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23 /09/11

Le Digital Post n°70

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L’actualité digitale par DDB° Paris

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Page 1: Le Digital Post n°70

23/09/11

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Le mot de la semaine

J’ai toujours été nul en maths.

Encore aujourd’hui je demande régulièrement à un collègue de m’aider à utiliser les formules dans Excel. J’ai une admiration sans borne pour ces individus qui maîtrisent les chiffres comme mon colloque DA maîtrise sa tablette graphique. La vie de ce gars est tellement plus simple. Pensez-y, les chiffres sont partout. A-t-on jamais dans l’histoire de l’humanité eu à en retenir autant?

Mon score Klout, le numéro de ma copine, les stats des joueurs de PES, le nombre de calories dans un BigMac, le code de l’interphone de chez ma copine, mon mot de passe Google, la date de péremption des yaourts, les mensurations de ma copine, le nombre de bières que mon coloc’ DA me doit…

Surtout que mon coloc’ a le droit d’être nul en maths, il est créa. Moi, je suis comme vous, je ne suis qu’un créatif frustré.

Et puis d’où ils sortent tous ces chiffres, c’est quoi 800 millions de membres sur Facebook, c’est quoi le CAC 40 en baisse de 6,23%, c’est quoi 9 secondes 58 au 100m ? Un monde sans chiffres serait un monde sans compétitions. Un monde sans mauvaises notes à l’école. Attends… Je crois que je sais pourquoi je n’aime pas les chiffres.

Eric Terdijian, Commercial

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“on En PArLE”Le F8 : l’attaque en rafale d’un Facebook de chasse

Le F8 est la conférence annuelle dédiée aux développeurs de Facebook, sorte de grande cérémonie où le messie Zuckerberg prêche la bonne parole, remercie les apôtres, pardonne les péchés et surtout annonce la prophétie auto-réalisatrice. La semaine dernière annonçait la couleur, avec l’apparition sur vos profils des Listes Intelligentes et des Abonnements (cf DP 69). Si ces fonctionnalités sont largement inspirées des concurrents,les 800 millions d’utilisateurs qui composent le réseau social méritent de réelles innovations.Facebook semble nostalgique de la magie des débuts et, à l’image d’une société américaine qui peine à regarder l’avenir, Mark Zuckerberg introduit la ‘Timeline’. En complément du profil, elle retrace l’histoire de votre vie sur Facebook, au travers d’une frise chronologique personnalisable. Apparition du ‘Ticker’, une box qui intègre les activités mineures (like, poke, comment…) afin de soulager votre News Feed. Nouveauté de taille, le ‘like’ se diversifie : on pourra désormais ‘read’, ‘watch’, ‘eat hike’ et… ‘listen’. Facebook Music était en effet au centre des attentes. Il est désormais possible d’écouter les bibliothèques de Spotify ou Deezer directement depuis Facebook. De nouvelles fonctions de partage apparaissent en ce sens dans les applications, afin de pouvoir par exemple écouter simultanément une chanson avec un ami.

O.C. ‘Après s’être égaré, Facebook revient aux valeurs fondamentales du web, à savoir le partage.’

M.S. ‘Zuckerberg vit dans son monde. C’est trop de changements d’un coup, je n’arrive plus à suivre. Plus Facebook devient complexe, plus j’ai envie de me tourner vers la simplicité d’un Twitter.’

L.R. ‘C’est effrayant, mais cela me paraît inévitable : Facebook va devenir le web. En tout cas il font tout pour.’

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LA BonnE iDéEVodafone Buffer Monsters : Attrapez-les tous!

Type : CRM advergaming

Le contexte : Vodafone vient d’être élu « opérateur de téléphonie le plus rapide » en Allemagne. Pour concurrencer le leader T-Mobile et fidéliser sa clientèle, l’entreprise de télécoms souhaite mettre en avant la rapidité de son réseau.

La problématique : Comment fidéliser les abonnés à leur opérateur dans une logique d’engagement?

L’insight : ‘J’ai l’habitude de voir les entreprises de télécoms communiquer autour de leur supériorité dans un domaine précis (meilleur service client, meilleur couverture réseau…). Pourtant, je ne crois pas vraiment en ces arguments. Je différencie peu ces opérateurs, aucun n’a réussi à me fidéliser et je passe d’ailleurs aisément de l’un à l’autre.’

L’idée : Lancement d’un jeu mobile au story-telling touchant deux générations cibles : celle des Ghostbusters et des Pokémons. Afin de chasser les monstres qui ralentissent le monde des humains, les gamers ont pour arme leur smartphone et comme terrain de jeu le pays allemand. Après avoir géolocalisé leurs ennemis virtuels, ils tenteront d’en capturer un maximum via un dispositif de Réalité Augmentée. Une fois 50 monstres attrapés, ils peuvent se rendre en point de vente pour vider leur stock auprès d’une borne équipée d’un Flash Code. En retour, les utilisateurs seront récompensés par des points de fidélité Vodafone qu’ils pourront, pourquoi pas, utiliser sur place. Vous reprendrez bien 24mois d’engagement ? Le meilleur joueur gagnera même un abonnement à vie, pas loin du rêve ultime de tout programme de fidélisation.

