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Découvrez le magazine Le Bonbon Boulogne du mois de mars 2012.
Citation preview
1 — BOULOGNE
édito 'Bon'jour !
Je n’ose vous dire où je suis … en ce moment solennel où je « ponds »
— au fait, pourquoi dit-on pondre ? nous ne sommes pas des poules !
— mon « édito » — oui je vous entends, amoureux de la langue fran-
çaise, hurler aux loups parce que j’ai sacrifi é à la généralisation de ce
mot « édito » au lieu d’écrire « éditorial », et que puis-je répondre pour
me défendre ? Pas grand-chose Monsieur le juge, hormis le fait que c’est
plus court (serais-je fainéante ?), tendance (excuse facile) et moderne
(là, je commence à marquer des points parce que s’il y a un magazine
pop, acidulé d’avant-garde, c’est bien votre Bonbon !) — je vous écris
donc d’un lieu qui n’est ni Boulogne ni Billancourt. J’avoue, cela m’arrive
assez souvent de passer les frontières de notre ville… Acte de contri-
tion ? Sortir certes, mais pour mieux revenir. d’ailleurs, vous aussi vous
êtes de grands voyageurs. Voyez l’écrivain Ariel Kenig qui s’est laissé
embarquer dans mon aventure pour un bon en arrière au pays de l’en-
fance. L’occasion de revisiter avec lui Billancourt et le quartier du Tra-
pèze. Monsieur le Maire, Pierre-Christophe Baguet, lui aussi, a ouvert la
boite des souvenirs heureux en racontant ses jeunes années au 14 rue
de Sèvres. Fermez les yeux et souvenez-vous : c’était il y a dix ans, vingt
ans, parfois davantage. Vous aviez entre 5 et 15 ans : où habitiez-vous ?
dans quelle école alliez-vous ? L’enfance est un espace temps qu’il faut
savoir oublier pour mieux le ressusciter. La mienne fut douce, estam-
pillée par mes frères, au goût de nutella sur un air de Candy. Et la vôtre ?
Vite un Bonbon pour enclencher le mécanisme de la machine !
Nathalie Six
P.S. : Votre magazine de proximité préféré devient bimestriel. Rendez-
vous en mai pour le prochain numéro, et en attendant, bonne lecture !
Président
Jacques de la Chaise
Rédactrice en chef
Nathalie Six
Graphiste
Gaëlle Lepetit
Secrétaire de rédaction
Sophie Rosemont
Rédaction
Marie Masuyer, Catherine Lussiez,
Natacha Niox-Chateau,
Jean-Marc Philippe, Lou Mamalet
Photographes
Orélie Grimaldi, Benjamin Cayzac,
Nathalie Six
Le Bon Jeu
Gérard Sima
Responsable culture et partenariats
Macha Binot
Petites annonces
Contactez-nous
01 48 78 15 64
Le Bonbon
31 bis, rue Victor-Massé
75009 Paris
SIRET 510 580 301 00016
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3 — BOULOGNE
sommaire
6. Sanki
18. Pierre-Christophe Baguet
10. Jen H. Ka
22. Le Bistrot 19
14. Ariel Kenig
28. Thierry Boitier
5. Le Bon Timing
6. Le Bon Commerçant
10. La Bonne Étoile
12. Les Bons Plans
14. Le Bon en Arrière
17. Le Bon Anniversaire
18. Le Bon Entretien
20. Les Bons Restos
22. Le Bon Bistro
24. Le Bon Boulonais
26. Les Bons Snapshots
28. Le Bon Art
30. Le Bon Agenda
32. Les Bonnes Adresses
Mars / Avril 2012
5 — BOULOGNE
Oré
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5 — BOULOGNE
le bon timing Les évènements à ne pas manquer !
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Orientation pour les cadres
Envie de changer de métier ou de poste ? Le doute
s’installe... Et si vous vous étiez trompés de voie ?
C’est le moment de faire un bilan de compétences
avec Amélie, une professionnelle de la gestion de
carrières, en France et à l’international. Votre coach
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Lili la mariée
Si la Saint-Valentin vous a réussi, courez choisir la robe
de vos rêves chez Lili la mariée. Après douze années
dans une grande maison parisienne, Emilie met désor-
mais ses doigts de fée à votre service en son nom pro-
pre. Robes de cortège, de cocktail, prêt-à-porter (La
Sposa, Pronuptia, …) et sur-mesure. L’unique écrin de
ce type à Boulogne-Billancourt.
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Festival international du film de Boulogne
Seconde édition de ce « Festival qui souffle positif »
du 23 au 26 mars, dont le président d’honneur est
le réalisateur et scénariste Claude Pinoteau. Au pro-
gramme : 18 films dont 5 en compétition officielle,
longs-métrages et documentaires du monde entier.
4 prix seront décernés par un jury Jeunes et un
jury de bloggeurs.
Programmation complète : boulognebillancourt.fr
Les domaines qui montent
Le 29 mars à partir de 19h, le nouveau caviste du Tra-
pèze fête son ouverture. Astrid et Axel de Bourbon-
Parme proposent des vins de 150 vignerons indé-
pendants français, à des prix préférentiels. Le plus ?
Leur table d’hôte qui permet de déguster son vin sur
place. A table ou à emporter, votre bouteille est au
même prix. Formule déjeuner à 14,80 €.
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Cinéma
AMC LE COEuR dE LA COMMuniCATiOn
6 — BOULOGNE 7 — BOULOGNE
6 — BOULOGNE 7 — BOULOGNE
le bon commerçant
Alors que les bibliothèques boulonnaises et le
cinéma Landowski célèbrent le Japon jusqu’au 15
avril, je ne résiste pas à vous faire goûter par les
mots les mets de l’une de mes tables favorites car
peu commune. Comment ai-je poussé la discrète
porte du Sanki ? Une fois n’est pas coutume, c’est
une amie parisienne qui m’a soufflé cette adresse en
me vantant la fraicheur des produits et l’authenti-
cité de la cuisine.
