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Études de M8 E mmaxukl POUSSATRD, avoué à Senlis, 35, rue du ChâteCi, et de M* Georois DEGAS, huissier à Senlis, 48, rue de la Républiq'lie. totalité ou jsise à Chan- |5 , pouvant nent d’En- | courses ou S'adresser à niable, pour Ijuillet 1908, |ib«*rge, sise r d,'Hôtel tout coin- f F erry, no- ilson et 3 et Bois, à par adju- [M* R ic h a rd , pce. le Di- heuil. en la Elevée, pour ■avilie-Ver- pi. Léopold kîre heures. * C h â te a u les com mence et de i de 7 hec- Ide l'Oise, à l o t ; 2* en- Jpriété, sise ■ontpoint, à tprêcêdeate, iron. licaard, no- i, ':n un seul ^t- re de M* le Di- ; heure, ambly, au cause de avenue ^n.anche 15 r le minis- [ et Bols. 1 Esserent. frmoisy et Jication pu- unanche 15 J relevée, à î des salies Rtere de M* • de No- ars 190s. le :ni- Jre à Creil. |t- sur-Oise, deux. Nogcnt '• Suif», , Chariot, oHiliers, Bu >lique et js-ation de le.ice, rue fcrson fils, E-r rs 1908, par •nchères i Marché. ■ • U'es du V'asseur, [ enchères i .Marché, M • h e u r e M8 Vas- Beau Mobilier, Billard ei Ae cesM>ires et Matériel de Peintura, dé pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur de peinture, épicier, marchand de vîns et hôtel meublé h Saint-Firmin, à vendre aux enchères publiques.,à Saint-Firmin, au domicile de M. Maillet, le Dimanche 15 Mars 1908, à une heure de rélevée, par le ministère de M* Georges Degas, huissier. DEMANDES ET 0FF11ES Un ménage sans enfant demande place garde propri été et à toutes mains, remme concierge et basse-cour. — Bonnes référé nce. S’adr. au Bureau du Journal- 1283 AMI?" On demande u n e l i o n n e pour soigner personne assez âgée. S’adr. au Bureau du Journal. 1321 flBgr* On demande une bonne de 16 à 18 ans, pour la cour et la maison. S’adr. au Bureau du Journal. Î320 flMg"’ J a r d i n i e r , âgé de 45 ans, veuf, sans enfant, bien au courant du métier et sachant conduiré che vaux, demande place. S’adr. au Bureau du Journal. 1322 MBEP* Bon b e r g e r est demandé pour fort troupeau d’élevage et en graissement. — Gages : 1.400 francs par an avec logement et grand jardin près la ferme. — Inutile de se pré senter sans bonnes référeuees. S’adr. au Bureau du Journal. 1325 On demande n n jardi nier chez M. Alfred LEMOINE, Ferme de Bazoches, à Duvv (Oise). 1326 ■BgP" On demande une bonne cuisinière munie d’excellentes références. S’adr. au Bureau du Journal. 1333 On demande un b'«ra charretier dans une ferme des environs de Senlis. S’adr. au Bureau du Journal. 1334 N C " On demande une bonne de 25 à 30 ans, au courant du ser vice. — Excellentes références exi gées. S’adr. au Bureau du Journal. 1336 BÇ* Jardinier marié de mande place maison bourgeoise, femme concierge et basse-cour. S’adr. au Bureau du Journal. 1339 m g"" Bons agents actifs et sérieux sont demandés partout dans l'arrondissement de Senlis pour re présentation de toutes les branches assurances. — Fortes cornmissioEs. Ecrire à M. Henri ALLAIN, agent général à Senlis (Oise). 1344 Jardinier, âgé de 28 ajis, désire place de garçon-maître. — Bonnes références. S’adr. au Bureau du Journal. 1345 ■Ufer" Me MÉRELLE, huissier à Senlis, demande u n p e ü l c l v r c . M. PRÉVOST, cultivateur à Aoger-Saint-Vineent, demande un bon charretier pour mene’r la deuxième attelée de chevaux, surtout avec de bonnes références. — Loge ment avec jardin. -X351 Véritable Teinture des Ménage» Pour rendre neuf» tes Vêtementt LA K A B I Ü N E Adoptée par les Personnes économes Vendue dans le monde entier ESSAYEZ-EN! Le Paquet: 40 Centimes. if%F*îS -f- « L. A . . 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Q uestion d ’O ptique. i Les principes sont bons ou mauvais; les théories sont vraies ou fausses, dangereuses ou excellentes. En poli tique les hommes qui partagent des idées fausses ou veulent les propagei s’évertuent, a l’aide d habiles discus sions de raisonnements subtils, de démontrer qu'ils n’ont que d excellents Principes et que leurs théories, mises en pratique, constituent bien la poli tique idéale capable de doter le paj s d’une paix, d’une prospérité sans égale et d’améliorer les institutions du régime soi-disant démocratique. Les blocards et les radicaux-socia listes, dans l’art d’altérer la vérité, de recourir aux subterfuges les plus habiles sont évidemment passes maîtres depuis longtemps. Il y a tou tefois, dans leurs tactiques, des la- riantes qui les mettent eu contradiction avec eux-mèmes. Ils paraissent les seuls à ne pas s'en apercevoir. Voici l’ancien ministre de la guerre, M. Berteaux, qui fait beaucoup parler de lui en ce moment, non pas seule ment par son tempérament bouillant mais par son indignation-exubérante h l’égard do la délation, dont il serait, paraît-il, en ce moment, une des victimes. M. Berteaux fait partie de cette phalange d'amis que _compte M. Combes eCcomme ceux-ci, il estime que le ministère Clemenceau a assez duré. Voilà au fond la vérité. Nous ne raisonnons plus ici sur des questions de principes, nous en sommes, avec les gens qui détiennent .le pouvoir et ceux qui l'ambitionnent sur la question de « lâchasse aux por tefeuilles ». Ce n’est pas la course au clocher, c’est la course à l'assiette au beurre. , , L’incident des deux attaches du mi nistère qui a fait naître celui de MM. Berteaux et-Mandel, démontre sans doute que le Cabinet Clémenceau pos sède sa police secrète, des brigades de mouchards qui fonctionnent aussi bien dans les couloirs de la Chambre que dans les préfectures et ehefs-lieux de canton. - Nous nous sommes toujours éleves, avec la plus légitime indignation, con tre le système des fiches et la délation elle-même, qui a eu de si beaux jours sous le ministère Combes. M. Berteaux trouve, aujourd'hui, ces procédés hon teux, immoraux, indignes d'une véri table démocratie et d'un pay? qui a le ' souci de respecter les sentiments d’honneur et de loyauté dont les ci toyens doivent être fiers. Que ne l’a-t- il déclaré plus tôt. Nous ne blâmerons pas M. Berteaux dereconnaitretoutce qu’il y ad’odieux dans cette sorte de filature, qui ne respecte même pas les parlementaires ! Mais pourquoi ne disait-il rien quand il appartenait ’a un gouvernement qui tirait le meilleur parti de la déla tion savamment combinée par le ministère Combes qui incitait ses fonc tionnaires à se moucharder les uns les autres? Pourquoi, à cette époque contenait-il son indignation? Tout simplement parce qu'il ne voyait pas les choses par la même lorgnette. La loi de la Séparation, si justement appelée loi de spoliation, confection née et votée sous le ministère Combes, a donné heu, dans l'application, à des nombreux incidents, ’a de vives protes tations et, aujourd’hui même, la confis cation des biens des congrégations ne rencontre-t-elle pas, dans son applica tion, le plus fervent des détracteurs dans la personne même deM. Combes? Quand il ôtait aux affaires ces lois lui paraissaient fort justes, fort équi tables^ c’était des lois de progrès. MM. les liquidateurs en prenaient déjà h leur aisé mais tout leur semblait per mis * . ils avaient 1 approbation, tout au moins tacite de M. Combes. Depuis qu il a quitté le pouvoir, son sentiment h cet égard, s’est modifié du tout au tout et M. Combes s’attache à démontrer ce qu’il y a d’inique, d’injuste dans les opérations de certains liquidateurs. Comme chez M. Berteaux nous cons tatons ce revirement qui s'est produit dans l'esprit du défroqué et qui s ex plique de la même façon, par le seul fait qu’il n’est plus au pouvoir, AvecM. Clémenceau les exemples sont plus nombreux et plus frappants_ : le «tombeur de ministères», depuis qu’il s’est emparé du pouvoir, a préc-i- sèment recours à tous les procèdes qu’il a si vivement combattus Jorsqu il appartenait, à un titre quelconque a l'opposition. On pourrait, ce qui a été fait d’ailleurs plus d’une fois, lui mettre sous les yeux les articles viru lents qu’il a écris contre les Cabinets qui n’avaient pas le don de lui plaire, Que u’a-t-il pas dit contre l’expédition du Tonkin ? | Aujourd’hui ses [propres arguments ne s’appliquent-ils pas, avec beaucoup plus de raison, contre la campagne du Maroc ! N’a-t-il pas assez fulminé contre un gouvernement au quel il reprochait, lors de 1 affaire du Tonkin, d’engager la France, sans te nir le Parlement au courant des opéra tions. Les procédés qu’il condamnait alors, il les emploie aujourd’hui, avec cette différence, qu'au Tonkin on sa vait où on allait et ce qu on voulait, et qu’on ne marchait pas_ à l'aventure comme au Maroc où l’on entrevoit guère les avantages et les résultats d’une situation inextricable et grosse de dangers pour la France. M. Clémen ceau aupouvoirne voit plus les choses sous le même aspect. La conclusion de ce qui précède, le lecteur peut la tirfer lui-même. Dans les camps radical, radical-socialiste et socialiste, dahs cette trinité de partis qui constituent ce qu’on appelle le Bloc, les questions de principes dis paraissent ou se modifient, suivant que les hommes sont ou ne sont pas t 'intm-.U çnnérîon-r du ré- au pouvoir. L'intérêt supérieur du ré gime ou de la France cède le pas aux intérêts particuliers, aux ambitions personnelles. Au demeurant, les com- bistes combattent les elémencistes uniquement pour reprendre leur place. Que. demain, ils aient la victoire, ils suivront les mêmes _errements . si chers aujourd'hui à l'ancien « tom beur de ministères ». On ne saurait trop le répéter : cette façon de procéder constitue la pire des politiques; elle désagrège les partis, excite les appétits les plus immoraux, livre les finances de l’Etat à un gaspil lage élionté, suscite les haines des citoyens, fausse les rouages de nos plus belles institutions et confie la direction des affaires publiques entre les mains d'aventuriers qui, sans ver gogne, au détriment des intérêts de la nation et du régime, trafiquent avec leur mandat au profit de leurs intérêts personnels. La politique des blocards c’est la chasse aux portefeuilles, aux sinécures, à l’assiette au beurre. Leur rayon d'optique va.ie suivant leur situation personnelle : quand ils dé tiennent un portefeuille, tout est pour lé mieux dans le meilleur des mondes : quand ils le convoitent, tout leur parait exécrable, abominable. Voilà pourquoi leur tactique, leur politique fourmillent de contradictions. Ils ne sont d'accord que sur un point, celui de leurrer le peuple. Leurs que relles et leurs dissentiments n'ont rien a voir avec ies questions de principes. Pour arriver au pouvoir, les uns comme les autres, sont tout prêts à brûler ce qu’ils ont adoré la veille. L oup BERTROZ. L’Aleool industriel. La commission des alcools d'industrie, réuH nie sous la présidence de M. Iïibot, a procédé à un échange de vues sur l’encjuôte il lacjuelle elle vient de procéder en vue de l’utilisation de l’alcool dans les diverses industries. Elle a nomme une sous-commission compo sée de MM. Augé, Cazeneuve el Delpierro, dé puté de l’Oise, chargée de présenter un résume de cette enquête. i . Sur la proposition de M. Klotz, elle a décide de communiquer ce résumé au gouvernement, en le priant de faire connaître ses vues sur les diverses questions soulevées par cette en quête. Une mauvaise farce. Samedi après-midi, on constata avec sur prise l’absence à la barre d’une des chambres de la Cour, où il devait plaider, d’un des avo cats les plus estimés et les plus respectés du Palais. Son secrétaire le rechercha vainement au vestiaire, à la bibliothèque, partout. Les hypothèses les plus diverses et aussi les plus invraisemblables étaienl émises, quand un garçon de bureau, en se rendant au lavabo de la bibliothèque, entendit des appels désespérés provenant des water-closels. La clef était sur la porte; il n’eut qu à la tourner pour libérer le « séquestré ». Celui-ci n’était autre que l'ancien membre du cqnseil de l'Ordre. Le malheureux était à moitié as phyxié. Il était resté près d’une heure dans ce local privé d’air. Aussi dut-il rentrer immédia tement chez lui sans avoir pu plaider. Une enquête fut aussitôt ouverte pour de- couvrir l’auteur de cotte farce de mauvais (goût. Elle n’aurait donné aucun résultat si son au- leur — un jeune avocat — ne s’en était yanlç. Il sera vraisemblablement, tout au moins, l’objet d’un blâme. ------ Une avalanche. Samedi soir, ù cinq heures, une avaljanche considérable a surpris les ouvriers qui. ser aient du tunnel de la iigne.de Montanvert, près Chambounix. j Ln son- ouvrier, Vicino Jordano, emporte >ar le déplacement d’air,- n’a pu s’enfuir. Les La Guerre au Maroc, Le combat do dimanche. Un nouveau combat a eu lieu dimanche dernier près de Sidi-Abd-el-Kerin. Le gé néral d'Amade a mis en déroute une né haila de Mzab et de M'dakra. Le combat été très vif, mais nos -pertes sont moins fortes que dans, les précédents engage ments : un tué et sept blessés. Dans Sud-Orannis le général Bailloud a toutes les précautions pour parer i attaque toujours possible vers Figuig. 1= B.X2S; DBS IITSt TXONS Annonces légales .................. À. 0,20 c. la ligne. I Réclam, ........................... Annonces volontaires ................. 0,25 I Faits «i-. ....................... ON N’ACCEPTE PAS D'iNSERTION AÜ-nESSOÜ. 1 FRANC Les . . . --Ül o,so I fr. jes annoncés, rédames, etc., concernant Paris et les Départes its- iont refilés àirècÜHlflti ' , . ^ajtx toreajm da journal. _ f £ m le jbris A l’Étranger. Espagne. Alphonse X III commandeur du Mérite agricole. M. Revoil, ambassadeur de France à Mad rid, accompagné de l’introducteur, des ambas" deurs, est allé dimanche au palais royal mettre au roi le grand cordon de commandeur de l’Ordre du Mérite agricole. *** , Alphonse X III à Barcelone. Le jeune roi d’Espagne est venu hier visiter Barcelone et, malgré les craintes exprimées par certains, il a reçu dans la capitale tle la Catalogne un acci.eil enthousiaste. Sur tout le parcours la population fait à Alphonse une véritable ovation, loulc la ville est pt sée.' Le soir un banquet a été offert par b aux autorités de la ville. M. Hippolyte-Etienne Hamet, maire de Plaillÿ. M. Debeaûpuis Arthur, maire de Lian- court, délégué cantonal. M. Hévin Emile, instituteur en retraite à Tîpurly^ , . Officiers cVAcadémie : Mme Bernovai Hélène, sage-femme à Cornpi ègne. M. Bisy, adjudant au 54° M. Boucheret, adjudant au 54e M. Bulot Théodore, instituteur en re traite à. Croissv.. M.- Cahit Charles, conseiller municipal àCrépy. M. Desmarquet Alfred, maire de Saint- Samson. M. His Lucien, négociant à Chantilly. Mf. Mahieu Ernest, délégué cantonal à Catenoy. M. Roulleau, capitaine au 51e. .J autres ont été blessés. , Après trois heures de recherches, Vjcino a été retrouvé vivant; il a la jambe cassée. L’avalanche est venue jusqu'à la. première maison du village des Mouilles, mais elle n y a pas causé de dégâts. Mariages baroques* L’Amérique ne sait plus que faire pour dé montrer son originalité à la vieille Europe. On vient de citer des unions faites dans une auto mobile marchant à 75 à l’heure par un pasteur vétéran. . - ! Plus'fort est un mariage célébré tout der nièrement dans.une cloche.à plongeur. La noce cl le pasteur avaient revêtu des vê tements de caoutchouc cl c’est une gracieuse casquette de caoutchouc que la mariée avait sur la tète à la place de fleurs d’oranger. Cela se fane moins vite... L’hygi&ne à la Caserne, Le sous-sccrélaire d’Elat à la guerre adresse aux généraux commandant les corps d'armée une circulaire relative aux conditions de loge ment des réservistes et territoriaux. Nous en extrayons les recommandations suivantes Les généraux commandants de corps d’ar mée sont invités avant chaque période d’appel' à faire procéder à une révision des locaux affectés par les villes au logement des ijéser- vistes et des territoriaux. Ces locaux dévront toujours être sufl ment spacieux et aérés. Il faut qu ils pu au besoin être chauffés. Avant qu ils ne: occupés, il sera toujours procédé à un nclb et à leur désinfection. La proximité d’une alimentation en eau po table, eau préalablement analysée, l'installation de latrines convenables, la facilité,d’évaciiaLon sam-, ssent ioient >yag Dmpts d’un Ilervé délimlivenieitt rayé. M. Hervé vient d’être définitivement jrayé du tableau des avocats attendu, dit 1arrêt, que « il ne peut être permis à l’avocat d'étaler son mépris dos lois pour lesquelles il doit avoir un respect constant ». des matières usées, la possibilité de pr secours contre l’incendie, feront l’obje examen eltentif du commandement. A lin point de vue plus général, il importe de se préoccuper de l’étal sanitaire des garni sons où doivent être appelés les réservistes et les territoriaux. Si des épidémies sévissent dans ces localités, il sera rendu compté de la gravité de la manifestation suflisamn] temps pour que les ordres nécessaires pu être donnés, soit pour surseoir à l’ordre pel, soit pour diriger sur d’autres placjes les hommes convoqués. BSHOS ïT Election législative. PUY-DE-DOME 2e circonscription de Clermont-Ferrand. Inscrits : 25.625 [ Votants : 19.429 MM. Fabre, républicain de g— 9.627 voixS Cournol, progressiste----- Parassols, soc. unifié----- Cluzel, radical ................. (Ballottage) Il s’agissait de remplacer M. Guyot-Dessai- gne, radical, qui avait été du en 1900 pat 13.268 voix. 6.034 1.934 1.551 Elections au Conseil général. ALGER (4e canton). MM. Iloubé libéral................... 1.384 ELU Serpaggi, radical ............... 1.242 En remplacement de M. Serpaggi, radical, dont l’élection avait été annulée par le Conseil d’Etat: c’est donc un canton gagné par loppo- Sl' 10n* THUIR (Pyrénées-Orientales) MM. Marty, radical viticole 1,302 ELU Pujol, (républicainde g — 403 En remplacement de M. Macena, radical- socialiste. Les funérailles du lieutenant Boulliaut. Le peuple de Paris a fait de splendides fu nérailles à l’héroïque lieutenant Paul Boulhaut, tué au Maroc le 7 février. j 11 était neuf-heures lorsque à la gare le cer cueil fut hissé sur le char. , A ce moment le capitaine Polelat, au nom du I-ministre de la guerre, vint épingler sur les franges du cercueil la croix de la Légion d lion- Les restes mortels du héros ont été salués par une foule énorme. Derrière le cercueil, en rangs serrés, les conseillers municipaux, des parlementaires, ^ MM. Paul -Déroulèae, colonel Rousset, géné raux Dalstein, Canonge, de Lacroix); de Sel- ves, Maurice Barrés, Berteaux, amiral Bien- aimé, Millevoye, etc. Des discours ont été prononcés par Paul DC- roulède, le colonel Rousset, le lieutenant Mach, et le général Prévost au .nom du général Pic- quart. . r Parmi les nombreuses couronnes, on remai- quait celles de Déroulède, de la Patrie Fran çaise, du ministre de la Guerre et celle tressee à Casablanca par les soldats du malheureux officier avec des fleurs du pays, DANS LE DEPARTEMENT Votes :1e nos sénateurs. Séance du vendra,i 6 mars Scrutin sur l'amendement de M. Val lé à l’article la (juridiction compétente pour statuer sur la vente du fonds de commer ce du débiteur saisi), demandant que la compétence soit attribuée au tribunal de commerce et non au juge de référé comme le propose la commission. Adopté par 139 voix contre 107. A voté contre : M. Cuvinot. N'out pas pris part au vote : MM. Dupont et Noël. Election au Conseil d'arrondissement. MARNE (Canton de Bourgogne). MM. Bergé, libéral.................... 1.644 ELU- Larue, radical..................... 1.423 En remplacement de M. Grèque, radical. (Siège gagné). Les ponts il péage. Savez-vous que dans notre démocratie fran çaise, il existe encore certains ponts qui, pour être livres à la circulation, n’en sont pas moins soumis au droit de péage. On en compte 29 dans ce cas ; 5 dans la Gironde et l'Oise ; 4 en Seine-et-Oise; les autres sont répartis dans différents départements. Les plus anciennes de ces concessions — qui n’en sont pas pour le public, — remontent à 1823: la plus récente est de 1882, pour un pont de la Vienne. Los droits de péage produisent le revenu global annuel de 168.000 fr., et le rachat de ces ponts coûterait près de deux millions. Votes de nos députés. Séance da 6 mars. Scrutin sur l'ordre du jour pur et (interpellation de M. Rouanet relat avances faites aux envoyés du Mal la colonie du Sénégal). Adopté p contre 121 . Les députés de l'Oise ont voté pc L’impôt sur le revenu Scrutin sur l’article 1" du projet de loi relatif à l'impôt sur le revenu. L'article 1er est adopté par contre 43. Ont voté pour ; MM. Baudon deau et Chopinet. Se sont abstenus : MM. Delpierre, tin et Gaillard. XIII voi- : roi Postes et Télégraphes. M. Saux, commis à Senlis, est nommé commis au Congo. M. Carrère, surnuméraire à Beauvais, est nommé surnuméraire à Pau. M. Bert, surnuméraire à Senlis, est nommé surnuméraire à Chartres. Mlle Villa, postulante à Paris, est nom mée à Clermont de l'Oise, employée. Mlle Leinaire, employée àr Compiègne, est nommée employée à Paris. Mlle llouscary, employée à Beauvais, R., P., est nommée employée â Paris. M. Moulis, surnuméraire à N’oyon, est nommé surnuméraire à Paris 113. . M. Bigard, commis ambulant, ligne du Nord, est nommé commis à Noyon. Xii.e Bellier, postulante, est nommee employée à Beauvais, recette ' principale. Mlle Couderc, postulante, est nommée employée à Creil. Nomination rf'Oiïiciers de Sapeurs-Pompiers. Par décret présidentiel du 27 février 1908, sont nommés sous-lieutenant de sapeurs-pompiers : A Beaulieu-les-Fontaines, M. JulesMan- celte. Au Déluge, M. Célestin Blanchard. A Lormaison,.'M. Camille Dupré. A Martihcourt, M. Hyacinthe Boulan- {TCP. " A Thibouvillers, M. llenri Lacour. A Angy, M. Eugène Lebon. A Morlaincourt, M. Marie Planchette. A Neujchelles, M. Louis Morel. ent à issent d’ap Justice de Paix. M. Henry Lefebyre, directeur de la pêche de l’Oise, à Compiègne, vient d’ètre nommé juge de paix à Duclair (Seine-Inférieure). Direction générsiSe des Contributions indirectes, Un concours pour l'emploi de prépos! des Contributions indirectes aura lieu au u-lieu de chaque département, le 21 juin prochain. Peuvent seuls y prendre part les jeunes gens devant avoir au moins vingt ans au 1er octobre de L'année eu cours et ayant moins de vingt-cinq ans. Toutefois, pour les candidats qui justifient soit de servi ces civils pouvant entrer dans la liquida tion d'une pension de retraiie, soit de ser vices militaires, la limite supérieure est reculée au delà de vingt-cinq ans d'une durée égale à celle de ces services, sans pouvoir dépasser trente ans. Les postulants se procureront le pro- , gramme du concours ainsi que la nomein- clature des pièces qu'ils auront à fournir et tous autres renseignements utiles à la Direction des Contributions indirectes de leur département, où. ils devront se faire inscrire avant le il avril. Les listes seront irrévocablement closes à cette date. (Seine), sans domicile, est un individu brun, de moyenne taille* paraissant astu cieux et sournois. Il porte toute sa barbe- Il est accusé d’avoir, dans la nuit du au 29 novembre, pénétré avec escalade qt effraction dans les bureaux de la brasserie de l’Union, située quai d’Amont, à Creil, et d’y avoir pris de l’argent et autres ob jets. Seulement le cambrioleur n’rùt pas de chance, car il fut surpris et arrêté par le comptable, M. Fourmanoir. On trouva sur lui uu portefeuille, un billet de 30 francs, un microscope, et il était muni d'instruments spéciaux. Garde appartient à une bonne et hon nête famille; de l'instant où-il commença à travailler de son métier de garçon coif feur jusqu'à l’heure où il est appelé à ser vir sous les drapeaux on n’a rien à lui re procher. Mais à peine est-il soldat, que Garde commence à glisser sur la pente du mat. Trois fois déserteur, il finit par quitter -la France et on ie voit successivement en Belgique, en Angleterre, en Allemagne, en Amérique, etc., commettant des faits graves qui le font condamner. Pris sur te fait, Garde ne peut qu’avouer. D'ailleurs trois témoins confirment le cam briolage. Apres réquisitoire de M. Magnin et plai doirie de M* Poulet, le jury rapporte un verdict affirmatif mitigé de circonstances atténuantes. La Cour condamne Garde à huit années de réclusion. 'Senlis soosja Teneur Notes pour servir à l’Histilio It Salis. Mars 1795. (Suite). Le 5. ( 26). — Une commission est nom mée pour constater les désordres causés dans nos cours d'eau par le dégel et'Tes pluies ; les deux pouls situés près la porte de Paris (l'un dit de l’abreuvoir, 1autre de la malmaison) sont obstrués par les immon dices et doivent être curés. Il sera dit, le 29 germinal, « que le nettoyage du ruisseau ou égoùt de la vieille Malmaison est ad jugé au rabais, moyennant 8 livres la toise, à deux chefs terrassiers qui s engagent a faire un parfait travail ; les veuves De- lortne et Ledru, dont les propriétés sont riveraines, seront prévenues. Il faut aussi vérifier l’état dans lequel se trouve l’arbre qui sert de bonde aux étangs du G. Pillon, à la Victoire ; dès le lendemain, cet arbre est trouvé en suffisant ctat et ne perdant pas l'eau r. . Le 7 (27). — Le C. Devaux, instituteur, reçoit un mandat de O 70 livres pour :35 écoliers pendant le précédent trimestre. De même la C” Beaucerf, 33y livres pour 85 ccolières. — Etat de lieu du.jaruin du pen sionna; de la ci-.levant Présentation dressé avant l’entrée en jouissance du C. Gouillard, i l'a loué lors de l’adjudica- simpie ive aux n p o u r ,] ar 338 il voix Boufiàn- Bu- Les listes électorales. Dans un grand nombre de communes, les fonctionnaires publics qui arrivent après le 4 février et avant le 31 mars sont immédiate ment inscrits sur la liste électorale de leur nouvelle résidence obligatoire. Cetle pratique étant contraire à la loi et a la jurisprudence de la Cour de cassation, M. Grousseâu, député,'a, par une lettre du 23 fé vrier dernier, demandé à M. le président du Conseil, ministre de l'intérieur, de faire cesser cet abus. . M. Clémenceau vient de répondre a M. Grous seâu qu’il envoyait une circulaire aux préfets pour empêcher ces inscriptions illégales. Veau phénomène. Chez M. Sacre, cultivateur à Bessay (Ven dée), est venu au monde un veau phénomène. Il a sur l’épaule droite un cinquième membre terminé par une main humaine ou simiesque dont les doigts, au nombre de cinq, se termi nent par d'énormes ongles. Il croit normale ment et sera bientôt exposé dans les foires et assemblées. AU PARLEM A LA CHAMBRB Les mauvais instituteurs. Un père de famille de Glaizil (llautes-Alpes), écrit h la Croix : « Un enfant avant par mégarde porté son « catéchisme à l'école, l'instituteur lui a dé- « claré qu'il ne voulait plus voir une pareille « ordure dans une classe ». 3 aos commentaires, n’est-ce pas. Séance du mardi i 0 >r, La Chambre, s’est occupé 1 réintégration de M. Reinach. To sur la demande de plusieurs d eialistes et de M. Berteaux, la tion des fonctionnaires a été 330 voix contre 217, véritable portée au gouvernement. La ré de Joseph Reinach et des officie comme lui est votée ensuite » vées. 'NT ars. icr de la it d’abord, ■putés so- réintégra- votée par loup droit ntégration rs frappés mains le- Séance du 9 mars. Scrutin sur l’amendement de M. Vail lant à l’article 3 du projet de loi relatif à l'impôt sur le revenu ainsi conçu ; « Les revenus sont répartis en huit catégories, dont sept sont imposables. » Repqus,sé par 360 voix contre 138. Les députés de l’Oise ont voté contre. * Scrutin sur le paragraphe 3° (bénéfices de l'exploitation agricole) de 1 article 3 du projet relatif à l'impôt sur le revenu. Adopté par 271 voix contre 240. Ont voté pour : MM. Baudon, Bouffanqeau, Butin, Chopinet et Delpierre. A voté contre : M. Gaillard. Le Ruban Violet, Le ministère Clémenceau vieil de distribuer plus de 2.000 ruban Sont compris dans la fournée po’ Officiers de l’Instruction publique : M. Désiré-Julien-Joseph-Victo trix, de St-Leu-d'Esserenl, pré Conseil d’Arrondissèment de Se M. Fabre, de Lassigny, conse Cour d’Appel et conseiller l'Oise. La perte «tes colis-postaux. Sauf le cas de force majeure, la perte, la spoliation ou l'avarie d un colis postal donne lieu au profit de l’expéditeur, el à défaut ou sur la demande de celui-ci, du destinataire, à une indemnité correspon dante au montant réel de la perte, de l'avarie ou de la spoliation, sans que cette indemnité puisse toutefois dépasser pour les colis ordinaires 1.3 fr., 25 fr. ou 40fr., suivant qu'il s'agit' d'un colis de 3 kilos, 5 kilos ou 10 kilos. On ignore généralement de quelle fa çon cette clause doit être interprétée. Beaucoup de personnes croient qu’elles ont droit, d’office, à l'indemnité maxima de 13 fr., 23 fr. ou 40 fr., suivant le cas. Il n’en est rien. L'intéressé, dans les limites de ce maxi ma, n’a droit qu’au remboursement de la valeur réelle du colis. Si ce colis, de S kilos par exemple, ne vaut que 10 fr., l'indemnité à allouer par la compagnie sera, non de 23 fr., mais de 10 fr. seulement. En revanche, si ce colis a une valeur de 30 francs, ce n'est plus la valeur réelle qui sera remboursée à l'intéressé, mais seulement l'indemnité maximun de 23 fr. C;e n’est pas, d'ailleurs, la seule sur prise que le transport des postaux réserve au public. I encore violets ! ir l'üise : Coqua- sident du dis. lier à la gpnéral do Cour d’Âssises de l’Oise l re session he 1908 '.-s-?: Audience du Lundi 9 Mars. La première session des Assises de l'Oise s'est ouverte lundi à Beauvais. Affaire Gar«le. — Cambriolage à Creil. L'accusé, Jean-Baptiste Garde, âgé de 30 ans, garçon coiffeur, né à Créteil aubergiste, qui tion faite par le District. — Suppression des Comités Révolutionnaires : « Le District notifie un arrêté qui nomme deux notables du conseil à l'effet de dresser l'inventaire des litres, papiers et registres du comité de surveillance, dit aussi comité révolution naire, qui est supprimé par la loi du ai ventôse dernier : pour être, ledit inventaire, déposé au District. Le 8 . (28). — Le conseil proteste contre les prétentions de l'un des chefs de la ma nufacture d’armes de Versailles, qui se présente muni d'une commission du comité de salut public l'autorisant à faire, dans notre région, des réquisitions de grains pour nourrir les ouvriers de ses usines ; on lui répond que la contrée eet menacée de la famine, et ou ïe conduit au District. Du 9 eu 11 (29). — Réparations du pa vage. de l’abreuvoir de la rue de Paris et de quelques rues devenues impraticables. — Le juge de paix prévient qu’il va avoir à juger deux délinquants qui re'èvent de la police correctionnelle ; or, la loi du 3 plu viôse exige qu’il soit assisté par un membre du conseil qui est aussitôt nommé. — Le C. Gucret, l'ainë, « annonce qu’il va s'occ uper d'une éducation libre et volontaire ». - En même toms. la C'" L->louette, institu trice. donne sa démission pour cause de santé, à partir du 1" messidor prochain ; elle n’en reçoit pas moins 304 livres pour 97 écolières durant le précédent trimestre. Avril 1795. Du t3 au 3o germinal an 3 (i'-ig avril). — Sérieuses alarmes relativement aux sub sistances. Ces difficultés dureront plusieurs mois, pendant lesquels les crises se succé deront à intervais irréguliers. Nous analy serons la première et la plus intense. La séance du i3 est tenue à ia société populaire ; il y est question de la disette qui menace. — Surveillance du marché le 1-4 ; arrestation de plusieurs femmes qui ont tenu des propos inciviques contre la distribution des grains et la cocarde natio nale ; l’un des principaux témoins qui dé pose contre elles est le C. Dasignon, table- tior à Chantilly. Le procès-verbal dressé contre les prévenues est renvoyé par le dé partement à la municipalité ; le 11 lloréal, celle-ci consultera le représentant Jacomiu qui ne fora pas d’objection à l’indulgence, « attendu que la conduite des inculpées n’est que le résultat d'une effervescense occasionnée par le besoin ». Le District prend, le 18 , l’arrêté suivant : * La com mune de Senlis sera tenue fournir, pour le marché de demain. 188 quintaux de bled dont la réquisition sera faite sur les 20 cul tivateurs dénommés en l’état ci-ioint ; les quels ne pourront se dispenser de conduire à la halle, chacun la quantité qui IuL est assignée, sous peine d’être poursuivi et il ». sévèrement puni En conséquenoe, conseil fait signifier ledit acte à chacun lies susnommés, et l’invite a s’y soumettiez (à suivre}. A. M. ---sV.-vS

