12
09 /09/11

Le Digital Post n°68

Embed Size (px)

DESCRIPTION

L’actualité digitale par DDB° Paris

Citation preview

Page 1: Le Digital Post n°68

09/09/11

Page 2: Le Digital Post n°68

Le mot de la semaineQui est Qui ?

mes statuts mes avatars mon pseudo Myspace (†) mon profil Facebook mon compte msn (†) mon profil Linkedin mon adresse iP ma photo de profil il faut que je la change on me reconnaît trop mon pseudo Meetic mon personnage sims mon iGoogle mon login du boulot mon login banque c’est quoi déjà il y a un chiffre je crois mes trois mots de passe lequel j’utilise pour Paypal not a member yet mon adresse mail perso je m’inscris le nom de ma mère mon code PiN mon adresse pro mon numéro de télédéclaration mon adresse mail à spam mes cercles mon numéro secret Vélib’ photos and videos of you mon profil pour stalker mon personnage second Life (†) mon profil Google+ accédez à votre espace client sur celle-là je vais me detagger non mais ça va pas mon compte twitter mon compte Vimeo mon CV en ligne ma headline ma fiche Copaindavant mon deuxième prénom mon wall mon blog (†) il faut que je change ma profile picture on dirait trop pas moi mon identifiant mon compte eBay create an account mon faux profil c’est qui lui d’où il m’envoie une request entrez votre mobile ma question secrète add photos mes paramètres de confidentialité

Fabrice Bergèse, chargé de projet

Page 3: Le Digital Post n°68

“oN eN ParLe”KLout : du standard de l’influence à l’influence comme standard ?

NDLR : Connecté aux comptes de vos réseaux sociaux, le service Klout vous décernera une note sur 10. Ce « Klout score » est principalement calculé à partir de trois variables : l’audience réelle (celle qui est active, vous retweete, vous like…), la probabilité que votre contenu soit diffusé et enfin l’influence de votre propre réseau. Ce service n’est pas unique, certes, mais sa popularité grandissante le porte aujourd’hui sur Mais au-delà de la guerre de l’ego digital, quelles opportunités ouvrent Klout dans la relation des marques à leurs consommateurs ? Le service répond à un réel besoin des entreprises d’évaluer la popularité en ligne des internautes. Audi, Subway ou Virgin accordent déjà des offres spéciales aux clients ayant les meilleurs scores. Quel avenir pour Klout.

J.P ‘Dans le monde réel, la puissance financière ou l’apparence dictent entre autres notre niveau d’influence. Sur le web, chaque internaute peut fédérer une communauté par la seule force de son discours. C’est une sorte de méritocratie de l’influence.’

G.H ‘Klout reste un indicateur subjectif et imparfait. Un internaute tenant des propos abjects et suscitant de nombreuses réactions négatives pourra se targuer d’avoir un haut score! Klout manque d’humanité, ne confondons pas influent et clientéliste.’

S.C ‘Il ne faut pas oublier que le fonctionnement de Klout reste assez obscur. Pour attirer les marques, ils auraient tout intérêt à rendre public leur algorithme.’

M.G ‘ Si la capacité de Klout à mesurer l’influence Social Media reste un débat, il n’empêche que le service est progressivement en train de rentrer dans la culture Web.’

Page 4: Le Digital Post n°68

La BoNNe idéeariel Fashion shoot Type : campagne on/off

Le contexte : Pour attirer de nouvelles générations de ménagères et se distinguer sur un secteur très concurrentiel, les lessives s’engagent sur de nouvelles promesses (développement durable, commodité, sensoriel…). Si Ariel est un acteur de cette course à l’innovation, elle s’est toujours distinguée en créant des ruptures dans la façon de les promouvoir.

La problématique : Comment réinventer le principe désuet de la démonstration produit au travers d’une expérience divertissante et participative?

