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Publication mensuelle et gratuite Rentrée Octobre 2010

Les Echos - Octobre 2010

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revue de caracas accueil. Les Echos - Octobre 2010

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Publication mensuelle et gratuite

RentréeOctobre 2010

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3Avec le mois de septembre, une nouvelle année commence pour

notre association, Caracas accueil, qui voit l’entrée en fonction du bureau désigné en juin par l’assemblée gé-nérale. L’honneur me revient de vous présenter ses membres.

Notre dynamique vice-présidente, Françoise Rase, est une de nos plus anciennes adhérentes : elle a déjà re-fondé l’association et assumé sa pré-sidence. Aujourd’hui, elle s’engage encore à nouveau pour faire vivre Caracas Accueil.

Ana Fort est notre trésorière. Fran-co-vénézuélienne, elle a beaucoup d’expérience au sein d’accueils fran-cophones à l’étranger ainsi qu’une connaissance intime du Venezuela, qu’en femme généreuse elle aimerait partager avec nous.

Edito

Razia Kessaria, née à Madagascar, a ac-cepté le rôle de secrétaire. Elle a connu de nombreuses expatriations et croit en l’importance des accueils comme éléments essentiels de l’intégration des nouveaux arrivants.

Marie-Béatrice Martins reste no-tre « vocale ». Elle est un appui pré-cieux dans la réussite de tout ce que nous organisons.

Quant à moi, votre nouvelle prési-dente, arrivée en septembre 2009

à Caracas, j’ai apprécié les activités de l’association ainsi que l’accueil et l’amitié de ses membres.

Toutes ensemble, et avec la participa-tion de tous les membres de Caracas accueil, nous souhaitons développer et partager nos découvertes et nos ex-périences vénézuéliennes. C’est grâce à la collaboration de tous que seront assurées la continuité et le succès de notre association.

Marion Paradisi-Coulouma

N’hésitez pas à nous contacter

[email protected]

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Les Échos de Caracas AccueilRIF: J-30736136-0

COMITÉ DE RÉDACTIONCELINE GIRARD (+58) 424 160 3503

INFOGRAPHIE ET MISE EN PAGEHYLDA TONNELIER (+58) 412 270 7787

ASOCIACIÓN ACCUEIL DE VENEZUELA

ANNE LOUYOT PRESIDENTE D”HONNEUR

MARION PARADISI- COULOUMA PRESIDENTE (+58) 414 201 23 83

FRANCOISE RASE VICE-PRESIDENTE

FRANCOISE RASE TRESORIERE

RAZIA KESSARIA SECRETAIRE

MARIE BEA MARTINS

Editorial

Caracas Accueil Informe

Inscription Consulaire

Flash

Gastronomie

Sorties

Agenda de Caracas Accueil

Agenda Culturel

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Caracas Accueil remercie toutes les person-nes qui ont collaboré à l’élaboration de ce numéro.

Si vous souhaitez annoncer:

CELINE GIRARD: (+58) 424 160 35 03

.....................................Où nous contacter?

Mail: [email protected]

INFORMATIONS LEGALES:

Caracas Accueil n’est pas responsable des informa-tions contenues dans les annonces et les articles

Sommaire SommaireSommaireSommaire Sommaire

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Informe

En cette période de rentrée, nous avons une pensée toute particulière pour Céline qui achève son insta-

llation dans la région parisienne. Elle ne sera pas là cet-te année pour avoir toujours une idée nouvelle, pour proposer à l’un ou l’autre d’entre nous de faire telle ou telle chose, nous encourageant ainsi à nous dépasser un peu. Mais elle garde un œil sur son i-phone et nous donne de sages conseils depuis la France. Merci Céline pour tout ce que tu as fait pour Caracas Accueil, nous tâchons de préserver le dynamisme que tu as insufflé !

Dorénavant, et ainsi que cela a été décidé lors de l’assemblée générale du mois de juin, les membres de Caracas Accueil participent également au financement des Vendredis entre amis. En effet, l’augmentation des coûts engendrés par l’organisation de la soirée ne permet pas de préserver la gratuité de l’entrée pour nos membres.

