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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris Est du mois d'octobre 2013
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Octobre 2013 - n° 47 - www.lebonbon.fr
PARIS EST
Photos © Flavien [email protected].!avienprioreau.comTel: 06 98 31 34 92Modèle: Jean Charles Chagachbanian
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PrésidentJacques de la ChaiseRédacteur en chef
Michaël Pécot-KleinerDirecteur artistiqueTom Gordonovitch
GraphisteGaëlle Lepetit
Secrétaire de rédactionLouis Haeffner
StagiairesMarie, Maurine & Julie
01 48 78 15 64SAS Le Bonbon
12, rue Lamartine 75009 ParisSIRET 510 580 301 00032
Imprimé en France
Halloween. Parlons-en d’Halloween. Halloween à Paris, ça me fait pen-ser à Johnny Hallyday qui reprend The House Of The Rising Sun (Les portes du pénitencier), à Régine qui chante «! Je survivrai! » (grosse repompe du I Will Survive de Gloria Gaynor), à Richard Anthony qui meugle «!Fiche le camp, Jack!» (adaptation gauloise de Hit The Road Jack de Ray Charles)… Bref vous l’aurez compris, pour moi Halloween à Paris, c’est un pastiche, une copie qui s’écrase devant l’original.
Ne comparons pas l’incomparable, mais aux States, Halloween est une fête réglée comme du papier à musique, les gosses sont vraiment pro. Très pro. Rien à voir avec l’amateurisme de la jeunesse française com-plètement débraillée. Nous frisons le ridicule. C’est dur à dire, mais nous sommes les Pierre Richard de cette célébration automnale.
Alors nous au Bonbon, on s’est demandé comment faire pour échapper à cette honte internationale, et on s’est dit qu’au lieu de singer les amé-ricains, ce serait bien de faire un Halloween 100% made in France!: plus de citrouilles, prenons des choux-"eurs!! Remplaçons les friandises par du camembert, des boules de pétanques, des quenelles, des escargots et des cuisses de grenouilles!! Les déguisements pour faire peur!? Un masque d’Amanda Lear ou de Jean-Pierre Raffarin!!
Et peut-être même qu’à la place d’Halloween, nous pourrions appeler cette fête la Toussaint. Ça pourrait avoir de la gueule, non!?
Farce ou pâté de campagne!!
MPK
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#Hologram
Dodu DIndonMustapha El Atrassi
Marie-Sixtine
Le Visionnaire Chez Jeanette La téléréalité
Halloween
L ’ A B U S D ’ A L C O O L E S T D A N G E R E U X P O U R L A S A N T E . A C O N S O M M E R A V E C M O D E R A T I O N
JEUDI 24 OCTOBRELE COQ O RICO
115, RUE SAINT MAUR - 11e
DE 19H À MINUIT
FATOUMATA(WHERISWALLY & TIM)
INSCRIVEZ-VOUS SUR
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Héros du net, partis de l’under-ground et désormais en phase de reconnaissance internationale, les impressionnants «#groovers#» texans et new-yorkais de Snarky Puppy débarquent à Paris. Emmené depuis 2004 par le bassiste, com-positeur et producteur Michael League, le septet (parfois sextet) distille une musique inventive et charnue, à la pulsion irrésistible.
Pour cette édition, la Grrrrr Session a lieu au Coq o Rico, rue Saint Maur à deux pas de Ménilmontant. À cette occasion, nous convions le collectif Fatoumata. WherisWally & Tim vont vous en"ammer sur des sons deep house et nu disco. Leur devise#: Groove & sensualité, les $lles (et même les garçons) vont se déhancher toute la soirée.
Quand Gwenaël Morin se lance dans le projet Fassbinder, c’est!avec un appétit à la déme-sure de cet auteur. Dans un décor bavarois typique, des anarchistes de folklore tentent de libérer les citoyens contre leur volonté. Une classe voulant toujours en éduquer une autre, c’est l’éternelle histoire des rapports dominants-dominés qui recommence.
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Paris Est
Julien Bouisset Texte Photo Anita Albert
Comment vous êtes-vous ren-contrés!tous les deux!?Clara Luciani!: Chez Michou. Tu connais le cabaret!? Et bien on s’est rencontrés là-bas. On n’y était jamais allés. J’ai une cou-sine qui est danseuse au Crazy Horse et elle tenait absolument à ce que l’on se rencontre.!Et alors, cela vous a plu!?Maxime Sokolinski!: Pas du tout. Mais dans ce désert artistique, on s’est un peu rapprochés. Je faisais beaucoup de musique tout seul et puis Clara était chanteuse dans le groupe La Femme. On a laissé passer quelques mois avant de faire de la musique ensemble. !Du coup, tu as claqué la porte de La Femme!?Clara#: J’ai vraiment adoré ce que j’ai fait avec eux mais j’avais envie de voler de mes propres ailes. Je n’ai pas quitté le groupe pour autant!: quand ils auront besoin de moi, je serai là.
Maxime, je connais bien ta sœur. C’est la chanteuse Soko. J’ima-
gine qu’elle a dû te "ler un coup de pouce dans ce projet…Maxime!: Pas du tout. Nous avons tout fait de A à Z. Même l’enregistrement de cet EP s’est fait dans mon salon. Par contre, j’ai toujours joué avec elle. Je l’accompagnais en live quelque fois. Après, lorsque j’ai habité à Los Angeles, pendant deux ans, j’étais tout seul. J’ai eu plusieurs groupes avec lesquels je jouais de la guitare, de la basse. Mais je me suis rendu compte que j’avais besoin de sérénité!pour produire et écrire.
