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STRATÉGIES & PQR LE SCORE La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 17 Août 2007 Qui dit développement durable dit Suez Un des meilleurs scores observés en PQR 66 depuis le début de l’année. Annonceur : Marionnaud Responsable Annonceur : Olivier de Mendez, directeur de la communication Agence Conseil : Hémisphère Droit Responsable agence conseil : Marianne Le Bihan, directrice de clientèle Agence media : Cia : Mediaedge Responsable agence media : Muriel Reyss, directrice de clientèle Méthodologie des tests Impact 66 : Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de 200 interviewés minimum, représentatifs nationalement, en face à face au domicile Définition du score d’impact : Score Vu ou Lu 75 % Dossier: Les Français et l’électronique mobile p. 3 Le marché de la téléphonie, et plus largement celui des terminaux personnels mobiles, continue à mûrir et à se transformer. Après le lancement phénoménal de l’iPhone, et avant son arrivée en France à la fin de l’année, TNS Sofres et In Situ vous emmènent à la découverte de la prochaine génération de portables sur un mode attitudinal ; les Français sont-ils demandeurs de cette convergence ? Quels sont les services phares de cette génération de terminaux ? Et comment en parler ? Le point page 3. Début 2007, l’annonce de ses résultats record obtenus en 2006 aura été pour Suez l’occasion d’une part de voix média exceptionnelle… Mais, comme l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, c’est dans ce contexte que le Groupe Suez a pris par lui-même la maîtrise de sa communication par une campagne PQR 66 de grande facture informative, en réaffirmant avec force et optimisme les valeurs de sa stratégie gagnante. Stéphane Bodier parle avec l’accent p. 4 Crédit photo : Grégoire Korganow/Rapho d’un projet industriel européen : créer un acteur majeur de l’énergie et de l’environnement. À travers tous nos métiers - électricité, gaz, services à l’énergie, eau et propreté - nous touchons à la vie quotidienne de millions de personnes en leur fournissant des biens essentiels. C’est ce que nous avons voulu traduire en 2000 en lançant la marque institutionnelle du groupe avec sa signature « Vous apporter l’essentiel de la vie », sachant que nos clients nous connaissaient déjà par nos marques commerciales. Nos différentes campagnes de ces dernières années ont permis à Suez de s’affirmer comme une marque corporate autour de valeurs fortes. Ce sont nos marques commerciales qui incarnent en premier lieu ces valeurs, parce qu’elles sont présentes sur le territoire et au contact quotidien du public et de l’opinion. Le groupe a donc souhaité qu’elles préservent chacune leur identité, avec leur notoriété et leurs spécificités propres. Le baromètre d’image Groupe - mis en place en 2000 avec TNS Sofres - démontre que le « nom de famille » Suez bénéficie à lui seul d’une identi- fication institutionnelle forte. Il en ressort de nombreux aspects qui relèvent du niveau corporate de la communication mais qui profitent à l’ensemble de ses « marques ». Entretien durable avec Valérie Bernis, Directeur Général Adjoint en charge des Communications et du Développement Durable. Dans la vie industrielle comme citoyenne et personnelle, Suez est partout et nulle part à la fois. Qu’en est-il de l’image de Suez et de la connaissance – par les Français – de vos nombreuses activités ? Valérie Bernis : Rappelons que le groupe est né en 1997 du rapprochement de grandes entreprises françaises et belges autour 18 millions de lecteurs : le media des prises de parole citoyennes suite en page 2… impact 17.qxd 24/08/07 18:55 Page 2

Newsletter Impact n°17

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Page 1: Newsletter Impact n°17

STRATÉGIES & PQRLE SCORE

La newsletter de la Presse Quotidienne Régionale N° 17Août 2007

Qui dit développementdurable dit Suez

Un des meilleursscores observés

en PQR 66 depuisle début de l’année.

n Annonceur :Marionnaud

n Responsable Annonceur :Olivier de Mendez, directeur de la communication

n Agence Conseil :Hémisphère Droit

n Responsable agence conseil :Marianne Le Bihan, directrice de clientèle

n Agence media :Cia : Mediaedge

n Responsable agence media :Muriel Reyss, directrice de clientèle

Méthodologie des tests Impact 66 :

Réalisés par IFOP depuis 1991 sur la base de

200 interviewés minimum, représentatifs

nationalement, en face à face au domicile

Définition du score d’impact :

Score Vu ou Lu

75%

Dossier: Les Français et l’électronique mobile p. 3Le marché de la téléphonie, et plus largement celui des terminaux personnels mobiles,continue à mûrir et à se transformer. Après le lancement phénoménal de l’iPhone, et avant son arrivée en France à la fin de l’année, TNS Sofres et In Situ vous emmènentà la découverte de la prochaine génération de portables sur un mode attitudinal ; les Français sont-ils demandeurs de cette convergence ? Quels sont les services pharesde cette génération de terminaux ? Et comment en parler ? Le point page 3.

