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CABINET MGRH Sacré cœur I n 8252 DAKAR janvier 15 | CABINET MGRH | 00221 77 056 56 47 / 33 824 18 90 PLEINS FEU SUR LE DIALOGUE SOCIAL EDITORIAL Citations de la semaine CONTENU AU CŒUR DE L’ACTUALITE L'OIT mise sur la croissance pour booster l'emploi des jeunes 2 Lutte contre le chômage des jeunes : La Dg du Fmi invite à un dialogue participatif entre universités et entreprises 2 PLEINS FEUX SUR LE DIALOGUE SOCIAL Qu’est ce que le dialogue social ? 3 Fortifier le dialogue social dans l’entreprise pour des résultats Partagés 4 INFORMATIONS UTILES Annonces de la semaine 5 Les institutions prévoyances Maladies 6 Le système de retraite 6 Nous contacter 6 La question qui se pose : comment instaurer une paix durable, un climat de travail serein et donc éviter le conflit, la confrontation dans les entreprises ??? Au bout du compte, s’assurer des intérêts communs ? Par le dialogue social ? Ce jeu de pouvoir imbu de respect mutuel et sans relation hiérarchique qui favorise un postulat équitable et permet d’assurer la défense des intérêts de chacune des deux parties (patronat / syndicat, employeur/ employés). Serait-il le remède capable de changer cette routine de dégradation des relations entre employeurs et employés, plaintes et réclamations, grève … ? Focus sur la thématique ! " Supprimer en soi le dialogue, c’est proprement arrêter le développement de la vie. Tout abouti à l’harmonie. Plus sauvage et plus persistante avait été la discorde plus large est l’épanouissement de l’accord." André GIDE EDITION 1, NUMERO 4

La newsletter de mgrh 4

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CABINET MGRH

Sacré cœur I n 8252 DAKAR

janvier 15 | CABINET MGRH | 00221 77 056 56 47 / 33 824 18 90

PLEINS FEU SUR

LE DIALOGUE SOCIAL

EDITORIAL

Citations de la semaine

CONTENU

AU CŒUR DE L’ACTUALITE

L'OIT mise sur la croissance pour booster

l'emploi des jeunes 2

Lutte contre le chômage des jeunes :

La Dg du Fmi invite à un dialogue

participatif entre universités et

entreprises 2

PLEINS FEUX SUR LE DIALOGUE

SOCIAL

Qu’est ce que le dialogue social ? 3

Fortifier le dialogue social dans

l’entreprise pour des résultats

Partagés 4

INFORMATIONS UTILES

Annonces de la semaine 5

Les institutions prévoyances

Maladies 6

Le système de retraite 6

Nous contacter 6

La question qui se pose : comment instaurer une paix durable, un climat de

travail serein et donc éviter le conflit, la confrontation dans les entreprises ???

Au bout du compte, s’assurer des intérêts communs ?

Par le dialogue social ?

Ce jeu de pouvoir imbu de respect mutuel et sans relation hiérarchique qui

favorise un postulat équitable et permet d’assurer la défense des intérêts de

chacune des deux parties (patronat / syndicat, employeur/ employés).

Serait-il le remède capable de changer cette routine de dégradation des

relations entre employeurs et employés, plaintes et réclamations, grève … ?

Focus sur la thématique !

" Supprimer en soi le dialogue, c’est proprement arrêter le

développement de la vie. Tout abouti à l’harmonie. Plus sauvage et

plus persistante avait été la discorde plus large est l’épanouissement

de l’accord."

André GIDE

EDITION 1, NUMERO 4

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2 L'OIT mise sur la croissance pour booster l'emploi des jeunes

L’Organisation internationale du travail (OIT) mène des actions d’influence sur les politiques économiques afin que la croissance économique puisse générer des opportunités d'emplois pour les jeunes, a soutenu, mercredi à Dakar, le directeur régional de cette structure pour l’Afrique, Aeneas Chapinga Chuma.

