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Présentation du 11/02/2014
Florent Vanhoutte – Service Information Géographique
Organisation d’un projet de dématérialisation
des documents d’urbanisme
Ordre du jour
Préambule
Les besoins (Qui ? Quoi ?)
La mise en œuvre (Comment ?)
Faux problèmes et vraies difficultés
Conclusion et recommandations
Préambule
Préambule
Autorités publiques représentées
ARC
16 communes
~74.000 habitants
210 km²
# compétence en matière
d’urbanisme réglementaire
# service partagé pour
l’instruction du droit des sols *
CCBA
6 communes
~11.000 habitants
55 km²
* A l’exception de la commune de Venette
Source : © les contributeurs d’OpenStreetMap, CC BY-SA
Préambule
Service d’Information Géographique de l’ARC
Missions du service :
Responsable de l’infrastructure technique
Gestionnaire des données de références
Expertise et accompagnement des
services au développement des données
métiers (projet)
Formation et assistance auprès des
utilisateurs
Production cartographique
Veille technique et réglementaire
Service dédié créé en avril 2008
composé de 2 agents (depuis sept 2012)
Un service transversal
mutualisé auprès :
De la CCBA (depuis juillet 2012) pour la mise en
œuvre, le développement et l’animation
du projet SIG communautaire
Du SMOA* (depuis décembre 2013) pour un appui
technique ponctuel
* Syndicat Mixte Oise-Aronde, structure porteuse du SAGE Oise-Aronde
Préambule
Organisation générale d’un projet d’information géographique
Un moyen de
déplacement
Des outils
De l’énergie !!
Des données
Un interlocuteur pour vous guider et vous
accompagner
Une organisation
Des passagers
Les utilisateurs 1
2
3
4
i
? #!
Données géographiques
outils
Les besoins (Qui ? Quoi ?)
Direction de l’aménagement
- Réalisation des procédures en régie sur les documents
d’urbanisme
- Evaluation de l’impact des politiques environnementales sur les
orientations d’aménagement
Service du Droit des Sols
- Instruction du droit des sols
Service urbanisme des communes
- Renseignements du public
Direction du foncier
- Acquisition, location et vente de foncier
Direction du développement économique
- Renseignements auprès des entreprises (nouvelle implantation,
nouvelle activité …)
Autres : élus, autres directions, etc…
Les besoins (Qui ? Quoi ?)
Les usagers (Qui ?)
Efficacité
- Faciliter l’instruction
- Simplifier le renseignement du public en mairie
- Une donnée éditable pour mener les nouvelles procédures
Unicité et fiabilité
- Une donnée centralisée (unique et à jour !!) partagée auprès
des services qui élaborent et modifient les documents comme à
ceux qui les consultent
Accessibilité
- Développer et faciliter les modalités d’accès à l’information
Connaissance
- Gestion de l’historique des procédures
Les besoins (Qui ? Quoi ?)
Les objectifs (Quoi ?)
Création d’un géoportail communautaire des documents d’urbanisme
La mise en œuvre (Comment ?)
PLU PLU
dwg
La mise en œuvre (Comment ?)
Organisation générale du projet
Acquisition
Primo-vectorisation 1 POS
PLU
Base de
données
SIG
Gestion
Entretenir la base
de données
2
Diffusion
Rendre accessible
l’information
3
Utilisateurs
Base de
données
SIG
Un projet porté par le SIG, structuré en 3 étapes et engagé fin
2008 pour l’ARC et en 2013 pour la CCBA
La mise en œuvre (Comment ?)
1 – Acquisition (1)
Que dématérialise t-on ?
- Le document d’urbanisme en vigueur
- Le plan de zonage et le règlement. Certaines informations portées en
annexe (pas les SUP dont la gestion incombe aux services de l’Etat)
Sous quelle(s) forme(s) ?
- Une base de données SIG pour la partie graphique.
