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06 NUMERO MAI 2011 Départements Gestion Économie politique Économie quantitative Informatique Communication et médias L e 25 mars dernier, le centre de recherche sur la compétitivité de la faculté des sciences économiques et sociales de l’Université de Fribourg a eu le privilège de co-organiser avec le Pôle scientifique et technologique du canton une conférence internationale sur le thème des clusters et de la compétitivité. Plus de 300 participants de plus de 20 pays du monde académique, politique, institutionnel ainsi que de l’économie privée ont pris part à la manifestation. Depuis maintenant quelques années, et le rapport sur l’évaluation de la compétitivité du canton de Fribourg par le centre de recherche sur la compétitivité, les clusters et le développement des avantages compétitifs du canton sont devenus un élément central de la politique économique fribourgeoise. Dès 2009, et sous l’égide du Pôle scientifique et technologique, quatre réseaux thématiques basés sur les forces du canton de Fribourg ont vu le jour: le réseau plasturgie, le réseau énergie et bâtiment, le réseau nanotechnologies et la IT Valley. Ce dynamisme dans l’activation de clusters, dont les bases théoriques ont été posées par le Centre de recherche sur la compétitivité, a été salué par le Prof. Michael Porter de la Harvard Business School, éminent spécialiste mondial en la matière. L’objectif de cette conférence intitulée « Cluster as Drivers of Regional Competitiveness : Strategic and Regional Policy » était d’explorer le rôle des clusters comme moteurs de la compétitivité des entreprises, des régions et des pays à travers les expériences concrètes des principaux spécialistes mondiaux du milieu académique, des « managers » de clusters ayant fait leurs preuves dans diverses régions européennes ainsi que des représentants du monde politique en charge de la promotion économique régionale. Parmi les principaux orateurs, les organisateurs ont eu l’honneur d’accueillir le Prof. Christian Ketels de l’Institute for Strategy and Competitiveness de la Harvard Business School et bras droit du Prof. Michael Porter, le Prof. Örjan Sölvell, directeur du Center for Strategy and Competitiveness de la Stockholm School of Economics, l’Ambassadeur Eric Scheidegger, chef de la promotion économique du SECO ou Beat Vonlanthen, conseiller d’Etat du canton de Fribourg en charge de l’économie et de l’emploi. De plus amples informations sur la manifestation ainsi que les présentations des orateurs sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.pst-fr.ch/cluster2011. ses news saes Conférence internationale sur les clusters à la Faculté des sciences économiques et sociales Ambassadeur Eric Scheidegger, chef de la promotion économique du SECO Beat Vonlanthen, Conseiller d’Etat du canton de Fribourg Prof. Dr Christian Ketels, Institute for Strategy and Competitiveness, Harvard Business School, Cambridge, MA, USA.

Ses news saes, N°-6, mai 2011

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Newsletter ses news saes, N° 6, de la faculté des sciences économiques et sociales de l'université de Fribourg

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06N U M E R O

M A I 2 0 1 1

DépartementsGestion

Économie pol it ique

Économie quantitat ive

Informatique

Communication et médias

Le 25 mars dernier, le centre de recherche sur la compétitivité de la

faculté des sciences économiques et sociales de l’Université de Fribourg a eu le privilège de co-organiser avec le Pôle scientifique et technologique du canton une conférence internationale sur le thème des clusters et de la compétitivité. Plus de 300 participants de plus de 20 pays du monde académique, politique, institutionnel ainsi que de l’économie privée ont pris part à la manifestation.

Depuis maintenant quelques années, et le rapport sur l’évaluation de la compétitivité du canton de Fribourg par le centre de recherche sur la compétitivité, les clusters et le développement des avantages compétitifs du canton sont devenus un élément central de la politique économique fribourgeoise. Dès 2009, et sous l’égide du Pôle scientifique et technologique, quatre réseaux thématiques basés sur les forces du canton de Fribourg ont vu le jour: le réseau plasturgie, le réseau énergie et bâtiment, le réseau nanotechnologies et la IT Valley. Ce dynamisme dans l’activation de clusters, dont les bases théoriques ont été posées par le Centre de recherche sur la compétitivité, a été salué par le Prof. Michael Porter de la Harvard Business School, éminent spécialiste mondial en la matière.

L’objectif de cette conférence intitulée « Cluster as Drivers of Regional Competitiveness : Strategic and Regional Policy » était d’explorer le rôle des clusters comme moteurs de la compétitivité des entreprises, des régions et des pays à travers les expériences concrètes des principaux spécialistes mondiaux du milieu académique, des « managers » de clusters ayant fait leurs preuves dans diverses régions européennes ainsi que des représentants du monde politique en charge de la promotion économique régionale.

Parmi les principaux orateurs, les organisateurs ont eu l’honneur d’accueillir le Prof. Christian Ketels de l’Institute for Strategy and Competitiveness de la Harvard Business School et bras droit du Prof. Michael Porter, le Prof. Örjan Sölvell, directeur du Center for Strategy and Competitiveness de la Stockholm School of Economics, l’Ambassadeur Eric Scheidegger, chef de la promotion économique du SECO ou Beat Vonlanthen, conseiller d’Etat du canton de Fribourg en charge de l’économie et de l’emploi.

De plus amples informations sur la manifestation ainsi que les présentations des orateurs sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.pst-fr.ch/cluster2011.

ses news saes

Conférence internationale sur les clusters à la Faculté des sciences économiques et sociales

Ambassadeur Eric Scheidegger, chef de la promotion économique du SECO

Beat Vonlanthen, Conseiller d’Etat du canton de Fribourg

Prof. Dr Christian Ketels, Institute for Strategy and Competitiveness, Harvard Business School, Cambridge, MA, USA.

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ses news saes, numéro 06, mai 20112

HIGHLIGHTS

Audit et Fiscalité : des métiers pour les écono-mistes et les juristesAfin de créer des liens entre l’économie privée et les futurs diplômés, la Faculté a organisé le mercredi 30 mars à l’Université de Fribourg, une présentation des métiers liés aux domaines de l’audit et de la fisca-lité en collaboration avec l’entreprise Ernst & Young. A cette occasion, Mme Cristina Pydde du décanat de la faculté s’est entretenue avec deux collaborateurs d’Ernst & Young, ainsi qu’avec des étudiants de la Faculté ayant participé à cet évènement.

Interview avec Messieurs Adrian Adank et Todor Zarkov, Ernst & Young

C. Pydde : Quelles sont les raisons qui vous ont amené à choisir le domaine pro-fessionnel de l’Audit ?T. Zarkov : J’ai suivi un cours d’audit chez M. Nösberger durant mes études, le domaine m’a beaucoup intéressé car il offre diverses opportunités pour mieux connaître des entreprises actives dans différents secteurs industriels et com-merciaux. Cela me permet également de comprendre les structures et les processus divers liés à l’entreprise. De plus, je suis constamment en contact avec les clients ce qui m’apporte énormément sur le plan de la communication professionnelle.A. Adank : Je souhaitais travailler dans l’Audit car c’est un domaine qui m’inté-resse. En dernière année d’études, j’ai postulé auprès des 4 principales firmes établies dans ce domaine, il était impor-tant pour moi d’avoir immédiatement des expériences pratiques après la formation théorique acquise à l’Université. Dans ma fonction actuelle, je côtoie chaque semaine une nouvelle entreprise avec une structure totalement différente. En plus, je rencontre de nouvelles per-sonnes et je travaille en collaboration avec le team, cela me permet aussi de rester au Top niveau des connaissances, grâce au background des spécialistes, ainsi que des clients avec qui je collabore. Cela m’offre également l’opportunité de créer un vaste réseau professionnel.C. Pydde : Avez-vous trouvé facilement un premier emploi au terme de vos études ? A. Adank : Oui, nous avons étés engagés tout de suite après l’obtention du Bachelor.C. Pydde : Quel genre de diplômés l’entre-

Les diplômés SES sur le marché de l’emploi

prise Ernst & Young recrute-elle? A. Adank : nous engageons des diplômés en gestion d’entreprise de l’Université ain-si que de la Haute école de gestion.Quelle proportion les diplômés universi-taires représentent t-ils ? T. Zarkov : cela dépendra des profils des candidats et des besoins de notre entre-prise.A. Adank : cela varie. Dans ma volée, par exemple, nous étions 3 diplômés universi-taires sur 12 personnes engagées.

