4
I aiHide Sam edi 16 SepliumUre IM ® ty.+'s leHfmoulioJ irlhélemy)» j o » rABOlÎNJB i !36&U s, su bateau du Journal rüt J* Beau Vaif.n» 6 ;—A Crêpy,clie»pi.B*Mié,l>bni»rei —4 Perot-les*<ioinhrie«t à M. Ltotiao, ancien maire;—A Pari», à l’Offioe de Publicité départe menUle,r.Montmartre, m .e t a l'OlBcecotres À N i'IdN C ES J ip ic rrea «t Bfn &ot 5 Un av. • BiavoU. Trou» nota |U«an oeu ut Diraattumu'r.l&isnoia. «ondaueedb Mîl.LwowvaTet C%r» N.-D.-de»- Vi e 1849. , pnfprié jnoiuiec uc u»i». ----- ; ictoirea, 46; — Kti hez tou* le» Imprimeur» et Ubraifi a du département. •BIX BBS nfSSBTlOMB : ANÜoiîCBS JUmCIAIRBS, t& «ent» la ligue âNyoHCK^oivKftSËS. ^o »q fArdIl Ou au. on* ou Dd»antniiUV.|&ix iBW, TfoUmoit, ÂTION ire à Senhs, idame Foy* i initli» Rd*n* 12* ‘ tle l’eure- \x mtuVoRf. I, notaire à NTIARES Bois Leblanc. es-Ut’Biello, t Eremû, , à midi, aubergiste, are à StnKs. ndjudicalion. S EfW tlS P»r «n»!* Jà P<io«*^é*«JBlîrîlttl *ol ëràw»!» ' D«i • m .iw ÜR H- Guibiio^g. «leaibredu eoiiwil géniral; idj'oints, MM. r«uVell« « Heiili TarquRl. _ U* Conw»deCh.nli)lï»oroiilU«p «jir la grandePriooae. le. ■raedi 7, dimanche 8, jeudi l î et dimanche IS oclobre, a deux “ïM i le monde cennnit cel|e belle Pelonae, bordée d'nh cdté par *„e.plendid.to..êl.rl del’.nlr. par de. écurie. n.onu«M.ul». 2’e.t le que .e tràuve l’hippodrftme, nu de. plu. magnifique, qu il ^ Ï m TriboilM. nou«ellemenl élàblie., .ont conslrnile. eu pierre, de taille et en briqueè. et dispoaér. par nu de no. u^lleoni nrchi- Iccle.. 1 qui M. le duc d’Aumale le. aeail comumiidée.. Elle, .ur- i iwaMUlen magnifiréiice et en élégance le. Inbuiira et le» paeiHqn. I dWaom et de NrW-Markel eu Auglelerre. et tout ce^qui exule eu Europe, en fait d’élaldiMemenl. de ce genre. Appuyée. foiél. a.ec laquelle elle, .'eiicadreul mereeillenaemenl. le. Tribune, do minent la PelouM. L’intérieur et la terrame offrent au» aMtenr» , 1200 place., tonte, diapoade. de la manière la pina couforlable. De ’ la tertame. la bue .'étend a»ee un charme Infini aur le. aile. le. nlna pittorèeque» et le. plu» accidenté». CmaamaM dto Im » u«té«éi «'Km Samedi! Q€Utn. L’Ounim. (Handicap pour eheeaU» fnnqaia). 4.000 fmne. don- inéanar le mini.ti» de fagriçolture et du commerce. . ' m«_L_ ^dlA Ymmanjam 'DaiMV nnillaltin t > amateurs, le suite, :rre PîaceaaXf ^nésnar le ibimslre de ragnçqiiore .... Li Saiirt-liGtn.Entrée 400 franc. Pour ponlaiii. et ponhchm de il an., né. en France. (I# chee.nx«ntinK.it.). . 4 Taornén» Cia»a«. 4.000 franc donné» par le miniatre de I agn- i culture et dU commerce. Pour cheTouz bnüera et fument, de 4,an., : de pur Mng.,(12clie»a,n» .ont luKrita.) ..... i Paix nx ta Fouit. 1.500 franc donné, par U aociété d ennnra- ^ cm ____ I.— .m..c cAtimM'*i-îaa»mii'da Aans et an^eMbs'a lievaux eutiers ei I Paix Paiitciast.. 5,000 franca* | JW»if«ar5e 15 drft»5/i^ fiatx PaiaciPAt. pour poulains enlle^ ei poülicheA de 8 auB. Gasfib Paix Natioh& l , li.TMK) frAiid» poar cbevaux enlierl et jumeiilf de pur sang, de 4 ans et aÿtlessDs, nés et élevés en Le prix des places des tribunes (I* njng) est de 2 francs;' le prlk de celles dn second rang et de la terrassa est de 1 franc. L'entrée dans l'enceinte des tdievang ésl de 10 francs. . L'entrée daus rbippodrotne pour nne-Toiiure à quatre rooest j 10 francs. Pourone voiture à deux roues, 5 francs, pour un cavalier, 5 francs. Avto «mm AMiUttmrB «M C mmimi de CI im s UOF. LesMaîlres>d*ll5tel soussignés se aobt rénnis et sont couvetios entre eux, de donner les déjeuners ét lÿ ilincrs aux mêmes prix que ceux des bons restaurateurs de PanSb Messieurs les Amalenrs des Co'orses peuvent être persuadés éavacce que les Maîtres* d'Hêiel feront tout ce qni dépendra, d 'e ^ pour qu'ils soient salis* ; faiU de la modération dès prix.''On déjouera et l'on dinera a la **DUOAN père. Wlel do CîrandiCerf; fQOACHB.JiAiel dn Lion d'Or; DUDAN fils, bôtel des Deux-Cygi^ GOILLüTB, hAtel d« Bains. PROOBAimn sir| Qui aura lieu deaudu i t sxrciaiB? nUllj. ire à Sentis. lies toitures, I , demande ml de Sentis. . int parfaite* ince. Mo. tetay (Oise). Moient. Pour cbrvaux oniirr» c* — » -•« — '‘.'yiTTti Paix DIS EcoaiBs. 1,500 francs donnés par U société dencon I ngemeni. Pour chetanx entier.eljninenu de 8 an. etan^cans. i Paix DX Snaexiai. 1.000 franc donné, par la «miélé d eue ' * -• _ ■ _? __ _ J — a mnmC ma. iclmm»,! I Paix DX swaexiax. i.u w ~».-~«i par L ----- ■ra|em«nl. Pour cheranx entiera et inmeiiu de Z an. et an-deuna. . C.al>.a. *m eMavmmmaeaa*. Dimeuuhe 8 oeU in ( l " joar.) Paix D*A»BO»DiuaiiinT. 8,000 fiénc», pour poolain. entiera et nouliches de 3 ans. , î Paix n'AaâoaDisitiiaîiT. 3,500 francs, poar cbevaox entiers et , juments de 3 ans et ao*des80s. Jeudi i i oetoire (î“ /aur.) i Paix Marioiut.. 6,000 franc, pour chevaux entier» et jnmenu ‘ de 3 an. et au-dcna. PaixDXcroaxt.iiouyM--~^-~^^,i~--7^ t Bm» de deux pU nc (Hxaciz.) , ........ ^ ... ge^ent. P o ç ç ^ n x m i^rnc^^ I «^milé. par J f- CMi-Dumoreau (Rnmint.) SM tam a. ponr piano. Tam m telle, par JM“* Marie Damoreau (Dotnxa;) M im e »elDl>éfeaa4aiaat., composée pour M“ Cinit-Dama- reuu (Hippolyie Danoaxau.) M m d e VIeImm, exécuté par m : Faueheaje. Memtemoe naegEaeerUe, chaiiMimette. par Àlùc Gre nier, élévo de M“ Ciuli-Damorcu (Hippolyie DanORBau.) ]l^ fjhmmi dm B eCsm e l, duellin» par i f ' Marie Damoreau al IP . A lix Grenier (Hippolyie Danoaxau.) aim Umamlmm m o lr, chaulée par M " Cùtli-Dàmoriàu (Aonia.) — M. Roger. loKor de .ciinrc à Ç^aoii ly ^ l Iwnnrer de pré- venir le pnbfi# que drmaii^imaoche. il fera paritf de t holel do G«nd.Cerf. il boit heure» prtSclw» du ioir. un ou plusieiir* omnilw. qui amèneront à Chantilly, le. pcrsonues qui désireront se rendre 2n Concert ét an Bal donné, an profit de» ouvrier, .an. travail Ces même omnibus repartiront enauiie de Chantilly dans la naît pour reconduire I» même perciinc a Srnlis. . .. . Le prix dea pUcc «t fixé ainsi qn’il .un : de Senli. a Clian- tllPy, I franc 25, et retour, i fr. 25. — H oc recvons de Ü. Donatien Marquis la lettre suivante : • Munsiehr. . En rendant cmpte dan. votre feuille, de. vole, d e repi éamn a tant, de l’OiM. relaiif* à la prolungaiion de 1état de aiege, voua a m’avez désigné cinme avant volé contre. ' . a Ce vote a été le résultat d’oiie méprise qne j ai réparée avaç a même le dépouillement dn scrutin, en écrivant au rédacteur du Moniteur, nue lettre ponr déclarer qne c’était par erreur qne pj’avais m i. un billel éfen daéa l’urne. i a i ’avab cm que l’on votait sur U proposition de la levée de a l’état de siège, et i’avai» voté contre en mettant on billet bleu. a tsndis qn’il a’agisuit d e enclosions dn comité qui demandait qu’il ne fût point donné auite à la proposition. p a J o v o c » ra i reconMi.5ant de vouloir bien insérer ma .é a mation dam votre pin» prochain numéro. . a Veuillez agréer l’aaantanc de ma cusidération distinguée. . » Donslten Masqois. ■ Il septcmbra 1848. * Lés èèPtf^entanls du dépsrlenienl de l'Oise ont volé de la manière suivante, .or l'amendement de M. Frcnean, ayant pràr objet la .oppression dh préambule dn projet do cocttlnnoa. On aait qhe cet ameiidrmrnt a été rejeté. ^ FCtr ! MM. Borllloo; tofoormca. de Hatnay et Smuledleiito. Contre : MM. Flye, Gérard. Lagacbe. Leroux, Marquis et Tondo dn Metz — Voici comment les repiéientantt dn dÿartement ont volé lors de* deux scrutins do divUlon qui ont ett heu lundi dernier an sojet de la faculté de sapprimer le. journaux. I-Scrirtin. — Sur le projet de décret émané do comité de é.'ia- lation. qni prnpomit de transKrer à l’autorité jodicatre le droti de prAuoncer Is su*|M>ntioii i _ . « Ont voté ponr : MM. de Mornay. Samte-Beove^^ Dot voté contre : MM. Bamllon, Dewrme. Hye, Gérard, Le. roux, Msrqoit, Ton»lu ilo Met*. Al>senl uu moment du vote : Ho l^sgacbe. 2« Scrmtin. Sur U question préalable deroanJée contre 1a pro* ■Honrét 163 neur de pré* le ville et no ose lesdents^. !». Avec ces i»re dentiste; ebelles sans rrance. 11est peut COUSIT* ipport àl'art •t de la soli* tsance. Bon* 5rt*Jule»).— «prez (J^ lie) e t Dou* uve Boquet, alie), femma ans; Gadit* Deschamps — Euire le à Senlis, et jonmalière éxodr ;8t8 : 2 " , 17 c. FEUILLETON. LtS SOTTES VEMŒS DE CENDRIUsDN. fSttite.) XII Hons vécdmc. ainat qoiiiae grand» jeera. l e mal fajsaît de» p r o ^ Eeffravants. A chacuiiede me» vi.iles du matin, je restai» frappé de stu- . nriir au seuil de la ebambntte. Pins de joies, plus de douce, rt longues V aiiieries. J’étais eu proie è une tristesse accablante, a un morne deses- i '" ’ccpcndant j’abordais tonjonn la mourante avec nn front que je m’ef.- foreais de rendre joyeux et souriant. Mon unique penm était de lu, ca- I cher mes chagrins et mon effroi, de lui faire croire è nn espoir, è une i eonfiaoee, qni étaient, hélas! loin do mon cœor._ Chaqae nuit, ses pauvres yebx bien» se cavaient davantage. re- CardVétalt pins qu’une étoile palissant aoz premiera r a ^ à* I an- l Le. éleile qni s’éteignall an fond des orbites violeU et prof^ands. & mai- ^ grenéinm dL lai donnait l’nspert fatal d;™ I P e n m h e , o’étail plus qn’nne ombre insaisissable et déjè prête è _ » nn- voler Ses pied. aenU b alaient «loore la terrei déjà son «me n a ît fut vers les anges, ses saurs, qo’ellc voyait parfois dans ses rêves I appeler ver» le ciel en agitant leurs ailts. ...... Souvent, la nuit. Il me semblait entendre comme le brnitd une porte ouverle avre précaution, dan» la chambre è eoiicher. J avais examine la muraille. Elle était recouverte c’une boiserie. Pas de serrure, «ncnn in- tervallel Je crus m’élre trompé. Mais une ouiije fus réveillé de mon léger «immeil par un choc lourd et Soudain. C’etait le bruit d un corps tonibanl sur le plancher. J’avais bien entendu; cette fois je n étais pas le iouet é'one érrear, Saa* hésiler. j' outtI* U pprte. , *. j Le lueur de la veîllcoM me pcrmelluit de voir dani la chambre, ou da moÎDs de dîtliaguér le» objet* au milieu d'ub demi-jour luoerlaïo..Je re- **Qniq‘iie chose de hiane était étendu 4 terre. Je frémis en eeconnai^ saut Pervenche évauonie. Au-dessus d’elle, un panneau de la hoiserie me semhl. entr’oiiverl. Je le pounmi. Il y avait 14 uim longue et etroite cavité. J’approchai la veilleuse. Au fond, était le portrait duu jeune bomme. Je reconou* l'aroanl qu'elle nieurall. Plua de doute, delà veuall le broil qu'il m’avail aouvenl aemblé en tendre. La mourante *c levait toute* le* nuit» pour contemnlcr ce visage adoié. Cette foia, U force lui XTiit manqué. Elle é u it tombée eu ouvrant lepatmeau Kcret, . Imprudence et folle enfant t.., — Pardon! murmora-l-elle, dès qu’elle fut «ii peu icvenne de *ou évanooissemcnl. Pardon, amiî c'étail mou seul bonheur; et je ue voolai* pa»qoe,toi-méme,tuptisVe*levoir,lui! ... . . . , Qne de reproche* je lui adrc«*ai! 11 fallut qu elle me jurât de ne |do» ae relever la unît. Ellè m'obéit, 5 condition que je placerai» le portrait à la portée de se» regard*, le le I* tenir debout Vur le pied de *on lu, et depuU elle ne le quitta plu* de* yeui. xüt 11 y avait dîx-huîl mot* que le jeune homme était parti ! Vsaa aanaa Ivllrcl ' Sbuvenlj'avaiivonhi rinlervéger à cèhàjet; lacralnU d être m due^ m’avait retenn. Il était impossible qn’HIc (fit » e ^ sur jl terre. B’osait-ell* pas »’adress*r 4 ceux dont tlte avait coeouro la colère? J y «irai, rilé, moi! trop. M ranx tle lui prot«riiaaa.ia»taamisé- ctJa. ip j I. ss-anJ. yétaisfiav. Hest vrai, d’étreaao appt», mahcvena tant, son banhéar et gap saint. '. n ^ Smis doota die dxvio. ma pensée, car, na lo w , elle ine raooma, saaa qnejelni en»»e demandé, l’histnire dm d ix ^ p t années de w vie. Citte histoire rcsserohisit 4 l’histoire de hien des jeune» fiiics_. _ Orpheline prcqiie dés lé herceau, elle avait été recueil le et elevée par a. .1» «nn Ccs DEfcots avEient dc* cnfant* cox- jour fatal, le honheor s’était envolé avec la vie! Cet aven m’avait vivement émn. J’étais fier de la savoir innocenle ce la seule et uatuiélle faute qu’elle eût jamai. commise. Dieu lni.miéiue ne pardonne-t-il pas heaucoiip 4 eeuz qui ont toocoup aime? Kl quelle euoe fillo *uVterre ***11 plu* saintement aimé que Pervenche •... J ’avais reraarqoé dans le récit de Fetvenehe un onbli qui m'avait frappé. Elle ne |,rononcait ni son nom. ni celui de ses pareni», qu elle ne maudissait pas, et qu’elle avait poorUut le droit de maodirc. Je Ini demandai la carise de te siletace. Oh! me répoddit-elle avec un soorire, le dernier qne j ai vu snr ses lèvres; oh! c'eSt qne je t’ai bien compris vois-lu . bi tn « a u le» noms, tn cherchersi» les personnes, et je oc le veux |uis. Ils ra ont bien fait dn’ mai! Iis ont dit et pensédcs choses affrensp», dcpiiu que je le. ai qniltés. Mes dh-sept aor ne sont pas sans orgueil. J oi agi comme jc dc- vais'agir. Pourquoi donc leur demander une grèce, que, du teste, sois- c»b!ab»fir,’ îl»o’aceorderaîenlp»»? -, Cette silnçle et digne léponse me fit plaisir; son orgueil netait-il p»« ™H1?e«t' noiaeiiiébl penser!loi répondia-je aossiiôi. Mai,. voyon.i... >1 d’un autre cèté nous n . tronvons pés quelques ressmirc s! Il 4vait. lui. de. émis, do bons et franes jeune, homme»; par eux, non» aurmis des seconrs. et peut-élie encore mirnX, des nouvelles de 1ansenl. Célait-U le meilicnr appûl ponr tenter le courage de la délaisser. J’Bais doue hien loin de m’attendre au triste signe de tête après lequel elle murmura : , ^ 4 .... — Faux espoir, moo vieil ami, faux espoir* Je n a» jamâi» rocme -» J a.ax.AA..rnAn« A mb#b nlbiiirs. Lni-méroe avait renonce maison. Jamai* une voix amie n aviin i«ppv ■«« ninls d’amour enivrèrent son jeune caur, auquel un semblable langage était inconnu, divin. Elle avait |ioiii1ant 1 4nie verlitensc, et ce furent encore pin. les dureté» cl les ciiagrins qui la jetèrent aux bras de son amant. Un jour, cnfiii, elle s’enfuit de cette demeure, devenue insuppor- tahle. L’anioiir l’attendait 4 la porte. Qu’elle fui heureuse pendant quelques mois! Son amant 1adorait. De. houqiirls de Pervenche échangés la nuit, par deans la muraille, avaient été leur premier et unique eniretien. Elle se cacha sous le nom de ce. fleurs. Pcjoe superflue! U» parcni. doni elle avait déarté le toit hnspi- talier ne la cherehèrent même pas. trop heureux d être di^rras.& d un enfant qui n’était pas le leur. Que Jc soins cependant elle prenait pour rester iiooiéel Excepté ion amant, personne qo la connaissait que son. sim nom de Perveache. Enfin était reu» lé teerthl» départ, et, dépôt» ce —• Üanx espoir, moo vieii ami, i«u» -w ............................ . nn seul des anciens compagnons de se» pluisirs. Lni-rnéme avait renonce 4 toute autre société que la mienne. Du jour ou je m cla.s donliée . Iiii. nous avions été l’on pour l’outre l’oniver. tout entier. 'Telle ctai la dou.c loi que l’amour noiM avéit Inspirée. Non. noua aimions lantl II avait rom L avec son passé. Désormais nous divions vivre tou» les deux seu s, eomnihlc, toujours cnsenihle. Ton ponr r.o lrcel lun par loutre, bu reste de la terre nous devenait étranger. Sa voix rciiondait a ma voix, ma voix 4 la sienne. Tout ce qni n’était pas nous n obtenait point une oarolr Cette idée, ce pacte venait de lui. Je 1avais jure avec joic. Je ne rannaissais, je n’aimais personne au monde, excepte lui que joilmiiis rê m “ mon caur. Mais pour lui c’était un saerilice. Il aiait des a,in.s, des habitude». Le bruit, le monde, la vanelc des fipires cl des tan gages, tout cela plaisait 4 scs yeux et 4 ses oreilles. Mm» scs Jj''» vovrictil pins, en oreilles n’entendaient pins que sa Pervcm lie. Il clai jaloux du son de ma voix entendue' bar un autre bqinmei du legard lln'ttu antre homme arrêtait sur son trmor, qui, disaïoil. ne de,ail être ïliùlLjdé qu. Î^Hui. - Il arrivorai» anjoard’hui qu’il serait jalons de

