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Les indicateurs de contamination microbiologique dans l'eau potable pathogènes micro-organismes qui altèrent les caractéristiques organoleptiques de l'eau-biofilm Legionelle Les indicateurs de la contamination Le contrôle microbiologique de l'eau distribuée n'est pas implique normalement de recherche directe pour les agents pathogènes, mais les soi-disant «indicateurs de contamination fécale." La recherche d'indicateurs et les agents pathogènes Francs (Salmonella, Shigella, Vibro cholerae, etc.) Est une pratique principalement en raison de la simplicité des méthodes de recherche d'indicateur microbien par rapport à la complexité des méthodes microbiologiques pour la recherche directe d'agents pathogènes. Les organismes indicateurs de pollution fécale sont des saprophytes qui vivent normalement dans les intestins des animaux à sang chaud, et en eux-mêmes ne sont pas pathogènes, mais agir comme «espion» la présence de pathogènes. Un indicateur fécal devrait idéalement avoir les caractéristiques suivantes: • Être présent en concentrations élevées dans les selles • Être facilement détectable • Ne pas reproduire facilement dans l'eau • Être présent à une concentration supérieure aux agents pathogènes Malheureusement, il n'existe aucun micro-organisme comme parfait, mais entre le groupe des coliformes Escherichia coli

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Les indicateurs de contamination microbiologique dans l'eau potable pathogènes micro-organismes qui altèrent les caractéristiques organoleptiques de l'eau-biofilm Legionelle

Les indicateurs de la contamination

Le contrôle microbiologique de l'eau distribuée n'est pas implique normalement de recherche directe pour les agents pathogènes, mais les soi-disant «indicateurs de contamination fécale."La recherche d'indicateurs et les agents pathogènes Francs (Salmonella, Shigella, Vibro cholerae, etc.) Est une pratique principalement en raison de la simplicité des méthodes de recherche d'indicateur microbien par rapport à la complexité des méthodes microbiologiques pour la recherche directe d'agents pathogènes.Les organismes indicateurs de pollution fécale sont des saprophytes qui vivent normalement dans les intestins des animaux à sang chaud, et en eux-mêmes ne sont pas pathogènes, mais agir comme «espion» la présence de pathogènes.Un indicateur fécal devrait idéalement avoir les caractéristiques suivantes:• Être présent en concentrations élevées dans les selles• Être facilement détectable• Ne pas reproduire facilement dans l'eau• Être présent à une concentration supérieure aux agents pathogènesMalheureusement, il n'existe aucun micro-organisme comme parfait, mais entre le groupe des coliformes Escherichia coli les bactéries (E. coli) est celle qui plus que toute autre approche du modèle. La présence de E. coli dans un échantillon unique peut également indiquer la présence d'agents pathogènes intestinaux, cependant, l'absence de E. coli ne peut être exclue avec une certitude absolue et la présence de certains agents pathogènes, comme nous le verrons plus tard.Ce qui suit est un aperçu des organismes indicateurs.ColiformesAppartiennent à la famille des Enterobacteriaceae, et ont des caractéristiques morphologiques et de culture similaire à l'autre. Les bâtons sont à Gram négatif, non sporulées, fermentant le lactose (coli.totali à 37 ° C, coliformes fécaux à 44 ° C) avec l'acidification du milieu de culture et de formation de gaz; possèdent l'enzyme bêta-galactosidase, et sont oxydase négative.Actuellement, il ya une tendance à distinguer les coliformes dans trois catégories, l'origine et de l'habitat.Une première catégorie comprend les coliformes d'origine fécale. Les genres représentés sont:

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Escherichia, Enterobacter, Klebsiella et Citrobacter, sont présents dans le matériel d'animaux à sang chaud, dans le sol et la contamination de l'eau.Une deuxième catégorie comprend les espèces largement répandues dans l'environnement, où ils se multiplient coloniser le sol, l'eau et la végétation. Ces espèces sont communes dans l'aqueduc et font partie de la composante du biofilm. Les genres les plus fréquemment peuvent être détectés dans le réseau sont Hafnia, et Serratia.La troisième catégorie comprend des espèces de position douteuse, ce qui complique l'interprétation des données analytiques. Par exemple, il est possible de détecter la présence de Klebsiella terrgena ou Serratia fonticola, qui, tout en caractéristiques de revêtement non de pathogénicité, laisser quelques doutes à propos de l'importance de leur découverte dans le réseau.

