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Découvrez le magazine Le Bonbon Paris Ouest de Jabvier 2014
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ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!
Janvier 2014 - n° 47 - www.lebonbon.fr
PARIS OUEST
Photographe : Flavien [email protected].!avienprioreau.comModèle : Charlie PerchéAccessoire : Bettina Armandi-Maillard
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PrésidentJacques de la ChaiseRédacteur en chef
Raphaël BreuilRédactrice en chef adjointe
Justine KnappDesign original
Tom Gordonovitch Graphiste
Gaëlle LepetitSecrétaire de rédaction
Louis HaeffnerStagiaires
Anne-Clémence, Sonia & Hortense
01 48 78 15 64SAS Le Bonbon
12, rue Lamartine 75009 Paris
SIRET 510 580 301 00032Imprimé en France
C'est l'histoire d'un Charles qui décide de partir au Brésil. Manque de bol, au moment de s'envoler, il tombe amoureux. C'est l'histoire d'une Élise qui plante son beau monde à 3 jours du bouclage dans une sortie des plus théâtrales. C'est l'histoire d'une Charlotte aux fraises des bois qui voulait devenir une star et faire la couv' du Bonbon. C'est l'histoire d'un bonhomme qui depuis qu'il sait qu'il est papa a du mal à tenir debout. C'est l'histoire d'un barbu qui voulait être rédac' chef du Bon-bon Nuit sauf que la seule star qu'il arrive à trouver c'est la dame pipi du Palace. C'est l'histoire d'un Raph' qui se morfondait dans les bas-fonds d'une salle de pourri-travail et qui d'un coup de baguette magique accomplit son rêve. C'est l'histoire d'un Tony qui à force d'être présent !nit par disparaître pour mieux réapparaître dans le lit d'une certaine Rosalie. C'est l'histoire d'une équipe de foot qui chaque année court après un titre qu'elle n'arrive jamais à gagner. C'est l'histoire d'une Rachel généreuse et enivrante à toutes les soirées. C'est l'histoire d'un renard des surfaces nommé Poutralier. C'est l'histoire d'un Nico, tou-jours avec le sourire, mais toujours fanny. C'est l'histoire d'une Sophie et d'une Slavika, nos petites livreuses adorées. C'est l'histoire d'un Jean-Nicnic, mentor du Pierrot pour son Graal. C'est l'histoire d'une Gaëlle qui sans avoir l'air de parler en dit beaucoup. C'est l'histoire d'une Juju que rien ni personne ne peut arrêter. C'est l'histoire d'un Louis qu'a pas vu la faute, d'un Vuk surnommé "le Loup", d'une Hélène avec 2 "t" et 2 "r", d'un Arnaud qui fait pleurer les !lles aux portes des clubs, d'une Olivia qui se noie dans les soirées de la semaine, d'un Hugo qui fait du surf, d'une Charlie qui court après son chiffre et ses cours, tout cela accompagné de R2D2 et Z6PO à tout jamais dans nos cœurs. C'est l'histoire du Bonbon… tout simplement !
Jacques de la ChaisePrésident du Bonbon
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"Depardon
ArdeurBrasserie Mollard
La Bonne Galette
Groomhandy's
Le Bon Shopping
Le LavatoryEdukar
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L'exposition visible à la Cité de l'Architecture nous fait revivre l'époque 1919-1940, l'époque où l'Art déco réunit les artistes et créateurs autour de formes géométriques, «#pures et dyna-miques#»"! Avec des œuvres de Tamara de Lempicka, Charlotte Perriand, Joséphine Baker, Coco Chanel, l'exposition souhaite révé-ler les caractéristiques du style Art déco, qui s'écarte de l'Art nouveau par son aspect plus géométrique, franc et technique.
Il nous présente ses toiles, reconnaissables entre toutes, qui se distinguent par des cou-leurs raf!nées et un dessin précis découpant la forme qu’il met également au service de la gravure. L’exposition est réalisée grâce au sou-tien de la Maison Bucherer et d’Eiffage Travaux Publics. Avec la participation de Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture.
L'exposition consacrée à cet artisan révéré pour ses coupes et cou-tures complexes, qui dit préférer «#les vêtements qui durent#», aligne soixante-dix de ses modèles les plus représentatifs dans un décor signé du designer parisien Martin Szekely. Ils dessinent les contours d'un nouveau corps, magni!és par une génération de mannequins qu'Alaïa a contribué à révéler.
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Paris Ouest
Mathilde Saliou Texte Photo Raymond Depardon
Une exposition en forme de retour sur l’histoire du photo-graphe. Après tout, elle a été organisée en étroite collabora-tion avec lui. Loin des obligations des reportages, Depardon a aussi su apprécier la couleur. Alors on suit son parcours, des premières photos, réalisées dès l’adoles-cence dans la ferme familiale, à celles réalisées pour le plaisir, en Amérique du Sud ou en Afrique.
On entre sur un très grand for-mat. Un homme qui lit son jour-nal, allongé sur un lit, dans une obscure chambre vietnamienne. Bienvenue dans le dé!lé de ses souvenirs, pourrait-on se dire.