Sanki n’est pas le énième restaurant qui se dit japo-
nais, où manger à la va-vite sushis et sashimis dans
une assiette noire en plastique ! Très exactement,
Sanki fut le premier Japonais à s’installer sur Bou-
logne-Billancourt, m’apprend l’un de ses proprié-
taires (qui a ouvert en 2009 une autre adresse rue
Thiers, Shiki, restaurant plus chic et beaucoup plus
grand). Gage de bon goût, il n’est pas rare de croiser
régulièrement attablés au bar des Japonais. S’il faut
encore montrer patte blanche, sachez que Sanki
figure en bonne place dans le guide officiel des vrais
restaurants japonais de Paris. Enfin, comme une invi-
tation au voyage depuis votre chaise, cliquez sur votre
ordinateur et allez sur le site bilingue du restaurant
afin d’y lire les menus dans les deux langues : un petit
air de Lost in Translation en fond musical dans l’ipod
et voilà, vous y êtes ! A vous de choisir si vous êtes
davantage Scarlett Johansson ou Bill Murray.
En ce qui me concerne, ce sont des restaurants
comme le Sanki qui m’ont donné envie d’aller me
perdre dans les ruelles de Kyoto et de prendre des
cours de bonzaï. Au moment de prendre la com-
mande, je tente une avancée en terre inconnue et
me risque à demander des explications sur la gas-
tronomie japonaise. En vain. La serveuse ne parle
que très peu le français. Souvenir de la même expé-
rience dans le salon de thé Toraya à Paris près de
la Concorde (autre endroit magique et totalement
dépaysant). Vous ne m’en voudrez pas d’avoir pro-
noncé le mot « Paris » dans un magazine consa-
cré à Boulogne-Billancourt ? Je me lance et opte
pour un Kajiki Teriyaki (espadon poêlé sauce soja
douce), mon accompagnatrice prend un unagi
Kabayki (anguille grillée sauce soja douce) et un
Shake Teriyaki (saumon grillé sauce soja). Ensuite
nous décidons de nous partager de l’isobe Ae (thon
rouge mariné aux algues) : folle extase gustative. Le
poisson fond dans notre palais, imposant un silence
absolu. Cette minute de recueillement me permet
de capter la conversation de nos voisines dont l’une
raconte, émerveillée, sa rencontre amoureuse avec
un homme qui n’a rien de commun avec elle, mais qui
est totalement épris et la fait rire tous les jours. Je
me dis que la vie est bien faite. Les surprises sont
ce qui peut nous arriver de meilleur. La preuve avec
cette mini cantine japonaise, où il faut presque un
Sanki CUiSine JApOnAiSe trAditiOnneLLe
Texte nathalie Six
Photos Orélie Grimaldi
8 — BOULOGNE
le bon commerçant
chausse-pied pour rentrer et s’asseoir, mais qui ravit
toutes les personnes ayant franchi sa porte. Le reste
de la carte est à l’avenant. Je poursuis ma découverte
du pays avec des Tempoura Moriawase (crevettes,
légumes et poisson, 3 pièces de chaque) et des Saba
Tatsuta Age (maquereau mariné au gingembre). Mon
estomac ne permettant pas que j’engloutisse davan-
tage de plats, je suis donc revenue une deuxième
puis une troisième fois, goûtant tour à tour Sushis,
Tekka don (15 pièces de thon) et Shake don (15
pièces de saumon), puis rouleaux de Mazikushis à
l’avocat, au crabe ou aux crevettes. En dessert, peu
de choix, et ce sera mon seul regret. Je prends sans
hésiter le Yokan (pâte de haricots rouges).
Je ressors en me disant qu’il faudra en parler avec
la « Boulonnaise tatamisé » nadège Fougeras, jour-
naliste et auteure du très rigolo livre Allô la Terre, ici
Tokyo*, carnet de bord de ses trois années passées
dans la capitale japonaise. Je suis curieuse de savoir
ce qu’elle pense de mon adresse asiatique préfé-
rée… Tiens et si je l’invitais dans ces pages pour le lui
demander ? Rendez-vous en mai.
38, avenue Edouard-Vaillant – Tél. : 01 46 08 38 38
Ouvert tous les jours sauf dimanche midi
et lundi de 12h00 à 14h30 et 19h00 à 21h45
定休日：月曜日、日祝日の昼営業時間：昼12時–14時30 夜19時–21時45(ラスト
オーダー)À emporter (les livraisons à domicile sur Boulogne,
16ème et 15ème arrondissements de Paris, pour un
minimum de 30 euros).
restaurant.sanki.free.fr
*Editions Mettis
8 — BOULOGNE
10 — BOULOGNE 11 — BOULOGNE
la bonne étoile
Seule avec sa guitare acoustique ou entourée de
musiciens, cette Boulonnaise née à nancy compose
des mélodies à cheval entre le jazz et la pop, en
anglais ou en français. Auteur-compositeur-inter-
prète, elle s’amuse aussi à reprendre des standards
comme la suave « Melody nelson » que fredonnaient
autrefois Jane et Serge ou encore « For no One » des
Beatles.
Jenny pour les intimes adore prendre le bus, même
si son appartement est à deux pas, a une faiblesse
modérée pour le Brouilly, adule les anciennes stars
d’Hollywood, la mode, les personnes pleines de vie
et les animaux.
Le Bonbon : Quand as-tu commencé à chanter ?
JEn H.KA : Toute petite en fait, je suis autodidacte.
Vers 1998, en sortant un soir, j’ai rencontré un dJ
également musicien qui a flashé sur ma voix et m’a
proposé de faire de la scène en chantant du Joe
Jackson et des reprises rock des années 70 et 80.
