ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!

Mars 2014 - n° 49 - www.lebonbon.fr

PARIS OUEST

Photographe!: Flavien Prioreauwww."avienprioreau.com "avienprioreau@hotmail.comModèle : Claire Chust

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PrésidentJacques de la ChaiseRédactrice en chef

Florine SouliéGraphiste

Gaëlle LepetitSecrétaire de rédaction

Louis HaeffnerStagiaire

Julia InvernizziRejoignez-nous

recrut@lebonbon.frContactez-nous

hello@lebonbon.fr01 48 78 15 64SAS Le Bonbon

12, rue Lamartine 75009 Paris

SIRET 510 580 301 00032Imprimé en France

Mes chers Bonbons,

Tous les ans, je me réjouis du mois de mars, car je sais qu’il est syno-nyme de l’arrivée du printemps. Tous les ans, je partage avec mes lec-teurs cette joie incontrôlable. Seulement voilà, l’un de vous, rencontré il y a quelques jours dans un salon de thé du 6e arrondissement, m’af-#rma se réjouir de la #n de l’hiver grâce à ces éditos devenu rituels. J’exultais déjà, ravie de voir ma bonne parole suivie avec autant d’assi-duité lorsqu’il en pro#ta pour me demander si je n’avais pas un «$petit problème$» avec les saisons, «$comme toutes les femmes$». Gloups. Après avoir bredouillé un « merci de nous lire, hein, très sympa, etc.$» je #lais illico presto en manquant de m’ébouillanter avec mon thé latte car, d’émotion, je n’avais pas remis le couvercle bien en position.Depuis, je médite sur cette réplique ô combien révélatrice de cette vision de la femme étrange que peuvent avoir certains (tous les$ ?) hommes. La femme est trop frileuse$? Non, elle a froid car tu as mal fermé la fenêtre. La femme est futile$? C’est vrai qu’en prenant 10 fois en photo sur ton iPhone ces chaussures absolument dingues, tu t’im-poses comme un vrai cérébral. La femme n’a pas d’humour$? Tu n’en as pas non plus, sauf si on considère que les blagues Carambar sont une référence en terme de drôlerie. La femme te fait subir ses humeurs hormonales$? Accouche une seule fois, et on en reparle.Bref, a#n de riposter à toutes ces injustices, je me suis dit que j’allais changer de disque$: désormais, l’édito du mois de mars sera réservé à la femme, journée du 8 mars oblige. Gros bisous à vous, mes petites Bonbonnes adorées. Non, je ne parlais pas de bonbonnes, sale phallocrate$!

Sophie Rosemont

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!Delaboss

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Reconstruire le réel est la nouvelle expo incontournable du Grand Palais. Le peintre Fernand Léger propose des asso-ciations d’objets déroutantes en jouant avec leur mise en espace. Presque 2000 œuvres seront exposées pour retracer 20 ans de travail. On vous conseille d’y aller soit tard, soit très tôt pour éviter la #le d'attente.

Pedro Winter et Cut Killer vont mettre le feu au YoYo. Pendant ce all night long, on aura le droit à du bon hip-hop couplé à de l’électro. De quoi passer une superbe nuit avec ces deux poids lourds français de la musique électronique. Et puis pour les fans du très connu label Ed Banger, c’est l'occasion de rendre hommage à notre cher Dj Mehdi qu’on n'oublie pas$!

Nous sommes un an après la chute des tours jumelles. La question est de savoir si un Palestinien peut encore traverser un aéroport sans être dévisagé. Laurent Fréchuret met en scène un homme qui va tenter l’expé-rience. Homme interprété par Mounir Margoum dans À portée de crachat. Bouleversant!!

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Paris Ouest

Photos DRJustine Knapp Communiqué

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C'est le genre de chef passionné qui vous emmène jusque dans la chambre froide pour vous expliquer la différence entre une carotte blanche et une carotte noire. Le genre à vous parler des heures du produit, d'un #let d'huile d'olive sur un morceau de saumon frais. Peter est un peintre culinaire, nourri aux allées des musées et diplômé en stylisme. C'est donc tout naturel-lement qu'il s'est tourné vers la gastronomie, où la créativité est maîtresse.

À l'hôtel Raphaël, la Terre de Truffes, le Port Alma ou encore au Ledoyen, triplement étoilé, «!il s'est formé dans certaines des plus grandes maisons!», pose sa sœur Murielle, son acolyte dans cette aventure gourmande. Dans ce restaurant gastronomique à la décoration épurée, on travaille en famille, comme en témoigne le nom de l'établissement, un hommage à leur grand-mère haïtienne. C'est en effet outre-Atlantique que le chef prend ses premières marques aux fourneaux, de façon instinctive. «!En Haïti, tout le monde cuisine, on a cette culture du goût!», précise-t-il. Une culture qu'il a su maîtriser et adapter à la gastronomie française.

