Paris 9eme - le bonbon 10/2010

édito“bon”jour

RÉGIE PUBLICITAIRE06 27 96 75 [email protected]

Fondateur

Directeur de la publication

Jacques de la [email protected]édactrice en chef

Émilie [email protected] de directionTina Hoyau

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Rédaction

Émilie Pruvost, Camille Clance, Amandine Cochin, Céline Lepan, Mathilde Vignal, Mathilde Marès, Adèle Brunel, Salomé BaloisSecrétaire de rédaction

Ivan Caullychurn

Photographes

Nora Aguerguan, Arnaud Chaillou, Amandine Cochin, Céline Lepan, Stéphane de Bourgies, Andrés Reynaga, Audrey WnentMaquette

Édouard MemponteIllustrateurs

Paulina Leonor, Guillaume PonsinRemerciements

Carrefour City

Chef de pubDavid Belloeil

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Le Bonbon

31 bis, rue Victor-Massé,75009 Paris.SIRET 510 580 301 00016ISSN : en coursDépôt légal : à parution

Les sens sont à la fête !

Ce Bonbon d’automne met l’eau à la bouche. Les papilles sont à la fête. Que ce soit avec la

semaine du goût ou les délicieuses préparations culinaires de la maison Pecq…

Le Bonbon n’oublie pas de combler les autres sens ! Grâce aux confidences du talentueux violoniste Laurent Korcia et celles de Karine Arabian qui maîtrise l’art de la matière.

Honneur aux femmes dans ce numéro, à l’art si sensuel d’Aima, aux voix féminines qu’apprécie tant Laurent Korcia, aux femmes designers dont les créations n’ont plus de secret pour Marion Vignal, alias miss design !

Carpe Diem est le credo du Bonbon qui vous propose d’embellir votre quotidien ! Une envie bubble-gum ? Direction le Paris Princesse dont les teintes acidulées vous feront voir la vie en rose. D’une escapade new-yorkaise ? Le Bonbon devance vos souhaits et vous confie une adresse insolite qui vous fera sentir comme dans la grande pomme si ce n’est que vous êtes à 5828 kilomètres !

Vous aussi souhaitez retrouver le goût de vos petites madeleines, réminiscences de l’enfance ? Une suggestion de lecture parfaite pour vous redonner goût à vos trajets dans le métro : La première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules, signé Philippe Delerm. Un gourmand exercice de style sur les petits plaisirs liés aux cinq sens. Épanchez sa soif, écosser les petits pois, se réveiller tôt le dimanche pour aller acheter des croissants chauds ! Futur lecteur, en lisant ces nouvelles sensuelles, surtout n’en oubliez pas vos arrêts de métro !

Cet automne, c’est décidé, place au(x) plaisir(s) !

Émilie Pruvost

octobre 2010 | 9— 3

EnseigneLe nom du commerçant

CoordonnéesAdresse et téléphone

DescriptionLe type de commerce

LES BonBonS moDE D’EmPLoICommEnT PRofITER DES Bonbons

DESCRIPTIf D’Un Bonbon

1 ChoISISSEz

Repérez les Bonbons pré-découpés au milieu du magazine.

2 DÉTAChEz

Détachez ces Bonbons qui vous feront bénéficier d’offres et d’avantages.

3 PRofITEz

Présentez vos Bonbons au moment de payer et vous bénéficierez immédiatement de l’avantage annoncé !

1001 listes

AvantageDéfinition du type d’offre

les Coulisses du MariageA la Maison des Polytechniciens 12 rue de Poitiers – Paris 7émeLe Jeudi 4 novembre 2010 - De 12h à 23hwww.lescoulissesdumariage.com

Votre entrée

à 10 € au lieu

de 15 € sur

présentation de

Ce bonbon

sommairemiam miam !

Page 6. maison Plecq

Page 34. sébastien KuPerfis

Page 10. laurent Korcia

Page 38. Karine arabian

Page 14. aima

Page 44. marion Vigna

Page 5. Le Bon TimingPage 6. Le Bon CommerçantPage 10. La Bonne ÉtoilePage 12. Les Bons PlansPage 14. Le Bon ArtPage 16. Le Bon en ArrièrePage 18. Le Bon Look

Page 21. Le Casse BonbonPage 22. Le Bon Moment Page 24. La Bombe Bonne Page 26. Le Bon Astro Page 28. Les Bons TuyauxPage 30. La Bonne ParisiennePage 33. Le Bon Jeu

Page 34. Le Bonne DamePage 36. Les Bons ShopsPage 38. Le Bon ArtisanPage 40. Les Bons P’tits DiablesPage 42. Les Bons SnapshotsPage 44. Le Conte est BonPage 46. Le Bon Agenda

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le Bon timing©

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concert

éVenement

théâtre

les Coulisses du MariageAutour d’un cocktail et d’une coupe de champagne, bénéficiez d’astuces et de conseils avec des ateliers inédits tout au long de la journée. Venez rencontrer une sélection de professionnels de mariage, les plus prestigieux, les incontournables, les insolites... qui vous aideront à composer un mariage à votre imageJeudi 4 novembre 2010 de 12h à 23h A la Maison des Polytechniciens12, rue de Poitiers – Paris 7e - www.lescoulissesdumariage.com

eddY MitCHell sa dernière séanceil l’a proclamé fin 2009, à l’émission : « Ma tournée en 2010 sera la dernière que j’effectuerai ». Avis donc aux nostalgiques de « La dernière séance » sur FR3, « Menthe à l’eau », « Sur la route de Memphis », « Rio grande »… Ne ratez pas Eddy Mitchell le 19 octobre à l’Olympia. Et vous pourrez dire à vos petits-enfants un jour, « Si, si ! J’y étais ! »Mardi 19 octobre L’Olympia – 28 boulevard des Capucines – Tél. : 08 92 68 33 62

prolongation des 39 MarCHes !Exploit scénique dans l’adaptation du chef d’œuvre du maître du suspense Alfred Hitchcock écrit en 1935. Le jeu des 4 comédiens sous la houlette de l’acteur Eric Metayer qui joue à lui seul 70 personnages est époustouflant. Trésors d’ingéniosité, pastiches de gros plans. Une pièce à découvrir pour une soirée que vous ne verrez pas défiler. du mardi au samedi à 21h matinée samedi à 15h30, Théâtre La Bruyère 5, rue La Bruyère – Tél. : 01 48 74 76 99

l’intégrale de labiCHe sourires, rires & fou-rires ! Labiche s’amusait de ses contemporains et les peignait dans leurs travers et surtout leur vérité. Place au rire avec des caricatures qui résonnent toujours. Depuis la fin juillet et ce jusqu’à fin mars prochain, pas moins de 400 comédiens de 40 compagnies théâtrales vont vous faire partager cette folie dans ce petit théâtre d’art et d’essai.Théâtre du Nord-Ouest - 13 rue du Fg-Montmartre Tél. : 01 47 70 32 75 www.theatredunordouest.com

theâtre

les éVénements à ne Pas manquer

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le Bon commerçanttexte Math i lde V ignal / Photo nora aguerguan

le nec plus ultra de la charcuterie

La Maison PLecqsaviez-vous que le meilleur jambon de Paris, fromage de tête, pâté de foie de porc et bou-din blanc résidaient au 18 de le rue cadet ?

Fondée en 1997 par Solange et Marcel Plecq, la maison est peu à peu devenue une institu-tion dans le quartier. Depuis 2008, le flambeau a été repris par leur neveu Pascal et sa femme Edith. Les nouveaux propriétaires n’ont qu’un seul souhait : être à la hauteur de l’excellence de leurs prédécesseurs, poursuivre la recherche du produit parfait.Estampillée « Maison de qua-lité » en 2009 par le club gas-tronomique Prosper Monta-gné, l’établissement maintient sa place au firmament.Avec une Oreille d’or, l’équi-valent du César en charcute-rie, pour son fromage de tête (2006), une médaille d’or pour son jambon de Paris (2009), Pascal Plecq n’a pas de soucis à se faire, il est clairement au top.Notre béarnais, à peine âgé de quarante ans, aime la compétition, se mettre en danger, ap-prendre toujours de nouvelles recettes, échanger de nouvelles techniques avec ses confrères, afin de ne pas s’endormir sur ses lauriers... Tel un grand sportif, il participe ainsi régulièrement à

des concours pour s’assurer qu’il est toujours le meilleur.De l’expérience et du courage, Pascal n’en manque pas. Voià bientôt trente ans qu’il œuvre avec passion dans cet art culinaire. Apprenti dès l’âge de quatorze ans dans la charcuterie de son oncle et de sa tante à Aubervilliers, cela fait des lustres qu’il a quitté son cher pays basque...Des origines qui ne s’oublient pas et que l’on retrouve dans quelques préparations. Dès qu’il le peut, il utilise le fameux piment d’Espelette qui le rappelle d’un seul coup son enfance.

