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« • ’ Année. - IT 93. T.ÎT, N U M E R O VTN'ÔT C E N T IM E S k*«e*Eè.ï5$5|iàiw«tta Oittànohe 13 Août 1B»8 LE COURRIER DE L’OISE JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS j° s ytiissttot 18 i^txn&nohm Six mois............. a b o n n e m e n t s __. On s'abonne aux Bureaux du Journal et dans tou* A no« au. «aux P* P oste |,ur*.toux de (>o%te. L’uhoimenient est payable ....... 10 „ «l avu^vo et ct^itiuurs dctjtJbBiu citait jus,<|u'â lûccjdiûa- ........ 8 I d’avis contraire. Lea Abonnements partent du 1” de chaque mois bureaux , rédaction & administration 1 S K N t.IS 11. Place H Ç ÿ fi-.IV . 11 SETNTIVIS | V*- - LÉ PHtoNF r»° * directeur Commercial « ** VIGHOH j DES XWSKRTIONH AnuouHa 14g»le«............ 1 fr. 25 la ligua. 1 H.ol.mua j Annonçai volontaire!...' 1 fr. 2t> fa ligne. I ou P*B® ....................... t fr. la ligne. t.es manuscrits, insères ou non, ne sont pas renient J --------------- -------------- 1 ---------------------------------- ! -------------------------------------------------- L !— LiJ----------------------------------------- *--------------- LU— H ... . - ............... ............ .... ......... - ...................................................... - .................................................. - ........ 1 Dans la paix des Vacances À* Dans la paix des vacances il en est qui se reposent et il en est qui travaillent. Il y a plus. Ceux qui se reposent, se repo sent délicieusement et ceux qui tra vaillent, travaillent âprement. Or quels sont ceux qui se reposent avec délices, ici ou là, sur les plages ou en montagne — sur les sommets mais pas toujours, et qui planent et qui nagent et qui flottent aussi n’est- ce pas de temps en temps, simple af faire d’habitude ? Ce sont nos bons amis les modérés. Ils ont fait un gros effort le printemps dernier ! Il faut savoir le reconnaître. Gros effort mé ritoire couronné ici et là d’un peu de succès. Ils sont. — du moins nous aimons le croire, — animés de beau coup d’intentions et des meilleures, ils caressent des projets charmants et utiles... et tout cela mérite bien un peu de repos. Naturellement ! A Et quels sont ceux qui travaillent, âprement ? Ceux d’abord qui sont à Amsterdam aux « jeux olympiques », cela va sans dire. Ce sont de nobles cœurs car ils luttent pour un peu de gloire éphémère, pour une simple pal me. Mais à côté ou plutôt assez loin de ceux d’Amsterdam nous avons ceux de Moscou, ceux de la « Grande ma nifestation » d’Ivry, et ces fameux instituteurs cégétistes du Congrès de Rennes... Ceux-là ne dorment pas, ceux-là ne se reposent pas. Les gens de Moscou continuent à envoyer ar gent et directives aux quatre coins du monde. Ils poursuivent leur offen sive contre ce qu’ils appellent la So ciété capitaliste, mais en réalité con tre la Civilisation tout court. Et ils continuent à faire des dupes. A Devant cette offensive de la barba rie asiatique et cette menace de cham bardement universel, tout ceux qui ont l’honneur de parler ou d’écrire de vraient se faire des propagandistes du bon sens et de la lumière, ils devraient s’appliquer à dénoncer et démasquer tous les malentendus, et cette gros sière erreur qui consiste à croire que la révolution russe profite au proléta riat, et qu’en France, à l’heure ac tuelle, la révolution profiterait aux travailleurs ! En Russie la révolution a créé tout simplement une bourgeoi sie nouvelle qui se met encore à ex ploiter les travailleurs. Il en serait exactement de même chez nous : la révolution y serait une fois plus poli tique et nullement ou très peu sociale. En face de cet état de chose que font les Instituteurs de France — eux qui devraient être les apôtres de la lumière et de la paix sociale ? Il en est, nous le savons, qui s’ac quittent admirablement de leur tâ che. Mais ceux de Rennes ? les cégé tistes, les socialistes, les communis tes ? Tous ceux là qui, au rebours du bon sens et de la liberté, réclament la nationalisation intégrale de l’ensei gnement — et le monopole au profit de l’école laïque, franchement n’ont-ils rien de mieux à faire ? Le laïcisme a-religieux ou anti-religieux n’est pas précidément ce dont nous avons besoin en France à l’heure présente. Nos amis anglais de la « British Légion » et leurs jeunes Cadets actuellement en pèlerinage sur les tombes de leurs morts glorieux, nous offrent un spectacle bien autre ment réconfortant. Ils ne craignent pas de mêler les manifestations reli gieuses aux démarches de leur patrio tisme et de leur activité civique, fai sant ainsi faisceau de toutes leurs forces morales traditionnelles. Tout est bien qui finit bien, disait- on. Les Instituteurs cégétistes font plus de bruit que de mal — ce qui est faux — et puis la « Grande manifes tation » d’Ivry a échoué lamentable ment, grâce à la police. Tout cela n’est pas une raison pour s’endormir. Les Comités que nous avons créés pen dant la période électorale doivent être maintenant des comité de vigi lance civique. Ils ont eux aussi à faire leurs devoirs de vacances. Qu’ils n’v manquent pas. ÊTRE JOLIE... Ltre jolie, le rester ! Problème angoissant que se posent toutes les femmes chaque jour, devant le miroir, cet impertinent qui ne cache jamais sa façon devoir. Problème angoissant, certes, mais qui n’est pas insoluble. Il existe ce que l’on pourrait appeler une thérapeutique de la beauté 1 Mais songe-t-on à consulter les maîtres de la médecine pour une question de coquetterie ? Oserait-on ? Eh oui les L e c tu res pour TOUS ont osé. et c’est leur avis qu’elle- donnent dans leur numéro d’août, que vous lirez. Mesdames, et que vous garderez préci«Hs«ment. DÉPARTEMENT Union Générale des Mutilés et Réformés n° 1 d’avant-guerre Là million annuelle des Mutilés et Réformés 11" 1 d’àvant-guerre du dé partement de l’Oise, aura lieu à Cler- mont, le dimanche 26 août 1928, à 10 h. 30 (restaurant Boucheron, place de l’Equipée), sous 1a, présidence assurée du camarade Diets, vice-président do l’Union Générale de Paris. Tous les intéressés du département et des départements limitrophes, sont instamment priés d’y assister. Les dames sont particulièrement in vitées à venir nombreuses. Vu l’importance de l’ordre du jour, la présence de fous les adhérents est indispensable. Le Président, F. Pminu, à Glermont. Médailles d’Honneur des Sapeurs-Pompiers La médaille et le diplôme d’honneur ont été décernés aux Sapeurs-Pompiers de l’arrondisserrient de Sentis dont les noms suivent qui ont toujours fait preuve de courage et de dévouement et que nous félicitons. MM. Edmond Lepreux, sapeur à Mareuil- sur-Ourcq. Désiré Lemaire, sapeur à Mareuil- sur-Ourcq. Auguste Degardin, tambour à Marol- les. Jean Mennecier, sous-lieutenant à Verberie. Louis Mahon, sergent à Verberie. Victor Bezardin, ex-sous-lieutenant à Mareuil. Louis Ilérouard, capitaine honoraire à Fresnoy-la-Rivière. Maxime Lefèvre, sapeur à Gillocourt. Denis Dupont, sergent à Verberie. Paul Bayer, sergent à Ghambly. Léopold Dugué, caporal-fourrier à Mareuil. Emile Routier, sergent à Morienval. Arthur Lehcutre, sergent-fourrier à Morienval. Louis Dollé, lieutenant à Morienval. Jean liée, sapeur à Neufchelles. Théophile Tirlet, lieutenant à Béthi- sy-Saint-Martin. Georges Carré, lieutenant à Chan tilly . ------------------------ FANTAISIE Boxeur et pur sang ! Avant les grandes réunions sportives et mondiales dans lesquelles s ’a f frontent des concurrents de choix, les pronostics ne manquent point... Croyez que c’est a.vec une joie, véritable que, j’ai lu, l’autre jour, des détails très sa voureux sur les adversaires américains en présence... Je traduis, d’après une mémoire très infidèle, les impressions d’un reporter enthousiaste : « A qui reviendra la victoire? — Il serait difficile de le dire avec certitude, à, la veille d’une épreuve qui passionne la planète... En effet, les qualités du Néo-Zélandais égalent à quelque chose près les magnifiques performances du vainqueur de l’an dernier... O11 sait qu’ils ont reçu tous les deux et durant de longues semaines, les soins attentifs de leurs entraîneurs, ha biles à cultiver le muscle... Frictions énergiques matin et soir, nourriture saine mais dosée, exercices savam ment contrôlés : trot, galop, saut d’obs tacles au grand air... Rien n’a été né gligé de part et d’autre pour obtenir la meilleure forme... Demain, dès leur entrée en piste, avant, même que retentisse la cloche qui donnera le départ, la foule pourra admirer les concurrents et vérifier que. les deux pur-sang américains sont les produits d’une sélection sévère... L’un est remarquable de puissance ; ses reins d’acier et ses dents d’une blan cheur éblouissante caractérisent, avec les épaules d’une rondeur parfaite, la belle race... L’autre, au large poitrail, aux jarrets purs et nerveux, peut éga lement prétendre aux succès les plus flatteurs... Notons pour terminer, que le Néo- Zélandais pèse 10 livres de plus que le poulain de l’écurie d’en face... J’ai lu ainsi des colonnes et des co lonnes d’un style fort curieux et je n’ai pas douté une seconde, étant distrait de ma nature qu’il s’agissait de deux su perbes étalons lancés par des proprié taires yankeés sur un hippodrome de New-York... Mais j’ai constaté ma mé prise, le lendemain, en apprenant que Tom Henney, vaincu, saignait abon damment du nez... Pardon, j’allais écrire du naseau... Excusez du peu... C’était le cham pionnat du monde poids lourds (boxe, bien entendu), que l’on disputait en Amérique ! Mon erreur s’explique par le fait que j’avais omis de déchiffrer le titre d’un article sur mon journal... Dame, aujourd’hui les mêmes ex pressions servent indifféremment à dé crire les chevaux et les hommes, les boxeurs et les pur-sang, les lévriers et les cyclistes ! Joachim Blant. Le Parti Agraire Français serait-il utile ? La formation d’un parti agraire fran çais hante certains esprits. Publique ment la question a été posée, voici plu sieurs mois. D»s articles et des colftjr rences ont été faits sur ce sujet. Mieux encore aux dernières élections légis latives, quelques candidateurs ont été provoquées afin de mieux frapper l’es- latives, quelques candidatures o»t été n’ont eu que peu de succès. Mais la force d’une idée ne se juge pas au nombre de voix obtenues à la première rencontre avec le corps électoral. Enfin les fêtes-paysannes grandioses, qui viennent d’avoir lieu à Prague et auxquelles des délégués agricoles de tous pays avaient été invités, ont, fait rebondir le problème chez nous. Ces fêtes, dont je ne sais pourquoi, notre grande presse n’a guère, parlé, ont été saisissantes cl, d’une haute signification politique, nation aj«>. <v | e m ‘' 6 péen ne. Du 15 au 22 ruai, la République tché coslovaque a. fêté le dixième anniver saire de sa fondation notamment par une superbe exposition agricole s’affirmait avec éclat, l’effort d’organi sation des masses paysannes et de dé veloppement de la produttien terrien ne. Le « clou » des manifestations fut, le jeudi 17 mai, un défilé ébtouissant de 150.000 paysans et paysannes, en costumes locaux, encadrés de musique, de drapeaux et de milliers de cavaliers paysans, défilé qui, durant plus de six heures, traversa la capitale au milieu des acclamations répétées d’une foule enthousiaste. Dans tous les pays voisins, surtout chez ceux où existe un parti agraire actif, en Pologne, Bulgarie, Roumanie; Yougoslavie, etc. cet événement est lon guement commenté. Les publications internationales les plus rassises, telle chez nous Pax, l’ont pris .en haute con sidération. Est-ce à, dire que le puissant mouvement d’agragation des paysans dans ces pays soit un modèle que nous ,aydns à copier en France ? Pour le juger, constatons d’abord • qu’il se manifeste chez des nattons nées ou transformées profondément par la récente guerre et qui, en som me, sont en pleine formation. En po.-i i culier, elles ont à hâter la fusion d’élé ments éthniques assez divers. Pour plu sieurs, les masses paysannes sont, non pas le principal élément, mais, pour- rait-on dire, l’élément unique ou quasi- total ; les villes, chez elles étant le plus souvent vis-à-vis des Campagnes ce qu’est un chef lieu de canton rural à la population agricole environnante. Là tout ce qui est paysan peut pré tendre au premier rôle et peut facile ment l’obtenir. Le peuple entiej; vivant dans l’exal tation de l’independance conquise après de longues souffrances et se pas sionnant pour la réalisation de nou veaux idéals nationaux, la flamme pa triotique est ardente et débordante de partout. Le mouvement paysan parti cipe à cette ivresse et, liii aussi, est à caractère politique. En maints pays de la vieille Europe, il a vistë à la con quête du pouvoir. Naturellement, il y est parvenu, parfois avec profit, mais pas toujours pour son bonheur. tans notre bonne République de France, la situation est autre. L'imité nationale n’est plus en question. Elle est faite, elle est même parfaite, et de longue date. L’ébullition qui accompa gne la fusion d’éléments hétérogènes n’a plus de raisons d’être. Au point de vue politique, le suffrage universel as sure aux ruraux une large représenta tion. Au point de vue économique, in dustrie et agriculture se font mutuelle ment contrepoids. Bref, notre organi sation nationale est à un stade supé rieur à celui des peuples auxquels la guerre a donné une âme nouvelle, par une sorte de réenfantement. L’évolution de notre pays se poursuit, serait-ce la faire progresser que de la ramener au stade des peuples qui dé butent dans le concert des nations ? Il faut perfectionner ses institutions d’or dre économique qui sont d’un ordre supérieur aux rouages politiques. OC, “effort purement professionnel peut aboutir, peu à peu, à des réformes dé cisives. C’est donc logiquement que la poussée agricole chez nous s’oriente de plus en plus nettement vers l’action ex clusivement corporative. Remarquons, au reste, que ce courant est le fruit de l’expérience. Dans ses débuts, il n’est pas exempt de tendan ces politiques. Les partis s’efforçaient de le dominer et de l’imprégùer de leur idées si bien que s’ils y avaient réussi il y aurait aujourd’hui autant do mou vements corporatifs agricoles que d partis politiques. Depuis la loi Waldeck-Rousseau en faveur de la création de syndicats, l’agriculture française s’achemine plus ou moins vite selon les circonstances et les époques vers une concentration gé nérale de scs forces. Son rayonnement s’en accroît dans la même proportion. D’avoir accéléré cette marche vers son unité depuis la guerre fui a valu de devenir plus puissante dans s.a repré sentation à l’extérieur et à l’intérieur du pays. L’aiguiller maintenant vers la formation d’un parti agraire, formule simpliste des nations nouvelles, serait briser sa force ascensionnelle. Ah ! je comprends l’état d’âme de* pèlerins à leur retour de Prague. Là- bas, ils ont ressenti l’étincelle électri que des enthousiasmes populaires. Ils ont vibré. Leur amour sincère pour lés tousses paysanne* leur B , fait désira:' voir dans leur patrie une apothéose du travail agricole aussi belle que celle dont ils ont été les témoins en Tsché- qosiovaquie. Mais, autres temps, autres paya, autres mœurs. Transplanté chez nous, un parti paysan aurait, fatalement pour effet la rupture du bloc agricole qui se consti tue d’année en année. Déjà les maigres velléités de parti paysan en notre pays ont fait apparaî tre' des tendances fort dissemblables. Dans les milieux ouvriers une expé rience du même ordre a été faite, il n’y a pas si longtemps qu’il soit permis de ne pas la faire connaître. Tant que la propagande et l’action syndicale sont restées sur le terrain professionnel, la pression ouvrière s’est faite de plus en plus forte. Dès que la politique venue d« l’intérieur et de l’extérieur des fron tières l’a pénétrée, il y a eu scission. Il en a été de même en tous les pays. La (politique crée la division. Le mou vraient agricole 11e pourrait échapper à la règle. Plus sage et plus sûre'est Dft/tr l a ' France agricole, sa méthode A uoit a. renforcer son organisa tion actuelle, fruit de près d’un demi- siècle d’èfforts patients et bien supé rieure, car plus complète et plus adéquate à ses besoins que celle d’un parti agraire. Jh. Ricaiio, Ancien Ministre de l’Agriculture. ILb. Vie chère I Est-ce encore la sécheresse ? Le beurre aussi est beaucoup plus cher que l’an dernier Et le fromage, lui-même... Accusera-t-on encore la chaleur et la sécheresse ?... Toujours est-il que le beurre, bien que l’on ait vu enfin s’ar rêter la hausse anormale de juillet, res te. encore à des cours sensiblement, plus élevés qu’en août 1927. 25 % de hausse Pour que la comparaison des cours soit valable, nous'avons considéré deux jours semblables : le samedi 6 août et le samedi 4 août 1928. Ayant, no- cours pratiqués ces deux jours aux HaUes centrales, nous avons cons taté que le second accuse des chiffres très supérieurs à ceux du premier. Les « beurres de tête » (Charente et Poitou) atteignent 24 francs contre 19 fr. 30 l’an dernier, soit environ 25 % de hausse. Les beurres d’Isigny, qui ne dépas saient pas 19 fr. le 6 août 1927, ont fait, cette année, 23 fr. 50. Il n’est pas jusqu’aux cours les plus ordinaires, dits A marchands », qui co tèrent, samedi dernier, 15 fr. 40 en moyenne contre 14 fr. 50 l’année der nière. Le « Prie » a triplé .Mais que dire des fromages ? Ici, on ne comprend plus, ou on comprend trop... Par les fortes chaleurs, il est connu que le cours des fromages s’af faisse .... autant que les fromages eux- mêmes. On pouvait donc s’attendre à ce qije cet été torride amenât une baisse intéressante sur le Brie et le caméra bert... Oui ?... Eh bien, la dizaine de Brie meules qui valait en moyenne 70 fr. l’an dernier, coûte, à, présent, toujours en moyenne, 110 francs... Pour les Brie « kuticï’s », la hausse est plus sensible effrfire ; 30 francs l’an dernier, 90 fr. celte année !... Le même camembert normand qui valut 1 fr. 65 en août 1927, se vend ac ti.toleigent (prix de, gros) 1 fr. 90... Le mémo gruyère genre Emmenthal que l’on paya 10 fr. 50, ne se laisse pas cap turer à' moins de 12 fr. le kilo... Et le PèrUSalut: est. passé de 8 francs à 10 francs. [Quand nous avons dénoncé, à, main tes reprises, les dangers de la liberté absolue et sans frein de l’exportation, nous n’avons pas été entendus. Devant ces chiffres vraiment effarants, serons- nous écoutés ? — Léon Groc. {([.'Intransigeant). _ . - M oralité : 25 % de hausse sur le beurre !... 1 Le Brie a triplé !... He’ureuses sont les corporations qui peuvent faire varier d’une année à l’autre leurs tarifs dans de telles pro portions. COURSES DE COMPIÈGNE A travers Pharmacies ouvertes t Dimanche ia (Août Pharmacie I.esage, place Henri-IV. DIMANCHE 12 AOUT 1928 Le programme «le cette réunion an nuelle des Gentlemen-Ridcrs, comporte -rvrv'le montant des prix et les objets d’#rt, un budget de 80.000 francs. Cette journée à laquelle sont conviés d’assister tous lés Gentlemen-Riders, aura donc une importance exception nelle et marquera sans aucun doute un gros succès dans les Annales du Club des Gentlemen. La Compagnie du Nord rééditera di manche prochain, le service des trains du 5 août et délivrera des billets à prix réduits non seulement à Paris, mais encore dans les gares de Chauny, Noÿon, Soissons, Villers-Cotterêts, Beauvais, Glermont, Amiens, Montdi- dtor, Roye (Scfmme). A Raris, les trains de 7 heures, 9 lleurês 10, midi 17, avec wagon-restou- r’ànt, midi 40, permettront au public de 'jfcftdrc à mn compte à cette réunion * d être de retour à 7 heure#* Syndicat d’initiative de Senlis Séance du mercredi i“ ' août i92S Le Comité du Syndicat d’initiative s’est réuni le mercredi 1" août 1928, au Siège Social, 1, Avenue du Maré- clial-Foch, sous la présidence de M. II. Demoinet. Etaient présents : MM. Demoinet, Escavy, maire, président d’honneur ; Louât, vice-président, ; Dischgand, se crétaire général ; Julien, trésorier ; Poussard, Lepape, Duchet, Wondrak, Bascher, Lepetit, Boissay, Legrand, Camus, Delvienne, Robet.te. Absents et excusés : MM. Ir Sous- Préfet, Pi errant, Fonteix. La lecture du procès-verbal de la dernière séance est .(approuvée sans observations, à l’unanimité. Le Président donne lecture des ré ponses qu’il a reçues depuis la dernière réunion aux différentes lettres adres sées concernant diverses affaires inté ressant le Syndicat. La Route, on signale : l°Le mauvais état du carrefour de l’Echiquier, réfaction incombant à la Ville ; 2° Le mauvais état de la partie basse de la rue de la République, une deman de va être adressée à M. l’Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, ainsi qu’au Ministre des Travaux publics ; ' 3° Le virage dangereux au lieudit l’Excavateur ; 4° Le défaut de signalisation du pas sage à niveau du Gué de Creil ; 5° Les mauvais rendements des re vêtements des routes en matériaux dits « Laitie, » ,6° Le mauvais état de la route entre la Chapelle et Plailly ; 7° L’invisibilité des poteaux indica teurs au carrefour de la rue Bellon ; 8° L’invisibilité des inscriptions sur le socle du calvaire à l’entrée, de la route d’Aumont et celle de Chantilly ; 9° La nécessité de rendre obligatoire le sens unique sur la route qui va de Chaâlis à Ermenonville, en passant par le Parc,. Des démarches vont être faites au près des administrations compétentes pour obtenir satisfaction sur tous les points signalés, surtout en ce qui con cerne la rue de la République et le Faubourg-Saint-Martin, il n ’e s t pas admissible que l’on ne puisse obtenir ce repavage tandis qu’à Pontarmé et à la Chapelle, il, est refait entièrement depuis peu. Un Membre signale que des militai res passent à cheval sur la passerelle de la rue Carnot, une surveillance sera exercée par les agents. Siège du Syndicat. — M. Demoinet expose qu’en raison de l’évacuation prochaine du local actuel, il s’est pré occupé d’un nouveau siège pour le Syndicat., il a trouvé une solution qui lui paraît de nature à donner toute satisfaction, promesse lui étant faite par la Compagnie d’un terrain actuel lement inutilisé à l’entrée de la cour de la Gare, il y fera édifier à ses frais un petit chalet, (dont il soumet le plan au Comité), et en fera la location au Syndicat, moyennant un prix à déter miner. Le Comité vote des félicitations et des remerciements à son dévoué Pré sident. Fête sportive du i5 août. — Sur la proposition du Président, le Comité vote une subvention de 250 francs, au Club Sportif Senlisien, organisateur de la manifestation, il décide en outre l’at tribution des subventions suivantes à la Société Colombophile, 150 francs Préparation Militaire, 150 fr. ; Compa gnie d’Arc du Montauban, 25 fr. ; Com pagnie d’Arc du Bastion de la, Porte de Meaux, 25 francs. Exposition canine. — L’ordre du jour appelle ensuite la fixation de la date de la prochaine exposition canine, après discussion, elle est fixée au dimanche 16 ju in 1929'. Lettres de l’instituteur de Montagny, disant son étonnement que la Com mune ne figure pas sur le guide du Syndicat d’initiative. Il en sera tenu compte dans la prochaine édition d’un nouveau guide. des affiches. Le Comité vote à l’unani mité des remerciements à ces trois ad ministrations. Chaussée Pontpoint. — Le Syndicat ayant appris indirectement qu’il serait question d’autoriser les exploitations forestières à utiliser la chaussée Pont- point pour la vidange des bois, proteste énergiquement et demandera aux au torités compétentes le maintien du sta- tu quo, le détour étant minime, faisant ressortir que la Chaussée Pontpoint étant une route touristique no devrait servir à aucun usage industriel. Lecture est donnée de trois lettres du régisseur du domaine d’Ermenonville, relatives à la pêche dans les étangs du parc. L’ordre du jour étant épuisé et per sonne ne demandant la parole, la, sé ance est levée à 22 heures 15. Sport Vélocipédique Senlisien La troisième épreuve de la Médaille, s’est disputée dimanche dernier, 5 août et le nombre des coureurs présents, avaient augmenté, les séries et finale ont été disputées avec acharnement et le gagnant fut Petit, du S. V. Senlis, battant Fayard, du Y. C. Creil d’un quart de roue ; 3. Héloin, de Senlis. Les coureurs Hury et Simon, présents à cette réunion ont fait une exhibition sur le kilomètre lancé. Simon a réalisé 1 m. 22 s. et Hury avec un vélo d’em prunt, 1 m. 24 s., le vent soufflait fort dans la ligne droite. Le jeune Fayard a tenté le tour lancé et il a réalisé 24 s., c’est bon pour un débutant. Dimanche prochain, 12 août, quatriè me épreuve de la Médaille, à 9 heures, ■ sous la direction de MM. Cassou, Bolle et Guizelin. Le mercredi 15 août, au cours de l’interclubs d’athlétisme du C. S. S..,- réunion de courses vélocipédiques ré servées aux coureurs et membres du S. V. Senlis, comportant course de pri mes, individuelle et américaine de 25 kilomètres. Les coureurs et membres du S. Y. Senlis, qui veulent participer à ces courses, ainsi que les équipes pour l’américaine, sont priés de donner leur nom à M. Guizelin, 13, rue de Beau vais, avant le 13 août, pour inscription au programme. La prochaine réunion du Vélodro me de Senlis, aura lieu le dimanche 26' août, avec un superbe programme de courses comportant une américaine de heures, avec les meilleures équipes régionales. Fête de la Porte Compiègne Nous rappelons que c’est demain di manche 12 août qu’aura lieu 1a, fête de la Porte Compiègne. Un certain nombre de forains y est déjà installé. Les habitants de Senlis et des envi rons y trouveront le meilleur accueil. Société Colombophile Le Martinet Senlisien ” Prix du Syndicat d’initiative Le 12 août 1928, aura lieu un Con cours de jeunes pigeons voyageurs sur la ville d’Orléans ; distante de 153 ki lomètres. Ce concours sera doté de nombreux prix offerts par le Syndicat d’initiative de notre ville, auquél tous les membres du « Martinet Senlisien », tiennent à exprimer tous leurs remerciements pour sa générosité et son encourage ment. Assemblée générale. — Le distingué vice-président, M. Louât, promet au Comité, qui le sollicite, de faire repré senter une revue locale au théâtre le jour de l’assemblée ou toute autre piè ce à sa faculté. Le président donne lecture d ’u n e lettre de la Compagnie du Nord rela tive au petit tunnel du chemin d’Au mont et à l’état de la Cour des Voya geurs, les réclamations présentées par le Syndicat d’initiative ne sont pas pri ses en considération par la Compagnie, le Comité décide d’insister à nouveau. Le Président annonce qu’un nouveau guide officiel, genre de l’actuel, va être édité pour 1929, par une Maison d’im primerie très sérieuse et qui se char gera de recueillir la publicité. Le Président fait part des subven lions allouées au Syndicat d’initiative par la Compagnie du Nord, les héri tiers du domaine d’Ermenonville et l’Institut, pour participation à l’édition Union Catholique Le mercredi 22 août 1928, sera com mémoré à la cathédrale l’anniversaire du décès d’André Lesago.' Les Membres de l’Union tiendront à s’associer aux messes qui seront dites ce jour là, plus spécialement à celle de dix heures et demie, pour le repos de l’âme de celui auquel ils conservent un attachement intégral. Tous ceux qui pourront prendre la liberté de le faire se réuniront autour de la famille d’André Lesage et leur piété émue marquera la sûreté de leur amitié, la permanence de leurs regrets et la conscience qu’ils gardent du dom mage irréparable infligé aux œuvres senlisiennes par le départ de leur guide et modèle. Le pain à 2 fr. 15 le kilo En raison de la baisse survenue sur les prix des blés et par suite sur la farine, le prix limite du pain, en ap plication du barême arrêté par la Com mission départementale instituée par la loi du 31 août 1924, sera de 2 fr. 15 le kilogramme (portage compris) au lieu de 2 fr. 20, à dater de lundi pro chain, 13 août. Médaille des Assurances sociales M. Henri Vantroys, inspecteur «les eaux et forêts, à Paris, vient de se voir attribuer la médaille d’argent des Assu rances sociales. Nous lui adressons nos plus vives licitations-

