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RE PUB LI 1)UE DE CO TEil' 1VOl RE
ElUDE DE REBOISEmEnTET DE PROTECTion DES SOLS
.NOTICE EXPLICATIVEDES CARTES CLIMATOLOGIQUES
1 - CARTE AU l/tOOO.OOOe DES DEfiCITS HYDRIOUES CUMULÉSET DE LA DURU DE LA SAISON SËCHE.
Il - CARTES AU l/4.000.000e DES ·DONNEES PLUVIOMETRIOUES
OfFICE DE LA REGHfRCHE SCIENTIfiQUEET TECHNIQUE OUTRE-MER
Centre d'Adiopodoumé
1967
REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE
CONVENTION D'ETUDE PORTANT SUR LEREBOIS~ŒNT ET LA PROTECTION DES SOLS
OFFICE DE LA RECHERCHESCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE
OUTRE-MER
NOTICE DES CARTES CLIMATOLOGIQUES DE COTE D'IVOIRE
- Carte l - Déficits hydri~ues cumulés et duréede la saison seche.
- Carte II - Données pluviométriques.
M. ELDIN, Chargé de Recherches en Bioclimatologieà l'O.R.S.T.O.M.
A. DAUDET, Assistant de Recherches en Bioclimatologieà l'I.N.R.A.;détaché à l'O.R.S.T.O.M. au titre de laCoopération.
Centre d'Adiopodoumé mai 1967
...
•
-1-
"NOTICE DES CAR'fES CIJIMATOLOGIQUES DE COTE D'IVOIRE"
- Carte l -" D~fici t?_.~F-i~les cumulés et durée de lasaison sèche <
- Carte II - Données pluviométriques.
La carte l est le document climatologique au millionième
que l'O.R.S.T.O.r~o s'est engagé à fournir dans le cadre de
l'étude pour le reboisement et la protection des sols.
La carte II est un document de 11 O.R.S.T.O.ï\l., établi
par la section de Bioclj.matologie ~ joint 8n supplément à la
carte l pour éclairer et complete:c les indications de cette
dernière.
On trouvera dans la présente notice des indications sur
les points suivants~
A - Généralités sur le climat ivoirien. Raisons du choix
de la durée de la saison sèche et des déficits
hydriqu(~s cumulés comme; paramètres climatiques, , ,
repreS8nlJes.
B - Défini tian de,g grandeurs -u.tilj.sées. Signification
écologique.
C -" :Réalisation des cartes ..Jraitement des données.
D - Interprétation des ca~tes. Conclusions .
-2-
A - Généralités sur le climat ivoirien - Raisons du choix de la
durée de la saison sèche et des déficits hydriques cumulés
comme paramètres climatiQues représentés.
Située entre le 4° et le 11° degré de latitude Nord, la Côted'Ivoire se trouve dans la zone balayée par le Front Intertropical
(F.I.T.), qui sépare les masses d'air humide d'origine atlantique
(Mousson), de l'air sec d'origine désertique (Harmattan).
Les déplacements du F.I.T. en latitude, liés au balancement
apparent du soleil de part et d'autre de l'équateur~ entrainentau sol la succession des saisons "sèches"+ et pluvieuses.
Pendant la plus grande partie de l'année, d'avril à octobre
généralement~ c'est la mousson qui refoule le F.I.T. au dela de
la frontière septentrionale de la Côte d'Ivoire et fait règner surl'ensemble du pays un air chaud et très humide, ne permettant
qu'un très faible refroidissement nocturne (amplitude journalière
moyenne < 8° C. ). Ce n'es t'lue pendant les mois de novembre àmars, que les oscillations du F.I.T. pénètrent assez profondé
ment dans le Sud, n'atteignant toutefois le littoral qu'un très
petit nombre de jours chaque année (fin décembre ou début janvier).
Ces périodes d'Harmattan sont caractérisées par un air toujours
chaud dans la journée, chargé de poussières (brume sèche), mais
susceptible, du fait de sa très faible humidité~ d'un refroidis
sement nocturne important (amplitude thermique journalière de
l'ordre de 10° C. dans le Sud de la Côte d'Ivoire et de 15 à 20°dans le Nord). A cette époque, les masses d'air d'origine océani
que ne couvrent que le Sud du pays et sontpeu épaisses; elles
n'alimentent alors que les quelques rares pluies de la grande
+ Il s'agit en fait de "saisons peu pluvieuses". Nous avonsconservé dans la rédaction de cette notice les termes impropresde "saison sèche" et "saison humide" parce qu'ils sont commodes et largement employéFs.