L’insight : ‘Je ne me retrouve pas dans les acteurs des publicités testimoniales dont le discours sonne faux. J’ai besoin de vérifier par moi-même l’efficacité d’un produit ou d’en discuter avec mon entourage.’

L’idée : Pendant quatre jours dans la gare de Stockholm, les passants sont intrigués par une box vitrée dans laquelle est installée un robot mitrailleur chargé en munitions salissantes (chocolat, ketchup, confiture…). Dans le même temps, les internautes scandinaves (en utilisant l’application facebook ‘Ariel Fashion Shoot’) peuvent contrôler à distance la machine pour tenter de mitrailler l’un des tee-shirts blancs coulissant sur une rangée de cintres. Lavés sur place, les tee-shirts sont ensuite expédiés aux internautes gagnants qui constatent dès lors par eux-même l’efficacité du lavage. Alors qu’il est difficile pour une lessive d’engager le dialogue avec de jeunes consommateurs, la marque réussie le pari d’une expérience online et offline divertissante, tout en remplissant l’objectif initial de la démonstration : prouver un attribut produit. Comme le dirait toute bonne voix off de spot lessive : mission accomplie !

Voir la vidéo : http://bit.ly/arielfashionshot

Page 5: Le Digital Post n°68

La MoiNs BoNNe idéeBMW: Le nouveau 30 octobre 1938

Un “crop circle”, communément perçu comme un signe de présence extra-terrastre, est retrouvé dans le désert de Gobi, en Chine occidentale. La rumeur d’une invasion alien est massivement diffusée sur les réseaux sociaux chinois jusqu’à être relayée par les chaînes de télévision nationale ! Une semaine plus tard, une annonce vient mettre un terme aux fantasmes : il s’agissait d’une opération lancée par BMW !Pour légitimer cette mascarade, la marque déclare que ses modèles sont uniques, à l’image des crop circles et des UFO, ces ‘Unidentified Flying Objects’ dont les initiales pourraient également signifier ‘Unique For One’. Une justification pour le moins tirée par les cheveux…

Manquant de notoriété en Chine, BMW a certainement réussi à faire parler d’elle sur le plus grand marché automobile mondial. Gagner en notoriété, oui, mais à quel prix ? Est-il vraiment approprié qu’une marque européenne se fasse connaître en jouant sur la naïveté du consommateur local, réveillant les peurs sur l’étranger ‘colonisateur’? Si BMW est toujours une marque générant des conversations sur Weibo (équivalent chinois de Twitter), c’est aussi parce que les locaux n’ont pas tous pris avec humour ce coup monté. ‘Mensonge honteux’, ‘manque de respect’, les réactions sont parfois virulentes. Comme le dit l’adage : “on a qu’une seule fois l’occasion de faire la bonne première impression”.

Difficile de ne pas réveiller dans les esprits le canular radiophonique d’Orson Welles qui avait terrorisé le peuple américain en 1938. Pas sûr non plus que les Chinois apprécient d’être comparés à l’Amérique de l’entre-guerre.

La vidéo : http://bit.ly/bmw_ufo

Page 6: Le Digital Post n°68

à déCouVrirune seconde vie pour les objets obsolètesL’évolution de la technologie est exponentielle : plus les années passent plus les produits technologiques se renouvellent rapidement. Cette observation fait d’ailleurs l’objet d’une théorie en informatique : la loi de Moore, selon laquelle la vitesse et la puissance des processeurs doublent tous les 18 mois. Cette logique de cycle, qui opère une course en avant aux dépens de la durabilité des objets, dépasse le seul domaine de l’informatique. On observe le même phénomène avec les meubles (interchangeables, éphémères, renouvelables), que le syndrôme Ikea a cristallisé. Toutefois, c’est dans notre utilisation des outils digitaux que ce constat est le plus flagrant et que le temps de la technologie entre en confrontation brutale avec le temps dont l’homme a besoin pour apprivoiser son environnement. D’un côté, les baby-boomers restent perplexes devant un iPad ou une Wiimote, les manipulant avec circonspection et curiosité sans parvenir à déterminer leur fonction (cf. vidéo 1). De l’autre, les successeurs de la Génération Y ignorent tout de l’usage d’une GameBoy que certains vont même jusqu’à confondre avec un tazzer. (cf. vidéo 2).