Année. - IT 93. T.ÎT, NUMERO VTN'ÔT CENTIMES LE …bmsenlis.com/data/pdf/js/1927-1928/bms_js_1928_08_12_MRC.pdf · titre d’un article sur mon journal... Dame, ... de 150.000

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d ir e c te u r Com m ercial « ** VIGHOH j

D E S X W S K R T I O N HAnuouHa 14g»le«............ 1 fr. 25 la ligua. 1 H .o l.m ua jAnnonçai volontaire!...' 1 fr. 2t> fa ligne. I ou P*B®....................... t fr. la ligne.

t.es m anuscrits , insères ou non, ne sont pas renient

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Dans la paix des Vacances

À* D ans la paix des vacances il en est qui se reposent et il en est qui travaillent. Il y a plus. Ceux qui se reposent, se repo­

sent délicieusem ent et ceux qui tra­vaillent, travaillent âprem ent.

Or quels sont ceux qui se reposent avec délices, ic i ou là, sur les plages ou en m ontagne — sur les som m ets m ais pas toujours, et qui p lanent et qui nagent et qui flottent au ssi n ’est- ce pas de tem ps en tem ps, sim ple af­fa ire d’habitude ? Ce sont nos bons am is les m odérés. Ils ont fa it un gros effort le printem ps dernier ! Il faut savoir le reconnaître. Gros effort m é­ritoire couronné ic i et là d’un peu de s u c c è s . I l s s o n t . — d u m o i n s n o u s aim ons le croire, — anim és de beau­coup d’in tentions et des m eilleures, ils caressent des projets charm ants et utiles... et tout cela m érite bien un peu de repos. N aturellem ent !

A

E t quels sont ceux qui travaillent, âprem ent ? Ceux d’abord qui sont à A m sterdam aux « jeu x olym piques », cela va sans dire. Ce sont de nobles cœ urs car ils lu tten t pour un peu de gloire éphém ère, pour une sim ple pal­me. M ais à côté ou plutôt assez lo in de ceux d’A m sterdam nous avons ceux de M oscou, ceux de la « Grande m a­n ifestation » d’Ivry, e t ces fam eux in stitu teu rs cégétistes du Congrès de R ennes... Ceux-là ne dorm ent pas, ceux-là ne se reposent pas. Les gens de M oscou continuent à envoyer ar­gent et d irectives aux quatre coins du m onde. Ils poursu ivent leur offen­sive contre ce qu’ils appellent la So­ciété capitaliste, m ais en réalité con­tre la C ivilisation tout court. E t ils continuent à faire des dupes.

AD evant cette offensive de la barba­

rie asiatique et cette m enace de cham ­bardem ent universel, tout ceux qui ont l ’honneur de parler ou d’écrire de­vraient se faire des propagandistes du bon sens et de la lum ière, ils devraient s ’appliquer à dénoncer et dém asquer tous les m alentendus, et cette gros­sière erreur qui consiste à croire que la révolution russe profite au proléta­riat, et qu’en France, à l ’heure ac­tuelle , la révolution profiterait aux travailleurs ! E n R ussie la révolution a créé tout sim plem ent une bourgeoi­sie nouvelle qui se m et encore à ex ­ploiter le s travailleurs. Il en serait exactem ent de m êm e chez nous : la révolution y serait une fo is p lus po li­tiqu e et nu llem ent ou très peu sociale.