Beaucoup d'espèces dans le groupe des bactéries coliformes sont présents dans le sol ou d'autres matrices environnementales, sont capables de se reproduire dans les eaux riches en nutriments, ce qui contribue à la formation de biofilm. Récemment, il ya eu des rapports de gastro-entérites liées à la présence de Hafnia alvei, et sont aussi connus pour des cas de temps infections nosocomiales par la présence dans le circuit interne de Serratia marcescens.

Escherichia coliOn le trouve dans toutes les matières fécales des animaux à sang chaud, en grand nombre (plus de 109 grammes de matières fécales x). E 'un bâton Gram négatif, aérobie \ anaérobie facultatif sporulée pas capable de fermenter le lactose à 44 ° C avec production de gaz et de l'acidification du milieu de culture.Les caractéristiques de la croissance et de la sensibilité aux désinfectants est semblable à celle de beaucoup d'autres organismes pathogènes (en particulier Salmonella, Shigella et Campylobacter). Cependant, il ya des situations dans lesquelles E. coli n'est pas un bon indicateur de la contamination microbiologique.

Les entérocoques

Sont définis comme des cocci à Gram positif, non sporulée oxydase et de la catalase négative de formation. Sont capables d'hydrolyser l'esculine l'. Aérobie et anaérobie sont croître et même en présence de sels biliaires.La classification taxonomique est en lice pour la révision et reconnaît actuellement trois types qui font partie de ce groupe: Lactococcus, Enterococcus et Streptococcus.L'espèce d'origine fécale appartiennent à la génération Enterococcus et Streptococcus, et leur découverte en l'absence de la bactérie E.coli nous permet d'émettre l'hypothèse d'une contamination d'origine fécale.Dans les excréments humains leur nombre atteint la concentration de 106 grammes de matières fécales x, tandis que chez les animaux peuvent atteindre des concentrations encore plus élevées.

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Dans le passé, a utilisé le ratio des streptocoques d'origine fécale et coliformes fécaux pour définir l'origine de la contamination: animal, si ce ratio était supérieur à 4, ou l'homme si le résultat du calcul est inférieur à 0,7. Ce rapport a été remis en question en raison de la capacité différente des streptocoques fécaux et les coliformes fécaux pour survivre dans l'environnement extérieur, et surtout leur résistance aux désinfectants différente, ce qui, en alternant la proportion numérique entre les deux groupes, rend les données inutilisables. Les entérocoques ne se reproduisent pas dans l'environnement extérieur et sont généralement plus résistantes aux conditions de chloration et de glace que ce qui est E. coli, sont également plus résistants à la dessiccation que les coliformes, ce qui peut se produire en raison de travaux de maintenance sur le système aqueduc.Clostridium perfringensDe nombreuses espèces du genre Clostridium sont l'environnement, certains sont saprophytes et coloniser les plantes des sols, de l'eau et la décomposition.Clostridium perfringens est l'espèce principale dans l'origine sulfito-réducteurs, des matières fécales, car il est un commensal intestinal. Son rapport, les fèces, contre coliformes est un dixième, il est donc un indicateur moins sensible de la pollution fécale.Il produit des spores qui peuvent résister à l'environnement et nell'acque même pendant plusieurs mois. Le Clostridium sont éliminés de l'eau par coagulation et de filtration, mais leurs spores peuvent résister à la chloration à des concentrations couramment utilisées dans le traitement des eaux.Clostridium perfringens produisant des toxines différents acteurs impliqués dans les processus pathogènes. Il est à l'origine de toxi-infections alimentaires causées par la présence de toxines dans l'eau ou dans la nourriture contaminée. D'où la nécessité de l'absence absolue de cet organisme dans l'eau utilisée par les fabricants de produits alimentaires.