-3-
saison sèche. L'harmattan provoque un abaissement très sensibledu degré hygrométrique de l'air 9 surtout dans la moitié Nord dupays où il se fait sentir au sol en permanence.
Au contraire, la petite saison sèche qui se situe généralement au mois d'août en Basse Côte d'Ivoire, a un tout autre caractère: le F.I.T. se trouve alors en position très septentrionale,ainsi que la zone pluvieuse qui l'accompagne et qui recouvre leNord du pays. La Basse Côte d'Ivoire qui se trouve en retrait decette zone est peu arrosée mais continue à subir l'influence desmasses d'air humide, ce qui confère à cette petite "saison sèche"un caractère d'aridité très peu marqué.
Deux régions climatiques principales peuvent ôtre distinguées,en correspondance avec les deux types de paysages rencontrés:savane et forêt claire au Nord, forôt dense au Sud.
1°/ Climat Soudano-Guinéen+
Climat du Nord de la Côte d'Ivoire, il est caractérisé parl'existence d'une seule saison pluvieuse présentant son maximumen août-septembre.
La saison sèche telle que nous la définissons plus loin parl'ensemble des mois consécutifs présentant un déficit hydrique,y dure de six à huit mois et son intensité augmente régulièrementavec la latitude.
Au cours de l'année, la moyenne mensuelle des amplitudesthermiques quotidiennes oscille grosso modo entre 10° C(juillet) et 20° C (décembre), opposant nettement ce climat àcelui couvrant le Sud du pays, où elle varie de 5° C (juillet) à
10° C (janvier).
+ Nous reprenons ici la nomenclature d'Aubreville généralementadoptée, bien que nous ne partagions pas sa définition du moissec ni par suite, celle de la durée de la saison sèche.
..
-4-
2°/ Climat Guinéen Forestier
Ce climat qui intéresse la B~sse Côte d'=voire forestière
est caractérisé par l'existence d,~ J.8UX saisons des pluies. La
plus intense et la plus Lmgue présente son maximum en juin, la
plus courte en octobre. Elles sont séparées pûr la petite
"saison sèche dl ao.ût" .
L'influenco alternée des deux masses d'air on présence
n'engendre pas de grandes différences de température dans cette
zone climatique.
Les vents de Gousson d8 secteur S~l, presque saturés de
vapeur d'eau, ent:tainerlt des précipi tations plus abondantes
quand ils rencontrent des obstacles, côte ou relief, qui les
obligent à s'élever. Les pluies sont d'autant plus intenses sur
la côte, qu'elle a un8 direc tion plus voj.sine de la perpendicu
laire au v8nt. C'est vraisemblablement l'explication des gradients
pluviométriques que l'on observa entre la zone relativement peu
pluvieuse de Sassandra - Grand Lahou (respectivement 1600 et
1670 mm par an) et les deux pôles pluviométriques qui se situentet
aux extrémités Est/Ouest du littoral ivoirien (plus de 2200 mm
par an).
Ces situations particulières, qui accentuent ou diminuent
localement l'intensité des pluies, conduisent à reconnaitre dans
l'ensemble du climat Guinéen-forestier un certain nombre de sous
types climatiques dont 10 caractère distinctif est essentielle
ment la durée de la saison sèche.
Les divers auteurs qui ont essayé une classification des
climats en Côte d'Ivoire sont d'accord sur ce point. Encore
faut-il:
1) Savoir cormaent il convient de définir un "mois sec" et
par suite lu durée de la saison sèche.
2) Remarquer que le critère de durée de la saison sèche dont
l'unité de temps est presque toujours le mois, est gros
sièrement discontinu. Il ya lieu de le compléter par la
notion de déficit hydrique cUQulé qui conduit à une
-5-
représentation cartographique continue, beaucoup plus
juste à notre sens, car elle fait intervenir bon seulement
la durée de la sécheresse lLléÜS égalem<.mt son intensi té au
cours des différents mois de la saison sèche.
Nous allons dans ce qui suit essayer de donner un sens précis
à ces grandeurs climg,tiques afin de mettre en évidence l'interpré
tation qui peut en être faite.
B - Défini tion des grandeurs utilisees .- SignificLltion écologique.
Quelle quantité minimale d'eau doit-il tomber pendant un
mois pour que celui-ci ne soit pas un mois "sec ll ? Il est clair
que cette question n'a pas de sens (sauf peut-être pour une
petite région climatiquement homogène), car elle suppose que les
hesoins en eau sont les mêmes en tous temps et en tous lieux.
L'apparition de l'état de sécheresse est liée au résultat
d'un bilan entre une certaine demande climatique en eau traduite
par l'évapotranspiration potentielle (B.T.P.), et une certaine
offre traduite par la pluviométrie (P.).
