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U.S.M.A PlongéeSaint Ouen
Cours
théorique
Niveau 1
Septembre 2012
Michel
Plongeur Encadré 12m
2 plongées EAO
Plongeur Autonome 20m
PA.20 = Open-water .. 7 plongées EAO
Plongeur Autonome 40m
PA.40 .. 10 plongées de l’Open-water
Plongeur Encadré 40m
PE.40 .. 6 plongées EAO
P4 .. CMAS***
Avoir validé au moins 60 plongées
dont 15 dans le cadre de la formation et
12 dans le module « conduite de palanquée ».
Module PA.60 conseillé
4 plongées en autonomie a + de 30m
P2 .. CMAS**
= OW + PE.40
P3 .. CMAS***
Module PA.60 conseillé
11 plongées en autonomie
dont 6 a + de 30m
8 p
l. e
n a
uto
nom
ie
4 plongées a + de 12mP1 .. CMAS*
4 plongées EAO ou
2 pl.EAO du PE.12
15 plongées en autonomie
dont 10 a + de 30m
Le plongeur niveau 1
- Définition du niveau
- Pré-requis a la formation
- Organisation de la formation
- Conditions de validation
- Module surface
- Module savoir-faire fondamentaux
- Module évolution
- Module théorie
Vous trouverez toutes ces informations
dans le livret de certification P1.
A télécharger sur ce site : www.plongee.fsgt.org
A la rubrique formation … Les différents cursus.
L’équipement du plongeur
Palmes … Masque … Tuba
Pas trop
long
LE PROFONDIMETRE
A aiguilles :
il indique la profondeur instantanée et la profondeur maximale.
A utiliser avec une montre étanche.
Numérique :
il indique la profondeur instantanée, la profondeur maximale,
le temps d’immersion et dispose d’alarmes visuelles et sonores.
A aiguilles Numériques
LES PALMES
Elles doivent être adaptées a votre mode de palmage
et a votre lieu de plongée (mer calme ou agitée).
Les palmes chaussantesLes palmes réglables
LES PLOMBS
Le lestage doit assurer une flottabilité légèrement négative.
Contrôle du lest :
En surface, gilet stabilisateur vide, l’eau se situe a mi-masque.
En fin de plongée au palier de 3m, gilet vide, flottabilité neutre.
Plombs classiquesCeintures
LES COMBINAISONSProtection thermique et contre certaines espèces aquatiques
Les combinaisons humides existent en une et deux pièces.
Elles laissent passer plus ou moins l’eau en fonction de la présence de manchons
d’étanchéité aux extrémités des membres et de la qualité de la fermeture.
Les combinaisons semi-étanches sont des combinaisons humides qui disposent
de manchons et d’une fermeture éclair qui assurent une bien meilleure étanchéité.
Une combinaison mal ajustée favorise l’essoufflement.
Trop large, elle laisse entrer l’eau donc le corps se refroidit en permanence.
Trop serrée, elle oblige a faire un effort inspiratoire supplémentaire.
Humide Pas conseillé aux débutantsÉtanche
Semi-étanche
LE GILET STABILISATEUR
Les plongeurs doivent être porteurs d’un gilet de stabilisation dont
ils maîtrisent l’utilisation. C’est un élément de sécurité obligatoire qui
permet de gérer sa flottabilité, de se maintenir en surface et de fixer le bloc.
Le gilet est relié au bloc par un flexible fixé sur le 1er étage du détendeur.
Différentes tailles (S .. M .. L .. XL); il doit être adapté à votre morphologie.
Différents volumes en litres (permet un retour a la surface seul ou a deux).
RéglableEnveloppante Dorsale
LE GILET STABILISATEUR (STAB)
Purge rapide
haute
Bretelles
réglablesInflateur
Purge rapide
basseSangle
abdominale
Il doit être purgé et rincé après la plongée avec le reste du matériel.
Sangle
pectorale
La sangle permet la fixation
de la bouteille sur le gilet.
L'ordre de passage de la sangle
dans les différents trous :
0 2 1 3
L’inflateur ou purge lentepermet d’ajuster la flottabilité.
Le bouton rouge sert au gonflage
Le bouton gris sert au dégonflage
La bouteille ou bloc
C’est un réservoir d’air comprimé a environ
200 bars, en acier ou en aluminium.
D’un volume de 6 .. 12 .. 15 .. 18 litres.
Tous les ans, vérification et apposition d’un macaron d’inspection visuelle.
Tous les 5 ans, vérification de la bouteille au service des mines, qui poinçonne
la date de ré-épreuve suivie d’une « tête de cheval » pour la validité.
En cas de défectuosité, elle doit être neutralisée.
le culot
le filet deprotection
Sur la bouteille sont gravées neuf inscriptions :
. La date d’épreuve (mois/années, valable 5 ans) avec le poinçon.
. La pression d’épreuve ( P.E) égale à 1,5 fois la P.S à 15 C.
. La pression de service (P.S) 180 .. 200 .. 230 bars.
. Le poids a vide et en charge.