Si Pascal orchestre chaque jour avec une grande maîtrise sa cuisine, sa femme Edith gère à merveille le commerce. La gentillesse, la politesse, la diplomatie, le sens du contact, l’amour des bonnes choses, elle s’y connaît. Aussi long-temps qu’elle s’en souvienne, elle a toujours été vendeuse

dans le domaine de la charcuterie-traiteur. C’est d’ailleurs à la Maison Plecq qu’elle est tombée amoureuse de Pascal... Une belle histoire qui les comble de bonheur.Chaleureuse et souriante, elle gère parfaitement son équipe. Chacun est heureux de travailler, le client le ressent et revient. Il ne suffit pas de vendre des bons produits, il faut aussi les vendre

“ chaque Jour, Pour notre grand Plaisir, la Maison se dé-carcasse Pour que nos PaPilles soient ravies. ”

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maison Plecq

avec le sourire, c’est primordial. Leur secret ? La passion de leur métier et une grande dose d’hu-manité.Chaque jour, pour notre grand plaisir la Maison se décarcasse pour que nos papilles soient ravies. Pascal a ses petites habitudes : le jeudi c’est le couscous, le vendredi c’est la paëlla ou la bran-dade de morue, selon son humeur.

Parmi les produits phares : le foie gras frais disponible toute l’année, le jambon à l’os, le fromage de tête, mais aussi les escargots de Bourgogne, les volailles... A midi, la maison propose des menus pour les bureaux, avec un plat du jour et des desserts, le tout fait maison. Vous avez un appétit d’ogre ? Pas de problème, vous pourrez emporter de délicieuses cailles aux raisins, un magret de canard au poivre vert, un gigot en croûte ou encore un cochon de lait sur-prise... Vous serez à coup sûr rassasiés.

Avis aux amateurs, du 5 au 17 octobre prochain, la maison fête la Choucroute, un grand mo-ment à ne pas manquer !

les bonnes adressesrestaurant carte Blanche (cuisine traditionnelle de qualité et bon marché) 6, rue Lamartinecadet service (quincaillerie où on de trouve vraiment de tout) 11 rue Cadet

maison Pecq 18, rue cadetTél. : 01 48 24 65 95

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la Bonne étoiletexte eM i l i e PruVost / Photo andres reynaga

les enregistrements de ce brillant violoniste reçoivent les plus prestigieuses récom-penses : choc du Monde de la Musique, diapason d’or… ouvert sur d’autres re-gistres que le classique, il témoigne de goûts plus qu’éclectiques. dans son dernier al-bum, cinéma*, ainsi rend-il hommage à 100 ans de musiques de films. rencontre avec un inconditionnel du 9ème, artiste d’excep-tion, aux multiples facettes dont la musique est le terrain de jeu. invitation à un parcours ludique sur toile de fonds sonore musicale.

aBécédaire «korciaque»Artistique & artisanal« La dimension artisanale de l’interprétation est trop souvent oubliée dans ce qu’elle implique de rigueur et de précision ». CinéphileL’artiste avoue une passion pour le 7ème art et les films qui traitent de l’identité. « C’est l’art qui se rapproche le plus de la musique par le questionnement et non l’affirmation d’une vérité ». Parmi ses films fétiches : L’argent de poche de Truffaut, Profession reporter d’Anto-nioni et les films de Bertrand Blier en particulier.EnfanceUne des composantes du fonds sonore de son enfance était la musique traditionnelle séfarade jouée par son grand-père qui habitait rue Pé-trelle. Ce dernier accompagnait la chanteuse

Reinette l’Oranaise dans les cafés. Adolescent, ses « joueurs de foot », étaient Jascha Heifetz, « le plus grand violoniste de tous les temps » et Serge Gainsbourg qu’il admire encore.FantasmeIl l’avoue volontiers. Chanter. Pour cet ami fidèle d’Arthur H et Jean-Louis Aubert, ce qu’il aime dans le métier de chanteur, c’est « la communica-tion émouvante avec le public », « le pouvoir des chansons de rassembler les gens ».PaganiniA 18 ans, il remporte le concours Paganini qui lui permet de jouer sur le Guarnerius de Paganini, gardé comme une relique au Musée de Gênes. Ce fut une intense émotion pour le jeune homme.StradivariusLaurent Korcia joue actuellement sur le Zahn,

Stradivarius de 1719 qui lui est prêté par le groupe LVMH -Louis Vuitton-Moët-Hennessy.TransmissionMichelle Auclair, professeur au Conservatoire de Paris lui a

donné les clés « pour accéder au rêve ». « Il y a beaucoup de clés et de portes à ouvrir, il faut que quelqu’un les transmette ». Voix/eSa première émotion enfant fut auditive : le son du violon, dans lequel il trouva sa voix/e dans les deux sens du terme, « l’expression personnelle et l’identité sonore ». Le musicien aime aussi les voix féminines qui racontent des émotions avec

“ Je n’aiMe Pas la déMonstra-tion, cela Me gêne ”

Musiques au cœur

LaurentKorcia

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leurs imperfections. Pour n’en citer que quelques-unes : Billie Holliday, Amy Winehouse, Teresa Bergansa, Ileana Cotrubas...

curiosités caractéristiquesVos compositeurs fétiches ?Bartók, Brahms, BeethovenSi vous étiez une musique ?Le concerto à la mémoire d’un ange d’Alban Berg pour la profondeur et l’intensitéDernier fou-rire ?Avec ma fille. On adore jouer à « On invente des chansons » et « on se note ».Dernière émotion ?Un reportage récent sur Arte, « Musiques mon amour ». 3 musiciens qui se mettaient à nu avec sincérité sans démonstration aucune.

Ce que vous avez réussi de mieux ?Ma fille.Le talent que vous aimeriez avoir ?Petit, j’aimais « Le passe muraille » de Marcel Aymé. Mais plus encore que la transparence, ce serait « Tirer plus vite que son ombre ». Ce qui se rapproche à mes yeux de la musique car la flui-dité est telle qu’on est en avance sur son temps.

bonnes adressesMusée de la vie romantique

*son dernier album « cinéma » paru chez EMI célèbre les cent ans de la musique de films à travers de remarquables ar-rangements de partitions inoubliables de Vivaldi et Gershwin à Schifrin et Morricone.

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les Bons planson a testé Pour Vous

Arnaud ressemble à son salon. sobre, de bon goût, élégant, un soupçon ambitieux, chaleureux et accueillant. un petit refuge

zen pour la parisienne en mal de bien-être et de mains attentionnées.

« C’est ce que j’aime dans ce métier : j’ai beau travailler 80 heures par semaine, quand je vois une femme sortir de mon salon, rayonnante, belle, je ne regrette pas une seconde tous les sacrifices que cela engendre ». Car en plus d’être un éternel passionné, monsieur Arnaud est un outrageux travailleur. Après avoir ouvert un pre-mier salon rue Jean-Baptiste Pigalle et devant le suc-cès rencontré, il se lance dans une seconde aventure et lance son espace rue de Caumartin. « J’ai eu un vrai coup de cœur pour le 9ème arrondissement, pour ce Pigalle qui monte, qui se bobotise tout en restant sim-plissime. Il n’y a rien de stratégique dans le choix de mon emplacement : j’adore tout simplement la clientèle, les commerçants qui m’entourent… »

Mais mesdemoiselles, parlons soin, puisque c’est fi-nalement là l’essence du sujet. Arnaud propose dans ses salons une marque italienne qui nous change des

blockbusters de supermarché, ainsi que des innova-tions certifiées tendance. On vous rabat les oreilles avec le fameux lissage brésilien qui fait des cheveux de publicité à nos stars de r’n’b ? C’est sans aucun doute à L’Etage que vous trouverez le meilleur. « Les clientes sont friandes de découvertes, de nouveauté. C’est l’avantage de ce quartier en mouvement : rien n’est clos ! »

Si Arnaud savait à peine envoyer un mail à la naissance de son entreprise, il met aujourd’hui toute son énergie dans le bonheur de ses clientes « J’ai toujours voulu faire ce métier, je n’ai jamais douté, j’y ai mis toute mon âme. Et puis, avec cette fonction de chef d’entreprise, j’apprends tous les jours ! Mais l’essentiel reste d’être disponible pour mes clientes. Quand je m’éloigne trop longtemps de mon travail de coiffeur, j’ai l’impression de vendre mon âme au diable ! »

a l’etage By arnaud34 rue Jean-Baptiste Pigalle Tél. : 01.48.74.23.23

a l’etage by arnaud Monsieur, coiffez s’il vous plait par Camille Clance

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les bons Plans

June pour son mois de naissance, Jim pour le rayon homme qui a laissé place à un uni-vers exclusivement féminin. a en croire le

nom qui nous évoque instantanément le célèbre film, il y a de l’inspiration vintage dans l’air!!! Zoom sur une boutique de quartier qui se veut une bou-tique à bons plans.