Dans l'assiette, pas de bling-bling ni d'amas de sauce qui dénature le produit. Chaque coup de pin-ceau correspond à une saveur, une texture. Le saumon mariné, apposé à une mousseline de céleri, est relevé avec douceur par une huile de café. L'arôme rôti des langoustines se mêle au croquant des noisettes et à la

fraîcheur du fenouil, tandis que le magret de canard au poivre de Séchuan fond doucement en bouche. Le tout dressé avec minutie et goût. «!On envoie un tableau et on imagine l'interpré-tation du client.!»

Tout est cuit minute, avec une justesse inculquée grâce à l'un de ses mentors, Christian Rocher, avec qui il a partagé le plaisir de décrocher une étoile au guide Michelin. En cuisine, aucun livre de recettes ne jonche les étagères, les produits sont les seules muses du chef. Le menu midi à 25,50 euros, qui change tous les jours, est élaboré la veille au soir, voire le matin même. «!Je commande la viande, le poisson, mais on ne sait jamais ce qu'il va se passer. C'est quand je vois le produit que me vient l'inspi-ration.!» Dans le milieu, on dit qu'on sait reconnaître un chef à son assiette. Chez Delaboss, l'assiette est un chef d'œuvre.

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Jacques de la Chaise Texte Photo Charlotte Gerbelot

Vous êtes arrivée à Paris il y a près de 30 ans, et on a inéluc-tablement la sensation que vous êtes une authentique Parisienne. Est-ce un processus naturel selon vous!?

Je me suis très vite sentie chez moi à Paris. Cette ville a cette force de rassembler les personnes déracinées qui se reconstituent ici un univers fami-lial, amical. Et on a besoin de ce lien intime, de centres culturels, de restaurants, de cafés, que l'on s'approprie… des lieux où l'on se retrouve pour construire quelque chose. Paris est une ville où j'ai toujours voulu vivre, et encore aujourd'hui, même si je suis passée cent fois à un endroit, je ne m'en lasse jamais. Paris me fascine toujours autant.

Vous êtes toujours restée "dèle au 15ème arrondissement, pour-

quoi y être restée tant d'années!?

C'est le plus grand arrondis-sement de Paris et c'est ici qu'arrivent souvent celles et ceux qui débarquent, comme moi à l'époque. Au départ, j'étais venue y rejoindre ma sœur, et je me suis installée dans le 15e. J'y ai élevé mes enfants qui y ont fait leur scolarité… Je me suis fait des amis et comme toutes les Parisiennes, j'ai mon réseau de copines avec qui on se dépanne pour garder les enfants. Au #nal, j’ai eu une organisation de vie qui a fait que je n'ai jamais quitté le 15e. Et je ne m'en plains pas!! J'aime son parc Georges Bras-sens, la rue de Convention et ses commerçants, la médiathèque Marguerite Yourcenar ou la Petite Ceinture à présent ouverte à tous.

… un patrimoine précieux en

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effet!! Mais les Parisiens se détachent de plus en plus de la politique, alors comment les encourager à s'investir pour leur ville!?

Les citoyens ne mesurent pas forcément que la politique peut changer les choses, changer leur quotidien. Et ça je l'ai compris chemin faisant, grâce notamment à l'univers social dans lequel j'ai grandi. Ma famille, qui est une famille d'ouvriers espagnols immigrés, m'a appris la force et la puissance du réel. Et le réel ne se change pas comme ça. L'ac-tion politique locale, c'est le seul domaine où l'on peut à mon sens

agir et partager avec les citoyens. Quand on fait un compte-rendu de mandat, c'est concret, les habitants viennent nous voir directement, et nous engueulent si ça ne va pas!!

C'est donc vers la proximité qu'il faut se tourner pour fédérer les Parisiens!?

L'écoute des élus doit être sans cesse renouvelée. Aujourd'hui, les grandes métropoles dialo-guent, il y a une certaine compé-tition entre elles, une émulation. Paris doit continuer à évoluer, à se moderniser et à inventer, tout en respectant l'histoire et le

patrimoine de cette ville unique. Les Parisiens sont #ers de vivre dans une ville innovante, mais en même temps, ces innovations doivent être au service de leur vie quotidienne. Toute la clé de notre travail de proximité est là. Vélib' et Autolib' sont à l'image de cette aspiration!: ce sont des projets directement utiles aux Parisiens. La notion de partage a primé et je veux continuer en mettant en œuvre Scootlib', un service de scooters électriques en libre-service, par exemple. Je fais le pari aussi des start-up qui vont participer à inventer la ville de demain. Les Parisiens en seront les béné#ciaires.

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Dans l'histoire des reconversions, en voici une peu banale$: après son congé maternité, Marie-Caroline abandonne son poste de membre du cabinet du président du Sénat pour lancer sa marque. Ses soirées, elle ne les passe plus en réunion mais avec sa machine à coudre pour transformer les chemises de son mari en jolis doudous.