Ensuite, grâce à Eddy la Gooyatsh qui était comme
moi originaire de nancy, j’ai pu réaliser mon premier
album qui m’a amenée à l’émission Hit Machine.
Quelles sont tes sources d’inspiration ?
Enfant j’écoutais Barbara, Brassens, par la suite ce
fut Ben Harper, Björk, nirvana…
Tu as habité Paris avant de venir à Boulogne ?
Je suis arrivée à Paris en 1998 en tant que prof
d’anglais et j’ai pu continuer à faire des concerts
Pop – Jazz. À cette époque, il m’est arrivé un truc de
« ouf », un vrai conte de fée ! Mon voisin de palier
qui travaillait dans la musique, entendant mes com-
positions à travers le mur m’a glissé un mot sous la
porte pour me proposer de me produire : nous avons
ainsi donné naissance à trois albums. Parallèlement,
j’ai participé avec Tété au premier album de Chet
en 2000 et l’année suivante j’ai fait mes premiers
enregistrements en studio. J’ai prêté ma voix au duo
pop-électronique Cocosuma sur l’album I Refuse to
the Grow Up. Puis je suis passée sur quelques radios
et j’ai eu quelques articles de presse dans Rolling
Stone, Guitarist Magazine, Cosmopolitan … J’ai arrêté
l’enseignement en 2002 pour me consacrer entière-
ment à la musique. Je me suis installée à Boulogne
dans laquelle je me suis tout de suite sentie bien.
Elle me rappelle un peu nancy. C’est un grand village
où il fait bon vivre.
Tu as d’autres talents cachés… que fais-tu quand tu
ne chantes pas?
En présence de Marlon-Brandon, mon chat adoré qui
dort au chaud sous la lampe de mon bureau ou sur
le canapé, je dessine des personnages rigolos et des
Jen H. Ka MUSiCienne et deSSinAtriCe
Texte & photo Jean-Marc Philippe
10 — BOULOGNE 11 — BOULOGNE
Bd. J’ai même crée un blog où je me mets en scène
avec Marlon ! Je réalise avec ma webcam des petits
clips très simples. Je fais également beaucoup de
photographies.
Quels sont tes projets à court ou moyen terme ?
Je prépare mon cinquième album avec 22 morceaux
que je produis une fois de plus moi-même, tout en
cherchant une maison d’édition. dernièrement, le
réalisateur Franco-Belge Gilbert Glogowski m’a pro-
posé de composer des passages pour son prochain
long-métrage. J’attends les dates de confirmation de
quelques concerts que je devrais assurer.
www.myspace.com/jenhka
marlonbrandon.canalblog.com
12 — BOULOGNE 13 — BOULOGNE
les bons plans Communiqué Catherine Lussiez
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DS Global ServiceCréateur de temps
Si Boulogne-Billancourt était un hôtel, ce serait un
établissement de charme ou un relais Château, et sa
conciergerie s’appellerait… dS Global Services.
derrière ce nom, un couple : diorella et Stéphane
Vellien à qui revient l’idée de dS Global Services.
« Je me suis forgé une expérience de 10 ans dans la
location de matériel, où j’étais habitué à répondre à
toutes sortes de demandes et à gérer des dizaines
de dossiers en même temps », explique le fondateur,
ancien directeur de plusieurs agences sur Paris et en
Seine-et-Marne. Son entreprise de services, cela fait
plusieurs mois qu’il y pensait : « notre ambition est
de fournir aux personnes tout ce qu’elles désirent. un
bon concierge se définit par son répertoire, c’est celui
qui a les meilleures adresses, les meilleurs presta-
taires. Si je fais une erreur de casting, je peux perdre
un client. il est donc primordial que nos collabora-
teurs partagent nos critères et nos valeurs. ».
dS Global Services trouve les solutions les mieux
adaptées à vos besoins en matière de transport,
d’événementiel (organisation de cocktail-dinatoire,
recherche et location de lieux atypiques en pas-
sant par la gestion des invitations, du traiteur et du
fleuriste), de soins et beauté à domicile, de loisirs et
de voyages, de services à la maison (ménage, réserva-
tion d’un chef pour un dîner, gardiennage, location de
matériel, etc.). une telle entreprise nécessite un moral
d’acier et une santé de fer ! Question de tempérament
aussi : « j’aime trouver des solutions aux problèmes »,
lance en riant Stéphane. diorella qui écoute d’une
oreille attentive son binôme, ajoute que tout repose
sur une excellente organisation. « Rien ne doit être
laissé au hasard ». Parmi les souvenirs les plus fous,
celui d’un client qui avait confié sa dernière acquisi-
tion : une montre qui valait des milliers d’euros à pas-
ser à la detaxe de l’aéroport », se souvient diorella.
Ou encore ce client qui avait décidé d’assister à tout
prix (c’est le cas de le dire) à la finale de Roland Gar-
ros… deux jours avant la date ! Mission impossible ?
Pas pour Stéphane qui lui a trouvé 3 places d’un coup
de baguette magique ! « notre rôle ? créer du temps à
nos clients »
Tél.: 01 41 31 44 91
www.dsglobalservices.fr
12 — BOULOGNE 13 — BOULOGNE
les bons plans
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Communiqué nathalie Jésus
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Jean-Emmanuel et SatisfactionConcert samedi 31 mars au café Le Bougainvillier
Jean-emmanuel Lagarde « alias Keith richards »,
comme le surnomment ses amis, revient sur scène.
Après Les Loges l’année dernière, c’est à la brasse-
rie Le Bougainvillier de l’accueillir avec son groupe
Satisfaction.