Or, peu importe l’âge, jeunes et moins jeunes sont intrigués par ces objets (pour les premiers devenus obsolètes), et (pour les seconds obsolètes avant même d’avoir été utilisés). C’est donc ce qui a conduit l’agence Jung von Matt (dont les employés sont âgés de 27 à 67 ans) à créer un musée regroupant tous ces objets. La chaîne YouTube rassemble donc ces vestiges du passé, et chacun peut suggérer un nouvel objet afin d’étoffer la collection. C’est précisément parce que les objets ne se limitent pas à leur mission fonctionnelle, et parce que de tout temps ils ont fait l’objet de collections (vinyle), de culte (Apple), de nostalgie (Minitel, consoles de jeux), qu’il fallait bien un musée pour les réunir tous, et les sauver des oubliettes de la digitalisation. Le musée des objets obsolètes devient ainsi un mémorial intergénérationnel et nostalgique d’objets à découvrir ou à redécouvrir.

Le musée : http://www.youtube.com/user/MoooJvMVidéo 1 ‘Les séniors et la technologie’ : http://bit.ly/seniors_technoVidéo 2 ‘Les enfants et les technologies du passé’ : http://bit.ly/enfants_techno

Page 7: Le Digital Post n°68

Le diGitaL est Partout‘...and darkness descended’ du virtuel au réelCes dernières années, l’industrie vidéoludique peine à se renouveler. L’amélioration des rendus graphiques et la conservation de licences juteuses tend à prendre le pas sur l’innovation des mécaniques de jeu. Après avoir intégré la composante sociale et développé les premiers capteurs de mouvement, le jeu vidéo va t-il enfin s’affranchir des limites du virtuel ? Le succès de la dernière vidéo de Freddie Wang, star de YouTube, montre que les joueurs attendent avec impatience que se mêlent environnements réels et virtuels. Le jeu vidéo stagne technologiquement et le développement d’opérations comme Résistance 3 ‘...and darkness descended’ au Royaume-Uni en est la conséquence. Il s’agit d’une pièce de théâtre immersive où les spectateurs deviennent également les acteurs de la pièce. L’univers du jeu est devenu réel le temps d’une performance jouée par la troupe Punchdrunk pendant 4 nuits, sous le pont ferroviaire de Waterloo à Londres. Ces pionniers du genre se sont dernièrement illustrés avec The Black Diamond pour Stella Artois. Tout comme dans le jeu, les participants ont pour objectif de survivre dans un univers post-apocalyptique.

Exit le coin de canapé et la canette de soda posée sur la table basse. Jeu et réalité s’entremêlent, répondant au fantasme ultime du joueur, celui de ne plus avoir besoin de manette et d’écran pour jouer. Deux visions : devenir nous même des êtres digitaux (ie. le pitch de films comme Tron, Avalon) ou amener le virtuel dans la réalité. Avec ‘...and darkness descended’ c’est la seconde option qui a été retenue. Le participant est donc plongé au coeur du jeu. Soudain le bouton pause n’existe plus, la réalité est le jeu, le jeu est la réalité. Tous les participants à cet événement ont été bluffés, secoués par l’intensité et l’authenticité de l’expérience: les sens en alerte, le souffle court, une odeur de transpiration, le coeur qui s’emballe, les yeux qui s’écarquillent... et la nécessité de collaborer avec les autres joueurs pour s’en sortir. Toutes les mécaniques de jeu digitales sont ici reconduites mais de nouveaux paramètres doivent être pris en compte : odorat, goût, stress, notion de l’espace… Autant d’éléments qui restent sous-exploités par l’industrie vidéoludique, montrant ainsi les limites des jeux vidéo à ce jour.