-s-?: CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMESbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_03_12_MRC.pdf · pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur

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Page 1: -s-?: CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMESbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_03_12_MRC.pdf · pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur

Études de M8 E mmaxukl POUSSATRD, avoué à Senlis, 35, ru e du ChâteCi,

e t de M* Geor o is DEGAS, h u iss ie r à Senlis, 48, rue de la Républiq 'lie.to ta lité ou

jsise à Chan- | 5 , pouvant

n en t d ’E n - | courses ou S 'adresser à

niable, pour I ju i l le t 1908,|ib«*rge, sise r d,'Hôtel

tout coin- f F erry , no-

ilson e t 3 et B o i s , à

p a r adju- [M* R ichard, pce. le Di- heuil. en la Elevée, pour ■avilie-V er- p i . Léopold k îre heures.

* C h â te a u les com­

mence et de i de 7 hec-

Id e l'Oise, à l o t ; 2* en- J p r iété , sise ■ontpoint, à tprêcêdeate,

iron. — lic a a rd , no-

i, ':n un seul ^t- re de M*

le Di- ; heure,

am bly, au

cause de avenue

^n.anche 15 r le minis-

[ e t B o ls .1 Esserent.

frmoisy et J ica tio n pu- u n a n c h e 15 J relevée, à î des salies

R tere de M*

• de No- ars 190s.

le :ni- J re à Creil. | t - sur-Oise,

deux. N ogcnt

'• Suif»,, Chariot,

oHiliers,Bu >lique et js-a tio n de le .ic e , rue fcrson fils, E-r rs 1908,

par

•nchères i M arché. ■• U'es du V'asseur,

[ enchères i .Marché, M • heure

M8 V as-

B e a u M o b ilie r , B i l la r d e i A ecesM > ire s e t M atériel de P e in tu ra , dé­pendant de la liquidation ju d id a h fe de M. P au l M aillet, ancien entreprenerur de pein ture, épicier, m archand de v în s e t hôtel meublé h Sain t-F irm in , à v e n d re aux enchères pub liques.,à S a in t-F irm in , au dom icile de M. Maillet, le D im anche 15 M ars 1908, à une heure de rélevée, par le m inistère de M* Georges D egas, huissier.

DEMANDES ET 0FF11ESUn m énage sans enfant

demande place garde propri été et à toutes mains, remme concierge et basse-cour. — Bonnes référé nce.

S’adr. au Bureau du Journal- 1283AMI?" On demande u n e l io n n e

pour soigner personne assez âgée.S’adr. au Bureau du Journal. 1321flBgr* On demande une bonne

de 16 à 18 ans, pour la cour et la maison.

S’adr. au Bureau du Journal. Î320flMg"’ Ja rd in ie r , âgé de 45 ans,

veuf, sans enfant, bien au courant du métier et sachant conduiré che­vaux, demande place.

S’adr. au Bureau du Journal. 1322MBEP* Bon b e rg e r est demandé

pour fort troupeau d’élevage et en­graissement. — Gages : 1.400 francs par an avec logement et grand jardin près la ferme. — Inutile de se pré­senter sans bonnes référeuees.

S’adr. au Bureau du Journal. 1325On demande n n ja rd i­

n i e r chez M. A l f r e d LEMOINE, Ferme de Bazoches, à Duvv (Oise).

1326■BgP" On demande une bonne

cuisinière munie d’excellentes références.

S’adr. au Bureau du Journal. 1333

On demande un b'«ra c h a rre tie r dans une ferme des environs de Senlis.

S’adr. au Bureau du Journal. 1334N C " On demande u ne bonne

de 25 à 30 ans, au courant du ser­vice. — Excellentes références exi­gées.

S’adr. au Bureau du Journal. 1336

B Ç * J a rd in ie r m a rié de­mande place maison bourgeoise, femme concierge et basse-cour.

S’adr. au Bureau du Journal. 1339

m g "" Bons ag en ts actifs et sérieux sont demandés partout dans l'arrondissement de Senlis pour re­présentation de toutes les branches assurances. — Fortes cornmissioEs.

Ecrire à M. H e n r i ALLAIN, agent général à Senlis (Oise). 1344

Ja rd in ie r , âgé de 28 ajis,désire place de garçon-maître. — Bonnes références.

S’adr. au Bureau du Journal. 1345■Ufer" Me MÉRELLE, huissier à

Senlis, demande u n p e ü l c lv r c .

M. PRÉVOST, cultivateur à Aoger-Saint-Vineent, demande un bon c h a rre tie r pour mene’r la deuxième attelée de chevaux, surtout avec de bonnes références. — Loge­ment avec jardin. -X351

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79* Année. — JX*CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMES

P a ra is s a n t le Jeudi et le DimancheJOURNAL

Rédacteur en chef

SENLISLoup BERTROZ.

Jeudi l S Mars 4908^

■ -ï'i -

Paraissant le Jeudi et le Dimanche.

RÉDACTION & ADMINISTRATION

• .ul J1it.il

a b o n n e m e n t sOw s’absnnb aux Bureaux du Journal et dans^ tous

Senlis «t Oise. ........... 6 fr.*............... 4 fr.X ee A b o n n e m e n t s p a r t e n t

les bureaux de p o s t e , j - L ’abonnement e*t p m M jJ d 'avance e t continue de plein dro it ju squ à réception d’avis contraire.

1- ou du 15 d» c h a q u e mol».

RUREAUXS E N L IS - 11, Place de l’Hôtel-de-’Ville, 11

T É I i É P H O N E 4

Les m a nuscrits, insérés ou non, n c -ro n t p a s rendus.

Sentis, le 11 Mars.

Q u e s t i o n

d ’ O p t i q u e .

i

L es principes sont bons ou m auvais; le s théo ries sont v ra ies ou fau sses, dangereuses ou excellentes. En poli­tique les hom m es qui p artag en t des idées fausses ou veu len t les propagei s ’évertuent, a l ’aide d hab iles d iscus­sions de ra isonnem en ts sub tils, de dém ontrer qu 'ils n ’ont que d excellents Principes et que leurs théo ries, m ises en pratique, constituent bien la poli­tique idéale capable de do ter le p a j s d ’une paix, d ’une prospérité sans égale et d ’am éliorer les institu tions du régim e so i-d isan t dém ocratique.

Les b locards e t les rad icaux-socia­listes , dans l ’a rt d ’a lté re r la vérité , de recourir aux su b te rfuges les p lus hab iles sont évidem m ent p asses m aîtres depuis longtem ps. Il y a tou­tefo is, dans leurs tac tiques, des l a - rian tes qui les m etten t eu con trad iction avec eux-m èm es. Ils p a ra isse n t les seuls à ne pas s 'en apercevoir.

Voici l’ancien m in istre de la g u e rre ,M. B erteaux, qui fa it beaucoup p a rle r de lui en ce m om ent, non p as seu le­m ent p a r son tem péram ent bou illan t m ais p ar son ind ignation -exubéran te h l’égard do la délation , don t il se ra it, paraît-il, en ce m om ent, une des victim es. M. B erteaux fait p a rtie de cette phalange d 'am is que _ com pte M. Combes eC com m e ceux-ci, il estim e que le m inistère Clem enceau a assez duré. V oilà au fond la vérité.

N ous ne ra isonnons p lus ici su r des questions de p rin c ip es, nous en som m es, avec les gen s qui détiennen t

.le pouvoir e t ceux qui l 'am bitionnen t su r la question de « lâ c h a s se aux por­tefeuilles ». Ce n ’es t pas la course au clocher, c ’est la course à l 'a ss ie tte au beurre . , ,

L ’incident des deux a ttach es du m i­n istère qui a fait na ître celui de MM. B erteaux et-M andel, dém ontre sans doute que le Cabinet C lém enceau p o s­sède sa police secrè te , des b rig ad es de m ouchards qui fonctionnen t aussi bien dans les couloirs de la C ham bre que dans les p ré fec tu res e t ehefs-lieux de canton.- N ous nous som m es tou jou rs éleves,

avec la plus légitim e ind ignation , con­tre le systèm e des fiches et la délation elle-m êm e, qui a eu de si b eaux jo u rs sous le m inistère Com bes. M. B erteaux trouve, au jourd 'hui, ces p ro céd és h o n ­teux, im m oraux, ind ignes d 'une véri­tab le dém ocratie e t d 'un pay? qui a le

' souci de re sp ec te r les sen tim en ts d ’honneur et de loyau té dont les ci­toyens doivent ê tre fiers. Que n e l ’a-t- il déclaré p lus tô t.

N ous ne b lâm erons p a s M. B erteaux d e re c o n n a itre to u tc e q u ’il y a d ’odieux dans cette so rte de fila tu re , qui ne respec te m êm e pas les parlem en ta ire s ! Mais pourquo i ne d isa it-il r ien quand il ap partenait ’a un gouvernem ent qui t ira it le m eilleur p a rti de la déla­tion savam m ent com binée p a r le m in istère Com bes qui inc ita it ses fonc­tionnaires à se m o ucharder les uns les a u tre s? P ourquoi, à ce tte époque contenait-il son in d ig n a tio n ? Tout sim plem ent p a rc e qu 'il ne voyait pas le s choses p a r la m êm e lo rgnette .

L a loi de la S épara tion , si ju s tem en t appelée loi de spoliation , confection­née e t votée sous le m in istère Com bes, a donné heu, dans l'app lica tion , à des nom breux inc iden ts, ’a de vives p ro tes­ta tions et, au jou rd ’hu i m êm e, la confis­cation des b iens des co n g rég a tio n s ne rencon tre-t-elle p as , dans son app lica­tion , le plus ferven t d es d é trac teu rs d an s la personne m êm e deM . Com bes?