Coiffeur le jour, chanteur la nuit. Jean-Emmanuel,
connu comme le loup blanc dans son quartier grâce
à son salon de coiffure route de la Reine, a décidé
d’organiser ce concert « à la demande de nombreux
artistes, Steve, Jordan, David, Patrice, Dominique, qui
voulaient me voir rejouer à Boulogne. Ce sera la pre-
mière soirée de ce genre au Bougainvillier. Il y aura
une ambiance d’enfer. Ça va être génial !», prédit le
chanteur qui trépigne d’impatience à l’idée de retrou-
ver son public. La musique est pour lui bien plus
qu’une danseuse, elle a toujours accompagné sa vie.
« Mon père chantait à la chorale de l’église Saint-Eus-
tache ». Elève du conservatoire à Paris, il jouait alors
des percussions, de la batterie et donnait déjà de la
voix. « Parallèlement à mes études de coiffure, j’ai tou-
jours joué dans des groupes, se remémore-t-il. Je suis
parti chanter aux Etats-Unis, en Italie, en Belgique,
au Maroc, en Angleterre ». il change de formation au
gré des pays et des années. S’il compose de temps en
temps, il se spécialise surtout dans les reprises des
mythiques Rolling Stones, au point d’en adopter le
style. un mimétisme incroyable existe entre lui et le
guitariste historique de Mick Jagger, d’où son surnom,
« Keith Richards ». Le fait de connaître « par cœur le
répertoires des Stones », lui permet de pouvoir chan-
ter au pied levé. Samedi 31 mars, il interprétera entre
autres « Jump », « Start me up », « Brown Sugar »,
« Let’s spent the night together », « under my tongue »
et, bien sûr, « Satisfaction » ! « J’ai également décidé
de rendre hommage à Alain Bashung que j’adore et à
James Brown avec « Sex Machine ». La nuit s’annonce
chaude ! de quoi faire mentir ceux qui pensent qu’il ne
se passe rien à Boulogne passées 20 heures.
Concert le 31 mars à 21 heures
à la brasserie Le Bougainvillier,
73 route de la Reine.
Entrée : 10 euros. dîner payant à partir de 19h30.
Réservation au 01 46 05 01 47.
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15 — BOULOGNE
le bon en arrière Texte & Photos nathalie Six
20 ans à Boulogne-Billancourt ! Cela compte dans
une vie surtout lorsqu’on n’en affiche pas encore
trente. À l’occasion de la sortie de son livre Le
Miracle (aux éditions de l’Olivier), Le Bonbon a pro-
posé à l’écrivain, vidéaste et dramaturge Ariel Kenig
de revenir sur les lieux de son enfance et de son ado-
lescence. Commentaires à chaud.
- 1 - La cité du Vieux pont de Sèvres
« J’ai habité avec ma mère au 9ème étage de la rési-
dence Aquitaine pendant 18 ans. C’est un ensemble
autonome - avec sa Poste, son PMu, son supermar-
ché, son bureau de sécurité sociale - qui n’a pas de
contact avec le monde extérieur. C’est ce qui m’a le
plus manqué pendant toutes ces années ; je fantas-
mais sur la vie de la rue comme cela existe à Har-
lem, dans le Queens, ou dans les pays du Maghreb.
Je me souviens lorsqu’ils ont commencé à installer
des grilles entre les barres d’immeubles, les gens
voulaient se protéger contre la violence du lieu. Ça
dealait pas mal, la faute aux passages et aux couloirs
sombres, l’architecture de cette cité est étrange. »
- 2 -ecole Billancourt
« Mon école primaire, aujourd’hui en danger, elle
risque d’être détruite, j’ai signé la pétition de l’asso-
ciation SOS École Billancourt pour tenter de la sau-
ver. Je suis aussi allé au conservatoire, j’étais dans
une classe musicale, je jouais de la guitare classique.
Ensuite, ma mère a fait des pieds et des mains pour
que je puisse faire mon lycée à Paris. Elle voulait que
je sorte de notre cité. Avec le temps, je me suis rendu
compte que les plus menacés n’ont pas le sentiment
justement de la menace. Quand je vois les gens ici,
je me dis que dans 15 ou 20 ans, ils seront partis
d’eux-mêmes, victimes de la hausse des prix. C’est
insidieux. »
Site : ecolebillancourt.wordpress.com/ SOS école
Billancourt, 133, rue de Silly
- 3 - Les grandes tables de l’île Seguin
« Je ne connaissais pas. Le design de ce restaurant
me plaît, dommage qu’il soit éphémère ! idem pour
l’île telle qu’elle est actuellement, cet espace désert
mériterait d’être pérennisé. J’aime l’idée d’un espace
gratuit qui ne répond à aucune rentabilité. »
- 4 - Le quartier du trapèze
« Pour moi, la tour de Jean nouvel est un nivellement
architectural. Je ne n’ai rien contre le fait que les villes
changent ni sur le besoin de réhabiliter les anciens
ateliers Renault mais ici j’ai l’impression qu’on fait du
nettoyage, on rase, on reconstruit sans assumer véri-
tablement. La tour en verre c’est pour la faire dispa-
Ariel Kenig
retOUr en enFAnCe
16 — BOULOGNE 17 — BOULOGNE
raître. Ce manque de parti pris me débecte. J’adore
l’architecture des villes, j’aime les gratte-ciels, je
peux voyager uniquement pour aller voir une tour. Je
préfère les bâtiments signifiants. En outre, les liens
de Jean nouvel avec Claude Guéant sont choquants.
Le remodelage du territoire est politique. La ville de
Boulogne-Billancourt a-t-elle besoin d’être dessi-
née comme une deuxième défense ? L’architecture
m’intéresse en ce sens qu’elle bouge les flux, elle
fabrique de l’Histoire et du quotidien.»
