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L'Ecole valaisanne, janvier 1959

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Page 1: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

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Page 2: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

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Rédaction:

MICHEL VEUTHEY

Office de l'enseignement

SION

Redaktion:

Prof. ERNST SCHMIDT

Schu1ins pektor

BRIC

Tel. (028) 31516

LJECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE

POUR L'EOOLE ET LA FAM(I!LùE

PARAIT CHAQUE MOIS

3me ANNEE· N0 3 · SION, LE 10er J-kNVIE-R 1959

WALLISER SCRULE ZEITSCHRIFT FOR JUGENDHILDUNG

IN SCHULE UND ELTERNHAUS

ERSCHEINT MONATLICH

3. JAHRGANG - Nr. 3 SIT'J1EN, !DEN 1. JANUAR 1959

Page 3: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Der Redaktor wünscht der Leserschaft der WALLISER SCHULE ein frohes und gnadenreiches Neues lahr, wobei dieser Wunsch nicht nur ausgesprochen sei, weil man das, wie aligemein üblich, zum Neuen lahre tut; el' ist vielmehr der Ausdruck herzlicher, aufrichtiger Gesinnung. Wir sind ja in der 1cw'zen Zeit des Bestehens unserer Zeitschrift immer mehr zu einer Gemein­schaft geworden, die miteinander lebt, fühlt und denkt. Das Bewusstsein um dieses geistige Verbundensein soli uns Mut und Freude ins Neue lahr mitgeben, damit wir uns wieder tapfer unserer edlen Erzieheraufgabe widmen und zuversichtlich weiter- und hinarbeiten auf unser christliches Erzieherideal. Mit diesem Wunsch woUen wir den guten Willen zu gegenseitigem Verstiindnis verbinden, das für erspriessliche ZLMammenarbeit unbedingte V oraLMsetzung ~st, und auch die Bitte, der gottliche Kinderfreund moge wvser gemeinsames Bemühen huldvoli

segnen. E. Sch.

8 0 rati~ns ge tJœ~~x à la minute ..

Quand nous envoyons nos cartes de vœux, l'ampleur de ce courrier de fin d'année exige que nous fassions un effort sans cesse renouvelé pour sentir, à chaque adresse que nous écrivons, le souhait particulier que nous des binons à chacun, au-delà et au travers de la formule stéréotypée qui en est le symbole. C'est la seule façon de donner un sens, une valeur

humaine, et donc un intérêt, à cette pratique traditionnelle. Le rédaoteur est pr,ivé de ce plaisir. Il connaît mal ses .lecteurs anonymes dont il ignore le visage _ intérieur et extérieur -, les préoccupatio11JS, les Ipeines et les joies. Ses vœux seront, malgré lui, nécessairement très vagues. .Jl sera même contraint de les confier à la rotative qui les distribuera en rations bien me-surées, avec la froide rég-ularité d'une bonne machine. Que cette banale opposition entre la machine et l'homme serve au moins, en ce début d'année, à rajeunir en nouS cette conscience de notre valeur unique, c011JSta;mment renouvelée au gré des rencontres et des circonstances; qu'elle nous invite à développer toujours mieux, en nous et en ceux qui nous sont confiés, la vie de l'esprit, si gravement menacée par notre civilisation de robots. Quels que soient les é'vénements, cette garantie de notre vie intérieure fera la

réLMsite de cette nouvelle année. M. V.

ORI ENT A T ION

UN LANGAGE MUET Au début de janvier, les auteurs

de méditations nous pro posent sou­

vent pour modèle la Sainte Famille de Nazareth. Ils nous disent qu'elle

vivait unie, «sans histoires », dis­crètement charitable parmi les autres

habitants de la bourgade.

M ais ce silence extérieur, cette

discrétion et cette paix .procédaient, n'en doutons pas, du silence qui bai­

gnait -l'âme de chacun. Il est certain qu'un tel état de sérénité dépend de

la nature de chacun, car tous ne sen­tent pas également la valeur et l'im­portance de cette paix intérieure.

Elle devrait pourtant se cultiver, moins par théories que par expé­

rience vécue. La condition indispen­

sable est une ambiance de sérénité, un climat de silence et de tranquil­lité.

Il ne s'agit pas, certes, d'un silence purement négatif, d'une simple ab­sence de préoccupations. Il s'agit

d'un climat positif, actif, dans lequel les échanges entre les personnes hu­maines se font plus directement que

par le truchement d'un langage pré­cis.

Voilà bien une des expériences pri­

mordiales que la famille, première cellule sociale, devrait procurer à ses

membres, car l' ambiance agitée dans

laquelle nous «vivons» favorise peu ce climat de silence. Seule la famille

peut échap pel', du moins pŒrtielle­ment, à cette marée du bruit.

Cela suppose une attention parti­culière, une recherche consciente de cette source de vie : savoir interrom,

pre les flots de la radio, ce « robinet à musique» dont parle un de nos

collaborateurs ; éviter les bruits inu­

tiles, les portes claquées, les cris su­perflus: essayer même, si les exi­

gences intérieures de chacun le per­l1tettent, de ménager dans l'existence

quotidienne des moments de silence, le matin ou le soir.

Et l'on sera swpris de constater combien cette privation apparente

des échanges entre les personnes ren­force au contraire leur union et les rapproche dans leur commun effort

vers une vie plus intense. A condition,

bien sûr, ici comme ailleurs, de ne pas oublier que cette éducation du

silence n'est pas un but en soi, mais un moyen indispensable à l'unité

intérieure de la personne, une source

d'enrichissement pour chacun, un gage de stabilité pour la farnille

elle-même.

JtJ. V.

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Page 4: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Erziehung zur Sparsamkeit

Johann BLOETZER, Pfarr-Rektor

L'économie est une vertu morale qui veille à !a jwste con~servation. e~ à l'us~ge m?~éré d~s biens de ce monde, ces biens subordonnés à l homme et a sa destuwe denuere. ~ eC01!Omte est un résultat de la culture morale et la base de la vie économique et du progres SOCLa.I .. J~ ce titre, elle est un des buts de l'éducation et l'école doit en prendre sa part de res']Jo~lsabl!lte. Bien organiser son budget, se montrer économe en toutes choses, est u~te conduIte. dLgne d'un être humain. Les enfants et les jeunes gens doivent partout. et touJo~Lrs receVOLr une éducation qui puisse développer cette vertu en eux. L'école cultwe, c?nsctemme:",t et CL'vet méthode, ce qui a été commencé dans la famille, grâce à l'exemple du maLtre et de l ed~Lc.ate,-!,~·, et encore grâce à la vie communautaire de la classe. La langue maternell~, le calcu~, l hL~toLl e offrent de fréquentes occasions d'introduire ce thème. Nous devons d'aûleurs. tenu' presente cette idée d'une juste économie dans toutes le's branches du programme. ~L nous deman­dons à nos jeunes comment, où et quand nous pmwons nmLS montr:1: econome~, nous serons étonnés des trouvailles de leur imagination et de leurs proposltwns concretes.

Man spricht zu Recht vom Geiz ais scheusslichem laster und von der Sparsamkeit ais sittlicher Tugend. Z'War speichert auch der Sparsame wirtschaftliche Güter auf durch Unter­lassung ihres gegenwéirtigen Ge­brauchs, éihnlich wiel der Geizige. Aber er tut es massvoller und aus ganz anderer Einsicht und Vorous­sicht. Er sieht den rechten Werl der éiussern Güter, die er ab Gaben Got­tes schéitzt, und zwar in rechter Ord­nung : nicht zu sehr und nicht zu we­nig. Unci er spart nicht aus Begierde nach Besitz, sondern weil er für spéiter eine bessere Verwendungsinoglichke'it sieht. Gewo'hnheitsméissige Sparsam­keit ist also eine wahre sittliche Tu-

gend, die mithilft, den Menschen in rechte Ordnung zum Besitz zu stel­len und diesen si ch und seiner ,ses,tim­mung unterzuordnen. Sparsarnrkeit kann auch für den Reichen eine Tu­gend sein, weil sie ihn vor nutzloser Verschwendungssucht und sündhaftem luxus, aber auch vor Müssiggang be­wahrt.

VVahre Sparsamkeit kann nur Er­gebnis hoher, sinlicher Kultur sein. Sie ist aber ouch Grundlage aller wirt­sc-haftlichen Kultur und des sozialen tortschrittes. Daher auch e:in überaus wichtiges Ziel der Erziehung, die schon in früher Jugend einsetzen muss, damit sie zur guten Gewohnheit und zur Tugend werde. Dafür ist auch die

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Schule mitverantwortlich, und wir wol­len nun versuchen, mit praktische:n Béispielen und Vorschlëigen zu erldéi­ren, wie die Schule sich in Erziehung zur Sparsamkeit - gleichsinnig mit der Familie - einschalten kann.

Von ieher haben ia die Menschen gespart, gehorte.t und Nahrungsmittel für den Winter in ihren Hohlen zu­sammengetragen : Von den Indianern wird erzêihlt, dass sie das Fleisc:h er­legter Tiere übers Feuer hëingten, um es durch den Rauch ht1ltbar zu ma­chen. Die Eskimos sollen heufe noch ihre Vorréite in Schnee und Eis vergra­ben, und die Wüsten-Beduinen trock­nen die Datteln. So haben Menschen a uch schon frühzeitig, ais die Geld­münze erfunden war, diese sicher an­zulegen versuc'ht. Durch Ausgrabun­gen in Kleinas,ien hat man Kenntnis von den schon verziert'en Sparhüchsen der Assyrer, 'also schon tausend Jahre vor Chris,tus ! Spéiter stosst man in der Geschichte auf Spartopfe, ouf Geld­truhen, auf Sparstrümpfe, die unter dem Strohsack sorgsam a,ufbewahrt wurden. Wéihrend des Mittelalters gab es schon recht tüchtige Finanzleu'te und seit zweihundert Jahren kennen wir nun ,die sog. Sparkassen.

Diese geschichtliche Erwahnung be­weist die Gültigkeit des Wortes von Bundespréisident Heuss, da~ er in sei­ner Rede zum Welts,partag 1952 aUSa

sprach : « Sparsam sein ist eine men­s chi i che Haltung !» Das heisst ge­nauer und ausführlicher: Sparsam sein ist nkht in erster Unie eine volkswirt­schaftlich~ Funldion, die Kapital bildet, grosse Unternehmui1Jgen ermoglicht, Investierungen gestattet und Zinsen

bringt. Sparsam sein ist mehr: Spar­sam ist ein Kind nicht nur, wenn es Zehner um Zehner in die Sparbüchse wirft, wenn der Schüler Sparmarken klebt oder wenn wir Erwachsene mit dem Sparbuch zur Sparkasse gehen, sparsam sind wir vielmehr und im ursprün'glichen Sinn des Wortes, wenn wir mit Wéische, Kleidern und Schuhen, mit Einrichtungen des priva­ien Haushalts und der Offentlichkeit a c h t sam u m 9 e h e n, wenn wir nichts, vor allem auch an Nahrungs­und Genussmitteln, wegwerfen oder verrkommen lassen. S'parsam sind wir ebenso, wenn wir mit unsern Kréiften und Fëihigkeiten haushalten, wenn wir uns und unsem Mitmenschen alles nicht unbedingt Notwendige an Kum­mer und :t(rger, Sorgeund leid, Sto­rungen und Geréiuschen bei lag und Nacht ers par en. Sparsam sind wir, wenn wir unsere ganze' tebens­führung in einem unsern personlichen Verhéiltnissen, unserm Volk und un­serer Zeit geméissen Rahmen halten. Sparsam sind wir, wenn wir Personen­und Sachgüter recht verwalten aIs Treuhéinder dessen, der sie in un­sere Héinde legte, wenn wir den sach­geméissen ,Gebrauch davon machen, wenn wir immer und überall den rich­tigen Massstab anlegen und 'hauszuhal­ten verstehen. Richtig wirtsc,haften lin allem und überall heisst sparsam sein ais eine dem Menschen gemëisse Hall­tung.

Eine « dem Menschen geméisse Hal­tung» rnruss erzoge!n werden. Und weil richtig wirtschaften, - sparsam sein - gerade in seiner Wirkung auf den Menschen eine der stéirksten er-

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Page 5: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

zieherischen Méichte darstellt, ist die Sparsamkeit für sich, für die Familie und für die A-Ilgemeinheit eines der vordringlichsten Teilziele der Erzie­hung.

Wie kann dies in der Schule ge-schehen?

Sicher aile sind der Ansicht, dass man duroh Darstellung von Bildungs­gütern in den einzelnen Unterrichts­féichern einen Menschen formen kann. Schon ausserhalb der Schule kommt das einzelne Menschenkind in Berüh­rung mit Dingen, Personen, Gemein­schaften, mit Vorgéingen und Verhéilt­nissen, die infolge starker Wechsel­wirkung von Ich- und Umwelt zu formenden Geschehen manoherlei Art führen. Dieses formende Geschehen bewusst zu kultivieren, gehort zu den wesentlichen Aufgaben der Schule. Die B.erührungsmoglichkeiten mit dem leb~n sind: die bildende Wirkung durch den Unterricht, ,die Formung durch die Qualitéiten der Erzieher- und lehrerpersonlichkeit und drittens die Angleichung an das Ethos der Schüler­gemeinsch.aft und ihrer formenden Wirkung:

lm Alltag des Schullebens.

Durch Arbeitspflichten un,d Aufga­b~n wird . in einer Klasse aus den vie­le.n « Ich» das « Wir » • . Schüler spre­chen oft mit Hochachtung von i h r e r Klasse. Alles, was in i'hr geschieht, hat formend~ Wirkung au·f den Einzelnen, die wieder zurückstrahlt in die G~­meinschaft. Eine Klasse, die sich ver­antwortlich fühlt, wird z. B. mit allen Gegenstanden und Einrichtungen i h r e s 1<lassenzimmers achtsam um-

gehen. Wenn der lehrer oder ,die lehrerin es dazu noch versteht, das « Wir» zu pflegen und, zu 'kultivieren, dànn wird ieder einzelne Schüler stolz sein auf « unser Klassenzimmer », auf die Ausschmückung des Klasse.nrau­mes, damit eine wirkliche Wohnstube daraus wird.

Der tehrer unterstützt sehr das Ge­meinschaftsgefühl, wenn er betont, die 9 a n z e KI a s s e schreibt schoner; ich kann uns e re Klasse auch einmal fünf Minuten aUein lassen; w i r helfen einander usw.

ln einer solchen Atmosphéire wird dann auch auf Kle'ines und Kleinstes geachtet, wird behutsam und sparsam mit- der Tinte, mit der Tafelkreide, mit den Fensterscheiben, mit den le·hr­mitteln, mit den von ,der Ge'meinde zur VerFügung gestellten Unterrichts­büchern umgegangen. Brot- und Obst­überreste füllen nic,ht den Papier­korb. Aus sol cher Lebensgemeinschaft gehen sicher wirksamste Impulse aus, und solches Verhalten wird sicher durch die -Héiufigkeit des Tuns, durc,h eine gute Motivierung noch. unter­strichen und verstéindlich gemacht, zu einer Gewohnheit.

lm Deutsch-Unterricht :

ln den einze,lnen Unterrichtsfachern soli eine formende Wirkung von dem dargestellten und d'argebotenen lehr­gut ausgehen. Der Deutsch-Unterrioht bietet in allen Schulgattungen und in all~n Alterstufen eine besonc;lers gute Gelegenheit, zu echtem Wirtschaften und Sparen zu erziehen.

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lm mutters.prachlichen Unterricht konnen Wortfamilien zusammenge­stellt werden wie sparen, Sparmarken, Ersparnisse, Spargeld, absparen, spéir­lich usw. Das Wortfeld wird immer wieder erweitert : sparen, haushalten, anlegen, verzinsen, achtsam sein schonen, sammeln, horten, aber auch ihr Gegenteil : verschwenden, vergeu­den, verkommen lassen. Spéiter kcmn die Wortetymologie manche Anre­gung geben, ebenso sprachgeschicht­liche Exkurs,ionen, Sammeln von Sprü­chen im Volksmund, von Beispielen aus der iliteratur usw. Und warum sollte nicht a·uch einmal beim Diktat der Stoff aus dem Gebiet des Sparens genommen werden ?

lm Rechen-Unterricht: Wirtschaften und Sparen haben

engste Beziehungen zu Zahlen. Spa­ren léisst sich ia wesentlich 'an Zahlen beleuchten. Bereits auf der Unterstu·fe sind die Kleinen empféinglich für den Umgang mit Geld. Wie heben wir unser Geld gut auf ? Wie konnen wir es vermehren ? Wenn du wochentlich zehn oder fünfzig Rappen in die Spar­büchse wirfst, dann ergibt das bis Weihnachten, bis Ostern, bis zu den SommerFerien ? Wie ist zu erreicheh, dass ich zu einem bestimmten Datum über einen bestimmten Betrag verfü­gen kann ? Auf der Oberstufe kommt die Zeit für die Zinsrechnungen oder für die Themen : « Spargeld wéichst »,

«Ein Franken wandert» und «Spargeld in der Wirtschaft ».

lm wirl'scha,fts- und sozialkundlichen Unterricht :

Die Unterrichtsfëcher konnen ia an dem Problem des Wirtschaftens und

Sparens nicht vorbeigehen. Hier wer­den der J'ugend die Entwicklung und die Prinzipien der Wirtschaft im !dei­nen bis zur Wirtscheift in der Gemein­de, im Kanton und ,im ganzen land deutlich vor Augen geführt. Notwen­dig ist nur, dass so allgemeine Grund­satze an Gegebenheiten . des Alltags oder an anschaulich gemachten Vor­géingen in Geschichte und im Ausland wirklich veranschaulioht und zum Er­lebnis gebracht werden. Je mehr iunge leute spüren, dass es sich ihre urei­genste Angelegenheit, um i h r leben um i h re Existenz, i h re n Kredit, i h; Berufs- und lebensziel handelt, um so mehr werden sie interessiert aufhor­chen und wirklich bei der Sache sein.

Einige T,hemen seien nur angedeu­tet: der Familienhaushalt, der kommu­nale Haushalt, das Sozialprodukt, lohn und Preis, Kreislauf des Geldes Wahrungsfragen usw. '

ln übrigen Féichern des Unterrichts:

Niemand wird daran denken, aus der Erziehung zur Sparsamkeit ein eigenes Unterrichtsfach zu machen. Sie scheint nur hin und wieder bei sachliohen Gelegenheiten etwas durch. Hier nur ain ,paar ganz kurze H'in-weise.

lm heimatlichen Unterricht liegen die Beziehungen auf der Hand: wie die Kirche, das Schu,lhaus usw. gebaut wurden, wie ihre Finanzierung zu­stan,de kam.

lm Biologie-Unterricht reiz.t die Be­handlung der Biéne, des Hamste.rs, des Eichhornchens und anderer vor­sorgender Tiere besonders zu Analo­gien.

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ln der Men'schenkunde wird man bei der Behandlung des lebensrhythmus, der Vorsorge und der menschlichen Kraft leicht die Brücke schlagen kon­nen zu unserm Thema.

ln hauswirtschafHichen Stunden wird der sparsame Einkauf, d,ie richtige Verwendu'ng, das Haushalten bis zur Resteverwertung immer wieder be­sprochen werden konnen.

lm Physik- und Chemie-Un~erricht

kommt ohne weiteres die Sprache auf Energieersparnis, Zeitersparnis, rest­lose Verwertung und Auswertung.

Nicht zuletzt werden die lebens­kundliche Stunde, die Ausspra'che­stunde oder auch die Vo'rlesestunde am Samstag für gutes 'Arbeiten der Klasse wëihrend der Woche be­sonders geeignet sein, unser Thema auch einmal vorzuschlagen. Des In­teresses darf man bei der Jugend sicher se'in.

Sehr aufschlussreich ist noch, wenn wir abschliessend erfahren, was Schü-1er selber über das Sparen denken. Dies hat ein Schülerwettbewerb ge­zeigt, der 1955 durchgeführt wurde und dessen Aufgabe lautete: «Wo haben wir noc,h Moglichl<eiten zum Sparen ?}) Eine kleine Auswa,hl der Aritworten aus dem umfangreic,hen Stoff soli, nach bestimmten leitgedan­ken geordnet, folgen :

Fremdes Eigen~um: Hëiuser nicht bemalen. Keine Fenster einwerfen. Nicht über eingesëite . ~cker laufen. Obstbéiume in Ruhe lassen ...

Offentliches Eigenfum: Strassenlam­pen nichl einwerfen. Post, Eisenba,hn usw. nicht beschëidigen. Keinen Wald-

frevel begehen. Waldbrande verhü­ten ...

Die Sc'hule : Die Bücher in Ordnung halten und schonen. Stühle und Bëinke nicht verschmieren und zerkratzen. BiI­der nicht zerreissen. Bleistifte nicht fallen lassen, damit die Minen nichi abbrechen. Die Tinte verschliessen, damit sie nicht eintrocknet und nic,ht verschmutzt. Nicht zu weit auseinan­derschreiben, um Raum zu sparen in den Heften. Kre.idereste verbrauchen. ln der Pause Brot essen, staft" Süssig­keiten. Kein Brot, kein Obst wegwer­fen ...

Energien im Ha'ushalt: Radio nicht so lange laufen lassen. Keine zu star­ken Birnen verwenden. Wasser nicht unnotig laufen lassen ...

. Schonung von KI'eidungsstücken: Zum Fussballspielen Fussballschuhe anziehen. Nach der Schule umzie,hen, ëiltere Kleider anziehen. Mit den Schu­hen nicht Steine stossen. Keine Nëigel in die Tasche stecken. Seife nicht im Wasser liegen lassen ...

Lebensmittel und Küche : Kein Brot wegwerfen. Ke·ine dicken Kartoffel­oder Obstschalen machen. Kein fri­sches Brot essen ...

Vorsor9'e treffen: Zëihne putzen, da­mit man nicht so früh zum Zahnarzt gehen muss. Sie nicht durch Süssi[­keiten verderben. Sch'uhe pflegen, da­mit das leder nioht brüchtig wird. Tü­ren nicht zuschlagen, das schadet der Türe und dem Verputz ...

Weitere überlegungen wurden noch gemacht betreffs Auswahl der Ge­schëiftslëiden, Umgang mit Bargeld, Vergnügungen und kulturellen Bedürf­nissen, betreffs Eigenleistungen usw.

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Man muss wirklich staunen über die Erfindungsgabe, die gute Be.obach­tung und die zeitnahen Vorschlëige, die diese Jugend von heute bes'itzt. Kom­men wir diesem zutiefst menschlichem Drang nach Sparsamkeit nach, und si-

cher wird richtige Erziehung iJhd Ge­wohnung an Sparsamsein zu einem HerzsfÜck der Personlichkeits- und Gemeinschafiserziehung und den Ein­zelnen und das Volk innerlich und ëiusserlich wahrhaft frei machen.

La joie , a l'école

par le disque J'o'cques DUBOSSON, profe'sseur, ' Genève

Die Schallplatte wird in den Schulen immer lnehr Verwendung finden. Fonnung der Personlichkeit, notwendige Erziehung zu guter Horaufmerksmnkeit im Zeitalter der « Gerihvschkulissen ». die leichte Verwendbarkeit elektrischer Tongêriite in der Schule und nicht mehr so hohe Anschaffungspreise verlocken .je liinger desto mehr zur Einführung der Schallplatte in den Schulraum. Die Schallplatte hat dem Radio manches voraus : man ist nicht so gebunden an Sendezeit und Stoff ; man kann selber wiihlen. Sodann werden heute zu den Sc1uû-Schallplatten Kommentare ausgearbeitet, die dem Le/u'er die V orbereitung des Untel" richtes mit Schallplatten sehr erleichtem. Besonders gute Dielvste kann die SchÇl.llplatte für die musikalbsche Bildung des Schulkindes leisten. Aber auch die rhythmischen Übungen kann sie fordent. Eine «vorbildliche» Lernhilfe ist sie für die sonst so stiefmütterlich behandelte V ortrags- und Sprecherziehung in der Schule. Aber auch die andern Schulfiichl}r, z. B. die n,aturwissenschaftlichen, sind auf die sem Wege manchmal leichter Z ll behan.deln.

Et voi,là ! (les rtl,oils ,dernie1's n'lOts

de Inon titre In'ülllt If'Mt 'perche, assu­l'émient, 'qlllelqu1es le:cteurs - ceux,

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qu'rune oocasion 'S'l1'pplénren1Jai11e Ic~e

,cHsp'ersio~ ou, rtJoUlt au plus, une a:Îin:l'a­

ble f anrIJaisie pour (}e:s tt!lûiJnl~S j\O'1lJl"S

d'éoQlle 'alVlanJt ~es Vla'oances! - . Eif pOUIlitant, j"au'11ais ia,ilIné .. cOillVlainGre

heaUlÇloup de: !J.llI~ 'collègues . que Je di,sque est un m'el1veilliJJeux ilIlstlmlIll'ent

ete tr,a!V,a,il, ,soJUJp[e et ,dÎlv:er,s, souvent

fiait sur mesure 'pOUir VlallOiriser une aJOOiiViifé; instrurment qu'd.rl n"est ni

ut O'pŒ qll'e , ni 'lnêlne difficiJlre ,d'intro­duilre I(lan:s la dasse.

Sans pll,ét:endre, en ces queil:ques

p-ages, t14aitteJr à fond le pTohilème

pèd,agogiqœe et did.a'cit'ique de reim­

plloi de ee moy,en d'enselÏgnement, je m'laif1Ja'C!hm·,ai bl'en p~'lltô1:, paT J'a pré­

S'entt:aJtion de qll'e~C[lUes ar~um;ents et S'lllitJo~it par ,des e~tm1lp~e:s :r~l,atlartllt des

exrp"é1,ie;nces Ipilrus ou moins ,réussie:s,

- 125---:.

Page 7: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

à Ip'l'ÛU'\"ill' lque (lie ,di'sque a .drüit à une 'pl,a'ae légi'time à J'écooe.

ViOlÏJci tüUlt Id'Iahülid d-es largunnents psytohOilügtiques :

La lDusique est ,e~S!en:tilell!emel1!t une expr11BsS'rÜn et un Jrangage. Eilille s'a­dresse à nütre inteiUiglEm'ce !et ,à nütre sensibhlité, lIll!ails peut-êltl~e p~us tenCüre à no1Jre 'aJffe:otilVité. 01', ,depu:ÏJs ullle généa.~atiün enviI~ün, J'école la tendance à se p:l1éoocuper ,de l':ilntégl~a1tiün affec­

tive de ~'leIllIf,ant Idaus le g'l'üupe, à acoorder iLa p~'imauté de Isün effoo:t à dia fü~'matiün de ~a pel'lSünnal1ité de l"enflant let là l'éprunüuisseJ.mIe!Ilt de s'es pOUJVüirs, sans pü'Ul' 10eJla négligeJl' l'ac­qui:sitiün Ide lSalVüirs, d'une incüntes­

table utilité. Pour :parvenir à sün brut, l'école, et tüultJe la péld'a:gogie cüillItem.­povaine Ie([l fiailt foi, coonplte et s"alp­pme ,de p~us en plus S'ill' tl'a psyohülü­gie .de l' entf ant. On peut di[l'e que l'emplüi ' du disque IdMIS 1es te-chni­

ques d'enseignement BS!t le prülünge­ment nartuœil. de ['Iappl,ioaüün des

m&thüdles ll'ÜUiVlelUes. Alutre largument: depuis plus d'un

qua1'lt Ide sièole, lia 11.1a1diü la ,pénétré,

et même, à certJains é~ards, eD!vaihi nOitre exi,ste.nJce quotJ~dienne - en ait­

tJecn:dianlt [le t'OUJr de la télévisiün. Avec la 1IIadiû, lia mUSÏJqwe s'est emp'rurée de 11Iüs viles. JIl f,auldl,a'Îlt même dire «les mu~ÎJqwBS» si ~'ûn veut bien admettl'le qu'hl y ,a la musique qui nûus ,réCtrée 'Ou qui -enrichit nOllJre vie

intértieuœ, et l'a musique... qulÎ est destinée alVanIt roUIt à épooUIVeT lia soJi­dirté de nütre système nerveux! En urn quart de siècle ulJl:e élduloartiûn des atUdilt'eurs d-ev11ait s'êtlie f,aillte. J'éorti.s

« dew'ait » par:ce que, à en juger parr

les échos que l'éJcoile reCJUei1il.e de ['écoute Il'aJ~'OpihülIlique au fûyer, :hl f,aut bien adm'elttl~e qu'<iiL ~œsrte encüre

des pl'ogrès là 'l'éailis'el', s'jiLg tp:etUvent l'être. Or, [e diS'qtœ pieU/t êltlre un excellelllrt 'antti:dotte. IEn effet, intdli­gemment emJp~0Y'é à l'Iéoüle, ilI. peurt, ûutre sa Vlertu éldU!0at1 Vie eIt ouhureJl!1Je, assumer urn :l'ÔIle sodall : Il'èap'p1''enldre à l'enf'ant à écouter, là ,cümpœt'er, donc à flO:ral1!er lSon jlUgement eIt à ,oümbattre ~e tl'ülbtiJ1let à \lllJuS'ÏJque qu'est dey,BIlIUIe,

tl'Oip 'Süuvent héll,as, !la raldiü f,amiE!ale. Et \cehle"lci ,cesS'el'a ,d'êtve un ,f1léau püur redievtenir une magie",

TI11oi'sième a11gument: là .J'lUsine, tau bur:eau, à la ferme, des lTIlaJchilIlielS in­

génieuses Isont venues IcümpLérteT ou talchltirtel' l"actiiV'Ïrté de l'honune. Pour­qu'üi ~'électTûpihüne, voire même le maJgnétJOplhüne ,dünt il fiarrudr,a bien préslenter urne fois Iles 'alVan1Jages qu'il a;ppOl:te là son Itour en :cilJrus'sle, ne vien­

droit-il pas a~derI' [e maîtll1e à l'endTe une leçolIl Ip[U\S WV ante , plus cüm­pllè'tJe, plus laJotUlellile? Nüs élèves,

mêtme jeUllles, süm 'l'econnaiss!anl1Js et fiea."s dev,ant ~leUors ,camaI1ade.s d'autt'l"es clla'sse:s de ,pta'l,ler dres enregùstl~em'enrts

entendUlS, an ail ysés, güûrtélS. iIlls S'etllftJent le Tooe de liraisün ,que [e tolUrl'!lle~diStqule

r,epil"œenrr:e symbüll:Ï!quemenrt lentre ie mi:Heu ,de['école et 'celui de [la flamiJlle,

ent'11e l'éduoartœün 00 11eur iÏnwHilgence et cei1.ile de \LeUT sens:iJbiil.ité esthétique que !tente J'écoil:e.

Quatrièm'e la'l'gume1llt, pb éoüno­milque et soci,aJl :

TI paraît légitime, -après les il'aÎsüns psychülügiques, de discuter le prüblè­me de l'équipement et ses incideuoos finanoièa."eB puisque c'est ~à un Ides

-126 -

a11g111rnenrts 'Séllreux utill'ilsés par ~es

ad'Vle'11sai,res Id.e fremlpJtO'Ï. du disque. Je r,épo:nd11ai d'lalhOll,d que ce n'lest pas un

vélitJatblLe arguml'enlt, mais qu'il est mllancé püur oalmüUifWm' lIa quiétude prO'fe:ssiünnel,le, ou Jla c11aiUltJe du n'Ou­

veau. De plus ce n'est pas un prü­blème !très i.m'p'Ol1'tanrt. Si ~'ün me de­mandait CümllneIllt P11üc&del', Je rbpün­dl~alis Iqu'H y a miliJre et lUne mlanières de f'aire .

D'ahOI'd ~,a pllus simpJ.e : ün urtiJise sün prüpœappaœil si l'ün habite Ja mla~sün Id'écoile.

S'hl .flaut lacheter un éleCttJrOlphûne, ün peuIl, au .drébutt, IlüiliS'er lIe haut­pal'leur du pO'ste Idte :l,a;ditO 6t là eUlCüTe la Idépense 'est ,de peu d'impüli1;tance : une Iseptan1Jaiille Ide f!l'runcs IpûUlr un bün apprar-eill. Si ['tOn !tient ,à püssé­der deux aplparehls Idi'stinots, il faut o()([l];p.ter de Idleux à trüis 'cents :fil'alJ1cs. (J "ai mê'me vu Técenlrment IUn nouvel apprarei~ d!e qlUJaHté pOfUJr mûins ,de dieux oents d'Il',an0s). Ohaque f ûi's que j'ai cru néoessair,e Id"aJcquéluT un

moyen éducartif qui me pa:1JaissaÏt de VlaJleIWr pOUir la dasse (muilttioOlpieu.l', Ï'illprimlell'ie scOl1aire, é.q u~lpmIl'ent pûlUr ~eIS tl'avaux manu'ell:s, magnétOlphülIle pmr e:x;mnplLe) j'lai 'cherché aViec mes éIlèvles à ra:ssffiIl!hler ,envÎlrün la mûitié

du montant de la f.aoture à 'VlenÏJI' ;

nülUrS la'Vlûns rtrüU!vé de f al'gen'l: p lar urn milIl!aSsalge 'de paJpÎler, par dia ré'dlaotlÎlün d'un Ipetirt IjüUil.'!llM, par t}a Icünfie'ctilOn d'lübj1eitls Iffil cartün, en l1aphia, en

osier, pal' l''O,rganiISiartJ~on d'une il:ütel\i:e, par la 'JtOloat'Ïün Idles Ibr,a:s [es p 'lus 1'0'­

bUlSiIles - ceux du maÎ1:I1:e y 'cûmplüs - ,chez un paysan coonpTélh:ensif; d 'iaultres ftOis eIllICüre pair 1''O'l1g.anÏJstarti'OlIl

d'une matinée scoiLaire : prüdu'otiüns œes entan.ts, 'ou ,chanrts a.ccümpagnant un d'illm l'ü,uré là lLa Oent11alle .d1U film à Beu.'[1le et ohaque floos rrrüfUiS aVIons

reÇIU ~'ra1p'P'ui financier relt m0I1al d:es plarents et prat!: vüie de cünséqu'en!ce omui des laurtrolutés munilcÎlparl.es et scolaires. Reste l1e 'problème de ['laJdhat des clirsques. ,Là enOü11e, la ,dépense ne s'emlb\le pas oüns~dé11able püUlr une cOJlTIImune préü'ooulpée du bien des enflants, Si j',a'V1aÎlS à fixel' un chiHre,

cent fl'a.Jl1OS Ipar lan m'e semhlel'ailent déjlà très Întére:ssaJIllts. li ne faUJt p las ouhHeu.' que .}',inflUJence béné.fique de l' é:dlUloatiÜ'lldu ,sens Idu beau se pro.­

longe hürs IdlU c'aclre de la classe. P'Ourquüi ne pa,s Iprévüir l'eluploi

d'un éIlectrülJnüne au ser:vÎ'ce :des jeu­nes pendant leurs loosm',s? li existe bien un peu partüut une ,bi,bliO!thèqu:e cü'lumlU'Ilale üu parûissilale.

Une autre S'OIlultiün mél'ime'l'ait une étude a1:Jtentirve :

Au lieu d'Iarcheter tüus [es ,dàS'qu~s,

ne püuTl'ait-ûn enrvilS'ager ILa 'Ol·éartiün d'urrre discüthèque entre pJusierurs dasses 'Ou écOl1es? III eXIÎste bien un

musée S'oülLaiœ üÙ r ün peut se Pil·Ü­curel' ,dilaipüs~rtiv.es, trabil.'eJaux murlaJUx;

une cent'l1alle !du f<iiLm ÜÙ l' ûn p 'eut lüUle!r Ide,s fillm's. P'Üurquüi p!alS une dis oothèque arec ,senni'ce ,cIre prêt? li lc101Îtt 'êt'r.e püssible, en HailS'ün avec h \directiün oanrtüna[e Idle 'l"ens'eigne­ment, de 'oréeT une cüOipél'arbive püUl'

é'1luJdier ce 'In1oblème. Reste mminlten,ant à Icliscute{l' Il'e Iprü­

Mème pé:dlagü'gi'que !prüprement . dit. Je pense qure d'eS éléments les pilJus inttéress'anJfJs à discuter sont les sui­VlaJIlrts :

-127 -

Page 8: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

T'Out d',abord les av-antages du dis­

que, ses possihillités d'utilisraJtÎ'On; pU\Îs

la di:cbctlÎ.'Cfue à élarborer p'Our que~­

<JUles ty'pes .de ,disques ; il flaJU:ch'a par.r-1er encore du choix des disques à

taJÏ:re entendTe ·aux en~alJ1i'ts sui vi de qUeJlques exe(JJ:lIp~e:s que j'espère Slti­

:rnJUiliants 'et enfin nlppeler, en c'Onclu­si'On, Joa va~eu:r édUJoartiv-e et ouiltul'elle

du disque à 11'ée'Ole.