À N i'I d N C E S J i p i c - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1848-1851/bms_js_1848_09_16_MRC.pdf · Iccle.. 1 qui M. le duc d’Aumale le. aeail comumiidée.. Elle, ... Paix

  • Upload
    lamkiet

  • View
    214

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

I a i H i d eS a m e d i 1 6 S e p l i u m U r e I M ®

ty.+'sleHfmoulioJ

irlhélemy)» j

o » rABOlÎNJBi !36&Us , su bateau du Journal rüt J* Beau

Vaif.n» 6;—A Crêpy,clie»pi.B*Mié,l>bni»rei—4 Perot-les*<ioinhrie«t à M. Ltotiao, ancien maire;—A Pari», à l’Offioe de Publicité départe menUle,r.Montmartre, m .e t a l'OlBcecotres

À N i ' I d N C E S J i p i cr r e a « tBfn &ot5 Un av. •

BiavoU. Trou» nota

|U«anoeu ut Diraattumu'r.l&isnoia.

«ondaueedb Mîl.LwowvaTet C% r» N.-D.-de»-Vie 1849.

■, pnfpriéjnoiuiec uc u»i». —-----;ictoirea, 46; — Kti hez tou* le» Im prim eur» et

U b ra ifi a du départem ent.• B I X BBS n fS S B T lO M B :

ANÜoiîCBS JU m CIA IRBS, t& «ent» la ligue âNyoHCK^oivKftSËS. o »qfA rdIl f »Ou au.

on* ou D d»an tn iiU V .|& ix iB W ,TfoUmoit, T IO N

ire à Senhs,

idame Foy* i initli»

Rd*n* 12*‘ tle l’eure-

\x mtuVoRf. I, notaire à

NTIARESBoisLeblanc. es-Ut’Biello, t Eremû,

, à midi, aubergiste, are à StnKs.

ndjudicalion.

S E fW tlSP»r «n»!* Jà P<io«* é*«JBlîrîlttl *ol ërà w»!»'

D«i • m .iw ÜR H- Guibiio^g. «leaibredu eoiiwil géniral;idj'oints, MM. r«uVell« « Heiili TarquRl.

_ U * C o n w » deC h .n li)lï»o ro iilU «p «jir la grandeP riooae. le .■raedi 7, dimanche 8 , jeudi l î e t dimanche IS oclobre, a deux

“ ï M i le monde cennnit cel|e belle Pelonae, bordée d'nh cdté par * „ e .p le n d id .to ..ê l.r l d e l’.n l r . par de . écurie. n .onu«M .ul». 2’e .t le que .e tràuve l’hippodrftme, nu de. plu. magnifique, qu il

^ Ï m TriboilM. nou«ellemenl élàblie., .ont conslrnile. eu pierre, de taille et en briqueè. et dispoaér. par nu de no. u^ lleon i nrchi- Iccle.. 1 qui M. le duc d’Aumale le . aeail comumiidée.. Elle, .ur-

i iwaMUlen magnifiréiice e t en élégance le . Inbuiira et le» paeiHqn. I dW aom et de NrW-Markel eu Auglelerre. e t tout ce^qui exule eu

Europe, en fait d’élaldiMemenl. de ce genre. Appuyée. foiél. a .e c laquelle elle, .'eiicadreul mereeillenaemenl. le . Tribune, do­minent la PelouM. L’intérieur et la terrame offrent au» aM tenr»

, 1200 place., tonte, diapoade. de la manière la pina couforlable. De ’ la tertame. la bue .'étend a»ee un charme Infini aur le . aile. le .

nlna pittorèeque» et le . plu» accidenté».CmaamaM dto Im » u«té«éi « 'Km

■ S a m ed i! Q€Utn.L’O unim . (Handicap pour eheeaU» fnnqaia). 4.000 fmne. don-

inéanar le mini.ti» de fagriçolture et du commerce.. ' m «_L_ ^dlA Ymmanjam'DaiMV nnillaltin t

> am ateurs,le suite,

:rrePîaceaaXf

^nésnar le ibimslre de ragnçqiiore . . . .L i Saiirt-liG tn.Entrée 400 fran c . Pour ponlaiii. e t ponhchm de

i l an ., né. en France. (I# c h ee .n x « n tin K .it.) . .4 Taornén» Cia»a«. 4.000 fran c donné» par le miniatre de I agn- i culture e t dU commerce. Pour cheTouz bnüera et fument, de 4,an.,: de pur Mng.,(12clie»a,n» .ont luKrita.) . . . . .i Paix nx ta F o u it. 1.500 fra n c donné, par U aociété d ennnra- cm____ I.—.m..c cAtimM'*i-îaa»mii'da A ans et an^eMbs'a

lievaux eutiers e i IPaix Paiitciast.. 5,000 franca* |

JW»if«ar5e 15 drft»5/i fiatx PaiaciPAt. pour poulains enlle^ ei poülicheA de 8 auB. Gasfib Paix Natioh&l , li.TMK) frAiid» poar cbevaux enlierl et

jumeiilf de pur sang, de 4 ans et aÿtlessDs, nés et élevés en

Le prix des places des tribunes (I* njng) est de 2 francs;' le prlk de celles dn second rang et de la terrassa est de 1 franc.

L'entrée dans l'enceinte des tdievang ésl de 10 francs. .L'entrée daus rbippodrotne pour nne-Toiiure à quatre rooest j

10 francs.Pourone voiture à deux roues, 5 francs, pour un cavalier, 5 francs.

A v t o «m m A M iU ttm rB « M C m m i m i d e C I i m s U O F.

LesMaîlres>d*ll5tel soussignés se aobt rénnis et sont couvetios entre eux, de donner les déjeuners ét lÿ ilincrs aux mêmes prix que ceux des bons restaurateurs de PanSb Messieurs les Amalenrs des Co'orses peuvent être persuadés éavacce que les Maîtres* d'Hêiel feront tout ce qni dépendra, d 'e ^ pour qu'ils soient salis*

; faiU de la modération dès prix.''On déjouera et l'on dinera a la

**DUOAN père. Wlel do CîrandiCerf; fQOACHB.JiAiel dn Lion d'Or; DUDAN fils, bôtel des D eux-C ygi^ GOILLüTB, hAtel d« Bains.

PROOBAimn s i r |Qui aura lieu deaudu i t

sxrciaiB?nUllj.

ire à Sentis.

lies toitures,I , demande ml de Sentis. . int parfaite* ince.Mo.

tetay (Oise).

M oient. Pour cbrvaux oniirr» c* — » -•« — '‘.'yiTTt—i Paix DIS EcoaiBs. 1,500 francs donnés par U société dencon

I ngem eni. Pour chetanx entier.e ljn inenu de 8 an . e ta n ^ c a n s . i Paix DX Snaexiai. 1.000 f ra n c donné, par la «miélé d eue' * -• _ ■_?__ _ J — a mnm C ma. iclmm»,!I Paix DX swaexiax. i .u w ~».-~«i par L -----■ ra|em «nl. Pour cheranx entiera et inmeiiu de Z an . e t an-deuna.

. C .a l> .a . * m eM avm m m aeaa*.Dimeuuhe 8 o e U in ( l " joar .)

Paix D*A»BO»DiuaiiinT. 8,000 fiénc», pour poolain. entiera etnouliches de 3 ans. ,

î Paix n'AaâoaDisitiiaîiT. 3,500 francs, poar cbevaox entiers et , juments de 3 ans e t ao*des80s.

Jeudi i i oetoire ( î “ /aur.) i Paix Marioiut.. 6,000 fran c , pour chevaux entier» e t jnm enu ‘ de 3 an . e t a u -d c n a .

P a i x D X c r o a x t . i i o u y M - - ~ ^ - ~ ^ ^ , i ~ - - 7 ^ t B m » de deux p U n c (Hxaciz.) , ........ ^ ...ge^en t. P o ç ç ^ n x m i ^ r n c ^ ^ I «^milé. par J f - CMi-Dumoreau

(Rnmint.)S M ta m a . ponr piano. T am m te lle , par JM“* Marie Damoreau

(Dotnxa;)M im e »elD l>éfeaa4aiaat., composée pour M“ Cinit-Dama-

reuu (Hippolyie Danoaxau.)M m d e VIeImm, exécuté par m : Faueheaje.M emtemoe naegE aeerU e, chaiiMimette. par Àlùc Gre­

nier, élévo de M“ Ciuli-Damorcu (Hippolyie DanORBau.)] l^ fjhmmi dm B e C s m e l , duellin» par i f ' Marie Damoreau

al IP . A l ix Grenier (Hippolyie Danoaxau.)aim Umamlmm m o lr , chaulée par M " Cùtli-Dàmoriàu

(Aonia.)