Quand vous entrez dans la boutique June et Jim, vous êtes tout de suite enveloppés par l’odeur d’encens et la douceur de la musique rétro. Le ton est donné, pas de stress, prenez le temps de découvrir un univers en perpétuel renouvellement.Mais parlons à présent des trésors que l’on trouve dans cette boutique. Des créateurs à leurs débuts pour cer-tains exclusifs. Comme ces trois créateurs de maroqui-nerie australiens. L’un brode ses cuirs, l’autre les rend ultra-doux, le troisième utilise la peau d’anguille pour en faire des accessoires au toucher irrésistible, valeur sûre recommandée par June et Jim!Coté prêt à porter, une sélection dont les seuls critères sont la qualité, les coupes parfaites et le bon rapport qualité/prix. Des créateurs comme S’nob ont la part belle, Full Circle, Ambali, les Racines du ciel...Pas de sélection basée sur les tendance des maga-

zines, ici tout est fait pour le bonheur des clientes car comme le dit Claire: « je ne suis pas une commerçante, je suis là pour soutenir les créateurs». Et pas question pour elle de faire de la vente forcée « un conseil utile est un conseil honnête. » Coté accessoires, vous en au-rez pour vos cadeaux!!! Des bijoux en cuir signés By Boé ou Sev Sevad, des bijoux vintage, des foulards en soie étoilée, des ceintures...! Et que dire de la sélection chaussures de deux créatrices danoises Lise Lindvig et Lola Ramona inspiration 50’s, qui nous donne un air de Dita Von Teese. Il y a bien sûr une sélection de sacs en cuir à prix très doux puisque les prix ne dépassent pas les 175 euros pour un sac en cuir de Julie Meuriss ou de de C.OUI. Comme le souligne la charmante pro-priétaire « Une sélection coup de coeur pour toutes les envies ». Des pépites à découvrir de la tête aux pieds et du sol au plafond pour une boutique qui se veut sans frontières ! Une surprise vous attend au cœur du magazine : sur présentation du bonbon et pour 45 € d’achats, Claire vous offre une peau d’anguille!

June et Jim69, rue de Rochechouart Tél. : 01 40 23 08 05 – 11H/15H00 -16H/20H junetjim.canalblog.com

June et Jim Une boutique hétéroclite dans l’âme par Karla Salomon

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le Bon arttexte eM i l i e PruVost / Photo aiMa

une âMe voyageusesensualité, émotion, sensibilité... tels sont les fils conducteurs du travail artistique d’aima tout en courbes et en douceur. elevée dans un univers d’hommes, ses frères, aima a trouvé en ses ressources créatives, une manière d’af-firmer sa féminité. enfant, la jeune femme se démarquait déjà par son tempérament d’ar-tiste. en plus de dessiner, elle se déguisait plus qu’elle ne s’habillait. 20 ans plus tard, c’est salopette de travail, coupe à la garçonne, et sourire aux lèvres qu’elle me reçoit dans son atelier du 9e pour me parler de son approche et de son métier qui nourrit sa vie d’artiste et de femme affirmée.

A près des années d’études à Olivier de Serres, spécialisation

sculpture et matériaux de syn-thèse, Aima devient le modèle et la muse de l’artiste Gérard Valetier de 2003 à 2007. 2007 marquera pour elle un envol au sens propre et figuré. L’émancipation tout d’abord en volant de ses propres ailes après de riches années d’apprentissage. Puis l’envol pour New-York, ville dont la jeune artiste est tombée amoureuse. Un « souffle d’air » dans sa vie. Plus un appel d’air, devrait-on dire car la jeune femme y retourne régulièrement pour exposer. La vie d’Aima est marquée depuis par les voyages. Son actualité récente est riche d’es-

capades court, moyen et long courriers : à l’Unesco à Paris cet été, à Shanghai, à la Bien-nale d’art contemporain de New-York… New-York est devenue sa seconde maison dont elle aime le dynamisme et l’ébullition artistique. Comment se voit-elle dans 10 ans ? Pouvoir partager sa vie entre Paris et Big Apple.

Aima puise son inspiration dans les rencontres, l’émotion. Elle se dit très influencée par la re-ligion catholique et l’analyse des symboles. En témoigne son imaginaire, ses œuvres inti-tulées tour à tour, « La vierge aux rochers », « l’ange »… La sensualité des courbes des corps

mis à nu et le mouvement sont les leitmotifs de ses sculptures, peintures et photographies. Ses photographies témoignent d’une influence orientaliste tels les autoportraits « icône

russe » ou « le chat noir ». Dans cette série, l’artiste se met en scène et par un habile flouté, un subtil jeu d’ombres et de lumières, recrée le réel avec des ornementations dont elle arbore ses portraits photographiques. Ils paraissent incrustés d’or et de lumière. L’œuvre entière d’Aima établit des passerelles entre les cultures et les siècles : une ode à la féminité à l’échelle du temps et de l’espace.

On souhaite bon vent à cette voyageuse pleine de talent.

AIMA

“ aiMa Puise son insPiration dans les rencontres, l’éMotion.”

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son liVre du momentUne biographie de Francis bacon en anglais « Francis Bacon : Anatomy of an enigma « de Michael Peppiatt

une exPosition 2010 qui l’a marquée«Isadora Duncan, une sculpture vivante au musée Bourdelle»

ses adressesLe Paprika 28, avenue TrudaineLa rue du MartyrsLe marché boulevard de Clichy où faire des af-faires à la dernière heure d’étalagewww.aima.com

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Bon en arriÈre

Chronique d’une révolution par l’humour

texte Math i lde MarÈs / Visuel hara-Ki r i .

a l’occasion du cinquantième anniversaire de sa parution, le « pire » du journal hara–kiri est réédité. a la lecture de ses dessins qui durant 25 ans passèrent l’actualité au vitriole, nous ne pouvons nous empêcher de nous reposer cette question brûlante : a-t-on le droit de rire de tout ?

C’est l’histoire d’un journal « bête méchant » né de l’imagination de deux drôles de gars, Bernier est maçon, Cavanna, ex-plâtrier ; ensemble ils rêvent de changer la société, sa morale surtout. Parce qu’ils n’aiment pas les partis, ils décident de faire la révolution loin des marxistes et des trotskistes au 4 de la rue Choron. C’est ainsi dans le 9ème arrondissement qu’ils fondent un nouveau journal. Leur but : renverser la pruderie hypocrite des milieux biens pensant et opérer une révo-lution des mœurs par l’humour.Le journal ? Le pire que l’on puisse imaginer. Journal exclusivement dédié au dessin, c’est à coup d’hara-kiri que les Topor, Reiser, Wolinski, Cabu « s’ouvrent le ventre et emmerdent le monde ». Rien n’est assez cruel, vulgaire, grossier, alors ils osent. La France est-elle touchée par la crise ? Ils proposent de mélanger le ramassage scolaire avec celui des ordures. Un jour, c’est un crs qui embrasse un étudiant, un autre jour, c’est de Gaulle qui meurt, le journal titre « Bal tragique à Colombey : 1 mort ».

Cette fois, c’en est trop. Le ministère fulmine et les menace du poing.

Alors le 16 Novembre 1970, la censure tombe. Le journal est interdit de vente aux mineurs et d’affichage. Ce n’est pas la première fois que le journal subit les affres de la censure, il a l’habitude. Aux coups dessins ont répondu pendant 25 ans les coups de censure. A qui donner raison ? Les dessins sont jugés « sadiques

et pornographiques », et alors , si c’est pour rire ? Mais là est justement la

question. Ces dessinateurs ont-ils le droit de rire de tout ?

