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2030 Projet ville numérique Votre assistant médical numérique

Digicale

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Dans une optique de création de dispositif numérique futuriste, nous avons choisi d'imaginer ce que pourrait être notre relation avec les organismes de santé et notamment avec notre médecin traitant aux horizons de 2030. En se basant sur les évolutions bio-technologiques et sur les besoins actuels en matière de santé, nous vous proposons notre concept d'Assistance Médicale Numérique : Digicale.

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2030

Projet ville numérique

Votre assistant médical numérique

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Sommair

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I. Analyse de l’existant

I.1 État des lieux du système de santé I.2 Benchmark techn ologique

II. Question éthique III. Formalisation du pro-jet

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Digicale est un dispositif numérique médical alliant les nanotechnologies aux possibilités du web. Ancré dans la démarche de numérisation des données médicales et d’amélio-ration de la gestion des systèmes de soins, ce procédé est mis en place par le médecin traitant du patient.

Ce dernier se voit préscire une pilule renfermant des nanorobots qui se chargeront, une fois dans son organisme, de collecter ses données vitales et d’emettre un signal vers son smart-phone, qui se chargera à son tour de les inscrire en temps réel dans son dossier médical.

Ainsi, le médecin (ou spécialiste en cas de maladie chronique ou de pathologie de longue durée) pourra constater en temps réel l’évolution de la santé de son patient et possèdera des mesures sur le long terme de ses données corporelles. Il pourra ainsi réagir en temps réel et modifier la médication du patient.

Nous parlerons également d’extensions du service qui pourront se greffer sur le smart-phone du patient afin de gérer son alimentation, sa pratique sportive, …

Le nom Digicale est la contraction de “digitale” et “médicale”, deux domaines que nous avons lié au sein de notre dispositif.

Introduction

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Analyse de l’existant

1/ État des lieux du système de santé

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aC B

- Recherche d’un meilleur équilibre entre ce qui peut être pris en charge par la médecine de ville et ce qui doit être traité par l’hôpital.

- Coordonner davantage les différents systèmes de soins : médecins (Permanence des Soins), pompiers, ambulances privées, SAMU. Nécessiter de mutualiser les moyens.

- Contre la variation des niveaux d’af-fluence : prévention et sensibilisation uni-forme selon régions

- Harmoniser les couts de passage- Harmoniser les règles de facturation

des secteurs privés et publics.

- Moderniser/mettre aux normes les locaux

- Réduire les délais- Augmenter le niveau de qualification

des équipes de prises en charges ? « plus il est élevé,

plus le temps de passage est court ».- Nouvelles méthodologies : améliorer la

gestion des flux en mettant en place des circuits différents selon l’état des patients en améliorant leur relation avec les ser-vices disposant de plateaux techniques (biologie, imagerie) et en se dotant de tableaux de bord.

- Meilleure gestion des lits- Adapter les effectifs aux grandes

affluences- Mutualisation des moyens entre les

différents services de l’hôpital- Présence continue d’un personnel

qualifié.

DLa complexité du système tarifaire et l’éclatement du paiement desurgences entre plusieurs modalités de prise en charge sans relation entre

elles ne facilite ni la maîtrise par les établissements ni la connaissance a posté-riori des coûts réels.

- Incitation à la multiplication des actes : le dispositif tarifaire qui, de l’avis même de la DHOS, «incite au volume ».

Amélioration globales pour optimiser les urgences (Cour des Comptes)

Coordination des services de santé Modernisation et optimisation des moyens et ressources

Réduire les disparités entre établis-sements

Maitriser davantage les coûts :

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2/ Benchmark technologique et conceptuel

A/ Technique

MYO :

MYO est un bracelet d’un nouveau genre qui se porte à l’avant bras et qui permet de détecter les mouvements de la main et du bras grâce à la captation des signaux éléctriques des muscles. Cette technologie est une aubaine pour les développeurs car les applications sont illimitées. Cette technologie n’est pas sans rappeler Leap Motion, qui capte l’activité des mains et des doigts devant l’écran d’un ordinateur.

Le Super-Wifi :

Cette invention du français Jean Ducasse ne date pas d’hier et n’est toujours pas en application en France. Elle permet pour-tant d’envoyer des données sur plusieurs dizaines de kilomètres à une vitesse qui s’exprime en mégabits par seconde. Actuellement, le principal utilisateur en France de cette technologie n’est autre que le Minsitère de l’Intérieur.

