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LE BONJOUR DU «SOIR» Ksentini, qui n’est pas connu pour être un agitateur trotskyste, parle de pratiques maffieuses ayant conduit à des marchandages de voix dans l’élection des APC et des APW. Louisa Hanoune, qui est une véritable trotskyste elle, a évalué à 8 millions de dinars le prix d'une voix au profit de tel ou tel candidat. A l’APN, des élus de différents partis optent pour le TAJ de Ghoul qui peut disposer ainsi d'un groupe parlementaire ! La prochaine fois, un parti ayant récolté zéro candidat pourra s’acheter des députés et siéger à l’hémicycle ! On ne sait plus quand, ni où s’arrêtera ce cirque. Et ces clowns qui se la jouent politique n’ont même pas l’étoffe des vrais mafiosi : la mafia américaine a beaucoup bâti en Amérique et celle d’Italie a édifié des pans entiers de l’économie italienne. Quant à ces bouffons, ils ne savent que détruire ce beau pays ! Finalement, n’avons-nous pas fait le bon choix en boycottant ce souk sordide ? [email protected] «Hier, en feuilletant mon album, j’ai découvert un truc insensé ! Plus la photo est vieille, et plus on a l’air jeune !» Tata Aldjia Le prix d’un élu LUNDI 10 DÉCEMBRE 2012 - 26 MOHARAM 1434 - N° 6738 - PRIX 10 DA - FAX : RÉDACTION : 021 67 06 76 - PUBLICITÉ : 021 67 06 75 - TÉL : 021 67 06 51 - 021 67 06 58 Edition d’Alger - ISSN IIII - 0074 PREMIÈRES MESURES DE SELL AL À P ARTIR DE JANVIER 2013 L’accès au crédit et l’ouverture de comptes facilités PRA TICIENS DE L A SANTÉ PUBLIQUE Grève nationale le 18 décembre PAGE 3 PAGE 3 LE SG DU FLN SAISIT BOUTEFLIK AE T SELL AL BELKHADEM- OULD KABLIA : le bras de fer PAGE 3 Photos : Samir Sid

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LE BONJOUR DU «SOIR»

Ksentini, qui n’est pas connu pour être unagitateur trotskyste, parle de pratiquesmaffieuses ayant conduit à des marchandagesde voix dans l’élection des APC et des APW.Louisa Hanoune, qui est une véritabletrotskyste elle, a évalué à 8 millions de dinarsle prix d'une voix au profit de tel ou telcandidat. A l’APN, des élus de différents partisoptent pour le TAJ de Ghoul qui peut disposerainsi d'un groupe parlementaire ! La prochainefois, un parti ayant récolté zéro candidatpourra s’acheter des députés et siéger àl’hémicycle !

On ne sait plus quand, ni où s’arrêtera ce

cirque. Et ces clowns qui se la jouent politiquen’ont même pas l’étoffe des vrais mafiosi : lamafia américaine a beaucoup bâti en Amériqueet celle d’Italie a édifié des pans entiers del’économie italienne. Quant à ces bouffons, ilsne savent que détruire ce beau pays !

Finalement, n’avons-nous pas fait le bonchoix en boycottant ce souk sordide ?

[email protected]

«Hier, en feuilletant mon album, j’aidécouvert un truc insensé ! Plus la photo estvieille, et plus on a l’air jeune !»

Tata Aldjia

Le prix d’un élu

LUNDI 10 DÉCEMBRE 2012 - 26 MOHARAM 1434 - N° 6738 - PRIX 10 DA - FAX : RÉDACTION : 021 67 06 76 - PUBLICITÉ : 021 67 06 75 - TÉL : 021 67 06 51 - 021 67 06 58

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PREMIÈRESMESURES DE

SELLAL À PARTIRDE JANVIER 2013

L’accès au créditet l’ouverture decomptesfacilités

PRATICIENS DE LA SANTÉ PUBLIQUE

Grève nationalele 18 décembre

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BELKHADEM-OULD KABLIA :le bras de fer

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L’intérêt américain pour les essais cliniques

Les laboratoires américains pré-sents il y a quelques jours à Alger nesont pas intéressés seulement parl’instauration d’une industrie biotech-nologique. Beaucoup d’entre eux necachent pas leur intérêt pour les essaiscliniques. Ils affirment qu’il est nonseulement facile de recruter des candi-

dats en Algérie mais sur-tout que le coût desessais est nettementinférieur qu’aux Etats-Unis. Les autorités

sanitaires n’ont cepen-dant pas donné

leur aval,du moinspas enco-re…

Un jour, un sondage

Les mesures prisesafin d’assouplir les

procédures bancairesvont-elles, à votre avis,faciliter la lutte contre

l’informel ?OUI

NON

Sans opinion

RÉSULTATS DU DERNIER SONDAGEPensez-vous que l’Algérie a bien fait de

maintenir sa position tendant à privilégier unesolution politique d’abord au Mali ?

OUI : 71,54%NON : 22,21 %S. OPINION : 6,25%

U n haut cadre de l’Entreprise du métro d’Al-ger s’apprête à changer de camp. Il devrasigner un CDI avec la société françai-

se Alstom pour un salaire mensuel de 400mille dinars.

Le ministère des Transports aurait pus’opposer à cette opération comme l’yautorise la loi, mais pour l’instant, rienn’a été fait.

ERISCOOPERISCOOPUn transfuge chez Alstom

[email protected]

Lundi 10 décembre 2012 - Page 2

3, 4 ou même 5G ?Des universitaires et chercheurs

algériens organisent, jeudi prochain,un séminaire sur le «haut débit mobi-le : perspectives globales et alterna-tives spécifiques».

Ils évoqueront ce jour-là lesoptions du haut débit internet sur lessupports mobiles. Faut-il aller vers la3G qui semble déjà dépassée ou sau-ter directement à la 4G? Ou plutôt adopterune version hybrideentre les deux ?

Le débat eststratégique pour lefutur des télécom-munications dansnotre pays. A signalerque dans cer-tains pays,on parledéjà dela… 5G.

Zabana ! en italienLa Cinecitta a acquis hier les

droits de projection du filmZabana ! dans les salles de ciné-ma italiennes.

Le film de Saïd Ould Khelifa,dont le scénario aété tant contes-té, est égale-ment bienparti pourobtenir desdistinctionsdans lesprochainsfestivals.

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Le Soird’Algérie ActualitéPREMIÈRES MESURES DE SELLAL APPLICABLES À PARTIR DU 1ER JANVIER 2013

L’accès au crédit et l’ouverturede comptes facilités

Kamel Amarni - Alger(Le Soir) - C’est ce que nousapprend une source sûre. «A lasuite de son engagement, lors dela rencontre du jeudi 22 novembre2012 avec les partenaires écono-miques et sociaux, le Premierministre avait chargé un groupe detravail de se pencher sur ce dos-sier et de lui remettre un rapportdans les meilleurs délais. C’est surla base des conclusions et des pro-positions contenues dans ledit rap-port qu’il a confectionné cette ins-truction.» Selon notre source, cetteinstruction enjoint tous les concer-nés à lever toutes les entravesbureaucratiques qui plombentnotre système bancaire. «Les dos-siers pléthoriques, épais et inutiles,c’est fini ! Et cela concerne aussibien le particulier que les entre-prises.» Ainsi, le Premier ministre

somme par exemple l’ensembledes banques à opter pour une pro-cédure «simplifiée et unifiée»s’agissant de l’ouverture d’uncompte bancaire par un particulier.«L’on ne demandera plus désor-mais aux particuliers désirantouvrir un compte au niveau den’importe quelle banque ou institu-tion qu’un simple dossier constituéd’un papier d’identité, d’une attes-tation de résidence et la signatured’un formulaire type, simple et uni-fié.» L’allégement des «tracasse-ries bureaucratiques» que Sellalavait publiquement dénoncé le 22novembre dernier bénéficiera éga-lement aux entreprises publiquesou privées. «Pour les entrepriseségalement, la constitution d’undossier pour une domiciliationauprès d’une banque sera extrê-mement simplifiée. L’on ne deman-

dera plus à l’entreprise concernéeque le strict minimum de docu-ments. Juste ce qu’il faut, commecela se fait partout ailleurs dans le

monde.» Ce souci de simplifier etde fluidifier le système bancairealgérien a amené le Premierministre à ordonner également,

dans son instruction de jeudi der-nier, les institutions financières defaire montre de la même souplesses’agissant de l’octroi et de la levéedes crédits bancaires au profit desentreprises. «Le dossier sera signi-ficativement allégé. Juste ce qu’ilfaut également. Et les délais deréponse des banques, favorablesou défavorables, réduits àquelques jours seulement. Avec,en plus, motivation signifiée parécrit en cas de refus.»

L’instruction de Sellal insiste parailleurs de manière particulière, surl’obligation pour les banques defaciliter l’accès aux crédits d’inves-tissements au profit des PME.

«Car, explique notre source, leslourdeurs et les contraintesbureaucratiques ont fini par instal-ler les uns et les autres dans unesituation des plus cocasses : l’ar-gent existe à profusion, mais l’in-vestissement n’est pas financé ! Cen’est pas normal». Il était vraimenttemps de faire sauter ce verrou quia pratiquement mis à l’arrêt toutel’économie nationale.

K. A.

Abdelmalek Sellal a adressé, jeudi dernier, une instruc-tion à l’ensemble des départements ministériels relevantdu secteur économique, à la Banque d’Algérie ainsi qu’àtoutes les institutions financières du pays pour que sonengagement consistant à simplifier et à débureaucratiserle système bancaire prenne effet à partir du 1er janvier 2013.

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LE SG DU FLN SAISIT BOUTEFLIKA ET SELLAL

Belkhadem - Ould Kablia : le bras de fer Panique au Front de libération

nationale ! A la suite d’une circulai-re du ministre de l’Intérieur,envoyée mercredi dernier aux walispour expliquer les modalités d’élec-tion des présidents des assembléescommunales et de wilaya, AbdelazizBelkhadem a convoqué, vendredisoir, dans l’urgence, une réunion dubureau politique du FLN.

Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Au cours decette réunion extraordinaire, il a été décidé, selonune source sûre au parti, «de tout faire pourrendre caduque cette circulaire». D’ailleurs, dès lelendemain samedi, Abdelaziz Belkhadem a saisi,par correspondance, Abdelaziz Bouteflika et lePremier ministre, Abdelmalek Sellal, pour protes-ter contre Ould Kablia. Dans sa circulaire, leministre de l’Intérieur précise, à l’endroit des walis,l’esprit de l’article 80 de la nouvelle loi organiqueportant code électoral, seule base légale à laquel-le l’on doit se référer pour fixer les modalitésd’élection des présidents des assemblées. Cetarticle stipule clairement que le candidat à l’élec-

tion du président de l’Assemblée populaire com-munale est présenté sur «la liste ayant obtenu lamajorité absolue des sièges. Si aucune liste n’aobtenu la majorité absolue des sièges, les listesayant obtenu 35% au moins des sièges peuventprésenter un candidat. Si aucune liste n’a obtenu35% au moins des sièges, toutes les listes peu-vent présenter un candidat. L’élection a lieu à bul-letins secrets et déclare président de l’Assembléepopulaire communale le candidat ayant obtenu lamajorité absolue des voix. Si aucun des candidatsclassés premier et deuxième n’a obtenu la majori-té absolue des voix, un deuxième tour est organi-sé dans les quarante-huit heures qui suivent et estdéclaré élu le candidat ayant obtenu la majoritédes voix». Dans sa circulaire explicative, leministre de l’Intérieur précise qu’il s’agit bel et biende la majorité absolue, c'est-à-dire 50% plus unevoix, et non pas de majorité relative. C’est ce quiirrite Belkhadem qui, lui, insiste sur la majoritérelative. De même que sur le fait que seul le can-didat d’une liste arrivée en tête à l’issue des élec-tions du 29 novembre dernier puisse avoir le droitde se présenter au poste de président de l’as-semblée. Or, cette lecture que veut Belkhadembute sur un solide argumentaire du ministère del’Intérieur. «L’élection du 29 novembre, c’est celle

qui désigne des élus. Dès lors, ces mêmes élussont porteurs de mandats et donc fondés à repré-senter la population pour l’élection du président del’APC ou de l’APW. Quand une liste obtient 35%des suffrages, cela veut dire en effet que la majo-rité est dans les 65% détenus par les autres listes.D’où la nécessité d’un second tour ouvert à toutesles candidatures car ce serait une aberrationqu’un président d’APC soit élu contre la majoritédes élus, et donc de la population.» C’est du restedans cet esprit que cet article, le 80, avait étéintroduit en plein Conseil des ministre par Boute-flika en personne lorsqu’il a été question de révi-ser la loi organique portant code électoral, en2011. «En fait, c’était pour rattraper l’amendementcontroversé que le FLN avait introduit, via l’APN,dans la loi portant code communal. Ce que n’igno-re, bien sûr, pas Belkhadem qui était, alors,ministre d’Etat.» Il faut dire que si c’était l’article 65en question du code communal ou alors le princi-pe de la majorité simple qui avait été adoptécomme modalité d’élection, le FLN aurait pu s’ad-juger effectivement plus de mille APC. Ce n’estplus le cas et il ne pourra plus prétendre désor-mais au contrôle qu’à un nombre plus modeste,allant de 400 à 500 APC.

K. A.

PRATICIENS DE LA SANTE PUBLIQUE

Grève nationale le 18 décembreLe secteur de la santé s’apprête à

connaître une fin d’année fortementagitée. Après les paramédicaux quiont décidé d’une grève de trois joursà partir du 24 décembre, les prati-ciens de la santé publique les rejoi-gnent au front de la contestation pourun arrêt de travail d’une journée, le 19du mois en cours.

M. Kebci-Alger (Le Soir) - C’est là l’une desrésolutions du conseil national du Syndicat nationaldes praticiens de la santé publique (SNPSP), réunidepuis jeudi dernier en session ouverte. Un retourà la contestation rendu inévitable, expliquait, hier, leprésident du syndicat, lors d’une conférence depresse, pour qui la grève constituait l’ultime oppor-tunité pour se faire entendre auprès d’une tutellequi reste de marbre aux sollicitations d’une entre-vue. La toute dernière en date, après celles des 21octobre et 28 novembre écoulés, remonte à cedimanche même.

Cette journée nationale de grève constitue justeune alerte, poursuit Lyès Merabet, «à l’effet d’ame-ner la tutelle à la table des négociations. Autrement

dit, le SNPSP pourrait surseoir à ce mot d’ordre sile ministre concédait, entre-temps, à s’entretenir».Parallèlement à cette grève d’une journée, les pra-ticiens de la santé publique solliciteront le tribunaladministratif pour contraindre, selon Merabet, latutelle à honorer ses engagements, notammentl’application des articles 19 et 25 du statut particu-lier permettant, entre autres, l’accès automatiqueau grade de «principal», l’accès au grade de prati-cien «en chef» pour les praticiens médicaux géné-ralistes ayant 15 ans d’ancienneté au 31 décembre2010 et l’accès au titre de docteur en médecinedentaire et en pharmacie pour l’ensemble des chi-rurgiens-dentistes et pharmaciens en exercice. Etpas que cette revendication d’ordre socioprofes-sionnel que les praticiens de la santé publique ontconsignée dans leur plateforme de revendicationsdont la prise en charge par la tutelle est jugée aupoint mort. Cette dernière comporte également lanécessité de l’amendement du décret exécutifn°393/09 du 24 novembre 2009 portant statut dupraticien généraliste de santé publique, conformé-ment au projet de statut négocié et ratifié en com-mission mixte (ministère de la Santé-SNPSP) le 15mars 2011, la promulgation du régime indemnitairegénéral (prime de garde et indemnité de risque decontagion), l’octroi, régulièrement, au profit des pra-

ticiens généralistes de santé publique de quotas delogements de fonction non cessibles dans leswilayas de l’intérieur du pays, du sud, voire mêmedans certaines régions enclavées du nord, à l’instardes autres corps de la Fonction publique, et lalevée de toutes les situations d’entrave au libreexercice du droit syndical.

Les praticiens de la santé publique ne se limi-tent pas dans leur processus revendicatif à l’aspectexclusivement socioprofessionnel puisqu’ils tien-nent à interpeller leur tutelle quant à la situationlamentable du système de santé. Un système queMerabet n’a pas hésité à qualifier de perverti, fonc-tionnant au jour le jour, en raison d’«une instabilitéchronique au niveau de l’encadrement». Pour lepatron du SNPSP, le secteur de la santé souffred’une multitude de problèmes, qui va du manquede médicaments, à la prise en charge des cancé-reux et des malades chroniques en passant par l’in-sécurité qui va crescendo. Autant de contraintes quidéteignent inévitablement sur la prise en charge dumalade.

Aussi, le SNPSP est en concertation avecd’autres entités syndicales du secteur en vue d’uneaction commune, sous forme de sit-in et de ras-semblements.

M. K.

MOUVEMENTDES AVOCATS

Le dialogue avecla tutelle relancé

Les discussions seront relancées lasemaine prochaine entre les avocats quiavaient entamé un mouvement de grève,et leur tutelle. A l’ordre du jour, plusieursdossiers notamment leur statut particulier.

La prochaine rencontre de la commis-sion mixte «ministère de la Justice-Repré-sentants des avocats» va étudier plusieursquestions notamment le statut particulierde l’avocat. C’est ce qu’a indiqué leministre de la Justice, garde des Sceauxhier, en marge du Salon de la mémoire etdes réalisations de la Justice, tenu auPalais des expositions des Pins Maritimesà Alger. Selon Mohamed Charfi, les discus-sions seront reprises pour décider de cequi doit être proposé à l’APN au cours dece mois.

«Les avocats ont exprimé un avis etleurs revendications s’inscrivent au cœurdes réformes de la Justice», dit-il. Pour leGarde des sceaux, les revendications desavocats sont aussi celles des réformes dusecteur. Il rappelle ainsi les recommanda-tions du président de la République quiinsistent sur «l’émergence d’une entitésyndicale des avocats autonomes».

A une question relative à une éventuel-le révision de certains articles, le premierresponsable de la Justice affirme qu’il n’y aaucun «tabou». «Nous sommes entraind’étudier le contenu de cette loi à l’effet demettre à niveau des réformes judiciaires»,reconnaissant en quelque sorte, le bienfondé des revendications des avocats.

D’ailleurs, il qualifie le dialogue entre latutelle et les représentants des avocats de«dialogue modèle», en termes de sens deresponsabilité et de transparence.

Coïncidant avec la Journée mondialede lutte contre la corruption, le Salon de lamémoire et des réalisations de la Justice aété également l’occasion pour le ministre,de réaffirmer la détermination des pouvoirspublics à combattre ce fléau. «Nous nousattelons à renforcer les lois pour lutter effi-cacement contre ce fléau avec soin pris deprotéger les dénonciateurs, les témoins etles victimes, et empêcher quiconque deprofiter de l’argent public», a-t-il précisé.

Rym Nasri

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Le Soird’Algérie Actualité Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 4

VIOLENCE CONTRE LES FEMMES

7 422 victimes enregistrées depuis le mois de janvier

Salima Akkouche - Alger (LeSoir) - Les femmes âgées entre 26 et35 ans sont les plus touchées par cesviolences dont la majorité se produi-sent en milieu familial. Les servicesde la gendarmerie, de leur côté, ontrecensé près de 293 filles ayant étékidnappées durant la période allant du1er janvier au 31 octobre derniers.Durant la même période, 231 filles demoins de 18 ans ont été victimes deviol et d’atteinte à la pudeur.