Les micro-organismes cultivables à 37 ° C et 22 ° C (numération bactérienne totale)Ces micro-organismes représentent la population hétérogène de bactéries présentes dans l'eau

L'utilisation de deux températures de croissance permet de détecter des micro-organismes mésophiles (37 ° C) et les micro-organismes psicofili (22 ° C).Les comptages bactériologiques doivent être considérées comme une intégration des autres paramètres, mais son but principal est de surveiller le bon fonctionnement d'une usine de traitement de l'eau et de distribution d'eau.Parmi la flore microbienne totale peut être champignons présents, qui en plus d'un certain nombre, peuvent introduire des caractéristiques organoleptiques désagréables.Une augmentation des colonies à 37 ° C peut indiquer une contamination, surtout si il ya une augmentation parallèle des colonies à 22 ° C. bactéries qui se développent à 22 ° C correspond à la partie de bactéries normalement présentes dans l'eau. Ils ne sont pas importantes du point de vue de la santé, mais je peux avoir des effets néfastes sur la production alimentaire pour une éventuelle détérioration des produits en raison du métabolisme microbien.Le suivi de ces micro-organismes est utile pour la vérification de la propreté et de l'intégrité des systèmes de distribution.

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A la sortie d'une usine de purification de l'eau de l'eau peut contenir de faibles concentrations microbiennes, mais une fois dans le réseau de ces formes bactériennes peuvent rester au repos ou ils peuvent se multiplier. De nombreuses bactéries, en fait, sont capables de se multiplier à l'intérieur des tuyaux, en utilisant comme éléments nutritifs dont les polymères qui sont constitués de tuyaux mêmes. Il est important de se rappeler que pas une seule augmentation de la numération bactérienne totale à s'inquiéter, mais son augmentation progressive.Bien que ces organismes sont rarement associés à la maladie chez les personnes en bonne santé, peut entraîner des infections chez les personnes immunodéprimées.

Les principaux pathogènes dans l'eau de distribution

BACTÉRIES

CampylobacterL'espèce qui cause la gastro-entérite est Campylobacter jejuni. L'organisme trouve son réservoir naturel chez certains animaux tels que les moutons, les chèvres, les volailles et d'autres espèces aviaires. A partir de ces réservoirs peuvent être transférés à l'eau qui peut survivre même pendant quelques jours. Campylobacter, cependant, est très sensible au chlore et aux UV (moyen couramment utilisé pour désinfecter l'eau).

E. Coli 0157Provoque de graves diarrhées, même à des saignements. E. Coli 0157 peuvent être présentes dans l'eau non traitée, mais est sensible aux UV et chloration à des doses couramment utilisées dans le traitement des eaux. Traditionnellement la recherche de E. Coli est un indicateur approprié de la présence potentielle de E. Coli 0157.

SalmonelleL'espèce Salmonelle fait partie de la famille des entérobactéries, les bactéries à Gram négatif, des meubles pour la présence de flagelles, qui ont un métabolisme aérobie / anaérobie facultatif. La Salmonelle sont classés en fonction de leurs caractères sérologiques dans environ 2000 sérotypes.Infection à Salmonelle se fait par voie fécale-orale ou par l'ingestion d'eau ou d'aliments contaminés. La Salmonelle typhi et paratyphi sont associés exclusivement à des sujets humains, mais l'autre salmonelles peuvent être trouvées communément dans les œufs, la volaille et d'autres produits carnés ainsi que dans les eaux usées ou dans les sols irrigués avec de l'eau contaminée.La survie du germe dans l'environnement externe varie de quelques heures à quelques jours, selon la température et la présence de nutriments dans l'eau.

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La Salmonella sont sensibles aux méthodes courantes de désinfection de l'eau. De ce point de vue E. coli est un indicateur adapté pour vérifier la présence éventuelle de Salmonella dans l'eau.

ShigellaAppartient à la famille des entérobactéries, il peut causer la dysenterie. La survie dans le milieu aquatique est de quelques heures, il est sensible à des méthodes communes de désinfection de l'eau. Même pour ce pathogène E. Coli est un bon indicateur pour la surveillance de la présence potentielle dans les eaux.

YersiniaAppartient à la famille des Enterobacteriaceae. Et 'possible de détecter ces organismes dans les eaux naturelles, eaux usées dans les activités de production de l'élevage et la culture des plantes. C 'est sensible aux méthodes de désinfection courantes. E. Coli est un bon indicateur de la présence potentielle.