Et le lecteur dans tout ça ? Il a regardé pendant 25 ans la

presse et les ministres jouer au yoyo avec les normes sociales, se disputant à qui

mieux-mieux le droit de nous dire ce que nous devons faire.

Maintenant, avec humour et tran-quillement installé dans son canapé,

il relit ce feuilleton en rêvant à une société où la censure pourchasserait la

licence en la montrant du doigt. Il sait que c’est quand le couperet tombe qu’une société mise à mal peut s’interroger encore une fois sur la légitimité de ses normes.

« hara-kiri » Le pire, de François Cavanna, Jackie Berroyer, Jean-Marie Gourio, Georges Wolinski. Hoëbeke, sortie le 9 octobre

18 — 9

tous les vendredisau Bus Palladium

Pour être sur la liste (entrée gratuite et prioritaire)≥ Envoyez un mail à : [email protected], rue Fontaine 75009 Paris / M° Pigalle

Party

le Bon look Éléonore & FlorianPhoto aMeli e Chassary ameliechassary.com / style anthony le e Watson

Flor ianattaché de Presse musique

Veste et chemise Paul smithBermuda gant

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ÉlÉonoreeditrice du magazine i hearthttp://iheart-magazine.tumblr.com

Robe Paul smith Ceinture cyrillusBracelet arthus Bertrand

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le casse BonBon

avec un peu de recul et quelques centaines d’eu-ros gracieusement légués à la fourrière, on se dit que cette place sur le passage piéton, on s’en serait bien passée… récit d’une vdM (heureuse-ment pas quotidienne).

Il y a des jours avec et il y a des jours sans… A priori, ce matin avait bien commencé, jusqu’à ce que je sorte de chez moi et que je tombe nez à nez avec

ma voiture dans les airs, agrippée par un camion de la fourrière. Je souffle un coup, prends mon élan et me lance corps (presque…) et âme sur l’agent au commande de la ma-chine infernale. « Allez m’sieur l’agent, je ne dépassais que de cinq malheureux centi-mètre sur le passage piéton et cela faisait plus d’une de-mi-heure que je tournais dans le quartier… ». Même avec mon plus beau sourire, il me regarde à peine et continue sa tâche… hyper ingrate ! Car oui, ce métier est un sacré métier d’ingrats il faut bien le souligner. C’est d’ailleurs comme cela que je le remercie en retournant chez moi chercher quelques tickets de métros. Vexée, agacée et extrêmement énervée.Bref, je fonce pour ne pas louper mon premier rdv de la journée. Calée dans la ligne 13 (oh mon dieu…) j’en profite pour faire quelques recherches sur le net et je

me rends compte avoir lâchée des insultes immondes sur le conducteur n’y est pour rien. Les fourbes ! En fait, rien ne sert de vouloir négocier avec qui que ce soit, l’agent qui constate l’infraction et qui ordonne la mise à la fourrière n’est jamais sur place.Moi qui prône la justesse et la droiture… je me sens un peu mal.Bref, quand même, j’appelle le 0 891 01 22 22 (0,25 € la minute les salops) pour m’entendre dire que

les simples frais d’enlèvements s’élèvent à 126 € + l’amende et les frais de garde

à la fourrière de 10 € par jours. C’est génial, je pars demain en

vacances. J’appelle mon pote le plus cool (j’en profite pour lui faire un petit coucou), lui donne procuration pour qu’il aille chercher « mon tout, ma vie ». Il accepte, je suis sauvée. Et parce que je suis extrême-

ment généreuse, je vous fais profiter de mes trouvailles. Primo,

si vous persistez dans votre opposi-tion et si elle n’est pas justifiée, vous ris-

quez une amende supplémentaire, pour refus d’obtempérer. Deuxio, n’oubliez pas votre carte grise et votre pièce d’identité avant d’aller la chercher (sait-on jamais), Tercio, sachez que vous avez entre 10 et 45 jours pour aller récupérer votre véhicule, à partir du jour de la notification, sinon il sera vendu par le service des Domaines ou détruit. Bienvenue dans ma vie.

InfractIon de quoI ?

texte Faustin e Franço is / Photo Marion gu iChard

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la Bonne recetterecette Cather in e Kluger / Photo oli V i er Malingue

RIS DE VEAU DU LIMOUSIN POELE, BARIGOULE D’ARTICHAUD POIVRADE ET GIROLLESingrédients

Une belle pomme de ris de veauFarine, sel, poivre 5 baiesArtichaut poivradeGirollesCrème fraîchePersil platOignons, carottes, échalotesVin blanc, cognac, porto blancCitron, VinaigreFond de veau brun ou blanc

Préparation 20 minutes

Blanchir le ris de veau : porter à ébullition le ris dans une marmite d’eau salée et légèrement vinaigrée. Une fois sorti et refroidi, le ris doit s’éplucher facilement. Réserver au frais.Éplucher les artichauts en ôtant les premières feuilles, gratter le pied et faire cuire dans une casserole d’eau, ajouter une poignée de gros sel et un jus de citron et porter à ébullition. (C’est cuit lorsque le pied se laisse transpercer par une pointe de couteau). Lavez les girolles sous un filet d’eau et les sécher ra-pidement. Dans une poêle bien chaude, les raidir avec un peu de beurre ou d’huile d’olive. Assaisonner à la fin.

Pour la sauce Réduire les échalotes, les oignons et les carottes fi-nement coupées avec un verre de vin blanc, 1/2 de cognac et ½ de porto blanc. Poivrez. Mouiller au fond de veau brun ou blanc pour lier et laisser réduire. Rajouter une cuillère de crème fraîche et laisser réduire jusqu’à la consistance d’une sauce.

Pour

1Personnes

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octobre 2010 | — 25

L’été agonisait doucement, comme en soins palliatifs. un geste un peu trop brusque, une petite gelée du matin et il partirait à jamais.

davns la rue, chacun semblait le savoir et parais-sait prudent, ne sachant comment accueillir la ré-volution annoncée.

On voyait encore quelques jambes nues, des sandales et d’insolents bronzages. Moi je savais que c’était foutu. Ils pouvaient espérer un été indien, soleil rasant et soirs dorés comme dans les chansons, en réalité c’était cuit et c’était pas plus mal. L’été, à Paris, c’est toujours une imposture. Cette ville prend des langueurs faciles qui ne lui ressemblent pas. Elle tente de faire oublier son classicisme de pierre et son austérité bourgeoise. Mais n’est pas méridionale qui veut.L’Autre le savait bien, d’ailleurs. C’est pour ça qu’Elle avait depuis longtemps remisé débardeurs et robes transparentes. Elle semblait résignée, je La soupçonnais impatiente.Je L’observais matin, hésitante devant Ses tenues, voyant Ses jambes encore bronzées mais sachant les nuits déjà fraîches. Alors Elle optait pour la

neutralité, un jean et un pull sur Sa peau, ce qui était très parisien. Cette ville n’est pas faite pour les excès ; ses femmes non plus, je crois. Ce matin-là j’étais sorti sans y penser, comme la veille et comme l’avant-veille, comme tous les jours d’avant. Dans

la rue, il faisait peut-être un peu plus vif, un peu plus sec mais rien de

bien méchant. Et pourtant tout avait changé. Ce matin-là, j’en

ai d’abord vu une, qui m’a parue bizarre -la première fait toujours cet effet. Puis ce fut une seconde, avec des

talons hauts. Une troisième, bientôt, puis quatre, puis dix,

puis cent. Ça y était ! En une nuit, les femmes avaient retrouvé leurs

collants ; leurs jambes redevenues noires reprenaient l’insolente autorité

qui fait les Parisiennes. Alors je courus La retrouver et Elle m’accueillit dans l’automne. Elle souriait légèrement, sûre d’Elle et sûre de moi. L’hiver annonçait mille manières de se réchauffer ensemble et d’attendre le jour où le printemps, de nouveau, révélerait Sa peau fragile. Ce matin-là, nous avons beaucoup plaint les pays imbéciles où toujours il fait chaud, où les femmes n’ont jamais les jambes gainées de noir. [email protected]

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octobre 2010 | — 25

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bélier du 22 mars / 21 avril

Enfin un nouvel horizon de joies et de satisfactions ce mois ci. Nouveaux contrats où enfin la vous au-rez la reconnaissance que vous attendez tant ! Res-tez quand même discret, vous voir faire des bonds dans les couloirs surprendrait votre entourage. Pour les célibataires la flamme de la passion pourrait chauffer votre chandelle, restaurants discothèque ou théâtre c’est le temps des sorties.

taureau 22 avril / 22 mai

NON vous ne risquerez pas de froisser vos amis en disant votre opinion. Trop de silence tue la communication et même si cela changera le regard de votre univers professionnel il est temps de dire ce que vous pensez. Votre milieu familial ou amical vous soutiendra dans vos décisions Lâchez vous mais restez zen .Un courrier tant attendu arrive enfin ; remboursement ou autre il vous donnera le sourire.

géMeauX 22 mai / 22 juin

Les responsabilités vous pèsent ce mois ci ; vous êtes toujours à contre courant .Votre envi partir en vacance !!!! N’en revenez vous pas ? Des déci-sions importantes vont devoir être prises et vous ne pourrez pas faire machine arrière. Et si vous rencontrez une love stories elle vous mènera à un engagement rapide. En bref ce mois d’octobre vous obligera à changer vos habitudes.