Parcours :Todor Zarkov a obtenu son Bache-lor en gestion d’entreprise en 2008 à la Faculté des Sciences écono-miques et sociales de l’Université de Fribourg. Il termine actuellement son Mas-ter of Accounting and Finance à la Fa-culté SES. En paral-lèle, il travaille de-puis 2 ans et demi chez Ernst & Young à Berne, dans le do-maine de l’Audit en tant que réviseur assistant.Adrian Adank a ob-tenu son Bachelor en gestion d’en-treprise en 2008 à la Faculté SES de l’Université de Fri-bourg. Au terme de ses études, il a aussi-tôt rejoint Ernst & Young comme assistant réviseur et assume déjà la fonction de ré-viseur senior dans le domaine de l’Audit, il s’occupe également de la formation des apprentis. Tous les deux, en parallèle à leur activité professionnelle, suivent la formation d’ex-pert-comptable, en vue de l’obtention du diplôme fédéral.

Entretien avec 2 étudiantes, l’une en 3e an-née BA en gestion d’entreprise et l’autre en « Préalable » au MA en économie politique.

C. Pydde : Pour quelle raison participez-vous à un tel évènement ? Participante BA : je termine cet été mes études de Bachelor en management et je suis particulièrement intéressée par le do-maine de l’Audit. Je souhaite mieux dé-couvrir les métiers de ce domaine et j’ai-merais connaître concrètement quels sont

les objectifs, les possibilités d’évolution et les ouvertures professionnelles dans ce domaine.Participante MA : je ne connais pas du tout ce domaine et j’aimerais obtenir des infor-mations précises concernant ces métiers.C. Pydde : Avez-vous déjà une idée par rapport à votre avenir professionnel?Participante BA : j’ai déjà eu l’occasion de faire des stages, pour définir quelque peu mon domaine futur d’activité profes-sionnelle. Je souhaite travailler dans le domaine de la finance, et cette manifes-tation représente une occasion de mieux connaître les entreprises et de mieux cibler les postes qui m’intéressent.Participante MA : je ne sais pas encore, je souhaite travailler dans le secteur public, par exemple pour des agences de déve-loppement mais un travail dans le secteur privé est aussi envisageable.C. Pydde : Avez-vous déjà commencé des démarches concrètes pour trouver un job? Participante BA : j’ai envoyé quelques pos-tulations, je sais que plusieurs entreprises recrutent à cette époque de l’année. Je n’ai pas fait d’autres recherches actives

car je rédige actuel-lement mon travail de diplôme. Participante MA : non, je souhaite poursuivre mes études de Master en économie poli-tique.C. Pydde : Avez-vous suivi des stages et/ou avez-vous effectué un séjour à l’étranger durant vos études? Participante BA :

j’ai fait un stage dans les ressources hu-maines et j’ai effectué un autre stage dans une entreprise internationale à Sydney. Ça a été une belle opportunité car j’ai pu ainsi découvrir le monde du travail dans une grande compagnie, j’ai un peu connu le système de fonctionnement et d’organisa-tion. Un stage dans une grande entreprise valide certaines capacités, par exemple, mon futur employeur sait que je serai ca-pable de m’adapter au fonctionnement d’une équipe de travail étant donné que je l’ai déjà fait par le passé. De plus, toutes les compétences que j’ai développées du-rant mes stages me permettent d’offrir une palette de compétences plus large à mon futur employeur.Participante MA : j’ai effectué un stage à l’ambassade de Colombie à Berne, qui s’est très bien déroulé. C. Pydde : Merci à tous pour votre partici-pation à cet entretien.

Pour la seconde année consécutive, la Faculté a lancé une enquête auprès de ses diplômés de la promotion 2010 afin de connaître leur situation professionnelle. Les réponses reçues (27%), nous permettent de constater les tendances suivantes :• 90 % de diplômés BA poursuivent leurs études de master • 72 % de diplômés MA travaillent (dont 83% dans le privé et 17% dans les institutions) et les 28 % restants poursuivent des études de doctorat ou commencent un nouveau master, ce qui globalement confirme les tendances constatées lors de la première enquête réalisée l’année précédente.

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Weiterbildungstag am 22. März

C. Pydde: Was hat Sie dazu bewegt, an dieser Veranstaltung teilzunehmen?A. Teilnehmerin: Ich finde es wichtig, dass die Lehrpersonen an den Gymnasien einen regelmässigen Kontakt mit den Universi-tätsprofessoren pflegen. Einerseits weil wir uns an Spezialisten wenden, die uns bei allfälligen Fragen direkt weiterhelfen können und andererseits, um unsere Fach-kenntnisse aufzufrischen.B. Teilnehmerin: Endlich einmal eine fachli-che Weiterbildung mit Hand und Fuss! (und nicht die ständigen Wiederholungen wie: Se l b s t ges t eue r t e s Lernen, Lernformen, Methoden etc. ohne Inhalte).C. Pydde: Was haben sie von dieser Veran-staltung mitgenom-men?A. Teilnehmerin: Die praktischen Fälle wa-ren in den Präsentat-ionen und Workshops besonders interessant und lehrreich.B. Teilnehmerin: Tol-le fachliche Inputs, die anregen diese auf Mittelschulstufe vielfältig in diversen Formen anzuwenden.

Zudem die Bestätigung, bei der „einfachen

Ökonomie“ zu bleiben und die „High-Tech-Ökonomie“ (wie das gewisse Professoren nennen) der Universität zu überlassen. Der Austausch am Workshop regte an, ver-schiedene Argumente, pro und kontra, der behandelten Themen zu sammeln.C. Pydde: Sind die erhaltenen Informatio-Sind die erhaltenen Informatio-nen für ihre Lehrpraxis „benutzbar“?A. Teilnehmerin: Ja, auf alle Fälle. Die Schüler sind dankbar, wenn man neue in-teressante Beispiele zur Veranschaulichung der Theorie bringen kann.B. Teilnehmerin: Selbstverständlich! Es waren praxisnahe Beispiele die sowohl Er-wachsene wie auch Jugendliche interessie-ren.

C. Pydde: Denken Sie, dass solche Ver-Denken Sie, dass solche Ver-anstaltungen, welche von der Universität organisiert werden, diese Institution und die Gymnasien zusammenbringen können und so den Studierenden vom Nutzen sein können?A. Teilnehmerin: Ja, ich finde sogar, dass Sie für die Lehrpersonen der Gymnasien obligatorisch sein sollten. Jedenfalls für die Lehrpersonen vom Kanton FR wenn es von der Universität Freiburg organisiert wird. Die Mehrheit unserer Schüler wird nach der Matura an einer Hochschule weiterstu-

dieren, demnach ist es für die zukünftigen Studierenden von grossem Nutzen wenn wir einen regelmässigen Austausch mit den Universitätsprofessoren pflegen können.B. Teilnehmerin: Auf jeden Fall. Damit holt sich die Universität übrigens auch viel Sympathie. Sie kommt auf die Mittelschu-le zu, toll! Damit werden bestimmt auch einige Lehrpersonen positiv über Fribourg sprechen, wenn Sie Schülerfragen bezüg-lich Uniwahl beantworten müssen.

Journée francophone du 15 mars

C. Pydde : Quelle a été votre motivation à participer à une telle journée ?Participante : j’ai participé à la première journée organisée par l'Université de Fri-bourg l'année passée et j'ai été enchantée

par l'organisation et la qualité des présen-tations. C'est donc dans l'espoir de retrou-ver cette excellente qualité que je me suis inscrite à nouveau à cette journée de for-mation continue. Et je ne le regrette pas du tout ! J'étais prête et je le suis encore à m'inscrire quel que soit le programme prévu.C. Pydde : Qu’avez-vous retiré de cette formation continue (conférences et works-hops) ?Participante : certaines conférences per-mettent la mise à jour des informations et d'autres l'ouverture à de nouveaux concepts ou à des situations inconnues. Les workshops permettent d'aborder des aspects plus pratiques et concrets mais également de confronter les opinions avec les professeurs présents. Cette formation était donc très enrichissante à beaucoup de points de vue. C'est également un besoin vital pour moi d'acquérir des nouvelles no-tions, d'être au courant des modifications dans le domaine du droit, de me confronter à d'autres idées,... Les enseignants sont

le plus souvent dans le "donner" et il faut parfois remettre du "carburant" dans la machine pour qu'elle puisse continuer à fonctionner avec en-train et motivation.C. Pydde : Les infor-mations reçues sont-elles « utilisables » dans votre pratique d’enseignement ?Participante : je peux dire qu'elles sont utiles et transpo-sables mais pas telles quelles. Il s'agit plu-tôt de connaissances que l'on peut ajouter à notre enseignement et donc améliorer notre apport auprès de nos

étudiants. C'est le prolongement de notre enseignement mais pas notre enseigne-ment lui-même qui est influencé.C. Pydde : Pensez-vous que ce genre d’évè-nements organisé par l’Université permet de rapprocher celle-ci et les gymnases, et être profitable à vos étudiants ?Participante : oui, tout à fait. On peut donner des renseignements sur l'Université de Fribourg à nos étudiants par exemple. Également, les contacts établis sur place sont aussi "porteurs". J'ai par ailleurs un exemple très concret de rencontre avec le Prof Rossi qui a ensuite été contacté par une de mes élèves. En effet, je suis sa ré-pondante pour son travail de maturité et elle a prochainement un rendez-vous avec M. Rossi pour le questionner sur son sujet (l'or : valeur refuge ou spéculative ?).