Début 2007, l’annonce de ses résultats record obtenus en 2006 aura été

pour Suez l’occasion d’une part de voix média exceptionnelle…

Mais, comme l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même,

c’est dans ce contexte que le Groupe Suez a pris par lui-même la maîtrise de

sa communication par une campagne PQR 66 de grande facture informative,

en réaffirmant avec force et optimisme les valeurs de sa stratégie gagnante.

Stéphane Bodierparle avec l’accent

p. 4

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d’un projet industriel européen : créerun acteur majeur de l’énergie et del’environnement. À travers tous nosmétiers - électricité, gaz, services àl’énergie, eau et propreté - noustouchons à la vie quotidienne demillions de personnes en leurfournissant des biens essentiels. C’est ce que nous avons voulu traduireen 2000 en lançant la marqueinstitutionnelle du groupe avec sasignature « Vous apporter l’essentielde la vie », sachant que nos clientsnous connaissaient déjà par nosmarques commerciales. Nos différentes campagnes de cesdernières années ont permis à Suezde s’affirmer comme une marquecorporate autour de valeurs fortes. Ce sont nos marques commercialesqui incarnent en premier lieu cesvaleurs, parce qu’elles sont présentessur le territoire et au contactquotidien du public et de l’opinion. Le groupe a donc souhaité qu’elles

préservent chacune leur identité,avec leur notoriété et leursspécificités propres. Le baromètre d’image Groupe -mis en place en 2000 avec TNS Sofres - démontre que le « nom de famille » Suezbénéficie à lui seul d’une identi-

fication institutionnelle forte. Il en ressort de nombreux aspects

qui relèvent du niveau corporate de la communication mais qui

profitent à l’ensemblede ses « marques ».

Entretien durable avec ValérieBernis, Directeur GénéralAdjoint en charge desCommunications et du Développement Durable.

Dans la vie industriellecomme citoyenne etpersonnelle, Suez estpartout et nulle part à la fois. Qu’en est-ilde l’image de Suez etde la connaissance –par les Français – de vosnombreuses activités ?Valérie Bernis : Rappelons que le groupeest né en 1997 du rapprochement de grandes entreprises françaises et belges autour

18 millions de lecteurs :le media des prises de parole citoyennes

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Page 2: Newsletter Impact n°17

Précisément,que recouvre cetteperception duGroupe Suez en tantque tel ? V.B. : Clairement vu commeinter-national, Suez est perçucomme un groupe privé « fort »et intemporel. Il associe des

valeurs de gestionnaire privé - telles que performance,rentabilité et efficacité - à celles du service public :l’exigence, l’intérêt collectif, l’ancrage territorial et uneforme de proximité citoyenne.

«« UUnnee mmaarrqquuee ccoorrppoorraattee oommbbrreellllee,, qquuiissee ffaaiitt llee nnoomm ddee ffaammiillllee ddee cchhaaccuunnee

ddeess mmaarrqquueess ccoommmmeerrcciiaalleess pprréénnoommss !! »»Suez est également bien associé à ses trois métiers quesont l’eau, l’énergie et la propreté. Le groupe est reconnupour son éthique et sa transparence et bénéficie d’unesolide réputation. Cette notion recouvre des exigences quidépassent le critère plus commun d’image-notoriété. En ayant réussi sur le terrain de la bonne reconnaissance denos métiers, c’est notre architecture de marques qui s’entrouve validée.

Pour refaire cette pédagogie globalede vos métiers, vous avez joué surd’apparents paradoxes.S’agissait-il de lever des freins oude régler des problèmes d’image ?

V.B. : Absolument pas. À l’initiative de Gérard Mestralletlui-même, cette campagne était l’occasion de partageravec l’ensemble de nos publics cibles - à commencer parles collaborateurs du Groupe - la satisfaction collective liéeà nos exceptionnels résultats financiers. Il s’agissait deréaffirmer tout le sens global ainsi que les valeurs quiportent et justifient nos succès pour l’ensemble de nosactions et métiers défendus par nos marquescommerciales.Qu’est-ce que ce groupe est capable d’apporter par rapportau grand défi planétaire du changement climatique ? La mécanique a consisté à poser les questions clés quipréoccupent chacun à l’échelle de la société, dans uncontexte de prise de conscience désormais avéré pour le développement durable. Cette pédagogie par questions-réponses décrit la posturepositive de Suez, et sa capacité à s’expliquer sur lesdifférents aspects qui font ses priorités stratégiques :producteur d’énergie ET réducteur de la consommationénergétique ; performance économique ET protection del’environnement ; puissance de 200 millions de clientsparticuliers au travers le monde ET soucis de la satisfactionau niveau individuel par un service de proximité ; défensede l’action en bourse record ET exigence dans les actionssociales… Pour chaque promesse optimiste, sa preuve et son argu-mentation !