Le rapport des services de laSûreté nationale présenté, hier, à l’oc-casion d’une journée d’étude organi-sée dans le cadre de la célébration dela Journée internationale de luttecontre la violence contre les femmes

célébrée sous le thème «tous unispour mettre fin à la violence à l’égarddes femmes», démontre que sur les7 422 femmes violentées, 4 116 sontdes femmes mariées, 1 913 sont céli-bataires et 780 sont divorcées et3 122 des actes d’agression physiqueou sexuel sont produits au domicilefamilial. Selon le même rapport, lesvilles les plus touchées sont Alger,Oran et Guelma. Cependant, en l’ab-sence de dépôt de plainte systéma-tique, ces chiffres, soulignent les ser-vices de la Sûreté nationale, nereflètent pas la réalité. Par pudeur oupar peur, la majorité des femmes vic-times de violences ne signalent pasleurs agresseurs. La représentante du

ministère de la Justice, précise queles violences contre les femmes ne sesont pas des délits qui nécessitent undépôt de plainte systématique.L’intervenante a indiqué que 38 320

affaires de violences contre lesfemmes ont été traitées par la justiceen 2010. Les auteurs de ces crimesne sont pas souvent identifiés. Lasolution ? L’intervenante appelle les

médecins à signaler systématique-ment les victimes lorsqu’elles se pré-sentent dans les services de santé.Par ailleurs, Souad Bendjaballah,ministre de la Solidarité nationale etde la Famille, qui intervenait lors decette journée de sensibilisation, esti-me que certaines formes de vio-lences, assassinats, viols, kidnap-pings, ont nettement reculé en Algérie.Cependant, souligne-t-elle, le problè-me auquel il faut faire face est celui duharcèlement moral, en particulier,dans le milieu professionnel.Bendjaballah estime que l’accès desfemmes aux postes de décisions per-mettra de diminuer ce phénomène, etappelle les femmes à se structurer enintégrant massivement les organisa-tions syndicales et le mouvementassociatif. «C’est une forme de protec-tion», selon la première responsabledu secteur de la Solidarité.

S. A.

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Près de 7 422 femmes ont subi des actes de violencedurant les dix premiers mois de l’année en cours. 1 786d’entre elles ont été violentées par leurs époux et 99,14 %ont poursuivi leurs auteurs en justice. C’est ce qu’ontrévélé, hier, les services de la Sûreté nationale.

ÉGYPTEMorsi recule, l’opposition

veut davantageL’opposition égyptienne a fini par hérisser le poil

grisonnant de la barbe du président Mohamed Morsi.Sa foi en son pouvoir absolu est un tantinet ébranlée.Contraint de rétropédaler, Morsi a accepté samedi deretirer son décret controversé par lequel il a tenté des’arroger des pouvoirs étendus. La principale coalitionde l’opposition doute de sa sincérité. Elle soupçonneune manœuvre politicienne. On ne peut pas accuserl’opposition égyptienne d’exagérer la surenchère poli-tique. Elle a tout à fait raison de faire preuve d’extrêmeprudence face à un président manœuvrier et qui faitde ses reculs des points d’appui pour de plus grandesdétentes. Il en a, au demeurant, usé plus d’une fois,avec d’abord le Conseil des forces armées, puis avecle procureur général du Caire qu’il avait limogé pourensuite le réhabiliter. C’est pour l’avoir vu ainsi agirque l’opposition ne le crédite pas de confiance lorsqu’ildécide de retirer son fameux décret. Surtout qu’il n’aconsenti qu’à cela. Acculé en effet par une oppositiondéterminée à le gêner dans ses perspectives de prési-dent hégémonique, ennemi des libertés, MohamedMorsi s’est gardé d’aller au bout de ses concessions.S’il a daigné retirer le décret contesté, il a cependantmaintenu son projet de Constitution dans sa moutureélaborée par une commission dominée par les Frèresmusulmans et a aussi maintenu la date initiale du réfé-rendum.

Le camp des Frères musulmans, qui prête main-forte au président Morsi dans cette épreuve de force,a pitoyablement tenté d’expliquer que le report duréférendum en question était impossible, du fait que lemécanisme institutionnel statue que la consultation alieu dans les 15 jours qui suivent la remise du projetde texte constitutionnel au président. L’argument estun peu léger. L’opposition réclame une décision poli-tique pour son report. Samedi, Mohamed Morsi a dûse parler à lui-même, puisque la principale force del’opposition a décliné son invitation au dialogue. Adéfaut d’avoir le Front du salut national (FSN) à latable des consultations, Mohamed Morsi s’est conten-té de recevoir les convives qu’il a pu. Le mouvementdu 6 avril, très actif au sein de la coalition présidée parMohamed El Baradei, a déjà fait savoir qu’il juge insuf-fisant le geste consenti par Morsi de retirer le décretdu 22 novembre dernier. Il reste à savoir si le mouve-ment, qui a joué un grand rôle dans le renversementde Hosni Moubarak, parviendra à partager son attitu-de-ci avec le reste de la composante du FSN. Et àprendre en compte la déclaration de Mohamed ElBaradei sur son compte Twitter, la tâche ne sera passi ardue qu’elle puisse paraître. Le président du FSN aclairement soutenu que le front ne ménagera aucuneffort pour arrêter une constitution liberticide. Unemême position, donc, que celle affichée par le mouve-ment du 6 avril. Le FSN devra faire savoir sa positionà l’issue de sa réunion d’hier dimanche. Une journéequi a vu des avions de guerre, des F-16, survoler leCaire à basse altitude. C’est dire que la situation estrestée toujours tendue. Les militaires, qui ont de leurcôté appelé à l’engagement d’un dialogue politique,ont déclaré ne pas demeurer en spectateurs si letrouble venait à persister davantage.

Sofiane Aït Iflis

ENTREPRENARIAT INNOVANTInnover, c’est aussi savoir trouver de nouveaux partenaires

C’est plutôt un ingénieur en aéro-nautique qui a aidé Pampers à rendreses couches bébé plus absorbantes.Oleg Volkov, puisque c’est de lui qu’ils’agit, avait répondu à la requête del’entreprise suite à un simple appeld’offres.

Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - Les parte-naires habituels de Pampers n’avaient pu trou-ver une solution appropriée, a expliqué le DrDirk Luttgens de l’Université d’Aachen(Allemagne), «parce qu’ils réfléchissent sui-vant des modèles de pensée établis et ils ysont restés». L’innovation, de ce point de vue,«c’est savoir trouver de nouveaux partenaireset de nouvelles formes de coopération» et«mettre à profit des savoir-faire pluridiscipli-naires structurés généralement en réseaux deconsultants». Cet universitaire allemand estintervenu hier, dans la conférence internatio-nale «Innovation, créativité, durabilité : vers unsystème d’innovation et de promotion de l’en-treprenariat innovant en Algérie» qui se dérou-le à l’hôtel Sofitel d’Alger. Une conférencedont le programme est réparti sur deux jours(aujourd’hui et hier, ndlr), organisée par le

ministère de l’Industrie, de la PME et de laPromotion de l’investissement avec leconcours du Programme développement éco-nomique durable (DEVED) de la GIZ.

Le Dr Luttgens a néanmoins souligné quel’innovation a un préalable : «apprendre àremettre en cause les paradigmes existants».Il a donné l’exemple de l’ophtalmologue indienG. Venkataswamy. En Inde où il y a 9 millionsde personnes qui souffrent de cataracte, unemaladie nécessitant une intervention qui coûtecher (entre 2 500 et 3 000 USD par personneaux Etats-Unis). «Au lieu de mobiliser un spé-cialiste et utiliser un matériel sophistiqué, il aopté pour prescrire un travail en équipe. Desmédecins maîtrisant chacun un geste chirurgi-cal simple vont s’alterner sur les lits desmalades. Du coup, les prix pratiqués en Indepour soigner la cataracte ont baissé jusqu’àatteindre 50 USD», a-t-il indiqué.

Dans sa communication, intitulée«Innovation et développement économiquedurable : défis et opportunité», il a égalementinsisté sur la prise en considération des exi-gences de la «durabilité». Il a décortiqué leconcept avant de montrer l’importance de sonapplication par les entreprises. Selon ses

termes, la durabilité signifie : «Ce que nous fai-sons aujourd’hui ne doit pas prendre toutes lesressources au risque d’en priver les généra-tions futures et l’entreprise doit tenir compte detrois variables à savoir, l’environnement, lesocial et l’économique». L’entreprise, a-t-il éta-bli, doit également se monter «responsable»par rapport aux spécificités environnementaleset socioéconomiques du contexte dans lequelelle évolue. Chose, affirme-t-il, qui n’enlèverien à ses capacités innovatrices. Au contraire,cette responsabilité va les booster. A titre illus-tratif, il s’est basé sur une étude faite par lecabinet Deloitte. Les conclusions de l’étudemontrent qu’«une entreprise qui fait sien leconcept de durabilité est quatre fois plus inno-vatrice que la moyenne». Bref, quatre atelierssont prévus dans le cadre de cette conférence :«Innovation dans la PME : Etats des lieux etcas de réussite, Relation entre la recherche etla PME, Innovation et clusters et financementde l’innovation». Ils seront récompensés pardes recommandations pour aider à la «promo-tion d’un système d’innovation national pourl’entreprenariat innovant et durable enAlgérie». Nous y reviendrons.

L. H.

36e CONGRÈS DES DIRECTEURS GÉNÉRAUX DES POLICES ARABES

L’Algérie plaide pour plus de coopération

Abder Bettache (Alger – LeSoir) Pour le ministre del’Intérieur, cette coordination aurapour principal objectif «d'empê-cher les infiltrations de réseauxterroristes, du crime organisé ettransnational». «Il faut accorderl'importance voulue à la sécurisa-tion et à la surveillance des fron-tières à travers une coopérationet une coordination efficacesentre les pays en procédant àdes échanges d'informations afind'éviter l'infiltration des frontièrespar les réseaux terroristes, ducrime organisé et transnational»,a-t-il expliqué. Pour Daho OuldKablia, les directeurs générauxde police et de sécurité arabesdoivent accorder l'importancenécessaire au traitement et à larecherche des solutions idoinesdans le cadre de la lutte contre la

corruption, le blanchiment d'ar-gent et le financement du terro-risme.

En plus des autres crimes quiconstituent une «préoccupation»pour l'ensemble des pays, leministre de l’Intérieur a estimépar ailleurs que la cybercriminali-té est devenue un des «défis»auxquels il faut faire face avec«rigueur» compte tenu des dan-gers qu'elle présente pour lespersonnes, la société et la sécu-rité des Etats et leurs économies.Sur un autre chapitre, le premierflic du pays a considéré que lasécurité et la stabilité demeurentdes «conditions fondamentales»pour le développement écono-mique et social dans tous lespays, d’où son appel pour laconjugaison des efforts de«tous» et à une coopération

régionale et internationale«concrète pour lutter et traquerles criminels où qu'ils se trou-vent, pour les empêcher d'infiltrerles frontières». Par ailleurs, leministre a relevé que ce congrèscoïncide avec les «profondesmutations que connaissent lespays arabes, notamment sur leplan sécuritaire, d'où la nécessi-té, a-t-il recommandé, de prendredes mesures efficaces et respon-sables à même de «préserver lasécurité des Etats, leur intégritéterritoriale et satisfaire aussi lesrevendications légitimes despeuples». Cela dit, Mme MireilleBallestrazzi, la présidented’Interpol a mis en exergue lerôle joué par l’Algérie dans lalutte contre la criminalité en indi-quant que «l’ 'expertise et lavision de l'Algérie nous sont pré-cieuses, ce qui explique notam-ment l 'élection de l 'éminentreprésentant algérien M.Abdelkader Kara Bouhadba(directeur de la police judiciaire)au Comité exécutif (CE) del'Interpol pour la région Afrique».Mme Ballestrazzi a également féli-

cité la police algérienne pour les«progrès réalisés», l'assurantainsi du «soutien de l'Interpoldans la «recherche des solutionsaux défis sécuritaires communs».Evoquant la coopération entreInterpol et le secrétariat généraldu Conseil des ministres de l'in-térieur arabes, elle a indiqué queles deux organisations entretien-nent des relations de longuedate, entérinées en 1999 avec lasignature d'un accord de coopé-ration. «L'objectif de cet accordconsiste en le renforcement et lacoordination des synergies etdes initiatives lancées contretoutes les formes de criminalitéorganisée touchant le mondearabe», a ajouté la présidente del'Interpol. Il est à noter que lestravaux du 36e Congrés de lapolice arabe se tiendront à huisclos et seront sanctionnés pardes résolutions. Les recomman-dations seront rendues publiqueslors d’une conférence de pressequi sera animée aujourd’hui parle secrétaire du Conseil desministres arabes de l’intérieur.

A. B.

L’Algérie plaide pour «la sécurisation des frontières àtravers une coopération et une coordination efficaces».C’est ce qu’a indiqué hier le ministre de l’Intérieur et desCollectivités locales, M. Daho Ould Kablia, lors de son inter-vention devant les participants au 36e Congrès des direc-teurs généraux de police et de sécurité arabes, dont les tra-vaux se tiennent depuis hier à Alger.

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Le Soird’Algérie Actualité

EUROPE-MAGHREB

Les experts plaident pour une stratégieénergétique régionale

F.-Zohra B. Alger (le Soir) -Les interventions ont été axéessur le fait que les politiques éner-gétiques mises en œuvre dans lespays du pourtour méditerranéenreflètent des stratégies indivi-duelles «qui tiennent peu comptedes choix pris par les pays voi-sins», précise le Dr Mourad Preu-re, président du cabinet Emergy,et expert à l’Institut de prospectiveeuroméditerranéen (IPEMED).

Il explique ainsi que certainesdonnées méritent une autreapproche et citera de ce fait, lesenjeux démographiques, écono-miques et environnementaux quiappellent à plus de concentrationentre les pays méditerranéens età la définition d’une véritable stra-tégie énergétique régionale. «Plu-sieurs éléments justifient, en effet

de passer d’une relation d’import-export entre les pays de la région,à un nouveau modèle énergétiquerégional», a déclaré Mourad Preu-re. Il précisera que la demanded’électricité dans les pays de larive sud pourrait tripler d’ici 2030.

De ce fait, d’importants inves-tissements seront nécessairespour générer de nouvelles capaci-tés de production au sud, soitenviron 200 GW selon l’expert.

«Cela doit s’accompagner parl’acquisition d’un nouveau savoir-faire technologique, et l’impulsiond’une dynamique de développe-ment scientifique et technologiquedans les énergies renouvelables,englobant solidairement les entre-prises de la rive nord et celle dusud de la méditerranée occidenta-le», a-t-il souligné. Comme il met-

tra aussi, en évidence le fait quecette forte intégration productiveet non commerciale entre l’Algérieet la France, dans un premier

temps, «aura pour conséquencede tenir à l’écart les concurrencesprédatrices d’autres pays éloi-gnés comme ceux de l’Asie».

Pour sa part, AbdelmadjidAttar, ancien ministre et présidentdu cabinet de consulting Petro-chem et évoquant l’Algérie faceaux défis énergétiques du troisiè-me millénaire, dira que l’expérien-ce européenne devrait être priseen compte pour ce qui est dudéveloppement des énergiesrenouvelables.

«Seul le solaire pourrait êtred’un apport appréciable et contri-buer ainsi à une transition énergé-tique progressive et appréciablevers une substitution partielle auxénergies fossiles», déclare A.Attar.

Il a rappelé que dans le cadrede l’énergie solaire principale-ment, un programme conséquenta été lancé en 2001 par le minis-tère de l’Energie et Mines et quiconcernent la production de 22000 MW à l’horizon 2030.

Il s’agit de parvenir à ce que40% des besoins en électricitésoient couverts à partir du renou-velable.

F.-Z. B.

Les experts réunis, hier dans le cadre d’un colloqueeuro-méditerranéen, ont plaidé pour une stratégie énergé-tique régionale et pour le développement des énergiesrenouvelables. Ils évoquent, ainsi la nécessité de passerd’une relation d’import-export entre les pays de la région àun nouveau modèle énergétique régional.

Phot

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DR.

Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 5

Dr Mourad Preure.

LIÉS PAR DES ACCORDS D’ASSOCIATION AVEC L’UNION EUROPÉENNE

Les pays maghrébins rediscutent les règles d’origine

Chérif Bennaceur - Alger(Le Soir) - Des discussions dansun cadre régional se poursuiventen ce sens, selon le directeurgénéral des relations internatio-nales du ministère du Commerce.Selon Saïd Djellab, qui participaithier à l’hôtel Hilton à un déjeuner-débat organisé par le Cercle d’ac-tion et de réflexion autour de l’en-treprise (Care) et la FondationFriedrich Neumann, ces discus-sions devraient aboutir à de nou-velles règles dès janvier 2015,espère-t-il. Ce qui permettraitd’améliorer tant la compétitivitédes entreprises maghrébines quede stimuler le développementd’une intégration industrielle réel-lement efficiente. C’est ce qu’alaissé entendre l’expert tunisienGhazi Benhamed qui a participé àcette rencontre consacrée authème : «Les accords d’associa-tion : quels bénéfices possiblespour les entreprises algériennes?». Cet expert avait prôné l’ins-tauration d’un marché régional,d’un partenariat algéro-tunisien,évoquant l’opportunité de mettreen place une zone de libre-échan-ge transfrontalière.

Certes, les règles d’origine,des critères permettant de déter-miner le pays d’origine d’un pro-duit, contribuent à une meilleurerégulation de l’importation, lasécurisation des intrants de fabri-cation et la lutte contre la contrefa-çon et la concurrence chinoisenotamment. A propos des produitsd’origine incontrôlée, notamment

les produits asiatiques et autresqui transitent par l’Europe avantd’être introduits dans notre pays,le ministre du Commerce avaitindiqué, récemment, que les auto-rités nationales, notamment lesDouanes, travaillent avec leurshomologues européennes pourtraiter cette question.

Comme ces règles contribuentà une application efficiente et opti-male des mesures ou instrumentsde politique commerciale telles lesmesures de sauvegarde.

A ce sujet, le représentant duministère du Commerce a estiméque le recours à de telles mesuresest encore possible, durant lesprochaines années pour lesentreprises et secteurs potentielle-ment vulnérables, dans la mesureoù une marge de manœuvre exis-te et que la perception duditaccord d’association doit être glo-bale, à même de transcender lesaspects critiques et négatifs et depromouvoir la coopération idoine.

Rappelons à ce titre, que l’Al-gérie a pu renégocier et reporterjusqu’à 2020 la création de lazone de libre-échange algéro-européenne prévue initialementen 2017 par l’accord d’associationsigné en 2002 et entré en vigueurdès septembre 2005, et obtenir lerétablissement ou le gel des tauxde droits de douanes pour 1058lignes tarifaires couvrant un grandnombre de filières et branches.Notons également que le déman-tèlement tarifaire a atteint un tauxde 12% en 2012 (il était à 18% en

2010) selon le représentant dudépartement de Mustapha Benba-da.

A charge cependant que letissu entrepreneurial national,notamment privé, puisse réussirsa mue grâce à une mise à niveaudavantage opérationnelle et sti-mulante et améliorer sa compétiti-vité, le doute étant permis à cepropos. •Ceci outre la nécessitéde remédier aux dysfonctionne-ments de l’environnement entre-preneurial, d’améliorer le climatdes affaires en Algérie comme lerelèvera le président de Care, SlimOthmani.

Comme il s’agit de la nécessitéd’une libéralisation des servicesqui ne doit pas se faire de «maniè-re inconsidérée», relève le direc-teur général de l’Agence nationalede promotion du commerce exté-rieur (Algex), Mohamed Bennini.Intervenant lors des débats, le res-ponsable de l’Algex a fait état dela prégnance de l’informel et del’absence d’éthique et de transpa-rence même dans le secteur desservices.

Autre condition, le volontaris-me des entreprises à formuler desrequêtes si elles s’estimentlésées, des difficultés se posant àce sujet, selon le directeur généralde la Chambre algérienne de com-merce et d’industrie (Caci), Moha-med Chami. Ce dernier, qui prési-de une commission de suivi desaccords d’association, a ainsi évo-qué le manque, voire desdéfaillances en matière d’informa-tion. Néanmoins, cette dynamiquede protection économique si ellese concrétisait permettrait égale-

ment une mise en œuvre de l’ac-cord d’association davantage opti-male, efficiente et rationalisée, surla base d’études d’impact régu-lières et propres aux pays magh-rébins. «Nous nous dirigeons versl’élaboration d’études d’impactrégulières», dira justement lereprésentant du ministère duCommerce, soucieux d’une éva-luation plus approfondie des rap-ports algéro-européens dans lecadre de la mise en œuvre de cetaccord.

A ce propos, le directeur géné-ral de l’Algex avait estimé aupara-vant que l’ouverture commercialedu pays a été «mal entamée» etque le démantèlement tarifaires’est déroulé de «manière unilaté-

rale», comme il avait évoqué«l’absence d’instruments efficientsde mise en œuvre et suivi duditaccord». Or, il n’y a eu qu’uneseule étude d’impact de l’accordd’association, réalisée au demeu-rant par l’Union européenne etnon validée au demeurant par lesautorités algériennes, relève ceresponsable en charge de la pro-motion du commerce extérieur.