VibrioLes micro-organismes appartenant au genre Vibrio sont plus largement réparties dans le milieu aquatique, y compris les eaux de surface non contaminée par les eaux usées. V. Cholerae sont les espèces les plus importantes du genre. C 'est un micro-organisme, mobile Gram négatif anaérobie facultatif, asporigeno. Seul le sérotype 0139 (pas 01) est responsable d'épidémies de choléra enregistrés dans les pays sous-développés.La présence de Vibrio dans l'eau potable est relativement rare, la principale voie de transmission du choléra ainsi que par l'ingestion d'eau contaminée est due à l'ingestion de mollusques cultivés dans de l'eau contaminée par l'organisme.En général, le micro-organisme est sensible à des concentrations de chlore habituellement utilisés, mais certains sérotypes sont capables de survivre à des concentrations de chlore libre de plus de 2 mg / l avec des temps de contact de 30 minutes.Staphylocoques pathogènesLes micro-organismes appartenant au genre Staphylococcus sphérique, Gram-positives propriétés, catalase positive. Produire des différentes substances extracellulaires comme hémolysines, coagulase, des toxines et des entérotoxines. Staphylococcus aureus est l'agent étiologique d'un certain nombre d'infections graves de la peau et les intoxications alimentaires. La recherche de ce micro-organisme est importante, car elle est capable de survivre dans l'environnement est également résistant à l'action du chlore. Si le staphylocoque colonise le réseau de distribution est en mesure de régler dans des réservoirs à l'aérateur et purificateurs d'eau à usage domestique, pour atteindre des concentrations élevées.

VIRUS

Les bactériophages contre E. ColiLes virus informatiques, comme les animaux, même dans ces organismes peuvent se

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multiplier qu'à l'intérieur de la cellule hôte. Sont présents dans le tube digestif de l'homme et d'autres animaux à sang chaud. E 'a été montré que dans 23,5% des échantillons de matières fécales humaines il ya une concentration égale à 105 UFP par gramme de matières fécales. La survie des bactériophages dans le milieu aquatique est supérieur à celui des bactéries indicatrices et sont plus résistants aux traitements de désinfection des entérovirus.

virus de type NorwalAppartiennent à la famille calicivirus, causant la gastro-entérite sporadique. Sont capables de survivre dans l'environnement plus que les bactéries.

Virus de l'hépatite AIl appartient à la famille des Picornaviride. La transmission fécale-orale et l'ingestion d'eau contaminée se produit plus fréquemment dans les zones géographiques où il ya une mauvaise hygiène ou pauvres. Survit dans l'environnement plus que les bactéries.

Entérovirus (poliovirus, le virus Coxsackie, échovirus)Appartiennent à la famille Picornaviride. Peut parfois causer des infections asymptomatiques ou pseudo-grippaux, mais peut parfois causer la méningite et la paralysie.

RotavirusAppartiennent à la famille Reoviride. Parce que la gastro-entérite chez les enfants, les adultes peuvent donner des infections asymptomatiques.

AdénovirusAppartiennent à la famille des Adenoviride. Je peux causer la gastro-entérite chez les enfants.

Tous les virus décrits sont capables de survivre plus longtemps dans l'environnement externe de la bactérie. Pour cette raison, l'absence de E. coli de certaines indications de leur absence dans l'eau.Les raisons de cette persistance est due à la capacité d'agrégation et de matériau d'adsorption articulé. Cette caractéristique est exploitée dans le traitement de l'eau potable: la coagulation, la sédimentation et la filtration sont particulièrement efficaces dans l'élimination virale (abattement de 90%). Pour la plupart des virus qui infectent la dose minimum est très bas alors il ya un risque élevé de contracter des maladies, même en présence de faibles concentrations virales.

PROTOZOAIRESLes protozoaires d'intérêt sont Giardia, Cryptosporidium, Cyclospora, et Toxoplasma.Oocystes de Cryptosporidium ont une faible dose infectieuse, résister à l'environnement et sont résistants à la chloration et peuvent échapper au processus de filtrage de l'eau.La même Giardia présente une faible dose infectieuse et résiste à la chloration, même si