Quelques avantages du disque.

L'empl'Oi du disque eSit multiple et permet une .grande s'Oup[esse, une

g'l'ande adaprtartÏJ'On. P la'l"lnÎ ses qualités, J.'elev'Ons sa disp'Onibilité : au m'Ornent

et ·drans les conditi'Ons particuiJ.!i.ères

lies plus pll'Ü'fÎll:Ja.b~e;s, il est P'l'êrt à l'em­pil'Oi. li pe'l'1n~ les l'épétit!Ï.'Ons s'Oit

p'Oill1' Ile 'pilailsir d'écourtreT, s'Oit p'OUir les néoessités Ide l'enseignement. Il esrt fti,dèle 'en 'ce sens que J'éduoateur sait ce 'qu'il ,c'Onrtient et pe'Ult c'OU'lpter SUl' la partie qui ~'intéresse 'Ou SUIl' ilra

t'Otalité de ~'enregi,st.'rement. III c'Orn­

pIète et iSuppiLanrte même l'a J.1aclio. Sans v,'O~'O·j,r juger let crilti'quer ~es

émiÎssi'Onrs l'adi'O-scoiLaiTes, en eiI.il:es­

mê:rll'es s'Oluvent intéress'aIlltes, i~ est b:eaU!c'OlU!p pJus s'Oi(]tp~'e. !La ll.',a,di'O fixe

son he!ll'œ, mênle Isi le :plX>'gl'anlffie

s'ooo,ai,redemande un déiJ.·ari. Elle donne ~'éiIniiSSiiÜ'n une foisp'Our !t'Ou­

tes, s·ans p'Ossibilité de s'Ia!l'J,'êltelr, de discuter, ,de 'l.'eprenJdI,e, de Q'èenrtendre.

Le disque ne remrpl1ace J.'Ïen ni peT­

s'Onne, mais il 'aprportJe un Mément

rinf'O'l~la:teur 'Clans le dotmaine s'On'Ore d'Ont le l'Me est û'OmpaT,able ,à celui

de riiJ.1lage dans Je dOllliaine visuet li est juste de pail"ler ·aiUSsi ,des Hmi­

tes du disque. Le premier p'Oint qu'il

flaUit dis.cu1:'ea.' par,aît êtJre l' 'ObjelCJtJion f'Ond,a:menltlale qu'IOn enrtlend al,ticull:er

par les 'advBllisaÎlies du disque: ce nl!'Oyen Id'en:se:ÎJgnement n'est pas utilli-8'ah~e à l'éc'Ole srpéci'allement plU~oSqu'rÎ.[

supiplime le c'Ontact de r exé'cutant alViec l'/audi'tJeur. Je 'pense que cet rurgu­

Iment p'Ose Sitlllrpilement un {'aux PT'O­b'lème : le IrempJacemenrt de l'exécu­tanrt pral' Je Idisque. Mais je cr 'Ois que,

flaute de m'Oyens 'c'Ompaetrs te/liS que 1''01ioh'esrtre 'Ou 11"aJl~ilslte qualirflié, le

cl!isque permet toute de même un contact bénéfique arvec des œuv,res

inc'Omprwl'a'bles et que, vu S'OUS cet an glle, le rôile du ldisque est légirtime v'Oi,r:e même Ïl~l'ern.pi1aç,able. Pral' le

disque, il' édUJcarteul' est à mê'me de préparea.', d'une mamèTe l·ema;rquable (en p.aT1t'ÏJculier p'ail' ,des écoutes suc­Ciessi VIeS prép,aTèes il11inl\lJtieusement), }',aJUJdliti'On qUlÎ S'el)a d'Onnée plaa.' 1''0[1.'­

ohestre 'Ou le s'O'lÏste réeil.s. P lat' le dis­

qu.:e, je puis f'OmneJ.' ,le g'Oût, le juge­menrt de ~'aUiditeU'r, 'ÜréeT en (Lui une

attitUide (l.~éceptive infinlÎlment sup'é­l"ieure ,à Ic'eliLe quri c'Onsiste~:-a à éc'Ou­

ter une œuvre de brut len blanc, alU

millielll d'une f'Oulle p'Our le moiÎ!lls

hétér'Ogène. Si 1"'On veut cl'Onc bien v'Oir -en 'lui ce qq':hl. est IréeiliJ.telnent: un eXlceJileIl!t ins,tl,ulmenrt de Iculwre, rem.­pili'Oi du disque n1:e 'pial~aîrt itJ'Ourt à fiaillt

légitime. 1!l est lUne autl'e Jimite, tecihni'qu:e

celle ... là : si d'UJne f'aç'On génér,alle, la

q'uaŒité des enregistrementts est tou­

j,'Our.s h'Onne, 'Voil~e Il1lême e:x:cellente

suiVlalllt Œes écliiteu11s, les Iprogrès tech­

n~,ques qui se 'l'éa1Ï'senrt enc'Oll:e de nos j'Our,s (ne pa'rile-rt-'On pas ,déjà, au staçle

e:x:p éTimenttal,d'-enregisrl:Jl'emenrfls stJé-

- 128-

réoph'OnlÎques ?) fer'Ont -qu'un jOil.liJ..', n'O's clisqUies n"aur'Ont plus, ·à n'Os yeux, qu'une Vla1leur Ide ttém'Oins d\me tech­niqUie 'Ou d'une ép'Oque, M:ais p'Our l'ester ·dans le d'01uaine Ide il' éc'O(le, IIl'OS manueil.ls ne 'Û'Ourent-ills Ip'as le mênlle

!rÎs'que ? Et 'p'Ou1l,tant ''On ,distribue cles

livres 'à nos éc'01iers ! Autre difHouŒté: c'Omme du ~:este

1a ,m'anilpuilafti''On Icl'un épildiJasc'Ope 'Ou d'un film, Ile mtalllie~nenrt d'ull1 cHsque

est un peu déliclat, il! sup'p'Ose '~lne

bTève f'O:rmati'On. r]j} e'st Iparf'Ois diirflέciJe d'isoilel' une pa::t,tJie d'enreg'is·tre­

ment si ~'éditeur m'a pas nlléntagé lme

phge ,de r·epélrage. Jre signale ·ces fiairts comme mise ren gal,de SUl'tou1:, p'Our

étvirte<r ,audébutJanrt cles a'Cdden1ls parr­

fa~tement inultÎll'es. Et .ceUe ll~eIll'arque ln'Iamène là pal'-

1er d'une limli't)e p~us séTieus:e : 'On ne

p:eUJt, dlaiJ.1's plusieurs cas, p 'as enc'Ore plal''lel' de C''OUe'ctti'Ons d'e di;S'ques pen­sé·s len fUllIctJÎon des hes'Oins 1clle [,éc'OJe. EnC'011e f>élud::t1a-lt-'Ïtl s'·entendl'e sur lia

flO1l1m'e à d'Onner à ces -enregi.stTements. p l'Our ,m'On IC)'O-inlpte, je pense que ces

di'sques devi''Ont êtJre c'Onçus 'en f'Onc­ti'On d'un empll''Oi s'colaÎTe, mais en

bralIl!IlJissant de l"en'l'eJg;Îst[l.'ementt t'Out c'OmmentaÏ're quri œste à rua chau:ge de Il' é'clulcail:'eur. En eff'et, si le dis'que n'appoJ.1:e pias et ne pel'ffiet pas au maître rt'Out comme à [''élève une

appréhensi''On et une réfrlrexi'On per­soolneJUres, le dilsqure n'a que faÎTe en

cItasse.

Ses possibilités d'emploi,

En me tlimirtant aux expé'l'iences

réa1Ji,sée'S 'et en s'Ongeant spéd:ailement

à l'éc'ale rprÎlll'aire, 'On 'P'e1ltt: admettJ:re

que les p'OssibHités d'emp~'Oi du dis­

que s'Ont nombreuses 'eit variées; j'en signale ici quelque's-iUnes: t'Out cl',a­hOl,d la musique, 'pU!is Ih rydlmirque; les textes littéTaires 'eit (Ires Ic.ontes; en­

fin un ,alsp'ect d'Ü'cumentJah'e, 'p'Our les leç'Ons de sciences 'Ou de gé'O:g11aphie. Aj'Out'Ons quelqures Ic'OmmentJalÎ::t·res à

cette énumél,atti'On Ide secti'Ons. La mll'siqU'e : lIa milrsiqure, à !l'ée'OJe

p11i'maÎTe 'spédail:emenrt, d'Oit êtœ envi­sagée avant rt;''Out ,connue un stimltllrant

libératertl'l'. Sa vel,tu CJaJl'dlÎJlIaJe n'est­

eUe pas une atoti'Ün Isur l'âme Cl'é'a­trice de il'en~ant? On peut éc'Outer de Jla mulsique len Id'Onnant un bref

commentaire intr'O:d1l!Cltif SJÏtuant ['œu­

v·re ou ,signalant ses oal'arotér.ilStiqtlle:S,

mati,s on Ipeut tt:out aussi bi'en, :d"apTès les n'Om!hreux 'es'Siais f,airts ,dlall1s ce senlS,

f'alÎre éc'Outer slans d'Onnel'de c'Orn­mentaÎJ.'e et même s'ans ,d'Oll!l1er rinlÎtia­

lem'ent de titre. C~te technruque, '01U1Î-re s'On acti'On SUT l'âme, sUrr la vie inté­rieure, ,arflf:inte rauditi'On Ide !l'enflant, sa

sensi:billÎrté, S'a maniè11e Id' éC'OlUfteJ.', CiU~­

üve Sla mém'OtÏJre, ~',aJlllèll'e mênl'B à êtiJ.'e

oap/ahle de 'c'Omp arer de:s enregistre­mlents, à ISe flalÎll·e ,d'Onlc u.ne op~ll1i'Ol[l.

Je ·me s'OufVlÎren:s enC'OTe la'VIe!C ét'Onne­

ment de l'a justJesse de:s c'OmmeIlltahes d'enfrants de dix ans m'!explioqurant p'Ollll1qUlO1Î irIs p'réfé11a:Ï.!ent ~'jnte'l'lprétJa­

Ü'On ,de W1a[tlJffi' IG'Oehr à ,ce~,le d'IAndi:t,é

K'OstJeiLanetz 'avec Ile comm·entaire padé de ClrauJde Da'l]pih~n pour le

« ,Calln'wVlal des Animlaux» de S'aint­

Saens'eJt aes nuances qu'Hs sentaient

enif'J1:e l'intte1'p.rétati'On pluis «ldétaiHée»

d'Igoll: Mm'kervitch et cene de W. Goehr «uu rpeu 'p!lus rapilde»et d'uill même élan 'P'Our Je mêmte ·m'Or,(~ea'U.

-129 -

Page 9: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Iii. .faut se garder ,d'ourhllielr que ilJes

enf'amts o.nt une sensi,billilté rdiftf érente

de b nôtTe : là ilJa f'Ois p~ulS v!ÏiV'e et

p ilus bil·ève. Iils o.nt leur imt81'pilié\l:Ja'tion

de ce qnti les to.uche sur le plalll de il!a sellS'Î,bilité et leurs !image,s, leur COln­

p'rélhensiom so.nt Iditf érerntes de:s nô­

tres. Je me rrwppeHe à ce pro.po'S l'alt­

titUld'e s!Ïnguilièrement 'attJ:tentive · des enflall1ts à il'écoute de rpattitiro.ns o.U de

pra'l~ies de c:eililes-ci p[us «llllod'eJ.illes» teiJ/}es ceililes de J'« Oi.'S'eau ,de .fe.u » de

Stl'aiWinsky ou de «PO'l'gy and Bess», o.U enCo.Te de la «Rh,ap,so.dy in B~ue»

de Gershwin. On P'o.JUTl1arÏ!t IdN'e qu'ils

so.nt mo.ins SUII'Plis p·ar Iles disso.nances

que no.us et qu'iUs so.nt s'éduÎt!s pa r

la musique ,conJtempol1aine. J'avairS

déj à eu l'ocoasion de faü'e la même r{~ln:arqU'e lo.r.sque j',aViailS été amené à

traViailler et à Œuém01,iselr 1a sét'ire des

très beJaux No.ëls ,dru co.mpo.SlÏ'teur genevo.is Andlié .. FI,anço.is Mla,resco.tti.

A la deço.n .de rrythmique, le disque

e.st U'Il co.mpll:ém'ent bienvenu. fi peT­

Illet une mémorisatio.n pl'éci:se, ~l

co.nm.·/irbrue à la 'dilscirpiline de tl,a'VlaM,

(il do.!ÏJt être obéi ,à la seco.lllde), à

l'éducati'On :de la vOl1o.nté et ,de l"aUen­

'bÏ:o.n. n amooe Ide Ila 'Viariété - 100 Ill' est

pla.,s to.ujo.urs le pl"o.,fe'Sseull' qui j'Oue -

et p'ffi'illet à l'enseignement un meil­

le.ur co.nrtl'ôle de l'aloquis.

' Dans l'enseignement du fl1anç'alÏ-s,

citto.ns lLe 'rôle intéressant dru disque à

J'a ~eço.n de diction. Il pelunet uille

in~tiatio.n intél'e,sS'ante. Lo.lÏn ,de m'Oi

l'riJdée qu'id rempwace la pTép,al,arti'On

et J'ex:pilicatio.n du po.ème (pal' le m ,aέ

tre. M,a~s il 'aIppo.l1te une vo.ix eXIpri­

TIlJant to'utes les 'lliUanCeS du rteXitle, S'a­

chalnt do.sel' ses eUets, pm'Iue'lltJant à

Fenf ant de ,slais:i:r lia mUsÎ>que et Ira Vialleur ,ill1!oan1ialtJo.i,re etu m'o.rt. Le texte

dit 'Oo.mrnle Imo.:dèle d',int:e:rpré1:Jatio.n,

pe'vmet un tra'ViariJl en 'pl'OIfo.ndeur, n'Om

po.ur o.btenir une imitatio.n p 'lus o.U

m'oins rp'élll1f,ailtte de J'.artiste ((HailS pOUll.'

pell'mettre ·à l'ienf'anrt de 'co.nf ro.nter sa sensibilité à une sensibillité évo.­

luée.

So.uJlrignol1!s aus'Si >son avantage psy­

choJo.giqu:e avec .des lenfrants dès ll'euf~ dix ans; il év.i,tJe Ides po.lLarriSiatio.ns,

des ' tOppo.s~tio.ns iIlco.ns'cientes dOtl1t les racines S'o.nt ,s'OuveTIJt ilJ.llprévrues et

éto.nnantes; de plus, en mertta:rut à la di'spo.siti:o.n ele la ,classe ,des vo.ii.x dif­férentes, m'asouHn:eiS o.U f'ém~nirnes, ju­véniles o.U en pleine ma,tulïÏlté de leur

talent, ill f'adlite ,la m'artl.wati'On de la

sensibiJité e-sthértique ·de J'elllf'ant.

Lys 'co.urtes enregistrés so.nt lt'Orulj'Orun.;

hi'e-n;s a'ccueililis pal' les enf'ants ; ceiJ.la

ne veut pas diTequ 'ills l'e'llil' p1,aisent to.us ; là enco.re leur se,n;s,jrbdlité jo.ue

et sélectio.nne en f o.noÜo.n d·e crÏrtères que no.us n"a,mi.v'OIls pas t:o.uj\o.urs à

co.mpJ:end[re, rn/M'gré les ,eXlpHCJatJÏ'Ons

spo.ntanées do.nnées pral' les enf,ants;

du res,ile Hs 'So.nt bien 1!.i,bTes de cho.i­

sil', de rbagir !.. Les .dr:i.,sques qud plai­

l'o.nlt seTont rlio.'l1jo.ul1S 'Ceux qui o.nlt été

ôn11egi'S,tré;s a'vec 1]?!1ai'sir /P al' IlleJg inter­

p.rètes, eXla<otement co.m'me no.us s'Om­

me'S to.Uj'OUTS as's'l1ll·é'S d'une éco.utte

atltentÎrV1e l'Ors'que no.us co.ntlOns no.us­

mêmes, à co.nd.it1'On de nrous ~a,issB'r

pren:clre aIU jeu lo.rs ,de la pl'épair'aJtio.n.

Là encore le d~sq'l1e-'co.I1Jlle se ju'stifie s'il fiait algir ,l'enfant, s'il. JUli appoa,'II:e

ulll'e «n:o.lllJ:l1.·it>l.u'e» Înltéderure po.ur 8o.n

im'agi'lIatio.m, s,a >sensibilité, >So.n po.ru­

vOiÏlr d'expressio.n par le rtex,t:e ou pair

- 130 -

le de:ss,in. Avec des enfants jeunes, ill

f aud.ra ip'l'endll'e g.artde d',arvoiT rune Jlis­

to.ire ,à 'peu.',go.nnageJS :J.imii~éJS en nom:bre qulÏ s'expl·j,ment d'une manière vli­

V/ante ett t'yp<Î.JqUJe. La' mus11que et les

« hruitages» devro.nt êttr:e discl'ets,

p'l~ésenrts aJViant ,to.ut IpOlur ftaciliteT l 'a

co.mp1réhens:ion .dru. t'eXtte. On deV'J.'a

prendve rgart'/dre, à Il'éco.~e enflantine

spéCli,a'lem:e:nt,à loe que J·e oo.nte ne

so.it ni tro.p ,Co.urt (Ises V'elrtus ffilagi­

ques n',arurai:entt pas 'le temps de se

manife-ster) ni rtrop long (il la.s'SeJ.'ait

ma'l'@ré Ito.ut ['ierJ.f'ant). Si l'~drUc'ateur a en mains un loo.nle t,ro.lp lo.(lJ.lg pro.UT

ê,tre éoo.uté ,d'une s'eu!le ,a:uditi'o.m, ill

p'eut f'Ü'l1t Ibiern, av,e:c quelques rp:réCJau­

tÎlo.ns, en 'présenter cres divers épisodes

en ·deux 'OIU tl'ois séances pais trop es­

paroées les unes des lautl'ie.s.

'L'éco.ute Ides .co.lllrtJes p !ose un p:ro­

btlèlne intéressant : f 'aut-ciJI utiliser des ard.a.ptllltio.ns OiU n"alccepte.r 'qu'e l'e tex1:e

originall? étlant hien enttendu que

cette l~em·arque w:se e:slsent,ÏJeUem'ent

le p'adé (,bien qu'à la rémexilOn on

trouve clans le co.mrneTice des rverrsi'Orns

dites Ide Co.nce'l't qurl. rS'OTIJt des so.Ttes d':a,d'arp:tJaJtÏ.o.ns mtUlSÏJcallelS ,de l' œuv.re) .

ùa Il'épo.ns'e se:mbl1e f o.UliIlie pal' il:a

pr:llltÎ'que l'adiOiphonirque: to.uites les f,oi's qu''On peut rutili1ser l'intégl1a1, on

le f,ait. 'Jrl y a des textes qui ne peu­

vent être mo.ldrifriés. .on sUpipotrte1'1ait

mal une 'V1eTsi'On lalbl1égée d'un Ip'Oème

o.u du petit chef..:d'ooUJV'1.1e ,de P laru

ATène : «ILes har.iJcOOJs ,d,e PitaJugue»,

o.U encore .de «:L':éliXti'l" Idu Révérend

Pèl'e .Gaucher» 100 ho.lll Daudet; on

ent:erJ.dl1alÎlt sans pllailsilr rune «ISuite

trançari1se» ,de Hadh 'Sans so.n meTIll1'et.

M,ais il taut hien ,ardmettre qure le dis­

qu'e a ",a t:eohnruque, Ises exigences qui

SOlU'V1eII1t rédame:rut uille écli.tuTe ireno.U­

Vlelée ; oe 'qurÎ impose de [,a part de

l'la,dlaptJantt Ides 'qulalHtés 'l'all'ieJment réu­

nies ,en U'Ile mêmJe perso.nne : cuiL'tIUre

~itt.tél'a.ire, mU's]caiLe et 'a'lit'Îls1JÏJque, con­naissanoe .de l',e.nf,ant, Ido.n 'd'expres­

si'On. :Sll'i'v,ant l'âge let la rouJlture de

l'enflant, o.n l]?o.UI'I'a [ui faire entendre o.U no.n Œœ deux versio.ns : litt'tJél,aiÏre

et du I(lisque, et lui ,f,aiil.'e l~em,aTqu'er

ou recheroher J'es ·d~Uérences. ,L'es­

sern-viel, à mon avrilS, est que la p 'ensée

de J'autleUJr s'att Iscl"11lpur1euS'ement r.es­

'P'edIJée. }:e .suis par exemp~:e OIppo.'Sé

à tUne te.dhnilque , que rai vu prarti­

quer: supprirmer ·cel'1IJains épiso.des o.U ,1a fin ,du disqu.e ,S'o.UIS préJtexte

qu'i1lls ne sero.nt pas co.mprl.'fis des en­

flants 'Ou qu'i~rS rÏrsq:uenif: d'ê1n.~e tmauma­

rtÎ'Slantrs po.ur certains d'ent.re eJUX. Je

Cl1o.1S :que 'Si l'e d~rSque est biern pré­

senté et [e co.mmentla~.re ·de l'édUJoa­rfJeu,r biJEm adarpté lau ni'V'ealU' ae l'en­f am, la versio.n entière est facilement

alCICerptée plar C'e~Uli-oi.

M ,in de ne rp.as aUo.mgeT ces co.m­

lJ.uernt·aires, lajouto.ns sim!pleme:nt que,

,dans Œes [lreçons de soÎ'ences ou de géo­

gr,aphi.e, :le ,disque sel'a to.u j o.urs utile

si l'éduoateUil' la pu s'assUJrer de sa vaJIe:ur Ido.cumentlaire r(rchants Id~'Oi­

seaux, rmusique falkllodque o.U lan­

g,a'ge .par exemple). (A suivre)

- 131-

Page 10: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Das Lehrerserninar ln Sitten (Gesèhichtlicher Werdegang, 2. Fortsetzung)

R . . LOIRET AN S. M.

L'Ecole Normale a ouvert ses portes au début de janvier 1876. Après les grandes difficultés qui ont précédé sa fondation, son histoire ne connaît, dans la suite, rien de sensationnel. On peut, par contre, constater un développement con,6nu et 'tranquille, mais d'autant plus fructueux . Sous le directorat de Monsieur Georges Hopfner (1876·1899), l'Ecole Normale et le Collège s'établisseia dans le bâtiment con'stnLÏt pour· eux en 1892, au Nord de la P,lar/!w. Sous le directorat. de Monsieur Antoine Mura (1900·1908) , la dLlirée de l'Ecole Normetle est portée à 3 ans (1903) , disposition qui devient définitive par son introduction dans la loi scolaire de 1907. . .

, . k Uer Anf,au g is,t ·s~hwer. Dies giJlt

auoh fur ,das IJehr.erseanrilJllén .. Ms naoh

bugen un d O'ft fast ausweglO's schei­nenden · S ohwi,migkeitten ,die gesertz1Ï­

che Gl~unehlage geL~gt und el.as Leh'l'er­

semi'nia'r selher eroHhet "Vial'; lmunte diteJses h'UIl smillen Gail1lg .dU11ch. die Ge­

sohridhte lantrelten, einen IGang, der, ebs sei zulIn 'VIO'i'nih:e11eiÏn V1enmerk,t, nie

ho'he WieLlen schtlug. Das win ni'ch,t

h'mssen, ebss Idie NO'l'l1l!all'S'oh'llI'e Ï<I11 Lauf'e ,cleT ardht D ezennien ihries Be­stlehens nicht ,das Âuf UIlllcl Ab jecler mensohlitohen Ein ri ohtung geJI(jan'l1t

ha,tte. .Wenn wir in ihr.er Gesch10hte

rumwalzencle Erei'gni'S'Se V'el'lllli'ssen, sO' Hisstsi.ch daJfür · eine stet e, Nthige, ainer nm ,gO' Œl1Uchtba'œre WeiJtetent­wiokilung beO'ha:c;htJen.

Wie wir - bereitsges'ehen h a,b en,

wal' d.as Hans cle T'0111'enté, in wru­ohem maJll claiS neue Lelll1el'serninall' untergeiln'ialOl),t hJattJe, a'IlJfmg~,i'c:h noch

zum grossen Te il 'VO'n Miet~eurten be­

set z't. N aohclem Idiese irn La'llIf e cles

foilgenden J aihres a.usgez'O'gen waren, edebten Pl'ofreS'sO'ren und Schü~er

mne 'al'g·e EnHall'schung: clie frei­

geworclenen Raume wUl1Clen ni'cht der

Norma'l schul'e zur Viel,EüglID1g gesteliLt, sO'11Jdern 'elas Haus l11usste aUich dem

K!0'11e'giul11 Unterkunft IgewaJuen. Für den Augenbl,i,ck mochte cllas aIligehen,

cleun dire beircl<en SohuJ1en zah!lif:ren vel,hahn~smaiSsig wenig ZÜ'gltÏnge. Das

M!i'ssil1Ï'che fur Idas Leihrerseaninar he­s,t'and ha'lllpltlsadhilidl il11 Umst and ,

cllasls ehe iIG'aS's'en des KO'Megiurms die beiden 'l11itrleren 6 tlO'ckwe'1'ke ibesertz­ten, wal1l'encl es .selhe,r mit den oiber­

'sten und untle11s1:en GeschO"S'sen 'V!Olr­lile'b nte'hmen musste: KÜ1che und

E's.sa:le waren j'm K'eilJlrel'g~s'chO"ss, d ie I(!}-als.senzimmer i'm zwe~ten Sto:ck, eHe Sch.\l'af.s ~ae für ,PrO'fessO'ren un d 'Sohü-

1er irn .DaJchbo:den.

Becleutsame - Erei~nisse tr'a,ten in clen . el'sten }aihren keine eÏn.

. 18082 wUil~ele der zweimO'natige Wie­

àerholungslnlilis fur dtÏJe J U!I1gileih l'el', clen cliese wiilhl'eIlid der M'O'naitle Sep­

tel11ber urnd OktO'her im Lehrerse­

minar aUjahrHoh zn ab'solw'eren hat­ten, aufgehohen, /Uncl ,das SchulJahr

-132 ~-

konnt e VlO'n nun an i~11 Mon alt Sep ­temher beginnen, statif. wie bis ,anhin

erst nach Aililerheiligen.

IIl!dessen "",U!chs dri'e Z'ahl del' Schü-1er eles I(,O"Hegiœms und des Lehrerse­

l11rina'Œ vO'n J ahr zu J ahr, uncl da<s Be:dJürfni's naloh geraumigeren Blchu[­

l O'È:!a'Len für he:iJde Institutt1O'nen lnaoh­

te s10h ammer mehr geJ1tencl. D er Staalt entsohlO'ss siloh daher, i,m NO'r­

den der P.l'él'Il!ta einen weitùauflÏ!gen Bau zu el1lÜJchten, deI}: aJJeJn AnfO'r­

del'ungen gereoht ~u wel'elen ver­S'pT,élfCh . Al'clütekt J Û'S'eph die Ka'Lber-111latJteu ,entwlal,f die P 'lane. Baild er­

l'e~te eine Bauste!ltLe vO'n ' .VJailuIDaJfrt mO'numenrtalen Ausmassen die Neu­

giel~d'e der Be'Vo,lk'erung. Da's neue Ge­bauJde, dessen IMaU/eru ûem,},ich rasoh

in di'e Rohe W'lllchS'en, sO'Ute d ,aB iK'O[­

loegrium, cl,as rLelhrmo;semina r, die I(,an­

tousbiblÏ!O'thek WI1Jd das kan1!O'lllla'loe

A11dhi'V beherbe'l'gen. Dem darn,aligen Ze,i,tlgetist entspl'echend WaIr es eilll

Relp ra s'entJati'V1hau, dessen gew,atltiges mi1:tJler,es 6 titeg,enhaU's Ko:1Jle:giUlm uncl

NO'r.lnall sClhulle vO'neinander trennrte. Der Bau, mit Idem mlan im Fliiihj:ail:u:

Ji8'911 hegonnen hatrte, wtUJl',de im

Herhst 11892 fea:üg erstéLlt, uncl . daB

LehrersemtÏnar be2iO'g IJlIIwerzügWicih clie neuen Rauml'ilchk .. eiÏJten. i))er Di­

rekrtJoT, Heu Hopf UN', hattJe IS cJh'On

Z11Ill vO'raJUs heim. Sttaalt die notilgen SlcJhrittJe untel'nmtl1lmen, 'allif ,class rihm

deu: ost'lilche Tei'l ides Geba.ude:s zwge­

wiesen we:tde. Ü:ÏJeser 'fieH waJr nam­

Hch ,dem Stl'aiSsenilamm weniger UJUS­

gesertzt (111892, Wa'S wÜ'l'ide nllan e rs,t heUJ1!e iSrugen !), lalg naher Iheim GaT­

ten rund schien rüherharurptt tfür O r:del1's­

leute 'we'l lgeelÏg'lleter lalLs Ider westJRohe,

der Bahnihofis,tI'asse zugekcllTt'e Teit Zwar el,hO'b àer Pl'aJekt Icles KIO'1Jle­

giU1l11'S EirrspTaJohe gegen die Ansprü­ohe ,des IDirekrtO'l'S, Ido.ch cler hO'he Sl1aaltsl~a<t haue hereits zu Gunsten des l}ertZtill1l1 entschrioe:den.

E s 's<;dJlrte Her'lin HO'pfner nichtt l an ge V'eligonnt 'sein, im nenen Semi­Il!ar 'zn wa,l,ten. AIn 6. Dezember 1899

versohi'ecl e l' lan den 'FO'lgen eines kreth Stall:,tigen HallsgeschwÜtres, na,oh­

dem el' trast ein Vrierteljahrhunldert die Laat Ides Üil'ektOirates Igetragen

hiatte. Der hO'chtbegabte, ti effrO''lIllllle ManJl1 'Vlel,hancl ImtÏ,t e iner grO'ssen

K lugh eit einen ausgesplljO'chen PT,ak­

tlis.chen Sin n ; Iseine 'eisell:'l1e Entei,gie

p alalite sioh m~t wa,h11er Herzensgi1te.

Der Ch ronist oduTf'1!e darUJlll auah il11it

Fug ullid <Rech t 'VO'n tillIl1, dem Eil'sas­ser, s,agen, el' vel,bind,e in einer ~luck­

Hohen und seltenen Misd:lung die h'esven V O'rziige Icles FaianzO'sen '111it

den wel'Ï'VoHsten E'Ïlgensohaften des Gemn auen. Ohne g'rO'sse 'Schwierig­

kteit en h 'aUe silCll Hel'r RO'ipfrrer die vO'Llte Syn1Jp:atJhie unjcl Idas lIDeling~­

sohralù~te Ve11traUel1 ,cler Behoilden ul1Jd ,cl es ganz·en Landes 'erwO'rben. Der D irek t O'T ,des ILehrerseminars "",al'

niloht nul' in 'alIr}en F11agen Icler Erme­

hung u nd ,de~ Unrtel1l'ichltes sehr 'be­wanclell1, el' war 'auch ein Spe2iia'list für Obst- unJcl W1eÏnbau.. ET sprlach nildh1t nul' i n J8O'zu,g'agen laillen Ver­

sammllu ngen icle:s ILehrpm'.sona,}s 'Odel'

der Soh uLiuS'pektO'l'oo, 'sO'nc1ern hie1t

2iahlilO'se VO'l'tl'age 'ViO'r clm' Bauernn

salue uncl Iga,b (p'rakrtisohe DenlO'n­

st11atiO'lllen im ,PfrOlpfen 'vO'n Obstbau­

men uncl ,itm Verecleln cler Rehstocke .. Seine Beeldriogung, Iclie auf ,den 8.

Page 11: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Dezember, IdalS IFest ,der Unbef[.eckiten EmJpfangnis, ,fli.leJl, gestallrtJete siIcih Z'U

emeœ grosS'en Tl1aUe:likulllldg,ehuIl!g. über hundert Lehrer Watl~en troltz der U nbiU Ider J ahresZ'e'ÏJt und ungesoh'eut des weilten Weges - sie roamen, W1Ïe der Ghflon1'st herv'Ûlihebrt, vom Gen­f ersee his zur ,Flurka, ans dem. Grrund und ans ,den hintersten S'mteIl!tMern - 'el1Schienoo, ulm ihl'em 'V'ersrt'otl.'be­Il!en Di'l"ektor Iden letztetn GI'WSS zu entbierten. M.ït iihlHen nahJmen die Bel1ol,den, ganz 6ittoo rund eine zahl­œiche Moo'ge ,aus ,der umiliegoordoo Landschatft 'an ,der Heer d~guIl!g teitl. Hen' Hopfner hatte ,dJiese EJuung w<:l\bl 'ver di eIl!t. Er haltte ,dem Lande s'roue ,besrten Krafte geschenkt UTIld sich ein ,bJmhende:s Vel,dienBt an des­s'en geistigem und will"ts'chaftllliohem Flortsohrivt m'Worben.

Herr Hopfnel" halHe in Iden flast 2:5 J,ahren lSeines Direktol"a,tels idem. Lehrersemti:naT reine soHde Gr:ulllld[,age g.egeben, ·auf .der seine Na.chf'olger ruhig und s1.tcJhier Wleitel~bauen kon!Il-

ten. Zu seinem iNarohfoiger wUflde HeJrr

Alnton MUfia S. M. he:strimmt. AruJdh el' war ein E!lsa,sser. Ms eihemalHger SchU!lcHrekrtor v'on BI'IÏ.g kiannte el' sioh in lden WaihliseT S:clhul verhalt­nissoo SCJhon zi'emlildh .gurtarus. ·Er soi1lte die Geschicke .des Semin'an; 8 J,ahre ~ang ~eitre!Il. ObwoM ihm nriJoht der DYlllamismus seines VOfigaiIllgers zn cigen Wall", führ.te er das Wel~ mi,t Ulllls~cht und El1folg. Wahrend smnes Dil"ektolrates flarnden übrigerns einige einSichnei,dende Anderun'geill in der Schulgesetz'gebung S'taU, und tes wall" 8'eÏIll V'efldierrst, IdalS L~hrel~sermilIlar

den neuen Vel,hiilrtni'Ssoo aIl!gep'asst zu

halben. Am 2'1. NOVIember 1903 -edi-ess der

Grosse Rat ~ne Vel,fügung, laut d'BI" die Dauer ,der N ormallsahuile auf 'clrei }ahl"e el,hoht 'W1H1de. 'I!m Ans'chluss an ,diese V'edan'gelurng InUISste auJCJl1 das StUld1enprograrmm geandel"t wer­d'en. Die zweite ,Danldesspfla:che, dile Naturwi'ssenschtalften und !die Natur­geschild1t'e W1uliden zu obtl~-ga1;ol'IÏ.,schen

Faloh'etl."Il erklaTt. Ln jerren J,ahren rerWatl'tet'e man im

WiaJlJ1œs mit ,eO.ue!' 'gewissen Sp aiJJ11lUlJl!g die Ergebnisse ,der ,al

'ljMu;1i!chen ,Re­

krutenprü.fungoo. Dange Z-eit hin­dUI1Üh ihlatte siJah Ider K.anton 'gJewohn­lid1 mit :elÏ.nem der ~-etz>t!en 'PJattz-e he­soheirden nlÜ'ss'en. NUJIl larher hatlte er sÏJch anm'ahl~c;h vom 24. his zum Il. 'OdeT 1.0., jla mnmlall sogar bis ZIlUTI 6. Ralllig !VIWigea;libeitett. ,1907 ging Dom­herr ,de Cooa'tll,ix den UI1S'adhen clieses For'tschrittes narch, und lel" stehrt !Ilid1t an, ,das 'Vet;diensrt Idaroh in ers ter Lini'e der Nonma'l's'ohule zUlzuS'chrei­hoo, ,die es 'V'erstanden ihta1be, den Bi1lldungs'sltJanld :des Jj~hr,pers'ona[,s und ,dami,t auch dlas Niv>reau !des Untel'­I,ÏJdlwes UIl!d mJithin das der aMge­meinen Volksbi'Ldung zu heben.

