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Si. Pierre, Aghairev, Pinna, Attachai...COMBATS - REPORTAGES - ACTUS

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il SOMMAIRE

HARU KURAMO

WERTOW T EIXEIR

EKA _ JUNK• • I Ml. ,fl.H£» Wfl.

FOUPA-POKAM

GUIDE DU PRATIOUAWT

AÏS AUSSI...P. 54 P.

p. 84 mr TP.94

RETROUUEZLE PROCHAIN NUMERO DE AUEC LE DUD, EN KIOSQUE LE 30 AURI

4- BfâfflflÛ&BUSHIDO7377-AVRIL2009

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Surnom

Tel un félin, Nariharu Kuramotodissimule l'endroit où il veut frapper

en montrant son dos à son adversaire.

réputatùamis etJapon, s

11 existnippordépasexiste

véritable an;Kuramoto.Je l'ai rendgrâce à Kai»Au Japon,

ipable de•amoto ».mots rm

irsque j'aii m'a fraf

lyarna. En;igueur d'uilégage deichnique 01n se dit quilort ! Lorsc

ivait les Ices et iniculièrer

Nariharu Kuannées au tKyokushinkcof fi ci elle merélèves de sede Shukikai.

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Surnommé « Lethal Weapon » ou l'arme mortelle

NARIHARUKURAMOT« SEUL M'IMPORTELA RÉALITÉ DU COMBAT »Nariharu Kuramoto est un dur, l'un de ces combattants devenus maîtres qui se sont forgés leurréputation dans les duels « underground » d'antan. Formé par les maîtres Nakamura et Ishiyama,amis et concurrents d'Oyama, Kuramoto Senseï est un homme très populaire et très respecté auJapon, surtout depuis qu'il a enfin accepté de s'exprimer publiquement en 2000.

Par notre envoyé spécial au Japon, Sylvain Guintard > Photos : S.G.

Il existe aujourd'hui encore un vrai guerriernippon, un maître d'armes naturelles quidépasse nos entendements, tant le fait qui!existe au vingt et unième siècle relève d'un

véritable anachronisme.,. C'est le maître NariharuKuramoto.Je l'ai rencontré pour la première fois en 2003,grâce à Kancho Sugihara qui dit à son propos :«Au Japon, je ne connais qu'un seul individu qui soitcapable de tuer à mains nues, c'est ShihanKiiramoîo ». Dans la bouche de Kancho Sugihara,ces mots me font l'effet d'une bombe atomique...Lorsque j'ai vu Kuramoto pour la première fois, cequi m'a frappé, c'est sa ressemblance avec Sôsai

Ensuite, c'est l'énergie féroce (onryo, lad'un envoûté disent les nippons) qui sede ses mouvements lorsqu'il montre une

technique ou effectue une démonstration.On se dit que le voir vraiment combattre, c'est voir lamort ! Lorsqu'il me prit les poignets, je sentais qu'ilpouvait les briser comme des allumettes entre sespouces et index, d'une simple pression et j'ai les osparticulièrement résistants...Nariharu Kuramoto fit régner la terreur pendant desannées au travers des « duels underground » entreKyokushinkai, Kendokai et Shukikai, même si,officiellement, Sosai Oyama avait interdit à sesélèves de se battre contre des élèves du Kendokai etde Shukikai.

« LA PUISSANCE EXPLOSIVEEST PRIMORDIALE »

En 1987, Kuramoto Shihan fait une démonstrationpublique de casse qui laisse pantois le petit mondedu karaté full contact japonais en brisant des noix decoco, des cylindres de béton et en tranchant à mainsnues des barres de bois de plusieurs centimètresd'épaisseur tenues dans l'autre main...Lorsqu'on lui pose la question : - Qu'est ce quicaractérise le style Shukikai de karaté ? » II répond :« Le Shukikai n'est pas un style particulier de Karatémais une organisation qui regroupe des pratiquantsde karaté pour qui la puissance explosive estprimordiale. Pour moi le karaté est un et tous lesstyles ne sont que les facettes d'une même réalité !En démonstration, je réalise des casses mais lesexécuter sur des individus musclés, en mouvement,portant une épaisseur de vêtements, est une autrepaire de manches... »

Senseï, pouvez-vous vous présenter ?J'ai commencé le Karaté dès l'âge de dix ans, toutd'abord par le traditionnel puis très vite, je m'inté-resse au combat à travers le « karaté réaliste »,non sportif du maître Ideo Nakamura et je deviensson disciple.Au bout de vingt ans, avec la recommandationde Nakamura, je pars étudier avec un autre