«« LLaa bbeellllee rreeccoonnnnaaiissssaannccee dduu ttrraavvaaiillaaccccoommppllii ppaarr lleess ééqquuiippeess,,

eett ddee llaa ccoonnffiiaannccee aaccccoorrddééeeppaarr nnooss aaccttiioonnnnaaiirreess »»

La campagne est aussi une belle reconnaissance du travailréalisé par les équipes. Elle intègre un effet d’annonce surce qui sera fait des bénéfices : des dividendes importantscomme reconnaissance de la confiance accordée par nosactionnaires ; une politique de recrutement volontaristeavec sa perspective massive d’emplois ; la consolidation dela confiance de la part du citoyen potentiellementactionnaire. Partage et transparence, dans la stratégiecomme dans la gestion…

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STRATÉGIES & PQR

VERBATEAM

ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… ça bouge… n Le Télégramme met en ligne sur son site le premier journal vidéo quotidien réalisé par la rédaction : « JT Web », 5 à 7 minutes d’informations locales et régionales. n Var matin publie un nouveau supplément immobilier. n La Voix duNord lance lavoixeco.com site dédié à l’économie et relance son site pleinemploi.com. n Lancement par les Dernières Nouvelles d’Alsace de City Strass, gratuit strasbourgeois centré sur les bonnes affaires et dédié aux urbains. Par ailleurs, avec l’artiste Ben, le quotidien a lancé une campagne pour le civisme : « Je pense donc j’élis ». n L’Union et l’Ardennais mettent en ligne leur nouveau site internet et lancentun supplément « Spécial TGV Est ». Par ailleurs, la nouvelle formule de son quotidien du 7ème jour passe au format tabloïd. n Sud Ouest lance avec El Diario Vasco un supplément mensuel transfrontalier gratuit « Sans Frontières » mêlant français, espagnol et basque. Par ailleurs, le groupe lance sa plateforme de blogs gratuits : www.blogsudouest.com n Nice Matin publie un nouveau supplément hebdomadaire tout en italien « 7 giorni »vendu 1 euro. Par ailleurs, après Cannes, Grasse et Antibes, voici « maville.com » à Nice et Menton n Démarche Cross Media pour les Journaux du Midi (Midi Libre, Centre Presse et l’Indépendant) qui développent la diffusion en parallèle des informations sur tous les supports : papier, web, télé, radio et téléphones mobiles. n A l’occasion de la Coupe du Monde de Rugby, une douzaine de quotidiens régionaux s’unissent pour publier unhors série « La grande fête de la planète Rugby » accompagné d’un DVD des plus belles images des coupes précédentes. n Pour fêter le 60ème anniversaire du Critérium du Dauphiné, un livre anniversaire « La grande histoire du Critérium du Dauphiné Libéré » est publié par les Editions du Dauphiné. n Ouverture du site laprovence.com par la Provence : informations en continu, vie pratique mais aussi blogs et interactivité.

Quand on fait de la délégation de service public,on se doit aussi d’être proche

Olivier CramierDirecteur Conseil en charge du pôlecommunication des entreprises &Publicité Corporate de Publicis Consultants.

« C’est dans un contextepolitico- économique particulière-ment délicat que SUEZ a souhaitéréaffirmer toute la puissance et la richesse de son modèleéconomique, en montrant son vraivisage du Groupe, loin desrumeurs et bruits hostiles : sesperformances exceptionnelles, ses bons choix stratégiques, la solidité de ses perspectives.»« Suez aime à rappeler samission de service au public dansla recherche du bénéfice client,toujours dans une posture humble,jamais ostentatoire, toujoursemprunte de relation. Au centrede la culture Suez, il y a le fait quele modèle économique n’a de sensque s’il s'exprime dans laconvergence du respect envi-ronnemental, social et écono-mique.»« Les choses se sont faites endeux jours ! Un appel de JacquesVan Hee (Vice Président Corporate)un matin ; une réunion dans sonbureau l’après-midi ; une nuit detravail avec Marc Vanesson(Directeur Conseil pôle Publicité),Charles-Henry de La Londe(consultant) ainsi que les créatifs,et la campagne était créée etvalidée avec Karine Rachmann(responsable de la communicationCorporate Suez) en 48 heures !»« Avec Karine, nous avons uneméthode et des habitudes detravail au cordo. Quand en plus lefruit est mûr, l’inspiration descréatifs n'en est que plus rapide etefficace !»« La mécanique du question-réponse en teasing-révélation aséduit. Après, on n’avait plus qu’àpiocher dans les fondamentaux deSuez tant il y a de choses à diredans leur histoire !»« La PQR place notre discours aunom d’un lien : lien avec lescollectivités locales, avec l’opinionqui résulte des relations quoti-diennes, avec les citoyens etconsommateurs, avec les action-naires, avec les tissus économique,associatif. Elle apporte son propresens, sa propre richesse au mes-sage.»« Elle fertilise les messages,parce que c’est un média incarné,comme un « messager media.»»

