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B flJ i s a è i , — H ' 4 3 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 Octobre ïtttS m JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLIS Paraissant & Dimanclie fr » _A_ 3 3 CD 3ST XT XI! IÆ 22 1 ’ £3 ün an..,. Six mol#. Oise et limitr. 8 fr. 5 fr. Autres dép. 10 ù\ 6 fr. On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d’avance et continue de plein droit jusqu’à réception d'avis contraire. Ztoa Abonnements partent du 1" de chaque mois bureaux, rédaction & l >TRATIO SENLIS — 11; r*lace X* Wri-IV, Il — © TÉLÉPHONE 4 Directeur Commercial i E. VIGNON îT3NTlL.rf IS Annonce» We»!e«,.r.T Annonces volontaires Ar> Ta T D E S J .N SE I î TI01!TB ■.V.; .... "* “i'rr. la ligne. , ««..c— , . ........ •» frj la ligne. | 2 2 ou 3" page. 1 Dr. M la ligne. î,es manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendu f Assainissement financier Echos et Nouvelles Au lieu de partir en guerre contre l 'emprunt Caillant, emprunt qui n’est d’ailleurs pas un emprunt — ne sèrait-il pas plus sage de reconnaître que la consolidation d’une partie de la dette flottante représentée par les bons de la Défense était une opération néces saire? En s’efforçant de la réaliser M. Caillaux a fait un premier pas vers l’assainissement financier. Mais ce premier pas en appelle un autre : la vente des monopoles de l'Etat. Sans doute, il est difficile de fixer leur valeur vénale. Acceptons cepen dant le chiffre de 100 milliards avancé, il n’y a de cela pas très longtemps, pour certains monopoles. Mais, dira-t-on, quelle Société trou- veraitçdes capitaux assez importants pour effectuer un tel achat ? La diffi culté n’est qu’apparente. N’existe-t-il pas, en effet, une monnaie qu’on trouve en abondance sur le marché public, monnaie qui est représentée par les quelque 300 milliards de dette publique française? C’est avec cette monnaie que les monopoles devraient être achetés. Seuls les porteurs de la dette seraient invités à souscrire aux actions de la Société d’exploitation des monopoles, moyennant l’apport de leurs titres. En termes plus simples : seuls les rentiers de l’Etat pourraient devenir acquéreur des monopoles. Passons sur les détails techniques de la combinaison, tels que ceux qui touchent la constitution et le fonc tionnement de ladite Société, pour arriver tout de suite aux résultats tangibles de l’opération. Le premier, serait de permettre à l’Etat de liquider une partie de sa dette qui pèse sur toutes nos velléités d’assainissement financiers et les paralyse. Il y a plus. En vendant ses mono poles, l’Etat peut, en effet, prendre soin de s’assurer, pour un temps plus ou moins lông, une part dans les bénéfices de l’entreprise réorga nisée sur de véritables bases indus trielles et commerciales. Ajoutons, enfin, que cette aliéna tion procurerait aussi à l’Etat un supplément de revenu budgétaire, par la perception de l’impôt — impôt ordinaire et impôt spécial — sur les entreprises privées remplaçant le monopole. Prenons un exemple : le monopole des allumettes. En 1921 : 51 millions de dépenses s’opposaient à 57 millions de recettes. Soit un bénéfice de 6 mil lions (Rapport déposé en 1923 par M. Louis Marin, président de la Commission des Economies.) Supposons maintenant qu’une en treprise privée a remplacé ,1e mono pole, et que l’Etat perçoit sur chaque boîte d’allumettes à la sortie de l’usine une taxe modérée, à titre de participation aux bénéfices : le ren dement en est évalué à 10 millions de francs. A cela, il faut ajouter le mon tant de l’impôt cédulaire sur les bénéfices industriels et commerciaux des usines productives et l’impôt sur le chiffre d’affaires, soit 1 million environ. Bref, un total de 11 à 12 millions; le double du rendement du monopole existant. Considérons enfin que la recette escomptée par vente du capital industriel dudit monopole (bâtiments et matériels) est de l’ordre de 25 millions. N’y a-t-il pas là une idée qui devrait être étudiée. Au lieu de parler toujours d’un prélèvement sur les biens des particuliers, biens qui sont la source des impôts, car ils consti tuent les fonds de roulement de toutes les affaires productives, que nos chefs songent donc à frapper ces « biens oisifs ■>que sont les capitaux détenus par l’Etat, en opérant leur transfert en d’autres mains. Vendre ses monopoles: c’est pour l’Etat un moyen de se libérer d’une partie de sa dette publique, c’est aussi un moyen do s’assurer chaque année l’encaissement de revenus impor tants. Cette opération ramènerait enfin la confiance sur le marché des changes... POLITICA Revue mensuelle d'initiation à la vie politique ■Ago, rut: Chardin, Paris XVI’ L'HORLOGER PLUS FORT QUE LES FILOUS Le “ truc ”, car c’en est un, n’est pas très honnête, certes, mais il faut considérer que la clientèle l’est encore bien moins. Jugez plutôt ! Dans?plusieurs journaux de? Philadelphie paraissait l’annonce suivante : “ Trouvé hier après-midi, à Chestnut-Street, près de la poste, une montre en or. La réclamer contre frais d’insertion au bureau de M. J.-C. Smith, 287, North Tenth Street. ” M. Smith est assis, le lendemain, dans son bureau, meublé avec simplicité, et, à neuf heures du matin reçoit la visite d’un homme aux habits râpés et à l’œil furtif. — C'est pour cette montre, monsieur, dit-il. M. Smith ne fit paraître l’ombre d’aucun soupçon, tira de son pupitre une grosse montre en “ simili-or ” et demanda : — Est-ce bien celle-ci ? — C’est bien la mienne, s’empressa de dire le visiteur. — Las frais d'insertion s’élèvent à dix dollars, dit M. Smith. *Le visage de son interlocuteur s'assombrit. — Dix dollars, dit-il, avec méfiance. — Oui, monsieur, l’annonce a paru dans plusieurs journaux. Le visiteur hésita quelque peu, puis, finale ment, paya et prit la montre. Quand il fut parti, M. Smith, se préparant à recevoir le prochain visiteur, tira d’une immense caisse, au-dessous de la table, une montre pareille à celle qu’il venait de donner, et la plaça soigneusement sur son pupitre... Magazine. LES SALUTATIONS CHEZ LES PEUPLES Quoique s abordant avec les meilleures in tentions du monde, les hommes, en guise de salutation, sont parfois embarrassés pour échanger quelques mots ayant une otnbrej de sens commun. Au “ kaire ès” ou mieux à l’“ erreso” dea Grecs (fortifie-toi), les Romains répondaient par leur “ vale” et leur “ aalvc " (ooio robuste et bien U.» Italien demande : “ Comment vous tenez-vous debout ?” fCome sta ?). Au “ Comment vous- portez-vous ? ” d’un Français, un Anglais réplique : “ How do you d o ?” (Comment faites vous faire,? ). Tandis que le naturel d’Anderlecht ou de Molenbeeck-Saint-Jean a recours au traditionnel : “ Quelles nou velles ? Au salut d'adieu du Germain : “ Leben Sie wohl ”, qui évoque les béatitudes d’une diges tion béate, le Chinois répond : “ Tchi ko fane ? ” (Avez-vous mangé votre riz ?) ou simplement : “ Ya fane” (c’est-à-dire : bouche vide, riz). Les turcs profèrent avec gravité : “ Salam alaï koum ” ( Le salut soit pourvousj. Echos et Potins. LE PRINCE DES VOLEURS Tel est bien le nom que mérite Joseph Harres, récemment arrêté à Londres, et qu’il faut bien reconnaître comme le plus génial des escrocs et des pickpockets. Depuis des années, dix et plus, Harres était connu dé la police londonienne sous le nom de “ prince des voleurs". Durant sa carrière fabuleuse, il a opéré en Amérique, en Australie, en France et en Angleterre. Ce qui le ravissait entre tous les trésors de ce monde, c’était l’or et les diamanté. Harres était l’un des experts en diamant les plus remarquables du monde Ses belles mains possédaient une telle adresse qu’un jour, au cours d'une conversation, il put dérober son portefeuille à un homme d'affaires bien connu par son extrême mé fiance. Sa distinction, son air de candeur, sa modestie le faisaient apprécier de tous ceux qui avaient la malchance de l’approcher. Il logeait dans les hôtels les plus coûteux et, là, étudiait^ à son aise les mouvements et les habitudes de ceux qui séjournaient avec lui. Il était beaucoup trop élégant pour avoir des collaborateurs ou faire partie d’une bande. 11 connaissait la police secrète et les détectives beaucoup mieux qu’il n’en était connu. Sans doute, pour s’être laissé prendre, s’était-il fatigué, peut-être étà(t-il devenu trop sûr de lui, trop peu prudent. Il s’est laissé prendre, et cet artiste devra faire pénitence pour tant de folles années, passées à gruger le prochain. Faut-il regretter qu’il n’ait enseigné son art à aucun élève decboix ? Semblable occupation eût été, croyait-il, indigne de son élégance I Rerliner Tageblatt DÉPAHTEfllEIlT Personnel de& Ecoles Primaires Mutations du 1" octobre 1925 Par arrêté de M. le Préfet de l’Oise pris' sur la proposition de M. l’Inspecteur d’Académie, les nominations d’institu teurs et d’institutrices -désigné^ ci-après sont, faites à dater du 1" octobre 1925 : Mlle René (Brégy), à Senlis, adj. (f). Mlle Zévaco (Mareuil-sur-Ourcq), à Verberie, adij. (f). Mlle Dufour (Ohantilly), à Chantilly, a/dj. (f). Mlle Lan-nette (Reuil-sur-Brèche), à Ghambly, adij. (g). Mlle Bécart (Béthisy-Saint-Pierre), à Montataire, adj. (f). Mlle Beaudequin (Bouillancy), à Borest. Mlle Trinel (Acy-e n-Multien), à Feu- quières, directrice (f). M. Hestin (Crépy), à A cy-e n-Mixltio n (garçons). Mmje Hestin (Créipy), à Acy-en-Multien (filles). M. Delacomptée. (Lévignen), à Choisy- la-Victoire. M. Léonardi (Golancourt), à Lévignen. M. Capdevielle, à Crépy, adj. (g). Mme Liévyn, à Béthisy-Saint-Pierre. Coiseil Général de l’Oise A. V IS Le Ministre de la Guerre en vue d’évi ter que les ouvriers Polonais s’engagent dans la Légion Etrangère avant l’expira tion du contrat de travail aux termes du quel ils sont venus en France, prescrit de n’accepter leurs engagements qu’à comp ter de la date d’expiration du contrat de travail primitivement souscrit par eux. Il recommande à leurs employeur/de pré venir de ces dispositions les Polonais qu’ils occupent. Le Cmseil général de l’Oise s’est réuni le lund 28 septembre dernier, sous la présidence de M. le sénateur Noël, doyen d’âge. M. le Président souhaite la bienvenue aux noiveaux membres du Conseil géné ral. MM Desijardins, Gaudefroy, Rabbé et Tellier pii seront certains de trouver le meilleu: accueil au sein de rassemblée départementale. Il envoie un souvenir aux collèguts qui ne font plus partie de l'as semblée MM. Thévet, Branthomme, Bel- lou et àartin qui ont été de bons compa gnons. Election du bureau Il estprocêdé à l’élection du bureau. M. Noël est réélu président par 27 voix sur 30 votants, M. Langlet obtient 1 voix; il y a 4 bulletins blancs. (MM, Vasseux et Faisant sont réélus vice-présidents par 26 voix, et MM. de K#rsaint (26 voix), Schmidt (25), de, Saint- Bus; cien (25), Ohry (25 voix), secrétaires. Allocution du Président M, Noël dit combien il est ému et tou ché de la manifestation faite sur son nom. Le nombre de voix montre que ceux qui ont voté ne sont pas tous en communion d’idées avec leur président, mais ont voulu rendre hommage à leur doyen, dont les forces physiques ont pu dimi nuer, mais dont le coeur reste chaud et vaillant. ’ Après avoir félicité MM. Brébant et Deffoy qui ont été récemment nommés chevalier de la Légion d’honneur, M. Noël continue ainsi : VILLE DE iGREIL Fédération des S. A. G. de l’Oise (Tiir, éducation physique et préparation militaire) Dimanche 18 octobre Grando Fête Fédéralo annuollo sous la présidence de M. Bénazet, com missaire général à la Guerre, avec le concours de la Municipalité et des Socié tés de la ville de Creil. P rogramme : De 8 h. à 11 heures : Terrain de la « Grande Famille » concours d’éducation physique. De 8 h. à 11 heures : Stand de Creil, concours pour le titre « Roi du tir ». A 11 heures : Réception officielle des Autorités civiles et militaires à l’Hôtel de Vide. A il heures 30 : Grand banquet officiel^ | sous la présidence de M. Bénazet, com missaire général à la Guerre. A 13 heures 30 : Rassemblement des Sociétés place du Faubourg. A 14 heures : Défilé. A 14 heures 30 : Présentation des lau réats; exercices et mouvements d’ensem- ple place Carnot. De 14 heures 30 à 15 heures 30 : Con cert par l’Harmonie municipale et la So ciété de trompettes « La Vaillante » place Carnot. A 16 heures : Distribution des récom penses à l’Hôtel de Ville, Des gerbes de fleurs seront déposées aux Monuments aux Morts : à 8 h. 4a, Terrain de la Grande Famille; à 11 heu res, place de l’Hôted-de-Ville. Le Président de la Fédération, LEBRUN. Un volume des « Chroniques et Souvenirs du Pays d’Oise » est en vente Selon le* désir qui lui en (avait été ma nifesté par un certain nombre de per sonnes, M. Jacques Mermet, rédacteur en chef du Progrès de l’Oise, vient de réunir en un premier volume une série de ses « Chroniques et Souvenirs du Pays d’Oise ». . Ce volume contient plusieurs articles évoquant, sous une forme vivante, des faits curieux et généralement peu connus de notre histoire locale. Il intéressera certainement tous ceux qui aiment notre région, son passé, ses souvenirs. Sérieu sement documenté, cet ouvrage est à la -fois -plein d’enseignements et d’attrait. Le 1" volume des Chroniques et Souve nirs du Pays de l’Oise est en vente aux bureaux du Progrès, 17 rue Pierre-Sau vage', et 20, place de THotel-de-Ville, à Compiègne. Prix : 3 fr. — Par poste : 3 fr. 50. ; r a»! CE QUE NOUS POUVONS Nous pouvons nous équiper pour nous passer du charbon étranger. Nous pouvons trouver notre appoint de blé, et au delà, dans notre Afrique du Nord. Nous pouvons trouver nos viandes et nos cuirs dans nos possessions d’Afrique. Nous pouvons, en quelques années, tirer de notre domaine colonial tout le coton, toute la laine, tout le caoutchouc qui nous sont nécessaires, et même, d'importateurs, devenir exportateurs. Nous pouvons, en reboisant la France et en , expl iitant nos forêts équatoriales, devenir lesj 1 Tribune de l’Oise, et la Gazette de l Oise ont consacré -dans leurs journaux respec tifs d’excellents articles rendant à notre confrère Mermet, le témoignage le plus sym|patique de leur bonne camaraderie. Nous sommes heureux de nous associer aux compliments adressés par le Conseil général et par nos confrères de l’Oise sans distinction d’opinions, pour féliciter notre ami Mermet de son premier volume Chroniques et Souvenirs de l’Oise qui intéressera tous ceux qui aiment notre région, son m m é ot ne* #auy«oî»*h LEffîUND. Les Chroniques et Souvenirs du Pays d’Oise ont été accueillis de la façon la plus favorable et ont valu à leur auteur, notre excellent confrère et ami Mermet, de nombreux témoignages de sympathie. - Au Conseil général de l’Oise; M. le Sénateur Noël, président, puis M. Hubert Stern, au nom de ses collègues ont fait du rédacteur du Progrès de l’Oise, un vit MM. Raoul Aubaud dans la République de l'Oise, Reverdy de Salvagère dans la .. ^ . » n ai . J/. i l i oi* ? maîtres du bois, au lieu de payer tribut. 