1950 Naissancele 5 avril à Kobé(Japon)

grand maître : Ishiyama Shihan.Les maîtres Ishiyama etNakamura sont des amis deMasutatsu Oyama, lis étaienttrois amis au sanctuaire deMitsumine pour effectuer uneretraite de mille jours. C'étaitun des plus importantssanctuaires du Shugendo aunord de Tokyo (Edo) à l'époqueféodale !Oyama y restera une année etses deux camarades irontjusqu'au bout (plus de troisans) et créeront à leur des-cente de la montagne deuxautres méthodes : le Kendokai(la voie du poing) pour Naka-mura et le Shukikai {l'énergiedu poing) pour Ishiyama. Ce ne sont pas des écolesau sens traditionnel mais des groupes d'étude et detravail.

« RENFORCER LESPOINTS FAIBLES »

Quand avez-vous commencé à enseigner votreméthode ?En 2000, parallèlement à ma profession de masseur

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INTERVIEW

« POUR ACQUERIR« LA TOUCHE QUITUE », IL FAUTS'ENTRAÎNER DURET FORT, JUSQU'AUBOUT DES ONGLES »

chiropracteur pour les lutteurs professionnels desumo, notamment le Yokozuna Akebono, j'ouvre uncours de « Jissen karaté » à Tokyo : Kuramoto-Juku.A cette époque, j'effectue un véritable virage dansma façon de concevoir les arts martiaux.Moi qui maîtrise l'art de toucher les points faiblesdes adversaires, je vais désormais consacrer ma vieà renforcer les points faibles des personnes qui lesouhaitent. Je mets mon art au service de mesélèves et j'ouvre mon cabinet médical à toute sortede patients.

Qu'est-ce qui différencievotre karaté des autres styles ?Pour différencier les styles entre eux, les uns(les traditionnels d'Okinawa et ceux d'associationsjaponaises) parlent de Karaté-do en insistant sur latradition et le chemin à parcourir.Les autres dits « modernes » parlent de Sudomékaraté et d'Ataérou- karaté, le karaté de non contactou de plein contact. Les deux se situent dans unevision du karaté sportif, donc pas réaliste, avec unrèglement lors des rencontres sportives. Les unsdoivent arrêter leurs coups ou porter des protections.Les autres, comme ie Kyokushinkai, le Byakurenkai,etc. . . n'ont pas le droit de toucher la tête, la colonnevertébrale, certains points vitaux, les articulations.C'est la même chose pour le kick-boxing, le K-1 oule Combat libre, qualifiés à tort de « Shogo-kakutogi » (combat total) ,Les journalistes japonais aiment engager despolémiques sur qui est le plus fort ? Celui qui peutprojeter, possédant des techniques au sol, ou celuiqui n'a que ses poings et pieds. . . Mais c'est un fauxproblème ! Il y a aussi des luxations, des clefs et desprojections dans ie Jissen-karate-do, le karaté-doréaliste. C'est ce karaté-là que j'enseigne !

NE SONT QUE DE BEAUXPARLEURS ! »

Un Karaté de self défenseen quelque sorte ?Je qualifie mon karaté de « dô » car c'est un chemin,celui de la connaissance de soi, de ses possibilités,de ses limites ! Mais attention, au Japon, beaucoupparlent de « karaté traditionnel » en s'opposant aukaraté sportif par refus de ia compétition. Ils ne sontque de beaux parleurs ! Ils craignent la compétition,le combat ; que les coups soient retenus ou non ! Ilsrefusent toute forme de compétition, se réfugientdans l'étude des Bunkai et veulent leurs conceptions

26 -ŒâmSiïÊBUSUIDO 1377 - AVRIL 2009

plus réalistes ; parfois même ils font dela self-défense,.. Mais une self-défensebasée sur la réponse face à une sollicita-tion agressive ne peut être efficace. Uneself-défense efficace, c'est une attaquefulgurante par anticipation... !De surcroît, qui peut passer dix annéesde sa vie à se forger les mains et lespieds pour en faire des armes mortel-les ? On ne tue pas à mains nues unepersonne aussi facilement qu'on le dit, àmoins qu'elle soit malingre et chétive !