Aux murs, des mots de Depardon. Il explique comment la couleur est pour lui reliée aux souvenirs. Comment «#la couleur est la métaphore de la curiosité#». Oh, il y a eu un effet de mode. De la
!n des années 50 aux années 80, très précisément. Mais lui ne se remet à la couleur de son plein gré qu’en 1984, lorsqu’il part dresser le portrait de la France.
Pour autant, il n’avait pas aban-donné ses !lms dans les années précédentes#: on débarque sur une série prise à Glasgow. Ville industrielle, ciel bas, recoins sombres. «!À Glasgow, il n’y a pas de guerre. Que photographier alors!?#» L’œil s’accroche aux robes à smocks, aux $ammes, et aux bulles de chewing-gum des gamins des rues.
Et de l’autre côté, il se heurte, presque, à la Piaf que Depardon avait interviewé en débarquant à Paris. Autour, ce sont des photos de famille, photos souvenirs, souvenirs qui seront à l’origine de son retour à la couleur, tout se tient, on tire le !l.
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Côte à côte, des impressions d’Ethiopie, un mec rigolard qui se tourne face à l’objectif. Des blondes souriantes qui soutien-nent Nixon dans sa campagne. Des Péruviens forcés de fuir leur village à cause d’un tremble-ment de terre. Moments de vie parfois proches, parfois lointains de la nôtre#; mais toujours, qui intriguent le spectateur, le font rester là pour détailler l’image.
En Argentine, un jeu sur les ombres portées. Des passants qui projettent leur image et fabriquent une nouvelle archi-tecture aux rues de Buenos Aires. Et de l’autre côté, des tirages à
taille humaine d’images prises en Ethiopie.
Pourquoi Moment si doux!? Parce que Depardon s’est simplement attaché à prendre des photos «#que tout le monde pourrait faire mais ne fait pas#». Depar-don s’est simplement appliqué à capturer des moments de la vie quotidienne. Dans l’aspect tout relatif qu’à la vie quotidienne d’un photojournaliste globe-trotter, certes. Le résultat, ce sont des photos fascinantes ou des photos chiantes selon les avis, et selon d’autres photo-graphes «#du milieu#». On ne saura pas s’ils sont jaloux, blasés
par ces photos «#normales#» ou simplement agacés des relations qu’ils prêtent à Depardon et au conservateur du musée. On ne saura pas non plus si cette dernière allégation est vraie. En tant qu’amateur, on sera surtout déçu ou seulement dubitatif que l’explication soit si simple.
Jusqu’au 10 févrierGrand Palais Galerie Sud-Est3, av. du Général Eisenhower – 8e
Paris Ouest
Photo Florie bergerJustine Knapp Communiqué Photo Florie Berger
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Maillot de bain en!lé, je m’ins-talle sur la selle de vélo dans la cabine individuelle. C’est parti pour une séance de 45 min de Waterbike, littéralement du vélo dans l’eau. Le rendez-vous a été pris dans un petit havre de paix, niché entre Place de Clichy et Saint-Lazare. Décoration chic, lumière apaisante, coin thé-café. J’ai d’avantage la sensation de pénétrer dans un spa que de me préparer à courir le Tour de France. L'accueil chaleureux et l'attention portée aux clients me confortent dans cette idée. Dans le petit brie!ng personna-lisé que l'on me fait d'entrée, la question de la propreté arrive bien vite. Et pour cause, dif!cile de trouver à redire. «#Nous met-tons de l'ozone dans l'eau pour la puri"er, et éviter d'avoir recours au chlore qui dessèche la peau.#»Dans la cabine, l’eau justement monte progressivement jusqu’au-dessus de mon bassin, alors que
je commence à pédaler. Bien que je sente déjà la résistance de l’eau, le pédalier est réglé au minimum ce qui me conforte sur l’intensité de l’effort. Pourtant, au bout de quelques minutes déjà, la température de l’eau aug-mente à l’instar de mon rythme cardiaque. L’exercice semble plus ef!cace qu’il n'en a l’air.Comme on me l'a conseillé avant la séance, j’alterne les mou-vements. Petite accélération puis rétropédalage, avant de me mettre en danseuse sur les pédales. Des palmettes à !xer sur les mains ainsi que des poids me permettent de travailler mes bras en même temps. Au !nal, une séance de 30 minutes permet de brûler entre 300 et 500 calories, soit l’équivalent d’une demi-heure de course à pied. Le tout sans avoir la sensation de réa-liser une performance sportive intense.Déjà, un écran diffuse la chaîne
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de votre choix ou une vidéo de coaching sportif, au choix. On peut même ramener son propre !lm ou épisode de série, d’une durée identique à celle de la séance (sur clé usb). Toujours dans un objectif de bien-être, des jets sont projetés façon jacuzzi pour favoriser le retour veineux et gommer la cellulite en prime. Sans parler des lumières immergées qui changent douce-ment de couleur, histoire d’ap-porter une ambiance relaxante à l’ensemble.Pourtant, la fréquence cardiaque et les kilomètres parcourus af!chés sur le moniteur de la
cabine me con!rment que je suis toujours en pleine session sportive. On m’indique d’ailleurs que les effets se font ressentir au bout de 6 à 8 séances. Jambes af!nées, cuisses fermes, fesses remontées et haut du corps galbé à la clé#!Pour plus d’ef!cacité encore, il est possible de verser des pro-duits à base d’algues fraîches de Bretagne dans l’eau. Conçus par un laboratoire, ils ampli!ent les effets du drainage et favorisent l’amincissement.Quarante-cinq minutes plus tard, l’eau s’écoule progressivement et je sors de ma bulle. Je me
sens légère comme une plume, presque tentée de voler jusqu’à ma serviette. Une bonne petite poussée d’endorphine, l’hormone du bonheur, n’est pas étrangère à cette sensation de bien-être. Alors, est-ce que c’est tricher de dire que je me remets au sport#?