— M. Roger. loKor de .c i in r c à Ç^aoii l y ^ l Iwnnrer de pré- venir le pnbfi# que drm aii^im aoche. il fera paritf de t holel do G «nd.Cerf. il boit heure» prtSclw» du ioir. un ou plusieiir* omnilw. qui amèneront à Chantilly, le . pcrsonues qui désireront se rendre 2n Concert é t an Bal donné, an profit de» ouvrier, .a n . travail Ces m êm e omnibus repartiront enauiie de Chantilly dans la naîtp o u r r e c o n d u i r e I » m êm e p e rc iin c a Srnlis. . . . .

Le prix dea pU cc « t fixé ainsi qn’il .u n : de Senli. a Clian- tllPy, I franc 25, e t retour, i fr. 25.

— H o c recvons de Ü . Donatien Marquis la lettre suivante :• Munsiehr.

. En rendant cm p te dan. votre feuille, de. vole, d e repi éamn a tan t, de l’OiM. relaiif* à la prolungaiion de 1 état de aiege, voua a m’avez désigné c inm e avant volé contre. ' .

a Ce vote a été le résultat d’oiie méprise qne j ai réparée a v a ç a même le dépouillement dn scrutin, e n écrivant au rédacteur du

Moniteur, nue lettre ponr déclarer qne c’était par erreur qnep j ’a v a i s m i . un billel éfen daéa l’urne. i j»

a i ’avab cm que l’on votait sur U proposition de la levée de a l’état de siège, et i’avai» voté contre en mettant on billet bleu. a tsndis qn’il a’agisuit d e enclosions dn comité qui demandait

qu’il ne fût point donné auite à la proposition.p a J o v o c » r a i reconM i.5ant de vouloir bien insérer ma .éa m a t i o n d a m votre pin» prochain numéro. .

a Veuillez agréer l’aaantanc de ma cusidération distinguée.. » Donslten Masqois.

■ I l septcmbra 1848. * Lés èèPtf^entanls du dépsrlenienl de l'Oise ont volé de la

manière suivante, .o r l'amendement de M. Frcnean, ayant p ràr objet la .oppression dh préambule dn projet do cocttlnnoa. Ona a i t qhe cet ameiidrmrnt a été rejeté. ^

FCtr ! M M . Borllloo; tofoormca. de Hatnay et Smuledleiito. Contre : MM. Flye, Gérard. Lagacbe. Leroux, Marquis e t Tondo

dn Metz— Voici comment les repiéientantt dn dÿartem ent ont volé

lors de* deux scrutins do divUlon qui ont ett heu lundi dernier an sojet de la faculté de sapprimer le. journaux.

I-Scrirtin . — Sur le projet de décret émané do comité de é.'ia- lation. qni prnpomit de transKrer à l’autorité jodicatre le droti de prAuoncer Is su*|M>ntioii i _ . «

Ont voté ponr : MM. de Mornay. Samte-Beove^^Dot voté contre : MM. Bamllon, Dewrme. Hye, Gérard, Le.

roux, Msrqoit, Ton»lu ilo Met*.Al>senl uu moment du vote : Ho l^sgacbe.2« Scrmtin. Sur U question préalable deroanJée contre 1a pro*

■Honrét 163 neur de pré* le ville et no ose lesdents^. !». Avec ces i»re dentiste; ebelles sans rrance. 11 est peut COUSIT*

ipport à l 'a rt •t de la soli*

tsance. Bon*5rt*Jule»).—«prez (J lie) e t Dou* uve Boquet,

alie), femma ans; Gadit* Deschamps

— Euire le à Senlis, et jonmalière

éxodr ;8t8 :■ 2 " , 17 c.

F E U I L L E T O N .

L tS SOTTES V E M ΠS DE CENDRIUsDN.fS ttite.)

XIIHons vécdmc. ainat qoiiiae grand» jeera. l e mal fajsaît de» p r o ^

E effravants. A chacuiiede me» vi.iles du matin, je restai» frappé de stu- . nriir au seuil de la ebambntte. Pins de joies, plus de douce, r t longues V aiiieries. J’étais eu proie è une tristesse accablante, a un morne deses-

i '" ’ccpcndant j’abordais tonjonn la mourante avec nn front que je m’ef.- foreais de rendre joyeux et souriant. Mon unique penm était de lu, ca-

I cher mes chagrins et mon effroi, de lui faire croire è nn espoir, è unei eonfiaoee, qni étaient, hélas! loin do mon cœor._

Chaqae nuit, ses pauvres yebx bien» se cavaient davantage. re- CardV étalt pins qu’une étoile palissant aoz premiera r a ^ à* I an -

l Le. éleile qni s’éteignall an fond des orbites violeU et prof^ands. & mai- g ren é in m d L la i donnait l’nspert fatal d;™

I P e n m h e , o’étail plus qn’nne ombre insaisissable et déjè prête è _ » nn- voler Ses pied. aenU b a la ien t «loore la terrei déjà son «me n a ît fut vers les anges, ses saurs, qo’ellc voyait parfois dans ses rêves I appeler ver» le ciel en agitant leurs ailts. . . . . . .

Souvent, la nuit. Il me semblait entendre comme le brnitd une porte ouverle avre précaution, dan» la chambre è eoiicher. J avais examine la muraille. Elle était recouverte c’une boiserie. Pas de serrure, «ncnn in- tervallel Je crus m’élre trompé. Mais une ouiije fus réveillé de mon léger «immeil par un choc lourd et Soudain. C’etait le bruit d un corps tonibanl sur le plancher. J’avais bien entendu; cette fois je n étais pas le iouet é'one érrear, Saa* hésiler. j'outtI* U pprte. , ■ *. j

Le lueur de la veîllcoM me pcrmelluit de voir dani la chambre, ou da moÎDs de dîtliaguér le» objet* au milieu d'ub demi-jour luoerlaïo..Je re-

**Qniq‘iie chose de hiane était étendu 4 terre. Je frémis en eeconnai^ saut Pervenche évauonie. Au-dessus d’elle, un panneau de la hoiserie me semhl. entr’oiiverl. Je le pounmi. Il y avait 14 uim longue et etroite cavité. J’approchai la veilleuse. Au fond, était le portrait duu jeune bomme. Je reconou* l'aroanl qu'elle nieurall. •

Plua de doute, delà veuall le broil qu'il m’avail aouvenl aemblé en­tendre. La mourante *c levait toute* le* nuit» pour contemnlcr ce visage adoié. Cette foia, U force lui XTiit manqué. Elle éu it tombée eu ouvrant lepatmeau Kcret, .

Imprudence et folle enfant t . . ,— Pardon! murmora-l-elle, dès qu’elle fut «ii peu icvenne de *ou

évanooissemcnl. Pardon, amiî c'étail mou seul bonheur; et je ue voolai*pa»qoe,toi-m ém e,tuptisV e*levoir,lui!... . . . ,

Qne de reproche* je lui adrc«*ai! 11 fallut qu elle me jurât de ne |do» ae relever la unît. Ellè m'obéit, 5 condition que je placerai» le portrait à la portée de se» regard*, le le I* tenir debout Vur le pied de *on lu, et depuU elle ne le quitta plu* de* yeui.

x ü t11 y avait dîx-huîl mot* que le jeune homme était parti !Vsaa aanaa Ivllrcl ' ‘

Sbuvenlj'avaiivonhi rinlervéger à cèhàjet; lacralnU d être m d u e^ m’avait retenn. Il était impossible qn’HIc (fit » e ^ sur j l terre.B’osait-ell* pas »’adress*r 4 ceux dont tlte avait coeouro la colère? J y «irai, rilé, moi! trop. M ranx tle lui prot«riiaaa.ia»taamisé-c tJa . i p j I. ss-anJ. yétaisfiav. Hest vrai, d’étreaao appt», mahcvena tant, son banhéar et gap saint. '. n ^

S m is d o o t a d i e d x v i o . ma pensée, car, na l o w , elle ine raooma, saaaqnejelni en»»e demandé, l’histnire dm d ix ^ p t années de w vie.

Citte histoire rcsserohisit 4 l’histoire de hien des jeune» fiiics_. _ Orpheline prcqiie dés lé herceau, elle avait été recueil le et elevée par a. .1» «nn Ccs DEfcots avEient dc* cnfant* cox-

jour fatal, le honheor s’était envolé avec la vie!Cet aven m’avait vivement émn. J’étais fier de la savoir innocenle ce

la seule et uatuiélle faute qu’elle eût jamai. commise. Dieu lni.miéiue ne pardonne-t-il pas heaucoiip 4 eeuz qui ont toocoup aime? Kl quelle euoe fillo *uV terre ***11 plu* saintement aimé que Pervenche •...

J ’avais reraarqoé dans le récit de Fetvenehe un onbli qui m'avait frappé. Elle ne |,rononcait ni son nom. ni celui de ses pareni», qu elle ne maudissait pas, et qu’elle avait poorUut le droit de maodirc.

Je Ini demandai la carise de te siletace. Oh! me répoddit-elle avec un soorire, le dernier qne j ai vu snr

ses lèvres; oh! c'eSt qne je t’ai bien compris vois-lu . bi tn « a u le» noms, tn cherchersi» les personnes, et je oc le veux |uis. Ils ra ont bien fait dn’ mai! Iis ont dit et pensédcs choses affrensp», dcpiiu que je le. ai qniltés. Mes dh-sept aor ne sont pas sans orgueil. J oi agi comme jc dc- vais'agir. Pourquoi donc leur demander une grèce, que, du teste, sois- c»b!ab»fir,’îl»o’aceorderaîenlp»»? • -,

C e t te s i l n ç l e e t d ig n e lé p o n s e m e fit plaisir; s o n orgueil netait-il p»«

™H1?e«t' noiaeiiiébl penser!loi répondia-je aossiiôi. Mai,. voyon.i... >1 d’un autre cèté nous n . tronvons pés quelques ressmirc s! Il 4vait. lui. de. émis, do bons et franes jeune, homme»; par eux, non» aurmis des seconrs. et peut-élie encore mirnX, des nouvelles de 1 ansenl.

Célait-U le meilicnr appûl ponr tenter le courage de la délaisser.J ’Bais doue hien loin de m’attendre au triste signe de tête après lequel

elle murmura : , 4 ....— Faux espoir, moo vieil ami, faux espoir* Je n a» jamâi» rocme

■ -» J a.ax.AA..rnAn« Am b#b nlbiiirs. Lni-méroe avait renonce

maison. Jamai* une voix amie n aviin i«ppv ■««ninls d’amour enivrèrent son jeune caur, auquel un semblable langage était inconnu, divin. Elle avait |ioiii1ant 1 4nie verlitensc, et ce furent encore pin. les dureté» cl les ciiagrins qui la jetèrent aux bras de son amant. Un jour, cnfiii, elle s’enfuit de cette demeure, devenue insuppor- tahle. L’anioiir l’attendait 4 la porte.

Qu’elle fui heureuse pendant quelques mois! Son amant 1 adorait. De. houqiirls de Pervenche échangés la nuit, par deans la muraille, avaient été leur premier et unique eniretien. Elle se cacha sous le nom de ce. fleurs. Pcjoe superflue! U» parcni. doni elle avait déarté le toit hnspi- talier ne la cherehèrent même pas. trop heureux d être di^rras.& d un enfant qui n’était pas le leur. Que Jc soins cependant elle prenait pour rester iiooiéel Excepté ion amant, personne qo la connaissait que son. sim nom de Perveache. Enfin était reu» lé teerthl» départ, et, dépôt» ce

—• Üanx espoir, moo vieii ami, i«u» -w.............................nn seul des anciens compagnons de se» pluisirs. Lni-rnéme avait renonce 4 toute autre société que la mienne. Du jour ou je m cla.s donliée . Iiii. nous avions été l’on pour l’outre l’oniver. tout entier. 'Telle ctai la dou.c loi que l’amour noiM avéit Inspirée. Non. noua aimions lantl II avait rom L avec son passé. Désormais nous divions vivre tou» les deux seu s, eomnihlc, toujours cnsenihle. Ton ponr r .o lrce l lun par loutre, bu reste de la terre nous devenait étranger. Sa voix rciiondait a ma voix, ma voix 4 la sienne. Tout ce qni n’était pas nous n obtenait point une oarolr Cette idée, ce pacte venait de lui. Je 1 avais jure avec joic. Je ne rannaissais, je n’aimais personne au monde, excepte lui que joilmiiis “ rê m “ mon caur. Mais pour lui c’était un saerilice. Il aiait des a,in.s, des habitude». Le bruit, le monde, la vanelc des fipires cl des tan­gages, tout cela plaisait 4 scs yeux et 4 ses oreilles. Mm» scs Jj''» vovrictil pins, en oreilles n’entendaient pins que sa Pervcm lie. Il clai jaloux du son de ma voix entendue' bar un autre bqinmei du legard lln'ttu antre homme arrêtait sur son trmor, qui, disaïoil. ne de,ail être ïliùlL jdé qu. Î^Hui. - Il arrivorai» anjoard’hui qu’il serait jalons de

I I

v l

[losiliou ds>1. Cresi)tM)sloloiulit, qui Ijovtail que Us jiiiii Daiiï ne I ivouvalêni nfis'êtresuppiimé» : " ' ^ • j -

Onl voté pour U question prétlëbl«5 MU. Barrillon, Déiormes, | Flvo, Gérard,"Marquis, Tondu. . . . . , ' 1

‘Ônl voté contre : MM. de Morn8y,.Sâlnle.ïiruTe.^

Dr^]al'dins (UrsnW.-AitWc), iriléo»çvillc«:s.• liAttubé iLouise-CéiM. de CM«»dc.s.^|ello.

Haûllévillé (Àrtbéutise.Aglu^;' de Saîiit*MaxtnMq. Carrier (Louise'Esllier*Ana8lasic), de Mony.