Formation continue à l’intention des enseignants en économie et droit des gymnases de Suisse romande et Suisse alémanique

Pour cette seconde édition de formation continue, la Faculté des Sciences écono-miques et sociales a non seulement associé la Faculté de droit en proposant des thèmes spécifiques à leur domaine, mais elle a aussi organisé une journée en langue allemande destinée aux enseignants du secondaire II de langue allemande. Après ces 2 années de formation continue, la Faculté a souhaité dresser un bilan inter-médiaire, ainsi Mme Cristina Pydde a demandé à quelques participants à ces journées de faire partager leurs expériences au plus grand nombre.

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ses news saes, numéro 06, mai 20114

HIGHLIGHTS

Prof. Gugler Vice-Chairman de l’European International Business Academy

Le Professeur Philippe Gugler a été élu

en qualité de Vice-Chairman de l’Eu-

ropean International Business Academy

(EIBA) lors de son assemblée générale qui

s’est tenue à Porto (Portugal) le 11 dé-

cembre 2010.

Cette Académie rassemble des membres

des milieux académiques et professionnels

intéressés aux questions liées aux entre-

prises multinationales. L’objectif de l’EIBA

est celui de constituer un réseau d’échange

d’informations dans le domaine «Interna-

tional Business». L’EIBA compte plus de

400 membres provenant de 40 pays diffé-

rents répartis sur les cinq continents.

Portrait du Professeur Jean-Jacques Friboulet, nouveau Doyen de la Faculté des SES dès cet été 2011

Jean-Jacques Friboulet est natif de Bourgogne. Il a fait ses

études de licence à Dijon où il a obtenu une première thèse

en économie de l’éducation. Sa thèse d’habilitation a porté sur

le Traité de la Monnaie de J.M.Keynes. Il a été nommé maître de

conférences en 1984. Depuis 1989, il est professeur ordinaire

dans notre université où il a pris la succession de J.M.Valarché.

Outre l’histoire de la pensée économique qui est son domaine de

spécialisation, M. Friboulet s’est intéressé dès le début des an-

nées 90 aux questions d’économie du développement et d’éthique

sociale. Il est devenu amoureux de l’Afrique à la suite des missions qu’il y a réalisées.

Et ses travaux l’ont conduit à considérer l’économie comme une science morale se-

lon la grande tradition de l’économie classique anglaise. Il est devenu directeur de

l’Institut interdisciplinaire d’éthique et des droits de l’homme de notre université en

2003. Dans ce cadre et en collaboration avec son département il a mis sur pied un

master minor en éthique et économie politique. Il a par ailleurs dirigé le département

d’économie politique en 2001-2002 et est membre du comité de rédaction de plu-

sieurs revues.

Installé à Neyruz depuis 1990 , il y exerce son hobby préféré, le chant choral, depuis

1993 avec ses amis de la Chanson du Moulin. Il est marié avec Margot depuis 41 ans

et est père de deux enfants. Il considère avec humour que la vie de couple et l’édu-

cation des enfants sont une tâche plus difficile que celle de professeur d’université.

La Harvard Business School honore le professeur Philippe Gulger d’une distinction

Philippe Gugler a reçu une distinction de

la Harvard Business School le 14 dé-

cembre dernier. Il a été intronisé au « Hall

of fame » de l’Institute for Strategy and

Competitiveness de la Harvard Business

School pour sa contribution exceptionnelle

dans le domaine de la compétitivité.

Philippe Gugler vice-recteur de l’Université de Fribourg

Depuis le 15 mars

2011, le profes-

seur d’économie poli-

tique, Philippe

Gugler occupe la fonc-

tion de vice-recteur

de l’Université de Fri-

bourg. Au Rectorat, il

est responsable des re-

lations internationales et des programmes

de mobilité, ainsi que des relations avec

le monde économique et les organisations

d’anciens étudiants.

Philippe Gugler est titulaire de la Chaire de

politique économique et sociale et direc-

teur du Centre de recherche sur la com-

pétitivité.

Nomination du Professeur Bernard Dafflon au Conseil scientifique du GRALE (Groupement de Recherche sur l’Administration Locale en Europe)

Le 1er décembre 2010, Professeur Bernard Dafflon a été nom-

mé membre du Conseil scientifique du GRALE pour la période

2011-2014 (2ème mandat de 4 ans).

Le GRALE (Groupement de Recherche sur l’Administration Locale

en Europe) est un groupement d’intérêt scientifique (GIS), qui

demeure rattaché au CNRS, mais qui est fondé sur un contrat de

quatre ans, renouvelable, associant au CNRS des institutions ou

entreprises :

• Le Secrétariat général du comité interministériel des villes ;

• Le Ministère de l’Intérieur ;

• L’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne ;

• L’université de Lille-II Droit et Santé ;

• L’université de Reims Champagne-Ardennes ;

• L’Institut d’Etudes politiques d’Aix en Provence ;

Le Conseil scientifique est composé de douze membres ; il est chargé de préparer

les programmes scientifiques, les modalités de leur mise en oeuvre et d’examiner

les propositions ; ses membres sont désignés par le Conseil d’Orientation parmi les

professeurs et les chercheurs des équipes du réseau , après avis du Comité National

de la Recherche scientifique.

Depuis 1978, le GRALE joue un rôle structurant dans les recherches sur le local en

France. Au fil des ans, ses activités ont évolué, notamment dans le sens d’une inter-

nationalisation de ses activités.

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Petra Heumesser übernimmt die Leitung der Executive Programme

Die Geschäftslei-

tung des inter-

national institute of

management in tech-

nology (iimt) erhält

ein neues Gesicht:

Petra Heumesser,

bisher Kurskoordina-

torin sowie Marke-

ting & PR Assisten-

tin am iimt, übernimmt ab 1. Januar 2011

die Leitung der Executive Programme.

Petra Heumesser ist seit September 2009

am iimt in Fribourg tätig. Ihren beruflichen

Werdegang am Institut begann Sie mit ei-

ner 50% Stelle, verantwortlich für die Ko-

ordination und Organisation der Kurse im

Executive Bereich. Im Januar 2010 hat sie

ihr Arbeitspensum aufgestockt und weitere

50% in der Marketing & PR Abteilung des

iimt übernommen. Anfang 2011 wird Petra

Heumesser ihre neue Funktion als „Head

of Executive Programmes“ antreten und

für die gesamte Organisation, Realisation

sowie das Qualitätsmanagement der Exe-

cutive MBA, Diploma und CAS Kurse ver-

antwortlich sein.

Prof. Reiner Wolff erhält FEP Best Paper Award 2009 & 2010

Prof. Reiner Wolff hat den Finnish Eco-

nomic Papers Best Paper Award 2009

& 2010 der Finnish Economic Association

erhalten, gemeinsam mit seinem Koautor

Prof. Dr. Andreas Pfingsten von der Uni-

versität Münster.

Der Preis wurde für deren Arbeit : „Factor

Supply Changes in Small Open Economies:

Rybczynski Derivatives under Increasing

Marginal Costs,“ Finnish Economic Papers,

Vol. 22 (2009), No. 1, pp. 9-20, anläss-

lich der Jahrestagung 2011 (3.-4. Februar

2011) der Finnish Economic Association im

finnischen Oulu in Gegenwart beider Preis-

träger verliehen.

Europatag 2011: Europä-ische Herausforderungen im FokusDie Osterweiterung der Europäischen Union sowie die Zukunft des Euro standen im Fokus zweier Veranstaltungen des Euro-patages 2011. Das Zentrum für Europastu-dien koordinierte einen Festvortrag durch den ehem. Vizepräsidenten der Europäis-chen Kommission, Günter Verheugen. Die Wirtschafts- und Sozialwissenschaftliche Fakultät widmete sich anlässlich des Eu-ropatages 2011 dem Thema der Europä-

ischen Währungsunion.

