GUYANCOURT MAGAZINE N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 02

Dimanches 14 et 21 mars 2010

Tous les bureaux de vote

seront ouverts de 8 h à 20 h

ÉLECTIONS RÉGIONALES :

LES 12 BUREAUX DE VOTE DE GUYANCOURT

Bureau de Vote 1 : Hôtel de Ville - 14, rue Ambroise-Croizat

Bureau de Vote 2 : Pont du Routoir – École Marie Pape-Carpantier - 1, rue Guy Barrillio

Bureau de Vote 3 : Bois de la Grille – École Jean-Lurçat - Boulevard Jean-Jaurès

Bureau de Vote 4 : Le Parc – École Maximilien-Robespierre - Place Rabelais

Bureau de Vote 5 : Les Garennes Sud – Maison de quartier Joseph-Kosma - Place Jacques-Brel

Bureau de Vote 6 : Les Saules – École Sonia-Delaunay - Boulevard Paul-Cézanne

Bureau de Vote 7 : Europe – Villa Jean-Monnet - 1, rue Jean-Monnet

Bureau de Vote 8 : Villaroy – École Jean-Mermoz - Rue Jules-Michelet

Bureau de Vote 9 : Centre-Ville – Paul-Langevin - 20, route de Troux

Bureau de Vote 10 : Les Garennes Nord – École Robert-Desnos - Route de Troux

Bureau de Vote 11 : Mare Jarry – École Jean-Christophe - 8, Rue Jean-Valjean

Bureau de Vote 12 : Europe – École Fernand-Braudel - Rue Eugène-Viollet-le-Duc

Visualisez la localisation de votre bureau de vote sur le site de la Ville : www.ville-guyancourt.fr

Chères Guyancourtoises,

chers Guyancourtois,

Vous êtes appelés à élire les Conseillers Régionaux les

14 et 21 mars prochains. Ce scrutin revêt une impor-

tance particulière au vu des compétences de cette

collectivité.

Ainsi, la mise en place de programmes de développe-

ment économique et la formation professionnelle en

font partie. Nous en mesurons l’enjeu dans le contex-

te que connaît notre pays.

Des projets aussi vastes que le Grand Paris ou l’Opé-

ration d’Intérêt National entraîneront de profondes mutations sur le territoire.

N’oublions pas que l’aménagement du territoire et la planification entrent eux aussi

dans les champs d’intervention d’une région.

Je pourrais également évoquer l’éducation et les lycées, les transports publics, la

santé et la culture. Ces exemples montrent le rôle primordial que joue la région au

niveau local.

Pour l’avenir de l’Île de France – pour notre vie quotidienne – il est de notre devoir de

citoyens de nous exprimer par le vote.

Votre Maire,

François Deligné

Conseiller Général des Yvelines

Vice-Président de la C.A. de SQY

GUYANCOURT MAGAZINEN ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0 3

SOMMAIREDU N° 387

PLEINS FEUX SUR

LA JOURNÉEDE LA FEMME

11/14

ÉDITORIAL | PAR FRANÇOIS DELIGNÉ

Responsable de la publication : Yves MACHEBŒUF ■ Secrétariat de rédaction : Jean

MEYRAND - David HOUDINET ■ Rédaction : Benoît BAUDOUIN - Dominique CIARLO -

Pascale FRESNAY - David HOUDINET - Hélène MARCHAL ■ PAO : Céline BOCKELMANN ■ Photos : Dominique CIARLO -

Christian LAUTÉ ■ Maquette : CITIZEN PRESS : 01 53 00 10 00 ■ Réalisation : Service Communication ■ Impression : Imprimerie

Moderne de l’Est ■ Tirage : 13 000 exemplaires - Hôtel de Ville de Guyancourt - 14, rue Ambroise Croizat - Centre-Ville - BP 32

- 78 041 Guyancourt - Tél. : 01 30 48 33 33 ■ N° ISSN : 1274-5804.

magazine

Rendez-vous

les 14 et 21 mars

www.ville-guyancourt.fr

Tout feu, tout femmes

6 ACTUALITÉS■ Saint Patrick,le 12 mars

■ Marche de l’espoir,le 14 mars

■ Infos travaux

9 RENCONTRE■ Sous l’écran noir,une nuit blanche

■ Pour en savoir plus sur le don d’organes

Allo Monsieur le Maire

01 30 64 14 55

François Deligné vous répondra

en direct le mercredi 10 mars

de 18 h à 19 h 30

15 AVANT-PREMIÈRE■ Programmation culturelle

16 EN DIRECT■ Élections régionales

mode d’emploi

18 DE VOUS À NOUS■ Carnet

19 DÉMOCRATIE LOCALE■ Tribunes d’expression

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ACTUALITÉS | ÇA S’EST PASSÉ À GUYANCOURT

Blanche Neige revisitée■ Quand deux comédiennes font appel à l’homme de ménage pour interpréter l’ensemble des rôlesmasculins de Blanche Neige, on peut s’attendre àquelques surprises.Voilà le principe des Contes en vracqui ont fait rire le public de la Maison de QuartierAuguste-Renoir. Cette histoire laisse libre cours à toutes les facéties des trois comédiens et à des réinterprétations très personnelles du conte des frères Grimm.

Musiques à danser■ Les élèves de l’École Municipale de Musique ontinvesti la scène de La Batterie pour un concert dédié aux musiques à danser. Pour l’occasion, ces graines de virtuoses avaient travaillé autour de créationspersonnelles. Le public de parents conquis d’avance a pu apprécier ces compositions allant de la musiquemédiévale au flamenco accompagnées de chorégraphies.Bravo à tous !

Forum des métiers■ À l’heure des choix d’orientation professionnelleou scolaire, autant dire que les stands du Forum desformations aux métiers manuels n’ont pas désempliles 12 et 13 février derniers. La manifestation,organisée dans le cadre de la semaine de l’emploi et de la formation de Saint-Quentin-en-Yvelines,a permis à plus de 1500 jeunes de niveau 3e de serenseigner sur leur projet de parcours professionnel.

Remise du chèque Téléthon■ C’est le 15 février, à la Maison de quartier Pierre-Mendès-France que le chèque de la recette duTéléthon a été officiellement remis. L’associationGuyancourt Manifestations pour les MaladiesGénétiques (G2MG) a reçu la somme de 9 166,50 €

des mains de Benoît Ferré, adjoint au Maire chargéde la Vie Associative. La somme sera reversée àl’Association Française contre les Myopathies afinde poursuivre la recherche contre les maladiesgénétiques.

ARRÊT SUR IMAGES

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ACTUALITÉS | ÇA S’EST PASSÉ À GUYANCOURT

Danse country aux Saules■ Ambiance western à la maison de quartierAuguste-Renoir pour une soirée d’initiation à la dansecountry organisée en partenariat avec l’associationLet’s Dance. Chapeau de cowboy vissé sur la tête et bottes aux pieds, Les talons sauvages ont animé cette soirée et emmené le public pour un voyage au far west sans quitter le quartier des Saules.