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jouer à l’idiot. Si nous parvenons encore à nous révéler solidaires dans les extrêmes (en attendant de voir Adriana Lima tomber dans la Seine en plein hiver et plus d’une centaine de mecs mourir de froid en voulant la repêcher), cette coutume mériterait vraiment de rentrer dans les mœurs. Si on creuse un peu, le café suspendu est une bonne action à triple effet. On fait sa BA du jour, on apporte un peu de chaleur et d’énergie à ceux qui en ont besoin et en!n, on offre la possibilité de partager un moment de convivialité, de partage, voire de réinsertion à ces gens trop souvent seuls et isolés à l’ombre d’une porte cochère.
Quasiment convaincus#? Mais «#un peu #ou tout ça#»#? Pour expérimenter le concept,
partez à la conquète du vrai Paris pour trouver des bars participants. Ensuite, c’est à vous de convaincre votre rade préféré de s’y mettre. Le seul argument que Raymond le patron pourrait avancer pour contrer votre offensive d’humanité serait#: pas de SDF en terrasse. Il va falloir sortir les grandes œillades et un bon argumentaire Bonbon, mais on vous fait con!ance, ça va passer tranquille. Sinon vous pouvez toujours le menacer de le faire passer pour le grand méchant dans tout le quartier.
PS#: On peut aussi essayer les deca suspendus ou les cafés noisette, crème et même les capuccino, tout dépend de votre mood.
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Le concept#? Au lieu de pro!ter égoïstement d’un bon café, en payer deux et laisser une ardoise à disposition d’une personne dans le besoin. La formule magique#: «#2 cafés siouplait, dont un en suspend#». Malheureusement, Français désabusés et gris que nous sommes, notre serveur risque de
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Une fève sous la pâte feuille-tée, le plus jeune sous la table. Le rituel de la galette des rois date des Saturnales, fêtes de l'antiquité romaine, où les esclaves pouvaient devenir «#roi d'un jour#» et assouvir tous leurs désirs, selon que la main d'un d'entre eux s'arrêtât sur la bonne part. Au coucher du soleil, l'heureux gagnant retrouvait sa vie servile ou était mis à mort. Moins festif tout de suite. Aujourd'hui encore, on ne rigole pas avec la galette, du moins du point de vue traditionnel. La classique à la frangipane remporte tous les suffrages, bien que l'offre reste diversi!ée": poire-cho-colat, framboise, ananas-coco, etc. La galette, c'est la plus grosse période de l'année pour les pâtisseries, devant celle de Noël et des bûches. La maison Desgranges, rue de Passy dans le 16e, en prépare près de 13"000 en un mois (chacune accompagnée gratuitement d'une bouteille
de cidre, pour une association raf!née). Le marathon a débuté !n décembre, mais l'attente a été longue à tenir. «#Dès le début du mois dernier, les clients nous en réclamaient$! La galette, c'est une seule période, alors tout le monde trépigne d'impatience#», décrypte Yann Desgranges, l'un des deux frères qui gèrent la maison transmise depuis cinq généra-tions. L'engouement est tel que le rythme est dif!cile à tenir pour les petites équipes, qui préfèrent se tourner vers le surgelé. Plus de 80% des galettes des rois vendues à Paris viennent de l'industrie agroalimentaire. Celle de Yann a conservé la même recette depuis 25 ans. Même crème pâtissière, même crème d'amande, une note de rhum, un feuilletage riche en beurre et surtout des produits de qualité. Pour la réchauffer, privi-légier le four à 80° plutôt que le micro-onde, sacrilège.