Le bonheur de cette jeune créa-trice$? Revisiter les classiques et les pièces intemporelles en y ajoutant des détails modernes et

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singuliers$: les serviettes d'invités se changent en trousses, la toile de Jouy et le Vichy deviennent tendance grâce à une petite touche "ashy, et les pièces de vieux centimes se métamorpho-sent en boutons de manchettes. Des mains de Marie-Caroline naissent des accessoires custo-misés, souvent personnalisables, uniques et transgénération-nels$:«$Je veux créer des produits qu'on se pique de mère en !lle tout en restant dans l'air du temps.$» Le Liberty et la nouvelle collection arrivent avec le prin-temps et l'atelier-boutique va se parer de lierre$!

On comprend mieux pourquoi la famille est la source d'inspira-

tion de la créatrice qui imagine et confectionne l'univers désiré pour les événements mémorables de la vie. Les futures mariées la consultent et ré"échissent ensemble au style de déco, à l'accessoirisation du cortège, mais aussi aux cadeaux person-nalisés pour l'enterrement de leur vie de jeune #lle. Les Bon-heurs inverse la tendance et rend l'accessoire indispensable. –

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Émilie et Justine, qui prodi-guent les soins, ont toutes deux béné#cié d’une formation à la photo-dépilation dé#nitive, encadrée par un dermatologue. Leur approche professionnelle et à l’écoute du client permet de cibler au plus près les besoins de chacun. Avant la première séance, elles proposent un diagnostic complet ainsi qu’un photo-test, a#n de déterminer le phototype de peau des clients et le protocole à suivre. La suite est simple$: une machine ultra-per-formante, de la marque Corpo-derm, va éliminer le poil grâce à la lumière pulsée. Au lieu d’être

décomposés, les "ashs$balayent l’ensemble de la zone à traiter, pour une meilleure ef#cacité. Les hommes et les femmes qui souhaitent faire appel à la photo-dépilation peuvent se ras-surer$: le traitement est rapide et indolore. Ce n’est pas tout$: UnlimitedEpil propose également des séances de photo-rajeu-nissement, à destination des peaux déshydratées, des peaux souffrant d’une perte de tonicité et d’imperfections. Des soins à base d’acide hyaluronique, des masques nano-cellulaires et la lumière pulsée sont autant de procédés qui vont permettre de réactiver le collagène et l’élastine pour un effet tenseur saisis-

sant, dès la première séance. Des crèmes et des sérums de la jolie marque Atache, avec qui la franchise a signé un partenariat exclusif, viennent compléter la gamme de soins. Si comme le nageur Frédéric Bousquet, égérie de la marque, vous voulez en #nir avec la corvée des épilations répétées, il ne vous reste plus qu’à prendre rendez-vous$! –

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Photo Robert AdamsFlorine Soulié Texte

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Les photographies en noir et blanc sont toutes de petit for-mat, comme pour instaurer un rapport privilégié et intime avec le spectateur. Prises entre 1960 et aujourd’hui, elles retracent le

parcours chronologique mais sur-tout géographique de ce photo-graphe mobile, à travers l’Ouest américain. Detroit, Los Angeles, le Colorado, l’Oregon, les plaines du Missouri$: la myriade de séries présentées au sein de cette exposition témoignent de la variété des paysages naturels, mais surtout de leur occupation par l’homme. En chroniqueur appliqué, Robert Adams observe les familles et leurs enfants dans des restaurants, des parkings ou bien, façon Hopper, à travers les fenêtres des maisons. Les loisirs, les habitations, les objets du quotidien forment le récit intime et cohérent de l’Ouest des États-Unis. D’autres séries, agrémentées des commentaires du photographe, déplorent la relation tragique qu’entretient l’homme avec la nature qui l’entoure. Le domaine de prédi-lection d’Adams$: des paysages suburbains qui mettent en lumière le con"it entre nature et culture. C’est dans ces banlieues

désertées pavées de détritus, ces cinémas de plein air sinistrés et ces routes condamnées que l’on prend la mesure de l’em-preinte laissée par l’homme, de sa folie bâtisseuse et destruc-trice. À l’instar des nombreux livres de Robert Adams, cette rétrospective forme un docu-mentaire brut et lucide du Far West, de sa géographie et de ses habitants, sans parti pris esthétique. D’une certaine façon, cet ancien professeur d’Anglais continue d’enseigner. Son lan-gage pictural sobre et économe révèle la complexité et les contradictions de notre société de consommation. Paradoxe du fond et de la forme que l’exposi-tion de ce photographe itinérant permet de mettre au jour, et qui délivre avec justesse un message humaniste.