Antoni Tàpies s’expose■ Vous avez encore quelques jours, jusqu’au 21 mars,pour découvrir les œuvres d’Antoni Tàpies actuellementexposées à Villaroy. La salle d’exposition accueille« Matières du souffle », une rétrospective du travail de cet artiste issu du courant de l’art informel et trèsinfluencé par le motif de la croix. Un symbole ancestralqui représente également l’initiale T… comme Tàpies.

Programmation éclectique à La Batterie■ L’une des recettes du succès de la sallede concert réside dans sa programmationoriginale. Les semaines se suivent et ne seressemblent pas. Côté chanson française, vousavez pu assister, ces dernières semaines, auxconcerts des excellentes Clarika et Rose et, plusrécemment, d’Agnès Bihl. À noter ce soir-là, laprestation remarquable et remarquée de la trèsprometteuse Méliss’Mel, qui possède une voixsuperbe et sera très certainement à suivre de trèsprès. Le 13 février, il n’était pas surprenant decroiser un jeune public très pop.Tenue de rigueur,jean slim et mèche pour le concert des ThePopopopop’s, aux influences très marquées parCure, et des toulousains The Dodoz. Le quatuor,mené par leur chanteuse bassiste, a montré unebelle énergie sur scène. La première partie étaitassurée par The Probs, groupe des studios derépétition de La Batterie, qui est aussi un vivier de jeunes talents musicaux.

Agnès Bihl

The Dodoz

ACTUALITÉS | À NOTERACTUALITÉS | À NOTER

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VENDREDI 12 MARS

Saint PatrickLa Maison de quartier Théodore-Monod vous attendpour fêter la Saint-Patrick, patron de l’Irlande. Auprogramme de la soirée : musique et danses « made inIreland » avec le groupe Galway. Une guitare,un violon, une flûte, un banjo et le tour est joué !Attendez-vous à vous retrouver rapidement tiré parla main pour danser quelques jigues et autres reelsavec ces musiciens que vous aviez plébiscités en 2007.

POUR EN SAVOIR PLUSSaint-Patrick avec le groupe Galway.Vendredi 12 mars à 20 h 30Tarifs : 4,50 € ; 3 €.Réservation au 01 30 44 38 54.Maison de quartier Théodore-Monod

DIMANCHE 14 MARS

Marche de l’espoir

Le Conseil Municipal des Enfants et le Lions Clubde Montigny Les Trois Villages vous proposent departiciper à la Marche de l’Espoir, une rencontresportive et solidaire.Trois possibilités voussont offertes : un parcours libre de 5 km etdeux randonnées de 10 et 20 km (avec uneparticipation de 5 € demandée pour le ravitaillement).À raison de quelques euros par kilomètre parcouru,vous financerez un projet de l’UNICEF pour lesenfants d’Haïti.

POUR EN SAVOIR PLUSMarche de l’espoirDimanche 14 marsPoint de départ des parcours : Club le Village1, rue Ondine - Montigny-le-Bretonneux

Le Carnaval se prépareLe Carnaval de Guyancourt du samedi 10 avril se prépare. Chaque quartier adoptera sa couleur et sa matière, et défilera en musique jusqu’au stade Jerzy-Popieluszko pour brûler le bonhomme Carnaval.Pour préparer cet événement et vous aider dans laconfection de vos costumes, des ateliers « famille »vous sont proposés dans chacune des maisons dequartier.Rendez-vous les samedis 20 et 27 mars de 14 h à17 h et le samedi 10 avril de 9 h à 12 h.Dans les maisons de quartiers.

EN BREF

La Nuit de l’Eau à GuyancourtÀ l’occasion de la journée mondiale de l’eau, laFédération Française de Natation, EDF et l’UNICEFFrance organisent la Nuit de l’Eau le samedi 20 mars,dans toutes les piscines de France. Cette opérationcaritative vise à sensibiliser au respect de l’eau. Desanimations festives, éducatives et solidaires vousattendent.Le Cercle des Sports Nautiques de Guyancourt (CSNG)récoltera des fonds qui serviront à améliorer l’accès àl’eau potable pour les enfants défavorisés du monde.Pour en savoir plus :3e Nuit de l’EauSamedi 20 mars à 18 h - Entrée librePiscine Andrée-Pierre Vienot

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ACTUALITÉS | AGENDA

www.ville-guyancourt.fr

Jusqu’au 21 mars Culture

Antoni TàpiesMatières du souffleSalle d’Exposition

Samedi 6 mars à partir de 14 hAnimation des quartiers

Les femmes ont leur journéeDe 14 h à 18 h : ateliers gratuits.À 20h30: spectacle d’improvisationthéâtrale avec la compagnie Déclic Théâtre.Tarifs : 4,50 € ; 3 €.Réservation indispensable pour lesateliers comme pour le spectacleau 01 30 43 45 44. (lire p. 6)Maison de quartier Auguste-Renoir

Dimanche 7 mars à 15 h 30Animation des quartiers

Les aventures de PinocchioTarifs : 4,50 € ; 3 €.Espace Yves-Montand

Mercredi 10 mars Vie municipale

Allô M. le MaireVous pouvez personnellement joindrevotre Maire, François Delignéau 01 30 64 14 55 de 18 h à 19 h 30.

Vendredi 12 mars à 14 h 30 Culture

Robert et JoséphineLecture musicale dans le cadre desRendez-vous DécouvertesMaison de la Poésie

Vendredi 12 mars à 20 h 30Animation des quartiers

Saint-Patrickavec le groupe GalwayTarifs : 4,50 € ; 3 €. (lire p. 6)Réservation au 01 30 44 38 54.Maison de quartier Théodore-Monod

Positive Roots Bandavec Rod Taylor et Bob Wasa[reggae] + Zenzile [dub-rock]Tarifs : 12 € ; 8 € ; 7,50 €

La Batterie

Vendredi 12 mars à 20 h 30 Culture

Le couronnement de PoppéeOpéraTarifs : 16 € ; 12,50 €

La Ferme de Bel Ébat

Samedi 13 mars à 20 h 30 Culture

La chorale Saint-Quentin Gospelen concertTarif : 8 €

Gratuit pour les moins de 12 ans.Église Saint-Victor

Samedi 13 mars à 20 h 30et dimanche 14 à 17 h Culture

Dimanche 14 mars de 8 h à 20 hVie municipale

Élections régionales – 1er tourwww.ville-guyancourt.fr

Dimanche 14 mars de 9 h à 18 hVie locale

Marche de l’espoir (lire p. 6)Départ rue OndineMontigny-le-Bretonneux

Du mercredi 17 mars au jeudi 8 avrilCulture

Salon des LauréatsExposition

le jeudi 18 mars à partir de 18 h 30.Hôtel de Ville

Saint-Patrick avec Alan StivellTarifs : 18 € ; 14 € ; 15 €

La Batterie

Mercredi 17 mars à 20 h 30 Culture

CommémorationCessez-le-feu en Algérie du 19 mars 1962.Monument aux morts

Vendredi 19 mars à 18 h 30 Vie municipale

Les vipères se parfumentau jasminThéâtreTarifs : 16 € ; 12,50 €

La Ferme de Bel Ébat

Vendredi 19 mars à 20 h 30 Culture

Tournoi des écoliersTennis de tableGymnase des Droits de l’Homme

Samedi 20 mars de 13 h 30 à 18 h 30 Sports

7e Nuit de la gymnastiqueSur le thème du cinéma et de la musiquede film (lire p. 9)Pavillon Pierre-Waldeck-Rousseau