Notons dans ce sens que labalance commerciale est restéetrès déséquilibrée hors hydrocar-bures pour l’Algérie, avec uneUnion européenne qui «accapa-re» 52% de parts de son commer-ce extérieur, et un afflux d’IDE quin’a connu aucune évolution signi-ficative. C. B.

Les Etats du Maghreb, liés par des accords d’associa-tion avec l’Union européenne, œuvrent à redéfinir lesrègles d’origine des produits importés.

Port d’Alger.

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DR.

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Le Soird’Algérie Actualité Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 6

CRIMES COLONIAUX ET REPENTANCE

Un ouvrage collectif relance le débatAspects de la repentance(1) est l’intitulé d’un livre

réunissant une dizaine d’études sur ce thème et autourduquel furent sollicités paritairement des universitairesdes «deux rives». Outre le fait que par la sobriété, voire laneutralité sémantique du titre il indique corollairement queces travaux réfutent globalement les a priori politiques etgénéralement les enfermements idéologiques, il est parailleurs remarquable qu’il ait été conçu dans une volontéde croisement des points de vue.

A l’abri du conditionnement inévitable, que les codesde pensée d’ici et d’ailleurs façonnent sournoisement, salecture nous a paru édifiante par sa pertinence intellec-tuelle. Sous la direction du professeur Ismaël-Salim Khaz-nadar, enseignant à l’université de Constantine, cet essaicollectif constitue une démarche originale visant à mettreen question (s) plurielle ce rapport ambigu qu’entretient laguéguerre des mémoires avec un concept strictementreligieux : la repentance en cause. Alors que, dans lemême temps, l’on a pris l’habitude d’interpeller les histo-riens pour rendre des verdicts, la préoccupation s’avèretout autre. Comme il se plaît à le rappeler à ses interlocu-teurs, Khaznadar insiste sur la genèse de ce projet.

«Il n’est, dit-il, qu’un faisceau d’études qui ne prétendni à la plaidoirie ni à un quelconque réquisitoire. Il se veutune sorte d’éclairage différencié qui s’efforce de donnerun nom à de grandes souffrances afin d’en fixer enfin unsens et pourquoi pas apaiser les mémoires.» Dans lemême ordre d’idées, Mme Hélé Béji(2), auteure de la préfa-

ce, insiste sur cet objectif, mais d’une manière plus vigou-reuse. «(…) Les textes de ce recueil, écrit-elle, ont lemérite d’aller au-delà de cette dimension personnelle etstrictement morale du repentir. La repentance, élégant

vocable pour décrire une scénographie plus prosaïquedes peuples qui n’ont pas fini de régler leurs comptes etqui poursuivent sur le plan immatériel un affrontement, oùles armes officielles leur sont interdites, n’est qu’une nou-velle façon d’en découdre et de rejouer le passé dans desrôles qui sculptent chaque protagoniste dans son épopéenarcissique.» Voilà une solide mise en garde qui pourraitdéplaire à bon nombre de cénacles dans les deux «outre-mer», — tant il est vrai que nous sommes toujours«l’outre-mer de l’autre» !

Sauf qu’elle a le mérite de briser les miroirs déformantsafin de ne pas oblitérer par d’inutiles polémiques «l’écritu-re de l’acte final» de cette histoire. Est-il, par conséquent,possible de transcender le malentendu sur ce fameuxconcept et trouver les justes vocables pour requalifier lepassé ? Le maître d’œuvre de ce travail collectif le penseégalement. Et c’est précisément autour de trois ques-tions-séquences qu’il s’en explique.

Boubakeur Hamidechi

1- Publié par les éditions Barzakh - Algérie2- Hélé Beji est agrégée de lettres modernes, elle a

enseigné la littérature à l’université de Tunis avant detravailler à l’Unesco. Elle est l’auteure notamment de

deux essais dont Islam Pride, derrière le voile (Gallimard2011) et Désenchantement national, essai sur la

décolonisation : in Editions Maspero 1982

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R.ENTRETIEN AVEC ISMAËL KHAZNADAR* (COORDONNATEUR)

«Où est notre Martin Luther King ? Où est notre Vaclav Havel ?»

Le Soir d’Algérie. La repentance pourcrimes coloniaux exigée de la Francen’est-elle qu’un épisode diplomatique, oudevrait-elle être l’évènement fondateurd’une relation avec l’Algérie finalementapaisée, respectueuse et donc durable ?

Ismaël Khaznadar. Envisageons pourcommencer cette hypothèse d’école. Selondes modalités qui restent évidemment à défi-nir, les représentants de l’Algérie officielledeviennent cessionnaires, venant de la Fran-ce officielle, d’une demande de pardon quiserait expression d’un repentir pour l’en-semble des crimes liés à la période coloniale.

Quel serait alors le bénéfice pour lesdeux parties ?

D’abord pour la partie officielle française,il ne s’agira que d’une corvée vite expédiée,dans un souci de pur pragmatisme : tournerune page, mais quiaurait été si mal lue.Cette démarche, quiassurément ne réuniraaucun consensus,contribuera à troublerles consciences et faus-ser les jugements, caraucun débat n’a étévoulu qui aurait poséd’utiles jalons. La vulga-rité haineuse d’un petitligueur, maintenantancien ministre, récem-ment exprimée et quidécourage jusqu’à lapitié, en donne le ton.Mais la gauche elle-même n’est ni au clair niparfaitement à l’aiseavec cette question.Il setrouvera toujours desporte-étendards, pouraffirmer, non sans justesse, que ceux quiaujourd’hui auront à demander pardon n’ontaucune qualification à le faire : ils n’ont été niles initiateurs, ni les acteurs du déploiementde l’entreprise coloniale, ni même, il faut lepréciser, ceux de son achèvement. Cette

repentance sera plus encombrante que vrai-ment libératrice. Dite avec peu de motscomme il sied, elle paraîtra honteuse. Décla-rative et emphatique, elle paraîtra hypocriteet sans portée. Dans les deux cas, elle nedélivrera que menues significations. Il y auraplus d’habit que de moine. S’il advenaitqu’un acte de repentance fut formulé, il sedissoudrait vite dans le flot de l’histoire, dansle doute, par l’oubli, et pour finir, par la révo-cation. Ensuite, pour la partie officielle algé-rienne, l’interrogation est tout autre. Quelshéros et emblème avons-nous eu après l’in-dépendance, qui aujourd’hui sans déchoir,c'est-à-dire en légitimité et en autorité, peu-vent demander raison de tout notre passécolonial? Où sont ces pinacles d’intégritémorale, de rectitude et d’engagement, cesfigures d’élection, élection portée noncomme une réunion de suffrages, mais

comme élans dirigésvers ce qui indique tou-jours le juste chemin àsuivre ? Où est notreMartin Luther King ? Oùest notre Vaclav Havel ?Les demandes derepentance relèventpresque exclusivementdu désir de consolation,de l’obtention du gainpolitique à moindre coût,ou de l’improbableorgueil d’en être le des-tinataire.

Un homme bien dechez nous, Augustind’Hippone, écrivait quel’orgueil n’est que lemensonge sur soi. Lesretrouvailles franco-alle-mandes, après 1945,étaient inconcevables

sans le général de Gaulle et sans le chance-lier Adenauer. Elles n’avaient de significa-tion que dans l’immédiat après guerre. Desentreprises ou des rencontres trop long-temps différées perdent leur souci et sou-vent leur substance. Mais souvent le pardon

reçu ne sert de rien, il laisse en arrêt sondestinataire dans la grande vacuité du quitusaccordé, et le pardon demandé ne l’est uni-quement que pour faire taire la parole quicerne de blâme et accuse. L’homme desindépendances doit, pour guérir et grandir,être affranchi de toute la bimbeloterie dupardon demandé et reçu, il luiest demandé de poster despoints dans le futur qui seulspeuvent le destiner et comman-der ses actions dans le monde.L’homme des indépendancesest celui qui estime avoir unavenir en dehors des mots et duregard du colonisateur et surtoutloin de ses traces.

Ces traces retenues ne sontque des occasions pour éloignerl’histoire de ses ressorts et tarirl’intelligible qui peut monter d’el-le. Serions-nous condamnés à rester desvictimes, chœur de pleureuses dans le conti-nuel suspend d’un bon vouloir ? Restésvivants, ni Abane Ramdane ni Larbi BenM’hidi n’auraient exigé de contrition publiquedes anciennes autorités coloniales.

Mais si un acte de repentance n’est niutile ni souhaitable, que reste-t-il à faire ?

Ce qui doit s’entreprendre n’est pas unreste. Nous sommes devant l’impératif decomprendre toute notre histoire. Une histoireremembrée, cessible, conçue non commeliturgie, mais comme patiente constructionacadémique. L’élucidation est unedémarche qui est bien plus exigeante que lasimple demande de repentance. Elucider, ence qui concerne l’entreprise coloniale, c’est laprendre toute, dans l’intégralité du mouve-ment qui l’a rendue possible comme histoirelongue afin d’en comprendre tous les méca-nismes, les ressorts, les acteurs, les idées,les leviers culturels et économiques. Cettesomme fixée dans un champ de définitionsarticulées va réunir et lier des significations,celles qui nous retiennent aujourd’hui avecnos soucis, nos besoins de comprendred’aujourd’hui. Ces significations sont celles

qui organisent avec le plus de cohérence leplus grand nombre de faits historiques etréduisent le divers éparpillé des évènementset les condensent en lignes de forces essen-tielles et en proposent un récit intelligible. Cechamp de définitions ouvrira un champ desens et l’histoire de l’infamie peut alors s’écri-

re. Entreprendre d’éluciderest d’abord de la responsabi-lité des Etats, de tous lesEtats. Choisir d’accompagnerle travail des historiens parl’ouverture des archives, parl’assurance d’une liberté aca-démique, par l’érection d’ins-titutions qui hébergent biblio-thèques et chercheurs, parl’octroi du respect et de laconsidération pour leursefforts, cela est le seul actepolitique qui vaille. La seule

attitude qui à l’honneur ajoute l’intelligenceest celle que devraient nous inspirer le com-bat et les écrits d’Aimée Césaire. Souvent,moins que la repentance, est demandée une«reconnaissance» des crimes coloniaux ; lareconnaissance est une adhésion, c'est-à-dire une croyance encore une libre disposi-tion de l’esprit conçue loin de toute nécessi-té. Seul le travail académique de l’historienpeut donner cette estampille de nécessite audivers de l’histoire en l’organisation enséquences et systèmes. Un travail d’élucida-tion remettrait l’Etat, tout Etat, dans sa conti-nuité historique qui est la seule garante d’uneréelle production de sens. L’élucidation sortde la délibération des historiens, c’est unetâche soutenue, toujours remise sur lemétier, et le sens livré n’est pas achevé, ulti-me. Ultime en cela qui rendrait vain tout effortultérieur. La repentance dans ses bonsaspects ne relève que du dépôt de culpabili-té.

Vouloir criminaliser l’entreprise colo-niale peut-il être un souci d’historien ?

Non, il ne le peut ni le doit. Criminaliserl’entreprise coloniale ne relève que de lalibre opinion.

L’homme des indépendancesdoit, pour guérir et grandir,

être affranchi de toute labimbeloterie du pardon

demandé et reçu, il lui estdemandé de poster des pointsdans le futur qui seuls peuventle destiner et commander ses

actions dans le monde.L’homme des indépendancesest celui qui estime avoir unavenir en dehors des mots etdu regard du colonisateur et

surtout loin de ses traces. Cestraces retenues ne sont quedes occasions pour éloignerl’histoire de ses ressorts ettarir l’intelligible qui peut

monter d’elle.

Les crimes deguerre sont, quant

à eux, prescrits dix ans après qu’ils

eurent étécommis. En l’état

actuel du droitfrançais, le général

Aussaresses nesera jamais jugé.

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Le Soird’Algérie Actualité Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 7

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Nous allons expliquer pourquoi. Mais ilfaut, je crois, partir de l’idée que les crimesabominables ont été commis durant toute lapériode coloniale et plus récemment par lesmilitaires en charge de la restauration de cetordre, pendant la guerre de Libération. Cescrimes sont restés impunis. L’impunité dansle sens juridique qui la sollicite avecconstance est uneabsence durable desanction. Cette sanc-tion est voulue commeseule réponse à la vio-lation d’une règle dedroit qui a entraîné,dans le cas qui nousoccupe, de graves pré-judices moraux, corpo-rels et matériels. Cetteimpunité se définitainsi comme uneabsence, en droit, del’établissement de laresponsabilité pénale, civile, administrativedes auteurs de ces violations. Le droit desvictimes à la vérité et à la justice ainsi reniéest source d’un fort sentiment d’iniquité quiteint de noirceur toute leur histoire. Mais quia autorité pour définir, qualifier, sommer lesculpabilités de crimes commis et en juger ?Seuls le sont des vainqueurs tangibles, res-tés éminemment puissants, après une vic-toire tangible, en des moments de grandelisibilité des évènements. Le tribunal deNuremberg, institué par les puissancesalliées, qui a eu à juger les crimes nazis(crimes contre la paix, crimes de guerre etcrimes contre l’humanité), a instruit, rendudes sentences et les a exécutées dans lastricte continuité de la chute du IIIe Reich.On lui devra l’idée d’une justice internatio-nale effective. Mais d’une justice pénale, quipour la première fois a criminalisé des faitset des évènements historiques. Le silencevictorieux des armes a reçu la consécrationdu droit. Cette consécration a permis desévolutions salutaires, celle notamment del’émergence de la notion d’imprescriptibilité

des crimes de guerre et des crimes contrel’humanité. Cette disposition n’avait étéintroduite ni dans le statut du tribunal deNuremberg ni dans celui de Tokyo. L’im-prescriptibilité des crimes contre l’humanitédans le droit français est liée à la date deleur manifestation. Quelques détails s’impo-sent : si ces crimes sont commis avec l’ac-

cord de Londres du 8 août1945 (le statut du Tribunalmilitaire international deNuremberg en est uneannexe), ils sont déclarésimprescriptibles par une loidu 26 décembre 1964 quiprécise qu’un crime contrel’humanité ne l’est que s’il aété commis «pour le comp-te de pays européens del’Axe), ce qui le circonscritdans le seul cadre de laSeconde Guerre mondiale.C’est ainsi que furent jugés

Klaus Barbie et Maurice Papon. L’article213.5 du nouveau code pénal (code Badin-ter) du 1er mars 1994, considère commeimprescriptibles les seuls crimes commisaprès sa promulgation. Les crimes de guer-re sont quant à eux prescrits dix ans aprèsqu’ils eurent été commis. En l’état actuel dudroit français, le général Aussaresses nesera jamais jugé.

Le procès de Nuremberg en criminalisantl’épisode nazi a ouvert la voie à de nou-velles expressions de justice internationale,aiguillonné par des demandes croissantesde justice et une conscience de l’impunitéplus aiguë, apparu dans le sillage de la dou-loureuse guerre du Vietnam, par l’émergen-ce d’une importante société civile confron-tée aux dictatures de l’Amérique latine et parles actions d’ONG libres d’analyse et dejugement. Des tribunaux sans légitimitéréelle, portés par la seule investiture d’intel-lectuels éminents, ont été les plus emblé-matiques. Reste celui du tribunal Russel,fondé en 1966 par Bertrand Russel et Jean-Paul Sartre, qui a eu à juger des crimes de

guerre américains commis au Vietnam. Un autre, aussi célèbre, est le Tribunal

permanent des peuples fondé en juin 1979à Bologne par l’avocat italien Lélio Basso.

Il est adossé à la Déclaration universel-le des droits des peuples de juin 1976 d’Al-ger. Ce sont là, deux cas de tribunaux d’opi-nion qui sont «des assemblées délibérativesdans lesquelles des personnalités dénon-cent sous une forme juridique des actesqu’elles estiment répréhensibles, en particu-lier par rapport au droit international».

Ces tribunaux ont été d’une grande utili-té dans la définitive de nouvelles catégoriesdu droit international, on peut citer «le crimed’agression», on y reviendra plus loin. L’idéed’une cour internationale, mais dotée decompétence pénale, asouvent été évoquée.Après la signature en1919 du traité de Ver-sailles, se manifesta,notamment dans la partiefrançaise, la volonté decréer un tribunal pénalinternational pour jugerGuillaume II coupabled’«offense suprêmecontre la morale interna-tionale et l’autorité sacréedes traités». Mais deréelles complicationsdiplomatiques en empêchèrent l’aboutisse-ment. Le 17 juillet 1998 à Rome, le statut dela Cour pénale internationale est adopté. Cestatut prévoit la création d’une juridictioncompétente et permanente pour traduire enjustice les auteurs de crimes de génocides,de crimes contre l’humanité, de crimes deguerre. La CPI aura une compétence immé-diate pour juger tous ces crimes. Le «crimed’agression» , étant moins facile à cerner etdonc à qualifier, a d’emblée posé de sérieuxproblèmes. Mais le crime d’agression inscritdans le registre de la compétence de la courest un instrument qui facilement pourrait seretourner contre beaucoup d’Etats. Cettedisposition est donc restée suspendue. On

peut s’en désoler. On peut aussi se désolerdu fait que la cour n’a pas de compétencerétroactive, elle ne peut pas juger les crimesd’avant sa date de naissance et que pen-dant sept ans après son entrée en vigueur,les Etats pourront soustraire à sa compé-tence des crimes de guerre. Mais à la diffé-rence des tribunaux ad hoc, les victimes nesont pas considérées comme de simplestémoins, mais comme porteurs de préju-dices. Une instruction pénale appelle dessanctions (le cas du tribunal de Nuremberg,la CPI). Civile, elle commande des répara-tions : restitution de biens, indemnisationsde dommages (les class actions).

Il est pourtant un risque : dès lors qu’unpréjudice historique est converti en dette

(civile), il devient une catégoriemarchande qui est immédiate-ment négociable. Bien souventon paye pour ne pas expliquer,pour ne pas s’expliquer, afind’être sauf. Etre sauf, en ren-dant la responsabilité hors deportée d’être pensée, hors deportée puisqu’elle n’est plus unsymbole. Le tribunal de Nurem-berg, qui a jugé les crimesnazis contre l’humanité, n’a pasexpliqué leur survenue, commemal immense. Il ne pouvaitdonner un sens à l’histoire,

même quand il était en pouvoir de juger sesacteurs. Ce mouvement de judiciarisationsde l’histoire risque de la perdre comme écri-ture, comme interprétation, n’étant plusalors organisée qu’autour d’un noyau actif :le procès. Le préjudice historique n’est plusqu’une évaluation experte d’un dommage.Le préjudice est réduit à un dommage, doncà une pure positivité. Et la vision des vain-cus, pour reprendre un titre célèbre, cetautre versant de l’histoire, sera définitive-ment hors de signification.Ismaël - Selim Khaznadar – Mathématicien

– université Mentouri de Constantine, filsde Tewfik Khaznadar, physicien, grande

figure et martyr de la guerre de Libération

Le 17 juillet 1998 àRome, le statut de la Courpénale internationale estadopté. Ce statut prévoit

la création d’unejuridiction compétente etpermanente pour traduireen justice les auteurs decrimes de génocides, de

crimes contre l’humanité,de crimes de guerre.

Bien souvent on payepour ne pas

expliquer, pour nepas s’expliquer, afin

d’être sauf. Etre sauf,en rendant la

responsabilité hors deportée d’être pensée,

hors de portéepuisqu’elle n’est plus

un symbole.

Conformément aux dispositions de l’article 49 alinéa 2 du décret prési-dentiel n°10-236 du 07.10.2010 modifié et complété portant réglementa-tion des marchés publics, la Direction des Travaux Publics de la Wilayade Tizi-Ouzou informe les soumissionnaires ayant participé à l’avis d’ap-pel d’offres national restreint n°31/2012 relatif à la réhabilitation de laRN68 du PK.37+670 au PK.55+450, paru dans le BOMOP n° 1307semaine du 23 au 29.09.2012, les quotidiens Le Soir d’Algérie du19.09.2012 et Echihab du 06.09.2012, qu’à l’issue de l’analyse et évalua-tion des offres, le marché est attribué provisoirement à l’entreprise SPAGROUPE ETRHB HADDAD pour un montant de332.960.589,00 DA/TTC et un délai de 10 mois.