Un format CAO type AutoCAD DWG est à proscrire. Il ne permet pas
la constitution de « base de données géoréférencées » car il ne
conserve que la géométrie des objets.
- Un fichier texte éditable issu d’un logiciel de traitement texte pour le
règlement (type openoffice ou word)
Avec quelle(s) ressource(s) documentaire(s) ?
- Les documents d’urbanisme disponibles (papier et/ou numérique)
- Un ensemble de données SIG disponibles pour les collectivités et
pouvant être mises à disposition auprès de leur(s) prestataire(s)
(ex : cadastre, photo aérienne verticale, voie routière et ferrée, végétation, carte IGN, etc…)
La mise en œuvre (Comment ?)
1 – Acquisition (2)
Avec quel(s) outil(s) ?
- La saisie graphique (digitalisation) s’effectue avec un simple logiciel
SIG bureautique tel que QGIS qui a l’avantage d’être un logiciel libre
et téléchargeable gratuitement (http://www.qgis.org)
Avec quelle(s) ressource(s) humaines et/ou budgétaires ?
- Cas 1 : Prestation de primo-numérisation sous-traitée
• ~1500 €HT / commune en cas de sous-traitance à un prestataire spécialisé
• Contrôle exhaustif des données réalisé en interne (1 à 2 jours / commune)
- Cas 2 : Primo-numérisation effectuée en régie
• 2 à 3 jours / commune pour la vectorisation de partie graphique
• 1 jour / commune pour le contrôle
Existe-t-il des recommandations ou une norme pour ces
opérations ?
- Oui, la COVADIS* a d’ores et déjà adoptée un certain nombre de
géostandards, notamment ceux relatifs aux POS/PLU, aux cartes
communales (CC) et aux principales SUP
http://www.geomatique-aln.fr/ * COmmission interministérielle de VAlidation
des Données pour l’Information Spatialisée
La mise en œuvre (Comment ?)
1 – Acquisition (3)
Y a t-il des conséquences sur mon document
d’urbanisme en vigueur ?
- NON, la numérisation est un processus dont l’objectif est de
retranscrire le document à l’identique, il ne s’agit pas de corriger des
erreurs matérielles
- NON, la donnée numérique n’a pas de valeur juridique, en revanche
lors d’une procédure ultérieure, c’est cette base de données qui sera
éditée, imprimée puis « tamponnée ». Elle servira donc de socle pour
les procédures menées ultérieurement (sous réserve de l’exiger
auprès du prestataire mandaté)
Est-ce obligatoire ?
- OUI, au titre de la directive européenne INSPIRE dont l’objet est
d’établir une infrastructure d’information géographique dans l’Union
Européenne et qui s’applique notamment aux documents d’urbanisme
- OUI, au titre de l’ordonnance du 18 décembre 2013 qui découle de
cette directive, en imposant aux collectivités de transmettre à l’Etat
au 1er janvier 2016, les documents d’urbanisme selon le géostandard
en vigueur
La mise en œuvre (Comment ?)
2 – Gestion (1)
Gestion et entretien de l’information
- Une information obsolète n’a pas (peu) d’intérêt
Créer la donnée en un jour, faire la mise à jour pour toujours
- Définir le plus tôt possible dans le projet, les prémices d’une
organisation viable et pérenne permettant de satisfaire à cette
exigence de mise à jour
- Clé de la réussite du projet
Quelles sont les origines de l’évolution de la base de
données?
- Contenu : nouvelle procédure du document d’urbanisme
(modification, révision, révision simplifiée …)
- Contenant : évolution de la norme informatique COVADIS
- Référentiel de saisie : évolution géométrique du plan cadastral (suite
aux opérations de remaniement cadastral par exemple)
Avec quel(s) outil(s) ?
− Des logiciels identiques à ceux de l’acquisition (SIG bureautique)
La mise en œuvre (Comment ?)