Que pensez-vous de l’engouementqui semble s’affirmer en France pour le développement durable et le respect de l’environnement ?Quelle est la positon de Suez dans ce contexte ?V.B. : Les questions de développement durables sont dansnos gènes pour la simple raison qu’il s’agit à la fois ducœur de notre stratégie, de la finalité de nos activitésquotidiennes, et du principal apport que l’on a vis-à-vis dela société. Que l’on soit une collectivité locale, un industriel,un citoyen, la question du développement durable vousrenvoie toujours – comme pour un enfant ! - aux mêmespensées : éteindre la lumière ; réduire ses déchets etpréserver l’eau. Tout est dit puisque ce sont les troisactivités du groupe : énergie, eau, propreté !

«« NNoottrree ppoossttuurree ppoossiittiivvee eesstt àà llaa mmeessuurree ddeess ssoolluuttiioonnss qquuee

nnoouuss aappppoorrttoonnss.. »»Ce qui fait notre force et notre croissance, c’est précisémentle fait que nous soyons apporteurs de solutions en cesdomaines. Cette posture positive n’est pas un artificepublicitaire, ce qui d’ailleurs est contraire à notre culture. Dans un contexte de réelle prise de conscience collective,le PQR 66 nous permettait d’oser et poser les vraiesquestions partout en France, mais pas pour nourrir la dramatisation ambiante. Nous délivrons au contraire lesprincipales clés des solutions, sur les trois piliersindissociables qui font toute problématique, touteréflexion, toute responsabilité de développement durable :le social ; l’économique (en affirmant que le dévelop-pement durable recèle des débouchés nouveaux nonenvisagés auparavant) ; l’environnemental.Je pense que, devant l’engouement actuel des politiques,des compétiteurs et du monde extérieur au sens large surces thèmes du développement durable, nous entrons dansun carrefour de légitimité des discours tenus. À ce titre, ilnous semble important que Suez joue son rôle de diapasonet donne à réfléchir au plus grand nombre, sur la basesolide de son expertise et de sa légitimité professionnellede premier plan. La Presse Régionale était le lieu idéal pourle faire, car c’est un média qui réunit nos cibles et qui est,en tant que tel, un espace média générateur de débat etd’opinion.

Propos recueillis pour IMPACT PQR par VERBAHUIT,Emmanuel de Chevigny. [email protected]

Valérie Bernis

« La presse

écrite régionale

fonde sa légiti-

mité sur tous

les points d’appui

de notre cam-

pagne : les politiques économiques,

environnementales et sociales de Suez.

Elle y rajoute par elle même la

dimension sociétale. »« Il n’y a pas de campagne Suez quine puisse être présente en presserégionale, car il s’agit toujours dedonner du sens à l’ensemble de ses « marques commerciales »… qui sontpartout enracinées en France. »« Pour moi, le PQR 66 est par naturele média universel de l’écrit. C’est unmass média qui sait allier pour sonlecteur la raison et la passion,l’information rationnelle avec son échoémotionnel « localisé », le citoyen et le consommateur, l’actionnaire et le client bénéficiaire, l’économique etle social… »« Généreuse en information,voulant partager avec l’ensemble deses multiples publics-cibles les raisonsd’être optimiste sur ces questionsmajeures : à votre avis, je parle de la PQR ou de notre campagne ?! »

VERBATIM

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Un souffle mondialpour des convictionsplanétaires

Lancé dès 2000autour de 10grands princi-pes qui portentsur les Droits del’homme, dutravail, la pré-servation de

l’environnement et la lutte contre lacorruption, le Pacte Mondial desNations Unies s’est affirmé comme unlieu privilégié d’échanges entre lesNations Unies, la communauté desaffaires, les syndicats et la sociétécivile. Objet : le partage des initiatives, la promotion des valeurs et des expé-riences relevant d’un managementglobal responsable.Suez a fait partie des premières entre-prises à y adhérer. Il y contribue acti-vement par sa réflexion sur laresponsabilité sociétale des entrepri-ses et à sa concrétisation sur le terrain.Les travaux de Suez s’appuient sur denombreux partenariats internationauxet réseaux d’échanges.