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Paris Ouest
Arnaud Chaillou Communiqué Photo"DR
Suite au succès de la première adresse rue Monge, la famille décide de racheter la plus ancienne auto-école de Paris, rue de Rennes en 2005. L’arrivée de Romain dans l’entreprise poursuit le développement et la modernisation avec l’ouverture d’une troisième, située place des Ternes. Il règne dans les agences une ambiance décontractée,
l'accueil y est chaleureux et professionnel, la déco tendance et les outils modernes, l’endroit rêvé pour apprendre à passer la seconde#! Ici, le forfait 20h est à partir de seulement 739 euros, code, frais et examen de conduite compris, environ 300% moins cher que ce qui se propose en général à Paris. Le but de l’entreprise est de simpli!er au maximum pour ses clients le passage du permis, en étant le plus souple possible et en proposant plusieurs formules, adaptées aux besoins et aux disponibilités de chacun. Edukar propose des sessions dans des salles de code collectives pouvant accueillir une cinquantaine de personnes, en semaine de 10h30 à 19h30 ou bien sur internet, avec un contrôle de ce qu’ils font, pour voir leur niveau à distance. On peut ensuite choisir d’apprendre à conduire de façon classique, ou bien de commencer, encadré
par un moniteur Edukar, avec le simulateur de conduite, outil moderne homologué par l’État, qui vous permet de prendre con!ance en vous sans être gêné par la circulation#! Pour les accros de deux roues, Edukar est également imbattable, seulement 759 euros (formation classique ou stage d'une semaine) avec piste privée, moniteurs expérimentés et chacun sa moto#! Edukar réserve aussi une bonne nouvelle à tous les futurs conducteurs en herbe#! L’entreprise lance en Mars 2014 un concept innovant du nom de «#ROADEO#», qui offrira aux clients de nouvelles possibilités d’apprentissage et limitera les coûts du permis de conduire#! Affaire à suivre…
www.edukar.fr
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Mathilde Saliou Communiqué Photos Florie Berger
JAQK, c’est donc l’élégance masculine placée sous le signe de l’un des jeux de cartes les plus tendances. Les détails sont aussi soignés que la concentration portée sur sa main au moment d’augmenter la mise. La même attention est portée envers le choix des coupes et la qualité des matières. Le tout aboutit à deux lignes différentes qui atti-reront autant l’œil des initiés que des novices. La Gentleman joue sur la subtilité du détail, tandis que Playing, toujours aussi élé-gante, se permet des références plus marquées au monde du jeu.
Le Poker et le sens du détail guident l’esprit de la marque, et quoi de mieux pour pous-ser celui-ci que de lancer des accessoires élégants et discrets#? Les hommes modernes seront ravis de pro!ter des I-JAQK 4 et I-JAQK 5 pour leurs Smartphones
que nous ne nommeront pas. Les hommes tendance sauront uti-liser porte-cartes à bon escient et porte-boutons de manchettes avec distinction. Quant aux plus doués pour le bluff, il leur faudrait songer à se procurer une pince à billets pour ranger les gains tout juste remportés.
Retrouvez toutes leurs col-lections dans leur réseau de bou-tiques multimarques, et dans les nouveaux magasins qui ouvrent peu à peu. Retournant à leurs origines, les six amis s’en sont ainsi allés ouvrir leur première boutique permanente en plein Vieux-Lille, au 27, rue de la Mon-naie. Joli coup que réalise là la bande#! Vous y trouverez toute la collection hiver 2013. Allez aussi jeter un œil sur leur blog, vous y trouverez les prochaines soirées Poker que parraine la marque, ou encore les événements sportifs#:
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les joueurs se sont retrouvés sur le circuit des 24h du Mans l’an dernier. À retenter cette année#?
Et dans le courant du mois de décembre, JAQK a poussé le concept au maximum. Un Casino est maintenant ouvert en plein Champs-Elysées, dans leur Main Store. Avis aux amateurs de roulette et de machines à sous,
l’accès à l’endroit est gratuit. Les initiés y prendront vite leurs marques, et les novices seront probablement encore plus rapi-dement atteints de la !èvre du jeu. Ceux qui remporteront les mises se verront offrir nombre de lots par la marque.
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Il y a encore deux ans, place de la Madeleine dans le 8ème arrondissement, il suf!sait de descendre un petit escalier discret pour faire un bond dans le passé, un siècle plus tôt. Le fameux lavatory Madeleine, aujourd’hui fermé, abritait des latrines aménagées dans des galeries souterraines par Procher en 1905. Une première en France à l’époque, calquée sur les lavatories en fonction depuis les années 1880 à Londres. À l’origine, les passants y trouvaient des toilettes pour hommes et pour femmes, accolées à la loge du gardien.
Si les cars de touristes venus du monde entier s’arrêtaient en en!lade à l’entrée du boulevard des Capucines, ce n’était pas uniquement pour le caractère historique des lieux. Avant même de pénétrer à l’intérieur, la mosaïque Art déco apposée le long de l’escalier donnait un parfait avant-goût de la déco quelques marches plus bas. Des vitraux à motifs $oraux surmontaient les portes des cabines individuelles. Cabines chacune munie d’un lavabo aux robinets en laiton.
Le lavatory Madeleine a gagné naturellement ses lettres de noblesse. En 2011, il est répertorié comme monument historique, la même année que sa fermeture au public. Une décision prise par la Ville de Paris, faute de rentabilité. Les 350 passages par jour ne justi!aient plus une dame pipi, au grand dam de la Mairie du 8ème arrondissement qui s’est opposée à cette censure du patrimoine parisien.