Q uand il ôtait aux affaires ces lois lu i p ara issa ien t fo rt ju s te s , fo rt équi­ta b le s ^ c’é ta it des lo is de p ro g rès . MM. les liqu idateu rs en p ren a ien t d é jà h le u r a isé m ais tou t leu r sem bla it p e r­m is *. ils avaien t 1 app robation , tou t au m o ins tac ite de M. Com bes. Depuis qu il a qu itté le pouvoir, son sen tim ent h cet é g ard , s’e s t m odifié du to u t au to u t e t M. Com bes s ’a ttach e à d ém on trer ce q u ’il y a d ’in ique, d’in ju s te dans les o p éra tio n s de ce rta in s liqu idateu rs . C om m e chez M. B erteaux nous cons­ta to n s ce re v ire m e n t qui s 'e s t p roduit dan s l 'e sp rit du d éfroqué e t qui s ex­p lique de la m êm e façon , p a r le seul f a it q u ’il n ’e s t p lus au pouvoir,

A vecM . C lém enceau les exem ples so n t p lu s nom breux e t p lus frappants_ : le « to m b e u r de m in is tè re s» , depuis qu ’il s’es t em paré du pouvoir, a préc-i- sèm en t reco u rs à tous les p rocèdes q u ’il a si vivem ent com battus Jorsqu il ap p arten a it, à un titre quelconque a l 'opposition . On p o u rra it, ce qui a é té fait d ’ailleurs p lus d’une fo is, lui m ettre sous les yeu x le s artic les v iru ­len ts qu ’il a écris co n tre les C abinets q u i n ’av a ien t p as le don de lui p la ire , Que u ’a-t-il p a s dit con tre l ’expédition

du T onkin ? | A ujourd’hu i se s [p rop res argu m en ts ne s ’appliquent-ils p as , avec beaucoup p lus de ra iso n , con tre la cam pagne du M aroc ! N ’a-t-il p as assez fulminé con tre un gouvernem en t au­quel il rep ro ch a it, lo rs de 1 affaire du T onkin , d ’e n g a g e r la F ran ce , san s te­n ir le P arlem en t au co u ran t des opéra ­tions. L es p ro céd és qu’il condam nait a lo rs, il les em ploie au jo u rd ’h u i, avec ce tte différence, q u 'a u Tonkin on sa ­vait où on a lla it e t ce qu on voulait, et q u ’on ne m arch a it pas_ à l 'aven tu re com m e au M aroc où l’on entrevo it g u è re les avan tag es et les ré su lta ts d ’une situa tion in ex tricab le e t g ro sse de d an g e rs po u r la F ra n ce . M. Clém en­ceau a u p o u v o irn e voit p lu s les choses sous le m êm e aspect.

L a conclusion de ce qui p récèd e , le lec teu r peu t la tirfer lui-m êm e. Dans les cam ps rad ica l, rad ica l-so c ia lis te e t soc ialis te , dah s ce tte trin ité de p a rtis qui co n stitu en t ce q u ’on appelle le Bloc, les q uestions de p rincipes d is­p a ra isse n t ou se m odifient, su ivant que le s hom m es so n t ou ne son t p a s

t 'intm-.U çnnérîon-r du ré -au pouvoir. L 'in té rê t su p é rieu r du ré ­gim e ou de la F ran ce cède le p as aux in té rê ts p a rtic u lie rs , aux am bitions personnelles . Au d em eu ran t, les com- b istes com batten t les e lém encistes un iquem ent p our rep re n d re leu r place. Que. dem ain , ils a ien t la v icto ire , ils su iv ron t les m êm es _ e rre m e n ts . si c h e rs au jo u rd 'h u i à l'an c ien « tom ­b e u r de m in istè res ».

On ne sau ra it tro p le ré p é te r : cette façon de p ro céd er constitue la pire des p o litiq u es; elle d é sa g rè g e les p a rtis , excite les ap p é tits les p lus im m oraux, livre les finances de l’E ta t à un g asp il­lag e élionté, susc ite les h a in es des c itoyens, fau sse les ro u a g e s de nos p lu s belles in stitu tio n s e t confie la d irection des affa ires pub liques en tre les m ains d 'av e n tu rie rs qui, san s v er­g o gne, au d é trim en t des in té rê ts de la na tion e t du rég im e, trafiquen t avec leu r m andat au p rofit de leu rs in térê ts p ersonnels . La po litique des b locards c’e s t la c h asse au x po rtefeu illes , aux sinécu res, à l ’assie tte au b eu rre . L eur rayon d 'op tique v a .ie su ivan t leur s itua tion perso n n e lle : quand ils dé­tien n en t un portefeuille , tout e s t p o u r lé m ieux dan s le m eilleur des m ondes : q uand ils le convoitent, tou t leu r p a ra it exécrab le , abom inab le.

V oilà pourquoi leu r tac tiq u e , leu r politique fourm illent de con tradictions. Ils ne son t d 'a c c o rd que su r un point, celui de leu rre r le peup le. L eurs que­re lles e t leu rs d issen tim en ts n 'o n t rien a vo ir avec ies q uestions de principes. P o u r a rriv e r au p o u v o ir , les uns com m e les au tre s , son t tout p rê ts à b rû le r ce qu ’ils ont ado ré la veille.

L o u p BERTROZ.

L’Aleool industriel.La commission des alcools d'industrie, réuH

nie sous la présidence de M. Iïibot, a procédé à un échange de vues sur l’encjuôte il lacjuelle elle vient de procéder en vue de l’utilisation de l’alcool dans les diverses industries.

Elle a nomme une sous-commission compo­sée de MM. Augé, Cazeneuve el Delpierro, dé­puté de l’Oise, chargée de présenter un résume de cette enquête. • i .

Sur la proposition de M. Klotz, elle a décide de communiquer ce résumé au gouvernement, en le priant de faire connaître ses vues sur les diverses questions soulevées par cette en­quête.

Une m auvaise farce .Samedi après-midi, on constata avec sur­

prise l’absence à la barre d’une des chambres de la Cour, où il devait plaider, d’un des avo­cats les plus estimés et les plus respectés du Palais.

Son secrétaire le rechercha vainement au vestiaire, à la bibliothèque, partout.

Les hypothèses les plus diverses et aussi les plus invraisemblables étaienl émises, quand un garçon de bureau, en se rendant au lavabo de la bibliothèque, entendit des appels désespérés provenant des water-closels.

La clef était sur la porte; il n’eut qu à la tourner pour libérer le « séquestré ». Celui-ci n’était autre que l'ancien membre du cqnseil de l'Ordre. Le malheureux était à moitié as­phyxié. Il était resté près d’une heure dans ce local privé d’air. Aussi dut-il rentrer immédia­tement chez lui sans avoir pu plaider.

Une enquête fut aussitôt ouverte pour de- couvrir l’auteur de cotte farce de mauvais (goût. Elle n’aurait donné aucun résultat si son au- leur — un jeune avocat — ne s’en était yanlç.

Il sera vraisemblablement, tout au moins, l’objet d’un blâme.

------Une avalanche.

Samedi soir, ù cinq heures, une avaljanche considérable a surpris les ouvriers qui. ser­aient du tunnel de la iigne.de Montanvert,

près Chambounix. jLn son- ouvrier, Vicino Jordano, emporte

>ar le déplacement d’air,- n’a pu s’enfuir. Les

La Guerre au Maroc,L e c o m b a t d o d im a n c h e .

Un nouveau combat a eu lieu dimanche dernier près de Sidi-Abd-el-Kerin. Le gé­néral d'Amade a mis en déroute une n é haila de Mzab et de M'dakra. Le combat été très vif, mais nos -pertes sont moins fortes que dans, les précédents engage­ments : un tué et sept blessés. Dans Sud-Orannis le général Bailloud a toutes les précautions pour parer i attaque toujours possible vers Figuig.

1= B.X2S; D B S I I T S t T X O N SAnnonces lég a les ..................À . 0 ,2 0 c. la ligne. I Réclam , ...........................Annonces volontaires................. 0 ,2 5 — I F aits «i-. .......................

ON N’ACCEPTE PAS D'iNSERTION AÜ-nESSOÜ. 1 FRANC

Les

. . . --Ülo,soI fr . —

jes annoncés, rédam es, e tc ., concernant P a ris e t les D é p a r te s its- io n t refilés à irècÜ H lflti ' , . ^ a j t x to rea jm d a journal. _ f £

m

lejbris

A l’É tranger.Espagne.

Alphonse X III commandeur du Mérite agricole.

M. Revoil, ambassadeur de France à Mad rid, accompagné de l’introducteur, des ambas" deurs, est allé dimanche au palais royal mettre au roi le grand cordon de commandeur de l’Ordre du Mérite agricole.

*** ,Alphonse X III à Barcelone.

Le jeune roi d’Espagne est venu hier visiter Barcelone et, malgré les craintes exprimées par certains, il a reçu dans la capitale tle la Catalogne un acci.eil enthousiaste. Sur tout le parcours la population fait à Alphonse une véritable ovation, loulc la ville est pt sée.' Le soir un banquet a été offert par b aux autorités de la ville.

M. Hippolyte-Etienne Hamet, maire de Plaillÿ.

M. Debeaûpuis Arthur, maire de Lian- court, délégué cantonal.

M. Hévin Emile, instituteur en retraite à Tîpurly^ , .

Officiers cVAcadémie :Mme Bernovai Hélène, sage-femme à

Cornpi ègne.M. Bisy, adjudant au 54°M. Boucheret, adjudant au 54eM. Bulot Théodore, instituteur en re­

traite à. Croissv..M.- Cahit Charles, conseiller municipal

àCrépy.M. Desmarquet Alfred, maire de Saint-

Samson.M. His Lucien, négociant à Chantilly.Mf. Mahieu Ernest, délégué cantonal à

Catenoy.M. Roulleau, capitaine au 51e.

.Jautres ont été blessés. ,Après trois heures de recherches, Vjcino a

été retrouvé vivant; il a la jambe cassée.L’avalanche est venue jusqu'à la. première

maison du village des Mouilles, mais elle n y a pas causé de dégâts.

M a ria g e s baro q u es*L’Amérique ne sait plus que faire pour dé­

montrer son originalité à la vieille Europe. On vient de citer des unions faites dans une auto­mobile marchant à 75 à l’heure par un pasteur vétéran. . - ■ ! ■

Plus'fort est un mariage célébré tout der­nièrement dans.une cloche.à plongeur.

La noce cl le pasteur avaient revêtu des vê­tements de caoutchouc cl c’est une gracieuse casquette de caoutchouc que la mariée avait sur la tète à la place de fleurs d’oranger.

Cela se fane moins vite...

L’hygi&ne à la Caserne,Le sous-sccrélaire d’Elat à la guerre adresse

aux généraux commandant les corps d'armée une circulaire relative aux conditions de loge­ment des réservistes et territoriaux. Nous en extrayons les recommandations suivantes

L e s généraux commandants de corps d’ar­mée sont invités avant chaque période d’appel' à faire procéder à une révision des locaux affectés par les villes au logement des ijéser- vistes et des territoriaux.

Ces locaux dévront toujours être sufl ment spacieux et aérés. Il faut qu ils pu au besoin être chauffés. Avant qu ils ne: occupés, il sera toujours procédé à un nclb et à leur désinfection.

La proximité d’une alimentation en eau po­table, eau préalablement analysée, l'installation de latrines convenables, la facilité,d’évaciiaLon

sam-,ssent

ioient>yag

Dmptsd’un

Ilervé délim livenieitt rayé.M. Hervé vient d’être définitivement jrayé du

tableau des avocats attendu, dit 1 arrêt, que « il ne peut être permis à l’avocat d'étaler son mépris dos lois pour lesquelles il doit avoir un respect constant ».

des matières usées, la possibilité de pr secours contre l’incendie, feront l’objeexamen eltentif du commandement.

A lin point de vue plus général, il importe de se préoccuper de l’étal sanitaire des garni­sons où doivent être appelés les réservistes et les territoriaux. Si des épidémies sévissent dans ces localités, il sera rendu compté de la gravité de la manifestation suflisamn] temps pour que les ordres nécessaires pu être donnés, soit pour surseoir à l’ordre pel, soit pour diriger sur d’autres placjes les hommes convoqués.

BSHOS ïTElection législative.

PUY-DE-DOME2 e circonscription de Clermont-Ferrand.

Inscrits : 25.625 [ Votants : 19.429 MM. Fabre, républicain de g— 9 .6 2 7 voixS

Cournol, progressiste-----Parassols, soc. unifié-----Cluzel, radical.................

(Ballottage)Il s’agissait de remplacer M. Guyot-Dessai-

gne, radical, qui avait été du en 1900 pat 13.268 voix.

6 .0 3 41 .9341.551

Elections au Conseil généra l.ALGER (4e canton).

MM. Iloubé libéral................... 1 .3 8 4 ELUSerpaggi, radical............... 1 .2 4 2

En remplacement de M. Serpaggi, radical, dont l’élection avait été annulée par le Conseil d’Etat: c’est donc un canton gagné par loppo-

Sl'10n* THUIR (Pyrénées-Orientales)MM. Marty, radical viticole 1 ,3 0 2 ELU

P u jo l,(républicain de g — 403En remplacement de M. Macena, radical-

socialiste.

Les funérailles dulieu tenan t Boulliaut.

Le peuple de Paris a fait de splendides fu­nérailles à l’héroïque lieutenant Paul Boulhaut, tué au Maroc le 7 février. j

11 était neuf-heures lorsque à la gare le cer­cueil fut hissé sur le char. ,

A ce moment le capitaine Polelat, au nom du I-ministre de la guerre, vint épingler sur les

franges du cercueil la croix de la Légion d lion-

Les restes mortels du héros ont été salués par une foule énorme.

Derrière le cercueil, en rangs serrés, les conseillers municipaux, des parlementaires, MM. Paul -Déroulèae, colonel Rousset, géné­raux Dalstein, Canonge, de Lacroix); de Sel- ves, Maurice Barrés, Berteaux, amiral Bien- aimé, Millevoye, etc.

Des discours ont été prononcés par Paul DC- roulède, le colonel Rousset, le lieutenant M ach, et le général Prévost au .nom du général Pic- quart. . r

Parmi les nombreuses couronnes, on remai- quait celles de Déroulède, de la Patrie Fran­çaise, du ministre de la Guerre et celle tressee à Casablanca par les soldats du malheureux officier avec des fleurs du pays,

DANS LE DEPARTEMENTV o te s :1e n o s s é n a te u r s .

Séance du vendra ,i 6 mars Scrutin sur l'amendement de M. Val lé à

l’article l a (juridiction compétente pour statuer sur la vente du fonds de commer­ce du débiteur saisi), demandant que la compétence soit attribuée au tribunal de commerce et non au juge de référé comme le propose la commission. Adopté par 139 voix contre 107.

A voté contre : M. Cuvinot.N'out pas pris part au vote : MM. Dupont

et Noël.

Election au Conseild 'arrondissem ent.

MARNE (Canton de Bourgogne).MM. Bergé, libéral.................... 1 .6 4 4 ELU-

Larue, radical..................... 1 .423En remplacement de M. Grèque, radical.

(Siège gagné).

Les ponts il péage.Savez-vous que dans notre démocratie fran­

çaise, il existe encore certains ponts qui, pour être livres à la circulation, n’en sont pas moins soumis au droit de péage. On en compte 29 dans ce cas ; 5 dans la Gironde et l'Oise ; 4 en Seine-et-Oise; les autres sont répartis dans différents départements.

Les plus anciennes de ces concessions — qui n’en sont pas pour le public, — remontent à 1823: la plus récente est de 1882, pour un pont de la Vienne.

Los droits de péage produisent le revenu global annuel de 168.000 fr., et le rachat de ces ponts coûterait près de deux millions.

V o te s d e n o s d é p u té s .Séance da 6 m ars.

Scrutin sur l'ordre du jour pur et (interpellation de M. Rouanet relat avances faites aux envoyés du Mal la colonie du Sénégal). Adopté p contre 121 .

Les députés de l'Oise ont voté pc

L ’im pôt sur le revenuScrutin sur l’article 1" du projet de loi

relatif à l'impôt sur le revenu.L'article 1er est adopté par

contre 43.Ont voté pour ; MM. Baudon

deau et Chopinet.Se sont abstenus : MM. Delpierre,

tin et Gaillard.

XIIIvoi- : roi

P o s te s e t T é lé g r a p h e s .M. Saux, commis à Senlis, est nommé

commis au Congo.M. Carrère, surnuméraire à Beauvais,

est nommé surnuméraire à Pau.M. Bert, surnuméraire à Senlis, est

nommé surnuméraire à Chartres.Mlle Villa, postulante à Paris, est nom­

mée à Clermont de l'Oise, employée.Mlle Leinaire, employée àr Compiègne,

est nommée employée à Paris.Mlle llouscary, employée à Beauvais,

R., P ., est nommée employée â Paris.M. Moulis, surnuméraire à N’oyon, est

nommé surnuméraire à Paris 113.. M. Bigard, commis ambulant, ligne du

Nord, est nommé commis à Noyon.Xii.e Bellier, postulante, est nommee

employée à Beauvais, recette ' principale.Mlle Couderc, postulante, est nommée

employée à Creil.

N o m in a tio n rf 'O iïic ie rsd e S a p e u r s - P o m p ie r s .

Par décret présidentiel du 27 février 1908, sont nommés sous-lieutenant de sapeurs-pompiers :

A Beaulieu-les-Fontaines, M. JulesMan- celte.

Au Déluge, M. Célestin Blanchard.A Lormaison,.'M. Camille Dupré.A Martihcourt, M. Hyacinthe Boulan-

{TCP." A Thibouvillers, M. llenri Lacour.

A Angy, M. Eugène Lebon.A Morlaincourt, M. Marie Planchette.A Neujchelles, M. Louis Morel.

ent à issent d’ap

J u s t i c e d e P a ix .M. Henry Lefebyre, directeur de la Dé­

pêche de l ’Oise, à Compiègne, vient d’ètre nommé juge de paix à Duclair (Seine-Inférieure).

D ire c tio n générsiS e d e sC o n tr ib u tio n s in d ir e c te s ,

Un concours pour l'emploi de prépos! des Contributions indirectes aura lieu au

u-lieu de chaque département, le 21 juin prochain.

Peuvent seuls y prendre part les jeunes gens devant avoir au moins vingt ans au 1er octobre de L'année eu cours et ayant moins de vingt-cinq ans. Toutefois, pour les candidats qui justifient soit de servi­ces civils pouvant entrer dans la liquida­tion d'une pension de retraiie, soit de ser­vices militaires, la limite supérieure est reculée au delà de vingt-cinq ans d'une durée égale à celle de ces services, sans pouvoir dépasser trente ans.

Les postulants se procureront le pro- , gramme du concours ainsi que la nomein- clature des pièces qu'ils auront à fournir et tous autres renseignements utiles à la Direction des Contributions indirectes de leur département, où. ils devront se faire inscrire avant le i l avril.

Les listes seront irrévocablement closes à cette date.

(Seine), sans domicile, est u n individu brun, de moyenne taille* paraissant astu­cieux et sournois. Il porte toute sa barbe-

Il est accusé d’avoir, dans la nuit du au 29 novembre, pénétré avec escalade qt effraction dans les bureaux de la brasserie de l’Union, située quai d’Amont, à Creil, et d’y avoir pris de l’argent et autres ob­jets.

Seulement le cambrioleur n’rù t pas de chance, car il fut surpris e t arrêté par le comptable, M. Fourmanoir.

On trouva sur lui uu portefeuille, un billet de 30 francs, un microscope, et il était muni d'instruments spéciaux.

Garde appartient à une bonne et hon­nête famille; de l'instant où-il commença à travailler de son métier de garçon coif­feur jusqu'à l’heure où il est appelé à ser­vir sous les drapeaux on n ’a rien à lui re­procher.

Mais à peine est-il soldat, que Garde commence à glisser sur la pente du mat. Trois fois déserteur, il finit par quitter -la France et on ie voit successivement en Belgique, en Angleterre, en Allemagne, en Amérique, etc., commettant des faits graves qui le font condamner.

Pris sur te fait, Garde ne peut qu’avouer. D'ailleurs trois témoins confirment le cam­briolage.

Apres réquisitoire de M. Magnin et plai­doirie de M* Poulet, le jury rapporte un verdict affirmatif mitigé de circonstances atténuantes.

La Cour condamne Garde à h u it années de réclusion.

'Senlis soosja TeneurNotes pour servir à l’Histilio It Salis.

M a rs 1 7 9 5 .(Su ite).

Le 5. (26). — Une commission est nom­mée pour constater les désordres causés dans nos cours d'eau par le dégel e t'Tes pluies ; les deux pouls situés près la porte de Paris (l'un dit de l’abreuvoir, 1 autre de la malmaison) sont obstrués par les immon­dices et doivent être curés. Il sera dit, le 29 germinal, « que le nettoyage du ruisseau ou égoùt de la vieille Malmaison est ad­jugé au rabais, moyennant 8 livres la toise, à deux chefs terrassiers qui s engagent a faire un parfait travail ; les veuves De- lortne et Ledru, dont les propriétés sont riveraines, seront prévenues. Il faut aussi vérifier l’état dans lequel se trouve l’arbre qui sert de bonde aux étangs du G. Pillon, à la Victoire ; dès le lendemain, cet arbre est trouvé en suffisant ctat et ne perdant pas l'eau r. .

Le 7 (27). — Le C. Devaux, instituteur, reçoit un mandat de O70 livres pour :35 écoliers pendant le précédent trimestre. De même la C” Beaucerf, 33y livres pour 85 ccolières. — Etat de lieu du.jaruin du pen­sionna; de la ci-.levant Présentation dressé avant l’entrée en jouissance du C. Gouillard,

i l'a loué lors de l’adjudica-

simpieive aux n p o u r,] ar 338

il voix

Boufiàn-

Bu-

Les listes é lectorales.Dans un grand nombre de communes, les

fonctionnaires publics qui arrivent après le 4 février et avant le 31 mars sont immédiate­ment inscrits sur la liste électorale de leur nouvelle résidence obligatoire.

Cetle pratique étant contraire à la loi et a la jurisprudence de la Cour de cassation, M. Grousseâu, député,'a, par une lettre du 23 fé­vrier dernier, demandé à M. le président du Conseil, ministre de l'intérieur, de faire cesser cet abus. .

M. C lém enceau vient de répondre a M. Grous­seâu qu’il envoyait une c irc u la ire aux préfets pour empêcher ces in sc rip tio n s illégales.

Veau phénom ène.Chez M. Sacre, cultivateur à Bessay (Ven­

dée), est venu au monde un veau phénomène. Il a sur l’épaule droite un cinquième membre terminé par une main humaine ou simiesque dont les doigts, au nombre de cinq, se termi­nent par d'énormes ongles. Il croit normale­ment et sera bientôt exposé dans les foires et assemblées.