Samedi 20 mars à 16 h et 20 h Sports

Nuit de l’eau (lire p. 6)Piscine Andrée-Pierre Vienot

Samedi 20 mars à 18 h Sports

Soirée CountryRepas Tex-mexRenseignements : 01 30 43 00 35Espace Yves-Montand

Samedi 20 mars à 19 h 30 Animation des quartiers

Le Carnaval se préparede 14 h à 17 h et le samedi 10 avrilde 9 h à 12 h.Dans les maisons de quartier

Les 20 et 27 mars de 14 h à 17 hAnimation des quartiers

Dimanche 21 mars de 8 h à 20 hVie municipale

Élections régionales – 2e tourwww.ville-guyancourt.fr©

Pau

l Ev

rard

COMPLET

point des Saules chargé aux heures depointe, la Ville a demandé à la Com-munauté d’Agglomération de travaillertrès en amont sur un nouveau plan decirculation afin de limiter les difficul-tés pour les habitants et les em-ployés », indique Yves Machebœuf,adjoint au Maire chargé des Travaux.Résultat, la création d’une voie deliaison en sens unique qui permet dequitter le périmètre de la Redoute deBouviers en empruntant une bretel-le d’insertion donnant directementsur l’avenue des Garennes (vers Voi-sins).À noter également, l’aménage-ment de feux tricolores au croise-ment de l’avenue du 8 mai 1945 etde la rue Clément Ader pour régulerle flux des véhicules qui arrive sur lerond-point et laisser à ceux qui vien-nent de la Redoute et du quartier desSaules, le temps de s’insérer dans letrafic.

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ACTUALITÉS | CADRE DE VIE

DROIT AU LOGEMENT

Malgré la loi du 31 mai 1990,qui im-pose aux communes de plus de5000 habitants de réserver aux gensdu voyage des aires d’accueil amé-nagées, de nombreuses villes ne sesont jamais acquittées de cette obli-gation. Cette situation prive les no-mades de conditions de vie décentes.Ils sont souvent obligés de stationnerillégalement sur des sites publics etprivés.Un nouveau terrain situé rou-te de Saint-Cyr est en cours de ré-aménagement par la Communauté

LE SENS DE L’ACCUEIL

Accueillir sur son territoire une nou-velle entreprise est toujours une vic-toire. C’est la promesse de créationd’emplois,de dynamisation du com-merce local, de recettes supplémen-taires dans les caisses de la ville, quipeut maintenir et créer des équipe-ments et des services à la population.L’automne dernier, la Sodexo (un lea-der mondial des services de restau-ration collective) et Malakoff Médé-ric (premier groupe paritaire deprotection sociale) se sont ainsi ins-tallés dans des immeubles de bureauxconstruits à deux pas du Pôle mu-siques,La Batterie.Quelque 2500 sa-lariés convergent depuis chaque ma-tin (à pied, à vélo, en transport encommun ou en voiture) vers cettenouvelle zone d’activités. Il fallaitdonc s’adapter à cette nouvelle don-ne. «Vu la configuration des lieux,ruede la Redoute en cul-de-sac et rond-

Infos travauxDe l’axe de circulation qui dessert les entreprises autour de la Redoute de Bouviers à l’aménagementd’une aire d’accueil pour les gens du voyage, Guyancourt s’adapte. Tout en préservant son cadre de vieprivilégié…

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d’Agglomération. Les treize parcellesde 150 mètres carrés chacune (unepar famille) seront équipées de sani-taires individuels. Pour y accéder, lesfamilles devront déposer une cautionde 150 € (par emplacement), s’ac-quitter d’une redevance de 3 € parnuit et régler leurs consommationsd’eau et d’électricité par prépaiement.La durée du séjour est limitée à cinqmois, éventuellement renouvelable.La gestion quotidienne du site a étéconfiée à un prestataire spécialisé.

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9GUYANCOURT MAGAZINE

Présentée tous les deux ans, enalternance avec la Nuit des Arts

martiaux, la Nuit de la Gymnastiquemet en scène les gymnastes des dif-férentes sections de l’ESG Gym. Unclub dynamique, qui a su diversifierses activités en s’ouvrant à des dis-ciplines aussi différentes que la ba-by gym (dès 3 ans), la gymnastiqueacrobatique, le hip-hop, la gymnas-tique rythmique et sportive (GRS)et les arts du cirque. Et ça marche !Au point que tout ce petit mondetravaille actuellement à une Nuit dela Gymnastique qui permettra à cha-cun de donner le meilleur de lui-mê-me. Dans la salle, un public sera sû-rement ravi d’assister à unereprésentation qui ne se limite pas àune succession de figures imposées.« Chaque formation prépare ses ex-hibitions de son côté, explique Estel-le Demeure, responsable techniqueen charge de l’entraînement des gra-cieuses athlètes de la GRS, puis nousrépétons ensemble sur le thème choi-si pour présenter un spectacle cohé-rent agréable à regarder. Cette dé-marche collective demande beaucoupd’énergie aux uns et aux autres, maisnous vivons toujours cet événementcomme un moment privilégié,une re-connaissance de notre travail par laVille et une grande fête au cours delaquelle tout le monde se fait plaisir.»

Un vrai spectacle« La Nuit de la gym doit être joyeuse,étincelante des diverses compétencestechniques et artistiques qu’elle ras-semble sur une même scène, s’en-thousiasme Chris Thiery, entraîneurde cirque à l’ESG Gym. Notre sectionn’est pas là pour faire le clown, maisson rôle consiste malgré tout à ap-porter de la fantaisie,à donner du liantà l’ensemble pour offrir au public unvrai spectacle » En parfait alchimis-te, Chris dose ce mélange des genres

dans le respect de chaque groupe,danse, trampoline, chant, trapèze,acrobatie, musique, théâtre, jongle-rie… « La durée de la représentation(1 h 45) sous forme de tableaux quis’enchaînent pour donner du rythmeau spectacle, laisse à toutes les sec-tions le temps de réaliser desprouesses et des performances d’untrès bon niveau sportif et artistique »remarque l’entraîneur.

7e édition, 7e artThème de cette édition 2010 : le ci-néma. Sur scène, plus de cent cin-quante participants vous conduirontde la ligue des enfants d’Indiana Jonesconfrontée à des mafieux aux pla-teaux de Bollywood. « Je n’ai pas ledroit de dévoiler nos secrets. Disonsqu’il sera question du cinéma oriental,du cinéma indien, et que la confec-tion du spectacle et des costumesnous donne bien du travail alors quenous sommes en pleine préparationdes compétitions, mais l’occasion esttrop belle pour la laisser passer »confie Estelle. Quant à la recette desdeux représentations, elle sera, com-me toujours, intégralement reverséeà une association caritative, cetteannée la Balisqy (Boutique alimen-taire). ■

POUR EN SAVOIR PLUSNuit de la GymnastiqueSamedi 20 mars à 16 h et 20 hPavillon Pierre-Waldeck-RousseauPrix des places : adultes 5,30 €,enfants 1,90 €

Vente de billets du lundi au ven-dredi au service des Sports del’Hôtel de Ville (pas de billetterie lesamedi matin).Aucune réservationpar téléphone. Nombre de placeslimité. Billets en vente le jour mê-me sur place, une heure avantchaque représentation.

