend pas. Et puis, vous le savez bien mesdames, une petite robe noire fait toujours son effet…

8, rue Gasparin - 2e Ouverture du mardi au samedi de 10h à 19h

Tél. 04 72 77 67 05 - www.ma-petite-robe-noire.fr

Texte Aurélie Alex

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Au Royaume des petitsIl était une fois la mode…

Quand je serai grand, je serai astronaute et pompier ; moi je serai princesse et ma copine danseuse et maî-tresse aussi… Avant qu’ils ne grandissent trop vite et réalisent leurs rêves, ne perdez pas une minute et emmenez vos bambins dans cette nouvelle boutique de vêtements pour les 0 à 8 ans. Ils seront chouchou-tés de la tête aux pieds avec des marques haut de gamme de deux grandes créatrices espagnoles et bien d’autres. Deux collections font leur entrée dans ce royaume, l’une signée Agatha Ruiz de la Prada, colorée et ludique, et l’autre signée Tutto Piccolo dans un esprit sobre et chic avec de petits détails qui font la différence (seul point de vente dans la région Rhône-Alpes). Et pendant que vous craquez pour une tenue de créateur, votre enfant s’amuse dans l’espace jeu au fond du magasin. À l’image des pro-duits proposés, la décoration est très soignée : des leds illuminent l’espace et changent de couleur pour une atmosphère féerique. Sans oublier les petons de vos petits loups qui trouveront chaussures à partir du 17 ainsi que bonnets, écharpes et gants pour les réchauffer tout au long de l’hiver. Des collections très travaillées parce que la mode n’est finalement pas qu’une histoire de grandes personnes !

8, rue de la Charité - 2e - Tél. : 04 27 89 04 97Ouvert du lundi de 14h à 19h et du mardi au samedi

de 10h à 19h - www.auroyaumedespetits.fr

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le bon artisan

Ils peuvent être utilisés pour donner un coup de poing, rendre crédible le casting de Greys Anatomy, prosaïquement faire la vaisselle ou simplement réchauffer nos petites menottes quand le grand froid arrive. Accessoire indispensable dans notre garde-robe et pourtant boudé par les marques, trois amis ont décidé de redonner au gant toutes ses lettres de noblesse.

Tout a commencé il y a maintenant trois ans lorsque Benjamin, Philippe et Simon décident de revisiter cet objet hivernal. Originaires de Grenoble, capitale historique de la ganterie, c’est logiquement qu’ils souhaitent se spécialiser. Mais attention, pas ques-tion de faire des gants simplement, sans concept innovant ! C’est dans une démarche citoyenne qu’ils imaginent ce bout de tissu devenir un vrai support artistique. Conçus comme une seconde peau avec des matières respectueuses de l’environnement, ces gants sont pensés et fabriqués exclusivement dans la région à travers un réseau local. Pas de made in China pour ces trois amis qui ont bossé dans le prêt-à-porter avant de se lancer dans cette épopée. Dis-ponibles dans plus de 300 points de vente à travers l’Hexagone, ils viennent de lancer leur 4e collection. Leur marque de fabrique : des collaborations artis-tiques avec des graphistes et créateurs pour des motifs décalés. Véritable vecteur d’expression, le

gant protège la main, est symbole d’affection, outil indispensable pour les artistes et exécutant les pen-sées venant de notre boîte crânienne. Ces jeunes entrepreneurs ont l’envie de démocrati-ser cet accessoire pour en faire un élément essen-tiel de notre dressing, rendant tout à coup has-been la paire de gants unis qui traîne au fond d’un tiroir. Place à des motifs colorés, aux couleurs flashy, aux influences végétales pour les femmes ou urbaines pour ces messieurs. Et si vous voulez être à la pointe de la tendance jusqu’au bout de la dernière phalange, découvrez les éditions très limitées et le talent des artistes et designers. Notez donc dans vos agendas le 22 décembre prochain, rendez-vous au passage Thiaffait où ils organisent une exposition version labo expérimental avec la participation de nombreux créateurs. Et d’ici là, vous pouvez les retrouver dans des boutiques et décider une fois pour toutes d’as-sortir vos gants à vos chaussures ou sac à main, selon l’envie du moment.