. La capacité en litres d’eau
. Le nom du fabricant
. Le numéro de série
. Le contenu (AIR)
. Le métal
La robinetterie fixée au sommet du bloc
permet de brancher
le 1er étage du détendeur.
Ouvrir a fond et fermer d’1/4
de tour avant de plonger.
Le manomètre .. Gradué en bar
est relié à la sortie haute pression
du 1er étage du détendeur et permet
de connaître la pression d’air restant dans
le bloc et ainsi de surveiller sa consommation.
La réserve débute par convention à 50 bars.
Vérifier la pression avant et pendant la plongée.
+ de 230 bars
DIN ETRIER
LES DETENDEURS
servent a détendre l’air stocké en haute pression
dans le bloc pour le mettre à la pression ambiante.
A tester avant chaque plongée
reprennent et détendent
cette moyenne pression
a la pression ambiante
pour la rendre respirable
(Basse Pression = B.P)
Le détendeur
de secours
Les 2eme étage
Le détendeur
principal
Le 1er étage
se fixe sur le bloc et
détend l’air du bloc
à une pression d’environ 8 bars
+ la pression absolue
(Moyenne Pression = M.P)
Mettre le capuchon avant de le rincer
SEQUENCE BICHONNAGE
• Un rinçage a l'eau douce après la plongée (mer .. piscine)
• Les détendeurs n’aiment, ni les chocs, ni la chaleur.
• Une fois par an, offrez-leur une révision.
Haute PressionManomètre
Moyenne Pression
InflateurDétendeurs
Les raccordements au 1er étage du détendeur
• Palmes .. Masques .. Tuba
• Ceinture .. Plombs
• Gilet stabilisateur
• Détendeurs et joints
• Combinaison (humide .. semi-étanche)
• Certificat médical de moins d’un an
• Carnet de plongée et stylo
• Carte de plongeur
• Eau
CH
EC
K L
IST
E
. Gants (pas trop épais)
. Chaussons … Bottillons
. Souris (sous combinaison)
. Tables ... Profondimètre ... Montre
. Boissons chaudes et froides
. Couteau … Lampe
. Sacs plastique
Facultatif
CA NE VA PAS
Main en extension, doigts écartés.
Rotations alternatives de la main
c’est le signe « couci-couça ».
Avec l’index montrer a quel endroit
(oreilles .. sinus ..etc.…).
TOUT VA BIEN et OK surface
Le plongeur effectue ce signal
en marquant la position quelques secondes.
MONTER
Poing fermé et pouce dirigé vers la surface.
DESCENDRE
Poing fermé et pouce dirigé vers le fond.
Quelle est ta pression ?
Montrer son manomètre aux plongeurs.
Ils doivent indiquer leurs pressions
a l’aide des mains et des doigts.
Mon manomètre indique 100 bars
je suis a mi-bouteille (signe temps mort)
même si au départ mon bloc est gonflé a 150 bars
La palanquée fait demi-tour.
Mon manomètre indique 50 bars
je suis sur réserve(poing fermé, pouce posé sur la tempe).
C’est fin de plongée.
La palanquée entame la remontée.
JE N’AI PLUS D’AIRLa main ouverte a l’horizontale a la base du cou
s’écarte et se rapproche de façon répétée.
(de la base du cou au bras tendu).
INTERVENTION IMMEDIATEDonner votre détendeur de secours
ou la victime se sert elle-même.
Fin de plongée pour la palanquée.
JE SUIS ESSOUFFLELes deux mains placées contre la poitrine,
s’écartent et s’approchent ensemble.(un peu comme pour jouer de l’accordéon).
Porter assistance a la victime,
la remonter en lui évitant tout effort.
L’essoufflement peut aboutir a un accident de plongée.
Fin de plongée pour la palanquée.
J’AI FROID
La main effectue un va et vient sur l’avant bras.
N’hésitez pas a le signaler car le froid
peut aboutir a un accident de plongée.
La palanquée entame la remontée.
SIGNAL DE DETRESSE
Le bras tendu, la main frappe la surface de l’eau.
Intervention URGENTE
des autres plongeurs et de la sécurité surface.
En cas de difficultés,
si aucun plongeur ne peut m’apercevoir
je fais du bruit en tapant sur la bouteille.
Faites vos signes avec précision,
vous serez mieux compris.
Les signes
Un rayon lumineux qui rencontre un dioptre plan est soumis à 3 phénomènes
Si un rayon lumineux rencontre une surface réfléchissante,il change de direction selon une loi simple :l’angle d’incidence = l’angle de réflexion.
Plus le soleil est haut et plus ses rayons pénètrentdans l’eau. A l’aube et le soir les rayons étant rasantsils seront en partie réfléchit = moins de lumière sous l’eau.
OPTIQUE
1) la réflexion
Dans l’eau, l’œil devient hypermétrope :
les images se forment a l’arrière de la rétine.
Pour obtenir une image nette, on doit
interposer une couche d’air entre la cornée et l’eau.
Ce système optique est appelé dioptre plan,
il sépare deux milieux transparents de densités différentes
séparés par une surface plane, le masque de plongée.