Absens au moment du vole: MM. l**BOcbe,t<erüiw. ,— Par ariété du président du conWil des miiiisirei; élijargé du. Par ariété du président --------------------- -, , -

pouvoir exécutif, les coiiscil» il’airoudisseineiil ae réuniront le 20

du ce inoifti/iera^^lroit lieures du soir) on incêpdîe a déil4^ dèus meules de seigle, près de Villeméiric, uiiuexe du Spitli«i

de ce mois pour la prenûère partie de leur session pQM«^durer plus de cinq joursi

— Le gouverucniwil est, dit>on, dans rinlention de convoqner l.*s conseils généraux de déparleiueiils, à la fin du mois de syp* tinnbre. pour lenr bonnietlre le budget, et de retarder la session ortiiuaire jusqn*après le volts de la cniislitiition, ce qui pcrroeltroU aux. nombreux rcpiésciilaiits lucmbre» de ces assemblées , d y prendre part.

— La commission dVxamcn vient de tenir sa deuxième session de 1848.

Giiiquantc-un aspirants instituteurs ont été examinés ; owxe sen* b-iiienl ont obtenu le brevet de capacité élémentaire. Voici le nom

apj^riîénaiit à M. Diipuis,''oulilvateur. La perte, non assurée est de Quoique la cause;deco sinistre ne soit lms connue jus-

'àp re t ' ' * ....A i.-.i.. I..qir

lie ces jeunes gens, classés par ordro do mérite, d’après les le- snitats des examens :

Pringuct (Françoi»»Slanislas), de Doméliors.Cailleux (Nicolas Tliéopbilc'Knnb). de Libus.Poirée (Jsidoru:Piospui), de Huzières.V oD lig iry (Picrj'e>Eioi<Aiiiédcc), de N o ÿ o n .Hacque (NicolHS'Joscpb). dePJaiiival.Méiiard (Jean-Baptisie-Casimir), de IlalIleul.snr»Tnérain. Fontaine (Fraiiçois.Joseph.Célcstinj.^de Morleincr.Liéiiard (JospplVBrnuii. du Kicqucbunrg.Dcsiiens (Rdouaiddleiiri), dcBcrnenil.Monlaigu (Agusle.Jiilien). de Elargies.Il<ilailre (Pierre-François). «l'Abbcville (Sominr).■Sur cinquanle*lrois aspiraiita à l’école «orni.de de Versailles

quinze seulenicni ont été déclarés aduiissiblcs comme élèves* inaitics.Ces jeupes gens oni été classés, d’opiès le» examens, daii» l’ordre de mérite suivant :

François (Pbilippc-Alrxandre*Médéric). dcCanvigny.Desiunziires (Cabimir-.li)seph.Àntninr}, de St*.lu»l*cn*Chau»séc. pocliêne (Vicior-Eriiest). d'Ërnemoni-B'Mitaveiii.1.afoiitaine (CbaileslFéhx'.Ariiiaiid}, ib* Précv sur*0>ae.Bernard (Jcan*Bapli&t(‘*Tinioihé«*). de Ssint*Maur.Cnppronier (Cyrilte.AcliilIeL de Gatinrs.Billois(f^éoti). de Mareuibsur O.ircq.Rif Z (Josepb'A Ibin], de Cumlor.Obrv (Airrcd.Viclor.Céleslin). de Boran.Bruiiet (.losrpli.Etnib*}, de Pronlcroy.Poulet (LouiS'Augustc), de BImis.Péril (Théophile.Alberi). de Circsdes.Mello. Delaplace(Louis-René), de l^ongueibSaiute.Alarie.Hanllevillle (Loiils>Alicltel). de la Cbapelre*Sainl-Plcrre.

-Trois aspirantes au brevet d'enseignement supétirur onl obteno ce brevet et ont été classées aiu^i qu’il suit.^

M'‘'*<lourdain (Marie*Loiiise*Delphine), de Salency.■Prévost (Elisn-Euplirosine. de Clernipnl (Oise).BricbèqUe (Marie.Louise), de Méru. Brtcbèque avait déjà

passé deux examens à riiôtebdC'Villé de Paris. 'Sept demoiselles postulaient le brevet d'enseignement élémen

laite. Une a été ajournée, six ont été brevetées. Ces jeuuca pcr sonnes ont éic classées ainsi qu'il suit :

A1“** D.igonot (Julie-Célcstiiie). de Beaiivais. :Léirilliard.(Loiiise.Célesti‘), de .funquiè.es.Besancenot (AgIaé'Cathefinc), de Alont<)i<lier (Somme).Foiit.iine (Loui»e*Kosalit*). de Pierrefonda.('hniselat ^CélestinfCbarlotte), de Senli».Hachette (Maria), des Batiguolies (Seine).Cinq demoiselles, poslulaiit leur admission à l’écola normale de

I.aon, ont réussi ilans leurs examens. La commission les a classées dans l’ordre de mérite suivant :

M'*” Hémont (Sophie-Carollne), de Aloiiy.

laent, quelques indices paraissout révéler do la malveillance. La justice inroruie.. .

— Ou nous crril de Ltancoart :Dimoncliedernier, à deux licme» de i’apiès*midi, une foule nom* éuse se nressait dans l’église du Liuncunrt. pour assister à la dis*

cheval se relevû.çihéffet, mpis il prit toul-à-coup W môrs aux drut» et entraîna*'sdn'thaîtrej jiisqu^éii’bdi d*1» Wtè, èéylTPt déœt* kllfliiiêtrçi lè, M. Pioi-iomba, Bi la roM. dtt cabriolet la | passa surla tôle, f l i c tua ïnslaniapéitoëni: Qüïbd q^deri-ièro le cabiiolel, arriva prèsdo lui, il réndàii les derniers sou­pira,* |l

-.M M rd’A’c jc l Üiberl.Vtih mWrèêjl Faulreodjoiutde 1 dÙcy. rjtti'ovâleiif été révoqués, par^feUite de dénonciations, sont i^ lld i maire cl adjoîiil. Dju baiiqm t '‘Ue 150 couverts sei a donné demain I t par/ces au to riié^ ^ la suite du baitqueL il y aura grand bul au château.

bréuse se pressait dans l’église du Liuiiconrl, pour iribulioii des prix faite auxccoUscuaiiunualea.

M, le maire, président de la céréiuotiie, u ouvert la séance, eu adressant aux enfants une coui te cl sage ezhoriaiion, à lu portée de leur âge. ' ' . . .

Après ce digne magistrat, M. rinsliintcura prononce un discours que l'Assemblée a justement applaudi ; ce discours traitait de i'^m our (le la patrie,

M. le curé, ce véritable ami do la jeunesse, ce juste appréciateur de l’instruction, a proclamé les noms des vainqueurs qui ont été couronnés, au son ücla musique de la garde iiaiioiiale, à laquelle nous üonnuroiis. en passant,'des cloges mérités.

’ Nous avons admiré l’exposition dont plusieurs,pièqes prouvèrent une fois de plus ou public le savoir et le zèle du direcieur de pécole des jeiinca gens, et l’application de ceiix dont riiistruction lui est confiée.

Le.s jeune» demoiselle» ont voulu prouver aussi que les efforts de leur» bonnes maîtresse», le» dame» de la compassion, ii étaient pà» demeurés infructueux; nous avons vu différent»' travaux à l’ai*guille très bien exécutés, sortant de leurs mjains. ^

Les coujouncs et les prix distribues. M.le curé*dôyciia rappelé aux élève» les éxcellents co.iseils de ftl. le Maire, et a insisté sur* tout sur l'iinportancf »l*ime instruction basée sur la murale et là ri> iigion; se» parole» ont été comprises et goûté.*» par tout l’audi*

On »*e.«t reliré avec d'agréables et doux souvenirs, .*111 milieu de» . jcord» tl’une musique délicienve, que nous n-morvious siiiièrement d’avoir bien voulu piêter sou concours à cette sulennilc que l’on voit revenir rlnque année avec intéiÛt et plaisir.

ünc heure avant la rérémouie dont nou» venon» de parler', Al. Nicolle, propriétaire à Liancourt, dont plusieurs fois déjà nous avons eu l’occasion de Joiier la bienfaisance et la généroslié, rrcévait les remcrcimènis des muMcieiis do la garde nationale qui jouèrent en prèséiice de ce citoyen honorable et généreux, piqsieurs deleur» morceaux choisis.. . . . # . .

M. Nicoliè.méritait bien cet honneur: il a habillé a ses fret» plu siènrs d*ei^trc‘rux. . ’ '

Quant à nous, nous applaudissons avec tout le monde à la géné* rosité inépuisable de AL Nicolle et à la tccounaissancede U musique delà garde nationale. A. Oi.»

— Dans la nuit du 4 a.q 6 de ce mois, un incrndin, attribué à la mniveillancf, a eu lieu dans la commune de B>‘àiilieu, e t a détruit un bâiinietit servant de grange, écurie, rempli de lécolte, appar* ^tenant au sieur Jean*R>«ptiste.Sulfard , cultivateur. La perte,.iiOn 'assurée ÿ ra id e 2,906 fr. Le nommé JeamPaacai Gmiver âgé de '19 ans, maiiouvrier, demeurant audit lieu, est soupçonné d’çn être l’auteur et a été ai rété.

La place d’instiiulrice comminiale de Songeons est vacantei Les aspirantes'devront se présenter chez AL le maire de ce boui^, munies des pièces exigées.

Le 12 de eu m ois, à trois briires du soih; lè sieur’-PIol (Alexandre), âgé de 26 ans. cullivateiirà Cbarny (9riiifvçt*|lar,qe). levenail de la chasse en cabriolet, chez son père, cultivateur et maire du la cpmQiniie de Rouvre, avfc M. Marsijly, bîjoqiier

letux. Il se trouvait à 2 kilupièlres environ dé |a maison de son A c. lorsqu’en dcsceiida*»l la côte d’Alibroy. sont cheval s’àbailil.* .1 ... Kff '■ttÂAi Ia* l*.‘ltllB«Les «leux voyageiira descendirent, et Al.'Piot, tenant les gniiles,

donna deux coups de pied à sou cheval, pour le faire relever. Le

Diiift la nuit du 9 au 10 e ce mois, sur les 11 heures du soir,*quelques individus ont aperçu le feu chez lu sieur Lemaire, culti* valeur au Gi'and*Fitz*Jume» ; ausMtol ils ont'dénué l’alarm e, e ttout le village u été sur pied; mais il e»t regrettable que l’clfroi des hubilaiits et la r<ircté du l’eau aient eut|iôclié de porter de» fecourspluspiompls. Les pompiers de Clermout sont venus joindre leurs cffui t» à ceux du leurs confières.' ut cependant )e feu gagnait de' plus «il plus; cl si le vent eut soufflé, le'tlégàt déjà considérable' aurait été plus grand encore.

Le feu a détruit uu vaste bâliqient nenjf rempli de blé et d’avoiiio et le logement du sieur Lciuanc. Le mobilier, a l’excèplioii du lit,a pu être sauvé à temps.

Ou présume qu’une main inalveillaulB a mis le feu sous la grando*

àmflie. Il Imuser, i te

avril de icrmes de (i

Du contn levavi tvil» iutre avait iep^U ciuq

Dépojaac [dua,\diLil* qu’elle so t comment il

»» Dimai poûrT’élcd levaient co le compost II. le juge loute la puj nombre de { les attiras c mmp.reiii) | 111 prix de s ton avenir,

porte,La perte, non assurée, s’élève au moins à 6000 fr.Le sieur Bigat, vannier à Liancourt, qui fut uu dès premier» qni«

aperçurent la flamme a moiitré da|i^ cettp triste circonstance, iiii couiagu et une activité dignes d’élogea. Les habitants dû Fitz*Jamea* lui en ont témoigné leur vive reconnaissance.

— Un incendie a éclaté dans la foirée du 1 1 de ce mois, à Cres*- sonsacq. Cet inceiidie n consuiné des récoltes et divers bâiimeiils»- La perte totale est.évaluée à 9 .Î25 fr. Ou croîtra Ig malveillaiice.. Au moment où le feu se déclarait à la gi'ange de AL Decaix; l’iino des victimes, ou a aperça une femme quitter les lieux préclpitam* ment.

»-*Un incendie a éclaté, dans U journée dq 12 de cc mots, au* domicile du AL Mortier, fermier à. LienVillurs, La malveillaiic»-éaraîl n’étre pasétraiigèreà cet évéïiemeui, dont les»uitça| ont été* K>rt'graves. Une grange, une h«*rgeiie cl de» nécn)te» importautuar*

. La dit l’institution

the&et; remarqua

la gardc,*na L’àssemI

'ijWoire et d' ;4rt par plus ■iure qu’ils 1 , iuteurs du. les seiitiroi

.‘'Les prix <li

f neni, «lont :qn»«cru li fession, et

/meilleur lii

Ont été la pnncde» flammes. Ouévatue la perleè 17,160 fr. ■>ri»tnin«àAu moment où la gemlarmerio, qui s’était portée sur les lieux,. .';^nIBÜN,A

se relirait, unu lueur subite appela ton attentioir»Mr u n autre point., jDes meules de blé. d’avoine rt du bizériic, siluét*» en pleiii champ t .sur la roule de Noyon, venaient de preiidiv f*uii. Ce» ineulu» appar*. | .tenaient à AL Billard. Ou ignore quelle petit être lat caMxp,dç ce second inCBuüie*X>a.)pcrto. est du li *.

Françoii:.^ t.cepeiids

llraitersaf

\c o n ira i |ito «^ayant hoUI

»é réfiq1iii^tnceinte

— Samedi dernier a eu lieu l’installation du ronseil municipal, k>Dammartiu: trofs inCinbres signataire» d’iine^|#litiou restée,sans effet contre son élection, ne s’y sont^pas présentas êt ont crîi devoir Jpoussé telldonner leur «Icmission. M.. AhixisJosvph ;Léoii. maire. t«t M. Victor . le cette jpiOffroy, adjoint, ont été réélu» üaii» leur» foncliuiis fotr» 'deux à» l’unanimité des suffrages. ^

*» L’airondissetnen.t de Çompiègne va encore une foi» fournir-une affaiic grave uiix assise» d«W’0*>*'e. - •I Jeudi 7 de ce moi$. à dix heure» «lu soii% 6nt éié'àmrnés.par la*{gendarmerie à là prison du Compièguu, lu’iiomnir Rumbert , du Aloiitniàcq, ut nue femme dont on n’a pu nouà dire lu nOm,-Voici co qui a donné lieu à celte double àrrestatinti. ' ■ ■ f •

Humbert avait écrit'au maire du ia condnuite que celte nidmo- fentmé l’on -a vùu'arriver à Cofiipiègne^ conduite comme lui par la gendarmerie ..avait empoisoiiué BuitSMarii., qtvqqB lui, Humbei t,. a.vait fourni le poiSQtt.v • } , ^ _

Çette lettre .çxjiétliée , le malneurcnx se jette dan» l’Oîse, d’où il l retiré avant quû l'aspli1xWftoit''cortiplètû'.' •« / rSa première pensée, lorsqu’il retrouve ses Sens, est pour là

lettre qu’il 'à écrite; son prêiuiêr soin eit de U féclamuF, ÙtaiS Ulettre ^ .était déjà trop tard. La lettre avBit été adièsséu à Al. té prlcCcurduc de la République. *\ •>. 1 ov».