Das J ahr 19.07 hed'elUJtete übTilgern.s für Idie Entwidclung -des k;anto!llla1'e!Il SchuJl'wesens ,einen nenen S:Chl'IÏ.tt 1V10~r­

wairts. Herr IStJaaltl'M .B:urgener, der 1904 Vi()rs't~hJer des E'l"zÏtlmungsdepar­t!eI1I1entes gelwol,den war, iha,tJte !die No,tweIlldtigkeÏtt teines neuen, ;den 'ge­alI1lde!l1ten Zeirum·stanJden Ibes:sm" Ige­l'eCJh!t we:rdenden SdhUiLgesetZ'es er­~an'Illt. 1907 legte er Iden Geset'z'esoot­WrUI,{ 'dem Gr'o'ssen iRJat !Vor, der dlalS

-134 -

albschliedete. Es tl,at (llo,ch im 'gdei­ohen ] ahre in Krarft. Die AIl"tJÎk'~l I111,1-

112'5 hefi.llIden über die N'Ûnmal1sd.1ule. A'l"t. 1112 'vel'ankert die Vlel,flÜgUlIlg von 1903, wonach die Baruer Idet" Nor,ma,l­Ischulle 3 J ahre :betragt. 'Gileidhzeirtig settzt el' Hegmn und IEnde Ides ,Schu[­j,ahres lauf ,elie MOJllate Selptelll1he.r un:d Jruni fest. Letzrteres war de facto he­reits srot 18'82 deT FarN. Art. 1!1,3 er­k~art elie zwmlte ILa Il!de·s sp rad1e und die nraturkundHd1en tFaoher, die sdhon ,vier J a:hr,e ZlU'Vor eingefüJll~t

wOII,den Watl'eIIl, aIs 'Ûib~igatoriB'ch. VO!Il eirn:em Musikuntem."ildht ist ,ahèr no.ch ilnl])ler nilcht die Reel:e. Dod1 J,as­s'en g,ewisse Andeultungen in den Annalloo ,des ILehrefiseminrwrs d'arlaUlf

sohtliessen, 'dass 'die'ses F:adl SIP a'Vesrtens serit den Neunzlgel'jtahren des 'voritge<.n J ahl1hunderts wahliSoheiniLi:ch in Forrm em'es Freifaohes regelma'ssig unterr­r,j,chtet W1U.lde. 500 wil11d von einem B:lu'der 'berilchtet, der oUJlll [di es es ZelÏ.t von SiUen Hatoh F'reâs'ta<clt in Oesrter­lieiCJh versetzt wUlide und deI" hiei" Î'm ILehl'et"s:emina,r u. a. a'Ulè:h Mu'sik­unterrich:t (Halimoriium und Vlio~ine) er:tei[t haltte. 1903 hatte der SrtJa1ats!rat, arn:lalssli.ch der erwahntlen Utmrgestal­'tung des Lehlipl."O'gr,am:mes, einen he­sontdel"n Krerditt für die AJlIs,cha:flfung verschiedener 'MU'sikinstl1Umente ge­wathl't. - Die herdeuttendste Neuet"Uug bflingt jerdoJh Art. 1114, der d,ie SCJhJaf­frung !Von zwei Übungshlas,sen vOIr­sieht, muer wrusohen und einer dellllt­S'ohlen, damit in ,ihne<.n die Lehramrts­kanditaten ,in Idie Kunst Ides Unter­richttens eingefühl~t Welden kO!Il!Il'eill.

. Auoh das :so'Z'Ï,ar1e Moonoo.t kommt

im neuen Gesleltz wÏe/der zur Spl~a!che.

nerue 6:chulgesetz atm 1. J uni Vlel"-500 lautet ,AT,tikeil. ,1117 : «Die S:ohwe'l', die zum Lehl'erS'etlninar zuge~,assen

w:el,den, e l,h ad 'tien VlOim Stiaat cine

Untel'stJÜJtzung, di'e v'Ûn erinem Driuel bis zu 2/wei Drlt1:!eJ! elles KosltJgel­des gehen kann. Die Hohe diesel' 'Subvention rilchtet si:ch nach de!Il Ergebnissen der Aufnahme- und Schlus'Srpriifung im Zus'amm:enihang mit deIi Jahres!Iloten. Der M,angel lan zei,tili.ohen Gütern kalllll ehenflail~s in Betr.a'cnt gezlo-gen wel1den ». Es wi'l~d

ab eT, wie dlies Bohon ~Im f:t:i.i!heren Gelsetz Ider ,FaU wa'l", d~e ,Berdingung gesteHt, da'ss [die tSchüller, welche ein'e s1Ja.atJliche Umerstützung 'e11hailte!Il, mindes'terrs ,aoht }ralne hindur.ch ilm I(:anton ZlU untten<Ïlchten haiboo. (IArt. 1211). Di'e 'im G.esetz vOI'ge:seihenen Üburngs­lcla'8S'en W1U'rden arm '213. Oktoh'er 1907 eroffnet. Die ft'anzosische IGasse zi:ühlte 113 Sohüler, Idie deutsche 8. Ms Übungslerl1l1er amtetoo Idie he'Îlden J.\1jalrienhrüder J u1ier ullId .Anll~n.

Bi'e AnJdenlJIllgen irm neuen Schu[­geS'etz be:c1illlgten dne Erhoihung der Soh i.i!l'erzahil und eiifl'e Verrnehrru'I1g der · SchuLlstunœen. Die der N ol'rma[­schule zugewie:senoo Haumli1chlœ!Ï:tern, die 'anlfangrlirch hinlangHch Pll,atz bo­It!en, el'!Wiesffll sirch nun at}·s zu Mein und aJ's zu weni'g ~ahh~roch. Mian m:us'ste auf die 'angrenzen1den Sa~e

Ütbergreifen, ,die hisner dem namlwis-' SlenscihalftJLid1!en M'll'seurm, der' [(Jan­tonsbiblliiorth-ek und Idem kantonalen ' A!l1Chiiv gedient hauen. Ti'otz dies'er .Annexion befland man sich f'Ûr,tan aber immer in der Enge.

-135 -

Page 12: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Réponse à une question souvent posée

au Département

L'école et le sport P'aul CURDY, inSipeoteur cantonlnl de gymna'stique

Dem Sport wird heute eine aussergewohnliche Bedeutung beigemessen, besonders von seiten der oft «fanatischen Beifallstürmer ». Der Sport an sich ist sicher gut und empfehlenswert, vor allem im Zeitalter des Motors, wo man die physische Betiifjjgung immer mehr verdriingt. Doch, wie auf andem Gebieten, nimmt auch beim Sport die Spezialisierw1Jg immer mehr überhand, macht ihn einseitig und mft beim lugendlichen schon nach entJsprechend ein·seitiger V orberei­tung. Diesel' liisst sich leider zu sehr beeinflussen vom ganzen Propagandarwnmel, der auf dem Weg über alle technischen Mittel auch ans Kind herandringt, das selber auch moglichst bald eine gefeierte Sportsgrosse we,rden mochte. - Leider gibt es auch wlter den Erziehern zwei Extreme : ganz gegen oder ganz für den Sport. Und leider begegnen wir auch breit auf­gezogenen Pressemeldungen, welche ResuLtate der Sportwettkiimpfe von Schulkindern ver­künden. Erzieher und Kinder sollten den Sport aIs das werten, was el' wirklich ist: ein Rilfsmittel für die harmonische Entfaltung des jungen Menschen. Das kann (tber auch ohne offentliche Wettkiimpfe und Presseberichte geschehen. Der Sport darf nicht ein LebenlS­zentrum werden, um das alles (tndere zu kreisen hat.

Le sp'Ûrt ! L'un -des 1,ois du monde

ml(}idelne ! La foule dies spOlititfs s'alc­Cl10Îft sans ,cesse, mailS S1U'l'tOUJt iLa lforu[e

des «sUJpportoors», de ceux qui dis:cru­tent, 'COlIl!Ine:nte:nt, conseiNlenrt. Com­

hien 'de mlÎNions .de <<Johel"s amis spor­tUs» recens'ffi-ait un j'Ouruaillislte en m'al

de IstatlÎ'StilqU'e ? ·Le mouVlem.ent SpOT­

tif 'a P1iÎ..S une tellile 'ampllieur qu'hl nous

paraît utile de mous a'l'rêiter un Ïnsrtant - nous, les res'ponsables de la jeu­nesse, maîrtres et malltreS'ses, ,autorités

soolaires ·à rtous l,es échelons - pOUl'

oonsildérer du 'point Ide vue de l'éJdu­oalteul' lles pTolb~ème:s qu'.iŒ nous p'Ose.

Pour l'enflamt, le jeuIl'e (homme, le

SpOT,t est mn e~ce!Uent moyen Ide dév·e-

10ip,pe:r ses ,aptittU:des 'physiqrU'es; 'C'est

en même temps une helle éco[e de

oal'actère, r o'ooasion de 'conllba1tlh'e ses instinots, ses ,co'mp'lexes, de .g'·atfflÏl"mer

dans la Œut1Je. Pour l"alduilrte, dom la vie 'Pli().f'Bssi~nnelle l~édui1t ,toUjiOllH.'S

daViaTIta'ge l'Iaotivité phys~que, c'est Ulle pl'écireuse passihhliité Ide mainteniLr

sOIn :cor.ps en fOl~me, Ide 're"IJarder ['âge du 'vie]]lHsseluent des lal'\tères et des

artimù,aÜons clans un ·conl1Jact sail.u­tailre avec Ja nature. Et SU1,t'OUt, pOUl'

tous, ct Il' étynwlO'gie mème du mot

SpO'l.1: l'lindique, c'Iest un bain de JO:llM

vence, ra,f'l.'aîchiss·ant, ,pUlu.tfriant, un

mervelÏ~leux ldélassement, 1''b\T\aStÏon ll-ê­

vée, la honne s01uÜon au p'liO'bllème

des loisirs.

Le sp0111 est - affillrait être - um

-136 -

r gIianJcl bienf ailtJeur ,de l'homme. En est­

ill tOUj01WS ainsi ? Nous vivons rune èl'le de progl'ès ex­

t11a'OrdlÎna'Ïtres dans ItouS ,les dom,a:Îues,

Oes prog,rès 'al1l'a,Ï'ent pu améllÎOl'er

p'lus cOllisilcléra1blement le 80.11: de

l'h01l1!me, en f,aire plus 'que Jama'Î.'s le rOii ,de ta nattJurle. Matis ,en réallité, la

teohIl!ique Isolllvenlt ·dépa'sse l'ho,mme, et finit pal' l'asservir, Le S'pOl'lt n'é­

oha:p:pe pas Ml ry<l:il1ll11!e eH réné du

P 'l'OgTès. Nous pensoIl'S, bien entenldiU, au lsporrt ,de lla fp'resse et de lia 1~a:dio,

au SpOl11t de speotraloJ.e, à cel lui que

chacun connait et suit, même à son

oorps dé.f.end'anrt.

Dans le SPO'l't ·comme dams les au­tres don1iaine's, la technique est de plus fen p1U1s p'erf,ectionnée, à rteJ

pOlint que seuil l'e spéciall,iste pe:rut en­

core prétend'l'e y jouer un râle. Voyez par exellnple l'e ski : ·il n'y a pas si longtemps, um skie~' de .com·pétition concolwait d,ans qtIlartl-e Idis'CÏpliues :

fond, s,aut, des"centte et sla!loi111. De'V1MlJt

les pl'OgTès de la technique, il flallult se spéciatLiser: concours ,de ski noll.'­

diqule, fond et S'alut; COlll'cours de ski ai1p,in, Idesoente et stlaJom. Et se spé­oia'mselr 'encore ,dans ohacune ae ces 1

oatégories : llte ühatm p'ion 'de ·saut ser·a rareo.llent 'ohallupion Ide fond, et vlÏ:c'e v,elisa. On ·tl'louve même le spéci.a.Jiste

du sJ'alLom géant et le spéci.a1i:ste du slalom sp écial !

Progrès ,de ~,a techniqu'e !

OeJtte IspécitatH'Sation poussée à ou­

tl'ance pemnet ,évriJd'emm'ent une amé­lioration spectalculaire des pel'f'Oir­

Inances, une chuttJe des Il'ecolids SUl' tons les phns, D'autl~es facteurs con­c:oU/l.·ent ,d'aiilleurs à cette a'll1éllÏo'l~a-

ti'on des résruil .. t:Jats. Citons en p\assant le pel,fectionnement de .J'équipeiment.

Par exelnp'le, les pisCÏ<rre:s couvel1tes,

les P1artinoires la'ltlfioiehles pemnettent un 'entraÎneJl1lent Ip~US régulier 'et de phllS Jongu'e durée. AutJl'e exemp\Le :

n'Ia-t"'on pas 'pu lire lrêce:mm·el1t qu'un C1haJillpiün cyclriste SUT pis·te gonfl}.ait

les 'boyaux de Bon véJlo ave'c un gaz p~us légeT que l"aiT ... Un ·arutre faeteuT clétm'fJlli'l1'ant .d.ans l'laméli'Ol'latiron dleJS per,fornllan!ces, 'c'esif: l'entl,aÎne:me:nt du

chaulipion pou'Ssé au maximiU'J.n pai'le

p,l'ofessionnaHsm.e, 'avoué 'Ou ritd~'c!U!le­

mentcamlOllifilé. P,ar rtousces rnJo J1e:n8 , aJVlec l'Iai'die

d'fllne Pl101pa,gande ,sa'V1aJJ.llJll1'ent ordhes­

t11ée, r on est ,p al'V'eIlU à hi'Ss'eil' ~e sport

si haut qu'i'l dépasse ~a taille de l'homme nomDlall. Ici -aussi, souvent,

om 'alss1ste -au ,renJV1el'sement ·d~s Vla­lieurs, et c'est Œ'homme ·qui devient le

serviteur du 1'00 Spo.rlt. D'où lIa néoesS'ÏJté de reeoulir par­

fois - trop iS'o.UiVIent - au doping pour ma1in'tenlT le 8pÜ'l'ltÏf au niveau voullu! Oui, même dhez nous!

D',où la nécess1,té aussi, p 'Olll' les di-

1l.,Ï'g·earnts ,dru Spol~t, de Il."e'~.ruteil' Itou­

jOflllrs .p'IUis jeunes ~es fulturs cham­plÏrons, afin de leUJ.' pell'lmetrtre d'Iassi­miJer plus profondément lia tedmi­grue à r âge p[,as.ti.qu:e d:e r enf,ance.

Alba,i'S'ser ~'âg'e Id'es «'espoirs», éJl'alJ.'igi!1.'

en 'mème temps ~·es hases du i"e'ill"1lte­m·ent : autœmient 'dit, prerndre ptied il réco\l.'e. C'est ·là un impé1,artlif nO(limlal

pour les di,rÎgeanlts cOll'sc~enlts de leuvs

resp'onsa,biHrtés vi.s..là-'VIÎ'S 'de ieur sp'ort. Qui songeJ'lait là le leur l·ep::J.1o'ch~Jl' ?

Oette IÎntl\oldfUio1lÎton du S'pan à l'é·­

cole e'st ,d'autant p[us aisée que l'en-

-137 -

Page 13: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

faillit, ruu jUlgernenlt insuffisamment

fûrmé, est hien ïp~us ,que 1'Ialduilte v.uiI.­nél'ablle à Icette savante rp:rûp,agancle

que nous é'Voqurions plus ihawt, Son

besoin de mÜUiV'enl'entt, ,de lutte, sûn

enthousiasme jlU!vé'niHre le poussent ir­

résistibŒleane:rut 'Vers le sp o.rt , Iil. veurt

imJÏ.teT les cbarmpi'O:DIs que lui pll'és:en­

tent ,}ta rpresse, !La l1a1dio, le fiihn, lil veut être chrarmpi'ûn, Et ~!e spoo.~ de­

Vlient rS'ourvent Jie ce'nJtre de ses l~lV'eS,

la rseule O!CCUlpa1io!Il vaJalbrle pûur ses

lûisirs. Queililie est 1'Iatti,tUlde des éduoateurs

à l'éga'l,d ,de ce müuVlelInen1? Born

nomhl1e ont p'l<tÏ's 'CÛ'lllS'ci:eIlce de rC'er­

lJaines eXalgél,at~'oflls du rsporlit, des ,dan­

g'ers ,qu'eJl.es pTésenrten1 pûur le COl'PS

~ l'esprit de l'enfiant. Estimant que

les jeunes ftQn!t ,déjà ,assez die sip'orit

sanlS eux, i:ls 'Ont Ialdopté une artrtitude

nég,ative, irnteld:isaTIlt loe sip'Ort à l'éoole,

le ,fil'einant p.ar t'OUIS les mûyens du­

rant les Iloisirs, aMant m 'êm:e, ipt3.1~fûis,

jusqu'rà engloher Ila 'gymnaSttilque S'co­laÏTe danlS ,C'et o'str.aicisme: ,Mra;Ï,s la pûsition die ,ces per..sonnes n'la pour

Il.~é\sulltat que de les Is~pra\l'ier de lia jeu­

nersse ,qui, 'ma~gré erUes, s:ans 'elle's, s'en

Vla verrs Ile 'S,POltt et éiohaiplpe il [erur

infiluence. D',autr88, p raT conJtl~e, s'Ont

l1é's'olument po'Siti,flS. Parr gOllrt p ier..sûn­

nerl, ou bien céi&anrt là la p.rtessi'On des

éJlèves elt des m:it1ieux 'SIportifs, iJs Ol'igia­

n1sent pûur les enf'ants -des tournû!Îs,

ohampiûnnats régionaux, COUCûllU,'S in­

tt:er,s'oohllilrets, mettant ainsi [eur presti­

ge lau seI'vi'ce du sp'ovt. Oertains ne

,cl1airgnent p :as de faire appel ,à rla

IpreSlse ,p 'o'llr Idonrner p[rus d"effioaJcilté à

leur actÏron. iN OlUrs iJJi:si'On!S l'hiver p 'as'sé

dans un journall J.o:call le compte- '

,renicltu ,d'un .cûncûucrs de ski. pour en­

fanltis - 'ol'gani<..sé nûn pair urn cl1uib, m'ais p a,r l'éoole ! - où l''O!Il puh(]jj:aJÏJt

18\5 noms et les résull1la'1:Js Ides jeunelS

C'OIDOUlTeIlltJs. Elt ce n\~ist 'pas là un fraJÏrt

uni'qrUe. tPlaUer lain'Si Il'amlûur-lpropre

de l'eiliflant, n'e(srt-ce rpas eXfagél'er en­

oûre ri'lIlIp'Ol't'a:IlIce déJj à ttrOip Jgl~al1!de

qru'itl aH/alohe au SP'Ol,t ? N\~st..(ce pas

le jeter préma1Jur,éanent ,dans [e tûurr­

birHûn de h oom'pé1JÏition, cOIurir le lis­

que de le vûir atl'lii'Ver trûp tôt sur le

Mlal~ché 'aux Ve'Clett:te:s ? QUeil doit dOnlc être le rô[e de

l''&co1e ? ,Po'Siüf, cer:te's. QUJe nous le

voulions 'Ou non, nOlUs devûns tenir

comlpte du Sp'O'l1Ï ,clans TIOIlli8 trt3.v,ail

s'cûf1aire, dans l''Ol'g:an'Î.'Sati'On des l'Oi­

sirs, Une atrtitUJcle négathre n'est pas

diJgne de J'édwcalt'eur; 'C"88t la làche

pûHtique ,de l"arut'rulcJhe.

MlaitS S'û'll'VeIJlO'IlS-IJlûU'S bi.en que nûtre

rôle n'est 'PaiS Icle pous'ser à ,cette !l'DUe

qu~ toulne ,déjà hi!en vite. N orltre l'Me n'elst p.a.s ,de dbteCilJer ,de jeurres «es­

pÛ~l'S», de spélc'ÎlaŒrisel' nûs ,éIlèves, en

'lNl mût, cIte s'ervir la oause du spm.iI:.

Nûus devûns nous servir du spûrt

comme Id'un (mû yen d'la:ccûmpHT nlOtr'e

tâ:che. Ut::Hri:s'er ,eet ratltl,aJÏJt Ide lia 'comp'é­

ti'tJion p'OUl' ,ftarill'e jouer, ,fa'Ï're ilJl,avraÏtl-

1er, et par là IdérVleŒopper nos élèves,

mais tûlUS no's élève:s, les faJilb~es plus

enco:œ que [lies fÛl't'S. IDév'eJloipper tûUs

les spûrts, m,ais seuJleInleIl1t dJalllS lia

mesure 'ûù i,Js sont s'llsoeprtribiles de

oorn1ll,ibue'l' à la fOl'imatJÏ.ûn ·de l'enflant

- et nûn pa'S exclusivement le seul

sp'Orlt que ,l'ienfraJnt 'cûll1!I1,aÎt et prartique

clams tous S'es lûisj.l~.

PI,açons au centre de nos p,réo:c:cu­

plations l'éduJcalJÎûn 'Stpor,tiVie. o l"g:a ni-

-138 -

r sons des tou'l"l1ûis, ,des 'concûul"s, ceT­

tes, mai'S à ['écJhe\Lle de ['enfant, drans

son cel"cle 'l'lestreint, salllS puibŒlÎc ni

prl'e'sS'e; et tâ,dhons pIaT iLà de f ahe de

IlIOS élèves de "'l'lais sp'ortifs, 'arimlant

l'efiftol't, jOUiant pÛu!r le seul p['aisiÏr

de jouer, ,av'etc un eSlpl,it ,üheVlaleres­

que, reSlpe:citlant les rèrgleis du jeu, i"e\S­

pe:ctJan1 le pral'tenai1"e, l'ad vell 'sa ire,

l'ra'rbitœ, sa'chant sie m raÎtriser en rlJûiu­

tes Ciil·'COIl1'S,talJ1Jc:eJS. Et sur,tûut - et lava'Illt tûut - ai­

dûns nos élè'Ves ,à l'aJi'sser toujours l'e

SpOTt ,à sa juste p~lace, 'ceJhle d'un dé­

lassement, ,d'une ,déJtJente. Si le S'pO'l.it

paJl'vient si ,fra.cHelment à exasrp'é'l'el'

un chaurvtil1'Ï:sme stwpiJde, c'e'St bien

en palitie pal,c'e 'que l"écoiJ.e n'a pas su

r,empHr sa mlissiün. En 'pll-élpar:a'l1't ,aJinsi de vrais Slpû:r­

tilfls, équiHhrés 'pihysi'quement et mo­

l~a~elnenrt, UOIUIS ,éllooompiLi'l."On8 nûtre

de:Vlû.ir envers l'élève et Ila sO'ciété.

Illidirectement, ]))OUS aurons lau:ssi

l'en,du ser'vice aJU monde sportif plutS justt:eil11tenJt peurt-êltll.·e qu;en ûbériss,ant

aux 'vœux die IcertalÎns diri'geants SpÛl'­

flifs qui, ne ,rûuhHonlS p'as, n''Ont ni

les mêmes re:sponsalhillités, ni la mêm:e

mission que nûUlS,

PARTIE PRATIQUE

COURS CO!MPILEMENT<AIRES CENTRALISES

. TRO'ISIEMtE ,PARTIE

HYGI,ENE D,ANS L'ETUDE DU SOIL

ET DES ,ENGRAIS

Leçon 1

1. Les composts favorisent l'hygiène de nos ménages.

lJ1s pel1meUe'l1lt ,d',élianinen.· : a) Les ,dléche.ts d 'e loui'si11Je (O's, pel1uœ,

déchells idti'VICll's) b) Les oendr,es de ho'Ï:s ,c) Les hailaY1lll1eS Id'es COU.liS, des arlIl,é.es,

les rdédhel1S Idu 'j'a:pdiÜl po'~ager 'et d'<a'~l,é·

luenl1s

d) Les 1I.1bsiJdtUls .cl. ',arha,lllial!;le rd 'Ianimaux ,( cl é­

poruirl1e, lPorillls, elle.)

e) Les tfioo,ill1e1s IJJl'OJ.it:es pa:J.1semées rd'ans 'l'es

aho11d:s cielS irmmelUtblh~s

f) La 'nei'~e (J.1a1cl1ée. (N. B. - Le m~11eur ,absol'hanlt de ce's

dé.chets leJSt ila Itom.-he).

2. Précautions à prendre lors de l'épandage des engrais et plus s,pécialement de la

cyanamide:

a) Avant Id'e Isenner, ,s'elllduh,e [e's mains

d'un Ip'eu :d'hrui1e

b) Ne 'PalS ,semer [o~l.',sctu''Ûn ,a des piliaoies

O'l.lV'CIl·,IJeS

-139 -

Page 14: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

c ) Se iproté~er les )'IBUX (ilun:ettes )

d ) P011ter des vêtBments 'et ,d'e's [chaus&u­

l'es se f el'll1ant bien

e ) Ne 'p~s fumer ni COl}'SOmmer d,e-s bois­

sons aJlcoo'l iques

f) Epand<J.-e par temps oalme.

3. Précautions à prendre lors des v idanges de fosses à purin : a ) Ne, pas pénétl1er dmls une fo'Sse q ui

vient d'êli1.'e vidlUllgée ([ad d e Ica,riboni­

que e t <atllil1es Ipro clUtits ,g'aze ux)

b) AérBr ,as'sez [ ong'u ement

c) S'a1ssU!l'er à Ul1!e c01'fde e t tlJen~r dev ant

,soi rullie b o:u g[Î'e rall1umée

d ) Si [a rtil amme Vlaoillile hruyamment OiU

s'éteinlt, r emonl!er rimm édiMem ent à l,a

,surface.

4. Précautions dans l'emploi des engrais de vidanges (WC) : a ) Ces engrais contiennent d es gellllnes

pathogènes pour Il '[homJ11le (Tib c, oho­

lér,a, tyiphus, etc.)

b) Ne pas vid anger 'p a r temp s chaud

(acide lSullfhydriqUle )

c ) Ne pas les u liillÎ[ser 'en couverture (,tou­

j OlU1S enf ouir)

d ) Ne j'aluais a,es [em ployer pour ,l es MglU­

m es, flJ.·,aises '8ft a s:p ell·,ges

e ) L es (m ettre len 'co:J.TlJpO's:t inc011po:J.·é d~

lIoUl·he 'e t r ecouvllÎr dte Ite11re.

N . B . - 11 f,au t souha<~teIJ.· Ja dispU'l,1έ

tion là ibl'ef d élai Id'e tons l 'es W[C

à vidan ge. En cas Id',bpid[émiJe !ÎIl[S

sont un v,é1'il'aMe Idanger Ipuibltic .

5. Les fumassières ne doivent pas nuire à l'hygiène du village: a) L BS ,étahlIDr ISIŒr rune fosse ,à pm',in, étan­

ch e, 'à [l'ombr e, à ['écatit Id 81S mad1s'Ons

d 'hahûta'tÎol1.

h) L es 'enl!asser réglUilièremBl}Jt, Iles (recou­

vrir d e ,tertre

c) Le pUll1in ne [do'Îlt 'pas ·s'[écoU!l[Br d lanIS

l es rUBS

d) Les leaux d'e IpiluiJe 'e t d"écO!Uilel11ent

ne 'dO'i[vent pas fOlïll'er d ,es H~ques

'sl'agn[an tes Ipr èJs Ides tfumiièl1es (1l<ÏJe.ux

propi oes à l a p uiHu il'Mion dies m ouch es

Bt mousliiqu 8Is . AiJ.'r ê:lié du ConseiJ

(1'Eta t).

Leçon 2

les engrais minéraux et l'alimentation humaine.

1. Les : 'englJ.·aii:s am éJHolieIJ.1t [et équi1lihl'lenlt

la valeUil' il'l1égul~èl1e Ide nOls sollS et ailri­mentent e n Ph, BI1 K ,et len .ca Les ~égtUlIDe6

et flJ:uhs l11éces,salÎl'es à ['ho'l11J11le

2. Us apportBlllt Il es ,éMJlIl1Bnlli'S m runéi',aux né­

c~sS'ad'l1e~ à ila conSltri,tultio'l1 IdiU s 'qill'e\lelvre

humalin . (Ca. P ,h . K . 1Re . Si. S. Mg. )

3. L'[ap/port de:s piho!spha,lJe's 'et de la chaux

d liminue ~ ·l e nombre des malaidri.'es os ­

seu ses (d[éJoalldf'ioation des os, ra0Mti-sme, e tc.) -

4. Les sol1s 'luches e n magnéSlÏe offrent une

p:1us ~1a1'Lde Il' éstÏ!stanoe au dév-eilopip'erment

du 'canceIJ.·

5. L'IBmplloi 1d<e'S 'eng11alÏJs minéraux n'a au­

cun:e 'action carllcél1i:gèn:e .

Emploi des engrais a'vec excès .

1. L'atholldal1lce ;d'e 1',azo1Je 'l'errd les l1égumes

e t l es fi'lults molÏins 'savoltmerux et p[iJ.lS

s:en lSihl8ls à 'la pOUtlll'ÏJlJU1'e ('conseIJ.·iV'at>ÏoI1

diIff~cille tant len oav'e qu"en vaSe dos.)

2. La po.tasse [ut1Ïllilsée avec leXlcès donne aux

légumB's deJs Ipl'Oplwél'éJs eX'a'gél'lément ['axa­

Ili,nes (,dti'al'i'héJe)

ne ce fai[t :

a) eLle nJllÎ't à Il,a fOll1mation d leJs ;tJÏiS'S:US os­

seux

b) eHe m 'Œ:JriJfri'e lIa ICOIIupositl1ion du lalÏJt

qui P'e11Jt d'ev;ellli'l' Ïlmpropf'e:

1. à 11"a11imental'ion des bébés

2. à ~'a ,fa:bl'rcafÏ'on du fromage (gon­

t11emernt SOIUlS press.e).

Les engrais minéraux et le cancer.

On enlJend ,somnent l,épéter que ['inquié­

tante ,au~m'ellltarl'Îlon ,d,eJs nnclad·Île's oanobroolSes

est ,due ,à 1l'lUitÏJlisa'tion cd"engil-alÎlS minéraux

clans l"agt11outLtm·e. AUOllfl1!e preuve n'a pu

paul' l'lÏl1stant êt>œ IalppOil ~ée . Des 'O'b serva­

tiOJ1lS farites à de jour sont pJutôt en f/avoo,r

de l'ulti,J,ilsalli'on il'alti'onn'eJle Id'e!S 'elJ1!grarils miné­

l'IaIUX.

La S'Illi'sse ,qui He CO'J1lS0TIlme 'en m'Oyenne que

2,2 IQg ,d,e po'ta'sse à Il'ha de terl1t~JS oUillti'V'é8lS,

a une 1l10rlla[,i:té D'al' oan oer de 173 p 'O!Ur

- 140 -

10.000 hahitants. La BeJ'glÎque qu~ con omme

61 k.g de pOltass'e à l'ha, lU une IlllOl·,taJÜJé

p arr IOaJlIeer ' de 117 p~. 10 000 h ,aibitants., En

F'l1ance, iJ.e s ~'égliol1!S Iles iplLus lalttetÎlntes ip'a[' !Le

eanoe,r , ,S'0111t ilels, r :égionfs ,du 'Oootne elt dlU

Oenlil'e-Est, pail' cOlIl1séqwel1Jt 'p'llIl'l11Ii 'oeale;; qui

C(}l1'somment !lie 1lll0ŒIlI~ die po,lialSise et même

d"engl'a'is dte tOlUltes s'O[·,te.s. Les mineal11s d ie

potalSS'e, ta11lt en F[',anoe qU'len Allilerma gne ,

ne Ipl'éSBl1Jtent Ip'as 'Ull p(}'U'J:oen[talgJe d ie canCié­

r,eux S'~péDi[ell'l" aux 'aUltJr,elS rtr,alVla,iill~em1S , !aJlOl'S

m ême 'qu',~Ls ~lJÎVle11l t ,Bn COIJ1l{1a!ct laJVe c J[a pous­

sièœ d es ISel1S rpo.ta[SMCj1Ues.

Si le oonOBr s"est pl~olpU'g,é ,à no,tl1"e époque,

.le:s loaUS 8IS les plUIS impOl'taTL~e,s 61ed'a!ÏeI1lt

l e:s 'SlUivantes :

1. Le tOanceIJ.· éta~1It une malhrdl~e dtegtenlS

â~és, J·a ,prOipOilition d 'e.s mO'l1lJs D'al' l'e can-0 811' ',S'(8)st a00l1u e en mêIne t'ell11lpS que l'a ,l011Ig,èvu.té.

2. L'Jl'Ygièl1'e ,géné.l'aiLe ,a flalitt {l,ûmiufUer [es

1'aV<llges [dte J,a ItJUheI'OUllo'Se, maIDs Le ICOillifo:l"tt,

l'e manque d'!eXlercÎJoe Il:,éd'Ulis'ent l'oxylgJé11!a­

tion 'pal: un:e Idœrnlinu,tion de b resip[.},·,atÎ'ou

p.rofonde. L~s rtJÎJssus I~ J'[oll',ganisme 1S0nt

ainsi préd'is,posé~ taU o léVlelo:prpemerut 00'11-

céI'eux.

3. L'hygiène anmentaiœ ~t de plus 'Bn plus n1lauVla,ilS e, à me\5ure que Is'[éJève le nQ'Veruu

d'e vi'e:

a) 'excès a.Iimemail'e, faJti~'e du f'oie, d~f­

fiou1tés dre Jla oi['oUllati:on dlU lS'an,g

h) aJl~meJ1ltaliÎon i 'J1Isuf.fd,S'ammBnIt 'VaiJ.·.jée en­gendrant d ies car endes

c) oOllls'ommJatiolJ1 1d"allÎJme11l1is ;dle IJllIa:uvarÎse

qUial1itJé · [corilJena'11Jt 'd l8ls 'g'l·a.ÛS1S8IS pOllitées

à dels tB111D'él'alJUl'8IS ·tJw,p éJe:vées

d) collol'llIllllis syut11lét,iques IOall'Oél1Îgè11les

dans le s hUÎJles, ~l'aJisses, 'cO'J1lSeI'Ves,

confi's:er1es, gbCles, hO'j,ss'Ous , l'ouglels

à l'èVl11es, e1!c.

4. Ahus Ide Ila fumée ,d'e ,tabae (acliitOn oon­célugènedu gOIUJ(h'on, tOaI1hU11e)

5. La f.al!i'gue 11leIJ.1VeUSe c{[réqUienil!e à notIre

~o:qUJe Ide mécanilSll1'e

6. 1I1Ï'~t!a,lii:on pro~o.ngê'e, ICOUp, ,lé\5IÎlOIliS o~~gan~­cFt1es peti,vent lS'e 'tl~am~fo'l'Jnm' 'en canlCer.

Leçon 3

La nature du sol influence l'hygiène des habitations.

1. Le lS'OJ let l'holll1!l}1le Isont [intÎlmemle11lt J,iés

2. Le [SOlI iÎnlfJfuence Ja Isallwbnilt!é de iLa nm,is on

d 'habilla,rion

3. Le BOl} Jéger, peIJ.'méable ipe'l'llTIet aux eaux

d'éoOtUtleme11it (d e d'Î'spa'l'al'lJre 'mpid'8fme nt.