E n face de cet état de chose que font les Institu teurs de France — eux qui devraient être les apôtres de la lum ière et de la paix sociale ?

Il en est, nou s le savons, qui s’ac­quittent adm irablem ent de leur tâ­che. Mais ceux de R ennes ? les cégé­tistes, les socialistes, les com m unis­tes ? Tous ceux là qui, au rebours du bon sens et de la liberté, réclam ent la n ationalisation intégrale de l ’ensei­gnem ent — et le m onopole au profit de l’école laïque, — franchem ent n’ont-ils rien de m ieux à faire ? Le la ïcism e a-religieux ou anti-religieux n ’est pas précidém ent ce dont nous avons besoin en France à l ’heure présente. N os am is anglais de la « B ritish Légion » et leurs jeunes Cadets actuellem ent en pèlerinage sur les tom bes de leurs m orts glorieux, nous offrent un spectacle bien autre­m ent réconfortant. Ils ne craignent pas de m êler les m anifestations reli­gieuses aux dém arches de leur patrio­tism e et de leur activ ité civique, fa i­sant a in si faisceau de toutes leurs forces m orales trad itionnelles.

T out est b ien qui finit bien, disait- on. Les Instituteurs cégétistes font plu s de bruit que de m al — ce qui est fau x — et p u is la « Grande m anifes­tation » d’Ivry a échoué lam entable­m ent, grâce à la police. Tout cela n ’est pas u n e raison pour s’endorm ir. Les Com ités que nous avons créés p en ­dant la période électorale doivent être m aintenant des com ité de vigi­lance civique. Ils ont eux au ssi à faire leurs devo irs de vacances. Qu’ils n ’v m anquent pas.

ÊTRE JOLIE...Ltre jolie, le rester ! Problème angoissant

que se posent toutes les femmes chaque jour, devant le miroir, cet im pert inen t qui ne cache jamais sa façon d evo ir . P roblème angoissant, certes, mais qui n ’est pas insoluble. Il existe ce que l’on pourra it appeler une thérapeutique de la beauté 1 Mais songe-t-on à consulter les maîtres de la médecine pour une question de coquetterie ? O sera i t-on ? Eh oui les L e c t u ­r e s p o u r TOUS ont osé. et c’est leur avis q u ’elle- donnent dans leur numéro d’août, que vous lirez. Mesdames, et que vous garderez préci«Hs«ment.

DÉPARTEMENTUnion Générale des Mutilés

et Réformés n° 1 d’avant-guerreL à m illio n an n u e lle des M utilés et

R éform és 11" 1 d ’à v an t-g u e rre du dé­p a rte m e n t de l’Oise, a u ra lieu à Cler- m ont, le d im anche 26 août 1928, à 10 h. 30 (re s ta u ra n t B oucheron, p lace de l’E quipée), sous 1a, p résidence assu rée du cam arad e Diets, v ice-p résid en t do l’U nion G énérale de P a ris .

Tous les in té ressés du dép artem en t et des d ép artem en ts lim itrophes, sont in s ta m m e n t p rié s d ’y assiste r.

Les dam es sont p a rticu liè rem en t in ­vitées à v en ir nom breuses.

Vu l’im portance de l ’o rd re du jou r, la p résence de fous les ad h éren ts est ind ispensab le .

Le P résident, F. P m inu , à G lerm ont.

Médailles d’Honneur des Sapeurs-Pompiers

La m édaille et le d ip lôm e d’h o n n eu r on t été d écernés au x S ap eu rs-P o m p ie rs de l’arrond isserrien t de S en tis dont les nom s su iven t qui on t to u jo u rs fa it p reuve de courage et de dévouem ent et que nous félicitons.

MM.E dm ond L epreux , sap eu r à M areu il-

su r-O urcq .D ésiré L em aire , sap eu r à M areuil-

su r-O urcq .A uguste D egardin , tam b o u r à M arol-

les.Je a n M ennecier, so u s-lieu ten an t à

V erberie.Louis M ahon, se rgen t à V erberie. V ictor B ezardin , ex -so u s-lieu ten an t à

M areuil.Louis Ilé ro u ard , cap ita in e honora ire

à F resnoy-la-R iv ière .M axim e Lefèvre, sap eu r à G illocourt. D enis D upont, sergen t à V erberie. P a u l B ayer, se rgen t à G ham bly. Léopold Dugué, c a p o ra l-fo u rrie r à

M areuil.E m ile R outier, se rgen t à M orienval. A rth u r L ehcutre, se rg e n t-fo u rr ie r à

M orienval.Louis Dollé, lieu ten an t à M orienval. Je a n liée , sap eu r à N eufchelles. T héoph ile T irle t, lieu ten an t à B éthi-

sy -S a in t-M artin .G eorges C arré, lieu ten an t à C han­

tilly . ------------------------

FANTAISIE

Boxeur et pur sang !A vant les g ran d es réu n io n s sportives

et m ond ia les d an s lesquelles s ’a f ­fro n ten t des co n cu rren ts de choix, les p ronostics ne m an q u en t point... Croyez que c’est a.vec une joie, véritab le que, j ’a i lu, l ’au tre jo u r, des détails très sa ­voureux su r les ad v ersa ires am érica in s en présence...

Je trad u is , d ’ap rès une m ém oire très infidèle, les im p ressio n s d ’un repo rte r en thousiaste :

« A qui rev ien d ra la victo ire? — Il se ra it difficile de le d ire avec certitude, à, la veille d ’une épreuve qui p assionne la planète... En effet, les qua lités du N éo-Z élandais ég a len t à quelque chose p rès les m agnifiques p e rfo rm an ces du v a in q u eu r de l’an dernier...

O11 sa it q u ’ils ont reçu tous les deux et d u ra n t de longues sem aines, les so ins a tten tifs de leu rs en tra în e u rs , h a ­biles à cu ltiver le m uscle... F ric tions énerg iques m a tin et soir, n o u rritu re sa ine m ais dosée, exerc ices sav am ­m en t contrôlés : trot, galop, sau t d ’obs­tac les au g ran d air... Rien n ’a été n é ­gligé de p a rt et d ’au tre po u r ob ten ir la m eilleu re form e...

D em ain , dès leu r en trée en piste, avant, m êm e que re ten tisse la cloche qu i d o n n era le départ, la foule p o u rra ad m ire r les co n cu rren ts et vérifier que. les deux p u r-sa n g am érica in s sont les p ro d u its d ’une sélection sévère... L ’un est rem arq u ab le de p u issan ce ; ses re in s d ’ac ie r et ses den ts d ’une b la n ­ch eu r éb lou issan te ca rac térisen t, avec les épau les d ’une ro n d eu r p a rfa ite , la belle race... L ’au tre , au la rg e po itra il, au x ja r re ts p u rs et nerveux , p eu t éga­lem ent p ré ten d re au x succès les p lus flatteurs...

N otons po u r te rm in er, que le Néo- Z é landa is pèse 10 liv res de p lus que le pou la in de l’écurie d ’en face...

J ’ai lu a in s i des colonnes et des co­lonnes d ’un style fort cu rieu x et je n ’ai pas douté une seconde, é ta n t d is tra it de m a n a tu re q u ’il s ’ag issa it de deux su ­perbes é ta lons lancés p a r des p ro p rié ­ta ire s y an k eés su r un h ippodrom e de New -Y ork... M ais j ’ai constaté m a mé prise , le len d em ain , en a p p re n a n t que Tom H enney, va incu , sa ig n a it abon d am m en t du nez... P a rd o n , j ’a lla is écrire du naseau ...

Excusez du peu... C’était le ch am ­p io n n a t du m onde poids lourds (boxe, bien en tendu), que l’on d isp u ta it en A m érique ! Mon e rre u r s ’exp lique par le fa it que j ’ava is om is de déchiffrer le titre d ’un artic le su r m on jou rnal...

Dam e, a u jo u rd ’hu i les m êm es ex­p ressions se rven t ind iffé rem m en t à dé­c rire les chevaux et les hom m es, les b oxeurs et les p u r-sa n g , les lév rie rs et les cyclistes !

Jo ach im Blant.

Le P a rti Agraire Françaisserait-il utile ?

L a fo rm ation d ’un p a rti ag ra ire fran ­çais h an te certa in s e sp rits . P ublique­m en t la question a été posée, voici p lu ­sieu rs m ois. D»s a rtic les e t des co lftjr rences ont été fa its su r ce sujet. M ieux encore au x dern iè res élections légis­latives, quelques can d id a teu rs ont été provoquées afin de m ieux frap p e r l’es- latives, quelques can d ida tu res o»t été n ’on t eu que peu de succès. M ais la force d ’une idée ne se ju g e pas au nom bre de voix ob tenues à la p rem ière ren co n tre avec le co rps électoral.

Enfin les fê tes-paysannes grandioses, qui v ien n en t d ’avoir lieu à P rague et auxquelles des délégués agricoles de tous pay s av a ien t été invités, ont, fait reb o n d ir le p roblèm e chez nous. Ces fêtes, dont je ne sais pourquoi, notre g ran d e p resse n ’a guère, parlé , ont été sa is issan tes cl, d ’une h au te significationpolitique, na tion aj«>. <v| em ‘'6 péen ne.

Du 15 au 22 ruai, la R épublique tché­coslovaque a. fêté le d ix ièm e a n n iv e r­sa ire de sa fondation n o tam m en t p a r une superbe exposition agricole où s ’a ffirm a it avec éclat, l ’effort d ’o rg an i­sation des m asses p a y san n es et de dé­veloppem ent de la p ro d u ttie n te r r ie n ­ne. Le « clou » des m an ifes ta tio n s fut, le jeu d i 17 m ai, un défilé éb tou issan t de 150.000 p a y sa n s et p ay san n es , en costum es locaux, encad rés de m usique, de d rap eau x et de m illie rs de cavaliers p ay san s, défilé qui, d u ra n t p lus de six h eu res, tra v e rsa la cap ita le au m ilieu des acc lam atio n s répétées d ’une foule en thousiaste .

D ans tous les pay s voisins, surtou t chez ceux o ù existe u n p a rti ag ra ire ac tif, en Pologne, B u lgarie , R oum anie; Y ougoslavie, etc. cet événem ent est lon ­g u em en t com m enté. Les pub lica tions in te rn a tio n a les les p lu s rass ises , telle chez nous P ax, l ’ont p ris .en h au te con­sidéra tion . E st-ce à, d ire que le p u issan t m ouvem ent d ’ag rag a tio n des p ay san s d an s ces p ays soit un m odèle que nous ,aydns à copier en F ran ce ?

P o u r le ju g e r, consta tons d ’abord • q u ’il se m an ifes te chez des nattons nées ou tran sfo rm ées p ro fondém en t p a r l a r é c e n t e g u e r r e e t qui, e n som ­me, s o n t e n p l e i n e f o r m a t i o n . E n po.-i i culier, elles ont à h â te r la fusion d ’élé­m en ts é thn iques assez divers. P o u r p lu ­sieurs, les m asses p ay san n es sont, non p as le p rin c ip a l élém ent, m ais, pour- ra it-o n dire, l ’é lém ent un ique ou quasi- total ; les villes, chez elles é tan t le p lus souvent v is-à -v is des C am pagnes ce q u ’est u n chef lieu de can ton ru ra l à la popu la tion agricole env ironnan te .

L à tout ce qu i est p ay san peu t p ré ­tendre au p rem ie r rôle et peu t fac ile­m en t l ’obtenir.

Le peuple entiej; v ivan t dan s l ’exa l­tation de l ’in d ep en d an ce conquise ap rès de longues souffrances et se p a s ­s io n n an t po u r la réa lisa tio n de nou ­veaux idéals n a tio n au x , la flam m e p a ­trio tique est a rd en te et débordante de partou t. Le m ouvem ent p ay san p a r ti­cipe à cette iv resse et, liii au ssi, est à carac tère politique. En m a in ts pay s de la vieille E urope, il a vistë à la con­quête du pouvoir. N atu re llem ent, il y est parv en u , p a rfo is avec profit, m ais p as to u jo u rs po u r son bonheur.

tan s notre bonne R épublique de F rance , la situation est au tre . L 'im ité na tio n a le n ’est p lu s en question. Elle est fa ite , elle est m êm e p a rfa ite , et de longue date. L ’ébullition qui accom pa­gne la fusion d’é lém ents hétérogènes n ’a p lu s de ra iso n s d ’être. Au point de vue politique, le su ffrage un iverse l a s ­sure au x ru ra u x une large re p ré se n ta ­tion. Au po in t de vue économ ique, in ­dustrie et ag ricu ltu re se fon t m u tu e lle ­m en t contrepoids. B ref, notre o rg an i­sation natio n a le est à u n stade su p é­rieu r à celui des peup les auxquels la g uerre a donné une âm e nouvelle, p a r une sorte de réen fan tem en t.

L’évolution de no tre pay s se pou rsu it, sera it-ce la fa ire p ro g resser que de la ra m e n e r au stade des peup les qui dé­bu ten t d an s le concert des nations ? Il fau t p erfec tio n n er ses in stitu tions d’o r­dre économ ique qui sont d ’un ordre su p érieu r au x rouages politiques. OC, “ effort p u rem en t p ro fessionnel peut abou tir, peu à peu, à des réfo rm es dé­cisives. C’est donc log iquem ent que la poussée agricole chez nous s’oriente de p lus en p lus nettem en t vers l’action ex­c lusivem ent corporative.

R em arq u o n s, au reste, que ce couran t est le fru it de l’expérience. Dans ses débuts, il n ’est p as exem pt de tendan ces politiques. Les p a rtis s’efforçaient de le dom iner et de l ’im p rég ù e r de leur idées si b ien que s ’ils y ava ien t réussi il y a u ra it a u jo u rd ’h u i a u ta n t do m ou vem ents co rp o ra tifs agrico les que d p a rtis politiques.

D epuis la loi W ald eck -R o u sseau en fav eu r de la créa tion de synd ica ts , l’ag ricu ltu re fran ça ise s’achem ine p lus ou m oins vite selon les c irconstances et les époques vers une concen tra tion gé­néra le de scs forces. Son ray o n n em en t s ’en accro ît d an s la m êm e proportion . D’avoir accéléré cette m arch e vers son u n ité depu is la g u erre fui a valu de deven ir p lu s p u issan te d an s s.a rep ré ­sen tation à l’ex té rieu r et à l ’in té rieu r du pays. L ’a ig u ille r m a in te n a n t vers la fo rm ation d ’un parti ag ra ire , fo rm ule sim p liste des n a tio n s nouvelles, serait b rise r sa force ascensionnelle .

Ah ! je com p ren d s l’éta t d ’âm e de* pè le rin s à leu r re tou r de P rag u e . Là- bas, ils ont re ssen ti l’étincelle é lec tri­que des en th o u siasm es popu la ires. Ils ont v ibré. L eur am o u r sincère p o u r lés tousses paysan n e* leu r B, fa it désira:'

voir dan s leur p a trie une apothéose du travail agricole au ss i belle que celle dont ils on t été les tém oins en T sché- qosiovaquie. Mais, au tres tem ps, au tres paya, a u tre s m œ urs.

Transplanté chez nous, un parti paysan aurait, fatalement pour effet la rupture du bloc agricole qui se consti­tue d’année en année.

Déjà les m aig res velléités de p a rti paysan en notre pays on t fa it a p p a ra î­tre' des tendances fort d issem blables.

D ans les m ilieux ouvrie rs une expé­rience du m êm e ordre a été faite, il n ’y a pas si longtem ps q u ’il soit p erm is de ne p a s la fa ire connaître . T an t que la propagande et l ’action syndicale sont restées su r le te rra in p ro fessionnel, la pression ouvrière s’est fa ite de p lu s en plus forte. Dès que la po litique venue d« l’in té rie u r et de l’ex té rieu r des fro n ­tières l’a pénétrée, il y a eu scission. Il en a été de m êm e en tous les pays. La (politique crée la division. Le m o u ­vraient agricole 11e p o u rra it éch ap p er à la règle. P lu s sage et p lu s s û re 'e s t Dft/tr l a ' F ran ce a g r i c o le , s a m é t h o d e ■ A uo it a. ren fo rce r son o rg a n isa ­

tion actuelle, f ru it de p rè s d ’u n dem i- siècle d’èfforts p a tien ts et b ien su p é­rieure, ca r p lu s c o m p l è t e et p lu s adéquate à ses beso ins que celle d ’un parti agraire .