3 Nous sommes les maîtres du fer et pouvons, à notre tour, laire de notre minerai ce que - l’Angleterre et l’Allemagne font de leur ; ijouille : une monnaie d’échange. Nous avons encore bien d’autres ressources qui nous permettraient de récupérer sur l’étranger les sommes qu’il exige de nous. Qui nous ers empêche ? il serait curieux de |« a«>e?»r ! L* Ph*»t PUUtil Dans cette session, le Conseil aura à examiner là mise en état du réseau rou tier. 20 ou 22 millions vont être demandés pendant 4 ans, soit 80 à 100 millions et peut-être davantage. 160 centimes seront nécessaires. Les centimes constituent un mode -d’imposition suranné et devien dront absolument injustes. Pourquoi met tre à la chargé des finances départemen tales l’entretien de la rôute sur lesquelles circulent les automobiles venues de par tout. Cela aura pour conséquence de dou bler les impôts départementaux, de para lyser nos œuvres sociales pour le béné fice de quelques-uns. On arrive ainsi à la plus monstrueuse des injustices fiscales. Pour transformer une partie de nos dettes immédiatement exigibles, le Gou- -prunt 4 0/0 or; tout a été dit sur cette opération. Je n’en veux retenir qu’une chose, c’est que nous considérons comme' un devoir patriotique que chacun y en gage ses disponibilités. Les souscripteurs feront ainsi noblement leur devoir, com me l’ont fait nos enfants en 1914-1918. L’avenir, le Crédit de la France l’exi gent. (Applaudissements). La folle ambition -d’u-n Riffain à la suite de combats heureux sur l’armée es- pagnolt, encouragé de plus en plus par des conseils venant de nos ennemis, l’a aiqené à penser qu’il pouvait soumettre à sa volonté tout l’empire marocain; avec -ses tribus, avec son armée, il a franchi la frontière de -notre protectorat, cherchan! à bousculer les quelques postes qui les gardaient; ils ont barré la route bien qu'inférieurs en nombre ! Fallait-il, com me certains le pensent, -lui laisser la place et, en même temps, compromettre toute la zone soumise à l’influence de cette na- que, depuis un siècle, -nous avons cherché à instaurer dans le Nord de l’Afrique ? Le Gouvernement ne l’a pas pensé, et, avec l’Espagne, il cherche à faire rentrer la zone soumise à li-nfluenee de cette na tion dans Tordre et la légalité. Non, ce n’est -pas des intérêts mercan tiles que le Gouvernement de la Républi que est venu protéger et soutenir avec notre armée dans ]e Riff. C’est la civili sation contre la Barbarie. Sans esprit de conquête, il assure la prédominance française, — félicitons-le de l’avoir bien compris et envoyons à nos braves enfants qui combattent pour la grandeur de la France, à notre armée, l’expression de -notre patriotique reconnaissance. M. Paisant demande à répondre au dis cours de M. Noël. Je prends la parole avec -émotion et simplicité, dit-il, pour affirmer toute la joie et tout Porgueil que nous avons eu à voir cette élection, qui conserve de façon définitive la vie magnifique qu’a été la vôtre. Nous ne sommes pas de ceux qui oublient les -souffrances de la guerre, les services que vous avez rendus à votre ville, l’énergie que vous avez mise à la relever -de ses ruines. Vous avez été la voix haute, noble et pure, toujours sou cieuse de calmer les dissentiments; vous avez été la paix -dans ce pays qui l’aime tant, vous avez été l’apaisement, la dou ceur et l’autorité. Nous avons admiré la façorf dont vous dirigiez les débats, mais surtout le cœur d’un grand citoyen, d’un grand Français. Pour ce bel exempta d’impartialité, heureux de vous avoir -donné un témoignage d’esti-me qui se con tinuera pendant des années, qui, nous l’espérons, seront longues. Vous avez été de ceux qui travaillent et font le bien; vous êtes le modèle de l’unité et de Tes prit du cœur français; c’est cela que -nous sommes fiers d’applaudir en vous. Très ému, M. Noël remercie M. Paisant. Dans toutes les circonstances de la vie, dit-il, je n’ai cherché qu’à faire mon de voir. Beaucoup d’autres l’ont fait compie moi; beaucoup’ l’ont fait au prix de leur vie et c’est à ceux-là que doit aller notre reconnaissance. Quant à moi, je suis am plement récompensé du peu que j’ai fait par les témoignages de votre sympathie. Après quelques paroles de remercie ments de MM. Brébant et Deffoy, les nou veaux promus dans la Légion d’honneur^ M. Noël continue. J’avais à remettre deux plaquettes offertes aux conseillers géné raux comptant de longues années de man dat. L’une de ces plaquettes était desti née à M. Hainsselin qui vient de mourir et dont les obsèques ont eu lieu le jour mêiqe. A ce propos, M. Noël rappelle les services rendus par le défunt qui fut 1 une des lumières du Conseil général. M. le Dr Delpierre, au nom de 1 arron dissement de Clenmont, s’associe aux pa- r&les de M. Noël et à l'hommage à Ift tnêwoirs d? Mi HalR-MellfR M. Noël annonce qu’il a une seconde i plaquette à remettre. C’est celle qui re vient à M. le marquis d-e l’Aigle, qui fit partie du Conseil général de 1876 à 1915. Nous avons, dit-il, la joie de remettre cette pl-aquette au fils de M. le marquis de l’Aigle, notre très aimable et excellent collègue, M. le comte Gh. de l’Aigle. Nous le prions de la porter à son père en témoi gnage de notre bon souvenir et de notre -sincère affection. M. le comte de l'Aigle remercie M. Noël et déclare que son père a gardé le meil leur souvenir -de ses collègues du Conseil général. Election des Commissions Il est procédé à l’élection des cinq grandes commissions qui sont ainsi cons tituées : l re Commission (finances) : MM. De-s- -groux, Schmidt, de l’Aigle, De-croze, Geor- ges-Picot, Uhry et Tellier. 2e Commission (routes et voies de com munication) : MM. de Saint-Fuscien, Vas- selle, Déchamps, Stem, Berthelot, »Dr Mous-saud, DeSjandins-Ternant et Rabbé. 3” Commission (agriculture et objets divers) : MM. Vasseux, Delpierre, de Ker- sai-nt, Langlet, Boulanger, Langlois, Dela croix. 4e Commission (bâtiments civils) : MM. Lefëvre, Brébant, Doffoy, Bouteille, et Gaudefroy. 5e Commission (instruction publique, assistance et hygiène) : MM. Fournier Sarlovèze, Magnier, de Poly, Paisant, Pen- nelier, Molumar et Séguelas. La séance suspendue à 3 h. 45 est re prise à 4 heures 30 et M. le Président fait -connaître les noms des présidents élus par chacune des Commissions. 1" Comlmission, M. D-esgroux; 2* Commission, M. de Saint-Fuscien; 3° Comlmission, M. Va-sseux; 4* Comlmission, M. Le-fèvre; 5e Commission, M. Fournier Sarlovèze. Coiûpte de 1924 M. le -Comte de l’Aigle donne lecture de divers rapports au nom -d-e la Commis sion des finances. Les crédits demandés sont votés. M. Schmidt présente son rapport sur le compte de 1924 : Recettes .......... 28.955.094 19 Dépenses ......... 24.143.089 16 Excédent de recettes . 4.812.005 03 Ces comptes sont approuvés. Une adresse au Ministre des Finances A l’issue de sa séance de lundi, le Con seil général de l’Oise a adopté à l’unani mité l’adresse suivante -proposée par M. Hubert Stern : « Le Conseil général, considérant la situation économique et financière, après les dévastations d’une guerre menée en commun avec les soldats des Etats-Unis, pour la défense de la civilisation, exprime à M. le Ministre des Financés ses senti ments de confiance pour aboutir au mieux -des intérêts du pays qui servit de champ de bataille dans la guerre mondiale, à la transaction nécessaire qui tiendra compte -des sacrifices réels -des diverses nations, pour la pacification du monde et le ré tablissement d-e sa stabilité économique. » Un vœu de M. Uhry au sujet de la guerre du Maroc est repoussé par le Conseil général -A la fin -de la -séance de mardi, le Con seil général était saisi d’un vœu de MM. Uhry, Berthelot et Ségue-las s’élevant con tre -la guerre du Maroc, demandant au gouvernement de faire connaître ses con ditions de paix et au besoin à faire appel à Tarbi-trage de la Société des Nations. M. le sénateur Langlois, rapporteur de la 3” Commission, proposa de rejeter ce vœu et de faire -confiance au président du Conseil -pour terminer au mieux une guerre que la France n’a pas cherchée. -Après une intervention de M. Uhry et un très vif -débat, dont nous rendrons compte, M. le Préfet fut amené à poser la question préalable. La question préalable a été votée par 13 voix contre 3 et 2 abstentions. MM. Uhry, Séguelas et Berthelot ont voté contre. MM. Delacroix et Desjardins-Ternant se sont abstenus. ï]ü bon point à la Compagnie du fiord I Est-ce à la suite de nos légitimes ob servations ? Toujours est-il que depuis quelques jours l’éclairage des wagons de lr* et de 2 e classe dans les trains de banlieue ligne Chantilly-Sen-lis-Crépy est mpins préhis torique... c* A-n—.i*-------- ~~T~ A travers Senlis Pharmacie ouverte i Dimanche n Octobre : M. Bardou, rue de l’Apport-au-Pain. Syndicat d’initiative, i, avenue du Maré- chal-Foch.— Tous renseignements pour le tourisme. ' V Chaâlis - Ermenonville. - Excursion Jeu dis, dimanches et jours d î fête. Départ de la gare, 14 heures. Retenir ses places. La nouvelle ligne de chemin de fer d’Auînay à Rivecourt Dans sa séance du 20 mai dernier, le Conseil général, sur le rapport de M. Thé vet, avait adopté un vœu de M. Georges- Picot, demandant « que les travaux de « la ligne de chpmin de fer d’Aulnay à « Rivecourt, interrompus depuis onze « ans, soient repris au moins jusqu’à « Senlis, les travaux -d’infrastructure « étant presque terminés sur ce parcours « et ne nécessitant plus qu’une année de « travail pour la mise en service. » La Compagnie du chemin d-e fer du Nord a répondu que l'achèvement de la ligne jusqu’à Senlis seulement, entraîne rait une dépense d’environ soixante-six millions et que la durée des travaux se rait, non d’un an, mais de trois ans au moins. Dans ces conditions, la Compa gnie estime n-e pouvoir donner satisfac tion au vœu du Conseil général. iC’est ce que M. Vasselle, rapporteur, nous a fait connaître dans la séance du Conseil général de -l’Oise du let octobre courant. Huit à l’heure dans la Cité de l’Art et du Tourisme, mais il faut alors un bon quart d’heure pour traverser votre bonne ville ! A moins que -ce ne soit une brimade auquel cas elle serait -plutôt déplacée ! Spécifiez donc simplement vitesse Mo dérée, cela doit suffire. A 30 à l’heure toutes les voitures automobiles (excepté bien entendu les camions) doivent s’ar rêter sur une dizaine de -mètres. Que faut-il de mieux ? Ou alors même poids -même mesure pour tous, interdisez aux chevaux de trot ter et aux cyclistes de dépasser l’allure du chasseur à pied. Je déteste les chauffards -plus que vous ne pouvez les haïr vous-même; le -meilleur remède contre ces désagréables individus est -encore de leur faire infliger la peine maxim-a lorsqu’ils sont sujets à contra vention. Mais au nom -du Tourisme normal, au nom du bon tourisme dont se Réclame votre jolie ville ne nous forcez pas à ap peler Senlis la ville de la lenteur en at tendant que -ce soit celle de la contraven tion. Huit à l’heure, songez-y ! Pourquoi ne pas organiser parmi vos collègues un con cours ? Pour aller et retour du -pont de chemin de fer à l’Hôpital ! Celui qui dé liasserait Huit à l’heure serait disqualifié; celui qui approcherait le plus -de cette su blime moyenne serait déclaré gagnant. Pensez à m’inviter cela sera sûrement -drôle et je m’inscris d’ores et déjà pour offrir au gagnant un modeste souvenir de sa performance. Veuillez agréer, je vous prie, Monsieur le Conseiller municipal, mes sincères sa lutations. Pierre LHUILLIER. Musique Municipale Examens de l’Ecole de Musique Les examens de TE-col-e municipale de musique auront lieu salle des répétitions aux dates ci-après : Solfège 1” année, mardi 13 octobre, à 19 heures 30. Solfège 2* année, mercredi 14 au lieu de jeudi 15 octogre, à 20 heures. Instruments 2 ' année, vendredi 16 oc tobre, à 20 heures. Les Parents des élèves sont instam ment priés de bien vouloir y assister. Le Conseil d’administration. Huit à l’heure 11111 Lettre ouverte au docteur Chastel, conseiller municipal de Senlis. Vous avez été appelé, Monsieur, a atti rer au Conseil municipal l'attention de vos collègues sur la vitesse excessive de certains automobilistes dans la traversée de Senlis. Bravo. Vous avez proposé à vos collègues de prendre un arrête interdisant de doubler une autre voiture pendant la traversée de la ville. Bravo. Vous avez l’intention de signaler les quelques carrefours dangereux (rue Bel- lon, Grand Cerf, etc.). Bravo encore. N«. vous arrêtez pas en si bonne voie, cher Monsieur, et adressez-vous au bon sens des Conseillers municipaux pour leur faire supprimer cet arrêté absurde et) date du 3 mars 1923, arrêté qui limite la vliesss 4#s nutcunublle* à Huit à Association Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole Publique des Garçons de Senlis Dimanche 11 octobre prochain, au Stand du Montauban, -de 8 h. 30 à 11 heu res, séance de tir à l’arme de guerre et à la carabine. Prière d’être exact. _. Société d’Âmateurs de Billard Senlisiens La réunion men-suelle -des membres de la S. A. -B. S. a eu lieu le 2 octobre en vue du renouvellement du bureau et de l’or ganisation *du championnat 1925-1926. Les membres du bureau ont été à l’una nimité -maintenus dans leurs fonctions. Les sociétaires -désirant participer au championnat sont invités à faire parvenir leur engagement au Secrétaire ou au Siège dé la Société, café Leclercq-Encausse, avant le 20 octobre. * Amicale des Anciens Élèves de l’Ecole de la rue de Villevert Ainsi que nous l’avons annoncé, les séances recréatives et musicales données par le Groupe Lyrique de l’Amicale, au ront lieu le samedi 17 octobre, en soirée et le dimanche 18 octobre, -en matinée. Les places seront remises contre pré sentation -de la lettre -d’invitation, les mardi 13. -mercredi 14 et jeudi 13 octo bre, d« 13 A 14 heures, saîle Jeutîhë d’A ttu