Nano-technologies :

Les nano-technologies n’en sont encore qu’à leurs balbutiements mais les applications qui découleraient de la maitrise de l’infiniment petit permettraient de nombreuses applications, no-tamment en médecine, afin de régénérer des organes. Ce sera chose possible à l’horizon 2040 ou 2050. On peut également imaginer des patchs cardiaques qui serviraient de pacemakers mi-niatures. Déjà en février 2012, des nano-robots fabriqués par des chercheurs d’Harvard, consti-tués de brins d’ADN, ont été lachés dans un environnement fait de cellules saines et cancéreuses. Ils ont détruit 50% des cellules infectées, laissant les cellules saines indemnes.

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B/ Biologique

Surmédicalisation :

Cette notion évoquée par Ivan Oransky, qu’il constate aux États Unis mais qu’on pourrait cer-tainement appliquer à d’autres continents, met en lumière le fait qu’on distribue de façon abusive des médicaments à la patientèle, des traitements qui de surcroit peuvent provoquer des patho-logies supplémentaires. On tente même de faire de la médecine anticipative en préscrivant des médicaments pour le pré-cancer, la pré-acné.

Soins personnalisés :

Daniel kraft propose ses idées sur l’évolution de la médecine. Son discours met en avant la médecine personnalisée : pour réduire les conflits entre médicaments, chaque médicament serait créé selon les besoins et le passif du patent. Par exemple: si deux médicaments pour deux mala-dies différentes apportent un plus en vitamine B, le médicament créé en deuxième n’en contien-dra pas, permettant ainsi de ne pas soumettre le corps à une double dose non nécessaire.

Suivi personnalisé :

Le journaliste Thomas Goetz explique que la peur n’a pas d’ef-ficacité sur les changements de comportement médicaux (c’est à dire la prévention). Il explique que la meilleure façon de faire chan-ger des comportement - comme se brosser les dents tous les jours - n’est pas de faire peur mais plutôt de proposer le suivi personnel.

Nano-médicaments :

Deux chercheurs ont mis au point une nanocapsule capable de faire désaouler très rapide-ment (des souris de laboratoire pour l’instant). Ces nanocapsules contiennent deux enzymes qui agissent sur le métabolisme de l’alcool.

LaboPuce :

Le scientifique Frederick Balagadde présente un nouvel outil de diagnostique. À L’instar de la miniaturisation utilisée pour les circuits électroniques (ordinateur - smartphone), il propose la miniaturisation d’un laboratoire biologique. F. Balagadde a développé un laboratoire médical sur une puce microfluidique sur laquelle on trouve des canaux de la taille d’un cheveux, des valves, des pompes, des mixers, des injecteurs. Ce laboratoire de la taille d’une puce permet des diagnostiques poussés. Un échantillon de sang ou de salive serait analysé en moins d’une heure : autant de temps de gagné dans le diagnostic de pathologies.

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Une appli pour tout :

Daniel Kraft, évoqué plus haut, réfléchit au futur de la mé-decine couplée à la technologies pour répondre à un certain nombre de problèmes en matière de santé et soins comme les coûts trop élevés. Il s’intéresse aux smartphones et tablettes et à leurs applications. Il cite une application anglaise permettant d’uriner sur un capteur relié à son téléphone pour dépister des MST, vérifier le taux de glycémie ou effectuer un suivi d’évolution du cancer. Il définit les évolutions technologiques sous 4 angles : faster, smaller, cheaper, better (un clin d’oeil à Daft Punk ?).

Dossier médical numérique :

Depuis 2011, le dossier médical tend à s’informatiser pour améliorer le suivi des patients, notamment lors de changement de médecin traitant ou d’hospitalisation. En cas de création de ce dossier, non-obligatoire, le patient garde la main sur son dossier et autorise ou non les professionnels à le consulter.

Patch de diagnostique :

Dans la veine des LaboPuce, la Chinoise Lu Nanshu a imaginé un patch, ressemblant à un tatouage qui change de couleur en fonction des signes vitaux du porteur. Son nom ? Electronic Tattoos.

Thérapie génique et cellulaire :

C’est un objectif à atteindre au cours des prochaines décennies, traiter les malades atteints de maladies génétiques, notamment celles très rares. Le système est assez simple : remplacer le gène défectueux responsable de la pathologie par un gène sain après séquençage du génome de l’individu (le séquençage du génome coutera moins de 100 dollars d’ici 2018). Si la théorie est bien maîtrisée, la pratique n’en est encore qu’à ses balbutiements.