Alh0l1ds p1u:s saüllS let Ipl~o:pr,81S, r1a f 'eI'llTIlelJ.lIta­

tion miClO'OO'ffl1:n:e s:e f,ruit Itrè's d~H:iciJ18fI11lent 4 . 'Le soJ lU'dITe en maltièJt1es org.aniqUies peut

absOlIDer une gmn:clIe [qtUanlJité d ;leruil. iDan­

gBr d'e lfeIJ.'merlll'al!ion m lÎlcl101b:ÎJe.nne in.lJens'e

(ptl1ésffl'we Ide ,pathOlgèl~eJS : l1bc, typhus,

téitaU()ls, Id'ilphlJél'ile, oha'l.mol1, s'rung d 'e !lUte,

pneum'oJlIire)

5. L es 'Soilis cOll11l)Jacli'S oflf:r ent de g,rand'es

d,~f,fiioU'Ltés ·auxinflÎlllil·,ai:ions {l'[eau, pro­

tè~Bllt ~'[hahilJartÎon ~ol1ltre Iles 1ÎlJ1fHltl'<at,ions

d "e:au ,d,e f O'sses -cl 'laisa'llCi8ls ,du volÎlsinarg[e,

O'f,flJ.~eni IdieJE (l'ang,eI1S (tproipr,eté dlÎff~'ClÎJe,

fThalqtUles ,d"eau Istagnan~e, hOUle, rel1l'[e ~M6-

sanllie)

6. Oh oilsill' IP0IlÎll- oons.tru.ire iUn so~ 'sa<ÏJn, assé­

ché, Jég èJpe ipBnte

7: IMserVier une lpal~lJie du ISO~ pour wmél1a­

gel' un Jardin d'agl1éJ11lBnt (f,raÎtcheur, 'tr.an­

qui1li'té, mo~ns ~:1<e pouslSière, d1alrme rha­

h~1!al!ion)

N. B. - Autl1e ,suj'et à u';ali'lJer : la v~e mi­

orobi'81I111'e ;du !S'oil [elJ.l 'colJ.'l,éilation avee

la bactélii010'gie e n gél1Jér,~.

·QU'ATRiEME PARTIE

FRANÇÀIS

Lettres en ra'pport avec l'étude du sol et des, engrais . .

1. Vous laVl5Z lpil1éili81vé .des éohallltiilllo'Il'S dans

un 'l!eI1min d l6S!liÎlJ1,é il la [QwllJUre d!e ~a

vÎJgn:e. D lelJ.naJ')id,ez [à l1a Sl'aliÏon f[&)!é1'ailie

d'lB.Ssruirs ./et de !Ol1lÎmÎle Ifl:grioo'l'e à La~sal1Il1e d<e hi'en vowo,i,r arraJ1ysBr lliBS <l'el1l-e;s en­

VOY.éBS Ip'ar ,co!làls lSé.pall1és et d ie ViO'llIS 'l'Bn­

s:ei,gner BIll1' Je pOIl·te-gl'e:flf,e leit le oépa:ge

les l~IÎIBux adaptés à iLa nature d ie ce sol.

2. VtOfUIS d ,ésiÎll'ez cLMonceIJ.· il iLa pe1ilie méca­

ni:que <lil l'el'IJ.~arin leIl piLaiI1!e (ou en cOlte'au)

,de 2500 m 2, DBm~n:d'ez à l'BntJ~eipll,ise

-141 -

Page 15: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Bal'ms, <il GrangJe.s, Ide '\T,OUS [lalhl.'e des offlVes

pOfur '1"eX!éoulIi'Ou ,die ·ce Itravait Donne.z

Les l~tmlS!eign:en1!eIl'''s ~1!(~c;ess'aü:e.s afin que

1'elllu'e'pl1Ï.<s·e IpIUIÏ!s'se fla'Î1œ ,d'es o{fJ.'es sains

équi'voques. 3. ,L"enh',eplûse Id'e ,d,éf,o-l1Jcement A. Ban-as

'VOfUS i 1bpond. E~Le ViOUS donne Je:s condi­

liions 'et Ja dalle à [J'a.rlik ,d'e .1aqll'e[~e eNle

peut leffectuer le Idéfoll1'CJeluent.

4, VOIUS pos~é.d,ez un telT,ailll s,aWp'éiti1etUx. Die­

mand'ez à M. Widi11l1er, Ing. A'g:t'o1l01ll1.e à

Châteaulleuf, 'ce qu',iJ but lfahl.'e p 'our l'e­

méd,joer à '1"étJM de ,ce !SOlI.

5. V.OIUS possédez :une gralldle Isulîflace à défini­

cher, ,très 1Ï11réguHèr.e, d,écollpée {l'e bals­

{,OIl1d,S et Id,e 1ll1011!liiiOuilies. nelll1andlBZ au

<Géomètre OaIÏ111'M1d, ,à .A!l,dün, de prO'(}éde!l.'

au -piquetage len 'vue d'\Ul1 'l1lÏ'VieN'emel1lt 3IU

tJrax.

6. P,a&Sffl' rtlue ,cOi111!l1land'e d'lBng11alÎ!s.

7. Deman:dm' IdleViÏ!s pou.r tD~1.S:pOil:t d ie il'efl.'l'e,

de fumier, d'engra:Ïls.

8. Demand,er <il EOS ÎJ1(l,emnité pour dbfon­

oement là la pellJ1e mécan:1qwe SOUIS Lignes

à hruute-:ten&Îon,

9. Mem 'aux PTT ()lU aux SerVii,ces IndUlS­

l'riels pour détourne.r les Lignes.

10. Demand,efl.' un conf,él1enmiefl.' pour unie as­

semblée agdcoJe ('eug'mis, illJss'ainiS's'eme.n1t).

n. nemall1d,er d.e l ,a ,dooUlIllentation t'>'ll!l' Jes

ellg,rais tà ,la FillJhdque des pro,duitls azotés

,à Mal,lIigJny 'ou tà rla Lonza il VliègJe.

12. Demand'er prix d,e ,tuyaux d ie dlminage

à Matruwaux de Construction, S. A., Sion.

CINQUIEME PARTIE

ARITHMETIQUE

(7 sérœes) 'en ralpp0ll.,t aVietC l'éJtfUde du soo. et

eles el1!grais.

Etude du s'ol 1. Un qU~IJ1l1aJ die bonne l'efl.'i'e compl.'em 60

kg ,de sable, 14 kg d"a'l.'gÏJle e!t 18 k,g de

oa1cail'e . .Le soild,e 'est formé pa!l.' l'hrumUis.

QUl61 lest i1e poids die l'humus conit!enu

danlS b l1e'rr.e Iflertile d'une .seril'e de 4 m

de long, 1,20 m rd'e [arg'e let 0,40 m de

'profiond, 'si rl!e m 3 de Item'e pès'e 1620 kg. ?

2. P.our amélioil1el' un j lall.'din llirop humÏJdle

vous av,ez amené J.O 'oamionrs Ide lSalh[te.

Le pont du oalluiOill Ime&11ll~i,t 2,10 (1.11 sur

4,50 m elt 0,30 111 ,die pimfollld'eur. Que

VOIUS a I COÛl~é 'oell~e 'almérl,jooration ISli we

&ahle n~Itdu 'SIUI.' placeeslt '~aCitUl'lé 15 fr.

rIe m 3 et ISIÏ !},'éJpand'a~e ,a l1éCieS&il'é 2 h. ,de .fr'clX à ,f:J.'. 24 ,l'heure?

3. L"anaJyS'e die Il'a 'l'el'l1e Ide 'VO'tœ Viigne

donne 40 °/0 Idle ,oaloaire, 4/12 d 'e s'aMie,

1/0 de ['ar'gille et Je so1d<e leiSt C'ons,ti'tIué

p 'lU' rd'e rl'huanus. QUe/lie tes.t en [tl'actiolJ1

la qwantité Id 'hfUU1!US 'qUie CO'lltÏ!en!t certre

teI'l'e?

4. POlUr tCll'alrgeI' une w 'g,llle Ide 630 m 2 die 1'0-

ohes \S'chis,tewse5 sur Ui11'eépalÏs'se.w: de

0,30 1111, m la ['ail!1u ICOlnhien de oan1Î:01l'S de

3 tilla?

Amélioration du sol

1. Vous ,R,"eZ ,aJahte~é rune pliO!pl,Lévé d ie 65 m

de long '&11'1' 62 1111 Ide [~"gle ,à fr. 1.40 !!Je m 2•

Vous payez Ipour ItI'a"naJUX de défoiJllce'lllIent

à la peliLe 111lécani'que 37 h. là fr. 27

1'heul'e ,e,t pOUl' Le 1l'iv,eiliJtement 40 h. d'ou­

vl1Îer là fI'. 2.50 'l'hoo11e. A 'conwli,en

ViOUSl'eViiellllt 'oe'lIte pr,o:plûétté ?

2. Vous Ipl,éJpal'ez -cebte Ipropl,iété !pOUl' j&'­

din. fruitiler et vous I3Ippol're,z le.s am.en­

d 'ffiuentJs et 'engJI'la1s ISUiViautS :

40 boues d.etoU!l.'be à fr. 9.15.

200 kg ,de suWfraltte 'd'lamlmol1lÏlaqrure à f,r.32.50

'~es 100 kg.

200 kg Ide 's'ru de pOitaS's'e 58 Ofo il fi'. 25.50

300 kg d 'e 'S'llIpel1Ph.o's!phtare 18 Ofo à fil.'. 24.-

10 kg d ,e bOIJ:,ax là fil'. 63.- rl:es 100 k!g.

A ,oomhien !Vous revlÏenlllent üe\S fumiUtres

s'iJl VOI\IIS ,eslt laCicordé un 1l.1aibaiÎls de 1,5 °/o? 3. ,Collu:bien VOfUl'l 'a coûté la fumure d 'e l m 2

(réipons.e là 1 mi,Uième) ?

4,. Pour 'pay'er 'toUiS les 'achats lCÎ"dessus vous

avez obtenu un prêt h,yrpotJhéoair,e. Que.11e

anllui1té {l,evez'VoUis ip'a')'ier ffi la banque

ViOfllS d,emande 3 01o d'amol',bIssemeIlit et

4,'50 Ofo d'!Ïlllllérêl!s ?

Engrais naturels

1ère série

1. Ulllle tonne Id'e !bon fUJlUier oontient 3 l~g

d'!aJoid'e rpllO'sphor1que, 5 kg. d'azoilJe et

6 l~g de POlt'aJs'se :et 170 kg de mattIières

oiliga'l1!ÏJqu'BS. Le 'sOl1de est d ie ,l'eau.,

-142 -

Quel est 1re pO'Îlds ,d,e ~"eau d:ans Il m 3 de

f'UIl11i'er 'p'~sant 700 'k,g ?

2. Quru est I.e IpoÏJdls ,de il'Iazo,~e 'cuntenru dans

9 oamions Ide 5 m 3 Ide f.UIl11l1er? (Poœds

d'e 1 m 3 de ffUmier ,f!l,ais 600 kg. Trem.eu'l·

en azo'te 0,5 0/0)

3. 3300 ,kg de Ipmùn oonlliiffill1Jent 23,.1 l~g die

,P'OIIJa'5'S'e. TrouVier ILe 0/0. 4. On cOll11lpte 'qu'm1e itêl!e Id,e gro>s bétalill

,fiourrn't 1 m 3 Ide Ifrumliler f:J.1a'Ï!s pail.' mo'Î's.

Quel !VoJrume de tflUim'ier décO!l11polsé pro­

dulÏt un t!I."o'llpeaud,e 12 bêl'eis pelldrun't

2 !atns 'e,t Idemâ, Is,i ~'e fUimier IBn se d,é:oom­

po,sal1!t IdilmillUle du 1/4 d,e 'son v.o[um'e?

2ème série

1. -A comhien 'l',eViient tIre m 3 de compost

compo's,é d:e

102 'bottJeis 'de :tom,he de 1/3 de m 3 à f'r.

9.50 \La JJ'O!lJte ;

12 oamions Ide mall.'c de ImslÎns de 7 m 3

à fI'. 5.- 1e m 3 ;

14 m 3 de J'umier à ,fI'. 25.- ilte m 3 ;

500 k'g Id,e cya'namlird,e à fil'. 38.- Je'S 100

kg ipOUll' flaJ0ÎlN:t'er il!a ,d,éoompulslÎ.:Iii'on?

La main d' œtU'ViI.'e pOUl' L1.a mœs'e en taiS a

nécessité 30 h. il fI'. 2.50 /l'ihem1e.

2. Une f'oll' te fUiI11!m'e d ie ffulJnilei' demande

60 000 kg à ~'ha. Oomhien de m 3 ,sont né­

ceJssah'es Iporur fUI11lle!l.· lVIoltne 3aridlin die 60 m

de ,long sur 4·5 m id'e 'lall:ge, sli J'e m 3 !pèse

700 kg ?

3. ,La tourhe ahsoll'be e'll'vümn 9 fois son

poid.s ,d'Ieau. Oomhi,en pès'er,0l1lt 23 hO,t111es

d'e 63 kg complèl'ement Isratwiées d'eau?

4. P 'OjUr 14750 m 2 ril. a tflruLIu 32450 k'g de

colz.a IseméJs porur teng'11a'Î's ve'l't. Oomh'Îe:n

a-tom [Iarltlu Ide kg Id'e col'z'a pO!U!l' semer

100 m 2 ?

Engrais chimiques

Emploi de l'azote (N)

1. Les uslÏnes d"e!l.1!gr,ais ilii,vr,ent deJS engil.'ruÎ's

aw'lIés Id'os'anlt 18,5 °/0 :e:t 21,6 °/0 d \ l.Z'o,t!e

pur. ,Gomlhli'ell tf,aut·âJ! lache'ter d'leng,r,a:iJs de

18,5 % 'et de 21,5 Ofo pour f.ourlllir 360 k,g

:d'IaJ7.Me pur là IUln l'SolI?

2. Un hra 'die [l'ai!sèralÏ!e demrandle 300 l~g de

nlÎll'aille 'd',ammornliaque. A Icombien l'ewent

l'a ch a,t de 'celt lengrad.:s ,pOtUI.' une ft-ai­

SB11aie die 3450 11112 I&i Iles 100 kg cOÛlœnt

30,50 fI'. ?

3. Un ha ,die bilé 'pl,éllèVie au ,soJ 100 kg

d'azo>lIe pur. OOllllbÎlell deViez-Viows bpandœ

de kg Ide l1Ii,tmlie ,de 'Clhaux là 18 Ofo ?

4. La ViÏgne la'hsolm'e 'annue:lJlemelllt 120 kg

de N. Ipar ha. QueM'e est La quantité de

N. aosolbée pail.' IUJll'e vigne de 85 m. d~

long sm: 42,50 m d ie ~a~'ge ?

Emploi de la potasse (K) 1

1. Les ,mill1es Ide p'Ol~a5's'e lîlVl'ent au 'comm.eroe'

-des sels lœe pOI~russ:e dosant 40 Ofo leit 58 oh de K pUll',e. GomblÎlen f.ault.ruI alchell1efl.' de

sels die po.tass,e à 40 Ofo et il 58 Ofo pour:

fournir ,à un sol 360 ,k;g ,d,e pOfl!alSs'e pUi'le ?

2. Un ha {l,e ,fmi'ser,rui'e demande 350 kg de

&U1Lflate de po'ta:ss'e 4,8 0/0. tA comMen ire­

, ,,i'ent J',aohat ldie cet engtl',a~s ip'Om: une

fraÏ>ser.a,ie d'e '3450 m 2 si ~'es 100 kg se,

paÏ!ent 34 fI.'. ?

3. Un ha d 'e Mé ,pl,MèVie ,au so~ 92 k 'g de

potas:s:e pUlie. Com:bien dtevez~vous tbpan­

dlie d'e kg d :e ISru de pOitals's'e OtoiSanlt 58 0/0?

4. La pomme de IJem',e a,bsorhe ,180 mg die P'O­

tasse pU!l."e pm' ha. QUeJl1e :eM la 'qll'anbÏtlé

de Kaib!SOrlhée par Ull'e pllil.1oerlJ~e :de '85 m

d'e long 'Sur 42,50 m de ,1:al'gJe ?

Emploi du phosphate (Ph)

1. NolUIs ldiS!po'sons 'sur ilie ma11c.hé des eng,rais

phoSlpha.lié's dosant 18 % ,les surperpholSpha­

l'es ,et ,dosant 4,0 °/0 les S'llIpe11t!1.'iples. Com~

bilen f.ault.JJ1 adl,eller de Jeg. de superphos­

phate e!t ,de supe!l.,tripLe pour fournÏlr à un

soi 360 d~g Idle ipllO'spha:te ,pur?

2. Un ha ,de 'tabalc demanlde 30 l\Jg d ie Ph p!Ul~

A comthileu 'l'e,~ient l'.achat de SIUip'erphos­

phate 18 Ofo Ipour Ull ùhamlp de taibac de

3450 m 2 si I~es 10 mg cOÛltent 24. fr. ?

3. Uu ha ,die rfromlent pl,MèVie 50 kg de iPh. pur. GOllllWe!l.l devez-'VoIUIs cépan:dll'e d ie

k'g ,de sup'ertrliiplle 40 Ofo ?

4·. La Viigne atbsOlme allnueJLe!l.nôut 145 kg'

,de Ph pal' ha. Quelle ,est ,la quantité d~ PlI ,a'hsolibée pa,r 'll!ll'e Vii'gue d'e 85 m de

1i:mg sur 42,50 die !la~'gJe ? (A '5utivil.',e)

-143 -

Page 16: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

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- 144. -

F FICHES DE GEOGRAPHIE

(suite)

Nos lacs

Les lacs où se réfléchissent les monts imma'oU'lés et un ciel d'azur font so'uvent la beauté· d'un paysage. C'est surtout le ca·s de nos la'cs alpestres, qu'ils soient enoadrés de forê~s ou que leU'rs eaux baignent les blocs erratiques épars dans les pâturag,es.

Les lacs de Tanay, de Champex, de Mon,tana ne sont pas le moindre agré­ment de ces s,tations d'étrangers. Les touristes qui explorent la région de. Zermatt connaissent le tac Noir où se mire le majes'tueux Cervin. Le lac de Matfmark se blottit au fond de la y'a'llée de Salas. Formé par une moraine du glacier d.'Aletslch, le laç 'de Marjelen a maintes fois rompu ses digues. Après avo,ir ~ranohi la Gemmi on atteint le Daubensee. Le lac du Grand St-Bernard a vu 'défiler la foulle des conqué~ants, des pèlerins et de~ ma~chands. Les lalcs de Ferret, le lac d~s Vaux pr~s du Mçmt Gelé, le lac de Lona ne sont que de petits l'aos alpe,s~res. Les lacs de Barberine et de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de la Lienne ont embelli les sites où une place leulr a été assignée par le génie des hommes. Pour les besoins de l'industrie, les ingénieurs ont suréle,vé le nivelau des eaux de l'IIIsee et du loc de Fully. Celui de Derborence est le plus jeune des lalcs suisses oréé.s par la natuTe. 6n hiver, Sédunois et Sierrois s'ébattent sur le's lacs de Montorge et de Géronde.

Forces hydrauliques

Le Valais est certa,inement un des cantons les mieux ~avorisés au point de vue hydraulique. Il produira. bientôt 9 milliards de kWh. (Suisse 20 millia'rds). En été, la neige accumulée sur les hauteurs se dév'erse en torrents abondants jusque ,dans I·a pldine. . Mdhe'U'reusement, il n'en ya de même en hiver; ,alors l'e débit des co'urs d'e'au

·est minime. C'est pourquoi, dans le but d'assu'rer une 'rés,erve sluffisante pour cette saison, on a 'construit des barrages et créé des bassins d'accumulation. t 'es l'a'cs de Barberine, de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de Salanfe, de la Ue'nne, de Fully, de l'IIIsee aHmentent les usines de Châtelard 'et de Vernayaz, de Chando­lineprès de Sion, de Chippis, de St-Léonard, de Riddes, de Fionnay, de Fully, d'Oberems et de Tourtemagne. On envis'age enco're l'a construction d'a'utres bas.­sins. A l'entrée de toutes les va'llées ont été édifiées des us'ines électriques qui fourni·ssent la force nécessai're aux fabrique,s de Chippis, de V'iège, de Gampel, de Martigny-Bourg et de Martigny-Gare, de Monthey, de Vernayaz et de VouvrYi elles produisent aussi l,a l'umière et la force uti'lisées dans nos viHes et nos villa'ges. Une partie de l'électricité produite en Valais est con'sommée dans le reste de la Suisse. Il y ·a ,encore bien Ides concessions à ·a'ccorder et toutes osll'es qU1i l'ont été ne sont pas exploitées.

-145 -

Page 17: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

QUESTIONS

S~'r la carte hydrographique des·sine tous les lacs cités. . Cite des la'cs créés ou surélevés par l'homme. Pourqu'oi a-t-on fait ces

travaux? Cite un ,l'ac près d~ Ze<r1ma,tt i un au,tre dans la vallée de Saas. Monte a l,a Gemmi, quel l'ac vois-tu? Où se dévers:ent s'es e'aux ? Que:1 I,ac a .c?'usé de g.rands. dégâts par la rupture de ses digues? Que.lle 1,00oa'llte de la plaIne qUittes-tu Ipour monter à Tanay? . Monte a Ohampex par une route et reviens par une autre. Tu as fa,it le tour

de que,He montagne? De que'l village d'Hérens pars-tu po'ur te rendre à Lona ? Comment. le loc de DerbO'rence s'est-il fO'rmé ? de quel viHage t'y rendras-tu?

on longe ses riVes pour monter à quell cO'I ? . . De Ve'rbier m~nte au l'alc des Vaux et descends en plaine i tu passes par que'l

vl,IIage haut perche? . Calcu'l'e le tem~'s, que tu mettras a1pproxima,tivement depuis l'a g,are la plus

proche ou une !'oc?lllte connue po'ur 'atteindre quelquels l'a'cs cités. Consul·te bien ta ~al'~he, cherche 1 altitude et rappelle-tO'i que l'on s'élève en moyenne de 350 mètres a eure.

Organ ise une coursé à Tanay, à Champ,ex i consulte l'hora:ire i établis l'itinérai're.

QUESTIONS

Pourquoi le :.'alais est-il riche en forces hydraulique's ? A quelle. saison !e ~~bit des rivi~res 7st-il le plu.s consi~érabrle et pou'rquoi ?

. PourquoI a-t-on cree des ~asslns d a'ccumu'l-ahon? Cites-en que,lques-uns. ~es ,eaux du lac de Barbenne sont utilisées 2 fois. Où? Ce·lles de l'illsee

aussI i ou ? Celles de la Dranse aussi i où ? Combi'e~ '~e ~<Wh le Val'a·is produlira-t-il dans quelques anné,es ? Et la Suisse?

. ~O'urquoi 1 uS"lne du Rh~ne à Chippis donne-t-elle plus de force que celle de la Nlavlz.?nce au meme endro'lt, alors qu'e la 1 ère a 50 mèkes de chute et la seconde 550 rmetres ?

D'après cela gu'~st-lce qui déte'rmine l'a puissance d'une chute? .Indlque les pnnclpalles .usines électriques dru Vallais.

Viè9~e:quelles donnent le courant aux fabriques d:e C~ippis, de Martigny, èJe

Pour combien de temps les conce'ssions sont-elles accordées? Qu,i a'ccorde celles du Rhône, celles. des rivières? A qui les redevances sont-elle:s payées?

De que~le'S concess'lOns nouvelles as-tu entendu ' parler? Collectionne des gravu:res r~pr~sentant les usines électriques du canton. Sur la .oarte hydrog'raphl'que, Indique les oentrales ·électriques. .

. Co~b.len de che~aux defO'rce consomme le moteur du forgeron, du scieur, du menuIsier de ton village?

-146 -

Mines et carrières

On dit que le Valais est riche en mines pauvres. En effet on y trouve presque tous les minéraux, mais en quantité si pe·tite que leur extraction n'est pas rentable, d'autant plus que l'exploitation en est coûteuse et difficile: les filons, peu impo'r­tants, cessent brusquement à cause des bouleversements qu'ont subis les couches géologiques lors de l,a formation des montagnes.

Pen'dant la guerre on a cependant explo·ité avec profit les mines d'anthracite de Chandoline, de Grône, de Dorénaz, de Ferden, de Nendaz, etc. Saillon a livré pendant longtemps un marbre ayant les plus belles cOllorations i celui de Co./lom­bey présente un grain moins fin i quant à ce,lui de Chemin, on le concasse pour en faire du simili. Les carrières de Collombey, de Granges, de Gampel fournissent des matériaux appréciés dans l'industrie chimique .

Vollèges, Saxon, Sembrancher fou·rnissent des dalles, 'Ravoire du granit, Leytron, Hrigue, Zeneggen, Orsières, D-orénaz, Sallvlan, etc., ont des ardoisières. Le gypse est extrait à Granges, à Fing,es, à Charrat, et près de Brigue. Chemin a du fer d'excellente qua·lité. La pi.erre ollaire de Bagne's est appréciée pour la fabrication des fourneaux. Les mines d'or de Gondo, celles d'argent de Bruson et des Trappistes près de Sembrancher ont eu leur période de prospérité. Les mines de plomb de St-Martin, de cuivre à Grimentz, sont aU'jourd'hui ahandonnées.

La grande industrie

l'solé, privé de matiè're's premières, n'ayant ni fer, ni houille en quantité appréciable, le Va,l'ais pa'raiss'ait fermé à la grande industrie. Pourtant, aujo'urd'hui, grâce à la force prodigieuse qui des'cend des glaciers et que le génie de l'ho'mme a transformée, des usines électriques ont été construites à l'entrée de toutes les vallées. Parfois la force est utilisée sur pl'ace, mais souvent le courant fourni par plusieurs centrales est concentré en un s'eul point. C'est le cas de Chippis en particulier où ont été construites les g'randes fabriques d'aluminium qU'i ont produit jusqu'à 60 tonnes de méta'l par jour. Près de Sierre ce métd est transrO'rmé en fil, en barres, 'en tôles, en tubes, etc. Viège es,t aussi un centre industriel qui livre outre les engrais, les produits chimiques les plus divers. Gampel fabrique le carbure~ Martigny fournit aussi des engra'is azotés, de l'aluminium, du magné­sium. A Monthey, les usines de la Ciba de Bâle jettent sur le ma'rché les produits ohimiques les plus variés. Dans cette locallité on fabrique des pierres scientifiques pour l'horlogerie; il y a ·auss,i des ateliers mécaniques impo'rtants comme à Sierre d ~ ailleurs. A Gampel on fabrique de puissants explosifs. St-Maurice et Vouvry ont de grandes fabriques de ciment.

Ainsi de nombreux ouvriers trouvent à l'usine un gagne-pain assuré et l'ai­sance pénètre dans les foyers. M'Olheuf'eusement il y a aussi le re~ers de la médaille.

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Page 18: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

QUESTIONS

Pourquoi peut-on dire avec raison que le Va,lais est riche en mines pauvres? Pour quelles ra'isons' l'exfraCtion du min'e'rai n'est-ellre 'pas rentable? Renseigne-to,i 'et cite toutes les ~in~s et carrière"s ayant été exploitées dans

ta région. Fais une collection des minéraux de ta région. Dessine la aarte ~inièr~ du Valais. , Dans quels districts pl,aces-tu Vollèges; Saxon, Sembrancher, Zenegg'en? Sur quell'e rive du Rhône se trouve Collonges? La pierre ollaire n'est plus guère exploitée i pourquoi? Où a·-t-on exploité l'or, l'argent? Où y a ... t-ir1 des carriè're's de marbre, de dalles, d'ardoises, de gron'it, de

gypse? Quelles mines surtout ont été exploitées pendant la guerre ' i pourquoi? A queHe commune appartient Bruson ? Dans quels districts pl,aces-tu St-M-artin, Grimentz ?

QUESTIONS

Qu'en~end-on par matières premières? LaquetHé appe,lée pain de l'indust.rie manque en Va,lais ? P,ar quoi la houille est-elle remplacée chez nous? Quelle est l'industrie florissante ~n Va'iais ? Pourquoi cette industrie s'est-elle implantée chez nous plutôt quiailleurs? Le Va,la'i,s a la plus grande fabrique d'aluminium de Suisse i où est-eHe ? Cite deux fabriques d'engr'ais azotés, . D'où ces fahriques tirent-elles l'azote? Où y a-t-ii une fabrique de magnésium? d'explosifs? de ciment? Où se trouvent les deux plus grrandes f'ahriques de produits chimiques du

V'alais ? Quels aylan~ag'es la grande industrie a-t-elle apportés au Vallais? ·et que,ls

inconvén ients ? Etabli~ ' la carte des industries en Valais. Consulte ton atlos.

PRAKTISCHER TEl L LEBENDIGE SOHULE

Aufsatz ouf der Oberstufe

ALLGEME/INES :

DraiS Zi'eJ des AUfs-atzes ist schO'n geJP~rag,t

wO'l'IŒen, label' r{!iS Isohte:il1lt m lÏ!r SO' wichti,g,

d,aslS .irch milJ.' ,einJe WIie<d'ea.'llOJlung gesll1artlte.

Wir stœhell in uJ1iser·n. .AJu1isa.tz'srtun:d!en an :

einell ,saichlliichen, einjf'aCihen, ehlùic:hen StÏll

im mündlllÎ:<.·Jhien und sclll'iltliohen AusdlJ.'rUck,

Aurf ,d'el' Ohel'stufe mo:chl'en WIN' gtC11aldie

d1l[oh d'en Alllifis'atzUlnltleI111Î1oht -d,ire jungen

Mrerrsdlen IaIl ,ein 11l1alre's, bestJÏ1l11ml!es o,en·

k1en, Spl'eohen und SolllielÏrben gewohnen,

Ers muss iJ.ab'eIÏ clen v,el1Schlied,ensllen Au{·

galh'en dleJ.s Lebel1!s, IselÏen 'Slie IIH~l'So:niHohel1

oder .ge.schiitf,tlrichen 'Inhralts, 'gedrient sein, Zu seIn sind ""il' nO"ch ,der An\'>Î:oht vterhaJf1tet,

AUif,s'aiIiZ sei l1iur ,dla's, was man ühei' ir,g~ntd

eÎ:n Tihean:a ·sohrl,Mb'e, DaiS is:t M'cht liÏ'ohtig ,

NlÏlcht nUIl' ,dlas geJ.sohni,ooene W'O:rlt hat seiÎfnen

W;elit, un:d - gel,ad'e nridht :di'es'eJs. Wie d ler

Mel1ls'ch spl'Iichlt, SO' schreilit er! DalJ.'um

sO'()Jltle ,41 1U11Isea.m Solruilten besO'ndlel'!S l3.uoh der

mün:d!l.iohe tAm!drlllok Ig,epf1legrt w,elxl~n. rBlit'lIe,

Miohit der mündlliirOlle A'Il's·dlJ.'1l.1Jok Id'ffi' lJehrklJ.'aJft,

sO'n:Œelm Id'er d ies SchUlrel;s, nais gespr.o:ohene

W'O'r.t s:teht an 'ers'tler Sl1ellle, d,aiS gesohlJ."j,Bb~ne

Ï!slt diiJe ·sicihtibaœ Pl'ag:wng. In doer A'lliSdrrucklS.

schu.iJ.ung ihaihen l Vlir dem ges'P1'O':dhenen W O'1',t

ge~enüher vi,eJl dtiJe gross:elie tMoglli.tchk,eJit,

Hiier kO'lli1Jen W'N' 2'lum kilaœn Arusd'l1llCk

2'lwÏ!nglen und Ifollidern ISO' ldal~es, heSl'irfilllllttes

D-e;n}œn IUIltd SohœÏ!b'en, W~IJ.' hekampflen

aruoh Wullst und Ul1wahrhreri.t, lm ver,gan·

glenen Sommer hOlll'e ich einiJl1'ail d-as Ur.teiil

über ,eine sCJhdl~tJstJeJhleris.ohe A'l'1heit: «WIa.>s

der .hier in Sciten sag't, Vet'l111a1g rich in ein

para'l' Sa,tzell rall1!s2'ludlJ.'ü:clœn », In wen!Î.gen

W OJ.',ten Vii el sag.en, d'as soililte Pal'O'['e des

Spl'a'ohunil'el'richl'es S'mil. Treffrendle Tii:tig.

k ei tswor,ter, chara:kltel,isf~sc,hre Beifügungen

zum gegeb:en:en Ha1lJp,twO'lJ.it, g,efasst tÏ!n krurze

lclalie Siitze, dmin J,i'eglt S'a!f.t un:d Kl"aifit

U'll!s'er:er Sprl'aohe, D-aiS müS'sen will' ühen,

SchuilIung ffu1S ,LeJhen rÎ,st gea.ia:de heurte, tÎm

Z eiJta!l ter d,et, HO':chkonjulIlk'lJnr, d 'a\'> .Gege·

bene. Diie Sprache e'l1l11ogr1ioh t d,en Harrdrell

und Vierlœlhi', ,si'e Is'l1eht aberaUich im DlÎ'en'ste d'el' ,l'elÏ.n jp.elisonJ.icben Biilidunrg.

SohO'll dm'ch IdÎ'e W:ahil der Themen g'lieif,en

WN' I:i.n d'Le Denlm'11t und in den Interessen·

l(Jl,eis des Schiiileris un:d V'er&U!chen I\lil11ZU'

fOll.1lTI'en, zu iJrenl~len ultd Idrahrin zn steuern,

WO' für mIS Idie Wle11te ilri.egen,

WAHL DES STOFFES :

Man waMt ,dteshra[b StO'f.fkrlieùs'e und Th.e·

mô n aus c]rem ElllleJhMis'berelÏJoh dier Sohü:ler

Ullld suoht rdiese ans2'lulV'ei,ten und zn fO',r·

men, dralsis ,dile SohÜil'er Id'œda.U1ch hineinlV'ach·

sen in das Denk'el.1, SplieJohten und Tun des

Eln\~alchisel1'ell. D,1e Be'O'tbruohlUll'g und Sohillde·

liImg eirufta'ohet, VO'l1gange, Haltdiliunglen, Ge·

sprrii'ch'e und Elil,elbn'i:slse IsolJ.rlte auch auf der

OheliSliUfle den S~O'U 'bÏreten, 'lNll S'ÎIch ge·

d\anJdl~Clh,s:preohllechntÏJsoh und im sC1hrif.rli·

oh en Ni1ed'etischl1ag zn i'ttben, Dite Anrf<e11t!Î.gUUg

11l11.<alpper, auoh scJhlagwO'r,tal'tlÎger .AJufz.e:ioh·

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Page 19: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Ilungen 'aus Ge1esenem und Geho·r.tetm J'e'lmt

den Schül'el', Wles'entliches von Unwes'en'tIH­

Ch'B111 2'1U 'llIlltlersoln!Jidlen, genau zu denJ.l:,en .

Dell." Haup'takzent 'setz,t Idie Ohe11stuf1e ahell.'

auf6 Bl,ieflsclweiben, das nooh 'eigel1!s he­

ha'l1:dletlt 1\W:~il"CI.e1l1 s'On. P,e11sonMche und g,e­

sch8lfltlliche Brief'e mil,ss'en au:s~e;führ.f, Fm:­

l11u1lal1e von Post und Bahn ,aiUlsg.efüUt Well.·­

d'en. DaJs IÎst 'PlialClüsche Sohulul1'g fürs Lehen.

AUFSATZARTEN : Dile's'e lass'etl sÎ'oh in d11eHach'er Sicht ein­

~eilen. Del11 1ll'haJlt nach unte'r,soheiden war:

EdeJhllitS-, neohaol1tungs- und Phanf1aSiieauf­

sa'tze, B-es'dhreihull'gen und 1nbaJl ts'an!g,ah en.