A travers Senlisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_10_11_MRC.pdf · 2014-02-11 · BflJ is a è i, — H' 43 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 Octobre ïtttS m JOURNAL DE

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Page 1: A travers Senlisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_10_11_MRC.pdf · 2014-02-11 · BflJ is a è i, — H' 43 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 Octobre ïtttS m JOURNAL DE

B flJ i s a è i , — H ' 4 3 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 O c to b re ï t t t Sm

JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENLISP a r a i s s a n t & D i m a n c l i e

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ü n a n . . , .Six m ol#.

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Ztoa A b o n n e m e n ts p a r te n t du 1" de ch a q u e m o is

b u r e a u x , r é d a c t i o n & l >TRATIOSENLIS — 11; r*lace X* Wri-IV, Il — ©

TÉLÉPHONE 4

D irecteur Com m ercial i E. VIGNON

îT 3N T lL .rfI S Annonce» We»!e«,.r.T Annonces volontaires

Ar> Ta T D E S J . N S E I î T I 0 1 ! T B■ .V . ; . . . . "* “ i ' r r . l a l i g n e . , « « . . c — , .

. . . . . . . . •» frj la ligne. | 22 ou 3" page. 1 Dr. M la ligne.

î,es m a n u scr i ts , insérés ou non, ne son t pas r e n d u f

Assainissementfinancier

Echos et Nouvelles

Au lieu de partir en guerre contre l'emprunt Caillant, — em prunt qui n ’est d’ailleurs pas un em prunt — ne sèrait-il

pas plus sage de reconnaître que la consolidation d’une partie de la dette flottante représentée par les bons de la Défense était une opération néces­saire? En s’efforçant de la réaliser M. Caillaux a fait un premier pas vers l’assainissement financier.

Mais ce premier pas en appelle un autre : la vente des monopoles de l'Etat.

S a n s d o u te , il e s t d iffic ile d e fix erleur valeur vénale. Acceptons cepen­dant le chiffre de 100 milliards avancé, il n ’y a de cela pas très longtemps, pour certains monopoles. Mais, dira-t-on, quelle Société trou- veraitçdes capitaux assez importants pour effectuer un tel achat ? La diffi­culté n ’est qu’apparente. N’existe-t-il pas, en effet, une monnaie qu’on trouve en abondance sur le marché public, monnaie qui est représentée par les quelque 300 milliards de dette publique française?

C’est avec cette monnaie que les monopoles devraient être achetés. Seuls les porteurs de la dette seraient invités à souscrire aux actions de la Société d ’exploitation des monopoles, moyennant l’apport de leurs titres.En termes plus simples : seuls les rentiers de l’Etat pourraient devenir acquéreur des monopoles.

Passons sur les détails techniques de la combinaison, tels que ceux qui touchent la constitution et le fonc­tionnement de ladite Société, pour arriver tout de suite aux résultatstangibles de l’opération.

Le premier, serait de perm ettre à l’Etat de liquider une partie de sa dette qui pèse sur toutes nos velléités d ’assainissement financiers et les paralyse.

Il y a plus. En vendant ses mono­poles, l’Etat peut, en effet, prendre soin de s’assurer, pour un temps plus ou moins lông, une part dans les bénéfices de l’entreprise réorga­nisée sur de véritables bases indus­trielles et commerciales.

Ajoutons, enfin, que cette aliéna­tion procurerait aussi à l’Etat un supplément de revenu budgétaire, par la perception de l’impôt — impôt ordinaire et impôt spécial — sur les entreprises privées remplaçant le monopole.

Prenons un exemple : le monopole des allumettes. En 1921 : 51 millions de dépenses s’opposaient à 57 millions de recettes. Soit un bénéfice de 6 mil­lions (Rapport déposé en 1923 par M. Louis Marin, président de la Commission des Economies.)

Supposons maintenant qu’une en­treprise privée a remplacé ,1e mono­pole, et que l’Etat perçoit sur chaque boîte d’allumettes à la sortie de l’usine une taxe modérée, à titre de participation aux bénéfices : le ren­dement en est évalué à 10 millions de francs. A cela, il faut ajouter le mon­tant de l’impôt cédulaire sur les bénéfices industriels et commerciaux des usines productives et l’impôt sur le chiffre d’affaires, soit 1 million environ. Bref, un total de 11 à 12 millions; le double du rendement du monopole existant. Considérons enfin que la recette escomptée par vente du capital industriel dudit monopole (bâtiments et matériels) est de l’ordre de 25 millions.

N’y a-t-il pas là une idée qui devrait être étudiée. Au lieu de parler toujours d’un prélèvement sur les biens des particuliers, biens qui sont la source des impôts, car ils consti­tuent les fonds de roulement de toutes les affaires productives, que nos chefs songent donc à frapper ces « biens oisifs ■> que sont les capitaux détenus par l’Etat, en opérant leur transfert en d ’autres mains.

Vendre ses monopoles: c’est pour l’Etat un moyen de se libérer d’une partie de sa dette publique, c’est aussi un moyen do s’assurer chaque année l’encaissement de revenus impor­tants. Cette opération ramènerait enfin la confiance sur le marché des changes...

P O L I T I C ARevue mensuelle d'initiation à la vie politique

■Ago, rut: Chardin, Paris XVI’

L 'H O RLO G ER P L U S F O R T QUE L E S FILO U S

Le “ truc ” , car c’en est un, n ’est pas très honnête, certes, mais il faut considérer que la clientèle l’est encore bien moins. Jugez plutôt !

D an s?plusieurs jou rnaux de? Philadelphie para issa i t l’annonce su iv an te : “ Trouvé hier après-midi, à C h es tnu t-S tree t , près de la poste, une montre en or. La réclamer contre frais d ’insertion au bureau de M. J.-C . Sm ith , 287, N o r th T en th Street. ”

M. S m ith est assis, le lendemain, dans son bureau, meublé avec simplicité, et, à neuf heures du m atin reçoit la visite d ’un homme aux habits râpés et à l’œil furtif.

— C'est pour cette montre, monsieur, dit-il. M. S m i th ne fit paraître l’ombre d ’aucun

soupçon, tira de son pupitre une grossemontre en “ s imili-or ” et demanda :

— Est-ce bien celle-ci ?— C ’est bien la mienne, s ’empressa de dire

le visiteur.— Las frais d 'insertion s ’élèvent à dix

dollars, dit M. S m ith .*Le visage de son interlocuteur s 'assombrit.— Dix dollars, d it-il, avec méfiance.— Oui, monsieur, l’annonce a paru dans

plusieurs journaux.Le vis iteur hésita quelque peu, puis, finale­

ment, paya et p ri t la montre.Q uand il fut parti, M. S m ith , se préparan t

à recevoir le prochain vis iteur, t ira d ’une immense caisse, au-dessous de la table, une montre pareille à celle q u ’il venait de donner, et la plaça soigneusement su r son pupitre . . .

Magazine.

LE S SA LU TA TIO N S CH EZ LES PEUPLES

Quoique s abordant avec les meilleures in­tentions du monde, les hommes, en guise de salutation, sont parfois embarrassés pour échanger quelques mots ayant une otnbrej de sens comm un. Au “ kaire ès” ou mieux à l’“ e rre so ” dea Grecs (fortifie-toi), les Romains répondaient par leur “ v a le ” etleur “ aalvc " (ooio robuste et bien U.»Italien demande : “ C om m ent vous tenez-vous debout ?” fCome sta ?). Au “ Comment vous- portez-vous ? ” d ’un Français, un Anglais réplique : “ How do you d o ? ” (Comment faites vous faire,? ). Tandis que le naturel d ’Anderlecht ou de Molenbeeck-Saint-Jean a recours au tradit ionnel : “ Quelles nou­velles ?

Au salu t d'adieu du Germain : “ Leben Sie wohl ” , qui évoque les béati tudes d ’une diges­tion béate, le Chinois répond : “ Tchi ko fane ? ” (Avez-vous mangé votre riz ?) ou simplement : “ Ya f a n e ” (c’e s t - à - d i r e : bouche vide, riz). Les turcs profèrent avec gravité : “ Salam alaï koum ” ( Le sa lu t soit pou rv ou s j . Echos et Potins.

L E P R IN C E D ES V O L E U R S

Tel est bien le nom que mérite Joseph H arres , récemment arrêté à Londres, et q u ’il faut bien reconnaître comme le plus génial des escrocs et des pickpockets. Depuis des années, dix et plus, H arres était connu dé la police londonienne sous le nom de “ prince des vo leurs" . D uran t sa carrière fabuleuse, il a opéré en Amérique, en Australie, en France et en Angleterre. Ce qui le ravissait entre tous les trésors de ce monde, c’était l’or et les diamanté. H arres était l’un des experts en d iam ant les plus remarquables du monde Ses belles mains possédaient une telle adresse q u ’un jour, au cours d 'une conversation, il pu t dérober son portefeuille à un homme d'affaires bien connu par son extrême mé­fiance. Sa dis tinction, son air de candeur, sa modestie le faisaient apprécier de tous ceux qui avaient la malchance de l’approcher. Il logeait dans les hôtels les plus coûteux et, là, étudiait^ à son aise les mouvements et les habitudes de ceux qu i séjournaient avec lui.

Il était beaucoup trop élégant pour avoir des collaborateurs ou faire partie d ’une bande. 11 connaissait la police secrète et les détectives beaucoup mieux q u ’il n ’en était connu. Sans doute, pour s’être laissé prendre, s ’était- il fatigué, peut-être étà(t- il devenu trop sû r de lui, trop peu prudent. Il s ’est laissé prendre, et cet art iste devra faire pénitence pour tan t de folles années, passées à g ruger le prochain. F au t- i l regretter q u ’il n ’ait enseigné son a r t à aucun élève decboix ? Semblable occupation eût été, croyait-il, indigne de son élégance I

Rerliner Tageblatt

DÉPAHTEfllEIlTPersonnel de& Ecoles Primaires

Mutations du 1" octobre 1925 P a r arrê té de M. le P réfet de l’Oise p r is '

sur la proposition de M. l ’Inspecteur d ’Académie, les nom inations d’institu­teurs et d ’institu trices -désigné^ ci-après sont, faites à dater du 1" octobre 1925 :

Mlle René (Brégy), à Senlis, adj. (f). Mlle Zévaco (M areuil-sur-Ourcq), à

Verberie, adij. (f).Mlle D ufour (Ohantilly), à Chantilly,

a/dj. (f).Mlle Lan-nette (Reuil-sur-Brèche), à

Ghambly, adij. (g).Mlle Bécart (Béthisy-Saint-Pierre), à

M ontataire, adj. (f).Mlle Beaudequin (Bouillancy), à Borest. Mlle T rinel ( Acy-e n-Multien), à Feu-

quières, d irectrice (f).M. H estin (C rép y), à A cy-e n-Mixltio n

(garçons).Mmje Hestin (Créipy), à Acy-en-Multien

(filles).M. Delacomptée. (Lévignen), à Choisy-

la-Victoire.M. L éonardi (Golancourt), à Lévignen. M. Capde vielle, à Crépy, adj. (g).Mme Liévyn, à Béthisy-Saint-Pierre.

Coiseil Général de l’Oise

A . V I SLe M inistre de la Guerre en vue d ’évi­

te r que les ouvriers Polonais s’engagent dans la Légion E trangère avant l’expira­tion du contrat de travail aux term es du­quel ils sont venus en France, p rescrit de n’accepter leurs engagements qu’à comp­te r de la date d ’expiration du contrat de travail prim itivem ent souscrit p a r eux. Il recom m ande à leurs em p lo y e u r/d e p ré­ven ir d e ces dispositions les Polonais qu’ils occupent.

Le Cmseil général de l’Oise s’est réuni le lund 28 septem bre dernier, sous la présidence de M. le sénateur Noël, doyen d ’âge.

M. le P résident souhaite la bienvenue aux noiveaux m em bres du Conseil géné­ral. MM Desijardins, Gaudefroy, Rabbé et Tellier p ii seront certains de trouver le meilleu: accueil au sein de rassem blée départementale. I l envoie un souvenir aux collèguts qui ne font plus partie de l'as­semblée MM. Thévet, Branthomme, Bel- lou et àartin qui ont été de bons compa­gnons.

Election du bureauIl estprocêdé à l’élection du bureau. M.

Noël est réélu p résiden t p a r 27 voix sur 30 votants, M. Langlet obtient 1 voix; il y a 4 bulletins blancs.

(MM, Vasseux et F aisan t sont réélus vice-présidents p a r 26 voix, et MM. de K#rsaint (26 voix), Schmidt (25), de, Saint- Bus; c ie n ( 2 5 ) , O h r y (2 5 voix), s e c r é t a ir e s .