Lutte contre le chômage des jeunes : La Dg du Fmi invite à un dialogue participatif entre universités et entreprises

La directrice du Fonds monétaire international (Fmi), Christine Lagarde, a profité de sa visite au Sénégal pour présider une Conférence des grandes écoles de formation qui a réuni, samedi, sur le plateau de la 2Stv, des jeunes étudiants. Ces derniers ont bénéficié des conseils de la patronne du Fmi qui a appelé les universités et le monde des entreprises à promouvoir un dialogue inclusif afin de résoudre la question de l’inadéquation formation-emploi.

La question de l’inadéquation entre la formation et les besoins du marché du travail constitue un problème récurrent que l’on retrouve partout où il y a des taux de chômage élevés parmi les jeunes, a indiqué la directrice générale du Fonds monétaire international (Fmi), Christine Lagarde. Pour renverser la tendance, elle préconise l’institution d’un dialogue participatif entre le monde de l’entreprise et le milieu universitaire. Selon Mme Lagarde, dans les pays où il y a un système d’apprentissage, de formation professionnelle, d’accompagnement à la vie active pour les jeunes qui sortent de leur formation, le chômage est plus faible. « Un dialogue permanent entre le monde du travail et celui du savoir est donc nécessaire. Il est aussi important de promouvoir des formations professionnelles spécifiques aux entreprises pour aider les jeunes à rentrer dans le marché du travail », prône Christine Lagarde.

ALLER A LA RENCONTRE DES JEUNES

Elle juge intéressant d’échanger et de discuter avec les femmes et les jeunes de ces pays. « Partout où je vais sous les couleurs du Fmi, je veux rencontrer les jeunes qui sont l’avenir de leur pays et qui tiennent les rênes de l’économie », a dit Mme Lagarde. Elle rappelle que ces jeunes seront les agents économiques de demain, les investisseurs, les producteurs, les entrepreneurs et les consommateurs.

L'OIT forme des journalistes sur la migration afin qu’ils puissent passer des messages qui permettraient aux jeunes d’être mieux armés afin d'identifier les opportunités d’emplois dans le monde rural. Dans le même sillage, il annonce qu'une réunion régionale africaine aura lieu à Addis Abeba (Ethiopie), fin novembre début décembre. Elle va réunir les représentants des travailleurs et du gouvernement pour mettre en place ‘’une stratégie’’ visant à régler les questions préoccupantes pour le continent.

‘’Et nous avons un projet à Dakar qui travaille sur l'entrepreneuriat dans le monde rural et nous souhaitons que ce projet soit porté à grande échelle et étendu à d’autres horizons. Nous encourageons les politiques qui permettent aux jeunes de ne pas émigrer’’, a-t-il dit.

Aeneas Chapinga Chuma effectue une visite officielle au Sénégal depuis lundi dernier. Il a rencontré le patronat, des représentants des travailleurs et le gouvernement avec qui il a discuté des questions de migration de travail, de la protection sociale, de l’économie informelle, de l'égalité entre homme et femme, etc.

http://www.senentreprise.com/

‘’Ce que nous faisons pour faire face aux défis de la question de l’emploi des jeunes en Afrique, c’est de travailler avec des partenaires au niveau mondial (Afrique, Europe, Commission économique africaine, la BAD) pour essayer d’influencer les politiques afin qu’elles soient centrées sur l’emploi des jeunes’’, a-t-il dit lors d’une conférence de presse.

Selon Aeneas Chapinga Chuma, ‘’il est important que les politiques de croissance économique et macroéconomique qui ont produit des effets positifs en terme de croissance en Afrique puissent créer suffisamment d’emplois pour les jeunes. ‘’Mais on se rend compte que ces politiques, cette croissance n’a pas atteint cet objectif, alors l’idée est de faire en sorte que la croissance économique génère plusieurs emplois pour les jeunes et on essaye d’influencer les politiques nationales et on met en place des projets pilotes sur la formation professionnelle et sur entrepreneuriat’’, a-t-il dit.