On définit l'E.T.P. par la quantité d'eau susceptible d'être
évaporée par un couvert végetal abondant, couvrant bien le sol,
en phase active de croissance, et alimenté en eau de façon
optimale.
A cette quantité d'eau consommée 9 correspond l'énergieclimatique .
d'origine/fournl~ au couvert végétal pour en assurer la vapori-
sation.
Les conditions imposées ci-dessus ddns la définition de
l'E.T.P., ont pour but d'éliminer les factours d'ordre physiolo
gique ou édaphiÇlue qui pourraient linli ter la consommation en eau
du couvert végétal. Par suite, le seul facteur lir,litant de l'B.T.P
est l'énergie d'origine climatique disponible pour la vaporisation
de l'eau.
-6-
De fait, l'éxpérience montre ~ue des couverts végétaux dif
férents, placés dans des conditions aussi voisines ~ue possible
de celles de la définition de l'~.T.P., consomment à peu près la
même quantité d'eau. Cela justifie le principe de la mesure de
l'E.T.P. en tant ~ue grandeur uniquement climatigue, traduisant
par la demande en eau ~urelle détermine, l'action combinée du
rayonnement global, du déficit de saturation de l'air, de la
vitesse du vent, etc., au cours de la période considérée.
Nous pouvons donc définir un déficit hydri~ue climatigue
TI par : TI = ETP - P .
Une période sera dite sèche lors~ue
Elle sera dite humide si ETP ~ P soit
ETP ') P , soi t TI > 0 .
TI ~ 0 .
Illustrons cette définition par ~uel~ues exemples:
~TP en août à AdiopodoULlé
ETP en août à Odienné
ETP en mars à Odienné
= 90 lIlLl
= 150 mm
= 180 mm
Ainsi, 100 mm de pluie en août correspondent à un mois
humide à Adiopodoumé, mais sec à Odienné; 150 mm de pluie à
Odienné correspondent à un mois hunlide en août mais sec en mars.
La notion de déficit hydri~ue climatique permet de mieux
réaliser combien il est arbitraire de définir une sécheresse par
la simple considération d'un montant pluviométri~ue.
Considérons waintenant un couvert végétal ~ui ne dispose pas
de suffisaù~ent d'eau pour répondre à la demande climatique tra
duite par ETP; il utilise une p~rtie seulement de l'énergie dis
ponible et son évaporation est dite réelle (ETR) , avec forcément
ETR .(. ETP .
Nous dirons ~u'il y a sécheresse écologi~ue dès ~ue
ETR < ETP .
On peut objecter~u'un couvert végétal ne présente pas forcé
ment de signes extérieurs de souffrance par sécheresse sous un
régime d'ETR correspondant à une fraction seulement de l'ETP.
...
-7-
Cependant, il est maintenant bien etabli que, tout autre facteur
que l'alimentation en eau étant égal d'ailleurs, le rythme méta
bolique le plus intense d'un COUVGrt végétal est obtenu en
régime d'ETP, c'est-à-dire pratiquer;1ent lorsque ETR #ETP •
En particulier, le décrochage de l'ETR par rapport à l'ETP
entruine une diminution de la production de matière sèche, qui,
conséquence d'une alimentation hydrique insuffisante, traduit
bien un début de sécheresse du couvert végétal.
Il est donc logique de considérer que ETR z::.ETP est la
manifestation d'un état de sécheresse écologique, d'autant plus
prononcée que la différence ETP - BTR est plus grande.
L'absence de secheresse étunt caractérisée en tout lieu
et en tout temps p~r ETH = ETP, il est possible de chiffrer le
degré de sécheresse atteint p~r un couvert Végétal à la fin
d'une période sèche par la différence (11) entre la quanti té
d'eau qu'il aurait fallu pour assurer l'ETP en permanence, et
celle ( Q ) dont le COUVGrt a pu effectivement bénéficier
pendant la m.ême période~
6. = ETP Q
Q provient de la réserve Ra en eau utile du sol au début de lapériode sèche considerée, et de la pluie. Encore faut-il remar
quor que la pluie telle qu'elle est mesurée par un pluviomètreà découvert ne correspond pas forcér,lGnt à la quanti té d'eau
qui est effectivelilent utilisable par un couvert végétal. Nous
ne faisons pas ici allusion à l'eau interceptée par le feuillage
qui participe à la consoll~ation de l'énergie disponible exacte
nent au wême titre que celle qui circule par le sol et par la
plante et qui, par conséquent, contribue à l'évapotranspiration
du couvert, mais à la partie de la pluie qui se perd effective
ment par ru~ellernent à la surface du sol ou par drainage hors
de portée des systèmes racindires.