Allocution du PrésidentM, Noël dit combien il est ém u et tou­

ché de la m anifestation faite su r son nom. Le nombre de voix m ontre que ceux qui ont voté ne sont pas tous en communion d ’idées avec leu r président, mais ont voulu rendre hommage à leur doyen, dont les forces physiques ont pu dim i­nuer, mais dont le coeur reste chaud et vaillant. ’

Après avoir félicité MM. Brébant et Deffoy qui ont été récem m ent nommés chevalier de la Légion d ’honneur, M. Noël continue ainsi :

VILLE DE iGREIL

Fédération des S. A. G. de l’Oise(Tiir, éducation physique et préparation m ilitaire)

Dimanche 18 octobreGrando Fête Fédéralo annuollo

sous la présidence de M. Bénazet, com ­m issaire général à la Guerre, avec le concours de la M unicipalité et des Socié­tés de la ville de Creil.

P rogramme :

De 8 h . à 11 heures : T errain de la « Grande Famille » concours d ’éducation physique.

De 8 h. à 11 heures : S tand de Creil, concours pour le titre « Roi du t i r ».

A 11 heures : Réception officielle des Autorités civiles et m ilitaires à l’Hôtel de Vide.

A i l heures 30 : Grand banquet officiel^ | sous la présidence de M. Bénazet, com­m issaire général à la Guerre.

A 13 heures 30 : Rassemblement des Sociétés place du Faubourg.

A 14 heures : Défilé.A 14 heures 30 : Présentation des lau­

réats; exercices et mouvements d’ensem- p le place Carnot.

De 14 heures 30 à 15 heures 30 : Con­cert p a r l ’Harmonie m unicipale et la So­c iété de trom pettes « La Vaillante » place Carnot.

A 16 heures : D istribution des récom ­penses à l’Hôtel de Ville,

Des gerbes de fleurs seront déposées aux Monuments aux Morts : à 8 h. 4a, T errain de la Grande Fam ille; à 11 heu­res, place de l ’Hôted-de-Ville.

Le Président de la Fédération, LEBRUN.

Un volume des « Chroniques et Souvenirs du Pays d’Oise »

est en venteSelon le* désir qui lui en (avait été ma­

nifesté p a r un certa in nombre de per­sonnes, M. Jacques Mermet, rédacteur en chef du Progrès de l’Oise, v ient de réun ir en un prem ier volume une série de ses « Chroniques et Souvenirs du Paysd’Oise ». .

Ce volume contient plusieurs articles évoquant, sous une form e vivante, des faits curieux e t généralem ent peu connus de notre h isto ire locale. Il in téressera certainem ent tous ceux qui aim ent notre région, son passé, ses souvenirs. Sérieu­sem ent documenté, cet ouvrage est à la -fois -plein d’enseignements et d’attra it.

Le 1" volume des Chroniques et Souve­nirs du Pays de l’Oise est en vente aux bureaux du Progrès, 17 rue Pierre-Sau­vage', et 20, place de THotel-de-Ville, àCompiègne.

P rix : 3 fr. — P ar poste : 3 fr. 50.

; r a»!

CE QUE NOUS POUVONS

Nous pouvons nous équiper pour nous passer du charbon étranger.

Nous pouvons trouver notre appoint de blé, et au delà, dans notre Afrique du Nord.

Nous pouvons trouver nos viandes et nos cuirs dans nos possessions d’Afrique.

Nous pouvons, en quelques années, tirer de notre domaine colonial tout le coton, toute la laine, tout le caoutchouc qui nous sont nécessaires, et même, d'importateurs, devenir exportateurs.

Nous pouvons, en reboisant la France et en , „expl iitant nos forêts équatoriales, devenir lesj 1 Tribune de l’Oise, et la Gazette de l Oise

ont consacré -dans leurs journaux respec­tifs d’excellents articles rendant à notre confrère Mermet, le témoignage le plus sym|patique de leur bonne cam araderie.

Nous sommes heureux de nous associer aux compliments adressés p a r le Conseil général et p a r nos confrères de l’Oise sans distinction d’opinions, po u r féliciter notre ami Mermet de son prem ier volume Chroniques et Souvenirs de l’Oise qui in téressera tous ceux qui aim ent notre région, son m m é ot ne* #auy«oî»*h

LEffîUND.

Les Chroniques et Souvenirs du Pays d’Oise ont été accueillis de la façon la plus favorable et ont valu à leur auteur, notre excellent confrère et ami Mermet, de nom breux témoignages de sympathie. - Au Conseil général de l’Oise; M. le Sénateur Noël, président, puis M. Hubert Stern, au nom de ses collègues ont fait du rédacteur du Progrès de l’Oise, un vit

MM. Raoul Aubaud dans la R é p u b l iq u e de l'Oise, Reverdy de Salvagère d a n s la.. ^ . » n ai . J /. i l i oi*

? maîtres du bois, au lieu de payer tr ibut .3 Nous sommes les maîtres du fer et pouvons,

à notre tour, laire de notre minerai ce que - l’Angleterre et l’Allemagne font de leur ; ijouille : une monnaie d ’échange.

Nous avons encore bien d ’autres ressources qui nous perm ettra ient de récupérer su r l’é tranger les sommes q u ’il exige de nous.

Q u i nous ers e m p ê c h e ? i l s e r a i t c u r i e u x de |« a«>e?»r !

L* Ph*»t PU Util

Dans cette session, le Conseil aura à examiner là m ise en état du réseau rou­tier. 20 ou 22 millions vont être demandés pendant 4 ans, soit 80 à 100 m illions et peut-être davantage. 160 centimes seront nécessaires. Les centimes constituent un mode -d’im position suranné et devien­d ront absolument injustes. Pourquoi m et­tre à la chargé des finances départem en­tales l’entretien de la rôute sur lesquelles circulent les autom obiles venues de p ar­tout. Cela aura pour conséquence de dou­bler les impôts départem entaux, de para­lyser nos œuvres sociales pour le béné­fice de quelques-uns. On arrive ainsi à la plus m onstrueuse des injustices fiscales.

Pour transform er une partie de nos dettes im m édiatem ent exigibles, le Gou--prunt 4 0/0 o r; tout a été dit su r cette opération. Je n’en veux re ten ir qu’une chose, c’est que nous considérons comme' un devoir patriotique que chacun y en­gage ses disponibilités. Les souscripteurs feront ainsi noblement leu r devoir, com­me l’ont fait nos enfants en 1914-1918. L’avenir, le Crédit de la F rance l’exi­gent. (Applaudissements).

La folle ambition -d’u-n Riffain à la suite de com bats heureux sur l’armée es- pagnolt, encouragé de plus en plus p ar des conseils venant de nos ennemis, l’a aiqené à penser qu’il pouvait soum ettre à sa volonté tout l ’em pire m arocain; avec -ses tribus, avec son armée, il a franch i la frontière de -notre protectorat, cherchan! à bousculer les quelques postes qui les gardaient; ils ont ba rré la route bien qu'inférieurs en nombre ! Fallait-il, com­me certains le pensent, -lui laisser la place et, en même temps, com prom ettre toute la zone soumise à l’influence de cette na- que, depuis un siècle, -nous avons cherché à instaurer dans le Nord de l’Afrique ?

Le Gouvernement ne l’a pas pensé, et, avec l’Espagne, il cherche à faire ren tre r la zone soumise à li-nfluenee de cette na­tion dans Tordre et la légalité.

Non, ce n ’est -pas des in térêts m ercan­tiles que le Gouvernement de la Républi­que est venu protéger et soutenir avec notre arm ée d a n s ]e Riff. C’est la civili­sation contre la Barbarie. Sans esp rit de conquête, il assure la prédom inance française, — félicitons-le de l’avoir bien com pris et envoyons à nos braves enfants qui com battent pour la grandeur de la France, à notre armée, l’expression de -notre patriotique reconnaissance.

M. Paisant demande à répondre au dis­cours de M. Noël.

Je prends la parole avec -émotion et sim plicité, dit-il, pour affirmer toute la joie et tout Porgueil que nous avons eu à voir cette élection, qui conserve de façon définitive la vie magnifique qu’a été la vôtre. Nous ne sommes pas de ceux qui oublient les -souffrances de la guerre, les services que vous avez rendus à votre ville, l ’énergie que vous avez mise à la relever -de ses ruines. Vous avez été la voix haute, noble et pure, toujours sou­cieuse de calm er les dissentim ents; vous avez été la paix -dans ce pays qui l’aime tant, vous avez été l’apaisement, la dou­ceur et l’autorité. Nous avons adm iré la façorf dont vous dirigiez les débats, mais surtout le cœ ur d’un grand citoyen, d ’un grand Français. P our ce bel exempta d ’im partialité, heureux de vous avoir -donné un témoignage d’esti-me qui se con­tinuera pendant des années, qui, nous l’espérons, seront longues. Vous avez été de ceux qui travaillent et font le bien; vous êtes le modèle de l’unité et de Tes p r it du cœ ur français; c ’est cela que -nous sommes fiers d’applaudir en vous.

Très ému, M. Noël rem ercie M. Paisant. Dans toutes les circonstances de la vie, dit-il, je n ’ai cherché qu’à faire mon de­voir. Beaucoup d’autres l’ont fait compie moi; beaucoup’ l’ont fait au p rix de leur vie et c’est à ceux-là que do it aller notre reconnaissance. Quant à moi, je suis am­plement récom pensé d u peu que j’ai fait par les témoignages de votre sym pathie.

Après quelques paroles de rem ercie­ments de MM. Brébant et Deffoy, les nou­veaux prom us dans la Légion d’h o n n eu r^ M. Noël continue. J ’avais à rem ettre deux plaquettes offertes aux conseillers géné­raux com ptant de longues années de m an­dat. L’une de ces plaquettes était desti­née à M. Hainsselin qui vient de m ourir et dont les obsèques ont eu lieu le jour mêiqe. A ce propos, M. Noël rappelle les services rendus par le défunt qui fut 1 une des lumières du Conseil général.

M. le Dr D elpierre, au nom de 1 arron ­dissement de Clenmont, s’associe aux pa- r&les de M. Noël et à l'hommage à Ift tnêwoirs d? Mi HalR-MellfR

M. Noël annonce qu’il a une seconde i plaquette à rem ettre. C’est celle qui re­vient à M. le m arquis d-e l’Aigle, qui fit partie du Conseil général de 1876 à 1915. Nous avons, dit-il, la joie de rem ettre cette pl-aquette au fils de M. le m arquis de l’Aigle, notre très aimable et excellent collègue, M. le comte Gh. de l’Aigle. Nous le p rions de la p o rte r à son père en tém oi­gnage de notre bon souvenir et de notre -sincère affection.

M. le comte de l'Aigle rem ercie M. Noël et déclare que son père a gardé le meil­leur souvenir -de ses collègues du Conseil général.

Election des CommissionsIl est procédé à l’élection des cinq

grandes commissions qui sont ainsi cons­tituées :

l re Commission (finances) : MM. De-s- -groux, Schmidt, de l ’Aigle, De-croze, Geor- ges-Picot, U hry et Tellier.

2e Commission (routes et voies de com ­m unication) : MM. de Saint-Fuscien, Vas- selle, Déchamps, Stem , Berthelot, »Dr Mous-saud, DeSjandins-Ternant et Rabbé.

3” C om m ission (a g r icu ltu re et ob jets divers) : MM. Vasseux, D elpierre, de Ker- sai-nt, Langlet, Boulanger, Langlois, Dela­croix.

4e Commission (bâtiments civils) : MM. Lefëvre, Brébant, Doffoy, Bouteille, et Gaudefroy.

5e Commission (instruction publique, assistance e t hygiène) : MM. F ournier Sarlovèze, Magnier, de Poly, Paisant, Pen- nelier, Molumar et Séguelas.

La séance suspendue à 3 h. 45 est re­prise à 4 heures 30 et M. le P résident fait -connaître les noms des présidents élus p a r chacune des Commissions.

1" Comlmission, M. D-esgroux;2* Commission, M. de Saint-Fuscien;3° Comlmission, M. Va-sseux;4* Comlmission, M. Le-fèvre;5e Commission, M. Fourn ier Sarlovèze.

Coiûpte de 1924

M. le -Comte de l ’Aigle donne lecture de divers rapports au nom -d-e la Commis­sion des finances. Les créd its demandés sont votés.

M. Schm idt présente son rap p o rt sur le com pte de 1924 :

Recettes .......... 28.955.094 19Dépenses ......... 24.143.089 16

E xcédent de recettes . 4.812.005 03Ces comptes sont approuvés.

Une adresse au Ministre des Finances

A l’issue de sa séance de lundi, le Con­seil général de l’Oise a adopté à l’unani­m ité l ’adresse suivante -proposée p a r M. H ubert Stern :

« Le Conseil général, considérant la situation économique et financière, après les dévastations d’une guerre menée en commun avec les soldats des Etats-Unis, pour la défense de la civilisation, exprim e à M. le M inistre des F inancés ses senti­m ents de confiance pour aboutir au mieux -des in térêts du pays qui serv it de cham p de bataille dans la guerre m ondiale, à la transaction nécessaire qui tien d ra compte -des sacrifices réels -des diverses nations, po u r la pacification du monde et le ré ­tablissem ent d-e sa stabilité économique. »

Un vœu de M. Uhry au sujet de la guerre du Maroc

est repoussé par le Conseil général-A la fin -de la -séance de m ardi, le Con­

seil général é tait saisi d ’un vœ u de MM. U h r y , Berthelot et Ségue-las s’élevant con­tre -la guerre du Maroc, dem andant au gouvernement de faire connaître ses con­ditions de paix et au besoin à faire appel à Tarbi-trage de la Société des Nations.

M. le sénateur Langlois, rap p o rteu r de la 3” Commission, proposa de reje ter ce vœ u et de faire -confiance au président d u Conseil -pour term iner au mieux une guerre que la F rance n’a pas cherchée.

-Après une intervention de M. U hry et un très vif -débat, dont nous rendrons compte, M. le P réfet fut amené à poser la question préalable.

L a question préalable a été votée p a r 13 voix contre 3 et 2 abstentions.

MM. Uhry, Séguelas et Berthelot ont voté contre.

MM. Delacroix et D esjardins-Ternant se sont abstenus.