Ilulubùrt a doiiné^snr cette affaire les plus déplorableà détails. Depuis trois ans il t-iiirctenait des relations criminelles avec cette

,du son brt |fumme.' bl ^du-sa viçt

veuve qui a»i»,,pi;aig porte et r devoir demàSH’dé le tribuni inteiiliopa embrasseï il demain! cement à long et in

' ni person de soins |

Anmomcil 5 €

loir j'eu suis sûre ' Tu vois bien, mon vieil ami, et s’il était là, je n'ose­rai» plus le donner ce nom, tn vois bien que, lui parti, lui àbseul, je ne connais pluS'personne nu monde! > . , ■

Alors, m’écrini-jc involooiaircmeoU .u’est encore plus infime à lui de,-Vous avoir laissée senle, de vous abandonner, de ne pas même vous écrire un mol de consolation et d'arailié,

À celte brutale accusplion. la jeune fille mourante se redressa blanche et droite sur sa couche, comme la statue de marbre dè quelque sainte profanée dans /n tombe.; ^ n front rayonnait. Dn éclair passa dans ses

toutes mes fantaisies, que, dès le lendemain, dés rna première visite, elle me dit :

— Ami, j’ai pense tonte la nuit à ce que tu demandais hier, cfj’aîprouvé, je crois. de quoi te ronleiiler.

frapte, tant de

Il fallait reposer, et non pas fnllgorr votre pauvre petite téjc aôiif- lui répundis-je.d’iin ton de dq.ix, Reproche. Ije sommeil ypVis fait

le bien! C’est mal d’oiiblier mes ordonnances. Je vous un veuxbeaucoup, cl cependant je vous pardonne et vous écoute. Voyons,

yeux ranimés. Elle étuit sublime de l'olère, de fol, d’amour; et cc fut d’une voix frémissante et indignée qu’elle s’écria :

Calomniel tu mens, tu mcnsi Lui m’oublier, jsmaisL.. C’est un, jamais’sacrilège de le croire!;.. S'il m’a laissée seule, c’est que cela devait être ainsi. Tout ce qu'il fait est bien fait... Il ne m’abapdonne pas; non, il vient!. . je le sens venir!... Il n’est pns arrivé de nouvelles],... é*e»t qiiq 5CK lettres, r'est que lui-méme peut7étre est au .fond de la.jpert.. . OuijUni4:parfois, je l'aperçois dans le ciel; il m’appelle, il me Icn^ les brast..., Il ,tirullen«i là-haut, Inll moi, ieralten.ds ici] Mail*«nrleH*^ èn daiisl^ ciel, nous serons ensemble! Dieu qie l]a,propiq»^if npu» rdimîr|L., '

e uxnltalion av^içol jtr^sé là Mle cnfanf.^jleretCel effort, ce d élire,ccllee.tomba sur son lit de douleur, sansmpuyçment, sans couleur él s'aps vbîxi

Je crus l’avoir tuée, et je nie jetai la face contre terre en éclatant enaanelots.

ipuis iong^tcinps elle était revenue à elle, que je lui dehtandal» en­core pardon, «an» b. er la regarder.

— C’est à loi de me pardonner, tnurmurn-t-clle d’nn sàbfBeéleinl et offaibli. Je t’ni fait delà peine. M.^îston amitié t’a égaré, volS-tu bien! Il ne faut plus douter de lui. C’est un cœur noble et bon. Il ne tn’a pasoubliée, je le le juret Je veux que tu l’estîmcs et que tu l’aimes aussi, n>st-ce pas? Je t’en prie, dis-moi (n prie, dis-moi que lu l’aimes et que lu crois en bii t

Elle me priait, Monsieur!... Moi, je lui dis tout cà qo’elle vpulut.. Tiens, vois-lei... poursiiivil-ellê èn me montrant le portrait placé

ou pied de son lit. le portrait du jeune homme qu’elle caressait d’un ineffable regard. Voi»-le donci A«t-il l’âiir d’ürt homme qui trompe et

ie?-qui oublie!Bien long-temps elle resta les yeux attachés sur l'image chérie. .Etifin

elle succomba à In fatigue et rc Inissn retomber sur sa couche, en triur- mur.int d'une voix douce et mélodieuse comme le dernier chant d’un cygne n l'agonie s

— Kesl-ce p05, Georges, n’est-re pas que tu m’aimes toujourt?. ' ■ w - , ,

11 y aypit ciKz ceticuidorahie enfant tme telle sollic^lqde ppui' son • vieux garùc*moladc, un si grand désir de complaire à tous sues voruXj à

q u nvex-voiis .imagtiiu. Eh bien! poursuivit-elle, il venait quelquefois chra les parents qui

s’étalent cb.irgés d’être ma famille, ou ancien ami de ma mère, un vieillard un peu plus blanc, un peu moins bon que loi. J ’ai toujours cru qu’avapl son mariage II avait aimé ma mère, aimé d’omonr. Celui qui futmon père fut préféré; mais sa tendresse étouffa sa jalousie, et ce noble cçetir resta l'ami de celle «lout il ne pouvait être l’époux. Ma mère mou—

— Enfin l’adicsse et le nom, je me suis tout rappelé!Malgré mes soixante ans, je sautai de joie, Afousieur. Si quelqu'un so

fût trouvé là, il eût bien ri de me voir si ridicule. Que voulez-vous? l’élaii béurèux, j’étais ivre, j’étais fou.

Pervenche n’avait pas en la confiance de me révéler son nom à elle. Je «levais seulement la désigner au vipilUtd, le faisant ressouvenir de Rose- Blondinette. ^ '

Je me serais blessé qu'on me tût un secret. Elle le voyait, la -mé­chante 1 et toujours sa bouche resta muette. Sa ficrta ne voulut pas même que je pusse plus tard mendier une pierre pour sa tombe.

Cependant je courus à l’hôtel indiqué. Les voitures étaient moins ra­pides. Je me plaisais à lutter de vitesse avec elles, à les surpasser même tant mes vieilles jambes me semblaient alertes cl .rajeiiiik*».

yèt,' cl cetleafTcclion devintÀioô'unlque héritage. Ahl pourqhoi 4i’a-t-on pas vbulh le 'laisser mVmmener avûc’ Iriî. J’aurais eu un père! Mcs^pa-êéh1s.M^tft*ént. pour'faite paràde de |^néroiiiié. Ijeur .gâiérosilé me Céûfn*ébeê1'Rleh sofiVèriti’entehdib Ife eicillatrll leur adresser des re-

froches et même des injures. I ' • ! . / ,'^<|>s'étH'h^,VéèrhlM:^iljûtfjninr, sont plus sensiblesaux pauvres

et aux orphelins que ceux même de leur famille. Les parents, dès qu’on a besoin d’eux, dès que la pareblé leur coûte une obole, sobt les ennemi» les jiltis cruels et les pins inhoibsin» I

En même temps, il me prodiguait des caresses et des consolations. jTout cela se pnssajt aux jours de mon enfance. Un soir enfin sa fran­chise le fit chasser. Je pleurai, moi, de le volFpartir.'G’élaît la seule voix aibie qui parlait à mon oreille. . > * >

Adieu, mon enfant, me dil'il »vec émotion, adieu, ma RoieBleo*' dinclle!

. Criait no nom d’amitié qu’fi ma donnait toujoor». Pois ü ajouta en peiant fiien sur ses paroles t

— S i jamais lu étais trop malhenreuse, viens te réfugier ÿ t e mbi; tu seras ma fille, enlends-lii hlm I répéla-t-^i! encorç, ma fille. N’oublie ja­mais ce que je t’offre aujourd’hui. Adieu. ^

Et depuis je n’ai jamais revu le liOn vieillard !...Pérveiiche, épuisée, s’arrêta un’momenl. Mol je m’écriai aussitôt :

Plus qu’une parole eOcoreL.. Où puis-je trouver ce prbtecleur! — Ah,î tu ne m’cn veux plu» d’avoir cherché, me ré^ondlt-elIc en e

sayant un sourire; cor j’ai bien cherché lé noûi et I adresse, va. Jiijdçnc, il y a près de huit ans de cela. C'csl presque la moitié de ma vie.

fo^J’a(rélléchl Joog-lemps, enfin ,— Enfin? drmandni-je ôvec aiixlélé.

AnÉ tu d e I

C’était au faubourg Saint-Germain que devait s’arrêter ma course.traversé la Seine, et sans me ralentir une minute, jernonjatBientôt j’eus

presque au galop les larges rues de ce quarllen désert.:‘ ^ Allonà,'muhUurài-je de ma voix haletante ut essoiifflée;-...alloos, djuragCf vieux 'courrier,ai l’ambassade cst-beuœUse, tu te donnera», uoo voiture au retouL

IMais, héla»! l’ambasiiadeur revînt à.pied.I gèande porte dé l’bôlei était tendue de noit

Oh! mon Diett!-jen’avai» pas besoin delà réponse djSidomeftii|«e en Ipleurs pour êlre-convaineo de là triste vérité; Un de ces prcssentupents Ide malheur qni ne trompent jamais venait déjà de tout m’apprendre.

— Le seul ami en qui Ja mourante ponvail plaeer son espoir était || mort la nuit de la veille.

Mal» qn’e donc fait au ciri la pauvre Pervenche? m’écriai-je avec désespoir. Qa*a*t*elle fait, celte innocente victime, pour que Dieq l’aban* donne à l’acUarbèmenl de là fatalité? •

Je reloomaî, l’œil morne, la tête baissée, par ce chemin que je venais de parcourir quelques minutes aiipamvant avec l’exaltation d’une si joyeuse espérahce.

Uu peu de patience! dis-je en rentrant dans la chambre de la ma­lade : on est à la campagne pour quelques jours seulement.

Bonne Pervênché! elle feignit de ne pas avoir Iremarqué mon abatte-ment et ma tristetse.

Cflsat.ES Desltx.

(Le Voleur.)

(L a fn a u proehain numiiotj

Le mol de la charade du dernier numéro est Casasoi*.

^ttaitrv* prix pr

Ledit hypotb Bcquii.

if a u t . Il lui «viùl cousuill^ J ‘ciu|i(jii&i>iiner tou oiari «fin ila l’<i- lOBser. ^lailniort leI » avril de cel'ta aoni&. mariage lié |ra'uvail avoir^licn, .^nswmea .1 , ’

l}acoair»t lonUfois,f^y.Htéie.(|fe88é eu bouneet dàefo^me parîeva»i V*J,ïuire avtildéja’pri^^j*Ufjp ,.,^ l ^ ï élaU' ou homme >«ùf JepjuU ciu(]-8ematne8. '" * ' ^

Dé{)o|s MM crimçv flom Urt é ta^ ro n ^ de remord»; ÎL iio'vfvàii [)lQa,;dit!il. jaloubie vjiii ,Vy jyiiidre. Il |iiéviul bp complice qu’elle so V peolirail <fe ce qù*«1lû Toulail faire» cl iiùua «voub VU comiupiil U a,tep4 «api^œ^^i» ,

Dimanche 3 aeptembre a été ouvert à Dammarlio» le bureau pour rétccirôif dës'délégués des palrods -cl des ouvriers.qui levaient concourir, .ditnaiiclie dernier, à celle des délégués cliargés le composer la coroniis^ipn d*ciiquéle'8ur le travail, présidée p a r . tt. le jnge de,p8ix.; B|eii que ccitè élection ait reçu liéraiiveuieiil loüte la publicité po iiaibl ,' pi .P« s*y’ présenté qu*un très*petit iiomiire de personnes; lîous règrel'ieridns' qu^l èn fût de même dans les attiras cotpmunrs» cela upus porterait à croire que le peuple ne ^mnreiK^ plais pnpore ou uégHgd finçulierécnrjil ées droits conquis lit prix de sou sang,, ou que» indifféreni pour toUl ce qui concerne lonaveuir, Une voit «jlne veut.de bien'que daiip leprésent.

La distribution des prix s'est faite dimanche 3 sépiembre, à ' Instituiion.-pnmairo'de ijainpiarlin ; elle était présidée par M. !t the&et; dbÿeii. éccompagiié iiiê U; le^mairè fil des .autorités; oa TcniarqMait-ll,. Breui(« graii(l:yiçaire du diocèse. Là musique de gardenationale en aggincn|ail,la,soleni^ité.

.. L'assemblée était itombreuse lés enfâiiis firent preuve de iwé« '^ o i r e c t d’intelligence dans uiie petite pièce i u’ils di»logucrcnt. |H par plusieurs, uiorcraux d’histoire» de géographie et de liUéra* ‘|u r e qu’ils répétèrent. M. p'agbërî, aujourd’hui le doyen des iii&li* tuteurs du cantoq» fit un petit,diaçours où se révélaient tous les

. les seiiliroeùts dé'soii cœ ur/toùtei'éiiiôtion de sou ême; M. Ber* tlhemct y répoudii'|>ar une‘heureuse et loiicliànle improvisation. ilLesprixdisti ili'uéS, M'. lé inàiie félioita M. Dàgberldont le dévoue*’

fneni» «lont là conduite égalent les luniièi-es. qui» depuis vingt ans K)ns«cre toutes les iieures de sa vie aux soins pénibles de sa pro*

................. ,tfp5sion, et qùi, par l’exemple qui donné, est jiour ses enfants le

lUX druts lift déœi* passa su r ui courait uiers sou*

commun? ions, soiii ei a donné ura grand

•s du soir,' lire, culti* larme » e t ’elfroi des es fecours idre leurs gagnait de' iisidérable'

?t d’avoine' ioii du lit,

( la graiido-

vmiers qnu stance, nu Fitz»James*

lis, à C res- < liâtimeiils»- alvrillaiicé.. ircait^ l’iiiio piécipitam*-

litçii ont été- importautcsr. 50 fr.ir les lieux», autre point.. l>leiii champ Mlles Bppar*. capbp^e ce

.'meilleur livre.de son école. ' >Vi

V. o .

^TRIBUNAL DE PQLICR CORRECTIONNELLE DE SENLIS.