La vidéo : http://bit.ly/buffermonsters

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LA MoinS BonnE iDéETweets sponsorisés : faire de l’oiseau bleu la poule aux oeufs d’or

Un vieux débat : Twitter -100 millions de membres actifs - ne serait toujours pas rentable. Depuis plus d’un an, le réseau de micro-blogging explore donc la piste publicitaire, proposant aux annonceurs de diffuser des ‘tweets sponsorisés’ à leurs followers. Cette offre reste néanmoins limitée, notamment par le grand nombre d’utilisateurs tweetant à partir de logiciel tiers. En France, Bouygues Telecom fut la première société à les utiliser dans une campagnes media. Si Twitter conserve le monopole des messages sponsorisés, cela n’empêche pas des régies américaines comme Ad.ly de mettre en relation personnalités et annonceurs, sans passer par le service officiel. C’est ainsi que la société orchestra la diffusion du tweet le plus cher au monde: 100 000$ pour moins de 140 caractères de l’acteur Charlie Sheen.Un business qui donne des idées aux continentaux. BuzzParadise, auto-proclamé ‘1er réseau de Social Media Advertising’, lance la ‘1ère offre de tweets sponsorisés en Europe’. La grosse nouveauté, c’est que l’offre ne s’adresse pas uniquement aux marques et célébrités. Vous avez un compte Twitter actif ? Un Klout plus proche d’un score de Basket que de Handball (cf. DP 68) ? Quelques followers qui vous retweetent dans l’espoir de capter votre attention ? Pourquoi ne pas monétiser votre influence, quitte à rompre le contrat de confiance qui vous lie à votre communauté, en tweetant des messages commerciaux ? Ce ne serait qu’un tweet parmis tant d’autres, rapidement inondé par le flux d’activité du réseau social. Ce type publicité intrusive ne correspond pas à la logique de recommandation et de confiance sur laquelle le réseau social s’est construit. L’intérêt commercial de Twitter résidera toujours dans le earned media et non le paid media. Il ne s’agit pas d’acheter l’influenceur, mais de le convaincre, par le levier conversationnel, afin qu’il devienne le porte-parole de la marque auprès d’un public de prescripteurs. Twitter aurait tout intéret à se préoccuper de la façon dont certaines entreprises essayent de monétiser son audience.

le site : http://bit.ly/buzz-paradise

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à DéCoUVrirFoldit : Plus fort que Sheldon Cooper

Reposant sur le support du jeu vidéo, les ‘serious games’ transmettent de façon ludique des messages ou enseignements sans lien direct avec le divertissement. Si le terme apparaît suite au développement d’un jeu par l’armée américaine, les applications sont aujourd’hui multiples dans le domaine de la formation : la RATP entraîne ses conducteurs, Renault forme ses commerciaux, l’Oréal pré-sélectionne ses stagiaires…. FoldIt, développé par les départements d’informatique et de biochimie de l’Université de Washington, est un jeu collaboratif en ligne ayant pour but de faire avancer la science. Certaines énigmes résistent encore aujourd’hui aux ordinateurs et aux experts, alors pourquoi ne pas faire contribuer les cerveaux à la recherche sous forme d’un jeu en ligne? Plus précisément, FoldIt invite le joueur ‘humain’ à découvrir comment différentes molécules se “plient” en une structure en trois dimensions, donnant ainsi naissance à une protéine. En trois semaines, les participants ont décodé la structure d’une enzyme proche de celle du virus du VIH, un problème sur lequel les scientifiques ont buté depuis plus de dix ans. La capacité du cerveau humain à raisonner dans l’espace reste en effet supérieure à celle des plus puissants ordinateurs. La communauté de joueurs en ligne de FoldIt, répartie par équipes mises en compétition, a donc permis des avancées jusqu’alors inenvisageables.

Des conclusions qui balayent nombre d’idées reçues sur les jeux vidéos - désignés responsables d’addictions, de violences et d’appauvrissement culturel - et qui appuient les thèses de la chercheuse Jane McGonigal sur le gaming. Lors de sa première conférence en France, dans le cadre des rencontres RSLN initiées par Microsoft, elle est notamment intervenue pour répondre à la question « Comment le jeu vidéo va sauver le monde ? ». FoldIt apporte clairement un premier élément de réponse.