- 5 - Les ateliers renault rue nationale
« Ce quartier, pourtant assez proche de notre cité,
m’était interdit. Ma mère avait peur que je me fasse
agresser. C’est aussi un lieu historique, la place où
Jean-Paul Sartre était venu faire son discours devant
les ouvriers en mai 1968. J’ai découvert l’histoire des
usines Renault en faisant des recherches pour mon
deuxième roman La pause. L’ile Seguin à l’époque
était le symbole de l’époque industrielle, d’une
entreprise étatique, un Etat protecteur, un reste de
puissance française. C’était aussi à la porte de Paris
l’image de l’immigration. Les ateliers Renault, cela
voulait dire un logement, un travail. Maintenant,
cette équation n’existe plus. »
Le Miracle : Avec ce nouveau livre, Ariel Kenig saute
à pieds joints dans la Toile 2.0 sur le rythme d’un
trampoline. Va et vient entre une histoire simple (une
vague camarade de lycée le contacte via Facebook
pour essayer de lui vendre des photos de Pierre
Sarkozy) et une réflexion complexe sur notre rap-
port à l’actualité via les medias, et la distorsion de
la réalité qui en découle. Le propos est vif, celui d’un
écorché qui scanne les indices discriminants d’une
classe sociale à l’autre. Habiter en banlieue nous
propulse-t-il à la périphérie du pouvoir ? un livre à
tiroirs, bourré de promesses pour son auteur.
4
5
2 3
5 6
depuis plus de 25 ans, difadom organise d’une main
de maître des événements pour les enfants: goû-
ters d’anniversaires, fêtes magiques, ainsi que des
arbres de noël ou des family days pour les entrepri-
ses. Allez dénicher vous-mêmes 1001 trésors dans
la boutique créée par Valérie Gombert et rendez
ainsi la fête de vos petits chéris inoubliable.
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collection légumes, fruits, animaux de la mer.
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3 - déguisement « Robin des bois »
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Tél. : 01 48 25 61 61
du lundi au samedi de 10h à 19h
www.difadom.com / [email protected]
4
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16 — BOULOGNE 17 — BOULOGNE
le bon anniversaire Communiqué nathalie Six
Photos Orélie Grimaldi
DifadomL’AGenCe deS FêteS réUSSieS
18 — BOULOGNE 19 — BOULOGNE
le bon entretien
Un magazine exclusivement consacré à Boulogne
ne pouvait faire l’impasse sur l’homme qui l’incarne
au plus haut niveau de son administration depuis
mars 2008. Lorsqu’il nous reçoit, sous le regard bien-
veillant de sa directrice de communication, pierre-
Christophe Baguet semble détendu. il remettait la
veille la charte qualité à 111 artisans et commerçants
boulonnais, puis assistait à l’assemblée générale du
CeSL avant de passer une partie de sa nuit au palais
Bourbon où il a défendu le dernier amendement d’un
texte sur les collectivités locales, qui a été voté dans
la foulée. Au Bonbon, si nous n’appartenons à aucune
chapelle, nous n’oublions pas non plus que « tout est
politique », y compris la culture.
Le bonbon : Même si ce n’est pas votre couleur poli-
tique, qu’y a-t-il de rose en vous ?
Pierre-Christophe Baguet : Je ne suis pas du tout
allergique à cette couleur ! J’aime beaucoup les che-
mises roses, j’en porte souvent.
Quelle qualité avez-vous qui puisse s’apparenter à un
Bonbon ?
A la fois son coté acidulé avec beaucoup d’exigence
envers moi même et mes collaborateurs, mais aussi
de douceur avec une grande sensibilité à la détresse
des autres.
Vous êtes tombé dans la marmite politique assez
jeune… comment l’aventure a-t-elle démarré ?
Tout a commencé avec le basket et mes deux
diplômes d’animateur et de directeur de colo dont
je suis encore très fier ! J’ai joué puis présidé la
section Basket de l’ACBB et j’ai crée à 23 ans « iFAC
Vacances » (institut de formation d’animateurs de
collectivités), qui organisait des classes transplan-
tées et des centres de vacances. Je travaillais alors
pour le Comte de La Panouse, propriétaire du château
de Thoiry, et Michel Péricard. Ce sont eux qui m’ont
suggéré les premiers de m’engager en politique et qui
m’ont recommandé à George Gorse pour les élections
municipales de 1983 .
En 1989, vous avez créé la première société d’écono-
mie mixte de communication à issy-les-Moulineaux.
Quel regard portez-vous sur la presse écrite ?
issymedia fut une aventure peu banale car à 34 ans,
je me suis retrouvé avec un tour de table prestigieux :
Jean-Claude decaux, Jacques Séguéla, Philippe
Michel (CLM/BBdO) Henri nijdam (alors pdg de Stra-
tégies), Francis Morel, …
La presse écrite peine à se trouver un nouveau
modèle économique face à l’accélération du temps :
un mensuel est devenu un hebdomadaire, lui-même
devenu un quotidien… dépassé par les télés d’info
en continue puis par les sites, les blogs et les twitts.
C’est angoissant ! Pour survivre, les journaux doivent
devenir des marques identifiables qui valideront les
Pierre-Christophe Baguet
Une enFAnCe MerVeiLLeUSe
Texte nathalie Six
Photo Mairie de Boulogne-Billancourt
18 — BOULOGNE 19 — BOULOGNE
informations et les expertises des journalistes puis
les diffuseront sur des supports multiples.
Etes-vous un nostalgique de l’enfance ?
non mais j’en garde d’excellents souvenirs J’ai grandi
dans un immeuble atypique*, au 14 rue de Sèvres. En
1954, plusieurs familles catholiques engagées ont
décidé de créer le premier habitat communautaire
de 99 logements ! Encore aujourd’hui, je compte de
nombreux amis nés comme moi entre janvier 1955
et juin 1955. notre petit groupe partageait d’innom-
brables activités, fêtes collectives ou anniversaires.