ï]ü bon point à la Compagnie du fiord IEst-ce à la suite de nos légitimes ob­

servations ?Toujours est-il que depuis quelques

jours l’éclairage des wagons de l r* e t de 2e classe dans les tra ins de banlieue ligne Chantilly-Sen-lis-Crépy est m pins préh is­torique...c* A-n—.i*-------- ~~T~

A travers SenlisPharm acie ouverte i

Dimanche n Octobre : M. Bardou, rue de l ’A p p o r t-au -P a in .

Syndicat d’initiative, i, avenue du Maré- chal-Foch.— Tous renseignements pour le tourisme. ' V

Chaâlis - Erm enonville. - Excursion Jeu­dis, dimanches et jours d î fête. Départ de la gare, 14 heures. Retenir ses places.

La nouvelle ligne de chemin de fer d’Auînay à Rivecourt

Dans sa séance du 20 mai dernier, le Conseil général, sur le rapport de M. Thé­vet, avait adopté un vœu de M. Georges- Picot, dem andant « que les travaux de « la ligne de chpm in de fer d’Aulnay à « Rivecourt, interrom pus depuis onze « ans, soient rep ris au moins jusqu’à « Senlis, les travaux -d’in frastructu re « étant presque term inés sur ce parcours « et ne nécessitant plus qu’une année de « travail pour la mise en service. »

L a Compagnie du chem in d-e fer du N ord a répondu que l'achèvem ent de la ligne jusqu’à Senlis seulement, en traîne­ra it une dépense d’environ soixante-six millions et que la durée des travaux se­rait, non d’un an, m ais de tro is ans au m oins. Dans ces conditions, la Compa­gnie estime n-e pouvoir donner satisfac­tion au vœ u du Conseil général.

iC’est ce que M. Vasselle, rapporteur, nous a fa it connaître dans la séance du Conseil général de -l’Oise du l et octobre courant.

Huit à l ’heure dans la Cité de l’Art et du Tourisme, mais il faut alors un bon quart d’heure pour traverser votre bonne ville ! A m oins que -ce ne soit une brim ade auquel cas elle serait -plutôt déplacée !

Spécifiez donc sim plem ent vitesse Mo­dérée, cela doit suffire. A 30 à l’heure toutes les voitures automobiles (excepté bien entendu les camions) doivent s’a r­rê te r su r une dizaine de -mètres. Que faut-il de m ieux ?

Ou alors même poids -même m esure p o u r tous, interdisez aux chevaux de tro t­te r e t aux cyclistes de dépasser l’allure du chasseur à pied.

Je déteste les chauffards -plus que vous ne pouvez les h a ïr vous-même; le -meilleur rem ède contre ces désagréables individus est -encore de leur faire infliger la peine maxim-a lorsqu’ils sont sujets à contra­vention.

Mais au nom -du Tourism e norm al, au nom du bon tourism e dont se Réclame votre jolie ville ne nous forcez pas à ap­peler Senlis la ville de la lenteur en a t­tendant que -ce soit celle de la contraven­tion.

Huit à l’heure, songez-y ! Pourquoi nepas organiser parm i vos collègues un con­cours ? Pour aller e t re tou r du -pont de chem in de fer à l ’Hôpital ! Celui qui dé­liasserait Huit à l ’heure serait disqualifié; celui qui approcherait le plus -de cette su­blime moyenne serait déclaré gagnant. Pensez à m ’inv iter cela sera sûrem ent -drôle et je m ’inscris d’ores et déjà pour offrir au gagnant un modeste souvenir de sa perform ance.

Veuillez agréer, je vous p rie , Monsieur le Conseiller m unicipal, mes sincères sa­lutations.

P ierre LHUILLIER.

Musique MunicipaleExam ens de l’Ecole de Musique

Les examens de TE-col-e m unicipale de musique auront lieu salle des répétitions aux dates ci-après :

Solfège 1” année, m ard i 13 octobre, à 19 heures 30.

Solfège 2* année, m ercred i 14 au lieu de jeudi 15 octogre, à 20 heures.

Instrum ents 2 ' année, vendredi 16 oc­tobre, à 2 0 heures.

Les P aren ts des élèves sont instam ­ment p riés de bien vouloir y assister.

Le Conseil d ’administration.

Huit à l’heure 11111Lettre ouverte au docteur Chastel,

conseiller m unicipal de Senlis.Vous avez été appelé, Monsieur, a a tti­

re r au Conseil m unicipal l'a ttention de vos collègues su r la vitesse excessive de certa ins automobilistes dans la traversée de Senlis. Bravo.

Vous avez proposé à vos collègues de p ren d re un arrête in terd isan t de doubler une autre voiture pendant la traversée de la ville. Bravo.

Vous avez l’in tention de signaler les quelques carrefours dangereux (rue Bel- lon, Grand Cerf, etc.). Bravo encore.

N«. vous arrêtez pas en si bonne voie, ch er Monsieur, et adressez-vous au bon sens des Conseillers m unicipaux pour leu r faire supprim er cet arrêté absurde et) date du 3 m ars 1923, a rrê té qui lim ite la vliesss 4#s nutcunublle* à Huit à

Association Amicale des Anciens Elèves de l’Ecole Publique des Garçons de Senlis

D im anche 11 octobre prochain , au Stand du M ontauban, -de 8 h . 30 à 11 heu­res, séance de tir à l’arm e de guerre et à la carabine.

P riè re d’être exact. _.

Société d’Âmateurs de Billard Senlisiens

La réunion men-suelle -des m em bres de la S. A. -B. S. a eu lieu le 2 octobre en vue du renouvellem ent du bureau et de l ’or­ganisation *du cham pionnat 1925-1926.

Les membres du bureau on t été à l ’una­nim ité -maintenus dans leurs fonctions.

Les sociétaires -désirant pa rtic ip e r au cham pionnat sont invités à fa ire parvenir leu r engagement au Secrétaire ou au Siège dé la Société, café Leclercq-Encausse, avant le 2 0 octobre.

* Amicale des Anciens Élèves de l’Ecole de la rue de Villevert

Ainsi que nous l’avons annoncé, les séances recréatives et m usicales données p a r le Groupe Lyrique de l’Amicale, au­ront lieu le samedi 17 octobre, en soirée et le dim anche 18 octobre, -en m atinée.

Les places seront rem ises contre p ré ­sentation -de la lettre -d’invitation, les m ard i 13. -mercredi 14 et jeudi 13 octo­bre, d« 13 A 14 heures, saîle Jeutîhë d’Attu

Page 2: A travers Senlisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_10_11_MRC.pdf · 2014-02-11 · BflJ is a è i, — H' 43 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 Octobre ïtttS m JOURNAL DE

Club Sportif SeniisienRésultats du 4 octobre 1925

A Stm'lis : G. S. St 12) .bat A. Béthisy (2), p a r 5 buts à 3.

A Béthiisy : C. S. S. (1) et A. Béthisy (1) nul : 1 à 1 .

A Sentis, la seconde équi-pe confirme ses in tentions de bien faire. Béthisy mène au repos p ar deux à 0 .

A la reprise 'Senlis donne à fond et m ar­que cinq buts.

iBon arb itrage de -M. Jourdain , arb itre d u Sous-District Iiavrais, de passage à Senlis.

ûlartageNous anprenons le prochain mariage

de Mlle Hélène-Brnestine Clément, em­ployée de commerce, dem eurant à Senlis, rue du Châtel, avec M. Aimable-Edmiond- Louis Martin, serrurier-forgeron, à Senlis.

'Le bénédiction nuptiale leur sera don­née en la 'cathédrale de Senlis, le lundi 19 octobre, à onze heures.

Nous adressons nos m eilleurs vœux de bonheur aur futurs époux et nus com pli­ments à leurs honorables familles.

L a prem ière équipe, quoique affaiblie R n *_______________nAiieeit r*o mi ’ n 11 o I

Petites nouvelles— -, * » - - , - „>„n„ i n u e Sainte-Geneviève, une collision

p a r plusieurs défections, r e u s s itc e q u e I heureusem ent sans gravité, s’est produite n avait fa it ijusqu alors, de m ettre e i I f j (> piéton M aurice C arton et le cy- échec sur son terra in l ’Amicale Bethi- I i u:syenne. Chaque équipe eut sa mi-temps avec le vent.-Bét-hisy ouvre la m arque sur penalty.Sentis égalise sur coup franc. Au repos :C. S. S. 1, A. B. 1.

Pendant la-seconde partie les équipes n ’arrivent pais à se départager malgré leurs efforts.

(Excellente partie du keeper Seniisien (un des meilleurs de la région), actuelle­m ent en parfaite condition.

IBon arbitrage de M. Bourbier.

cliste Théodule Gillon.— Rencontré sur une bécane dépour­

vue de lum ière, la nuit venue, M. Georges Levasseur, 37 ans, maçon à Avi-lly, a ré-, -col té une contravention.

Dimanche 11 octobre 1925A 14 heures précises, pour le prem ier

loup élim inatoire de la Coupe de France, g rapd Match de 'football entre l’Etoile des Peux Laos, prem ière équipe (cham ­pion (je Paris des Patronages), et le Club Sportif Seniisien, prem ière équipe, sur le te rra in d u chemin Latéral.

La Fédération F rançaise de football as­sociation organise annuellem ent avec le concours du Petit Parisien une Coupe Nationale d e football association, appelée « Coupe de F rance » dont le succès s’af­firm ent chaque année (355 clubs engagés).

P our le p rem ier to u r élim inatoire le C. !S. S. reçoit donc sur son terra in une excellente équipe parisienne, l’Etoile des Deux Lacs (prem ière équipe) qui l’an passé fit d’excellent résultats contre les équipes prem ières de l’U. S. A. Clichy, l ’Association Sportive Française, le C. A. P ., le Ç. A. XIVe, le C. A. Montrouge, l ’A. S. Amicale, et s ’est adjugée le titre de Cham-pion (do P aris (de la série des Patronages/

L’Etoile des Peux Lacs a en outre gagné deux fois le Trophée de France, a été six fois Cham pion de F rance des Patronages et sept fois Champion de Paris.

P our son prem ier m atch cette saison avec le C. 0 . Billancourt, prem ière équi­pe, celui-ci a été Ibattu p a r 1 but à rien.

Le C. S. b- n ’a pas un tel bagage spor­tif; ap rès un début de saison difficile, l ’équipe s’es) ressaisie; le m atch nul ob­tenu à Béthisy contre F Amicale, qui avait rassem blé p o u rtan t une forte équipe, en est la preuve. La form e excellente m on­trée p a r le keeper Seniisien au cours de cette p a rtie serrée est une des causes p rincipales de ce demi-succès, c a r Bé­th isy ne m arqua que sur pénalty.

Les S-enili-si-ens se doivent, devant leur public, de se racheter de leur mauvaise p a rtie d u dim anche précédent contre Crépy.

Avis aux Membres honorairesCette épreuve é tan t organisée p a r la

3 F. A., aucune entrée d e faveur n’est autorisée; le contrôle sera tenu p a r un délégué de la Fédération.

Entrée : 1 fr. 50. — Coup d ’envoi : 2 heures précises.

ETAT CIVIL DE SENLISdu 2 an q Octobre IQ2 ç

thCaissances1. Renée-Marcelle Le Marellec, route de

Pont.3 . André-I.ouis-Ernest Marchand, place

Henri IV, 8 .5 . Rober.-l lenri Rabbé, rue des Jardiniers,

2 6 .Décès

2 . Marie Blanche-Adrienne Cabaret, femme Tarcy, 32 ans, sans profession, demeurant à Montlév’êque, est décédée Fsubourg-Saint- Martin, 1.

3 . Charles-Louis-Joseph Dûment, tnanou- vrier, 55 ans, Faubourg-SainuMartiri, 1.

6 , Renée-Marcelle Le Mareilec, 6 jours, route de Pont.

8 . Joseph Rooseuw,, manouvrier. 39 ans, demeurant à Barbery, décédé Faubourg-St- Martin 1.

Publications de' tMariages Néant

iMariage Néant

P o l ic e C orrectionnelle d e Sen lis

d ’iaimcnde; il devra en outre verser au sieur Dumoulin qui n’est pas encore ré­tabli une somme de 1.090 francs à titre de provision sur dommage,s-intérèts,

S Al NT-V A AST-LBS-MIELJ .0 . — Con­vaincu malgré ses dénégations d’avoir à différentes reprises, exercé des violences su r son enfant âgé de 13 mois, le nommé Lancuville Marceau, âgé de 26 ans, ou­v rier pein tre à S'aint-Vaast-les-Mellq, s’en­tend infliger 1 mois de prison.

SENLIS, — Pour injures publiques au moyen de correspondances adressées à découvert au sieur B riard , débitant, d e ­m eurant rue Vieille-de-Paris, la dame Stulmuler, n ée"Recommandé Jeanne, 32 ans, égalem ent débitante à Senlis, rue Belilon, est condamnée, après des débats qui ont lieu à huis clos, en 1 0 0 francs d ’amiende et à 500 francs de dommages- intérêts. •i,

VFRBERTE. — Le 25 septembre, Velji- m and Oho-vanitz Gharles, 23 ans H Je saxon F ink Adolf, 20 ans, qui te aient passé la frontière pour venir v iite r la Capitale, ont été rencontrés à Verrerie et arrêtés comme vagabonds, Ghovfflitz est condam né en 20 jours de prisonet Fink en 15 jours.

VERNEUIL. — En allant faire le l’h er­be en plaine avec une brouette, hs nom­mées Brussehnpnin Marie, feirnni Arnon, 42 ans, et Lam arre Alhertine, fenme Du­pont, 24 ans, ménagères à Vernfliil, ont dérobé une certaine quantité de gerbes d e hlé et d’avoine. Elles sont cmdam- nées : la femme A-mon en 3 m oisde p r i­son, la femme Dupont en 2 mois 3t béné­ficient toutes deux de la loi de su'sis.

Union CatholiqueAvec octobre 1925 s’olivre pour l’Union vja 11110114'ue mi nouvel exercice ex une

nouvelle campagne d ’opinion.A côté des travaux du Cercle d ’Etudes

qui seront m éthodiquem ent poursuivis, il nqus sera bientôt donné d’entendre, à la sçille Jeanne d’Aro, des Conférences suslceptilbles d’a ttire r un public, plus nombreux.

Ces conférences seront consacrées à la lu tte contre le laïcism e doctrinal, tâche des plus urgentes et des plus actuelles.