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Colorado Springs, Colorado — 1968

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Ses débutsLa house m'a pris par surprise, une vraie révélation. J'ai com-mencé$mon apprentissage dans les bars miteux, les bars propres, des petits clubs, puis dans les gros, puis les clubs gay, pour #nalement me faire recruter un soir par David Guetta, pour l'accompagner dans l'aventure Bains Douches. Je viens de cette génération qui a connu le vinyle, avec la peur du disque qui saute, le plaisir de chiner la pièce rare, et la patho-logie chronique du collection-neur passionné. Une chance.$

Son Paris Paris, ça a été un choix, des expériences uniques, des ren-contres improbables,$des décep-tions, des ruptures sur les ponts,

puis #nalement une chance : une famille d'adoption.$Même si à mes débuts, Paris a été très souvent in#dèle ou ingrate avec moi, elle m'a #nalement apporté beaucoup.$Ce que je ressens ici, et ce que j'aime, c'est que tout est décuplé. L'amour, l'amitié, les rencontres : tout est plus fort. Paris, c'est le plus bel écrin du monde pour un passionné comme moi. Au-delà de tout, en tant qu'artiste, Paris m'a surtout permis d'exister.$$Ses adressesChez Colette pour le shopping, Le Café Marly pour boire un verre au soleil couchant, Le Georges pour sa terrasse, Chez Denise pour dîner à toute heure de la nuit, Le Café Ruc pour faire escale, L'Émile pour sa côte de

Camille Clance Texte Photo DR

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bœuf, au Numéro5 pour manger équilibré et sur le pouce, L'Hôtel Costes pour un cocktail feutré avant de bouger, le Silencio pour boire un verre ou mater un court-métrage en semaine dans un décor sublime, le Social Club pour découvrir des talents, et l'inaltérable Rex Club pour un clubbing sans risque.$

Son actuCôté musique depuis My Guitar il y a un an, je n'ai quasiment fait que des $remixes. Il y a Sympho-nia, un remix sorti chez Yellow en ce début d'année et à suivre il y aura : un remix de"Your Wish de Talisco (nouvel artiste Roy Music qui fait le buzz, ndlr), et pour #nir Shout, une version club du clas-

sique de Tears for Fears qui sor-tira sur 1996 Records, la division house du label Serial. L'album-compilation Chez Raspoutine, est lui toujours disponible.$

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Témoin de l’amour d’un certain Monsieur Loo pour son pays natal, la pagode ouverte au public accueille une belle collection d’art chinois. En 1902, le jeune chinois Ching-Tsai Loo vient à Paris pour suivre ses études. Passionné d’art et homme d’affaire éclairé, il devient antiquaire spécialisé dans l’art oriental, place de la Madeleine. Avant Loo, on ne connaissait que les «$ chinoiseries$ », ces bibelots étranges mis à la mode par les frères Goncourt. Grâce à lui, le Paris mondain découvre les fresques bouddhiques, la statuaire, les jades raf#nés. Aux Etats-Unis, il a pour client les Rockefeller, les Morgan, les Vanderbilt. Rien que ça. Loo forme le goût des puissants, et enrichit les plus grandes collections privées et publiques. En 1928, sa fortune est faite. Il décide alors d’acheter un hôtel particulier construit en 1880, de style clas-sique, pour y exercer son activité à quelques pas du Parc Monceau. L’architecte François Bloch est chargé de transformer ce bâtiment du XIXème siècle en une somptueuse pagode d’inspiration chinoise. L’hô-tel particulier est surélevé de deux étages, le toit est reconstruit, on installe des fenêtres ajourées, et le bâtiment est peint en rouge. La Cité Interdite n’a qu’à bien se tenir!! La construction s’achève en 1926, et suscite évidemment de nombreuses plaintes, et même une pétition du voisinage pour démolition. En vain. La «!Maison Loo!» est aujourd’hui toujours debout, et accueille depuis 2011 expositions et salons, dans un décor exceptionnel, sous la houlette de la baronne Jacqueline Von Hamerstein. Elle reste un lien culturel fort entre la France et la Chine, comme l’a souhaité son illustre fondateur.

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On a oublié un pâté de foie dans le frigo. Merci de nous le

renvoyer. Sejourning

Le couple gay libertin en redemande encore.

À ma Charlotte aux Fraises, à mon

Raph que rien n'arrête et à Vigus

sur sa planête volante…

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Mars nous attaque!!

Florine Soulié Texte Photo Ettore Marchica

L’idée est simple$: sur scène, cinq comédiens masqués participent à un cours de théâtre. L’origina-lité de ce spectacle, au-delà de la mise en abyme, tient au fait que les quatorze comédiens de la troupe se relaient par groupes de cinq pour offrir un cours unique et différent chaque soir. Dans le public, le professeur et metteur en scène Igor Mendjisky dirige la petite troupe d’une main de maître. Et il en faut de la

poigne pour dompter ces élèves turbulents$!