On a donc ~
Q = P + Ra - r - d
où ~ Ra = Réserve en eau utile du sol au début de la périodesèche considérée
-8-
r = pertes par ruissellementd = pertes par drainage.
Pour simplifier, nous_supposons que la période de sécheresse surlaquelle est calculé D est assez longue et assez sèche pour quela quasi totalité de Ho soit consommée, que ce soit en assurantun régime d'ETP (Réserve facilement utilisable) ou un régimed'ETR (Réserve utilisable).
Par ailleurs, pendant les mois secs, qui sont précisémentceux pour lesquels le calcul des déficits hydriques présente del'intérêt, les pluies ne sont généralement ni très fréquentes,ni très abondantes, si bien qu'elles tombent presque toujours surun sol bien asséché par l'évapotranspiration antérieure. Aussi,peut-on admettre qu'une très faible partie de ces pluies estperdue par ruissellement ou drainage.
Pour la saison sèche, on peut donc écrire, sans risque degrosse erreur: Q = P + Ra
d'où /6.= ETP - P - Ra = D - Ra 1Par analogie avec D, nous donnerons à~le nom de déficit hydriqueécologique de la saison sèche.
Nous définirons la "saison sèche" comme la sui te des moiscons~cutif~ présentant un déficit hydrique climatique.
Il est possible de cumuler les déficits hydriques mensuelssur toute la saison sèche.
Nous aurons: "2::. L\ = z (ETP) -2:P - Ra
En effet, la réserve Ra n'intervient qu'une fois, même sielle est partiellement ou totalement reconstituée au cours de lasaison sèche considérée, car la quantité d'eau qu'elle stockeainsi est alors comprise dans ~ P
r--/~_D._=_~_D__Ro_-I/
-9-
Il est intéressant de constater qu'à la réserve en eau utile du
sol près, le défici t hydrique clirJ.atique cUlaulé (z. D) correspond
grosso modo au défici t hydrique écologique cuuule (L.. 6 ), c' est
à-dire à une mesure continue d'un degré de sécheresse écologique.
C'est la raison pour laquelle nous avons choisi la cartogra
phie des déficits hydriques climatiques cumulés, couwe devant
permettre, en ce qui concerne 18 bilan hydrique, une interpréta
tion facile des associations végétales rencontrées et une @ise
en valeur agronooique rationnelle des régions étudiées.
C - Réalisation des cartes - Traiteuent des données.
l - FOND TOPOGRAPHI~UE AU 1/1.000.0000 (carte 1)
Il est issu de la carte aéronautique O.A.C.I. et co@plété par
la ligne de niveau 500 fi dont le tracé a été relevé sur des cartes
de l'I.G.N. au 1/200.000°, puis réduit au 1/1.000.000°. Dans la
partie du Libéria li~itrophe de la Côte d'Ivoire, non couverte sur
la carte O.A.C.I., les courbes de niveau ont éte reconstituées (de
façon sans doute assez grossière) à partir des données de relief
d'un atlas de l'Afrique.
Il est prévu que ce fond topographique sera en couleurs dans
la version définitive, inprimée, de la carte: huit trmnes teintées
correspondant aux zones d'altitude suivantes: 0 à 100 m, 100 à
200 fi, 200 à 300 ID, 300 à 500 0, 500 à 600 u, 600 à 900 ID, 900 à1200 ID, et au dessus de 1200 u •
II - CLlt~TOLOGIE
Les données climatiques de base qui ont été utilisées sont
celles publiées par l'A.S.E.C.N.A., complétées par celles qui nous
ont été communiquées par certains instituts de recherches inst~
lés en Côte d'Ivoire. Nous avons utilisé en particulier les ren
seigneuents fournis par les stations de LAMTO, de LA ~ill (I.R.H.O.)
et d'AZAGUIE (I.F.A.C.).
= 1°/ Déficits hydri~ues :
Les défici ts hydri'lues (D) ont été calculés mois par mois
par différence entre l'évapotranspiration potentielle (ETP) et la
pluviométrie (p): D = ETP - P.
D négatif correspond, blen entendu, à un excédent hy-
dri<lue.
. A) Evapotr[ill~ira~ion Potentielle (ETP) :
L'ETP mensuelle a été calculée à partir de la formule de
TURC pour les stations où l'on disposait de moyennes mensuelles va
lables concernant la durée <luotidie!ll1e d'insolation (h) et la tem
pérature sous abri (t)
ETP ~ [0,40 t+\5] L(O,62 ~+ 0,18) IgA + 50]
ETP est exprimé en mm 9 t en degré C, IgA en cal/cm2/jour,
h et H en heure. H est la durée du Jour, du lever au coucher du so
leil, et I gA l'énergie du rayonnement solaire 'lui atteindrait le
sol en l'absence d'atmosphère. Il s'agit de deux grandeurs astro
nomiClue s, données par les tables en fonction de l'époQue de l'an
née (mois considéré) et de la latitude du lieu choisi.