Les latrines n’en étaient pas à leur premier coup de massue. Quelques années auparavant déjà, la partie homme avait été concédée à France Télécom pour un local technique.
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Maman je t'aime et te souhaites un bon
anniversaire !
Merci Jack of the Chair pour cette couv :)
À ma Moumoune chérie !
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Manu on va en!n voir ce que t'as dans le capot !
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Qui parmi vous, amis fumeurs, n’a pas déclaré au moins une fois à ses potes «#Cette fois c’est bon, j’arrête#». Pour ensuite écouter leurs moqueries, quelques semaines plus tard, sourire contraint et clope aux lèvres#? La Vaporeuse propose une solution novatrice en la qualité de ses e-cigarettes vendues dans un joli concept store. Parce qu’arrêter de fumer n’est une mince affaire pour personne.
On apprécie les marques reconnues, telles que Kanger, Vision ou Jovetech, et les différents e-liquides, représentés par les meilleurs labels": Alfaliquid (France), Flavour Art (Italie), The Fuu (UK)… même Jameson’s (USA), la rolls du genre, qui propose une offre de liquides distillés à partir de fruits frais. Il y en a pour tous les goûts, ça aide à ne plus voir le changement de fumée en vapeur. Et surtout,
on aime la qualité de l’accueil. À la vaporeuse, il s’agit de prendre son temps. Du temps pour expliquer, du temps pour tester (plus de 100 références de liquides à goûter avant d’acheter"!), le tout dans une ambiance dédiée au bien-être. À la Vaporeuse, on trouve même une sélection de thés et de chocolats bio, des livres et des bandes dessinées… Ceci réuni dans un petit atelier de la rue de Constantinople, dans le 8ème arrondissement. On notera deux autres enseignes parisiennes (24, rue du Vertbois -3e / 23, rue du Roule – 1er). –
Ouvert le lundi de 13h à 18h30 et du mardi au samedi de 11h à 19h30
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Dans un monde où le temps est devenu notre bien le plus précieux, un petit coup de pouce n’est jamais de refus. C’est là que Groomhandy’s intervient. En vous acquittant d'un droit d'entrée annuel, les membres ont accès à la conciergerie et à toute une palette de services. De la garde des enfants aux démarches administratives, d’une table au pied levé dans des restaurants inbookables à des places pour LE concert de l’année sold-out depuis des mois, d’un anniver-saire clé en main à votre lubie du jour, Groomhandy’s a réponse à tout. C’est en véritable chef
d’orchestre que l’entreprise jongle avec les prestataires, pour un service unique, accessible à partir de 100% par mois.
La conciergerie s’appuie sur un réseau ultra-performant à Paris et à l’étranger. Ils sont dans tous les bons coups et peuvent aujourd’hui répondre aux fantasmes de leurs clients. Un entretien personnalisé au moment de l’inscription permet de mieux vous cerner, de récupérer toutes les informations nécessaires à une $uidité optimale et d’installer une vraie relation de con!ance. Disponible 24/24 et 7/7, un coup de !l et hop hop hop on part à Berlin avec le vol du soir. Chez Groomhandy’s, on garde la qualité et l’imaginaire des concierges de palace, mais accessible de chez soi, à n’importe quel moment de la journée#!
Au panthéon des demandes les plus farfelues, on retient ce businessman français qui s’est fait livrer un costume de Napoléon pour une soirée d’époque à Las Vegas#! Groomhandy’s repousse les barrières du possible et vous sort des mauvaises situations.
Les grooms sont maintenant dans tous les bons coups et proposent à leurs membres des suggestions en fonction de leurs goûts et besoins. Avoir un concierge c’est le nouveau cool de 2014, et parole de Bonbon, ça change la vie. Une fois qu’on y a goûté on devient accro, et vous auriez bien tort de vous en priver#! –
Paris Ouest
Justine Knapp Texte Photo Didjer Roger
Une sole meunière à 13h, des huîtres à 16h, un steak tartare à 18h, ou un baba au rhum en !n de dîner. À la brasserie Mollard, dans la pure tradition, le service est continu de 12h à 00h20. Cuisiniers, écaillers, pâtissiers et serveurs animent en permanence ce lieu de vie ancré dans le patri-moine parisien.
Entre 300 et 500 clients viennent se délecter chaque jour de la cuisine traditionnelle française, dans un décor historique Art nouveau signé par l'architecte Niermans, également à l'origine du Moulin Rouge ou du Casino de Paris. Mosaïques anciennes, tons vert d'eau et dorés ou céramiques n'ont pas bougé depuis les débuts de la brasserie. Trente ans après son inaugu-ration par M. Mollard en 1867, elle devient l'un des restaurants les plus chics de la capitale. Le tout Paris se presse dans le quartier Saint-Lazare, en pleine expansion avec l'émergence des Galeries Lafayette. Après un passage à vide pendant les deux
guerres, l'établissement devient le rendez-vous des businessmen après 1945.