Je suis incapable de mettre un nom sur votre musique. C’est perturbant.Maxime!: On aime bien les anachronismes, les univers hybrides. Le titre Absolute Zero sonne années 80, alors que I Don’t Know est un mélange de la pop $fties des Beatles et de boites à rythmes. L’album!sera un mélange de tout cela.!Et!je rêverais de le sortir l’année prochaine.
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Je vais "ler, car vous devez avoir du pain sur la planche…Clara!: Non, reste avec nous. Toutes les chansons sont écrites déjà. On a déjà une vingtaine de titres. Ça nous a pris un an, en tout et pour tout.!
Maxime!: C’est allé vite. Mainte-nant, il faut juste qu’Hologram, en tant que groupe, trouve un label. Histoire d’avoir le produc-teur et le studio pour en$n ren-trer en studio et pondre l’album. J’espère que cela arrivera aussi vite que possible.
En attendant, vous sortez où à Paris!? Maxime!: J’aime bien Chez Mous-tache, dans la rue Jean-Pierre Timbaud. C’est un restaurant sympa.!
Clara!:!J’adore Le Tabarin, dans le onzième. Sinon, évidemment, le bar de Nicolas Ulmann, Le Rosie, là où nous avons fait notre premier concert, avec notre premier nom de scène!: Rendez-vous.!Et tu trouves qu’Hologram c’est mieux!?Clara!: Pas forcément mais
l’autre était déjà pris. Attends, il faut que je trouve une raison plus romantique…
Maxime!: (Il ré"échit) Hologram, c’est l’image du futur qu’avaient les gens dans les années 50. On adore cet univers à vision, avec des robots omniprésents.
Paris Est
8 • Paris Est
Louis Haeffner Communiqué Photo Marie Herself
La boutique, spacieuse et mélan-geant savamment structures classiques et plus modernes, impose un cadre empreint d’une sérénité au design pointu. Un vers de Baudelaire, bien connu, trotte dans notre tête alors que l’on arpente cet espace de vente, découvrant les pièces de la col-lection comme on contemplerait les tableaux d’une expo. «!Là, tout n’est qu’ordre et beauté, / Luxe, calme et volupté.!»C’est début 2012 que l’aventure prend un tournant décisif et concret avec l’implantation de cette magni$que boutique sise au 27, rue Beaurepaire, après à peine un an d’existence. «!L’idée, c’était de matérialiser l’univers de marque en ayant un point de vente qui pose un univers auquel
identi"er l’esprit de la marque!» nous explique Erika. Partant de ce principe, on comprend vite comment le choix de la rue Beaurepaire s’est fait. Le quar-tier, en pleine recrudescence de coolitude depuis quelques années, abrite une population exigeante quand il s’agit de son look. Pas de faux-semblants, Marie-Sixtine s’adresse aux tren-tenaires branchées qui viennent "âner sur les bords du canal Saint-Martin. La boutique en elle-même alterne le bois, la pierre et une peinture unie qui change toutes les saisons, avec toujours cette impression de calme et d’aise, symbolisée à l’entrée par une baignoire en cuivre en apesanteur remplie de pelotes de laine.
La spécialité de la marque, c’est la maille et le t-shirt basique avec le détail mode qui fait toute la différence (jeu de lurex, de bi-matière…). En effet, chaque pièce est tissée et tricotée avec des $ls de hautes qualités. Dans 95% des cas, les matières utili-sées sont naturelles, sauf quand celles-ci nuisent à la qualité du vêtement (bah oui, la laine, ça bouloche…). Ce savoir-faire se veut représentatif d’une certaine exigence de qualité, puisque le fondateur de Marie-Sixtine est à
l’origine un expert de la maille. Seule boutique dédiée exclusive-ment à la marque, Marie-Sixtine est cependant diffusée à travers l’Europe et les pays scandi-naves et commence à investir le marché japonnais à travers plus de quatre cents points de vente partenaires, dans des endroits comme Anthropologie, à Londres, par exemple.
Malgré ce statut plutôt élitiste, les créateurs se font un devoir de proposer des prix très acces-sibles. Ainsi vous ne dépenserez pas plus de 120% pour un beau pull en maille mohair, parfois un peu plus pour une pièce comportant du cachemire, mais les prix sont globalement très doux pour la qualité et le savoir-faire proposés. Le t-shirt, qu’il soit mode ou intemporel, vous coûtera entre 45 et 65 euros. Marie-Sixtine se situe donc sur un segment très recherché par les modeuses de tous poils, celui de la pièce de qualité, chic, intemporelle et modérément onéreuse, dans laquelle on se sent si bien qu’on n’a plus envie de la quitter.
Jacques Daniel Texte Photo Arnaud Chaillou
Pourquoi avoir appelé ta bou-tique de la sorte!? C’est plutôt original comme nom… Je ne voulais surtout pas un nom avec «!optique!», «!opticien!», «!lunettes!». Je veux être à part et toucher un public qui recherche de la nouveauté. S’appeler «!Le Visionnaire!», c’est une bonne manière de dépous-siérer le monde des opticiens.
Justement, qu’y a-t-il de vision-naire, ou d’innovant dans ta manière d’aborder le métier!?Je pense qu’il faut casser le mythe des lunettes que l’on trouve dans toutes les pubs télé, les Alain Af"elou, les Optical Center et compagnie… Je fais partie d’une nouvelle génération d’opticiens et nous avons plein d’idées novatrices sur la com’ de nos produits. J’essaie aussi de donner aux clients des lunettes différentes dans la qualité et la $nition, je suis très soucieux des petits détails. Je n’ai pas beau-coup de pièces, mais elles sont bien choisies.