=
Lorsqu’un rayon lumineux passe de l’air dans l’eau, sa trajectoire est déviée.
2) La réfraction
=
La réfraction
donne l’impression de voir … 1/4 plus près … 1/3 plus grand
Un poisson d’ 1 mètre placé à 4 mètres semblera être seulement à 3 m et mesurer 1,33 m.
« Taille et distance réelle »« On croit voir »
Le milieu aquatique est 800 fois plus dense que l’air.
La lumière est absorbée, donc une diminution de l’intensité lumineuse.
Il existe d’autres facteurs qui modifient le rayon lumineux en particulier
. Les particules en suspension troublent l’évaluation des distances.
. Les particules dévient les rayons lumineux = effet brouillard
3) L’absorption
La diffusion
Vision monochrome a 60 m … Plus aucune onde lumineuse a 400 m
Rouge
5 - 10
Bleu
50 - 60
Vert
40 - 50
Jaune
30 – 40
Violet
20 - 30
Orange
10 - 20
Disparition des couleurs en mètres.
L’ACOUSTIQUE
Son : phénomène vibratoire qui se transmet dans la
matière par ondes de pression, de particule en particule.
Plus la densité est importante et plus vite se propage le son
Du fait de sa densité, l’eau est meilleure conductrice que l’air.
Acier : 5000 m/s
Eau : 1500 m/s
Air : 340 m/s
une force
une pression = une surface
La pression est une force en bar ou en Kg exercée sur une surface en cm²
Ex: une force de 1kg sur une surface de 1cm² donne une pression de 1 Kg / cm².
Les unités de pression utiles en plongée sont : le bar ou le kg par cm²
Comment s’exerce la pression dans l’eau ?
L’eau étant incompressible, la pression s’exerce de tous les côtés.
NOTION DE PRESSION
S
F=P
. La pression atmosphérique est
la pression exercée par le poids de l’air.
. La pression hydrostatique ou relative
est la pression exercée par le poids de l'eau.
Une colonne d'eau de 10 m de hauteur
sur une surface d’ 1 cm²,
a un volume d’ 1 litre d'eau
soit un poids d’environ 1 kg.
Cela donne une pression hydrostatique
d’ 1 kg ou 1bar / cm².
La pression hydrostatique augmente
d’un bar tous les 10 mètres.
NOTION DE PRESSION
10 m1cm²
3 bars
1.7 bars
2.5 bars
20 m
15 m
7 m
1.5 bar
5 m
La pression relative =
1 bar tous les 10 mètres
La profondeur =
la pression relative x 10
La pression absolue = La pression atmosphérique + la pression relative
Les variations de la pression absolue
X 2
X 23 bars
2 bars
4 bars 30 m
Soyez très vigilant dans cette zone.
Aux oreilles a la descente eta la surpression pulmonaire
lors de la remontée
20 m
10 m
1 bar SurfaceLes plus grandes variations
de pression donc de volume
ont lieu entre la surface
et la zone des 10 mètres.!
Principe d’Archimède de Syracuse
Tout corps plongé dans un liquide subit de la part de celui-ci :
. Une poussée verticale
. Dirigée de bas en haut
. Égale au poids du volume de liquide déplacé.
Négative
Si la poussée d’Archimède est inférieure au poids réel.
La flottabilité est
Neutre
Si la poussée d’Archimède est égale au poids réel.
La flottabilité est
PositiveLa flottabilité est
Si la poussée d’Archimède est supérieure au poids réel.
Poids réel
Poussée d’Archimède
Négative
Neutre
Positive
La flottabilité est :
Poids réel
Poussée d’Archimède
Négatif
Neutre
Positif
Si le poids apparent est :
Poids réel : poids du plongeur tout équipé
Poussée d’Archimède : poids du volume de liquide déplacé
= Poids apparent : poids du plongeur immergé
PRINCIPE D’ARCHIMEDE.
. Si la poussée d’Archimède est supérieure au poids réel
c’est que le poids apparent est négatif,
dans ce cas … la flottabilité est positive … (flotte)
. Si la poussée d’Archimède est égale au poids réel
c’est que le poids apparent est neutre
dans ce cas … la flottabilité est neutre … (entre deux eaux)
. Si la poussée d’Archimède est inférieure au poids réel
c’est que le poids apparent est positif,
dans ce cas … la flottabilité est négative … (coule)
Exemple :
Un plongeur occupe un volume de 76 litres pour un poids de 70 Kilos.
Poids réel 70 kg - Poussée Archimède 76 kg = Poids apparent négatif (- 6 Kg)
donc flottabilité positive … Le lest pour couler devra être supérieur a 6 Kg
Poids réel ─ Poussée d’Archimède = Poids apparent
Loi de BOYLE – MARIOTTE
(1662 – 1676 ) … ( G.Amontons 1702 )
A température constante,
le volume d’une masse gazeuse
est inversement proportionnel
à la pression qu’il subit.
Le produit de la pression multiplié
par le volume est constant.