Les catholiques de Senlis com prennent

Audience du 5 octobre 1925

Présidence 'de M. Jorro t, p résident.M inistère Public : M. Hénaut, procu­

reur.•CREIL. Employés à la gare du

« Petit Thérain », les nommés Delporte •Eugène, 29 ans, dem eurant à Montataire, rue Louis-Blanc, et Lassus Paul, 26 ans, dem eurant à Creil, ont dérobé dans un waigon en stationnem ent des bouteilles de quinquina Dubonnet. Au couns d’une ron ­de dans la soirée du 24 août, le surveil­lant-chef iGhauffenne v isitant le réfec­toire, trouva une bouteille à m oitié vide dans te coffre de laiomyne d’équipe Las­sus. Deliporte qui juge à propos de ne pas com paraître, attrape p a r défaut 6 mois de prison, Lassus s’ftn tire avec 2 mois.

— Bien que frappé d ’in terd iction de séjour pendan t 5 ans, depuis le 31 août 1921, le nommé Cornet René, âgé de 29 ans, se d isan t représentant de commerce au Crotoy, est venu à Creil, localité in te r­d ite, où sa présence ayant été signalée à la police il fut arrêté. Ï 1 est condam né en 15 jours de prison.

-— Divorcée et rem ariée au sieur Toil- lier Désiré, habitant La Hérelle, la nom­mée Gard-clle M a rie , â g é e d e 50 a n s avjci 11 ne ov, 11 servira înci'i 1, jju ui ven ir H3.D1-te r Creil, 8 , rue de la République, en compagnie du nommé H aurine P ierre, âgé de 53 ans, chauffeur d’usine. L’adul­tère ayant été constaté, la femme Toillier e t son compagnon attrapent chacun 10 0 francs d’amende.

CREPY-EN-VALOIS. — Le 5 juillet d e r­n ier vers onze heures d u soir, le nommé Sance Albert, âgé de 21 ans, ouvrier pein­tre à Crépy, qui était en complet état d’ivresse, a injurié et menacé l’agent dechaque jour davantage le grand devoir de I (l ivresse, a injurie et menace 1 agent ai

l ’union et du coude à couide. Ils en ont I police Ohollet et le garde cham pêtre Mau donné une preuve de plus, dim anche der- I blanc. A 1 audience Sance a une très mau !_ J'I- ni TMMTliKf»ÛV1Vnier, où ils se sont groupés si nombreux, si recueillis à la place qui leur est assi­gnée dans la cathédrale pour la « Messe des Hommes ». Ils affirment p a r là que leu r « mouvement » est un mouvement d ’origine religieuse et d’esp rit essentielle­m ent religieux.

Nous com ptons sur leu r intelligente bonne volonté et sur leur esprit de d isc i­p line pour m aintenir toujours leur ad h é ­sion à l’Union Catholique et leu r volonté d e cohésion au-dessus des contingences de la politique de p a r ti et pour rester in- défeetilbîement unis dans la Foi, dans l ’Obéissance à l’Eglise e t (dans la défense religieuse.

La chute du m otocyclisteIl y a quelques jours, vers onze heures

du m atin, M. Michel Goudray, âgé de 20 ans, fils du négociant en vins de Nogent- sur-Oise, roulait en m otocyclette su r le vélodrome de notre ville, lorsque par suite-d’un déranage, il fut projeté à terre.

Le Docteur Lem aitre qui lui a prodigué ses soins a constaté fo rt heureusem ent des blessures superficielles.’ L a moto naturellem ent a subi des dé­gâts très im portants.

M. Goudray Michel a regagné Nogent le jour m.ême.

--------

Elle est p artie ...Un inconnu a soustrait vers 6 heures du

•matin, dans le couloir de l ’habitation de IM. et Mimé Léon Neveu, rue Saint-Hilaire, la bicyclette d e Mlle Leone Neveu, d ’une valeur de 450 francs.

L’auteur a dédaigné deux autres m achi­nes qui étaient usagées.

•M. Coutard, com m issaire de police, a o u v e r t u n e e n q u ê t e .

Théâtre municipal cinémaProgram m e des II) e t 11 octobre

Samedi, soirée à 8 heures 45. D i m a n c h e , m atinée à 2 heures 45. —

•Soirée à 8 heures 45.iM a rc ie l 'L e v e s q u e ic la n s L A D A M E D E

CHEZ MAXIM’S, com édie tirée du célèbre vaudeville de Georges Feydeau.

Dodoche bon apôtre, comédie comique. Le Stratagème, comique.Culture cptonnière au Niger, docum en­

taire.La semaine prochaine : L ’ATLAN ­

TIDE en une seule fois. ,

TU L. F . G r l r T A - I M T E F T CHIRURGIEN - DENTISTE

reçoit dans son Cabinet,B8, rue de la République, à Senlis,

les Lundi, Mardi, Jeu d i et Vendredi, de 9 h. à 1S h.

P R I X M O D É R É S 258

valse attitude, ce qui lui vaut d ’attraper le maximum soit un mois de prison 1 0 0 francs d’amende pour le délit et 5 francs d’am ende pour 'ivresse.

— Ayant fait la connaissance du sieur Deshayes Ambroisie, âgé de 39 ans, alors qu’elle habitait Muille-Villctte (Somme), la dam e Touret née Sente Alfréda, âgée de 35 ans, quitta son m ari, pour venir dem eurer avec son am ant à Crépy-en- Valois, Î4 , rue de la Cloche, où l’adultère fut constaté. Les deux inculpés sont con­damnés chacun en 1 0 0 francs d’amende.

•MONTATAIRE. — Dans la nuit du 8 au 9 juin dernier, les algériens Ali Ben Ab- relkader, 32 ans, et Ben Ahmed Saï-d, 27 ans, ont qu itté la cham bre garnie qu’ils occupaient chez la dame Alassœur, d é b i­tante, rue Mertian, oubliant non seule­ment de s o ld e r leur p e n s io n , mais en em­portant un drap et différents objets. Les deux algériens qui ont été vainem ent re ­cherchés depuis, sont condam nés p ar •défaut chacun en 6 mois de prison.

-— Le 17 septem bre dern ier, les nom­més Roch Guillaume, 19 ans, sujet belge et Riclhet Henri, 20 ans, orig inaire de Bohain, qu itta ien t furtivem ent Çhauny où ils travaillaient, après avoir pénétré dans le domicile de la dame Veuve Chaussée et y avoir dérobé une somme de 165 francs. Ils se rend iren t à P aris y dépen­sant la plus grande p artie de l’argent. Le lendem ain 18 ils p riren t le tra in pour Creil, puis se dirigèrent vens Montataire. R encontrant au Petit Thérain des gendar­mes, ils cherchèrent à se dissim uler dans un buisson. Découverts et questionnés, ils du ren t faire l’aveu du -vol qu’ils avaient commis. Le T ribunal leu r octroie à cha­cun 2 mois de prison.

PQNTARME, — Le sieur Vermeulen Gaston, 44 ans, en trepreneur de trans­po rts à Pontarm é, semble poursuivi p a r la fatalité. Le 23 juin dern ie r effectuant un transport de p ierres et venant de Bé­thisy, il se trouvait dans la rue P rin c i­pale de Néry tenant sa droite, lorsqu’il aperçut à quelques mètres de lui deux jeunes enfants qui chassaient un cheval devant eux. E ntendant le cam ion l ’un des enfants alla su r le côté gauche de la route, mais le second âgé de 9 ans, aprèsa v o ir lié.sité, rev in t sur la d ro ite . A ttein t

CHANTILLYM U S É E . — O uvert : i° les Diuunches et

Jeudis (entrée gratuite) ; 20 les Sam-dis, 2 fr. l'entrée ; de 1 h à 5 h . , sortie h 12 duparc.

P H A R M A C IE S ouvertes tous les Di­manches jusqu’à midi.

S E R V IC E A U T O M O B IL E CHANT1LLT- G OU VIEU X; — D épar t de Chantilly, place de la Gare : 6 h. 55, 8 h . , 10 h. 40, n h. 30,17 h. 30, 18 h. 30. D épart de Gouvieux, place d e là République : 7 h . 20, 8 h. 13, 11 L.11 h . 45, 1- h- 50, >8 h. 50

Le prem ier service (6 h . 55) dessert le ha­meau de C haum ont, il en est de même au tour de 17 h. 3p.

Les Dimanches et Fêtes, te dern ier départ 4e Gouyieux est_recu)p à 19 h, 43.

D e u x C o u p e s à C h a n t i l l y . — M. Jenning, président du Racing Stables Instifcute de Ghantihy, offre deux coupes à disputer dans les conditions suivantes :

La première, un seul match à jouer sur le terrain du Racdnig Stables Instituts à Chan­tilly; duré-e une heure et demie avec mi- temps de dix minutes. L’équipe gagnante sera celle qui, au cours du match qu’elle aura dis­puté avec celle du Raieing Stables Institute aura rentré le plus de buts, défalcation faite de ceux rentrés par celle-ci.

En cas d’égalité entre deux ou plusieurs équipes, u.n miatch sera disputé sur le même terrain, afin de départager oes équipes.

La remise de la coupe à l’équipe gagnant aura lieu après un match amical joué en lin de saison sur notre terrain, entre l’équipe ga­gnante et celle du R, S. I. Valeur de la coup 300 francs. Engagement par équipe ; 15 fr.

La deuxième/dite coupe de l’Avenir, est ouverte aux équipes composées de joueurs ayant moins de 19 ans. Même règlement qu celui de l’autre coupe.

Valeur de la coupe, 200 francs. Engage ■ment ; 10 francs par équipe.

Adresser les engagements pour les deux coupes à M. Lloyd, Racing Stables Instituts, Bois S a in t-D en ts , & C hantilly .

Il é t a i t t e m p s . •— M. Augustin Lemaitre âgé de 47 ans, gardien des tribunes au champ de courses, entendit du bruit près de son lo­gement à plusieurs reprises an cours d’une dernière nuit. N’apjercevant personne et vou- laint se mettre en sécurité, il tira un coup de revolver en l’air, puis n’entendit plus rien.

Le lendlmain matin, il constata que 5 sec tfons de tuyaux d'arrosage en tôle galvanisée avaient été coupés à leur raccord et attachés ensemble par 3 cordageis prés à être empor tés, mais dérangés les voleurs avaient laissé tout cela.

On enquête sur la plainte déposée à la gen­darmerie.

<3olf d e C h a n t i l ly . — Résultat du cham­pionnat de 'Chantilly (dames). — Gagnante, Mime Monnier, 12-11.

Médailles mensuelles. 26 septembre.35 engagements (dames. Gagnante, Mille De­nise Beinediic, h. 32 net 78; Mlle Nicole Pou- cher, h. 20 net 79.

MeiSiSieunlS ( p re m iè r e s é r i e ) . Gagnant, M. A. Carihia-n, h. 18 net 74; M. F. Lacroix, h. 12 net. 76.

Match entre i’équipe Anglaise <« TI10 Moles » et une équi-pe Française. — Matin fourhaills : C. V. G. Hoomàm-I. S. F. Morri- son, 0. — A. M. Vagli-ano (capitaine)-Gobert, 1 2 /1 .

W. A. Pnwel-V. G. Lpogstaffe Iup 1.C. J. Gastel-Manouvrier, 0.

F. G. L. Fiaiclie-G. D. Roberts, 3/2 1. - j Monohy-Montgoimiery, 0.

A. G. M. Groum e (c a p ita in e )-B ra d le y , (J.— Huet-Thion d e la Chaume, 2/1 1.

.T. G. Graiigie-Tennyison, 0. ,— Le Blain-Aubin, 5/3 1.

Lithiiby-T, E. To-ppinig, 2/1 1. — Bérard- Gotz, 0.

Après-midi foursoimes ; Powel-Croome, 1.— binon de la Ohaume-Vaigliano, 0.

Moms-on-Fainlie, 0. — Gobert-Manou-vriier, 1 . •

Hoomian-Loinigstaffe, 0. — Casteil-Huet, 1. Robents-Hargreaves, 1. — Montgomery-

Aubl'in, 0.Bradley-Lilliiby, 0. — Bérard-Mouohy, 1. G-ralgie-Toipping, 1. — Le Blan-Gotz, 0.

C o n c o u rs d’honneur armes à lo n g u e por­tée : MM. Leroy, 59 points; Delanour, 57; R oblin , 57; Robin, 48; Laplamte, 48; Cour- tilat, 45; Marguet, 42; GuUlemin, 41; Blet- ton, 41; Foulon, 35.

Gon'cours armes de la Société à longue por­tée : Laptante, 138; Marguêt, 137; Guille- nijn, 183; Danse-R., 131; Flandin M., 629; Danse J., 124; Leroy, 121; Robin, 120; Pa­rent fffls, 115; Courtiiiat, 113; Foulon, 106; RouBSelile, 101; Hou filet, 85; Roblin', 84; Poille-t, 78.

Goncouirs amies -libres à longue porlép : yuhiard, 147; pnlîmqur, 136 ; lljetton, ijjfi.

Concours public à la carabine. Concours arples -libres ; Uuinard, 56; Bletto-n, 54; D e/ iû-coûr, 43.

Concours armes de la Société ; Courtilat, 161; Robliin, 158; Danse R., 15.6; Foulon, 155; Vaillant, 154; Leroy, 151; Poillet, 147; RousiSôiUe, 145; Margue-t, 144; Robin, 144; Baîanis'a.c, 144; Guillemin, 143; Boufflet, 140; Perrot, 134; Danse J., 132.

Concour-s (dames) : Mme-s Vaillant, 106; Danse, .102; Corpataux, 96; Marguet, 95; Rfibout, 93.

Concours publie à la carabine (jeunesse A) : MM. C-ourlSlat, 150; Spiguelaire, 147; Derruel, 136; Rayer E., 136; Podevin, 133; Bordijer Paul, 131. I

Jeunesse (B) : Lacroix, 147; Aubin, 137; I Danse A., 136; Christerinann, 134; I.amou- reux, 124; Bourcier, 95.

Goncoiurs au pistolet : MM. Delacour, 102; Leroy, 102; Poohard, 97; Courtilat, 93; Ro­bin, 93; Poillet, '89 ; Ganpeintier, 8 8 ; GuilJe- min, 82.

Le Gomité de Direction nous informe que la distribution des prix des concours de tir de cette année aura lieu le d i m a n c h e 1 8 c o u ­r a n t , à 3 heures de l ’après-midi chez M- Boufflet, à l’hôtel de l’Oise.

G-ette distribution sera suivie d’un banquet amical qui se fera le m&me jour à 8 heures d-u soir à l'hôtel de 'l’Oise auquel les dames •seront admises.

Les inscriptions pour ce banquet dont le prix est de 15 francs, pourront être faites chez M. Boufflet, commissaire, au plus tard le 12 octobrl.