CanCer 23 juin / 21 juillet

Une nouvelle période de remises en question se présente à vous .Déménagement, changement de travail ou de relation amoureuses .Vous savez ce que vous ne voulez plus mais pas encore ce que vous voulez ! Une belle opportunité mi-octobre va changer la donne soyez attentifs aux signes. Et la cerise sur le gâteau vous aurez une chance au jeu .A vous de choisir lequel ; laissez agir votre intuition.

lion 24 juillet / 23 août

Que ce mois est difficile pour vous amis lion vous qui êtes si décidés habituellement vous êtes dans le doute. Vous aimeriez vous laisser balancer sous les cocotiers mais hélas ceci n’est qu’un rêve. C’est maintenant que les astres sont avec vous alors agissez et projetez vous dans de grandes actions qui construiront votre avenir. Rendez vous, discus-sions, signatures préparez vous à sortir votre stylos. Des documents administratifs sont restés en attente .Oups dépêchez vous pour les finaliser. Vierge 24 août / 23 sept.

Vous avez enfin la réponse à des doutes qui vous inquiétaient ; des vérités longtemps cachées. Tout cela ne vous empêchera pas de vous réaliser sur le plan professionnel ; on compte sur vous et l’on a raison. Précis et visionnaire vous gérerez une situa-tion de crise avec brio. Ce ne sera pas le cas dans votre vie privée ou votre côté directif et parfois injuste pourrais vous valoir une révolution familial.

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26 —

le bon astro

balanCe 24 sept. / 23 oct.

Les portes du ciel sont ouvertes pour vous céliba-taires : cupidon pourrait venir vous transpercer de sa flèche et bien sûr vous en serez tout bouleversé. Ah passion quand tu me tiens ! La tête à l’envers ce qui n’est pas courant chez vous, vous fera remettre à demain vos obligations professionnelles. Quand aux autres pour une fois votre balance restera dans le placard .Vive l’impulsivité.

sCorpion 24 oct. / 22 nov.

Bon ! Il est temps pour vous de vous poser et de faire le point. Décisions, chalenge, procès, régulari-sions administratives.Vous n’aurez pas le temps de vous reposer. Mais ne vous inquiétez pas vous aller être chanceux. Une proposition ou une association pourrait vous permettre d’influer sur le cours de l’avenir, réfléchissez y avec calme et sagesse. Une personne chère à votre cœur fera un retour inat-tendu dans votre vie ; voilà de quoi vous donner le sourire !

sagittaire 23 nov. / 22 déc. Nul n’est prophète en son pays, vous n’arriverez pas à vous faire entendre dans votre famille ou dans votre couple mais vous êtes résistant et vous convaincrez votre entourage de la perspicacité de vos choix. Vous avez plein d’atouts dans votre sac et même des caches pour trouver des fonds afin de faire des cadeaux à ceux que vous aimez. Ce mois-ci vous serez un père Noël en avance. Ne m’oubliez pas !

CapriCorne 23 déc. / 20 jan.

Un événement inattendu changera votre pro-gramme : déplacement demande en mariage ou mutation ; en bref un nouvel horizon pour ce mois d’octobre. Votre mental est au beau fixe et vous êtes en pleine forme et vous avez même envie de changer votre décoration. Pour les célibataires une rencontre du passé refera surface et vous serez tenté de remettre le couvert. Alors à table !

Verseau 21 jan. / 19 février

Un ami vous demandera de l’aide dans un projet, l’idée vous plait alors pourquoi ne pas faire parti du voyage. Il est peut être temps de demander une augmentation les réponses vous étonneront. Comme un oiseau vous aurez envi de suivre le vent, couvrez vous et ne prenez pas froid car ce mois vous serez très actif. La cloche a sonné pour la rentrée vous avez tout organisé sauf pour cer-tains retards (administratifs ou bancaire) qui vous arrangeront.

poisson 20 fév. / 21 mars

Ca chauffe dans votre couple : je veux, je ne veux pas. Laissez passer la crise cela ira mieux en fin de mois. Du coup vous vous défoulez au travail et vous êtes très performant, tout le monde est content. Une signature de contrat vous donnera du fil à retordre et deviendra votre priorité. Quand aux célibataires de nouvelles rencontres prenez votre temps puisque vous aurez en plus le choix. Diners et soirées sympathiques en perspective.

octobre 2010 | — 27

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octobre 2010 | — 29

la Bonne parisiennetexte sandra serPero / illustrations Paulina leonor

1-RELAXA-TION IMME-DIATEAvec « ithalasso », une appli gratuite à télécharger sur votre iphone. Sur fond de vagues, de musique, de couleurs, au bureau, en voiture, dans le métro ou dans son bain, on savoure une paren-thèse sous le signe des bienfaits marins. « iThalasso », sur l’App Store.

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Donne le départ

Organisa-tion interna-tionale

Exerça une action en justice

Attire les bouchons

Temps généré au travail

Père de la Pyramide du Louvre

De l’Est ou du Nord à Paris

Place de Montmartre (du -)

L’âne en raffole

Prénom féminin phonétique

Anne, Catherine...

Rendu célèbre par Charles Trenet

Vieux sages

Tourne en chansons

Groupe de maisons

Composé chimique

Se prend ou se donne

Entendu à Ro-land-Garros

Propre aux piscines

Elan tout retourné

La capitale en est pourvue

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Couples

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une cuisine Bio qui a du goût !

suPernature

les recettes les plus simples sont souvent les meilleures, le restaurant supernature l’a com-pris. avec aux commandes séverine Mourey et olivier Métayer, un talentueux chef de 26 ans, cet établissement niché au 12 de la rue de tré-vise, a tout d’un grand.

Super nature ? Les tables et les chaises en bois donnent le ton. Cantine bio ? Oui, mais pas n’im-porte laquelle. Quand la jeune femme de 37 ans a ouvert son restaurant en 2006, elle avait une idée bien précise en tête : nous régaler avec de bons produits frais, bio le plus possible.

Son pari est réussi, on n’a qu’une envie : y re-venir. Déguster à nouveau un bar parfaitement cuit, accompagné de savoureux pois croquants, ou goûter les mets phare de la maison : un dé-licieux carott cake, ou le fameux cheesburger aux jeunes pousses. Tous les poissons ou sa-lades sont assaisonnées avec l’huile d’olive bio

de Quinta, produite par Michel Rumize, un régal...

Grâce au chef Olivier Métayer, chaque jour offre de nouvelles réjouissances. Tous les matins ce cuisinier créatif et exigeant repart à zéro, ima-ginant de nouvelles recettes. Aux aurores, il contacte ses fournisseurs et compose tel un musicien. Ses gammes il les a apprises auprès des plus grands : Gérard Vié, Alain Ducasse et Joël Robuchon.

Comme le jeune homme est plutôt généreux, il projette de nous livrer tous ses secrets dans un livre.... nos papilles sont déjà en émoi ! En atten-dant vous pouvez consulter ses recettes sur le site du Campanier, son excellent fournisseur de légumes bios.

http://super-nature.frwww.lecampanier.com

octobre 2010 | 9— 33

le Bon écolotexte Math i lde V ignal / Visuel suPernature

le Bon Hommetexte Math i lde V ignal / Photo g i lles JaCob

sébastien kuperfis est à l’image de sa so-ciété, il a de la classe, du charme et du ca-ractère. a l’âge de 29 ans, il est à la tête de Junot investissements, une entreprise fa-miliale en plein essor qu’il dirige avec toute l’énergie de sa jeunesse.