Cré

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En savoir plus :

www.suez.com rubrique Développement Durable,Adhésions et Partenariats.

www.csreurope.org

www.wbcsd.org www.wbcsd.org

www.unglobalcompact.org

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Page 3: Newsletter Impact n°17

IN SITU MARKETING

Combien y a-t-il chez vous de terminaux mobiles ?Faites le compte de ce qui pèse dans vos poches,remplit vos valises pour un week-end ou vousaccompagne en voyage : un Blackberry ou autreassistant personnel, un iPod ou autre baladeur, unappareil photo numérique, peut-être une caméraDV, sûrement un mobile tout simple, éventuel-lement un lecteur de DVD de voyage et trèsprobablement un ordinateur portable… Nous necomptons évidemment pas les kilomètres de filsd’alimentation ou de connexion de ces appareils…ni ce qui est passé au rebut depuis le début desannées 90 : les bi-bop, téléphones de voitureavec batteries intégrées (5 kgs tout de même..),walkman, enregistreurs à cassettes, calculatrices,répertoires électroniques, convertisseurs d’euroset radios portables !

La convergence,une évidence ?Si vous lisez cette lettre, vous faites probablementpartie d’un univers de trend-setters qui sourient àcette énumération en vous disant qu’effective-

ment, la réunion detous ces « devices »est une attenteévidente. Peut-êtremême avez-vousdéjà commandé uniPhone pour la finde l’année ? …

Si c’est le cas, sachez que tout ne va pas (encore)de soi. En effet, selon une étude réalisée par TNSSofres en juillet 2007, 49% des consommateurspréfèrent encore aujourd’hui des termi-naux spécialisés (musique, téléphone, photo, e-mails…) à un terminal unique intégrant toutesles fonctions (40% des interviewés). À la base decette réticence, on trouve principalement la peurde la panne (29%), et donc le sentiment très fortde dépendance à son terminal, qui devient dansnos sociétés une extension de mémoire, un lienavec le monde, un compagnon de loisirs, un objetsocial indispensable dont la « mort » possible oula « maladie » qui guette apparaissentextrêmement anxiogènes. D’ailleurs, pour 18%des interviewés, si on perd son appareil « onperd tout ! ». À quand l’assurance « perte demobile » et la sauvegarde permanente ?

Plus rationnels, 14% des Français estiment que la convergence se fait au détriment de la qualité(« la qualité d’un appareil unique est inférieure àcelle d’un appareil spécifique ») et 12% estimentin fine qu’avec plusieurs appareils, c’est « plussimple ». Les autres raisons, plus prosaïques, derefus d’un appareil « convergent » ont trait auprix supposé, à la fragilité, à la capacité mémoireou à la complexité d’utilisation d’un tel terminal.

Early adopters : unerecherche de « légèreté »Comme il faut s’y attendre, les « early adopters »,« influenceurs » et autres « future shapers » ou « future makers » voient, eux, déjà la révolutionde la convergence comme une réalité tangible(45% en attente du terminal unique vs. 29%fidèles à des terminaux dédiés).

Auprès des jeunes générations, la cause est déjàentendue : 51% sont déjà en attente du terminalunique (contre 43% fidèles à la spécialisation desappareils) ; quelles raisons réunissent ainsi lesjeunes et les « geeks » suppliant les firmes deprécipiter le mouvement de la convergence ? La praticité, tout simplement. Pour 77% c’est « plus pratique ». Pour 32% c’est surtout « moinsencombrant ».

Les fonctionnalités de demain : entre gadget,info et pratiqueQuelles fonctionnalités devront donc intégrer cesterminaux convergents, puisqu’il semble acquisqu’ils sont la prochaine génération de mobiles ?Les services à valeur ajoutée de demain alternententre le très pratique (monétisation) et le plusludique (image, musique).

TNS Sofres distingue deux indicateurs : le tauxd’usage actuel et le taux d’appétence pour les

différents services imaginables. La différenceentre le premier et le second définit un potentielde commercialisation plus ou moins grand.L’analyse fait apparaître en tête des attentes (etdes potentiels de marché) la visiophonie, c’est-à-dire la possibilité de voir son correspondant etd’être vu par lui. Autrement dit unecaractéristique déjà présente sur de nombreuxmobiles de dernière génération, et un servicedont l’utilité ne semble pas avérée... Vient ensuiteune fonction importante, bien que, là aussi, peunouvelle : la fonction information, et plusprécisément la possibilité d’écouter la radio àpartir de son mobile (l’écoute de la TV en directn’arrivant qu’en… 8ème position). Cette fonction,placée en deuxième position des potentiels decroissance en terme de services ouvre une brècheimportante par sa signification : le mobile (outerminal numérique intégré) acquiert un peu plusle statut de nouveau support d’informationmultimédias.

Plus novateurs les services de géolocalisation (le TomTom dans votre téléphone ?) et la

capacité des futurs terminaux à servir de titre detransport sont étonnamment bien placés dans ce ranking. Les Français se voient donc sans plusde difficulté rejoindre la tendance nippone àutiliser le combiné téléphonique comme unterminal de paiement et à la façon d’une cartebleue… ou d’une carte orange pour commencer.On retrouve d’ailleurs les fonctionnalités « cartede crédit » en 7ème position de ce classement.