Vidéo ‘Future motion control gaming’ : http://bit.ly/future_motion_control_gaming

Page 8: Le Digital Post n°68

Les MarQues aGisseNtPhilips, chef d’orchestre de l’audiovisuel interactifPhilips est une marque néerlandaise de biens électroniques spécialisée notamment dans l’image, le son et l’électroménager, mais aussi l’un des plus grands groupes mondiaux sur ces secteurs. Pour promouvoir ses téléviseurs, Philips s’est rapproché de l’univers cinématographique dans des campagnes marquantes (Carousel, Parallel Lines), justifiant ainsi une promesse “Philips c’est comme au cinéma”.Dans cette même logique et afin de prouver les attributs de ses produits sono, la marque lance une expérience musicale interactive en partenariat avec le Metropole Orchestra, vainqueur des Grammy Awards.Sur le site dédié, il est possible d’interagir avec une vidéo d’une performance de l’orchestre. Chacun des 52 musiciens peut faire l’objet d’un focus visuel - afin d’obtenir des informations sur celui-ci - mais surtout sonore, afin d’isoler la piste musicale d’un membre de l’orchestre. Tous ces ‘héros anonymes’ peuvent donc être tour à tour mis en lumière, l’internaute disposant des outils pour comprendre le fonctionnement de l’orchestre et le rôle des individus le composant. L’opération est prolongée sur Facebook par la mise en place d’un concours adressé aux compositeurs amateurs dont le gagnant verra son morceau interprété par le Metropole Orchestra.

Assister au concert d’un orchestre symphonique est un moment exaltant et unique qui ne saurait être apprécié autrement qu’en live. Néanmoins, Philips parvient par le biais de ce dispositif digital à proposer un prolongement intéressant de cette expérience. Difficile en effet pour le néophyte de comprendre les rouages et les subtilités d’une telle formation musicale. La marque se positionne comme un acteur utile, agissant pour l’enrichissement culturel de sa communauté. Elle peut ainsi tirer un réel bénéfice de cette association positive et légitimer son positionnent d’expert du son.

Le site : http://bit.ly/obsessedwithsound

Page 9: Le Digital Post n°68

Le WWW.de La seMaiNeMixerGuriMixer Guri est une initiatve du gouvernement de Sao Paulo, proposant à l’internaute de créer sa propre musique en ligne pour une bonne cause. Ce site au design cartoon fonctionne sur le principe des logiciel de soundtracking, à l’image du Garageband de Apple par exemple. L’utilisateur ajoute donc des échantillons sonores sur une grille de temps à travers plusieurs pistes. Les sons proposés ont d’ailleurs été enregistrés par des musiciens de renom ayant collaboré au projet. Il devient ainsi enfantin de créer des morceaux rythmés et péchus de musique brésilienne moderne. Une fois le tube composé, libre à vous de le partager sur les réseaux sociaux afin de faire danser vos amis, voire le monde (pour les plus ambitieux d’entre vous). Enfin, il vous est proposé de payer une contribution en fonction du nombre de pistes instrumentales utilisées. L’argent récolté sera destiné aux enfants brésiliens nécessiteux, et désireux de recevoir des bourses d’études.

Le site : www.mixerguri.org.br

Page 10: Le Digital Post n°68

La Vidéo CuLteByturen : what you see is not what you getSi nous ne sommes pas tous égaux devant la résistance à la consommation d’alcool, force est de constater qu’en cas d’excès le résultat est généralement le même pour tout le monde : un comportement loin d’être gratifiant. Pourtant sur l’instant tout semble bien se passer : la soirée est magique, les filles sont jolies, les garçons sont mignons et la musique nous fait tortiller des fesses.Si les boissons alcoolisées semblent nous donner confiance en nos capacités de séduction - certaines marques d’alcool en ont fait leur promesse -, de danse et de réflexion (refaisons le monde), elles nous font perdre le concept de dignité et de respectabilité.Movia, une compagnie de bus danoise desservant le grand Copenhague, l’équivalent danois de la RATP, a décidé de jouer sur les pièges de la consommation d’alcool pour promouvoir son application et son service de bus de nuit, plaçant son service comme étant la référence en matière de praticité pour profiter de la vie nocturne de la capitale. En résulte une vidéo interactive dotée d’une mécanique mêlant deux types de réalités: en surface la réalité subjective - perçue par le personnage et altérée par ses excès - et en sous couche la réalité objective - le sobre et pathétique envers du décor.