Pression x Volume = Constante
P x V = C
ou
P1 x V1 = P2 x V2
P2 = (P1 x V1)/V2
V2 = (V1 x P1)/P2
• Ex : ici la constante est de 10
10
10
10
10
5litres
3.33litres
2.5litres
2litres
Pression x Volume = Constante
4bars
3bars
2bars
5bars
1bar
10litres 10
Michel
Mémo : le triangle
Constante = Pression X Volume
Pression = Constante / Volume
Volume = Constante / Pression
C = P X V
C
P x V
::
P1 V1
= /
P2 X V2
P1 = (P2 x V2)/V1
P2 V2
= /
P1 X V1
P2 = (P1 x V1)/V2
V1 P1
= /
V2 X P2
V1 = (V2 x P2)/P1
V2 P2
= /
V1 X P1
V2 = (V1 x P1)/P2
Mémo : le carré ou miroir
2 bars
2.5 bars
3 bars
1.5 bar
20 m
15 m
10 m
5 m
Boyle-Mariotte
Le volume gazeux
en surface
Le volume gazeux
en immersion
Boyle-Mariotte … Archimède … Exercices
Un ballon a un volume
de 5 litres a 20 mètres.
Quel sera son volume en surface ?
20 mètres = pression 3bars
Pression x Volume = Constante
3 x 5 = 15 l volume surface
Un ballon a un volume de 30 litres en surface.
A quelle profondeur aura-t-il un volume de 10 litres ?
Boyle Mariotte : Constante = Pression x Volume
Surface : 30 = 1 x 30
Constante / Volume = Pression
30 / 10 = 3 bars
Profondeur = (Pression absolue - 1) x 10
Profondeur = (3 bars - 1) x 10 = 20 mètres
P1 x V1 = P2 x V2
P2 = (P1 x V1) / V2
(1 x 30) / 10 = 3
(3 bars – 1) x 10 = 20 m
ou
Ce sont les accidents causés par une pression.
Ils sont la conséquence de la loi de Boyle-Mariotte.
Les différences de pression … BAR … à la descente
et à la remontée entraînent des variations de volume
des gaz contenus dans les cavités aériennes.
Quand les différences de pression dépassent
les limites de tolérance physiologiques,
des … TRAUMATISMES … apparaissent.
LES BAROTRAUMATISMES
Les barotraumatismes, quels sont-ils ?
Les oreilles
Les dents
Les sinus
L’estomac
Les intestins
La surpressionpulmonaire
L'oreille est l'organe de l’ouïe et joue un rôle important dans l'équilibre.
Pourquoi doit-on les équilibrer ?
Car le conduit auditif est indéformable,
le tympan subit entièrement la pression de l’eau.
Lorsque sa limite d’élasticité est atteinte, il risque de se perforer.
Doit-on équilibrer ses oreilles a chaque plongée ?
… Oui … avant de ressentir une gêne ou une douleur aux tympans.
Dés l’immersion un apport volontaire d’air va les remettre en équipression.
Comment équilibrer ses oreilles ?
En envoyant de l’air dans l’oreille moyenne via la trompe d’Eustache.
On inspire, puis on ferme l’arrivée d’air, on se pince le nez et
on fait l’action de se moucher, mais sans laisser s’échapper l’air (a faire en douceur).
Cette technique s’appelle : LA MANŒUVRE DE VALSALVA
Les oreilles
Principe de l’équilibration :
A la descente : la pression augmente et agit sur le tympan.
Si l’équilibre des pressions ne peut être obtenu, il y a risque de perforation.
Ce tympan est déformé
car la pression exercée par l’eau est
plus forte que celle exercée par l’air
dans l’oreille moyenne.
Ce tympan est en équilibre
car la pression exercée par l’eau
est la même que celle compensée dans
l’oreille moyenne via la trompe d’Eustache.
Causes
• Manœuvre d’équilibrage insuffisante ou trop tardive
• Valsalva à la remontée
• Trompe d’Eustache obstruée par des mucosités
• Conduit auditif obstrué par un bouchon naturel (cérumen) ou artificiel
Symptômes
• Douleur à l’oreille
• Sensation de froid au niveau de l’oreille moyenne (si rupture du tympan)
• Surdité partielle ou totale, bourdonnements
• Saignements d’oreilles ... Vertiges ... Syncope
Conduite
à tenir
• Ne jamais forcer, remonter un peu pour rééquilibrer … tête vers le haut.
• Si impossibilité d'équilibrer arrêter la plongée et remonter a la surface.
• Consulter un O.R.L
Prévention
• Ne pas plonger enrhumé ... Éviter les profils de type yo-yo
• A la descente effectuer une manœuvre d’équilibrage.
• A la remontée, ne pas équilibrer les oreilles, cela se fera naturellement
LES OREILLES Fin
Les sinus sont des cavités osseuses tapissées
d’une muqueuse, servant à humidifier et à filtrer
l’air que nous respirons. Ils sont reliés par de fins
canaux aux fosses nasales. Si ceux-ci sont obstrués,
l’équilibre des pressions ne peut pas être obtenu.
A la descente l’augmentation de la pression dans les
fosses nasales, créé une dépression à l’intérieur du sinus
et peut entraîner un décollement de la muqueuse.