La 7e Nuit de la Gymnastique, qui se déroulera le 20 marsprochain au Pavillon Waldeck-Rousseau, aura pour thèmele cinéma.

Sous l’écran noir,une nuit blanche

RENCONTRE | NUIT DE LA GYMNASTIQUE

RENCONTRE | SANTÉ

Pour en savoir plus sur le don d’organesDeux étudiantes de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines organisent, à Guyancourt,une conférence sur le don d’organes. Rendez-vous le 10 mars prochain.

Audrey Capitaine a 22 ans et Zit-laly Vite,31 ans.La première est

célibataire, originaire de Normandieet vit seule, la seconde est mariée,mè-re de trois enfants et vient du Mexique.Toutes deux préparent un master 2« politiques de communication »,Au-drey avec l’espoir de devenir journa-liste, Zitlaly pour poursuivre un cur-sus malmené par son déracinement.Complices, les deux jeunes femmesont décidé de travailler ensemble lors-qu’il a fallu, dans le cadre de leur for-mation, monter de A à Z un projetcommun événementiel.« L’idée m’estvenue parce que le don d’organes a étédéclaré grande cause nationale en2009, et que j’en ai toujours entenduparler par ma mère enseignante, qui al’habitude de sensibiliser ses élèves pourles inviter à la réflexion. » Zitlaly ap-prouve du menton,avant de souligneravec une pointe d’accent : « L’impor-tant,c’est d’en parler avant,de dire à safamille, à ses amis, si l’on est donneurou pas. »

Portées par cette noble cause, les deuxétudiantes ont surfé sur Internet pouren savoir plus,puis contacté la fonda-tion Greffe de vie, qui leur a conseilléde s’adresser à l’agence de bioméde-cine,qui les a à son tour orientées versl’infirmière coordinatrice du centrehospitalier de Versailles chargée dudon d’organes et de tissus, PascaleThierré. « Nous avons eu la chanced’être soutenues par des spécialistespourtant très sollicités »,note Audrey.

« La moindre minute comptepour sauver des vies »De son côté, la coordinatrice de l’hô-pital Mignot apprécie de pouvoir répondre en direct aux questions dupublic (étudiants, enseignants, pro-fessionnels de santé,habitants…):«Cetype d’information est essentiel pourbalayer les idées reçues et dédramati-ser un sujet qui reste tabou.Lorsqu’unepersonne se trouve en état de mort en-céphalique, terme qui désigne la ces-sation irrémédiable de toutes les acti-vités cérébrales,les équipes médicalesne disposent que de quelques heures

pour effectuer un éventuel prélè-vement. La moindre minute

compte, et peut sauver une –ou plusieurs – vies.Il està ce momentprécis trèsdifficile

pour les familles et les proches,en étatde choc, de prendre une décision lors-qu’ils ne connaissent pas la volonté dudéfunt. »

Un programme completÀ quelques jours de l’événement,Au-drey et Zitlaly rêvent d’un amphi bienrempli pour faire passer le message.Pour cela, elles ont fait le maximum.Information via des vidéos et la diffu-sion de documents, intervention dePascale Thierré et questions-réponsesavec l’infirmière coordinatrice, té-moignage de Claude Lantran (greffé dufoie en juin 2008), qui souhaiteraitcréer une association à Saint-Quentin-en-Yvelines, exposition d’affiches decampagnes de sensibilisation menéesdans le monde entier,et même un ver-re de l’amitié pour prolonger le débatde manière informelle.Un programmecomplet, bien parti pour réveiller lesconsciences et décrocher une bonnenote. ■

O DOMINIQUE CIARLO

Mercredi 10 mars 2010de 14 h à 16h30Amphithéâtre Condorcet(bâtiment d’Alembert)

5-7, bd d’Alembert, à GuyancourtEntrée libre et gratuite

GUYANCOURT MAGAZINE10 N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

Pascale Thierré

Audrey Capitaine et Zitlaly Vite

GUYANCOURT MAGAZINEN ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0 11

née internationale de la femme.Cet-te initiative avait été créée en 1910– il y cent ans tout juste – par desfemmes socialistes lors de la Confé-rence internationale de Copenhague.La Journée des femmes avait àl’époque pour principal objectif de

revendiquer le droit de vote en in-terpellant les pouvoirs publics viaune mobilisation générale et des ma-nifestations d’envergure. Un siècleplus tard, et malgré les progrès réa-lisés durant cette période, le 8 marssert encore à rappeler les inégalitésqui frappent les femmes aujourd’hui.

Certaines considèrent cette journéecomme un événement et un hom-mage.La Journée de la femme est pourCatherine (54 ans, enseignante, di-vorcée, mère d’une fille de 28 ans etgrand-mère d’un petit Enzo) un actemilitant.«Cette journée est à mes yeuxune piqûre de rappel nécessaire, une

Tout feu, tout femmes

Tous les ans, le 8 mars,nous célébrons la Jour-

À l’occasion de la Journée internationale de la femme, célébrée le 8 mars, témoignages de Guyancourtoisesde tous âges et de tous horizons sur leur perception de la condition féminine.

PLEINS FEUX SUR

LA JOURNÉE DE LA FEMME

Chaque année, la maison de quartier Auguste-Renoir organise une journée réservée aux femmes.

12 GUYANCOURT MAGAZINE N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

manière de nous unir pour dire que noussommes là,toujours prêtes à lutter en-semble pour défendre des droits régu-lièrement menacés.Plus ou moins dis-crètement, bien entendu, car nousavons la chance de ne pas vivre sous lejoug des talibans, mais sûrement toutde même. »

D’égal à égalMalgré les luttes, les avancées so-ciales et les lois, l’égalité entrehommes et femmes n’est toujourspas acquise avec, à travail égal, unécart moyen de 20 % au moins entreles salaires féminins et masculins.« L’autre difficulté consiste à faire ad-mettre nos compétences alors quecela va de soi pour les hommes. Pouracquérir une crédibilité profession-nelle à peu près identique, nous de-vons faire plus,beaucoup plus qu’eux,et ce dans tous les milieux socio-pro-fessionnels », remarque Estelle,30 ans, chef de projet au sein d’unePME de design industriel.Autre approche pour Chloé, mairedu Conseil municipal des enfants« Certains garçons se croient supé-rieurs à nous, mais ils ont tort puis-qu’il est scientifiquement prouvé quenous avons trois ans de plus qu’euxd’âge mental… Grâce aux luttes desfemmes qui nous ont précédées, nousavons maintenant accès aux étudessupérieures et à tous les métiers, ledroit de voter et aussi de donner notreavis, ce qui n’était pas le cas avant. Jepréfère vraiment être née fille, parceque nous avons en général des liensde complicité très forts avec nosmères, même une fois devenue adul-te. Et puis il y a la maternité, pouvoir

donner la vie est quelque chosed’unique, de merveilleux. » À ses cô-tés, Charlotte, élue du CME sourit :« J’aimerais devenir chef d’entreprise,et un enfant, c’est beaucoup de tra-vail… Ce qui est certain, c’est que jeveux traiter d’égal à égal avec celuiqui partagera ma vie, pour les tachesménagères comme pour les grandesdécisions à prendre. »

« Rien n’est jamais acquis »Armelle a fait le choix de ne pas tra-vailler… à l’extérieur du moins.