Addicted - 3, rue de la Fromagerie 1er Namaste - 7, rue de la Platière 1er

Initiales Boutique - 1, rue de l’Ancienne-Préfecture 2e Maroquinerie Gandy - 55, passage de l’Argue 2e

Musée des Tissus - 34, rue de la Charité 2e

www.fsthandwear.com

Texte Aurélie AlexPhoto DR

FST Handwear

GANTS CHIC ET CHOC

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le bon lyonnais Texte Séverine Eberhardt

Parce que et puis c’est tout

1 — PARCE QUE CHEZ THOMAS, TOUT ME VA !Les tapas, c’est une manière de manger, une question de por-tions et de partage. Parce que j’aime autant vous dire que pour moi, l’éducation, ça s’apprend pas, ça se déguste autour d’un pe-tit blanc et d’un pain pas si perdu que ça pour tout le monde. 6, rue Laurencin - 69002 - Tél. :04 72 16 28 64

2 — PARCE QUE CHEZ MACHADO, JE FAIS LE BEAU...Ce que j’aime, c’est être bon comme du bon pain, avec une mi(n)e fraîche, avec des alvéoles irrégulières et généreuses... Ah la pâtisserie tradition-nelle, on pense la connaître sur le bout des doigts et pourtant... Quand citron et meringue se marient, les noces sont légères et caramélisées...Tu sais ce qu’elle t’en dira ta Frambourgeoise ?7, cours Franklin-Roosevelt - 69006 - Tél. : 04 78 89 33 75

3 — PARCE QU’EN MINI, JE FAIS LE MAXI ET J’ASSUREEnvie d’elle... De la proue à la poupe craquante, mon nouveau coupé af-fûté attire les regards et fait battre les cœurs plus vite. Non seulement le vôtre, mais aussi celui des passants, et surtout celui de ma miss...6, rue Joannès-Carret - 69009 - Tél. : 04 72 53 88 93

4 —PARCE QUE LE SOIR, JE ME FAUFILE AU PASSAGE Parfait pour finir ma soirée, après une dure journée de 12 heures de la-beur pour m’en jeter un derrière la cravate. Mais pourquoi je m’énerve-rais après la banque d’Angleterre ? Dans la vie, ne pas reconnaître son talent, c’est faciliter la réussite des médiocres... La Cave se rebiffe (et moi aussi un peu).8, rue du Plâtre - 69001 - Tél. : 04 78 28 11 16

5 — PARCE QUE JE SUIS CASANOVA À LA BUVETTE SAINT-ANTOINE...Depuis 1872, ce qu’on ne vous dit pas ailleurs, c’est que c’est le plus bel endroit de Lyon, avec sa passerelle... Bref, les huîtres, c’est magique pour toucher en plein cœur mon amoureuse-veggie-chérie et du bon son par-dessus le marché !2, quai des Célestins - 69002 - Tél. : 04 78 42 56 72

Retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon.fr

Il vous suf!t de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous béné!cierez de l’offre annoncée !

© Héloïse Deliry & Antoine Magnien

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le conte est bon

encore plus le cafard. Avec trois collections par an et présents dans de nombreuses boutiques, ils vont vite devenir collector ! Finalement, Guillaume et Jérémy avaient raison de s’enfermer dans cette chambre ! Ils ont trouvé ce qui nous a manqué.

Maintenant, j’attends qu’il pleuve pour pouvoir sor-tir mon parapluie et rendre jaloux les passants sous leur toile grisâtre. Parce qu’il n’y a aucune raison d’assortir son parapluie à la couleur du ciel ! Oui je suis tendance jusqu’au bout et j’adore ça !

« Toute la pluie tombe sur moi, Mais moi je fais comme si je ne la sentais pas, Je ne bronche pas car, J’ai le moral et je me dis, Qu’après la pluie vient le beau temps, Et moi j’ai tout mon temps » fredonnait un chanteur aujourd’hui injustement oublié… Mais moi je n’ai pas tout mon temps ! J’ai le brushing qui se fait la malle et la frange qui frisotte ! Sortant de mon sac un parapluie pas comme les autres, la gri-saille prend tout à coup des airs d’arc-en-ciel. Et ce petit miracle, c’est grâce à Guillaume et Jérémy qu’il se produit.

Un soir d’orage, les deux amis s’enferment dans une chambre et décident de n’en sortir qu’après avoir trouvé L’IDÉE pour créer un objet original. Et là bingo : faire des parapluies. Mais pas n’importe quel para-pluie, il sera customisé. Au départ comme un délire, ils se fabriquent une petite série de 200 modèles. Mise en ligne sur le Net et banco ! Les objets s’ar-rachent en moins de trois jours. Devant le succès et

après avoir quitté leurs anciens boulots (respective-ment militaire et webdesigner), ils se lancent dans la commercialisation à plus grande échelle. Trois ans après, ce qui était à l’origine un simple amusement est devenu une petite entreprise. Les deux amis lyon-nais collaborent avec des artistes internationaux comme Skwak, Tougui ou l’illustrateur Jared Nicker-son : « Au départ, on pensait pas du tout qu’il accep-terait, il bosse pour des grandes marques, Adidas par exemple, mais il a tout de suite été partant. Son motif Psychedelic Apples of Death est composé d’un florilège de couleurs et de personnages qui lui sont propres. Briques de lait, hot-dog, diamant, pommes, sont au rendez-vous dans ce melting pot artistique. »