L’équipe de Caracas Accueil sollicite l’appui de ses membres afin de :

- Trouver une personne capable d’assurer les cours de gym, nous permettant ainsi de repren-dre cette activité très appréciée. Nous pouvons, au besoin, demander aux personnes qui assis-tent à l’activité une participation financière qui couvrirait la rémunération de l’intervenant ;

- Terminer l’actualisation du Guide d’accueil à Caracas. Une large partie du travail a déjà été effectuée par Razia et Ana. Il s’agit de collecter des bonnes adresses ou de l’information, puis de la mettre en forme.

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Inscription consulaire

Le 1er janvier 2004 est entrée en vigueur l’inscription au registre des Français établis hors de Fran-ce. Cette mesure permet au chef de poste  diplomatique ou consu-laire  de connaître, localiser et dé-nombrer la communauté française de la circonscription, de faciliter l’exercice de la protection consu-laire en matière de sûreté et de sé-curité ainsi que de mettre à jour le plan de sécurité du poste.

Pour le Français de l’étranger, elle a pour vocation d’accomplir facile-ment certaines formalités adminis-tratives (carte nationale d’identité, passeport…), d’accéder à certai-nes procédures ou prestations liées à la résidence à l’étranger (de-mandes de bourse, allocations de solidarité…), de pouvoir s’inscrire sur la liste électorale consulaire et de recevoir des informations (en matière de sécurité, par exemple).

L’inscription se limite à l’envoi d’une photographie d’identité ré-cente (35 mm x 45 mm) et de 3 élé-ments fondamentaux :

- L’identité (carte nationale d’identité ou passeport français en cours de validité, Cédula ou passeport vénézuélien dans

le cas où aucun document français n’a pour l’instant été émis à l’intéressé),

- La nationalité française (co-pie intégrale récente de l’acte de naissance français portant men-tion de la filiation de la personne, ou livret de famille des parents).

Si la personne n’était pas française à sa naissance, le do-cument par lequel la nationalité française a été établie : amplia-tion du décret de naturalisa-tion, déclaration acquisitive de nationalité française dûment enregistrée, ou certificat de na-tionalité française.

- La résidence dans la cir-conscription consulaire (visa de résident, carte d’identité véné-zuélienne, éventuellement con-trat de travail si le visa de rési-dent est en cours d’obtention). Une preuve de domicile est également nécessaire  : facture d’électricité ou de téléphone, contrat de location…)

Outre un déplacement au con-sulat, d’autres voies permettent au Français de s’inscrire par co-rrespondance, par télécopie ou par courrier électronique (http://www.francia.org.ve/spip.php?article583) en justifiant les 3 éléments fondamentaux mention-

nés plus avant.Un employeur peut également demander de façon groupée l’inscription des Français

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Assurer sa sécurité au Venezuela

L’ambassade a réalisé un mémento de sécurité, disponible à la section consulaire et prochainement accessible sur le site : www.francia.org.ve.Ce mémento rappelle quelques informations, recommandations et consignes à adopter en matière de sécurité au quotidien mais aussi en cas de crise politique, sanitaire ou de catastrophe naturelle.Il est impossible à l’ambassade de porter assistance à des com-patriotes dont elle ne connaîtrait pas l’existence au registre des Français de l’étranger. Vous pouvez aussi soliciter votre inscription en ligne sur la liste de sécurité à travers le site de l’ambassade.Pour ces deux démarches : http://www.francia.org.ve/spip.php?article582

Rappel des N° de tél ambassade : Standard : 909 65 00 Urgences : 909 66 99

expatriés auprès de son entreprise pour raisons professionnelles.

L’inscription est également pos-sible depuis la France, avant même le départ, en s’adressant auprès d’un guichet spécial créé à la Di-rection des Français à l’étranger et de l’administration consulaire.

Le renouvellement de l’inscrip-tion s’effectuera par confirmation de la résidence dans la circonscrip-tion en fournissant un justificatif ou une déclaration sur l’honneur. Une nouvelle photographie récen-te sera également jointe.

Tout Français inscrit reçoit un

numéro d’identification consulai-re  (NUMIC) personnel attribué à vie qui permet d’effectuer à distan-ce des formalités administratives (modification de son inscription sur la liste électorale, mise à jour du n° de téléphone, de son adres-se…), à partir de son domicile ou de son lieu de travail.

Par ailleurs, ce numéro facilite le transfert de dossier en cas de chan-gement de domicile dans une au-tre circonscription.

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Flash

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Les Incontournables

Restaurant Mokambo : Calle Madrid con Monterrey, Las Mercedes.