Jh. Ricaiio,Ancien M in istre de l’A gricu ltu re .

ILb. Vie chère IEst-ce encore la sécheresse ?

Le beurre aussi est beaucoup plus cher que l’an dernier

Et le from age , lu i-m êm e... A ccusera-t-on encore la ch a leu r et la

sécheresse ?... T o u jo u rs est-il que le beurre, b ien que l’on a it vu enfin s ’a r ­rêter la h au sse an o rm ale de ju ille t, re s ­te. encore à des cours sensiblem ent, p lu s élevés q u ’en ao û t 1927.

25 % de hausse P ou r que la com para ison des cours

soit valable, n o u s 'av o n s considéré deux jours sem blab les : le sam edi 6 août

e t le s a m e d i 4 a o û t 1928. A y an t, no- cours p ra tiq u és ces d eux jo u r s

aux HaUes cen tra les, nous avons cons­ta té que le second accuse des chiffres très su p é rieu rs à ceux du p rem ier.

Les « beu rres de tête » (C haren te et Poitou) a tte ig n en t 24 francs contre 19 fr. 30 l’an dern ie r, soit environ 25 % de hausse.

Les b eu rres d’Isigny , qui ne d ép as­sa ien t p as 19 fr. le 6 août 1927, ont fait, cette année , 23 fr. 50.

Il n ’est p as ju s q u ’au x cours les p lu s o rd inaires, d its A m arch an d s », qui co­tèren t, sam edi d ern ie r, 15 fr. 40 en m oyenne contre 14 fr. 50 l ’an n ée d er­nière.

Le « Prie » a triplé.Mais que d ire des from ages ? Ici, on

ne com prend p lus, ou on com prend trop... P a r les fortes chaleu rs, il est connu que le cours des fro m ag es s ’a f ­faisse.... a u ta n t que les from ages eux- m êm es. On pouvait donc s ’a ttend re à ce qije cet été to rride am en â t une ba isse in téressan te su r le Brie et le cam éra bert...

Oui ?... Eh bien , la d izaine de Brie m eules qui v a la it en m oyenne 70 fr. l ’an dern ier, coûte, à, p résen t, to u jo u rs en m oyenne, 110 francs... P o u r les Brie « kuticï’s », la hausse est p lus sensib le effrfire ; 30 francs l ’an dern ie r, 90 fr. celte an n ée !...

Le m êm e cam em bert n o rm an d qui valut 1 fr. 65 en août 1927, se vend ac ti.toleigent (p rix de, gros) 1 fr. 90... Le mémo g ruyère genre E m m en th a l que l’on p ay a 10 fr. 50, ne se la isse p a s cap tu rer à ' m oins de 12 fr. le kilo... Et le PèrUSalut: est. passé de 8 fran cs à 10 francs.

[Quand nous avons dénoncé, à, m a in ­tes rep rises , les d an g ers de la liberté absolue et san s fre in de l ’exportation , nous n ’avons p as été en tendus. D evant ces chiffres v ra im en t effaran ts, serons- nous écoutés ? — Léon G roc.

{([.'Intransigeant).• _ . - M o r a l it é :

25 % de h au sse su r le b eu rre !...1 Le B rie a tr ip lé !...He’ureuses sont les co rporations qui

peuvent fa ire v a r ie r d ’une an n ée à l ’autre leu rs ta r ifs dans de te lles p ro ­portions.

C O U R S E S DE C O M P I È G N E

A traversP h a r m a c ie s o u v e rte s t

Dimanche ia (Août Pharmacie I.esage, place Henri-IV.

DIMANCHE 12 AOUT 1928Le p rogram m e «le cette réu n io n a n ­

nuelle des G entlem en-R idcrs, com porte -rv rv 'le m o n tan t des p rix et les objets d’#rt, un budget de 80.000 fran cs .

Cette jo u rn ée à laquelle sont conviés d’a ss is te r tous lés G en tlem en-R iders, au ra donc une im p o rtan ce excep tion­nelle et m a rq u e ra san s au cu n doute un gros succès d an s les A n n ales du Club des G entlem en.

La C om pagnie du Nord rééd ite ra di m anche p rocha in , le service des tra in s du 5 août et dé liv re ra des b ille ts à p rix rédu its non seu lem en t à P a ris , m ais encore dan s les g a res de C hauny, Noÿon, S oissons, V illers-C otterêts, Beauvais, G lerm ont, A m iens, M ontdi- dtor, Roye (Scfmme).

A R aris, les tra in s de 7 heu res, 9 lleurês 10, m id i 17, avec w ag o n -resto u - r’àn t, m id i 40, p e rm ettro n t au public de r£ 'jfcftdrc à m n com pte à cette réun ion * d être de re tou r à 7 heure#*

Syndicat d’initiative de SenlisSéance du m ercred i i “' août i92SLe Com ité du S y nd ica t d ’in itia tiv e

s’est ré u n i le m erc red i 1" août 1928, au Siège Social, 1, A venue du M aré- clial-Foch, sous la p résid en ce de M. II. D em oinet.

E ta ien t p ré sen ts : MM. D em oinet, E scavy, m aire , p rés id en t d ’h o n n eu r ; Louât, vice-président, ; D ischgand, se­c ré ta ire g én éra l ; Ju lien , tré so rie r ; P o u ssard , L epape, D uchet, W o n d rak , B ascher, L epetit, B oissay, L egrand , C am us, D elvienne, Robet.te.

A b s e n t s e t e x c u s é s : M M . Ir S o u s - Préfet, Pi errant, Fonteix.

L a lec tu re d u procès-v erb al de la de rn iè re séance est .(approuvée san s observations, à l ’u n an im ité .

Le P ré s id en t donne lec tu re des ré ­ponses q u ’il a reçues depu is la dern iè re réu n io n a u x d ifférentes le ttres ad re s­sées co n cern an t d iverses affa ires in té ­re ssa n t le S yndicat.

La Route, on signale : l°L e m au v a is é ta t du c a rre fo u r de

l ’E ch iqu ier, ré fac tio n in co m b an t à la V ille ;

2° Le m au v a is éta t de la p a rtie basse de la ru e de la R épublique, une d em an ­de va être ad ressée à M. l’In g én ieu r en Chef des P on ts et C haussées, a in si q u ’au M in istre des T ra v a u x pub lics ;' 3° Le v irage d an g ereu x au lieud it l ’E xcav a teu r ;

4° Le d é fau t de s ig n a lisa tio n du p a s ­sage à n iv eau du Gué de Creil ;

5° Les m au v a is ren d em en ts des re ­vêtem ents des rou tes en m a té r ia u x dits « Laitie, »

,6° Le m au v a is éta t de la rou te en tre la C hapelle et P la illy ;

7° L ’inv isib ilité des p o teau x in d ica­teu rs au c a rre fo u r de la ru e B ellon ;

8° L ’inv isib ilité des in sc rip tio n s su r le socle d u calvaire à l ’en trée , de la rou te d ’A um ont et celle de C han tilly ;

9° La nécessité de re n d re obligatoire le sens un ique su r la rou te qu i va de C haâlis à E rm enonville , en p a ssa n t p a r le Parc,.

Des d ém arch es vont être fa ites a u ­p rès des ad m in is tra tio n s com péten tes pour ob ten ir sa tisfac tio n su r tous les po in ts signalés, su rtou t en ce qui con­cerne la rue de la R épublique et le F au b o u rg -S a in t-M artin , il n ’est pas adm issib le que l’on ne p u isse ob ten ir ce rep av ag e tan d is q u ’à P o n ta rm é et à la C hapelle, il, est re fa it en tiè rem en t depuis peu.

U n M em bre s ignale que des m ilita i­res p a sse n t à cheval su r la passere lle de la rue Carnot, une su rve illance sera exercée p a r les agents.

Siège du Synd ica t . — M. D em oinet expose q u ’en ra iso n de l’évacuation p rocha ine du local actuel, il s ’est p ré ­occupé d ’un nouveau siège pour le Syndicat., il a trouvé u n e solu tion qui lu i p a ra ît de n a tu re à d o n n er toute sa tisfac tion , p rom esse lu i é tan t faite p a r la C om pagnie d ’un te rra in ac tu e l­lem en t in u tilisé à l ’en trée de la cour de la G are, il y fe ra édifier à ses fra is un petit chalet, (dont il soum et le p lan au Comité), et en fe ra la location au S ynd icat, m o y en n an t un p rix à dé ter­m iner.

Le Comité vote des fé lic ita tions et des rem erc iem en ts à son dévoué P ré ­sident.

Fête sportive du i5 août. — S u r la p roposition du P ré s id en t, le Comité vote une subvention de 250 fran cs , au Club S portif S enlisien , o rg an isa teu r de la m an ifes ta tio n , il décide en outre l’a t­trib u tio n des subven tions su ivan tes à la Société Colom bophile, 150 fran cs P ré p a ra tio n M ilitaire, 150 fr. ; C om pa­gn ie d ’A rc du M ontauban , 25 fr. ; Com­pag n ie d ’A rc du B astion de la, P orte de M eaux, 25 fran cs.

Exposit ion canine. — L ’o rdre du jo u r appelle ensu ite la fixation de la date de la p ro ch a in e exposition can ine , ap rès d iscussion , elle est fixée au d im anche 16 ju in 1929'.

Lettres de l ’in s titu te u r de M ontagny, d isan t son é tonnem en t que la Com ­m u n e ne figure pas su r le gu ide du S y nd ica t d ’in itia tiv e . Il en se ra ten u com pte d an s la p ro ch a in e édition d ’un nouveau guide.

des affiches. Le Com ité vote à l’u n a n i­m ité des rem erc iem en ts à ces tro is ad ­m in is tra tio n s.

C haussée P on tpo in t. — Le S ynd icat a y an t a p p ris in d irec tem en t q u ’il se ra it question d ’au to rise r les explo ita tions forestières à u tilise r la chaussée P on t- po in t p o u r la v idange des bois, p ro teste én erg iq u em en t et d em an d e ra au x a u ­to rités com péten tes le m a in tien du s ta - tu quo, le dé tour é tan t m in im e, fa is a n t re sso rtir que la C haussée P o n tp o in t é tan t u n e rou te tou ris tiq u e no devra it se rv ir à au cu n usage indu strie l.

L ecture est donnée de tro is le ttres du rég isseu r du dom aine d ’E rm enonv ille , re la tives à la pêche dan s les é tangs du parc .

L ’o rd re du jo u r é tan t épu isé et p e r­sonne ne d em an d an t la paro le , la, sé ­ance est levée à 22 h eu res 15.

Sport Vélocipédique SenlisienLa tro isièm e épreuve de la M édaille,

s ’est d ispu tée d im an ch e dern ie r, 5 août et le nom bre des coureurs p résen ts , av a ien t augm enté , les séries et finale ont été d ispu tées avec a c h a rn em en t et le g a g n a n t fu t P etit, du S. V . Senlis, b a tta n t F ay ard , du Y. C. Creil d ’un q u a rt de roue ; 3. H éloin, de Senlis.

Les cou reu rs H ury et S im on, p résen ts à cette réu n io n ont fa it une exhib ition su r le k ilom ètre lancé. S im on a réa lisé 1 m . 22 s. et H u ry avec u n vélo d’em ­p ru n t, 1 m . 24 s., le ven t souffla it fo rt d an s la ligne droite.

Le je u n e F a y a rd a ten té le to u r lancé et il a réa lisé 24 s., c’est bon pour un débu tan t.

D im anche p rocha in , 12 août, q u a tr iè ­m e épreuve de la M édaille, à 9 h eu res, ■ sous la d irection de MM. Cassou, Bolle et G uizelin.

Le m erc red i 15 août, au cours de l’in te rc lu b s d ’a th lé tism e du C. S. S..,- réu n io n de courses vélocipédiques ré ­servées au x co u reu rs et m em b res du S. V. Senlis, com portan t course de p r i­m es, ind iv iduelle et am érica in e de 25 k ilom ètres.

Les co u reu rs et m em b res du S. Y. Senlis, qu i veu len t p a r tic ip e r à ces courses, a in s i que les équ ipes p o u r l ’am érica in e , son t p rié s de d onner leu r nom à M. G uizelin, 13, ru e de B eau­vais, av an t le 13 août, po u r in scrip tion au p ro g ram m e.

La p ro ch a in e réu n io n du V élodro­m e de S enlis, a u ra lieu le d im anche 26' août, avec u n su p erb e p ro g ram m e de courses com portan t u n e am érica in e de

heures, avec les m eilleu res équipes régionales.

Fête de la Porte CompiègneN ous rap p e lo n s que c’est dem ain di­

m an ch e 12 aoû t q u ’a u ra lieu 1a, fête de la P orte Com piègne.

U n certa in n om bre de fo ra in s y est d é jà in sta llé .

Les h a b ita n ts de Sen lis et des en v i­rons y trouveron t le m eilleu r accueil.

Société Colombophile“ Le Martinet Senlisien ”

P r ix d u S y n d ic a t d’in itia tive Le 12 août 1928, a u ra lieu u n Con­

cours de je u n e s p igeons voyageurs su r la ville d ’O rléans ; d istan te de 153 k i­lom ètres.

Ce concours se ra doté de n o m b reu x p r ix offerts p a r le S y nd ica t d ’in itia tiv e de no tre ville, auq u él tous les m em b res du « M artine t S en lisien », tien n en t à ex p rim er tous leu rs rem erc iem en ts p ou r sa générosité et son en co u rag e­m ent.

A ssem b lée générale. — Le d istingué v ice-p résiden t, M. Louât, p rom et au Comité, qui le sollicite, de fa ire re p ré ­sen te r une revue locale au théâ tre le jo u r de l ’assem blée ou toute au tre p iè ­ce à sa facu lté .

Le p rés id en t donne lec tu re d ’une le ttre de la C om pagnie du Nord re la ­tive au petit tunne l du chem in d ’A u­m on t et à l ’éta t de la Cour des V oya­geurs, les réc lam atio n s p résen tées p a r le S yn d ica t d ’in itia tiv e ne sont pas p r i­ses en considéra tion p a r la C om pagnie, le Comité décide d ’in s is te r à nouveau.

Le P ré s id en t annonce q u ’un nouveau guide officiel, genre de l ’actuel, va être édité p o u r 1929, p a r une M aison d ’im ­p rim erie trè s sérieuse et qui se c h a r­g e ra de recu e illir la publicité .

Le P ré s id en t fa it p a r t des subven lions allouées au S y nd ica t d ’in itia tiv e p a r la C om pagnie du Nord, les h é ri­tie rs du dom aine d ’E rm enonv ille et l ’In stitu t, po u r p a rtic ip a tio n à l ’édition

Union CatholiqueLe m ercred i 22 aoû t 1928, se ra com ­

m ém o ré à la ca th éd ra le l ’an n iv e rsa ire du décès d ’A ndré L esago .'

Les M em bres de l’U nion tien d ro n t à s ’associer a u x m esses qu i seron t dites ce jo u r là, p lu s spéc ia lem en t à celle de d ix h eu res et dem ie, po u r le repos de l’âm e de celu i auq u e l ils conserven t un a ttach em en t in tég ra l.

T ous ceux qu i p o u rro n t p ren d re la liberté de le fa ire se ré u n iro n t a u to u r de la fam ille d ’A ndré L esage et leu r p ié té ém ue m a rq u e ra la sû re té de leu r am itié , la p e rm an en ce de leu rs reg re ts et la conscience q u ’ils g a rd en t du dom ­m age irrép a rab le infligé au x œ uvres sen lis ien n es p a r le d ép a rt de leu r guide et m odèle.