Séduits par ce concept, de nombreux internautes achètent ces jolis accessoires. « Ces motifs colorés et déjantés apportent une touche de fraîcheur à cet objet laissé pour compte ». Effectivement, on est loin de l’éternel parapluie noir ou gris basique qui donne

DandyfrogWHERE IS MY UMBRELLA

Texte Alexia BarbeyPhoto DR

Disponible chez : Béatrice Collin

27, cours Vitton - 6e

Tél. : 04 78 93 60 05au Ninkasi Gerland - 267 Rue Marcel Mérieux 69007

www.dandyfrog.comwww.facebook.com/dandyfrog

blog.dandyfrog.com

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le bon agenda le bon agendaAgenda des manifestations culturelles Agenda des manifestations culturelles

Concerts

LE TRANSBORDEURLe 08/11 MetronomyLe 14/11 Patti Smith « Concert + Lecture »Le 16/11 Arthur HLe 23/11 Catherine RingerLe 28/11 Lenny KravitzLe 29/11 The Puppini Sisters + Burlesque Scenes of the 20’S

LE PÉRISCOPELe 10/11 STIGNOISELe 12/11 Almaz in a mellow moodLe 17/11 Bureau of Atomic TourismLE 20/11 Cabaret poétique

LE NINKASILe 27/11 Herman DuneLe 30/11 The Horrors

L’ÉPICERIE MODERNELe 09/11 General Elektriks + AntonionianLe 11/11 James Vincent McMorrow soloLe 21/11 Pinback + JP Inc.

Théâtre

THÉÂTRE DES MARRONNIERSDu 11 au 21 novembre. Transatlantique Atlas, d’Alessandro Baricco Du 24 novembre au 4 décembre. Le Tireur occidental, de William Pellier

THÉÂTRE DES CÉLESTINSDu 9 au 19 novembre. Des femmes, de SophocleDu 22 novembre au 2 décembre. Voyageurs immobiles, de Philippe Genty

THÉÂTRE DES CLOCHARDS CÉLESTESDu 14 novembre au 3 décembre, La Vieille de Daniil Harms - Récit musical Un homme croise une étrange vieille dame dans la rue, tenant dans ses bras une pendule sans aiguille. Il la retrouve plus tard dans son propre appartement, morte. S’engage alors une course effrénée dans les rues de Saint-Pétersbourg : comment se libérer d’un cadavre qu’on n’a pas tué ? Une pendule, de la vodka et des cervelas crus, voilà les quelques acteurs de ce récit musical et décalé.

Café / Théâtre

ESPACE GERSONDominic PALANDRI is not dead mais presque...Du 16 au 26 novembre, du mercredi au vendredi à 20h30, les samedis à 20h00 et 22h00Dominic Palandri revient en solo. Dans ce spectacle,

l’artiste apprend qu’il est malade, du coup il se lâche, et décrit avec un œil nouveau les aberrations de notre société et de notre culture. Les people, l’humanitaire, la religion… Un peu de cynisme ne fait pas de mal, au contraire !

Galerie

JOSÉ MARTINEVDu mardi 15 novembre au samedi 31 décembreOlivier Bartoletti : Entre chien et loup

MAPRADu jeudi 17 novembre au samedi 3 décembreAmandine Zaïdi & Aline Robin

MODERN ART GALERIEDu jeudi 10 novembre au samedi 31 décembreLina Manousogiannaki : Sweet Sixty

OLIVIER HOUG GALERIE Du jeudi 10 novembre au samedi 10 décembreUne terrible poésie in vivo

SPACEJUNKDu jeudi 27 octobre au samedi 10 décembreWill Barras : When everything is shut

Rendez-vous

CONFÉRENCES ESPACE CULTUREL SAINT-MARCLe 8 novembreLa Renaissance - Florence XVe siècleLa Renaissance - France et Europe

Le 15 novembreLa Bavière - Splendeurs méconnues Jordanie, Syrie, Jerusalem - Terres de culture

Marché

QUAI SAINT-ANTOINE, du mardi au dimanchePLACE CARNOT, dimancheBoulevard de la Croix-Rousse, du mardi au dimancheMARCHÉ FERMIER, place Carnot, les mercredis de 16h à 19h30MARCHÉ AUX CHIENS ET AUX CHATS, place Carnot, dimanche de 8h à 12hMARCHÉ AUX LIVRES ANCIENS, AUX VIEUX PAPIERS, place Carnot, 1er et 3e mercredis de chaque mois de 8h à 18hMARCHÉ DES BOUQUINISTES, quai de la Pêcherie, samedi et dimanche de 10h à 18h