Tel: 0212.991.2577 – 993.3702 

Très bonne adresse, carte variée (carpaccio, poissons, viandes, ham-burger, tartare, fondant au chocolat), salle  a manger bien déoré, terrasse. Service aimable, petit déjeuner le week-end seulement, déjeuner et dîner, ouvert du lundi au lundi. Je le recommande aussi accompagnés de vos enfants. 

A ne pas manquer au  fond du res-taurant, il y a un magasin tenu par une espagnole avec de la vaisselle et  des meubles rétro, quelques anti-quités et un petit comptoir très bien fourni en traiteur, pâtés, terrines, sau-mon, pâtes, huiles aromatisées, ba-guettes et desserts.

Arepa Factory (Luna llena) 

2da Transversal entre Av. Andres Bello y 2da Avenida, Los Palos Grandes.

 Pour connaître une spécialité Vé-

nézuélienne ( si ce n’est pas déjà fait) LA AREPA sous toutes ses formes, La Catira (poulet avec fromage jaune), La Peluda (carne mechada, avec fro-mage jaune), La Rumbera (cochon et fromage jaune), La Viuda (sans rien a l’intérieur) et la plus fameuse La Reina Pepiada ( poulet, avocat et petit pois) qui de nos jours  est composée de sa-lade de poulet, mayonnaise et avocat.

Ce petit local a réinventé LA AREPA avec une touche “ fashion” sau-mon, dinde, œufs brouillés avec em-mental. De plus ,vous pouvez choisir l’épaisseur de votre Arepa  : luna lle-na (gordita), luna slim (flaquita) et “l’integrale”.

Jérome et Suzanne Lellouche

Gastronomie

Les IncontournablesLes Incontournables

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J’aime beaucoup me promener dans les rues du « casco colonial de Petare  », centre historique de Pe-tare. Une fois sortie de la foule du métro à la station Petare, je grimpe sur la colline. Et là c’est une autre vi-lle ! Tout est calme, propre : « Suis-je bien encore au Venezuela ? ».

«  Mais oui, il y a El Avila qui me nargue de ses 2  600 mètres, quelques chemises et casquettes rouges, des drapeaux rouges aux balcons de la mairie (les mêmes bal-cons qu’on retrouve dans les tele-novelas !) ». Mais je ne me sens pas agressée et je suis moins sur mes

gardes. La calle Z, empierrée comme au temps de la colonie, « el camino réal », me conduit, à travers ses zig-zags de médecins aux avocats, des écoles aux dentistes, tous natifs de Petare. Par les portes entr’ouvertes je découvre les patios. Puis une vo-lée de marches, sous un énorme cei-bo (l’arbre fétiche de Bolivar) et  c’est la rue Madeleine, du nom du francis-cain français qui a reconstruit l’église de la ville après le tremblement de terre de 1812. Par cette rue étroite, aux trottoirs exigus j’arrive sur la place Sucre (Antonio Jose de Sucre est un grand général de Bolivar des-cendant sans doute d’une famille du

Sorties

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BEAUTÉ

nord de la France: la Flandre. Au Ve-nezuela rares sont les villes n’ayant pas leur place centrale du nom de Bolivar; j’en connais 2 Petare et Gua-tire.

     Petare vient d’un vocable indien qui veut dire plus ou moins au-des-sus de l’eau car Petare est en à pic entre 2 fleuves : el Guaire et el Cau-rimare. Les terrains ont été donnés à Francisco Infante en 1568, pour  le remercier d’avoir vaincu les indiens Guaicaipuro.. C’était du temps de Diego de Losada, fondateur de Ca-racas ! Il fit de cet « encominda » une grande terre de café, de cacao, de cane à sucre. Puis les terrains furent partagés en haciendas et en 1760, grâce à la main-d’œuvre indienne ils construisirent l’église «  Dulce Nom-bre de Jésus  ». Ces indiens étaient des « mariches » et des «quiriquires » travailleurs agricoles ou esclaves des haciendas des vallées du TUY.