A U P A R L E MA LA CHAMBRB

Les m auvais instituteurs.Un père de famille de Glaizil (llautes-Alpes),

écrit h la Croix :« Un enfant avant par mégarde porté son

« catéchisme à l'école, l'instituteur lui a dé- « claré qu'il ne voulait plus voir une pareille « ordure dans une classe ».

3aos commentaires, n’est-ce pas.

Séance du m ardi i 0 >r, La Chambre, s’est occupé 1

réintégration de M. Reinach. To sur la demande de plusieurs d eialistes et de M. Berteaux, la tion des fonctionnaires a été 330 voix contre 217, véritable portée au gouvernement. La ré de Joseph Reinach et des officie comme lui est votée ensuite » vées.

'N T

ars. icr de la it d’abord, ■putés so- réintégra- votée par loup droit ntégration rs frappés mains le-

Séance du 9 mars.Scrutin sur l’amendement de M. Vail­

lant à l’article 3 du projet de loi re latif à l'impôt sur le revenu ainsi conçu ; « Les revenus sont répartis en huit catégories, dont sept sont imposables. » Repqus,sé par 360 voix contre 138.

Les députés de l’Oise ont voté contre.* ’

Scrutin sur le paragraphe 3° (bénéfices de l'exploitation agricole) de 1 article 3 du projet relatif à l'impôt sur le revenu. Adopté par 271 voix contre 240.Ont voté pour : MM. Baudon, Bouffanqeau, Butin, Chopinet et Delpierre.

A voté contre : M. Gaillard.

Le R u b a n V io let,Le ministère Clémenceau vieil

de distribuer plus de 2.000 ruban Sont compris dans la fournée po’

Officiers de l’Instruction pub lique : M. Désiré-Julien-Joseph-Victo

trix, de St-Leu-d'Esserenl, pré Conseil d’Arrondissèment de Se

M. Fabre, de Lassigny, conse Cour d’Appel et conseiller l'Oise.

L a p e r t e «tes c o lis -p o s ta u x .Sauf le cas de force majeure, la perte,

la spoliation ou l'avarie d un colis postal donne lieu au profit de l’expéditeur, el à défaut ou sur la demande de celui-ci, du destinataire, à une indemnité correspon­dante au montant réel de la perte, de l'avarie ou de la spoliation, sans que cette indemnité puisse toutefois dépasser pour les colis ordinaires 1.3 fr., 25 fr. ou 40fr., suivant qu'il s'agit' d'un colis de 3 kilos,5 kilos ou 10 kilos.

On ignore généralement de quelle fa­çon cette clause doit être interprétée.

Beaucoup de personnes croient qu’elles ont droit, d’office, à l'indemnité maxima de 13 fr., 23 fr. ou 40 fr., suivant le cas.

Il n ’en est rien.L'intéressé, dans les limites de ce maxi­

ma, n ’a droit qu’au remboursement de la valeur réelle du colis.

Si ce colis, de S kilos par exemple, ne vaut que 10 fr., l'indemnité à allouer par la compagnie sera, non de 23 fr., mais de 10 fr. seulement.

En revanche, si ce colis a une valeur de 30 francs, ce n'est plus la valeur réelle qui sera remboursée à l'intéressé, mais seulement l'indemnité maximun de 23 fr.

C;e n’est pas, d'ailleurs, la seule sur­prise que le transport des postaux réserve au public.

I encore violets !

ir l'ü ise :

Coqua- sident du dis.lie r à la

gpnéral do

Cour d’Â ss ise s de l’Oisel re s e s s io n h e 1908

'.-s-?:

Audience du L undi 9 Mars.La première session des Assises de

l'Oise s'est ouverte lundi à Beauvais.A f f a i r e G a r« le . — Cambriolage

à Creil.L'accusé, Jean-Baptiste Garde, âgé de

30 ans, garçon coiffeur, né à Créteil

aubergiste, quition faite par le District. — Suppression des Comités Révolutionnaires : « Le District notifie un arrêté qui nomme deux notables du conseil à l'effet de dresser l'inventaire des litres, papiers et registres du comité de surveillance, dit aussi comité révolution­naire, qui est supprimé par la loi du ai ventôse dernier : pour être, ledit inventaire, déposé au District.

Le 8 . (28). — Le conseil proteste contre les prétentions de l'un des chefs de la ma­nufacture d ’armes de Versailles, qui se présente muni d'une commission du comité de salut public l'autorisant à faire, dans notre région, des réquisitions de grains pour nourrir les ouvriers de ses usines ; on lui répond que la contrée eet menacée de la famine, et ou ïe conduit au District.

Du 9 eu 1 1 (29). — Réparations du pa­vage. de l ’abreuvoir de la rue de Paris et de quelques rues devenues impraticables. —Le juge de paix prévient qu’il va avoir à juger deux délinquants qui re'èvent de la police correctionnelle ; or, la loi du 3 plu­viôse exige qu’il soit assisté par un membre du conseil qui est aussitôt nom m é. — Le C. Gucret, l'ainë, « annonce qu’il va s'occ­uper d ' u n e éducation libre et volontaire ».- En même toms. la C'" L->louette, institu­

trice. donne sa démission pour cause de santé, à partir du 1" messidor prochain ; elle n’en reçoit pas moins 304 livres pour 97 écolières durant le précédent trimestre.

A v ril 1 7 9 5 .Du t3 au 3o germinal an 3 ( i '- i g avril).

— Sérieuses alarmes relativement aux sub­sistances. Ces difficultés dureront plusieurs mois, pendant lesquels les crises se succé­deront à intervais irréguliers. Nous analy­serons la première et la plus intense.

La séance du i3 est tenue à ia société populaire ; il y est question de la disette qui menace. — Surveillance du marché le 1-4 ; arrestation de plusieurs femmes qui ont tenu des propos inciviques contre la distribution des grains et la cocarde natio­nale ; l’un des principaux témoins qui dé­pose contre elles est le C. Dasignon, table- tior à Chantilly. Le procès-verbal dressé contre les prévenues est renvoyé par le dé­partement à la municipalité ; le 11 lloréal, celle-ci consultera le représentant Jacomiu qui ne fora pas d’objection à l’indulgence, « attendu que la conduite des inculpées n’est que le résultat d 'une effervescense occasionnée par le besoin ». Le District prend, le 18, l’arrêté suivant : * La com­mune de Senlis sera tenue fournir, pour le marché de demain. 188 quintaux de bled dont la réquisition sera faite sur les 20 cul­tivateurs dénommés en l’état ci-ioint ; les­quels ne pourront se dispenser de conduire à la halle, chacun la quantité qui IuL est assignée, sous peine d’être poursuivi et

il ».sévèrement puni En conséquenoe, conseil fait signifier ledit acte à chacun liessusnommés, et l ’invite a s’y soumettiez

(à suivre}. A. M.

---sV.-vS

Page 2: -s-?: CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMESbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_03_12_MRC.pdf · pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur

>r

A f . .

■ «s \:

LKCÜUftHUÜl DE L’OISE

Zravers Sentisété de Secours Mutuels

des Patronages de l’Oise.’’ ■' L a Séance de dim anche.

La Société de secours mutuels et de re- tra ite s des patronages de l’Oise (section de

'•“ “"iis) a réuni, dimanche, ses membres ' es et adhérents, en une grande

née solennelle. Plus de 500 personnes se pressaient dans la salle du patronage

• Saint-Rieul. M. de Civilie, président géné­ral de la société, avait bien voulu venir de Beauvais pour présider cette réunion.

La séance s’ouvrait par un chœur de mirlitons joyeusement enlevé par de jeunes mutualistes.

Puis, le directeur de la section, M. Mon- nier, fit son rapport annuel. Il fit ressortir la voie de progrès dans laquelle marche la société, l’accroissement du nombre de ses membres adhérents, et la prospérité de ses finances : L’avoir de la société aug­mente chaque année ; il était au 31 dé-

' cembre 1907 de 5 .3 0 0 francs, et cepen- ■ dânt, dans le courant de l’année 1907, on

apayé pour 1 .800 francs d’indemnités de maladies.

Devant ces beaux résultats qui méritent un encouragement, on peut espérer voir s'augm enter le nombre des membres ho­noraires. Celapermettra d’augmenter aussi les indemnités de maladies et la valeur des lots de la tombola annuelle.

Pour être membre honoraire, il suflîtde verser une cotisation minima de un franc.

Le directeur de la section remercie M. le docteur Rousset qui a le dévouement de constater les maladies des mutualistes, et dont le concours est des plus précieux.

Il remercie aussi les directeurs et direc­trices des différentes divisions de la sec­tion, dont le zèle assure le succès de l’œu­vre mutualiste.

M. de Civilie prend ensuite la parole, et, dans une causerie aussi intéressante que documentée, il parle des retraites ouvrières, but que doivent poursuivre les Sociétés de secours mutuels.

Pendant des années, ces retraites ou­vrières ont été un merveilleux tremplin électoral :

Enfin, un jour est venu où il a fallu paraître faire quelque chose. I.a législature touchait à son terme, il fallait comparaître (levant les électeurs. Ah ! ce fut vite fait, presqu’aussi vite que la loi sur l’indemnité parlementaire. Une loi incomplète, mal étudiée, inapplicable, fut proposée et presque sans discussion votée à Funanimité. Il aurait été bien hardi, bien im­prudent celui qui aurait osé dire après cela que les députés n’avaient pas bien mérité de la patrie!

Que cette critique du labeur de nos hono­rables députés ne vous porte pas ù croire que je sois ennemi des retraites ouvrières ; loin de là I Vivant depuis des années dans l’industrie, en contact perpétuel avec les ouvriers, j’ai appris à les aimer, à les estimer et souvent à les plaindre, et j'affirme qu’il est nécessaire, qu’il est équitable que l’ouvrier, quand il aura consciencieusement peiné et usé sa vie dans un effort journalier, effort qui ama profité à la collectivité, puisse trouver, le jour où ses forces l’abandonnent, la modeste retraite qui lui per­mette de ne pas être une épave de la vie, ballottée enlre les bureaux de l’assistance pu­blique, et de subsister sans perdre la moindre parcelle de sa dignité d’homme cl de citoyen.

La loi votée par la Chambre des Députés permeftra-t-elle d'atteindre ce but ? Von,, car cette loi est une atteinte à la liberté de l’ou­vrier et le moyen le plus onéreux pour lui de se constituer une retraite.

En effet, le versement de la part de 1 ouvrier sera obligatoire, ce qui revient à dire qu’on lui prélèvera de force une partie de son salaire. Quelle indignité ! Comment, un homme, parce qu’il sera ouvrier, n’aura pas te droit de faire ce qu’il veut de son salaire ; i! sera dépossédé du droit reconnu aux autres citoyens ; il sera comme frappé de déchéance ! lit cependant, de toutes les propriété* en cst-jl de plus cer­taine, de plus respectable, que le salaire, que l’argent qu’on a gagné soi-mème à la sueur de son front? ............................................

Vous savez, Mesdames et Messieurs, que l'enquête faite par le Sénat a démordre que la loi votée à !a Chambre des députés ne pl.,omit à personne, ni aux ouvriers, ni aux patrons, ni aux mutualités, qu’en plus ctîs nécessiterait de la part de l’Etat de telles dépense* que le budget n’y pourrait suffire. . , , , , , ,

Cette loi devra doue être remise a I étude, sovez sùr que c’est la mutualité qui triomphera, car elle seule peut donner ta solution du pro­blème ................................................ ..

' Nous devons encourager les œuvres mutua­listes ; il y a une telle persistance de volonté et de patience dans cet effort, qu’il ne peut nous laisser indifférents.

A la suite des applaudissements chaleu­reux (tue soulèvent les dernières paroles de M. tic Civilie, la toile se lève sur une charm ante savnète, jouée par Madeleine Cuissette. Jeanne Couvé, Lucienne brira- bert, Juliette Jundifl et intitulés : La P oupée m alade.

Les petites filies sont très urdies, avec leurs avis de petites femmes. Elles savent très bien leur rôie qu’elles disent avec na­turel et simplicité, et font grand honneur à leurs maitresses dévouées-

Le petit d o 'teu r (Madeleine - Euissettri), appelé pour soigner fa poupée malade, avec son ton décidé, sa démarche quelle sàti rendre masculine, son assurance, amuse l ’auditoire et gagne toute sa*syni[ atliie.

L’n groupe d'élèyes de l’école libre des

garçons charme à son tour les assistants en interprétant avec beaucoup de goût une gracieuse opérette : « Le Rendez-vous des Savoyards ».

Les scènes charmantes de cet ouvrage sont très applaudies. G. L eym arie s’est très bien acquitté du principal rôle. P . G uichard , E . G rim bert, J . Vallée, G. H aine , R. B unel, R. Gillion, P . Bour- gouin et tous les au tres‘petits acteurs que nous voudrions pouvoir nommer ont riva­lisé de bonne volonté et d’entrain.

Lessolosetfes chœurs, fort bien accom­pagnés par M. J. T inel, ont été chantés avec beaucoup de justesse, à la grande sa­tisfaction de l’auditoire ; ils ont montré que ces enfants savaient bien profiter des leçons de M. Dsvander, le dévoué direc­teur de l’école.

Enfin la tombola, impatiemment atten­due, vient remplir de joie les jeunes mu­tualistes qui, successivement, à l’appel de leur nom, viennent sur la scène choisir un lot.

M. Langlois avait bien voulu venir de Paris, avec un| opérateur spécial, ..pour diriger la représentation du cinémato­graphe,

Lès « films » se déroulent et les images vivantes apparaissent intéressant ou égayant l’assistance. C’est le Carrousel du Concours h ipp ique, ou bien l'H om m e a u x 4 Têtes, les Vues de San-Francisco, ou l'Obsession du B illard .

A u T r ib u n a l c iv il .M. Lebrun, substitut du procureur de

la République à Senlis, est inscrit au ta­bleau d’avancement de la magistrature.

M. Henriet, président du tribunal de Montdidier et i l . llerbet, président du tri­bunal d'Avesnes, tous deux anciens juges à Senlis, figurent au tableau d’avance­ment de la magistrature.

taine d’Afrique, défendre le drapeau et le prestige de la France.

Lé général de brigade a dit combien il avait confiance en leur bravoure, en leur patriotisme et surtout il a exprimé la con­viction que le drapeau français ne pouvait êtreeonlié en de meilleures mains.

Enfin, au milieu d’une émotion poignante, M. le général s'est fait l’interprète des sentiments de l’assistance et de toute la population pour dire i ces défenseurs de la patrie qui nous quittent, que nos meil­leurs vœux les accompagnent sur le champ de bataille ofi ils sauront, comme leurs devanciers se couvrir’de gloire.

C o lle c tio n s d e C a r te s p o s ta le s .On peut voir dans les vitrines de la

Librairie Jailliot, place Henry IV, des spécimens de nouvelles collections de cartes postales coloriées dont les nuances et la gravure elle même sont du plus bel

-effet. M. Jaillipt s'est rendu acquéreur de nombreuses .collections d’un genre nou­veau et qui sont appelées’ au plus vif succès. Nous croyons être agréable aux amateurs de cartes postales en les enga­geant à venir admirer les belles collec­tions exposées en ce moment d ins les vitrines de la librairie Jailliot. Ajoutons pour compléter notre information que ces cartes sont vendues aux prix ordinaires.

A u C o m m is s a r ia t .M. Bailliat Paul, ancien gendarme colo­

nial, est nommé agent de police à Senlis.

A u 2° H u s s a r d s .M. Fortin, sous-officier du 2e hussabds,

élève officier de l’Ecole d’Application de Cavalerie, est nommé sous-heutenant au 6e régiment de cuirassiers.

N é c ro lo g ie .Lundi dernier, à 10 heures du matin,

ont eu fieu à la Cathédrale de Senlis, au milieu d’une grande affluence, les obsè­ques de sœur du Saint-Rosaire, ancienne supérieure de l’Ecole Libre des Filles, dé­cédée à Crépy-ejn-Valois.

Nous adressons aux religieuses de Saint-Joseph-de-Cluny, en cette pénible circonstance, l'expression de nos plus vives condoléances.

J u s t i c e d e P a ix .Par arrêté du 7 Mars dernier, M. Du-

fourmentel (Jiiles-Adolphc), ancien ma-

fistrat consulaire, est nommé suppléant u juge de paix do Senlis.Toutes nos félicitafons h notre conci­

toyen M. Dufoiirmentel.

S u c c è s s p o r t i f .Notre concitoyen, M. Roger Ilriard,

vient de rem porter le premier prix au concours hippique de Nantes.

Toutes nos félicitations.

\ o s H u s s a r d s a u M a ro c .On sait que notre régiment de hussards

possède une mitrailleuse et une section de militaires spécialement affectés à la ma nœuvre de cet] engin. Cette section, com­mandée parti] lieutenant de Hacciochi, se­condé par un maréchal des logis, un bri­gadier comprend une vingtaine /nom m es.

fin raison illes événements qui se dé­roulent au Maroc, nos braves- hussards ont reçu Forme de. se mettre en route immédiatement. La mitrailleuse a été ex­pédiée avant-hier à Saint-Etienne, pour subir l’inspection indispensable à la ma­nufacture a’armes.

Ce matin le détachement désigné pour se rendre au Maroc a pris le train de onze heures et demie, li a ét.é conduit à la gare solennellement, musique en téta, accom­pagné par le général de brigade, M. Beau* ;lp»s, et tous lies officiers du régiment. Ce d épart nous n’avons pas besoin de le dire, avait provoqué en ville une émotion aussi vive que légitime. Bien que les au­torités n’aient pas été convoquées pour assister à f'enÿaruuem ent de nos soldats, M. le Sous-i'i’éfet.'u tenu de la Sous-Pré­fecture, i saluer sur leur passage les hussards, qu'accompagnaient on neut le dire tout Je régiment et de nombreuses personnes acejmruss de différents points de la ville, aussitôt que la nffny.el|e de Jeur départ avait été connue.

A ia gare, eu présence de tous les offi­ciers, des soldats at de la foule, M. le gé­néra! de brigade a prononcé une éloquente et patriMiqna allocution. 11 a salué ces vaillants soldats tjfj.i ypn.l sur la terre lotn-

P o lic e c o r r e c t io n n e l le d e S e n lisAud ience du 9 Mars 19OS.

Présidence de M. Paisant, président, Ministère public : M. Lebrun, substitut.

Anlilly. — Guay Aristide, 31 ans, opposant à un jugement par défaut du 3 février dernier, est condamné pour chasse à un mois de prison30 francs d’amende avec sursis.

Boursonne. — Le 6 janvier dernier, Mutin Eugénie, 35 ans, femme Nicolas, ménagère à Boursonne, était condamnée par défaut, pour escroqueries commises au préjudice de M. Bourgeois, boucher-charcutier à Thury-en- Vatois, à un mois de prison. La femme Nicolas ayant formé opposition;- le tribunal maintient la peine mais lui accorde la loi Bérenger.

Chaînant. — Degroote Remy, 41 ans, et Morel Gustave, 33 ans, tous deux sujets belges, ayant demeuré au hameau de Balagny, ont été surpris, visitant des collets, par le garde champêtre Rousselle. A chacun un moisi de prison, et 30 francs d’amende.

Chantilly. — Dans la soirée du 29 février, Wrighst Thomas, 23 ans, sujet anglais; se rendit avec plusieurs camarades chez M. Max Golfeld, marchand de confections. Profitant de ce que le commerçant "était occupé avec des clients, Wrighst s’empara d’un pardessus- caoutchouc. Etant aile peu après au café « Auteuil-Longchamps », il vendit ce vêtement pour la somme de cinq francs à un palefrenier. U est condamné à un mois de prison avec sursis.

Creil. — Monne André, 32 ans, mécanicien à Creil, et Petit Edmond, 27 ans, ouvrier d’u­sine, demeurant à Monlatairc, ont été surpris circulant le long des voies du chemin de fe* en gare de Creil, sans autorisation. Chacun dieux récolte iG francs d’amende, le sieur Monne obtient le bénéfice de la loi de sursis.

— Le il février, Corniquet Arsène, 32 ans, Pollin Maurice, 19 ans, et Matha Adolphe,31 ans, se sont rendus dans un bois apparte­nant à M. Duchenne, de Creil, et après s'être assuré près du cantonnier Aubin que le garde ne s’y trouvait pas, ils ont brisé la norte"d’en­trée d'une cabane servant de rendez-vous de chasse, ainsi que les* bon teille ; et les verres s’y trouvant après avoir absorbé le liquide!, et sont partis, en laissant' des traces odorantes de leur passage. Ces trois individus nient les faits. Le ministère public requiert une condam­nation sévère contre ces inculpés «pii ont com­mis d’autres dégradations, notamment en bri­sant les isolateurs de plusieurs poteaux télé­graphiques sur la roule de Creil à SeulisUél sur lesquels les plus mauvais renseignements- sont fournis. Matha «pii est repris pour infrac­tion ii arrêté d'interdiction de séjour, lest condamné à six mois de prison, Corni«pièt a quatre mois, Rollin à trois mois, et chacun àI l francs d'rmendc.

— Lé 20 février, l'agent de police Jouve, qui interpellait un charretier, lequel parmqia- •iresse, vouait de se rendre l'auteur «l'un utjci- doiit, purement ..matériel, se vit prendre à parti

ipar Sommennon! Charles, 35 ans, chanvlier. Ce dernier menaça l'agent de le•« retourner » ej l’outragea grossièrement.

11 s’entend octroyer quinze jours «le prison avec sursis.

— Sur opposition à plusieurs jugements i ai* défaut, rendus contre eux le 27 janvier der­nier, pour braconnage, Dumont Joseph, lu ans, et son acolyte llenne-grave Emile, 27 ans, sont condamnés chacun à six mois de prison 350 1V. d ’amendü.

Monlataire. — Rencontré en état complet d’ivresse, le 13 février, dans l’aprèn-midi, placé de la mairie, à Monlataire, Vavoloers Raymond, 18 ans, a grossièrement outragé os gendarmes Barbey et Sureau, qu'il a aussi frappé à (c.qpp vio pjpd et de poing.

Il attrape quinze jours de ‘prison et a francs d’amende.