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dans une moindre mesure par rapport aux oocystes de Cryptosporidium. Les kystes de Giardia peuvent rester dans l'environnement pendant plusieurs mois. L'infection par Cryptosporidium et Giardia sont largement rapportées avec une prévalence moyenne de 2% à 3% pour le premier et le second dans les pays industrialisés, alors que dans les pays en développement augmente à 7% pour le premier et 25% pour le second .Même les oocystes de Cyclospora sont très résistants au chlore, la voie la plus fréquente d'infection est l'ingestion de fruits ou de légumes irrigués avec de l'eau contaminée.Toxoplasma gondii oocystes sont très résistants dans l'environnement et très résistant au chlore. Le réservoir est un animal, généralement chats infectés ou infectés oiseaux qui entrent dans les oocystes de Toxoplasma. L'infection humaine se produit par ingestion d'aliments contaminés, mais il est possible que les sources d'eau ne sont pas protégés peuvent être contaminés par ce protozoaire.Un autre corps d'un grand intérêt dans de l'eau est d'infections transmises Entamoeba histolytica responsable de la dysenterie et la survenue d'abcès du foie.L'infection se propage dans le monde entier, en particulier dans les pays en développement où les mauvaises conditions d'hygiène.

Les agents pathogènes émergents

Sont définis comme des micro-organismes pathogènes émergents dont la prévalence est en augmentation par rapport au passé. Leur «urgence» réside en partie dans la meilleure capacité technique de détecter et de les reconnaître comme des agents qui peuvent causer des infections.La présence de «nouveaux» des micro-organismes dans les eaux condottate est le résultat de «l'eau potable cycle de production", c'est à dire l'apparition ou mieux la création de nouvelles niches écologiques "artificiel" pour une gamme de micro-organismes qui sont capables de croître et de se reproduire dans les réseaux.Les matériaux dont ils sont composés, les tuyaux peuvent agir comme un support pour la prise de greffe microbienne et souvent aussi une source de nutriments pour de nombreux microorganismes. Le résultat est le phénomène de la formation de biofilms et la biocorrosion, discuté plus tard.Les micro-organismes qui peuvent créer une certaine inquiétude sont ceux qui sont capables de surmonter les traitements conventionnels pour la désinfection de l'eau potable, ainsi que d'une source d'intérêt sont aussi les micro-organismes qui colonisent la plomberie de la maison. (Il est plus facile que les utilisateurs résidentiels de qualité microbiologique est pire que celle trouvée à checkpoints publique).

Pseudomanas spp.Le genre de Pseudomanas comprend de nombreuses espèces naturellement présentes dans l'environnement, à la fois dans le sol et dans l'eau. Sont Gram négatif, aérobie meubles, mais en mesure d'utiliser le nitrate place de l'oxygène comme un final d'électrons accepter. On les trouve dans les matières fécales de l'eau, des eaux usées et des animaux. Ils sont capables de croître même en présence de nutriments rares, mais ils ont la capacité de métaboliser

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une grande variété de substances, y compris les polymères dont ils sont constitués les systèmes de distribution d'eau. En fait la même manière, peuvent se reproduire dans l'eau contenue dans la bouteille, surtout si de matière plastique, ou bien elles peuvent coloniser machines à glace ou des tubes en plastique de l'alimentation en eau des machines. Il est important de contrôler la contamination du réseau d'eau des hôpitaux car ces organismes ont une grande résistance aux antibiotiques et les désinfectants et peuvent provoquer des infections nosocomiales.En général colonisation "plus lourd" sont pris en charge par le groupe de fluorescens Pseudomanas(Ps fluorescens, Ps. Putioda) qui, tout en introduisant les phénomènes de la malveillance et l'altération du goût de l'eau, ne sont pas considérés comme dangereux en raison de leur ingestion.Le Ps. aeruginosa est omniprésent, peuvent être présents dans les matières fécales des animaux à sang chaud et est l'agent pathogène le plus important opportuniste, en particulier en milieu hospitalier. Son activité pathogène est exprimée à la fois par contact et par ingestion, et est due à sa capacité invasive et la production de substances extracellulaires telles que les protéases, des toxines et des entérotoxines hémolytiques. Ps. aeruginosa est l'agent causal de nombreuses infections chez les personnes ayant un faible système immunitaire. Les infections oculaires sont causées par le contact avec l'eau contaminée utilisée pour nettoyer des lentilles de contact par exemple. La présence de Ps. aeruginosa déroulent en public est rare et sa charge est cependant insuffisante pour provoquer l'infection. Dans les robinets des ménages, cependant, peuvent aussi être présents en grand nombre, alors vous ne devez pas utiliser l'eau du robinet pour nettoyer les lentilles de contact.