I PaéslDBHCB DB BOOCHEREZ.

I ! ;* da iZ. Srp^Um^re 18.18.- Franqoi»^8eph Mau|)etilÿ âgé do33 ans» est |ière de 4 enfants;

.^t.cepeiubHiU selon M rensuigiu*iiieiil^-;il n'a jamais ces^é -de* raél* iiraiter sa femme, rdepuis;.qu*il> la lcopmdi; il a mille fuis déjà scan*

, ___ (vialisé les^hahifguiq, iio ^»iul*À|axunpr, sa commpnê/ Enfin il a. crû dévoir jpoubbé telleméiit loin soii obbliiiâtioh, que la geiidaénferie informéeri M. Victor ide cette jpoiitHiite, s’jiiierpo^«%dr^sa;procès*vcrl)àl et fut niêtne

- - ';conirai|ito^dë8'émparèr'du çôupabïé. Le 2ô août dernièr Maupclit.i^ayant houtétiseinéiil battu sa femme, cette^ittâlhèureiise fut‘réduiio

«é rcfiigi<*r chez due femroè de la commune de l^inl*Lcu; car r4«-nceinte lie 7 moià, ellë Craignit quelque mauvais Icoiip de la part

jde son brht»V]P^sii* Roussel apprénaut, le lieu de la rétmi'td dé sa Uemmé; brise tous'iés meubles de maison, déchire les vêtements ^dé-sa victime,.sqn.linM el.ses effets» et ço,uyt eu tonte haie oliez la ^ veuve qui avait dômiérliospitalilé. Cette pauvre veuve» âgé de 70 |aMS»,gt!si8|^ht d’être à son tour vjctiuie de/soii humanité, ferma sa

.J porte et refysâ. l'entrée de sa piaison â Maupetit, qui se mit.1 devoir dé briser lés' carreaux pour pénétrer à l’intérieur. C’esl

^ à f i^ 'd é ’éàflsitÿ'ffttd'Mao'pélit comparaissait aujourd’hui devant le tribunal correctiounel. Il prétend que l’on s'ebt mépris sur ses intenliop8';.que-i’éu h t jeléisfirlsa fpm.iQq jet sesènfanls pour Ira embrasser, on a iroaginé.qu’il avait des intentions hosÿibiq. .Eu.àuUf il demande au tribunal la permission de lui cxpliqjiér du comniên' cement à la fin ses sulcls \é.e querelles avec sa femme; et dans un long et immense discours embronillé, auquel il he cmnnait plus rien,

) ni personne des écoutants, il établit que sa ibère| à lui, à besoiu I de soins particuliers qu&sa feromeWefuse de dènoer; ilavque qu'uu

nunicipal, k> restée,sans

l

foùfs 'deux à>

fols fournir

nrnés.par la< [umbert, de Om» Voici co

jour, à ce lir ovcu^ion, oyant eu quuff^He over son épouse, il Uii dunné quelques coupa de poing, que du le&te sa coiidutie u*est pas trop rép.réliçusible.

Uais malheurèusémetir pour l|orateor. les renseignements par* venus au uiinièiére public détrùiseqt toutes ses allé^tions-et scs. ettcüse^; il a déjà eu quelques déméléa>avvc la justice, il passe pour un iVrogiid',' nu mauvais mari, tiu Itomme n’aimant |>as autaui Je : travail quL' la ItOissdn; et le tiibuual le l'ondamue à deux mots de prfàon et aux fi'iiis. .

-7>.La npmuié Gombart (Augustin),- maç<iii, demeurant à Çllyr Saint*Gcorges, comparaissait cusitilu comme piévt-nu il’ai'oir volé" dans les champs un sac de pomoies de terre; et poiir commetli*e ce vol, lepréveuuaattendu que le propriétaire les rut tirées de la terre afin qu’au moins ou ne lui eut inême pas.obligation de là mpiu d’œuvre.

Le prévenu ne songe |ms a nier IfS faits; mais sa défense est toute ptéte : ~ C’est moi qui ai pris..ce sac de pomiiies de terre, parce que Lambert me doit de l’argent qu'il ne veut p^s me payer, e t je me suis dit : en volant une sachée de ces pommes de te rre , nous serons a peu près quittes» il y ama compensation. •**- M. le Président ayant demandé au prévenu» si au piéalable il avait ré* clamé son argent an plaignant, Gombail lépoiid, que c’ciait peine inutile, puisqu’il savait d’a.vanqe qu'il refuserait de le payer.«T«jùt le monde pouvait penser que le prévejig ayant fait quelque travail pour Lamiiert, ce dernier lui avait retenu une partie de son salHÎré; mais une dernière question de II. le Rrésidcnt vint désaburer font l’auditoire : ~ Depuis combien de temps i^amberi vous devait*il cet argent que vous prétendez vous être du. —• Ma foi, dit le pré* venu, il y a-bieii dix a dojizt^ansl •— Voilà une fin de |tlaldoirie qui ne parait pas heureuse, elle l’est d’aiilant moins que Gombart ne sait pas au juste la .somme qui lui est due, il ne se rappellè pas bi<-)i l’époque à laquelle cette-dette a clé contractée» ni même à raison de quel travail, ou de quel trafic.

Le fait est sans doute que Gombart a voulu mettre de roté quel* ques décalitres du pommes de tèj'iM^pour l’hiver; qu’il n’avait pas de terre pour en planter, et qu'il a peiihé tout bonnement qùe'ceux qui possèdent doivent donner à ceux qui maiiqueid; que ceux qui. travaillent doivent l(vrer le produit de leurs sueurs à ceux qui ife s’occupent qu'à philosopher dans les rues, dans les champs, daut les bois. Aussi le tribunal;.en condamnant le préienu seulement à dix jUufs de priàoii^ le jirévient que ai la faiilaiiiie lui nqtrenait a i jour d'introduire des systèmes île fo.mpcnsatiQn/, il pourra bien aller pour quelques années réfléchir-mUremeitl^ Chôtel d tt médUû- iions archtphilosophigues*' —* Louis Bartliélemi est âgé dé $5 àiis, et îh! parait pas avoir

jamais besUcoupTait antre chose quh de vagabonder , mendier» et chercher de l’ouvrage. Il est sorti .tout récemmcilt de la maison de •Fonlevrauit dùïl a dcMneuié pcudahlùu au et iin jour; et maintenant il est'pour A ans soumis à la 8arv'c|iraiicè de ladiaûte'police. B^rtlié lémi pense qu’il n’a plus désormais qu’une chose à faire; c’est de coiltinuei* - la v iéqu’il menait avant sa condamnation; maisil y a

le dix dumaisons.

> celte niêmo- >mme lui par li, Humbéi t,.

Oise, d’où il-,.. .j jf, ' rest pour la

mer» fuais il te prbcuréur

ihleà détails, es avec cette

ajouté une autre branche, c ’est làj menncc. Eu suite que, mois, se trduvant-a'Seniis, il s’èst rendu dans diverses

.-'pour y mendier; et dans un des liôlelsde cette ville ayant rtçu un morcean de pain, il.prétendit qup cela-iréliii*'suffisait-pus et qu’il allait passer dans la salle des voyageurs pour voir s’il ne recevrait pas quelques sols; sur Je refus qui lui fût ô p ^ sé , il insista, ou le mit dehors;-'etlà-il <mouUna son bâ,ton d’une manière lrès*signiGca* tive» Lv maître -de l'bêtul accoutumé ■ à r<*éevuir sans doute de pa* retiles visites, n’y fit pas. même attcnliuii; mais la polioe et la gen* darroerie - iufdrniéüs de la conduite de cet impudentraendiaul.se mirent en devair.de l’ariê ier. C’est alors que cet homme qui tout à l’heure, braiidillait sou bâton d’un air menaçant, feint.nnr infir* mité et prétend ne pas pouvoir roarrlier ; et comme Ir gendarnje l’engage à allonger le pas» il réppnd par des injines et traite ceux euire lesquels il se Ifouvait, de ç.*inailles et de brigands. Déjà ce prévenu s'était leigl.u peu avant son arrestation. à la porte d’nn

' café où ilînsultait toutes les perspiinesà qui il ileinandait en vain.; Bartbéfemi prétqnd q u e les agens de la; force publique l 'o n mal- trqité;{'il serai; b içU ;.B iu g u lio r qti'il se rappelât ce f a i t lo rs q u ’il

^aVoue '.qu,’il était tellement i v r e q u ’il ne. se souvient de rieu de c« iqui s 'esl passé.

Suture H it hitmmo qii! mt^iiJîe ri qui Irt'itve drqwol hiPire. L# tribunal condamne Barthélenii à 8 mois de pli^olt.

Le 8 de ce isois, le lira r Victor Lewolno d’Aiigerrl5nlnl V.iù* ceiit» était eu èbaàep |>ar aiiiioipatiiMi,.ci iuisaiüi.itar n.n garde par* lieuliert'll est certaines ^cns qui, surprises ainsi en flagrant délit, ou M fréraicilt ênisp fiiir, ôn éUntieoUenié ntt açcouiodemrnt; mais le'sieurLenioifaéirànifhi la d ij^u lté . ct ou moment nù j** garda lut décluralt un préffèUyerhal, il lpsàMt> lv tjsrrüssn et relira irwn* quiltefnenl.Tl est yrai quv quelques instants aptes, lu présence «li* quelques téuioiué lof .«yanl .inspiçé des craintes, et Hyàiil auvsi aineiié le'r<^rèl de|se violiMioe, il ^nl-se mettre à la merci du garda qtii Ihi dfl : M. Lcuioine, croyez que c’est benn, pour le fils d’iinmaire qui doit mutiliér l’exemple, de chasser quand la loi le défend' et bien, aprèé une scène semblable, je féràMOuii devoir de garde, et la justice fera ce qu'elle jugera à propos.

Lemoiiie Victor avoue le fait dé chasse; quant aux violences il les nié, et il paraitiait qu’il s’est cependant servi de quelques propos assez incotlveiiaiits et même outrageants qu’il ne peut itésavoiitr. ,

Le Itiimnal condamne le prévenu à 6(> franl^v d'amende pour i«i fait de chasse eu temps prohibé; 2& francs pour oiiii-agos. psi- * paroles et gestes envers' le gardé» à la confiscation du fusil t-l aiiX frais.

— AL de htornay a été uoremé vice*prési«lent du comité des af­faires éirangè» es.

—*• 1.6 11 septembre, on a discuté à l' Assemblée nationsle. le pro* 'je t du comité de législation, relatifà la Htispension des jnnrh'tnx. Après iiUe discussion assez longue, la Chambre a rejeté le pVbjet, •ans vouloir même passer à la discussion des ariiLdes. Ou sait que ce projet avait pour but de.reroelire aux ningistrals lr droit de nus- |reiidre lesjAumaax.snrla réquisition du ministère public, et après unu condamnation prononcée par b* jury.'

La proposition primitive de Al. Crespel de la Ton^dif! n’» pa^ été plus heureuse. I..e décret proposé par l’hnmirable mi-mbiv allait plus'loin que le projet de législaliou; il tranrhail netlement la lion en décidant,'pourTàvenir du lUoins, que l’étal de siège ne <| U- liait pas au pouvoir exécutif le droit de supprimer ou de sii^pmitt. n Lus journaux. Gvtle proposition a été écartée par la question préa­lable. I.6S deux votés ont été rendus àti sciuitn de divition à d<*s majorités considérables» le premier surtout.

— l<e C em am iin lsese e n pm Z lqiae- Une correspoinlanr« particulière de^là Nouvellc-Orléaiis adressée à nn des jonrnniix i|e M.Thiet's, lul.apprend que deux cents personnes qui s’eiaietit ren­dues en Amérique, pour y mettre en pratique le f-ystème de M. C«- bet» se sont installées sur. les bords de la iivièm Uongr; mais une division n’a j^as tardé à éclater parmi eux, et ils se «uni battus, et ditraits presque eomplètementîi dit le corrcspoinlaiti.

—* Ou Ut dans les journaux anglais :« Leconàeil municipal de Liyerpool s’est rcuui jrndi soii« lu |-<é

sidence du maire. L’Alderinaii Bramley*ÀIoore, n proposé que • remerciments fussêiit votés ail prince de Joiiivillr i l au duc d’An- male, atiisi qu’au conimaiideûr de L is l^ . à l'amiral Grrnfell. etc.'.- à l’occasion'des services rendus lors du naufrage d e /’Orron A/o- nanh . I .ezèleet l'activité du prince de Joinville, dit l’anloiir do la motion, ont été au-dessus de tout éloge, et l’on est livtirenx de voir un homme dans la, hante position du prince de .loinville tra­vailler à sauver ileâ malheiireux. Le prince a aussi donné tout ce qu’il avàit dans sus imches pour venir eu aide aux victimes.» (Ap­plaudissements.) L'assistance du duc d’Aumale et des princesses à bord dé FAlfonso a été également dès plus nobles. La moüon a été approuvée par acclamations. •

— Dans deu^ .mois, .le 9 novembre, Alercnre passera en plein jour sur le disque du soleil.. Le commencement du {tassage aura

] lieu à 11 heures I i miiiutesduroaiin» et à l’aide d’un Ibrt télescope on pourra l’observer toute Ja journée, |»arce que la sortie ne doit artjver qu'un pi'U après lu coucher jdu soleil, vei*» 4 liuuros 1/3 du soir. L'etiiyéé de Mercure sur le disqiie aura lien au bord .oriental à 111 degyes dé l’extrémité supérieure du diauièire vertical».*.

. L » ProprtV l«irv-/»ent/if, REGNIRÙ.

I B U L L K T lN l- J l J P lC I A I R I i : . —' /ANINlOilifGEH P I V ^ B S E S .ANMOUCES JODlCIAiaXS,j i5 c. fà ligne. :

ANNon'ces DivkisSé, c 1.1 ligne.

II quelqu'un se ! voulez-vous?

nom à elle. Je fenirdc Rose-

voyait, la mé- ulut pas même

lient moins rs- irpasMr même .