A la remontée, la baisse de pression dans les fosses
nasales, crée une surpression à l’intérieur du sinus…
La muqueuse est écrasée contre la paroi osseuse.
1) Les sinus
Mécanisme :
Si ces fins canaux sont obstrués, l’équilibre des pressions ne peut pas être obtenu.
Cela provoque d’intenses douleurs frontales, pouvant déclencher des hémorragies.
Que doit-on faire lorsque les sinus sont douloureux en plongée ?
• Consulter un O.R.L , si cet ennui est permanent.
• Renoncer à la plongée ce jour-là, si le malaise est passager.
Le plongeur doit adopter une vitesse adéquate lors de la plongée :
• une vitesse de descente maximale de 30 m/mn
• une vitesse de remontée maximale de 15 m/mn
(on remonte moins vite que les petites bulles)
2) LES SINUS
Causes
• Canal obstrué par des mucosités dû à une sinusite
• Affection O.R.L
• Déviation de la cloison nasale
• Rétrécissement des canaux
• Polype (tumeur bénigne) empêchant le passage de l’air.
Symptômes• Dans l'eau : violente douleur faciale, saignement du nez,
sensation de rage de dents (sinus maxillaire)
Conduite
à tenir
• A la descente : Ne pas insister … Remonter
• A la remontée : Redescendre puis remonter lentement.
• Au retour : consulter un O.R.L.
Prévention• Ne pas plonger enrhumé
• Ne pas plonger avec une sinusite
LES SINUS fin
De l’air peut pénétrer dans une carie ou un mauvais plombage,
provoquant une violente douleur dentaire a la remontée.
Causes
• En cas de dent mal soignée ( carie .. fêlure )
de l’air peut s’infiltrer dans la cavité dentaire.
• Lors de la remontée, si l'air ne peut s'échapper assez vite,
une surpression va se créer a l’intérieur de la dent.
Symptômes• Une fissure ou un éclatement de la dent.
• Une violente douleur dentaire … Une syncope
Conduite
à tenir
• A la remontée : redescendre et remonter très lentement.
• Au retour consulter un dentiste.
Prévention • Un contrôle bucco - dentaire annuel (en spécifiant que l’on plonge).
LES DENTS
Causes
• A la descente : la pression augmente, le masque s'écrase,
puis l'intérieur entre en dépression (effet de ventouse)
entraînant des lésions oculaires et nasales.
Symptômes
• Dans l'eau : trouble de la vision .. douleur faciale
hémorragie oculaire ou nasale.
• Dans l'air : yeux rouges … "œil au beurre noir"
Trouble de la vue et saignement du nez.
Conduite
à tenir
• Si saignement de nez, se moucher, en penchant la tête
vers l'avant (facilite l'écoulement du sang vers l'extérieur)
• Au retour : consulter un O.R.L .. ou .. un ophtalmologue
Prévention• A la descente, souffler dans le masque.
• Ne pas trop le serrer.
LE PLACAGE DE MASQUE
Causes
• Pendant la plongée :
fermentation alimentaire et déglutition d’air.
• A la remontée : les gaz intestinaux se dilatent et
créent une surpression stomacale ou intestinale.
Symptômes • Violentes douleurs abdominales
Conduite
à tenir
• Redescendre, essayer d'évacuer les gaz de l'estomac
par voie buccale ou de l'intestin par voie rectale.
• Au besoin, recompression en caisson.
• Consulter un gastro-entérologue.
Prévention • Avant une plongée évitez : boissons gazeuses et féculents.
Intestins / Estomac
Pourquoi ne doit-on pas bloquer sa respiration a la remontée ?
• Car si on empêche son évacuation,l’air contenu dans les poumons se dilateselon la loi de Boyle-Mariotte.
• Si l’air déchire les alvéoles pulmonaires,il se répartira dans l’organisme,favorisant l’accident de décompression.
En immersion, pensez a bien expirer, surtout a la remontée.
La surpression pulmonaire
Volume d’air des poumons
en immersion
La surpression pulmonairec’est un volume d’air pulmonaire
trop important a la surface
qui peut entraîner une déchirure
des alvéoles pulmonaires.
Volume d’air des poumons
a la surface
… Pensez a bien expirer…
a la remontée.
Causes
. Blocage de l’expiration à la remontée
. Remontée panique
. Blocage de la glotte (spasme .. Anxiété .. boire la tasse .. effort..)
. Crise d’asthme
Symptômes
. Douleur thoracique .. Gène respiratoire
. Boursouflures au niveau du cou
. Troubles sensitifs .. Visuels .. Maux de tête
. Crise de type épileptique
Prévention. Expirez à la remontée, surtout dans les derniers mètres
. Ne pas donner d’air à un apnéïste
La conduite à tenir ne concerne pas les plongeurs débutants
Allonger la victime si inconsciente et en position semi-assise si consciente.
Proposer de l’Aspirine 500mg, si la victime n’y est pas allergique
avec de l’eau douce, non gazeuse pour prévenir l’A.D.D.