Ce micro-organisme a une haute résistance aux traitements de purification et d'une remarquable capacité de repousse dans le réseau de distribution, est la principale cause de la formation de biofilms. La recherche de Ps. aeruginosa fournit des conseils sur le traitement de l'eau potable condottata, alors si les eaux sont emballés condottate sa présence peut indiquer une mauvaise qualité hygiénique des installations de production.

Mycobacterium spp.Les mycobactéries sont un groupe de bactéries caractérisées par une croissance très lente sur des plaques d'agar utilisés pour leur recherche. En dehors de la M. la tuberculose est un agent pathogène qui a forcé le genre Mycobacterium inclut de nombreuses autres espèces que l'on trouve couramment dans le sol et l'eau et causer des infections humaines: le groupe a déclaré M. avium complexe semble produire une infection par inhalation ou ingestion d'eau contaminée, l'M. xenopi, M. infections pulmonaires causant kansasii, M. fortuitum infections dues à la peau et des poumons; M. marinum est associée à des granulomes et se retrouve également dans l'eau de piscine.Le genre peut être naturellement présent dans l'eau, y compris l'eau en bouteille, qui peut

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devenir un potentiellement infectieux pour les patients immunodéprimés.Comme mentionné précédemment, les mycobactéries sont omniprésents et des procédés de traitement des eaux, comme la filtration et la coagulation de réduire la charge actuelle; aussi sont assez résistants à la chloration et de nombreuses espèces peuvent survivre à des concentrations de 1 mg / l de chlore libre. Il peut se régénérer dans le réseau et sa reproduction, en particulier dans les systèmes de stockage. Comme d'autres microorganismes mycobactéries peuvent également contribuer à la formation du biofilm. Compte tenu de leurs caractéristiques et de leur répartition n'est pas surprenant qu'ils peuvent coloniser les réseaux d'eau chaude sanitaire et de froid.

Les micro-organismes qui altèrent les caractéristiques organoleptiques

L'eau potable doit être incolore et insipide, mais ses caractéristiques dépendent à la fois de la qualité de emunta que les traitements donnés sous réserve. Sent généralement la consommation d'eau ou a un goût désagréable peut être attribuée à l'intégrité physique ou chimique plutôt que bactérienne. Cependant moisi ou de terre peut dépendre de la croissance des champignons dans les tuyaux et les robinets, et les odeurs putrides ou similaire à œufs pourris peut être due à la présence de bactéries telles que Desulfovibrio et Clostridium.Bas actinomycètes et certaines espèces d'algues causer des goûts désagréables. Surtout quand l'eau est stockée.La croissance et la colonisation des canalisations par des micro-organismes présents dans l'eau détermine l'apparence du biofilm dite, ce qui provoque la biocorrosion des tubes par les mêmes germes. Dans ces situations, il est possible d'accorder un complexe de fer et de manganèse qui donnent noir rougeâtre.

Les algues et les petits animauxLes algues sont naturellement présents dans les eaux de surface qui sont utilisés pour la production d'eau potable. Les diatomées algues sont les plus représentés, le Cloroficee et cyanophycées.Le cyanophycées, également connu sous le nom d'algues bleu-vert, sont responsables de la prolifération d'algues toxiques. Certaines espèces qui produisent des toxines puissantes hépatotoxique. La présence abondante d'algues, notamment des algues bleu-vert, ce qui provoque l'apparition de goût et d'odeur de l'eau fournie en raison de la production de substances contenant du soufre. En plus de cela lors de leur décomposition sont libérés des composés phénoliques qui peuvent donner lieu à des chlorophénols au cours de procédés de désinfection. Un autre problème causé par les algues est le colmatage des filtres à sable utilisés dans les premiers stades de la purification de l'eau. Un autre problème posé par les algues est celui des réseaux biocorrosion et les réservoirs de stockage, à la fois de métal et le béton, causée par l'acide carbonique, l'acide oxalique et de la silice produite par le métabolisme des algues.

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La présence de petits animaux tels que les nématodes sont un symptôme évident d'un système de distribution compromis beaucoup d'eau, avec la possibilité d'introduction de l'extérieur vers l'intérieur des tuyaux d'organismes vivant dans le sol et la chloration qui peut être reproduit au sein des réseaux et de résister.