L’immeuble comptait un théâtre en plein air, des ter-
rains de sport, un jardin d’enfants, et même une lave-
rie commune avec des machines à pièces, ce qui était
révolutionnaire ! un agriculteur venait chaque samedi
vendre ses produits de la ferme. notre immeuble
Texte nathalie Six
Photo Mairie de Boulogne-Billancourt
comptait de très nombreux fidèles de Sainte Thérèse
et des responsables scouts. Moi-même j’ai été louve-
teau. Bref une enfance merveilleuse !
Vos adresses fétiches à Boulogne pour aller dîner ?
J’aime beaucoup les fruits de mer, comme aux huîtres
du Bonhomme ou chez les frères Besson. J’apprécie
également L’Auberge , le Bistrot de Laurent, Mon Bis-
trot. Mais aussi Le Palace, rapide et toujours dispo-
nible et Le Congrès Porte d’Auteuil où l’on peut dîner
très tard .
*Tout le monde n’a pas la chance
d’avoir eu des parents catholiques,
chronique d’une aventure au 14, rue de Sèvres,
d’Olivier Le Carrer, éditions Arsis (2007).
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les bons restos Textes nathalie Six
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ix &
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rélie
Gri
mal
di &
DR
L’aparthé du ChesnayLe petit frère de l’adresse versaillaise
L’aparthé de Versailles a fait des petits. Le Chesnay
a aussi son restaurant ouvert en 2006. « dans l’en-
treprise familiale, on aime les endroits où l’on fait
« waouh » en arrivant », explique doctement Carole.
« Je pars du principe que lorsqu’on rentre dans un lieu
dont on aime la déco puis la cuisine, on s’en souvien-
dra ». derrière l’onomatopée qui fait rire, l’idée d’une
cuisine « simple, bonne et facile ». dans la famille, la
restauration est une passion qui se transmet. Sébas-
tien, le frère, est également aux manettes de L’aparthé
de Versailles et leur mère a ouvert une galerie-salon
de thé Le Parnasse, après avoir tenu une pizzeria et
été comptable. A L’aparthé du Chesnay, la déco est
toujours aussi inventive et hétéroclite, avec une domi-
nante de rouge bordeaux et de gris. L’ensemble donne
une impression de modernité que ne revendiquent pas
forcément ses voisins versaillais et la terrasse y est
plus vaste. A découvrir donc même pour ceux qui fré-
quentent déjà la première adresse. Vous retrouverez
les plats qui ont fait sa réputation : tartares, pavé de
thon grillé à l’estragon, croque-monsieur ou madame
au vrai comté et œufs cocotte au foie gras.
L’aparthé
81 rue de Versailles – 78150 Le Chesnay
Tél. : 01 39 54 19 09
La cantineL’adresse zéro défaut
Trouver un défaut à cette adresse ? Arrhh vous me
prenez au dépourvu ! Pour autant une avalanche de
compliments est-elle sérieuse ? Faisons ensemble le
tour du propriétaire, dressons la table et comptons les
points. Côté déco, tout le monde adore : le parti pris
d’une salle de classe, façon vieille école communale
niveau primaire, ravira même les cancres. Le plat du
jour est annoncé en lettres multicolores sur un grand
tableau noir tandis que les tables en aluminium vous
donneront envie d’être collé… histoire de pouvoir
revenir souvent. Côté cuisine, le chef est sri-lankais
« parce qu’ils sont fiables, généreux et doués », s’en-
flamme Carole Renaud la maîtresse d’école, pardon,
du lieu. Ainsi, dans l’assiette, ne soyez pas étonnés d’y
trouver des alliances de sucré-salé, comme ce carpac-
cio de Saint-Jacques au kiwi et son sorbet de tomate
et basilic. Le concept plaît tellement qu’il a donné
naissance à des franchises, dont la première verra le
jour à Marly. Les wraps au thon mi-cuit frais nous ont
bien plu, le coup du pain servi dans une pochette en
tissu aussi ! Ah oui j’oubliais, vous vouliez un défaut ?
Trou de mémoire !
La cantine… des grands
Ouvert tous les jours de 12h à 14h et de 19h à 23h.
2, rue André Chénier - Tél. : 01 39 50 24 54
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les bons restos Textes natacha niox-Chateau & Catherine Lussiez
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Gri
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di &
DR
Les Saveurs du MarocLe Relais des Sultans change de nom
un air de nouveauté souffle sur la route de la Reine.
Après le café « Les Sports » transformé en « Bistro de
la Reine », c’est au tour du « Relais des Sultans » de
se refaire une virginité. La devanture s’est parée d’un
beau rouge brique, lorsqu’il a fallu modifier le nom.
Pourquoi ? « Afin de cesser toute confusion dans l’es-
prit des gens, avec un salon de chicha ou un restau-
rant grec », nous explique le gérant. il est vrai que les
Sultans étaient ottomans. En mentionnant le Maroc,
l’établissement affiche clairement la saveur des lieux :
une cuisine marocaine dans la pure tradition du pays.
La direction en a profité pour rajouter quelques mets,
« nous avons désormais des grillades dans le menu
express du midi, et pour ceux et celles qui veulent
déjeuner plus léger, nous proposons des salades. »
La grande salle pourvue de colonnes est agencée
dans une décoration traditionnelle mêlant mosaïques
bleues et blanches, les chaises offrent de larges dos-
siers confortables. Envie d’un couscous chez vous ?
Passez la commande par téléphone, 20 min plus tard
c’est prêt à emporter ! (-10% par rapport à la carte et 1
pâtisserie offerte pour chaque plat commandé).
12 bis route de la Reine - Tél. : 01 46 05 48 56
1 kir offert et 1 boukha (liqueur à base de figue)
offerte à la fin du repas pour les lecteurs du Bonbon.