Montlévcf/un. — Brebant Victor, 17 ans, et Brebant Jeau-Aniimi:, 14 ans, buis deux ouvriers bûcherons à Montlévèque, sont poursuivis polur vols. Les 17 et 19 janvier dernier, ils ont déva­lisé deux huttes de charbonniers,, l'iinc sise'au Biifi lerrijoire de Senlis, et l'autre au l’oteau Sainte-Marguerite, territoire de Muriel'qniaino, fracturant les malles et s’emparant de tous Ici objets et victuailles qu'ils trouvaient.-

En raison de leur âge, le Tribunal décidé jim lu» îdift^js Hfcban'». ont agi sans ilicçrnjo-

meui, lés acqultic et lês'muei.fft leurs parents.

Neuilly-en^Thclle. — Delaplace Léon, ans, rempailleur de chaises à Beaumont, trouvait à Neuilly-en-Tbelle, le 9 février. C me il était en état complet d'ivresse, le gt champêtre Desliens, voulu le conduire au poi Au lieu de suivre sagement le garde, Delapl l’outragea à plusieurs reprises.

Coût : huit jours de prison 5 fr. d’amendeNorjent-sur-Oise. — Le 3 janvier, Lori u

Fernand, soldat au 6e bataillon d’artillerie forteresse à Toul, étant en permission se r dait à bicyclette à Nogent, lorsqu’à l’angle la rue de Liancourt, il croisa les frères Ci Adolphe, 33 ans, et Cazet Raymond, 18 Ceux-ci prétextant qu’il les avait heurtés sa bicyclette l’invectivèrenl. Loriaux s’avi vers eux afin de s’expliquer, mais ausi Cazet Raymond lui porta un coup de eout qfii l’atteignit à l’épaule gauche. Se seni blessé le soldat porta plusieurs coups de po à son agresseur, c’est alors que Cazet Adol se servant de sa canne, se mit à en frap Loriaux qui se réfugia chez M. Sommere son beau-frère. Celui-ci sortit pour conn; les noms des individus, il fut pris à parti les frères Cazet, et put les tenir en respect dame Sommereux qui engageait son mai* rentrer, fut frappée d’un coup de bâton Cazet Adolphe.

Les frères. Cazet qui ont été condamnés violences, s’entend infliger : Raymond 3 de prison et Adolphe 25 francs d’amende.

Orry-la-yille. — Le 14;février, à heures et demie du soir, les gardes particul Binet et Pierre, ont surpris Louvet Emile ans, et Rousseau Hyacinthe, 43 ans, visi des collets au clair de lune.

Chacun des braconniers récolte un moi! prison 50 francs d’amende.

Senlis. — Sorti depuis peuj de la mai d’arrêt, Dumiel Gaston, 32 ans, qui en a gardé un bon souvenir, chercha l’occasion rentrer. Il se livra pendant quelques jours mendicité dans Senlis, puis voyant qu moyen ne réussissait pas, il se décida à \ un sac, que la dame Aubry, avait posé sur brouette.

Il passera pour ce fait, 'quinze jours maison d’arrêt.

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— Kergus Louis, 19 ans, arrêté le 2 m comme vagabond à Senlis, récolte huit de prison avec sursis.

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NATURE PRIX PRIX POIDSDBS DES DE NR’ DE

CEREALES 10 0 kii. l’hecto. l'h cto.

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Chronique Sportive.

A la Jeunesse de Crépi/.De Ci’épy :Belle et courageuse lutte dimanch

Ci'épy, entre le Foot-bali Club Colt zien . et le Groupe sp o r tif de la Jeun de Crépi/.

Reçues au train de midi 40, par li rivaux, les équipiers de ViIiers se d.aè-nt au local de i’Assuriuliuii. s'v par aient et arrivaient sur le terrain il lie.ire et demi. Trente minutes plus tr le coup d’envoi de la première ini-te était sifflé par l’ariiitre Thomas et le m; commençait. L'équipe Cpttéréziemie a ligue d'avants composée de M.M. Lefè Leblanc, Toilut, LegnirM, Sauvanet; demis sont .MM. Thierry, Berlin, Vue et les arrières Duvivier et Banian, F garde le but.

Du côté de Crépy les joueurs Vassal Vassal IL. Tessirr, r a r i i et lluel l’orn les avants ; comme demis nous avons genlais, Tiiery et Larricr, el connue nr rés Boulogne A. et fess ie r R.. -Mél court est toujours à son poste de gai goal.

Nos concitoyens sont agiles certes et réussissent i’url bien leurs passes; ils avaient cependant affaire à forte partie et

à la

ars,airs

clans la première mi-temps I eqadverse par des descentes audacieusesréussit à faire deux buts. Hatons-nous dire que le gardien du camp Crépynois au-dessus de tonte critique: le terétait en effet détrempé au jiujnt de rendre presque toute déit-nse impossible i ans l'enceinte dé réparation;

Dans ia seconde mi-lcnqis, arbitrée par M. ,1. Cardin, la Jeunesse de ttrépy se rc- saissit et profitant d'un terrain plus avan­tageux fait un but, après plusieurs esjsai? for! bien marqués.

La victoire était à Villurs-ttoltei èts, commandée par Lefèyrei ; elle a en lu un capitaine araent, maître ueses hommes, 11 est fort bien secondé par son lieutenant 'Fallut et par l’arriéré Bauian, dont les coups de pied font l’admiration de tous, yuan t à celle de Crépy, nos lecteurs con­naissent les mérites dé son capitaine .Vas­sal ; une menti,/.: à qui n'hésite pas à se mesurer cciutrè dés adversaires de beaucoup plus iourds que lai et à Rue qui Crépy doit l'honneur d'avoir fait bnf.

Nos botes avaient eu la délicate atl

{25! Feuilleton du C O U R R IE R deL ’O ISE

U M e de Patrice.PAR >

J e a n K F .R V A L L .

X III (suite)Explication acerbe, lettre lancée.« Il est à P a r is des m aisons séricit-

où les jeunes filles san s famille, a la recherche d’une position, tro u v en t un abri. E n a tten d an t que le jo u r se fasse pour m oi, je frapperai à une de ces p o r­te s bienfaisantes, e t y attend ra i patiem - m ent que le M aître des destinées me procure une m aison où je pourra : me suffire par m on travail.

c J e vous quittera i navrée de n ’avoir p u vous dire assez m a reconnaissance, je p a rtira i tr is te de ne pouvoir me jeter dans les b ra s d’Em m eline que j ’aim e comme une sœ u r. P u isse t elle ne j a ­m ais connaître la dou leur !

« Puisse aussi votre sa lon , m adam e n e jam ais accorder tro p de s upirs api toyés su r m on so r t! O n n e i t pas à plaindre lo rsqu ’on a po u r égide le ir,.-v a 'l e t la confiance en Dieu.

c Je suis, m adam e, e t serai tou jours votre toute respectueuse et bien reeon- naissante. t Micaëla C arville ».

M algré ia dou leur sourde qui la m i­n a it et la vision du passé qui fuyait com m e un f-n tô ice em po rtan t ses sou ven irs h eu reux , Micheffe s’efforça de se.’ouer sa to rpeur.

R ien ne modifierai ses résolutions.M achinalem ent elle p rit la seconde

enveloppe, exam ina l’écriture et le ca­chet p o sta1, ouv rit, couru t à la signa tu re et vit ; « P atrice L asteyran . »

— Mon D ieu ! soup ira-t elle, n ’aban donnez pas votre enfant ! J e suis sans fo rtune, presque pauvre m ais tro p fière pour to u t devoir pendant une exis­tence entière, faites qu'il m ’oublie ! Donnez-lui le courage, que je n ’au ra s pas, moi, donnez-le lui n im porte à quel p rix ? J e trouvera i dans la foi qui calme un abègem ent à mes souffrances: la douleur ne -tue pas

Comme si P a trice avait dû l’en tend ie, e l l e m urm ura ,/pâ le com m e une sta tue de l’angoisse :

— P a tr jç e , m on pauvre am i, que me voulez-vous? ’ ” ’ . . .

« En re n tra n t, écrivait-il, je trouve vos 'ignés désolées.

« V ous oublier, Michelle?t R en o n cer à vous '!« D ieu ne veu t pas que l’hom m e soit

lâche : il ne veut pas su rto u t que le fort abandonne I être faible au m om ent où ce dern ier fest sa tu ré de chagrins.

« N e plus vivre du souvenir de .Mon- treu x ? de l’espoir qui a lui, po u r nous, dans lee ro .fiers du T rien t ?

« R enoncer su c fèves éclos dans l’om bre de B eaum anoir?

* M ais de quoi vivrais-je donc. M i­

chelle, si je ne me berçais de l'espér.m u. no re un on prochaine.

t Cette pensée me soutient.« L ’assurance certaine de votre ont

pourra it seule nie faire te-ire aujou d hui.

« E u m ars v o u , serez nu jeu- e, quel excuse de re ta rd aui ez-vous alors ?

i Ne savez vous pas que nous som ­m es ci deux corps sans à m e v Vous nous avez to u t pris ! m a m ère se désole! il ne tien t qu’à vous d ’être te ray o n qui réchauffera son pauvre cœ ur glacé.

« Elle a tan t souffert, Michelle ! Ne m érite t-elle un peu de bonheur?

« C’est vous qui le lui donnerez !« V ous désirez qu itte r le to it de Mme

de C répol. C’est un sen tim ent que j ’ap p rouve depuis que j'a i pu ju g e r de l’iro- ri'e e t de la m échanceté dont est capa­ble une femme froissée.

c J ’ai souffert un peu po u r moi, m ais beaucoup en pensent que je ne pouvais rien po u r vous, si près !

A vez-vous réfléchi aux peines inévi­tables que vous aurez à subir chez des étrangers ?

« Vous faites-vous une idée exacte de la ty rann ie despotique sous laquelle vous pouvez tom ber !

« Ma douce petite amie, je crains que votre cœ ur boideversé s 'abuse! je tre m ­ble que vous trouviez su r v o tre - route de* exigeants qui n 'au ro n t pus pour vous les égards que vous méritez.

« Réfléchissez encore.« N 'existe t-il aucun m oyen qui vous

perm ette de supporter, saqs soufïr r, le tem ps qui nous sépare de mars?,

i Ma m ère me parle d’un co u v e rt de

î à •ré-

:sse

urs un- ré-

u ne ird, nps tcli sa

rre, les

îer, iart

M . ,eut\ r -■iè-an-’de-

tion de se faire accompagner par plusieurs membres de leur société dont le talent, comme joueurs de cor de chasse, est in­contestable. Comment pourrait-il d’ail­leurs en être autrement, si Ton songe que se trouvent parmi eux Paulus et Jean, les piqueurs de l’équipage Menier. Et nous eûmes ainsi l’agréable surprise de nous voir salués à notre sortie du terrain de Mermont par de magnifique fanfares qui se firent à nouveau plusieurs fois enten­dre sur tout le parcours de la route. De­vant le monuments des vétérans les trom- des jouèrent les Honneurs. A 4 h. 1/2 les rivaux fraternisaient a u . local de la Jeunesse de Crépi/ : MM. II. Boulée, se­crétaire du groupé sportif, A. Cardin, di­recteur de l’Association et Legrand, pré­sident du Foot-ball Cottérézien, levaient leurs verres aux succès réciproques des deux sociétés; puis après une courte visite de la ville les vainqueurs repre­naient le train de 6 h. 18 aux cris de vive Villers, vive Crépy.

Foot-ball-Association.Le G. S. de la Jeunesse de Crépy

contre le G. S. du Patronage Saint-R ieul.

Les trois équipes de la Jeunesse de Crépy viendront le 15 mars à Senlis, mat- cher contre leurs camarades du P atro­nage Saint-R ieul et leur offrir l’occasion d’une revanche.

Nous souhaitons auxinfatiguables sport- mens que-le beau temps soit de la partie et nous permette d’assister à une lutte qui sera, nous n’en doutons pas, des plus in­téressantes.

Le coup d'œil sur la magnifique pelouse de M. de W aru, ne manquera pas en effet d’être superbe.

Nous engageons nos lecteurs suscepti­bles de s’intéresser à ce nouveau sport, qui a pris beaucoup d’extension, d’assis­ter dimanche prochain, à cette belle par­tie. Ils se rendront compte de l’agilité, de la souplesse dont il faut faire preuve pour lutter contre le camp de Crépy.

Allons ! petits et grands courage ! sou­tenez-vous bien dimanche prochain pen­dant le match et avec l’agilitè, la persévé­rance et l’endurance qui vous caractéri­sent, faites triompher le camp senlisien.

M atch am ical.Dimanche dernier sur le terrain des

Grandes Ecuries, le Club Français est venu se rencontrer avec l’U. S. Chantilly.

La partie commença à 2 h. 30 et après un quart d’heure de jeu le Club Français marqué un but.

L’U. S. Chantilly reprennent le coup d’envoi, et peu avant la ini-temps, un se­cond but est marqué par le Club Français.

Pendant la seconde mi-temps, aucun but est marqué.

Le Club Français remporte donc la vic­toire par 2 buts i 0 .

rCACAO FLICKFabrlqa» b AMSTERDAM (Hollandk) J

Goût français. Ses Magasins de l 'U n io n c o m m e r c i a l e

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deestain

FAITS LOCAUXS ia ro n . — Grande représentation. —

On nous écrit : L'Echo Jicpublicain qui se prétend toujours si bien informé ne souille pas mot de l'arrivée, dimanche pro­chain, à Baron, de son ami Chqpinet dit « Quinze mille francs. » Ou'esf-ue que cela veut dire? N'approuve-l-il pas ce voyage, voit-il de mauvais œil le « Quinze nulle francs » de Crépy se faire « barber » par la poignée de radicailions «le Baron ?

Nous n'en savons rien : en tout cas, il parait que ces derniers se préparent à

'recevoir avec la plus grande solennité M. Uhopiüc!.

La traditionnelle salve d artili rie sera pour eeite fois remplacée par quelques eou»ps de fusil à piston tirés, nous dit-on, par un vieux soldat, plusieurs fois ren- gagé. Un grand banquet aura lieu en l'honneur de M. Cbopinet, qui en profitera pour placer un de ses plus importants dis­cours et surtout faire une distribution copieuse de rubans. Un se rappelle que {'année dernière, par suite d'un oubli bien regrettable,' notre « Quinze Mille Francs » avait laissé sa valise de mercerie, conte­nant des rubans de toutes nuances, à la eonsigne de la gaie de Crépy, où un adroit pick-poeket l’avait subtilisée; M, Uh/. p inetse propose, dans son discours, de démontrer que les retraites ouvrières, votées par la Chambre, rejetées par le

«sénat et la Commission, ne constituent qu'une vaste fumisterie et que les exi­gences de la vie ne permettegi pas aux Parlementaires de qç tirer* d'embarras avec UL.muo francs. Il expliquera également que si tout est augmenté, sauf les salairçs des ouvriers, ceux-ci, bien nue vivant de privations, peuvent Testimer heureux d'avoir F asti me et fa confiance du gouver­nement de la République. (Triple salve d'applaudissements !!!j

Après ce discours, (dont Y Echo nous donnera un compte-rendu in-extenso) et un dernier coup de cidre, on illuminera à giorno , et la République sera une fois de plus sauvée. En s’-en allant, M. Chopi-.* net, comme il le fait à l’issue de chaque banquet, pourra s'écrier : « C’est le plus beau jour de ma vie ! »

Un Barormais.P.-S. — Nous avons reçu d 'autre part

une communication très intéressante que nous sommes obligés, faute de place, de renvoyer à notre prochain numéro.

B é t h i s y - S a i n t - M a r t i n . — D élit ciiam pétre. — Le garde champêtre a été requis de constater le dégât occasionné par la voiture de M. Picart Prudent, culti­vateur, dans un champ de M. Dubois. U a, en conséquence, verbalisé contre M. Pî- cart.

B é t h i s y - S a i n l - P i e r r e . — C o n f é - . r e n c e . — Le professeur départemental d’agriculture fera sa conférence sur les Ecoles ménagères agricoles, le dimanche 15 mars 1908, à 5 heures du sohv â la mairie. ^■ Cette conférence sera publique et gra­tuite. MM. les instituteurs et agriculteurs et, d’une manière générale, tous ceux qui s’intéressent aux progrès agricoles, sont invités à y assister.

B e t z . — Commencement d’lncendie . — Au cours de la matinée enfantine du 1er mars, un petit accident, qui aurait pu être grave, marqua la fin de la cérémonie : un commencement d’incendie, occasionné par un feu de bengale, fut vite éteint par le dévoué lieutenant de pompiers, qui eut ses lubits quelque peu endommagés.

Quelques carreaux durent être cassés pour faire évacuer la fumée.

B o u rs o n n e . — A ccident. — Mlle Gourlot, fille de notre concitoyen M. Gour- lot, se promenait vendredi dans son jardin, quand, par suite d'un faux pas, elle tomba si malheureusement qu'elle se brisa le péroné. Le médecin, mandé aussitôt, ré­duisit la fracture et espère que d'ici deux ou trois semaines la guérison sera com­plète.

C h a in b ly . — N o u v e a u P e r c e p t e u r . — M. Laurens, commis principal, des contributions indirectes de la Seine, est nommé percepteur de 3a classe à Chambly (candidature exceptionnelle).

— L a F ête du B ois-H ourdy. — La fête du Bois-Hourdy a été très réussie cette année. Dès mercredi, l'arbre, dû à la gé­nérosité bien connue de M. Eug. Auvert, avait été dressé sur la place du Marché.

Le dimanche, malgré, un temps maus­sade, la cavalcade a parcouru la ville aux accents entraînants des pas redoublés de la Fanfare. Les chars, bien ornés, bien représentés, les costumes très frais des cavaliers, ont beaucoup plu à la foule nombreuse qui suivait le cortège.

Le soir, l’arbre a été brûlé aux cris en­thousiastes des assistants, et le feu d’arti­fice a cbUuré la fête dont on conservera bon souvenir.

Les bals, cela va sans dire, ont été très animés.

— C o n fé re n c e R ép u b lica in e du 29 f é ­v r ie r . — Compte rendu :

On; est venu ;Elle a eu lieu ;On est parti ;C'est toul.

C lu u in ily . — S ociété colombophile.L Union Colombophile de Chantilly s’est

réunie en assemblée générale le 28 février 1908, au siège social, Café de la Gare.

M. Pei’pi'tte, le sympathique et dévoué président, après avoir donné la parole au secrétaire pour la lecture du procès-verbal île la dernière séance, a fait part à Ras­semblée qu il avait reçu une lettre du pré­sident de la Société Colombophile d’Ande- viiie, lui demandant si la Société de Ghan- lilly voudrait déléguer deux ou trois da ses membres à une réunion préliminaire (pii aurait lieu à Creil, pour je ter les bases d'une fédération dans l'Oise.

Après discussion sur futilité de, cette -association, MM. Perpette, Commien et Lynham ont été désignés pour représenter ia Société à celte réunion,

L assemblée fut appelée à donner son avis sur la radiation d un des membres de la Société par l'application de l'article G du règlement, par 11 oui, 1 non et 1 bul­letin blanc, la radiation a été proclamée.

Les entraînements commenceront la 20 avril.

Les concours de vieux pigeons pour i année 1908 auront lieu aux dates sui­vantes: 14 juin sur Blois, 50 fr. de prix *.» juille t: Bord eau x. 12_5 fr. de prix.

Les concours de jeunes, sur Brétigny et l ours, seront datés à la prochaine réu- mo.u.

Un concours dit dos non-primés arec pr;x ollerts par Perpette et Commien aura lieu a la suite des concours précé­dents; tous les pigeons seront admis.

Pour le jour de la fête communale, il a été décide d organiser un concours de fa­çon que l’arrivée des pigeons eut lieu t'a près-mi «p. Us seront constatés sur fa place de la fête ; 50 francs de prix seront ôtturis.

dam es où vit une de sejs am ies. Vouj'ez- vous qu’elle vous p rocure les renfeei g rem en ts nécessaires?

« Indiquez lui un.lieu com m e renjlez- vous

: « Il lui se ra it pénible d’avoir à (re­tourne- chez Mme de ‘Jrepol.

« J e vous en conjure, Michelle, ac­ceptez .e tte dete-m natjon.

« N 'avez pas le coürage d’attrin ter un cœ ur que vous savez to u t vôtre.

•s Ne tuez pas la vie en m a m ère qui se ré jou it de vous avoir pour son en­fant

•t Craignez vous de ne pouvoir lu tter peud ,n i tro is m ois con tre les obsessi 3ns qu-, peut ê tre , ne feron t pn.s m énagées p ar m adam e Je C epul ?

« Si vous, deviez douter de moi un seul in s ta n t, avouez-le . J ’essayerai d o u b h e r, ou p lu tô t je ferai commis si j ’oubliais !

« U ne dernière prière : veuillez Cidre connaître à ma m ère ie lieu de • vôtre

•séjour, iiile r. quc’que dro it à vous protéger.

« P a trice L a s t e y r a n .

X IV

Emmeliue se m ontre.

fîn acceptant ie départ de Michelle, la m ère adoptive croyait que le silence se fera it au to u r d’e fe .

L ’éloignem ent de la jeune fille n ’était- il pas en m êm e tem ps l’éloignem ent de to u t ce qui pourra it ê-re pour elle un su je t de soulfruiu e-* intim es ?

E l'e avait com pte sans Em m el

qui, loin de se douter des incidents su r­venus pendan t une sortie que lui fit faire sa m ère, a rriv a comme un coup de ven d«ns le petit salon.

E lle dem anda M ichefe.S u r le silence de sa mère, elle so rtit

et couru t dans l’atelier où la jeune artiste quelquefois se réfugiait.

P erso n n e .— Savez vous où est m adem oiselle

M iche'ie ? dem anda t elle à la femme de cham bre.

S u r une réponse négative, Em m eline rev in t au salon.

— Mais, enfin, m am an, dis-m oi où est Micheile ? J e ne ia trouve nulle p a rt. Il n ’entre pas dans ses habitudes de sortir. Elle n 'est certainem ent pas dans la m aison.

Em m eline était l’enfant gâtée qui arrive tou jou rs à ses fins.

E lle v n t su r le canapé près de sa mère.

— A ssieds-toi là, dit ceile ci quelque peu nerveuse.

— T iens ! l’explication dem ande un to n sentencieux,. Michelle serait-elle en peniteqce ? A lu cave, au grenier ?... Je dem ande grâce ! Oui, oui, grâce, je ■ne veux pas res e- seu :e . C 'est bien p lus am usan t quand Michelle est là...