Aujourd'hui encore, cette clien-tèle d'affaire est majoritaire. S'y pressent également les habitués et les familles. «#Les clients vien-nent de génération en généra-tion. Les grands-parents amènent leurs petits-enfants et partagent avec eux des anecdotes autour de la brasserie#», se réjouit Stéphane Malchow, directeur, qui déjeune chaque midi au milieu des clients, friand de quelques avis volés.
Trois générations de Mollard et quatre de Gauthier l'ont précédé. Leur point commun, la même passion de la tradition et du produit. «#L'huître Belon est plutôt neutre, la Blanche de Bretagne, sauvage, tandis que la Papillon est plus charnue.#» Le maître des lieux redouble d'adjectifs pour analyser les saveurs marines à la manière d'un grand cru.
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Et pour cause, les fruits de mer sont la spécialité de la maison. Joël Prod'homme, chef depuis plus de dix ans, est passionné de poisson, pour le plus grand bonheur des clients. La bouilla-baisse qu'il a mise à la carte est commandée 20 à 30 fois par jour.
L'exigence du chef n'y est pas pour rien. Ici, pas de micro-onde en cuisine, 3 à 4 mètres de cageots de produits frais sont livrés chaque jour. Des légumes au fond de sauce, le fait maison et la simplicité sont les priorités de la maison.
En salle, les serveurs font le
spectacle. À une table, on décortique le homard devant le client, à une autre, la spécialité de la maison, l'omelette surprise Mollard (génoise, glace, merin-gue) arrive $ambée au Grand Marnier. «#On ne triche pas, ici tout est vrai"», précise Stéphane Malchow.
Les huîtres sont fournies par l'ostréiculteur Gillardeau ou arrivent tout droit de la criée en Normandie, les douceurs sont confectionnées par le chef pâtissier au premier étage de la brasserie, quant aux producteurs, à Rungis, ils travaillent avec la maison depuis des années.
Au !l des années, la brasse-rie s'est forgée son carnet d'adresses comme sa réputation. Cette institution a grandi avec le quartier. Au moment où les trains de la gare Saint-Lazare partaient pour la première fois à heures !xes, elle accueillait à ses tables les voyageurs venus de l'Ouest parisien ou de Normandie, pre-mières destinations desservies.
Destinations aujourd'hui valo-risées dans la décoration de la brasserie Mollard. Question d'authenticité.
Paris Ouest
Jean-Nic Sélection Photos DR
• 23Paris Ouest
Jeté loup gris clair Maison du Monde, 79,9%Fauteuil design Hans J Wegner – Ikonik, 8 002%Kit Barbershop Edwin Jagger, 210%Manteau Chewbacca, Shopecko, 150%Nike Terminator High Supreme Quickstrike, 180%Cache-oreilles Barts, 19,90%Stan Smith 80s Lux Zebra, 145,95%Howard by Jamie Mitchell, 29%
Justine Knapp Texte Photo Thinkstock
Qui peut faire appel à l'associa-tion!?
Des parents qui ont besoin de quelqu'un pour aller chercher leurs enfants à l'école, une grand-mère pour aller faire ses courses, une entreprise pour une session nettoyage… le tout dans l'Ouest parisien, notamment dans les 16ème et 8ème arrondisse-ments. Particuliers tout autant que professionnels sont deman-deurs de nos missions, de façon ponctuelle ou régulière. Dans les premières années de l'associa-tion, née il y a 25 ans, 90% des clients étaient des particuliers. Sauf qu'entre-temps les services à la personne ont poussé comme des champignons, par le biais des boîtes intérimaires par exemple. Cela dit, nous avons tout de même généré 70#000 heures de travail en 2013, pour 1200 à 1500 clients.
Vous fonctionnez selon une économie sociale et solidaire, comme cela s'organise-t-il"?
Nos salariés sont des deman-deurs d'emploi, destinataires du RSA pour plus de la moitié. Il suf!t pour eux de s'inscrire à Pôle emploi, puis nos accompa-gnatrices socio-professionnelles leur font passer un entretien pour évaluer leurs compétences et leurs domaines de prédilec-tion. À terme, l'idée est de leur apporter une formation qui leur permette de compléter leur projet professionnel, de les aider à retrouver du travail. C'est un tremplin vers un retour à l'emploi en somme. Après avoir effectué plusieurs missions régulières pour un client, l'embauche en découle naturellement. D'autant que nous faisons un point systématique avec nos clients pour déceler les faiblesses de nos employés et leur permettre de progresser dans leurs missions. Le turn-over est très important"! Personne ne reste plus de deux ans maximum chez nous.
Que dois-je faire si j'ai besoin d'un service"?
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Un simple coup de !l suf!t. Tout l'administratif est pris en charge. Le client remplit juste un contrat de mise à disposition pour indiquer le nombre d'heures tra-vaillées, facturées chacune 9,50 euros net en moyenne, et c'est tout. Récemment, un profession-nel avait besoin de trois agents d'entretien, il nous a appelés et une demi-heure plus tard c'était réglé. Idem, si le client a l'habi-tude que quelqu'un se charge de son repassage chaque mois, et qu'il n'a pas besoin de ce service
pendant février par exemple, il a seulement à nous appeler pour nous le préciser. Il n'y a ni enga-gement, ni obligation.