Charaktell.'ist!ik'en und Ahhan'd[lll1l!gtffil gehol'en

Il!ioht ,in 'dile 'Pl'ill11'arsclliUIlen. Zl\v,ing,e.n wrur

d'en Bohüler nioht zu IUlltei1en !Und' ,zu beur­

t!e~l'en, wenn 'Sein GeÎlSit iJ.lo:oh ntic;ht '1:eÎlf

i Sit. Die Bayler,ische Metho'dik kleillll1t in ihrer

AUts:drucklspftl'egie nul' die iEr,ûihlul1!g, dIie

BesdhI1eihull!g, d,ie Schitlch~lllng und den He­

l'Ï'dht, w,ie 1Î'0h j'a 'SOhOIl 'daJq~eJl'e:~t ,hahe. 10h

finde tdliese '1nhaJ~ts-EinteiJl'llrng Mail' und

nüchltel'n lwrrd Id!e:sha[h gut.

Uniter ,den El1lehnisauf's,atz f.aUen vor aJl1el11

d'Le Arhe,i,t!sheI1ic.hte. Mit d'en Beohaohtungs­

auflgalben 2'1us'alIlll11'en, soilJlJen Is:Î.le tin d:ffl' Àrus­

ru1ll01(lS'schu1lung dO'mil1!iel~en. ,GeI1a1d'e dIie tBeo­

haohttu'llgsauf,g'ahen ISÏn:d wel~wol1Jlst'e sp,l1a,oh­

Heihe SchruIlung. ISie 2'1Wlmgen dern SchüII'er,

seJine Sinne IZ'U offnen und Ida's, wa,s el' waru:­

n~n1J1llit, Isp14alcJhiliÎlch Il'kht1Î1g 'zn Ifo!rmru:1i'ell.'en.

Eine Bildh:ett;arohtung k 'ann lein:em heil.f1en,

drus s-pmchllIiche W'achsel1 zu kOll!Sl1atJÏeren.

Man. laS!se lel'st da,s IBilM heschreiben, o:lUl'e

vorherig,e Be:spl'eohung. Hen1:aoh beat·heri,te

man es 'Sys,ttel11'Mis'ch mit Idler Klals'Se und

verlan,ge nO'chl11al1s e'Î.ne BeS'c:ht<eihtmg. An­

l:ian:~s- und Sc;h1uS'sheS'ohI4eih:ung 'V'er~liCJhen,

spl;ecJhen e:in d'eu:~lÏJcheis W011t.

Ber FOl1l11 nach s'pDÎ'dht man ehenfla:}jls

von 'ei,ner :BelîÏJchts- und IBe:schl"eihung.sfmm,

von Ta~eb:U'ch, PersonÎlf'ikaJtion, Gespraoh

und Bl'ÏeJf. Eine 'wge11'e FOlll11 1-st 's,icher auch

nO'oh der GeschM,tlsauflsatz. Bile notwendiglSte

und ge,brauchiHohs'te is,t die er,s,fle. Dais T 'a­

geJbuch ka11tn ails eig'elleJs K,1a1SiSenheft ge­

fülUit wBlidlen. iOtie Bffl'sonLfil~altion muss

s;clLtell Isein. W~,r wo:1l.en aJuf der Obei~SItlufle

das Will'ktltiohe Ulxd ni'dht dlals iPhalJltals,ioomals-

S'1ge betol1!en. Das GeS'prach dient d 'er Vier­

ti:ef,ul1g der ~vO'l1111ilchange.führten Rede, Bell"

BrÏJef kommt ,ein Hnd'ermall 2'1ur Spr;alohre. An

den Bi'i'ef s'ch!l,ie:s'st s~cJh Id'er Ge:S'ohiirfts'auJls:albz,

dler 'aus dlen Gegebenhreiten des MJ,tag,s

heraJUlSlwiid1Jst.

Der mell!ho:dtÎlScJhell Behm1!dllung na'ch

spdoht m'an von StJilüblUllgJen, Ailllf,schredb­

übungen, Vion Id.em hailhfreiJen und ei~ent­

licll'en Au,fs'atz. ner ,ei,genrlIi,c;he Aufls'atz i'Sit

c1JÏJe Fl1uloht 'V'ieter Sip'l"laicMiJc;her Benn<ühungeill.

SoN er Ialls wli'l"k'1itell k ll'eine's, 'eri1~el1es Werk

dastehen, Ih11auohtes :eil1 DOiJ.)lpeiltes :

1. 'es lUUS'S enVias vOlnan:den IS'e'ÎlI1, wOl1üher

111lan ISipa.1e;ohen u 'nd schœwhen kann. DlÎ.le

Eefia,lUiu11'g un!d d'aJs Bedül1f'll1lÎ1s, sicJl nl)Î,t­

z'uteil'en, :muss da S'ein.

2. FOll1malle Schl\V1i.ell:igk'eihm müss'en duœh

VorühlUng,en heJslei'l'ÏJgt ,V1ffl,dlen. Gesba1tJung.g­

moglrÎ'chklelÏllJeill rflηrl1dleill w.i,r 'glenü{;'ellldill

clen ve11s'cJhÎled!enen W'o'rtschaillz- l}Il1!d 8611, ühlUllgen.

Bile ,AUiflS'chr,{~ibühung werden in dlen un­

tern Klassen geanleJis~el1t . Aruif der Ohe.I.1S1t1Utfe

b eig,etgnen ~Vlir V:OIl' a!l1e'm dem haillbh,eiiten un:d

eûg.entilichen Awfls'aJtz.

Halhfr,oi ,ÎlSit d'Î'e heste FOIl"illl. UIl's'eœ 5chÜller

müss'en aJucJh im Auf,s·atz eliSit angeœ,glt u!l1d

g:eJleillkt wel'den. Die Lehrlm'alf,t Mlfrt hei

Id'er Stolffwruù, 1Î,l11 'AU'Sldruck und in d,el'

Ge:cl.arnlœno'lidnullig. 80 ffll,~Sltel1ll: rue BerelÎ't­

scJhatflt 'zur Nri'eiœen'sohl'i,f,t. lDrem ge!genüheil:

sreht l1un d'er Alulfs·a~z, in 'cl,em ,dler SchüI.e1.·

ganz UtnheJeô.nftUtsSit sei11!e Gedanlœn üher

e:illl von ihm gewahIrtes Theana aruts .. drü'ckt.

Dri'e f.rill.chthaDe AIl'be1t 1,iegt hier in der

gellll'ei'l1.Is'aJJ.lllen Kon1ekltur, in cler g,ef,e11t, ge'

al1del1t, geMa1.·,t wlÎ'l,d. Pll1oflesso'r Ad(rffl1l11anl1

, neti1aug,t in s'eÎne!!: M:eltJho:c1Jik, d'aJS's ,der LeJhœr

T,aklt, EinlfüMungs{;'ah;e und VerSitaI1ldl1lÎls ha­

hen 'll1üs:se, wollllie et' dlie 5chüI.er ge11adle im

eigentiLiohen Aufts'altz wirklich ford.ern.

BEISPIELE AUS DER PRAXIS

EINIGE STILMUSTER.

Die Landstrasse lebt. (Lud'wig Thoma)

Von untlen hlÎll.ù(rt di'e Land'stl'as'se, vffl,s'chwin­

d'eJt hill)~elr ,den F,clJs:en, kl'ÏJeoht eiÏ.l1!eIl Hüglel

hill1atU1f ,und laui1t clU14Cih elin olfif'enes Tor in

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dien WiaIld. Sie kommt von wîeÎ.t her und 'g,eht

in di:e w.ei:te WIeJlrt: ll'iil.l'aJU's, Mer in deilll Bt!iJ1I'eill

W,ink,el alb:ffl' l{1ann sile ge'l11a'dhLioh 'tun m1!cl

s'ÏJch über lrue BlÜ:\1en freu'en, 'dre von d 'en

a!ll!eJn A:pi~eJ1hartlill1len in ÏhDen ScJho·ss fiaJ1lJen .

Die RaJS:t mag ihr wolliltlUn, denn sie <Î!Slt aI1t

und hait V1Î1~ g'elsehen in frühern Z'eliite.n, aJl:s 11'0'Oh gl,o:ss'e ' ,Heffl;e ,auf ilhr hirl1.zoglen und

Ge:scJhiitze und Wag,el1 den StaJUh 'aufowlÎr­

be/hen.

Aufgaben : WiÎll.: ILeiSeIl œen Te~t und he:spll"e­

chen Iihn.. Es IÎ!s't cine P ,ensoTIlilflÎlm,tion.

W'el,c1he W Oll"t~a'lit kenn~eJiohnet dais? WIÎ!J:

he~cJhten d 'en Ühffl'gaJng von cl,er Geig:enwallit

in ure Vlffl·,gan~eil1!heit. Die StIl'als:se IŒnll no'ch

l11ehr ron: Sile 'Siteig,t, ra,lM, winJC1'elt sii'oh,

S'chilarrgleJlt siCJh usw. Wlir S'uchen le:irre Anz'ahl

so'1cher Â.'lllSldrücl(je 'l.md sohre.1!hen \5IÎ.le aurf.

WIÎ.Il· ver,suohen 1lllU11, ,N'ViaiS Xhnr1iohe's da!"­

zUiSirclJleIl mit ,eill1em Weg, elÎJnel11 Haoh,

elill1ean Sdhilel1et1JSiliJ1ang, .e;inerm WtaiLd'l~an:d.

Kleine Schilderung von Peter Rosegger ]jc;h INielte hinarus in Id'Île lJÏJohlllHlg. Eill ûlJl'e.rn­

d,er Luflllhauoh 11Îeselt mlÎlr ell'tgegen. H:eI11-

grij,I1es HeJidegebÜtsch oot den ro,lfen BlÜl'en­

gllo:dk1chen dter Beeren Mer und dfUtnl~el'glan-

21end,e.s J>1l1eiÎ.1sel1h~eierkl'aJut, wie em 1U'ianz im­

merg'rül1en LOi"lheffl1s ranzUlschauen. üher dlÎe­

S'er dlllf1tenclten lF11ur e11hebt 181.oh cin sohwal:zieJr

Stl1Unll:, l1lÏit dlean gehoh'eII1etl1. AIl1l11 sei'J.1'es

l~al11en AslJeis 1rO't2'1Lg d'e:m HiJmmru dro'hend,

weill dileJser dill'liCh 'emen na'ohtlli1chell lHùl!z­

stJ.',ahIl ihm d,as Hauipt ~eJs:p'aLten. Und es

eliheht siloh d'olit 'gr,a'Ues, zerMüfteltes OeJSiteim,

in dleSSel1 SpaJ:lJen sich di1e ,hehell'de i')idechS'e

'bir'gt und ,d,i'e ,S'c:hIiIJ11Jmen1!de Na t'ter, ul1ld an

d'e~S'en Fusse cHe hl<eit!en, ,dur,ohbrocl1!ooen

Bla'tt'm' d er F1a'nùuii'l1lter und d,ie b!laiU~n,

aJ~HOlit g'rill'S's'sohwenkend'en Hül'c:hen der En­

mrane wnchenl.

WLir sU'ohen che Eigenschafltis- und Mtittte1wo:r­

ter h 'eraus iund sl!el1en 'S'ie dnall1d'ffl' ge'g,en­

üb'er. Wler find'et clats W'Ol)t, das wlÎ.le ei'l1

Mittmwort au's's,Le.ht und doch k eiÏlnes itst?

WLi,r hrauchen di'e MitlieJlworter ~n and'ffl"ill

Sii,tzen.

Tf/O ' WOFIIN - WOHER 1. W,ill' hi'ld'elll Sii,t1ze :

10h l11odlJt1e wÎJssen, wo ...

Ldh 'S'uohe aillf d'er Km'lie, wo ...

Der W1egwetÏS'er Z'eÎ'g,t UNIl., 1v,0'h'Ïn

Der B'l1Îelf.slien1Jp·eJl s'agt mtir, woher

2. Wlir iLea.111'en den SOh011JSlJen W'o-Sa'tz d:er

de!uVschen S.prruohe aJusweilldig :

Wo dit- Go,t!lles Sonll'e zUle11st ersohtileIl,

wo chr IdlÎ,e S~erl1e des HÎ'm~11'Clls zuerst

l'euchl!etJen, wo ,j'eine BJ'Îttz:e dk zue14st

seine Arl1m,ftcl1!t offtenlbrur,ten ullId s'ei'ne

St!urmwitl1.d,e dil' mit heilligOO1 Sc1u:ecken

dm'ch IMe Se'eJle hliaus'~en

da ÏJst deJine ,Liebe

d'a is:t deJin ViaJl!erilaJIlld !

(EtIIlSit M011i,tz A'ltrrd,t)

Kall11l'st du etw,aJs Ah11l1iohes auf's'tellilen ?

W 0 - '\\1'0 - WO ... ,da Il.iegt m 'cirn HelÎma'tol't.

Bi.lde Sa:tz'e mM Wo - da, Z. B. Wo die

RJholl'e ,einen schadien WilÙl:lell MM'et, d'a

lite/gt MaiJ.111Înach.

Der Aufsatz in der Haushaltungsschule

A!llbin FRINGELI

Das Sprichwort in der Schulstube

«Eir1ll11a[ Îlst kelÎull11all ». nas IÎtsit d'als veril.'Û­

g'enS'l'e illilld sohilimrnStte UIlll!er aMen SPl'LC;h­

WOlitern, UlI1!cl w'er 'es geIll'acl1ll: ha.t, der wall'

ein 'SchLelchl!er RiI~CihnlUn~SimeJi,Sl'er oder elÎn

hUSlhaf,ter. Eil1111'a[ i st wenlÎg'steIl'S ei'l1lluall,

und dall'an [a.sst sich l1'ÏJohlIJS alhma,rl(ll!en. W'ell'

eimll'a[ ge<S'tohrllen hat, dffl' k 'ann S'ein Lehen

lang nlmmer 1:11'1t W'ahrhelÎlt lUJJ.1'd mi,t fll'o­

hem Her,zen saglen: « ,Gotillloh! ' ioh hahe

mlÎch nie an fr:ell1lfden GUlt Vierg'niffen ». Und

weTIon der DJeb el;hatscht und gdlenkt wlÎ!J:d,

a,l,s:dIffi1l1 ist eimnail nicht kei'll!maL Albe.r d,a.s

its,t 110ch n.j,cht a:HoeJs, soncl.ern man IŒnn m:ei-

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Page 20: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

.;,tens mit W~hdleJiJt salg,en ,: Eitnmall ist z~hrn · ma,l und Ihll.ll1.d'e11t· und tTa'll<S'tmdJmlail. iOenn

wer ,&a,s Bose 'eirn.mail allg'efang:en hatt, cler

s'e:tzt 'e:s g,emein!i.g::Li.'ch auoh fort. W 'er A

ges'agt hat, der s-aglt auoo g,ell1n B, und

allsdlam1 ItJri,tt znilletzt e1Îm Iandlel~eIS Spl"Ï'ohwort

e~n, dlass dler K'l1Ug ISO Langle zum BII.'UI1l1ien

glehe, bis el' hr,Ïloht ».

D~I~s'e ImTZe B'ehiadlllIUrug über ,e.in Sprioh.

wort karnn nUl' von J o'hann p lelier Hehell

stammen. Hat el' uns daml~t nùcht g,eze'Ï.g't,

wlie w'IÎlJ.· eirn Spl"i.lc:hwol',t atls AIU'sg'anlg\Sipunl{jt

vu ei~1Jem Aufs'atz V'erwen:d'en konnen ? Es ilst

s'ellh:s'liVe'llSlta'l1idlli,ch, d-alS!s rWŒ'l' d Je:m SpniclnvÛ'llt

in der Sohu'le nlilchtt eiJ1!en aililzu h11ci:ten

Rlaum \C!i1l1ra'll!n1!en koml'en. Es wal'e aber

verf'ehh, we'l1n wlÎ,r an diÏ'es'er QueUe, an d,e:r

«Wieishe~t d'e'r Glasse », achtlo:s vorüb:erge·

hen wÙl.chm. Dass dais Spl'i'cihwor,t ni'Ciht nn·

mer ins Sohw/a<rZJe tir,iJfft, heweilst schon d1a's

ohen z,itire,rt:e WOl' t: «Einmall ist keÎlnmoo ».

WTir machen U1l!S in dler Re;g'eJl kcine VOl"

s~eilJ1ung, wi,e reich ,d'el' Schatz an Sprich.

wOlte'l'll heiÎ a/Hen Vo,lkern ilst. nais iJm lJetz,ten

Jlalu",hull'd,e'l",t ge;scha'ffiell.1ie Spl'ilchwolI.ltllexlÜlc'Ol1

von W-a[<dler 'tl!l11,flalS'S t fünf Ban<d'e miiil: .eJtw'a

300 000 N'l1!J11lIllet·n.

W'Île hat Hehell dlas Spl'ÎchwOlit «Rom ist

IlÏioht an elin:em T1age el'1)atut wori(h~Jl1» hear·

bcil:'et? Er me.int: «DamlÎt enltsclruldli,g'en

sid1 vieJe f1ahr1la'sls:Îig,e und trage Mellsc:hen,

w,e'lohe ihr G elSIOhafrt ni'ol1!t tl1Bihen und voJ.

l'end:en mogen 'lHtd ,schon müd'e sim, ehe

s,ie m~cllt anlf'ang'en. Mit d'em Rom i9t e;s a1ber

eig'ent1rioh so ~ugeg,angen. Es hahen V'1eI1e

fl<eilSls:i'ge Hande vielle T'age lang yom fl',ühIBn

MO'llglel1 hvs zum ,spa:tJen Ahend unverd'l'os,

sen Jd'aran g,ea'lIDciJtet und ruicht abgJeJ..aJsse'l1,

Ms es f'el' ttig wa'r und dler Hahn a/uf dlem

Kil'ohtll'rm stalld. So ist Rom erutstanidw.

Wia's du zu ltun !ha'st, nmoh',s au'oh S'O ! »

Hebed hat si.oh auoh no:ch dm,'oh and;ere

Sprid1,wor,ter zn kUl'zen Autf<sa~z'en für s'elÏnen

l(Ja1erIlIder am",egen 1aJSls'en. Dile zwei Blei·

spie!le mog,eu U11!S den 'Wieg 'Weils'en, dieu wii'l"

geJle:g:enillilCli1 heschrci~en woffilleJl1.

W'alS lieg,t nalml', ails d'U15'S ,,\"i'l" in der Ham,·

hai1lIUngssdllUle einm.ail jelle Sp11ic:hwo'IJjer be·

tl1ac:hltell, cU'e sioh mit Ider Kochkunst ble.f'as·

S'en? Es ist 'INloht no'tilg, clla'S<s wir alle urn:s:eœ

Hetl1aichlIUngen ni:e;dlel~schl~eIÎ,ben . Nehmen ~vtttl.·

aher eines dl~eSler Spri<chwor,lJer ails Aufsatz.­

t~ted, daun w:el'd'en wlÎ.iJ.· erf1athren, i\we vIBr·

sohileid,en c1i'e Aufrga.bre I!)e!lo'st ~Vlet~den kam1.

Phant<asi'eb:eJgab:te SchüJJerÏ<nnen" werden' elÎ.nce

Geschichte el,fin~d'e'll, in d ,el' si'c:h die Wlahtl.··

heirt: - oder Unwalu,hciJt? - d leJS Spl~u:oh~ in anschlaJUllicher Ar,t 'el'iweJi'Slt. And~re W\eIJ.'.

den kurz und tIl·o.olœ~ dien Sinn zu erk~aren ",epS(UJchen.

Üher <las «K:o'ohen i'111 SplwohwOlit» Elin· den wi,r j,m nelUtis'c.hen Splioinvol'tier\l.exiikorn

(1870) foŒget'lde B'elÎrspi:eÎLe:

«Gut g.elco'CJ1il: is't .gesilll'd. - Man mUSs

l~ooben, bevor man anri:chtJet. - WIa!S dia' h'eJÎIln glelwoht wlÎl'id, Isolll aUlClh d'a'h1elÎm ge­

geS\Sen Wlel~d,en. - WIaiS llÜt~t siteille:s Kochen,

wenn man ,den Ti,s:ch nicht ,d'eolc't? - W1er

nieht lwchien k'atlln, d'el' MeJihe aUlS's'er dér

Küche. - Sie ko'CIren in eiÎJlliem T'Orpf. -

Man kO'cht nO'Cih 'am Br'ei. - M.an hat's

1anO" O'ekoohlt, halt'Is nul' nicJht kOl1Iuen an­

l1iiOl:te~. - Er lco:cht Ml aMen ' KfrCihel~ dUl"oh·

einalllder. - Er IClo'Cht in . fflnller PIf,anne

z\V'eitedei Brei. - W,o mU!n k lOChtt und hriilt,

da raJUoht es Îmm'ei" ».

Wir konnen aUJf I!)anz v,enrchJÏietlen:en WiC!~en

an dlÎ.eJse SpllÎchwo'l·tel' he'11a'llü·e;ten. Wir ,kon,'

nen zn e:in!etll Spl'ichwort ·eÎ'ne Geschlic}ltTe

et1flÎltden, dite d'en BeweilS e'l,h'l'ringt, das's d,el'

S'innspruch heœohbig,t ÎJslt. B:ei 'ge;WIlis'sen

Spric;hwortle11n l~ei~t es vile:lleid1Jt den Auf·

s'astz'solll'eiher daIl1ZJU'slteilllen, ,w,e das Sp'l1i1oh.

WOl,t enrtstJand'ell1 ist: IIJ.'g'end ein Vorfailil

brillgt IdlÎe heobac:hl'erul'en MeIlIschen dlazu,

dli:e FoJg.en einer Handllung in elÎnem kur·

:oen Satz zIUSain~11'enZlUfa'S'S'en. net" Satz 1st

so scharr und üb'eil".z'eJlligiend gle!}Jr,a'g,t, daiS'S

el' v.on MUI1Id :ou MUllJd ,,,,eŒtler,g,eil:'l.1agle'l.1 wird,

zum VoJllcB'gul wlü-d. Wj'l' kOll1uen achet· d:ie Arhe1i!t noch an:dtelis

alltpadœn. Wh et·kJ.aren r,ein s'3'chJ:Li.Jch den

lnil1ailit; v'On dierr D:eutml'g d,es wor.tlichen Sinnes g:ehen wh" üher ~um übertragenen Sinn. ner V'erflats'ser dleJs Auf.saltZ'es ,w,r'<l dlann

im driUlel1 T e.iJl seiner A,Iihei,t se~ne eigene

M einung Im~l.drtIun. Sreht uns ah et· zu wel1lilg Z'eillt zur V;etI.··

fügung, daI1ll 1al5'sen wir dla'S Spni.chwol·'t

tl'O'tz·dem Iùcht noo'en d,elm W'e~e hl'egen. Wrill'

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'y-ünd'Cln uns in d~,eS!e111 Faililie mit eillelll

1(jUl'zauf'Slé\Il:z hegnügen. Wlertrv01ll ka'lln un'S

d,i'Bse A~·be.iJt l1'iohrt MOiss aus sttiJ1iSitJischen

Gründen seiÎ.n, sondern atUch alU6 N"zieheri·

sohen . AbsiÎ.chven . Auf atlile FaUe werd'en

wir weni~sl;el'l!s mÜllldiliÎ.lch aas Spniohwor,t

hehal1'delln: Wla'S v,et1stehen wu' d,a1.1u11Jt!elJ."?

We'ltche Bedeutiung, W~dm/l1lg, F0l1l11 U1l1cl

wieJl.ohen Geha1lt ha,t ets? J)~le S:chü1erinnen

sollilen üb:e11dTi,eJS iVler,a<nll'as~'t "\o\"erden, Sptl.lÎ'ch.

wortTer ,zu IS'al1l11ll1'elln 'Und zu 011dnen.

\v'er S.p.~Ü'Chwoliter sacrmll'eJ.1t, dlcr wlÎ,rd balld

eJinmail ,fieJsi~\reiltll,?n, d ,aslS /SIilch levl.ilohe Rediens·

al'tJ.ell w.itd'eriSpl1eohen. 'Wioher k 'ommen dii'e:s'e

Un~el'schlie,d'e? Nun, diJe M'eIl1!s'ohen s,in:d 80

Vle_l'S'ome:d:en, d,atS's s,ie llei'Clht in g'e1wissen

Bil1lgell vel\'5'ch~ediener Mcin'Ul1ig selin ko!l1.·

l).e'll. Det· eÏlte rat Ull'S : «Eile mlit W.ei!l!e ! »