Autour de quelques thèmes que les «$aspirants comédiens$» présentent à tour de rôle, la troupe offre une belle prouesse théâtrale, à mi-chemin entre trame écrite et improvisation. Affublés de masques originaux – conçus par Etienne Cham-pion -, ou de nez de clown, les comédiens évoluent sur une scène sans décor. Leur jeu brut, sans prétention, renoue avec la fraîcheur et la fougue de la commedia dell’arte. Il faut dire que ces quatorze comédiens ont été à bonne école$: élèves au Conservatoire, ils ont appris l’art du masque auprès de Mario Gonsales et Christophe Patty, deux maîtres du genre.

Petit résumé du cours$auquel j’ai assisté, par un dimanche ensoleillé. Dans le désordre, j’ai vu une strip-teaseuse et un

boxeur réciter des haïkus, une standardiste sexy clamer du Shakespeare, un jeune homme timide et pataud se révéler sur une chanson de Brassens, un directeur de casting se livrer à une drolatique imitation d’Aymé Jacquet lors de la demi-#nale de la Coupe du monde de football, un cadavre exquis improvisé, composé de mots inspirés par un public hilare… Tout au long du spectacle, j’assiste à une succession de blagues, de situa-tions saugrenues, mais aussi de scènes poétiques et d’échanges complices avec le public. Le tout manque peut-être un peu de rythme, mais je reste séduite par l’étendue des jeux d’acteurs. À coup sûr, les petits comme les grands apprécieront ce spectacle clownesque et inclassable.

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En janvier dernier, maplantemonbonheur.fr vous permettait d’échanger votre sapin contre une jolie plante. Le mois dernier, c'est une expérience inédite qu'avait imaginée la marque, celle de passer une nuit dans un des hôtels parisiens les plus courus du moment, le Hidden Hotel, dans une suite totalement végétalisée. Robustes, généreuses, tropicales,

romantiques et bienfaisantes, les plantes kentia, scindapsus, hortensia et fougère ont contribué à une nuit reposante pour dix heureux élus.

Ce mois-ci, pour dormir sur ses deux oreilles, c'est l'hortensia qui délivre ses secrets. Des branches boisées, des feuilles vert foncé et des pétales de "eur en forme d’étoile, l'hortensia est la plante qui ouvre la voie au printemps. Le nom of#ciel d’Hydrangea signi#e « conteneur d’eau », rapport à la dose journalière importante dont il a besoin. Tout de rose poudré, il apporte une note tendre et doucement girly. En blanc, il souligne les lignes pures d’un intérieur sobre et chic et en bleu, il procure l’apaisement nécessaire à la rêverie. L’hortensia, la "eur tout en volupté et délicatesse qui accompagne vos nuits les plus douces.

Si l'on n'y pense pas toujours, les plantes sont de véritables marchands de sable quand elles sont déposées à quelques pas de notre lit ; à l'instar du kentia, aux vertus oxygénantes. Ce sont ses feuilles vert clair, jaillissant en son cœur telles des "ammes, qui produisent l’oxygène et agissent ainsi en véritable #ltre à air. Le scindapsus, hissé au top dix des plantes puri#antes est, quant à lui, un véritable porte-bonheur. Et pour #nir, la fougère puri#e et humidi#e l’air permettant ainsi de diminuer le risque de maux de tête et le dessèchement de la peau.

La nuit promet d’être revigorante, mais ça, ce sera pour le mois suivant !

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Vous nous présentez l’associa-tion#? Nous avons deux axes$forts$: d’une part, les activités régu-lières, qui regroupent la danse, les cours de théâtre, la remise

en forme (zumba, pilates, gym…), des ateliers de langue ou de montage vidéo, différents stages, et d’autre part, des projets axés sur le théâtre. Nous avons la chance d’avoir une salle pouvant accueillir une centaine de spec-tateurs. On a donc mis en place un important dispositif d’aide à la jeune création théâtrale, sur la base d’auditions bimensuelles. Une aubaine pour les petites compagnies, en voie de profes-sionnalisation, qui souhaitent se lancer sur le devant de la scène$!

Quels genres de spectacles proposez-vous#? De tout$! On programme une trentaine de jeunes compagnies par an, ce qui fait environ un spectacle par semaine, pour un public adulte. Sans oublier, bien sûr, des spectacles pour le jeune public plutôt en journée et pen-dant les vacances scolaires.