LE XXE SIÈCLE ENFRANCE… AU FÉMININ1903 : les institutrices engagent une

bataille pour l’égalité de traitement

avec leurs collègues masculins

(existence d’une double grille

indiciaire). Il leur faudra plus de dix ans

pour y parvenir.

1907 : la loi autorise les femmes

mariées à disposer librement de leur

salaire.

1909 : le port du pantalon par une

femme n’est plus un délit… à condition

qu’elle tienne à la main le guidon d’une

bicyclette ou les rênes d’un cheval. La

même année, la femme enceinte salariée

peut prétendre à un congé maternité de

huit semaines (sans traitement) durant

lequel son employeur n’a pas le droit de

rompre le contrat.

1919 : instauration d'un baccalauréat

féminin qui permet aux femmes

d'accéder aux études supérieures.

1932 : création des allocations

familiales.

1938 : le code civil est modifié et

reconnaît désormais la capacité

juridique aux femmes mariées : ces

dernières dépendaient auparavant de

leur époux pour prendre les grandes

décisions les concernant.

1944 : les femmes françaises ont enfin

le droit de voter et d’être élues.

1946 : la compagnie Air France recrute

par concours les premières hôtesses de

l’air françaises (service uniquement

assuré par des stewards avant cela), qui

sont contraintes au célibat jusqu’en

1963 (par décision de justice).

1947 : pour la première fois en France,

une femme est nommée ministre

(Germaine Poinso-Chapuis, ministre de

la Santé publique et de la Population

du gouvernement Robert Schuman).

1948 : les femmes peuvent accéder

aux professions auxiliaires de la justice.

1950 : une loi officialise la fête des

Mères, célébrée à trois reprises (1941,

1942 et 1943) sous le nom de journée

nationale des Mères par le

gouvernement de Vichy.

1959 : l’école des Ponts et Chaussées

s’ouvre aux filles.

1961 : le premier centre d’information

du Planning familial ouvre à Grenoble.

1965 : les femmes mariées n’ont plus

besoin de l’autorisation de leur mari

pour exercer une profession, ouvrir un

compte en banque et disposer de leurs

propres biens.

1967 : adoption de la loi Neuwirth, qui

autorise la contraception orale.

Chloé et Charlotte

Armelle

GUYANCOURT MAGAZINEGUYANCOURT MAGAZINEN ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

LA JOURNÉE DE LA FEMME PLEINS FEUX SUR

13

« Comme j’avais la chance de pouvoirme le permettre, j’ai préféré arrêterpour privilégier notre vie de familleet l’éducation de nos trois enfants.Afin de sortir de la routine des courses,du ménage et de mon emploi dechauffeur de taxi familial pour condui-re mes gamins de l’escrime à l’athléet de l’école de musique au kung-fu,je me suis engagée dans la vie asso-ciative. » Présidente d’une fédéra-tion de parents d’élèves et membreactif du conseil d’administration duComité de jumelage,Armelle est detoutes les fêtes et manifestationsaux Saules, où elle habite : carnaval,loto, fête de quartier, Journée de lafemme… « Comme ma mère l’avaitfait pour moi, j’ai essayé d’éduquerma fille non pas uniquement en tantque fille, mais en tant être humain.Les jeunes ne savent pas combien lesfemmes, et des hommes de progrès,se sont battus pour obtenir ce qu’ellestrouvent tout naturel, comme lacontraception ou le droit de vote, parexemple. Rien n’est jamais acquis !Nombreux sont ceux qui rêvent du re-tour de la femme au foyer par lestemps qui courent. Notre rôle est deles alerter, de les inciter à être vigi-lantes et à faire passer le message au-tour d’elles. »

Le regard des autresLieu de tous les secrets au féminin, lesalon de coiffure reflète la vie quoti-dienne des femmes.« Elles sont beau-coup plus indépendantes qu’avant.Endehors des conversations d’ordre plusou moins privé que nous échangeons,qui témoignent de leur volonté de neplus dépendre d’un mari et de leur ca-

pacité à le quitter en cas de désaccord,d’autres signes ne trompent pas.Lors-qu’elles ont envie de changer de cou-pe ou de couleur, elles le font, mêmequand elles savent que cela ne plairapas à leur compagnon. À travers cet-te nouvelle apparence,elles affirmentleur liberté d’agir », constate Karine,responsable du salon de coiffure dela place Pierre-Bérégovoy, à Villaroy.Djamila, divorcée et mère de quatreenfants, a justement défendu cetteliberté en osant mettre fin à un ma-riage qui l’enfermait. « Se séparern’est simple pour personne. Pour moiça a été encore plus difficile à causedu poids des traditions, du regard desautres. » Assistante maternelle à do-micile en secteur libre, Djamila ser-vira le thé à la menthe à la Maisonde quartier Auguste-Renoir lors de laJournée de la femme. « C’est impor-tant cette journée car c’est toujourspas l’égalité. La plupart des femmestravaillent à l’extérieur et à la mai-son en rentrant, elles sont fatiguéeset eux disent tu l’as voulu, alors tu as-sumes ! En plus, il faut être belle, sou-riante, courageuse, disponible… Heu-reusement, il y a de plus en plusd’hommes qui aident pour le ména-ge, les courses, les enfants, tout.Quand ils auront compris qu’on estcomplémentaires, qu’on a la mêmevaleur qu’eux et que notre objectifn’est pas de prendre leur place – sur-tout pas – ça ira mieux ! En attendant,je fais le téléphone arabe dans toutGuyancourt pour que des femmesd’origines et de milieux différents par-ticipent à cette journée, qui est tou-jours une grande fête sympa où l’ons’amuse beaucoup ». ■

1970 : la notion de « chef de famille »

disparaît du code civil, l’autorité

paternelle devient autorité parentale

conjointe.

1971 : En novembre, sept mois après la

parution du manifeste des 343 publié

dans Le Nouvel Observateur, 4 000

femmes défilent à Paris pour réclamer

l’abolition des lois contre l’avortement

1974 : Simone Veil, ministre de la

Santé, présente son projet de loi sur

l’avortement, qui vise avant tout à

éviter les humiliantes et dangereuses

pratiques clandestines. Promulguée en

janvier 1975, cette loi ne sera

définitivement adoptée que le

30 novembre 1979.

1975 : année internationale de la

femme, au cours de laquelle la vente de

contraceptifs est autorisée aux

mineures et remboursée par la Sécurité

sociale et le congé de maternité porté

à quatorze semaines (six avant la

naissance, huit après).

1976 : les femmes ont le droit d’être

pompiers.

1977 : les nourrices deviennent des

assistantes maternelles, et acquièrent

un statut professionnel.

1980 : la loi considère désormais le

viol comme un crime. La même année,

Marguerite Yourcenar devient, sous les

quolibets et les grincements de dents,

la première femme à l’Académie

française.