Toutefois, il estime que pour que ces projets puissent aboutir aux résultats escomptés, il faudra les porter à grande échelle et pouvoir couvrir beaucoup de monde, de jeunes. M. Chuma souligne que l’OIT dans sa quête de solutions à cette question, envisage dans son agenda post 2015 ‘’de faire en sorte que l’emploi des jeunes soit un objectif en soi, un objectif autonome (...)''’. Le directeur régional de l’OIT pour l’Afrique a également abordé la question de l’exode rural et la migration.

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INTRODUCTION Le dialogue social recouvre tout ce qui favorise la compréhension entre les différentes composantes de la société. Le dialogue social selon l'organisation internationale du travail inclut toutes formes de négociation, de consultation ou simplement d'échange d'informations entre représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des questions d'intérêt commun liées à la politique économique et sociale. Le dialogue social joue un rôle essentiel pour atteindre l’objectif de l’OIT de promouvoir l’accès des hommes et des femmes à un travail décent et productif dans des conditions de liberté, d’égalité, de sécurité et de dignité. Selon la définition de l’OIT, le dialogue social inclut toutes les formes de négociations, de consultations et d’échanges d’informations entre les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des sujets d’intérêt commun.

Si l’expression est fréquemment employée, elle n’a pas de définition univoque. L’Organisation internationale du travail (OIT), pour sa part, la définit ainsi : « Le dialogue social inclut tous types de négociation, de consultation ou simplement d’échange d’informations entre les représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs selon des modalités diverses, sur des questions relatives à la politique économique et sociale présentant un intérêt commun. Il peut prendre la forme d’un processus tripartite auquel le gouvernement participe officiellement ou de relations bipartites entre les travailleurs et les chefs d’entreprise (ou les syndicats et les organisations d’employeurs), où le gouvernement peut éventuellement intervenir indirectement. Les processus de dialogue social peuvent être informels ou institutionnalisés ou associer – ce qui est souvent le cas – ces deux caractéristiques. Il peut se dérouler au niveau national, régional ou au niveau de l’entreprise. Il peut être interprofessionnel, sectoriel ou les deux à la fois. L’objectif principal du dialogue social en tant que tel est d’encourager la formation d’un consensus entre les principaux acteurs du monde du travail ainsi que leur participation démocratique. Les structures et les processus d’un dialogue social fécond sont susceptibles de résoudre des questions économiques et sociales importantes, de promouvoir la bonne gouvernance, de favoriser la paix et la stabilité sociale et de stimuler l’économie. » Le responsable RH doit assurer la mise en œuvre de la législation sociale et est le garant du dialogue social entre les différents acteurs de l’entreprise. Il doit jouer le rôle de médiateur entre les salariés et l’entreprise. Il doit assurer le bon équilibre entre les intérêts de l’entreprise et de ses actionnaires et ceux des salariés. Ces intérêts sont le plus souvent antagonistes puisque les soucis de l’entreprise et des actionnaires sont essentiellement d’ordre économique et financier alors que les préoccupations des salariés sont d’ordre social et humain. Le responsable RH doit donc essayer de trouver le bon équilibre entre ces intérêts diamétralement opposés. Il doit jouer le rôle de « facilitateur « , de négociateur, pour garantir la paix sociale dans l’entreprise et éviter les conflits. S’il ne parvient pas à éviter les conflits, il doit les résoudre le plus rapidement possible afin que ceux-ci ne nuisent pas au développement de l’organisation. Les conflits peuvent être des grèves, des plans sociaux, des licenciements, ou de simples différends entre salariés ou entre un ou des salariés et l’employeur. Pour les résoudre il doit user de ses compétences techniques et professionnelles (connaissance de la législation et du droit du travail…) mais aussi de ses compétences humaines et psychologiques. Les formes de dialogue social varient selon les pays et les régions. Il peut prendre la forme d’un processus tripartite, le gouvernement étant officiellement partie au dialogue, ou de relations bipartites entre les travailleurs et la direction, avec ou sans intervention gouvernementale. Il peut être informel ou institutionnalisé, il est souvent une combinaison des deux. Il peut se situer au niveau national, régional ou de l’entreprise. Il peut être interprofessionnel, sectoriel ou combine les deux échelons. Les structures et les processus de dialogue social qui fonctionnent bien peuvent permettre de résoudre d’importantes questions économiques et sociales, de promouvoir la bonne gouvernance, de favoriser la paix et la stabilité sociales, et de stimuler le progrès économique. Le responsable Ressources Humaines apparaît donc comme le garant du dialogue et de la paix sociale.