ChampignonsLes champignons sont des organismes hétérotrophes, la propriété ou ceux pluricellulaires qui peuvent atteindre une taille considérable et ont une paroi rigide.Sont largement répandus dans la nature, certaines espèces sont des parasites, d'autres saprophytes, d'autres symbiotes. Il est principalement responsable de saprophyte de la décomposition de la matière organique et peuvent être présents dans le réseau où impliqué dans la formation d'un biofilm. Leur concentration peut varier de 0 à quelques milliers UFC / 100 ml, en fonction de caractéristiques de l'eau et la surface du réseau, mais leur présence est sans caractère sanitaire. Ont une résistance au chlore légèrement supérieur à celui des bactéries.Il a été constaté que les champignons peuvent être facilement reproduits dans les réservoirs de stockage, des réseaux de distribution, en particulier dans l'usine où le débit d'eau est ralentie.

LegionelleLe genre Legionelle comprend environ 40 espèces bactériennes trouve couramment dans l'environnement aquatique. Certaines espèces causent des infections telles l'homme total "Légionnaire". La légionellose plus célèbre, appelée la "Légion", se présente comme une pneumonie grave et aiguë. Les espèces qui provoque souvent cette forme grave de pneumonie est la L. pneumophyla, qui est divisée à son tour en 16 sérogroupes. Sérogroupe 01 est ce qui provoque 90% d'une pneumonie causée par les Legionelles.L'infection est contractée par inhalation de particules d'eau contaminés par le germe.L à la contamination des tubes est généralement associé avec le circuit d'eau chaude. Ce micro-organisme crsce préférence à des températures comprises entre 30 ° C et 45 ° C, mais peut survivre même à des températures plus élevées.les Legionelles peuvent se reproduire en association avec d'autres espèces de bactéries et d'algues, et peut faire partie du biofilm qui recouvre l'intérieur des tuyaux. Normalement, le nombre de bactéries légionelles dans l'eau potable est trop faible pour être détecté et surtout de provoquer une infection. Dans des situations normales, la croissance des légionelles peut être commandée par la conception des systèmes de distribution d'eau de manière à éviter les zones de ralentissement ou de stagnation de l'écoulement; peut agir également sur la température de distribution de l’eau ou de maintien de la température en dessous de 20 ° C des circuits dans l'eau froide, ou supérieures à 60 ° C dans des circuits d'eau chaude.

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Biofilm

Le biofilm est composé de l’association microbiologique des espèces différentes qui sont inclus dans une matrice extracellulaire de polysaccharide polymère qui adhère à l'intérieur de la surface des tubes de systèmes de distribution d'eau. Le biofilm est difficile à enlever avec de simples «rinçages» mécaniques et est, dans son ensemble, plus résistant aux traitements de désinfection courantes. À l'intérieur de cette matrice, il est possible de détecter à la fois du matériel vivant cellulaire cristaux minéraux et à la corrosion de matériaux de tuyaux.Pour que le phénomène se produise, il faut que certaines conditions préalables sont réunies:l'interface liquide-solide entre une surface et un milieu aqueux est la condition idéale pour l'enracinement et la croissance de micro-organismes et les caractéristiques de la surface du solide est fondamentale pour les phénomènes de prise de greffe.Il été démontré qu'il existe une meilleure prise de greffe de microbiologiques des surfaces rugueuses comme le domaine de l'adhérence est supérieure. Également à la matière du tube influe sur la vitesse de l'adhésion cellulaire: il semble que les micro-organismes adhèrent rapidement sur des surfaces hydrophobes non polaires. Comme le téflon ou autres matières plastiques, plutôt que matériau hydrophile tel que le verre ou le métal.La surface de tout matériau exposé à un milieu aqueux est couverte par les substances (ou polymères) présents dans le même milieu. Cet événement de modifier les caractéristiques physico-chimiques de la surface originale, cela va affecter la vitesse de la racine de l'extension prise bactérienne.La vitesse d'écoulement de l'eau sur la surface détermine l'épaisseur et le prolongement de la patine adhérente bactérienne. Plus le débit plus faible est l'épaisseur de la patine bactérienne.