Les résultats obtenus par le calcul, au moyen de cette
formule, ont été comparés, pour le Centre C.R.S.T.O.M. d'Adiopodoumé
aux mesures d'ETE Qui y sont faites (Lysi~ètre pesé). Pour les
mois présentant un déficit hyd.ti<lue (mois dits "secs"), <lui sont
précisément ceux Qui nous intéressent ici, il s'est révelé <lue la
formule de TURC sous-estimait l'ETP d'environ 15 %. Nous avons admis
<lue cette correction pouvait s'appli'luer à l'ensemble des stations
de Côte d'Ivoire. Ainsi, les val~urs d'ETP figurées en légende de
la carte l pour 15 stations (13 en Côte d'Ivoire et 2 au Ghana), ou
celles données dans le tableau ci-après, correspondent aux résultats
de la formule de TURC majorés de 15 %'
Pour un mois donné les variations de la valeur moyenne
de l'ETP d'une station à une station voisine sont assez faibles.
On peut donc, sans ris<lue important d'erreur
"
·- A\-
10/ Considérer que l'ETP mensuelle calculée en un point est
valable pour toute une zone l'environnant.
20/ Interpoler proportionnellement à la distance entre deux
stations voisines où l'on peut calculer l'ETP.
Sur ces bases? en tenant compte du relief et de la grandeur
des écarts entre postes voisins, la Cate d'Ivoire a été divisée en
18 zones, dont les contours et les numéros sont indiqués sur la carte
ci-jointe, et à l'intérieur desquelles les ETP mensuelles sont consi
dérées comme identiques (zones d'égale ETP mensuelle).
Les règles de "zonalisation" de l'ETP, définies ci-dessus,
ne s'appliquent pas à la très basse Côte d'Ivoire. En effet, une va
riation rapide de l'ETP se manifeste au voisinage de la côte lorsqu'on
s'éloigne de celle-ci vers l'intérieur du pays. Une étude comparative
faite entre les stations de PORT-BOUET (A.S.E.C.N.A.), ADIOPODOUME
(O.R.S.T.O.M.), LA ME (I.R.H.O.) et AZAGUIE (I.F.A.C.) a montré que
le gradient Nord-Sud de l'ETP redevient très faible dès que l'on
s'éloigne de plus de 20 ou 30 km de la cate. Par contre, la chute
d'ETP sur ces 20 à 30 km est de l'ordre de 15 %. Elle est due principalement à une insolation nettement plus grande sur le bord de mer
qu'à l'intérieur des terres. Nous avons obtenu les résultats suivants:
ETP(Zone IV)# ETP(AZAGUIE)# ETP(1A ME) - 5% # ETP(PORT_BOUET)-15%
Par analogie, nous avons admis ~
ETP(zone V) = ETP(TABOU) - 15 %car la station de TABOU, comme celle de PORT-BOUET et de SASSANDRA,est située à proximité immédiate de la mer.
Les moyennes de LA ME présentant une bonne sécurité (12 années de mesure de l'insolation) nous avons finalement retenu pourl'ETP de la zone IV la définition suivante
ETP (Zone IV) = ETP (LA ME) - 5 %
L'ETP de la zone VIII (ABENGOUROU) a été obtenue par interpolation entre celles de la zone IV et de la zone IX (BONDOUKOU).
Zones d'Qgole ET P mQnsUtalle
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L'ETP de la zone XII (TOUBA) a été obtenue par interpolationentre celles de la zone XI (MAN) et de la zone XVIII (ODIENNE).
Les ETP des zones XIII~ XIV et XV ont été obtenues par interpolations entre celles de la zone X (BOUAKE) et de la zone XVII(FERKESSEDOUGOU).
Compte-tenu de toutes ces indications les ETP mensuelles desdiverses zones s'établissent aux valeurs suivantes:
EVAPOTRANSPIRATIONS POTENTIELLES (mm/mois)
-14-
Ce tableau et la carte des zones d'égale ETP permettent de
connaître les ETP mensuelles en tout point de Côte d'Ivoire .
• B) Pluviométrie :
Les données pluviométriques mensuelles ont été traitées
de la façon suivante :
- Il nIa p~s été tenu compte des postes ayant moins de 17
ans d' anci eIlleté.