Votre programmation pour le mois de mars#? On accueille quatre nouveaux spectacles, très différents les uns des autres. La compagnie Les Joueurs, qui regroupe des danseurs et des acteurs, propo-sera un spectacle d’expression corporelle. On aura aussi Phone Tag, monté d’après une pièce radiophonique d’Horowitz. Puis la compagnie Les Murmures ont des oreilles présentera Violette sur la terre, d’après la pièce de Carole Fréchette. En#n, on accueillera la jeune compagnie Petrola pour son spectacle Burn Baby Burn. –

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Florine Soulié Texte Photo Domit

Depuis vingt-quatre ans, l’association propose aux bébés et aux jeunes enfants de se fami-liariser avec l’eau, dans un bassin spécialement conçu pour l’éveil aquatique, chauffé à 32°c. Ici, à

partir de quatre mois, les bébés pataugent, barbotent, s’écla-boussent, s’immergent les yeux ouverts, roulent sur des tapis en mousse, sous l’œil attentif de leurs parents, mais aussi de maîtres-nageurs et de psycho-motriciennes qui conseillent et guident les séances. Une activité en petits groupes qui permet de créer de jolis moments de complicité, mais pas seulement. Mireille, la coordinatrice de l’as-sociation, nous explique$: «$Ces cours permettent de développer la motricité et l’autonomie de l’enfant dans un contexte de jeu, en dehors de toute perfor-mance."Pendant une demi-heure ou trois quarts d’heure, les bébés évoluent à leur rythme, et entrent dans une relation de plaisir avec l’eau, qui les aidera plus tard, au moment de l’apprentissage de la natation.!» Les enfants de trois à cinq ans ne sont pas en reste$: l’association leur propose$un

«$jardin aquatique$», avec des toboggans, des tapis et des bal-lons. Des déplacements ventraux et dorsaux les aideront là aussi à acquérir plus d’autonomie pour l’apprentissage de la nage. En#n, l’association Nouvelle Vague n’a pas oublié les futures mamans, souvent sujettes aux maux de dos et restreintes dans leur activité sportive$: elle propose des cours de natation prénatale, à partir de trois mois de grossesse. Ces cours ont pour but de les aider à vivre pleinement leur grossesse et à préparer leur accouche-ment, en travaillant sur des exercices de respiration et de relaxation. Avec l’association Nouvelle Vague, jetez-vous à l’eau$!

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Calista Jr Sélection Photos DR

01 | Le marché bio des BatignollesChaque samedi matin, de 9h à 15h… C’est une institution!! Viande, poisson, légumes, fro-mages, miel, "eurs… Un rendez-vous sain et gourmand!! En plus du cabas, prévoir un porte-mon-naie lesté de pièces et de billets. Le bio, tu sais, c’est pas donné…34, boulevard des Batignolles

02 | Le Petit VillageDu rock le vendredi et des Dj sets électro le samedi pour te déhancher, des expos éphémères pour t’inspirer, et des prix très abordables pour t’égayer!! Les pintes sont à 5%, les mojitos à 5,50%, la charcut’ à 6,50%; le Petit Village n’est pas là pour te ruiner, non non.58, rue de la Condamine

03 | Le square des BatignollesComme c’est mignon$: une cascade, un ruisseau, un petit lac, deux cygnes passant sous un pont. On s’attend presque à croiser Pocahontas chantant son amour des feuilles et des cailloux. En vérité, ce jardin à l’anglaise est le repère d’une foultitude de gamins qui aiment jeter du pain aux canards. Entre la rue Cardinet et la rue des Moines.

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04 | Le Bistro des damesUn bistrot coloré et chaleu-reux… qui offre un petit écrin de verdure et de calme derrière la salle principale!! Palmiers, pavés, tables colorées, thés, apéritifs… Tout y est!! Si vous voulez en savoir plus, allez-y!! Vous serez séduits par cet endroit qui res-pire la quiétude absolue.18, rue des Dames

05 | L’ébéniste du vinL’hiver est là. C’est indéniable. Cette cave et bar à vin propose de vous réchauffer avec plus de 500 références. Dédiée aux connaisseurs et #ns gourmets, elle saura aussi séduire les non-initiés, les débutants ou les récalcitrants. Bref, un bistrot qui a de la bouteille!!72, rue Boursault

06 | Les Puces des BatignollesLes Puces, le rendez-vous des bobos gourmets. «$Cool et sans prise de tête$» pour certains, «$bistrot qui a de l’imagination pour les autres$». À la rédac', on a opté pour le «$typique de l’es-prit Bonbon$», parole de stagiaire rédacteur$!110, rue Legendre

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Rangez un peu vos cornes, votre tendance à tout vouloir contrôler exaspère. Vous vous servez de votre belle gueule pour beaucoup, il serait dom-mage de se la faire abîmer$! Sinon, on vous conseille de rappeler cet(te) ex qui ne vous a pas oublié(e)… au risque de passer à côté de quelque chose d’assez chaud$! Au boulot, ne vous attardez pas sur des petits "irts qui vous font plus perdre du temps qu’autre chose. Remettez vous plutôt au tennis au lieu de penser à pécho (il y avait la Pécho Party du Bonbon pour ça!!).