Le pain à 2 fr. 15 le kiloEn ra iso n de la b a isse su rvenue su r

les p rix des blés et p a r su ite su r la fa rin e , le p r ix lim ite du pa in , en a p ­p lica tion du barêm e a rrê té p a r la Com­m ission d ép artem en ta le in stituée p a r la loi du 31 aoû t 1924, se ra de 2 fr. 15 le k ilog ram m e (portage com pris) au lieu de 2 fr. 20, à d a te r de lu n d i p ro ­cha in , 13 août.

Médaille des Assurances socialesM. H enri Vantroys, inspecteur «les

eaux et forêts, à Paris, vient de se voir a ttribuer la m édaille d’argent des Assu­rances sociales.

Nous lui adressons nos plus vives fé­licitations-

Page 2: Année. - IT 93. T.ÎT, NUMERO VTN'ÔT CENTIMES LE …bmsenlis.com/data/pdf/js/1927-1928/bms_js_1928_08_12_MRC.pdf · titre d’un article sur mon journal... Dame, ... de 150.000

mm. ■17 L lS C Ô Ü H n i E ^ Ô E L 'O I S E

tirant! Concours de TirR E SU L T A T S LE LA. F* SEANCE

5 août 1928 .1 rmfi de Guerre

(2 m eilleu res séries additionnées) A n rv ru s

ATM. La l'on I.. 48 points.M artin M. 46 «R averdcl M. 44 »Leclerc F. 42 »C otterousse G. 41 »L ap ie rre A. 40 »L uzurie r Gh. 38 »P icho t L. 37 »Boijlem ps J . 36 »Fussiez H, 36» »

V iennen t ensu ite : MM. B ernard ,B atte fort, G rim bert, F leory , Violet, I)ui- gardifi, H alattre , B ourdean , Gnige,Roussel.

.Ikon us suM M . M ai-ch o is A. 3 5 points

L egrand R. 28 ))G uvinot M. 27 ))G h i n n F. 23 »B ernard Gh. 19 ».Simon M. 19 ))M archois H. 15 »B oullet A. 15 »N eveu J . 13 ))L au ren t P. 11 »

Carabine (2 m eilleu res séries additionnées)

D am es

M“ Raverde] M. 01 points.-M“ * Hottereau H. 66 »Mn“ P iche t L. 63 >»M u“ B oehefort A. /»:; »M ‘u Garon L. 31 »

AdultesMM, M artin M. 97 points.

Gottorousse G. 97 )>F leu ry M. 02 »D espatin B. 01 »Batte fort G. 90 »P ruvost A. 80 ))Fossiez R. 88 »G uigc M. 87 »L ap ierre A. 87 )>Garon L. 87 »

V iennent ensu ite . MM. G ran d p errin , D ugard in , R averdel, H alattre , Bottr- deau, Goulon, B ernard , L iefqnin , Le- elere, V anaker.

J eunesseMM. G uénand L. 00 points.

V incen t G. 80 »M archois R. 88 »Neveu J . 84 »Violet R. 84 »Bonllet A. 83 »G ran d p e rrin Gh. 82 »Delà lin R. 82 »T hévenet M. 76 »S im on M. 75 -»

D euxièm e séance, d im anche 12 août 1928, de 8 h eu res à 12 h eu re s et de 14 heures à 18 heures.

GYMN A S T I Q U EEducation et Rééducation Physique

Leçons P articu lières

F. D E C A INProfesseur

7, rue des Pigeons Blancs, SENLIS1634

La Promotion du Mérite AgricoleSont promus officiers :M. Alfred Bersen, agriculteur à Villers-

sous-Saint-Leu.M. Louis Boulongue, adjoint technique « „ des Ponts et Chaussées à Crépy.M. Georges Cotterousse, éleveur à Bras­

seuse. jSont nommés chevaliers :

M. Roger Barbier, agriculteur à Senlis. M. André Phambault, jardinier à Mon-

tataire.M. Ernest Debaü, berger à Lagny-le-See. vr i ' l î . D5 and' agriculteur à Baron. M. Léopold Bara, éleveur à Chantilly.M. Gaston Boitel, agriculteur à Montlo-

gnon. jM. Pierre Briffault, agriculteur à Neuil-

ly-en-Thelle.M. Charles Berthois, jardinier à Vineuil-

Saint-Firmin.M. Ernest Camus, secrétaire de la Sous-

Préfecture à Senlis.M, Ferdinand Dagbert, cultivateur à

Autheml-en-Valois.M. Victor Hérouard, cultivateur à Frcs-

noy-la-Rivière.M. Auguste Ledoux, cultivateur a Vil-

lers-Saint-Genest.M. Louis Martin, propriétaire à Monta-

taire.M. Gustave Jodart, instituteur à Mello. M. René Lamouche, agriculteur à Crouv-

en-Thelle.M. Léon Gibert, commis de culture à

Etavigny.M. Léon Muller, jardinier à Gouvieux.M. Théo Mepuis, cultivateur à Silly-le-

Long.Nous adressons à tous ces nouveaux

promus, nos plus vives félicitations.

f o u r l e s f ê t e s j J î n n i v e r s a i r e s

e t f l t a r i a g e s :

GRAND CHOIX DE CADEAUXA lp h o n se GIGOGNE

Rue de P aris , SENLIS1689

Médailles d’honneur du travailDes médailles d ’honneur en argent

viennent d ’être accordées à plusieurs de nos concitoyens :

M. Grugier Joseph-Alexandre, chef étalier dans la maison Lucien Gabanelle, boucherie de la rue de l’Apport-au-Pain.

'M. Lafritte Gustave-Edouard, contre­m aître dans la maison Léon Leroy et Fils, négociants en pailles et fourrages.

Mlle M artin Lucie-Georgette,Mlle P lessier Jeanne-M arguerite, tou­

tes deux ouvrières blanchisseuses dans la maison Hottin, rue Rougemaille.

Nous sommes heureux de constater que ces employés et ouvrières jouissent de la considération générale et que leurs employeurs sont unanim es à reconnaîtr les services qu’ils ont rendus, chacun dans leur sphère, au cours de leurs lon­gues années de travail.

Mentionnons que la Maison Hottin adéjà eu l ’h o n n e u r d ’a v o ir q u a tre o u ­v r iè r e s q u i o n t été r o s iè r e s d e la Ville d e S e n lis , M lles M artin , M lles Beaude- quin et Ragois.

Aux médaillés, nous adressons nos plus sym pathiques compliments.

Les accidents de la routeS am edi dern ie r, vers h u it h eu res du

m atin , M. P a u l T hom as, âgé de 17 ans ouv rie r tap iss ie r, d em eu ran t chez ses p a ren ts , au h am eau de B ray-R uily , ve­na it com m e il le fa isa it tous les jours de la sem aine , à son trav a il, en biev- clette. J

11 se tro u v a it su r le cours T horé- M ontm orency, se p ré p a ra n t à d escen ­dre la côte de P O rphelinat, il tena it sa droite, lo rsq u ’à rriv é p rès de la dem eure de M. P iquom al, il vit a rr iv e r vers lui, a llan t h une très vive allu re , une au to ­m obile, m arq u e Bonnet, à conduite in ­térieu re , qui ayant, p ris son v irag e à gauche, a lla h e u rte r le trottoir' de ce côté po u r reb o n d ir au m ilieu de la

I chaussée et rev en ir Sur sa gauche. C’est à ce m om ent, que le jeu n e T ho­

m as fu t a tte in t par l ’av an t de l’au to ­m obile et projeté p lu sieu rs m ètres à l’avan t, la bicyclette re s ta n t p rise dan s la voiture.

Le conducteu r a y an t dégagé la b icy ­clette qui se trouvait d an s un fo rt m au ­vais état, con tinua ensu ite sa route po u r p a sse r devan t la gen d arm erie et g ag n e r la route de Com piègne.

Des p a ssa n ts se p o rtè ren t au secours de la v ictim e dont le chauffard ne s ’e ta it n u llem en t inquiété et la t r a n s ­po rtèren t au dom icile de M. T hom as m arch an d bou langer, rue Bellon, son oncle, où le 16 Chastel v in t lu i donner

•ses soins.T out d ’abord, l ’éta t du blessé p a ra is ­

sait trè s grave, m a is nous avons a p p ris que son éta t s ’é ta it am élio ré et q u ’il avait pu être tran sp o rté au dom icile de ses pa ren ts , à B ray, m a is m a lg ré cela les so ins seron t longs, c a r il a une jam b e brisée.

Im m éd ia tem en t in fo rm ée de cet ac ­cident, la b rig ad e de g en d a rm erie de Bénits a a lerté toutes les b rig ad es de la rég ion afin de découvrir l’a u teu r de cet accident.

Une enquête h ab ilem en t m enée p a r nos g en d arm es a p e rm is de découvrir l ’iden tité de cet ind iv idu qui hab ite dan s 1 a rro n d issem en t de C om piègne et qui ava it été vu d an s p lu s ie u rs é tab lis­sem en ts de notre ville.

Nous tien d ro n s nos lec teurs au cou­ra n t des su ites de cette affaire.

— M. C harles T avignot, 24 ans, ou­v rie r couvreu r à V in eu il-S a in t-F irm in , se ren d a it en bicyclette à Senlis, ten an t sa droite su r la route, lo rsque soudain la roue a rr iè re de sa m ach in e fu t a t­te in te p a r une au tom obile v en an t d e r­rière lu i et a p p a rte n a n t à M. A ndré Ducrocq, de L aigneville . Le cycliste fu t p ro je té à te rre et relevé avec des b les­su res à la figure.

Une enquête est ouverte.

Caisse d’Epargne de l’Arrondissement de Senlis

S itu a t io n au j o J u in 192 8

a’ TRIMESTRESolde au -ji Mars 1928 11.598.593 68

Versements 528.810 »)Iransf’ Recettes 28.312 66> 558.543 87Intérêts payés... 1.421 61;

12.157,137 55 Remboursements.. 445.615 03)Transferts paiem1*. 4.039 81 i 449-&54 °4

En quelques lignes— M m e D riancourt, à la B iguë, cons­

tatait, l ’au tre jo u r la d isp a ritio n d ’un bille t de cen t fran cs p a rm i les au tres se tro u v an t dan s sa cu isine. U ne e n ­quête lui p e rm it d ’a p p ren d re que ce b ille t avait, été so u stra it p a r la jeu n e L ucienne L aporte, âgée de 13 ans, qui en com pagn ie de sa belle-sœ ur et d ’a u ­tres pa ren ts , ava it trouvé m oyen d ’en dépenser une g ran d e partie , pu isque les g en d arm es en la découvran t à 8 heures du soir, rue de l’A pporl-au - Pain , constatèren t q n ’etle n ’ava it p lu s que 10 francs. Le reste avait servi à consom m er de la b ière, des ap éritifs , de la charcu terie , et d ’ache te r une com lunaison , une robe et une barboteuse.

La g en d arm erie a d ressé procès-ver bal.

La je u n e L ucienne fa it le d ésesp o ir de ses p a ren ts .

— Gn nous signale que des cyclistes prennen t, en p lein jo u r, le rem p art Bellevue po u r un vélodrom e, ne s ’in ­q u ié tan t n u llem en t des p assan ts et su r­tout des en fan ts qui en cette période de vacances s ’y am usen t.

Avis à qui de droit.— Il y a quelques jo u rs , M. de Gou-

lom biers, du château de la V ictoire se ren d a it à cheval à la ferm e S a in t-L a- zare, en e m p ru n ta n t les fou rs à chaux q u an d soudain le cheval a y a n t fa it un pas en a rriè re v in t b u te r contre des pylônes en c im en t placés, non seu le­m ent su r le bord du chem in : m ais av an çan t de so ixan te cen tim ètres su r ledit, chem in . Le cheval eu t le tendon de la jam b e droite b risé et M. L ép inay ap rè s ex am en en o rdonna l'a bu toge.

M .C ailla i, h u iss ie r a d ressé un cons­tat des lieux. On ne s ’exp lique pas pourquoi les py lônes en c im e n t d ép as­sent su r la chaussée . D’au tre s acciden ts sont à c ra in d re et nous esp éro n s que les o rd res se ron t données à l’en trep rise • harg ee du tra n sp o rt et du d éch arg e­m ent de ces p o teaux pour que ceux-ci so ien t p lacés com m e ils doivent l’être.

.,T~ A ce propos, un cycliste de no tre v i l l e , - n o u s a l a i t p a r t l a s e m a i n e d e r ­n iè r e , t r o p l a r d , p o u r f a i r e p a s s e r s a ju s te réc lam ation dan s no tre d e rn ie r

que des py lônes en c im en t a r ­mé déchargés su r la rou te de Pont,arm é av a ien t été p lacés à ce rta in s endro its su r la p iste cyclable.

Avis à qui de d ro it p o u r que des m esu res soient p rises po u r m odifier cet j, , . de choses, à m oins que cela soit d é jà fa it au m om ent où nous m ettons sous presse.

11.707.482 71L.a Caisse centrale est ouverte toute l’année

pour les opérations de caisse le dimanche et le mardi de 9 h. a 11 heures.

Lorsque l encaisso le permet, les rembour- s*tn«ntt peuvent être effectués d* suite.

[ l ’ E X P O R T H T E U pf r a n ç a is

*Mim m n Ut m tm rnn m ta M ta m PAMB, f .

Théâtre Municipal CinémaProgram m e du d im anche 12 août 1928

Soirée à 0 heures

PER E « BON COEUR » S uperp roduction

d ’ap rès D avid V esasco avec S idney et M ario Nixon.

B u c k Jones dans « VENGE »—

G rande com édie d ram at d ’aven tu res

La g u e rie en tre deux ranches ennemis L ’am o u r rem p laçan t la haine...

Cas si viteCom édie H élène cl W arr.-n

P our éviter la eoift-rnveiitionO rchestre sym phon ique soifs 1 1 -

reolion de M. Roùgeroii.

Georges

t i q u e

ÉTAT CIVIL DE SENLISdu 3 an 10 août 19^8

Naissances3. Renée-Julie Gravé, rue de la Monta-

gne-Saint-Aignan, 4.o l I^ anntn®-Paula Pachéré, faubourg Samt-Martin, 1. 6

5. Romain Jakubrak, faubourg Saint- Martm, 1.

8. Marcelfe-Georgette-M&rie Naud, fau­bourg Saint-Martin, 1.

Publications de mariage8. René-Paul Cocagne, maréchal des

1 ajii&U T ° régiment de spahis à Senlis et Mlle Fernande Collardot, couturière, domiciliée à Dôle (Jura).

Décès4- Çlarisse-Marie Dumont, veuve Sus-

j i ’ . j , ans> domiciliée à Mortefontaine, décedée faubourg Saint-Martin, 1.

8. Jeannine-Paula Pachéré, 4 jours, faubourg Saint-Martin, 1.

C A R N E TM E S S E S A N N IV E R S A IR E S

s ï f s " î s e s ,(lu m e r c r e d i 22 a o û t l f e t a la, ca th éd ra le d e S e n t i s , s* r ô i a p o u r le r e p o s d e l ’â m e d e

A n d r é LESAGE décédé le 22 août 1927.

La fam ille a s s is te ra p lus spéciale­m en t a celle qui se ra célébrée à 10 heu­res 30.

II ne se ra p as envoyé de faire p art à o en lis ; p rie re de bien vouloir considé- ie r com m e inv ita tion , le p résen t avis.

NECROLOGIEU ne le ttre de fa ire p a r t nous fait

co n n aître la m ort de M onsieur Charles Loyeux, qui fu t au tre fo is «1ère en l ’é tu­de de M" Ferté, notaire.

M. L oyeux est décédé en son domi-

de « i an s!’ ’ * “ *• d ’A s s ,s - 4 ■'«geA près un service en l’église Saint-

b u lp ice , 1 in h u m atio n a eu lieu au ci- m etiere de B ag n eu x -P aris ien

N ous ad resso n s à M m e ' Charles Loyeux, sa veuve, M. et M me Henri Loyeux ses en fa n ts et à Mlle Loyeux H enriette, sa petite-fille, nos sincères condoléances.

C H A N T I L L Ytous les

«*Di-PHARMAC1ES ouvertes

manches jusqu’à midi.