Am Abend des 4. Mai 2011 hielt Gün-ter Verheugen, ehem. Vizepräsident

der Europäischen Kommission, einen span-nenden und tiefgehenden Vortrag zum Thema „Chancen, Herausforderungen und Grenzen der Er-weiterung der Eu-ropäischen Union“. Verheugen wurde 1999 Mitglied der Europäischen Kom-mission, wo er für die Erweiterung und für die europäische Nachbarschaftspo-litik verantwortlich zeichnete. In seiner zweiten Amtszeit in der Kommission, zwischen 2004 und 2010, war er Vize-präsident und zu-ständiger Kommis-sar für Unternehmen und Industriepolitik. Damit hat Günter Verheugen nicht nur die Europapolitik ins-gesamt über viele Jahre massgeblich mit- geprägt, sondern er war auch zu einem Zeitpunkt für die Erweiterungspolitik zu-ständig, als diese im Wesentlichen gestal-tet und entschieden wurde.

Die EU-Erweiterung ist sicherlich eines der wichtigsten politischen, wirtschafts-politischen und gesellschaftspolitischen Themen der letzten Jahrzehnte. Besonde-re Aktualität erhielt der Vortrag von Gün-ter Verheugen aber dadurch, dass in der Woche des Europatages nicht nur in den Nachbarländern Deutschland und Öster-reich Übergangsregelungen für die Arbeit-nehmerfreizügigkeit des Jahres 2004 aus-

gelaufen sind, sondern dass zum gleichen Datum auch die Übergangsfrist im Freizü-gigkeitsabkommen Schweiz-EU für diese Staaten ablief. Daher stand das Thema stark in der öffentlichen Diskussion.Verheugen verlor sich nicht in kurzfristi-gen Betrachtungen der Entwicklungen der letzten Tage, sondern er zeigte die histo-rische Perspektive auf, die vom Zweiten Weltkrieg über den Kalten Krieg bis hin zu den jüngsten Erweiterungen reicht. Dabei betonte er, dass die EU-Erweiterung (nicht erst in den letzten Jahren sondern seit den Römischen Verträgen 1957) eine Erfolgs-geschichte ist und die gewachsene EU auf andere Länder offensichtlich so attraktiv wirkt, dass sich stets weitere Staaten die-ser Gemeinschaft anschliessen wollten. Die Erweiterung diskutierte er dabei weni-ger unter wirtschaftspolitischen Gesichts-punkten als eher aus einer moralisch-ethi-

schen Perspektive.

Die Zukunft des Euro

Am Nachmittag des gleichen Tages or-ganisierte die Wirt-schafts- und Sozi-alwissenschaftliche Fakultät einen Vor-trag zur Euro-Krise. Auf Einladung von Prof. Thierry Madiès und in Zusammenar-beit mit Prof. Sergio Rossi konnte der französische Experte Prof.Jérome Creel ge-wonnen werden, um zum Thema „Quel avenir pour la zone euro après la crise ?“ zu sprechen und

mit den Teilnehmern der Veranstaltung zu

diskutieren. Creel, Directeur adjoint du Département des Etudes à l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (OFCE – Sciences-Po) und Präsident des Departements für Volkswirtschaftslehre an der ESCP Europe in Paris, beleuchtete die Ursachen der Krise. Auf der Basis ei-Auf der Basis ei-gener Zahlen seines Instituts zeigte er die detaillierten Entwicklungen seit Ausbruch der Krise auf. Die früheren Regeln, so des Stabilitätspakts, sowie die Entscheidun-gen der letzten Monate beurteilte er insge-samt als zu rigide, um auf die heterogenen Bedürfnissen der unterschiedlichen Volks-wirtschaften der Eurozone entsprechend reagieren zu können.

Günter Verheugen, ehem. Vizeprä-sident der Europäischen Kommission

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ses news saes, numéro 06, mai 20116

Paul Fries, former chairmen of SeaKing

and president of the foundation of the

alumni of the SES faculty, visited the uni-

versity in April 2011 and gave a speech

for the students in the Mas-

ter in European Business in

which he explained the busi-

ness and the international

strategy of SeaKing.

SeaKing is the world market

leader for functional cater-

ing systems for cruise lin-

ers and other premium class

passenger vessels. SeaKing

supports customers through

ships’ life-cycle with basic

design, consulting, delivery,

training, maintenance and

upgrading of catering sys-

tems.

The company serves as an

excellent example of the in-

creasing cross-border coop-

eration within companies and

with customers. It can indeed

be called a multinational network in itself.

SeaKing International, located in Fribourg,

is a privately owned holding company for

the SeaKing group of companies. Fribourg

is also the domicile of the trading company

which is responsible for marketing, sales,

contracting, financing and other activities.

The Advisory Board of CAR has recently been established. The members are Robert Göx, Helmut Kersch-

baumer, and Caren Sureth. The objective of the Board is to advise on the scientific and strategic positioning

of the Center.

The Center for Accounting Research’s main objectives are to contribute to the development of accounting

theory and to accounting practice, such as influencing accounting regulation and the application of management

accounting instruments. CAR specializes on quantitative economic research methods, in particular analytical and

empirical research.

Professor Robert F. Göx holds the Chair of Managerial Accounting at the University of Fribourg since 2001. He

also acted as visiting professor at the Universities of Graz, Vienna, and Lausanne. Robert Göx has published

numerous articles in leading scholarly journals in the U.S. and in Europe. He acts as editorial board member and reviewer for leading

international accounting journals. Between 2005 and 2008 he was a member of the Standing Scientific Committee of the annual

congress of the European Accounting Association. Since 2000 he is a co-organizer and chairman of the international “Accounting

Research Workshop”.

Many of the engineering activities are car-

ried out in the office in Helsinki. This sub-

sidiary is a Finnish engineering company

which is responsible for study, project

management, procurement support, after

sales service and product development.

Obviously, the experience in the interna-

tional maritime market and the availability

of engineers in this specific field is higher

in Finland than in Switzerland.

Tailor-made stainless steel equipment

(e.g. hot counters and kitchen furniture)

is produced in a wholly-owned production

facility in Poland where the major part of

the company’s employees are located.

To be close to its custom-

ers, SeaKing has offices in

Bremen/Germany, Trignac/

France and Trieste/Italy.

These offices are responsi-

ble for the coordination of

projects in the local ship-

yards, including the instal-

lation of the equipment. A

further office is located in

Florida. It is responsible for

equipment replacements, re-

fit and repair projects in the

USA.

To keep the activities in

such an international net-

work of companies aligned

to the corporate strategy, a

clear company vision is re-

quired. Paul Fries explained

other key elements of the

successful management of the company,

including different controlling instruments.

Overall, the presentation provided the stu-

dents with valuable insights into the suc-

cess factors of international management

in an industry that is not well-known to

the public or to management students.

Dr. Paul Fries explains the international strategy of SeaKing to students

Professor Robert F. Göx member of the Advisory Board of the Center for Accounting Research (CAR) of the University of Graz

Dr. Paul Fries shows a ship that has been furnished with equipment from SeaKing

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Peter Brabeck-Letmathe

Colloque sur le rôle économique et social des Nations Unies en l’honneur de Joseph Deiss

L’Université de Fribourg et le Centre

de recherche sur la compétitivité ont

co-organisé un colloque intitulé «Le Rôle

Economique et Social des Nations Unies»

en l’honneur de Joseph Deiss, Président de

l’Assemblée Générale des Nations Unies,

le 2 mai dernier. En plus de l’intervention

de Joseph Deiss, l’Université de Fribourg

a eu l’honneur d’accueillir Peter Brabeck-

Letmathe, Directeur du conseil d’admi-

nistration de Nestlé, et Nicolas Michel,

ancien Secrétaire Général Adjoint des Na-

tions Unies. Guido Vergauwen, Recteur de

l’Université de Fribourg et Philippe Gugler,

Vice-recteur et directeur du Centre de re-

cherche sur la compétitivité ont respecti-

vement introduit et clos la manifestation.

Devant plus de 250 personnes dans la salle

portant son nom, Joseph Deiss a souligné

le rôle central de l’ONU dans la gouver-

nance globale d’un monde marqué par des

interdépendances économiques, sociales

et environnementales. Il a insisté sur le fait

que l’ONU dispose d’une légitimité unique

pour assurer une gouvernance globale

juste et efficace. Peter Brabeck-Letmathe

a ensuite démontré à l’exemple de Nestlé

qu’une entreprise peut à la fois réaliser

ses objectifs d’entrepreneur et participer

au bien-être de la société. Le concept de

« création de valeur partagée » a encou-

ragé de nombreuses entreprises à s’enga-

ger plus activement dans la réalisation des

objectifs du millénaire de l’ONU en matière

de responsabilité sociale des entreprises.