Les autres services plébiscités sont desdéclinaisons grand public de technologies déjàdisponibles, qu’il s’agisse de téléchargement demusique, de messagerie, de gestion d’e-mails oude consultation de sites.

Le marché de demain… ou d’après-demain ?Reste que ces services, intégrés et convergents,ne deviendront une réalité qu’à condition de fairela preuve de leur ergonomie et de leurperformance, relativement aux usages actuels viales classiques terminaux séparés, ordinateurs,appareils photos, baladeurs, etc.

On a beaucoup dit que la consommation desFrançais était tirée par les dépenses decommunication, et notamment la surconsom-mation récente de services en lignes etaudiovisuels, ainsi que les divers abonnements àces prestations. On pourrait donc penser que le premier handicap au développement de ces nouveaux services et terminaux serait le prix,nos concitoyens mettant le hola à de nouvellesfacturations. Il n’en est rien : parmi les raisons(projectives) que les Français auraient de ne pasutiliser ces services, ils ne citent les coûts qu’en 3° position (13% d’entre eux) loin derrière les autres raisons plus logiques (pas d’intérêtressenti : 36% et préférence pour l’ordinateur :16%). Le champ semble donc largement ouvertpour la nouvelle génération de téléphonie « touten un », pour peu que les différents opérateurssachent en parler (voir cartouche)… ce quin’apparaît pas encore évident !

En savoir plus : [email protected] ou télécharger tous les résultatsde l’enquête de Valérie Morrisson sur la mobilité : www.tns-sofres.com

Qui ne s’est jamais interrogé en visionnant les spots TV de tel ou tel opérateur télécom oufabricant de terminaux sur ce que monsieur« tout le monde » pouvait bien comprendre àce monde onirique où les gens volent d’uncontinent à l’autre ou jouent avec desabstractions sensées symboliser la communi-cation, la sociabilité ou l’ubiquité ?

Si les Français semblent à même de comprendrequ’il faut éviter de prendre un abonnement chez« crétin.fr », le tableau ci-dessous montrequ’un fossé semble se creuser entre lesindustriels et le grand public.

Si les principaux concepts de l’internet (les « box », l’« ADSL », le « Haut Débit » et… le « téléchargement » !) et de la TV (la « TNT»)sont majoritairement compris et assimilés, il n’en va pas de même de termes pourtant trèslargement usités par les journalistes grand

public, des quotidiens comme du 20h.

Ainsi, moins de 50% des Français savent cequ’est un blog ! Et que dire du concept detélévision numérique, dont 42% des Françaisseulement savent ce que signifient les deuxlettres « HD ». Pour rester dans l’univers de la TV, 83% des Français ignorent encore ce qu’ilfaut mettre derrière les trois lettres « VOD ». En matière de téléphonie aussi, les derniersconcepts développés semblent abscons au plusgrand nombre : 23% des Français comprennentle vocable « 3G »… ce qui n’est pas trèsrassurant sur la capacité des opérateurs à faireadopter leurs dernières technologies.

Pour la bonne bouche, les « podcasts » dont les radios (mais pas seulement) parlentmaintenant comme d’un service commun, est un terme qui n’évoque rien d’autre qu’ungrand flou pour …90% des Français !

NTIC : la pédagogie, un enjeu de communication énorme

3

Les Français et l’électronique mobileSteve Jobs vient à nouveau de créer l’événement en écoulant un demi-million d’appareils au cours des premières semaines

de vente de son iPhone. La «désirabilité» de la marque Apple est-elle seule responsable de ce cas marketingou bien prédictive d’une intégration maximale des fonctions nomades dans les mois ou les années à venir ?

TNS Sofres sort opportunément une étude qui décrypte ce «nouveau» marché.

ligne sur son site le premier journal vidéo quotidien réalisé par la rédaction : « JT Web », 5 à 7 minutes d’informations locales et régionales. n Var matin publie un nouveau supplément immobilier. n La Voix duffaires et dédié aux urbains. Par ailleurs, avec l’artiste Ben, le quotidien a lancé une campagne pour le civisme : « Je pense donc j’élis ». n L’Union et l’Ardennais mettent en ligne leur nouveau site internet et lancentSans Frontières » mêlant français, espagnol et basque. Par ailleurs, le groupe lance sa plateforme de blogs gratuits : www.blogsudouest.com n Nice Matin publie un nouveau supplément hebdomadaire tout en italien « 7 giorni »

ppent la diffusion en parallèle des informations sur tous les supports : papier, web, télé, radio et téléphones mobiles. n A l’occasion de la Coupe du Monde de Rugby, une douzaine de quotidiens régionaux s’unissent pour publier une « La grande histoire du Critérium du Dauphiné Libéré » est publié par les Editions du Dauphiné. n Ouverture du site laprovence.com par la Provence : informations en continu, vie pratique mais aussi blogs et interactivité.