SERVICE AUTOMOBILE CHANTILLY GOUVIEUX. — Départ de Chantilly, place de la Gare : 6 h. 55, 8 h., 10 h. 40, 11 h. 30, 17 h. 30, 18 h. 30. Départ de Gouvieux, place delà République : 7 h. 20. 8 h. 15, u h.. 11 h. 45, 17 h. 50, 18 h. 50.

Le premier service (6 h. 55) dessert le ha­meau de Chaumont, il en est de même au tour de 17 h. 30.

Les Dimanches et Fctes, le dernier départ de Gouvieux est reculé à 10 h. 45.

Médaille des assurances socialesLa médaille de bronze des assurances

sociales est attribuée à M. Eugène Pec- queur, administrateur et fondateur de la Société d’habitations à bon marché « Le Bon Foyer ». Nos plus vives félicitations.

Médaille d ’honneur du travailM. Bustert Jean-Paul, chef de bureau

à l ’Agence de la Société Générale à Chantilly, vient d’obtenir la médaille d honneur en argent du Tr-avail.

Nous lui adressons nos plus vives fé­licitations.

Nouvelles hippiquesDécidément nos jockeys sont nerveux

après les incidents survenus à Esliug *1 lorterolo, voici que C. Bouillon à T»f- nvee du Grand Prix de Vicliy donne un coup de cravache à son concurrent H. kayser au moment où celui-ci allait le dépasser.

Ln application des articles 63 et 64 du Lode des Courses MM. les Commissaires • '% a °ciété des Courses de Vichy ont interdit à Bouillon de monter pour ia

S/ meeting et ils ont en outre de­mandé à la Société d’Encouragement de P1'60.vouloir étendre cette mesure à tous Course P°rïromes régls Par 1» Code des

Sports athlétiques15 a?ûl prochain, mercredi jour de

Assomption, se disputeroat sur le stade «es Bourgognes les Grands Prix de Chantilly réservés aux membres de l’U.

r : 100, 200, 400, 800, 1.500 et' • ? ^ t r e s ! 60 m. juniors, 110 m. haies,

e t marteau, sauts eh hauteurmÙrp T r ? elais de 400 r t de Lo(W hlîr fes 5 , réunion parrhettra d’ét«d’enfr/înom la Société et servirar P rln! i î t ' en a la fête de septembre, nent âtei ,d ttxé •» 4 fr. inciteratre r nî, r, Pllb,ic C antilïer à se mon-jusqu ici P SP° rtif ^ ne ra été

Le Tour de Chantilly Cette importante épreuve se disputera

le 19 août jour de la fête communale, sur un parcours de 7 kilom. 500 envii r»n,

L,a M aison Gibbs, par l*interznédiaj[rAvr* STn.. spo,rtif„ el sympathique directeurM. Thibaud offrira comme par le ns! I un très joli 1" prix. Passé

Les engagements sont reçus par m Watts, place de la République à TTnn- sur-Oise. Droit, 1 fr. par coureur ^ ”"

On nous signale un match de fôot.*, .1 qui aura lieu sur les 4 heures le n i a! du Tour se fera à 15 h. 30. En ouïr P?rt gymnastes du Patronage foim niro^6 les exhibition au début d e l f f i S ? » mie la pelouse. »pres nud! syr

A ccidentLe 5 août dernier vers 14 h 3(1 p

blomme Emile, venant de Senlis, r. ’ . ’J"à Saint-Leu-d'Ëssereol m lS iS Z S S m ï empruntant le chemin de Grande fvî munioatton n “ 44. Coin-

Arrivé au carrefour formé Dar m . de Cheil non loin du pastStoie à nf^U

ta halte de Ms.-uxO,).. i| »£*ÎÏW"

«p présence d ’une auto qui venait de Creii, conduite par un M. Lelèvre, d ’Ar- ras. Gaublomme voyant qu’il ne pouvait passer donna un coup de guidon à droi­te, trop tard cependant puisqu’il rac­crocha le garde-boue avant gauche de l’auto et passa par-dessus le capot a rra ­chant avec son front le motif surm ontant le bouchon de radiateur pour aller rou­ler sur le bas-côté de la route.

L’os frpntal enfoncé il fut ram ené à l’hospioe Condé où il a subi l ’opération du trépan. Son état demeure des plus graves. La responsabilité de l’automo­biliste ne semble pas engagée.

R ixeEn face le café Camille, rue de Gou­

vieux, l’attention des gendarm es (était attirée par un rassem blem ent : Bolda, Chandelier et Guignard étaient en tra in de se battre, divisés qu’ils étaient sur une affaire sentimentale.

Le dernier nommé -— justifiant son appellation — réussit à être appréhendé tandis que les deux autres se défilaient.

Leur querelle n ’était pas vidée pu is­qu’ils réussirent à se faire p incer un peu plus ta rd sur la place de la Gare alors qu’ils avaient rep ris les hostilités. P ro ­cès-verbal d’usage.

Autre accidentiRoute des Aigles, le 31 juillet dernier,

à la sortie des courses, M. Balleraud, employé au Pari-Mutuel est renversé par l ’automobile de M. Kahn, p ropriétaire de chevaux de courses.

Assez sérieusement blessé fi reçu t les prem iers soins à l’hôpital des jockeys et fut ensuite transporté à P aris dans l ’auto de M. Kahn.

IvresseLe 1er août sur les 9 heures, avenue de

la Gare, les gendarmes appréhendèrent 3 automobilistes complètement ivres, les dénommés Dclignière, M archand et Ma- gnier. Après procès-verbal dressé, l’auto fut remisée jusqu’au lendem ain m atin.

On s’étonne ensuite qu’il survient des accidents sur la route. Combien sont dans cet état, le dim anche soir par exem­ple, au volant de leu r auto 7

ViolencesMme Lainé voulait aller au Cinéma, son

mari ne voulait pas. Au cours de la dis­cussion au café Mac Can, rue de Gou­vieux, quelques horions furent échangés. i,< T r ib u n a l d ira du m a ri ou de la fe m ­m e q u i a v a it r a is o n . L es é p o u x L a in é sont depuis c e jour séparés.

CirculationLa brigade a dressé des contraven­

tions à plusieurs autom obilistes é tran ­gers qui ne possédaient pas de perm is de circulation.

NécrologieNous apprenons la m ort de M. Paul

Ternynck, de la famille T ernynek, de Chantilly, industriel, chevalier de la Lé­gion d’honneur, pieusem ent décédé, à Chauny, le 5 août. L’inhum ation a eu lieu à Chauny, le jeudi 9 couran t à 11 heures.

Etat civil du mois de juillet 1928Naissances

6. Bedoin Claude-Maurice, 34, rue du Connétable.

11. Gaudefroy Josette-Lucienne, 17, quai de la Canardière.

19. Sallenave Micheline-Yvonne, 34, rue du Connétable.

25. Tom pkin Elisa-Christiane, 4, rue Saint-Laurent.

27. Le Bris Yvette, 30, rue de Creil.Publication de mariage

18. Lechanteur Léon-Mathieu-Joseph, cultivateur à Orry-la-Ville et L iebert Marcelle-Rosa, matelassière, 3, rue de l’Hôpital.

M a ria g e s7. Hugon Edouard-Georges, employé de

chemin de fe r Aux Lilas (Seine), et Sit- terlin Marie, sans profession à Chantilly.

10. H arper John-H enry, tourneur à Gou­vieux et Collin Raymonde, essayeuse à Chantilly.

vil. Dhaussy P ie rre , docteur en m éde­cine à P aris et T hin Marie-Madeleine, sans profession à Chantilly.

26. W alker Willie, palefren ier à Chan­tilly et Beck Valentine, sans profession à Chantilly.

128. Gautier Raymond, plom bier à Chan­tilly et Jeannin Marie-Madeleine, manu- eure à Chantilly.

28. Nicolas Roland, plom bier à Chan­tilly et Denis Lucie, sans profession à Chantilly.

Décès2. Barron Carmen-Eliane, 25 jours, 29,

ru e des Cascades.8. M aréchal Henry-Léopold, 64 ans,

contre-m aître à Gouvieux, hospice Coudé.9. Deterpigny Auguste-Ulysse, 68 ans,

jard in ier, 15 bis, rue de la Chaussée.10. B ern ier Léon-Henri, 41 ans, em­

ployé, 33, quai de la Canardière.14. Lefoyer Marie-Arsène, veuve Du-

pille, 73 ans, p roprié ta ire , 22, rue d’Au- male.

21. Jovelet Héloïse-Eugénie, femme Desseaux, 52 ans, sans profession, 17, quai de la Canardière.

22. Legrand Alphonse-Eugène, 25 ans, m écanicien à Coye, hospice Condé.. 23. F fu c h e r E u p h r a s ie , v e u v e F la m a n t, 64 ans, sans p r o fe s s io n , La F o u r r iè r e .

Transcriptions de décès18. Koenigstein Max, 59 ans, indus­

triel, 14, rue d ’Aumale, décédé à Paris le Jf9 juin 1928.

30. Green W illiam, 54 ans, palefrenier, 22, rue d’Aumale, décédé le 31 mai à Levallois-Perret.

MLLE B. JAM OTChirurgien-Dentiste

de la Faculté de Médecine de P arisinforme la clientèle que son Cabinet sera ouvert tous les jours (sau f le Dimanche) de g heures à m id i , de 2 heures à 5 heures et su r rendez vous.

I N S T A L L A T I O N M O D E R N ET R A V A IL , S O IG N É

Place V ersepuy, C H A N T I L L Y600

C R É P YM. Coutart Joseph, ouvrier traceur à

l’usine Clair, vient d’obtenir la médaille de vermeil du Travail et M. Henrot, con­tremaître, la médaille d’argent. Nos féli­citations.

— La médaille de bronze de la Famille F rançaise vient d ’être accordée à Mme H enry Odent, née Marcelle Odent, qui a mis au monde cinq enfants.

— Nous lisons à la rubrique « Saint- Bandru » sous le titre Enlèvem ent d ’en- fant, les lignes suivantes dans l’Argus Sôissonnais ;

Le 1“ juillet dernier, M. Couvercelle, télégraphiste militaire à la 50° section de l’armée du Rhin, confiait à la garde de sa soeur, Mme veuve Bocquet, sa fil­lette Micheline, âgée de deux ans et de­mie, par suite du départ de sa femme avant abandonné le domicile conjugal.

Le 15 juillet, Mme Couvercelle se pré­senta chez sa belle-sœur, avec son père, M, Ablard, iardinier. route de Senlis, à Crépv-en-Valois, et un homme se disant être magistrat ê î evoij- le droit 4 a - m aiT d? fw a iM - 1

Après avoir pris Mme veuve Bocquetp ar tes bras, le pseudo-juge lu i m it un revolver sous le nez en lui c rian t : « Donnez-nous Ja petite, sans cela le fais feu ! »

Terrorisée, la pauvre femme rem it la petite Micheline, qui fut emmenée en au­tomobile p a r les trois personnages.

Mme veuve Bocquet a porté plainte à la gendarm erie, laquelle enquête et re­cherche le soi-disant m agistrat, qui ne serait qu’un employé des postes d’Indre- et-Loire, ami de la dame Couvercelle.

APREMONT

Le classement provisoire dans les con­cours publics de tir organisés par l ’Union Apremontoise, s’établit comme suit à ce jour ;

Lebel (armes et m unitions libres). —1. MM. Bonnet G., 133 p., 1UU fr.; 2. P r in ­ce H., 132 p., 75 fr.; 3. Blanchet P., 130 p ., 50 fr.; 4. Blondel, 128 p ., 40 fr .; 5. L e v a sse u r , 124 p . , 35 fr .; 0 . l ’o n th ie u x R., 120 p ., 30 fr .; 7. T a u p in J., 120 p ., 25 francs; 8. Moreau P., 117 p., 20 fr.; 9. B arré A., 115 p., un objet; 10. Blanchet Ë ., 167 p., un objet; 11. Cœurderoy, 104 p., un objet; 12. Tafin père, 101 p., un objet.

Carabine (arm es et m unitions libres». — 1. MM. Moreau P., 150 p., 75 fr.; 2. Cotterousse, 147 p., 60 fr.; 3. Bonnet G., 146 p., 50 fr.; 4. P rince R., 142 p., 40 fr.;5. Blondel, 141 p. 35 fr.; 6. Lecutier R.. 140 p., 30 fr.; T. B lanchet E., 140 p., 25francs; 8. Tafin fils, 138 p., 20 fr.; 9.D ruet C., 138 p., 20 fr.; 10. Lecutier G., 134 p., un objet; 11. Barré A., 132 p., unobjet; 12. Tafin père, 132 p., un objet;13. Carton, 128 p., un objet; 14. Jacotin B., 127 p., un objet; 15. Taupin J., 125 p., un objet.

Le stand sera ouvert aux am ateurs de t i r les 12, 15, 19 et 26 août, de 14 à 18 heures, et spécialem ent les 19 et 26 août, de 9 à V11 heures du m atin.

A VILL Y-SAINT-LEONARD

A l’occasion du m ariage Crépin-tPon- cel, une quête faite au profit du Bureau de Bienfaisance a p roduit la somme de 35 francs.

Le Maire renouvelle ses rem ercîm ents aux généreux donateurs et ses meilleurs vœux de bonheur aux jeunes époux.

SELLE-EGLISEM. Le Morvan Philippe, ouvrier fon­

deur aux établissem ents E. Louyot, vient d’obtenir la m édaille d’argent du travail.

— La médaille d ’o r de la Famifie F rançaise vient d’être décernée à Mme Lemaire H enri, née H ardiviiler Virginie, qui a m is au monde 10 enfants.

BETHISY-SAINT-MARTIN

Tournoi de sixte. — Le temps a bien voulu se m ontrer favorable dim anche dernier et donner aux organisateurs du tournoi de sixte, le fru it de la peine qu ils s étaient imposée pour la réussite ae cette belle fête sportive. En effet, le public était venu nombreux, au stade Blondeau, assister aux différentes épreu­ves du tournoi où se trouvaient engagées de fortes et réputées équipes. Le jeu a ete mené loyalem ent, sans à-coups et les am ateurs de sport ont pu adm irer la va­leu r et la ténacité des équipiers. L ’équipe de l’A. S. de Saint-Sauveur de 2* série a été la gagnante du bel objet d’art et 1 équipe de Margny 3* série, s’est assuré la seconde place. Nous tenons à féliciter les joueurs et la Commission sportive de la corection et de la bonne cam araderie qui n ’ont cessé de régner pendant tout le tournoi.

Malheureusement, un grave accident est venu assom brir cette dém onstration sportive, d a n s le courant de l'après- m iai. Au cours d ’un m atch avec l'équipe de Margny, le joueur Ménérat de l’Ami- cale de Bethisy-Saint-Pierre a eu la jam ­be cassée et le jeu a dû être arrêté pour reprendre quiqus moments plus tard . Le docteur Hazard, appelé aussitôt, a donné les prem iers soins au blessé et l ’a fait tran sp o rte r au domicile de ses parents.

De ce regrettable accident doit se dé­gager la solidarité sportive intercom m u­nale et nous ne doutons pas et nous en avons le ferme espoir que les Clubs vont se concerter pour ouvrir une souscrip­tion en faveur du jeune Ménerat, victime de son dévouement sportif. Les am ateurs du foot-ball sont trop enclins à se sou­tenir et s’en tr’aider pour qu’il n ’en soit pas ainsi.

Souhaitons au jeune M énérat un prom pt rétablissem ent pour revenir bientôt p rendre sa place auprès de ses cam arades de jeu.

— La clôture de Tannée scolaire a donné lieu, la semaine dernière, à une petite fête intim e, où se dégageait, pour notre jeunesse, le désir de poursuivre et de m ettre à profit, les bons enseigne­ments donnés à l ’école. Aussi, les élèves un élan du cœ ur, à venir exprim er à de l ’école communale avaient tenu, dans leur dévoué m aître, M. Balny, toute la reconnaissance qu’ils lui devaient pour les bonnes leçons reçues et les soins at­tentifs donnés au cours de Tannée écou­lée; les bras chargés de fleurs e t entou-

a j leurs familles, ils s’étaient grou­pés dans la cour de la M airie et quand M. Balny parut, le jeune André Thuilier, lauréat du certificat d ’études, se faisant 1 in terprète de tous ses cam arades, p ro ­nonça le discours suivant :

« Bien cher Maître,« Vous nous voyez aujourd’hui tout à

la joie. Oui, nous sommes heureux de pouvoir vous exprim er nos sentim ents d affection et de reconnaissance.