Id.ie.use, elle s’é:ait approchée de su m ère et l'avait eiqbrassée

Celle ci c m prit qu ’il frôlait en finir.— M ’chelle est p a r t ;e, expliquait elle,

et il se pourra it qu. nous ne la voyions pas de p lusieurs jou rs.

E lle évita le regard surpris de sa fille— T u plaisantes, m am an... Michelle

partie' ?.. 'Seiile ? .. sans nous ?... Tu

ne me fera pas croire cela ?- Rien n ’est plus v rai, cependant.

Elle s’arrê ta .Em m eline com prit que sa m ère p a r­

lait sérieusem ent.Elle se tro u b la .

—• Q ue se passe-t-il, dem anda t elle anxieuse ?...

Cette fois les yeux de m ère plongè­ren t dans ceux de la jeune fille.

— D es événem ents que les circons­tances impnévues m 'o n t forcé de préci­p iter . Il fallait bien parler... A u jou rd ’hu i ou dans quelques m ois... C’est fait, il n’y a pas à y rem édier.

Em m eline pâlit.-— Mais, enfin, u n accident est-il a r -

rive à Michelle. Explique to i, m ère chene : je ne com prend rien Ace que tu me dis.

J ’au ra is préféré te la isser dans l ignorance la p lus com plète su r ce qui se passe, m ais je com prend m ain tenan t 1 im possibilité de m on rêve.

E,lle soupira, puis elle con tinua :— A p a rtir d au jou rd 'hu i, Michelle

ne vivra p lus sous no tre to it : elle en a décidé ainsi.

fille"!^C v ivra Pîus réPéta ta jeu n e— N on.

D J u ? Ue S eSt '* d° nc Passé- Sra“ d— P u isqu il fout que tu sois*au 'cou-

t 0 Ht > .Sache d 'abord , m on Lm m e m e adoree, que m adam e L as- teyran est venue h ier me voir.

La figure d’Ernm e ine se détendit.Lite eçau iait halçtan(e,

(A suivre.)

Unqa u ra i

M. ! fonda d’art ( qui ad née, !

11 ( d’un i dec

M. tour (

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séance!

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Le r | au Chef ch'assel la Troq

lilion, ] été /« n i à liicyc maie, eès-ver|

soir, avait blisseid la fera verbal. I

Ce d i dannesf sionnail sou livJ étaien t! second!

CiMNous 'i l Postes I chercha ses se ra

Ledérem il

C rclChoralq gyacieu salie la son cod année <

Plus | salent pertab ll avons J peccabll tés p a ri c ro issa j prêté façon i lion pra auquel je lieu i

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Page 3: -s-?: CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMESbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_03_12_MRC.pdf · pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur

Après ce discours, (dont l'Echo nous onnera un compte-rendu in-extenso) it un dernier coup de cidre, on illum inera i giorno , et la République sera une fo is le plus sauvée. En s’en allant, M. Chcrpk let, comme il le fait à l’issue de chaque5* lanquet, pourra s'écrier : « C’est le plus

net, comme il le fait à l’issue de chaque' banquet, pourra s'écrier : peau jour de ma vie ! »

Un Baronnais. P.-S. — Nous avons reçu d’autre part

fine communication très intéressante que b"us sommes obligés, faute de place, de (•envoyer à notre prochain numéro.

liéthisy-Saint-Martin. — D é l i t niAjiFÊTRE. — Le garde champêtre a été

requis 'de constater le dégât occasionné par la voiture de M. Picart Prudent, culti­vateur, dans un champ de M. Dubois. Il a, en conséquence, verbalisé contre M. Pî- fcart.

Béihisy-Saint-Pierre. — Confé- hK.vcE. — Le professeur départemental n'agriculture fera sa conférence sur les fi oles ménagères agricoles, le dimanche

mars 1908, à 5 heures du soir,, â la nairie. ’Qf-

Cette conférence sera publique et gra- lu ite . MM. les instituteurs et agriculteurs Kt d’une manière générale, tous ceux qui l ’intéressent aux progrès agricoles, sont Invités à y assister.

Î S e t z . — C o m m e n c e m e n t d 'i n c e n d i e . — Vu cours de la matinée enfantine du 1"

loars, un petit accident, qui’aurait pu être l- ave, m arqua la lin de la cérémonie : un lom m ençem ent d’incendie, occasionné par l u feu de bcngale, fut vite éteint par le lévoué lieutenant de pompiers, qui eut ses lah its quelque peu endommagés, l,Q uelques carreaux durent être cassés |o u r faire évacuer la fumée.

i t o u r s o n n e . — A c c id e n t . — Mlle çur-lot, fille de.notre concitoyen M. Gour- il se promenait vendredi dans son jardin,

lu ind, par suite d’un faux pas, elle tomba B malheureusement qu'elle se brisa le le roné . Le médecin, mandé aussitôt, ré- lu isit la fracture et espère que d’ici deux l u trois semaines la guérison sera com- I h le.

Chambly. — N o u v e a u P e r c e p t e u r .M. Laurens, commis principal, des

intributions indirectes de la Seine, est10 nmé percepteur de 3“ classe à Chambly Trndidature exceptionnelle).

— L a F é t e d u B o is - U o u r d ï . — La fête Bois-Hourdy a été très réussie cette

nuée. Dès mercredi, l'arbre, dû ï la gè­le osité bien connue de M. Eug. Auvert, m i t été dressé sur la place du Marché.1 Le dimanche, m algré un temps maus- bue, la cavalcade a parcouru la ville aux p ents entraînants des pas redoublés de i Fanfare. Les chars, bien ornés, bien (présentés, les costumes très frais des p a lie rs , ont beaucoup plu à la foiile tm bréuse qui suivait le cortège.I T.e soir, l'arbre a été brûlé aux cris en- bousiastes des assistants, et le feu d’arti- |:e a Clôturé la tète dont on conservera Du souvenir.w js liais, cela va sans dire, ont été très

minés.

-! CnlNFÉIlKNCE PiûrUIiLICAI.NE DU 29 FÉ- ju :k. — Cnmplt' rendu :11 n est venu ;II Ile a eu lieu ;

’n esl parti ;l 'est-toul.

I * l i n n i i i t v . — S o c i é t é c o l o m b o p h i l e , t '/U nion Colombophile de Chantilly s'est (unie en assemblée générale le 28 février Acn, au siège social, Café de la Gare.I - Perpette, le sympathique et dévoué l i <iile.nl, après avoir donné la parole au — claire pour lu lecturejdu procès-verbal » :a dernière séance, a fait part à l'as- l t Idée iju il avait reçu une lettre du pré- i 'J i t de la Société Colombophile d'Ande- ■ ; lui demandant si la Société de'Chan-

voudrait déléguer deux ou trois da nombres à une réunion préliminaire

_i aurait lieu à Creii, pour je ter Tes bases li m fédération dans l'Uise.■Après discussion sur l'utilité de cette fci’ciatiqn, MM. Perpette, Coramien et ■i Uam ont été désignés pour représenter ■S iciété à cette réunion,|L assemblée fut appelée à donner son Is sur la radiation d'un des membres de ■Société par l'application de l’article G I règlement, par 1 1 oui, 1 non et 1 bul- i : blanc, la radiation a été proclamée.1. ‘S entraînem ents commenceront la

■avril.I . s, concours de vieux pigeons pour l i ièe I9t)8 auront lieu aux dates sui- | i ç s : f i juin sur Mois, 30 fr. de prix ; l i H tri : Bordeaux, 123 fr. de prix, ft. S concours de jeunes, sur Brétigny et l i -s, seront datés à la prochaine réu-

i i concours dit dos non-primés avec K offerts par MM. Perpette et Commien l a lieu a. la suite des cuneours précé- l ! , ; tous les pigeons seront admis.F ur le jo u r de la féte communale, il a ■décide ,1 organiser un concours de fa- I que t’arrivée des pigeons eut lieu ires-m idi. lis seront constatés sur ta I" la féte ; 30 francs de prix seron t.

■ nie fera pas croire cela ?; 'R ie n n ’est plus v rai, cependant.

J l e s 'a rrê ta .Ei îm eline com prit que sa m ère par- I sérieusem ent, f i e se tro u b la .- Q ue se p asse-t-il, dem anda t elle

rieu se ?...4 e t e f&ïs les yeux de m ère plongè- | t dans ceux de la jeune fille. t - Des événem ents que les circons- Jces im prévues m 'o n t forcé dte préci- l r . Il fa llait bien parleF... A u jo u rd ’h u i lo a n s quelques m ois... C’est fait, il l a pas à y rem édier.|m m e lin e pâlit. , t

enfin, u n accident est-il a r - i Michelle. E xplique to i, m ère

r i e : je ne com prend rien à ce queb c dis.

I au ra is préféré te la isser dans io r a n c e la p lu s com plète su r ce qui la s s e , m ais je com prend m ain ten an t * ■possibilité de m on rêve.(lie soup ira , puis elle con tinua :|- A p a r tir d au jo u rd 'h u i, M ichelle J '/ j r a p lu s sous no tre to it : elle en a lu e ainsi.> \ e v iv ra p lus ici, rép é ta la jeu n e

I N on.I 'd u e s est il donc passé, g ran d

[ 1 u isqu il fau t que tu sois au cou­de to u t, sache d’abord , m on

rm.,rae adoree, que m adam e L as- an e s t venue h ier me voir, i figure d E m m e ine se détendit

■le écoutait ha le tan te ,(A suivre.)

Ü m , .

ü

Une exposition de pigeons voyageurs au ra lieu égalem ent su r cet em placem ent.

M. Lynham , le sym pathique tré so rie r et fondateur de la Société, a offert un obiet d’a r t qui sera donné en challenge, à celui 11 au ra eu le plus de succès cEaque an­née le iour du banquet annuel. .

Il’ est ensuite procédé à la nom ination d 'un m em bre du com ité, en rem placem ent

^ I ^ G a m e l in H enri est élu au p rem iertou r de scru tin . . . ____

Le bureau se trouve ainsi fo rm é . .M. Vallon, m aire de Chantilly, p rési­

dent d’honneu r; »Président, M. Perpette ; .Vice-président, M. Commien;Secrétaire, M. R ouilhac;T résorier, M. Lynham ;Commissaires, MM. W u ia rt e t Gamelin

H Rien n ’étant plus à l’ordre du jo u r, la séance fut levée à onze heures.

I nstitut Notre-Dame. — O uverturedes cours spéciaux. — Cet établissem ent, déià si renom m é dans la région, donne aux jeunes filles une éducation e t une în s tric tio n aussi com plète que soignée.T es arts d’agrém ent, le travail m anuel, l'économie domestique sont enseignées Dar de dévouées m aîtresses et expérim en­tées dans ces branches si im portan tes de l'éducation de la jeune fille. A l’In s titu t Notre-Dame, on prépare , non seulem ent des candidates aux différents brevets uni­versitaires, mais on form e su r put des jeunes filles distinguées, accom plies, qui seron t plus tard d’excellentes m eres de famille, des femmes d in té rie u r ou d ha­biles com m erçantes. .

L’Institu t Notre-Dame vient encore d a- jo u te rà son program m e d’enseignem ent si complet, des cours spéciaux faits p a r d’ém inents professeurs parisiens que pour­ron t suivre les dames et dem oiselles de Chantilly et des environs.

Le m ercredi, le docteur C ram er, licen­cié ès-siences, du lycée Condorcet, fa it un cours de m athém atiques, de chim ie de physique, d’histoire naturelle , e t 1 abbé Baudoux licencié ès-lettres, un cours d 'histoire et de littéra ture. Les langues étrangères ne sont pas négligées, pas plus que la coupe et la couture m éthodi­que, enseignées par Mlle Marcelle., m em ­bre de l'Académie de coupe de Paris .

Cette énum ération, mieux que ce que nous pourrions dire, suffit pour appeler l’attention des fam illes su r 1 é tablissem ent réputé qu'est l’Institu t N otre-Dam e de Chantilly.

_ Chasse a co u rre du vendredi 6 mars. — Eguipage de M gr le duc de Chartres. Le rendez-vous à N ibert, à m idi unetroisième tète éta it lancée à la P ie rre tou rnan te ; après deux heures de chasse, il se lit prendre à la Biche.

— Chasse du lundi 7 mars. — En forêt de Chantilly, la chasse de M gr le duc de Chartres fut faite par un tem ps pluvieux.

Le rendez-vous aux V ignettes, l’attaque au Chemin Vert, et après 2 h . 30 m. de chasse, une troisièm e tète se ht p rend re â la Trouble rie, près des E tangs.

_ défendu — Dim anche dern ier, Da- libon, palefrenier, demeur; n t à Avilly, a été rencontré par les gendarm es circulant A h v v c 'e ttr sur le tro tto ir de la rue d A u­ra aie, a été, pour ce fait, gratifié d’un p ro ­cès-verbal.

_ Le 1" m ars dern ier, vers 11 h. 33 du soir Lafonl, débitant de boissons, qui avait conservé des clients dans son é ta ­blissem ent après l’heure réglem entaire de la ferm eture, s ’est vu d resser procès- verbal.

Ce débitant ayant fait observer aux gen ­darm es que ces clients étaient des pen ­sionnaires, ces dern iers lui dem andèren t son livre de logeur, et comme ceux-ci n y étaient pas inscrits, il s’est vu d resse r un second procès-verbal pout ce la it.

C i r e s - l c s - M c l l o . - L a P oste. -Vous apprenons que l’A dm inistration des Postes et T élégraphes se préoccupe de re ­chercher un local pou r 1 installation de

^ j j f b a i ) du bureau actuel prend lin en décem bre de cette année.

O e i l . — CuNijiRï de la Chorale. — La Chorale â qui la Lyre Amicale a ] rè té son oracieux concours, a o lle rt sann di sou , salie Beuvelet, à ses nom breux invites, son concert annuel qui a rem porté cette année encore un très légitim e succès.

Plus de douze cents personnes rem plis­saient la vaste salle, qui m algré ses re s­pectables dim ensions était Çôniidc, Nous avons p laisir a consta ter tout d abord ! im­peccable correction des m orceaux exécu­tés par la Lyre et le? p rogrès .toujours cro issants de la jeune Chorale qui a n itu prêté ïr ia n o n et Gaule et frange : de façon m agistrale, les p rogrès sont <f.U" bon présage pour le prochain cuneours auquel doit prendre part la Société et dont je lieu doit ê tre a rrê té à m s une prochaine

LE COURRIER DE L’OISE

réunion. Nous sommes heureux à celte occasion de féliciter le dévoué président de la Chorale qui grâce à son dévouement incessant peut revendiquer une bonne part des succès de la jeune Société.

Les artistes parisiens qui se sont fait entendre ont tous été à la hauteur de leur tâche, nous tenons à citer notamment MM. Pauley et Dupré, le premier est un très bon comique et l’homonyme du célébré ténor, un baryton qui possède une voix merveilleusement timbrée, le V ieux M en­d ia n t de Delmet, a été pour l’artiste un juste et mérité succès. Après l’exécution de G aule et France, M. Aury-Pauquet, a prononcé le discours suivant longuement applaudi.

Discours de M. A u ry .Mesdames, Messieurs,

Je constate comme les années précédentes que la Société la Chorale de Creilest toujours estimée, la raison est toute indiquée, c’est votre présence à-notre concert de ce soir.

Aussi je suis heureux de prendre la parole pour vous adresser en mon nom personne! et au nom de tous le membres du Comité et exé­cutants de notre Société, nos remerciements pour l’honneur que vous nous faites en venant en aussi grand nombre écouter tous nos ar­tistes musiciens et chanteurs.

C’est la meilleure preuve de l’intérêt que vous portez à la prospérité de notre Société, qui n’en sera que plus encouragée, et je suis satisfait de reconnaître ici la , grande faveur dont jouit la Chorate.de Creil dans son pays natal. . . . ,

En tant que Président, j ai le plaisir de faire connaître publiquement le succès le plus récent de la Société, bien qu’il ait déjà été publié en 1907, au grand concours de Versailles. Je dois vous dire que nous étions quatre Sociétés concurrentes.

Récompenses : à la lecture à vue, un 2" pre­mier prix, une palme ; à l’exécution, un 2e prix, une palme. Mais au concours à l’honneur, nous avons obtenu le premier prix, une couronne et 150 francs en espèces.

Si ces lauriers obtenus la. récompensent agréablement des efforts fournis en commun, ils n’en sont pas moins sincèrement mérités et sont également un grand encouragement au travail et à la vaillance de ees messieurs les choristes.

Notre Société ne s’occupant que de faire du chant et son unique but étant de joindre l’utile à l’agréable, c’est pourq«oi nous avons fait appel à sa sœur musicale, la Société philarmo- nîque, de nous accorder à nouveau son gra­cieux concours.

Merci à son Président, M. Navelier, et à son dévoué chef et ami de tous pour le bon accueil qu'ils ont toujours témoigné à la Chorale de Creil, sans oublier mesdemoiselles et mes­sieurs les artistes musiciennes et musiciens pour la bonne musique douce et agréable que vous venez de nous faire entendre.

Aussi je me fais l’interprète de la Société et de toutes les personnes présentes pour vous exprimer notre satisfaction et la sympathie que nous avons pour la Lyre Amicale.

Avant de reprendre celte belle soirée, mes­dames et messieurs, d’aimables personnes vont avoir l’honneur de passer près de vous pour faire une quête dont le produit sera pour la Chorale et les pauvres de la ville de Creil.

Aux généreux donateurs, merci.Un bal des plus anim és qui a, le lende­

m ain, fa it la joie de toute la jeunesse creilloise, a superbem ent clô tu ré cette petite fête en deux parties si réussies.

— V o y a g e u r a s s a i l l i . — Mercredi der­nier, Charles üeliè'ge, 43 ans, bûcheron à Arras, avait dû se rendre a Paris pour toucher une indemnité consécutive à un accident, et après avoir fait quelques am- plettes, il se dirigeait vers la gare du Nord pour rentrer chez lui. Etant en avance, il entra dans un café pour attendre son train, lorsque deux individus m arquant mal vinrent s'asseoir à ses côtés ; se rendant au guichet il prit son billet, monta dans son compartiment toujours escorté de ses deux gardes du corps qui raccompagnèrent jusqu à Creil en baragouinant de l'étran­ger. A un moment donné cependant, il crut reconnaître que ces deux individus se fai­saient des signes d’intelligence, et au heu de céder à la fatigne qui l’accablait il se tint sur ses gardes. Bien lui en prit, car à peine ce tram qui repart à 9 h. 21 du soir pour se rendre â Amiens, quittait-il la gare, de Creil, que les deux voyageurs sautèrent sur Deliègeet lui firent les poches : il tira la sonnette d'alarme, le train qui venait de quitter la gare, s’arrêta aussitôt, et les Jeux malandrins, bien que protestant de leur innocence, purent être cueillis par le

C'-darme de planton. L'un est un sujet behrn Jysênli Wemans, âgé de 20 ans, se disant couleur, et l’aptl’e, hollandais, Pikoo Iiisson 2 il ans, se déclare marin. Ils avipeiq tous deux an billet pour Pierreülte, et fouillés se déclarant tpqs 4 euX possesseu) s de 4 fr. et quelques centime», une sommede K) fr. fiit trouvée en outre dans la poche de l’un d’eux. Leur culpabilité ne faisant dcmv pfpa 0u (Joule, ils ont été arrêtés et ççroués pouf yoi ej jufiaujipq à |a J yhop des chtWiÜiS d'; fW>

— L a r e t r a it e d e M. D e l a h e RCUS, - y L'actif contrôleur de la Cie du Nord â Creil, M, Delaherche, vient de prendre une rplrqtU pieu i r r i t é e . Il est n mplaeé par M. Beuueuuri, coiqrôjeur * liûyP t Somme). I

— P a s s a g e d ’u n S o u v e r a in . >— A S h. 50, dans l’après-midi, un train spécial dans lequel était monté le roi d’Angleterre pas­sait en gare de Creil et se' dirigeait sur Paris.

Un service d’ordre, organisé par le capi­taine Lang, pour la gendarmerie, et par M. Séquiés, commissaire de police de Creil et de son collègue de Montataire, était établi depuis Creil jusqu’à Survilliers.

— N o m in a t io n . — Nous apprenons avec plaisir que notre âmi Lucien Cazier a été nommé, dimanche dernier, a une très im­portante majorité, sous-lieutenant de la Cie des Sapeurs-Pompiers de Creil, en remplacement du regretté Chariot, décédé.

Nous ne pouvons qu’approuver cet excellent choix et adressons toutes nos félicitations au nouveau sous-lieutenant.

— L e s é n e r g u m è n e s . — Dans la nuit de dimanche à lundi, vers une heure et demie, M. le Commissaire de Police et les agents de patrouille invitèrent une bande d’indi­vidus surexcités qui se trouvaient dans la salle des Pas-perdus de la gare, à vider les lieux et â se tenir tranquilles. Mais ceux-ci loin de tenir compte de ces bons conseils voulurent se payer la tête des agents, l’un d’eux, Puisier Gaston, se montra même très grossier employant en­vers le Commissaire des expressions plus qu’orduriéres, ainsi du reste que son ca­marade Piolet Oscar. Comme les agents emmenaient le premier de ces drôles Cru- nel Eugène tenta de le dégager proférant force menaces et injures envers ses gar­diens. Arrêtés tous trois ils ont été mis à la disposition du Procureur de la Répu­blique. Piolet pour outrages à magistrat ; Puisier pour même délit et port d’arme prohibée, Crunel pour rébellion et outrages

C r é p y . — L e B a l de s o c ié t é . — La soirée dansante offerte par un groupe de nos concitoyens aux jeunes filles de Crépy a été un véritable succès grâce aux soins apportés à sa préparation et à l’aflluence des danseuses et dansenrs.

Dès 9 h. 1/2, les salons de l’hôtel des Trois-Pigeons se remplissaient de jeunes filles aux délicieuses toilettes, s’harmoni­sant parfaitement avec la délicate orne­mentation de la salle. Les commissaires n’avaient rien négligé pour faire bien : leur réussite a été complète.

L’orchestre, compose de MM. Villaume, 1er prix du Conservatoire, Hénault père et fils, Richard, Gourlot, Giot et Marot fut, lui aussi, au-dessus de tout éloge, et toute la nuit, danseurs et danseuses s’en don­nèrent à cœur joie.