À travers l’idée dy ‘What you see is not what you get’, Movia nous sensibilise sur les méfaits de la consommation abusive d’alcool et nous rappelle que les meilleures soirées sont celles dont on se souvient et que l’on a aucun chance de faire une belle rencontre s’il on ne sait pas faire preuve de modération. Il serait dommage de passer à côté de ‘la’ rencontre pour quelques verres de trop...

Voir la vidéo : http://www.byturen.com

Page 11: Le Digital Post n°68

131c’est le nombre moyen de vidéos vues chaque mois par les internautes français

(soit un un total de 12.8 heures de visionnage)

Source : étude comScore Video Metrix

iNCroyaBLe

Page 12: Le Digital Post n°68

_Greenpeace passe à la vitesse supérieure_Greenpeace dénonce, par le biais de films publicitaires parodiques, l’irresponsabilité environnementale de certaines grandes marques. Après l’immense succès du dernier en date, revisitant avec cynisme “The Force” de Volkswagen, l’ONG ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’association lance un concours de création pour le film qui mettra en lumière les mauvais agissements du concessionnaire allemand. La compétition qui se déroule en France, Belgique, Allemagne et au Royaume-Uni démarrera le 17 Septembre via un site dédié (http://vwdarkside.com/). Elle permettra au vainqueur d’empocher 5000 livres.

_Les fanpages Facebook accueillent une fonction de traduction_Facebook continue sa collaboration avec Microsoft. Après Skype et le vidéochat, c’est avec Bing que le réseau social collabore pour intégrer un outil de traduction. Toutes les langues supportées par le moteur de recherche sont disponibles. Réservé uniquement aux pages fans, aucune fonctionnalité similaire pour les comptes personnels n’est à ce jour prévue. Une nouvelle fonction qui pourrait bouleverser les stratégies locales des marques sur Facebook.

_Windows Phone obtiendrait votre position géolocalisée sans votre accord_Une plainte déposée par un étudiant-chercheur devant le Tribunal de Seattle met en cause le Windows Phone. Même une fois l’option de

retrait activée, la position géographique serait tout de même transmise à Microsoft par le biais de l’application Camera. Précisément, seule la dernière position serait sauvegardée, ce qui constituerait tout de même une entorse au droit. La firme américaine devrait prochainement fournir des explications.

_Lancement de la plateforme Facebook Music pour Septembre_Selon une source de la CNBC, Facebook devrait officialiser le lancement de Facebook Music à l’occasion de la Conférence F8, qui se tiendra à San Francisco le 22 Septembre prochain. Tandis que ses concurrents (Google Music, Amazon Cloud Player, Itunes Match) optent pour une solution cloud impliquant le stockage en ligne de la musique, Facebook devrait permettre l’écoute directement depuis le réseau social. Des rumeurs de partenariat avec des services de streaming Spotify ou encore Mog fleurissent en ce sens.

_Commercialisation de la première Tv bittorrent_A l’occasion du salon de l’électronique se tenant à Berlin, le fabricant Vestel vient de présenter la première TV certifiée Bittorrent. Elle permettra de visionner en streaming tout type d’émission diffusée en peer-to-peer. La société a notamment développé une bibliothèque de contenus légaux qui seront directement accessibles depuis le poste. Mais ses propriétaires pourront surtout publier et partager leurs propres contenus multimédias. Le prix du téléviseur n’a pas encore été communiqué.

NeWsdu MoNdediGitaL