www.ladocumentationfrancaise.com

3 PLEIN FEUX SUR LE THEME DE LA SEMAINE : LE DIALOGUE SOCIAL

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La qualité et l’efficacité du dialogue social sont des facteurs déterminants de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation des salariés. Le dialogue social est donc au cœur de notre contrat social et constitue un levier essentiel pour organiser l’expression des convergences d’intérêts et le dépassement des divergences. Il a notamment permis d’aboutir à des accords nationaux interprofessionnels et à la conclusion de nouvelle convention. Le dialogue social au niveau des branches professionnelles connaît également un dynamisme certain, mais aussi des limites évidentes. Il est très sollicité par les réformes engagées et les négociations de branches donneront lieu à un suivi renforcé dans les prochains mois. Par ailleurs, la question de la structuration des branches professionnelles, trop nombreuses, nécessite une démarche de fond.

L’entreprise est une collectivité rassemblant des intérêts différents (propriétaires, dirigeants, salariés, fournisseurs, clients) qui doivent trouver ensemble des équilibres permettant d’atteindre une performance globale. La recherche de ces équilibres avec les salariés se construit dans le cadre du dialogue social. Comme la loi impose ou invite les entreprises à engager des négociations de plus en plus nombreuses : NAO, salaires, temps de travail, conditions de travail, emploi des seniors, égalité hommes-femmes, GPEC, droit d’expression, participation, intéressement, co-investissement formation, prévoyance, bientôt risques psychosociaux, il est nécessaire d’adopter une approche globale pour créer de la valeur, prévenir les risques de conflits sociaux et mettre en place les conditions de la reconnaissance du travail et de l’épanouissement des salariés. Il est aussi indispensable d’alimenter la négociation avec des angles de vue élargis et innovants et d’organiser les remontées en provenance des salariés concernant les perceptions du fonctionnement de l’entreprise et de ses enjeux économiques, concernant l’appétence pour la formation, les désirs d’autonomie, le rôle de l’encadrement, PREPARER LA NEGOCIATION EN AMONT La préparation de la négociation et l’organisation du dialogue social nécessite au préalable :

- un diagnostic de la situation et la prise en compte des données économiques et techniques de l’entreprise (atouts, compétences, points faibles, domaines d’amélioration, contraintes, marges de manœuvre, …)

- l’écoute et l’identification des positions des salariés et de leurs représentants (demandes, points de butée, scénarios alternatifs, …) au moyen notamment de questionnaires anonymes et au travers d’une animation dynamique de groupes de travail,

- l’organisation de la discussion (définition d’une méthode permettant de poser tout sur la table, de lever l’implicite, d’identifier les moyens à mettre en œuvre...)