1er ma course, nute, je monlat

iiifflée<-...alloDi, e donneras, uno

I Annonces Judiciaires.A.RT. • . -V : /

Étude de M* Henri DUFAlf» avoué à.Senlis.

' P U Ù è é 'L Ë t i A t Û i " "Suivant .exploit "ûti. ministère de Dcmoinel,

luissier à Seiilie'» en date du quinze septembre " 1848, cnreg^StlPé; et à la’reqôêtë'dû citoyen préfet

du-département de la Seine, demeurant à Paiis, à l'H&.tel*de*Ville , agissant pour et au nom ue la- ^ ille de Paris. — Noiificatidtr *a été faiié - au citoyen procureur de là République/près, le tri* ïiunal civil de Seulis. — D’un acte fait au greffe dudit tribunal çivil de S e n t i s l e sept'septciûlire 1848» èn 'r^istré. consiatai)t le'dépêl audU greffe de là copie qollatiohnéèei'enregiitrée,’ d du acte

des de deuili'- ‘li domeftii|«e en r prasseotnpenii I

n’apprendre. 1 ion espoir était |

n’écriai-je avec ! {ocDieuraban*

In que je venais llation d’une si

mbre de la ma- it.|ué mon abatte-*

8LTS.

ir.J

iain numéro«J

oè |e izé frèqca'cindùaqte èemlmcf, plus nu ftailc |^iiitiiintc*çinq Matiiises deVdéèitee, èdhicàànt Ténle par;inadaM Sophie Làvoîsier; éponèerata* lô r i^ è .d e pieyWÉrançqis Dupnîs, mafichand fàîeiioiér,' déiDeÙi’abt ehsekiible a; l^irià, fàqbèùrg dQ;Té^pI®'» pirbflt'de U.yilled é c r i s » ca abcépté’pàr le'éptoy^'préfet'dn dé^ p'aHèiherit de là Séiiie , de là qùàntité de ^d^lre àrès qua^atite*cinq cèhliares d® ièè're» eii na‘tdre de mé, située a» territoire Uè NeuTHiellesi canton de‘ BctZ, àrro'inl'ssetûént ile'Sciilis' (OiseY, lièii dit le Fossé'.de l’Éveiiteau i< Udite quaitlité ési prise par la rigèlq. de dérivation iqnrcou(ie’ ubTiqûetiicUt ' ledit p ré , qui contient en totalité qniiizé àiés environ; et ce moyeiiiiaiit la sonimo dp^deu* cent ^uâtre-tingt-neuf^fnwes viügt'cinq. centimes de prix principal outre les charges.

Ledit dépôt effeelné pour parvenir à purger les hypothèque^ l ^ l e a poavaut grever les biens I acquis. ' ,

Avèc déclaration au citoyen Procureur de la République, premièrement, que ladite iioliCçaiion lui'était faite ponr'qu'il eût a requérir .si bon lui semblait au profil de qui de d ro it, dans le débi de déux'm oig, tellës iiiscriptions d’hypothèques légales quMl aviserait;

Deüxtèmem.enl, ' que' tes anciens propriétaires desdits immeubles étaient outre lus vendeurs. 1* Jean-Jacqc«4 LevoHier t^ d n nom; fi* Alorie-Vic* loire Aubiy. veuve de Jean-Jacques lAvoisier; 3* Louis-Remi Godé et Marie-Catlierine Pivpt» sa. femme;

Troisièmement , e t que tons ceux du chef desquels il pourrait ê.ire requis des inscriptions |Kiur' rai.àoii d’hypothèque légale n’étant |>as conn.us du requérant èis*noms celui-ci fçiait U présente piiblicat.ion conforqiémenl à l'avis du !conMibd’.Etat-du neuf mai 1807» promulgué le preàiierjuin so iven l.'. . .

Pour ihserliùo..Signé. Henri. Dotai.

■ A ûf'. ;a .-

E^ode.de M* J.G O D lN /avooé.à Senlis,m a NeQVe*de-Paris, n* 22.. . il p “ p. ..........

SÉPARA’TIQN DE BIENS. ^Per,exploit du ministère dé Bellehger, hhissiér

!à. Butz, eii daté du quatorze se|iiembre 1848» en* rè^istié ,. la dodie 'Geiieviève-Rosalié Legrand, épouse du àieur Hoiioré-Benoisl Gratus, cliarron,

‘ » vèc lequel i t le demeure à Léyigiien, a formé.une demande en séparation de biens contre son mari» sur laqurlle in* Jtilés Codin, avoué prèe le tribu* nal civil île Senlis; y .demeurant, rue Neuve*dc< paris, n* 22, a été constitué à l’effet d’occupur pour ladite dame.

Pour extrait à insérer,Signé, J..Go.Dtï(,

A kt. 3 .Etude de AI* llznHt DUPA Y» avoué àSéi»lis(Oiser)

ADJUDICATION V O tO N T A IR ELe Dimanche 24 Septembre' 1818, à inidi.

Par te ministère de Gaillbt, notaire à Bets^ etensunétttde^

DE LA CESSION EN UN SEUL LOT» Premiiremtnt,

nu ‘

BBETET DE U P.OSTE iHX CPETADED E L E y i f iN E f i , ,

Canton de Bett» sur;'la- ruttte,nfition,atei de à ~3faubettgft à 6Q.^i/omètr/s de Paris, énirf Pianteml et Pillers-Coiifr^St -l- .m '

AVEC ,JL^ M A T É R IE L Y A TE A CH E ,;Consistant en 10 chevaux de poste e t 11 chevaux

dq diligence» avec leur* harnais riLéqaipage*]; ’, I . < Deu.eeiimement', t .

B ü ! l i â b f <NpiB«AJV€k. ' .A partir do jonf de J ’.àdjudicàlioD jmqû'à: l’expt*

i;*flun dm faànx.» .. ,> P X l X * .Q D * l i T I T é .P f t I )

270 HECTARES ENVIRON; iHjt.»- ■ î . .

TJBBBES LASOIIBABLEHSur le territoire de. tieignen et cease ooisintf^

Jkfém àmsàtfg W atée ial J e «otHNTts ■ éiaeM I» ccdl»

Gonsislanl .principalement en j20 chfTaux de labour équipé» 7 Vaeliés et I lahrcad,. 8^2 mou­lons, 3 porcs, 200 volaifleà,'$‘gèandc8 voilures, 1 carriole et 2 tombereaox. 8 gràridés ei 8 pèflies herses, 2 tricycles, 2 rouleaûx^'T'éhài^foés mon­tées» i machinera battre, 4 la ra resi't bascule, mesures à grains,'bfoùettes et uitèiisilus de grenier.

RÉCOLTES.30,000 gerbes de blé, 20,3ÔO gçrbcs d’avoine,

23.136 bottes du Inzemé première conpr. II.BOA boites dé luzerne seconde coupe, 15,000 gurbécs.-

V PLAINE;41 hectares de luzerne» tant jeune que vieille: Les labours et amendements sur 70 heciafrs'

formant la solle des jachères préparées pour la ' imence.I»M JPsnasIeni M n rsi «à B erir« rle» .

Jouissance aussitôt l’adjudication.Facilités pour le paiement.

L’adjudicataire aura droit aux houx des bâti­ments d’habitation de la poste et de la ferme diie de Saint-Thom'as, pour le temps «>t moyenuaiii lus prix !et conditions filés au cahior dés cha<g-‘s-.

S*adrèeter:poùr r*oir les objets, à /.ertgMfji,à )à ’-^s(tii . V

E t pour les eonditiàn$'de Vadjadicaiion t A fH* C iittX t, notaire, dépositaire du rahier-

dei^tsdé0$, .NliiAl* HénripépoV. aretf/it .WA'r»

r Fait «ttédigAporiboi. avoué jouieigné. vd»etM\ofiptemhre 1848.. . .

Pour, AI^H.-Oiifay, v Signé RonfZHb.

Pour insertion.^liyé.HOTri Dc?*v.

A r t .. 4 ..,Etude de Ajf J 0 i ts T ^ M R Y , «voué è V nlis,

siiCGçswur de A|M»'J^|nTiiQà'v( tAHhAMis.

VENTE ET AIHIJOTCATIOIVPar suite de foUerncbe.rçr . . . .

È ô .f.9 v4 i«nre^:dee. etfiéeg. d ^ tribonéd rpV/ dr prernüre irtstanee séant à-Ssdlù, (iü Paldis d* Justir»,

L eM hrfli t4>Oou>bre i84^» H eure d e itf iJ i ;'lié- '

rillj-Sise àtO^agnif-sur^Théram, catiton

i

1 1.

n ‘

<r«- Tfiel, ûÈ-fûtiJissimini d« Sêrdu «n f«.7 itf. de Péronne, ou route de Mouy àBeuwuont* suT^Oùes ' ■ '

a* U N E 6 B A N G E , U N E E H B iS B F aùant p arlu ttune maison tu e àttdil Balign) , .

en ladite rue de Péronne, où route de 'Uouf, à Beaumont sur-Oisei ' |

3° U iE C SilB R E S D K lO l^ it 'D IE .iL t l tB EA iiMge Uv Uaii»arUe,

E tf»M e • cd té» |M r i l« B d e d e v d l n e i t e -m iuet e u |» l s i t e n ,d e c e t t e é ta b le »

Sise» audit Balagnÿ» en la rue de Péronne, ou route de Mouÿ à Beaumont’Sur-Oise;

r 15 PIÈCES DE TEBBE, PBË, BOIS ET lABDIISituée» sur le terroir de Balagny'Sür'fhéraïut

5« E T a P IÈ C E S D E T E R H E E t BOISSituées terroir de canton de

^'euillÿun- ThelleiBN UN SEUL LOT.

l.aditc folle enchère pourtaivie en Trrla des grosses dueincul en foiiue eLdeuloire de trois burJereaui de collocalion délivré» su,profil deé vi^apiès noiûinés par M. le Greffier en chef du iribuiial civil séant à Seiilisi le irriieiiii»rs 1818. •uregistrés et signifiés.

Aux requête, poorsulle et diligence de I* François Danguillecouri, lourbivr, demeurant a Bre»tes{Oisr); ,

2 ' M. Pierre-Françols Falldcl, propriélaire, de- m«'iirahi à MoucbydvChaiel; ^

3<> M. Fouquel.'inanouvrier, demeurant a BaU' giiy*sur*Tliérain;

4- El de M'Jules Tbcmi y, avoué à Senlis. y de lueuraiit, rue du Châièl. t.* 21, à cause delà dis- iiaclion des dépens |iroii6ncée à son profit.

Tou» le» su>nmnmés ayant ledit M* Jules Theinry pour avoué coosliiaé-piè* le Inbunal, tlemeuianl à S^'ulis. rue du Chllcl, n* 21. qui rooiinoera d*oucuprr sur ,1a piéirnie poursuite de folle enchère,

Contre M. Andté Cazirr, marchand de bois demeurant à Creil*sur*Oise.

'le vingt l'iuq curt giatré et mention^né au bureau des hypothèques de SeuUs, en marge de.la satfio ç o u fo rn ^ e n tà la loi.

Usera*: ,Aua requêté, poursuites et diligences oe

U. JoMpb*l>riiis Bellard» ancien charretier, d e meuraut cirdevaut à Courteuil. et aetuellement à

Ayant pour avoué constitué près le tribunal civil de ^ iilis M' Adolphe Buffard, y demeurant* rue Neuve«de*Paiis, u* 10;

A rencontre de : . - t. i1*M. Pierre-Louis Boiitry, marchand imnian*

ger, ilemeuraiil à la Chaprlle<n*Serval;2- Madame LouisvAdéluïileOuru. épouse dndit

sieur Buutry, aveu lequel elle demeure audit la Chapelle.

Ledit Boutry tant en son nom personnel que > pour l’autorisation de la dame son épouse et la » validité de la procédure, •

Ayant pour avoué consiitué près le tribunal civil Ue Scnli. M* JuU’8 GoüiiV( -

Procédé, le iliin.ncho qiiinzo octobre 1848. üeore do midi, en U meiion d’école de la Ch.ipé|lo- en-Srrval, |)or le aniniaièro de W Fonlolooi ofli. taire à Senlia, commia à cet effet, e t aiitéa I aç. complisumeul dea formalité, voiiliiea par la loi, à la vente et adjudication parpoiiedo convoraico' do aaiaie immobiliii'o, an plu» offrant et dernier cnchérissenr à l’extinction dca fenx, et en cinq loia, de deux maison, avec leurs dépeiidances situées à la Chapolle.en-Scrval, et do trois jardins situés au même lien.

Desquels immeubles la désignation suit i

D é s i g i i a l i o n .

aeaicuimll» <■ Vd(vis*9tas-w*.'''S ^Lesdits immeuble» ont été adjugés mu sieur

Casier sosuoiimié. suivant jugement r«ndu en Tau* _.1.., .lia li'ilxiasial a>îvil È Sl^nllS.diiMice des criérs du ti tbimal civil séant à Senlis.

Je vingl'iieuf décembre 1846* enregistré, par suite de la saisie réelle pratiquée» I l requête de 11. Béjol Duval, propriétaire, demeursnt à Creil- Sur One, sur M. J*‘an*Fraiiçoi» Richard, cultiva< leur, demeurant à BaUgnysoi-Thérain, siiivaut procès-verbal de Vaillant, huissier à Crril. en date du sept janvier 1846, raoyeniianiU somme princi­pale de quatre mille cinq cents francs, outre les chaigrs.

Ladite revente sur folle enchère se fera aux charge», clauses et condiiiuus insérées dans Ten- chère déposée lors de Tiidjudication au greffe du tribunal civil <le Srtdis, sur la mises prix de trots inille francs, ci. . . . . . . . 8000 fr,

S adresser pourvoir le» biens, sur les lieti».E t pour avoir des renseignements : t* A M*TuEMav. avoué, /tourraivafit Us verUSi

demeurant àSen lis ,rueduC hàte l,n* i\S2* Et-au grejje du tribunal cit/ii de Senlis, où

le eoêser des charges est déposé.Fan et ré Jigé par moi avoué poursuivant sous

signé.Senlis, ce quinze septembre 1848:

Signé Jules Tuemst. 'Enrvgislré a Senlis, le seize septembre 1848.

Itécii un franc dix centimes, dixième compris.Signé Bonnsval

Pour insertion.Signé Jules TsBMnT.

No»*. Pour plu* «mple dé*i|iMtioo de» imiucaUe* c»- dcs«iu «I reoscigoemenu. voir le- journal du neuf *cp* senbre. prêtent moi», article i*', de» aonoocca judiciaire».