Vous avez donc réponse à tout"?
Pas à tout. La demande de travaux de peinture chez les par-ticuliers est assez importante par exemple, mais ce n'est pas pour autant qu'on va être en mesure de repeindre 2500m2. L'objec-tif est de dépanner à l'échelle locale. D'ailleurs, les salariés
vivent à proximité des clients, on ne les fait pas se déplacer pour 2h de ménage. C'est vraiment une logique de service, de coup de main.
Paris Ouest
Pour vous Bélier, une nouvelle année, c’est syno-nyme de repartir du bon pied. Vous avez fait des erreurs l’an dernier (beaucoup même), mais l’erreur est humaine et vous n’allez pas vous en vouloir toute votre vie. Gardez la tête haute. Oubliez la liste des bonnes résolutions, vous savez très bien ce que vous devez faire ou ne pas faire cette année. Accro-chez-vous à vos principes, et tout ira bien. Niveau travail, vous commencez sérieusement à fatiguer, ménagez-vous un peu, déléguez, vous frôlez le burn out là#!
Vous reprenez du poil de la bête et votre entourage en est ravi. Les étoiles vous entourent de leur aura positive, pro!tez-en, vous le méritez. Votre bourse fait la tronche#? Pas d’inquiétude la mienne aussi. Vous allez gagner en puissance pour commencer l’année en beauté. Votre résolution#: garder la tête froide, les langues de bois sont nombreuses. En couple (veinards) réchauffez-vous, l’hiver sera froid. Célibataire, sortez les mou$es en moumoute et détendez vos muscles, il paraît que ça aide contre le vent.
Votre compte en banque a du mal à se remettre du mois de décembre#? Le Bonbon vous offre un chèque cadeau de 100% parce que vous êtes Gémeaux et que ça c’est pas de bol. Non sérieuse-ment, sortez-vous la tête des vacances et retournez au boulot, votre vie sociale en dépend. Côté cœur, comme d’habitude, c’est pas la joie mais pre-nez votre mal en patience, la chance sourit aux innocents. Découvrez-vous la gorge, les écharpes restent has been, même pour un mois de janvier.
Une collègue va vous faire un sale coup. Vous avez deux fois plus de travail et ce n’était pas vraiment le moment. Souf$ez un coup après ces quelques mauvais moments puis gi$ez cette cruche. Niveau santé, les fêtes vous ont fait du tort, vous avez vraiment une sale bouille#! Le moment peut-être de reprendre du poil de la bête. J’aperçois une rencontre vers la !n du mois quand Mercure est en Vénus, mais !nalement non, vous allez vous prendre un vent#! Bonne année#!
Janvier frileux, janvier heureux. Sortez les Ugg toutes neuves que votre père vous a amenées di-rectement d’Australie pour Noël (parce que oui, lui a eu des vacances#!). Cheer up#! Vos petits petons molletonnés vous pousseront à arpenter le sol gelé de Paris pour faire de nouvelles rencontres. On vous le dit, le mois de janvier vous prépare de belles surprises. Côté boulot, vous avez l’allure d’un(e) conquérant(e), une prime en sus, nouvelle année oblige. Le mois de janvier est à vous.
2014 promet d'être une année riche en nouveautés. Les astres sont de votre côté et si vous ne vou-lez surtout pas vous mettre en couple, de belles aventures vous attendent. L'envie de voyager se fait sentir mais l'attachement que vous portez à vos proches risque de retarder vos projets. Côté santé, il est temps de faire du sport car votre corps pâtit des excès de !n d'année et de la fatigue accumulée. N'oubliez pas de dormir, car comme disait l'autre «#c'est par le sommeil que commence notre exis-tence#». Et puis les cernes, c'est pas très beau.#
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Quête de justice, dilemme manichéen, relation pla-tonique, amour zoophile… La vie des Balances part un peu en sucette en ce début d’année#! Vivement l'air pur de la montagne. Niveau !nances, on tape dans le young money billionaire, les dolls coulent à $ots, alors pro!tez-en pour offrir des vrais galettes. Sinon trop de love pour vous ce mois-ci, la preuve avec cette si gentille carte de mémé Cécile. Les Ba-lances vous êtes grave dans le coup, même si c’est pas toujours facile de s’en rendre compte. En même temps le kilt pour Noël, c’était un peu too much.
Préparez-vous, il va y avoir du changement dans votre vie. Votre frigo va vous planter très bientôt. Niveau relation, vous allez en!n découvrir qui est votre voisin du dessus qui fait des bruits chelous le soir. Vous allez vous rendre compte que le chemin pour aller au boulot n'était pas le plus court, alors vous allez revoir votre itinéraire. Envisagez peut-être le carrosse#? À cause des fêtes, votre jean pré-féré ne fermera plus, alors autant aller tout de suite acheter la taille au-dessus. On vous le dit, 2014 sera l'année charnière.