Le Visionnaire, c’est aussi un cadre différent… Oui, j’ai apporté beaucoup de soin à l’agencement de la boutique. Il n’y a pas des lunettes partout, je suis parti sur un esprit plus minimaliste, plus bois, scandinave, avec des fauteuils confortables. Il fallait que ce soit cosy et chaleureux. L’idée est encore une fois de se démarquer des opticiens classiques.
Passons maintenant aux produits que tu proposes. En lunettes optiques, j’ai 7/8 marques différentes. Lunor, par exemple, c’est une marque allemande qui est ce qui se fait de mieux aujourd’hui. Elles ont un équilibre parfait, un grand confort au niveau du nez et le verre n’est pas trop grand. Bref, c’est d’une qualité impeccable. J’ai trouvé aussi une petite marque portugaise qui s’appelle Paulino, nous ne sommes que 2 à les vendre à Paris. Celles-ci sont plus dans un esprit retro-moderne, avec des formes plus
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variées. J’ai aussi des lunettes en aluminium, de la marque danoise Kilsgaard, avec un look très sympa.
Et en lunettes de soleil!? Pour moi les lunettes de soleil, c’est plus un accessoire, je les propose donc à des prix abor-dables (entre 120 et 200 euros). J’ai trouvé une marque suédoise assez branchée qui s’appelle Triwa et qui fait des produits de très bonnes qualité. Je vends aussi des montres de cette marque, pour rester dans l’esprit
accessoire. Il y a également des «!vintage!», des lunettes d’époque qui ont une trentaine d’années, et elles sont en parfait état.
Quelle est ton petit «#plus!» dans le conseil au client!?Je suis ultra-sensible au détail. J’aime montrer au client en quoi une lunette est plus qualita-tive qu’une autre et trouver le modèle qui le satisfera le plus. Je ne suis pas visagiste, mais il y a des règles à savoir!: sur un visage rond, on ne propose pas de
lunettes rondes, ce ne sera pas esthétique… Moi je suis plutôt pour casser la forme du visage. Il faut faire aussi attention au niveau du nez, je suis très attentif au repos de la lunette sur le nez. Le critère le plus important pour moi, c’est le confort.
Tél.!: 01 57 40 99 64levisionnaireparis.com
Paris Est
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Jacques Daniel Texte Photo Bertrand Delous
Quelle est l’histoire du nom «!Chez Jeannette!»!? C’est parce que c’est Madame Jeannette qui tenait les lieux avant. Elle tenait les lieux depuis super longtemps avec une équipe composée uniquement de femmes. Il y avait une grande connexion entre ce café et une salle de boxe tenue par Marcel Cerdan juste à côté. À l’époque, il y avait une cabine téléphonique ici et Édith Piaf venait souvent y passer des coups de $l. Le café
n’avait pas bougé depuis 100 ans. Quand on s’est installés, on a retrouvé plein de vieilleries dans la cave comme des fusils napoléoniens.
Les raisons du succès!? Le prix Fooding de la meilleure déco de bar parisien en 2008, ça nous a fait de la pub. On a été surpris d’avoir au début une grosse clientèle tecktonik, et puis ça s’est diversi$é. C’est devenu très hype par la suite.
Pourquoi très hype, justement!? On ne sait pas trop pourquoi. Sans doute à cause de l’empla-cement, du cadre, mais aussi des Dj’s. La première équipe de Chez Jeannette a regroupé beaucoup de connexions!: Pigalle, la Flèche d’Or, etc… C’est aussi ce petit côté bar paumé et secret qui a fait le buzz. On a été les premiers dans cette veine-là!: remettre au goût du jour un bar authentique sans le trahir.
Vous avez eu des problèmes à cause du bruit, je crois. On a dû diviser notre capa-
cité d’accueil par 2 à cause des plaintes. Pour pas que ça devienne la rue de la soif comme Oberkampf, on a dû prendre des mesures et employer 2 portiers pour gérer les "ux. À partir de 21h, on ne peut plus boire sur le trottoir non plus.
Le cocktail le plus cool que l’on trouve chez toi!?Le Bohemians Bourgeois. Forcément!: Hendrick’s Gin (gin écossais), concombre, romarin, citron. Le tout shaké avec de la glace.
Celui qui symbolise le mieux l’endroit!? Le Mojito, on en a vendu des tonnes!!
L’avenir!? On a vraiment envie de dévelop-per une carte bistronomique de qualité.
Jean Marc, merci!!
Ouvert TLJ de 9h à 2h
Dans la pénombre, deux enfants. Seuls, leurs yeux scintillent et arrivent à retenir la nuit. Dans la main de l’un d’entre eux, une mallette de médailles radioac-tives extraite d’une expédition. Oubliée dans les abysses d’une crypte interdite, la trouvaille devient une source d’intros-pection dans laquelle l’artiste Stéfane Perraud plonge, sans limite, à la Galerie de Roussan. Pour sa première exposition per-sonnelle, Le Sarcophage, il met en scène ses propres souvenirs intemporels et des mystères archéologiques, pour tenter de comprendre les enjeux de sa propre enfance.