Pour les couples, ce n’est pas auprès de votre mec/nana que vous trouverez du réconfort ce mois-ci. Privilégiez plutôt les soirées entre potes, ça ne fait jamais de mal. Pour les célibataires, une nouvelle rencontre pointera le bout de son nez et aboutira peut-être à une idylle… Qui sait$! N’oubliez tout de même pas de vous reposer et de manger sain. Big Fernand toutes les semaines, ça ne vous réussit pas. Faute de devoir se calmer sur la bouffe, vous pouvez placer votre argent dans un abonnement à la salle du sport du coin$!

Quelqu’un vous désire en secret$? Vous le devinez immédiatement. Vous avez un don particulier pour rompre la glace avec fougue. En #n de mois, vous allez vous jeter à corps perdu dans la passion. Mais attention à ne pas vous brûler les ailes. En couple$? Votre relation peut s’épuiser. Faites attention aux disputes quotidiennes qui peuvent nuire à l’éro-tisme. Gardez bien les pieds sur terre au bureau, ne vous en"ammez pas sur un projet qui pourrait être bancal. Prenez du recul et posez-vous les bonnes questions.

Bon ok, votre histoire d’amour est parfaite, vous pensez même à emménager… Molo, vous n’allez quand même pas nous faire un gosse$? Non, en vrai on est contents pour vous. Pour les cancéreux célib’, ça devrait pas tarder à vous tomber dessus sans même que vous vous en rendiez compte$! Mais pour y parvenir, il faudrait que vous en montriez l’envie$! Parce que ce(tte) barman qui vous faisait les yeux doux l’autre soir n’a eu aucun retour… On peut quand même pas tout faire à votre place$! Lancez-vous, vous n’avez rien à perdre$!

Ce n’est pas le froid qui vous empêche de faire la fête, et c’est ça qu’on aime chez vous!! Vous rencontrez continuellement de nouvelles personnes (comme le barman de la Who’s Next qui a "ashé sur vous). En attendant de trouver l’âme sœur, pro#tez de cette routine là, dont vous ne vous lassez pas. N’oubliez cependant pas votre santé qui a parfois du mal à suivre ce rythme de folie$! Vos potes ne sont pas votre médecin, donc prenez bien le temps de soigner cette salle angine, ou laissez la mini jupe/le débardeur au placard. Ce mois de mars sera cool.

Février n’a pas été facile niveau love, c’est pour ça que vous devez apprendre de vos erreurs. Règle d’or$: ne jamais refuser une bonne bouteille de rouge avec sa meilleure pote au lieu de privilégier les soirées embrouille avec son mec$! En tout cas au boulot, vous excellez dans votre domaine et tout ça sera récompensé par une bonne prime$! Vous l’avez bien méritée. Raison de plus pour rincer votre soi-rée entre potes ou inviter votre beau/belle voisin(e) à dîner. Vous allez remonter la pente, on y croit fort, et c’est comme ça que ça marche.

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Vous retrouvez en#n le moral$! Les cours de yoga vous réussissent vraiment$! Croquez la vie à pleines dents ainsi qu’un gros burger pour mettre #n à ce long régime. Votre entourage est #er de vous grâce aux efforts que vous avez fournis avec chacun d’entre eux. Continuez sur cette lancée. Au bureau, ne lâchez pas prise, le meilleur reste à venir. L’en-vironnement astral va vous apporter de nouvelles rencontres sous peu. Attention à la provocation suite aux rancœurs, maîtrisez vos dires. Ou jouez sur l’hypocrisie, ça ne fait pas de mal parfois.

Youhou la morosité dans votre vie s’estompe en#n$! Au boulot, tout va dans votre sens, et ça c’est bon$! Si vous êtes célibataire, votre vie va changer dans le courant du mois, aux alentours du 18. Vous allez rencontrer quelqu’un de plus jeune qui va raviver la "amme en vous (éteinte depuis bien longtemps à force de traîner dans les bars à bière glaucos). Pour les personnes en couple, notre conseil est de tout faire pour redonner de la fraîcheur et de la nouveauté (en évitant les trucs maso). On vous voit venir avec votre envie de plan à trois.

Yes!! Vous remontez en#n la pente$! Le boulot vous change les idées, c’est exactement ce dont vous aviez besoin$! Un déménagement de prévu!? Il aboutira peut être à un coup de foudre avec votre nouvel ouvrier. En#n sinon, vous pouvez voir plus grand et courir trouver l’âme sœur au concert de Disclosure ce mois-ci. Vous avez de super copines, pro#tez-en. Attention à vos appétits matérialistes qui pourront vous faire perdre de l’argent inutile-ment. Notre conseil perso$: investissez plutôt dans un bon bouquin.