Le dernier dimanche de septembre il y a de grandes fêtes avec proces-sions et musiques en remerciement de l’arrêt de l’épidémie de la fièvre jaune de 1868. L’église est typique coloniale avec une seule tour, toute rose ou bleue selon les années! En 1960 a commencé sa restauration mais ….il reste encore beaucoup à faire ! Il y a trois grands retables de la colonie, au centre les «quatre évan-gélistes» réalisé par Alonso Ponte en 1761 et de chaque côté « Notre Dame

de la Candelaria (la chandeleur)», et «Notre Dame des Victoires» réalisés en 1750. Dans l’autel latéral droit on admire deux tableaux du grand pein-tre vénézuélien Tito Salas,1887-1974, «Adoration des mages» 1936, et sur-tout  «le miracle du Christ», peint en 1958 et offert à l’église en reconnais-sance de la guérison de sa fille  et qui raconte  le miracle de l’épidémie de cholera  de 1858 à Petare. 

      J’aime flâner ensuite dans les quelques rues perpendiculaires et voir le musée d’art populaire « Bar-baro Rivas» qui offre toujours des expositions surprenantes ; le musée s’est installé dans l’ancien casco (mai-son du maitre) de l’hacienda qui a été récemment donné (enfin il y a 60 ans !). C’est émouvant de savoir qu’il

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n’y a pas si longtemps on cultivait encore sur ces hauteurs. Je continue par la visite de la maison paroissiale et le centre culturel «Bigot» qui de-puis 30 ans fait vivre tout le folklore vénézuélien (musiques, danses, ar-tisanat…).Je passe devant la « Casa Vieja » pas souvent ouverte mais où a fonctionné le premier émetteur de radio du Venezuela, mais ….jamais je n’ai pu descendre vers le Guai-re  car les voisins des petites rues s’y opposent pour me protéger. Je continue ma visite passant devant la vieille pharmacie aux mille tiroirs en bois et flacons de verre et j’y achète n’importe quelles pilules afin de voir fonctionner l’antique machine en-registreuse , puis je m’arrête encore dans la toute nouvelle bibliothèque installée dans une ancienne maison en torchis complètement refaite dans le style colonial et enfin avant de retrouver la place Francisco de Mi-randa qui me fera entrer dans le mé-tro, je retrouve la boutique de mon ami Francisco, un fonctionnaire en retraite qui a repris le négoce de ses parents,une «ferreteria» style quin-caillerie : la boutique fait l’angle avec la rue pentue et ses trottoirs hauts de un mètre qui descend vers la place . Cet homme est extraordinaire: c’est la mémoire de Petare. Il peint son Pe-tare d’autrefois, comme il l’a connu il y a 60 ans, avec une peinture faite avec de l’eau de chique ou des aqua-relles …il a au moins 60 tableaux qui

s’exposent parfois mais jamais il n’en a vendu un seul :c’est un trésor qu’il veut offrir au musée pour faire con-naître à ses enfants et petits-enfants comment était son Petare, ce Petare calme, vert, qui disparaît peu à peu avec ses coiffeurs, ses ateliers de voi-tures, la boutique des motos. Dans sa boutique je trouve toujours un objet insolite ancien. Il semble que ses 60 tableaux vont être édités, je ne voudrais pas manquer ce bijou !!!

 Voilà pourquoi, régulièrement je

retourne à Petare seule ou avec des amis curieux mais craintifs, et qui, comme moi sont toujours surpris par ce village attachant.

Françoise Rase.

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Mardi, jeudi et samedi à 10h30 au Club CatalanResponsable : Françoise Rase0412 584 47 [email protected]

Un vendredi par mois à partir de 20h30 au club AltamiraResponsable : Annie Castro0414 325 13 64 [email protected]

Vendredi à 9h30Responsable : Adélaïde Bitti0412 591 74 [email protected]

Un vendredi par mois de 15h à 18h, res. Terrazas de SebucanResponsable : Lourdes Speybrouck0414 017 10 30 [email protected]

Mercredi à 8h15 au parc de l’Est (Rendez-vous au « cafetin » du parking est, côté musée des transports)Responsable : Adélaïde Bitti0412 591 74 [email protected]

octobre : café-rencontre

octobre : soirée jeux au club Altamira

octobre : vendredi entre amis à l’Alliance française de La Castellana (thème : Halloween)

novembre : fête enfantine à la salle des fêtes de la résidence Terrazas de Sebucan

novembre : café-rencontre

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« ROBERTO ANTONIO TOUR 25 AÑOS ». Le roi du merengue fête ses 25 ans de musique. Il sera accompagné de l’orchestre symphonique du Venezuela, Los Melodicos, La Dimension Lati-na et la diva du merengue Diveana. Un concert de musique où vous pourrez également danser dans la grande salle du Salon Venezuela. Le vendredi 15 octobre à 20h00 au Circulo Militar. Entrées : entre 415,00 Bs et 615,00 Bs en vente sur tuticket.com et sur place.