« Merci, cher Maître, m erci du fond du cœ ur de tout ce que vous avez fait pour notre instruction et pour notre éduca­tion. Nous n’avons pas toujours répondu à ce que vous demandiez de nous, mais nous vous prom ettons qu’à l’avenir, nous » ferons tous nos efforts pour m ettre en • pratique vos excellentes leçons, vos sa­ges conseils et devenir de bons, d ’hon- netes enfants. Nous vous souhaitons de bonnes vacances, Cher Maître et nous vous prions d’accepter ce m odeste ca­deau comme témoignage de notre atta­chem ent et de notre gratitude.

« Vos élèves qui vous aiment. »<M. Balny, très ému, rem ercie le jeune

I huilier, des vœux qu’il avait formulés e t assura les élèves et leurs familles, <pi ils trouveraien t toujours auprès de lui, l ’aide m orale et l’assistance qu’ils pourraien t avoir besoin.

Les élèves se séparèren t ensuite, se souhaitant des vacances favorables et se donnant rendez-vous pour les prem iers jo u rs d ’o c to b r e .

Lsorges Lézier, adjoint, présidaiten 1 absence de M. Cossin, maire empo­ché, M. Troncin, conseiller d’arrondisse­ment et Mme, M. Thirion, délégué Can­tonal et Mme, M. Gauthier, conseiller municipal assistaient à celte fête sco­laire. M. le Maire, appelé à son grand regret à la même heure à une réunion à Senlis, s’était fait excuser, ainsi que M. le comte de Valon, MM. Champouilon, Houlet, Frelet, conseillers municipaux.

M. Lézier adressa aux enfants d’excel­lents conseils et à leurs maîtres d’aima­bles paroles de remerciements, puis eut lieu la distribution de récompenses, con­sistant en de nombreux livrets de Caisse d’Epargne offerts par la Commune, par M. Cossin, M. Georges Lézier, M. et Mine Troncin, M. Thirion, M. le comte de Va­lon, M. et Mme Champouillon, MM. Hou­let, Gauthier, Frelet.

Les enfants chantèrent gentiment, puis une fillette rem ercia avec émotion les personnes présentes et les généreux do­nateurs qui porten t un si vif intérêt à l’instruction des enfants de Chaînant, en particu lier M. le com te et Mme la com­tesse de Balincourt.

COYE-LA-FORET

Médailles d’honneur du travail. —Parmi les personnes qui viennent d’ob­tenir la médaille en argent du travail, nous sommes heureux de relever ;

M. Bauval, ouvrier polisseur.M. François, ouvrier mécanicien.Mme François, comptable.Mme veuve Guibert, ouvrière trieuse.M. Lesur, ouvrier outilleur.Mme veuve Mazille, ouvrière Bouton­

nière.M. Mirville, ouvrier polisseur-tailleur.Mlle Ratier, ouvrière trieuse.Mme veuve Théroine, ouvrière trieuse.M. Vlgnon, ex-découpeur,Enfin, ont obtenu la médaille d'hon­

neur en vermeil :Mme veuve Guibert, ouvrière trieuse.(M- Vignon, découpeur.Toutes ces personnes sont employées

dans la maison Canuet frères, à Coye.Nous leur adressons nos félicitations.

GREU.

Légion d ’honneur. M. Troendlé, in­dustriel, inspecteur départem ental de Renseignement technique de l ’Oise, est nommé chevalier de la Légion d’hon­neur.

Médaille d ’honneur du travail. — Ont obtenu la médaille en argent du travail :

M. Coeytaux, chef traceur aux établis­sements Daydé.

M. Desains Maurice, chef magasinier aux mêmes établissements.

FONTAINE-CHAALI8

(M. Albert Guillaume, artiste peintre, maire de Fontaine-Chaâlis, est promu of­ficier de la Légion d’honneur au titre du Ministère de l ’Instruction Publique et des Beaux-Arts.

Nous lui adressons nos compliments.

GOUVIEUX

La médaille d’argent de la Famille Française vient d’être décernée à Mme Descroix Alphonse, née Harant Marit- Jeanne, qui a mis au monde 9 enfants.

LAGNY-LE-8EC

M. Gustave Boisseau et Mme, née Le- cerf, sont heureux de faire part de Ja naissance de leur fille Nicole. Paris, 28 juillet.

MAROLLE8

Médaille de la Famille Française. — Médaille d’or ;

'Mme B o u r g e o is G a b r ie lle , n é e M érieo Eugénie, 10 enfants.

Mme Coignet Pierre, née Caliret Ma­rie, 13 enfants.

M édaille d ’argent :Mme Remont Emile, née François

Georgette, 8 enfants.Médaille de bronze :(Mme BaiUeul Eugène, née Sarlièvre

Adeline, 6 enfants.Mme Boucher Jules, née Rousseau

Louise, 6 enfants.Mme Denhez Aimable, née Martin Clo-

tiide, 5 enfants.Mme Georges Jules, née Tatin Lucie.

6 enfants.Mme Goyard François, née Labonne

Julie, 5 enfants.Mme Lefort Albert, née Dollé Marie

7 enfants.Mme Lesne Maurice, née Pérthuisot

Augustine, 6 enfants.(Mme Liévaux Ferdinand, née Boucher

Julie, 6 enfants.Mme Morlet Etienne, née Villageon

Marie, 5 enfants.Mme Penot Jules, née Garnaud Amé­

lie, 6 enfants.

MONTATAIRE

La médaille d’or de la Famille Fran­çaise vient d’être accordée à Mme Atison rrançois, née Bazin, qui a mis au monde 10 enfants.

M* Vanderbecken, ouvrier trieur à la Société d e s é ta b lis se m e n ts R iv ie r r e , vient d’obtenir la médaille d’honneur en argent du travail.

NANTEUIL-LE-HAUDOUIN

La Société d’histoire et d’archéologie de Senlis, sous la conduite de M. Maçon, 7?. dls.Hngué conservateur du musée de Chantilly, a visité Nanteuil-le-Haudouin.

Après avoir reçu de M. et Mme Paul Vantroys un très aimable accueil, les membres de la Société archéologique, qui comprenait notamment le baron de Mari- court, Mlle Mancheron, le colonel et Mme I oirée, M. Arthur Lecourt, se rendirent sur les lieux de l ’ancien château, dont le corps principal de bâtiment fut complè­tement détruit à l’époque de la Révolu-î; ° Æ : s â du

Les membres de la Société d’archéolo­gie visitèrent successivement une partie des souterrains de la vieille résidence seigneuriale, tous les communs, princi­palement les écuries et « la boulangerievhiLn DS >’ Puis les deux H id e u x pa- villons en briques et pierres de taillede Sch«mK°US u nri par le maréchalde Schomberg; ils parcoururent ensuite

ancien parc du château aux ormes sé­culaires, le jardin

BETH ISY -SA IN T -PIE R R E

La médaille d’argent de la Famille Française vient d’être donée à Mme Le- gros Nicolas, née Choron Marie, qui a mis au monde 8 enfants.

BORAN

La médaille d’honneur du Ministère des Travaux Publics a été décernée à M. Albert Croiseaux, éclusier chef à Bo- ran, 34 ans de services.

CHAMANT

Le mardi 31 juillet, à 15 heures, a eu lieu la distribution des récompenses aux enfants des écoles de Chamant, dans la salle de classe de l’école des filles, toute parée de fleurs et de verdure» per le soin des granité* ilêvim.

re, dont le portail et les deux tours qui 1 encadrent, par suite de leur intérêt ar-cnitectural, sont _ classés m onum ent bis» to r iq u e . U n s o le il tro p a r d e n t e m p ê c h a m a lh e u r e u se m e n t le s v is ite u r s de se ren -

* i«o^haP elle des ôterais, propriété avant 1789 des m o in e s de l ’Abbaye de Juilly.

Chacun emporta le meilleur souvenir de cette journée qui lui fit apprécier le passé de Nanteuil-le-Haudouin, jadis une des principales localités du Valois.

NOGENT-8UR-OI8E

Médaille d’honneur en argent du Tra- Aubigny ouvrier cloutier aux

établissements Rivière.M. Jarrot, ouvrier cloutier âux mêmes

établissements.M. Magnin, ouvrier cloutier aux mê­

mes établissements.— La médaille d’argent de la Famille

Française vient d’être accordée â Mmei to rt Fée Chamt>#tafi <pn »

Page 3: Année. - IT 93. T.ÎT, NUMERO VTN'ÔT CENTIMES LE …bmsenlis.com/data/pdf/js/1927-1928/bms_js_1928_08_12_MRC.pdf · titre d’un article sur mon journal... Dame, ... de 150.000

PLAILLYUn cam briolage a été commis le "8 août

dans la soirée cher M. Boisseau, m aire de Chennevières, domicilié, 6 6 , rue St- Lazare, à Paris.

E n l'absence de M. Boisseau on ignore le m ontant du vol.

La chasse la nuit. — Les gendarmes fie Senlis ont surpris p rès de la gare de Survilliers, où ils descendaient de la voitnre de M. Balavoine, de Plailly. trois Individus dont l’un à réussi à s’enfuir.

Ces individus transportaien t de nom­breux lapins de garenne qu’ils avaient p ris au filet dit « Panneau » sur la plaine de Plailly. y

Le m atériel com prenant notamment 4()0 mètres de filet, le gibier ont été sai- sis, et procès-verbnl a été dressé contre Marcel CocTiegrue, 30 ans, chaudronnier rt Baptiste T.e Louft, OB ans, îo-urnalier,toits «leux dem eurant à Saint-Dénis.

Les lapins de garenne ont été rem is à l’Hôpital Général de Senlis.

PONT-SAINTE-MAXENCE

Etat civil du m ois de juillet 1928 Naissances

t " . Romoli Christiane, 27, quai de la Pêcherie. f

4. Le Pon Chiistiane-Odette, 11, rue de la Pêcherie.

4. Buta Joséphine, route de Liancourt, Cité Céramique, n® 7.

10. Grünenw ald Robert-Charles, 24, rue de M imbertin.

2 1 . C ipriani Jeannine, 4, avenue de Senlis.

Publications de mariage6 . E n tre M. Ollivier Yves-Vineent, pro­

fesseur à Pont et Mlle Ponet Henriette- Marie-Louise, sans profession, à Noyon.

20. E n tre M. D utordoir François, chauffeur à P ont et Mme Anicrue Azèlie- Marie, m anouvrière à Alfortville (Seine).

Mariage*28. M. Ozanne Joseph-Marcel, soudeur

autogène et Mlle Boursier Jeannine-Hé- lènc, m anouvrière, tous deux à Pont.

Décès11. Mme Lemaire Victoire-Joséphine-

Adèle, veuve Mouchv, 88 ans. sans p ro ­fession, dom iciliée à Verberie, décédée rue du Chemin-de-la-Chapelle-St-Jean.

17. M. Descauchereux Charles-Savi- men-Amand. 71 ans, jard inier, route de Liancourt. Cité Céramique, n ” 21.

26. M. Rousseaux Eugène, 6 6 ans, tus- nouvrier, rue du Chemin-de-la-Chapelle- Saint-Jean.

VARINFROY

M. Quintin, contrem aître dans la mai­son veuve A. Chèrin, vient d’obtenir la médaille d ’honheur en argent du Travail.

VERBERIELa médaille d’honneur du Ministères

des Travaux Publics a été décernée à MM. Augustin Plateaux, éclusier chef barragiste, 40 ans de services et Louis Nicq, éclusier, 32 ans de services.

— M. Ferrez Antoine, capitaine de re­m orqueur à la Société générale de touage et de remorquage, à Verberie, vient d ’ob­ten ir la médaille d ’honneur en argent du Travail. )

F

CHARMANTE SOIREE N o u v e lle

Ce soir là, Greluchon, surnommé Olon-E>ié, et ses compagnons, réunis sous ’égide de Saint Antoine, connurent le

bonheur; Rassemblés pour recevoir di­gnement Papavassalopoulo, Mammamou- chi de prem ière classe, ils eurent l’heu­reuse fortune d’ouïr une im provisation de ce bonhomme si bien appointé.

Nous disons l’heureuse fortune, car Tien n’est plias rare, mais aussi rien n’est plus beau qué les accents d’éloquence de Papavassalopoulo Mammamouehi de p re ­m ière classe, aussi bien Greluchon sur­nommé Olonpié, et ses compagnons en furent-ils ravis jusqu’à la quatrièm e in ­ternationale.

Rien n’échappa à l ’orateur, aucun des problèmes universels, pas même les évè- nements de Chine, ni la x^rise des cap i­tales de ce m»]heurenx pays : Pékin,Canton, Kong, etc.

Toutefois comme Papavassalopoulo, Mammamouehi de prem ière classe, était venu non seulement pour parler, mais aussi pour agir, il tira de son bagage le blason de sa maison : une vieille poêle à m arrons, et sur cet antique emblème fit^ p rê te r à tous le serm ent solennel d’éoraser la réaction. Greluchon, sur­nommé Olonpié ayant voulu exam iner cet objet de plus près, en rev in t le nez tout brouillé._ Un feu d’artifice de cave fut ensuite

tiré et les honneurs du bouchon faits à Greluchon surnom m é Olonpié, qui trou ­va l’addition un peu salée.

La note comique fut fournie par un grand rum inant qui rum inait et s’écria soudain après la narration des événe­m ents de Chine : Ah ! oui, sale Példn ! Canton et Kong.... c’est pour longtemps !

Form ule juste hélas, et aisém ent véri­fiable.

Avant de p rendre congé, Panavassa- lopoula Mammamouehi de prem ière clas­se, voulut form uler un souhait et dit gra­vement à Greluchon surnommé Olonpié : Que ton cocotier produise toujours de grandes noix.

Enfin il se passa quelque chose de burlesque : la séance étant term inée, Papavassalopoulo Mammamouehi de p re­mière _ classe et Greluchon surnommé Olonpié, d istribuèren t de vigoureuses poignées de m ains aux assistants qui fi­rent trois fois le tour du b illard en chan­tant sur P air de : « Au p ’tit tro t », cerefrain bachique :

Ah ! serrons, serrons, serrons Ah ! serrons, serrons les fesses Ah ! serrons, serrons, serrons Ah serrons-les, nom de nom.

E t là-dessus, chacun s’en fut.B e n- .4 t .se .

VILLERS-SAINT-PAUL

La m édaille d’argent de la Fam ille F rançaise vient d ’être décernée à Mme D rouart Césaire, née Pyck Marie, qui a mis au monde 8 enfants.

VINEUIL-SAINT-FIRMIN

Etat c iv il du deuxièm e trim estre 1928 Naissances

25 avril. Devillers Ginette-Hélène.28. mai. Joly Georges-Léon-Henri.2 juin. Coutureaux Odette-Marcelle.7. Grégeois Marcel-Georges-Victor.

â . R e n a u d O d U e - M a r i a - A n n e t t e - L é o a e .11. Hanus Marguerite.

Publications de mariage11 avril. Dublanchy Jean et Gaydier

Marie-iG abri elle.23 mai. Ayot Georges-Henri-Clément

et Lechevallier HenriettP-Hélène-Marie.29. Montaient Roger-Geetrges et Aubin

Héloïse-Alphonsine.Mariages ;

7 avril. Duyck Charles-Louis-Gentiel. domicilié à Saint-Firmin et Thibault Y vonne-Louise-Angèle.

12 mai. Naquin Danton-Kléber, domi­cilié à Avilly-Saint-Léonard et Loiseau Alice-Yvonne, domiciliée à Vineuil.