- Pour les postes ayant 17 ans d'ancienneté ou davantage,
les données correspondant aux années antérieures à 1950
ont été éliminées dans un premier temps, de façon à ce
que toutes les moyennes retenues correspondent aux mesure~
recueillies sur 17 ans, de 1950 à 1966 inclus. Elles por
tent donc sur un ensemble d'années consécutives identi
ques par leur nombre et par leur nature. Ces moyennes
permettent de comparer les stations les unes aux autres
et, en particulier pour les stations voisines, de calcu
ler les rapports entre moyennes.
Dans un deuxième temps, il a été accordé un "poids" plus
grand aux stations dont les moyennes portent au moins sur 30 ans, mais
en respectant les rapports déjà calculés. Cette façon de procéder est
connue en statistique sous le nom de "réduction des moyennes à certaines périodes standard 1;.
Les moyennes pluviométriques ai~si traitées ont permis de
dresser les cartes au 1/4.000.000e des isohyétes mensuelles (carte II)
et de calculer les déficits hydriques mensuels par différence avecl'ETP.
Pour chaque poste les déficits hydriques mensuels moyens
ont été cumulés sur le plus grand nombre de mois consécutifs présen
tant un déficit hydrique (grande saison "sèche"). A partir de ces
valeurs ponctuelles nous avons tracé des courbes d'isodéficit hydri
que cumulé de la saison sèche (carte 1).
'.
-15-
= 2°/ Durée de la grande saison sèche:
Il a été figuré en rouge? sur les cartes des isohyètes men
suelles (carte II)? des courbes joignant les points où? pour le
mois considéré, la pluviométrie est égale à l'"ETP. D'un côté de
cett,e courbe (Zone hachurée sur les cartes) la pluviométrie est
supérieure à l'ETP et il y a excédent hydrique? de l'autre côté,
la pluviométrie est inférieure à llETP? il Y a déficit hydrique,
et le aois est donc "sec" dc.ms cette zone non hachurée.
Pour les illois de la grdnde saison sèche, ces courbes, agran
dies au 1/1.000.0000 ? ont été reportées sur la carte des isodé
ficits hydriques cumulés (carte 1), où elles définissent ainsi
des zones d'égale durée de la saison sèche. Les limites de zones
correspondent, suivant le sens dans lequel on les traverse, à
l'apparition ou à la disparition d'un nouveau mois présentant un
déficit hydrique. Le nom de ce mois est inscrit en marge de la
carte, sur la lirai te considérée. Il est accoQ.pagné d'une flèche
indiquant le Sens d' appari tion de CG Gois dans la durée de la
saison sèche. A l'intérieur de ces zones? leSe~rands nombresromains correspondent aux nlliléros du prerJlier/ du dernier mois de
la grande saison sèche dans la zone considérée (Exemple: X - IV:
grande saison sèche COQLlençant en octobre et se prolongeant jus
qu'en avril inclus, soit 7 nois consécutifs I seCS").
D - Interprétation des cartes - Conclusions.
Ces deux cartes fournissent pour un point quelconque de
Côte d'Ivoire les données principales concerndnt le bilan hydrique
naturel. Tout autre facteur non-clilJ.atique du milieu étant égal
par ailleurs (facteurs édaphiques en particulier), la connais
sance du déficit hydrique climatique cumulé, du nombre et de la
nature des mois consécutifs sur lesquels s'accumule ce déficit,
doit permettre dans de nombreux cas, d'expliquer la présence ou
l'absence, dans la région considérée, de telle ou telle associa
tion végétale, ou bien de préconiser la culture ou la plantation
de telle ou telle espèce cultivée ou forestière.
'.
-16-
Dans dl u.utres cas, peur des l's,i2ons d' o:cdre physiologique
(début et durée du oycle végétat:;.f i iIilportance d'une phase parti
culi~re de déveloPP8~ent ~ lrintériou~ du cycle végétatif, etc . .. )
il est possible qll0: 8~'1üe;.lent une par+;i(, du défici t cUDulé de la
saison s~che ait une action prépondérante. Il importe alors, que
l'utilisatmr de ces cartes },Juisse culculer le déficit hydrique
pour un ou plusieurs Dois qui l'intéressent particuli~rement.
C'est la raison pour laquelle nous avons donné sous forLle de
cartes ou de ta~lGdux ~es valeurs des précipitations et des ETP
mensuell es.