Nicolas Michel a finalement présenté la

« responsabilité de protéger » qui fait ré-

férence à l’une des manières dont la com-

munauté internationale cherche à protéger

les populations contre les crimes les plus

graves. Il a rappelé le rôle crucial des

Nations Unies dans le renforcement du

droit international à l’exemple récent de la

« crise Libyenne ».

La présence simultanée de Messieurs Joseph

Deiss, Peter Brabeck et Nicolas Michel à

cette manifestation restera marquée dans

les annales de l’Université. Elle a suscité

un grand intérêt parmi les étudiants et

enseignants de l’Université et a attiré de

nombreuses personnalités des milieux poli-

tiques, diplomatiques et économiques.Pho

tots

© J

D S

aute

rel

„Ich halte keinen wissenschaftlichen

Vortrag, sondern erzähle von persönli-

chen Erlebnissen aus meinem Berufs- und

Beamtenleben“, leitete Dr. Oswald Sigg

seinen Vortrag an der Universität Fri-

bourg am 3. Mai 2011 ein. Im Rahmen

der Vorlesung „Theorie und Praxis der

Public Relations“ hatte Professorin Diana

Ingenhoff den ehemaligen Vizekanzler

der Schweizerischen Eidgenossenschaft

als Gastreferenten zum Thema Regie-

rungskommunikation eingeladen.

Sigg, der von 2005 bis 2009 als Bundes-

ratssprecher tätig war, lehnt den Begriff

der Regierungskommunikation ab: In der

Schweiz seien die einzelnen Räte für ihre

Kommunikation eigenverantwortlich, da es

hier kein Presseamt wie in anderen Län-

dern gibt.

Auf die Medien sei dabei für Politiker im-

mer weniger Verlass. Kaum eine Zeitung

erfülle heute noch journalistische Mindest-

standards, wie sie Sigg aus seiner Zeit als

Chefredaktor der Schweizerischen Depe-

schenagentur kennt. Die Medien hätten

in den vergangen Jahren ihre „politische

Aufgabe“ verspielt, da sie statt redaktio-

nellen nun vor allem ökonomischen Gebo-

ten folgten. Die Studierenden diskutierten

mit Oswald Sigg viele weitere Aspekte

aus seinem breiten Erfahrungsschatz und

erhielten so die Möglichkeit, das in der

Theorie Erlernte mit seinen Praxiserfah-

rungen zu vergleichen und kritisch zu hin-

terfragen.

Ex-Vizekanzler Oswald Sigg gibt Praxiseinblicke

Nicolas Michel Joseph Deiss

Page 8: Ses news saes, N°-6, mai 2011

ses news saes, numéro 06, mai 20118

La FSES de l’Université de Fribourg est

devenue partenaire d’un Master of Ad-

vanced Studies en gestion des ressources

humaines et des carrières proposé par les

universités de Genève, Lausanne et Neu-

châtel. Cette formation académique in-

terdisciplinaire englobe le management,

la psychologie, la sociologie, le droit,

l’économie. Elle s’appuie sur la rigueur

des méthodes scientifiques et sur une

réflexion critique générées par des re-

cherches significatives dans le domaine.

Ce Master prépare les professionnels de

ces fonctions à exercer leur métier avec

un esprit analytique, interdisciplinaire et

ouvert, pour faire face aux enjeux com-

plexes de nos organisations.

Ce MAS s’adresse à des cadres respon-

sables des ressources humaines, spé-

cialistes de la carrière et de l’insertion

professionnelle d’entreprises privées,

publiques ou internationales ou à des

consultants. Le programme est organisé

en modules de 2,5 jours, une à deux fois

par mois. Les cours ont généralement lieu

les jeudis, vendredis (9h-12h30 et 14h-

18h30) et samedis (9h-13h). La formation

représente au total 60 crédits ECTS, soit

1800 heures de travail: 500 heures d’en-

seignement et 1300 heures de travail per-

sonnel et mémoire.

Le Prof. Eric Davoine est le responsable

de cette formation pour l’Université de

Fribourg et à ce titre membre du comité

scientifique du MAS. Il est aussi respon-

Partenariat dans le cadre d’un MAS en GRH des quatre universités romandes

sable de trois modules qui sont donnés à

Fribourg et organisés par le service de for-

mation continue de l’Université :

un module sur la Gestion des compétences,

co-animé avec le Prof. Christian Defélix de

l’Université de Grenoble;

un module sur questions philosophiques

du management, co-animé avec les phi-

losophes Patrice Meyer-Bisch et Bernard

Schumacher de l’Université de Fribourg

(également partenaires de la « cure de phi-

losophie pour cadres »);

un module sur le management intercultu-

rel et la gestion de la diversité, co-animé

par le Dr. Erwan Bellard de l’Université de

Genève.

Organisée conjointement par les univer-

sités de Genève, Lausanne, Neuchâtel et

Fribourg, en partenariat avec les milieux

économiques, des associations profes-

sionnelles et des employeurs, cette forma-

tion offre l’opportunité aux participants

de développer leurs compétences ainsi

qu’un haut niveau d’expertise dans les

divers domaines de spécialisation propo-

sés. Le MAS en Gestion des ressources

humaines et des carrières se distingue

des autres formations en ressources

humaines de Suisse romande par sa di-

mension académique. Tout au long du

cursus, recherche et pratique sont forte-

ment associées dans le but d’améliorer

sans cesse la gestion des ressources hu-

maines et de construire une profession

solide et reconnue.

Fait remarquable, il s’agit du premier pro-

gramme de formation continue franco-

phone pour lequel toutes les universités

romandes sont partenaires.

Plus d’informations sous :

www.masrh.ch ; [email protected]

Note : L’Université de Fribourg (Faculté de

philosophie) est également partenaire d’un

autre programme en coopération, germano-

phone, plus orienté sur la psychologie et le

conseil, avec les universités de Bern et de

Zurich. La Prof. Petra Klumb du départe-

ment de psychologie est l’interlocutrice de

ce 2e programme).

La Chaire des Sciences de la Communication et des Médias/Journalisme sur Facebook

Une Fan Page Facebook en français a été créée par la Chaire des Sciences de la Communication et des Médias/Journa-

lisme. Cette page facilitera le dialogue entre étudiants et professeurs et donnera de plus amples informations sur les

filières francophones (vidéo, cours disponibles, liens Internet…) : Master in Business Communication et branches complé-

mentaires de Bachelor en « Journalisme et Médias ».

L’adresse de la page est « Chaire Des Sciences de la Communication et des Médias/Journalisme ».

Page 9: Ses news saes, N°-6, mai 2011

9

Zweimal im Jahr findet eine internatio-nale Tagung der Fachschaften für Pu-

blizistik, Medien- und Kommunikationswis-senschaften statt. Sie dient dem Austausch und der Vernetzung der StudentInnnen des selben Studienganges im deutschsprachi-gen Raum.Dieses Jahr durfte die hiesige Fachschaft MECOM die verschiedenen Fachschaf-ten aus Deutschland, Österreich und der Schweiz in Fribourg begrüssen.Der Departementspräsident Louis Bosshart empfing die in- und ausländischen Studen-tInnen mit einer Begrüssungsrede, in wel-cher er die Stadt Fribourg, die Universität und das Departement vorstellte. Am selben Abend besuchten die TagungsteilnehmerIn-nen das Barbecue und die Party von Uni-mix, Unicam und der MECOM.In den nächsten zwei Tagen stellte die MECOM den TagungsteilnehmerInnen die Stadt Fribourg, ihre Kultur, und die Uni-

Fachschaftstagung 2011 in Fribourgversität vor. Es wurde unter anderem eine Stadtführung gegeben und ein „richtiges“ Schweizer Fondue mit Vacherin im Centre Fries verzehrt.

Doch auch das Departement und seine Arbeit sollten nicht zu kurz kommen. Steffen Kolb und Stefan Bosshart hatten sich bereit erklärt, je ein Forschungspro-jekt vorzustellen, an dem sie selbst ar-beiten. Steffen Kolb präsentierte das ak-tuelle Projekt zur Fernsehforschung und Stefan Bosshart brachte den Teilnehmenden

Projet du Fonds National Suisse: "Fiscal decentralization and Public Private Partnerships : A means of improving efficiency in the delivery of public goods and services ?" (Prof. Laure Athias (université de Lausanne) et Prof. Thierry Madiès (Université de Fribourg), co-requérants principaux)

L'objet de ce projet libre du Fonds Natio-nal Suisse de la Recherche Scientifique

nous permet de financer pendant trois ans un "post doc" et un doctorant. Des colla-borations ont été établies avec l'Université de Paris I-Panthéon Sorbonne (France) et l'Université de Besançon (France). L'in-térêt de ce projet sur le plan scientifique et pratique est double. Il s'intéresse dans un premier temps à la question des Par-tenariats Public-Privé (PPP) qui sont para-doxalement très peu développés en Suisse alors même qu'ils ont connu une forte aug-mentation dans d'autres pays européens et singulièrement au Royaume-Uni et en Allemagne. D'un point de vue théorique, nous cherchons à savoir si la probabilité de renégociation "en cours de route" des conditions financières par les opérateurs privés est liée au cadre institutionnel dans lequel les PPP sont mis en oeuvre . L'intui-tion est la suivante : la concurrence entre collectivités décentralisées - qui est un des faits marquants du fédéralisme helvé-

tique - peut "discipliner" les collectivités publiques. Elle peut en effet les conduire à mieux négocier ex ante les conditions du contrat de partenariat qui les lient à un opérateur privé en rendant plus coûteux ex post la renégociation du contrat.