- Offre technique : 49,5/60 points.- Offre financière : moins-disant.NIF de SPA Groupe ETRHB HADDAD : 099815004234959

Conformément aux dispositions de l’article 114 du décret présidentieln°10-236 du 07.10.2010, tout soumissionnaire qui conteste le choix opérépeut introduire un recours dans les dix (10) jours à compter de la premiè-re publication du présent avis dans le BOMOP ou la presse auprès de lacommission des marchés de la wilaya de Tizi-Ouzou. Si ce jour coïncideavec un jour férié ou un jour de repos légal, la date limite pour introduirele recours est prorogée au jour ouvrable suivant.

Conformément aux dispositions de l’article 125 du décret présidentieln°10-236 du 07.10.2010, les autres soumissionnaires intéressés sont invi-tés à se rapprocher des services de la Direction des Travaux Publics de lawilaya de Tizi-Ouzou, au plus tard trois (03) jours à compter du premierjour de la publication de cet avis, à prendre connaissance des résultatsdétaillés de l’évaluation de leurs offres techniques et financières.

Anep n° 952 961 - Le Soir d’Algérie du 10/12/2012

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIREWILAYA DE TIZI-OUZOU

DIRECTION DES TRAVAUX PUBLICSNUMERO D’IDENTIFICATION FISCALE : 408015000015086

AVIS D’ATTRIBUTION PROVISOIREDU MARCHE

LETTRE OUVERTEDevant l’insouciance indéfendable et la passivité observée

depuis près de deux mois par la société sous-traitante de laSEAAL à propos de la pose de niches de compteurs d’eau, il m’asemblé opportun d’attirer l’attention des responsables de lasociété sur les faits suivants :

1/ Les niches de compteurs d’eau qui ont été réalisées renfer-ment des malfaçons criardes et apparentes n’ayant aucun jointavec la maçonnerie d’où une absence de professionnalisme avé-rée.

2/ La conduite d’eau de tous compteurs compris dans le lot des56 villas EPLF Aïn Taya laisse apparaître une fuite d’eau en avaldu compteur et une ouverture béante provoquée à l’intérieur dumur d’enceinte n’a pas été, à ce jour, colmatée.

3/ La bouche à clé n’a pas été posée et la saignée opérée surl’asphalte n’a pas été goudronnée causant un désagrémentsérieux aux copropriétaires de la cité.

4/ Il me semble utile de suggérer aux responsables de SEAALde faire suivre à l’avenir les travaux confiés aux entreprises parune inspection a posteriori pour faire respecter les normes habi-tuelles de «bonne exécution» et préserver par là, la réputation etle sérieux de la société qui doit prendre toute initiative pour unchangement radical des mentalités rétrogrades qui lui portentatteinte, par ricochet.

Merzouk Ahmed, retraitéAïn Taya

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Le Soird’Algérie Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 8

Le vote à bulletin secretdevant sanctionner le choix portépar les élus sur le nom du futurprésident de l’APW deConstantine s’est tenu au siègede la wilaya non sans provoquerl’étonnement de tous les présentsde par la scène tragicomique dontle héros n’était autre que le chefde file du FLN dans cette wilaya.Un fait marquant de ces électionsdonc, où le jeu de coulisses s’estpoursuivi jusqu'à la dernièreminute pour assister en fin decompte à une sortie, pour lemoins surprenante du mouha-fedh du FLN.

Ce dernier qui, vraisemblable-ment, craignait «une indiscipline»parmi ses militants a pris position

près de l’isoloir pour s’assurer duvote des militants. En effet, àchaque fois qu’un élu de sa for-mation était appelé à exprimerson choix, il est appréhendé à sasortie par le mouhafedh auquel ilremet le bulletin restant.

Pourtant, faut-il le noter, levote était à bulletin secret.Rappelons en outre que le FLN araflé la mise lors des électionslocales avec 16 sièges suivi par leRND avec 12 sièges.

Le FFS et le PT sont arrivés entroisième et quatrième positionavec 6 sièges chacun alors que leMouvement des nationalisteslibres a décroché 4 sièges.

Les élections pour la désigna-tion du nouveau président de

l’Assemblée populaire de wilayade Constantine se sont dérouléesen deux temps.

Lors du premier tour, le candi-dat présenté par le vieux parti quia raflé 16 sièges lors des élec-tions locales n’a pu avoir la majo-rité. En effet, 24 élus sur les 43composant l’Assemblée ont votécontre le candidat YaicheAbdelghani. Le candidat du FLNqui s’est assuré lors du deuxièmetour, le vote du Parti des tra-vailleurs (6 sièges) et celui duMNL a été élu président avec uneseule voix de plus devant sonconcurrent direct, le candidat duRND. Yaiche Abdelghani, troisiè-me sur la liste du vieux parti,entrepreneur de son état a été éluavec 22 voix contre 21 pour AliBouchoucha, enseignant d’uni-versité.

Farid Benzaid

APW DE CONSTANTINE

Le mouhafedh du FLN fait son cinéma

Ainsi après l’opération dedépouillement, le candidat du

FLN, par ailleurs tête de liste etseul candidat ayant obtenu plus

de 35% des voix exprimées lorsdes élections du 29 novembre, estarrivé à glaner 21 voix «Oui»contre 18 «Non». De fait, il obtientla majorité absolue, selon lesarticles de la loi électorale.

La présidence de l’Assembléede wilaya est revenue à TridiTarek, 34 ans, directeur de laRésidence 2000 lits pour filles.

Pour beaucoup de personnes pré-sentes, cet échec est un camou-flet cinglant pour la formationd’Ahmed Ouyahia. Il sonnerait leglas de l’atomisation du RND auniveau local au bénéfice d’autresformations émergentes. C’estaussi un indice irréfutable del’existence de frictions profondeset de visions antagoniques au sein

des dirigeants de cette formation.Pour rappel, la nouvelle assem-blée est composée de 15 siègespour le FLN, 11 pour le RND, 5pour le PT, 4 pour le PNSD, et 4pour le MPA. Cependant, lesrumeurs font rage sur la machinede la chkara qui aurait tourné àplein régime, ces jours-ci.

Daoud Allam

EL-TARF

Le FLN s’empare de l’APW, à la surprise générale

Le Soir de l’Est

GUELMAUn accident

de la route fait un mortet trois blessés

à Ras-El-AgbaUne voiture et un camion sont entrés en colli-

sion à Aïn-El-Houta, dans la commune de Ras-El-Agba, sur la RN 20, reliant Guelma àConstantine, samedi après-midi. Le conducteurdu véhicule léger, une Renault Logan, est mortsur le coup, et trois autres passagers, membresd’une même famille, dont un enfant de 5 ans, ontsubi des blessures graves. Ils ont été évacués auservice des urgences de l’hôpital d’Oued-Zenati,à une quarantaine de kilomètres de Guelma. Lesservices de sécurité ont ouvert une enquête pourdéterminer les causes de cet accident.

N. Guergour

Détenteur d’une majorité absolue (37,30%), lui permettantde présenter un candidat pour la présidence de l’APW deConstantine, l’ex-parti unique a dû jouer les prolongations.

Cette affaire a fait le tourde la région. Les faits remon-tent à la première décade dumois de novembre dernier,lorsque l'indélicat inspecteureffectuait une mission decontrôle des commerces etdes différentes activités libé-rales. Il tomba sur un com-merçant, gérant un restau-

rant, en infraction avec laréglementation en matière dedéclarations fiscales et para-fiscales.

Ce dernier, qui risquait dese voir verbaliser avec desconséquences pouvant allerjusqu'à la cessation d'activité,a essayé de ramener l'inspec-teur à de meilleurs senti-

ments, mais sans résultat.Profitant de l’inquiétude durestaurateur, l'inspecteur luiproposa d’annuler la verbali-sation moyennant un pot-de-vin, proposition que le restau-rateur accepta volontiers.

Le lieu de rendez-vous estalors fixé pour la remise de lasomme conclue.

Entre-temps, le commer-çant, voulant confondre l'ins-pecteur corrompu, a pris lesoin d'avertir les éléments dela gendarmerie qui lui deman-

dèrent de faire des copiesdes billets de banque.

Une fois sur les lieux durendez-vous, et sans serendre compte, le cadre de laCnas a été pris en flagrantdélit de corruption. Présentédevant le magistrat instruc-teur près le tribunal d'AïnBeïda, il a été placé endétention préventive, alorsque le procureur a requis unepeine de quatre ans de prisonferme à son encontre.

Moussa Chtatha

OUM-EL-BOUAGHI

Trois ans de prison requis contrel’inspecteur corrompu, cadre de la CnasB. O., un cadre de la Cnas, chargé des vérifications

des déclarations des différents employeurs au niveaude la wilaya d'Oum El Bouaghi, a été condamné à troisans de prison ferme en première instance, à la fin dela semaine dernière à Aïn Beïda.

Une fois n’est pas coutume. Le FLN a pu dénouer lesalliances contractées par son frère siamois le RND, après unlong marathon de tractations et de conciliabules et s’emparerde la présidence tant convoitée de l’APW (Assemblée populai-re de wilaya). Ce parti a créé la surprise au sein de la sociétécivile, venue suivre directement le déroulement du vote des 39élus composant l’auguste assemblée.

Phot

o:D

R.

CONDOLÉANCESLes famillesKheta etMezghiche,attristées par ledécès de leurmère, grand-mère, belle-fille

Madame veuveMezghiche Hadda

survenu le 1er décembre 2012 àl’âge de 86 ans, présentent leurssincères condoléances à sesenfants, petits-enfants, nièces etneveux.«Que Dieu lui accorde Sa Sainte

Miséricorde.»

CONDOLÉANCESToute l’équipe de la sociétéEE FORCE, profondément touchéepar le rappel par Dieu le Tout-Puissantde

HADDAD Hadj Saïd

présente à Monsieur Haddad Ali, à sesfrères ainsi qu’à tous les membres dela famille du défunt leurs sincèrescondoléances.Nous prions Dieu le Tout-Puissant delui ouvrir les portes du Paradis et l’ac-cueillir en bon musulman.Nous prions aussi pour la famille dudéfunt d’avoir la sérénité et la patien-ce d’accepter ce rappel divin.«A Dieu nous appartenons et à Lui

nous retournons.»

VEILLÉEA la mémoire de notrecher mari et papa

HADDAD RABAH

Cela fait 40 jours quetu nous as quittés àjamais, laissant unvide immense que nulne peut combler.Ton absence est insurmontable, tu resterasprésent dans nos cœurs.En cette pénible et douloureuse circonstan-ce, nous demandons à tous ceux qui l'ontaimé et apprécié d'avoir une pieuse penséeen sa mémoire.Que le Paradis soit ta demeure éternelle.

Repose en paix.Ta femme et tes enfants

«A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.»

R 118315 B/13

PENSÉETriste et douloureux futpour nous ce jour du09/12/2012 où nousquittait à jamais pour unmonde meilleur notretrès cher père, beau-père et grand-père etregretté bien-aimé

OUSSAADI Amokrane

dit AchourDeux années sont déjà passées et nul ne pour-ra combler le vide que tu as laissé dans noscœurs.En ce douloureux souvenir, les famillesOussaadi, Kaci-Ouali, Hamadache et Hadjerdemandent à tous ceux qui l’ont connu d’avoirune pieuse pensée en sa mémoire.Ta fille Kahina qui pense toujours à toi et quine t’oubliera jamais.

Repose en paix, Da Achour. AZ/B1

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Le Soird’Algérie Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 8

Cette opération entre dans lecadre du programme national initiépar le ministère de la Défense natio-nale sous le slogan «un arbre pourchaque martyr». Pour la seule

wilaya de Sidi Bel-Abbès, un objec-tif initial de 50 000 plants d’arbres àmettre en terre a été fixé, mais vu lebon déroulement de l’opération, cechiffre sera certainement revu à la

hausse et sera même doublé, nousont confié nos sources. Cette opé-ration, menée conjointement par leministère de la Défense nationale etla Conservation des forêts de SidiBel-Abbès, a mobilisé des militaires,des gendarmes, des policiers etmême des associations. Dans laseule journée de dimanche dernier,premier jour de l’opération, 36 000plants ont été mis en terre dont17 000 au niveau des espaces

forestiers de Rdjem Demmouche et19 000 au niveau des unités descasernes militaires.

L’opération se poursuivra etciblera les localités de Marhoum, Birel Hmam et Oued Sefioum dont lesespaces forestiers ont été incendiésl’été dernier. Les associationsseront impliquées dans cette cam-pagne de reboisement, a-t-onappris. Ces dernières procéderontau reboisement dans leurs cités,

quartiers et localités en mobilisantdes habitants désireux d’y partici-per. Militaires, gendarmes, policierset associations se mobiliserontdonc pour mener à bien cette cam-pagne de reboisement à traverstoutes les wilayas du territoire pourplanter 1 500 000 arbres. Autant deplants que le nombre de nos mar-tyrs, à l’initiative du ministère de laDéfense.

A. M.

SIDI BEL-ABBÈS/UNE LARGE OPÉRATION DE REBOISEMENT DE LA RÉGION

La Conservation des forêts régénère son parc

Ce projet, évènement majeur, apu être concrétisé grâce à la colla-boration de la chaire J-Somersmanagement stratégique interna-tional de HEC Montréal et duRegroupement des universitaires

algériens du Canada. Ce rendez-vous scientifique vise à générer undébat entre la communauté univer-sitaire et les acteurs de la vie éco-nomique et sociale afin de rassem-bler les compétences pour la créa-

tion d’un espace de réflexion. Lestravaux portent sur trois perspec-tives stratégiques que sont lemanagement et les pays en voiede développement, l’entrepreneu-riat et l’innovation dans le secteurpublic, puis la gouvernance et lecomportement social des entre-prises. D’éminents professeursinterviendront durant ce colloquedont MM. Luc Bernier et VincentSabourin de l’Université du

Québec Le professeur TayebHafsi, de la chaire Walter J-Somers management stratégiqueinternational de HEC Montréal, etIssad Rebrab, président-directeurgénéral du groupe Cevital, anime-ront une conférence sur «laconstruction d’une entrepriseindustrielle dans un environnementinstitutionnellement turbulent : lecas Cevital».

M. Meddeber

MASCARA

Colloque international sur le développementéconomique en Algérie

La pomme de terre d’arrière-saisonsur laquelle les pouvoirs publics comp-tent énormément pour combler le déficitdu marché local et freiner la crise parti-culièrement embarrassante est actuelle-ment cédée à partir de 40 DA le kilogram-me au niveau des halles centrales.

Le tubercule est offert au marché de gros à unprix relativement plus élevé que celui de la pommede terre de stockage. Sur les étals, la récolte nesemble pas encore marquer son impact sur lescours qui culminent de facto à 60 et 70 DA le kilo-

gramme au lendemain de la moindre journée plu-vieuse. Une tendance haussière certainement irré-versible qui risque de s’accentuer dès que les«patatiers» auront bouclé leur campagne de récolte.Souvent «incriminés» quant à la cherté de ce pro-duit, ces agriculteurs ne cessent de crier leur désar-roi. Outre le renchérissement généralisé des intrantsdont ils ont besoin, les producteurs de pommes deterre sont confrontés au sérieux problème de la«pénurie» de la main-d’œuvre. Dans ce cadre,nombre de ces agriculteurs pointent du doigt lespouvoirs publics, en accusant les dispositifs de sou-tien à l’emploi des jeunes d’être à l’origine de la

désaffection du travail manuel. «Ils veulent tous êtreentrepreneurs. L’Ansej leur est ouverte et sans lemoindre dinar comme capital, on leur offre véhicule,bus, engin et autres matériels. Et ceux qui ne dai-gnent pas s’installer à leur compte ont droit à la«pension» mensuelle de 15 000 dinars, souventperçue sans même aller pointer auprès de leur ser-vice d’affectation ! Alors, comment voulez-vous queles jeunes se préoccupent à quêter l’emploi, surtoutmanuel et contraignant ?» nous a déclaré un desplus vieux fellahs de la région expérimenté dans lemaraîcher des Medjahers.

A. B.

MOSTAGANEM

Agriculteurs cherchent main-d’œuvre désespérément…

Le Soir de l’Ouest

AÏN-TÉMOUCHENTDécouverte

de 99 kg de kifPrès d'un quintal de kif traité a été

trouvé dans la plage de Sbiaât, dansla commune de Bouzedjar, apprend-on auprès d'une source officielle.

Les éléments de la Gendarmerienationale de Bouzedjar rattachée àla daïra d'El Amria, à environ unetrentaine de kilomètres à l'est de Aïn-Témouchent, ont découvert, hier, surla plage de Sbiaât trois colis attachéscontenant une quantité de 99 kg dekif traité. Les trois colis portant tousle signe d'une étoile. Un enquête aété ouverte par la Gendarmerienationale pour identifier les auteursqui sont derrière ce trafic de drogue.

A noter que la semaine dernière,un colis contenant 25 kilos de kif aété trouvé sur la plage de la villecôtière de Terga.

8 q de cuivresaisis

à Oued-SebbahLors d'un barrage routier dressé à

la sortie de la commune d’Oued-Sebbah dans la daïra de Aïn-El-Arba, les éléments de la Douanenationale ont intercepté, avant-hier,un véhicule chargé d'une quantité de8 quintaux de déchets de cuivre. Lesoccupants du véhicule, une Lagunaimmatriculée dans la wilaya deTlemcen, à la vue du barrage de ladouane, ont pris la fuite.

La fouille du véhicule qu’ils ont dûabandonner a permis la découverted’une quantité de cuivre d’une valeurde 192 000 dinars.

La douane a immédiatement pro-cédé à la saisie de la marchandise etdu véhicule et les fuyards sont acti-vement recherchés.

S. B.

Les espaces forestiers de la wilaya de Sidi Bel-Abbès etnotamment dans le sud, durement éprouvés par les feux deforêt qui ont ravagé 6 000 ha de pin d’Alep et 5 000 ha demaquis et d’alfa, l’été dernier, font, depuis le 8 décembre,l’objet d’une opération de reboisement qui s’étalera jusqu’au21 mars prochain.

La réalisation d’une salle omni-sports dans le chef-lieu d’El-Matmar, àune dizaine de kilomètres du chef-lieude la ville de Relizane, est en voied’achèvement.

L’ouvrage devrait être réceptionné «très pro-chainement», a-t-on appris, hier, auprès du pre-mier responsable de la commune. «Le projetfinancé à hauteur de plus de 300 millions de cen-times aurait dû être réceptionné au cours dusecond semestre de l’année 2010, le délai de

réalisation initial étant de 12 mois, mais il a fallucomposer avec des impondérables d’ordre tech-nique», a-t-on expliqué. Une fois livré, ce projet,très attendu localement, permettra d’impulserl’activité sportive dans cette commune connueaussi pour les excellents résultats de ses pugi-listes qui disposent d’une salle appropriée, sesont félicités les élus locaux.

Le projet est inscrit dans le cadre du pro-gramme quinquennal 2009-2014, alloué à lawilaya au titre de l’année 2009 et initié par le pré-sident de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Ce programme prévoit une salle omnisports des-tinée à la jeunesse d’El-Matmar. Cette infrastruc-ture, implantée à proximité du foyer régional desenfants victimes de la tragédie noire, est ache-vée à hauteur de 95%.

Durant les deux dernières années, la commu-ne d’El-Matmar a bénéficié de nombreux projetspour le développement du secteur de la jeunes-se et des sports. Cette salle omnisports estdédiée à recevoir des compétitions nationales,selon le maire d’El-Matmar.

A. Rahmane

RELIZANE

Une salle omnisports bientôt réceptionnée à El-Matmar

La Faculté des sciences économiques, des sciencescommerciales et des sciences de gestion organise, durantles journées des 9 et 10 décembre, un colloque internatio-nal sur «le développement économique en Algérie : lesinstitutions, innovation et responsabilité sociale».

CONDOLÉANCESLes famillesKheta etMezghiche,attristées par ledécès de leurmère, grand-mère, belle-fille

Madame veuveMezghiche Hadda

survenu le 1er décembre 2012 àl’âge de 86 ans, présentent leurssincères condoléances à sesenfants, petits-enfants, nièces etneveux.«Que Dieu lui accorde Sa Sainte

Miséricorde.»