2 – Gestion (2)
Evolution du contenu : les nouvelles procédures (interne)
Une organisation* qui s’appuie en interne autour de la direction de
l’aménagement (DA) pour les pièces écrites et du service d’information
géographique (SIG) pour les pièces graphiques
* Organisation possible eu égard aux compétences exercées par la collectivité et aux compétences techniques interne.
SIG
DA
1 Engagement d’un projet de procédure (modification, révision simplifiée) nécessitant
l’extraction du document en vigueur (règlement, zonage)
2 Préparation des documents projets (règlement, modification des données, calcul du
tableau des surfaces, etc…)
3 Préparation des documents pour l’enquête public (rapport de présentation, planche
avant/après modification du zonage)
4 Préparation des documents pour l’approbation de la procédure
5 Transmission du règlement approuvé au SIG
6 Mise à jour des données (zonage SIG + règlement) dans le géoportail lorsque le
document d’urbanisme est exécutoire et information (mailing) auprès de la commune
et des services communautaires
½ à 2 journées pour l’ensemble des opérations
La mise en œuvre (Comment ?)
2 – Gestion (3)
Evolution du contenu : les nouvelles procédures (externe)
En cas de révision sur l’ARC ou pour toutes procédures sur la CCBA,
l’organisation s’appuie sur une exigence de fourniture de l’information à
la norme COVADIS auprès du bureau d’études prestataire (BE).
SIG
BE
collectivité
1 Engament d’un appel d’offres / consultation pour la réalisation d’une procédure avec
une annexe au cahier des charges spécifique à la dématérialisation du document
d’urbanisme. Des compétences en géomatique sont exigées auprès des candidats.
2 Analyse des offres des prestataires et choix
3 Préparation et transmission au BE retenu d’un ensemble de données SIG sources
(cadastre, photo aérienne, carte IGN … ) et de la base de données socle du
document d’urbanisme (plan et règlement)
4 Réalisation de la procédure
(4’) Point éventuel BE/SIG pour contrôle intermédiaire des données
5 Contrôle des données graphiques produites (½ à 2 jours)
(5’) Reprises éventuelles des données par le prestataire puis contrôle
6 Mise à jour des données (zonage SIG + règlement) dans le géoportail lorsque le
document d’urbanisme est exécutoire et communication
La mise en œuvre (Comment ?)
2 – Gestion (4)
Evolution du contenant : géostandard COVADIS
- Le géostandard POS/PLU peut évoluer sous plusieurs leviers :
• Pour suivre les évolutions réglementaires
• Pour optimiser et faciliter la gestion
• Pour s’adapter aux usages réels
veille technique et réglementaire
A0 B1 C2 A0 C1 B2 D3
A ce jour, il n’existe pas d’outil prêt à l’emploi pour permettre de passer d’une
version à l’autre du géostandard POS/PLU. En revanche, l’examen des
différentes versions permet de réaliser les opérations informatiques
nécessaires (chaine de traitements).
UD UD
La mise en œuvre (Comment ?)
2 – Gestion (5)
Evolution du référentiel de saisie
En l’absence d’une grille de transformation permettant de convertir les
données POS/PLU de l’ancien fond cadastral vers le nouveau,
une adaptation de la donnée POS/PLU est à engager (processus
semi-manuel)
Diffuser l’information ?
- La Finalité du projet !
- Les modes de diffusion peuvent être divers et variés tant qu’ils sont
adaptés aux besoins des utilisateurs (facilité d’accès et ergonomie)
Que diffuse t-on et avec quelles précautions ?
- Le document d’urbanisme (plan de zonage lié au règlement de
chaque zone) sur un fond de plan adapté à l’échelle du 1/2000 (plan
cadastral ou fond type plan de ville)
- A ce jour, l’information numérique qui est diffusée n’a pas de valeur
juridique, il s’agit uniquement d’une facilité technique pour accéder à
l’information informer l’utilisateur
- Le succès et la plus value d’une diffusion élargie va de pair avec une
exigence sur la qualité du contenu l’organisation doit être adaptée
pour s’assurer d’une mise à jour
(rappel : une information obsolète n’a pas d’intérêt pour l’utilisateur)
La mise en œuvre (Comment ?)