Alors vous, c’est pas la forme… Entre votre mec qui vous reprend pour un rien et votre petite santé qui a du mal à faire face au froid, c’est pas le top$! Mais pas d’inquiétude, vous allez entamer une belle phase. Préconisez des repas cool genre germes de soja et tapioca histoire de requinquer tout ça. Niveau boulot, il va falloir vous y remettre et ne pas laisser la fatigue vous submerger. C’est pas en ren-trant à 17h du bureau que vous allez être félicité$! Allez, reprenez-vous$et tout ira pour le mieux.

A force de vous focaliser sur le boulot, vous en oubliez vos potes… et même votre conjoint$! Lâ-chez un peu prise, ce n’est pas pour ça que votre boss sera déçu de vous. Vous devriez plutôt vous demander où votre copine passe ses soirées quand vous ne lui répondez pas. Niveau boulot, tout va évi-demment comme sur des roulettes vu votre parfait investissement. Attendez-vous à une superbe pro-position à la #n du mois. Ne soyez pas trop exigeant avec votre entourage, vu le peu de temps que vous lui accordez ces temps-ci.

Pour vous, mars sera un mois placé sous le signe de l’amour. Vénus fera rayonner vos relations amicales comme amoureuses. Même si ce début d’année a été dif#cile, il ne vous reste que du bon à vivre. Côté travail, on va vous apprendre une nouvelle qui chan-gera votre vie (une mutation en Syrie peut-être). Mais ne soyez pas impatient et restez concentré. Continuez à faire la teuf avec vos potes, cela joue vraiment sur votre moral et c’est nécessaire, pour vous et pour eux$! Sinon, vous pouvez aussi inviter votre maman à déjeuner, elle n’attend que ça.

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Ivan Skrt présente : Moussorgoski, Bartok, Scria-bine, RavelLe pianiste slovène Ivan Skrt (1981) étudie le piano au prestigieux Conservatoire Tchaïkovski de Mos-cou, avant d'effectuer ses études à l'École Normale Supérieure de Musique de Paris. En 2011, il est invité à interpréter Hommage à Liszt au festival de Ljubljana. Son concert sera une révélation pour le public parisien qui découvrira ses interprétations imprégnées d'une âme slave. Selon lui, l'essence de la musique est avant tout spirituelle et le musicien en est le messager.-Mercredi 19 mars à 20h30Salle Gaveau 45-47, rue La Boétie - 8e

Tél. : 01 49 53 05 07

Sleepin’ Bee Le théâtre Michel nous présente le temps de deux soirées un superbe spectacle musical. La scène se déroule un soir d’été à l’arrière d’un vieux cirque. L’inspiration visuelle est très cinématographique de façon à rendre hommage aux années Broadway de Barbra Streisand. Un spectacle en"ammé sur l’amour et la vie d’artiste. -Les lundis 17 et 31 mars à 20h30Théâtre Michel38, rue des Mathurins - 8e

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Nuevo MondoAlex Cecchetti propose un cycle de trois prome-nades poétiques. On y verra des artistes, écrivains, acteurs ou même des danseurs qui incarneront des poèmes dans les espaces du Palais de Tokyo. Tout ce travail repose sur la rencontre et le dialogue. L'occasion également de découvrir des endroits cachés de notre musée adoré.-Les 14 et 30 mars Palais de Tokyo 13, av. du Président-Wilson - 16e

Une douce imprudenceOn nous présente un duo intime de 50mn qui ex-plore avec #nesse et douceur le lien entre les deux danseurs. La tension entre les objets, la musique et les corps est palpable, grâce notamment à l'atmosphère magnétique. Une sorte de romance corporelle à la lueur des projecteurs. On applaudit cette parfaite osmose. -Du 25 au 28 mars à 20h30Palais de ChailotPlace du Trocadero - 16e

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WATERBIKE2, rue de Turin - 8e Tél.!: 09 83 75 66 75

—ROSE & PIVOINE

45, rue des Dames - 17e Tél.!: 09 83 93 29 32

—JAQK

Galerie du Claridge - FNAC 74, avenue des Champs-Elysées - 8e

—D4 DONUTS

124, rue Legendre - 17e

Tél.!: 01 73 71 58 90—

LES BONHEURS105, rue des Dames - 17e

Tél.!: 09 81 64 36 01—

LE SANSBOEUF2, rue Joseph Sansboeuf - 8e

Tél.!: 01 42 94 82 20—

EDUKAR5, place des Ternes - 17e

www.edukar.fr

CLOP’STORE37, avenue Raymond-Poincaré - 16e

Tél.!: 01 45 53 05 30—

LA VAPOREUSE24, rue de Constantinople - 8e

Tél.$: 09 73 54 53 05—

MY CAFFÉ110, rue La Boétie - 8e Tél.$: 09 80 37 74 02

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23, rue Duret - 16e Tél.!: 01 77 32 88 46

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55, rue de la Jonquière - 17e Tél.!: 09 67 40 63 86

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60, rue Legendre - 17e

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