CONDOLÉANCESToute l’équipe de la sociétéEE FORCE, profondément touchéepar le rappel par Dieu le Tout-Puissantde

HADDAD Hadj Saïd

présente à Monsieur Haddad Ali, à sesfrères ainsi qu’à tous les membres dela famille du défunt leurs sincèrescondoléances.Nous prions Dieu le Tout-Puissant delui ouvrir les portes du Paradis et l’ac-cueillir en bon musulman.Nous prions aussi pour la famille dudéfunt d’avoir la sérénité et la patien-ce d’accepter ce rappel divin.«A Dieu nous appartenons et à Lui

nous retournons.»

VEILLÉEA la mémoire de notrecher mari et papa

HADDAD RABAH

Cela fait 40 jours quetu nous as quittés àjamais, laissant unvide immense que nulne peut combler.Ton absence est insurmontable, tu resterasprésent dans nos cœurs.En cette pénible et douloureuse circonstan-ce, nous demandons à tous ceux qui l'ontaimé et apprécié d'avoir une pieuse penséeen sa mémoire.Que le Paradis soit ta demeure éternelle.

Repose en paix.Ta femme et tes enfants

«A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.»

R 118315 B/13

PENSÉETriste et douloureux futpour nous ce jour du09/12/2012 où nousquittait à jamais pour unmonde meilleur notretrès cher père, beau-père et grand-père etregretté bien-aimé

OUSSAADI Amokrane

dit AchourDeux années sont déjà passées et nul ne pour-ra combler le vide que tu as laissé dans noscœurs.En ce douloureux souvenir, les famillesOussaadi, Kaci-Ouali, Hamadache et Hadjerdemandent à tous ceux qui l’ont connu d’avoirune pieuse pensée en sa mémoire.Ta fille Kahina qui pense toujours à toi et quine t’oubliera jamais.

Repose en paix, Da Achour. AZ/B1

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Le Soird’Algérie Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 8

Comme à l’accoutumée, nom-breuses étaient les femmes dans lamême situation, en plein travail, quiattendaient dans le couloir du servi-ce essayant tant bien que mal depatienter malgré les douleurs descontractions. Selon des témoi-gnages très crédibles, les parentsde la future mère qui nous ontcontactés voyant que leur fille était

sur le point d’accoucher dans le cou-loir, ont décidé de la transférer surl’hôpital de Miliana, tandis que desproches tentaient de contacter partéléphone les hôpitaux de Milianaet de Ain Defla pour savoir si les ser-vices de gynécologie pouvaientprendre la jeune femme en charge.

Alors que la future maman étaitsur le chemin de l’hôpital de Miliana,

pendant de longs moments, denombreux appels ont été émis endirection de ces 2 hôpitaux sansqu’aucun ne réponde. Devant cettecarence, les proches prennentcontact avec les services de la sûre-té de daïra de Miliana pour éventuel-lement s’enquérir sur les raisons dusilence d’un hôpital pourtant sollici-té pour un cas d’extrême urgence. Ils’est avéré que même la police n’apu obtenir de réponse au téléphone.Même silence de la part de l’hôpitalde Aïn Defla. Quand, selon le père

de la jeune femme, la parturientearrive a l’hôpital de Miliana, elle étaitsur le point d’être prise en chargemais, au dernier moment quand laresponsable s’est rendue compte,au vu de la carte d’identité, qu’ellerésidait à Khemis Miliana, un refuscatégorique lui a été signifié, l’orien-tant vers l’hopital de Khemis Miliana.

La jeune femme fut alors de nou-veau transférée sur l’hôpital deKhemis Miliana où enfin elle a puêtre prise en charge vers 1 h dumatin, ayant failli accoucher dans la

voiture. Voila donc des structures desanté, censées être au service ducitoyen, de jour comme de nuit, quine daignent même pas répondre autéléphone, la nuit en cas d’urgen-ce… Il y a de quoi s’inquiéter decette situation ; le directeur du sec-teur de la Santé et de la Populationde Ain Defla est vivement interpelépour remédier à cette pratique dusilence», car une simple réponse autéléphone peut sauver une viehumaine voire même plusieurs.

Karim O.

Samedi dernier, dans la soirée, une parturiente était sur lepoint d’accoucher. Ses parents l’accompagnaient au service degynécologie de l’hôpital de Khemis Miliana à 22 h 30.

AÏN DEFLA

Quand les hôpitaux ne répondent pas aux appels d’urgence de nuit

Le Soir du Centre

L’INSTALLATION DE L’APW DE BÉJAÏA REPORTÉE

Les élus du FFS contestent la circulaire ministérielle de désignation du président

Prévue initialement pour la mati-née d’hier, l’installation de la nou-velle Assemblée populaire de lawilaya de Béjaïa, issue des localesdu 29 novembre, a été finalementreportée.

Et pour cause, une vive contestation duFFS, de la dernière circulaire n° 3561 du 8décembre émanant du ministère de l’Intérieurportant sur le mode d’élection des maires etP/APW pour parer d’éventuels blocages dansles localités où aucune liste n’a obtenu lamajorité absolue. La note ministérielle enquestion stipule que le candidat à l’élection duprésident est issu de la liste ayant obtenu lamajorité absolue. Ce qui n’est pas le cas à

Béjaïa où aucune liste n’a remporté la majori-té absolue. Candidat potentiel à la présidencede l’APW, le FFS ne s’est adjugé qu’une majo-rité relative de 20 sièges sur les 43 que comp-te l’assemblée. Dans ce cas, la circulaire fixela majorité à 23 élus, explique le wali, faisantlecture de ladite instruction mentionnant le cal-cul établi par le département de Ould Kabliapour la désignation du candidat à la présiden-ce de l’assemblée, à savoir «21,5 arrondi à 22plus un siège». «Une véritable aberration», sesont indignés les élus du FFS. «J’ai été élu en2005 à la tête de la même APW avec unemajorité absolue de 22 sièges sur 43 et lesmêmes modalités d’élection ont été repro-duites en 2007», fulmine Bettache Mohamed,réélu également pour un autre mandat sur la

liste du FFS. Les députés du FFS, présentsaussi en force pour prêter main forte à leurscamarades, fustigeant l’administration d’OuldKablia, estiment qu’un calcul élémentaire pourdéfinir la majorité, conviendrait que 22 siègesconstituent, on ne peut plus clair, une majoritéabsolue pour le cas de l’APW de Béjaïa avecses 43 élus.

Résolument opposés à l’installation del’assemblée conformément à ladite instructionministérielle, les élus du FFS ont exigé unesuspension de séance pour saisir le ministrede l’Intérieur. Après une heure de débat hou-leux entre les parlementaires, les élus du FFSet le wali, qui s’est contenté de rappeler pourse défendre contre les violentes attaques desélus du parti d’Aït Ahmed, qu’il «ne faisait

qu’appliquer les décisions de sa hiérarchie»,le ministère de l’Intérieur, saisi de l’«imbro-glio» suscité par cette note, a décidé une sus-pension de la circulaire objet de discorde.

Une circulaire qui aura, à la lumière del’installation de nombreuses assemblées,contribué à compliquer un peu plus qu’elle nerésoudra la crise, fait-on observer amèrementdu côté du FFS. A la lumière des difficultésobservées lors de l’application de sa dernièrecirculaire portant sur les modalités d’électiondu président des assemblées élues, le wali deBéjaïa a, dans une brève déclaration à la pres-se, signalé que les installations des APC etAPW ont été suspendues temporairement àtravers le pays par le ministre de l’Intérieur.

A. K.

ALLIANCE DU FFSAVEC LE FLNET LE RND

Inadmissible, selon les dissidents

Dans une déclaration diffusée hier, SamirBouakouir, ancien porte-parole du FFS ayantrallié la dissidence qui s’est produite dans lesrangs du parti au lendemain des législatives demai dernier, a appelé Hocine Aït-Ahmed à«mettre un terme au processus de sabordaged’un mouvement qu’il a fondé en 1963 pourrésister à la dictature du clan d’Oujda etconstruire l’alternative démocratique».

M. Bouakouir estime que l’alliance politiquescellée avec les «partis du système», le FLN etle RND, pour gérer l’APC de Tizi Ouzou, «porteun coup supplémentaire à la résistance démo-cratique dans notre pays».

L. H.

CONDOLÉANCESLes famillesKheta etMezghiche,attristées par ledécès de leurmère, grand-mère, belle-fille

Madame veuveMezghiche Hadda

survenu le 1er décembre 2012 àl’âge de 86 ans, présentent leurssincères condoléances à sesenfants, petits-enfants, nièces etneveux.«Que Dieu lui accorde Sa Sainte

Miséricorde.»

CONDOLÉANCESToute l’équipe de la sociétéEE FORCE, profondément touchéepar le rappel par Dieu le Tout-Puissantde

HADDAD Hadj Saïd

présente à Monsieur Haddad Ali, à sesfrères ainsi qu’à tous les membres dela famille du défunt leurs sincèrescondoléances.Nous prions Dieu le Tout-Puissant delui ouvrir les portes du Paradis et l’ac-cueillir en bon musulman.Nous prions aussi pour la famille dudéfunt d’avoir la sérénité et la patien-ce d’accepter ce rappel divin.«A Dieu nous appartenons et à Lui

nous retournons.»

TIZI-OUZOU : CÉRÉMONIE D’INVESTITURE DU P/APW

Alors que le RCD boycotte, le FLN et le RND plébiscitent le candidat du FFS

Le wali de Tizi-Ouzou a procédé,dans l’après-midi d’hier dimanche, àl’installation de l’APW de Tizi-Ouzoudont la présidence est revenue àMoussa Tamadartaza, élu du FFS etseul candidat au perchoir del’Assemblée. Celui-ci a été porté à ceposte, en vertu du protocole d’ac-cord signé quelques jours avant parune coalition constituée autour duFFS par le FLN le RND et le FFS.

Le nouveau P/APW a été plébiscité, avantmême que le wali, Bouazgui, n’eut fini de fairelecture des dispositions légales prévues parle code de wilaya pour le déroulement duscrutin, par les deux alliés, enlevant tout sus-

pense à une cérémonie où le RCD a brillé parson absence. Dans une déclaration remise àla presse, le RCD précise qu’il n’a nullementl’intention de déserter l’APW mais parle d’unboycott de la cérémonie qualifiée de «masca-rade d’installation».

Pour le parti de Mohcine Bellabas qui s’in-digne de la coalition constituée de «partisassujettis au pouvoir», celle-ci (l’installation)n’est que «la confirmation d’une stratégie dupouvoir consistant à étouffer politiquement etéconomiquement la région». Le RCD qui sedit victime d’une machination visant à l’écar-ter du pouvoir, parle, en outre, de «vote àl’APW (qui a été) trituré afin de gratifier ceuxqui ont gentiment participé aux législativespassées».

Dans son laïus d’adieux, M. Bellabas,P/APW du RCD sortant, n’a pas manqué desaluer le professionnalisme des élus et la col-laboration du wali durant son mandat. Ildénoncera, cependant, les blocages de cer-tains directeurs de l’exécutif. Le nouveauP/APW insistera, pour sa part, dans son dis-cours d’investiture, sur «la cohérence dansl’action collective» qui doit prévaloir au seinde l’Assemblée.

Donnant un aperçu sur son programmed’action, M. Tamadartaza annoncera que lescitoyens et les universitaires doivent être lesacteurs du développement local de la wilaya,à travers leur participation aux travaux descommissions de l’Assemblée.

S. A. M.

VEILLÉEA la mémoire de notrecher mari et papa

HADDAD RABAH

Cela fait 40 jours quetu nous as quittés àjamais, laissant unvide immense que nulne peut combler.Ton absence est insurmontable, tu resterasprésent dans nos cœurs.En cette pénible et douloureuse circonstan-ce, nous demandons à tous ceux qui l'ontaimé et apprécié d'avoir une pieuse penséeen sa mémoire.Que le Paradis soit ta demeure éternelle.

Repose en paix.Ta femme et tes enfants

«A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons.»

R 118315 B/13

PENSÉETriste et douloureux futpour nous ce jour du09/12/2012 où nousquittait à jamais pour unmonde meilleur notretrès cher père, beau-père et grand-père etregretté bien-aimé

OUSSAADI Amokrane

dit AchourDeux années sont déjà passées et nul ne pour-ra combler le vide que tu as laissé dans noscœurs.En ce douloureux souvenir, les famillesOussaadi, Kaci-Ouali, Hamadache et Hadjerdemandent à tous ceux qui l’ont connu d’avoirune pieuse pensée en sa mémoire.Ta fille Kahina qui pense toujours à toi et quine t’oubliera jamais.

Repose en paix, Da Achour. AZ/B1

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Le Soird’Algérie Vox Populi, le quotidien des lecteurs Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 9

• Je t’écris chérie pour te dire com-bien je suis heureux de t’avoir à mescôtés, ton sourire qui illumine mesjours, ta grande gentillesse et ta ten-dresse me comblent au quotidien…J’ai hâte qu’on soit enfin réunis sous lemême toit nchallah !

Je t’aime kad smaa, kad laard wkad l’bhar.

Ton bedidooo qui t’adooore !

• En feuilletant un de mes cahiersde souvenirs, je suis tombé surquelques écrits parus dans le Soir d’Al-gérie au Club de l’amitié durant lesannées de braise... et une vague desouvenirs m’a submergé et arrachédes larmes... incontrôlables !

En hommage à : Feu L. Kamel B. ;la Joconde et Loualich Nadir et Karimade Aïn Bénian ; le Révolté du Nord ;Nada la Romantique ; F. le Cyprès ; le

Lionceau et tous les autres ! Que sont-ils devenus ?

Les moyens de communicationsont énormes ! Et nos cœurs se...referment ! Dommage ! Communi-quons ! Vivons ! Soyons nous-mêmes !

Moh l’Increvable

• Mimicha dyaliJ'ai la tête pleine d'images et le

cœur d'autant plus serré. Je n'arrivepas à concevoir que je ne pourrai paste toucher, te goûter, respirer ton odeurtous les jours. Mais je me rassure enme disant que je peux encore sentirton amour, te faire sourire et partagertes peines.

Même sur un autre continent, tonchéri continuera de t'aimer et sera tou-jours là pour toi.

Tu me manques déjà, mais je suisheureux de t'avoir à moi...

Petit pois

• Tu me semblais si différente, jet’aimais autrement Abla, je te voulaispour moi seul, tu n’étais pas seulementmon amie mais bien plus encore.Maintenant tu t’éloignes et m’oubliesun peu.

De la part de ton amour Amine - Tipasa

• La PassanteRomantique dans l’âme,Mon cœur s'enflamme,Passante qui es-tu ?Je suis suspendu,Tu passes et à ta vue,Moi, je ne suis plus,L'homme mais l'enfant,Ton regard foudroyant,Pénètre mon esprit,Et me voilà épris.

Zoheir Moussaoui

Ecrire à : [email protected]

TTEEXXTTOO

Je seraisallé

voter si…Oui, je ne suis pas allé

voter le 29 novembre der-nier. Je ne m’attarderaipas sur les raisons quim’ont «dicté» cet acte. Jevoudrais plutôt partageravec mes amis lecteursun court reportage, diffusédans le journal d’informa-tion d’Euronews, qui m’aconforté dans mon choix.Le journal a, en effet,consacré quelquesminutes à M. GuissepeFigoni, maire d’un petit vil-lage italien nommé TorlinoVimercati.

Les 452 habitants decette petite commune dela province de Crémonedans la région de Lombar-die sont plus que fiers decelui à qui ils ont remis lesrênes de leur village. Et ily a de quoi être fier ;M. Figoni, dans le soucide réduire les dépensesde la commune en cestemps de crise, réalise lui-même toutes les tâches àsa portée.

Nous l’avons vubalayer les rues, nettoyerle cimetière ou encorecharger sur un camionpoubelle un matelas jetéen pleine nature.

Ce maire qui imposerespect et admiration apermis à sa municipalitéd’économiser 50 000euros sur son budgetannuel !

J’aurais été l’un destout premiers à aller votersi l’un de nos candidatsavait réuni ne serait-cequ’un millième de cettevolonté de servir lescitoyens.

Une piste à creuserpour booster le taux departicipation des pro-chaines élections !

BEN - Oran

Quel que soit le nouveau mode de paiementou de virement mis au point, quelle que soitla couleur des chèques, bleu, rose ou arc-

en-ciel, la question de l'attente des clients nesera pas résolue tant que le nombre de guichetsou de bureaux de poste n'évoluera pas dans lemême sens que celui de la population (1 millionde nouveaux logements construits, 1 million encours).

Au plan de l'amélioration des prestations pro-prement dite, objet de l'article cité en objet, ellene sera considérée comme atteinte que sichaque opération est accompagnée de la remisesystématique de l'avis de virement correspon-dant, comme cela se faisait avant la réforme dela Poste.

Ces avis, si nécessaires au suivi descomptes, ont pratiquement disparu de la circula-tion et les demandeurs d'avoir encombrent lesguichets, pour cause de demande d'avoir. L'au-teur de ces lignes, ainsi que sa famille, attendent,comme Godot, l'apparition de ces avis depuis au

moins 3 années. Alors qui est fautif, les CCP oule service du courrier ? Probablement les deux,c'est-à-dire, en définitive Algérie Poste.

Et c'est ainsi que l'image de la Poste s'est ter-nie et même gravement puisque certainsbureaux ne fonctionnent pas faute de :

- Imprimantes souvent en panne (donc pasd'avis).

- Numérotation lumineuse défaillante et rou-leaux inexistants.

- Demandes de relevés de compte courant,pourtant payantes sur une période donnée, sontrefusées diplomatiquement (panne, indisponibili-té de personnel ou de papier).

- Imprimés pour détenteurs de cartes magné-tiques indisponibles, etc.

Voilà, Monsieur le Directeur, le programme àréaliser pour améliorer les services à la clientèleet l'image de la Poste. Se cristalliser sur la partieamont et négliger les différents facteurs environ-nementaux des opérations de retrait, signifiefaire le travail à moitié.

Nous ne terminerons pas cette réflexion sansévoquer la brutalité de certains chiffres citésdans l'intervention du 19/11/12 sur laChaîne III : 3 500 bureaux de poste sont connec-tés et 300 nouveaux sont programmés annuelle-ment pour 1 540 communes au total. Il faudrapatienter 11 ans pour espérer voir la totalité descommunes reliées. En attendant, le programmede construction de logements aura continué poursatisfaire les populations en attente et les géné-rations qui arrivent !

Pr A. Tazaïrt - Draria

CHRONIQUED’ORAN

Kateb Yacine, dit l'écrivain nomade,auteur de Nedjma naquit en 1929, au

sein d'une famille berbère lettrée. Il estconsidéré comme l'un des fondateurs de lalittérature maghrébine francophone moder-ne. Tahar Djaout a écrit : «Nedjma est sansconteste le texte fondamental de la littéra-ture algérienne de langue française.»

Influencé par les poètes Gérard DeNerval et le comte de Lautréamont auteursdes Chants de Maldoror, mais beaucoupplus par le poète des Fleurs du mal,Charles Baudelaire, Kateb Yacine com-mence très jeune à écrire des poèmes, ilécrit dans une lettre à sa famille : «Savez-vous que depuis 1941, les jeunes Sétifiensm'ont cruellement désillusionné et que jene suis pas loin de pleurnicher commeLamartine ou de me révolter comme Mus-set, car la muse m'a frôlé de son aile et, nevous en déplaise, je débute dans la poésie,l'on dit que je suis assez bon poète, et l'onme prend pour un futur Baudelaire.» Sespremiers poèmes reprennent l'écriture allé-gorique baudelairienne pour exprimer labeauté d'une fleur inaccessible. Son pre-mier recueil de poèmes est publié en 1946,Soliloque est l'œuvre d'un jeune poètedéchiré entre l'amour fou qu'il nourrit pourNedjma sa cousine et l'engagement révo-lutionnaire et novateur. Nedjma pour Katebest le météore – étoile filante – tombé del'astre nocturne. Nedjma, un chef-d'œuvrenaît de cet amour désespéré. Kateb Yacineest l'un de ceux que déchire le désir de

peindre avec les mots, épuise la sève deson inspiration dans une conjoncture dou-loureuse qu'il a vécue péniblement pourtémoigner des meurtrissures subies par saterre mère patrie tels les événements du 8Mai 1945, et l'on sait ce que cette périodetragique et accablante a causé de malheuraux manifestants algériens, terriblementpoignante pour toute l'Algérie. Mais Nedj-ma ne se limite ni à son affliction person-nelle ni même à celle de l'Algérie, elleincarne la liberté, la paix, la fraternité,l'amour, l'espoir, au-delà de toutes concep-tions idéologique, politique, morale ouraciale. «Pour être libre, ne sois pas pri-sonnier de ta mémoire», a écrit MohandAbouda. Cette œuvre véhicule avec uneacerbité déchirante les mérites de la paro-le libre et de la libre pensée, l'essence detoute liberté, Kateb est l'un de ces écri-vains au verbe libre, qui ont revendiquéacerbement la liberté libre.