Le deuxième volet de l'étude concerne la concurrence que se livrent les régions d'un même pays pour attirer des investis-sements porteurs d'emplois. D'un point du vue théorique, on suppose généralement que les collectivités publiques se font une concurrence sur les taux d'imposition et que les entreprises ont un comportement plutôt passif : elles ne supportent pas de coût irrécupérables quand elles s'installent quelque part et sont donc très sensibles aux écarts de taux d'imposition entre ter-ritoires. Le résultat général est que les collectivités en concurrence se livrent à une course "au moins disant fiscal" (sauf à supposer que les gouvernements sont "prédateurs" ; dans ce cas la concur-rence est censée les discipliner). L'ob-

jet de notre étude est de montrer que la concurrence entre collectivités publiques porte davantage sur les aides financières que sur les taux d'imposition frappant les entreprises. Les entreprises mettent véri-tablement en concurrence les collectivités publiques pour bénéficier des aides finan-cières les plus avantageuses possibles. Les entreprises peuvent par exemple exiger la construction d'une bretelle d'autoroute ou la viabilisation de parcelles de terrains in-dustriels. Souvent, le coût financier pour une collectivité précède l'installation de l'entreprise ... et il arrive même que l'en-treprise aille s'installer ailleurs malgré l'in-vestissement consenti par la collectivité publique. L'outil théorique que nous allons mobiliser est celui des modèles d'enchère. Nous cherchons à montrer que les régions, qui savent se différencier et qui bénéfi-cient de fortes externalités de proximité,

peuvent, dans une certaine mesure, échap-

per à la concurrence fiscale (portant sur les

taux d'imposition).

einige Aspekte seiner laufenden Forschung über Wikinews näher.Die TeilnehmerInnen hatten ausserdem die Möglichkeit an der von der AGEF organi-sierten Podiumsdiskussion „Studienfinan-zierung im Kontext der Ökonomisierung“ teilzunehmen.Der von der MECOM organisierte Work-shop zu diversen unipolitischen und fach-schaftsspezifischen Themen führte zu re-gem Ideenaustausch und Diskussionen.„Die MECOM möchte sich nochmals bei ih-ren Geldgebern Mediapuls, der AGEF und den Freiburger Nachrichten bedanken“, so der Sprecher. Er dankte ebenfalls nochmals herzlich Louis Bosshart, Steffen Kolb und Stefan Bosshart für ihr Engagement. Dies, und der unglaubliche Einsatz der MECOM- Mitglieder machten die internationale Fach-schaftstagung in Fribourg möglich.

Page 10: Ses news saes, N°-6, mai 2011

ses news saes, numéro 06, mai 201110

HIGHLIGHTS

Auf der 10. Internationalen Tagung

der Wirtschaftsinformatik im Fe-

bruar 2011 an der Universität Zürich fand

ein Panel über Chancen und Risiken von

Google Analytics statt. Als Teilnehmer des

Panels diskutierten der Google-Kritiker und

Buchautor Lars Reppesgaard (Das Google-

Imperium, 2010), der Datenschutzbeauf-

tragte des Kantons Zürich, Dr. iur. Bruno

Baeriswyl, der Web-Profi und Autor Frank

Reese (Web Analytics – Damit aus Traf-

fic Umsatz wird, 2009)

und der eBusiness-Experte

Andreas Meier von der

Universität Freiburg. Mo-

deriert wurde das Panel

von Thomas Myrach vom

Institut für Wirtschaftsin-

formatik der Universität

Bern.

Im Anschluss an das Pa-

nel führte Diana Ingen-

hoff ein Interview mit An-

dreas Meier:

Diana Ingenhoff: Lieber

Andreas, was versteht ihr

Wirtschaftsinformatiker

unter Web Analytics?

Andreas Meier: Darunter

verstehen wir das Sam-

meln, Messen und Auswerten von Web-

daten, um das elektronische Geschäft

steuern und den Webauftritt optimieren zu

können.

Diana Ingenhoff: Kannst du ein konkretes

Beispiel dazu geben?

Andreas Meier: Gerne. Ein Unterneh-

men mit einem Webshop möchte wissen,

welche Produkte besonders häufig nach-

gefragt und gekauft, d.h. nicht nur an-

geklickt werden. Mit Web Analytics lassen

sich entsprechende Konversionsraten wie

„in den Warenkorb legen“ (Click-to-Bas-in den Warenkorb legen“ (Click-to-Bas-“ (Click-to-Bas- (Click-to-Bas-

ket) oder „Kaufen“ (Basket-to-Buy) ana-„Kaufen“ (Basket-to-Buy) ana-Kaufen“ (Basket-to-Buy) ana-“ (Basket-to-Buy) ana- (Basket-to-Buy) ana-

lysieren und verbesserte Massnahmen für

den Absatz einleiten.

Diana Ingenhoff: Weshalb stören sich

viele Internetnutzer an der Sammlung und

Auswertung solcher Indikatoren, die ja für

das Führen des Geschäfts eine Notwendig-

keit darstellen?

Andreas Meier: Da gibt’s eine Reihe von

Gründen. Mit der Click-Stream-Analyse

können nicht nur Konversionsraten stu-

diert, sondern auch das Verhalten der

Kunden analysiert werden: Welche Kun-

den haben welche Präferenzen und wie

könnte ich Kunden mit vergleichbarem

Profil weitere Produkte und Dienstleistun-

gen andrehen. Der Hauptgrund der Skep-

sis liegt aber beim Datenschutz resp. beim

Schutz der Privatsphäre. In den meisten

Fällen werde ich als Kunde nicht gefragt,

ob ich „getrackt“ werden will oder nicht.

Diana Ingenhoff: Euer Panel an der in-

ternationalen Tagung hat das Werkzeug

Google Analytics ins Zentrum der Dis-

kussion gestellt. Weshalb gerade dieses

Werkzeug?

Andreas Meier: In unserer Forschungs-

gruppe haben wir analysiert, welches welt-

weit und in unterschiedlichen Ländern das

meist genutzte Werkzeug ist. Die Antwort

lautet: das für die Unternehmen kosten-

freie Google Analytics.

Diana Ingenhoff: Wie sieht’s hier bezüglich

des Datenschutzes aus?

Andreas Meier: Eine von uns durchge-

führte Studie zeigt, dass von den Forbes

Top 500 Unternehmen gerade 4% und bei

den Swiss Top 120 Unternehmen nur 13%

die offizielle Datenschutzerklärung von

Google deklarieren. Die meisten Internet-

nutzer wissen demnach nicht, dass sie mit

dem Besuch der Website eine Datenspur

ziehen.

Diana Ingenhoff: Was könnte mit diesen

Daten denn geschehen?

Andreas Meier: Die von

Google gesammelten Daten

werden in die USA und teil-

weise an Dritte transferiert,

was dem Datenschutzgesetz

vieler Länder entgegenläuft.

Zudem lassen sich Webdaten

miteinander verknüpfen und

zu persönlichen Nutzerprofi-

len verdichten. Man spricht

in dem Zusammenhang von

einer „Dossier-Gesellschaft“

und Orwells Vision des „Big

Brother is watching you“ wird

Realität. Kommt hinzu, dass

man nach wie vor keine De-

lete-Taste im Internet betäti-

gen kann, die einmal gemachte

Einträge verschwinden lässt.

Diana Ingenhoff: Wie kann

man sich gegenüber den Missbräuchen bei

Web Analytics schützen?

Andreas Meier: Es gibt einige Empfehlun-

gen für die Internetbenutzer, wie z.B. das

Deaktivieren von Messungen, Cookies etc.

Meiner Meinung nach aber sollten die Un-

ternehmen selbst aktiv werden, um ihren

Ruf in der Zukunft nicht zu gefährden.