En plein cœur du quartier de Belleville, cette galerie devient alors le $l d’Ariane de sa propre existence. Au rez-de-chaussée, photographies et coupures de journaux se font écho, pour ten-ter de tendre dans le temps cette découverte fantasmagorique. Au sous-sol, dans la pièce maîtresse de l’exposition, se trouve une étonnante installation numérique. Elle permet d’explorer le mysté-rieux «#sarcophage#» avec l’aide d’un robot télécommandé. Le même étant utilisé pour explorer certaines pyramides égyptiennes. À l’intérieur de cette crypte, un long manteau de ruine recouvre le sol. Sur les murs de pierre, un cerf et un hibou apparaissent, ici ou là, dans un halo de lumière. Au détour d’un re"et, la silhouette de Stéfane Perraud se dessine.
Avec cette exposition, la Galerie de Roussan donne la possibilité à chaque visiteur de repenser son histoire. Depuis 2011, ce lieu artistique, haut perché dans le quartier de Belleville, transgresse les codes et les médiums, pour proposer à l’année des expé-riences sensitives. À vocation
internationale, cette galerie disposée sur deux espaces d’ex-position, reliés par une trappe de verre, permet plusieurs degrés de compréhension. L’un, clair et épuré#; l’autre, en profondeur avec des pierres apparentes. Hors-les-murs, ce lieu investit également le bitume en poursuivant sa démarche artistique, notamment lors des Nuits Blanches. À partir du mois de novembre, les six artistes en résidence proposeront éga-lement une ré"exion pastique autour de la notion de temps#: (IN)Temporalité(S). Et la boucle sera bouclée.
Du mardi au samedi#: 14h-19h [email protected]
Julien Bouisset Texte Photo Stéfane Perraud
• 15Paris Est
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Chers amis, l’heure est grave. Même le nouvel album de Tristesse Contemporaine n’aura pas réussi à me redonner le sourire. C’est dire.Une fois ton corps sorti du lit, après une bonne heure de «!j’éteins mon réveil mais je le reprogramme dix minutes après!etc.!», je décide de jeter un œil furtif dans le miroir, histoire de voir quelle tête on peut bien avoir dans ce genre de moment. Ok, j’aurais dû passer directement à la douche et me savonner jusqu’aux os. Pas même la force de me tartiner les 3 couches de fond de teint (parce que le bronzage n’est dé$nitivement plus de ce monde)!! Juste l’envie d’en$ler un sweet XXL et de partir travailler en chaussons!! Après avoir affronté la pluie, je me rends compte que le port de petites tennis d’été était un très mauvais choix!! J’aurais dû consulter la météo. Bref, me voilà dans le bus, assise à une place prioritaire. Je crois qu’aujourd’hui, je peux bien me le permettre. J’en$le mes écouteurs, $èrement enfoncés jusqu’à m’en faire péter les tympans. C’est histoire de faire comprendre à la terre entière que je me fous de tout car mon nombril va mal. On fera impasse sur l’arrivée au boulot qui se résume en!: «!Salut, ça va!? – Ouin, ouin.!», «!T’as "ni la plaquette du #yer!? – Ouin ouin.!», «!J’ai été augmenté!et toi alors!?! Ouin ouin.!» Et on pourra faire impasse également sur le dégât des eaux causé par le voisin du dessus qui n’a toujours pas compris qu’exprimer son amour à sa bien aimée de manière profonde et sincère dans la baignoire peut être dangereux. C’est en franchissant les portes de mon home sweet home, nuit noire à 20H30 pétantes, que j’ai compris. Mon état de dépression avancée était dû au visionnage intensif des rediffusions de l’émission de télé réalité L’île des Vérités 3. D’un coup, d’un seul, le temps s’est arrêté. On venait de me faire comprendre que la télévision pouvait être dévastatrice. Alors, $èrement, j’ai mis Arte, et je me suis tapée 3h de théâtre contemporain. Et là, je n’ai pas saisi la différence. –
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Du mardi au dimanche de 18h à 2h* Bouteille bouchon mécanique 45 cl.
Salon de thé, boutique de cupcakes4, rue Malher - 4e - Tél.!: 09 81 74 37 88
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L’Ardèche et le festival Hog Hog, c’est la vie.
Marie Prugnat Texte Photo Cynthia Frebour
Pour reprendre un de tes sketches, pas trop dur de voler la vedette au père de Simba!? (Rires) Non ça va c’était cool, évidemment en référence à l’aventure aux États-Unis#; c’est ce que j’ai vécu de plus fort dans ma carrière avec l’Olympia à 23 ans, mais là j’en rêvais depuis tout petit, j’ai joué un peu par-tout et surtout au Comedy Cellar, là où Jerry Seinfeld enregistre son émission, ils ne prennent que 5 comiques par soir.
Tu fumes pas, tu ne bois pas et ne prends pas de bonbons, com-ment fais-tu pour être drôle!? (Rires) Ça a toujours été un moyen de survie, comme je ne suis pas encore un mec sexy, les blagues ça marche bien. T’avais celui qui avait une console de jeu et plein de potes, moi j’avais pas de console!!
T’as checké les phrases les plus recherchées de Google pour un de tes spectacles, peux-tu nous en citer une!? Ah oui une pépite, y’a un mec qui a écrit un jour sur Google «!trou-ver une passion!» j’ai trouvé ça
tellement triste, tu peux tout trouver sur Google. Y’avait aussi «!Somdomie Auvergne!», à la limite je préfère trouver une passion.