CAMILA (Groupe mexicain de rock) en concert. Le 29 octobre à 20h00 à la Terraza du CCCT. Entrées : entre 550,00 et 1 500,00 Bs en vente chez Esperanto du CC San Ignacio, Recordland du CC Sambil et sur ticketmundo.com

YORDANO (chanteur vénézuélien) en concert. .Le samedi 23 octobre à 20h00 au Teatro du colegio Santa Rosa de Lima. Entrées : entre 250,00 Bs et 450,00 Bs en vente sur ticketmundo.com.

« TIEMPOS MODERNOS » MARUJA MUCI en concert (musique folklorique, world musique et musique électronique.). Le jeudi 14 octobre à 20h00 au Centro Cultural Corp Banca. Entrées : à partir de 130,00 Bs en vente sur ticketmundo.com.

« ART » de Yasmina Reza (Comédie qui met sur la table la fragilité des rapports humains). A partir du 6 octobre au Teatro Premium de Los Naranjos : mercredi et jeudi à 20h00, vendredi, samedi et dimanche à 20h00. Entrée : 90,00, 100,00 et 120,00 Bs en vente sur tuticket.com et au guichet du théâtre.

« ESPERANDO AL ITALIANO ». Comédie qui analyse le rôle de la femme dans la société latino-américaine. Teatro Trasnocho Cultural du CC Paseo Las Mercedes : vendredi et samedi à 20h00 et dimanche à 18h00. Entrée : 80,00 Bs en vente au guichet du théâtre.

« LA FEA SE DESPIERTA » (La laide se réveille). Pièce musicale inspirée de « la belle au bois dormant » où la princesse est laide et souffre d’insomnies. Jusqu’au 31 octobre : samedi à 17h30 et dimanche à 11h00 au Teatro Luisela Diaz. Entrée : entre 70,00 Bs et 90,00 Bs en vente sur tuticket.com et au guichet du théâtre.

« GEOMETRIA DEL COLOR ». Exposition de 25 œuvres du peintre vénézuélien Domingo Medina. Galerie d’art de la bibliothèque de l’Université Simon Bolivar. Entrée libre

“Venezuela aurifera” et “Oro Milenario del Ecuador” : Expositions archéologiques où ce mé-tal est abordé entre le symbolisme de ses origines et son utilisation actuelle. « Venezuela aurife-ra » nous montre l’histoire et le processus de l’extraction et l’industrie aurifère. « Oro Milenario del Ecuador » est un échantillon très intéressant de 144 objets d’or des cultures précolombien-nes telles que La Tolita, Bahía, Jama Coaque, Puruhá et Capulí. Jusqu’au 14 novembre à la salle d’expositions du Banco Central de Venezuela : Centro Cultural Salvador de la Plaza, Plaza Juan Pedro Lopez, Parroquia Altagracia (au centre ville), de 08h00 à 16h00.

DIEZ DE LOS 80. Un échantillon de 10 artistes représentants des arts visuels vénézuéliens dans les années 80 : Milton Becerra, Sigfredo Chacón, Héctor Fuenmayor, Víctor Hugo Irazábal, Luis Lizardo, Julio Pacheco Rivas, Jorge Pizzani, Pancho Quilici, Miguel Von Dangel et Carlos Zerpa. Galerie D’Museo (calle California, entre Mucuchies y Perija, edif. Sonora, P.B., Las Mercedes) : lundi de 15h00 à 18h00, mardi à vendredi de 09h00 à 13h00 et de 15h00 à 18h00, dimanche de 11h00 à 14h00. Jusqu’au 31 octobre. Entrée libre.

“OKTOBERTFEST 2010” (FETE DE LA BIERE 2010). L’Association Culturel Humboldt vous invite à fêter les 200 ans de cette célèbre tradition allemande, le samedi 2 octobre de 14h00 à 23h00 à la Mision Catolica de la Trinidad : calle Juan Iturbe Sur, Urb. Sorocaima). Entrée : 20,00 Bs. Il y aura de la musique, de la bière, des saucisses et bien d’autres choses !

N’oubliez pas de consulter le site de l’Ambassade de France (www.francia.org.ve) et celui de l’Alliance Française (http://www.afvenezuela.org) pour d’autres événements culturels.

Agenda Culturel

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