Mit dem Gütesiegel European Privacy Seal

(EuroPriSe), das von unabhängiger Seite

verliehen wird, kann auf der Website si-

gnalisiert werden, dass die Vorgaben der

europäischen Datenschutzrichtlinien auf

vorbildliche Art und Weise erfüllt werden.

Diana Ingenhoff: Andreas, besten Dank für

dieses Interview.

Google Analytics – Segen oder Fluch?

Panel vom 18. Februar 2011 an der Universität Zürich mit Teilnehmern (von links nach rechts): Meier, Baeriswyl,

Myrach (Moderator), Reese und Reppesgaard.

Page 11: Ses news saes, N°-6, mai 2011

11

Neues Attest – Auf dem Weg zur Management Excellence

Bei kaum einem anderen Label ist die Quote der Organisationen, die bei ei-

nem ersten Audit die gestellten Anforde-rungen nicht erfüllen, höher als bei dem von SQS und VMI entwickelten NPO-La-bel. So erstaunt es wenig, dass sich bis heute lediglich 17 NPO mit dem Prädikat NPO-Management Excellence auszeichnen können. Qualität im Management der zer-tifizierten Organisation geht hier ganz klar vor der Quantität der vergebenen Labels. Nur wer wirklich exzellentes Management betreibt soll auch Träger des NPO-Labels werden.Momentan sind rund 50 NPO aus Öster-reich, Deutschland und der Schweiz da-ran, ihr Management weiter zu optimieren, so dass sie die hohen Anforderungen ei-ner Management Excellence erfüllen kön-nen. Viele von ihnen verfügen dabei be-reits über ein überdurchschnittlich gutes Management-Niveau, auch wenn sie die Ansprüche der Management Excellence des NPO-Labels noch nicht ganz erfüllen können. Um diesen Organisationen die Möglichkeit zu geben, ihren Mitgliedern, aber auch Dritten gegenüber zu zeigen, wie professionell in der NPO bereits gear-beitet wird, haben die Label-Partner SQS und VMI das Attest „Auf dem Weg zur Management Excellence“ geschaffen. Dieses Attest wird an Organisationen ver-liehen, die sich zum Ziel gesetzt haben, die Management Excellence auf dem Ni-veau des Labels zu erreichen, sich aber auch schon auf einer Management-Stufe befinden, die es der Organisation erlaubt, in maximal drei Jahren dieses hohe Ziel zu erreichen. Die Verleihung des Attests erfolgt nach einer Standortbestimmung durch die SQS. Im Rahmen dieses Audits wird die Organisation systematisch ana-lysiert, bestehendes Optimierungspoten-zial wird identifiziert, um anschliessend auf Basis der Analyse einen gemeinsamen Projektplan zu erstellen, in welchen Berei-chen durch welche Massnahmen die noch bestehenden Defizite beseitigt werden können. Somit erhält eine NPO bei positiv verlaufendem Audit nicht nur das Attest „Auf dem Weg zur Management Excel-lence“, sondern insbesondere auch einen Vorgehensplan, wie der weitere Weg zum NPO-Label für Management Excellence im Detail auszusehen hat.

Im November 2010 wurde der oberöster-

reichische Landesrechnungshof mit dem

NPO-Label für Management Excellence

ausgezeichnet. Das von der SQS und dem

VMI entwickelte Label bestätigt, dass der

Rechnungshof eine «hochprofessionelle

Organisation mit einem minimierten Risiko

von Fehlleistungen» sei, so Roland Zürcher

von der SQS bei der Vergabe des Labels.

LRH-Direktor Brückner, sonst selbst Prü-

fer, betonte, dass das Zertifizierungsver-

fahren für die bereits nach der ISO Norm

9001 zertifizierte Organisation sowohl ans-

pruchsvoll als auch sehr hilfreich war und

freute sich über die Auszeichnung.

Von links: Reinbert Schauer (Uni Linz, Ins-

titutsrat des VMI), LRH-Direktor Helmut

Brückner, Roland Zürcher (SQS) und LT-

Präsident Friedrich Bernhofer.

Oberösterreichischer Landesrechungshof ist nun Träger des NPO-Labels

Erfolgreicher Abschluss des Diplom- Lehrgangs Verbands-/NPO-Management

Am 5. November 2010 fand der 23. Diplom-Lehrgang Verbands-/NPO-Management

mit der Diplomfeier in Freiburg seinen krönenden Abschluss.

Am Vormittag legten die Kandidatinnen und Kandidaten zunächst die schriftliche Di-

plomprüfung ab, auf die sie sich beinahe ein Jahr neben den Herausforderungen des Be-

rufslebens vorbereitet hatten. Bei dieser Prüfung mussten die Absolventen unter Beweis

stellen, dass sie die theoretischen Ansätze des Freiburger Management-Modells für

Nonprofit-Organisationen (FMM) beherrschen und diese auch auf praktische Herausfor-

derungen direkt anwenden können. Anlässlich der Diplomfeier am Abend durften die 28

frisch gebackenen dipl. Verbands-/NPO-Managerinnen und Manager ihr Diplom schliess-

lich in Empfang nehmen.

Auch die dreiundzwanzigste Auflage des Klassikers unter den VMI-Lehrgängen war wie-

der sehr gut besucht. Viele der Teilnehmenden folgten auch dieses Jahr Kolleginnen und

Kollegen ihrer Organisation, die bereits Lehrgänge des VMI abgeschlossen hatten, und

liessen sich ebenfalls am VMI ausbilden. Dies verdeutlicht das nach wie vor starke Be-

dürfnis nach Management-Wissen im NPO-Bereich und das Bestreben nach Kontinuität

in der Ausbildung.

Der 24. Diplom-Lehrgang Verbands-/NPO-Management startete Ende 2010 und ist wie-

der ausgebucht.

Page 12: Ses news saes, N°-6, mai 2011

ses news saes, numéro 06, mai 201112

PUBLICATIONS

Analyse économique du canton de Fribourg, Philippe Gugler, Michael Keller et Xavier Tinguely, 2011Rapport mandaté par la promotion économique du canton de Fribourg dans le cadre de la mise en place de la nouvelle politique régionale 2012-2015.

Optimales Transfer-preissystem im mul-tinationalen Konzern, Einheitliche oder separate Transferpreise für Steuerzwecke und interne Koordination, Oliver M. Dürr, 2011Für multinationale Unter-nehmen stellt das Trans-

ferpreissystem, zur Verrechnung von Leistungen zwischen Konzernteilen, ein zentrales Controlling-instrument dar, das sich im Spannungsfeld zwi-schen interner Steuerung und steuerlichen Aus-wirkungen befindet. Im vorliegenden Buch wird untersucht, unter wel-chen Voraussetzungen die Verwendung eines Einheitstransferpreises oder die Trennung interner und steuerlicher Transferpreise für ein multinati-onales Unternehmen vorteilhaft ist. Nach einem umfassenden Überblick über die Literatur wird dies anhand zweier Modelle analysiert: Im ersten Modell wird das Grundproblem um eine Wettbe-werbssituation erweitert, was dazu führt, dass in Abhängigkeit von der Wettbewerbsintensität ein Einheitstransferpreis optimal ist. Im zweiten Modell, das spezifische Investitionen in einem internationalen Umfeld untersucht, lässt sich der Ziekonflikt dagegen im Allgemeinen nur mit ge-trennten Transferpreisen lösen.

Les marchés de brevets dans l’économie de la connaissance,Dominique Guellec,

Thierry Madiès et Jean-

Claude Prager, 2011

L’économie de la connais-

sance connaît aujourd’hui

des évolutions marquantes.

On constate en effet, depuis

les trois dernières décennies, une croissance

exponentielle des échanges de brevets sous la

forme de transactions marchandes : les contrats

de licence se multiplient, et des enchères de

brevets ont même vu le jour. L’enjeu de ces

évolutions est une circulation facilitée des

technologies, source de gains de productivité

dans l’économie en général, et dans les activités

d’invention en particulier. Mais les difficultés

auxquelles se heurte le développement de

ces marchés sont significatives : Comment

estimer la valeur des brevets, donc le prix des

transactions? En termes de politiques publiques,

les défis sont aussi multiples : comment optimiser

la valorisation de la recherche publique dans ce

nouveau contexte ? Comment assurer que les

marchés se développent de façon concurrentielle

et ne résultent pas dans l’émergence de

monopoles mondiaux du savoir ? Comment

empêcher que ces marchés servent de levier à

des acteurs spécialisés dans l›extorsion de rentes

à l’aide de brevets de validité douteuse ? Partant

de ce questionnement, les auteurs proposent

dans ce rapport un ensemble de mesures visant

à orienter l’action publique. Ils recommandent

notamment le renforcement de la qualité

juridique des brevets, le développement de la

formation d’intermédiaires experts en propriété

intellectuelle, ou encore l’expérimentation de

places d’enchères de brevets.