Si tu n’avais pas été humoriste!? Ben j’aurais été humoriste (rires). Nan mon vrai rêve sinon c’était de diriger un vidéo club. En$n j’ai bien fait d’être comique car je sais pas si ça existe encore. Mais en parlant de $lms, j’ai revu Dirty Dancing et j’adore les année 90, mon rêve c’est que pour mon prochain anniversaire on fasse un goûter avec nos cartables, faut qu’on fasse tous nos devoirs et après on aura le droit de regarder Albert le 5ème Mousquetaire… en mangeant un pitch. (Rires)
Ton pire moment!à part avoir joué devant des acteurs pornos!? Une fois on m’a calé pour la deu-xième partie des Neg Marrons, et après eux évidemment tout le monde se barrait mais moi j’arrivais avec un micro pour faire des blagues…
T’as déjà piqué une blague à ta copine pour faire un sketch!?
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Tout le temps. Elle (Ornella Fleury) est très drôle et elle joue dans mon court-métrage Ma journée Tweet, ma première expérience en tant que réalisa-teur, mais j’avais quand même oublié les caméras chez moi.
À la "n de Ma Journée Tweet y’a un "ght entre Zahia et Nabila, tu aimes faire des vannes sur elles, est-ce que t’aurais une vanne sur Miley Cyrus!? Ah non j’ai trop de respect pour elle, surtout depuis que je l’ai vue jouer en live avec des nains, en fait j’adore les nains, en plus elle fait twerker une naine, génial!!
Et ton dernier spectacle!? Y’aura du sexe, des notices pour les mariages rebeu!? C’est ça. Nan, d’abord c’est la première fois que je travaille avec des gens pour écrire, car dans mon dernier spectacle mes amis me trouvaient moins drôle, et après avoir effacé leurs numéros de mon téléphone (rires) j’ai décidé d’écrire avec Florian Gazan et Morgan Spillmaec-ker. On s’est rassemblés entre dépressifs. On a discuté pendant des heures et moi j’ai vu que l’humour noir me faisait rire. Donc c’est un spectacle honnête, pour les gens au-dessus de
douze ans!! Je parle aussi d’une lettre d’une $lle qui m’a écrit parce qu’apparemment j’avais un enfant d’elle, voilà un peu le ton…
Du mercredi au samedijusqu’au 4 janvier 2014De 10% à 28%
Paris Est
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Imaginez un restaurant alliant cuisine sénégalaise et fast-food où chaque recette révèle des saveurs so Good. La carte est simple, chaque jour à son plat#: le lundi c’est poulet créole, le mardi c’est mafé poulet, le mercredi le mafé d’agneau, le jeudi le tiep bou yap (riz à la viande et carottes con$tes) et le vendredi le tiep bou dien au poisson sans oublier le riz et les légumes en accompagnement… Et ce n’est pas tout#! Le must#? Leurs burgers et hots dogs accompagnés de leurs frites et de leurs pains maison. Teranga Cantine, c’est le savoir-faire novateur d’une gamme pétillante de produits frais aux accents afro-antillais.
De l’entrée au dessert, tout est bon#! C’est l’alliance parfaite des produits traditionnels et des recettes créatives sélectionnées pour leur saveur et leur fraîcheur. Le tout relevé de boissons rafraîchissantes aux vertus régénérantes tel que le Jus d’orange, de pomme ou de bissap ("eurs d’Hibiscus)#: riche en vitamines C, il contient de nombreux antioxydants, il fait baisser la pression sanguine et la tension artérielle…
Il y a également des infusions tel que le Kinkeliba qui est doté de pouvoir diurétique car elle nettoie les reins et puri$e le sang. Vous l’aurez compris chez Teranga Cantine on se refait une santé de la tête aux pieds. Et le samedi, on sourit, on y trouve des brunchs richent en senteurs et couleurs. Et devinez quoi#? Un service de livraison vous est proposé à toute heure#! Alors haut les cœurs, c’est que
du bonheur#! Le service est sans interruption du mardi au samedi de 10h à 22h alors pourquoi s'en priver#! Vous pourrez également vous procurer des produits locaux avec les recettes délivrées par le maestro des cuistos, on y trouve#: des fruits secs, des herbes et "eurs séchées, des boissons, des fruits, des légumes…
Chez Teranga Cantine, on découvre une cuisine exotique avec des prix magiques#! Courrez-y vous serez surpris#! *Hospitalité en Wolof
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Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 22hLivraison 7/7 – AlloRestowww.terangacantine.comFB#: teranga.cantine.epicerie
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Lomography regroupe aujourd’hui une véritable communauté de milliers de passionnés à travers le monde. Et la boutique de Jean-Benoît, cachée derrière l’ascenseur de la place Franz Listz, est une véritable mine d’or. Je découvre avec des yeux émerveillés les produits phares comme le Diana, le Holga mais aussi des trucs complètement insolites comme le Spinner 360 (un appareil qui prend une vue panoramique à 360 degrés) ou encore le Lomokino qui permet de faire des $lms avec une pellicule 35 mm#! Encore plus dingue et dernier né de la saga Lomography, le Konstruktor, soit le premier appareil re"ex à construire soi-même. De quoi ravir les plus manuels et créatifs d’entre vous, à des prix allant de 30% à 500% pour les séries limitées. La marque attachant une vraie importance à la relation avec sa clientèle - habitués comme
amateurs -, vous pouvez vous inscrire à des cours intitulés “Le Diana pour les nuls” ou à des “safaris photos” et un service de développement est à disposition. Mieux encore, pour ceux qui auraient peur de sauter le pas, JB, trop sympa et toujours prêt à vous conseiller, vous prête gracieusement des appareils. À ne pas manquer non plus, le coin des bonnes affaires, mis à jour toutes les deux semaines. Et puisque plus on est de fous, plus on rit (et qu’on sait que vous ne crachez pas sur un p’tit verre), sachez que JB organise régulièrement des apéros. D’ailleurs, le prochain fêtera l’inauguration du Lomo Wall soit un mur entièrement recouvert de clichés Lomography. Cool, non#?–
Paris Est
Louis Haeffner Texte Photo Internet
Franck, 29 ans, arachnophobe dépressif!: C’est complètement l’événement le plus naze de l’année, je ne comprends pas cette fête. Pourquoi foutre des araignées et des trucs lugubres partout, tout ça pour récolter des bonbecs dégueux fabriqués à partir de graisses animales et d’os broyés!? Nan mais franchement on a plus 8 ans putain!! Alors quoi ça y est c’est Halloween on peut se déguiser, trop cool!?? C’est ça l’esprit!? Les gens sont tellement lobotomisés aujourd’hui qu’ils ont besoin de justi$er leur envie de se travestir par un prétexte bidon, qui plus est complètement pré-mâché par des médias encore plus bidons et une population dont le niveau de niaiserie atteint des sommets impossibles à envisa-ger pour le peu qu’on soit doté d’un minimum de conscience citoyenne. Tout ça me dégoûte, je déteste cette période de l’année. Je crois que je vais me déguiser en suicidé, ça peut être pas mal.