Chez les Kuperfis, la passion pour les beaux appartements est dans les gènes. Tout commença lorsque le grand père

de Sébastien, l’inventeur des fameux « dos-siers suspendus », acquit de l’immobilier sur la Butte Montmartre et dans le sud de la France. Entrepreneur, il installa un petit bureau de marchand de biens dans l’ancienne avenue Ju-not, qui devint peu à peu le fief familial.

Au début des années 1990, Martine, la mère de Sébas-tien, décide de reprendre le flambeau de son père. Femme d’affaires venue de l’industrie, elle crée Junot In-vestissements (situé au 27, avenue Junot), pro-longeant ainsi le lien qui unit sa famille à cette avenue mythique du 18e arrondissement. Pen-dant une quinzaine d’années, la jeune femme, guidée par la passion des biens beaux et rares, travaille d’arrache pied à assoir la réputation Junot.

En 2006, Sébastien, son fils unique, la rejoint dans cette belle aventure. Diplômé d’une maî-trise de finance et d’un DESS en droit immobi-lier à Dauphine, complété par une expérience en immobilier d’entreprise, Sébastien Kuperfis donne un nouvel élan à la société.

Peu de temps après son arrivée, le jeune direc-teur ouvre un nouveau site, basé 19, rue Lepic, non loin de son berceau d’origine. Suivront une agence dans le 17e, puis celle du 62, rue des Martyrs dans le 9e. Sébastien n’entend pas s’arrêter là. Il souhaite intégrer de nouvelles agences indépendantes, estimant que leur prolifération nuit parfois au marché de l’im-

mobilier. Mieux vaut peu d’agences mais de qualité, avec des gens formés, ex-périmentés, une éthique irréprochable et des moyens importants pour promou-voir les biens.

En effet, Pour Sébastien Ku-perfis, le métier d’agent immobilier n’a de sens que s’il est exercé avec une parfaite éthique. Il ne s’agit pas de faire des « coups », de vendre pour vendre. Il s’agit de rendre un service et de satisfaire ses clients, c’est une question de res-pect pure et simple. Acheter un bien, c’est un acte fondamental dans une vie. L’engagement

SébaStienKuperfiSle gentleMan de l’iMMobilier

“ cheZ les kuPerfis, la Passion Pour les Beaux aPParteMents est dans les gènes.”

34 — 9

n’est pas seulement financier, il est personnel, total. Sébastien Kuperfis en a conscience et c’est pour cela qu’il place les valeurs humaines au dessus de tout.

Vendre un bien, c’est accompagner des per-sonnes dans des moments phares de leur existence. Pour identifier clairement ce que souhaite un client, il faut bien sûr l’écouter mais savoir déceler ses désirs cachés, inavoués. Psychologue, le bon agent immobilier doit lire entre les lignes, proposer des biens qui à pre-

mière vue n’auraient pas plus à la personne, mais qui au final la ravissent. Vous avez deviné, la maison Kuperfis est la BONNE adresse pour ceux et celles en quête du bien immobilier rêvé.

ses bonnes adresseshotaru (excellent restaurant japonais)18, rue Rodierlibrairie l’atelier (une très belles sélection de romans et de beaux livres) : 59, rue des Martyrs, place Lino Ventura, devant l’agence Junot

octobre 2010 | 9— 35

les Bons sHopsles nouVelles boutiques du quartier

paris prinCess CAFé BAR MON INSTANT BUBBLE-GUM

effet bonne humeur garanti, probablement grâce à l’enchevêtrement de bibelots, pou-pées Barbies, fleurs en plastique, couronnes de fées et autres délires couleur bonbon.« Le nom de l’espace, c’est une private joke avec mon associé. Mais le côté girly a déchaîné la créa-tivité de nos amis : dès qu’ils partent quelque part, ils nous ramènent un truc rose ! Finalement, on a pas franchement décidé de l’aspect kitsch de la déco : il s’est complètement imposé à nous »Il y a 3 ans que ce petit temple de la joie de vivre existe, cohabitant intimement avec l’Hô-tel Amour, mastodonte de la branchitude pari-sienne. Le joli café rose s’est rapidement intégré à la vie de quartier « Ici, on garde les enfants, les clés, les vélos… Nos voisins sont nos clients, nos clients sont nos voisins. On vit Pigalle comme un village ! ». Un peu en retrait de la vagabonde rue des Martyrs, le Paris Princess se laisse désirer. On y arrive par hasard, ébloui par le colorama barbe à papa, comme on y vient par habitude, sur les coups de 18h, pour se détendre en gri-gnotant un club-sandwich. « Il est courant que les gens viennent fêter un anniversaire, un pot de départ, la fin d’une journée de travail. On ne privatise pas l’espace, tout le monde est le bien-venu, et nous, on adore ca, le monde… »Texte par Camille Clance et photo par Arnaud Chaillou

24, rue de navarin – Tél. 01.48.74.42.18

CoMMe à new-YorkDANS LE 9E

de retour de new-York où on les trouve à tous les coins de rue, vous en rêviez. et bien c’est fait, vœu exaucé ! ils débarquent à Pa-ris. il est désormais possible de déguster un vrai hotdog à Paris, notre capitale se trans-formant en big apple d’un jour!Préparés dans des kiosques ambulants en res-pectant la tradition américaine, vous pouvez dé-guster les Manhattan’s Hot Dogs sur le pouce entre deux rendez-vous, pendant une virée shop-ping avec votre moitié ou entre copines. Comme les New-Yorkais. Et seulement pour 2€50! Le secret de ces petits pains délicieux dont vous n’en ferez qu’une bouchée : le moelleux du pain brioché, les relish, petits cornichons américains légèrement sucrés, le tout assaisonné de ket-chup. Fermez les yeux, dégustez, pour un peu, vous allez entendre les klaxons des taxis new-yorkais. Vous y êtes si ce n’est que vous êtes à 5828 kilomètres!Vivement que l’été indien se prolonge en ce mois d’octobre pour pouvoir en profiter!Jaune et rouge, vous ne pouvez le rater/ Une adresse à découvrir d’urgence… Mais attention, avis aux gourmands, ce kiosque est éphémère. Il disparaîtra le 10 octobre ! kiosque éphémère à l’angle du Boulevard haussmann de la rue de caumartinMais aussi au jardin d’acclimatation et au jardin des plantes.

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les bons shoPs

MieuX a la Maison BESOIN D’UNE AIDE A DOMICILE DE QUALITE ?

«Mieux à la Maison « porte bien son nom. il s’agit d’une entreprise dont le métier est de proposer un choix de prestations de ser-vice à domicile, avec des professionnels qui vous facilitent la vie au quotidien.Une nouvelle agence « Mieux à la Maison », dans votre quartier, vient d’ouvrir au 38, rue de Trévise. Elle vous accueille dans un très joli local, décoré à ses couleurs : prune, blanc et orange. Un endroit pour parler où l’on se sent bien !« Mieux à la Maison » intervient en tant que pres-tataire et structure agréée, en s’appuyant sur un réseau d’agences de proximité, à l’écoute de vos besoins et au plus proche de chez vous.Un éventail d’interventions à domicile, agréé qualité, vous est proposé : l’assistance pour le maintien à domicile des personnes âgées, han-dicapées et dépendantes. L’entretien de la mai-son, le linge, le repassage, la couture, les com-missions et la préparation des repas. La garde, le soutien scolaire, les divertissements et l’ac-compagnement des enfants dans leurs dépla-cements. Le bricolage, le jardinage, le gardien-nage et la promenade d’animaux. Mais aussi, la compagnie aux personnes (lecture, conversa-tion, jeux, musique), la garde-malade de jour et de nuit, la coiffure, les soins esthétiques, l’assis-tance administrative, informatique, téléphonique, télévision et internet.