Le site : http://bit.ly/fold-it-game

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LE DiGiTAL EST PArToUTGoogle Wallet : it’s all about the money, money

La semaine dernière, Paypal présentait en vidéo sa vision du paiement mobile de demain. Une vision futuriste qui avait certainement pour but de limiter l’engouement autour du concurrent ‘Google Wallet’ dont le lancement aux Etats-Unis fut officialisé quelques jours plus tard. « Au revoir porte-feuille, le mobile prend le relai » annonce Google dans cette vidéo de présentation. Une fois l’application dédiée installée sur son mobile, le client sélectionne sa carte de paiement, entre son code PIN, présente son mobile devant une borne et le paiement se fait instantanément. Le système n’a rien de novateur : au Japon, il est en place depuis quelques années déjà. Là où Google ambitionne de révolutionner le marché, c’est en associant Wallet à ses autres services, notamment Google Offers afin de proposer aux consommateurs des offres géolocalisées. Google ne prélèvera pas de commission directe et compte rentabiliser le service grâce aux offres promotionnelles et la fidélisation. L’objectif est de faire du paiement mobile la principale source de revenu dans les années à venir, quitte à faire radicalement évoluer son modèle économique. A ce jour, la volonté de Google reste d’observer les comportements consuméristes face à un nouveau système de paiement. Google Wallet n’est qu’en phase de test : un seul opérateur partenaire, 124 000 commerçants à la norme et un smartphone équipé de la puce NFC nécessaire. Si les constructeurs se sont majoritairement engagés à intégrer la norme NFC dans leurs prochains modèles, Google reste dépendant du renouvellement du parc mobile. Une aubaine pour les concurrents privilégiant l’emploi de technologies déjà présentes dans nos smartphones. Paypal mise ainsi sur le scannage des codes-barres via l’APN des smartphones. Mais dans cette vaste entreprise de conquête, appréhender les freins découlant d’un nouveau rapport à l’argent reste la préoccupation centrale et gagner la confiance des consommateurs l’enjeu majeur. En y allant pas-à-pas, Google met toutes les chances de son côté.

La vidéo : http://bit.ly/googlewallet-video

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LES MArqUES AGiSSEnTKLM : Dutch royal Timeline

KLM est une compagnie aérienne néerlandaise. Depuis une fusion de 2004, elle forme avec Air France le premier groupe aérien mondial. Pour ces compagnies, les nouveaux medias sociaux constituent un canal privilégié. Pour la plupart des voyageurs, prendre l’avion relève de l’événement, d’émotions fortes que l’on a envie de partager, entre excitation et inquiétude. Pour les groupes aériens, c’est l’opportunité de se distinguer en personnalisant une communication traditionnellement globale et institutionnelle. ‘Nous répondons à vos tweets dans l’heure, nuit et jour’. Difficile de tenir de telles promesses sans que la qualité de la relation-client n’en pâtisse. Si la réactivité est primordiale, les questions des internautes doivent être envisagées comme autant de cas individuels. Mais lorsque KLM s’engage, la marque emploie les grands moyens pour prouver sa bonne foi. Pendant 12 heures, ce ne sont pas moins de 140 employés qui furent mobilisés, chacun soulevant une pancarte correspondant à l’un des 140 caractères du message twitter. Cet alphabet humain géant fut filmé toute la journée, permettant ainsi de répondre aux tweets des clients par vidéo personnalisée. Outre l’impressionnant dispositif mis en place, la volonté de valoriser le personnel de la société donne une envergure supplémentaire à l’opération. En plus de prouver sa réactivité, KLM humanise sa relation avec les clients, au sens propre comme au figuré.KLM avait dernièrement lancé de nombreuses opérations visant à démontrer sa capacité d’écoute sur les réseaux sociaux. La compagnie avait notamment offert des cadeaux personnalisés à ses voyageurs, lancé un concours permettant aux fans facebook de s’afficher sur la carrosserie d’un de leurs avions, ou encore organisé une dance party en vol grace à Twitter. Une marque qui ne cesse de nous surprendre par son approche créative des medias sociaux.

Les vidéos : http://www.youtube.com/user/KLMRoyalDutchAirline

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LE WWW.DE LA SEMAinEinForM : TUrninG DATA inTo MEAninGLe AMDM - Adobe Museum of Digital Media - est un musée en ligne destiné à conserver et exposer dans des galeries virtuelles le travail d’artistes des supports numériques, designers, vidéastes ou architectes. Lancé il y a plus d’un an par Adobe, cette initiative a permis à l’éditeur de logiciels graphiques de s’asseoir encore plus confortablement sur le territoire de l’esthétique digitale (DP n°25).Comme un musée traditionnel, ce musée vit avec les artistes dont il assure la vitrine, donne des rendez-vous autour d’invités, nous conduit à nous interroger sur la façon dont l’art influence la culture et la société. La dernière exposition en date est issue d’une collaboration avec Thomas Getz, rédacteur en chef du magazine Wired. ‘Inform : Turning Data Into Meaning’ est une sélection d’infographies, ces graphismes et animations qui présentent les données chiffrées de façon esthétique et conviviale. La vision de ces oeuvres nous permet de comprendre en quoi la façon de présenter les statistiques influence directement la compréhension que l’on en a.