Le Grillonun bistrot chaleureux et ensoleillé
donnant sur la charmante place Fessart, Le Grillon
réserve à ses clients un accueil raffiné et une
ambiance unique. L’état d’esprit boulonnais y règne :
bienveillant et familial. Le Grillon est un bistrot chic
comme on les aime lorsqu’on a envie d’une cuisine
traditionnelle et que l’on cherche chaleur et simpli-
cité. Le patron vous y reçoit avec sourire et courtoisie
au milieu d’un décor façon Belle Epoque. Vous pour-
rez y déguster un navarin d’agneau accompagné de
ses petits légumes. La maison est également connue
pour son fameux tartare, son camembert au four,
son incontournable moelleux au chocolat ou encore
sa délicieuse compote de rhubarbe. ici, les produits
sont frais et cuisinés sur place. La note, me direz-
vous ? Très correcte avec une formule déjeuner à 15
euros (entrée du jour et plat du jour ou plat du jour
et dessert du jour) et à 18 euros « formule 3 plats du
jour ». Voilà une excellente adresse : l’hiver dans une
ambiance cosy et l’été sur la terrasse … un avant goût
des vacances. Attention, le midi, il mieux vaut réser-
ver. notre conseil ? Allez-y le soir, c’est l’une des belles
adresses nocturnes de la ville !
Bistrot cuisine traditionnelle - 13 rue Mollien
Tél. : 01 55 60 74 30
Ouvert du mardi au samedi (midi et soir).
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le bon bistro
Vous aimez bien manger et cherchez un repère de
quartier où vous retrouver entre collègues ou entre
amis à tout moment de la journée. Vœux exaucés au
Bistrot 19 situé avenue du Général Leclerc à Bou-
logne-Billancourt. Ce petit café-restaurant-bar de
quartier rythme tous les moments de la journée.
Ouvert de 7 heures à 2 heures du matin, on peut y
prendre un espresso sur le pouce, déguster un plat
du jour rustique, ou encore siroter un cocktail à bon
prix.
Anciennement Black & White ouvert depuis onze
ans, le Bistrot 19 s’est offert une nouvelle jeunesse
en 2009 et continue de séduire une clientèle large.
C’est un lieu aux mille facettes qui se transforme
aux différents moments de la journée. On y croise
autant d’actifs pressés adeptes de la formule midi
Express que d’étudiants surfant sur internet autour
d’un chocolat viennois ou de jeunes branchés venus
se détendre pendant l’Happy Hour et lors des soirées
musicales organisées par la maison.
Qui se cache derrière ce lieu? Associés à la vie
comme au travail, Anaïde et Patrick Lavigne sont les
propriétaires de cette joyeuse brasserie. C’est donc
avant tout une affaire de famille. Et bien sûr, comme
il n’y a pas de famille sans bonne cuisine, tout est
fait maison avec des produits frais. une cuisine tra-
ditionnelle et abordable avec un plat du jour comme
le coq au vin pour seulement 12,50 euros. Coup de
cœur pour les burgers « home made », spécialité de
la maison.
Avec l’arrivée des beaux jours, le restaurant lance
aussi un service de vente à emporter à partir de mars,
de quoi satisfaire les workaholics qui préfèrent gri-
gnoter derrière leur ordinateur ou les bucoliques qui
souhaitent pique-niquer au soleil. Et pour ceux qui
aiment prendre leur temps, l’endroit dispose aussi
d’une jolie terrasse située à l’arrière de l’édifice.
Rendez-vous au 19!
petit-déjeuner, déjeuner, repas d’affaires,
salon privé (15 personnes)
1 Rue Liot- 19 avenue du Général Leclerc
Tél. : 01 46 09 08 28
www.bistrot-19.fr
Communiqué Lou Mamalet
Photo Benjamin Cayzac
Le Bistrot 19
LA BrASSerie FAMiLiALe
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le bon boulonnais Texte & photos Jean-Marc Philipperegardssurboulogne-billancourt.hautetfort.com
illustration Agathe The Melon
Vive le printemps
1 — LES LiOnS dE MOn EnFAnCE
Egalement connu sous le nom de square des lions, le square Farman est
le lieu idéal pour se reposer à l’ombre des marronniers. Les générations
s’y croisent et les anciens se remémorent le temps où ils étaient encore
des enfants.
Au niveau du 79 Rue de Silly
2 — un COin dE JAPOn
Le jardin Albert Kahn est un havre de paix où règne la sérénité grâce à la
diversité de sa végétation, changeante au fi l des saisons, et aux essen-
ces abondantes quand s’éveille dame nature. Son musée est une source
d’enrichissements culturels.
10/14 rue du Port
3 — un PARFuM dE nOBLESSE
Le parc Edmond de Rothschild abrite une faune souvent protégée qui vit
dans d’un écrin de végétation luxuriante. des chemins escarpés et de
larges pelouses permettent mille possibilités de jeux et de détente.
3 rue des Victoires
4 — COMME AuTREFOiS
Le square Léon Blum, l’un des plus anciens de la ville, a su garder son
charme d’autrefois. un espace de jeux pour enfants et adolescents a vu
le jour. Le bassin aux poissons rouges reste comme fi gé dans le temps.
Entre la route de la Reine, les rues de Billancourt, de l’ancienne Mairie
et de Châteaudun
5 — C’EST un PETiT JARdin…
Le jardin pédagogique Georgette Bœuf est un lieu de vie arboré où les
enfants des centres de loisirs viennent observer les fl eurs aux couleurs
mellifl ues et le potager de légumes et d’épices variées.
Passage Louis Lumière (147/149 boulevard Jean-Jaurès)
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Retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon.fr
Il vous suffit de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous bénéficierez de l’offre annoncée !