Nedjma cette amante bien-aimée,chantée, rêvée, impérissable, sera lepoème dans Soliloque, théâtre dans LeCercle des représailles et roman d'un cœurembrasé.

Kateb fou de Nedjma comme Louis leFou d'Elsa, Hölderlin et sa Diotima.

Kateb Yacine est mort en 1989, le poètegisait sur son lit de mort comme unebranche arrachée d'un arbre et la muse deson aile n'a plus où se poser. Citadin maisson œuvre est toujours nomade.

Lounnas M'henna

Intellectuelset Techniciens

du savoirComment éviter d’avoir un lexique inadéquat, de

prendre des positions rapides sur un évènement quia déjà été planifié, d’être soumis à une fausse réali-té qui nous est imposée par la farce médiatique,comment éviter de tomber dans l’amalgame ?

Pour faire face à cette situation, il convient deredéfinir les concepts, les notions, faute de quoi il nesaurait y avoir une vision claire, précise des choses.La solution consiste donc dans la recherche d’unregard objectif, d’abord et avant tout.

Aujourd’hui, nous assistons à un phénomène quine cesse de gagner du terrain : beaucoup de gens seprésentent comme des intellectuels, des Sartre, desMarx, des Nietzsche... Voilà déjà quelques annéesque nous cherchons à définir le sens de «l’intellec-tuel» sans tomber sur une définition zémouristique,car il s’agit vraiment d’une tâche complexe. Dansnos chemins, on peut croiser des jetables et desnotables, plutôt des routiers que des rentiers, et sur-tout, selon la formule de Pierre Bourdieu, des mil-liers de Zola qui lancent des «J’accuse» sans avoirécrit le Germinal. Dans le prolongement de laréflexion due à Noam Chomsky, nous proposons unclassement en deux catégories : d’un côté, les Intel-lectuels, de l’autre les Techniciens du Savoir.

Les intellectuels sont ceux-là qui ont subi, plusou moins fortement, des violences cachées sousune subjectivité médiatique, des intimidations, maisqui gardent souvent un œil ouvert, vigilant, unregard critique sur le monde. Ils sont les rares àaffronter, les mains nues, la mainmise des déci-deurs, la censure et la chape de plomb. Ils parvien-nent ainsi à contribuer à donner espoir, à crier hautet fort, assumer leurs positions en faveur de la désa-liénation.

Les techniciens du savoir, par contre, sont cesdiplômés, médecins, animateurs, hommes poli-tiques… qui contribuent à ne rien changer, qui occu-pent souvent les premiers rangs des émissions télé,et qui arrivent à toute occasion comme donneurs deleçons, la plupart d’entre eux ayant déjà choisi lesmaîtres, les tout-puissants. Ils sont du côté du sys-tème, de l’aliénation, qui leur inculquent une visiondu monde mensongère, qui fait d’eux, non pas descitoyens, mais des sujets, des gardiens du temple.

Aujourd’hui, il importe donc de faire le tri entretout ce qu’on nous vend, tout ce qu'on cherche ànous faire croire, et surtout de ne pas être sous leparapluie idéologique des dominants.

Mounir Bessaoudi-Takerboust

Quand la Postene suit pas...

LLee ppooèèmmee oouu llee ccoouutteeaauu

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Le Soird’Algérie Culture Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 10

Lila Borsali a participé à la9e édition du FestivalAndaloussiyate El Bayda auMaroc dans laquellel’Algérie était à l’honneur.

L’artiste algérienne aanimé la soirée d’ouver-ture du festival au

Théâtre Mohamed V deRabat dans une salle combleet en présence d'officiels etde personnalités tels l'ambas-sadeur d'Algérie à Rabat, leconsul d'Algérie à Casablan-ca ainsi que le ministre maro-cain de la Culture qui lui aremis, à la fin de sa presta-tion, un trophée d'honneur.

Le deuxième concert deLila Borsali a eu lieu auThéâtre Mohammed VI de laville de Casablanca devantun nombreux public et la pré-sence remarquée de la com-munauté algérienne résidantdans cette grande ville maro-caine. Le troisième et dernierconcert de Borsali et de sonorchestre a eu lieu à Oujda,sur invitation de l’ambassaded’Algérie. Lila Borsali nous aconfié qu’elle garde un «sou-venir extraordinaire» de ceséjour et de ce festival qui a

bénéficié d’une organisationparfaite. «Ce genre d'évène-ment permet, notamment, derapprocher les deux peuplesfrères, algérien et marocain,et ce, de la meilleure manièrepossible, qui est l'art», a-t-elleencore ajouté. Elle feraremarquer aussi qu'elle a ététrès touchée par l'accueil dela communauté algérienne àOujda et à leur tête le consuld'Algérie. Le festival, résu-

mera-t-elle, a été «un séjourriche en fraternité, toutd'abord au sein de l'orchestreoù la bonne ambiance acontribué à la réussite decette tournée, mais aussiriche en art et en passion, carc'est l'occasion d'aller à larencontre d'autres artistes etmélomanes».Lors de sespremières éditions, ce festi-val, organisé par l’Associationdes Amateurs de musique

andalouse (Maroc), se tenaitexclusivement à Casablanca,d'où son appellation «Anda-loussiate El Bayda». Ces der-nières années, il s'est ouvertà d'autres villes marocainescomme Rabat et El-Jadida.En plus du pays organisateur,l’édition 2012 du Festival a vula participation d’artistes d’Al-gérie, du Portugal, de Tunisieet de Syrie.

Kader B.

THÉÂTRE NATIONAL ALGÉRIEN MAHIEDDI-NE-BACHTARZI (ALGER)Du 6 au 12 Décembre :4e édition du Festival culturel international de

musique symphonique d’Alger.Lundi 10 décembre à partir de 18h30 :Concerts de musique classique par desorchestres de Pologne, Suède, France, deCorée et d’Irak.Mardi 11 décembre à partir de 18h30 :Concerts de musique classique par desorchestres d’Allemagne, d’Italie, d’Autriche etde Tunisie.Mercredi 12 décembre à partir de 18h30 :Concert de clôture par un orchestre multinatio-nal, dirigé par le maestro japonais HikotaroYazaki. Participants : Orchestre symphoniquenational (Algérie), Espagne, Afrique du Sud,Ukraine, Russie, Egypte, Tunisie, Japon, Suis-se, Syrie, Italie, Corée, Chine, Mexique etTchéquie.

CINÉMATHÈQUE ALGÉRIENNE MUSÉE DU CINÉMA (RUE LARBI-BEN-M’HI-DI, ALGER- CENTRE)Lundi 10 décembre 15h : Film Stéphane Hes-sel, une histoire d’engagement de ChristineSeghezzi (documentaire, France 2008).16h30 : Film Henri Alleug, l'homme de la ques-tion de Christophe Kantcheff (France, 2009).18h : Film Armadillo de Janus Metz Pederson(Danemark, 2010).

Mardi 11 décembre à 15h : Film Moudjahidated’Alexandra Dols (France, 2008).16h30 : Film La moudjahida et le parachutistede Mehdi Lallaoui (France, 2012).18h : Film Les trois guerres de Madeleine Rif-faud de Philippe Rostan (France, 2010).Dans le cadre du 2e Festival international ducinéma d’Alger.

SALLE IBN-ZEYDOUN DE RIADH-EL-FETH(EL MADANIA, ALGER)Lundi 10 décembre à 15h : Film Wilaya dePedro Perez Rosado (Espagne, 2012).17h : Hommage aux cinéastes palestiniennesdu réseau Shashat19h : Film Nostalgie de la lumière d’AlainGomis (Sénégal, France, 2012).Mardi 11 décembre à15h : Film Nostalgie dela lumière d’Alain Gomis (Sénégal, France,2012).17h : Film Rengaine (France 2012), en présen-ce du réalisateur Rachid Djaïdan19h : Film La pirogue (Sénégal, France, 2012),en présence du réalisateur Moussa Touré.Dans le cadre du 2e Festival international ducinéma d’Alger.

CERCLE FRANTZ-FANON DE RIADH-EL-FETH (EL MADANIA, ALGER)Lundi 10 décembre à 10h : Rencontre avecles cinéastes Pedro Perez Rosado, IdrissouMora Kpaï et Lamine Merbah.

A 12h : Table ronde autour de : «Quelles fron-tières thématiques pour un cinéma engagé ?»Modération : Ahmed Bedjaoui

Mardi 11 décembre à 10h : Rencontre avecles cinéastes Christine Seghezzi et Chris-tophe Kantcheff0.A 12h : Table ronde autour de : «Les jeunes cinéastes et leur vision de la guer-re de libération»Modération : Salim Aggar.Dans le cadre du 2e Festival international ducinéma d’Alger.

SALLE IBN-KHALDOUN (ALGER-CENTRE)Mardi 11 décembre à 20h : Concerts de NadaRéhane et de Fouad Ouamane.

GALERIE D’ART BENYAA (4, RUE DEPICARDIE, LES CASTORS II, BIR-MOURAD-RAÏS, ALGER)Du 10 novembre au 31 décembre :Exposition «Vibration» de l’artiste plasticienFarid Benyaa.GALERIE AÏDA (VILLA 132, HAÏ EL-BINA,DÉLY-IBRAHIM, ALGER)Du 6 au 25 décembre : Exposition «Paletteset percussions» des artistes NoureddineHammouche (Alger) et Abderrazak Hafiane(Biskra). Horaire : 16h-20h30.

MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE ET

CONTEMPORAIN D’ALGER (RUE LARBI-BEN- M’HIDI, ALGER-CENTRE)Jusqu’au 10 février 2013 : Expositionrétrospective «Traversée de la mémoire» del’artiste Lazhar Hakkar.

PALAIS DE LA CULTURE MOUFDI-ZAKARIA (KOUBA, ALGER)Jusqu’au 31 janvier 2013 :5e Salon d’automne des arts plastiques, avecla participation de 58 artistes (artistes-peintres, sculpteurs et photographes).

PALAIS DES RAÏS (BAB-EL- OUED,ALGER)Jusqu’au 12 décembre :2e Festival national de l’habit traditionnel algé-rien.

Lundi 10 décembre : Expositions et ateliersd’initiation.15h : Conférence du Pr Meriem Bouzid Cha-babou sur le thème : «Les changements sur-venus dans l’habit traditionnel».Mardi 11 décembre : Expositions et ateliersd’initiation.15h : Après-midi musical animé par Goussemet sa troupe féminine (hawzi et aroubi) accom-pagné de bouqalate.Mercredi 12 décembre : Clôture des exposi-tions et ouverture de la vente au public18h30 : Défilé de mode traditionnelle d’ungroupe de créatrices (sur invitation).

[email protected]

Un confrère a fait remarquer quele Festival international du cinémaet le Festival culturel internationalde la musique symphonique se tien-nent au cours de la même semaineà Alger. Ceci, à ses yeux, est la preu-ve que les organisateurs de spec-tacles ne se concertent pas quantaux choix de la date des spectaclesou des festivals. Il a, en outre,déploré le fait que c’est toujours lacapitale qui «se taille la part du lion»dans la programmation culturelle etartistique au détriment des autresvilles et régions du pays. Revenantaux deux festivals «parallèles»,celui du cinéma et de la musiquesymphonique, notre ami craint quecette «coïncidence» ne va pas «divi-ser» le public et se répercuter demanière négative sur l’affluence lorsdes projections de films ou deconcerts de musique classique.

Mais un cinéphile n’est pas auto-matiquement un mélomane mêmes’il s’agit de la grande musique. Lessalles où se tiennent ces deux mani-festations internationales, d’unecontenance de quelques centainesde spectateurs, sont situées dansune ville de plusieurs millions d’ha-bitants.

En football, le stade d’El-Harrachest toujours complet, même quandle Mouloudia et l’USMA reçoivent àBologhine !

K. [email protected]

Le coup de bill’art du SoirUn monde foot ?

Par Kader Bakou

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Q uatorze courts métrages, réalisés etproduits par de jeunes cinéastesamateurs de différentes wilayas du

pays, sont en compétition aux deuxièmesjournées nationales du court métrage deBéchar, dont le coup d’envoi a été donnésamedi à la Maison de la culture de laville. Au programme des séances de pro-jection, qui ont débuté samedi en débutde soirée, la présentation de Sihr El-Hadara» (magie de la civilisation), undocumentaire de 26 minutes sur l’histoire

de la région de Béchar. Cette œuvre,produite par le département des activitésaudiovisuelles de la Maison de la culture,met en exergue les différentes phases etépoques ayant marqué l’histoire de larégion de Béchar et son apport au déve-loppement des régions du sud-ouest dupays. Le jury de cette manifestation ciné-matographique, présidé par le cinéasteLarbi Lakehal, désignera les lauréatspour les trois premiers prix, à savoir ceuxdu meilleur court métrage, de la meilleu-

re réalisation et du meilleur scénario, ontindiqué les organisateurs. En marge desséances de projection, les participantsprendront part à des ateliers de forma-tion sur les techniques de prise de vue,de réalisation, de la direction de la photoet de l’écriture du scénario.

Ces ateliers qui sont encadrés par desprofessionnels du cinéma national, enl’occurrence le réalisateur MohamedMahdaoui et le directeur de la photo AllalYahiaoui, sont un moyen de vulgarisation

de ces techniques cinématographiquesdont les jeunes cinéastes amateurs ontréellement besoin, ont estimé les organi-sateurs. Cette manifestation, qui s’étale-ra sur quatre jours, à l’initiative de la Mai-son de la culture, est considérée par plu-sieurs participants comme une nouvelleopportunité offerte par le secteur de laculture pour la promotion et l’encourage-ment des jeunes talents à faire connaîtredavantage leurs œuvres et créationscinématographiques.

FESTIVAL INTERNATIONAL DE LA MUSIQUE ANDALOUSEDE CASABLANCA

Le triomphe de Lila Borsali

2es JOURNÉES NATIONALES DU COURT MÉTRAGE DE BÉCHAR

Jeunesse ciné Saoura

Le ministre marocain de la Culture remettant un trophée à Lila Borsali.

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Page animée par Hayet Ben

Le Soird’Algérie Le magazine de la femme

Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 15

[email protected]

PPoouulleett ppaannéé ffaarrccii aauuxx hheerrbbeess

4 blancs de poulet, 4 cuil. à café de moutarde, 4 tranches de gruyère, 4 tranches de pâté, 2 œufs entiers, légèrement battus, 100 g de

chapelure, 1 cuil. à café de zeste de citron râpé, 2 cuil. à soupe de persi haché, huile pour la

friture, quartiers de citron pour servir.

Ouvrir les blancs de poulet en 2 et les aplatir. Tartinerun côté avec 1 cuil. à café de moutarde. Recouvrirun côté avec 1 tranche de fromage et de pâté, sansles faire dépasser des bords. Replier le blanc etfermer les bords avec deux cure-dents. Mettre les œufs battus dans un plat creux. Mélangerla chapelure, le zeste de citron et le persil sur uneassiette plate. Plonger les blancs dans l’œuf, puisdans la chapelure. Faire chauffer l’huile dans unegrande poêle et cuire les blancs 8 minutes, en lesretournant une fois. Egoutter sur du papier absorbantet servir avec des quartiers de citron. Conseil : Laisser en évidence dépasser le bout descure-dents pour pouvoir les enlever facilement aprèsla cuisson du poulet pané farci aux herbes.

FF oo nn dd aa nn tt cc oo cc oo -- bb aa nn aa nn ee FF oo nn dd aa nn tt cc oo cc oo -- bb aa nn aa nn ee

4 œufs, 150 g de sucre, 2 sachets de sucrevanillé, 1 cuillère à soupe d’eau de fleur

d’oranger, 100 g de crème entière fluide, 125 g defarine, 1/2 sachet de levure chimique, 3 bananes,75 g de beurre, 75 g de poudre de noix de coco

Fouettez 2 œufs avec 100 g de sucre. Ajoutez lesucre vanillé, l‘eau de fleur d’oranger, la crème fluide,la farine et la levure. Versez la pâte dans un moule.Faites préchauffer le four à 150°C.Posez sur la pâte les bananes coupées en rondelles. Fouettez 2 œufs avec 50 g de sucre, le beurre fonduet la poudre de noix de coco. Couvrez les bananesde ce mélange. Faites cuire au four environ 35 minutes (le fondantdoit être doré sur le dessus).

Longtemps, on aattribué l'origine del'ulcère à desfacteurs

psychosomatiques. Maisaujourd'hui, on sait que99% des ulcères sontdus à une bactérie,helicobacter pylori.Cettedécouverte apermis de

révolutionner le traitementde l'ulcère qui se focalisedésormais sur l'éliminationde cette bactérie.Attention cependant,l'ulcère peut trouver sonorigine dans la priserégulière d'aspirine ou

d'anti-inflammatoiresnon stéroïdiens. Cesmédicaments sont ditsgastro-toxiques etatténuent lesmécanismes dedéfense naturelle de la

muqueuse gastrique. Si laprise de ces médicamentspeut momentanémentatténuer la douleur, ellecontribue à accélérer leprocessus de l'ulcère.

Quels sont les symptômes

de l'ulcère ?L'ulcère est une lésionouverte… Les symptômessont ainsi assezdouloureux.Généralement, l'ulcèreentraîne des douleurs quiprennent la forme decrampes, brûlures, torsiondans la région du creuxde l'estomac et sous lescôtes, à droite. Cessensations peuventparfois atteindre le dos.Cette douleur estgénéralement rythméepar les repas,apparaissant une à quatreheures après et pouvantpersister jusqu'auprochain. D'autres signespeuvent également y êtreassociés : nausées,vomissements, troublesde la digestion… La prised'aliments calmegénéralement la douleur.Ces symptômes durentquelques jours puisreviennentpériodiquement.

Trucs etastuces

Liquide vaisselle J'utilise toujours duliquide vaisselle pourfaire glisser mes tiroirsrécalcitrants.

Vinaigre blanc pourdétartrerUn super détartrant,écologique, économiqueavec un résultatmerveilleux : le vinaigreblanc. Efficace seul maisaussi pour carafe oubouteille avec du gros selet pour du calcaireancien, chauffer un peula solution, le résultatn'en sera que meilleur...

Tache de fruit Pour enlever une tachede fruit sur du tissu(vêtement, nappe…),versez délicatement del’eau oxygénée (volume10) sur la tache. Il fauttoujours faire un essaisur une partie cachée duvêtement car il y a unrisque de décolorationsur un tissu couleur.Attendre quelquesinstants que la tachedisparaisse puis rincer àl’eau claire et lavercomme d’habitude.

Gommage maison Envie d'un gommagepour le corps naturel ? Ilsuffit de mélanger dusucre en poudre avec unpeu de miel liquide. Vouspouvez aussi utiliser dugros sel, efficace, maisattention aux peauxfragiles.

Avec le temps, lescellules de la peau se

renouvellent moins vite, letaux de collagène diminue,la peau devient plussèche, les rides secreusent... Ces premierssignes de l’âge peuventêtre favorisés par certainesmauvaises habitudes, quiaccélèrent le vieillissementcutané. Zoom sur cesennemis de notrejeunesse.