Vous abordez ici la connaissance des pointsvitaux ?Les Asiatiques n'ont jamais enseigné l'art mortel dukaraté aux Occidentaux. Ils l'ont toujours gardé poureux. Et puis quels sont les Occidentaux qui auraientpu faire preuve de la patience nécessaire pour avoirla technique nécessaire ? Connaître les points vitauxn'est pas suffisant ! Il faut savoir comment passer àtravers les masses musculaires ou les vêtementsd'un athlète entraîné ; à travers la musculature d'uncombattant véritable... C'est moins facile qu'il n'yparait de tuer un guerrier à mais nues.La technique de la touche mortelle marche sur descorps chétifs ou malades, pas sur des corps entraî-nés de véritables sportifs ou d'hommes de guerre.C'est comme le mythe de Superman, de Batman

Begin... Les arts martiaux véritables sont faits poilet par des hommes matures et entraînés qui livre1!des combats contre des individus en pleine posseJsion de leurs moyens et non contre des personneayant des déficiences physiques.

« LE KARATÉ QUEJ'ENSEIGNE N'ESTEN AUCUN CAS UN SPORT »

Qu'entend-on par Ichigeki Isatsu, expressiontrès prisée des combattants de Kyokushinkai(« frappe ou touche mortelle »). Pouvez-vousnous expliquer ce que cela représentevéritablement ?Ces questions ont déjà trouvé leurs réponses par =;passé lors des duels qui opposèrent les meilleurs!

© à® Dans sonDojo, Nariharu

Kuramotodémontre, à travers

une applicationavec un bâton

long, qu'un coupde poing direct se

travaille comme uncoup de pique delance. On peut lui

faire confiance,lui qui a creusé

la questiondans les duels

« underground ».

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IRT

, expressionyokushinkai'ouvez-vous

représente

© NariharuKuramototravaillequotidiennementla stimulationsanguine desKento sur unmakiwara souplede fabricationartisanale.

éléments du Kyokushinkai, Kendokai et Shukikai !Pour acquérir « ia touche qui tue », il faut s'entraînerdur et fort, «jusqu'au bout des ongles». Vitesse,timing, précision, puissance sont des facteurs àmaîtriser. Le karaté que j'enseigne (s'il comporte unaspect sportif dans son entraînement) n'est enaucun cas un sport, mais une forme de combat !Le renforcement musculaire, l'étude des pointsvitaux, l'anaîomie et la morphologie sont des chosesimportantes, mais l'acquisition des mains forgéescomme des lames de sabre reste primordiale.L'endurcissement véritable des zones de frappe nese fait pas avec un makiwara normal, de typed'Okinawa, qui provoque des rhumatismes.Les gens d'Okinawa frappaient ces planches pouracquérir rapidement les déformations osseuses (quirendaient rapidement insensibles) pour souventmourir à la guerre, avant 40 ans. Ce n'est pas cegenre de préparation qui est recommandé pour seforger des armes naturelles à notre époque.

puissance etdétermination,Kuramoto Senseïtravaille omoteshuto puis urashutosursonmakiwara ;un travaild'endurcissementqu'il effectueplusieurs milliersde fois parséance.

« DES EXERCICES SIMPLES ARÉPÉTER TROIS MILLE FOISPAR JOUR »Pourquoi et comment acquiert-on la célèbremain de fer ?Parce que certains individus ont des muscles plusdurs que des murs, si vous envoyez votre poingcontre eux, il faut être sûr qu'il ne finira pas en millemorceaux. Lorsque vous agrippez, amenez au sol,il faut être sûr que votre poignet est assez résistant.On ne se sert pas de son côté droit comme de soncôté gauche. On ne frappe pas à droite comme àgauche car l'anatomie du corps humain est différenteà droite comme à gauche. On aura beau frapper surles muscles, si ce sont ceux d'un sportif ou d'unhomme de guerre, c'est vain !... Il faut toucherles tendons, l'endroit ou les muscles s'attachent,connaître le point faible des os, les veines etartères, etc.,. Il existe des exercices simples qui, si

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w*

« LES MAINS DOIVAVOIR L'ÉPAISf

ET LA RUGOSITEUE*PATTES D'UN OURS ! »

3000 Gyaku tsuki, sans force aucune, dans un sac de toile de jute contenant des lentilles séchées. Kuramoto Senseï s'y astreint tous les jours.

- AVRIL 2009

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vojs les répétez trois mille fois par jour durantplusieurs années, peuvent accroître votre puissance.Mais en a-t-on vraiment besoin à présent ?Entraînez-vous à briser mille baguettes en bois tousles jours, en la tenant entre vos doigts et en larompant avec le bout de votre pouce de la mêmemain, afin de durcir l'extrémité de celui-ci et vousacèrerez une arme capable de crever un œil, ouperforer une gorge ! Pour obtenir un « gant d'acier »,une « patte d'ours », une main dont l'épaisseur dechair accrue vient protéger les métacarpes, les

(rempli de gaines séchées), plus de trois mille foispar jour. Ensuite, massez votre main et tibias avecune pommade !