Èln DratUf'ganger ' aber n1!eint: «FIWsch ge·

~~~g,t- ÎlSt hatlb g,ewo~men ». Ein Sp'als'slVoge1l

pf.l.iohrtiet heti : «Jla, frœsch glewa'g,t ist hrrulb ge·

wonnen.. . und diJe Trelplpe hilll.ahgestfu:~,t,

ist ' a~ch enrt-l;o'll!nel1!» Er mahtnt: « Wer

1a'llI!)S'a'I~ tut, k0111~TIit auch ans Ziell ».

Gehilldel'e, ellÎJnf'oohie Han:drwlel"l}clel' und BalU'ern

hahen IUII~S dien gross:en Sohail:z d'el' Sprich.

wortler l!)e'sohatHien. Sie hiilden ailJs'O di!ls &·,geb.

n~s e;in'~'l~ 'lml.geu Aa.'be~t. Es spllÎcht ans vtieiLen

d~e si~~Li,Cihie Bi11's'vel1lung -des Merusohen, und

wir begl,elÎifien, d:als,s sile von je11letl.· gtel"il.-re in

d.en . P ,nedig'ten vel'iwerudiet wOlld1en s,ind . Yor

m~11l1.: ~'Î1s hunde~it J,am"en hat Bi~chof J.NI.

Sailer eines Sffl11'er Büch'e'l' hetüeh: «Weris·

h elil auf d er Ga,ss.e, od!e'r Sinll1 Ull.d Gci.st der

Spl1Îchwoder, enl Lehtl.·hwch für uns

De,U1ttS'che, nlÎ't:ul1Jter auch ,elÎne RUlhebank für

GeJlehrte, dire von ihl1en FO'llschungien au,s·

l1uhen mo'dhten ».

l(Jal11 FauSltil11'an'l1 hat 1920 cine vOlI.'Züglioh

g,eordn'eJt1e Spl'iohwor,tslamrn1Jrung unlle,r dlem

T'ÎlteJ. «AiU's tlllef'elll Brul1l1!en» het·~lUsgege·

}Yen t(V1er.lag He11cler, ,Fœ1ilhlwg li. Br.).,

In 1l1'al1'cl1Jem guten VoJJJ.ClSk.rulrendler fin:den

s<Î.ch ,eb:enrtialls SpllÎchworter laIs «RülJlrer ».

WtÎ'r heg'egll1'en Î'lmen Mn wnd wieder auf

d:en Bla;tJtern d'el' Albl~elÎssIŒilender. lm 1eltzten

Jahrhund.ert hat Hans Herzog hei Sauer·

land,er in Aa11atU ein:e SpJ.·iÎchWOJ.·rtsammlung

hel1Uusg'egehen. DtÎleise 1st jedoch V1er'g,riffen.

MogliClherwtei.lSe rist siÎ'e in B'Ïhl'iollhelœn oder

in Anttiqua'l1.i,attien nO'cJhruu,[zlUtIl"'elihen.

Am nachs too LÏ'egen uns in d'el' Schulsfubc

j,eIlie Sprü'che, die s,ich mÎlt clem hüuslidwll

Lehen hesohaftigten. WtÜ· henoitJÏJgen ja nul'

cine kileia'1e ' Sammlung, drue 1.l!l1'8 danu clen

Stoff 'lÎ!efert zu Ull'Sleren mÜl1:cUichen uur1

SChl,i.f,tlichert1 Bem,a(ch~ullgen. Der Erfo~g wil'ù

von V'el,sohieidrenerl1 Pwnk1!en abhangilg S'Biu:

WjohtJig ilS,t sohon die AlUswahl, danil die

Alit d'el: BeJhandilung und hautpllsachllioh die

Aa.lfge:scMolSlSen1reJ.ÏJt dier Schi11er. «EiJJe mit

Wdle ?» NClin, dlitesma,l he1sfSlt es : «Frisch

gewagt i's t hallb I!)ewonnelll ! »

Sprachgebrechlichkeit und Erziehung

Allex BI,6LANDE,R, Logorpad

Bemerkung der Redaktion : In vie'len Schu·

1en hegegl1'en 'Wli'l" ICtin:dlerll rnilt g,rÛ's's'ern o'der

klLeinern SpI~achgebr,echen, hesond'ers sol·

<?hen, dii,e ,sto'tt1el111. Und man hat dlen Ein· d,i

'uck, d'as's manche V'O'l1gesellzten dem zn

,velüg B:eachrung schenken. Wi'l' s'Oilihen

a<her daran -d,el1'lmn, da:S's diieiEle Kind'er see·

li!sch ,se'lll.· ·zn l1eJid'en ih<ahen. Sie mer ken,

das's Ehern und arnlde11e V o.I:,gJesetzite sÎ!dh

vu wternig um sie Iillmmern und &i'e

sehen e1n, da<ss ,e:in lSollohes Ge:b11e1ohen

iihnen auch im sp~i-~et"n FontkOOlunelJ1 S'ehr

rJlach~eiJi,g S'Clin IŒnn. narélJUls konnen Hem·

mUll'gledl en'tsl1eJhen, di,e . n:eue Qualen Vier·

ll'l'S"achen. 10h haib:e pel,sonillÎ1ch meJl'lèmalls

gros' ere ICtinder 'und sog'a<r Gymllia:sialSlten ge·

tr 0 fif,en , denen he1Îm Aufsagen VOl' lauter

HemmlUug,en ,dler Schw1e1Ï,s's hel'Ull'~erra'l1!ll. Und

wi'e o.fit sind ,dd,ese Klin:d'er d'em IGespo'tTt ~threa.·

Mi~schület· awsgesetzt, ",i'clJLeJi'cht sog,a'r det·

-153 ~

Page 21: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

Vorgesetz~en! Ve11SeJt7Jen wir uns eÏlml,aJ

selher in die Lage sofcher Kind,er ! Ers ist

sicher eine Pfücht, auch in der Schu1e d,Ï!e­

sen Gebrechlhohen im Rahmen des Mog:1i­

chen zu hel1f,en, den Sohwla'l.'z't dal'ruuf aillf­

merlœmn zu n1'aohen, frull1s ,el' nicht m~t alleu

IGnd.em spl~icht und Id,ie Sprachgebredl'en

nicht f,es~5.l!el,len l\'ann und auch d~,e Eltern

daran zu ,el'Ïlul'el'n, d'aS<s sile moglichst für

eLne fiacharz,llhohe B e;han:dlung sOllcher Kin­

d!el' sorgen 'so'11Iien. nie fo[genden Awsfriih­

rung,en konnen dem grescha,tzten Lelll~pers'O­

na,l Erinb:lrick hieten ,in ,das Debiert dtieses

Spr<acth.gebœoh:ens, 'es ,beohach~en le;}1Jl~en f\l[)jd

hin'WIeisen aurf die P ,f,licht \liU he[rfen.

Hile FIl'ag,e, ob i'q~end,ein von d'el' N OTm ab­

Wieioh:encLer s:p,raohilicher Ausdruok mü «Ge­

bI1e.ohen» zu bezeiohnen i's,t, wo!1JlJen w~'r

hier nicht zur DtÏJskus:S'ion steililen. W,j,r ma­

ohen nul' rd'~e Fle.s~s'liel11wlg, d'as!s trü:tz dler

vielen F 0!l1s,chw1!g'en, d,er neuen Erk'eŒl!lI.tJnlÎ.s'se

un!d der vielen V'eroff'enlihchungen aruf (Lem

Se.l('tor «Spr,achgebr,e;chen» bzw. « Spra'ch­

'he;i!1padagogik », der vieJ.e;n Z'll'r Vledügung

Slllehenden A'lliliu[la tOI ien, Son:d,e.rkMllderga'l·-

ten und InlsllÏ.tute, d er speziailiirsÎ'el'ten l(,rafte

CA'l'lite, Logo,pad'en, Spmchh:e;i'lpad1ago:gen,

IG'llc1elrgal'lll1e'1.ÛIl1ll11en) un.d d'el' gut 'enJllw.Îlokeil­

ten ther,apeuti!s'chen A'lls'Sliohœn auf E1I1fo[g,

datsS tl'Otz 'all1dem die bffoentiliiohke:irt w.enig

datvoll 'WIIDS'S wld 'sich a'l1ch nilcht besOnlde'l'-s

d'anNlI küm'l11ert. DtÎ.:e B:ed'eUitullig drer Spra­

ohe für d1Îe seelllÎosohe EnllwlÎ'ckllwng kraIm

he>1lil'e nidllt m:eh 'l' unlier,soha:tz't wier,d'en. nÏJe

FOlisohungse11gleJbn!Îls's"e der EntwlÎclcl.'IID!gspsy­

chollogie und d'el' 'padagogilschen P.sychotlogie

hatben M ·al.' g,ezeti.g.t, d'ass für . rue geiSltÎtg'e

Ell!hVlickILung n'eJben dem AUlfn~eJlmlen g1eJÏJsti­

gel' Gütel' und Idem geJisl'igen Al"beitsprozeJSs

ruuch d,rus Sich-AiUJssern von g,l eioher Wichtig­

l(le1t tÏ.'s't. VOl' 'alilem hart td,ie He:i'1padagogik dar­

au,{ hingewiesen, Ida's's drÏ'e :ÎiIIte:l1el\!lJueHe

Entwrckilung zurüokb!leiht, Wienu die Âus­

dl~uclosfahtÎg,keit glestol'it Îst. « SpJ.'aohe i'Slt

ein soûaWeJs Objektgehil1d'e, ein Ge;f>üge von

nciohen hesl'Ï:I11Iluter Ar,t, von ar\tJikwlirer,l'en

Latu!Js'YlInholle;n, œile il1lllelnatlJb einrer Ge­

meilllSichaftt laJs V,el1Süind;igung.smi'l1tel cHenen»

(Kainz).

Da sich nun gel'iade h:eulie im mit11lens'ohl1â­

chen Kontatmt Mt ailil de'I.1 Erfol~a.el'I1lis5le>ll

dres AUtag·s die Wiohtigrl(le;h dieJS rrichtti'g:en

oSP1'aC!hlichen AUlSdl1uclœ mehr demI je er.g,ibit,

soheint ~s uns ,atl1!gJ(~lJl1a1cht, l\!ul.'z das Wes'ent­

Iii ohe hervo<l'Z'urheben. Dabei wollen wir un­sel' Augenmerk besonders au! das Stottern richten. Obwoh!l in Id'en iltet7Jten Jtalu',z'ehnl'ell

in de'l.' ganZen W 81t aussea."ol1denlJ1ich Heirs!S!Ï.,g

an der JiJrlf'oJ.'oSohung d'ÎleJs'er sOhWe'l'ell1 wm

haUlf~gen Spra'chlQmlll(lhci,t gleJal'heJil'et W1Ul~dle,

,i's,t IlTItan limrmer nO'ch 'wleJit von der eIidgüll­

IlÏlg,en El1l\!euutni,s ,entfle'l.'ill>t. DÎleJs'e Thts'a'C1he

soilil uns aber 'nioht hilld1ern, fül.' dies'eJs Pro­

b~e'I.ll g.ro:~s'ea.'les InJtrer~S's;e ~u z'eigen und dlalS

GeJfundlene positiv zu vlerWle<l:llen. Das iM um;:el' AnllÏJeg:oo .

Eis IÏ!st im Rahm'oo eine;s A'l'uikte.1s nichtJs m01g.

11-oh, auoh nul.' eilltigelll11'm~'S:en eine Über­

swht ühe'l.' tdlatS pJ.·o:Mem <~Spl,a;chgeJbl1"echiltiJch.

lœlÏJt» zu g,eben. DeSlhailb enlllscJ1I1rœS'en wil'

uns, eine ldein:e ÜberlS~IClht in FOII.1lll von

San1!l11elhegdff'en liU rg,e;b:en. J)al'lunllet' fatltlen:

1. Zentrale EntwickLungshemmungen der Sprache (Ho l'tSitummhci t, Seeilien;l!alUbhieWt,

Stammelln)

2. Sprachstonmgen durch Gehorleiden 3. Storungen der Aussprache bei Veran-

derungen der peripheren Sprechorgane 4. Sprachstonmgen bei Himkrankheiten 5. Konstitutionelle Storungen der Rede. Oirese I\;Jleine AufiSotlei1Jlamg VleJ.',ra!t U!l1'8 d~te

W'eii!t11a,wfoigkrBi,t dies Qelbh~Jt:e:s Spl':a1chgleJbl'lech­

lilohlœit. Wi,l' wend/en unIs de'l.' leitz\llen Gl'!U[>ipe

- kon!slJÎ'lJution'eilJJe Stor,ungen der Redle -

zu, unrter drie d'aiS Stotter.n, faihll.

DAS STOTTERN

Man kaun hezügJLich dlel' Mieinuugell1. über

d'aiS Wes'en d·es Stottel1l'ls im aU'g'e'l.uleÎl1Jen

zw:e,i R,i ClhtJull1'gen Ull!tlel's,cheJi,d,en. Hi'e e1n'e

f.aJsst das Le'ÏJden ailis OIl'g'a<IlÎIs'ch : bec1ingt

araf, die anJdeœ als funk.,tioneillÎ.. Bei<d'e lli:oh­

tungen verrleg,ell die Ur,salohe in dtas Zeln<tJ.m[­

nBl'v<elltSYIS tOOI, OÏJe Vrenf'echtJel' d'el' ,e'l.1s·llen

Gl1Uppe sind 'aber d'lU1cJhaJU!S nIÎ'oilt einer Mci·.

nung, "'Ienn es skh dm',Wffi !1atnœe[lt, dieU

Sittz dre;s Sto~~erns genau:er zn }o!Cla!1irsÏJeren.

H~er soiltlen besondel"S zWeJi Anls1ilch1le'l.I hel'­

vorgeho'ben wel~den, ersllens jen'e, w,ellchle die

~ 154 ~

U11Satohe in ,den gl'anen Z'eiliLen des MillteJ­

hil'ollls a~1tn.ehl11'en, cllÎ'e untel' d'em HBgriff

« Sh'iatum-PlatL1.iJdUllll» h elmn:nt ,s'il1!d, rund

eill'e zw.ei'te, weJlohe d,aiS St>ollitenn ailis Fo'1ge

eine,r entzüncl[.itohen EdwanklUug d,elS Oe­hinl!s, lVlelllll aUCih meÎlSt 11!Ur II'eÎohtoer Alli:, he-

1!l1a ch tell. In dlreJs'elm ZUIs'am,menhang mlUlss

e'I.'wahnt wel~dlen, das's h eziigJ.idl der FiJ.'age,

()lb aa,s Sto:ttel'J'e~den ~el1!lil1ail od'eJ.' p'el',ûplrel.'

b edinlgt sei, hoote krarurn no'ch ZWJeiHietl the­

s'I!ehren konnlen. Es g,itlt heu'te IQeJinen Alll>tO'l.'

von Rang, cler d,i:e Ansricht vertt.,ûtt, am

Sto,tJtern ,seilen dù'e p el'Ïtphel"en S:pr,acho'l',g,an<e

schu'ld, etwa aie ZUinge, dle'l.' K'eJI1J1koipf o:d'er

d'aiS Gaumensegd. Es giht aber immer no'Cll

Leul!e, a\LI'e'rdings nul' IÎn LaJi'e'l.ùu.eÎlS'oo, d!Î.le

geneig.t s!Î.nd, die p'el,iphteJl"en S:pmoho!l1g'a>n'e

für d'aiS ZusltanJœek011l1l11'en d ies Sl'o'tl!el'nlS V'er­

al1rtW<O'l'~lIÎ1Cih zn rnachen.

Se;ÏJt Li!ebmallm g,e'WIÏImt d'Île AI1iSlÏd-rt, d:ass d;ats

StOittern in ersl!el' LinlÎte seet1ÏJsd1.e Ursa'chen

hraihe, immel' mel1ll' an B edeutmng. Da'5.s

drabei eine UI1!l11'enge Threol~ilen el1Jsta'l1!den,

bl'a;wchrt nitoht e11s't Ie>r:wahl1't ~u 'VleJ.'id'en.

Enstehung:

Gewohnlich entJS!l!eht dlars StOtbe'l.'il1 im drlÏi til!OO

o.de'l.· v:i.etl.1llen ,L'eJbensj'ahr, oft a>uch in cIter

Schu'le, g'ell'eg:ent1ioh in rdler PruJber'ta't und

sôhen im spate'l.'en L eb:en. Ber ElÎm1tllÎlllt fuI d~'e ungmvohnl!e Umwetll!: drer Schruile hedrelllJoot

eben fÜT s0h eue ullid von GŒeidl'aJtriÎ'gen

frühea.' ~er'llIgeJhailtene JGll'der ein el'he.blicheJS

see.Hs'ches Tl,aruma. (Diels'e Form n em1lt matn

En twiclclulligs-s-to'Uerm).

Nach ,eil1Jer Î1l1teressan~ell p'sy;ohollQ~i,s;ohen

11heo'l'.Îe (Johnson) enbSlt'eht d 'aiS StOtllllern

dU110h di'e fal1sohe pii'dra-gogÏ!sche Behand[uug

d'el' im I(,j,ndes'atIter phYlsiotlogils'ohell Lau,t-,

Silhen- und Wor,tw.Ï!ederh01ungen und derlen

BeZ'eÎchuen a,ls St'Ûl'te'l.·u.

Wegen d,el' feS'lien Koor.d~nartion samrtlicher

am Spt'eJc-hen beN.}illigten B eweglUugen von

A lin1IT.lI1g, Sbimmg.eJhung, Lruu l'hûMumg, Mill1'Î!k

und Gesllik @ud gJ1e.j~chzelÎltigle und gJ~eichar­tige StoroUl1'~e'l1 a[ller dlÎleser F,UIlIklliolle n ru

sehen. Es ergiht sich d,a,he,r dlile NotW'encl~g­lœi1t, uns lmrz Ibei den SYlmpto'lll'en arwfz'l1hall­

ten. Die Bia~l1tose fa'llt ja ll1'eÏlsllel1'S leJic.}lIt,

wenn aals typ.Î!s Cihe, je,cIte'l.·lll1'al111 belmlill'te

Sto't.tern vodÏ!egt. Bei der Vi,e1ge.s~aiLlligkeit

des L eidens sù1d abe'l: besoncltel~e V'BI:1aufs­

und Eps'ch:cin u'I1g'sf'Glil11'en nlÎcht 's81ten.

Von d,en drrei A:t.iten d'es Sto:l'ten1lS, dem

Entwicklungs-Stottel'n, lœellu traumatischen und d em hystel'ischen Stottel'lL sol1l in d~es.eun

A11nike.l di'e erste h esp'lioch:en ' Vle'l.',d,en, we:H

uns 'g'erad'e die,se Art im I(,Îlrc1es'aJl~er weÎltailts

am haU'f,i~sten entgeg'entritt.

Die elsten Anzeichen de;s Sto<Uernls Ilu!ll sioh

7Jumeist in Si1lb:euf\<\',i'edlel1ho1lul1!gen klUIlid. Bas

IG'nd wiedrerhoirt eine Si,lhe 50 la11Jg1e, his

ihm de'l.· W'eÎJteœ T.eX!t der Hede an den Sinn

k'ommt. Dabei ri,sot es sich der SpDach!stOiJ.1ung .

ühedlarurpt noch nicht h'ewiU!sst, sellbs,t Wiell111

diese Symp1to'me g:ehü'l1f,t aruf.tJœllell. D~'e:s ist

eÎ!n:e na,tüdruohe IEirscheinlUng, aJml1Îlch wÏJe

die UngeJsohicldiohkci,t beüm Gehen!lerneul.

W,enlll dmm ab er d'aiS Ki'lld gezwlunge'l.l WÜ1d,

unvlel'mÏJtJte'1t zum Spr,echty,p überzugelmll,

kOl11'111t es lüiuf1ig zu Enll'gJleÏJs'llillg,en in cler

eilg.el1'eu Sp-mcJl'e. Es ve'l.1s'l1cht Idanu drire

Stoliung,en mit Kl~af,t zu w)e'I.",V'i11'd:en, was

dlll'liohaus der ldllldl.lkhen Denk'l1ug.sw,ei\Se ent­spricht.

lndem nlUn ger.ade lru'e Umw;eJllt dùe Aruf-111Ierlœaml('eit 7JU stta1,Jr lauf .dlÎiese Er.schei­

I1Iungsf'Ûl1l11Bn leIù('t, Wiü,d aeJ.ll1 Kind drue

F'eMlerha,f,ti.gk,eit h eWlllSslt gemad1Jt. Bas ZlÎieà,

d,ie B ef! eiung dUl'dl die el,ho:htte AnlS<tren­

gung, ,\'Vlir;d aber nicht lerr'eioht, rÎ.!lu ,ceg'en-

1.1eÏ'l, di'e Symptol11'e WieIiden nul' uoch auffal­

lig.e'I.' und hal'tnackiger. Dillesres StadlÎ.!lull be­

d e:u1tJet den HohepUlùc.tt d'el' ausS'e,ren K 'eum­

zeichen. E s wirr'd auch vom La,i'en ails S1'O't­

tern erk<almt, jeu'el5 Leidren, dars ,in Wi'tz­

hlütrern urrd aJUJf d'el' Bühne of,t zur Untel'­

halhung g'emü1!sroher und be;sohranl~tJerr Men­~) c.hen venVlel1'dleJt wü',d.

Nadh e,il1lÎ:g'er Z'eit he~innt der Stotteœ'l' dœe

ErgeJbnÎlstlOiS!Î'gk'eits'einer Ans lil1el1'gung'en ein­

zu~d');ell. Er suoht daher nach nooen Wegen.

mnachst be~illl1t el' d..ie übei trÏ!eh en:en M'ÎJt­

h ewe.gung,oo abz.wh'aUJell. Er hdlütlt lm!' solI­

ohe bei, di'e WeI1Mg aruJf,fJaihl'en, ihm athea.' _

naoh seiner M1eJÎI1IU11Ig - do oh hef.f1en. Der

Stotte11er baut nun di,e heùeÎlI1S ~tark r edu­

ziertJen Mill'bewegungen 7JU e i11!eul1 Sytsllem

atns, bLeitht ,abe,,: in eÎI1lellU llin'los!ha1'en ,Ab­

hang,iglœÎltsve"1hiilLtll'its von d'lesem. Ein leti.s"es

-155 -

Page 22: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

AIuflsl'ampfen od'er Sohamen m.Ïtt dem F;uss,

eine unauI,faJJ1igte Han:dlbeweg;ul1g, ,ein VIer­

legerres KIJ.'latzen, ein Sl'l',eiohoo mj~ der

Han:d übeJI.' den Mund odlel' andere ver­

hail,tene Bew,egun:gen lei,tJen di'e Rlede e,in,

In ,dlÎ:esem S~a:c1if\l[}l itS!t d'ars vel"leg1ene W leg­

Micken sehr Cha'l1a,ktJeD~stJÏtsch, na'llllÏ.it sind

aher diÎ,e HemmniÎs6'e nrnoht ühellwlunden,

No,oh bilieib'en dIi'e «sClhwÙimiÎlgien» Laute und

Worlter, d'Î'e irg'en:dWiÏe U!l11!g'ang,en werde.n

mÜJsS'en, nalbei kommt diem Stoltter'er d~'e

Reidùlrul,tigkleit UI1>5e-l'er Spl1aJohe zu Hme,

die es ,i,hm ermogt1icht, für dli'e meÏJSltJen WO'l:­

ter AuS'drüclœ von glhidJ'en unld ahniliiche'l'

B:eld'eurung zn Vlm1wenden, d,ie die giefürC!htt>e­

l'en LaJulJe nrnoht el1'tJhaJJten, A.11eIidiÎng's kommlt

dtann eill1'e S'ehr gteWiul1!dene /Ulnd U!l11standllri:che

SpreooWle'Îls'e zu s,tJande , NUl1'ul'eihr is,t aUich

dli'e tÎnnere Spra.ohe gleJStOl't, und aIs wetÎ,t.ere

Foilge l'liÎln eiu,e «V'el1S'chiÎ'efung» der Log,ik

e ill und es el1tJs~ehen gte,,"Ïts'se Verandm'ull'g:en

der g't-'a~nrl11!lLti;solrell F'OlilU, Dtilese Smme dies

Enltw.itcldung;sto'litel1ns wind ~UI'IueÏtst ruls sen­

sOrÎ'soh-aphati:sohes S~acLioUJm hez,eiÎchuet, Bei

a'llteren Sto11ter-e'l'n ill'e:hmel1 die s'og'el1lanntten

Emholophrasi'en eÎ!l1!en bre'Îlten R8IUII1l ein,

z, B, «na ja, hm, ah », Bwsher sjnd so~usag,en nw: dre spr,aClhiltÛohen

Sy1l11,ptome g.esohrilMer,t wOl1dlen, Han:d in

Han,d InrÏ't dm' Vim,stih',I~UI'I1Ig dler spr,aohillÎlCll1len

Sympltlome ,g'ehit di,e abwlegige se'e11Ïts'ohe Enlt­

w.iddJul1g d'es StoltlleleI1S VOl' sÎlch ,

IG,]1Ider, dÎ'e ~um StJoUern neigen, weilsen hau­

fig seel]sche E1genlheiitell aui, die dlas Sto;t­

tern hegü:nJSiti'g'eI1. Sile lsirrd laruiffaiJJl'en:d a l1gtS,t­

Hoh, Is,ie zeigen Imue lÜh'er'tl1Îe'biene FUl"oht

VOl' Tienen o:der geWlÏtsls.en P iel'S'o'l1Ien, s,ile

halhen Angtst VOl' denl Al11einsein und VO'1'

d'el' DUl1!k!e1heÎlt, 'sie flal1100 dUl1c:h Zm1sh'eut­

h~,t, ,durch Uns'ell!b'S'tanœÎlglœi't be:i dlen ta-glhl­

ohel11 Vien1Î1chmng,en lLuf, sÎle' weiol1len glJ.'os­

serell Sohw1itel\i'gk~t.en a/UlS und neÏtgten ru Ta'g,ltraumel1 wld Tal1cleJleien, DtieJse IGndJer

zei'g,en aber auoh einen aUtflflaUendel11 Hang

zur Zlllrückg·eZO'g,eIl1<lleit, si'e stind unsicher ~n

ihœm Ben'eJmwn, s,ie ersclmecken le~chtt und

daIS W'eiÎl1'el1 slÏJtzt b:ei iIll!1'fel11 10'ck;er, Darre­

ben fÜlodet man ails KOImp'e11'S'altioiJl rühel1'­

tliÎleh'enen EJhrg,eiz, Eitfiet1S1ucht, ja sog;afJ: Ha<S's,

hauf~'g au ch Ul1V1ellira,gtl'ÎchlœÎlt und Soha:clel11-

fœuJcle, Dj,es'e Ei'giel1l1sohaJflten fiÏin:den wÎr aher

aUtoh SO]1IS't hei «nellVo's'en» IGndel'11.

Scllon bei <der el1.s<l'el1 StufJe des Soh\\Oel1sitoIt­

ten1ls erkennen ,WIJ.' aUSIgedlehllt1e und he­

deuts'aJlue VlerM-rdtel11Ul1!g'en in d'el' Seel1e dies

I()indles, DiÎ'e meÎlsll'en StotIJere.r sind un­

ent!sohJO's'sel1 un:d ~el1flaJllien, die AIufIm'erk-

9alIllI~eiJt i>St :lierf.aluien U1l1:d ,che I(loll1z,Bnllit1aJtlion

faJ11t schWier, AlJ.1heÏltsU!11ll'U's,t /Ulnd leiClhtles Er­

müd'ell ftml1en auf. Das s,ioh 'standj,g Vlel\5talr­

k,en:d'e Nalchidenlœin üher die eÏJgtene Sp'l1aJohe

hewtirkt nehen ,den aruflfiiili1:igen s'pra'cihiliiohel1

Sy11111pl'omen Stoll1U1ng;en im SO'zœallen VeIl1hrul­

t!eu, Die hiirufti,geu Schocl~Î'el'ungten und di'e

Bla'mngen VOl' d'el' Ul11Igehung füh11en ~ur

AIbl~ehr von der Gemei]1IS!chaflt.

Die El;}('eniJ1!tt11lis, dlalS's .d,er hlie1111'end'e WUil1!s'Oh

l1'ach einer glUltel11lU!nd stol1Ungts.fl1eÎten Spl1U'che

vm"gelblioh 'gewlelS'en i Sit U'l'id dtalSIS aUe AUSln'len­

gung·en mTllsonM wa rien , f,ühlJ.1t Z'll einer tie­

fIen NIi·eldeJ.1gteschJl.aglenthei't. «!EJs g'eht niÎ'Clht »,

sagt nun Id'er SI'Ü'ltte11er 'immer ,wlÎled'er 'V01·lS<ich.

D~e AhneÎ'glUng ge.gen die ' Ges'eJHschaft, die

jetZit ents'clllie.d'ene Fol'men WlniÎ11l11JI1t, zieht

nOllimendillgerw:eÏJse dlie Is'O:Ii'ffl'Ullg und diÎ\e

f,einldl1iohe Ein!&tleJlJlung gtegenübe\l: d;er Ge­

meÎ'nsch a,flt naoh sirlI, Damit heginnt abed:

au oh die Z'erls'etm.mg d'e's Ioh, Elin tJi:efleJS

Mi~n:denV1er,tigtk!ei' l!s;glefühil behm)11scht d:en S:tot­

teller Ul))d bewlirkt ·eiùe votlili~g'e Vieran:delllmg

des ChaDaklllers, Es kOl11ll11,t ~u ei11'er krank­

haf\tJen Uang'estlallrung d·es Le;beJ1ls&tli!l,es. ner

wei,tere Lebensweg ÎtS!t dU.l"oh SChwiffl,ste Ent­

mfUJtJi~ung, dlie hits zn Sellhs,tmoa.~d,g;~dlankten

fii.tlwen lmnn, gel~enn!zeich.n:et. nais Lcid'en

Willd ~u'l11 Hem'l11ls'ohiuh, NiCJht seiliten sllèW1t

es sÎlClh htel'a/UlS, daJs's iilltleœ Leute, Me mten­

SOhB11Ischeu, wO'l'tl~al'g ull:d vN,arossen sind,

e;iulS·tmlall.s Sllo'toorm' :W1al1en, aib:er dank ilirer

I~t, dars Le;id,en zu velb:eIigen, f.ast lœlÎJne

Syllulptome mehlJ.' zeig'eŒl. Die aUls'sel'en I()eun­

~e~chen sinid nlilol1lt mehr feJst6,tdlbalr, ather

d'Le see1Î'sche ZIel11Ü!litung Îlst g,eh'liÎeben. Er..st

im ISipa,tet'el1 Ather v.erscnwindleJt - mirt AulS­

nahmell - da,s Sto'tl'el1n ganz ,

D.i,es hi'er i Sit roue a'11g'em~ne HeschlieihU'l1Ig,

die den VellllatUlf eines StlOIUerers an~uz.elligern

Vier,su:cht. Daisis tdlahei wele Viru1ÎatJÎ'onen mo,g­

li'oh ,sind, IÏSlt D'ci d:er IDynamik raUen SeelLen­

llBben!s le'uoht vleI1stiin:c1l.i;oh, Oh dieselS otd'e'r

-156 -

j'enes S)'il1l1pitO'l11 eNltl'ifrft ader nÎlClht, ist nLcht

Vion primarer Hed'eAllbung, WlÏ!oh'tIig IÏlS<t, da,ss

""tir dÎle El1llIsthalf.tigkeit des StotJl!erns erken­

nen, um joo'en MeIllSohen, di,e Neigung zu

driJesem lJe:iJdlen htahen o'eller die d,etu L~d.'e!l1

scJhon 'V,el'f,aJJ1ell sind, mllt Vim',sltiindn'ÎJs un'el

W'ohl1woH;oo ~u hegegtllen und nÎlClht mi,t

l1ad,eJl und StmfIe, ,we d,i,es noch a!1lzu oflt

der Frulll ilst. Dtie v'eJ.1sc!1JÎledlerl1'en AUisiClhten,

d'Î'e 'sri oh ~uld.em duroh dlÎle vel1s'chioolenen

RlÎchtung'el11 in dm' Psy;ch 0['0 g,Île er'g'ehe.n,

so;11oo niÎchit als A'l'gtull1iel1lt dafür benutQ;lt

wlel1lden, zuel"iSt ahzuwar l'en, b:Îls Î!ln «cige!Jl'oo

HaJUs» Ol,dnung .g.emtaoht Îtst, Es fii.:hœn

a/Ulch hiler Vlel1s'cl1l~eldell'e Wleg.e 11'ach Rom,

b:ei d'em ei'llel1 hiMt dilese Tl1Iemptie me,hr,

heiÎm andlern joel1e,

WiÎle sifeht es nun m~t d.er Ptl'olgnolS'e ? Da die

Ul'sache.n ver-sohiied·oo..ster Natur sron kon­

nen - El1Illdeck'UI'Ilgen d'elJ.' mo:d'erll'en PIsy­dho!Lo'gÎle - mÜJs'S'oo zuer8it di'ese fJetsll'gteS,tleiÎllit

'-vlel~d.en kOlllnell, S'O dals's zu BeglÎfnn d~'r Be­

han:dlLung j,edel1ll'ei V OI1:auS's,agle üh'er d:eren

naUier und Erfo'lg unmogIDClh Îs't, Amolld s-agt

hierzu: «Ehel1lsowenug wlie ,ein s:eeJlJŒ;,ch ge­

sUI'Ildler, whlilenJsSotJarlœr Mensoh zu stotrern

hBgtÎllmt, W1eIltn er untJer dem Einfhn;ls ciner

vO'l'ooerl'gtehend'en NeriVo's1ilta't herim r~:sohen

Rled,oo sÎlch vel"tSlpliÎloht und Sillihoo eill1lÎ'g,emallie

gep'l1esM w.Î'ed'erhoJlJt, so sohwer ifail:lt es dlem

zum StottJe11l1 Gebo,renoo, aer eÎlnm.ra!l a'llsge­

MLdlelten Nmu'ose ~u entgehen, AIllIf Gl'um

zath:ll1eioher umf.aJl1g11e!Î1chter Sta:tli.lStliken und

d'er Erfrahrung ' "et1SdMe'elIene'r Autonen dtad

m'an s'ag'en, :dals!s rein nr:Ï'l'tell der Pa·tIienltlen

gteheilt U11'd ,ein nl1ÏJtJtiel glehe;s>s'er't w1i,rrl. Der

RJest hLeibit bis j'eltzt lleider unhe:erinf'IDsrsbat}:,

Wlas die aUlsser.e Er,s'cheiÏnuug dies s,to,tJt1ea.ns

an g·eht , ImmerhÎn hes'tlehlt heute dri'e Mo'gIliiclh­

l~ei\t dUliC!h ther<aipeUltiilSOhe MassUiahmen we-

11Jig,sltens d,i'e se:elillsche Seite einigermatSlSen

im posÏttlhnen Si!Jll11e ~u h'erourf[Ulss,en,

Zum SohlUlS's'e kOll11m'end, sotl1en noch ein­

mail kur,z die wichtig'Slten DarlJen f'e<st>g.eha!Lten

,,"enden, \Vü hahen auf che V'et'SchiÎle'el'enen

Theo!J.1Îen v,erûoht-et und hahen in a.hlgemei-

110er Fo.rJu wÎ,chti,g'e F1eslls,ter11u'l1tgten maClhtoo

konJ1len, W.as fülJ.' dlÎ'e Erû'ehung von WlÎchtig­

keil Ïtst, h'eruht ,ID la Br Tats'aohe, dass das Stottern ein schweres Leiden ist, wobei die Ursachen verschiedenster Natur sein konnen, na d'el' StaJl1d d,et1: For5ühUll1'g dtUls Prob[.em

Sto'ltt'e.rn n lo'ch nicht Zll oeÎl1lel1' et1idlgtÜhlÎ'g,en

ErkenntJt1ihs ftÜhreu konn'tle, mÜS'S'el1 wir VOIJ.'­

laufi'g uns miÎt dem Gegtehenen zuflJ.iÎlerlen

stlelHen, DtÎe T'a'tts'aClhe, dalS>s ein gr'osIS'er T'eill

glehelÎl1t w,er,den k'aJl1Il und d'em al11deJ."IJ.1 TeWl

die Thel'a'piÎe ~UJgu,te kommit UI'I1d herillJend.

wirk,t, so[,l uns el"mUnltern, je~ne s'peÛ'aillÎls>ier­

lien KrafJte fll'ii:h~eitJig aJULfzusuohen, W 0 dlÎles

l1'i'cht mogllÏtch 1st, 80'111 V'eI1s·tal1'dnlÎ.:s U111d

W o:hllwoll!l.en vorhel'11schen, Bei der ang'e­

meÎlnen .A!uISlbl'eiÎ,rurng dlels FÜ1\5 0r~we:se]1ts

c1üdlel1 wir hOifflen, d,a.s·s aJUch im WlalllŒs bailid

eillle B e:hlLn:d'1U1'1l1gtssta'llion und v'eJ.1s:chied,ene

Almhull'atol'lÎ'en dlllJS frühzeÎllJige Enfals'sen dier

SlpraJClhg dn'eoMud1!el11 K;ind,eJI.' 'm~I,aJUJb t, U!l11 heJ1.­f,end wei'lieren &chiid'en lin Idler iEntwÎckllun.g

dler bettt',o'fifJenen IGndler ~u VleJ.'hÜ'1JeIn o:dJer

~u nlÎlld'ern, Soilatl1lgte d'~eIs'e InsttiltJutÎonen im Wlal~Lils nooh .ftehfLen, sind ,wr a.uf d,i:e HIÎJfe

'~0J1 'auswiil'~S ang'Bwli.esen, Da ilst es am he­

SIiet11, ,,"enn man skh bei d'el' na,chS'l!en Bür­

SOIl'~elSlteJlile or.Ï:e11JtlÏtelit, auoh d,Îte P ,ro Inf,ÎrmlÎ.s

]Œllll AuS'kuuft geben und hillt auch ftinan­

zi:elil mit, o:dleIJ.' man 'Vloodle s,ich an dta8

InSllti,tJut fii..r HeJitlpaod-a'gogili und angew, Psy­

cho.log'ie eller Unh',ersiltrut Bl'iIburg, 8, rue St,

M~ohU'ei1, W1ue ühea.1aJll, g,iht es ScharI.a'l!ane,

d'i'e Me Umwssenlhei,t der Leme ~u f.inanz-Î,erl­

lem Gewlinn aJUsnÜit~en, Es sci hLe,r nad1-

driioki1~oh auf d,Ïtes'e Mog'Lichl(feut Vlel'w.ÏleiSen,

Soulom,nl Fr. 255.- IXI~~~~

1

OFFICE MODERNE· SION Mme E. OLiVIER-ELSIG et MICHEL RUDAZ

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Page 23: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

COMMUNICATIONS

ENGAGEMENT A NEUCHATEL Contrai'rem'ent aux rpr.évis,io11ls, ['e Canton de

Neuchât~l engag,era, 'chwant Il'é.té 1959, un

nonlb11e td'tins'tÎtu't.eur,s ""all'ais.a'l1s etI'lcore sUJpé­

l,i'NID.' à ce'roi ,des ·années pr·éoéclentes.

Toutes ih~JS oÎrrd,icatio!1Js '-u\1iles parvi'end:ro1'1t

très prochainement 'aux intére:ssés.

Département de l'Instruction publique

EXPOSITION INTERNATIONALE La Fond'a1tion Ernesta HeIS'SO, ·à Rom'e, 'cl or­

gmlÎtsé ces ,d'ernièl~es .anl1!ée'S pIDsi'em,s expo­

sitlÎons lil1JtenuliliiorJIatLes IS'e 'I:ap.p'OT·\1ant aux

prohlèmelS de .p,éclucaltÏJon . La rprüchaill'e

eXlpos,ition .s'el'a coalJsacrée .aux éCOlles ,rurtales.

BIle ·dew·a COll'l'po'rter 'en grm1.d·e ~)al'tile des

photo's tet, .si ,pos'sitblle, tdtes tnavaux d'a,rtlÎs-a­

nat, de r,echeroh s ,sm: ['es ,a llIil11laux, J!eoS an­sec-te;s, les ,p:1antes, etc.

Les p'eIiSOlllH~S 'ayant la Ipo'ssiihi1iJté ,d'e 11bpon­

dre ,à ·cette .dem'arl!d<e formulée Ipar lita ,Fou­

d'a,tion Ernesta IBesso tsout instmnanent p11ilées

d'mulOuoer leur corHarbol'aüon JUill DétlJla'l.' te­