Les caractéristiques du milieu aqueux tels que le pH, la présence d'éléments nutritifs, de la force ionique, la température, peuvent jouer un rôle dans la vitesse de la prise de greffe bactérienne sur le substrat. Certaines études montrent que l'augmentation de la concentration des cations (Na +, Ca + +, les ions ferriques) accroître la capacité de fluorescens Pseudomoans à adhérer aux surfaces en verre, sans doute grâce à la réduction des forces répulsives entre les cellules bactériennes qui sont chargés négativement, et la surface verre. D'autres études ont montré une corrélation positive entre l'augmentation des nutriments et de l'augmentation des cellules adhérentes à la surface intérieure des tuyaux.Les propriétés physico-chimiques des cellules bactériennes, leur hydrophobicité de surface, la présence de flagelles, la capacité à produire des EPS influer sur le taux et l'étendue de film bactérien.

Le biofilm est composé principalement de BPA (substance extracellulaire bactérienne). Les EPS peut constituer de 50% à 90% de la substance organique qui compose le biofilm et forme la matrice primaire. L'EPS est principalement composée de polysaccharides: certains

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d'entre eux sont neutres, d'autres sont polyanionique que celles produites par des bactéries gram négatif, tandis que les tensioactifs cationiques sont celles produites par des bactéries gram-positif (Staphylococcus).En ce qui concerne la structure, il faut reconnaître que le terme «biofilm» est trompeuse, car elle a partiellement imaginer une couche continue et uniforme, mais ce n'est pas vrai. Généralement fait l'EPS n'est pas uniforme, mais change en fonction du temps et de l'espace, différents micro-organismes produisent des quantités différentes de fait EPS qui augmente avec le temps. Cette matrice est fortement hydraté de manière à empêcher le séchage du biofilm. Le BPA augmente également la résistance à la désinfection, probablement en se liant directement aux substances utilisées à cet effet.Chaque communauté qui fait partie d'un biofilm est unique même si le biofilm présente certaines caractéristiques communes. Le biofilm est très hétérogène, contenant microcolonies bactériennes ou de cellules uniques incorporés dans EPS et séparés des autres colonies de flans (canaux d'eau). L'eau circule à travers les espaces condottata permettant la diffusion des nutriments, de l'oxygène et d'autres substances, à l'intérieur du biofilm.Les micro-organismes qui composent le biofilm peut à son tour affecter la structure qui est en constante évolution en raison de processus continus internes et externes de la croissance et de la dégradation bactérienne. Expérimentalement, il a été vérifié que la présence de bactéries Klebsiella pneumoniae et Pseudomonas aeruginosa détermine une couche de plus stable et plus compact que celui déterminé par la présence d'une seule des deux espèces.La structure de base du biofilm est la microcolonie (compris dans le plan écologique Association), qui est constitué d'un ensemble multi-espèces avec un métabolisme impliquant le cycle de nombreuses substances (cycle de l'azote par exemple, le carbone, le soufre et de fer) à travers différentes réactions d'oxydoréduction qui peuvent conduire à la corrosion des tuyaux en métal à (phénomène de biocorrosion). Le biofilm fournit également un créneau idéal pour l'échange de matériel génétique par conjugaison, c'est à dire le transfert des plasmides d'une cellule à une autre, la raison de ce phénomène réside dans le fait que le biofilm permet un contact étroit entre les différentes cellules et, parce que de nombreux plasmides codant pour l'expression de la résistance aux agents antibactériens peut être expliquée comme le biofilm dans son ensemble est difficile à éradiquer si vous utilisez les traitements désinfectatifs normaux.Également se produire dans les phénomènes de biofilm de prédation et la compétition entre les différentes espèces de bactéries et d'algues (plus d'explications sur le remodelage continu de l'architecture du biofilm). De la même façon, cependant, se produisent également en association avec les phénomènes de pathogènes tels que les bactéries Legionella franchement pneumophyla, S. aureus, Listeria monocytogenes, Campylobacter spp, Salmonella spp, Vibrio cholerae et Helicobacter pylori. Bien que ces organismes peuvent vivre au sein du biofilm, cependant, ne montrent pas une bonne capacité de croissance et de reproduction en raison de la difficulté d'entrer en compétition avec d'autres espèces de bactéries ou d'algues.Le biofilm peut subir détachement et de libérer ensuite dans de l'eau de blocs d'agrégats cellulaires qui déterminent la détérioration de la qualité, malheureusement à l'heure actuelle il n'existe pas de données épidémiologiques permettant de relier l'apparition d'infections transmises par la consommation d'eau et la présence de biofilms dans les réseaux d'eau.

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