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Cette application est une avancée dans le milieu médical et comme toute évolution elle peut entrainer des effets négatifs sur la société. Notre entreprise souhaite s’engager dans ce projet d’une manière responsable afin que seuls les effets positifs subsistent.

Charte d’ éthique

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3 4

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6

Le système ne remplacera jamais un médecin.

Le système ne sera pas un système répressif.

Le système ne remplacera pas les interventions physiques médicales.

Le système respectera le serment d’hippocrate.

Le système ne fera courir aucun risque au patient.

Le système ne devra pas porter atteinte a l’etre humain dans sa dignité et ses droits fondamentaux

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Formalisation du projet

1/ Description de Digicale

A court-terme, nous appliquerions ce service aux malades chroniques ou aux personnes récemment opérées. Cette simplification du suivi médical s’effectue par l’ingestion par le pa-tient d’une pilule permettant un check-up, un suivi de l’évolution de leur pathologie (maladies chroniques, affections de longue durée) ou un suivi post-opératoire.

Les composantes de cette pilule, des nanorobots, vont recueillir puis envoyer les données médicales du patient en temps réel à son smartphone (ou autre appareil futur) qui les transfert par la suite vers le dossier médical numérique de la personne concernée. Ces informations vont permettre au médecin traitant de déterminer si les traitements sont adéquats, s’il y a une pro-gression de l’état de santé du patient et s’il est nécessaire de le voir pour effectuer des soins supplémentaires. Par ailleurs, un dispositif d’alerte sera mis en place en cas de détérioration soudaine de l’état de santé du patient.

Le patient, quant à lui, pourra avoir accès à certaines données simplifiées pour rendre compte de son état, qui s’afficheront sur son appareil personnel ainsi que des conseils adap-tés pour une guérison plus rapide. Ces conseils, optionnels et configurables, pourront être de l’ordre de la diététique, du sport ou de l’hygiène de vie de manière générale. Le fait de ne pas communiquer au patient les détails de son état avec un vocabulaire médical a pour objectif de pallier un maximum à l’automédication et par conséquent la prise de médicaments inefficaces voire dangereux. Cela évite également tout sentiment d’appréhension ou de pa-nique.

2/ Les perspectives sur le plus long terme

Il serait intéressant de prendre en considération les premiers résultats de l’utilisation de cette pilule sur le public initial (malades chroniques et patients tout juste opérés). Cela per-mettrait évidemment une première amélioration du service, avec des résultats plus précis et prétendant à une plus grande exhaustivité. De plus, cette précision accrue aura pour objectif une réduction significative des coûts de production et donc du prix total de la pilule, pour l’instant non déterminé. Le service pourra par conséquent être accessible au plus grand

Ce dispositif s’inscrit dans la volonté du ministère de la santé de numériser le dos-sier médical des patients afin d’assurer un meilleur suivi.

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nombre afin d’en accroitre l’impact dans le monde médical.

Sur le plus long terme, ce dispositif pourrait permettre la création de médicaments spéciali-sés et plus particulièrement adaptés aux pathologies de chacun. Il existe en effet des produits plutôt génériques ou permettant le traitement de plusieurs symptômes. Afin de prétendre à une réelle réduction des coûts et de la redondance des traitements dans le domaine de la santé, la création de médicaments adaptés serait déjà une avancée considérable.

3/ Agir dans une optique de régulation du système de soin

De manière plus générale, notre dispositif permet de renforcer la confiance des patients envers leur médecin traitant (ou leur spécialiste atittré en cas de maladie sur la durée) qui peut désormais leur proposer un système de suivi en temps réel.

Ce “retour” au médecin traitant s’inscrit dans le processus de désengorgement des ur-gences par de meilleures interventions en amont et une décentralisation des moyens tech-niques en dehors des hopitaux. Ainsi, le service Digicale répond aux prérogatives du compte rendu de la Cours des Comptes sur les urgences de 2007, par la coordination des services de santé et par l’informatisation et l’amélioration technologique des préscriptions/interventions médicales. Les attentes émises dans ce compte rendu ont de plus été réaffirmé par la ministre de la Santé Marisol Touraine au Congrès urgences du 31 mai 2012.

4/ Autres avantages de Digicale

Avoir recours à ce type de service permet d’éviter les contraintes liées aux prises de sang telles que la gestion de l’hyper-sensibilité des patients ou encore l’affaiblissement temporaire possible des suites d’une ponction sanguine.