3 – Diffusion (1)
Quel(s) logiciel(s) pour la diffusion ?
- Dans certains cas, un simple logiciel SIG bureautique peut suffire
pour faire un export du plan dans un format numérique courant (ex :
PDF)
- Pour une structure plus développée, une plateforme de diffusion
cartographique par internet (web-sig) est plus adaptée : Cf exemple de la plateforme web-sig du PNR Oise Pays de France
Là encore des solutions libres existent mais semblent moins probantes à
ce jour (ex : geoserver, qgis server + lizmap etc…).
Le coût d’une solution propriétaire est de ~10.000 à 15.000 €HT en
investissement et de ~2.500 €HT en fonctionnement.
Ces coûts correspondent uniquement à la mise à disposition de l’outil et
ne comprennent pas les coûts liés à l’administration du système.
Ex : le coût d’intégration par un prestataire d’un document d’urbanisme
est de l’ordre de 200 € / commune si celui-ci est conforme à la norme
COVADIS des POS/PLU.
- S’appuyer sur une plateforme de diffusion tierce (ex : EPCI, PNR,
agence d’urbanisme, GéoPicardie …) en communiquant les données
POS/PLU au format COVADIS. ex : http://ids.pigma.org/mapfishapp/?wmc=contexts/urbanisme_pigma.wmc
La mise en œuvre (Comment ?)
3 – Diffusion (2)
Faux problèmes et vraies difficultés
Faux problèmes et vraies difficultés
Surcoût pour le bureau d’études en urbanisme ?
Ca coûte plus cher !
- NON, la réalisation du plan de zonage est déjà incluse dans la
prestation. Mieux, à terme, pour une nouvelle procédure, le
prestataire réutilisera le plan de zonage SIG pour l’adapter. Il y
passera donc nettement moins de temps source d’économie
- NON, le prestataire va disposer d’une banque de données
cartographiques riche que la collectivité va pouvoir mobiliser
gratuitement auprès de l’IGN ou de GéoPicardie, y compris le plan
cadastral.
Mon prestataire n’est pas équipé et ne sait pas faire !
- NON, comme évoqué précédemment, des solutions SIG libres
bureautiques sont très performantes et permettent donc au bureau
d’études de s’équiper gratuitement.
- OUI, le changement de mode de représentation (cao sig) induit de
nouvelles compétences (géomatique). Un constat, dans d’autres
régions, des initiatives ont déjà été engagées depuis longtemps sur le
sujet et l’appropriation par les BE est effective (ex : Pays de la Loire,
Bretagne …) une adaptation à l’évolution des techniques
Faux problèmes et vraies difficultés
Limite communale
Quelle est la limite de la commune #?!$
- Il n’existe pas de délimitation cartographique officielle des communes
- Il existe plusieurs données cartographiques des communes pour une
même gamme d’échelle …
- Compte tenu de l’échelle d’un document d’urbanisme (1/2000), il faut
utiliser la donnée de référence la plus fine, en l’occurrence, celle
issue du Plan Cadastral Informatisé (PCI vecteur) ou celle de l’IGN
qui en est un dérivé (produit BDParcellaire®). Un constat, ne pas
utiliser les limites communales de la BDTOPO® IGN car bien que le
produit soit indiqué de précision métrique, les limites communales
sont généralisées ou reprises (semble t-il) de la carte 1/25.000 IGN
Faux problèmes et vraies difficultés
Documents sources, valeur juridique du numérique et rôles entre acteurs
Documents d’urbanisme sources
- Recueil documentaire : Pour les documents d’urbanisme anciens
et/ou comportant de multiples procédures de modifications, la phase
de recueil documentaire peut s’avérer délicate.
- Qualité des documents : Pour les documents papiers anciens et/ou
manipulés fréquemment, la lisibilité des documents sources peut être
altérée.