15. Bohn François-Xavier, et Wach Marie-Oaroline, tous deux domiciliés a Vineuil.

11 ju in . C la ie H en r i -R o b er t , d o m ic i l i é â C ra m o isy e t D e sc a m p s M arguerite-G a- b r ie l le , d o m ic il ié e à V liie u il-S t-F ir m in .

Décès7 avril. Bidaut HéièneJIsabelle, veuve'

Borlay, 77 ans. /21. Charpentier Constance-Maria, veiF

ve Sallis, 83 ans.20 mai. Georgeot Marie-Joséphine,

veuve Guillier, 73 ans.,5 juin. Reignier André-Jean, 3 ans.6. Hoehemann Marie-Julie, veuve Sivet,

74 ans.12. Blanchet Maria-Adolphie, veuve

Mairesse, 74 ans.24. Bardy Catherine-Henriette, 84 ans.

LES LIVRES

lie Carnaval d’étép a r Germaine AGREMANT

M“' G erm aine A crem anJ, l ’au teu r a u jo u rd ’hu i célèbre de Ces Darnes a u x C hapeaux verts et de Gai ! M arions- nous ! publie u n nouveau rom an : Le Carnaval d ’Eté, qui est follem ent a m u sa n t et peu t être m is dan s toutes les m ain s . Nous som m es h eu reu x de pu b lie r l ’ex tra it c i-jo in t, qui m ontre les im pressio n s de dém én ag em en t de M. V an Cottebeke, un com m erçan t de D unkerque, venu se re tire r à Cassei.

U ne cu rieuse im pressio n que M. Van Cottebeke n ’oub lie ra ja m a is , c ’est celle q u ’il a ressen tie en voyant, su r le tro t­toir, la table de sa salle à m an g er, q u ’on a lla it h isse r d an s u n fourgon po rtan t cette in sc rip tio n : « J e su is cap iton ­né. » 11 était h ab itu é à voir ce m euble d ans un certa in cadre. Il ne le conce­vait p as au trem en t. P o u r un peu il ne l’eû t p a s reconnu .

Comme, en que lques m inu tes, p a r le vent, la tab le ava it été recouverte de poussière, un g am in , du bout de son doigt, avait écrit su r elle : « M ort aux vaches ! »

P a r re sp ec t po u r l ’autorité ' au tan t que p a r am o u r de la p ropreté , M. Van Cottebeke ava it fa it un tam pon d ’un des p an s de sa jaque tte . Il v enait d ’e f­

facer la p h ra se redou tab le q u an d saa; ne h; dit ; n

nrn7h?Ji_ i 'es‘ tu a ssis , Boni face ? A p- Pn f ^ u r clue Je frotte !...

avppt; 6 ! n a tu re l ! U n p assan t nonPhonnnlm p o u rtan t pu croire que t r i b u t 6 j'O m nierçant, m em b re du lem m c Com m erce, recevait de sa

(lCsoMisUs a n t0rreCtl0n’ C° m m ° UH g° SSem en t1 m 's?!! VRnb’ •' A un certa in m o- (■herrh^' Cottebeke avait en vain a v a e n f r es dérp én ag eu rs . Ceux-ci l’e s t w d ,lsPa ru - Ou é ta ien t-ils ? A « ru ièv re1 V° 1Sm où ils b «vaien t du

— .N ous avions une de ces soifs ! vaien t-ils ex p liq u er ensu ite .

. B o n i f a c e d é s i r a i t les vo ie p o u r l e u r Vj-igtiMlor d e u x fie s e s c a i s s e s , q u i é t a i e n tI '•'l'eu p rès sem blab les :

f F aites bien a tten tion , je vous en p rie , aux in scrip tions qui les d in tin - guent. C’est m a fille qu i les a réd igées et collées. S u r la p rem ière vous lirez ; Vaisselle cassée... A m a n ip u le r douce­ment. Sur la seconde : Faïences a n ­ciennes... Très fragiles.

Les dém énageurs avaien t répondu :— Soyez tranqu ille , m o n sieu r V an

Cottebeke. On a u ra l ’œil !...Hélas ! tro is fois hélas ! le d ram e

m enaçait.Les d ém énageurs étaient de b raves

gens, m ais ils a im aien t rire. L ’in sc r ip ­tion : Vaisselle cassée les am u sa . Ils p rire n t la caisse dont il s’ag issa it, et s’av isèren t de lui d o n n er des leçons de gigue. Chaque fois q u ’elle exhala it un soup ir dp c ris ta l ou de faïence, ils s esclaffaient. P a r contre, avec a u ta n t de soins q u ’ils eu ssen t m an ié un pou­pon, ils avaien t tran sp o rté le colis dé­signé : Faïences anciennes.' Avec son étourderie hab itue lle , Lucie

s’était seu lem en t trom pée de caisse jtour ses inscrip tions.. Q uand, à,_ Cassel, son père ava it p ro ­cédé au déballage, la ca tastro p h e lu i f ait a p p a ru e dan s toute son h o rreu r, fu rieux , il ava it o rdonné q u ’on je tâ t A s d éb ris pitoyables.

sau c iè re s , p la ts, vases, assie ttes, qui tolériez d ’être éclopés, p arce que l ’es­poir vous sou tenait de rep ren d re un jour votre p lace dan s le m onde, vous ne ressusciterez p as. Vous êtes m orts à j aurais !

Si encore il n ’y avait eu que ces désastres ! M ais deux cha ises on t eu leur siège éventré. U n fau teu il a perdu l’un de ses q u a tre p ieds. Le p iano ne roule p lus que su r tro is rou lettes. Les bouteilles de « g ra n d o rd in a ire », em ­ballées p leines, son t a rriv ées vides. Deux p e in tu res san s valeu r, re p ré se n ­tan t, la p rem ière l’a rr iè re -g ra n d -p è re de M. V an C ottebeke et la seconde sa g ra n d ’tan te , sont en foncées. P au v res ancêtres ! Le g ra n d -p è re a l ’œil crevé. La g ra n d ’tan te a u n trou d an s la bou­che.

Com m e Lucie s ’a m u sa it à je te r de­dans des petits cailloux, sa mère lui a dit sévèrem ent :

— Je te défends de jo u e r à la g re ­nouille avec tes a ïe u x . ,

G erm aine A cremant.

A . G H A . A . L I S(Poésies Valoises)

par Em ile V1TTA Un volume in -i6 ■— P r ix 5 francs

Ce recueil évoque tou t le passé de Chaûlis, passé gracieux et p u r , romanesque et c ha r­mant, en des distiques de la plus délicate fantaisie et de la simplicité la plus exquise, l l s so n t di«nes d ’être placés sous l’invocation du Tasse et de G érard de Nerval.

Kdniond Esrsvr.Professeur à la Sorbonnc

C ’est avec un très vif plaisir que j’ai lu ces charm ants poèmes chaâlisiens. J ’ai écouté leur chan t et ils ont fait passer devant moi de nobles ombres !

Henride R é g n i e r de l’Académie F rançaise

“ A Chaâlis ” est un v itrail radieux, Émile V itta , tout tranquillem ent, très discrètement, est en t r a in de gagner nos coeurs.

Edmond P ixon A u teur des Belles Vallées de l’Ile-de-France

Albert M RSSF.IN , 19, Quai Saint- Michel, P A R IS V»

Les guides Fiscaux ?

M. F. Im brecq qui, au cours de l’année 1927, a fa it p ara ître toute une série de Traités des plus appréciés isur les Impôts sur les revenus, vient de condenser dans une petite « Collection de Guides fis­caux » les règles de la législation con­cernant les mêmes im pôts telle qu’&lle est appliquée. Malgré leur p rix infime et leur istyle très simple, ces guides sont cependant rédigés des plus sérieusement. Ils m ettent à la portée de tous les rensei­gnements que l’on ne trouvait jusqu’ici que dans des volumes compacts et ina­bordables aussi bien p ar leur prix que p ar leur rédaction, et constituent vérita­blement le guide tan t réclam é des contri­buables.

E n vente dans les kiosques, gares, chez les dépositaires de journaux. — L’im pôt sur les bénéfices comm erciaux : 2 fr. — L’im pôt sur les bénéfices non commerciaux : 1 fr. —- L’im pôt sur les bénéfices agricoles : 2 fr. — L’im pôt sur les traitem ents, salaires et rentes : 1 fr.— L’im pôt général su r le revenu : 2 fr.— P a r poste contre leur m ontant adressé à la L ibrairie Fiscale, 7, rue Berthollet, P aris (i5*). (Ohèq. post. 873-73).

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ANNONCES JUDICIAIRES |A*w. 1«

Etudes de M« G eorges MORANDavoué à Senlis

et de M» R o b e rt BOILET, notaire à Pont-Sainte-Maxence.

VENTE SUR LICITATION |DE

U N E MAISONà usage Mtatlon bourgeoise

sise à PONT - SAINTE - MAXENOErue Boutroy, n° 3

p lus am plem ent désignée ci-après

L’adjudication aura lieu le Ven­d re d i 3 1 Août 1 0 2 8 , à quatorze heures, en l’Etude et par le minis­tère de M* Robert BOILET, no­taire à P o n t-S a in te -M ax en ce , commis à cet effet.

En exécution d’un jugement rendu sur requête par le Tribunal civil de l’Oise, section de Com- piègne, le huit août 1928.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

i*“‘ Monsieur Alexandre-Joseph- Théodore M ancheron, proprié­taire, agriculteur, dem eurant à la Ferme de Montvinet, commune de Pontpoint (Oise! ; 2'ti* Madame Marthe-Joséphine-Adèle Manche­ron, épouse assistée et autorisée de M onsieur Ernest-Victor-Henri B lo t, propriétaire , agriculteur, avec lequel elle demeure à Rhuis (Oise) ; S'”* Monsieur Louis- Ed­mond Mancheron, propriétaire, agriculteur, dem eurant à Erquin- villers (Oise) ; 4"u Madame Cio- tilde-A line Mancheron, épouse assistée et autorisée de Monsieur Edouard - Jean - Baptiste D arras, propriétaire, agriculteur, avecle- q ie le lle demeure à Villers-Saint- Frambourg (Oise); 5**‘ Monsieur P ie rre - Jules - Edmond Prévost agriculteur, demeurant à Taifie- fontaine (Aisne); 6 ,Et Monsieur A ndré-M aurice-H enri Prévost agriculteur, demeurant à Taille fontaine (Aisne); 7»« Monsieur Maurice Prévost, propriétaire, agriculteur, dem eurant à Taille- fontaine (Aisne), veuf en premiè res noces de Madame Adèle-Eli sabeth Mancheron, et en deuxiè mes noces de Madame Margue- riie-M arie Manch ron « agissant « au nom et comme tuteur naturel* et légal de ses enfants mineurs « ci-après nommés : 1» Mademoi- « selle Marie-Aline-Clotilde Pré « vost ; 2“ Mademoiselle Marie- « Thérèse Prévost ; 3° Mademoi- < selle Marie-Madeleine Prévost « 4* M onsieur M a u r ice -F ra n ço is - « Edmond Prévost; 5° et Monsieur* François-Victor-Edraond-Joseph «t Prévost; » 8 '«‘ et Mademoiselle M arie-Caroline-Jeanne Manche­ron, sans profession, en religion Madame Mère Mancheron, de l’ordre du Sacré-Coeur, demeurant à Bordeaux, rue de la T résorerie n® 60;

Poursuivants la venteAyant

MorandEn présence ou lui dûment

pelé de :Monsieur Alexandre - Joseph -

Théodore M ancheron, proprié­ta ire , agriculteur, dem eurant à la Ferme de Montvinet, commune de Pontpoint, « agissant au nom « et comme subrogé-tuteur des « mineurs Prévost, sus nommés 0

Il sera, le Vendredi trente et

en l’Etude et par le ministère de M<* Robert Boilet, notaire à Pont- Sainte-Maxence , commis à cet effet, procédé à la vente sur lici­tation, aux enchères publiques, au plus offrant et dernier enché­risseur, à l’extinction des feux, de l’immeuble dont la désignation suit :

DÉSIGNATIONET

M ISE A P R I XDE L’IMMEUBLE A VENDRE

Une Maison à usage d’habitation bourgeoise, sise à Pont-Sainte- Maxence, en la rue Boutroy (an- ciennem entappeléeruedes Lions) portant le n® 3, consistant en plu­sieurs corps d’habitation et autres bâtiments, cour au milieu ; l’en­semble est porté au cadastre sec­tion B, n0 ,416 partie, 417 et 420 partie, pour une contenance de sept ares trois centiares, et tient d’un côté du levant à plusieurs maisons ayant leur façade sur la rue Charles-Lescot (dénommée anciennement rue de la Ville) d’autre côté du couchant à un passage commun prenant nais­sance à la rue Boutroy (sur lequel existe une porte de sortie) par devant du nord à la rue Boutroy, et par derrière à M. Delamarre et autres.

Mise à prix : 3 8 .0 0 0 fr.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M* Boilet, notaire à Pont-Sainte-Maxence, et déposé en son Etude, où toute personne peut en prendre connais­sance, l ’immeuble ci-dessus dési­gné sera mis en vente sur la mise à prix sus-énoncée, fixée par le jugem ent précité.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné.

A Senlis, le 9 août 1928.(Signé) MOR VND.

Et enregistré.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A Me G eorges M orand, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

Et à Me R o b ert Boilet, notaire à Pont Sainte-Maxence. rédacteur et dépositaire du cahier des cbat- ges. 168

Art. 3

Etude de M* G eorges MORANDavoué à Senlis.

Séparation de CorpsD’un jugem ent rendu par le

Tribunal civil de l’Oise, section de Oompiègne. le neuf mai 1928, enregistré, entre Madame DAU- DRE Marcelle-Marie-Louise. épou­se de Monsieur BAVARD Félix- Léon, avec lequel elle demeure de droit, mais autorisée à résider et résidant, de fait à Rrégv (Oise), et Monsieur BAV ARD Félix-Léon négociant en grains et fourrages, demeurant à Chantilly, il appert : Que la séparation de corps a été prononcée d’entre les époux Ba vard-Daudré.

Pour extrait. ; (Signé) MORAND.

Et enregistré. 1695

Etude de M° LANGLOIS, notaire à Senlis.

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Libre de suite .

S’adresser pour tous renseigne­ments à Me L anglois. 1666

Art. 4.

SOCIÉTÉ ANONYMEDE LA

SUCRERIE AGRICOLEd© G o u s8 a in v i l le (S .-et O.)

Messieurs les Actionnaires de la Société Anonvme de la Sucrerie Agricole de Gottssainvifie (Seine- ot-Oise). sont informés que l’As- emhlÉe Oén4ralp aura lieu le

M ercredi 2 9 Août 1 9 2 8 , à dix heures et demie du m atin, b Terminus-Denain, 10, boulevard Denain, 4 Paris. 1704

it pour avoué M* Georges 1, dem eurant à Senlis.

ap-

Art. 2Etude de M® G eorges MORAND

avoué a Senlis.

E XTRAITprescrit par l’article 110

du Code civil

Le Tribunal civil de l’Oise, sec­tion de Compiègne, par jugem ent en date du quatorze décembre 1927 enregistré, rendu sur la requête de Madame OMER Ale- xandrine- Pauline - Gabrielle, de­meurant à Vineuil-Saint Firmin, veuve de Monsieur GUILLEMOT François, a donné acte à la dite dame de sa demande d’envoi en possession de la succession de Monsieur GUILLEMOT François, son mari marchand laitier, décédé à Vineuil-Saint-Firmin. le vingt- six octobre 19?7, sans laisser aucun héritier connu au degré successible et avant faire droit sur la dite demande, a prescnl l’exécution des formalités de publication voulues par la loi.

Pour extrait certifié conforme par l’avoué soussigné.

A Senlis, le neuf août 19?8.V'96 . (Signé) MORAND.

Btade de N* Mareel TOUCHAI»ooBtmiss&ire-prlsenr

de l'arrondisse ment de Senlis Téléphone 160

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Etude de M« Félix LOUAT, notaire à Senlis.

A vendre à l’amiable, une Mai­son B ourgeoise sise à Senlis, rue de Meaux, n» 14. S’adresser à M’ Louât.

Etude de M' DURAND, notaire à Pont-Sainte-Maxence.

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