En fai t 1 les facteurs édaphiques sont rarGuent constonts;
en particulier, la réserv.. en edU utile du sol peut varier consi
dérablement d'lm type de sol à l'autro, Cette ré:~erYe qui se
reconstitue en période d'excédent hydriQue, est utilisée pour
l'évapotranspiration dès qu'un défjcit hydrique clü:;atique se
manifeste. L'apparition du début de l;état de sécheresse est
d'autant plus retardée que cette r(~serve est importante. Pour la
mise en valeur acronomiquo, il serait donc intéressant de faire
une carte de défici ts hydricl1188 /-,. :,-Lo~;iqu8s cm:mlés c'est-à-dire
des défj. ci ts hydri ques cliuatiques c1J.i.mlé s, diminué s en chaque
point, de la val"mr de 18. ré serve 8::1 eau utile du sol (supposée
intégralem.ent reconsti tuéG cm début de saison s~che). C'est une
quanti té d'eau 8. peu nrès égale 8U L!orJ.tJnt de ce défici t hydrique
écologique CUElulé qu'une :irrigation éventt:.elle devrai t théorique
raent apporter, en Eloyeilne, à chaque saison s~che. La valeur de la
réserve en eau utile du sol, joue le rôle de volant hydrique, et
déteruine, en premi~re approxination, le rythLie adéquat de cette
irrigation.
L'élaboration d'une carte des déficits hydriques écologiques
cumulés est donc condi tior.mée par celle d'une carte des réserves
en eau utile des sols. La réalisation de cette derni~re se heurte:
10 / à des difficulté s d' ordre r'~~~:·.(FJ.3 ~ gJ:'i}~èJ. noubre de
types de sols d~fférents, hétérogénéité verticale et horizontale
des horizons, superposition en un lieu donné de plusieurs hori
zons différents 9 etc ...
•
-17-
2°/ à des difficultés d'ordre théori~ue: ~uelle profondeur
standard adopter? Elle est déterminée en principe par la profon
deur du systèwe racinaire de l'espèce végétale étudiée, augmentée
de l'épaisseur de sol sur la~uelle peuvent s'effectuer des remon
tées d'eau capillaires.
Pour l'instant, on ne dispose pas pour l'enseoble de la Côte
d'Ivoire .des éléments né cessaires pour dresser une telle carte,
et il appartient à cha~ue utilisateur d'évaluer, en fonction des
sols et des plantes étudiées, les réserves en eau utile des zones
considérées, et de calculer pour ces dernières les déficits
hydri ~ues écologiques CUL.LUlés.
Il convient enfin d'insister sur le fait que les grandeurs
nUfiléri~ues portées sur ces cartes ont surtout une valeur relative.
Elles perDettent de définir et de comparer des zones cliwati~ues
naturelles. Bn valeur absolue, l'erreur sur la grandeur du défi
ci t hydrique clii,lati~ue cur;iUlé peut sans doute atteindre 20r~ dans
certains cas; paTIli les principales causes d'erreur, il faut
citer:
Incertitude sur les valeurs de base ~ui ont servi au
calcul des Doyennes des précipitations, des te~pératures, et des
insolations relatives (erreurs de Desure).
- Pour certains pos~e~, nODbre insuffisant d'années sur
le~uel ces 110yennes ont~\~blies (La "reduction des 110yennes
pluvioDétri~ues" pallie purtielleüent cette insuffisance).
- Erreur sur la valeur de l'ETP mensuelle dûe à la nature
eDpirique et pur consé~uent approxiuative -de la formule de TURC~ui reste néanmoins, à notre avis, l'une des noins uauvaises for
mules clinatiques siDples donnant l'ETP.
- Les erreurs fai tes sur les 1,lOyennes L.lensuelles des préci
pitations et de l'ETP peuvent s'ajouter dans le calcul du déficit
hydri que llensuel:
D = ETP P =~> b. D = 6 (ETP) + ~ P
- Les erreurs sur les déficits hydri~ues Bensuels se cumu
lent en oêDe teDps ~ue ces derniers.
-18-
- La Iilajoration systéwatique de 15% des ETP de tous les
Dois et pour tous les postes de Côte d'Ivoire, qui a été appli
quée aux résultats bruts de la fOrQule TURC, alors que cette
correction n'est valable en toute rigueur que pour
ADIOPODOTJME et pour les Qois secs, est une hypothèse de travail
qui a peut-être introduit pour les postes les plus septentrionaux
une erreur suppléillentaire. Néannoins, cette cause d'erreur, comme
d'ailleurs la "zonalisation" de l'ETP, est vraisemblablement négli
geable par rapport à celles citées précédeuwent.