Mais, à Crépy, il n’y a pas de fête sans que les malheureux n’y soient associés : aussi Mlles Lebrun, fille de notre sympa­thique receveur des postes, et Lacroix, professeur de musique, accompagnées de MM. G. Barraud et M. Colmout vinrent- elles, entre la première et la seconde par­tie, tendre la main pour les déshérités. Elles recueillirent la somme de 23 fr. 50 qui sera partagée entre deux familles né­cessiteuses.

Les organisateurs ont, nos lecteurs peu­vent s'en rendre compte, droit à toutes nos félicitations et nous sommes heureux de les leur adresser ici.

Nous croyons savoir que cette fête aura un lendemain. Nous en reparlerons dans notre prochain numéro.

— A la Société de Secours m utuels de Sa in t François Xavier. — La Société de Saint François Xavier a tenu, ainsi que nous l’avions annoncé, sa réunion, salle du Vieux Château.

Avaient pris place au bureau : MM. Abraham, curé doyen ; Têtu, président ; Turcq, secrétaire ; Dérest, trésorier ; An- glarès, vicaire de Crépy; Dauvergne et Chèrequefosse, membres du bureau.

Après la récitation du M agnificat et du De P ro fundis, à la mémoire des mem­bres de la Société décédés, le secrétaire donne lecture du procès-verbal qui est adopté.

Il est ensuite procédé à l’admission défi­nitive de M. et Mme Despré, de MM. Tho­mas, Julien, Fèvre, de M. et Mme Bateau.

Le tirage de la tombola habituelle favo­rise MM. Dubois Ch., Richard V. et Des- jardins Emile, ainsi que Mmes llazart- Carpentier, Violet-Poirée et Lebon-Le- blanc.

Ainsi que nous l'avions dit également, les enfants de l 'Œ u vre du Jeud i inter­prétèrent une petite comédie en un acte : l e s .Pprilri# de M allu /fin . J/;s jeunes acteurs y furent très applaudis,

D u v y . ----- Cause* Mondais. — Nous apprenons avec plaisir les fiançailles de .Mlle Pauline Leblan, fille du sympathique maire de Duvy, avec M. Henri Delp/anqu, pullivateup i) ja fproie de Bainje-J/ucp, commune de Béthisv-Saint-Mariin.

j/e mapiatre sepà péféliré |e ;iO ipqrs pro­chain, à onze heure», eu l’Eglise Saiut- Dénis de Crépy.

Nous sommes heureux de présenter aux jeunps gens et â leurs familles nos siu- ppres eômpiinjeûis.

L a m o r l a y e . — Le Tir a l’Dimanche 1" m ars, il a été pr

O ise a u . — icédé, sur

la piste du château, au tirage de l’oiseau, qui a été abattu à la 36° haltevalier Louis Berguer, lequel a ......-----proclamé roi par la Compagnie pour l’année 4908.

offrait à concert

énorme âtre Van

M o n ta ta i r e . — Concert annuel de l’Harmonie M unicipale. — Samedi der­nier, l ’H arm onie m unicipa le ases membres honoraires son annuel.

Dès 7 heures du soir, une fou se pressait à , l’entrée -du thé Ticnelen et à*8 heures la salle, trop petite pour recevoir les invités était archi-com- ble, aussi est-ce à grand peine que les derniers arrivants trouvèrent de la place.

A huit heures et demie précises, l ’H ar­monie m unicipa le exécutait une superbe marche avec clairons et tambours, et le concert commençait aussitôt.

Le programme composé avep goût fut exécuté ponctuellement et tous lés artistes amateurs ont été parfaits dans leurs diffé­rents genres. Les applaudissements ne leur ont point été ménagés, ce qui dé­montre que les spectateurs ont été très satisfaits. '

M. Léger a «hanté ses romances avec beaucoup -de sentiment. MM. Mièze et Décatoire ont été désopilants et ont pro­voqué un éclat de rire général. M. Fréret est toujours agréable dans son genre et c’est avec plaisir que nous aimons â l’entendre.

Mme Suzanne excelle dans ses chan­sonnettes qu’elle détaille avec grâce, et Mlle Battavoine nous a tenu sous le char­me de sa belle voix, dans l'exécution de plusieurs • romances et surtout dans Sou­rire d ’ange, une berceuse qu’èlle a dé­licieusement chantée.

Le véritable clou de la soirée a été pour Mlle Bonval-Darras, une charmante jeune fille, qui a exécuté avec un véritable talent deux fantaisies sur violon qui ont émer­veillé les spectateurs qui ne lui ont point ménagé leurs bravos.

Pendant l’entracte et avant l’exécution de la troisième partie, M. Daussin, maire, conseiller d'arrondissement, Président de l’Harmonie, se lève et prononce; l’allocu­tion suivante, souvent interrompue par les applaudissements :

Mesdames, Messieurs,Avant de laisser s’achever cette brillante

soirée, offerte par l'Harmonie municipale à ses membres honoraires, j ’ai tenu à vous re­mercier sincèrement d’avoir répondu en si grand nombre à son invitation.

Vous avez voulu ainsi nous prouver une fois encore tout l’intérêt que vous portez à notre chère société ; aussi, s’efforcera-t-elle, comme vous avez pu le constater, de se rendre tou­jours digne de votre bienveillante sollicitude à son égard.

La Présidence de diverses société procure, croit-on, bien des satisfactions ; soyez assurés qu’elle présente aussi beaucoup d'exigences, auxquelles la meilleure volonté ne peut pas toujours répondre.

Il arrive quelquefois que dans des réunions, il se produit des perles de temps imprévues qui obligent à écouter des communications intéressantes ; ce fait s’est précisément pro­duit au cours de notre assemblée générale, dimanche dernier, et c’est parce que je l’ai regretté que j'ai pensé qu'il serait peut-être ulile de profiter de celte fête de famille pour vous rappeler succinctement la situation morale et financière de notre soeiélé.

Rassurez-vous, je serai bref, et je vous annoncerai de suite que celle-ci est; des plus florissantes et qu'après les énormes charges auxquelles nous avons dâ faire face, il reste en caisse un certain avoir qui nous permettra de répondre aux besoins futurs.

Malgré les quelques départs et les décès de certains membres honoraires, nous en avons encore augmenté le nombre qui dépasse celui atteint jusqu’ici.

Ces marques du confiance que vous ne cessez de nous témoigner nous sont très sensibles ; c'est pour se montrer dignes de vos encoura­gements que par leur assiduité et leur zèle, nos membres exécutants s'efforcent de les mériter et de les conserver,

Vous avez pu voir, par l'exécution des jolis morceaux entendus au cours de celle soirée, que leurs progrès sont toujours constants ; nul doute que sous la direction de leur dévoué et SMnpalliiquccbef M. I’tquet, ils n’atlbignent le sommet de la marche ascendante qu’ils se sont tracco.

C'est également pour montrer leurs efforts et satisfaire vos désirs, qu'ils ont vbulu vous prouver que leur travail n'a point été stérile, et qu’avec le concours de la société La Lyre Amicale, ils pouvaient par leurs seuls moyens cl sans recourir à iN professionnels, vous intéresser et votis divertir.

Je n’oublierai point d’adresser à nos musi­ciens et artistes amateurs, nies félicitations pour l’exécution si complète et si parfaite d’un spectacle charmant; j’assqçicqqi âmes remerciements Mçi:;deOiui.,c!les battavoine,

, tqujours prêtés à nous accorder leur gracieux concours, et Mllebonval, petite tille de M. barras notre concitoyen, qqj n’a pas Inisiio à se déplacer, pour nous faire goûter le charme de soli réel talent.

Je termine, Mesdames, Messieurs annonçant que suivant la tradition va être fait une quête parmi vous ; j suis eiq'tqin filio, POTine tgujfeiu'a,'

! i.uk'!-VcrCj'liMi|'i:éuqé|l,'

Ces dernières paroles sont chaleureuse­ment accueillies, et une quête faite par Mesdames Daussip, Guyson, Talvért et Huguenot, fa t des plus fructueuses.

Une pièce : ‘ Toto la Rincette, termina ce charmant spectacle. Brillamment inter­prétée, elle a produit le meilleur effet. Tous les artistes ont droit â nos compli­ments : Mme W alraedt fu t -une duchesse exquise qu itiu t son rôle avec une vérita­ble autorité ; Mlle Vapdendriessche fût une douce marquise ; Mlle Lemoine et Mme Suzanne ont été des midinettes par­faites. M. Léger a rempli très délicatement le rôle ingrat du comte Victor de la Gâ­terie ; MM. Leroy et Fréret furent des cambrioleurs accomplis; MM. Mièze et Lespiat, des agents à l’air sévère mais bons enfants.

Nous ne saurions manquer d’adresser nos sincères félicitations aux organisa- teurs de cette magnifique féte de famille, et aux membres exécutants de l’Harmonie dont les progrès sensibles et appréciables nous ont fait goûter avec beaucoup de plaisir les divers morceaux exécutés.

Cette soirée si bien remplie se termina comme il convenait, par un bal à grand orchestre qui eut comme le concert le plus grand succès.

Un groupe de m embres honoraires.— S u ic id e . — Un manouvrier du pays,

Deroos Erard, 55 ans, qui était souffrant depuis quelques jours, pris probablement dimanche soird'un accès de folie subite, a sauté à la gorge de sa femme qu’il a à demi étranglée, puis, la voyant immobile et la croyant morte, s’est pendu à un clou de sa chambre. C’est le fils qui, en ren­trant dans la soirée, trouva les deux corps immobiles. Après avoir reçu quelques soins, la mère pût heureusement être rappelée à la vie.

—■ E n q u ê t e . — M. le Maire de Monta­taire informe ses administrés qu’une enquête de commodo et d'incommodo re­lative à l’installation d’un marteau pilon dans l’usine W allut et Cie sera ouverte du 15 au 22 mars prochain et les pièces déposées à la Mairie à la disposition des intéressés.

Verberie. — L ’U n io n m u s ic a l e . — L’Union musicale de Verberie a tenu en février dernier son assemblée générale,

la salle de M. Vasseur, hôtel du Télégraphe, et M. le Président a exposé en quelques lignes, aux sociétaires et membres honoraires présents, la situation morale et financière ae la société.

Les trois prix d’assiduité offerts chaque année par M. de Maindreville, membre de la Société et maire de Verberie ont été décernés à MM. Bibaut, Juliien et Havy Désiré.

Puis, à l’issue de l’assemblée, le comité a procédé au renouvellement du bureau pour l'exercice 1908. Ont été nommés à l’unanimité :

Président: M. Maugin.Vice-Président : M. Bouffet.Trésorier : M. Disch.Secrétaire : M. Debacq.Membres: MM. de Maindreville, Lam-

botte, Bullot, Riottot et G. Dottin.Directeur : M. Lautre, de Verberie, en !

remplacement de M. Thouvenel, dont la démission a été acceptée.

Nous souhaitons à l'Union Musicale, si bien administrée, une nouvelle ère de prospérité, sous la direction de M, Lautre.. fervent de l'art musical et artiste consom­mé.

Un Membre honoraire. |Dimanche prochain, 15 mars, concert ,

par l'Union Musicale sur la place du m ar­ché, à 3 heures, si toutefois le temps le i permet.

— T r o u v a il l e . — Mardi dernier, a été trouvé dans la côte de Verberie une bride de cheval avec boucle, fieurons cl et fron­tal en cuivre, les écussons des œillères ont été enlevées. Cette bride a été déposée à la mairie de Verberie.

Jamais trop vieux.B ie n r é ta b lie à 7 4 a n s

par les Pilules Foster.On a tort de se croire trop vieux pour

obtenir du soulagement ou même guérir d’une maladie. Un traitement approprié ; - bien suivi, peut toujours soulager sinon guérir complètement vos infirmités. Pour preuve, lisez le témoignage suivant : Mme M. Bruyé, 31, rue Bellpn, à Senlis, nous dit : « Depuis que j ’ai fait usage des Pilules Foster pour les Reins, je file trouve tout à fait rajeunie et malgré mes 74 ans, je me sens beaucoup plus forte et fais mon tra- , vail de ménage avec autant de facilité qu’autrefois. C’est qu’il y a longtemps que je me plaignais de violents maux de reins, mais pendant la dernière année mon état s’était aggravé et souvent je -ne savais comment me mettre. Pour me baisser j ’éprouvais des douleurs aiguës jusque dans les côtés, j'avais des maux de tète, ■ des éblouissements1- et après des nuits passées sans sommeil je me levais le matin les membres raides et avec une grande ■ lassitude générale par tout le corps.

Je ne savais plus que faire ayant déjà- essayé plusieurs médicaments sans résul­tat quand j'entendis parler des Pilules Foster pour les Reins, vendues à Senlis, Pharmacie Le Conte, je les essayai à mon tour. Je fus très contente environ une ■ semaine après de me sentir un peu mieux.A mesure que je continuais le traitement, mon amélioration faisait des progrès très rapides, j ’étais plus forte, je reposais mieux la nuit, enfin je puis aujourd'hui faire mon petit travail de ménage avec la plus grande facilité. Je certifie exact ce qui précède et vous autorise à le publier. »On trouve les Pilules Foster (marque ori­ginale) chez tous les pharmaciens, 3 fr. 50 la boite, 19 francs les six ôu franco contre mandat : Spécialités Foster, II. Binac, Pharmacien, 25, rue Saint - Ferdinand, Paris. Dans l’intérêt de votre santé, si vous voulez avoir un bon résultat, exigez la véritable boîte avec la signature « James Foster » et refusez toute imitation ou substitution. 4 .

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I nératioB.i?, ras Labruyèra.1 Parie

Annonces Judiciaires*A rticlh 1".

ÉTUDES DE G eo rg es MORAX», licencié

en droit, avoué à Senlis, 10, rue Saint-Hilaire, successeur de Me L evieux ;

QUEXTTLR et TISSER A AT, notaires h Chambly ;

Me GRIGXOA', notaire à Paris, boulevard Saint-Michel, nü 26.

V E N T ES U R L1IC IT A .T I0 N

DE : UNE

S U

. : ■ ■iü

DE RAPPORTs is e à P A R IS ,

m to MoBrE-SÉt-Moine,n° 2 4 0 ,AYBC SES

A isan ces et D épendances,plus amplement désiynée

ci-après.

[/adjudication aura lieu le MARDI 7 A V R IL 1 9 0 8

heure cte jnwi>gn la Chambré Mptgira*

de Parla,sise place du C.hâtelet,

par le ministère de Henri- F rançois GRIGNON,

notaire à Paris, boulevard Saint-Michel, n® 26,

commis à cet effet.

En exécution d’un jugement contra­dictoirement rendu par le Tribunal civil de première instance de Senlis, le vingt-neuf octobre mil neuf cent sept, enregistré ;

Et aux requête, poursuite et dili­gence de :

Premièrement. — Madame Marie- Théophine Daget, épouse assistée'et autorisée de Monsieur 0'éine'nM he- nin, charpentier, avec lequel elle demeure à Neuville-en-Verdunois (Meuse);

Deuxièmement. — Monsieur Çbar- les-Antonin Garaudel, mouleur, de­meurant à San-Francisco, Filbert Street, numéro 2821 (Californie), Etats Unis de l’Amérique du Nord ;

Troisièmement. — Et Madame Marie-Eugénie Garaudel, épouse as­sistée et autorisée de Monsieur Pierre-Célestin Gendarme, tourneur sur bois, avec lequel elle demeure à Nogent-sur-Seinc ; : ! ; ’,

Poursuivants 1$ vente ; Ayant ppup avoué constitué Me

Georges Morand, demeurant a Sentis, JO, rue Saint-Hilaire ;

En présence pu eux dûment ap­pelés de ;

Premièrement. — Monsieur Josepl Lagrosse, chaisier, demeurant t Monlhairons (Meuse) ;

« Agissant au nom et comme « tuteur palurel et légal de « Eugène - Christophe Jean- u Baptiste Lagrosse, son fils « mineur issu de son union « avec Madame Marie-Anua « Garaudel, sou épouse de- « cédéej »

fpèsent h lq venteAyant pouf avoué constitué, M'

Oscar Savary, demeurant ît beufi», place Henri IV ;

Dou^igmejnent. — Et Monsieur Pjerre-Alnert Thiri

naire, demeurant è Ramblu/in, (Meuse) ;

« Agissant au nom et coin- «*me subrogé-tuteur du mi- « neur Lagrosse sus-nommé »;

11 sera, le Mardi sep t Avril mil n eu f cent huit, heure de midi, en la Chambre des Notaires de Paris, sise place du Châtelct, par le ministère de Me Ilenri-Franrois Grignon, notaire à Paris, boulevard Saint-Michel, numéro 26, commis à cet effe', procédé à la vente sur licitation, aux enchères publiques, au plus offrant et dernier enchéris­seur, à l’extinction des feux, en un seul lot, de l'immeuble dont la désignation suit :

D E SIG N A T IO N

M I S E A P R I XDE L IM M E Ü B L K A V E N D R E

U n e M a iso n de R a p p o rt,sise à Paris, rue du Faubourg-Saint- Antoine, numéro 240, comprenant :

Un principal corps de. bâtiment, en mçade sur la rue, élevé sur caves sauf au-dessous du passage du génie, d’un rez-de-chaussée, dun entresol et de cinq étages carrés dont un sixième lambrissé sous les combles

Cour derrière oxeavée dans la­quelle se trouvent deux petites an- .nuxes élevées d’un rez-de-chaussée.

L’entrée de la maison a lieu par la rue du Faubourg-Saint-Anloine et par diverses baies puvraqt sur le passage du génie,

Ledit immeuble d’une contenance superficielle de deux cent trois mè- environ, tient par devant à la rue du Faubourg-Saint-Antoine sur une fqpadc de sei^e mètres trente-huit ceniimètres^ à gauche tyonsieup Paûpy, àdroiteà Monsieur Revaudon,cl au fond à Monsieur Mpiiard.

lu neuf mars mil neuf cent huit, enre* À Monsieur et Madame dp Fadate istré, et de Me Gùétiri, huissier à ; de Saint-George, sus-nommes, de :

irion. commission-!ReTenu Brut annuel : 1 0 .4 * 5 tr.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M*. Henri - François Grignon, notaire à Paris, boulevard Saint-Michel, numéro 26, et déposé en son Etude, où toute per- sonne peut en prendre connaissance, l’immeuble ci-dessus désigné sera mis en vente sur la mise à prix sus- énoncée, fixée par le jugement pré­cité.

Fait et rédigé^ par l’avoué pour­suivant soussigné.

Senlis, le neuf mars mil neuf cent huit.

(Signé) MORAND.Et enregistré.

S'ADRESSER :Pour visiter, sur les lieux ;Et pour tous renseignements :A M ® G e o rg e s MORAND,

avoué h Senlis, poursuivant la vente;A M® O scar SAVARY, avoué

à Senlis, présent à la vente;A M®« ^LEIVTUER et TISSF.-

RAXT, notaires à Chambly (Oise): Et à >Ie GRIGXOA, notaire ;

Paris, boulevard Saint-Michel, n° 26., rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Pour inser 1011 :jj 133? Signé ; MORAND

Aet. 2.Étude de üle G e o rg e s .HORAXO,

licencié en droit, avoué Senlis 10, rue Saint-Uilqirc,

quocessepp de M® Leviiu x.

F , w c j e _ l é £ r a l e

De deux exploits du ministèreM8 Giiiol, huissier â

deParis, en date

Chantilly, en date du neuf mars mil neuf cent huit, également enregistré;

Il appert qu'à la requête de : Monsieur lienri - Jacques - Louis -

Antoine de Fadate de Saint-George, capitaine commandant au treizième régiment de dragons en garnison à Lu-re, et Madame Jeanne-Rlauchc- Adie ïhiéry, son épouse, de lui as­

sistée et autorisée, demeurant en­semble à Lure (llaute-Saôue) ;

Pour lesquels domicile est élu h Senlis, 10, rue Saint-Hilaire, en

Etude de M®Georges Morand, avoué;Notification a été faite à : Premièrement. — Monsieur Char-

les-Laurcnt Damiron , propriétaire, demeurant à Pai is, rue Scribe, nu- léro 9,

« Agissant au nom et comme « subrogé-tuteur de Madcmoi- « selle Simone - Marie - Char­te lotte Tardiveau, enfant mi- « neurc issue du mariage do « Monsieur Camille - Alfred « Tardiveau et de dame Cliar- « lotte-Erisabelh-Maric-Anloi- « nette Damiron, son épouse « décédée ; »

Deuxièmement. — Et à Monsieur le Procureur de la République près j le Tribunal civil do première instance de Senlis ;

De l’expédition d'un acte dressé au Greffe du Tribunal civil de première instance de Senlis, le sept mars mil neuf cent huit, enregistre, constatant le dépôt effectué audit Greffe, le même jour, de la copie collaijur.née et enregistrée ;

D’un contrat reçu par Me Louis- Henri Balézeaux, notaire à Chantilly, le vingt-deux février mil nçyf. pept {îuit, enregistré, contenant vente par 5

Monsieur Camille-Alfred Tardiveau, propriétaire, demeurant à Paris, ave­nue Montaigne, numéro 53 ;

Une Propriété, appelée « Le Petit Val », située au terroir de Gouvieux, lieu dit « Le Parc des Fontaines », comprenant :

1° Un bâtiment principal d’habita- ® tion, construit en briques et pierres, à ! él ’vé sur sous-sol d'un rez-de-chaus-

, d’un premier et d’un second ' mge.

Le sous-sol comprend : calorifère, <taye à vins, à charbons et à légumes.

Le rez-de-chaussée consiste en : Vestibule, grand salon, petit salon,

Salle à manger, hall, office, cuisine, arrière-cuisine, garde-manger, salle de bains, eau et gaz.j ,I Le premier étage comprend :

Six chambres de mailre, deux ca­binets de toilette, water-closets, eau pl giz cl salle de ba ns.

Et le deuxième étage est divisé

! Deux chambres de maître, lingerie et trois chambres de domestiques, et grand atelier.

Sonneries électriques dans' toute a maison.

2° Loge de concierge-jardinier élevée sur caves, comprenant : logO'- ment et cuisine de jardinier, saiiu à manger servant aux maîtres en hiver pour venir aux chasses, deux cham­bres de domestiques, atelier, water- closets, eau et gaz.

3° Ecurie pour hait chevaux, re­mises pour cinq voitures, deux scl- levio*, ‘ deux chambres de cochers, grenier, eau et gaz.