Alerter les secours (en mer : VHF canal 16 .. Portable : 1616 … a terre faites le 15 ou le 112)
Lors d’une plongée, l’organisme se charge en azote, sous l’effet de la pression.
En cas de remontée normale,
les bulles d’azote se forment normalement dans l’organisme,
et sont éliminées par les poumons a chaque expiration.
En cas de remontée trop rapide ou sans respecter les paliers,
les bulles d’azote deviennent de plus en plus nombreuses.
Leur taille va augmenter avec la baisse de la pression (Mariotte).
Les bulles d’azote n’étant pas suffisamment évacuées,
elles vont se former dans le corps et dans la circulation sanguine
gênant ainsi, le bon fonctionnement de notre organisme.
(le principe de la bouteille de coca).
Les accidents de décompression
SANG
Tous les gaz vont du plus concentré vers le moins concentré.
A la remontée :
l’azote est plus
concentré dans le sang
il va donc se diriger
vers l’air alvéolaire
ou il est moins concentré.
A la descente :
l’azote est plus concentré
dans l’air alvéolaire
il va donc se diriger
dans le sang ou il
est moins concentré.
AIR PUR
Echangesalvéoles – capillaires
Airalvéolaire
SANG
Prévention
• Éviter les profils de plongées inversés ou Yo-yo
• Respect de la vitesse de remontée (15 m/min)
et 6 m/ min entre les paliers
• Ventilation ample et calme pendant les paliers.
• Ni efforts, ni apnées pendant et après la plongée
Facteurs
favorisants
• Le poids (les graisses fixent plus facilement l’azote)
• Le tabac .. l’alcool .. la déshydratation .. l’âge
• La fatigue .. le stress .. le froid
• Une mauvaise condition physique
Boire de l'eau avant et après la plongée aide a éliminer l'azote.
Les accidents de décompression fin
En fin de plongée
n’oubliez pas,
vous devez
impérativement …
CO² .. Xénon .. Argon .. vapeur d’eau
Hydrogène .. Néon .. Hélium .. Krypton
1 litre d’air=
1.29 gr
Azote : 78.1% … Oxygène : 20.93%
Lors d'un effort, la respiration est importante,
si on expire mal, les poumons se remplissent de CO².
Le cerveau commande une augmentation de la ventilation
et c'est le cercle vicieux de l'essoufflement.
L’essoufflementest dû au dioxyde de carbone
Causes
• Le froid car il faut produire plus de calories, donc on brûle
plus d'oxygène, ce qui produit en retour plus de CO².
• Les efforts musculaires (palmage .. agitation..)
vont également augmenter le taux de CO²
s'ils ne sont pas suivis d'une expiration adéquate.
• Une mauvaise forme physique ou mentale
• Un détendeur mal réglé .. Une bouteille mal ouverte
• La profondeur .. La mauvaise qualité de l'air .. Le lestage
Symptômes• Augmentation de la ventilation .. Maux de tête
• Nausées .. Vomissements .. Asphyxie .. Syncope
Conduite
à tenir
• Forcer sur l’expiration (expiration active)
• Remonter pour diminuer le taux de CO²
L’essoufflementest souvent dû a une expiration inefficace.
Le mal de mer se manifeste par une sensation de malaise
avec sueurs … pâleur … nausées … vomissements … vertiges.
Les causes
- Le cerveau reçoit des informations venant des 3 canaux semi-circulaires
(sorte de niveau à bulle situé dans l'oreille interne)
qui donnent la position de la tête et donc indirectement du corps.
- Des yeux les repères géométriques externes (verticale .. horizontale)
- Des ligaments participants à notre maintien (pieds .. chevilles .. genoux)
Quand ces 3 indicateurs ne sont pas en accord, le cervelet est perturbé.
La prévention
Évitez : Faim .. Froid .. Fatigue .. Frousse .. ( Les 4F )
Respirez a l’air frais et regardez l’horizon en restant au centre du bateau.
Traitements préventifs (consulter un médecin) : Mercalm .. Nautamine .. Cocculine
L’homme pour maintenir une température constante
produit de la chaleur en fonction de ce qu’il perd.
Plongez avec un vêtement adéquat car le froid
peut entraîner un accident de décompression.
Prévenez le guide de palanquée
dés que vous avez froid.
• Le froid aussi déshydrate … Pensez a boire.
• On ne perd pas de chaleur .. Air : 24 C .. Eau : 33 C
Noyade
Panique
Essoufflement
Produit + de CO²
+ de Ventilation
Thermorégulation
Frissons
La température de l'organisme est d’environ 37 degrés.
On perd 25 fois plus de chaleur dans l'eau que dans l'air.
Cela veut dire que l'on finit toujours par se refroidir . . .
Prévention
Interrompre la plongée
Remonter normalement
Mettre des vêtements secs
Ne pas se frictionner
Absorber des boissons tièdes.
Oxygénothérapie
Limiter la durée des plongées en eau froide
Signaler « j’ai froid » dès les premiers symptômes
Porter un vêtement isothermique adapté.