1982 : la femme mariée signe la

déclaration de revenus avec son époux,

mais ne peut toujours pas gérer la

communauté.

1983 : la loi établit l'égalité

professionnelle des hommes et des

femmes. (Un objectif loin d’être atteint

aujourd’hui encore.)

1986 : circulaire légalisant l’emploi du

féminin pour les métiers et fonctions

(docteure, maire-adjointe, professeure,

écrivaine…).

1991 : Édith Cresson est la première

femme nommée Premier ministre.

1999 : loi en faveur de la parité

hommes/femmes en politique. (La

proportion de femmes députées n’est

actuellement que de 18,5 %, mais elles

n’étaient que 12 % lors de la

législature précédente, signe que les

mentalités changent peu à peu.)

2001 : la loi Genisson sur l’égalité

professionnelle oblige les employeurs

et les représentants des salariés à

négocier chaque année pour agir en

faveur d’une réelle égalité dans

l’entreprise.

Karine Djamila

14 GUYANCOURT MAGAZINE N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

Celles qui ont déjà goûté auxdeux précédentes éditions de

ce joyeux événement organisé le8 mars à la Maison de quartier Au-guste-Renoir y seront à coup sûr fi-dèles. Quant aux autres, on ne peutque leur conseiller de venir faire untour. Première chose, venez commevous êtes, que ce soit perché sur destalons hauts ou les doigts de pied àl’aise dans vos baskets, pomponnéeou « nature », femme fatale ou spor-tive, timide ou audacieuse, jeune filleou grand-mère… Tous les profils sontles bienvenus.Vous découvrirez alorsdans le hall des photos de femmes auparfum de Grèce antique,et une am-biance conviviale et complice qui faitchaque année le succès de ces ren-contres improvisées. Les origines etles parcours se mêlent, les languesse délient, les témoignages fusent etles rires aussi. On partage du thé, desgâteaux, des idées, et l’on peut mê-me participer gratuitement (sur ré-servation) aux ateliers suivants, tousencadrés par des spécialistes :• Atelier « conseils en image »L’importance de l’image de soi dansla vie sociale, comment gagner en

assurance ? (séance de 1 h 30 pargroupe de huit personnes)• Atelier ShiatsuLe Shiatsu (ou pression des doigts) estune discipline énergétique de dé-tente (séance de 15 minutes)• Atelier sophrologieTechnique de relaxation (séance de30 minutes par groupe de cinq per-sonnes)• Stage de danse orientaleInitiation de 3 heures pour un grou-pe de vingt personnes, avec petitereprésentation à la fin de la journée• Atelier maquillageConseils et trucs et astuces pour êtrebelle, belle, belle• Création de bijoux• Atelier coiffureCoupe et brushing• Tatouages au Henné• Atelier de pâtisserie libanaiseDeux séances de deux heures (dixpersonnes maximum). Les gâteauxseront ensuite servis avec un thé à lamenthe dans le hall de la maison dequartier où Armelle Le Bras-Chopard,adjointe au Maire chargée de laCulture (professeure à l’universitéde Versailles-Saint-Quentin-en-

Yveines), animera le débat avec ver-ve et intuition pour rendre la parolelibre comme l’air

Spectacle ouvert aux hommes ensoiréeÀ 20 h 30,spectacle d’improvisationthéâtrale avec la compagnie « Dé-clic Théâtre » et des « pointures »comme Issa Doumbia, Nour el Ya-kinn Louiz, Layla Jebabli et Mc Cizz-ko. Le public marque sur un papierune idée de personnage et/ou de scè-ne, les comédiens tirent un papier auhasard et se jettent à l’eau. Une heu-re de pur bonheur. Une soirée forte-ment déconseillée aux machistes etautres misogynes.

Journée de la femmeSamedi 6 marsDe 14 h à 18 h : ateliers gratuitsÀ 20 h 30 : Spectacle d’improvisa-tion théâtraleTarif plein : 4,50 € - Réduit : 3 €

(- 18 ans, étudiants, chômeurs)Réservation indispensable pour lesateliers comme pour le spectacleMaison de quartier Auguste-RenoirTél. : 01 30 43 45 44

JOURNÉE DE LA FEMME

Soyez les bienvenues !À l’occasion la Journée de la femme, la Maison de quartier Auguste-Renoir a fait le pleinde surprises et d’émotions pour les offrir aux Guyancourtoises. Rendez-vous le samedi6 mars prochain entre 14 h et 18 h.

La journée du 6 mars se terminera avec un spectacle d’improvisation théâtrale.

15GUYANCOURT MAGAZINE 15GUYANCOURT MAGAZINEN ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

■ Ce spectacle, écrit et interprété par Nasser Djemaï,évoque l’histoire d’un homme au purgatoire, dansl’attente du jugement dernier. Entre le paradis et l’enfer,ce père de famille patiente en faisant le bilan de sa vie.Il espère négocier avec Dieu une aide en faveur de ceuxqu’il a laissés sur terre, sa femme, son fils, sa filleShéhérazade, menacés d’expulsion imminente. Cettepièce superbe est un régal pour le spectateur.

POUR EN SAVOIR PLUSLes Vipères se parfument au jasminVendredi 19 mars à 20 h 30Tarifs : 16 €, 12,50 €La Ferme de Bel ÉbatTél. : 01 30 48 33 44

THÉÂTRE

Les Vipères se parfumentau jasmin

AVANT-PREMIÈRE | PROGRAMMATION CULTURELLE

■ La compagnie de danse CFB 451, accueillie en 2007et 2008 avec les spectacles En plein cœur et Carcasses,un œil pour deux (d’après B.-M. Koltès), revient àGuyancourt dans le cadre d’une résidence. À cetteoccasion, La Ferme de Bel Ébat organise deux actionsculturelles (une vidéoconférence et un stage de danse-théâtre) pour que les spectateurs puissent assister deprès à une création artistique.Une vidéoconférenceLe public pourra découvrir quelles peuvent être lessources d’inspiration au cours du processus de lacréation d’une œuvre, et en particulier des créationsdes chorégraphes Christian et François Ben Aïm.Mardi 23 mars à 18h30 (durée 2 h)Entrée libreUn stage de danse-théâtrePour danseurs et comédiens ayant une pratiquerégulière (à partir de 18 ans).Samedi 20 et dimanche 21 mars (2 séances de 3 h)Entrée librePour ces deux rencontres réservation indispensableau 01 30 48 33 44.

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INSTALLATION POÉTIQUE

Le voile de la mariée■ Une future mariée avait demandé à chaque invitéde lui envoyer quelques mots et un morceau de tissupour en faire son voile. Sauf que le mariage ne futjamais célébré. Ce souvenir de fiction est exposé aurez-de-chaussée de la médiathèque et vous attendavec deux autres surprises aux étages.