4® Poulailler, lapiiijèro cl hangars. 5° Tyôis paddocks.0° Tennis et maisonnette avec tri­

bune et laboratoire.7® Potager et pelii cours d’eau.Le tout clos de murs, grilles et

to vWiére

L'enseipble. de ladite propriété, dame Zoé-Victo're Locheron, sond’une eortmanee de un hectare cin- épouse ; \ ______quante et un ares soixante-quatre, Léon-Charles Schœffer et dame centiares environ, tient par devant à Anne - Antoinette Locheron , son la rue de la Station et à un sentier épouse ;d’accès séparant la propriété vendue Edouard-Désiré Minottc et dameà Madame la baronne de Rothschild, Jeanne - Henriette Locheron, sonpar derrière à Messieurs de Rolhs-, épouse ;child et Monsieur Colombel à cause. Elisa Larribeau ;de la moitié Je la rivière dont l’an- „ , , f JesauelsT mUi et F , l 9f l,aœ bàlr o r edUd c 1 ” p ô u T ra ilr ire p r is le s n L tfp ïo tdun côté Madame la baronne de vnA« n i o - o i p n’étant nn* RotUsefiild.et d’autre côté Mous eur. ^ % ,Heaumé et Madame veuve Bioton. I FaJaU. de saim-fieorge, ils feraient

Et ce moyennant le prix principal < faire la présente insertion dans un de | deux cent mille francs, outre, des journaux désignés pour les an- les charges ; • nonces judiciaires, conformément à

Auec déclaration : I av‘s du Conseil d’Elat des neuf maiQue ladite notification leur ôtaiL ; et premier juin imllmit cent sept,

faite, conformément à l’article 2194. Pour insertion :du Code civil, afin qu’ils aient â 11356 Signé : MORAND*prendre, s’ils le jugeaient eonve-1 — ---- -nable, telle inscription d’hypothèque» A r t . a.légale qu'ils aviseraient dans le délai j Études dede deux mois, faute de quoi ladite I njrs g e a u c i ia .n p s et R ic h a rd , propriété serait et demeurerait deh- notaires à Pont-Sainfce-Maxenee. nitiveuieul purgeo et libérée entre j —les mains des acquéreurs de loul^s j suivant acte reçu par Mc* Beau- hypothèques de cette nature ; * ciiam ,s et Richard, notaires à Pont-

Et à Monsieur le Procureur de la Saintc-Maxcnec, le vin art février mil République, que lès précédents pro- » neuf cent huit, eun gistré. priélaires, outre le vendeur, étaient ; j Monsieur Fernanu R RICARD, comp-

Jacques-Léopold l'ardieu et dame table, et Madame Marthe MORNAS, Marie-Claire-Sophie CarÜcr, sou j son épouse, demeurant ensemble à épouse ; à Pont-Sainle-Maxeiice, out vendu à

Thierry Luchorou et dame Louise-, Monsieur Norbert BOULANGER, dis- Ahlüiublie Lelellier, son épouse ; tiliateur. et Madame AméliaVANDER

Citante* Guugeou ; ‘ BKGKE.N,. sou emmsç. demeurant• -, , ? », . , f. ensemble a bisors (Eure).Communauté d entre marias (.ou- _ v 1geon cl (lame Kinili6-l.ouise-A.tgus-. •;? ‘ “ “ 'J? (1<; c o m m e rc e d e tinc Avili son énouse • enU 'U cr-iim ouiu liei* qu ils ex-tine.Ayou Sun epouse, ploilaient à Poot-Sainte-Maxenee,

Compagnie du chemin de for du , »fuc NeUve, nurnéw 90, ayant pouf

grillages sauf du côté de

Nord; enseigne « Café de V Union », etBaronne Laure-Thérèse de Rolhs- ptus récemment « Café César ,

child, \ouve de Monsieur le humn moyennant, le prix et les conditions N&ihan-James - Edouard dû Ruths-, stipulés audit acte. cln,a * 1 Les oppositions, s’il y a lieu, se-

Thierry UwvUcioii et dame Colette • rü,il reçues en l’Etude de Me Beau- d'UcyiL s«.i épouse ; champs, notaire .-a Pout-Sainle-Ma-

Charles-Gustave-Désiré Noël cl xouec. 125d

Page 4: -s-?: CINQ CENTIMES — Lp Numéro,-- CINQ CENTIMESbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_03_12_MRC.pdf · pendant de la liquidation judidahfe de M. Paul Maillet, ancien entreprenerur

jrAIEMENH

SATISFAC

JudiciairesA IB OArt. 4.

Etude

L E C O U R R IER D É ï ) b lS B

de M« O s c a r SÀV ARY,avoué à Senlis.

, A ssistance Judiciaire.Décision du Bureau de Senlis

du i 2 décembre 1907.

X>’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil de première ins­tance. dé Senlis, le cinq février mil neuf cent huit, enregistre ;

Entre Madame Emélie - Mélanie Bonnal, épouse de Monsieur Eugène Roy, "demeurant de droit avec son mari à Creil, 27, rue de la Républi­que, inais résidant de fait à Ran- Sgny (Oise) ;

Demanderesse comparant, eon cluant et plaidant par Me Oscar Sa- vary, son avoué constitué ;

'*'* D’une part ;•E t Monsieur Eugène Roy, comp-1

t4bler.demeurant à Creil, 27, rue de | la République ;

Défendeur défaillant faute d’avoir Constitué avoué ; D’autre part ;

Il appert :Que le divorce a été r atoncé

d’entre les époux Roy-Bonuai, à la requête et au protit de Madame Roy.

Pour extrait :1353 Signé : 0. SAVARY.

Études de' M9 G e o rg e s MORAND, licencié en droit, avoué à Senlis, 10, rue Saint-Hilaire, successeur de M* Lfvieux,

et de M” H e n r i - F r a n ç o i s GRIGNON, notaire à Paris, Boulevard Saint-Michel, n° 26.

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en l’Étude et par le ministère de Me GRIGNON, notaire à Paris, Boulevard-Saint-Michel, n° 26, commis à cet effet.

S’adresser pour les renseignements :A Me G e o rg e s MORAND,

avoué à Senlis, poursuivant la vente ;A M*9 QUENTIER et T ISSE-

RANT, notaires à Chambly ;

Et à M® GRIGNON, notaire Paris, boulevard Saint-MiclTel, n° 2( rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

Étude de M® O s c a r SAVARY,avoué à Senlis.

D’un jugement rendu par défaut par le Tribunal civil de première instance de Senlis, le vingt-deux janvier mil neuf cent huit, enregistré;

Entre Monsieur Lucien-Auguste- Henri Savignac, demeurant à Chan­tilly, S, avenue du Bouteillier ;

Demandeur comparant, concluant et plaidant par M' Oscar Savary, son avoué constitué ; D’une part ;

Et Madame Jeanne-Marie Luiset. épouse de Monsieur Savignac, sus-

. nommé, demeurant à Chantilly, ci- devant et actuellement sans domicile ni résidence connus ;

Défenderesse défaillante faute d’avoir constitué avoué ;

D’autre part ;Il appert :

Que le divorce a été prononcé d’entre les époux Savignac-Luiset, à la requête et au profil de Monsieur Lucien Savignac.

Pour extrait : Signé : 0. SAVARY.

Études de H " L o u is E SC A V Y , avoué

Senlis ;BOCQLET, notaire à Neuilly*

en-Thelle ;T 1SSER A A T, notaire h Cham­

bly. __

Vente JîdjudicatiorjDE : UN

Etudes de [« L ou is ESCAVY, avoué à Senlis

7, rue de Villevert, j et -M” THIROLIX, notaire à Aey-

~ en-Multien.üAï . i ■

Verjte et JîdjudicatiorjDE

CINQ PIÈ C E SDE

V e r r e e t 7$o i ss is e s t e r r o i r d e R o u v re s

Canton de Belz ( Oise).

L’adjudication aura lieu le DIMANCHE 2 9 MARS 1 9 0 8 ,

deux heures, la M airie da la com m un e de

R ou vres (Oise), par le ministère de M® THÏROUIN,

notaire à Acy-en-Multien, commis à cet effet.

S ’adresser pour les renseignements : A M® L ou is ESCAVY, avoué à

Senlis, poursuivant la vente.A M. BACDELOQUE, commis

greffier du Tribunal civil à Senlis,| curateur à la succession vacante de Mme Hebbe.

A M* THIROCIN, notaire à Acy- en-Multien, dépositaire du cahier des, charges.

L’adjudication aura lieu le DIMANCHE 2 9 MARS 1 9 0 8 ;

à deux heures de relevée, en la M airie d e Neuville-

en-V erdunois,par le ministère de M® DEVILLIERS;

notaireà Villotte-devant-Saint-Mihiel,

S ’adresser pour les renseigne­ments :

A M® G e o rg e s MORANDavoué à Senlis., poursuivant la vente;

A M® SAVARY, avoué à Senlis: présent à la vente;

A M®9 QUENTIER et T ISSE- RAN T, notaires à Chambly ;

Et à M® DEVILLIERS, notaire à Villotte-devant-Saint-Mihiel, ré­dacteur et dépositaire du cahier des charges.

Étude

(^ E n tre p re n e u r d e P e in tu re e t V itre r ie ,

e x p lo ité ù. CHAMBLY (O ise), Irue de Paris, n° 64 ;

Une Hiaisons is e à CHAMBLY,

à l’encoignure de la rue de Paris | et de la rue de Neiiilly-en-Thelle.

L’adjudication aura lieu parles mi­nistères de M” BocQuer, notaire- à Neuilly-en-Thelle, e t,IIe Tjsserax-t, notaire à Chambly (Oise) tous deux commis à cet effet (M- I isseraxt, no­taire, tenant la plume) ;

En l’Etude de 51e TISSERANT, notaire à Chambly ;

L e D im a n c lie 15 M ars 19 0 8 , a u n e lieiii-i* e t d e m ie d e r e -

Études de M” G e o rg e s MORAND,licencié en droit, avoué h Senlis,

10, rue Saint-Hilaire, successeur de M* Levieux,

et de M” QUENTIER, notaire à Chambly.

y ente sur JCicitcrtionDE

U N E M A I S O Ns is e à CHAMBLY,

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EN 3 LOTSL’adjudication aura lieu le

DIMANCHE 3 9 MARS 1 9 0 8 ,à deux heures de relevée,

en l'Étude et paj-jeininisfèrede

de M” SAINTE-BEUVE,avoué à Senlis.

Étude de M” DHERBE, huissier à Pout-Sainle-Maxence.

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L’adjudication aura lieu M ard i v in g t-q u a tr e M ars

1 9 0 8 , heure de midi, en l’audience dès criées

du Tribunal civil de Senlis.

C om m une d ’O rry - la -V ille .

Il sera procédé, le Dimanche 22 Mars 1908, à deux heures de re­levée, en la salle de la Mairie d’Orry- la-Ville, à la v e n te par adjudication de 9 L o ts d ’A r b re s appartenant à la commune, et comprenant 2 7 0 P e u p lie r s et I 1 O rm es.

Les devis et cahier des charges sont déposés à la Mairie, h la dispo­sition des amateurs.

Le Maire,1347 ClIÉRON.

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pour renseignc-S ’adresser ments, à :

1® M® SAINTE-BEUVE, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° M* MORAND, avoué à Senlis, présent à la vente ;

3° Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis.

le v é e , pour la v e n te d u fo n d s | \£e Q('ENTIER, notaire à Chambly,M ' “ _ ■" • commis h cet effet.d e c o m m e rc e ci-après décrit ;

Et l e m ê m e jo u r , 15 m a r s | 1 9 0 8 , à t r o is h e u r e s d e r é le - Iv é e , pour la m a iso n ci-après dé­signée.S'adresser pour les renseignements :

A MB L o u is ESCAVY, avoué à Sêühs, poursuivant ia vente ;

A SA V A R Y , avoué à Senlis,présent â ià vente ;

Études de M® E m m a n u e l PO U SSARD,

avoué à Senlis, 35, rue du Châtel. et de Me G e o rg e s DEGAS,

huissier à Senlis,48, rue de la République.

' S’adresser pour les renseigne­ments : ‘ . ;

A M® G e o rg e s M ORAND, avoué, à Senlis, poursuivant la vente;

A M® SAVARY, avoué à Senlis, présent à la vente;

A SP TISSEB A N T, notaire à Chambly ;

coyMv.w —. . Et à Mtt QUENTIER,-notaire àa M* BOCÛÜET» notaire à Ncuil-1 Chambly, rédacteur et dépositaire du

ly^n-Thelle; _ _ J cahjei-des clw’ge»*

F.iüde de M* G e o rg e s MORAND,licencié en droit, avoué à Senlis,

10, rue Saint-Hilajre,

A, M” TISSER A N T, notaire 'Chambly, dépositaire du cahier des charges ;

•Et à M” ROLAND, huissier à | Creil.

Études de M*4Louis. ESCAV Y,avoue à Senlis,

7 , rue de Villevert, et de M” LOMBOIS, notaire

à Précy-sur-Oise.

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midi, ca l’audience di s criées du T*'ibunal civil do première îus-

au Palais deta n c e do S en lis , ,| Justice, rue de la République.1 S’adresser pour les renseigne­ments : * ■ ’ J.

[ \ M® G e o rg e s M ORAND., av o u é ù S e n lis , p o u rsu iv an t la v e u je :

Et à M® MÉZIÙRL, notaire h BiU.

L’adjudication aura lieu le DLMANCHE 22 MARS 1908.

à deux heures de relevée,• n la M a irie d e l a C o m m u n e d a

V llle rs -so u s -S a ln t-L e u , *

et par le ministère de M* LOMBOIS, notaire à Précy-sur-Oise,

commis à cet effet.

S'adresser pour les renseigne­ments :

A M® L o u is ESCAVY, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M® LOIR, avoué à Senlis, pré­sent à la vente ;

Et à M® LOMBOIS, notaire '

1 Études de M® G e o rg e s MORANDi licencié en droit, avoué è Sonlis,

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à Villotte-devar»USa!i)t-Mmiel (Meuse).

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É tude de M* DELAUNAY, notaire à Senlis.

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On demande u n e b o n n e [ c u is in iè re munie * d’excellentes |références.

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Étude de M* MAUGIN, notaire à V erberie.

V e n te M o b i l iè r e , p o u r cause de départ de M. D ..., à Verberie, avenu*1 le Compiègne, n* 67, le Dim anche 1 5 1 Mars 1908, à une heure, p a r le minis­tère de M* M augin, a rt» ire .

M ÊM E ÉTU DE

A d ju d ic a tio n de 3 P i è c e s d e T e r r e e t P r é , sises terro irs de Yer- berie et Saint-Vaast-de-Longm ont, dé pendant de la succession de M. Attané, le Jeudi 19 M ars 1908, à deux heures, à Verberie, en l ’Etude e t p a r le ministère de M* Maugin, notaire.

Etude de M* BEAUCHAMPS, notaire à Pont-Sainte-M axence.

A vendre p a r adjudication volontaire, le Dimanche 29 M ars 1908, k 2 heures précises, en la M airie de Saint-Gervais- Pontpoint, et p a r le m inistère de M1 Beauchamps, notaire k Pont-Sainte- Maxecce, u n e M a is o n , située à Saint- Gervais, commune de Pontpoint, sur la route de P on t à Verberie.

Étude de M* FER.TÉ, notaire à Senli: i rue Bellon, n* 18.

A vendre k l’atniable, n n « SSsfison d e R a p p o r t , u n J a r d i n e t n u eP iè c e Jip T e r r e , situés a Nanteuil-le- H audouin. — S ’adresser à M* F4irté notaire k Senlis.

E tude de M° LOMBOIS, notaire à Précy-sur-Oise.

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%A vendre à l’amiable, 2 R e m is e s c o n t in u e s , avec grand G renier au- dessus, sises à Senlis, ru e de Meaux, n° 12 bis. — S’adresser à M° L ouât notaire.i

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A louer, Ë e u r i e e t R e m is e , avec Cave, Cnsm bre de Domestique, Grenier, Cour et [Water-Closets, sises k Senlis rue de}M eaux, n* 9. — S’adresser à M Louât, notaire.

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A v e n d re • k l'am iable, I h e c t a r e 6 1 a r e s * Î3 c e n t i a r e s d e T e r r e .t-r ro irs de Seulis et Charriant. — S 'a ­dresser à M* L o u a s notaire à Senlis.

_!“■ M. PRÉVOST, cultivateur à Auger-Saint-Vincent, demande u n b o n c h a r r e t i e r pour mener la deuxième attelée de cnevaux, surtout avec de bonnes références. — Loge­ment avec jardin. . 1354

J"" M® MÉRELLE, huissier à Senlis, demande u n p e t i t c le r c .

_ J - M ® MORAND, avoué à Senlis, demande u n p e t i t c le r c .

J " Maison bourgeoise demande je u n e b o n n e pour nettoyage et servir à table, connaissance cuisine pas nécessaire.

S’adresser à M. PETER, Hôtel du Commerce, Orry-la-Ville (Oise). 1360

On demande u n b o n c h a r r e t ie r sachant conduire tous instruments agricoles, dans une ferme des envi ois de Betz. — Bons gages, mais boi..;es références.

S’adr. au Bureau du Journal. -1361

On demande u n e b o n n e de 20 à 25 ans. — Bons gages. — Munie d'excellentes références.

S'adr. au Bureau du Journal. 1363

Étude de . i! J ules ROBERT, no taire! à Baron (Oise).

A vendre à l’amiable, n n e P r o . p r i é t é B o u r g e o is e , située à Baron, j rue et porte de l ’EcheleUe, et n n e M a is o n d ’B X ab ita tlo n , sise à Baron, rue d Enfer. — P our tous renseigne I m ents et p o u r-is ite r , s’adresser à Me | Robert, notaire à Baron.

É tude de M* DHERBE, huissier k Pont-S ain te M axen ce.

M a té r i e l d e F o n d e u r d e S u i f s ,M achine à vapeur, Cabriolet, Cbariot, Voitures diverses et Objets Mobiliers, à vendre p a r adjudication publique et volontaire, e t 'p a r suite de cessation de commerce, à Pont-Sainte-M axenc e, rue Neuve, en l ’usine de M. Bourson fils, industriel, le Dimanche 15 M ars 1908, à deux heures précises de relevée, par le m in stère de M* Dherbe, huissier-

Étude de M* VA SSEU R, huissier à Pont-Sainte-M axence.

M o b i l ie r à vendre aux enchères publiques, à V erberie, place du M arché, le Jeud i 12 M ars 1908, à dix heures du ( tem ent. matin, p a r le m inistère de M* Vasseur, huissier à Pont,

Eat minérale gazeuse naturelleDX

BUSSANG(Vosges).

L ’E a u d e BtkQvanig est employée comme seule eau de table p a r beaucoup de docteurs et p a r toutes les personnes soucieuses de leur santé et qui veulea se préserver des m aladies épidémiques. Elle donne une saveur agréable au vin.

Les analyses faites à la Faculté de mè- | decine de Paris assignent à l’SSan d * B a s s a n i ; le prem ier ran g parm i loi eaux apèritives, digestives è j. reconsti­tuantes. Elle est souveraine contre l’a n é m i e , l e s g a s t r a l g i e s , 1» d y s ­p e p s ie , l e e a t a r r h e v e s ie a l , I r a c o l iq u e s n é p h r é t iq u e s , l a f r a - v e l l s . l a g o u t t e e t d a n s t o n t e s l e s e o u v a le s e e n e e s .

Ce qui fait la supénorité de l’E a u d e B u m n g et sa grande dige&tivité, c’est que le m anganèse, un élém ent essentiel au sang, y figure dans des proportions plus fortes que dans n ’importe queil<s eaux m inérale. De là son action efficace,

L ’F n o d e B u s s a n g se trouve dans toutes les bonnes pharm acies du dépar-

MEM E ETUDE

M o b il ie r à vendre aux enchères | pub iques, à Verberi.e, place du M arché, le Dim anche 15 M ars 1908, à une heure de relevée, par lo m inistère de M® Vas” seu r, huissier k Pont.

Etudes de M®'Emmanuel POUSSARD,avoué à Senlis, 35, rue du Châtel,

et do M* Geouobs DEGAS, huissier - à Senlis, 48, rue de la République.

B e a u M o b i l ie r , B i l l a r d e t Ac.cesK oli’c s et M atériel de l ’eicturQ, ùé-r pendant de la liquidation judiciaire de vf. P au l Maillet, an< ien entrepreneur de peinture, épicier, m archand de ring et ’.'ôtel meublé à Saint-Firm in, à vendre aux enchères publiques, à. Saint-Firm iu, au domic le de M, Maillot, le Dimanche 15 M ars 1908, à une heure de relevée, par le ministère de M* Georges Degas, hui.ss:er.

MEME ETU DE

.4 vendre à r» .uiable, 1 h e c t a r e I O a r e s Ofp c e n t i a r e s d e T e r r e ,terro ir de.Senlis. — S 'adresser à M* Louât, notaire.

É tude de M* H . BALÉZEAUX, notaire k Chantilly.

A vendre k l ’am iable, en to talité ou p a r lots, u n e S®ro|*rieité, sise k Chan­tilly, rue des Jard ins, n* 5, pouvant convenir à usage d 'E tablissem ent d 'En- traînem ent de chevaux de courses ou de M aison Bourgeoise. — S 'adresser à M* Balézeaux, notaire.■vre*y=E. uintpwjgjsgffigw Jk&Uaore'akBril T ccm g »

M ÊM E ÉTU D E

CH AN TILLY. — A louer de suite, A p p a r te m e n t au prem ier étage, rue du Connétable, n* 12. — Loyer : 7f0 francs. — S ’adresser : ru e du Conné­table, n° 12.

É tude de M* FE R R Y , notaire k B éthisy-Saint-Pierro.

A vendre ou à louer à l’amiable, pour en tre r en jouissance ie 10 ju ille t 1908, u n e M a is o n , à usage d’auberge, sise k Nérv, connue sous le nom d 'H ôtel

BIftffasSna, à Seniis, rue de la*Corne- S a in t-M a r tin et p ropre à tout com- ds-Ceyf, n # 5. — S’adresser à M» P etit, îperce. — S’adresser à M* F erry , no- notaire. taire k Béthisy-Srint-Pierre,

Étude de M‘ PE T IT , no taire k Senli*.

A re n d re à l’amiable, M a is o n d e C o m m e r c e avec jard in , sise à Coyc, en la rue Blanche. — S’adresser à M* Petit, notaire.

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