(Humide … semi-étanche)
Conduite à tenir
Lorsqu'il fait chaud, les vaisseaux sanguins situés sous la peau sont très ouverts afin de favoriser la déperdition de chaleur.Le rythme cardiaque augmente pour accélérer ce refroidissement.
Si l'on entre brutalement dans l'eau froide, la peau se refroidit très vite,et les vaisseaux se contractent rapidement. Le sang reflue vers l'intérieur du corps et provoque une hypertension.
Pour lutter contre cette hypertension, le système nerveux va ralentir le rythme cardiaque. Le cerveau ne sera plus suffisamment alimentéen oxygène et se sera la perte de connaissance.
. Se mouiller les zones riches en récepteurs thermiques :
Nuque .. Thorax .. Dos .. Visage
. Ne pas se baigner seul ou dans des zones non surveillées.
Frissons .. Tremblements .. Maux de tête .. Démangeaisons
* sous réserve d’être plongeur majeur PE-20 ayant suivi une formation complémentaire permettant d’attester de l’aptitude PA-12.
Les prérogatives du niveau 1
Les plongées sont réalisées
sans palier de décompression et sous la surveillance directe
d’un encadrant avec une assistance de surface prête à intervenir.
Conditions d’évolution du débutant en formation PE.20
Niveau
des plongeurs
Espace
d’évolution
Type de
plongée
Compétence
de l’enseignant
Effectif maxi
de la palanquée
Débutant 0 a 6 m Encadrée E1 4 sans l’enseignant
Débutant 0 a 12 m Encadrée E2 4 sans l’enseignant
Presque PE.20 0 a 20 m Encadrée E2 - E3 4 sans l’enseignant
Conditions d’évolution du PE.20 - PA.12 en exploration
PE.20 0 a 20 m Encadrée Guide de palanquée 4 sans l’encadrant
PA.12 0 a 12 m Autonome * / 3 plongeurs
Les tables de plongée
fixent la durée et la profondeur des paliers à effectuer
pour respecter les procédures de décompression.
Elles mettent en rapport le type de plongée
Simple .. Successive .. Consécutive
le temps et la profondeur
Il est préférable de les avoir avec soi en plongée
Une montre étanche Un profondimètrea utiliser avec
Respecter les conditions suivantes :
• Plonger à l'air
• Ne pas dépasser la profondeur maximale de 60 m
• Ne pas faire plus de deux plongées par jour
• Respecter une vitesse de remontée de 15 à 17 m/mn (abaissée à 6 m/n entre les paliers)
• Plonger au niveau de la mer (maxi 300 m d’altitude)
• Ne pas faire d'efforts importants (vitesse 900 m/h)
Elles ont été établies en 1990
par la Marine Nationale d'où leur nom : tables MN90.
La plongée unitaire ou simple suit la précédente de plus de 12H00
Je sors de ma plongée à 7h00, je m’immerge a 20h00
(intervalle de 13 heures), c’est une plongée unitaire.
La plongée consécutive suit la précédente de moins de 15 mn.
Je sors de ma plongée à 11h30, je m’immerge a 11h44
(intervalle de 14 mn), c’est une plongée consécutive.
La plongée successive suit la précédente de 15 mn à 12H00
Je sors de ma plongée à 12H00 .. je replonge à 15H00
(intervalle de 3 heures), c’est une plongée successive.
Durée Totale de RemontéeTemps écoulé entre l’instant ou
la palanquée décide de remonter et
l’instant où la palanquée fait surface.
C .. D .. E
Temps de plongéeTemps écoulé entre l’immersion
et l’instant ou la palanquée
décide de remonter
A .. B .. C
Temps de plongée
(T)
Durée Total de Remontée
(D.T.R)
A E
D
B C
A : L’immersion : L’instant ou la palanquée est sous l’eau.
B : Profondeur maximale (Prof.)
Profondeur la plus basse atteinte durant la plongée même si le temps passé y est infime.
C : Fin de la plongée : L’instant ou la palanquée décide de remonter.
D : Palier : Temps d’arrêt … de sécurité … ou obligatoire …à 9m … 6m … 3m
(Afin que l’organisme évacue une partie de l’azote et ainsi éviter l’A.D.D).
E : Heure de sortie (H.S.) : L’instant ou la palanquée fait surface.
A . B . C : Temps de plongéeC’est le temps écoulé entre l’immersion et l’instant ou la palanquée décide de remonter. Si la remontée est lente, elle fait partie du temps de plongée.
C . D . E : Durée Totale de Remontée (D.T.R)C’est le temps écoulé entre l’instant ou la palanquée décidede remonter et l’instant ou la palanquée fait surface, palier compris.
La profondeur et le temps de plongée définissent les paliers
ainsi qu’une lettre qui servira au calcul d’un Groupe de Plongée Successive ou G.P.S
Les vitesses de remontée
Temps de plongée
T
Durée Totale de Remontée
D.T.R
Remontée lente
Inférieure a 15 m / mn
Remontée
normale
15 a 17 m / mn PALIER
PALIER
30’’ 30’’
3 m
3 m
Remontée
Inter-paliers
6 m / mn
A
B
E
C
LA COURBE DE SECURITE
C’est la courbe qui relie graphiquement la profondeur et le temps de plongée
lorsque ces deux paramètres n’impliquent pas de palier obligatoire.