POUR EN SAVOIR PLUSLe voile de la mariéeInstallation poétique d’Isabelle PinçonDu 9 au 28 marsEntrée libreMédiathèque Jean-Rousselot

DANSE

CompagnieCFB 451

EN DIRECT | COLLECTIVITÉS TERRITORIALES

16 GUYANCOURT MAGAZINE N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

Depuis les lois sur la décentralisation,la Région est dotée de missions im-portantes en matière de développe-ment économique, social et culturel.Ses domaines d’action sont les suivants :

Le développement économiqueLa région coordonne sur son terri-toire les actions de développementéconomique des collectivités ter-ritoriales et de leurs groupements.L’action économique comprend :■ la définition du régime des aideséconomiques aux entreprises et ladécision de leur octroi,■ l’élaboration d’un schéma régio-nal de développement économique(coordination des actions, promo-tion d’un développement équilibréde la région et développement del’attractivité du territoire).

L’aménagement du territoireet la planification

■ Consultation des régions lors de ladétermination de la politique natio-nale d’aménagement et de dévelop-pement durable.■ Élaboration du plan de la régionconstitué par un schéma régionald’aménagement et de développe-ment du territoire (SRADT), qui fixeles orientations à moyen terme dudéveloppement durable du territoi-re (objectifs de localisation desgrands équipements, des infrastruc-tures et des services d’intérêt géné-ral de la région et veille à la cohé-rence des projets d’équipement avecles politiques de l’État et des autrescollectivités). La région Île de Fran-ce intervient dans le domaine destransports publics. Elle met en ap-plication le Schéma directeur régio-

nal de l’Île-de-France (Sdrif) etfinance les principaux projets d’amé-lioration du réseau de transports encommun.■ Les contrats de projets entre l’Étatet les régions doivent se concentreren priorité sur la compétitivité etl’attractivité des territoires, le déve-loppement durable et la cohésionsociale.

L’éducation■ Les lycées (construction, recons-truction, extension, grosses répara-tions,équipement et fonctionnementdes lycées, recrutement et gestiondes personnels non enseignant).■ Participation au financement desétablissements universitaires (l’en-seignement supérieur relève de lacompétence de l’État)

La formation professionnelle■ La région définit et met en œuvrela politique régionale d’apprentissa-ge et de formation professionnelledes jeunes et des adultes à la re-cherche d’un emploi ou d’une nou-velle orientation professionnelle.

La culture■ Organisation et financement desmusées régionaux, conservation etmise en valeur des archives régionales.■ Responsabilité de l’inventaire gé-néral du patrimoine culturel.■ Organisation et financement ducycle d’enseignement artistique pro-fessionnel initial.

La santé■ Possibilité pour les régions, dans lecadre d’une convention conclue avecl’État,d’exercer des activités en matièrede vaccination, de lutte contre la tu-berculose, la lèpre, le sida et les infec-tions sexuellement transmissibles.■ Possibilité, à titre expérimental, departiciper au financement et à la réa-lisation d’équipements sanitaires.

Élections régionalLes 14 et 21 mars prochains, vous êtes appelés à voter pour les élections régionales.Rappel des compétences de la Région et des règles du vote par procuration.

GUYANCOURT MAGAZINE 17N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0

EN DIRECT | COLLECTIVITÉS TERRITORIALES

Le choix du mandataireLe mandataire est la personne quivotera à votre place. Pour ce faire,l’électeur choisi doit :■ être inscrit dans la même com-mune que la personne donnant pro-curation (le mandant),■ ne pas avoir reçu d’autre procura-tion d’un mandant établi en France.À noter : le mandataire peut recevoirdeux procurations, à la conditionqu’une de ces procurations émaned’un électeur établi à l’étranger.

Motifs pour lesquels le votepar procuration est admis :

■ Vacances,■ Obligations professionnelles ousuivi d’une formation empêchant lemandant de venir au bureau de vo-te le jour du scrutin,■ État de santé, handicap, ou assis-tance à une personne malade ou in-firme,■ Inscription sur les listes électoralesd’une autre commune que celle de larésidence.

Le mandant doit se présenteren personne :

■ au commissariat de police ou à labrigade de gendarmerie du lieu derésidence ou du lieu de travail,■ au tribunal d’instance du lieu derésidence ou du lieu de travail,■ à l’ambassade ou au consulat deFrance s’il réside à l’étranger.

Pièces à fournir■ justificatif d’identité (carte natio-nale d’identité, passeport, permis deconduire…),■ un formulaire particulier doit êtrerempli où sont précisées plusieursinformations sur le mandataire (nomde famille, nom d’usage, prénom(s),adresse, date et lieu de naissance).

Ce formulaire inclut une attestationsur l’honneur mentionnant le motifde l’empêchement.

Cas particulierEn cas d’état de santé ou d’infirmi-té sérieuse empêchant le déplace-ment, et sur demande (écrite), un of-ficier de police judiciaire ou sondélégué se déplace à domicile pourétablir la procuration. (Un certificatmédical ou un justificatif de l’infir-mité doit être joint à la demande dedéplacement à domicile).

DélaisLes démarches doivent être effec-tuées le plus tôt possible pour tenircompte des délais d’acheminementde la procuration à la mairie et deson traitement en mairie. En princi-pe, une procuration peut être éta-blie jusqu’à la veille du scrutin, maisle mandataire risque alors de ne paspouvoir voter si la commune ne l’apas reçue à temps.

Durée de validitéEn principe, la procuration est validepour une seule élection, ou plusieursélections si celles-ci se déroulent lemême jour (premier ou second tour,ou les deux).La procuration peut aussi être établiepour une durée maximale d’un an àcompter de sa date d’établissement.Rien n’interdit au mandant de faireétablir sa procuration pour une du-rée plus courte. Il doit alors indiquersur le formulaire la date de fin de va-lidité de sa procuration et attestersur l’honneur qu’il est de façondurable dans l’impossibilité de serendre à son bureau de vote.La procuration peut par exemple êtreétablie pour 3 mois, 6 mois ou pourtoute autre durée dans la limite

d’1 an (ou de 3 ans pour les Françaisrésidant hors de France).

RésiliationUne procuration peut être résiliée àtout moment selon la même procé-dure que celle de son établissement :■ soit pour changer de mandataire,■ soit pour voter directement (enjustifiant de son identité, sous ré-serve que son mandataire ne se soitpas déjà présenté).Il est fortement recommandé d’in-former le mandataire de ce change-ment,pour éviter toute complication.

Déroulement du voteLe jour du scrutin, le mandataire seprésente muni de sa propre pièced’identité,au bureau de vote du man-dant et vote au nom de ce dernier.

es mode d’emploiLe vote par procuration, comment faire?Si vous ne pouvez pas vous déplacer en personne au bureau de vote,vous pouvez vous faire représenter par un électeur de votre choix.