On peut regretter que les docwJents présentés ici soient
uniquerJ.ent des cartes de Lloyennes. La grande variabili té dans le
temps des précipitations nensuelles, rend délicate pour l'utilisa
teur l'interprétation de ces cartes et en liuite un peu la por
tée. Il est clair qu'une analyse fréquentielle des pluies et des
déficits apporterait une donnée coopléwentaire d'une grande utili
té pour l' établisseDent de projets de lüse en valeur ou mêLle pour
l'interprétation écologique: si par exeDple, on adoet que la
sécheresse est le facteur liwitant de l'extension de la forêt• dense vers le Nord, la considération de la valeur Doyenne du
déficit cUL1ulé sur la saison sèche a vraiseoblableuent moins de
signification que celle des valeurs exceptionnelles qu'il peutprendre.
En d'autres terraes, il serait intéressant qu'à ces cartes de
moyennes puissent s'ajouter dans l'avenir, des cartes du déficit
quinquennalou decennal. Leur élaboration ne présente pas de dif
ficultés théoriques considérables mais nécessite une étude statis
tique assez longue qui justifierai t large...lent l'el:rploi dlun ordi
nateur élec tronique, et supposerdi t la lâse des données climati
ques de base sur support nécanographique.
Ainsi, le oérite de cette carte des déficits hydriques clima
tiques clliJulés et de la durée de la grande saison sèche est surtout
d'être la première du genre établie pour l'ensemble de la Côte
d'Ivoire. Son intérêt est, rappelons-le, de définir et différencier
les grandes régions cliwatiques de Côte d'Ivoire, de donner, en
conjonction avec la carte des données pluviométriques (carte II),
les termes climatiques du bilan hydrique naturel, et (la réserve
utile en eau du sol étant supposée connue) de déterminer le rythme
et les quantités d'eau optimaux des irrigations.
RÊPUBLIQUE DE LA COTE-D' IVOIRE
MINISTERE DE L'AGRICULTURE
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des sols, demandée par le Ministère de l'Agriculture.
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OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE OUTRE-MER
CENTRE D' ADIOPODOUMÊ
DONNÉES PLUVIOMÉTRIQUES A
DE LA COTE D'IVOIRE ISOHYETES MENSUELLES MOYENNES - ISOHYETES ANNUELLES MOYENNES
PLUVIOMETRIE MAXIMALE MOYENNE PENDANT TRENTE JOURS CONSECUTIFS DE L0 ANNEE
Établies par M. ELDIN et A. DAUDET
LÉGENDE
--Jaa--- Isohyète 300 mm
Lieu des points oü ra pluviométrie est égale â l'èvapotranspiratîon potentielle (E.T.P.l
//// zone à pluviométrie excédentaire par rapport à l'E.T.P. mensuelle
Poste climatologique principal
Limite forêt· savane
KORHOGO Préfecture
Les moyennes permettant le tracé des isohyètes ont été · réduites · sur 30 ans au minimum. La période commune min imale de comparaison des moyennes a été prise égale â 17 ans (1950 à 1966 incJusL Ces cartes ont été dressées grâce aux données publiées par l'A.S.E.C.N.A. ou communiquées par les instituts de recherche.
OFFIC E DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE OUTRE-MER Service Centra l de Documentation
70·74, route d'Aulnav - 93-130NDV - F~ANCE
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PLUVIOMÉTRIE MAXIMALE MOYENNE PENDANT 30 JOURS CONSÉCUTIFS DE L'ANNEE
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DÉFICITS HYDRIQUES CUMULÉS ET DURÉE DE LA SAISON SÈCHE
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CARTE DE SITUATION
MAURITANIE RtPUBLIOUE
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cartes aéronautiQues du monde - I.G.N. Type O.A.C.I. au 1000000'
Feuilles n"2781 - Edition : 1957- 2782 - Edition : 1952 2817 - Edition .1951 - 2818 - Edition : 1957
Données cllmaticiues de base communiciuées par
l"A.S.E.C.N.A. et les instituts de recherches.
llBREVlllE
Carte réalisée dans Je cad re d'une étude pour le reboisement et la
prot ection des sols, demandée par le Min istère de !'Agriculture.
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XI-IV
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ADIOPODOUME
LÉGENDE
Limites des zones d'égale durée de la saison sèche= Lieux des points où, pour le mois indiqué en marge sur la courbe , l'évapotranspi ration potentielle moyenne !E.T.P.l est éga le à la pluviométr ie moyenne<P.l= Déficit hydrique nul. Les flèches ind iquent le sens d'accroissement de la durée de la sa ison sèche.
Saison sèche s'étendant de novembre à avril inc lus. Saison sèche= Ensemble des mois consécutifs présentant un déficit hydr ique: E.T.P. >P. Dans les zones à deux saisons sèches, seule la plus longue est prise en considé ration.
Lignes d'isodéficits hydriques cumulés . exprimées en mm. Déficit hyd rique cumulé = Somme des déficits mensuels moyens des mois de la grande sa ison sèche.
Poste climatologique pr incipal.
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