Il est préférable d’effectuer un palier de principe ou palier de sécurité de 3 minutes à 3 mètres
Zone avec palier obligatoire
20m15m 40m
1h15’
40’
5’
10m 30m
10’
5h30’
20’
25m
2h15’
12m
Profondeuren mètres
10 12 15 20 25 30 40
TEMPSen minutes
330 135 75 40 20 10 5
Si la valeur recherchée n’apparaît pas dans la table
prendre la valeur immédiatement supérieure.
La profondeur et le temps
doivent impérativement être respectés.
Les valeurs a mémoriser
Peut-on rester indéfiniment à n’importe quelle profondeur
et remonter sans précaution spéciale ?
NON
Il faut respecter les vitesses de remontée et
s’arrêter aux paliers imposés par les tables de plongée.
Est-il possible de réaliser des plongées sans palier ?
Oui
A condition de rester dans la courbe de sécurité.Mais il est recommandé de respecter un palier de principe de
3 minutes à 3 mètres.
Les définitions et symboles
des tables de plongée
Temps
de plongéeen minutes
Groupe de
Plongées
Successives
Durée Totale de RemontéeProfondeur des paliers
Profondeur
maxi. atteinte
en mètres
H2040
20
I3145
I6450
Prof.
J11955
G235
F230
G.P.SD.T.R3 mTemps
20Durée du palier
en minutes
La plongée unitaire ou simple
C’est un intervalle temps de 12 heures entre 2 plongées
Avec la table MN90 croiser :
La profondeur maxi atteinte avec le temps de plongée.
Cela détermine la profondeur et la durée des paliers.
Noter la lettre du Groupe de Plongée Successive.
Quand la profondeur ou le temps ne sont pas définis dans le tableau,
on prend les valeurs directement supérieures.
… 9h00 … Michel et André plongent à 20 m et restent 35 min.
La mer est calme et la visibilité parfaite, ils font un palier de sécurité.
Calculer : la durée totale de remontée (DTR) .. le palier (profondeur et durée)
L’heure de sortie (HS) et le groupe de plongée successive (GPS)
Plongée simple : exercice
P = 20 m T = 35’Lecture de la table
Pas de palier(sauf celui de sécurité)
Remontée V.R = 15 m / mnT.R = (20-3) / 15 = 1.10 mn
Remontée de 3 m à 0 m VR = 6 m / mn3 / 6 = 30’’
D.T.R = 5’ (arrondi)HS = HD + T + DTR = 9h40GPS : lettre G
Temps35 mn
D.T.R4’40
20 m
HD
9h00
Paliersécurité
1’10 3’ 30’’
3m
HS
9h40
Déroulement d’une plongée de type exploration
- Pour une plongée du bord ou d’un bateau,
assurez vous de ne rien oublier, consultez votre check-list.
- Écouter les briefing et appliquer les consignes …
du Directeur de Plongée (D.P) et du Guide de Palanquée (G.P).
- Description du site de plongée (choses a voir et risques éventuels).
- Gréer son bloc, s’équiper et check du binôme.
- Mise a l'eau de la palanquée complète et regroupement en surface.
- Durant la descente et l’exploration, ne pas être en dessous du G.P
et être attentif au comportement des plongeurs de sa palanquée.
- Durant la remontée, ne pas être au dessus du G.P.
- Respecter la vitesse de remontée et le 360° avant de faire surface.
- Ok surface, gonflage du gilet stabilisateur et sortir de l’eau
(par l’échelle, rester a distance du plongeur qui vous précède).
- Se déséquiper et ranger son matériel.
- Débriefing de la plongée par le G.P.
- S’intéresser a la faune et a la flore rencontrée.
- De retour a terre … Rincer et ranger tout le matériel.
• Pendant 1 minute, je reste sur place en cherchant
autour de moi et je fais du bruit si nécessaire.
• S’il n’y a personne, je remonte a vitesse contrôlée.
• A 3 m, je fais un 360 en remontant vers la surface
• Je fais un OK surface au bateau de surveillance
et je gonfle mon gilet stabilisateur.
• J’attends le reste de la palanquée et
je reste en visuel avec le bateau de sécurité.
En cas de perte de palanquée.
Sécurité : le minimum obligatoire.
. Ne jamais plonger seul et respecter ses prérogatives de niveau.
. Renoncez à plonger (si pas envie ou pas en forme).
. Informez le guide de palanquée du moindre problème.
. Ne jamais bloquer sa respiration pendant une plongée
. Respecter ses prérogatives de profondeur.
. Touchez le moins possible et ne rien remonter du fond.
. Prévenir le guide de palanquée à 100 bars .. et a .. 50 bars.
. Respectez la vitesse de remontée,
écoutez et regardez avant l’émersion … Ok surface.
. Ne jamais faire d’efforts ni d’apnées après une plongée
. Attendre avant de prendre l’avion