Les étoiles complotent dans votre dos, soyez vigilant aux nombreuses opportunités qu'elles pourraient bien mettre sur votre route pour 2014#! En amour, osez. En famille, laissez-vous chouchouter. Et puisque c'est le début d'une nouvelle ère, prenez de bonnes résolutions, comme par exemple#: favoriser l'alternance entre Tranx et Trans#! Un coup cheminée dodo très tôt, un coup chandelles resto duo, un coup trombo soirée potos.
Mercure, le Soleil et Vénus s'invitent en after-Fêtes au-dessus de votre signe. Ne le dites pas aux autres, mais ce mois-ci, dans la continuité de la !n du mois de décembre, tout ira pour le mieux du côté !nancier comme sentimental. Saturne est attendu également, et ce n'est pas pour vous déplaire puisqu'il vous apportera créativité pour tous les changements radicaux de ce début d'année. Chan-gements, certes, mais que vous saurez appréhender avec sang-froid. Sans parler de la chance qui va vous coller aux basqu' pendant tout le mois.
N’oubliez pas de faire du sport, même si se jeter sur la bouteille de vin en sortant du boulot est plus tentant, votre ligne risque d’en pâtir. Côté cœur, célibataire vous vous sentez seul mais ce n’est pas une raison pour vous jeter sur le premier venu non plus. Privilégiez la qualité à la quantité. Une nouvelle rencontre va bientôt pointer son nez et changer votre vie. En couple, vous ne pouvez plus vous passer de l’autre. Même si cela vous effraie, ne fuyez pas, vous risqueriez de passer à côté d’une belle histoire.
Vous prenez en!n les rennes amis Poissons#! Un mental au top et un soupçon de chance vous mè-nent vers un début d’année tout rose mes bonbons. Foncez tête baissée dans vos projets et n’ayez peur de rien. On nage dans le bonheur, souriez, soyez heureux nous changeons d’année#! Vous ferez peau neuve vous l’avez decidé. Cette année sera celle de l’accomplissement. Si vous avez des rêves, n’espérez plus, foncez. Très belle année#!
Janvier 2014
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© R2D2
Paris Ouest
Du 15 octobre au 26 janvier 2014EXPOSITION ERWIN BLUMENFELD Cette exposition rassemble au travers de plus de 300 œuvres et documents, depuis la !n des années 1910 jusqu’aux années 1960, les différents arts visuels pratiqués par l’artiste tout au long de sa vie": dessins, photographies, montages et collages.• Jeu de Paume - 8e
Jusqu’au 26 janvier EXPOSITION YOUSUF KARSHLe photographe nous présente ses 70 portraits les plus marquants, des photographies originales rare-ment vues en France, ainsi que certains documents d’archives, y compris des couvertures de Paris Match, présentant la carrière artistique extraordi-naire de Yousuf Karsh. Parmi ceux-ci, des portraits de quelques-unes des personnalités françaises et américaines les plus connues (Ernest Hemingway, François Mauriac, Grace Kelly, John F. Kennedy, Christian Dior et Man Ray). • Mona Bismarck American Center – 16e
Du 3 au 19 janvier ANGELIN PRELJOCAJ, LES NUITS Une danse comme un concept où dialoguent fan-tastique et célébration des corps.Angelin s’attelle aux Mille et une nuits, pour un hymne $amboyant à la danse et au corps. Un spec-tacle où le geste dansé devient calligraphie intime. Il déploie des récits extrêmement variés, sortant les uns des autres, comme des poupées gigognes. Les Mille et une nuits ont fait rêver des générations de lecteurs, intrigués et attirés de tout temps par leur dimension fantastique et érotique.• Théâtre National de Chaillot - 16e
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Du 9 janvier au 8 février AVANT QUE J’OUBLIEMise en scène par Richard Brunel. La mère et la !lle, opposées, se parlent, se souviennent. Elles s’af-frontent dans un duel essentiel… La maladie entre en jeu. Une comédienne interprète les deux entités bouleversées. Elle dit l’effroi de la !n, la colère, l’im-puissance. Elle joue les peurs de la perte de toute trace de l’existence. Elle raconte la disparition de la cohérence, des mots, de la vie même, de l’identité.• Théâtre du Rond-Point - 8e
Samedi 18 janvier à 20h LONDON SYMPHONY ORCHESTRA - JOHN E. GARDI-NER - MARIA JOAO PIRES
• Salle Pleyel - 8e
Dimanche 26 janvier à 17h ORCHESTRE LAMOUREUX Au programme": La Bataille de San Romano de Zavaro. L’orchestre Lamoureux a prouvé au !l des années qu'il était possible de mêler excellence et audace. À l'origine de ce projet, Charles Lamoureux, violoniste et chef d'orchestre, dont l'idée directrice était de démocratiser la musique classique en la diffusant au plus grand nombre. pour attirer toute la famille. Les concerts de l'orchestre Lamoureux se déroulent le dimanche en !n d'après-midi.• Théâtre des Champs-Elysées- 8e
Paris Ouest
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