Le manque de sommeil Le manque de sommeilaltère la qualité de notrepeau, surtout de notreépiderme, qui profitenormalement de cesheures de repos pour serégénérer. Il est temps demettre le vieillissementprématuré en sommeil, endormant suffisamment !Le manque d’hydratation L’eau est un composantessentiel de notre peau. Sinotre épiderme est gorgéd’eau, il aura un aspectrepulpé, plein et lissé. Al’inverse, la déshydratationa des conséquences sursa qualité : rides, pochessous les yeux, grise mine...Le soleil On l’adore et on en abesoin pour rester enbonne santé, mais cetastre bienfaiteur est àconsommer avecmodération. Car à trop

fortes doses, le soleildevient dangereux. Il peutcauser des brûlurescutanées. Rappelez-vousqu’une peau bronzée estune peau endommagée. Ilconvient donc de laprotéger des rayons dusoleil aussi bien pour sabonne santé que pourpréserver l’éclat de sajeunesse. Le tabac Après le soleil, le tabac estle deuxième facteur duvieillissement cutané. Unepeau de fumeur marqueplus rapidement les signesde l’âge qu’un non-fumeur.Tous les produitschimiques que renfermeune cigarette amenuisentles fibres de collagène (quiassure la souplesse etl’élasticité de la peau).Le stress Le stress est néfaste àtous les niveaux etnotamment pour notrepeau. Il altère le

métabolisme des cellules,les fragilise et les empêchede faire correctement leurtravail, quand il ne les tuepas, tout simplement. Un mauvais démaquillage Une fois sur deux, vous nevous démaquillez pas,pensant que ce n’est pasgrave ? Erreur ! Ledémaquillage est lepremier geste anti-âge àadopter pour votre peausurtout au niveau desyeux. Il est conçu pourtenir 12 heures, pas plus.Le manque d’exercice Le sport pourrait être la cléqui vous donnera accès àla fontaine de jouvence.On quitte le confort ducanapé pour un peud’effort physique. Le prix àpayer pour ralentir lespremiers signes de l’âge,sans oublier qu’au-delà del’aspect esthétique, le sportjoue un vrai rôle deprévention dans bonnombre de maladies.

L'ULCÈRE

Quelles en sont les causes ?

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Le Soird’Algérie Sports Lundi 10 décembre 2012 - PAGE16

FOOTBALL

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LE FORFAIT DE BOUGHERRA QUASI CERTAIN

Une surprise nommée Fethi Harek !

En fait, Fethi Harek, sélec-tionné pour pallier un éventuelforfait voire un fléchissementde Nadir Belhadj, se voyaitinvestir un groupe déjà«soudé» par les liens du jeuet du vestiaire.

En deux périodes dis-tinctes, mars et juin 2008, leBastiais avait du mal à s’in-cruster dans le moule tisséautour des Ziani, Mansouri,Saïfi et autre Gaouaoui. Dansun récent entretien accordé ànos confrères de la Gazettedu Fennec, Harek, originairede Tlemcen, se rappelait dubon vieux temps.

«J'avais fait deux stages,un en mars et un autre en juin2008 au cours duquel on avaitenchaîné quatre matchs, un à

Dakar contre le Sénégal, unautre contre le Liberia à domi-cile et les deux matchs aller-retour contre la Gambie (àBlida, ndlr).»

Deux regroupements maisune seule véritable capée,celle contre le CongoBrazzaville, le 26 mars 2008,à Goussainville (1-1). Pas dequoi chanter la gloire à cedéfenseur venu vers le tarddans le cercle très restreint deceux qui sont devenus, uneannée plus tard, les hérosd’Oumdourman. Saâdane,quelque peu déçu de ne pou-voir compter sur lui (une mal-heureuse blessure est venueperturber sa sélection pour lestage de juin 2008), a ferméla parenthèse surtout que dessolutions allaient se présenterdans ce registre (couloirgauche de la défense) avecl’émergence de Mesbah et lapolyvalence avérée de Yahia.

Quatre ans plus tard, pour-tant, l’on reparle à nouveaude ce joueur qui, à 30 ansaccomplis, a f ini parconvaincre ses entraîneurs etses détracteurs. A telleenseigne que cette année,Harek devient le capitaine dela formation d’Alex Dupont(qui avait dirigé Belhadj àSedan), cumule du temps dejeu (14 sur les 15 matchesjoués) et les rôles dans ladéfense bastiaise. Arrièregauche de formation, FethiHarek revient à ses vieillesamours en jouant, face à Lille,vendredi dernier, défenseur

central, poste qu’il a occupésous le maillot de Beauvais,en National. Une simple coïn-cidence ? Peut-être bien,mais au train où vont leschoses, du côté deHalilhodzic, l’on doit se direqu’un tel renfort, après s’êtreassuré d’une doublure sur leflanc gauche (Ghoulam), esttoujours bon à prendre. Caravec Bougherra et Halliche enmanque de temps de jeu, lepari de soulever des mon-tagnes, comme promis parFeghouli, est difficile. A la limi-te de l’impossible.

M. B.

Quand Rabah Saâdane l’avait retenu en sélec-tion, beaucoup parmi les observateurs se deman-daient d’où sortait Fethi Harek. Un défenseurqui, malgré de bonnes statistiques chez les Corsesdu SC Bastia, avait du mal à amadouer une opi-nion sportive nationale qui n’avait d’yeux quepour Bougherra, Yahia et autre Belhadj. Tant laclasse de ce trio et son rôle dans la renaissancedes Verts, quelques mois après la déculottée faceau Sily National de Nouzaret, étaient manifestes.

FC VALENCE

Feghouli brille à Pampelune

Le mil ieui n t e r n a t i o n a lalgérien du FCValence, SofianeFeghouli, a étécrédité d'unebelle prestationsamedi soir sur leterrain d'Osasuna(1-0), en matchcomptant pour la15e journée duc h a m p i o n n a td ' E s p a g n e .

Titularisé comme d'habitude par le nouvel entraîneur del'équipe, Ernesto Valverde, Feghouli a été au four et au mou-lin et derrière les bons coups de son équipe, durant les 90minutes du jeu. Très difficile à manier à domicile, Osasunas'est fait surprendre à la 55e minute de jeu par l'inévitableSoldado, qui inscrit à l'occasion son 8e but depuis le début dela saison. Cette 6e victoire de la saison pour Valence lui apermis de se hisser à la 10e place au classement avec 21points. Les performances enchaînées par le milieu offensifdes Verts n'ont pas laissé insensibles les spécialistes du bal-lon rond, à l'image de l'emblématique entraîneur d'Arsenal(Premier League anglaise), le Français Arsène Wenger, quin'a pas tari d'éloges sur lui. «Cette saison, je suis vraimentsurpris par Sofiane Feghouli et ce qu'il fait à Valence.Feghouli a un physique d'enfer, une volonté, et bien sûr desqualités techniques», a-t-il affirmé.

PARME FC

Belfodil supervisé par des émissaires

de StuttgartDes émissaires du club allemand de Stuttgart ont supervi-

sé l'attaquant algérien Ishak Belfodil lors du match perdu parson équipe Parme à Bergame contre l'Atalanta (2-1), lors dela 16e journée du championnat d'Italie de football, a rapportéla presse locale spécialisée. Ces «envoyés spéciaux» deStuttgart se sont rendus samedi en fin de journée au stadeAtleti Azzuri d'Italia pour superviser le joueur algérien de 20ans qui n'a finalement été que remplaçant. L'entraîneurRoberto Donadoni l'a fait entrer à la 68e minute de jeu à laplace du défenseur et ancien international italien, CristianZaccardo, alors que les Parmesans étaient menés à 2-1.Ishak Belfodil, auteur de trois buts depuis le début de la sai-son, avait rejoint Parme durant l'intersaison en provenancede l'Olympique de Lyon, pour un contrat de quatre ans.Qualifié par la Fédération internationale de football (Fifa)pour jouer au profit de l'équipe nationale, Belfodil a décidé defaire l'impasse sur la Coupe d'Afrique des nations 2013 enAfrique du Sud (19 janvier-10 février), préférant se consacrerà son club.

Kadir de nouveau décisif

L'international AlgérienFouad Kadir a été de nou-veau décisif avec son clubValenciennes FC en lui per-mettant de revenir avec lepoint du nul (1-1) du terrainde l'AS Nancy pour le comptede la 16e journée du cham-pionnat de Ligue 1 françaisede football. Menée au scoredepuis la 31e minute,Valenciennes a attendu jus-qu'à la 73e pour égalisergrâce à un coup franc dumilieu offensif des Vertsrepris par erreur dans sespropres filets par le joueur deNancy, Haidara. Kadir (28ans), en pleine forme depuisle début de la saison, est lebuteur de son équipe avecsix réalisations. En s'illustrantde match en match, il a finipar attirer les regards degrandes équipes du cham-pionnat de l'Hexagone, àl'image de l'Olympique deMarseille ou Lille FC, profitantdu fait que son contrat avecValenciennes expire en juin2013, selon la presse françai-se. Mais le joueur a déclarédernièrement qu'il n'avaitaucun contact officiel dans cesens et qu'il était plutôtconcentré sur le challenge deson club qui espère décro-cher un billet européen pourle prochain exercice, ainsique la CAN-2013 qu'il dispu-tera pour la première foissous les couleurs de l'Algérieà partir du 19 janvier prochainen Afrique du Sud.

MONDIAL DES CLUBS

Al Ahly passe en demi-finale

L'équipe égyptienne duAhly du Caire s'est imposéeface aux Japonais SanfrecceHiroshima (2-1), en matchcomptant pour les quarts definale de la Coupe du mondedes clubs, disputé hierdimanche à Toyota (Japon).Les buts de la partie ont été

inscrits par Hamdy (15e) etAboutrika (57e), alors que lebut de Hiroshima a étél'œuvre de Sato (32e).

Les joueurs d’Hassan AlBadry seront opposés endemi-finale aux Brésiliens deCorinthians, jeudi prochain àYokohama.

Résultats et suite du programmeQuarts de finale Monterrey (MEX)- Ulsan Hyundai (KOR) 3-1 Al-Ahly (EGY)-Sanfrecce Hiroshima (JPN) 2-1 Demi-finales, 13 décembre à YokohamaChelsea (ENG)-Monterrey (MEX) Corinthians (BRA)-Al Ahly (EGY) Finale : 16 décembre à Yokohama.

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Le Soird’Algérie Sports Lundi 10 décembre 2012 - PAGE17

BASKET-BALL

FOOTBALL

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ES SÉTIF

Une invincibilité qui en dit long…

Ce parcours de pre-mier ordre permet auxgars d'Aïn El Fouara,détenteurs du doublé lasaison passée (champion-nat et coupe d'Algérie), departager le fauteuil de lea-der avec l'USM Harrach,devançant de quatrepoints leur premier pour-suivant, l'USM Alger.

L'ESS, qui termineral'aller sur le terrain du CSConstantine avec commeambition de décrocher letitre honorifique de cham-pion d'hiver, est bien par-t ie pour préserver son«bien» si elle continue surla même dynamique,

selon les observateurs. Les coéquipiers de

l' international AmineAoudia sont devenus ainsiinvincibles à domicile,donnant matière à opti-misme à leurs supporterset à leur staff techniqueen particulier.

«Notre parcours sansfaute à domicile y est pourbeaucoup dans le postede leader qu'on occupeconjointement avecl'USMH, à une journée dela fin de la phase aller. Lestade du 8-Mai-45 estdésormais redevenu lechaudron qu'il était jadis»,a commenté l'entraîneur

adjoint de l 'ESS,Kheiredine Madoui.

Les protégés de l'en-traîneur français HubertVelud, qui avait succédé

au Suisse Alain Geiger,lors de l'intersaison, sesont également illustrésdans les sept rencontreslivrées jusque-là à domici-

le, à travers une l igneoffensive efficace et unedéfense compacte, mar-quant 18 buts contre 3seulement encaissés.

L'ES Sétif a remporté son septièmematch à domicile pour autant de ren-contres, en venant à bout du CAB BordjBou-Arréridj (3-1), samedi soir, pour lecompte de la 14e et avant-dernière journéede la phase aller de la Ligue 1, devenantainsi la seule équipe de l'élite à avoirgagné toutes ses rencontres chez elle aucours de la première partie de l'épreuve.

COUPE D'ALGÉRIE (32es DE FINALE)

IB Mouzaïa-ESBouakal délocalisé Le match entre l'IB Mouzaïa et l'ES Bouakal,

comptant pour les 32es de finale de la Couped'Algérie de football, prévu vendredi prochain, a étédélocalisé au stade du 20-Août d'Alger (15h), a-t-onappris auprès de la Commission de la Couped'Algérie. Cette rencontre était initialement pro-grammée au stade Si Hamdane de Médéa, préci-se-t-on. Les autres rencontres des 32es de finale del'épreuve populaire se joueront vendredi et samedi.

La Radieuse honorele Pr Tahmi

Profitant de sa visite d’inspection et de travail àOran, les jeunes athlètes et responsables de l’as-sociation la Radieuse, accompagnés de figures his-toriques du sport algérien que sont LakhdarBelloumi, Abdelkrim Bendjemil, Moussa Mustapha,Mohamed Hansal ainsi que de M. Boudiaf (walid’Oran) et M. Gharbi (DJSO), ont rendu un vibranthommage au ministère de la Jeunesse et desSports, à travers la personne du professeur TahmiMohamed, premier responsable de ce départe-ment. Les membres de la Radieuse ont honoré lePr Tahmi, en remerciement au soutien que leurassociation reçoit de la part de ce département. LePr Tahmi a profité de l’occasion pour rappeler sesorientations et les objectifs assignés aux associa-tions, et que la Radieuse a presque atteints en 12ans d’existence.

CAN-2013 DES U20

L'Algérie hérite du Bénin, du Ghana

et de l’Égypte

Le match d’ouverturedu tournoi opposeral'Algérie au Bénin, le 16mars prochain à partir de17h30 au stade d'AïnTémouchent. Le groupe Best composé du Nigeria(tête de série), du Mali, dela RD Congo et duGabon. Les deux pre-miers de chaque groupese qualifieront pour lesdemi-finales du tournoidont les matches sontprévus à Aïn Témouchentet Oran. Les joueurs dusélectionneur national, leFrançais Jean-MarcNobilo, entameront doncla compétition le 16 marsface au Bénin au stade

d'Aïn Témouchent. Troiséléments issus de l'équipenationale des U20 sontmis à la disposition deleurs clubs pendant la sai-son.

Il s'agit d'OussamaMethazem (CA Batna),Zinedine Ferhat (USMAlger), et DjamelHeddouche (ASO Chlef),alors que les autres élé-ments sont en regroupe-ment permanent aucentre technique nationalde Sidi Moussa (Alger).En vue de cette CAN-2013, le coach nationalcompte faire appel à desjoueurs évoluant à l'étran-ger.

L'Algérie évoluera dans le groupe Alors de la coupe d'Afrique des nations2013 (CAN-2013) de football des moinsde 20 ans (U20) qu'elle abritera du 16 au30 mars 2013, aux côtés du Bénin, duGhana et de l’Egypte, selon le tirage ausort effectué hier matin au Caire.

STADE OMAR-HAMADI (ALGER)

La nouvelle pelouse sera poséeà partir du 3 janvier

Les travaux pour la pose d'une nou-velle pelouse synthétique, de dernièregénération, au stade Omar-Hamadi(Alger), commenceront le 3 janvier pro-chain, a-t-on appris auprès de la direc-tion de l'USM Alger, club gérant cetteinfrastructure depuis plusieurs années.

La nouvelle pelouse sera réception-née dans un délai d'un mois, précise lamême source. Ce nouveau tartan vien-dra remplacer l'actuelle pelouse dont

l'état s'est considérablement dégradé,poussant les joueurs de l'USMA à s'enplaindre et même à demander le change-ment de domiciliation lors de la réceptionde leurs adversaires en championnat deLigue 1. Le président usmiste, AliHaddad, avait annoncé, en juin dernier,la pose d'une nouvelle pelouse au stadeOmar-Hamadi lors de l'intersaison, maisl'opération ne s'est pas effectuée pourdes raisons non précisées.

JS SAOURA

Signature imminente des accords avec l’Enafor

«Le conseil desactionnaires de laSSPA/JSS a adopté àl'unanimité le protocoled'accord signé avecl'Enafor portant sur lerachat de cette entrepriseà hauteur de 75% ducapital de notre club. Il nereste ainsi que la ratifica-tion du contrat qui devraitintervenir avant la fin de lasemaine en cours», adéclaré, à l'APS, le prési-dent du nouveau promuparmi l'élite.

Lors de l'été dernier,Sonatrach avait décidéd'investir dans le footballprofessionnel en Algérie,en procédant, par le biaisde la société mère et trois

de ses filiales, au rachatde la majorité des actionsde trois clubs de l'élite, àsavoir le CS Constantine,le MC Oran et la JSSaoura, ainsi que la totali-té du capital du MC Alger.

Après les signaturesde protocoles d'accorddans ce sens avec lesquatre formations concer-nées en septembre der-nier, le groupe pétrolierest passé à l'acte en rati-fiant un premier contratfinal avec le CSC, devenudepuis mercredi dernier lapropriété, à hauteur de75%, de Tassili Airlines.

La société mèredevrait effectuer la mêmeopération avec le MC

Alger aujourd’hui, selon lapresse, sauf que pour lecas du vieux club de lacapitale, il est prévu quela transaction porte sur lerachat de 100% desactions de la société spor-tive. Pour le président dela JSS, l 'arrivée del'Enafor est attendue partout le monde à Béchar,en particulier par sa per-sonne, estimant qu'il étaittemps pour lui de se repo-ser après six ans de tra-vail dans le club, durantlesquels il a réussi à lehisser des divisions infé-rieures jusqu'au premierpalier de la compétition enAlgérie. La JSS a renouésamedi, dernier, avec lavictoire après un passageà vide de quelques jour-nées, en prenant lemeilleur à domicile sur laJSM Béjaïa (3-0), l'un desfavoris au titre, pour lecompte de la 14e journéede Ligue 1.

La ratification du contrat de rachat dela majorité des actions de la JS Saourapar l'Enafor (filiale de Sonatrach)devrait se faire avant la fin de la semai-ne en cours, a-t-on appris auprès deMohamed Zerouati, président du club.

OUSSAMA METHAZEM (GARDIENDE BUT DE L’EN ET DU CAB) :

«Un groupe très difficile»Le portier de la sélection nationale de football des

moins de 20 ans (U20), Oussama Methazem, a relevéla difficulté du groupe A de la coupe d'Afrique desnations 2013 (CAN-2013), prévue en Algérie du 16 au30 mars 2013, où figure l'Algérie, en compagnie duGhana, de l'Egypte, et du Bénin. «Nous avons héritéd'un groupe extrêmement difficile, avec notamment laprésence du Ghana et de l'Egypte, qui ne sont plus àprésenter. Il ne faut pas non plus sous-estimer leBénin, qui a certainement du potentiel en parvenant àse qualifier pour la phase finale», a affirmé à l'APS lejeune gardien de but du CA Batna (Ligue 1 algérien-ne). «Nous devons absolument réussir nos débuts etbattre le Bénin. C'est important de bien entamer letournoi, cela y va de notre qualification pour les demi-finales», a ajouté Methazem (19 ans), estimant que lesdeux places qualificatives pour le dernier carré de laCAN-2013 «seront disputées entre l'Algérie, l'Egypte,et le Ghana».

CAN-2013 (U17)

Un derby maghrébin au menuLe Maroc, pays organisateur de la Coupe d'Afrique des nations 2013 (CAN-2013)

de football des moins de 17 ans, du 13 au 27 avril 2013, affrontera notamment laTunisie dans un derby maghrébin du groupe A, tandis que le groupe B sera relevéavec la présence de la Côte d'Ivoire, du Nigeria et du Ghana, selon le tirage ausort effectué hier dimanche au Caire. Outre le Maroc et la Tunisie, le groupe A estcomposé également du Gabon et du Botswana, tombeur de l'Algérie lors du der-nier tour éliminatoire. Le groupe B rassemble, de son côté, la Côte d’Ivoire, leNigeria, le Ghana et le Congo, tête de série et troisième de la dernière édition de laCAN des U17. Les deux premiers de chaque groupe se qualifieront pour les demi-finales de la compétition.