Jean-Claude, 52 ans, chirur-gien-dentiste!: Ah non, c’est un moment de célébration tout à fait positif je pense. On sait com-bien les petits Français adorent les bonbons, et comme ils en sont privés le reste de l’année. C’est en$n l’occasion pour eux de gâter leurs belles dents toutes neuves, et par conséquent de toquer à la porte de mon cabinet. Et comme j’adore les enfants… (sourire)
Antonio, 25 ans, chômeur!: Ah mais carrément!! Halloween c’est une grosse blague, une fête ricaine qu’on a voulu populari-ser en France pour rentrer des ronds. Tu savais que c’est France Telecom qui avait créé de toutes pièces cette mode débile à la $n des années 90!? Ouai ouai ils avaient lancé un téléphone tout pourri, noir et orange pour l’occasion, avec tous les plans de com’ dégueux qui allaient avec, distribution de citrouilles sur le Trocadéro et autres foutaises du genre, et du coup tout le monde
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a fait «!waaa mais c’est trop cool Halloween!!!». C’est vrai ce que je te dis, tu peux véri$er!! Putain de moutons (il crache par terre). Franchement je préfère large-ment la bonne vieille Toussaint, aller en famille sur la tombe de nos grands-parents et tout ça, ça a vachement plus de gueule et de dignité. Connards de ricains!!
Sarah-Lou, 10 ans!: Non moi j’aime bien Halloween, on peut se déguiser et s’amuser et recevoir tout plein de bonbons et écouter des histoires qui font peur!! En plus mon amoureux il va se déguiser en prince et moi en princesse alors…
Marie-Chantal, 57 ans, retraitée!: Oh non, Halloween c’est très sympathique pour les enfants, ils peuvent s’amuser, et c’est aussi l’occasion pour les adultes de se détendre un peu. Une fête en plus, même si elle n’a pas ses origines dans notre tradition, c’est toujours bon à prendre, sur-tout par les temps qui courent. J’ai aussi entendu parler d’une alternative lancée par le diocèse de Paris qui m’a l’air tout à fait intéressante, et plus conforme aux attentes des gens de ma génération je pense. Ca s’appelle «!Holy wins!», c’est un jeu de mots amusant qui signi$e «!le sacré est vainqueur!». C’est une
façon de nous rappeler en nous amusant que nous célébrons les morts, ceux qui ont rejoint le Seigneur…
Christian, 37 ans, gardien de la paix!: Encore une soirée où les gens vont boire et faire n’importe quoi sur la voie publique. L’année dernière on a eu en gars en cellule de dégrisement qui s’est correctement vidé la citrouille. Il en a foutu partout ce con. Je suis sûr que ça pue encore aujourd’hui. Une connerie de plus, je vous dis.
Paris Est
24 • Paris Est
le Bon atelierAlice Botalla-Gambetta Communiqué Photo Doudou Didon
Dodu DindonCe n’est un secret
pour personne, j’aime la mode et la bouffe, moins les mouflets. Pourtant, Dodu Dindon, ça m’a fait rire et ça m’a intriguée. Je n’ai pas été déçue.
Dodu Dindon ? C’est quoi, une
rôtisserie ? Une ferme en plein
Paris ? Un bar de hipsters ? Ben
non. C’est la marque fun et
originale de vêtements pour
enfants made in France imaginée
par Anouchka il y a 4 ans. Depuis
début septembre, c’est aussi un
concept store dédié à l’univers
des bambins niché dans le 10e,
près du canal Saint Martin.
Alors en congé mat’, Anouchka
s’ennuie ferme. Diplômée d’une
école de mode en marketing
et gestion et habile de ses dix
doigts, elle décide de fabriquer
elle-même les vêtements de ses
deux petits, qu’elle poste ensuite
sur son blog. Et ça plaît ! Le style
est décalé, poétique, loin de
la standardisation des grandes
enseignes. On se passe vite le
mot, les commandes affluent :
Dodu Dindon est née. Mais, pour-
quoi Dodu Dindon ?! « À la base, c’est le surnom de mon deuxième
bébé qui était bien dodu, mon dodu dindon ! J’ai trouvé aussi que d’un point de vue marketing, ça sonnait bien, c’était rigolo et unique en son genre ». Après la
collection Couture cousue main,
Anouchka lance une autre ligne
Chic & Rock, entièrement per-
sonnalisable grâce à la sérigra-
phie, puis une ligne pour femmes
comportant t-shirts et robes.