Le site : http://www.adobemuseum.com/

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LA ViDéo CULTEASoS : Clic. Dance. Shop.

ASOS, e-shop de prêt-à-porter britannique, connaît un succès phénoménal. A la fois dénicheur et pourvoyeur de tendances, la marque s’est imposée comme l’incontournable compagnon de l’apprenti hipster. Face aux concurrents du textile à petit prix (H&M, Zara, Topshop…), ASOS a un avantage : un réel capital sympathie auprès de la communauté mode web, qui s’est construite et a grandit à ses côtés. La marque doit cependant constamment se renouveler pour satisfaire une clientèle de prescripteurs, tout en s’ouvrant à un plus large public. Pour sa première grosse campagne digitale , ASOS était donc attendue au tournant. Son vecteur de communication : la danse. Cela tombe bien, c’est la tendance publicitaire de la rentrée.

A l’heure où les modeux peaufinent leur look sur des tumblr suédois, ASOS vient rappeler que la mode, comme dirait Iam, « ça vient de la rue ». Sur fond de dub-step, influence musicale publicitairement peu exploitée, les danseurs-stars comme Lil Buck et Baby Bang crèvent l’écran pour un effet viral garanti.Mais ASOS Urban Tour, c’est aussi un site web articulé autour d’une vidéo interactive. L’internaute part à la découverte des tendances de Londres, Paris, Berlin, New York et Los Angeles. Chaque ville est représentée par des danseurs habillés à la mode locale. L’internaute n’a qu’à cliquer sur le vêtement du danseur pour obtenir toutes les informations sur l’article et le commander en ligne. Si l’interactif fait encore trop souvent office de gadget, ASOS parvient à concilier l’utile et l’esthétique. Normal, c’est dans l’ADN de la marque.

Le vidéo : http://bit.ly/ro9TYTLe site : http://www.asos.com/urban-tour/

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10 milliardsC’est le nombre de posts publiés sur Tumblr

depuis la création du service

Source : TC, juillet 2011

inCroyABLE

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_Tokyo Game Show 2011_Le Tokyo Game Show est un salon du jeu vidéo ayant lieu tous les ans à Chiba, près de Tokyo. Si L’E3 à Los Angeles est le plus grand rendez-vous international, le TGS reste une référence pour l’industrie vidéoludique japonaise. Il signe cette année sa meilleure performance, attirant près de 225 000 visiteurs et 50 000 journalistes du 20 au 23 Septembre. L’événement aura été marqué par l’importance grandissante du jeu vidéo mobile. Le développeur Square Enix a notamment annoncé l’adaptation de ses titres phares (Final Fantasy, Chaos Ring) ainsi que des créations inédites pour l’Android market.La nouvelle console portable de Sony, la Playstation Vita, était également au centre de toutes les attentions. Elle sera disponible le 15 octobre au Japon, alors qu’aucune date de lancement pour le reste du monde n’a été communiquée (on parle de courant 2012). Néanmoins, les plus impatients chercheront certainement à importer la PSVita nippone, puisque la console sera totalement dézonée.

_Burberry lance le premier ‘tweetwalk’_Avec Burberry, le luxe se démocratise plus que jamais sur les réseaux sociaux. A l’occasion du défilé printemps/été 2012, la marque britannique s’est associée avec Twitter pour lancer le premier ‘Tweetwalk’. La communauté mode, historiquement très présente sur le réseau social, a ainsi

pu découvrir les coulisses du défilé et les looks avant même que les mannequins ne foulent les podiums. En parallèle, le défilé fut retransmis en HD sur la page facebook de la marque britannique. Enfin, le populaire photographe Mike Kus fut chargé d’animer le compte officiel Burberry sur Instagram (réseau social de partage de photos). En comparaison, pendant cette Fashion Week londonienne, les autres marques de luxe donnèrent l’impression de ne pas exister sur le web.

_Google+ ouvert au grand public_Après 3mois de test, le réseau social de Google s’ouvre au grand public. Toute personne disposant d’un compte Google (une adresse gmail par exemple) peut désormais s’inscrire sur Google+. La firme de Mountain View a pris le soin de faire cette annonce à la veille du F8, la Conférence des développeurs de Facebook. Google en également profité pour lancer quelques nouveautés, comme l’apparition d’un moteur de recherche interne ou la possibilité de travailler en collaboration sur un document via Google Docs. Après un départ fulgurant (25 millions de membres en moins d’un mois), l’engouement autour du réseau social déclinait.

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