CHAMPIONNAT DE SUPERDIVISION(MISE À JOUR)

Premier revers pour l’USM Blida

L’USM Blida a concé-dé samedi sa premièredéfaite de la saison et desurcroît sur son terrain,devant le championd’Algérie en titre, le GSPétroliers (59-75), lors dela mise à jour du cham-pionnat de superdivisionde basket-ball, alors quele nouveau promu, l’USSétif s’est permis le luxed’aller battre à l’extérieur,l’OM Bel-Abbès (74-71).Le GSP qui s’est bienrepris, en battant lesBlidéens sur leur terrain,confirme donc son excel-lent retour en forme,grâce notamment à sonbénéfique stage effectuédurant la trêve au Maroc.A l’inverse de l’USMB,l’autre équipe de Blida, leTBBB s’est imposé faceau COBB Oran (68-52),enregistrant à l’occasionsa première victoire de lasaison, après troisdéfaites de rang, ce quilui permet de quitter provi-soirement la zone de tur-bulences. Cette mise àjour a vu le MS Cherchellréaliser enfin sa premièrevictoire de la saison enbattant difficilement soncompagnon du bas dutableau, l’AU Annaba surle même score enregistréà Bel-Abbès (74-71). Le

CRB Témouchent quirestait sur une victoireobtenue mardi devantl’OM Bel-Abbès (82-70), araté cette fois-ci, le cochedevant le CSMConstantine de retour deTunis, après sa participa-tion au Championnatmaghrébin en Tunisie. Lescore final enregistré (58-93) confirme la différencede niveau entre les deuxéquipes qui ont joué unmatch avancé de la 7e

journée. L’IRBB Arréridjqui évoluait à domiciledevant l’USM Alger, n’apas manqué l’occasion designer sa quatrième vic-toire en cinq matches,alors que les «Rouge etNoir» n’ont enregistréjusque-là, qu’une seulevictoire.

Enfin, le match chocde cette mise à jour quiavait pour théâtre la sallede Skikda entre l’ABS etle WA Boufarik, n’a duréqu’une dizaine deminutes, avant que lesarbitres ne décident del’arrêter en raison de l’im-praticabilité du terraininondé par les eaux depluie. Selon le règlementde la compétition envigueur, cette rencontresera rejouée à Boufarik.

M. A.

RésultatsGroupe ATRB Blida-COBB Oran 68-52MS Cherchell-AU Annaba 74-71IRBB Arréridj-USM Alger 70-59USM Blida-GS Pétroliers 59-75Groupe BAB Skikda-WA Boufarik match arrêté à la 10e minuteCRB Témouchent-CSM Constantine 58-93

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Par Tayeb BouamarMOTS FLÉCHÉS GÉANTSCapacités----------------Materiel

informatique----------------PronomTêtes

blondes----------------

Inutiles

Ville deFrance

----------------Vieille

Préposition----------------

Métro----------------

Miroité

Diplôme----------------Désemplira----------------

Epoux

Appris----------------

Foot à Alger

Shoot----------------Manganèse----------------

Expert

Existence----------------

Enduré

Conviendra----------------

Danse

Collège----------------Changeai

Tournoi de tennis

----------------Prime

Cache----------------Va àLondres----------------Diplôme

Chanteurbelge (inv.)----------------

Jeûne

Fut apte----------------

Baryum

Etain----------------

FrançaisVille duCanada

----------------Quartierd’Alger

Ville d’Italie

Bleu----------------Particules

----------------Partie

Dans le vent

----------------Explosait

Possessif----------------

Fin de soirée

Note (inv.)----------------

Arabe

Déblayer----------------

Géniteur

Concentrée----------------Professeur

Courroux----------------Assaisonnera

Foot à Sétif(inv.)

----------------Génitrice

Palmipède----------------Gonflement

Foot à Kiev----------------

Gourdin

Néon----------------

Plie

Lombric----------------Fin de série----------------

Durée

Sélénium----------------

Fou

Possessif----------------Fin de participe----------------PoufféPhoque

----------------Œuf

d’esturgeon

Critique----------------

Défilé

Perturbation----------------

TroublesEchanges

----------------Indispen-

sables

Spatial----------------

Monnaie

Calculait----------------

Auteur français

Peuple----------------

Via

Handballeuralgérien

----------------Cube

Parente----------------

Gorgée

Eculé----------------

ComptoirConducteurs

patients----------------

Cérium

Détournée----------------

Peint

Mobylette----------------

Brin

Sur site----------------

Etonner

Cantonsuisse

----------------Léthium

Mot magique----------------

Article----------------

AccrochéEtain (inv.)----------------Nerveuse

Bernés----------------

Sodium

Article----------------

Créer

Aplati----------------

Pays

Instrumentde musique----------------

Robuste

Fils arabe----------------

Société

Pays----------------

Odeur

Philosophe----------------Possessif

Eculée----------------

Plantes----------------

Récipient

Bourrée----------------

Sucer(pho.)

Organes----------------

Île

Dans la rose----------------

Mouton----------------

MoisErbium

----------------Tableau

Arbres----------------Véhiculetrès rapide----------------AssécherMettre

Insecte----------------

NickelBaudet----------------Ville d’Espagne----------------Lot

Contrainte----------------

Géant----------------

RameIngurgitée

----------------Sain

Locution----------------

Négation----------------Vieux (inv.)

Espèce animale----------------Huilées----------------DouleurHôpital à Alger

----------------Calcium

Céréale----------------Pour deux

Refuge----------------Possessif

Ventilai----------------

Erbium

Etables----------------

Contrat

Diplomatie----------------

PeintureTon

----------------Banlieue de Paris

Le Soird’Algérie Détente Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 19

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LE SOIR DE L’IMMOBILIER

Le Soird’Algérie Publicité Lundi 10 décembre 2012 - PAGE 21

ANNIVERSAIRES–––––----------------------Le 2 décembre 2012, notreadorable

Ménia Sofiaa fêté son 3e anniversaire. En cette heureusecirconstance, ses parents ainsique la famille Ménia lui souhaitent unelongue vie pleine de joie, de bonheur, desanté et de réussite.–––––----------------------A notre adorable petiteprincesse

Sara Kebaïliqui fête aujourd’hui son4e anniversaire.Tes tantes Racha et Besma, tonpère et ta mère, ton grand-père,Nana et H’biba te souhaitent une longue etheureuse vie.Joyeux anniversaire.Ta tante qui t’aime beaucoup Racha !

F01012/B14

CARNET

DÉCÈS––––––––––––––––––––

Les familles Khedmadji Farouk etSerhani ont l’immense douleur de faire partdu décès de leur cher et regretté père etgrand-père

Serhani RabahL’enterrement a eu lieu hier 9 décembre

2012 au cimetière de Baraki. A Dieu nousappartenons et à Lui nous retournons.

––––––––––––––––––––CONDOLÉANCES

––––––––––––––––––––L’ensemble du personnel de l’agence

immobilière Amazith, Tizi-Ouzou, trèsaffecté par le décès de

Fatima Kenache née Amrani, dite Fatima Thamazith

tante de leur gérant, M. Amrani Rachid, pré-sente à ce dernier ainsi qu’à toute sa familleses condoléances les plus attristées et lesassure en cette pénible circonstance de saprofonde sympathie. A Dieu nous apparte-nons, à Lui nous retournons. F118320/B13

––––––––––––––––––––PENSÉES

––––––––––––––––––––Triste et douloureuse fut la

journée du 10 décembre 2011 oùnous quittait à jamais notre cherpère adoré

Yamir Abdelkaderlaissant derrière lui un vide immense querien ne pourra combler. Papa, tu es parti ensilence, sans dire adieu, ce qui nous fait tou-jours mal. On est fiers de toi, parce que tuétais un exemple de bonté, de générosité, desagesse et surtout tous les sens du sacrifice(ta patrie et ta famille).

Alors, repose en paix, papa. Tu seras tou-jours dans nos cœurs et nos chairs. Tafemme, tes enfants, tes petits-enfants et sur-tout tes filles demandent à tous ceux quit’ont connu et aimé d’avoir une pieuse penseà ta mémoire.

Inna Lillah oua Inna Ilayhi Radji’oun.F131926/B13

––––––––––––––––––––Cela fait 6 ans depuis que tu

nous as quittés, chère mère etgrand-mère Bourebaâ Cherifa née Bouzid,

dite Foufa

mais tu restes et resteras à jamais dans noscœurs, on est fiers de toi, parce que tu étaisun exemple de générosité et de sagesse.

Ton époux, tes enfants et petits-enfantsdemandent à tous ceux qui t’ont connued’avoir une pieuse pensée à ta mémoire.

A Dieu nous appartenons et à Lui nousretournons. F124429/B4

––––––––––––––––––––A mon âme

Mohamed LalamParce que tu étais l’homme

qui ne craint jamais, courageux,audacieux dans ses actes et sesmots.

Et parce qu’un 10 décembre qui marqueta pesante absence, devenu une malheureuseet triste journée.

Je ne t’oublierai jamais.Tu as donné un sens à ma vie avec tes

deux anges, qui gardent un peu de toi.Si je cherche tous mes mots, je les trouve

faibles pour exprimer à quel point tu nousmanques.

Ta femme. F12819

––––––––––––––––––––REMERCIEMENTS

––––––––––––––––––––Suite à perte tragique de leur

enfantAmazigh

survenue mercredi 5 décembre2012, la famille Kadi Rabah deBouira remercie tous ceux qui ont compati àsa douleur. Qu’ils trouvent ici toute sa grati-tude et sa reconnaissance. A Dieu nousappartenons et à Lui nous retournons.

F123818/

––––––––––––––––––––Le réalisateur Ali Aïssaoui, M. Abdellah

Hamlaoui ainsi que les membres du Grouped’action culturelle «GAC» tiennent à remer-cier vivement tous ceux qui ont compati à ladouleur de la famille de M. ChaâbaneZerrouk, particulièrement M. le wali deConstantine ainsi que les autorités civiles etmilitaires, pour le soutien indéfectible qu’ilsont manifesté à la famille du défunt en cesmoments pénibles.

Puissent-ils trouver ici l’expression denotre parfaite estime et haute gratitude.

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Page 19: A E LE SG DU FLN SAISIT BOUTEFLIKA ET SELLAL BELKHADEM- …

Curieux homme que ceMohamed Morsi : il se dirigeaitdroit vers un Nobel de la paix,avec le soutien de son homo-logue américain, Obama, luiaussi «nobélisé» de fraîchedate, sur la foi de ses bonnesintentions. On connaît le sortde ces bonnes intentions quifont un excellent pavementpour les chemins infernaux, tra-cés par Washington. Or, Morsin'allait pas être nobélisable uni-quement sur ses intentions,aussi pures du reste que cellesd'Obama, mais sur ses actesrécents, ou plutôt un seul quimérite considération : le ces-sez-le-feu à Gaza. Ce n'estpourtant pas le premier cessez-le-feu intervenu dans l'enclavedu Hamas, avec de bonsoffices égyptiens, et Moubarakpourrait dire qu'il en a faitautant sinon plus. MaisMoubarak a été remplacé,manu militari pourrait-on dire,et par un mouvement, celui desFrères musulmans qui campesur la même idéologie que leHamas de Gaza. La comparai-son s'arrête là. Morsi a doncobtenu un énième cessez-le-feu, et le bon, celui qui donnedroit à la gratitude éternelle deWashington, et aux promessesd'Oslo pour 2013. La cuvée2012 ayant été dévolue, comme

on le sait, à la très pacifique ettrès humaniste Union euro-péenne, dont toutes les chau-mières pauvres du mondechantent la gloire. En tempsnormal, celui des cessez-le-feurécurrents, on aurait fait ledécompte des victimes et véri-fié si la proportion des victimesest toujours en faveur d'Israël,et on serait passé à autrechose, notamment à la reprisede la colonisation. Mais commeil s'agit de la nouvelle Egypte,gouvernée désormais sous labannière des Frères musul-mans, il ne fallait pas rater l'oc-casion d'encenser les nou-veaux arrivés et leur figure deproue, Mohamed Morsi.

Or, chassez le naturel et ilrevient au galop, et dans le casdu nouveau président égyptien,la résistance à la tentationautoritaire, sous l'œil vigilantmais indulgent du censeuraméricain, n'a pas duré trèslongtemps. Tout auréolé de son«succès» diplomatique à Gaza,Morsi s'est cru autorisé à s'at-tribuer des pouvoirs étendus,par le biais d'un dispositifconstitutionnel. C'était sanscompter sur la réactivité de laclasse politique égyptienne etdes citoyens, qui ont constituéun front de refus contre lesdérives dictatoriales du régime

islamiste. La banderole la plusen vue lors des manifestationscontre Morsi portait cette ins-cription : «Le Dictateur, un filmde Mohamed Morsi». Allusionau film de Charlie Chaplin, etclin d'œil au festival du cinémadu Caire, boycotté par de nom-breux cinéastes et artistes. Endépit des réactions d'hostilité,Mohamed Morsi a choisi le pas-sage en force : dans la foulée, ila entériné le projet de nouvelleConstitution, qui porte l'em-preinte des Frères musulmans.Dès le 27 novembre, l'écrivainAla Aswani résumait la problé-matique en ces termes :

«- Pourquoi vous opposez-vous à la proclamation consti-tutionnelle du président Morsi ?

- Parce que celle-ci octroieau président des prérogativesquasi divines qui lui permettentde suspendre la loi et de fairece qu'il veut sans être contrôléet sans être obligé de rendredes comptes. Avec ce décret, leprésident Morsi a annihilé lavolonté populaire qui l'a porté àla présidence, et s'est érigé endictateur. Et tout dictateur estnécessairement un ennemi dela révolution qui a été déclen-chée fondamentalement pourinstaurer l'Etat de droit.

- Pourquoi refusez-vous auprésident Morsi les pleins pou-voirs, à titre provisoire et pourquelques mois seulement ?

- Parce qu'il n'y a pas de dic-tateur provisoire. Tous les diri-geants tyranniques ont d'abordprétendu qu'ils étaientcontraints de recourir à desmesures exceptionnelles, et àtitre provisoire, puis ils ontaccaparé indéfiniment le pou-voir. Souvenons-nous com-ment les «Officiers libres» sesont engagés en 1952 à revenir

dans leurs casernes au bout desix mois, et comment ils sesont maintenus au pouvoirdurant de longues années. Sivous permettez à n'importequel dirigeant de suspendre laloi un seul jour, vous en ferezun dictateur pour l'éternité.»Ignorant tous ces arguments,et toujours au pas de course,Morsi a décidé de faire adopterle projet de nouvelleConstitution par référendum, le15 décembre prochain. Samedidernier, quelques heures aprèsun communiqué des forcesarmées appelant au dialogue,l'apprenti dictateur a annoncéqu'il annulait les pouvoirs qu'ils'était octroyés. En revanche, ila maintenu la date du référen-dum et le texte de la nouvelleConstitution qui sera soumis àl'approbation des électeurs. Or,ce sont justement des articlesde la nouvelle Constitution quiposent problème, et notam-ment le fameux «article 2» quidispose que l'Islam est la reli-gion de l'Etat. Les rédacteursislamistes ont ajouté à laCharia, comme source de la loi,le corpus juridique ou «Fiqh»établi par des théologiens noninfaillibles. Et lorsque lestenants de l'Islam politique par-lent de la Charia, ils ne font pasréférence aux recommanda-tions du Coran sur l'équité et lajustice sociale, mais à ses dis-positions pénales. Et confor-mément à leur habitude, il estsurtout question de peine demort ou de châtiments corpo-rels comme l'ablation d'unmembre ou la flagellation. Cesjours-ci, des prêcheurs inspiréset particulièrement intéresséspar le sort des femmes, commetous leurs congénères, s'em-ploient à minimiser des dispo-

sitions comme celles concer-nant l'adultère. Ils insistentbeaucoup, jusqu'à susciter lasuspicion, sur le fait qu'il fautquatre témoins pour apporter lapreuve irréfutable de l'adultère.Et encore faut-il déterminer à lafois la religion des pris en fauteet des témoins du délit, obser-vateurs ponctuels ou voyeurspatentés.

Ce qui est étonnant, c'estque démocrates, libéraux etélites coptes aient souscrit àl'article 2, tel que proposé, unarticle qui induit et cimente toutle reste, comme le constatel'historien et sociologue SaïdQimni. Démocrates et libéraux,connaissant le poids des mots,ont choisi depuis longtemps derenoncer à la laïcité et de sub-stituer à l'Etat laïque, l'Etat civil(Dawla Madani). Ceci pour nepas effaroucher leurs adver-saires islamistes qui, eux, nes'embarrassent pas de scru-pules pour traduire laïcité parapostasie, et pour vider lesconstitutions démocratiques deleur substance, en en faisantdes codes théologiques.

A. H.

PANORAMAPANORAMALa hantise du poids

des mots

KKIIOOSSQQUUEE AARRAABBEE

Par Ahmed [email protected]

Le Soir sur Internet : http:www.lesoirdalgerie.com

E-mail : [email protected]

Par Hakim LaâlamPar Hakim Laâ[email protected]

POUSSE AVEC EUX !Aéroport de Sétif. Saisie de 1 300 dessous féminins dans lesbagages d’un trabendiste.

Douanier ! Ah quel beau métier !

Non ! La corruption n’est pas une fatalité en Algérie. Ilfaut juste lui faire face. Et je pense très sincèrement quec’est, là, l’attitude pour laquelle ont opté nos dirigeantsdiaphanes et transparents. Ils ont décidé de faire face à lacorruption. Bien en face ! Parce qu’à être en face de lacorruption, autant le faire de manière académique, préci-se, selon des critères calibrés. Pour ce faire, il a été missur pied une commission de mathématiciens, épaulés pardes géomètres. Leur mission, calculer avec la plus rigou-reuse des précisions la position la plus en face de la cor-ruption. Et attention, il ne s’agit pas d’une mince affaire !Certains penseraient un peu légèrement qu’il s’agit de tra-cer une ligne la plus droite possible entre la corruption etnous et de nous placer sur le point ainsi fixé en face. Quenenni ! Faire face à la corruption dans des conditions opti-mums, de tous temps, implique une maîtrise implacabled’un certain nombre de paramètres insoupçonnables. Là,comme ça, juste de mémoire, je vous en cite un que m’asoufflé un membre de la commission de mathématiciens.Savez-vous qu’il est primordial de connaître les mouve-ments des vents, leur force et leur évolution pour pouvoir,in fine, faire aboutir à des positions plus ou moins idéalesface à la corruption ? Vous ne le saviez pas, bien sûr !Comme vous ne saviez pas non plus qu’il n’existe pasune seule position face à la corruption sur une journée.Justement à cause de la poussée des vents. D’où ce queles scientifiques appellent l’agenda des différentes posi-tions à adopter dans le courant d’une journée pour se

trouver le plus en face possible de la corruption. Et cetagenda est fluctuant ! Oui M’sieur ! Fluctuant. Imaginez unpeu que les vents décident de tourner subitement, hein ?D’où, là aussi, la nécessité qui s’est vite imposée à nosdirigeants, celle d’adjoindre à la commission de mathéma-ticiens et de géomètres une équipe d’experts en météoro-logie. Ce n’est pas du luxe ! Car la position en face de lacorruption calculée par les seuls mathématiciens et géo-mètres pour 14 heures 45 minutes, par exemple, n’est pasune garantie d’exactitude pour peu qu’entre le moment ducalcul, le matin, à huit heures 16 minutes, par exemple 2,et celui de la station debout effective, en face de la corrup-tion il y ait eu un anticyclone qui aurait alors faussé toutesles trajectoires. En clair, les autorités pas assez informéessur les variations climatiques ponctuelles s’aventureraientà affirmer qu’elles seraient bien en face de la corruption à14 heures 45 minutes, alors que dans les faits, les ventscapricieux les auraient décalées, déplacées et désaxéespar rapport à leur position initiale. Ça ne serait passérieux, n’est-ce pas ? Ça décrédibiliserait toute l’actionde nos chers dirigeants si diaphanes, yek ? Même si, aufond, bien au fond, très au fond, leur attachement à resteren face, bien en face, très en face de la corruption ne faitaucun doute. Etant entendu bien sûr que pour se mettreen face du doute, bien en face du doute, très en face dudoute, une commission de mathématiciens, de géomètreset de météorologues ne serait d’aucun secours pour leschroniqueurs. Une commission d’avocats ? Oui, à larigueur ! Mais, attention, bien en face de la rigueur,sinon… je fume du thé et je reste éveillé à ce cauchemarqui continue.

H. L.

Le tout, c’est d’être bien en face !

CONDOLÉANCESCONDOLÉANCESLa direction et toute l'équipe du Soir d’Algérie ont appris avec tristesse

le décès deSeddiki Daouia (77 ans)

mère de leur confrère et ami Brahim Seddiki. L’enterrement aura lieu celundi 10 décembre, au cimetière de Dély-Ibrahim.

En cette douloureuse circonstance, ils lui présentent, ainsi qu’à safamille, leurs condoléances les plus attristées et les prient de trouver icil’expression de leur profonde sympathie.

Que Dieu le Tout-Puissant accorde à la défunte Sa SainteMiséricorde et l’accueille en Son Vaste Paradis.