Pour le travail mental avant un combat, quepréconisez-vous de faire ?Pour le rnentai, je préconise de s'asseoir en tailleursur une chaise conçue spécialement dont le plateaufait 30 cm de côté, juste de quoi poser la pointe desfesses. Elle doit faire 1,50 m de haut. Ecrire le nomde la personne à combattre sur un papier et le lancer

« LES ASIATIQUES N'ONT JAMAISENSEIGNÉ L'ART MORTEL DU KARATÉAUX OCCIDENTAUX »orteils et les tibias qui pourront briser les os,entraînez-vous, sans force, en laissant tomber votremain, ou envoyer votre tibia dans un sac de jute

sur !e sol, devant soi, Fixer intensément ce papierdurant plusieurs minutes ou plusieurs heures, sansvaciller assis du haut de la chaise ! Vous verrez

comme c'est difficile de tenirlongtemps..,Il existe d'autres instruments,comme des bottes de bam-bous fins liées entre ellespour constituer un poteau defrappe souple. Car c'est dece conditionnement qu'ils'agit... Tuer n'est plus dansla nature de l'homme ; mêmeen self-défense. Mon dojoest rempli de ce genre d'ap-pareils indispensables au« Jissen-karaté-dô » et vousdevez les construire de vosmains, ils n'existent pas dansle commerce.Ce type de connaissancesmartiales ne peut (ni ne doit)faire l'objet d'un enseigne-ment de masse. Comme un-tueur professionnel construitson arme personnelle, celuiqui s'engage sur cette voiene doit compter que sur lui-même. Compétitions et gloirene sont pas pour lui !Si vous voulez savoir si votreprofesseur ne vous ment paslorsqu'il prétend faire duJissen-Karaté, regardez sesrnains et ses poignets...A défaut de ne pas savoir liredans ses yeux, elles doiventavoir l'épaisseur et la rugosi-té des pattes d'un ours ! Il n'ya pas de mystères ni de sor-nettes à raconter. Le seulsecret, c'est la rigueur del'intensité que vous mettezdans la pratique quotidienne.

Quel est le but de votrerecherche aujourd'hui ?Je travaille et j'étudie surtout sur les façons dedévelopper la puissance chez autrui. Auparavant,je travaillais à savoir comment faire pour diminuer lapuissance d'autrui afin qu'il ne puisse plus bouger.Je cherche désormais comment lier la réalité ducombat selon ces deux axes. Sans remonter trèsloin, si on prend le karaté et que l'on évoque lesmaîtres du passé et leur puissance, je me suisdemandé pourquoi, comment et par quels moyensils avaient acquis cette puissance. Depuis trèsjeune,seule m'importe ia réalité du combat. J'ai essayé detrouver ce que je recherchais, que mes yeux nepouvaient voir, mais que je ressentais commeprimordial ! Donc si on disait que telle techniquen'était plus réalisable de nos jours, j'essayais detrouver un chemin de pratique pour la réaliser...Si on me dit que l'on ne peut grimper telle montagnepour telle raison, je m'efforce de trouver un chemind'accès pour le sommet. La « montagne » est unemétaphore pour qualifier un sentier difficile àparcourir.

Vous ne comparez doncplus les styles entre eux ?Je ne compare plus les styles entre eux et j'accordeavant tout de l'importance aux combattants.Au début de la pratique, le novice compare lesstyles ; l'initié accorde de l'importance aux hommesqui délivrent les coups. C'est ce manque dereconnaissance de la valeur d'un combattant quientretient les querelles entre les écoles.Noyés par des choses non essentielles, lespratiquants ne voient plus, ne sentent plus ce qui faitl'essence de l'art martial. Ils sont noyés sous unepluie d'informations, de dires, de pensées d'untelqui font qu'ils ne se centrent plus sur l'essentiel.Ils s'éloignent de l'arî martial sans s'en apercevoirou c'est l'art martial qui s'éloigne d'eux.,.

(voir contact p. 98)

© Nariharu Kuramoto en Jodan Gamae,posture haute pour délivrer un omote shutoaprès un contre de l'intérieur du poing avant.

® Sylvain Guintard en compagniede Kuramoto Senseï