G. S. C. M.-iy. — La pouipe organisée par les Cheminots du Moubn-Neuf promet de remporter un bon succès. Plusieurs équipes ont déjà fait parvenir leur engagement parmi lesquelles le F. G. Saint-Just (1), le S. A. C. Montataire (1), l’U. S. Suisse (R), l’U, S. reiisan ç 1 ), etc... il reste encore quelques dates fie libres, en .novembre. S’adr&ser â M. Gopin, ateliers du Nord, à Chamb-ly (Oise).

C R É P YM. et Mme Levc&que, 14, rue Jeanne-

d ’Ar-c, ont été attaqués alors qu’ils circu­laient vers 16 heures 30, en forêt îl’Ou-rs- oam-p, par deux individus, qui devant leur automobile, se postèrent, revolver au poing.

Voyant qu’ils n’obéissaient pas assez vite, l’un des individus tira sur le couple attei­gnant le mari au poumon e-t la femme aux reins.

Les blessés o-nt été transportés à l’hôpital de Compiègne.

Leis agresseurs de M. et Mme Levesque, marchand de nouveautés, ont été arrêtés. Ce sont René Dumontois, 18 ans, manouvrier a Ollencou-rt, Commune de Tracy-le-Mont, m

- - - - - , , . . . , , , , A n d r é T r o u illa r d , 14 a n s , habitant a v e c sesp a r le protégé rad ia teur du véhicule, il arentg k Tl.a0y-le-Val.roula sous le -camion-dont 1 une des roues mB 0nt été arrêtéslu i écrasa la tctc. Poursuivi de ce fait pour hom icide p ar im prudence, le sieur Verme-u-len est condam né en 3 mois de prison avec sursis et 500 francs d ’amende. — Le 29 juillet le sieur Vermeulen se ren ­dait à la gare de Senlis, pour y prendre un chargem ent de charbon pour le com p­te du sieur Dumoulin, cordonnier. Alors qu’il attendait p rès de la voie que le wagon fu t amené à l’endro it convenable, le sieu r Vermeulen resta à sa direction n’arrêtan t pas son moteur. Le wagon p la­cé il voulut reculer un peu son véhicule, m ais il n ’avait pas aperçu le sieur Dumou­lin qui était derrière p rès de la voie le •dos tourné et qui fut renversé, une des -roues arrière lui broya la jamibe gauche. Repris cette fois pour blessure p a r im ­prudence, le sieur Vermeulen attrape 1 m ois de prison avec sursis 1 0 0 francs

arrêtés dans un débit de l’ave­nue de Glalroix, à Margny-les-Compiègne et éoroués h la maison d’airrêt de Compiègne.

CHAINANT

Le samedi 3 octobre a été célébré le ma- rage de M. Henri Lebreton avec Mlle Alpho-n- sine-Paule Vemter, la quête faite par ju. Marc-el Gressier et Mlle Fernande Vernier au profit- de la catese des écoles a produit h somme de 49 francs. Nos bien sincères re­merciements aux faimi'lleis en renouvelant aux nouveaux époux nos vœux de bonheur.

C H A M B LY

T ir . P a l m a r è s . — Nos lecteurs voudrons bien trouver ci-dessous le classement géné­ral et définitif des concours organisés par la Société dé tir de Ghambly pendant l’mnnéci 1925.

C R E IL

A m ic a le d e s a n c i e n s é l è v e s d e l’E c o le S o - m a s c o . — Q’est aujourd’hui dimanche qu’au­ra lieu, salle de-s fêtes de Nogent, la matinée coinlcert de l’Amicale des a n c ie n s élèves de Té-colle Somasco.

. Les -personnes qui ne sont encore munie de cartes d’entrée en trouveront au contrôle. Ouverture du bu-reaiu à 14 heures.

Les sociétaires sont, Informés que le ban­quet aura lieu à 20 heures, hôtel du Com­merce. 15 franc-s par parsenne, service non compris.

m é d a i l l e m i l i t a i r e p o s t h u m e . — La mé­daille militaire vient, d ’être attribuée à la mé­moire du soldat M-aubert Alphonse-Juste, de la olasi^e 1908, mort pour la France, le 16 septembre 1914. Cette nomination -comporte la croix de guerre avec étoile de bronze.

A s so c ia t io n S p o r t i v e C r e l l - N o g e n t (ancien­nement Association Sportive Greillo-ise). — Rassemblée générale statutaire aura lieu le jeudi 29 octobre -prochain, à 20 heures 30, sa-lle (le l’hôtel du Chemin de Fer.

Ordre du jour ;Lecture du dernier procès-verbal;Appel de-s -sociétaires. Recouvrement des

cotisations ;Ila-ppm-l moral CM. Maillet) ; lYMipi-ori, ues -veïgn'oateu'r-s aux co-m-ptes;Rapport flinia-noier (M. M'onsallier) ;Election du bureau;Election d-es vérificateurs aux comptes;Que-stions diverses.H a r m o n ie m u n ic ip a l e . —- Nous apprenons

avec plaisir, que M. Rouzter Maurice, jeune musicien de l’Harmonie municipale de Creil, vient d’o'btemir un premier prix ndividuel de Marine!le au concours de musique de Vichv (Allier).

■A cette occasion, n-ous lui adressons, ainsi qu’à son professeur, M. Tézière, nos bien vives félicitations.

H y g iè n e m a t e r n e l l e , — La consultation des nourrissons du lundi 2 novembre aura lieu le jeudi 29 octobre.

A s s e m b lé e g é n é r a l e a n n u e l l e d e la L ig u e de l’I l e - d e - F r a n c e d ' a t h l é t i s m e . — La Ligue de l’Ile-de-France d’athlétisme tiendra son con­grès annuel :1e 11 -octobre, à 8 heures 30, à l'hôtel du- Chemin de fer, à Creil.

Ordrq du jour : vérification des pouvoirs; allocution du président; compte rendu moral et financier; projets d'organisation pour la saison 1926; vœu du bureau concernant l'in­terprétation du groupement corporatif; rap­port du bureau sur les négociations avec la Ligue de Picardie; renouvell-em-einit du bu­reau.

Fous -les -clubs sont tenu» de se faire re­présenter à oette assemblée, afin de collabo­rer aux très intéressants travaux qui y se­ront traités.

Un pouvoir a été adressé à -chaque o-Iud -affilié et devra être rem-is au délégué, revêtu de la signature du président (ou faisant fonc­tion) et du cae-heit du club.

Le secrétaire géné;ral, René DUBOS.’

D IEU D O N N E

A r r e s t a t i o n d ’un v o le u r d e b lo y o le t t e a o u s - t r a l t e à IWéru. —■ Avisée par la brigade de gendarmerie de Méru qu'un vol de bicyclette -avait été -commis le 27 septembre dernier vers 11 heures et qu’un individu du nom de René Danse, âgé de 15 ans, ouvrier agricole, originaire de Paris, -sans domicile fixe, était -soupçonné, lai brigade de Ne-uiUy-en-The-lle se livra à des re-ehe-rclios dam» les fermes en­tourant ,sa région et découvrit dans une en ­treprise de battage, le fameux Danse.

Interrogé sur la provenance de la machine qu’il avait en mains, fl déclara l’avoir em­prunté à un jeune homme qu’il connaissait de vue sans connaître son nom, qu’il avait rencontré s-ur la place du Marché- de Méru. Il était parti avec l'intention bien arrêtée de ne pas lui rendre.

Le Parquet de B-eauvais avisé de cette ar­restation fit savoir qu’il y avait un mandat d’arrêt décerné contre Danse pour vol. Danse a été conduit à Senlis en attendant son trans- l'éremënt à B-eauvajs, à la disposition du Par­quet de cette Yillle.

DUVYO b s è q u e s d e M . B ille t . — G’e-at en pré-

isenoe d’une t r è s n o m b reu -se assi-stance qu’ont c,u lieu- eini l’église de Duvy, les obsèques de M Lucien Billet .adjoint au maire, décédé à ja suite d’une brè-s courte maladie, à l’âge de 45 ans.

Ancien élève de l’Institution Saint-Vineemt do Senlis, M. Billet était originaire de Baron, où ses aptitudes professionnelles lu-i avaient valu la distincti-on de chevalier du Mérite

• agricole. _Depuis plusieurs années, il habitait Duvy,

de nombreuses sympathies lui avaient valu, dès 1912, d’être élu conseiller municipal et adjoint au maire jusqu’en 1919.

Réélu aux dernières élections municipales avec une grosse majorité, il fut de nouveau choisi ubrnme adjoint; il apporta toujours dans la gestion des affaires de la commune un esprit éclairé, emprunt de la plus grande et, impartiale bienveillance pour tous.

Foncièrem ent bon et d’abord facile et ai­mable. d était l’ami et le conseiller de-s hum.»

Mes, la providence des petits ; aussi, empor - te-t-iil les regrets unanimes de tous ceux qui l ’ont approché, adoucissement bien faible, il est vrai, à rinconsoUable douleur de sa jeune veuve et des siens.

Aussi, une très nombreuse assistance s.’était-elle réuni-e autour de la chapelle ar­dente à la maison mortuaire. Le cercueil dis­paraissait seu-s -de nombreuses couronnes, -parmi lesquelles ou- remarquait notamment crtle du Cons-ei'l municipal.

Les cordons du poë-le étaient tenus par MM. Mantfl, -maire dô Duvy, Robert Mercier, Char,les Lemoine qt Henri ilureaiux.

Ajoutotts que l’église fut trôp’jÿ&tite pour contenir tous ceux qui avalent tenu à venir rendre un dernie-r devoir à ce brave homme.

Au cimetière, M. Manteil, maire, a prononcé une touchante allocution ra-p-pelain-t la vie de M. Lucien Billet, dont le so-uvenir restera vivace dans la commune.'

Nous -prions Mime Lucien Billet, M. et Mme Arthur Billet et la famille en deuil de oro-ire à nos plus sympathiques condoléances

LAGN Y - L E -S E C

Deis ouvriers po-lonais travaillant pour le q-omipte da M. Lucien Boi-sæau. à la ferme de Chantemenle, ont signalé qu’on leur avait soustrait à Rouvres, une somme de 601 fr. dans leur logement, en employant le même système que -celui employé à Montagny- Sainte-Félicité, c’est-à-dire en démastiquant un oanrieau de la fenêtre.

Une piste est --suivie très activement qui pourrait -mettre sur la trace de l'auteur de C-e dêljt. L’iimdivi-du soupçonné serait égale­ment -l’auteur d’un vol de bicyclette à Thieux (Seine-et-Marne).

L E P L E S S I 8 - B E L L E V I L L E

Le Parquet de Senlis a ouvert une en­quête au sujet de l’oubli commis par le polo- nidis Michel Dudzjk, âgé de 30 ans, ouvrier agricole' qui ignorant la loi française avait omis -de déclarer à la Mairie dams le délai de la loi la naiissaince d’une fille née le 19 jan­vier dernier. H a déclaré qu’en Pologne, ta déclaration ne s-e faisant qu’à l’é-glise et non à la Mairie, il n’avait œillement songé à la faire à la Mairie du P-lessi-s. Il a réalisé cette •formalité depuis.

1HELLO

La brigade de gendarmerie a procédé à l ’arrestation du nommé Gustave Laurent, âgé de 34 an®, mécanicien-tourneur à Bury. -domicilié au hameau de Lo-mbardie, qui à trois reprises différentes avait soustrait à la filature de Saiint-Dpin, où il était employé depuis quinze m-o-i-s environ, une première

.Jiois 20 kilo s de -cuivre jaune et bronze, la seconde foi-s 22 ki-los de bronze, la troisième fois 11 kilois de bronze, du moins, 11 avait revendu ces vols en trois fols au b rocan ter .Lathei-l'lière, pour une -somme totale a? 150 francs.

Interrogé, Laurent a déclaré qu'il avait, soustrait c-e bronze à l’intérieur de la fila • tu-re où il travaillait, dissimulant sous ses vêtements ou -dans -ses poches le produit de ses vols. Puis quand il y en . avait un bon poids, il les vendait au brocanteur. Il gagnait à la filature 22 francs par jour et sa femme dans la même maison 11 francs, fis n ’opt à leu-r charge qu’un enfant de 6 ans. Pour expliquer 1-e mobile de ses a-ete-s, Laurent a déclaré qu’ayant -de-s dettes anciennes, d voulait 1-es libérer -p-ar ce m-oyen.

Une per-qulsitioin opérée à son domicile par la gendarmerie en présence de M. Désiré Claude, conseiller muni-ci-pal de Bury, en l’ab­sence et -par déilégati-on du maire a encore fait découvrir 6 ki-los de bronze.

Laurent qui jusqu’à ce jour n’avait fait aucunement parler de lui a été consigné à la disposition de la justice.

m o n t a g n y - s a i n t e - f e l i c i t e

Le polonais avait quitté son logement vers 5 heures du matin, pour s-e rendre à la fermedo AT. Atxffuistim Prdiïito , où il e s t occ-U-pé.

Revenant vers 7 heures 45 pour déjeuner, 11 a constaté qu’on s’étai-t introduit dans son logeme-nt e-n démastiquant un carreau de la fenêtre -de m-anière à faire jouer l’espagno­lette et qu’on lu-i avait soustrait dix bille-ts de nulle frqn-cs renfermés dan^se-n portefeuille et 80 franc# en c-o-uipuireis placés sur la c h e ­minée. dans un porte-monnaie. En outre, le voleur lui a soustrait un pantalon et un ves­ton ac-cr-Qichés à un clou d a n s là cuisine, d ’où préjudice supplémentaire de 2 0 0 francs. Oa enquêté.

M O N T A T A IR E

S u ic id e . —- Comme d'habitu-de, M. Adrien Feutry, âgé de 71 ans, manœuvre, domi-cilié rue Jean-Jaurès. 102, s’était levé le malin vers 5 heures 30 pour faire chauffer son- café et prendre son déjeuner avant d-e par-tir à l’usine. Or, sa femme,- née Lucie Raguat, sa levant peu après fut surprise d’apercevoir les effet» de son miari restés dans la cuisine, elle appro-çha d’une petite pièce contiguë à la cuisine et découvrit son mari pênd-u à une poutre. Elle aip-pela un voisin, lequel appela à. son -tour la gendarmerie et quand le chef de brigade G-oimohon arriva, il coupa la cor­de, le -corps était encore chaud, mais malgré tous les soins -donnés, on ne # u t le rap-peler à la vie.