memt de 'l'instruotion rplllMlirque, ,à Si'O'l1.

COURS DE PATINAGE Les T,éponses nombl~euses à nortre annonc.e

d,e 'cotms Idu ,dernier numéro de l'Ecole valaisanne nous ·enco'lll'aigen't à m:ettr,e sur

piced un ,COUDS d'e Ipaltinlage rréser-vé taux m!e;m­

bnes du pel'soJm'BI ,enls'eignant. n aurra Ilti,eu à

la tp'atinolire de Sion, 'sa:mercli ISOIÎ'I.' 10 e't di­

manohe ma/tin H j'al'llvi'er 1959. Rendez-vollllS

au Restaurant d ,e la ,pa'tinoh-e iLe 10 jtanvier

1959 ,à 19 h. 45. Olôtur,e ~e 11 j,anvi'er ,à !ll h. In:d'enmités : oaux memblies de l'A.M.G.V.R.:

l'emhotll's:en1'ent des il,a1s de 'Vo)'ia'ge plus une

inch~I1lJl1.i'l'é tel,e nU1i,t.

In:scrwption : juscfU'a'll 8 jamniel' 1959 auprès

de ;p.a,tù C1lasse)', av. de Ja gar,e, S'ion, en

spéôf~a\l't 'si l'or,gani.saf.Îon doi,t s'e cha'l'·g'er

du ,logement le \'; 'amed~ 'soir.

Pour Je Comuté de l'A.M.G.V.R :

P. Glas'sey

MITTEILUNGEN

Un succès international...

L'ENFANT APPRENANT UNE NOUVELLE

MANIERE DE FIGURATION

(Eldrirnb'llrtch & neJ1ling Newls, 6. 2. 1958)

PthlS d'e la moi'tié ,dies lécoles pliÏJmatires d'E­

dri'ln'bourg (tEcosse) leXlp.loÏJtent illll1e nouv'elHe

mlévhode ,d "ens elÎgrrrel11'ent d,e 1l"a'lÎIthmtélltÏlque.

Gelllte in,foruTa,tion 'est lannoncée pair de l'ap­

pOTt du Comité p'Our le Iprogrès de l'é'dtU!oo­

tion ,au Conseill Ide ,la ,nillile ,d'tEdlimboI1ll1g.

La mbthoel'e : iJres Nomb~'es en Icouilieurs, Î!n­

,~entéJe rpall: ,Le tpéJdla'gogue C'llÏls:eulaiœ, OiiJ.1e:C­

teul' ,ele 1l'lelllselÎgtI'JIeanent rel,e Thuin, HeIlgi.qU'e,

l'évo~ ti 031'11'e fl'letl1!S'ei.gnlem ent 'el,e l',al,itthim ét,i­

que. Le 1I.',appoll:t ,eÀ"I})llÎJque qu'une ,eXip:élii'eu'C·e­

d,ém'ornstroa,tion d'e ,cette mlétho:de d'leTIlS:eÏlgne­

ment de !l',all1Îtihmbti'que 'a ,été frlllil'e, el,arns tUnle

écol1e pl'imair'e, Id'eV'anlt ,tous Jjes 'chefls tel'écot1e,

avôc d es lenl~anifs ,déhull'ams.

«Les ,col1lta,is's'ances ani1Jmnéliiqu1e's ele ûeJS

enCra/nts 'OllJt fai.t :une in1ipll.'e·S!S!Îon teHemell1rt

f'aJvOliaMe que 58 Idle 1l1'O~S 81 éCOOtes ont

a'ocep,té laV'ec ,etI1itJhotU!slÎ'a'sllU'e d',em.pioyer ~a

méth:ocle IdleJs Nonlb'l,es 'en ·colul1eua'·s de Outbse­

nalill'e ,durant ~a tp'l.1ésenite année s'coJ'atÎre ». P'al' . la métho:elte rGuisenalÎlie, l'es emilllIl'ts

aJppl1el1l1teJnlt l'es !r,ellJal'ioll1's enm~e les nomhœs

au (moyen tdle 'I..,égilett~s \die 10 dimensiolJ1ls et

couil'e;l1I'S Idli!f,f,éren.Jlieis . H -a été prouf\né que

tOlUS lies enfUl'l1tts at,lIa~ent appll.ïÏ.,s, non s'BuJ'e·

mNlIt Iles é'lélll'etI1itS d ,e ['Iad'ditiolll et de ~a

sotlS!tl'actlÎ'ÜB, !11l'alÎlS aussi (Les tatbiLes d,e mullltlέ

tp!JÏ!oaüou heaIll!coutp plus l'lliplÎld'ement qu'avec

,les l11éthocl1es oil.·:dtÎtI1'ail'eis.

Ùa ·métho:de Ouils'eJnail'e, POUIl'SWÎIt 1e rapport,

pal'aît êtr,e olliP'aMe Id"amlen:e,r Iles enf'a'l1itoS à

[',i:cl.ée de ,fr.actions tSimtptle's beaucoup tpllll'S ItÔlt

qU'!ÎII n"eslt poss!Ï.b!l:e atV'ec ,les métih0'<1es tira­

dliltionneUes.

n 'seml:>,1e cert>a!În Ique Jles Nombll.'-es en

conleUl's cl e ,CUiSeIlatÎ:1.~e mo:dliflÎellllt de f.onJd

en comMe 'l'es métho.dleJs eXlÎtSOOl1'tes . Mi's'e

-158 -

doans l'es mainls de beaucOlu,p d,e maÎltr,es,

ce~l!e l11btho'd'e cond'll~t à un ch a ng'emlent

oatpÜal rloans il'tapptl'o'ohe de d"ensei'gnement

die l'al'Îthmél1ique à tl'télco!1e.

V'Ü'Îloi qute[ques ftte's\1s po!S.és dral1!S Jes é:colles

d'EeltÏm'bollll'g à des ell'flanl's lelte 6-7 ans:

6 + 3; 8 + 5; 7 + 8; 17 - 9; 8 + 6-7 2/3 ,d'e 9; 4fa td'e ,10 - 1/2 die 6

3/4 d'e 16 - 5IG 'cIte 1,2

13 - 7 + 3/S Idte 16; 4 X 4 + 2 X 0 (2/5 d 'e 15) X (2/3 telle 6)

2 X .(3/S de 16); 12 + (3 X ?) = 18

16 - 213 die (17 - 2) = 18 - ? 6 X '3; 18 : 9; 16 : 4; 20 : 5;

5 : 2; 10 : 3; 11 : 4; 13 : 5

Résultats obtenus A'Vec N. Sans N.

en 'cou'1em.1s en couleurs

AJddl~lJi'Ot1']1s 98 Ofo 78 %

Sow;lm,actions 94, Ofo 79 Ofo MU'1tÏtp~tioailions 95 Ofo 610f0

DtÎf\nisions 89 Ofo 64 Ofo FiiadÜons 90 Ofo 25 Ofo Bmbllèmes 810f0 53 %

BIBLIOGRAPHIE ~) BÜCHER

Papst Pius XII zum treuen Gedenken, von P. B:e<at Amlbord.

Besonders in den He'l·,zen :dIBr ErzlÏ·e:her

WÛ'I;d P ,apst Pius XII ,s'e'!. nooh [llil'JIg'e Iron

tI'eues, d 'ank!ha'fle's Geidenken fiindren. Man­

chet).' mO'cht'e taus Idem :L'eib.en ,d,j'e8le's gl',Ols'S'eal

PlllJps.teJs und EnzrÎlehrel'ŒIJ.·eundies Nii-h'el'es und

W'es:enttliches WiÏ!ssen, ohne eine UmflafligtI.'ei­

ohe Biogrlliphire ~u l'es'en. D:ieJsem W'lll1lsche

entlspl'Iicht nun tetÎ!n'e Schri.f1t, ,d'Le UI1ISer Mit­

alibei'tier und LaJJtdlSm'llillli, P. Hea't AmboM

über P ,iws XlI 'VOl' kUl',z'em ve'l'Oflfienclich1: hat.

Si'e tb'es'chl,e;itbt 'I.1JI1'd d 'eUltet ~',e.in P'oll'tlÎftÎloa't

untel' j'enen GesiochJtspunk'l'oo, di'e ,d·ars Wes:e'l1

seiÎner Pte<I1Sonl,~obikJeit U!u:d lS'eiÎnes WIiIJ.'Ilœns

MM: und ansipœch el1c1 b'e!leuohten. (tEr­

hiillr1ich in lœ'th. B'tllcliliam:11.ungen zu Fr.

1.20). Ernsit Sc1nllliJd.,t,

Dr. Ailhel't Ruth

Die Entwicklung des Kindes im Volksschul­alter, 152 S . DM 6.80 Vier/hg Lud(\v,ig lAuer/

Oatssilaneum Donauwor,th.

D:er V,erf'alsser, lb'ekallu1Jtetl· ,Psyoholotge un!cl

Honorat/professor für lang'ewnnd~e 'P ,syrcholo­

g~le an der UnlÎlVlensitiit lMü·nch'en, glitb:t hier

eiÎ'lle f.ein geglHe:detl,te Oalislte'l,l'llng von Ergd)­

ntbs's'en lS'eilller Il.angjiihrrigen, wiÎlss~oolScha/f;tllέ

ohen FOJJs.c1hlllng und œ'eohachtt.lrJ11g tÜbell.· die

ko,npelllliche und tSetilis'ohe Entwirck\lung de'S

IGmdtes 'wQhei el' orci IEntwiick!lul1gsphalSen

untlel's,éh:eÏJdet : K!Înd.heit ,bis ZUl11 5. JJebens­

jahr; tKnatb'en- und Ma:dchena1lter Ms (l'Il

] 2 und die Jug·endz'eitt b:Î!s ,00 . 21./25 J:aIUie!ll

hei JUl1'gen und 18 Ibei tMa:dohen. Oie

Un'tertsuohung,en rkhl1en srioh noach bio11'Ü'gi­

so'hen, p!sych'O!Lo,gitstdlen Ilutd 'Soz,itaŒen Ers'chei­

nung,el1, -'\VIas VOl' ·einseiÎ,tiger lB.eU"Ia:C1htt'Ul1goS­

wei'se verschol1't. Dr. Hurh '\V,eits,t kur(l und

l<Jlar 'alltoh hin lauf Id'Île rlti'eishezüg['Îlchoo Theo­

rÎten andeœr PSjnchollogletll. Oas lBuch !i'st

mit eI1StffillliIllLi'Cll'er Klalili:ei,t g,eschrieiben und

enthiil,t ,au'! 'VerhiirLtni'smws.s.ig MeiÎnel11 Roaum

ci,ne groslSe, wohtla'UlSg,ewiihl1tJe Stoffii1J.:e. WeI'

wtÎrlclJiJc:h rplml1TIas,sig Illnd vensitiin:clnÎlsvo~11

Ul1'tetl't).1Îoht1el1 und IBliziehoo /lv,ithl, flÎlncI.et in

dtÏ'e:Setll1 Iwer,tvo[['ell IBueh 'erÎn vŒ'zügt1khes

Hillf,smi'ttel. Ernst Schmid t.

Gerte M. Noetzel :

Personlichkeit und Gemeinschaft.

Die iÎlld'Î\>i.iduaJ'e und tSoûallle Ent"vûdd1U'l1'g des M'el1's'cheal.

Erl1ls't RleÎlJ1'hal1d,t Ver:1alg, München/BaoS'ell.

232 SeJitlien. Ka lit. tF,r. :l t1.-, LeiÎnen Fr. 13.-.

Wie s~oh d:ie Person!1ichlc'eÏ't ,entw>iclœ:lt und

in die Gemeinschaf,t hineinwiichst, i\vûrd IÏn

dÎ'es'em Buc:h Schl1Î,tIt fiir Sohdtt pSYicholo­

gilsoh aufgezeig't,

K 'eJÎn IGnd kommt aiLs 'taburLa irra,sa (lUI'

W'elt oel'er h~ht im einem VaJmum; es

br:ingt sohonganz he:s'ttimmte, indl~viduOOlte,

nUl' ihm zU'gehoDÎ'ge tAnordnUllgen vom tAn­

l,agen und iBe'gahungell mi,t, di'e nm' dur'ch

sehr .fein:es psychologilSoh'e'S lund tpiid'agogi­

sehes Vtelistiindni's von Eltern und Erûehern

-159 -

Page 24: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

]lien.

Am Hano l\Vi<ssen's'ohafltlicher ipsy,ohoiogllischel'

T,a'lisachen und EX!penimenl'e wÜ':d erllaUl1ert,

wne Idie Jler,anwac:hsen:de Prel"lSonil,i,chkeÎlt 'Von

der Umgebung le>inlSOhneidrerrd !he'einrflluisst

und gleprag't wN,d, lS,ich aber delU1:0ch ·zu

einem f,reien, vel'an'tw:ol,rungls- und ~ie1lh'e­

W'us'st>en Wlesen lentwickrelrn kann, clIars lS:ffinen

eigeu'en Weg dn Id,er 'WreJlt fdn:det !Und s'eine D.aseinlSarufg;ahe ,erkennt und 'erfüHt. Gleich­

zcitig wN,den rahel' rauch aus allIren :plsy.cho­

logischen ,ElIDsÏJchllen die nOI1JÏg.en FtOlgerun­

gen für di'e Selhst- und rF!I:emderziehung

gezogen.

Das Bach, au.s Volkshochtschui.voil~tra\gen

hel'vorgretg'angen und IÏm hetsten Sinn'e popu­

lar-wissenrsohafdich ge'scruieben, well'drert sioo

nich't nUl' lan d'en gebildre:ten Laien, lSondrern

wlÏlxI auch von Strud.ieren'dren Ider PlSyoho1lo­

g,ie, Moedi:ûn, Padargügil(, Theologie und

Sozio[ogie mit ·Gewr.Ïl1n ge!lesen weroen,

zumal eine ausgezeichll'elie ,BiMdogJ.1aiphÏ.e

zu 'weJÏ.t'erem Studium mu·egt.

Air, avions, fusées

Nous avons 'd,bjà 'signaJ.é ,dams c:e'S ,co[onnes

l'e lll'emder 'olUvrage publlié 'ÏJI y >a U!l'te année par 1a CoopéDa,~iv,e Id'édd'toiol1's E-dico/pe, dans

sa co:l!leclii'on «L'h0111~l1e let 'son 'avrentupe ».

Oe p'l'Iemiler ruThum, «Feux et flammes », -

r,écit de 'Ia conquête 'et de l'utl,l,ils'a'trion du

feu -, 'est ,aujourd'huri lSuiViÎ. rd'un second,

«Air, avions, fttsées », cOln8'acl1é à la con·

eruêJ1.1e Ide l'el- pa,ce. lrl œ'tl'ace rdams un styile

v'rv:an't tou~e l'histoir:e ,de lIa narV'ig,aliion

a<él"i,enne, Idrepui's les pliécUl1S'eJUiDS jusqu'aux

derrlÎiel's ,sa:vel1i,ves Ide 1958, len pa,s,sant par

~~s Id,i,verses étrlllpeis tdre ["avi'atlion. Si lIa coJ·

leotion 6'.ardres'sre 'en tpDintcipe 'aux jeunets de

9 rà 14 al1!S, Id'e nombreux la:duI.t:es se 'pa6'

sionneron1t pour Jes :gr,and,e:s laverutur,es de

l'rhumanité qu'dIre décl'it cl.alll's 'l1'l1 l5ty11e très

v,h /larn't 'et Itrès 'claM:. Oet 'ouvra.ge d 'e 86 Ipagres,

grand f'omnat, est ll1'agndf,iqlUement iUUS'tl'ré

cn noi.r 'et e n couleurs. Il coûte h. 16,50. (Edieope, P larLs. DrirffrUsioll Bn Sl1l~s,se : M. F.

Rregamey, EscaHeDs de Bi]lle;ls, 5, .Laus'a1'lne).

L'enseignement universitaire en Suisse

(tbroohUrl'e Ide 32 pagres, tiJhlu.stl'l~,e, éditée par

,l'OHi'oe Naltioll'al St]~sse rdu TOU1,i's~11'e, Zu­l,i'oh, ,eul frrançarits, langlairs let ,Mrleunan1d).

L'Of,fliC'e Nationail SuiS'se du TOIUl,i'sme vient

dre 'publier, sours rce ,liÎtl'e, une nouV'eJ;le éid~·

titon de ISH hrochul'e 'conlsa.Ql,ée 'aux hau:l'elS

bClolLes Id,e notre pays.

Le 'llombœ d ,es é,trud,ianllis ·é'u'ang1e11s quri sui·

vent ['lel1Jseignement d'e nOis unr~ver,süés e/Slt

d'Iannée ren 'année Iplus bl'evé. Sur 16 000 étud'Îrants régur1ièœ,menrt i'mmawicwbs, près

de 5000 (osoi,t 30 % 'environ) sont éU1angeDs,

l'elpl bsel1'tarn'bs Ide p'lus Id'e 40 nations dŒff.é­

rentes. Oe failt doit n()IUJ3 'réjourÎt' car jJ

OO1l1S'acre Id'un.e part ,la hautle l1éputa'tion dont

jouirSl3'ent, à l'értl'ang'er, nos insti'R1Jbs d'rerJ1ls'eη gnement ISlllpélii'eur ,et, d'autre part, ,i'! con·

tl'ibue au ,l'a y 0 Ilnement spirituel (lie llotl·,e

pelli't pa)'lS ,dlan<s Ile monde.

Oette brochure, 'ecuri ,,~itenlt ,donc à 60n heure,

donne un lalperçu his,tonique Ide ohacunre de's

runiv.ersités arÎIlISri 'que ,dies ,1~enlSei'gnennents

sur le.s ,dioEfél'enltrel5 di,soiipMnes qui y S'ont

erllls,eirgnées ·et rIes 11ilStes d.es 1nst>iwts, bhora·

,tOlil"es et coJl1e'C'liÎons qu'e,mrelS <comlpoll~I:'e\1it.

Des 11enserignements pl'Rtriq,ues lSur [es ré'l'lld'es

univrel'sita'Ïr,es onl1: été r·éunis dlans un oha·

pirtre Is'péoiaJl Ipermlettœnt à ['ré,tœcliant réllil'an·

gel' ,die Ise Ifrairl'e une IÎIdtée raussi exaclle (IU~

pO'ssiMe dies conditions de vile ~n SUiiSls'e.

Ce't1!e nOill'\neHecontIÎhulii'Q.n de rOffdce Na·

ttio1Hcl Suirss'e du TOIUll,i'sme à rnotl',e 'pl-Olp~'

gande culltur.eHe s'elra, srans 'auoun doul:'e,

bien accueiJhe drau<s tolUS ~'elS m.i.1ileux uni·

V'el'Sil'ait-~ à i' éu,anger 'comm,e en Suisse.

.La profession d'ingénieur-mécanicien et d'ingénieur-électricien

A. lmhof, lÎ:ng. dilpil .

A ',la ISrui1'e Ides ,mprildes pro,~l'èIs die Œla ,te!ch'll.uq'lle

et rde son ,drévetlOipipemenlt cOl1ls,idél,ab'le, tous

les pays ont hesoin ,d'lUn grarnd nombre

d',ingréll'ieur,s; '}'ravenù: leu ,requerra .eulcm·e

d.avantag'e. ILe mbt1j,erd',in~énieur 'oulvt<e non

S'eulement Id,e heUres p 'el'SipectJ1v,es ma1tél'ietl1lles,

~l prooure laussi à Creux qui [',eX'eroont d'ûn·

tenses satils.fa'c.tions . MaiLS on 11~ ISe fait

60'uVient, à son suJet, que de.s i'dées !Î'Il1'P'11é·

-160 -

oÎlS'es . C're:Sit ,la l~.j,son Ipour .Jaqu~Ue rl'Associ,a·

~io,~ 'patronale suitsse des C0111S'h''Uclielms de

maohines e't indurstl~ie!l1S len nliétaŒlurgrie, Il'As·

SO'oilavion ,des anrcirel1s éllèv,es die l'EJP.F r{G.iE :P.)

et rla SO'ciél1Jé Isuis'se Idres ingrérl!Îreru,l'oS et d'es

'li'chi,tec.l'eIS (S.LA.) ont pr'Îls il'lÎnüiat'Îve de

puhl,ier une br'Ûchur·e 'des'liill1ée à é'clalÎr.e'l: a,e

grand ,pUihLic Isur J.a ,pl'of.es,slion d'itngénileur.

·mécanic.i'en ·et ,oClUe d'ingénlieur-lblectl·ioi:en .

L'rauteur en es't M . A. l111hotf, ing'éniIBlu'

dans. l'âme et Idü'eoteur Id'une ,~nh'epl'ÎlS'e !Îln.

dustt,i'eHe. Fait sig'nitf,ilcatif, M. Imhof corn.

mence par l'ele,ner [les heautés du 'Il1é·tÎer

d 'in g,éni:eur, IdlÜ!l1:t .[il f'aut l'echrer,c:her ['ori.

gline dans lIre Idlbsir d,e l'hU1nani,~é de ,S'QISsen:.

v.Îl· [res forces Ide -J.a nature. La .d ClSOl,1prtiOUl

p11éClÎ'se ,et fort 6rug~es jlh',e drrls po'ssibj'lilibé!s

profless-iomlelles qU'OU'Vl e une 'tetlIre ac,biv,ité

oejHe qui se l'aJpporte aux drirffél-enlles fonc:

tions qui ,incombent ,aux ingéllli,ellll1S, ·arrux

mathématiŒiens 'et aux ph)~sic,iens, l'évèl'en t

au ~'eoteur un champ ,d'raction aux dritmlen.

si'Ûrlls étollnanl'es. Les dO'll1'alnes Vrai'i,érs draJ1ls ' lesqUJels Ipeut rs',ex'ercer ,cene I)JlrrOreSlslÎon re.

qurièl',ent ,elre h part des i,n~énireurs Id.es d'Î1s,

posoÎ'l1Îons m lurJ,bÎlplle1s; 'c"erst ,d,il1e que tOUl'ets

les aip1litudes, ,toUiS Iles oa:racltère\S et tempé.

l'aments y troUW!.J1rt leur compte. L'ingéni·e'l.1r

sera :c·ol1s'truoteur 'Ou rca'loulateul', s 'adonnera

à 'la recherohe l.SCÎ'ell lbi,f~q'Ue ou raux tra1\naux

d',étude, tdirrig:era une ·entreprise, <s 'intére.s­

seta aux prohlèll11les de vente, 'tm\S qu'1Ï1l s'Ien pr&srente ,d.ans il'~,n:dl]lst,r,ie et pOUl' l es 'll!srirn'ets

électriques, 'pa'!' 'exemple, dépJo,i'era rune ac,tri. v,i'bé ,d'allis tLe lSeoteur ,des trauispol'ts, s'e spé.

oialisera d .ans Ja q'll'es11JÎ01l dres h11evellS le't d'es

H,oenoes, :ferra hrénéfi,CJÎ,er .les en:u·epl'ise..s pu.

Miqureset l'a,dn'1Ïnristl1ation de ISles connalÎs. s'arnces, rp:°ê.lel'a ses Isel'v,ices en [quatIoité d'in.

génieur-ooll'seil rÎlndép'euld,a'l1t ou se vouel~ à

l"enseÏJgnement. Oe'l'te h110chu'!'re ·renseigne de ,f,aço'\1 Id. btar~lllée l!:'Ur [.a marche des èrud:es

d',ingél1!ieur 'et 'sur les arptriltudes que reqUriel~t Le m ,étier. Elle est ,remli'se gmtJud·~errnreJ1t à

lIOIUS les ..il1'llére8's'és. On 'Voudra hien [a cIre.

mander (un'e rOa11te postarle ISrUff:i,t) à l'Asso.

ciation 'pra:tronale suis'se (les COlls'tl'Uctem~ d'e machines e't indust11iels en métaJ:lu11~ire, DrufoUl'stm8'Se l, ZurlÎch 8.

- 161

Stern, Prof. rDl'. El,ich :

Kind, Krankheit und Tod.

24,0 Se!Ïlten. Ern!st Re1rNla'rd,t Vedag, Mün­ohen/illase1l. ,Leinen H·. 12.~.

In relli1e:sem Huohe wÎord dn zwei ilJ.1 si'Ch

geschlos:senen rAtbhtmrc11ungen 'l~eJ:ches Mat'e.

11Îral über daiS Thema <d:(Jind mrd K'I)a!l1khm't»

und «Kill'd und 'Lod» taJusg.ehrlmte't. Es iLieg:t

zmüi.'chslt iWiirlclioh auss'erlharlb !drer 'atLltii!!ilü­

ohen Er,zi'ehu:ng.spl"ohJreme und ErûehU:gs­

zÏretle, die in Idritese'l11 'Buc.h behand,ellten

BezoiJerhungenz'U :heh1achlien und IÎn irg,end

einer Fro.l'Illl tdrem Kürdre lll'ahezurhrri'l1gen. Und

trotzdem Isehen fS!Îch aililzu rvÏJ~le KlÎl1'de~: aIrler

Allterss'lluten of,t 'Vollig unvo11heœ:itelt Urlld

welll'los rdler el1nrSjtell Kl'1mùQheilt o'dler dem

Tod ,gegreniirherr; die WJrkung kann fül's g'al1Z'e rLeben danet"n.

Da lS'treht 1l1Un Idie IFIl",age raillf : Wdle kann dem

IGnrdte lSee!lri.'sohe ffiJfe gle!l'ed'sillet ·weIl-den, iÎtn

wetloher Art rUIld mM wetlchen prS}'lCJhorlolg,i.

sohen EÎrnwil'lml1g;letl1 kalill doh dem I(dnde

beistehen und ,den Weg zur El1t<SlpannrUng

zeigoo 1Jll1'd f.ühr.en ? El'schütl!ernd Isind vj.e~e ErleJbnilSls'e 'Von IGndem, drie im !ZWfeiÏJlieIJ1

T'eill besc.ru,ieben ilViellid'en; h~s'on:derlS der

kind,làche Se'lhsr!imOl"d odell' Id'er Mord ~n'es JuglendJrichen tarm II(ramer,aden sind aŒs Ta,œra.

chen gesclülde11t, ,di'e ler~:eg,en konnen.

Hra;t mau 11IUr leirne SlJlUlde IÎn rcltÎ'esem lBu.ch gellesen, ISO wJrd Id,i,e Erkenntni'S wœch, da:srs

es mn Geho,t lS'eil1 muss, Id·aoS klianke i[Gn'd

zu ifülll'en ul1:cl Id'em gesun'd:en KÎI-rd eiÎne

ebenlS'o gelSuude tAruffas'sung und Ei1llSlteJJlrul1'g

zum g,tel1hen Il',e'chtzeitig IZU v'el1mdue1ln. Nun

mogten El1ziehel' rUll'd Elltern 'S'e!1brSlt Ul,teÎllen

oh ~ie diese's :ens'te ll1l11f'assen:de W'elk übe:' Kil1:d, Kra,)')IIcltei't und 'rod [es:en und !in

ih11e S'chulritsohe IUnd f'amÎlHal'e Arh'elÏt mi:t

einheziehel1 lSorhllen, bevor ein Unglück ge. schd.eht.

OEUVRE SUISS,E DES LECTU,RES P,OUR LA JEUNESSE

Cinq nouVletl1es tbroOhUl\e;s OSL, rdlelUX !I:é­

iUlJpl'essrioll1S et un vo~ume nili.é viel1!llient d'e

sOIl'tilr 'cle lfH1esse. hl ,s"a~it .cl'hÎlstoiœ's <:apilii­

vantes qui feront lC'el,tarin'eIlTI'ent la joie d.e

tom Les 'enfants. Les bll'oohUlies OSL sont en

Page 25: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

--- '--_ . . --~~------------.. --------~~~~~~~--~----------~~~~~-venlie aupr~s d'eJs Iclbpô'ts 'S'coJ1oore1S OSL lelt du seCl1éM'l'iat (;le Il'OCllIVJ'e ,su~s's'e d,es il'ecrture1s

po,w' Ila j eunes'se (SeefèMst:r,ass'e 8, Ztmich 8), claus loes ~ih:J.a:ir.i'es et 'dans ~'e1S kiosque:s .

Nouveautés

No 629 «Pablito, le petit pêcheur catalan» pal' J eau LAubel' t. Sél'~e : LiJttéliair,e. Ag'e:

d,.,pUlÜS 10 ans.

No 630 «Fleur d'Azur, petite Chinoise » pa,l' V. Nieilis'en-Soul'el'. Séri:e: Pour les

petits. A~e : d<~Uiis 6 ans.

No 631 «Le peloton de ficelle» par Anna

Duc. Sét'Î'e : POUJ' des p 'elÙ!ts. Age : dlepulÎs

8 ans.

No 632 «Barrage et électricité» pa'r ZihJ­m:ann/Mru1tJin. Sér.i'e: SOÏJen:ces. Ag'e: de.pUlÎIS

12 ans.

No 633 « Geiger, pilote des glaciers », pal' G:eli'ger/Polchon. Série: Bioglraphres.

Ag;e : d'epurirs 12 ans.

Réimpressions No 222 «L'enfant de la roulotte» par Mau­

liÎJce Zerma'tten. Sél'Ïe: Litl!éraiil"e, 2ème

éd'itJi'on. A'g!e : de!]Juis 10 ans.

No 4,80 «Tartarin de Tarascon» pail' A[­phou'Se Bauld'et. SérIÎJe: ' ,Littéraire, ' 2ème

éd~lrion. Alg'e : d:epUlis 10 al1ls.

BOITE AUX L.ETTRES • BRIEFKASTEN

Dans la mesure du possible, nous répondrons sous cette rubrique aux questions que le per­sonnel enseignant voudra bien nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur. D'Qlhtl'e part, elles doivent évidemment se rapporter à des problèmes

entrant dans le cadre de la revue.

In diesel' Rubrik, die wir für unsere Leser beifügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten, die (LllS del/t Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber unter Nennung des Namens und der Adresse eingereicht werden. Anonymes wird untel' keinen Dm­stiinden berücksicht,igt. Ferner dürfen diese Fragen nul' piidagogische Belange betreffen.

leI" lIlocl"te fii,,' die Elte,·", mei",er E,·stklüssle,· eine", Elternabend ver­aJlstalten. Was soU ici" da aIs Wiclr­tigstes besp,·eche",?

lm ,~ahm'en des «Bl1.iefl~as'l'en's» k1aIill IÎch

lhnen d,j'esmoal kawm andlel~s 'MIS IÎn S'ti'olmyor­

t,en Bescheid g'elb en, wenn Ikh ,auch nul' d 'as

« Wkhtigste» s-agen 'WHl. VtÏ1elllerioht kOnn1eiJ.l lhnen letwa d~,e foodglenrd1en WlÎn[çe dlÎ;en:lioh

sein:

1. ZuerlSlt wlüJ.'.dte ,jch IdlBll El1tern sllIgen, 'wtÏe

si'e mith:eillhm kounen für telln 'g'Uil'eJS GeiLin­gen 'Von LErZ'Î1elhullg und Un1tem,ioht ~h'lier

KlI:eliuelI1. nahei IWalle zu melllœn :

a. Gegenseitiges Vertrauen ist notig! Ein

wal'l11'es, limNg'es VierhalhnlÏ!s ~wtÏJsdlen L'elme-

l~in und Krin:d,el1Il w.hld ha'ld ges'ohaHielJ.l selin,

ahe1' es g'eIJ.lügt n.ircht. ni'e Lelhrerin mochl!e

dal'UIIU :d~'e Ell!eiJ.1l1 ~llerzlHch Mnen: « Sie haJbeiJ.l mir ihrle iKinfd,er, Ihnen lWSltbm-.sten

B:eisÏ!t:z ,gebl1l~ch't, hl ing:en Sie ,mir IllUll OOIoh

Lh1' Vertr,auen! M,edue g'anze Kl'alfit und

Li'eb:e gelhOil~t Ilu',en lGnd,m'n ! »

h. Verbindtmg und Fühlungnahme mit der Lehrerin halten! DÎle Sohwe be{l'ootet für dla's Kin:d roue Zi'elnll,rOO g'ross:e Ums'te'IJlJlmg.

IGrn:d'er <sind zu1ull!se ofl!: and'el'lS ails in dler

Sohull1e. Um ,d'em KiIlJd hei S'c'hwierdlgl~ei'l!en

heM,en zu komTen, irst manohmM 'g'egens'elÎt1ge

Aus9pl,aohe no'llig. Mtirs'S<V'el~slta'l1!dnlÎ,ss'e müssen

so l~a'sch taiLs mogilti'ch (beiseiJnigit Wlm"!clen!

C. · Praktische W inke an die Eltern aus gemachten Erfahrungen. Es ,br,auohelJ.l nIÎoht

-162 -

uooe'dingt l!me ,eigenen Elfahmngen zu

s'eÏJll, lS'on:d'ern tauch arl1lgemein 'g'emach~e. (He­

SOnc1el1S junge ,Lehrl~raf'l!e ,solMen iSich hÜ:lie'll,

zu oflt iVon der ,e'ig,en:en :EJrfahrwng zu spœ­

ohen). Vierilang,en ISie iVOll d,i'esen EMenn he­

sond1el's: Gewohnung der K.inde,. an Ord­nUllg und Selbstiindigkeit. J)a'S IGnd 1l1JÎocbt

sÏJch lS.elb!st ühellla'S'sen, label' <allOh nioht gan­

g,eI111, Isond'e! n ,an1eiten und Überi\V'Rochell!

nÎ'e Eltern ,S'011J1e1J.l d.ars IGlll'd Ischon allhallJen,

den GrlÏflf.el zu &p.Î'tZ'elJ1, Me T'afeJl 'SmID'eiJ.' zu w,ischen, IdrÎle :Schulltarsche û rohtig ei.nzu­

rawuell, Ü!herhafllpt Idlals gaIne «W-edciooug»

für Idie Soh'llLe am A:hend !schon ~u üher­

prü,flen. Eine 'l1'IIauiE,dlùnrglllÎlche KontroiHe soJlil

j'ed'en Tag IsJl1a'l'liflÏnden. Sagen rue ,den E)l.tm'~l,

dass mta!ll!ohe :StollUngeiJ.l im Un1Jenichit, auch

mang<elhaflte Lwstung<en, ihre UJ.1sacben lin

mauge1haf,ter V011hereiru.ng dm' Schu~'S'aohen

hahen. Um daiS Küid '11echliz.ei'lii'g tan Oriel­

nlllng und 'sdbstand'Îlgles A'lllmi't,en zu 'g'e­

wohnell, 'soihlte 'es s,ioh ,S't~lb:s't lau!k,1eiJd:en, .cHe

Sohuhe hÜtd'ell, daiS 'l\asohentuch 'etin'SltJe;olœn

usw.

Gewohnung der K.leinen an pünktlichkeit. Da,s Kind Isol~l!!e ,oa 5-10 ,l\Hnuten VOl' Untel'­

dchllsbeginn ru Idler :Sc1:1JU'l'e .seli'I1. S-chuilan­

fanger Isind rof,t ühereifll.'ig Illnd llJOm~l1'en

vti'ell ,~u fll.'üh. 18't Id<ll'S IGnd leiÏnmM untpüllkt­l,icJh, Is'olill !{!IS sœoh llliÏJcht ibJel1auIS !J.',e:cl:en wOllilen,

sond,ern heti Id'er W,ahdl'eJlt MeihelJ.l. Die El­

!Je'ru ISOrl:lJeIJ.l a<h'er tauch kOII1,u'o:hlier,en, .oh d iRIs

lGnd l'echtzei,tÎ'g h'eimkomm1t oder oh es

k ,gen:dwo herll!Il1JtroI11t. Oeil' Unl!errr.ioot

schlli'esst in der Rleg'ell j,a pÜlùc,tilich.

d; ln Hinsicht aul den DnteroJ'Ïcht: nie

Eltern Isd]lten .EJinlbtlidc thalben in ,dli'e M'e1tJho­

d,e 'des leil'S'tell ,Lesel1!s und HJechn:el1's, dra/mi,t

si'e nlÎloht ,aus rfalls cJhem Ehl'g'ei,z fiai1sche HiLf,e

1eils~en . .DaiS galle ' Stof.f für leinen <etig'ene'll

ELlJer:n:ahen.d.

HaJUJplllpfl1ilcht der ,EI,terlJ1 r1.1S'Ï, ;gute VtQ.l·­

aUiS'sebz.ung'en ({ÜI.' <Bine lers:pl'u'els,s:Lilche Scihrufl­

alIDeûlt zu Ischafflen Idul'ch g<ulle Ord.il1!ung

dabeim IÎn {l,el' LErniihmng 'Ull'd iKll:eiduug.

HeUIiz,ullag,e 'sind die J('in:d-er oflt lVIÎ1el zu W'al'llu

ang'ezog'en. - rDtÏJe EJrl1ern IsoJILell ·auch g'eiJ.1JÜ­

gelld HeWiegung tim IFIJ.1eien 'gestatten, mu

einen AusglIreÏJoh 'zu ...,ooaiff'en n:aoh dem ver-

hiilltl1JÎlsmaslS,j,g ~'angen Si'tzlen .in œer Sohule.

Auch mÜrs's'en ldi'e K~ei'l1'en Igenüg'end 6chl'a­fen kOnneiJ.l, Isie dw,f:en d,arum :n:i:oht zum

~u il'ang'en Auflb<leihen veiJ.l1el~te.t wer,den.

Haus'au,[gahen LlNloht, wi'e ,da's lI11anoluual ge­

sohi'eht, 'glekh 'IJlach d ler Schule l1'l!aohell

llll's:sen und rd'a!llll ler,s't lin Idie fll:isohe Lufit

gehell, Isoud,ern 'llmgdœhrt. Ahe,r aui lœ!Ï.­

nen FaU ,die Auf g,arhen blÎls zum ~etz.~ell

AugenMi:ck Vler,sohi'ehen. Die ,EJlternsoililten

Alllte:Ï'l neruneiJ.l tan ,d'en fnter,es:sen lund Sor­

geu der KJLeiueiJ.l. IsÎ'e 'ern:s't 'IJlelhmeiJ.l auch

in Di!ngen, lille uurwichti'g lel's'ohein:en und IVOI'

aJUem, LlNoht il<achen rübm' IUlÙJeho:lJf'en'e

Sclu'ew-. o'dler Z'eichIllUugSiVer,suohe.

B esolltl'e'l's 's()(li1~en d ,ie EheiJ.'n iVerslucJhell, m!Ï.t

diesen IGelill:en Geduild zu ihaJbell. Joa nie

s'agteu : «Du kannrsit nich<lls ! » Dalll1ü llehm~n

sie Idem iKindle Murt und Freud'e. Die

kinc1lriohe 'Leis'lJUng ,soU, wenn ,si'e es ver­

dient, aller~anin:t wrerden. ( 'aUich Wu ider

Schule !) :Bi'e Ehern 'so!Lleu a,her ja ni'oht

vOl'au1sJernren mÏJt den Kindern; .dtaIUli,t

konnten \Sie of.t nul' Vlerw'Ï.r11l111g s chaHIOO.

Dile EJhern ,sOJrllteiJ.l ferner dafJÜ.r Isorglen, dalS'S

d,re Hausaufgarbell re.g~l1ma\Ssig, 'S'auber und

rtÏJchrtig glemacht Iw.eliden. Sie td'w '[,en ,wohl

auf ,FeMer 31uf'l11erlŒam ll11aohen, ah'er n~cht

d,ie Aufg,ah'ell LS'e1her machel1, i'\vleid. es d,eJm KIÎtl'1d zm~ieJI is t.

Auch um Unter,r.ilohts'Sotol·ung'en ;V;oil'zu'h'oo'gen,

solH'lien die El,tern Il11litheJ1fiell. ntie [([Ieill'eu

lnüs's'en gewohnt w.erden, 'schon zu ,Hause

und VOl' Ider Bohulle lautfls ,WC zu gehen.