A la tête de cette agence, Monique Robiquet, entourée de professionnels, recrutés pour leurs compétences, sérieux, ponctualité, gentillesse, honnêteté, et discrétion, qui savent s’adapter à toutes les situations. Ils établissent le plan per-sonnalisé d’aide à domicile, selon les attentes du bénéficiaire et de sa famille. Leur philoso-phie : la réactivité au quotidien, la qualité du personnel intervenant, un suivi de l’intervention réalisée à votre domicile. L’accent est mis aussi sur l’importance de proposer le même interve-nant sur la pluralité des prestations effectuées, afin de maintenir le lien et établir une relation de confiance.Avec Mieux à la Maison, vous bénéficiez d’une réduction ou un crédit d’impôts de 50% : non négligeable ! Faire appel à Mieux à la Maison, c’est une sécurité en cas de problèmes, avec des intervenants sous contrat de travail, décla-rés et une assurance responsabilité civile cou-vrant d’éventuels dommages occasionnés.Besoin d’une aide à domicile de qualité proche de chez vous ? «Mieux à la Maison» est la so-lution ! 38, rue de tréviseTél. 01.48.00.08.75interventions 7/7j, 24/24h.A découvrir au cœur du magazine : une déduction de 10% sur les prestations de votre agence Mieux à la Maison Trévise, sur présentation du [email protected]

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le Bon artisantexte eM i l i e PruVost / Photo nora aguerguan

karine arabian m’accueille dans les bu-reaux lumineux qui surplombent sa bou-tique historique rue Papillon. depuis ses premières créations en 2000, le succès est au rendez-vous comme en témoigne l’engouement de vanessa Paradis, audrey tautou, scarlet Johannson… et l’ouver-ture prochaine d’une boutique en chine.

Amoureuse du 9ème arrondissement qu’elle a choisi comme lieu de vie, Karine la passionnée se confie avec bonheur sur son parcours géogra-phique et artistique. un riche héritage culturel & familial La créatrice tisse son œuvre sur l’héritage légué par ses ancêtres tailleurs et bottiers. C’est en effet en Arménie, qu’a été retrouvée la plus ancienne chaussure au monde datant d’il y a 5500 ans. L’apport artisanal arménien dans la mode fut l’objet de l’exposition « Karine Arabian et les Ar-méniens de la mode. 1669-2007 », organisée en 2007 par le musée de la mode de Marseille. Karine se qualifie volontiers d’artisan et a hérité de son grand-père et son grand-oncle bottiers, le sens du travail bien fait. Enfant, elle passait du temps sur les genoux de son grand-père (inven-teur du talon en plastique), suivant d’un regard intrigué les coups de marteaux de ce dernier. Si la colle à cuire de l’atelier est sa petite madeleine,

le cuir et les tissus comptent parmi les autres ré-miniscences de l’enfance.un intérêt précoce pour la modeKarine est née sur une machine à coudre avec une grand-mère culottière et un père tailleur. Sa première émotion, me confie-t-elle, fut visuelle grâce à sa « mère très mode » qui lui fabriquait ses fringues sur mesure. Elle allait tous les étés en famille en Italie où elle était appelée « Carina la bella scarpina » en hommage à l’assortiment ex-quis de ses tenues, chapeau, chaussures et gants compris. D’où ce goût prononcé pour les tenues qu’elle accessoirise dès l’adolescence, avec un goût prononcé pour le rock and roll qu’elle découvre, telle une révélation. C’est naturellement qu’elle se tourne vers des études de stylisme. Après une étape formatrice dans l’ombre de la maison Cha-nel, place à la lumière avec le festival de Hyères, où elle recevra le prix des bijoux et accessoires en 1993.ses sources d’inspiration« Chaque collection, c’est quelque-chose qui cris-tallise. » L’artisan avoue volontiers une obsession pour les arts déco, le design et l’art contemporain, un amour pour les lignes graphiques et épurées. Ses icônes féminines surgissent du passé : Ingrid Bergman, Katherine Hepburn, Romy Schneider. Jean-Paul Gaultier représente pour elle le dieu vi-vant des années 80, le père spirituel et le modèle.

KARINE ARABIANFÉMinine jusqu’au boutdes stilettos

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Karine s’est toujours sentie proche par bien des points communs : les 2 ont grandi à Arcueil, mé-langent avec brio base classique et zeste de folie et admirent l’élégance parisienne.Femme dans un milieu de créateurs très mascu-lin, ses créations graphiques et pleines d’audace sont « toujours flatteuses pour les femmes » qu’elle affirme vouloir embellir en toute occa-sion, à tout moment de leur journée. la personne que Karine rêve de chausserLe rocker Nick Cave même si à ce jour, elle n’a pas encore lancé de collections masculines

le plus beau compliment qu’on lui ait fait« Grâce à vous, je porte des talons. »un récent coup de cœur Des tissus ethniques aux puces de Shangaisur son ipod Du rock garage (Yussuf Jerusalem, the Zombies, The black keys), Dead man’s bones

ses bonnes adressesPâtisseries aux fleurs d’aurore capucine rue de Rochechouartcafé « le Béguin » rue du Cardinal Mercier

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les Bons petits diaBles

la tête dans les nuagesLes pieds sur terre etSous la lune

texte aMand ine-CoCh in / Photo sous la lune

«sous la lune» a pour vocation d’organiser des ecolonies et des ateliers de sensibili-sation à la nature et à l’environnement pour les enfants.

Leur prochain voyage est destiné aux grands parents et aux petits enfants (8/12 ans) à Skoura. Du 17 au 24 avril 2011,

pendant les vacances de Pâques, le séjour se déroulera dans une des plus grandes palme-raies du Maroc. Hébergés dans une auberge écologique, les jeunes seront initiés à la fabri-cation du pain, des cerfs-volants pendant que les adultes apprendront poterie, vannerie et cui-sine marocaine. Avec les enfants de l’oasis, ils planteront 200 palmiers. La dernière semaine de juillet 2011 un séjour est prévu dans le Gers en partenariat avec une agronome forestière dans sa maison bioclimatique. Au programme construction de cabane, herbier, canoë…L’association sous la lune propose aussi d’ani-mer des fêtes, des goûters d’anniversaire au-

tour des sujets de la nature et l’environnement par le biais d’activités ludiques et créatives.Pour cette rentrée 2010 un atelier pour les enfants va être créé le dimanche après-midi. Aquarelle, craie, laine, fusain, papier bulle, un magnétophone et une grande bibliographie sur la nature seront nécessaires pour aborder des thèmes comme les 5 sens, la teinture naturelle, les contes, les animaux, la fabrication d’instru-ments de musique… Mais aussi les fleurs feu-trées en laine, les insectes en bois, la fabrication de cerfs-volants, la cuisine bio pour les goû-ters… (1h1/2 – 20 €)Voyage au Maroc : 600 € /Personne tout com-pris vol inclus

association « sous la lune »40, rue de la Tour d’AuvergneTél. : 01 42 81 03 [email protected]» [email protected]

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Le poussette caféLe café des grands et des petitsBébés, poussettes, jeunes enfants, jeunes parents, futurs parents… cet endroit est fait pour vous, vous êtes tous les bienve-nus au Poussette café !

Ici on peut débarquer avec ses petits, ça ne gène personne ! Au contraire l’accueil est très chaleureux ; au «Poussette café», tout est

conçu pour que la famille se sente bien. Chaises hautes, menus bébés bio, table à langer, es-pace dinette pour jouer, tout a été pensé pour le bien être des petits mais aussi le bonheur des mamans. Un vaste coin boutique est rempli de jouets, de peluches, de petits objets de décora-tion super mignons, de vêtements, écharpes de portage…Un concept parfait pour les parents qui veulent continuer à sortir avec leurs petits sans stress, ou pour les mamans qui peuvent se retrouver dans un endroit adapté et convivial. La déco est simple et moderne, les couleurs élégantes et gaies. C’est animé, ludique, les bambins peuvent

bouger, s’amuser pendant que les parents se détendent ou s’enrichissent. En effet, de nom-breux ateliers y sont proposés (massages, chant prénatal et chant avec les enfants jusqu’à 2 ans, gym douce, cours de portage, groupe de paroles pour les jeunes mamans animés par une psy-chologue…). Le Poussette Café met à dispo-sition son espace ateliers pour vous permettre d’organiser un goûter d’anniversaire comme à la maison! La prestation comprend l’animation assurée par un professionnel, le maquillage des enfants, la décoration de la salle, le gâteau et les boissons. Un seul regret, on aimerait aussi pou-voir y bruncher le dimanche, mais c’est fermé…

le Poussette café6, rue Pierre Sémard Tél : 01 78 10 49 00Du mardi au samedi de 10h30 à 18h30www.lepoussettecafé.com

texte et Photo aMand ine CoCh in

retrouvez encore plus de bons plans surwww.leBonbon .fr



© nora aguerguan www.noraaguerguan.webs.com

le conte est Bontexte saloMÉ balo is / Photo nora aguerguan

alias « Miss design »a 34 ans, Marion vignal a déjà un sacré parcours derrière elle. Journaliste, auteure, directrice de collection, maman, la jeune femme trouve même le temps de nous rencontrer. c’est sûrement cause de son fort penchant pour les bonbons...