Souffrant d ’une entérite -chronique et croyant qu’i-1 ne pourrait -plus conserver son emploi e-n raison de son âge, il avait préféré la mort. Il avait laissé un papier disant qu’il

. était, trop -malade.Le docteur Vieillard a délivré le permis

-d’-inhum-er.N O G E N T - S U R - O I 8 E

G r o u p e L y r iq u e N o g e n ta i s . — Le Groupe Lyrique Nogentais pour répondre au désir exprimé par de nombreux jeunes gens, don­nera -son premier bal sur invitations, le sa­medi 10 octobre, à 21 heures, à la Salle des Fêtes, r-ue Jean-de-l-a-Fomtiaioe.

Il est rappelé que l’accès de ces manifes­tations chorégraphiques, -est accordé gratui­tement aux demoiselles ainsi qu’à leur ma­man les accompagnant.

Le prix d’entrée pour le® cavaliers est fixé à 5 francs, tous droits compris.

La lettre d’invitation émanant de la direc­tion du G. L. N- sera exigée au contrôle.

Toutefois, dans le but d-e réparer les omis­sions bien involontaires qui auraient pu se produire, le Comité prie les jeunes gens et -demoi-selles qui n’auraient pa-s reçu d'invi­tation, de considérer le présent avis comme tel.

De -même, les jeunes ménages pourront faine partie -de ces soirées de famlll-e dans les conditions prévues ci-dessus, c’est-à-dire, entrée gratuite pour les dame® et pour les messieurs, le prix fixé ci-dessus.

C o u r s d e v io lon . —■ Comme suite à son avi-s paru le 30 août, le Groupe Lyrique No- gemtai-s informe la papulation de Nogent et de-s environs que les jeuin-es gens qui désire­raient suivre les cours de violon du G. L. N.,p e u v e n t en-cora d o n n e r le u r in s c r ip t io n J u s ­q u ’a u 2 o c to b r e , c h a q u e J e u d i, a 1 6 h . 4 5 , -salle des Fête-s, rue Jeain-'de-la-Fontata-e.

Rappelons que -ces cours fonctionnent nor­malement le jeudi à partir de 16 heures, sous la direction du professeur M. Emile Dela- ma-rre, le violoniste-virtuose hie-n connu.

Le professeur donnera aux familles tous les renseignements se rapportant à ces eour».

Le Directeur du G. L- N.P O N T P O I N T

M. Jean Blin, garde dès eaux et forêts à la maison forestière des Goulerons, commune de Pontpoi-nt, est appelé, en la même qualité et sur sa demande, à la maison forestière de Mont-Ve-rdun, commune de Beauvoir-en- Lyons (Seine-Inféri-eure),

Il sera remplacé à Pontgolnt par M. André- Oilbert Bourlet, garde des eaux et forêts à la maison du Mont-Verdun, commune da Beauvolr-en-Lyons,

PONT-SAINTE-MAXENCEFeu d’artifice. — M. et Mme Edgard Stern

vont faire tirer un feu d'artifice au château de Villc-tte sur la pièce -d’eau en l’honneur de la naissance de leur -petit-fils Antoine, le dlma-nohe 11 octobre.,, à 21 heures. Au pas où il ferait du mauvais temps B serait reeulé au lendemain même heure,

Le-s personnes désireuses d’y assister sont invitées. 8132

Croix-Rouge. — Le Comité de la GrôiX- Rou-ge à Pont-Sainte-Maxen.cc organise, pour le mardi 13 courant, à 21 heures, une grande -représentation théâtrale, -salle du Cinéma Po-uipart.

-Le programme, aussi artistique que varié, comprend notamment une opérette de M. Jea-n Stern, musique -de M. Edouard Malhé;-des danses et des chants, le tout exécuté par un groupe d’artistes -mondains, q-ui ont Bien voulu apporter leur dévoué concours au Gomité de la Croix-Rouge. Nul doute égale­ment que le public ne veuille apporter sa collaboration financière à la réussite de cette soirée organisée au profit de cette œuvre -si phiülanthroipique.

Prix des places : 15, 10, 5 et 3 fraaeg.On trouve dès maintenant des cartes cheff

M. Lesenne, trésorier, 29, rue Charles- Lescot.

U, N. G. — La section d-e Pont-Sainte-Maxence de l'Union Nationale des Combat­tants, désireuse de donner un témoignage de -sa solidarité à ceux qui sept au Maroc, don • n-era le sa-mh-di 24 octobre une soirée artisti­que e.t musicale, dont le bénéfice ira aux Combattants du canton de Pont-Salnte- Maxence, actuellement sur le Riff.

Le pirix des places a été fixé à 5, 3 et 2 fr. Une réduction de 50 0/0 sera accordée aux

j membres de VU. N. C. ainsi qu’à leurs fem­mes e t.à leu-rs enfants, s-ur présentation de leur -carte de l’amnée.

| A cet effet, tes quittances seront présen­tées prochainement à domicile et nous de­mandons à tous nos membres de leur réser­ver bon accueil.

Le Go-mité.T H IE R 8

Le Conseil municipal, dans sa séance du 4 octobre, â accordé une subvention annuelle de 500 francs à M. Foubert, correspondant à La Ghapelle-en-Serval, pour l’établissement d’un service automobile entre Thiers et la gar-e de Survi-l-lters, aller et retour, matin et eolr.

Dép-artg de Thiers ; 7 heures et 16 heures.Départs de la Gare : 9 h. et 18 heures.

V I L L E R S -S A IN T -F R A M B O U R G

La séance récréative de l ’U. N. C. — Com­me nous l’avions annoncé, la S&otion de Vil- lers-Saint-Frambourg-Ogno-n de l'Union Nationale des Combattants a donné diman­che dernier, en matinée, et en soirée, (laps la salle de M. Lequeux, aménagée pour la cir­constance, une séance récréative au profit de sa caisse de secours.

Une phalange d’amateurs Senlisiens avait prêté son gracieux concours à cette gen­tils fête qui fut réussie on tous points.

Dès 2 -heures, une fouile nombreuse impa­tiente de se divertir, se presse dans la salle de théâtre; la séance est ouverte, dans cha­que partie du programme, -par MM. André Ro-eütgen, pianiste, et Pierre Bon, violoniste, deux musiciens armateurs hors ligne, qui su­rent nuancer -et rendre avec beaucoup de brio et de finesse « VeLieurs île Nuit » de Bo.sc et la « Gava’,;ne » de Raff ; ils obtinrent aussi un trè-s vif succès -dans la » Prière » de Pati-erno. Henri Tiill-ier fut amusant au pos­sible dans ses monologues variés qu’il dé­bita avec beaucoup de naturel et une mimi­que expressive; Ferna-nd Gulzelin, bien connu à Vill-ens, et Henri Violet chantèrent les meil­leurs morceaux de leur répertoire choisi et charmèrent l ’auditoire qui ne leur ménagea pas ses bravos, ils furent rap-pelés, c’est tout -dire ! André Cazal dans ses chanson3 deçemre, cjti’il toter'prétait pour la premlùre foi».remporta un très grand succès, -il #ut enle­ver le public qui VâepQmpqgna au refrain; de même l-e jeune Be-rge dans ses chansons fantaisistes fit reprendre tes refrains en- chœur et fut très goûté, cependant jeune homme un conseil ; Ménagez-vou® I M. Jac­ques, à la diction parfaite, sut émouvoir ej faire vibrer l’auditoire avec ses poésies fort bien choisies, o-e fut un véritable régal. Main­tenant, il me faut dire up mot des deux insé­parables que l'on retrouve toujours dan» tou­tes les œuvres de bien, j ’ai nommé Henri Vio-let et son am-I Henri Hazard lesquels rem­portèrent un succès de fou-rire ave-c leurs duo-s comiques, ils furent longuement accla­més et récl-amés. Un artiste de VUters, M. L. Verai-n, faisait ses débuts sur les planches et i'1 s’en tira avec beaucoup d’aisance e-t 4 e naturel, l’habitude aidant il deviendra un artiste consommé, aussi la salie lui fit-cite une ovation méritée; bravo je-une homme, continuez !

J'ai gardé pour la fin l’as des comique», Robert De'lvi-enne le s&Sie de Fortugé, le roi du rire, avec lui ce fut 1e délire, le public trépignait de joie et j'ai craint un moment pour la solidité-de la salle et surtout de la soèpe, ses auditeurs ne voulaient plus le lais­ser partir et j-e crois bien que s'il l’eût voulu il y serait encore à l’heure actuelle ; mais U n’est pas de si belles fêtes qui ne prennent fin et celle-ci se termina sur l'amusant vau­deville « Sacré Julot*» rendu de façon par­faite par tes excellents artistes que sont M. Hazard qui fut un concierge ahurissant au­quel u. Tillier, le domestique, donna très bien la réplique; F. Guizel-in, dans 1e rôle du ren­tier à l’affût d’une décoration, sut très bien mener sa barque en faoe d-e E. Grimbert le­quel obtint un franc -succès de rire dans 19 rôle du pseudo député-plombier Julot; 1(3 receu-eiMireint de nombreux et mérités ap­plaudissements.

A l’ius-se de la première partie du program­me, M. le Comte Dorla, le distingué et sym­pathique président de la Section de l'Ù. N. C. de Villers-Oignon, souhaita la bienvenue aux artistes senlisiens qui avaient bien voulu ap­porter leur concours gracieux à cette jour­née de fête, 11 exprima se.s remerciements à tous ce-ux qui -contribuèrent de près ou de loin à son succès, et plus partlcullèDement MM. Tardq, vice-président, Wiamopt, secré­taire, Leq-ueux et Gulzelin, qui se dépensè­rent sans compter, eut un mot aimable pour MM. Darras, maire de Vl-l-lers et Lec-terc, maire d’Ognon, qui avalent bien voulu rehausser de leur présence l’éclat de la séan­ce et rappela que 1e -produit de la fête était destiné à la Caisse dé secours de la Section (qui en a grand be-soiq) afin de permettre l’attribution d’une allocation lors des nais­sances se produisant dans les familles des membres de l’Union et aussi dan® le but d’augmenter l'allocation déjà accordée à par­tir du 21* jour de maladie. L’assistance ap­plaudit aux parole» de M. -le Comte Doria, puis de gracieuses jeune» filles firent une quête et vendirent des insignes de la journée.A 7 ïieure-g, un tlîner aml'ctal réuinlssa.it ar­tistes et organisateur»; la plus francjie gaieté ne cessa de régner et M- H. Violet porta «n toa»t à -la prospérité de la Section de Vlllers- O-gno-n.

En résumé fête charmante qui restera longtemps marquée dans -le souvenir des nombreux spectateurs qui eurent là bonne fçrtune de pouvoir y assister et de témçlgner leur reconnaissance par des bravos répétés et nourris. Bref chacun se Sépara enchanté de sa soirée et en disant « A quand la pro­chaine » 1

Auditor.— Mme Laure Paris, épouse Froment, do­

miciliée 60, quai d’Aval, à Creil, se trouvait dernièrement chez son fils, débitant de vins à Villers-Saint-Framlbourg, q u an d u n mar­chand d’étoffe ambulant fit son rt(frée dans le -débit de Félix Froment.

Il demanda un vin blanc Vichy et quelques instants après, deux automobilistes, un hom­me et une femme desservUrent d’une

Page 3: A travers Senlisbmsenlis.com/data/pdf/js/1925-1926/bms_js_1925_10_11_MRC.pdf · 2014-02-11 · BflJ is a è i, — H' 43 LB NUMÉRO QUINZE CENTIMES 11 Octobre ïtttS m JOURNAL DE

Paille mélassée, 20 à 25 o/ode sucre, 44 fr.; son mélassé, 25 à 40 0 /0 de sucre, 30 0 /0 son de blé, 20 0 /0 succédanés, 66 fr, ; avoine mélassée, 50 0 /0 d’avoine, 15 0 /0 de sucre, 86 fr. ; arachide rusfisque mélassé, 50 0 /0 de tourteau, 15 0/0 de sucre, 88 fr.; gluten de maïs mélassé, 50 0 /0 de tourteau, 15 0 /0 de sucre, 84 fr.; cossettcs de pommes mélassées, 30 à 4 Ç çi/q de sucre, 56 fr.

Aliment mélassé Sucrazote, 28 à 35 0 /0 de sucre, 54 fr

Rations composées.— Pour chevaux, aliment complet, ̂ oô/od’avoine, 12,5 o/ode sucre,86 fr.; pour vaches laitières, concentré, sec et aqueux, 105 fr. ; pour bœuls à l’engrais, concentré, 84 fr. ; pour moutons à l’engrais, concentré, 87 fr. ; pour porcs à l’engrais, concentré, 97 fr. ; (arinemélassée pour veaux de boucherie, 120 fr. ; pour veaux d’élevage, iio fr. ; pro­venue mélassée pour volailles (Poultryne), loofr. ; provencU mélassée pour lapins (Rab- bittine), 95 fr.

mobile en face le café. Ils pénétrèrent à leur four dans le café et.se firent servirent éga­lem ent une consommation semblable à celle

marchand. Un quart d’heure après, le marchand d’étoffe fit offre aux automobilis­tes de Sa marchandise, mais la femme trou­vant le prix trop élevé refusa net, alprs le marehand de s’écrier, puisque vous ne voulez pas acheter ma marchandise au prix que je vous indique, je vous offre toute celle-ci au prix de 300 francs. L’automobiliste regarda son portefeuille et déclara qu’il n’avait pas assez pour faire cet achat, et ajouta, vous Seriez tout de même J»len embarrassé, si on vous .prenait au mot.- .(Croyant faire une bonne affaire, Mme Fro­ment alla chercher dans sa chambre la som­me de trois cents'francs et acheta le lot de marchandises, c’est-à-dire douze coupons de 2 mètres 50 à 3 mètres de longueur. A ce moment, le marchand se voyant pris, se ré­tr a c ta , mai® l 'a u to m o b i l i s t e lu i r é p liq u a , il«st trop tard, marché conclu, marché vala­ble. L'argent fut versé e t le marchand partit, bientôt les automobilistes sortirent à leur tour, remontèrent en auto et s’en allèrent on ne sait dans quelle direction.

Désagréable surprise pour Mme Froment en examinant la marchandise, elle constata qu’il n’y avait plus que 4 coupons, les alq- tres avaient été enlevés.

Eprouvant un préjudice de 200 francs, car ce qui restait valait 100 fr., la dame Fro­ment a signalé le fait à la gendarmerie de Sentis qui enquête. On possède heureuse­ment un signalement qui permettra peut- être de se mettre sur une piste.

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