La pratique du dialogue social impose l’implication forte des dirigeants et notamment une information et une communication transparente auprès des salariés et de leurs représentants sur les enjeux et les risques rencontrés par l’entreprise dans l’exercice de son activité. Les résultats, souvent au-delà des espoirs fondés sur ce dialogue, montrent en général :

- un accroissement de la production de valeur ajoutée et de la productivité, - une hausse de la motivation et de l’intérêt des salariés au travail, - une réduction du stress, du harcèlement, de l’absentéisme et des accidents du

travail, - une forte diminution des conflits collectifs et individuels du travail - des marges de manœuvre supplémentaire pour le pouvoir d’achat, - une diminution de l’insécurité liée aux variations de l’activité, - un renforcement de l’employabilité et un développement des parcours

professionnels, - une amélioration de la rentabilité et de la compétitivité de l’entreprise toutes

choses égales d’ailleurs.

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4 FORTIFIER LE DIALOGUE SOCIAL DANS L’ENTREPRISE POUR DES RESULTATS PARTAGES

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Qualification du poste : SSIAP SECURITE ET DEFENSE Lieu d’exercice de la fonction : POSTE EN EXPATRIATION Secteur : MINIER

ACTIVITES ET COMPETENCES SPECIFIQUES

Activités - Effectuer le recueil et la livraison de biens et en vérifier la conformité - Effectuer la télésurveillance de sites (vidéo, détecteur, ...), de véhicules ou d'alarmes techniques

(ascenseur, température, ...) - Vérifier le motif et la pertinence de déclenchements d'alarmes (levée de doute) ou déclencher

l'intervention d'équipes - Mettre en œuvre des mesures conservatoires de biens, de lieux en cas d'intrusion, de sinistre - Former et sensibiliser le personnel aux techniques, procédures de prévention et de sécurité - Veiller à l'application des règles, consignes et dispositifs de sécurité par les intervenants - Patrouiller les lieux afin de prévenir et de détecter des signes d’intrusion incluant la sécurité des

portes, des fenêtres... - Répondre aux alarmes et enquêter le désordre. - Appeler la police ou les pompiers en cas d’urgence. - Rédiger des rapports d’activités quotidiennes et d’irrégularités comme les dommages sur les

équipements ou sur la propriété, le vol, la présence de personne non autorisées ou des incidents inhabituels.

- Circuler parmi les visiteurs, les patrons et les employés pour préserver et protéger la propriété. - Avertir les individus des infractions ou violations des règlements, appréhender ou expulser les

contrevenants des prémisses, en utilisant la force en dernier recours, si nécessaire. - Concevoir les voies et infrastructures de circulation du site d'exploitation et de ses abords - Effectuer les gestes de premiers secours

Compétences - Maniement d'arme - Maitriser la réglementation en Hygiène, Sécurité, Environnement -HSE - Maitriser les techniques de médiation et d'autodéfense - Avoir une connaissance en techniques de surveillance/télésurveillance - Savoir lire une fiche technique - Utilisation d'outils bureautiques (traitement de texte, tableur,...) - Utilisation d'outils de radiocommunication - Techniques de lutte incendie

ACCESSIBILITE DE L’EMPLOI - diplôme de niveau Bac professionnel à Bac+2 (BTS, DUT, ...) dans le secteur de la sécurité - expérience professionnelle dans les secteurs de la sécurité et de la défense sans diplôme particulier - niveau Bac+3 (licence professionnelle, titre professionnel) est requis pour les agents de recherches

privées - Une ou plusieurs habilitations (Service de Sécurité Incendie et d'Assistance à Personnes -SSIAP 3-,

...) requise(s) - Un casier judiciaire exempt de toute mention contradictoire obligatoire.