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© nathalie Six/ Orélie Grimaldi/ Benjamin Cayzac
28 — BOULOGNE 29 — BOULOGNE
28 — BOULOGNE 29 — BOULOGNE
le bon art Texte Marie Masuyer
Photo Orélie Grimaldi
Thierry BoitierCApteUr d’éMOtiOnS
Quand le froid glace les sens, rien de tel qu’un petit
détour à la Galerie FAe pour réveiller ses papilles
artistiques et y rencontrer l’un des ses artistes les
plus fidèles : thierry Boitier.
dans la vie de ce peintre, une série de rencontres
artistiques, de coups de foudre ou d’empathie, et
une poésie presque palpable, au fil des mots comme
dans des toiles semblant faire écho à ses moindres
questionnements.
Longtemps designer textile pour de grandes maisons
après des études d’arts appliqués, Thierry se nourrit
de mémoire et de voyages. Ses inspirations vont de
l’art brut africain à la zénitude asiatique, mais ses
véritables « catalyseurs artistiques » sont bien iden-
tifiés : le Français Richard Texier, lui-même attiré par
les énergies multiculturelles et Brian Eno, pape de la
musique électronique, dont l’univers introspectif lui
permet sans doute de créer cette sensation d’har-
monie universelle émanant de ses oeuvres.
Ses vignettes humaines, minuscules rappels d’exis-
tences perdues, cohabitent et fusionnent naturelle-
ment avec des matériaux collés, ligaturés parfois et
des pigments intenses, texturés : vivants!
« Chroniques de voyages imaginaires »
du 8 au 31 mars à la galerie FAE L’Atelier,
92, avenue J.B. Clément
Tél : 06 70 77 36 47.
Vernissages les 7 et 11 mars.
Culture Loisirs Expéditions
du 5 au 16 juin, l’association Atlace recherche encore
1 ou 2 personnes pour leur grand voyage en italie
sur la Côte amalfitaine (visite de naples, Pompéi
et Capri). 1 350€ avec vols Air France et tous les
transferts, guide et excursions, logement dans un
hôtel de charme. inscriptions immédiates jusqu’au 4
avril. dossier sur simple demande.
du 1er au 7 juillet, séjour Thalasso à Port Barcarès,
à prix associatif (430 € en 1/2 pension), avec un
stage de relaxation (apprendre les techniques de
respiration et la maîtrise de soi).
26 rue de la Rochefoucauld - Tél. : 01 46 81 16 30
www.ATLACE.com
Dédicaces FNAC
Samedi 10 mars de 10h30-13h30 : atelier gratuit de
scrapbooking «VACAnCES d’HiVER».
[email protected]. Atelier d’1h à partir de 8 ans.
Samedi 10 mars à 14h30 : showcase de fatoumata
diawara pour son album Fatou.
Vendredi 16 mars de 20h à 22h : Soirée privée
pour les adhérents à la Fnac Boulogne. découvrez
toutes les offres réservez uniquement pour vous.
Samedi 4 avril de 10h 30 à 13h30 : atelier gratuit de
scrapbooking PAQuES. inscriptions auprès du service
communication à [email protected].
Afterwork In English
Les mardis et vendredis de 19h à 20h30. Pratiquer
l’anglais en sirotant un verre de vin ou un mojito
c’est possible ? Yes, you can ! Avec les « Afterwork
in English » lancés en février dans l’une des bonnes
adresses de Boulogne, vous pouvez allier l’utile à
l’agréable.
18 euros la soirée. Au Fief, 5 rue du Fief
Tél. : 06 88 69 93 81 - [email protected]
www.englishafterwork.com
Exposition Temporaire
du 8 mars au 13 mai : « un artiste - un univers» : le
musée-maison selon Mathieu Cherkit » au Musée
des Avelines. 60 rue Gounod - 92210 Saint-Cloud
Tél. : 01 46 02 67 18 - www.saintcloud.fr/musee/
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le bon agenda Agenda des manifestations culturelles
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les bonnes adresses Régie Publicitaire
06 33 54 65 95
1 — SAnKi
38, avenue Edouard-Vaillant
Tél. : 01 46 08 38 38
2 — diFAdOM
82, avenue Jean-Baptiste Clément
Tél. : 01 48 25 61 61
3 — LE BiSTROT 19
1 Rue Liot -19, avenue du Général Leclerc
Tél. : 01 46 09 08 28 / www.bistrot-19.fr
4 — LiLi LA MARiEE
30, rue Thiers
Tél.: 09 53 37 98 52
5 — LES dOMAinES Qui MOnTEnT
76, av. Pierre-Lefaucheux
Tél. : 01 46 21 27 80
6 — LE GRiLLOn
13, rue Mollien
Tél. : 01 55 60 74 30
7 — LES SAVEuRS du MAROC
12 bis, route de la Reine
Tél. : 01 46 05 48 56
8 — CAR-SERViCE
40, rue de la Rochefoucauld
Tél. : 01 41 31 44 91
9 — En MOdE-BOuLBi
66, bd de la République
Tél. : 01 46 94 09 04
10 — LES BEBES dE SABinE
3, quai de Stalingrad
Tél. : 01 46 08 25 17
11 — LES CAdRES dE LiLi
33-35, bd Jean-Jaurès
Tél. : 01 41 31 73 76
12 —ViLLA SOREL
20, rue Georges Sorel - Métro Marcel Sembat
Tel.: 0146049158 / www.villasorel.com
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Le Grillon
Bistrot chic et chaleureuxCuisine traditionnelle
Le Grillon13 rue Mollien 92100 Boulogne-Billancourt
Tel : 01 55 60 74 30Ouvert midi et soir du mardi au samedi
Le Grillon
Bistrot chic et chaleureuxCuisine traditionnelle
Le Grillon13 rue Mollien 92100 Boulogne-Billancourt
Tel : 01 55 60 74 30Ouvert midi et soir du mardi au samedi