En plus, créativité et inventivité
ne riment pas forcément avec
« sortez les deniers » : les pièces
sont vendues entre 35€ et 80€.
Depuis peu, les collections
d’Anouchka sont disponibles
dans une boutique dédiée à
l’univers de l’enfance : La Maison
Dodu Dindon, un projet qu’elle
a réalisé avec sa mère. Dans ce
concept store, on découvre des
pièces uniques d’autres créa-
teurs français dénichés grâce au
réseau d’Anouchka, des jouets,
de la décoration, qui font la joie
des connaisseurs et des adeptes
du cadeau authentique et pointu.
Un lieu chaleureux et vivant,
décoré avec goût et fantaisie,
qui lui ressemble : « On s’y sent bien, me dit-on, les retours sont très positifs. » Admirative de
cette trentenaire entrepreneuse
dont l’âge n’est pas si éloigné du
mien, je m’intéresse au regard
qu’elle porte sur son parcours.
Elle répond en souriant que
« tout ceci ne serait jamais arrivé sans [ses] enfants et le soutien de [son] amoureux. De voir que mes collections se développent, que les clients en boutique qui ne me connaissent pas les apprécient sincèrement est une vraie satis-faction et on en tire forcément une fierté. Ce n’est pas facile, je ne compte pas mes heures mais j’ai une vraie qualité de vie. Tu vois, là, je peux aller chercher mes enfants à l’école ! ». Et paf !
En plein débat sur l’égalité, je
ne peux pas m’empêcher de
lui demander si nos amis les
hommes sont investis en la
matière. La réponse est oui ! Le
meilleur compliment qu’elle aie
d’ailleurs reçu vient d’un papa, et
finira de vous convaincre d’aller
y faire un tour et pourquoi pas,
de rencontrer « Madame Dodue »
(présente les jeudis, et parfois le
samedi) : « C’est le futur MERCI du coin ». On le lui souhaite.
3, rue alexandre Parodi - 10e
Tous le jours de 11h à 19h,
sauf le lundi.
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Paris Est
Petits amis Béliers, les astres vous sourient#! En$n me direz-vous, car Ouhahouuuu vous avez pris cher ces derniers mois. Pas d’inquiétudes, le cauchemar est $ni, la roue a tourné sur votre voisin de palier (le pauvre!!). En octobre, vous gagnerez du pognon, vivrez une idylle, partirez en vacances… Bref tout est rose ce mois-ci. Même Peggy, le cochon d’Inde que vos copains vous ont intelligemment offert pour votre crémaillère. Alors on se lâche, on vit à fond sans se poser de questions et on n’oublie pas de $ler Peggy à sa mère#!!
Ce mois d’octobre sera mitigé… Pleine forme physique mais il y aura des hauts et des bas. Parfois, apprenez à prendre en compte les conseils des autres, même s’ils ne vous sont pas utiles dans l’immédiat, cela pourrait grandement vous servir par la suite… En couple, vos petits problèmes s’arrangent, l’ambiance revient à l’harmonie. Ne vous prenez plus le chou pour des futilités. Côté travail, montrez-vous plus patient et courageux que d’habitude, il va y avoir des moments dif$ciles, mais bon… That’s life!!
Avec le retour précoce du froid, c’est le moment de réchauffer votre bien-aimé à coup de dîners aux chandelles, séances ciné et massages. Célibataires, il est temps de vous caser. L’idée de passer l’hiver seul vous fait frissonner d’avance. Au boulot, tout semble rouler comme sur des patins. Si vous n’avez pas de chance en amour, n’hésitez pas à tenter votre chance aux jeux. Pour ne pas tomber malade, pensez à la propolis. Et n’oubliez pas la levure de bière pour votre calvitie naissante.
Votre vie ne doit pas s’estomper au même rythme que votre bronzage d’été. Octobre sera pour vous un mois plein!de rebondissements. Si vous êtes un cœur solitaire, être casanier c’est bien mais ce n’est pas forcément la solution. Sortez, faites la fête mais attention tout de même à préserver votre foie, il pourra vous être utile!aux périodes de Noël. Au boulot ce n’est pas fun fun. Sous l’in"uence de la Lune, vous pourrez voir votre carrière propulsée au plus haut des cieux. Attachez-vous, ça décoiffe.
Chers Lions, faites $ des feuilles mortes, du vent fraîchissant et du soleil déclinant, l’automne vous donne des ailes#! Prenez le large, cap à l’ouest, une nouvelle vie vous tend les bras. Ruez-vous vers l’or, mais gare aux avalanches… Coté cul, votre petit cœur frissonne,!allez!! Offrez-lui de l’amour, ou quelques gâteries cuir moustache!si votre parte-naire bouillonne. Célibataires, baisez tous azimuts!! Lèvres tendues, cuisses entrouvertes, regards mu-tins, verges $ères se dressant contre l’hiver!: tout est là pour combler vos ardeurs.
Vous croyez peut-être que tout problème est une montagne insurmontable#? Ce n’est pas faux, mais ne contemplez plus la montagne, franchissez-la#! Le mauvais temps n’est pas sans impact dans vos nombreux con"its. Au boulot, certaines opportuni-tés s’offrent à vous. Ne vous laissez pas marcher sur les pieds et surtout lâchez-vous. En couple, c’est plutôt cool, mais ne négligez pas pour autant votre quotidien, innovez a$n d’éviter le schéma insuppor-table du métro boulot dodo. N’oubliez pas de rester jovial car l’automne ça peut être cool aussi.