Aussi, ce dispositif permet d’abolir les distances parfois contraignantes (notamment en milieu rural) entre le patient et le médecin, qui peut désormais suivre l’évolution de l’état de ces patients. Nous le répétons, ceci ne remplace en rien un examen médical et permet seulement d’examiner les signes vitaux primaires du patient.

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Une nouvelle

méthode d’analyse

4/ Le fonctionnement en image

1. Rendez-vous chez le médecin

3. Émission des données du patient

4. Traitement médical si besoin

2. Préscription d’un kit Digicale

- ou chez un spécialiste -

- Vers le smartphone du patient -

- puis vers son DMN* -

* DMN : Dossier médical numérique

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Une nouvelle

méthode d’analyse

1/ Données vitales

Les données recueillies sont les données de bases d’une prise de sang associées aux infor-mations cardio-vasculaires.

La numération, encore appelée formule sanguine ou NFS ou hémogramme, permet de dé-nombrer les différents éléments du sang : les globules rouges (hématies), les globules blancs (leucocytes), et les plaquettes. On contrôle également la glycémie (taux de glucose dans le sang), les taux de lipides (triglycérides, cholestérol, LDL, HDL).

Concernant le coeur, notre dispositif remplacera les deux des quatre examens cardiaques existants : l’électrocardiogramme (ou ECG : examen court) et le holter (examen sur longue durée).

Divers nanorobots contenus dans la pilule assureront ces recueils d’informations au sujet du patient. Un de ces méca-organisme se chargera d’émettre le résultat de cette collecte à intervals réguliers vers le smartphone.

2/ De nouveaux laboratoires

a) Laboratoire de création de médicaments personnalisés

Devant la diversité des patients et la multiplicité des profils génétiques, la création de médicaments spécialisés adaptés à chacun semble de plus en plus inévitable. Chacun de nous réagit différement aux médicaments existants. Les facteurs sont multiples : prédispositions génétiques, caratéristiques physiques et raciales, régime alimentaire ou rhytme de vie.

Selon l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médical (INSERM), l’appellation exacte de ce procédé est la médecine individualisée ou encore le ciblage thérapeutique : “l’objectif est de permettre le choix du meilleur traitement en termes de réponse/toxicité et de bénéfices/risques.”

En plus des dosages et de la conception personnalisée des médicaments, les chercheurs travaillent sur les méthodes d’acheminement de ces médicaments vers les zones du corps vou-lues grâce à des biopolymères qui ciblent certains organes ou certaines cellules.

Ainsi, cette médecine à la carte permettrait d’optimiser les traitements des patients en évi-tant les effets négatifs comme les pathologies iatrogènes (provoquées par le traitement) par exemple.

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b) Laboratoire de construction de nanomachines

Bien qu’il n’existe pas de définition exacte de cette jeune science, le terme de “nanotechno-logie” regroupe les activités scientifiques à l’échelle du nanomètre (10-9 mètre) qui sont liées à l’optique, à la mécanique et à la chimie et ce, à l’échelle macro-moléculaire voire moléculaire. Les nanotechnologies constituent l’avant garde de la course à la miniaturisation des compo-sants électroniques. En dessous de l’échelle atomique, les concepts physiques qui régissent les propriétés mécaniques sont moins connus et laissent place à la physique quantique.

Cependant, la nano-technologie a également donné naissance au terme de nano-toxico-logie, qui étudie la toxicité potentielle des nano-matériaux. En effet, ces particules synthétisées par l’homme possèdent des propriétés uniques qui pourraient nuire à l’homme ou à son envi-ronnement. De plus, la jeunesse de cette science et nos connaisances encore lacunaires sur le sujet augmentent les risques face à celle-ci.

L’idée dans notre dispositif serait d’introduire des nano-robots dans une pilule afin de les faire pénétrer dans le corps du patient. Ces nano-robots se chargeraient de la collecte des données indiquant l’état de santé du patient. Un de ces nano-organismes aurait pour fonc-tion d’émettre à très courte portée un signal à interval donné pour transférer les données vers l’extérieur du corps du patient, c’est-à-dire vers son smartphone, ou tout autre appareil qui assurera la fonction de communication à distance.

Bliographie / Sitographie

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Projet ville numérique 2030 - Année 2013/2014Master CPEAM

Université Michel de Montaigne Bordeaux 3