Pour plus

d’informations :

www.ville-guyancourt.fr

GUYANCOURT MAGAZINE N ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 018

DE VOUS À NOUS | CARNET

Carnet■NaissancesABDIRISASAK KEYNANE, le 14/01

AMRAOUI ELIAS, le 15/01

BABERIH LINA, le 01/01

BAHATI LUKWEBO DAVID, le 14/01

BAJJOU LOUIZA, le 21/01

BENABOUD WISSAM, le 24/01

BENACHOUR JAWAD, le 26/01

BETSCHITCH SASHA, le 17/01

BONDU MEWEN, le 25/01

CASTILLE GABRIEL, le 22/01

COLOGON LAURIANE, le 23/01

CUNHA ALEXANDRE, le 24/01

CZYZ LÉNA, le 14/01

DA CUNHA LÉO, le 15/0

DIAW MARIATA, le 23/01

DIRAND KÉLIAN, le 19/01

EL GNAOUI ILHAM, le 25/01

GOAVEC--PIEJOS NOLAN, le 05/01

HEURDIER TATIANA, le 11/01

KESSLER--FAUCON LEXIE, le 30/01

LIANDIER MARGOT, le 08/01

MAIDON--BOURGIN CAMILLE, le 20/01

NONIS--BRANDEBOURGER MORGANE,

le 09/01

PASQUIET MATHIS, le 31/01

REZGUI DÉLYA, le 08/01

ROCHAMBEAU ANYSSA, le 28/01

SABOT NELL, le 02/01

SANANIKONE EMMA, le 17/01

SIBILLE NOAH, le 26/01

SOIDRI IBNYAKINE, le 08/01

SOW ABOUBACRY, le 26/01

TAMI SUAYLI, le 13/01

TUYBENS RAPHAËL, le 09/01

VIEIRA LOELY, le 14/01

■DécèsBESNARD GÉRARD, le 13/01

CHABRAND ANDRÉ, le 30/01

CHEVALLIER REMI, le 21/01

DELCHARD CHANTAL, le 29/01

DUCHESNE ANDRÉ, le 04/01

FESSIEUX JANINE, le 26/01

FOURNIER GENEVIÈVE, le 22/01

GRYNIEWICKI JOSEPH, le 23/01

HINFRAY NATHALIE, le 09/01

KHERICI YOUCEF, le 24/01

LINOSSIER JEAN, le 08/01

PANAGET HENRI, le 03/01

PASQUIO JEAN, le 14/01

PEREIRA MONTEIRO AGOSTINHO, le 11/01

POLLI FRANÇOISE, le 02/01

INFOS PRATIQUES

Élections, mode d’emploi

1er tour

des élections régi

onales

Penser à aller vo

ter

Lire pages 16 et 17

GUYANCOURT MAGAZINEN ° 3 8 7 - 4 M A R S 2 0 1 0 19

DÉMOCRATIE LOCALE | TRIBUNES D’EXPRESSION

LISTE GUYANCOURT GÉNÉRATIONS CITOYENNES

Les programmes en cours de réalisation dans le quartierde Villaroy proposent ainsi des logements en locatif ai-dé,en accession à la propriété aidée et en accession libre.Ces réalisations vont permettre aux Guyancourtois de réa-liser leur parcours résidentiel. Elles favorisent égalementla mixité sociale, indispensable.Parce que Guyancourt est une ville pour tous et qu’ellea su développer une politique de l’habitat ambitieuse,elle accueille jeunes, étudiants, familles, seniors, en te-nant compte de leurs revenus.Nous n’arriverons pourtant pas, seuls, à faire face à l’am-pleur de la crise de logement…

Les 31 élus de la liste Guyancourt pour Tous

« Conformément

à l’article 9-1

de la loi n° 2002-276

dite « Démocratie

de proximité »

repris à l’article

L2121-27-1 du CGCT,

les listes siégeant

au Conseil municipal

et établies

en Préfecture,

ont le droit

de s’exprimer

dans le bulletin

d’information

municipal. »enfants, des familles entières, vivre à proximité d’untransformateur EDF à haute tension ? La Communautéd’Agglomération s’était engagée à l’ouverture d’unenouvelle aire d’accueil en ce début d’année 2010. Il n’enest rien à ce jour.

Nous lire : http://umpmontigny-guyancourt.hautet-fort.com/

Joindre vos élus d’« Ensemble pour Guyancourt » :Olivier.Pernot@ville-guyancourt.frPierre-Marie.Houette@ville-guyancourt.frJoseline.Laurent@ville-guyancourt.fr

Après ces longs mois d’hiver, le printemps arrive et ilconvient d’effectuer un bilan.Quelle politique sociale me-née à Guyancourt en faveur des plus fragiles ?S’il est clair que notre ville est en situation de surdosede logements sociaux, à y regarder de plus prés certainespopulations sont ignorées par la mairie.Prenons deux exemples sur lesquelles la majorité en pla-ce devrait être exemplaire : l’aide apportée au SecoursPopulaire, et l’accueil des Gens du Voyage.Concernant le Secours Populaire, il est scandaleux qu’uneassociation d’utilité publique dont le sérieux et la mal-heureuse nécessité sont reconnus par tous, soit privéede local digne de ce nom. Il faut que cette associationsoit soutenue dans son effort.Concernant l’accueil des Gens du Voyage, l’emplace-ment actuel est inadapté. Comment peut on laisser des

LISTE ENSEMBLE POUR GUYANCOURT

Informer mieux

Voici plus d’un an que je constate, à chaque conseil mu-nicipal, que pratiquement aucun guyancourtois n’assis-te à ses séances. C’est pourtant le lieu où sont débattusles projets de notre commune.Or, les dates de ces conseilssont connues de nos élus longtemps d’avance. Pourquoine pas les faire paraître dans les journaux locaux ? Pour-quoi ne pas utiliser toutes les voies possibles d’afficha-ge ? Pourquoi, surtout, ne pas communiquer ces datesdans le journal que nous trouvons dans nos boîtes tousles quinze jours ! Quant à faire, même si je maintiensqu’une parution mensuelle permettrait des économies,autant utiliser cet outil de communication pour faireconnaître ces rendez-vous entre les élus et les électeurs.De plus, les économies réalisées en diminuant les délais

LISTE GUYANCOURT POUR TOUS

de parution, même si elles peuvent paraître minimespar rapport au budget total consacré à la communica-tion, seraient un geste symbolique - et les symbolessont parfois parlants- démontrant que tout est fait pourmaintenir le cap vers ce qui est écrit dans ce journal : lemaintien des services de proximité et la solidarité. Etquant à faire à communiquer,que cela soit un pas de plusvers une démocratie locale plus vivante !www.guyancourt-en-mouvement.eu

Julien Oechsli, Conseiller municipal soutenu par le Mouvement Démocrate

Logements pour tous

Pour que chacun puisse bénéficier d’un logement digne,il ne suffit pas de décréter un « droit au logement ». Ilfaut surtout favoriser la construction de logements etpermettre une offre diversifiée.Alors que notre commune est composée pour moitié delogements en locatif aidé et pour l’autre moitié de loge-ments en accession, d’autres villes ne respectent tou-jours pas le taux minimum imposé par la loi de Solidari-té et Renouvellement Urbains fixé à 20 %.Pourtant deux tiers des franciliens sont éligibles au lo-gement social !À Guyancourt, notre politique de l’habitat, équilibrée, sedéveloppe à l’échelle de la ville et à l’intérieur même desquartiers.

Pavillon Pierre-Waldeck-Rousseau

Renseignements : 01 30 48 34 29

Tarifs : 5,30 € adultes - 1,90 € enfantsL’ensemble des recettes sera reversé

à l’association humanitaire Balisqy.En coproduction avec l’Entente Sportive Guyancourt Gymnastique

et la Gymnastique Rythmique Guyancourt