A r t . 5.

Elo le <l« M’ Abouoc BUFFAnD. avoué A Senlis, soccrsaeur de H ' S iu é , rue Meavenfe-Parls, n* 10.

TEMVB £ T A N V IIIC A T IO IVPar suite de conversion, ^

Par U ministère de M* Fontaini. notaire i Senlis, commis à cet effet,-

DS

Situées à lu ChupeUe-en-Seruah rmntem et urroU’ dùsement de Senlis, sur la grands route de Paris en Flandres,

Avréé l o m i n é^ tm éku m w mf■ D U S

6B U 1D J & B D n i R f i l i l S E T POTAGERAVEC BELVÉDBR,

d eD E U X A U T R E S P É T IT S JA RD IN S /.e tout situés audit la ChapetU*en’Serval,

y .un cinq lo ts .

'L ’Àdji)d\c*tidn aura lien le**D ^ônrA r quinze Octobre 1848^ heure de midi, è la Chapetle-en- S».Tval. en la msisou d’école.'

,^..0n fait savoir à-lon» qu’il appartiendra, qu’en exécution ù’oti jugement rendu sur requête par le 4 r^unal civM de première instance séant s ^ n lis ,

Une maison située,» I» Ch»pelle-en-S*r*Rli canton et arrondissement de Senlis, sur la grande route de Paris en FUndres. s droiie en allant s Pari», formant deux corps de bdiimeots élevés partie sur cave e t partie sur sol. consistant en on rez’de-vhaussée composé de cinq pièces, un p^- mier étage aussi composé de cinq pièces, grenier au-dessus couvert tuiles, petit corridor |H>ur airi- ver » la cour.

Grande porU cochère, e l cour »' gouche^de ladite maison, le tout commun avec madame veuve Spicq.

Au foud de la cour hangar.Dan» cette cour et à la suite de la maison, four*

uil üvec four.Passage an fond de la cour donnant sur la

ruelle du moulin.A gauche du passage e t denière ledit hangar,

petit bêlimrnt servant de bûcher. ^A droite dudit passage.autre bâiiment,consis-

tant en : écurie, grange c l bûcher au rcz-de* chaussée, deox chambres au premier étage, gre­nier au-dessus couvert eri tuiles.

Puits commun avec M.Treinblay.Le total teiiant pardevant à-la arandc route de

Paris, parderrièrea la ruelle du M«>nlin, d’niiiôlé à la cour commune et à madame Spicq, e t d’autre cÛté à II. Tremblay.

Partie de ces immeubles et le jardin formant le deuxième lot, sont loués veibalvinentà M. Juuait* ncau, boulanger, pour quinze années devant fidir en 1858, moyennant trois cent quarante /rancs de loyer annuel.

Le surplus, sauf une chambre encore libre, est loué verbalément'à II . Q uèvratn, mbyennaUt soixante»qainu francs de loyer annuel.

lèasiTtèmaa 1*#*- ''M*Do petit jardin séparé de ladite maison par la

ruelle du monliu clos de inurs de tou» cèiés, ayant son entrée sur la ruelle du Moulin par une porte charretière, contenant deox ares cinq crniiaté-s. et tenant pardevant à la ruelle du moulin, par darrièreà M. Maillard, d’un côté à M. Lescot, et d’autre côté à M. Becquerel. •

T ra la lèm ie limt.Un autre jardin situé à la Cb*pelle-en-Serval,

eoutcnant sept ares .quarante-quatre centiares, faisant orl^uairement partie d’un plu» grand jardin appelé la jardin du mail, garui d’arbres fruitiers et-de ceps de vignes.

Bâtiment servant de grangq dans ledit jarij|in, ayant entrée par une porte charretière sur le rae- p in do Mail.

Puits «ommno avec H . Barier, au fond dudit jardin.

Lequel jardin entouré de murs presque de/ lottiea parts, tient d’on côté au chemin du Mail» d’autré côté à la propriété de H. Edrierde la* qoell* ledit jardin est séparée partie par un mur et partie par nue baie en bois, d’un bouta M. canlers. e t d’autre bout i M . Duro el à madame Simon Foy*

Ce jardin est loué verbalement à M. Duro, moyènuant trente francs de loyer annuel.

HmutrtèMae l<et«Une jolie petite maison bourgeoise site à la

Cbapelle-eo-Serval, sur la grande roule élevée sur caves.

D’un rez-de-chaussée composé de salle à man­ger. chambre à coucher, cuisine, buanderie avec foiiret fourneau à lessive, et corridor.

D’un premier étage composé de trois chambres et un cabinet.

D’un deuxième étage où se Ironvenl une grande salle de billard e t deux chambres.

Et d’un belvéder. ^ * iPetite cour devant U maison» séparée de la

route par une grille en fer.. Cour pavée derrière la maison.

Dans.cette cour et a gauche m entrant puits commun avec M. C^éret.

Ail ioud de la cour hangar avec grande porte de sortie sur la ruelle du Moulin, passage ayec porte de sortie sur ladite ruelle, grenier sur le tout couvert vn tuiles. . , •

Sous l’escalier de ce grenier, niche» a lapins.Tous lesdits Itâiimenl» converls «Il tuile».

I Le total tenant d’un côté midi à H. Cléret,I d’autre côté nord à M. Dugsrdin, d’on bout-con-

cliant à la rue du M«>ulin, et d’autre bout levant a la grande route de paris.

Cette maison el dépendance», et le jardin, for* m.apt le cinquième lot ci-après sont loué» verbale- meiit'è madame Jacob, apoyenn<iiil (rois centcin* gàànte francs de loÿer'ànhtiel.

Ciisqiiiiémse Iiut*Enfin on jardin aiiglais et potager derrière la

maison ci-dessu» désignée entouré de mur», con­tenant trente-quatre ares dix-huit centiares, ayant entrée sur la rué du Moulin. .

Dans ce jardin un belvéder d’où l’on jouit d une vue éteodue.

puits et réservoir en pierres de tailles.Bulles plantations I g ^ s de 18 ans.Espaliers en plein rapport le loug des mors.Le tout tenant d’un côié midi à H. Emmanuel

Poy. d’autre côté levant à plusieurs, d’un bout nord à MM. U udot et Maillard, et d’antre bout aux Champs.

Indépendamment des clauses é t conditions do cahier des charges les immeubles sus désignés, seront criés sur les tnisea à prix suivantes fixées, par le jugameut do 2o juillet 1848, su» éuoucé.

S i i s B ê à p r i x .Lé prem ier lot stir la mise à prix do .8000 fr.Le deuxième lot. sur celle de » . lÔOLe troiftièmê lot, su r celle de . . 400Le quatrièm e lot, su r celle de . . 2500Le cinquième e t d** lo t, su r celle de 1SOO

A L O Ü E R A X ’Â M IÂ B L E ,

l b q r a m p s à x a m b a sde Nantéuil,

l l M Déétt* mmbmmukt Cmur, S e r r e a t t " ' Pégiem ôm fira*

Entrée en jouissance le 11 noveinibre 1849. Sadeèsssr à maelams meuve HéazUT, proprié»

taire d Nantriiil,Ou à M* PiTiT, notaire au mime lieu.

A B JU D IC A T O O NXN un SKOL ilpr. ^

Sur Licitation, entre Majeurs.E n tétude et p a rle ministère de M’ Tassart,

notaire à Crépÿ,E n présence de M'TmAÛ. notaire à Paris,

Le Dimanches Octobre 1848, heure de midi,■Dt’-'

6 HECTARES 51 ARES 34 CENTIARES

t.* Vifxi

Pnit» ,L« Dêr»

tina» nv l>êr*i

)E TEItm LUOIIUIUEn sept pièces situas qà terroir de Pillers^Saint»

Genest, canton de B e tt, arrondissement de Senlis, département de f Oise,Dépeüdaût de la succession de N . Gavillier ,

ancien avoué à Paris.

La grauflc teiubre. Un

^adresser à H* T assant, notaire d Crépg,E t d M* T biac, notaire à P aris, place Daa*

pkine, 23,

u GOVAUIE rRUfUU

Total des mises à prix, 7,550 fr. Fait et rédigé par moi avoué poursuivant sous­

signé. *Senlis, le seize septembre 1848.

Signé B um ao . E or^ istré à Senlis, le seize septembre 1848,

reçu u«i franc dix centimes, dixième compris.Sigtié B o n n s v a l .

Eadresser pour les r«M ri^emrn<r -•I* A M* BurrAND, avoué d Senlts, rae Neuve»

de»Parü, n* lO, poùrtuivant la étenteg2* A M* Gooin, avoué demeurant d Sentis, pré»

sen ta lavsn tei . « . .j 8* E t d M* Fontain», notoire a Sentis, depo» sitairedes titres et du cahier des charges»

pour iuscrtion.Signé BtnrvABD.

Pour l’entretien cl la réparatiou des toitures, et leur assurance contre les dégâts • demande dans chaque canton de l’anvindissement de Senlis* nn couvrcor probè et loyal, coiiuaissant parfaite* ment sa partie, el des ageuts d'assurance.

m

piiser aii non les suffrages rédaction iw ■fraternelle, de» travaux soit par dés

Le 16» ap aux crédits < est nionlé te nement- d ’ut .dépai temeui de saisir siti rer les popii la respoiisal dont il s’agi

M. Falloo étaient revc de l’Assen»!]

vérneaient ;

S ’adreatr à H. R i c a .» , 4 Uaignela, (O iu).

Oh m a M th n R E Ç N IE R , im prim nr-libram 4 S n l i t , n u d t R u undû ,

B » .

imprilinées avee l'AU i'du Maire, .I . tout d’.p rè . In lintructimi., «t parlicûlièfr»

mriit * «11.4 contcniH. d*ns I . R «ae il d . l’Q iw da t847 ,’piK<»78 .1 rai»aDtcs.

A i i n o o c e s P i v ê r s é s .E T A T c i v i l , U b s e n l i s .

V E N T E A L 'A M IA B L E

S E CHEVAUXPar suite de la cessation de service de la |>osle

aux chevaux de Villeneuve-sous-Verbcrie.

Naissenues»Veiuières (Marie-lsabelte). Gottercau (Joséphine.)

S adresser à M. Dilahnav. propriétaire.

Etude dp M*HÉMET,,hnis»ier.priiiCurà Chantilly.

T E S T E ■ O N U E R E m o n A I R E...... ,iu TtAhfirl

Mariages»

Lefèvre (Jean-Msrie) e t Fauvel (Justtne-Bléo- I nore.)

Décès,

Pour CrtUse de Départ,A Chantilly, chez M . Lematson, maison de

M. Monet, enjace PBgltse,Le Dimanche I*» octobre 1848, à m idi, et jour»

' suivants, à la même heure, s’il y a lieu.Par U ministère dudU M* HéutT.

Sébert (Gustave). 4 mois.I.ange (Charles), 86 ans.Oiifoui^ (tUrtiue), veuve Paléron, 73 ans.

qui fitjnstic le gouverni meut», n’ai dont il est i

La questi s’esl empai; la plus vivr groupes, le maires se s< le elle! di| doroaiidcde à l’unanimi

« L'Assjt; ■ saot à la u mesure p

L u is . Il de Consiitii politique, h posé de m l'etranchen la Constitu ment, à la i

Le 19. I sideut. M.

La coloi 19. Legou celte colon snltat; car tion consiil nos grande incliné»; t< uimilé s’ea

La Fran peut-être 1 carrière di néccssitcu!

PRIX DU PAiN.à.eompter do jeadi s4 aodt.

Au comptant. '■qualité, 23 c. le kilogramme; — 17 «

M E H c u

— Le. 1 MH. Loui par 78,89

Lecidoi

V iu u .

Paa is, . . . CowiicN*, ■NOTOH. ■ • •Soisson, . • S i.-Q u.» '!", SuL is, • ■ ■ Montoibiu, P4n'ot)NK, .Ro t i.............Amans,. .PonT.............Caifpv, • • • Maaux, , , Riauvai. , ■ CLtBMOnT, ■

Datss. i - i

10 Sept,9 Sept,9 Sept,9 Sept,9 Sept.

12 Sept.9 Sept; ■ 9 Sept.

7 Sept.8 Sept.9 Sept. 2 Sept. 9 Sept. 9 Sept.

V «

i ’idb cr i'16 7& U SD 14 25 14 77 14 68 16 3& 16 14 14 OU OUUO 14 60 16 60 16 66 14 OU 14 66 13 89

1600 OtIOO 13 26 13 86 13 88 16 70 00 00 13 60 00 00 OU ouit6 76 I6 00< 13 00 00 00 13 33

00 00 OOOO 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 00 loooo 1600

loooo ; t2 oo 00 00 (NI 00

t 4« i.

00 00 t2 6ÿ 12 2600 00 13 2t (Ht 0012 76 I l 00 00 0011 7013 60 00 00 00 00 f3 3012 78

00 00 12 06 II) 9&10 3112 10 00 00 12 01 0932 00 00 13 10 12 00 00 00 00 bo11 7810 66

00 00 10 96 00 00 ÔOOO 00 00 00 00 00 00 00 00 (iooo»u ooooloo 10 75 118 00 00108 00 00 00 00 00 0700 Oo|o6

I00 00 00 00 00 00

. . 00 00 00,IW 00 00 00 00oOloooO00 00 0000 00 00 00 00 00 00 09 00 36 00 00 00 00 00 40'00 00 94 00 00

OOOO 00 00 OOOO OOOO OOOO

86 00 0075 00 00 26 OOOO 00 00 0076 00 00 00 06 36 16100 00 66j00 00 33 00 (H) 33 00 00

( Mardi i de Senlis i

adjoints n f M .le s^

rètéparlc fils, et H( ceamessl affirmativ

I P'upmrnou» M ^reê» la ville de Senlis, pcstrlégali» salien de la sisnature de M. Begnier, apposée k Vart.Ce ifi septembre i8 t8 .

Enregistré i84t. r* ootipris.

k Senlis, te Eeqa KMféane dis centime», dixiins

» Je mi fondémen' vous idipi MM. leq i blique pis iiouscoroi

• Pero tonte affi l'hiver, v tration di vos comirieuse y I e t la .vilh

SKNUS. TYPOGRAPHIB ET LITUOORAPHIB OE REGNIER, R t ^ DE BEAUVAIS, 6.

que vous > Yom