Outre son amour pour les bonnes choses de la vie, Marion Vignal se consacre à l’écriture et à son thème de prédilection : le design. Comment devient-on spécialiste d’une telle discipline ? En suivant assidûment le fil des tendances et de la création.

Lycéenne, Marion se rêvait déjà critique d’art, parcourant les galeries et musées de la capitale. Plus tard, elle choisira d’étudier la littérature moderne et l’histoire de l’art à la Sorbonne, puis à Berlin. Son destin se précise lorsqu’elle intègre la prestigieuse école de journalisme parisienne, le CFJ. En 2000, elle entre à L’Express et publie ses premières critiques de théâtre. Quatre ans plus tard, elle prend en main la rubrique Design. Depuis, la jeune femme rencontre les plus grands designers du monde, visitant sans cesse les galeries et foires, à la recherche de la perle rare.En 2008, sa carrière prend un nouvel élan.

Pour la première fois, le Salon Maison & Objet ne décerne ses prix qu’à des femmes. Cette nouvelle l’interloque : pourquoi les récompenser seulement maintenant ? Cela ne fait-il pas des lustres que celles-ci sont actives dans le domaine ? Trop souvent dans l’ombre des hommes, on finit par les oublier. Voilà une cruelle injustice à réparer.

Aucun livre n’existant sur le sujet, Marion décide de combler ce vide qu’elle juge inadmissible. Pourquoi les œuvres d’Eileen Gray, de Nanna Ditzel, de Marianne Brandt ou

encore de Charlotte Perriand sont-elles si peu connues ? Comment ces créatrices ont-elles réussi à faire leur place dans la société ? Les éditions

Aubanel, emballées par une telle initiative, lui signent son premier contrat d’auteure. Le titre est choisi : « Femmes designers ».

A sa sortie, les spécialistes de la discipline, designers, critiques, historiens d’art et galeristes sont aux anges. Le Centre Pompidou consacre même une de ses expositions temporaires aux femmes artistes. La boucle est bouclée!

Ses projets à venir ? Le développement de sa collection d’entretiens de designers

“ le design ré-concilie le Beau et l’utile.”

Marion Vignal

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contemporains chez Archibooks. Des livres de qualité qui permettent de rentrer dans l’univers d’un créateur. « La parole brute n’a pas de prix, elle seule nous livre l’intimité de l’artiste », déclare-t-elle.

Pour finir : sa définition du design ? « Une discipline plurielle associant la réflexion sur le quotidien, la technologie et la vie ». Un objet design ? « Un objet parfait dans sa forme et sa fonction ». Le design réconcilie le beau et l’utile, le but ultime étant de rendre meilleure notre existence, nous ne pouvons qu’être

comblés.*Le bel ouvrage richement documenté et illustré sera dans toutes les bonnes librairies dès octobre 2009.

ses bonnes adressesJuju s’amuse (vêtements mode et vintage) : 15, rue Hippolyte Lebas.cul de poule (cuisine française de qualité et bon marché): 53, rue des Martyrskiku (très bon restaurant japonais) : 56, rue Richer

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agenda des manifestations culturelles Par fanny menceur

le Bon agenda

evenement

Du 01 au 02/10 - «…ventes iodées Privées », 240 séjours thalasso en Bretagne à prix dégriffés aux galeries lafayette Voyages Haussmann à Paris

02/10 – nuit blanche (plus d’infos sur paris.fr)

du 11 au 17/10 - semaine du goût

COnCeRtS

la Boule noire01/10- the lanskies 8 et 9/10 - fallenfest 13/10- Jonathan richman15/10- C-Mon & kypski/the Chase/success16/10- the popopopos/Moss/Jil is lucky18/10- black rainbows/farflung20/10- the ettes22/10- bonaparte

au Bus Palladium09/10- Call me señor20/10- front line assembly

la cigale

10/10 - willie Colon12/10- tom Mac rae13/10- the swell season14/10- John Mayall

l’olympiaLe 04/10- nolwenn leroyLe 19/10- eddy Mitchell

SpeCtaCle

le Bout – salle rondequarts d’identité, one-man show, samedi, 20h15«Jonathan Brecher ne respecte rien !» Jonathan Brecher ne respecte rien !, one-man show, vendredi 19h00 «l’affaire Juliettes» l’affaire Juliettes, one-woman show, vendredi 21h30«nana vend la Mèche» nana vend la Mèche, one-woman show, jeudi 19h00

théâtre la Bruyèreles 39 marches de John Buchan et alfred hitchcock, du mardi au samedi à 21hmatinée samedi à 15h30kiki van Beethoven de eric-emmanuel schmitt, du mardi au samedi à 19hmatinée dimanche à 16h30Bidules trucs, de Pierre notte, le mercredi à 14h, le samedi à 13h30 et le dimanche à 18h30

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le bon agenda

casino de ParisDu 19 au 31/10 - rock the Ballet

théâtre Mogador Mamma Mia ! le Musical, à partir du jeudi 28 octobre

théâtre du nord-ouestl’intégrale de labiche, toutes les pièces et les horaires sur programme.theatredunordouest.com

l’olympiaDu 01 au 17/10 - il était une fois franck dubosc

théâtre trévisesophia aram, crise de foi, 20h00

enfant

l’antre acteballoonimbus ou le Voyage autour du Monde en ballons Magiques. Mercredi, samedi, dimanche, tous les jours pendant les vacances scolaires 14 h 30

le Bout – salle ronde

toutankhamon et le scarabée d’or, dimanche, mercredi: 10h30, mardi, vendredi: 14h30

La princesse triste, mercredi, samedi, lundi: 14h30

le prince aubert a disparu !, dimanche: 15h30, mercredi: 14h30

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les Bonnes adressesRÉGIE PUBLICITAIRE06 27 96 75 [email protected]

1/ 1001 l i ste s12 rue de Poitiers Paris 7éme

2/ J u n e an d J i M69, rue de rochechouartTél. : 01 40 23 08 85

3/ l a Carte C han C e41, rue de BellefondTél. 01 55 32 35 71

4/ r r o s e s e l aVy5, rue FromentinTél. 01 40 23 05 95

5/ À l’Étag e by ar nau d34, rue Jean-Baptiste-Pigalle Tél. 01 47 42 22 60

6/ l e t itb e n37, rue de ClichyTél. 01 48 78 62 17

7/ h e i Ko by h e i Ko29, rue des MartyrsTél. 01 40 16 55 38

8/ i Mal b i e n êtr e34, rue de MaubeugeTél. 01 55 32 03 02

9/ l e rh o n e e n b o u C h e20, rue Henri MonnierTél. 01 40 16 41 77

10/ l e MarC hÉ d e s gastr o n o M e s9, place PigalleTél. 01 80 06 85 56

11/ P r e M iÈr e P r e ss i o n P r o V e n C e9, rue des MartyrsTél. 01 48 78 86 51

12/ te r ra C o r sa42, rue des MartyrsTél. 07 48 78 20 70

13/ V i lC e na26, rue de TréviseTél. 01 53 34 02 14

14/ C o nV e r s o n s15, rue de MaubeugeTél. 01 48 74 34 66

15/ d r e ss i n g10, rue Alfred Stevens M° Pigalle (L2-L12)

16/ W i g s21, rue RodierTél. 01 48 78 57 27

17/ z agan i n81, rue de RochechouartTél. 01 48 78 12 70

18/ e C o l e d e C o n d u ite - l e P e r M i s62, rue de RochechouartTél. 01 48 78 80 - 06 99 50 18 80

19/ M i e ux À l a Ma i s o n38, rue de tréviseTél. 01 48 00 08 75

20/ 1001 F e n etr e s71, rue CondorcetTél. 01 45 33 03 86

21/ sMart sto r e8, rue BlancheTél.: 01 82 09 96 69

22/ Ca FÉ lo r ette20, rue de ChâteaudunTél. 01 42 85 55 25

23/ Car r e Fo u r C it y8, rue Notre-Dame-de-Lorette / 7, rue des MartyrsTél. 01 48 78 97 11

24/ aCu it i s82, rue Saint-Lazare Tél. 01 55 32 92 69

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Documents

Paris 9eme - le bonbon 10/2010