Religionen im Fernsehen, Constanze Jecker, (Hg.), 2011Religiöse Symbole und Rituale sind im Fernsehen allgegenwärtig, intensive Auseinandersetzung mit Spiritualität oder Werten der Religionsgemeinschaf-

ten eher selten. Dies ist ein zentrales Ergebnis des Forschungsprojekts »Religion im Fernsehen«, das die Thema tisierungs- und Darstellungsmuster dieses kulturellen Phänomens in fünf Schweizer Fernsehprogrammen untersucht hat. Als erstes stellt das Forschungsteam das methodische Vor-gehen und die Resultate der Studie vor, in der insgesamt 1.680 Programmstunden mittels qua-litativer und quantitativer Verfahren analysiert wurden. Anschließend nehmen Wissenschaftler verschiedener Disziplinen, Experten aus dem Me-dienbereich sowie Religions ver treter zu den Er-gebnissen Stellung, diskutieren weitere Aspekte des Themas und gehen dabei auch auf das Fern-sehen in Deutschland ein.

Stakeholder-Manage-ment in Nonprofit-Organisationen, Ludwic Theuvsen, Reinbert Schauer, Markus Gmür, (Hg), 2010Für das Stakeholder-Management in Nonprofit-Organisationen (NPO) ha-ben u. a. ihre bedarfswirt-

schaftliche Arbeitsweise, die Mobilisierung ehren-amtlicher Arbeit und der hohe Finanzierungsanteil des Staates weitreichende Konsequenzen. NPO gelten allgemein als legitimationsempfindlich, agieren unter den Augen einer breiten Öffent-lichkeit und müssen sich an den teilweise kon-fliktären Anforderungen sehr verschiedenartiger Anspruchsgruppen messen lassen.Diese Thematik war Gegenstand des 9. Interna-tionalen NPO-Forschungscolloquiums im deutsch-sprachigen Raum, das am 18. und 19. März 2010 an der Georg-August-Universität Göttingen/Deutschland stattfand und vom Departement für Agrarökonomie und Rurale Entwicklung (Prof. Dr. Ludwig Theuvsen) gemeinsam mit dem Institut für Betriebswirtschaftslehre der gemeinwirtschaftli-chen Unternehmen (IBGU) der Johannes Kepler Universität Linz/Österreich (o.Univ.Prof.Dkfm. Dr. Reinbert Schauer) und dem Institut für Verbands-, Stiftungs- und Genossenschafts-Management (VMI) der Universität Freiburg/Schweiz (Prof. Dr. Markus Gmür) veranstaltet wurde. Der Sammel-band dokumentiert die Beiträge des Colloquiums in schriftlicher Form und macht sie so auch einem

breiten Publikum zugänglich.

European Retail Re-search, Vol. 25, Issue I,Dirk Morschett; Thomas Foscht; Thomas Rudolph; Peter Schnedlitz; Hanna Schramm-Klein; Bernhard-Swoboda (Eds.), 2011European Retail Research is a bi-annual that is in the tra-dition of the reputable book

series “Handelsforschung” which has been pub-lished in Germany for more than two decades. Since 2008, this publication is edited by a team of retail researchers from Austria, Germany, and Switzerland.The aim of this book series is to publish interes-

ting and innovative manuscripts of high quality. The target audience consists of retail researchers, retail lecturers, retail students and retail execu-tives. Retail executives are an important part of the target group and the knowledge transfer be-tween retail research and retail management is a crucial part of the publication’s concept.The most recent volume (2011, Vol. 25, Issue I) has been coordinated by the editor-in-chief D. Morschett. It comprises 5 articles of reputable international researchers. The topics of the ar-ticles include market segmentation, RFID-based market research at the PoS, in-store logistics in retail companies and ethical sourcing. Further-more, two extensive country reports on the retail industry in India and in Poland complete the book.

Page 13: Ses news saes, N°-6, mai 2011

13

PRESSE

NZZ, 19.4.2011

manager magazin, 23.3.2011

Zentralschweiz am Sonntag, 17.4.2011

ARD - Morgenmagazin, 12.4.2011

WELT ONLINE, 24.2.2011

Hans Wolfgang Brachinger, statistikprofessor, Uni Fribourg, Schweiz

Page 14: Ses news saes, N°-6, mai 2011

ses news saes, numéro 06, mai 201114

L’AGEFI, 23.11.2010

RSI La 1, 3.3.2011

LA LIBERTÉ, 5.11.2010

LA LIBERTÉ, 17.12.2010

Page 15: Ses news saes, N°-6, mai 2011

15

Migros-Magazin, 31.1.2011

Freiburger Nachrichten, 3.5.2011

LA LIBERTÉ, 3.5.2011

LA LIBERTÉ, 18.1.2011

Page 16: Ses news saes, N°-6, mai 2011

ses news saes, numéro 06, mai 201116

Faculté des sciences économiques et socialesBd de Pérolles 90 CH-1700 FribourgTél.: +41 26 300 82 00Fax: +41 26 300 97 25Courriel: [email protected]: www.unifr.ch/seswww.facebook.com>SES unifr

Responsables de la publication:Prof. Dr. D. IngenhoffProf. Dr. D. Morschett Mme N. Koenig

Réalisation graphique: M M. Obbad

Imprimerie: Uniprint

Vorankündigung ■ 28. September 2011: Vortrag und Fakultätsfest zum Anfang des Herbstsemesters. ■ 19. November 2011: Jahrestagung SAES, Universität Pérolles II

Préavis ■ 28 septembre 2011: conférence et fête de la Faculté de début de semestre, Université

Pérolles II. ■ 19 novembre 2011: journée annuelle SAES, Université Pérolles II.

Die Stiftung SAES zur Förderung der Wirtschafts- und Sozialwissen-

schaftlichen Fakultät hat im vergange-nen Jahr wenig Bewegungen in seiner Rechnung verzeichnet. Auf der Einnah-menseite konnte sie wenigstens eine Spende verzeichnen. Es sind die 20‘000 Franken, die der „goldene Doktor“ Jean-Marie Pidoud der Stiftung überwiesen hat. Auf der Ausgabenseite wurde eine Konferenz von Prof. Ph. Gugler zum

Stiftung SAES / Bericht 2010

Alumni SAESInvitation à la journée annuelle

du samedi 19 novembre 2011, à partir de 10h15,à l‘Université Pérolles II à Fribourg/CH

Liebe Alumni, Studierende und Freunde unserer Fakultät

A la suite de la manifestation, un apéritif aura lieu, suivi du repas de midi.

Reservieren Sie sich schon heute den 19. November 2011 in Ihrer Agenda!

„Die Bedeutung von Weiterbildung, lebens-

langem Lernen und von Erwerb integrativer

Kompetenzen nimmt weiter zu. Durch ihre

wissenschaftliche Kompetenz, zentrale Lage

und Zweisprachigkeit, aber auch dank den in-

terdisziplinären Ansätzen ihrer Lehrpersonen,

kann die Universität Freiburg eine gewich-

tige Rolle in der Schweizer Weiterbildungs-

landschaft spielen“, so die Vision des Rekto-

rats der Universität Freiburg.

L’Association des Amis de l’Université et

la Société des Alumnis SAES ont décidé de

s’associer aux efforts du rectorat. Elles cher-

chent à mieux cibler les besoins des Alumnis

Formation continue : quels besoins ont les alumnis ?

Thema « Clusters as Drivers of Regional Competitiveness » unterstützt. Aus dem Fonds Grumbacher erhielt ein Kolloquium von Prof. J.-J. Friboulet « la construction des sociétés civiles et le développement » einen Beitrag. Das Vermögen der Stiftung bleibt aber insgesamt bescheiden und die Stiftung ist auf weitere Spenden angewie-sen.

Dr. Paul Fries, Präsident der Stiftung SAES

dans la formation continue.

Nous vous serions reconnaissants de prendre

quelques minutes pour répondre au question-

naire sur le site web www.saes.ch.

Merci de votre aide.

Nos intervenants sont

Hanspeter Rohner, CEO

PubliGroupe SA, Lausanne

Oliver Rihs, CEO

Scout24 Schweiz AG, Flamatt

Wir freuen uns, Sie bereits heute auf unsere Jahrestagung 2011 aufmerksam machen zu dürfen. Dieses Jahr widmen wir uns

der Vielfalt unserer Fakultät entsprechend demThema:

«Ein erfolgreiches Businessmodell für den Medienbereich – wie muss dieses aussehen?»