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En ce mois d’octobre, vous ne savez pas sur quel pied danser. La constellation de Saturne a un effet positif sur vos $nances. Soyez alerte, les billets verts vont danser autour de vous tels des papillons de lumière. Cependant, les temps s’annoncent durs sur le plan amoureux. Uranus est intraitable avec les Balances et votre karma va en pâtir. Gâtez votre amoureuse si vous voulez la garder. Sinon, allez trouver un peu de stabilité auprès de votre cocon familial, et si défaillance il y a, pourquoi pas un cochon d’Inde. Courage!!
Le positionnement de la Lune forestière d’Endor risque de vous causer quelques insomnies. Pour trouver le sommeil, lisez un bon livre et faites un peu de sport, ça vous fera du bien. Côté amour, mé$ez-vous, une personne du sexe opposé res-semblant de manière troublante à votre géniteur va tenter de vous séduire#: gardez vos distances#! Une belle rencontre est toutefois à prévoir le 24 du mois. Professionnellement, procrastinez et évitez d’atteindre vos objectifs, la belle promotion dont vous rêvez n’est plus très loin.
Une petite baisse de moral et un mois d’octobre qui ne sera pas de tout repos. Rassurez-vous, votre nature de battant vous permettra de faire face aux complications. En couple, c’est l’amour fou, tout roule#! Célibataire, la solitude vous pèsera en-core mais patience, d’ici les deux prochains mois, une rencontre importante va se faire… Sûrement l’amour de votre vie… Soyez à l’affût, ne le/la laisser pas s’échapper#! Vous cherchez du travail ou vous êtes en attente d’une promotion#? Un horizon pro-metteur s’ouvre à vous autour du 23 octobre.
Planquez-vous#! C’est le mois du cataclysme pour les Capricornes. Une explication!?!C’est en octobre que Typhon, le vilain dieu grec, attaqua l’Olympe et $t transformer Dyonisos en animal mi-bouc, mi-poisson, appelé Capricorne. Vous l’aurez compris, mieux vaut éviter de montrer le bout de votre museau (ou queue) au risque de vous métamor-phoser en bête de foire. Pour vous détourner de la tentation du Saturday Night Fever, préférez un bon $lm au chaud dans votre panier. Au programme ce samedi soir!: Troie ou Babe. Allez, le 31 est proche…
ALOHA, euh nan ce n’est plus l’été et ça va se ressentir ce mois-ci. Le temps maussade ne sera pas en votre faveur, ni les astres d’ailleurs, vous aurez du mal à sortir de sous la couette le matin et serez réceptifs à tous types de virus alors prenez vos précautions!! Vénus sera tout de même quelque peu positive pour les Verseaux et vous appor-tera l’amour. Bon d’accord pas avec un grand A, mais bon pourquoi chercher l’amour en 2013!? Ça n’existe pas, désolé de vous décevoir.
Comme prévu vous avez repris le boulot sur les chapeaux de roues. Votre vie virevolte comme un conte de fée, votre bonheur suscite jalousie et envieux en tout genre, un conseil : protégez-vous#! Jupiter en bon aspect à Vénus : il y a comme une atmosphère d'amour qui plane. Votre romance est bien présente. Vous pourriez recevoir un cadeau qui vous fera très plaisir et vous mettra du baume au coeur pour le mois ;-)
Octobre 2013
Le MotelRees of maine +!Raphael Kidd - 7 octobreSelenian - 8 octobreBrian Smith - 9 octobre!Ollie jœ +!Clea Vincent - 10 octobreThe paper plane!(tours) + dj set - 12 octobre
Le BataclanPink Martini - 13 octobreShaggy feat. Sly&Robbie - 20 octobreVolbeat - 25 octobreCrystal Fighters - 29 octobre
Le Nouveau CasinoCrazy B all night long - 11 octobreHarders club #5 - 18 octobreJrocc plays James Brown - 19 octobreWhat the funk #102 w/ amir - 25 octobreKen Ishii residency - 26 octobre
La JavaMona 90’s house & Garage ball - 12 octobreHouse of Moda -1 8 octobreOff the Hook - 25 octobre
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Magda DanyszPrune Nourry - Terracotta Daughtersjusqu’au 26 octobre
Le 104Exposition des félicités des Beaux-Arts de ParisTout le mois d’octobre
Galerie ItalienneExpo permanente à voir absolument#!Signé MPK
Théâtre AntoineInconnu à cette adresseTout le mois d’octobre
Laurette ThéâtreMoi, mon mari, mes emmerdesTout le mois d’octobre
L’Alhambra Le Comte de BouderbalaTout le mois d’octobre
Paris Est
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GLADY’S 26, rue de Maubeuge - 9e
Tél.#: 01 48 78 70 14—
1001 FENÊTRES71, rue Condorcet - 9e
Tél.#: 01 45 33 03 86 —
COQ O RICO115, rue St Maur - 11e
Du mardi au dimanche de 18h à 2h—
LE VISIONNAIRE53, bd beaumarchais - 3e
Tél.#: 01 57 40 99 64
LA FERME5, rue des Petites Écuries - 10e
Tél.#: 01 47 70 78 24 —
SWEETY CAKE4, rue Malher - 4e
Tél.!: 09 81 74 37 88—
YIA ART FAIR 201374, boulevard Richard Lenoir - 11e
46, rue de Sévigné - 4e
17, rue de Commines - 3e
116, rue de Turenne - 3e
— Imprimé en France —
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ce d
ans
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dits
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25 OCT.
03 NOV. 2013
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