Absence de caractère juridique de la donnée numérique
Peut être considéré comme un facteur limitant pour la diffusion
L’organisation des responsabilités entre acteurs publics
- Règle qui prévaut est le principe de subsidiarité*. Il convient
d’identifier la(les) structure(s) porteuse(s) et responsable(s) pour
chaque étape du projet (acquisition / gestion / diffusion).
Ex : POS de la commune de Venette numérisé 2 fois … (par l’ARC et la DDT)
La création d’un groupe de travail spécifique à l’urbanisme au sein du
partenariat de GéoPicardie permettra une maturation de cette
approche * Le principe de subsidiarité vise à privilégier le niveau inférieur d'un pouvoir de décision aussi
longtemps que le niveau supérieur ne peut pas agir de manière plus efficace
Conclusion et recommandations
Conclusion et recommandations
Conclusion sur le projet de dématérialisation des documents d’urbanisme
Acquisition 1
Gestion 2
Diffusion 3
Un préalable mais pas une fin en soit
Clé de voûte de la pérennisation
de la démarche
La finalité du projet
Un projet qui s’inscrit dans une double démarche :
- ascendante avec la recherche d’une efficacité accrue de l’organisation du
service public de la collectivité
- descendante du point de vue de l’obligation de partage de données géo-
numériques entre acteurs publics (directive INSPIRE) et de l’accès gratuit aux
données numériques des organismes publics pour le citoyen (démarche
OpenData)
Conclusion et recommandations
Bilan du projet de l’ARC
Bilan sur le projet achevé fin 2009 pour l’ARC
- Retour très positif sur le projet. Le géoportail communautaire des
documents d’urbanisme est devenu la référence pour
l’intercommunalité et ses communes membres. L’usage est quotidien
pour le service qui réalise l’instruction du droit des sols.
- Les objectifs d’une information à jour sont tenus (définition d’une
organisation pour la gestion des données)
Besoins émergents a postériori et couverts
− Dématérialisation de la ZPPAUP (6000 bâtiments) sur la commune de
Compiègne en 2010
− Intégration partielle de SUP (PPRi Compiègne – Pont-Ste-Maxence)
Besoins émergents a posteriori et restants à couvrir
- Forte attente d’un programme de généralisation de la
dématérialisation des SUP.
- Développement en interne de la base de données pour faciliter une
instruction semi-automatisée (interactions géographiques entre les
parcelles, les zonages, les prescriptions et les SUP).
Identifier et définir ses besoins (satisfaire à minima aux exigences
réglementaires et définir ses besoins complémentaires)
Examiner et définir pour chaque étape du projet (acquisition /
gestion / diffusion) les modalités de mise en œuvre (interne,
externe, mixte) et les moyens afférents (outils, humains,
budgétaire)
Ne pas omettre et/ou sous-estimer le contrôle des données
produites par un tiers !!!
Exiger la fourniture des pièces écrites dans un fichier informatique
éditable (gage de réemploi pour une procédure ultérieure)
Faire un recueil et une synthèse des documents d’urbanisme
Conclusion et recommandations
Conseils
Conclusion et recommandations
Ressources documentaires
Généralités SIG et urbanisme
• http://georezo.net/blog/sigurba/
Obligations réglementaires spécifiques sur la dématérialisation des
POS/PLU + Norme COVADIS
• http://www.territoires.gouv.fr/IMG/pdf/131218_ordonnance_
geoportail.pdf
• http://www.geomatique-aln.fr/
Directive INSPIRE
• http://georezo.net/blog/inspire/files/2011/12/La_directive_Inspire_po
ur_les_neophytes_V3.pdf
Accès aux données du RGE® (Référentiel Grande Echelle) de l’IGN
• http://professionnels.ign.fr/rge
• http://professionnels.ign.fr/services-publics
Logiciel SIG libre
• http://www.qgis.org
Présentation du 11/02/2014
Florent Vanhoutte – Service Information Géographique
En vous remerciant de
votre attention