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Visiophonie

Taux d'appétenceTaux d'usage actuel

Radio via le portailde l'opérateur

L'utilisation du mobilecomme titre de transport

Les servicesdes géolocalisation

Le téléchargementde musique

La consultation de sitesinternet mobile

L'utilisation du mobilecomme une carte de crédit

La télévisionen direct

L'émission ou la réceptiond'e-mails

Le service de messagerie instantanée

Plutôt bien savoir de quoi il s'agitPas du tout savoir de quoi il s'agit

Très bien savoir de quoi il s'agitDéclarent...Plutôt mal savoir de quoi il s'agit

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Internet haut débit

L'ADSL

La TNT

Le téléchargement

Les Box (Livebox, Freebox, Neufbox)

Le téléphone par internetLes blogs

La télévision numérique HD

La téléphonie 3G

La video ondemand

Le Peer to Peer

Le pod cast

Le streaming

ST savent biende quoi il s'agit

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Page 4: Newsletter Impact n°17

STABILODATES

é Solitaire du FigaroDu 31 juillet au 22 août 2007

é Journée Internationalede l’Education7 août 2007

é Journée Internationalede la Jeunesse22 août 2007

é Assomption15 août 2007

é Journée Mondialede la Jeunesse16 août 2007

é Championnat du Monde d’AthlétismeDu 24 aoûtau 2 septembre 2007

é Journée Mondiale du blog31 août 2007

é Rentrée des classes 4 septembre 2007

é Coupe du Monde 2007de RugbyDu 7 septembreau 20 octobre 2007

é Coupe du Mondede Football fémininDu 10 au 30 septembre 2007

é Journée Mondialede la prévention du suicide10 septembre 2007

é Journée Mondialedes premiers secours10 septembre 2007

é Journées du Patrimoine15 et 16 septembre 2007

é Semaine de la mobilité(des Transports Publics)Du 17 au 23 septembre 2007

é Journée Mondialede la surdité21 septembre 2007

é Journée Mondialede la maladie d’Alzheimer21 septembre 2007

é Journée Internationalede la Paix21 septembre 2007

é Journée Mondialesans voiture22 septembre 2007

é Automne23 septembre 2007

é Virades de l’espoir –Vaincre la mucoviscidose23 septembre 2007

é Journée Mondiale du coeur25 septembre 2007

é Cuisines en fêtesDu 29 septembreau 1er octobre 2007

é Salon International du CycleDu 29 septembreau 2 octobre 2007

é Salon Internationalde la MotoDu 29 septembreau 7 octobre 2007

é Semaine du goûtDu 15 au 21 Octobre 2007

é Semaine de la Réductiondes déchetsDu 5 au 11 novembre 2007

é Lire en FêteDu 19 au 21 octobre 2007

CGV et calendrier annuelcomplet sont disponiblessur demande auprèsdes régies du PQR 66(voir rubrique Services& Études PQR pour les contacts).

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EVENEMENT, PQR 66propose à tous les

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communiquent enpleine page quadri sur une des dates

ci-dessous.Choisissez la vôtre !

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MÉMO SERVICES

En directsurwww.pqr.org

Mesures d’audience et média marchés

• EPIQ 2006. Audience du PQR 66,mais aussi de la PQN, de la PQG et dela PHR en ligne sur le site.

• EPIQ Cumul 2005/ 2006. Tous leschiffres d’audience et les carto-graphies associées de 36 titres et 16 groupes de PQR.

Mesures d’audience sur cibles Décideurs

• La France des Cadres Actifs 2007(Ipsos)

• Les Décideurs de la GrandeDistribution (Ipsos).

• Les Décideurs des CollectivitésTerritoriales (Ipsos).

Mesures de l’efficacité

• Suivi Impact 66 : base dedonnées compilant plus de 250 000 interviews et 2 500 post-tests d’impact sur les treizedernières années (IFOP). Baseenrichie chaque année d’unecentaine de tests d’impact (IREP2003 : la Persistance Mémorielle).

• PQR-PRO : post-tests SOFRES surla cible des décideurs, via laméthode du CAWI. Plus de 40 tests réalisés depuis 2003.Réservé aux annonceurs B2B(IREP 2004).

• PQR-SCAN : post-tests et pré-tests d’efficacité sur les ventesréalisés sur les marchés testsd’Angers et Le Mans - MarketingScan (GFK). Réservé auxannonceurs Grande Conso.

Autres infos sur www.pqr.org Les Unes du jour chaque matin,tout sur les Titres, les études, les standards d’impact, les tarifs,les diffusions, les événements, les contacts commerciaux, lescréations, ... Accès libre et accèsréservé aux médiaplanners.