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5 LES ANNONCES DE LA SEMAINE

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SYSTEME DE RETRAITE SENEGAL

LES INSTITUTIONS PREVOYANCE MALADIES (IPM)

BONNE SEMAINE

L’IPM est obligatoire pour toute entreprise supérieure ou égale à 300 employés Toute entreprise employant un nombre supérieur ou égal à 300 travailleurs doit obligatoirement créer une Institution de Prévoyance Maladie (IPM) a déclaré, mardi, à Dakar Mansour Sy ministre de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles. L’IPM est obligatoire pour toute entreprise supérieure ou égale à 300 employés. Si cet effectif n’est pas atteint, l'entreprise a l'obligation d'adhérer à une IPM déjà existante ou de se regrouper au sein d’une IPM inter-entreprises, a-t-il ajouté. « La souscription à tout autre régime de prise en charge du risque maladie, au profit des travailleurs, ne peut être que complémentaire au régime de base sus défini et ne saurait dispenser l’employeur de l’obligation de s’affilier à une IPM « a-t-il précisé. L’annonce a été faite lors d'une conférence de presse du ministre sur la réforme du système d'assurance maladie obligatoire dans le monde du travail et la couverture maladie universelle. Le ministre de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles a par ailleurs invité, « les employeurs, les travailleurs, leurs organisations syndicales et toutes les IPM existantes à mettre en commun leurs efforts pour une amélioration du système d'assurance maladie obligatoire et une couverture maladie universelle dans le monde du travail ». « Le gouvernement a apporté des réformes sur les textes concernant le fonctionnement des institutions de prévoyance maladie (IPM) au sein des entreprises, dans le but de vulgariser l'assurance maladie obligatoire afin d’apporter sa contribution à la couverture maladie universelle en mettant en œuvre la réforme de l'assurance maladie obligatoire » souligne le ministre de la fonction publique. M.Sy de poursuivre que « Cette réforme tourne autour de trois axes majeurs : une réforme juridique, avec la réactualisation des principaux textes qui régissent les IPM, pour les adapter au contexte actuel, une réforme institutionnelle avec la mise en place de l’Institution de Coordination de l’Assurance Maladie Obligatoire (ICAMO) pour améliorer la coordination et le suivi des IPM et enfin une réforme de la gouvernance avec la mise en place du Fonds de garantie et de solidarité des IPM, le renforcement des capacités des acteurs, ainsi qu’une vaste campagne de sensibilisation et de contrôle visant à faire respecter cette obligation avec la collaboration des inspections du travail et de la sécurité sociale ». « Une extension sera opérée au profit des travailleurs non permanents, par la mise en place d’une IPM au profit des travailleurs atypiques et des catégories jusque-là non couvertes par les IPM » a fait savoir M.Sy. Il est porté à la connaissance des dirigeants des IPM et des employeurs du Sénégal l’entrée en vigueur des nouveaux textes sur l’assurance maladie obligatoire. Toutes les IMP sont tenues de modifier leurs statuts et leur règlement intérieur en raison de la réforme, a conclu ministre de la Fonction publique, du Travail, du Dialogue social et des Organisations professionnelles.

NDEYE MAGUETTE KEBE HTTP://WWW.LEJECOS.COM/

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6 INFORMATIONS UTILES

Le système de retraite de l’IPRES repose sur la répartition : Le mécanisme de ce système consiste à allouer aux allocataires une partie des cotisations versées par les cotisants (employeurs et employés) après déduction des frais de gestion ; les retraites d’une période données sont financées par un prélèvement sur les revenus d’activités de la même période ; d’où l’existence d’une relation directe qui s’établit entre le nombre de cotisants et le nombre d’allocataires ou plus exactement les cotisations à percevoir et les allocations à verser.

Les cotisations versées sont converties en points et le prix d’acquisitions d’un point de retraite La pension annuelle de retraite est égale au nombre de points acquis pendant la période d’activité, Y compris éventuellement des points gratuits, multipliés par la valeur du point de retraite

1. Salariés et employeurs 2. versent des cotisations 3. Ces cotisations financent les pensions en cours 4. Les salariés s’ouvrent des droits pour leur future retraite

Ce système de répartition se caractérise donc par : L’existence d’un contrat, ou plus encore d’une solidarité entre les générations puisque chaque

génération d’actifs se reconnait une dette vis-à-vis de la génération précédente et bénéficiera du paiement de sa retraite par la génération suivante.

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