BeJso:nJd'ers den IBuben 'solrLlie ,dti'e Mutiter ah und ,zu marI relie :SchUll'talscll'e ul1:d talU'ch

dlie Hos'enrsaclœ <kont'l'Oll!1ùer,en. Auch dürf:en

dire IGnd'er J1Ii.chtt zu vieil ,Scihle'Ckerei~n

mrÏ;t wn ,die Sohule nehmen.

Zum SchrlU'Ss Idünfen Sie lSag'en, ({ras'ses ni.cht

HUll' Zlls'ammenarbel't zwiÏ.'5chen SohUile und

Eherllhaus ,brau~ht, Isondern aU'CJh m.it dem

Seg:en GO\l!tlelS, O'hne ,dieu Wiir nilchlls Vler­

mO'gen. Und Idann hi tten S ie ,di'e Ehel'!l1,

in 1~ller Of,fenheJilt Fil'agen ,zu ISteil<len oder

au:ch All'11egung'en zu 'mtaohell. n,jes'e sind

of,t 'W'el~livoililer raLs w',h- gl'auheiJ.l. - Und

nun wünsche lioh Buren und lcJ.en EJltm'n der Ideirren SchülizlÏIng,e tb:eJs,tien Erfollg !

Ernst Schm:i:dt.

-163 -

Page 26: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

VEREIN KATHOLISCHER LEHRER UND SCHULM~NNER DES OBERWALLIS

Protokoll der ordentlichen GeneralveTSammlung vom 4. Dezember 1958.

DOII1'l:re11S1tag, d en 4. D ezember 1958 hieilt dler

V,el'eilJ.l IŒ,tho~rirscher Lehœr und Soouilrrüill1'

nier in Vi!&P sei~1Je or,denttiLiche Jahl1eJsiVIer·

sammllung pm 1958·59 ah.

Ntadh einem von H . H . Sohu!lin!s:pektor J. M .

SDIHV1ûc1c in der S'liimmtllIl!gsvolliI:en Bl'TUJd'er·

Kil!IiUJsen·Kialp'eJ1le zle:leb11ûe'l~ten Gerliichtnri:s'giot.

tI~S'œilell's'lIe WlUrdle dlile l1!{mle priicihtigle PJiarr·

kiiliClhe b esj'ohtIigt. H. H. ReI!JtOl' Lehiner er·

liiu.tel1te den ganz'en Neulbau unld im he'son·

œel'll die knnslIvolLlen, von Palllll M011lnie'r ge·

soha,ftf e.l1'en GlaiSfte.ll's ter œe'l' IGœhe und die ·

j,eI1'Ï'g'e.n d:er dalillnte'lili:egetrrclen l(.ap'eJl11e.

BllnlIQt 10 Uhr v:e11smnmelhe man sidl im g'e·

riimni gen Ria thiauJs~'aailJe zu.r ErJJeJdigulJ1ig d:es

ge:s'chiifrllÎ<~heIl Tea~es . In Vlerltœ1JUng d'BS l,eri·

der erkratnk!lIen Vim1etÎl1llSlpdisûdlen'llen SlIucky

A'llXliMu'S, lB:etl'en, ileitet.e Vi,zepriisidenl H. H. SOhuiliil1lSip ekto:r J. M. SohwlÎlck mit ViÏlel

Ge/schick un:d Sohll!eÎ!d dile VlerM'mml1ung,

wielDhe œi:e folLg'eI1.d'en T~:aIQlJantd'en zu be·

han!dlelln hatte :

1. Be.grüS'sung

2. Elistel1Jlung der Prii,s'enZiliMe

3. P.rotokolhl dleJ' l e bz,ren Genleo.'ia,Iv:eliS'amm·

lull'g 4. Jaihl~eshe111ohit dies PlI:iiJstiJd:enten

5. K larssa· un:d R eVlÏlsoreooedcht

6 . .F1eSits·et;zung d es Jahr,eSihei,tr,ages

7. Aufnahme neum' Mri,tg1iJe'dler

8. OJ.1i:enti'erung iÜ.b'er IaI!JtueJ'hle Sohullfrlagen

(Lelu:pilml, liehI.ibü.cher)

9. Vler.schÎ'ed'eIlIeJs

H . H. Sdhul1i')1!sp:ektor e.nliholt Gruiss und

WIiiLlkommeIl dem sehr v.er,ooliten Henu Er·

Zli'ehull'gtSDhef, Hel1l~n Sta<al1s'r.a't M'al'cell Gros's

und seJÎIll'eII.ll Aldjunk'ten Hierrn .AldeITher,t

Chalstonay, seinen wel'ten MithrüdleJJ."Jl den

H . H er.t1e'l1. SdluuJM SlP'ektol"en und llIl1idlel'l1

greisti1ichen Herr,en, d'en vJlelen LOO11e11l1 der

SeinllIldar· und PIJÎIl11'al~schuilisltJUlfie sOiWlie dlen

zaihL.·,ei·ch:en SchulLfll~U1lldlen, d,ie ans BeJ'g

uni! Tall zn unB'elJ.1er KOl1!flel~eI1Z gep.hl~el)t

wa.l'en. Ein ~anz h~sOl}Jder,er Gnuss ga,Lt Her,rn

Gemeillld!epriiJ&Ïldlent und Grossralt Acloilf Fux,

ails V'el'tœlter d er gro,s'sen Indusll'ie.gemci:n:de

VlÎlsp, d'em ~u hegegnell wohil j:eder Lelwer

b'el'eli,ts GeIl:egenheli.lt halue, sei ,e:s iaIJ.111iilS/sJich

unls:el~er F.or,~blil1Jdul1~skurse, s'ei es.in ein!em

Vlo,rtmge o:der HOlisQJÏJel o,dler in OOI,em s·edn'ell.·

vlÎle11g1eJleseIl;en Biioheo.·. Lei:dler war H el·lI." Ge· m ei'1l:d!elwii;sÏldlel1't verl1!1ndle11t, an dler lF'le'SIlIver·

saImIl'hmg des NltchmitlJagies ,tetÎllzuneh'men.

Mit ,s'einem G11\llSS 'verban:d Id el' ViQr!S~'tzenrle

herz,m,che DaTlrl elswor~e an lthl'e, die zum

Wohllie œer J.wgend a'rheWten, ob dter E'l'f'olg

sichJllb:ar zw~ag'e H',eten od'er MIÎ!S1.S'el,fIO~.g dlas

E'l'z,Î!eheJrher'z bleidll1ückien mo~e.

Dive auf.~elJJe.g.te Pr,ii's!e:nzr1Ï:we z'e'ÏJglte d're An·

\V'e'senhei,t von m elu' ails 120 L ehl1el11l, 8 SekrUil1.d·al'11ehrern und eirrem DwtZ'end ~ei,slili.

oher U er.œn un:d aJlId'ere.r SohlUiIf.rreunJde .

De r ,Bel,i,cht über dile GeI1!Bl~allvter:samm!llU!ll,g

v,()Im 27. 2. 58 1n der « Lindle » in Na'tlerlS

wrUl1cle vom Scl1.l1i,f'l'fühl1er Vle111Je's:e.n und von

d'eT V'eo.·,s'al11Jn1!lung ohn!e Bem'erJ,mng genleh.

mtÎ!gt.

D.er J.aJweSibellÏcl1lt œes verkÜ11z'llen Veœins ·

jaihll··e·s war von PriisiId'ent Stuck~ schr,irfluLioh

ahg:e>vasS/t 1.lJ1td yom Schœilhell1ld,en V011g1eJlteJs'eo.l

W1old :en . Bie BemrÜrhuil'lge'll d'es ViereUiJ.lJSvor·

S'tande s gi11!glen im ahg,eJ1afUlfe'llelJl Jahre V.Ol·

alU'em um dtÎle S.ohlUllv,e11Iiinge11ulI1g, U'IIl die

Florthill!du11!glsIml's'e, um dile Gesl'aililIU!ng des

neu:en 'LehllpILarres, um die B e/s'CJ!']Ialfung alleJU'm'

Lelul1niuell, um Idli:e RtevdlsilOn dler tRuheg'e­

hat1!I1skHIS's'e ld'fSs Le/lu~pe11S'01l'1alls, um kJ.~e Er·

hohlUllig d :er T'eueruug'sZ'1lI1a,gen US1W. ner

VI011&tan:d '\'Ie'l'u',M d ,en Vlercein IÏn dlen lDe~e­

g~e11r~nverslarnuml1um.cg'en 'dler Rl.lh:e'glelha\~l1skta'S's!e ,

œes Z'enrn·aJl,,'·m'brandes citers Sliaa<Vsp'ea\5onaiffi,

dle/S IŒ,N:roiLilSClhren rLelmemneJ',eriru; Idler 6'C1l1w,eiz

UlS'W. lm Anlsd.-li1lllss an d en JIah!je~lherrol1lt d 'eJs

Prii'S'.ÎJŒe.nten v,elilars ,œer Arktuar leJÏm!en BimThClht

über e.ine aUSis'erordlent~ÏJche "V:el'salnumlung

d,es Z'ootmiliv,eJ'brall'des d ies iim HielfllS'oo . d ,es

I(;aIl11Jons Waili1i1S ,&tehel1œen P rerîSO'l1!a!l!s vom

-164 -

30. Il. 1958 in Siltten, 'wo das rProb:\tem 'Cl'e'!"

Sohwv erliingeru ng ll1'a:oh atUen Seiten h~!J.1

dl1lrchlel1l:chl1et u n:d IdlÎ.rslrulii:er't n;vunlle. tAillIS

dliiC6:er Ilangml und Isdu ' ll ebha f'l'en B~slpre ·

c1rung tra't tcler ·eindeUl'ige WlÎ!hle zUl1age,

Mittell un:d W.ege zu ' sUDh en, um ,dUl'ch dâ'e

stetiÏgen SohulVlel,liin g'eJ.'ungen in ,ab'Sehba'l"eJ],'

Zerit auoh im W'allis zur Jtahres·sohuiLe zu

gel1ang:~n. lD.er Wleg Id'a]1'Ïn n;VlÎlid w ohil. no ch

eliWials ,don1'Ïg lund Ilang Isein, 'do'oh wo e in

W~lLe, rela ein W'eg ! I~a S'siim', Lel1l'er V og,el, Ullterhacih , elis't,al ttlel~e

den Ka ssahe.l,i:dht 'Lutd g'ab b eklannt, das\3

Uluseœ K,asse 'mn'en rZuwach s von ,F l<anIŒn

1018.65 und Is om~'t ein V1e111110gle.n von lF'Œn·

Iœ n 3852,60 zu 've.rzei ohnen h alhe. L e!hr:<>r

Ga.N'Ien J oS'ef, IBürdh en, h fSantra gte ,a!l!s Rte:oh ·

lliungisr evtÏsor m it L ehrer IBrun n er Jwes,

E1sohol'l, Idlî;e OeI1Je:hmtÏgung Ider Jarln·es~ie:ch·

nung un:d lErn'l1b stung lœeis VlOl1s1!a'l1d'e>s unter

Vlerc1a'lùcung !Cler 'g'eiliei's' lierten A.rrhei,t, w'alS

einhelllitg 'Und ~ern g'ewiihr.t wIUl~d:e .

D el; Jahr,esb eitr'ag wur d'e oIul'e G eg,en anrtl'ag

m.if IFl'alù~en 12.- bzw. 9.- w..i:e bi.sh er

hel~alss'en.

NBU in Id en V'e'l'ein lau~g'enommen W'ur.den

16 Jltmgl~ehœr so",~ile H . H . J8ch UillinsiJ):ektor

Emil 1mb o'd en, Sta1ldlen IUn:d Hem' P ,rofeISlS olr

Jos'etf Ritz, Bûg. Dile übI~iche Toten1ehrung

g'ah unsrer:m unver g'e's'sI1icl:ren grols'sen P ,ai}JMe

Rin.1JS XII, Iclem leJis t kÜ.l,~1ioh 'verstorhel11en

B'Un~de.sr,at M arkllliS iFleilidm an n u n d 'Ul1!serm

Fœu!l1'Clund Ko~'legen L'ehl"e.r Johann Schm rd

von B elHw.alcl, Id,er 'au sserhaJb U'llls'erer K ,an·

tOll'sgl<enze vom Schll'Ï1tter To:d aus ·d er

SchUilSItUib e gel1ufen wurde. R I rP ! Hel~r Cha-s,tonay k d'ellhert rfülU1lle in sedne~' Ol'ientieJl'Ull!g üh er 'arktueŒl e S dhu'lproMeme

·aU's, dalSs 'vor aUem dci'e OrganÎ!s·a.tion d'er

FlOrl'hiJMungiskUl'se ,eÏll'e grüncH~lohe Üher·

prüflUngerf.ah'l·eIl tS oll1te. EJs m U/Sis ,l eœder f est·

ge:s'te~lt w eI den, IdlaisS namenltlich Œm Ober·

w,a lilr~s lein:e gro's's'el<e ZaM von ILehr.per,sonen

duech iihre S Ollllmo rhe'sohafllJigul1!g Id el"mrals,

sen ,gehtllIlcl en sind, das's ihnen .di'e TeH·

llalllue ·an F,ol1lJhiJ1du ngslcu11sen h e.i'l1'aJhe un·

mO gillioh licS,t. Ers ·mü.s'sen dcaher MiHe:l und

\Veg'e ·gesu cht w'eliœen , um au chd.ieJsen Ko~·

legen und Kol~leginnen d'Ï'e Vor\1eille v on

FO'rlJhi\ld!un~skiUr'sen z,u e1111logliirchen. M tan

t'rug,t si0h m i t dem Ged'aillken, etÏUetn KIUi'cS

an èliner Rteihe v,on scl1!UIlfœtÎ'en H al1brta,geIJl

Wahl~el1ld d,es Schlullj alhr,es z,u organilsiereIJ1.

B rese K Ul'se ,S'oH en d en lieI1l1peliS'OUeJll dŒe'je·

!lIigen Ive.nl1 tnilS's'e i n P'sydho~ogi'e, M eltho:clik,

IVIUllJter·s'pr-ach e U/sw. verrnütte'ln, zu Idleren

Er1an~ung ,valllieI1.d d er AUlsh~,lchmg im

Seminar zu , ,,,enJig Z'ei,t z,ur V'erfügul1!g

st'and. Au lS 'cHesem Gl'U11!d i'st an ZulcuTlf,t

eine en geœ Fühl1ungnalhm·e zWlischen der

Kurs1eirung und Id'em :lJe:hrlers'elJllinar vor·

geseh en . Es ,j,Sit alllch die F.lia'ge zu prüfen,

ob uns'er·er Sa'cJhe l1!id1t Ih essrm' gedilel1!t wiil~e,

incl'em 'man HUIS ,d en 'eitglenen R eiheII be·

fahi~te L ehrlp'e11SOJl'en lalLs Kllmsi1e/iteJ' .au!sMI·

d eII würde, IMe mit U11!SerU Vlei'hiiJltlnli,s'sen

v:et'UialUlt 's~ll'd illlld ,cl'e.m'enlisp11eJDheIl,d die

KrlU1se ge's-t1a11tJen w,lll'den.

In k'urZ'eI1. Wlor,lJen 'stl~e'ilfltJe htie1.·auf Ben

OhatS'tonuy d'en n eu ern Ilie'h1J.1p'lan, der im

VO'11entwurf VOl" 'eiuetn Jahr,e ,e.iner -g,ro s·

seru AnZ'ahll von L ehl'p erl5 onall z,ur Prüfun.~

zuges telh 'Wordel1 war. D er j~tzt vonli:e.gende

VOl'entwud steiLLt ein Gemei11lschaftswerk

dlar von ,inl'er,e:ss'Ï'e11ten Kl,eri,sen aiUls d 'em

Oben v;atl,1i,s und Idem UnterwatHis. Bei cIes'ien

AUJsadJ eamng wUl,de VOl' ,œllem die F~'agc

gesrtelHt: « Solhl Isi ch Id'er n~ue Lehrplan

an d~:e 'V'orhan clenen 'L e.hrmiHel anpassen

o.de r iSotlil e.l1 ,die IL eh ll1l111i,ttd d'em n euen Lehr·

plan 'angepa's'st n;ve11cl en? » Die Frage stel·

len, hie.ilSist ,si'e ,aucih g'l'eich he,antwol' ten, da

es j ed ermann einleuDhteIl wü,d, lc1ass die

L ehrmitte.ldem L ehl'plan .anzupassen sein

werclen ,und l1!~dht u ,m g;ek'elwt. Der neue

Lehepllm1 'wlÎllid lin ·d,en ·niidls·~en Tagen <lem

Lehep ersona,l ~ug'eJs lleH.t WerdeIl, 1,,·elches Hm gründli ch ·auf 'seine V erwendhal'keit prüfen

moge.

A11s ,deitten IPuuk,t seiner Ausführungen

,s·treifte illerr .Ghaistonay d·en lielu-·erIJUlall'gel

im Oberwa1llh s. Tiliotzdem ·seit Frühj'ahr 1958 c1IIl'SeilibS,t nioht wenigler !ails ,17 \LBhrp~emonJen

d en Sd1llulJd.i-enM Vleda:ss'en und in der glei.

ch en Z,ei.t 52 Wedh s'ell 'Sl!atttgef.unden hab en,

kamI man mit ,cenugtuung fesl'Sitell~ll, dass

nUIl der HohepulJ.lk,t ,dies Lehrermangels

übet'schrœtten i Sit, und Ida-ss lin 'den nachs,tell

Jahliell dank s,tal,ker Serruinarkla,ssen diesem

Übe,] atbgleho'lf'en sein wÎIld . Tro'tzd'.!111 .aher

-165 -

Page 27: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

w'erld'en laU!ch 'LU Zukunfit 'glewisse Gemein·

den mth k'lu'z'er ScJhUJldmller und ungünstigen

to:pog'l~pl1ÏJsc:hen o,d'er 'schu:1Lschen V crhült·

nilssen Mü.he hahen, ~ür ihre Schulen tiich·

ti,mes und Itl'eJU'e;s Lehll'pCIl's'ol1fal :bU rekrutie·

1':'1. Ber Hank Id,es BeJpa1~liem'entes gilt dahcr

heson1d'eI\5 ;denj'enligen Mllern ,Lehl'lClln, 'cllie

d,m'ch dlie Btetl'eUJU'Ilg junge'l' Leh11er, d,ie·se

un'se1'm Lancle 'Und IÎllu'eJl11 .B:CIlmfe zu 'el'.

hailiren 'wIUJS's,lien.lD.i'e neh'ellUug junger Leh1~ell'

d'lll1ch altel'e Kolli1egen ,sol]l lin Zl1l!krunflt noch

eng,er g.e!sta,1tet .Wle1,d,en.

AhscMi'ess.e!l1Jd '8tl'efÎlfrte Herr -Chastonay di'e

Bemühungen mu 'soûall'e BelslS'CIl~slrell,lrunlg des

LeJ1l'Ipersoll'ails "Ivi'e Idri:e AIl1[HUS'SUllg ,der Ge·

hiiltCll' an !drie ':Deru.·el1UI1g ,ah 1. 1. 58, dri'e

Er.hohung ,der rSo'z<Ïia~:bUllalg,en u<nJd d:~e Mehr·

l'eirstungen ,der Ruhegtehalhsimls'Se . Mi,t drem

Danlœ .an Id:en Vm'Sita'nd cl.e's Leh~'erV'ererine:s

filr Idas vers,tiindnrusvlOill1e Zusiammen.arbreritell1

mi,t Id'em D erpa1' temente sehilties'slt el' seinc

inter.ess'anlten A'llis~ühr.ulJ1lgten.

Untel' Trak!l'andullU «Vlerschi:ed'en,es» gibt

der VOl,sitzendJe eÏ.!niÎgte ,En<tlschuldligungen

hekannt, ,so d1ie von HO'CJhw. Hea.·l'n PrO[le'S·

sor ,ErnS:t SchmÏJd't, iBrnig, rd'er rel'!S1 am

NaiOlull'irt'liag anweS'elld Is:mn ,konll'lie; Rorcihw.

Herrn ScIh'lll!i,ns<p'ek,t'Ol' WlerilSSien, Reok1ill'glen;

Herm Na,llionarlmt nr. Leo Stoffel, V~Sip;

Herm Nallionah1a1t Hlené J.acqUlod, SLt~en;

Herm OrO'SS11a't J ols.elf Bli'tlteil, VIÎISIp; iHemill

Dr. Atlex. Theiller, Protf':eJssoll" SirVten; Re.r,rn

Uehœr 6U1p'er,s'axo Otto, Sa:ars ~y.e:e.

D~ iI1Ï'em'anJd Id,i'e nisrkfUlSrsiou ,·",eJJt,er 1<U !he·

nütZ'en fWiÜI1fsoht, 'S'ch1ies'St H. H. SCJhrtI1rinsp'ek.

l'or Sclmllid\: den gteschatf'lliJ.i,ohen T ,eil unse11Cll'

GV mit {Lem tHiimVlrols, die Brücke der

Pianos Harmoniums

Radios

Disques

Brwdlel"hiJ1f.e il11 ',,,e1,meth,1~ten1 M!aslS'e zu llillrer·

stùtzen u:n:d tllÏ'e I:bug,esa'lldrten g,rüJlIen Ze1!Wl

l~echjt f~eilssirg !:bU iheruiitzen.

He'i delm 'Vorzügt1ioh 'S'elwtÏ'er,l1en Mi.tiliage<S'sen

im 1« R 'estaurant ~ur ail'l'en PO'Sit» k'am dem

Vor:sitzeIlld!oo d lÎle Elme 0ute.ill, Her·rn Staa'!iS­

l'at Mm'·oeil G110SS, d 'en Chef d res E1'Ziie·

hlUll.gtS'd'epar,temeJultels, (Me JOJreklliion ldiCll' Lon·

zawed\::e Visp tin Idlell Herœu Dr. Si'C1brer will 11l!g'eJIl.iÏ'eiUl' IBürM, Iden Tage1s11efe11enllen He'l'l~n

Br. D'amlU'elJ RJU.olsdh ,So.WIi.e eiJlle 'gl'osrs'el"e Za:}lil

Belhor'd:emi,tlglire'dea.', SCJhulmnii'l1ill'er und L'ehr,er

zu hegrüs'S'en. IM;:ÏJt Idires'er B-e.glmslSfll!ll'g 'VIer·

baIlid Hel'.!' SohU'liuISip'ektor J,M. SohwickdJe;l1

her2'JliicJhs·ten Dank :au ldlÏJe IA'd:r'ess'e der Dil'ek.

tiron ,d,el' LOll.zruw1e.11ke, d,ile s<Ï'cth ~p'olJ.1t,an hel'eilt

e1il&iirte, uns eine Wlelikhe~ichü~mllg rlU

organiJsi rel'en m1!d übeliCl<Ï:es ihœ Syunp'allMe

der iLem,el,schaf,t ge,genüb'er I(htdurtch an

d'en '.Dag Ilelgite, rdass ,sile uns die Tl'lankrs:ame

helim Mrirttalgtes,s'en rspen:diÎJer,te. Aru.ch drie G:e·

meJin:d'e Vrisp 'zeÎ!glte 18ioh IÎhJJe'S 'Be:inamJeIlis

« Vlelspia [l'ObH~s» WÜ11drig, IÎnd'em lSie unis

gW:.SishCll'ûg d 'en J(Jaf:fee I()IHerÜJelite. Ehlie soi}·

obem Tun!

Hen Slla'alflsrat M. GW!SS Ühel1h11acJbt!e in sei·

n'el' ,s:taalismannÎ's,c:hell. A'llISipnl'C'he d'ie Gl~ÜlSiS'C

d:eT tRe~i:el1U1ng an ai'e Oher.waŒlris'er iLehrer

Ul1'd Lehœl.urerllillidle, rruher l3.u:ch !Un Idi'e allllf­

s111~eJhell'de Gem'e'Ï.:n:d'e un:d PfJal'l".eri Vtisp, dlile

m1t IdleJl11 wfü,t,S'cha:f,tllichen Arufschrwutng IUIllId

FIOl"tslCJlll'itt 'alUch aw d1em Oelbtiete d'es Schull· w!ese'l1fS SC·h1'itit zu hatlten h 'eJs'h'ebt iÏst. Au[

dle!lll GeblÎreitJe des Seklundla'l's'clhulmVleS!ellS wm'

VlÎJs.p ge11rud'Ct:bu bahl11b11ecJhellid lilll1 Wl3.ilil1is.

Neben leiner [~u1'zen Rüok· ll'n~d iV.oJ.,S'olmu

aruf das 6.chulhVles'en IÎm WallH,s tand. der

Vente • Location • Echange

Réparations • Révisions

Accordage

Tél. (027) 21063 SION

l

-166 -

seIn 'VIer,elwte Herr E1'û ,ei!llUlllgrs'chef IhJe.rzll<i!che

W Ol'te deT _~il1'el,kremliulllg und Id,er Au,fimJUn.

telmng an ,a lll'e , 'dli:e an Ider lEr-:z;;i:ehung und

HiJ1dung Ull!seœr W,alliH,ser JUfg'end Jal,hei,tlen.

Er zeigrte f\llnS ILe'hrenn urrd ,Erû'ehern allif,

'Vias für lei'll'e hohe uud rerhah'e'll'e tAufgab-e

wtir !lU ~l'fÜllllen harhel1, iUJlll di'e UI1fS 13.nrl'er'e b:enet~d,en konnten.

In dem ta~1fS'dhJ1riiels:s'enden IRreflel'a,t ,eathot iHertr

Dr. Samuell RIU'OSdh ,Ql111ISrS unJd WlÎlll1ko:rmnen

vml. !Sei'tell Idler LOll]zaldrir,eJk'l'iol11 und .el,kllal~fe, dras's ,d.:i;e ILo:nz-a mlÎlt IF.reJuld'e m]Set~n Wunrs ch

ent~egrennahm, luns leÎ'i1!lll'all leiIlen EinJb:Iii!ok tin

d'as Geltriebe reJinlers Ig110lsrS'en ([:nrluJstnire.W1erkre;s

zu 'grewahœn I\lill'd uns d.aidur:c:h 'eIÎnen IlJdben.

dri'g'en Alns:c:halUl\lill'gtslMlterridl!t ,z,u 'etiretiJlen .

Herr 0,1'. IRruo'ScJh malc:hJl1e UllIS kfUl'Z rbeI\:!3JJ.1!nt

mit Id'em \Baiu flIIl1/d der En tWtÏJoldunrg Idrer

LonZ'awerrlœ NU w,athl:its m lld 'erMar,re (in

WOl,t und Hilld die <Enl~&te!h\llng un:d Ver.

w:en:drung Ider 'Wricllltiigs,tlCiIl Lonzarpro'd!Uk'l1e .

Di'e tinttel1e.s's:aIllfien A'UI~füihl"unlg,en ides iH·el'J.~n Relf.e1~en1ten mrd Idlie Id:ar,auffrolg,enlde He.silc'h.

lIi'gUI1!g Idres Wrerk'ers Vli,sp Ib:l'.a/ch'te !Unrs IdrBUltJlirch

ZUIl1l HewUlslsts'eJin, ""ÙJe wichtilg und \Uot.

\'Wmfoog der 'te'chn.'is·c;hre iNadhwulchs [Üt' relire

Elihallr~U!nlg fUn'd JdJi'e Wirolter,ell'twlid\!lrum.g relrer

I.nJcl.wstri:e lim W ral.liliÎls ti'Slt Illillld WlaiS tf'ür MO'g­

lilOhkleirtJen Is!Îfch IdOl;t Ull'se.œr jun~en Gene-11atrioill tbtilelten.

Mi t gross'em Ill'tCll'eJ&.s'e ili'elss:en sirch Idli.e

LeJu',er, in Idei'lle1ie Gr'UJ}JIlJIen rallfge.tI~illt, :vion

erinri:gen JrunJdtÏg'en HCIl11'en dJCIl' Lonza rcluœh

d'en ·grols·StiBn T ,eril Ides W'erll.:leIS fÛlIl1ien un:d

mi,t ;den OeheiilJllulÎ'SIS'ffi1 ronCll' 'chrelmrisc:hen

F1albritk lin Henü'lmrnllg bl,ingen. IMlalJ1lclhea."

ùehlJel' wÎlid hei fslÎlch 'S'e!IJb~t :g'eda-ch1t htarb:ea.1:

«Haltl~e lÎ'oh ~nlIer 8'0 lklufm'e11k's'amre 8.chiiller,

wÏle les rdrieLclmer heuve W~lr<e'll, so kon:nte

il6h mit d'Olp,p'e!ltCll' H:eude 1llfei.Ïn:en ihethren

Lehre.1metuf .ausühen ». Det, s'Bhr ,ge'eh1~tren Lon~adir,ektiio!l1 ·sleJi lan ,m lels'er Sl'e~lle für ihr ft~eJUnldllÎdhets Entlgegffiù<':01llllJllffi1 mn iher,zM. ' cITes D.an!lmswo.rt aUSig,eS:iprOlCJhen!

lmhash Peter

Gebet Pius XII

Gott, mache aus mir ein Werkzeug des Friedens, Gib, dass da, wo der JI ass wohnt, ich das ,Verzeihen br,inge, wo die Zwietracht trennl, ich zur Eintracht binde, wo der Irrtum herrscht, ich die Wahrheit künde, wo der Zweifel umgeht, ich den Glauben wecke, wo die .v erzweiflung liihmt, ich die Hoffnung belebe, wo die Trauer niederdrückt, ich die Freude hervorhebe.

Herr, gib mir die Gnade, dass ich nicht suche, von andern getrostet zu werden, sondern sie troste,

dass ich nicht suche, verstanden zu werden, sondern mich mühe, die andern ru verstehen,

dass ich nicht suche, geliebt zu werden, sondern von Herzen die andern lie-be. Denn, indem wir geben, empfangen wir, indem wir uns vergessen, finden wir uns, indem wir verzeihen, wird uns verziehen,

indem wil' gottergeben stel'ben, ziehen wir ein in das ewige selige Leben mü Dir, Amen.

-167 -

Page 28: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

les Cahiers d'exercices de la

Collection de matérie l d idactique

sont, à tous les niveaux d'études, des auxiliaires indispensables et des instru­me·Ms pédagogiques incomparables.

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AVI Concerne les ca rtes de rabais accordées

1. Aux Cafetiers-Restaurateurs

2. Aux membres du personnel enseignant

3. Aux couturières-lingères

N'ous informons notre aimable c·lientèle que les cartes en circulation ont été annulées au 31 décembre 1958.

Les nouve-Iles cartes seront délivrées sur demande et s'ur présenta'tion d'une pièce de légtimation.

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ACQUISITIONS RÉCENTES DE LA BIBLIOTHÈQUE CANTONALE

Les ouvrages signalés ci-dessous peuvent être obtenus gratuitement en prêt. Les cotes indiquées sont celles de la Bibliothèque cantonale.

Z UWA CHS VERZEICHNIS DER W ALLISER KANTONSBIBLIOTHEK

Die nachstehenden Werke konnen unentgeltlich von der Kantonsbibliothek entliehen werden. Die Signaturen (Buchstaben und Nummern) bezeichnen den

Standort der Bücher in der Kantonsbibliothek.

1. LANGUES ET LITTERATURES

SPRACHE UND LITERATUR

BET,Z, Maurice. Rhlke in Fl'ankreich. Eril]1nel1Un~en, Br.iJefe, Dokumente. (Am; dem F'l'anz. über.set2lt von W~1li R eioh.) WI~en, -Le.ûpzilg, Zürioh, H. RJe~ohITer, (1938) ; 8°, 290 S. TA 14.'565

BOOR, Helmut dIe und Ro:swibha W:iJsl1!i,ewski. Mitte!l.ho Cihd'eutsch~ Gr am ma'l1i k. BBl'lin, W. de Gl'U'Y,lJel', 1956; 8°, 141 S. (Samm~lUng GO'S'che~. 1l03,,)

N 567/1108

BORGAL, OI.éme11't. AILa1irn-Foul'l1iel'. P·ari's, Ed. uuhnersi1'a,ÏlI.1e's, (1955) ; 30, 124 p. pOl~tr. (ŒaoSsiques ,du XXe sièo1e. 22.) N 535/22

BROCH, He1il11'ann. Brief·e von 1929 bis 1951. (Hrg. und , eingeleiJtet von Roberrt P~clc) Zü,rioh, Rhein-V,erl., (1957) ; 8°, 457 S. (Oes. Wiel,ke: 8.) TA 12.281/8

CALVET, J[ ean]. Histoire de La :liIttél1ature fr,ançaoise, lPubl. sous ila diœ'ctÏon de J' C'. P.ar,is, dleJ. Duoa de Gigor,d, (955)- TA 14.472

CRAIGNE, Louis. La 1ittératur,e oatho'lique à il"élirang'er. AnJtJllO'l'ogi,e pool. souoS la direction de L'Oh'. Pallû.,s, A:1sailJi'a, (1947) ; 8°, 227 p. TA 91167

DELAY, Jean. La jeul1Jesse d'André .Gide 1869-1895. EPm-is], NRF Ga!lilimarcl, 1956-1957 ; 8°, 2 val. (Vo'caJtJions . 3+7.) TA 14.735

GUILLERMAZ, P,allliicia. La poés,ie ohinoise. (A11J'tho~ogi:e d'es ori'g.ines à nos . jorn's.) [P>a;rÏ1s], ,Ed. Segher,s, (1957) ; 8°, 289 p. TA 14.376

- 169- ,

Page 29: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

HAME,LIN, Jeanne. Le théâtre olN1éti'en. Paris, A. Fayta'l~d, (1957); 8°, 122 p. Oe 'sa,ils . Je oro~s. 129.) N 579/[29

HIEBEL, FniedrÏJoh. Ohris:ti'an MOil'genSitern. W'ell'de und Auflbruch unS~l',es

Jahrhunderts. Hern, Fmncke V'elll., (1957) ; 8°, 241 S. PlOl~til:. TA 14.572

KRAHE, Hall'S. Gel'manis,che Sprachwissenlscnaft, 3. * AufI. B'elJ.i1in, W. de Gruyter, 1956-1957 ; 8°, ,2 Bde, (Sammlung Goschen. 238+780,) N 567/238+780

LE HARDOUIN, Maria. Col},ette. P,al'Îs, Ed. univershair.es, {11.956) ; 8°, 129 p. por,til:. (Œas's,iq,ue:s Idu XXe .siècle. ,24.) N 535/24

MUSIL, Rolhert. T,agehiiohelJ.', Apho,r,i'smen, Ess-ays nud Rleden. Hrg. von Ado'lf FrrÎ'sé. HamhUl1g, Rowo.M:t Viel,],., (1955); 8°, 962 S. (Ges. Werkre. 2.)

TA 12.408/2

PüPE-HENNESSY, Una. Cha'l,}.es Dick·eus . Der Mensch . D:er Diohter - Seine Zei't. (Aus d-em Ellgl. Ü'hertJ.1a'~en v,on Sir Ga'l,ahad und ]jlse Lei'si-Gugler.) (Züri'ch), Maness'e Verll., (1951) ; 80, 537 S. Porh'. TA 14.563

PORZIG, WtlÙtel'. Das Wundel' delJ.' Spl'atche. ProM'eme, Methoden tUIld Er'g,ebl1lisse der mo:del'nen Spl.'llichw.i:s'seu:sdhafrt. 2. Aurfl. Hel1l1, Fl'anclœ, (1957) ; 8° 424 S. (Sa'll1mlung nalp.) N 528/71, a

QUEANT, Gilles, Erédéric Towam.jJdd et Aline 'Elmayan. Encyldloipéd.ie du théâlire conltempomill. Vo.l. 1 : 1850-1914. CPa.rÏ!s, LeIS PublicllitiOJ1'S de Fi·,ance, 1957); 4°, 207 p. VI. frig o pOl'tr. TB 1459

SALACROU, Armand. Théâtl1e. [Ed. d!Î:verses]. [lPadsJ, Gahlimal:d, (1943-1957) ; 8°, 7 vol. TA 14.933

SIMON, PÏJe11re·Henil'Î. La 'lilitél'a1tlLne rdu ,péchéet d'e Ja ,grâce. Essai ISur ~a cons· ütUJtÏon d'une littérature 'OlmétielUle d.epuis 1880. P,al1Îs, A. FaY'a,rd, (1957); 8°, 119 p. (Je 'salÎ,s . ]te :crois. l'20.) N 579/120

HÏJstoir,e d'e lira JiUélia'tUr.e f'l:,all1çai\Se au 20e \S,iè:c'l.e 1900-1950. 2e éd. Pa'rtÎs, A. COlllÎtn, 1957 ; 8°, 2 vo:l. (CoU. A . .cOlM. 3:13·314.) N 481/313-3,14

STREHLE, Herirnal1n. Yom .oetheimni.s delJ.' Sprruohe. SpJ.i aohiliohe Au~d'11ucl~Sllehr,e.

Sprachp'sylohologie. MündlIoo/Ba's'el, E. ReÏJnhart1dt, 1956; 8°, 201 S. TA 14.851

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WA,PPES, Loœnz. Wlald und Holz. Ein Na:obs:chll'a'ge:hwoh rfür d'Î'e Praxi<s der F.ol~st:wirte, Hol21harrdller urrd H011 zindrll'sih,i'eIUen. NeudaJffim urrd BerJ.Mn, J. Nffilmann, [etc. elic.], (193<2.1936) ; 8°, 2 Bde. AtlJb. 'I1aJb. TA 13.032

WINIGER, Âl·,tlhur. A,tomenerg1e. Kerrn1eaktoren, Atomkl'!l!f,twerke. ZÜlii~h, A.

W~niger, 1956; 8°, 22 S. (V1ora1h:druck vom 21. Marz 1956 aus d,tml d'em­nachst lel'lsoheinendren Atom-W,edç: 'der ,List-Ges'eillls·chaft.) PA 7927

WiINKELMArNN, W[.iMy] F[âe:d'l"itchl Die VÎ't!l!mine. Was sie sind - Was sie leÏ'S1ten. 2. Auim. Baserl, ,.A!poihlonia-Ve'lil., (1%1) ; 8°, 318 S. Ahb. TA 14.713

WOLF, Gotllhar,d. Der wissensohaf,tJIi'che FMm in Deulisoh'lan:d. W,upper,taJ· Elhedeld, V,er!. S. Lucas, [1958] ; 4°, 80 S . Abb. PB 1072

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Page 33: L'Ecole valaisanne, janvier 1959

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La joie à l'école par le disque

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Pa'rti'e pra'tique :

Etude du sol et des engrais (sui'te)

Fiches de géographie (.suite)

Praküscher T eil :

Aufsatz aul der Oberstufe

Der A ufsatz i,n der Haushaltungsschule

Sprachgebrechlichkeit und Erziehung

RENSEIGNEMENTS • HINWEISE

119

120

125

132

136

139

14,5

149

15,1

154

158

« L'Ecole valaisanne» paraît à Sion le 1er de chaque mois de nov,emb:re à juin. En été, numéros doubles le 15 juillet e t le 15 septembre.

Die «Walliser Schule» erscheint in Sitten am 1. jedes MOllats. lm Sommer, Doppelnummern am 15. JuH und 15. September. '

Edition et administration Herausgeber und Verwaltung

Impression et expédition Druck und Vers and

Département de l' Instruction publique, Sion Erziehungsdepartement, Sitten

Imprimerie Buchdruckerei Fiorina & Pellet, Sion

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