Contactez directement votre régie :

• Com>Quotidiens 01 55 38 21 00

• Quotidiens Associés 01 41 34 97 26

Pour tout contact avec laRédaction d’IMPACT PQR :

01 40 73 85 [email protected]

MA PQR À MOI

Stéphane BodierPrésident d’InitiativePrésident de l’OJD

P Votre PQR à vous, c’est où et quand ?

En tant que lecteur, je lis mon jour-nal et non la PQR… nom bar-bare de publicitaires, bienloin de la réalité des gens.Je lis tous les matins LeParisien, vers 7 heures, ettoujours avec mon café.Café-Parisien, c’est monexcitant quotidien pour biendémarrer avec le sourire ! C’estun outil de plaisir plus que de tra-vail, au même titre que lorsque je lis La Dépêche chezmoi dans le Lot.

P Infos générales, régionales, locales : quel est letiercé gagnant de votre lecture ?

Je lis selon les surprises du jour, sachant qu’avec les 3/4de l’éditorial pour les infos nationales et internationa-les, Le Parisien est un titre particulier de PQR. Grâce àlui, je gagne mes galons de père intelligent et bien-veillant. Mes enfants doivent beaucoup de bonsmoments à “la double” Que faire ce week end !

Visite de Vaux-le-Vicomte, matchs de boxe, de foot(pour un enfant qui défend encore le PSG !), le nouvelaquarium du Trocadéro (hors de prix, mais Le Parisienm’avait prévenu)… je n’ai qu’à adapter l’info aux goûtset passions de chacun !

P Si vous étiez président d’un journal régional, queferiez-vous ?

J’embaucherais des jeunes et je renforcerais la part del’information locale.

La raison d’être numéro un de la PQR, c’est l’informa-tion de proximité. En France, il apparaît plus noble auxjournalistes de traiter les informations nationales etinternationales… Il faut changer ce regard, car le lec-teur a besoin de leur talent, pour passer du “correspondant local” au “journaliste du local”.

Si l’on regarde la seule culture, il y a un potentiel informatif énorme. L’émergence actuelle des groupes de rock qui se produisent à prix abordables dans un kyrielle de petites salles, par exemple, c’est plus important pour les jeunes que le dernier concert deJohnny ou Georges Mickael à 100 euros la place au Stade de France. Il faut des jeunes journalistes qui y soient présents pour nous !

P Mais la PQR est une presse par vocation généraliste…

Certes, mais si elle veut êtregénéraliste demain,

elle doit être jeune aujour-d’hui. Et pour être jeune, il faut traiter des sujets dejeunes avec des mots de jeunes.

C’est la problématique com-mune des grands médias géné-

ralistes comme TF1 ou RTL, et pascelle de la PQR en particulier ! A chacun son risque surl’audience : l’émergence des “musicales” pour la radio,des “thématiques” pour la TV, les gratuits pour la PQR.

P Si vous étiez commercial en régie que diriez-vous ?

La proximité (géographique, culturelle,) avec la réalité de la structure d’audience d’un lieu donné.Même si cela varie d’une zone à l’autre, il n’y a pas

de média plus puissant et qui pénètre mieux la zonede chalandise d’un hyper, d’unmagasin, d’une banquecomme d’un concessionnaire !C’est le complément écritdes grands médias généra-listes, comme TF1, en ter-mes d’audience et destructure d’audience.

La PQR a toutes les qualitéspour servir tout type d’objectifs decommunication.

P Un conseil pour faire évoluer les offres ?

Il faut que l’annonceur puisse mieux capitaliser sur laforce de contexte de la PQR, en publi rédactionnel parexemple. Ici, je pense que les directions de rédactionpeuvent être plus confiantes : elles peuvent comptersur la maturité et la capacité de discernement de leurlecteur qui sait parfaitement dissocier ce qui relève del’information ou de l’usage publicitaire d’un média. Entout état de cause, c’est un vrai enjeu que de pouvoirmieux s’appuyer sur la forte et attractive caution de ces“marques” PQR !

P Un slogan pour finir ? Allez, juste un !

En tant que co-inventeur du dispo-sitif PQR 66 avec Alice, je dirais

qu’on ne peut pas fairemieux que ce que l’on a faità cette époque ! Je suistrès fier d’y avoir participé,et mon attachement àcette presse est viscéral.

Dans sa position centrale, jesouhaite à la PQR d’être tou-

jours plus à l’écoute de ses lec-teurs, des élus, des chefs d’entreprises… mais aussi despublicitaires.

Je dirais : “Bougeons-nous ensemble la PQR !”

Propos recueillis par Verbahuit. Emmanuel de Chevigny. [email protected]

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Café de Paris

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