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Samedi 4) Mars 1807 H#nde d u journal. ftin(4 I ; ; *5 JJ ïiw a M N m n | &> & ' :•“ . ïî ;. n u i n u n M K n m . • ' ANNONCES JUDICIAIRES. 20 c. la ligne. ANNONCES. DIVERSES. •.. 20 M. uissiers À Menu i«r, lidcsj-liospii itaocianl à Jlca nôluire à Meay: t-dirrfabi icalioi omraalion.de rd iVcIdpprthi.‘^e||( t.en Je livaut ai ÉÉÜuc 'er9ii ipûpïnîdris mtévrierderni ibf (l'expédition FEUILLETON, ■[*) FEU ROUSSELOT. 0EGN1ER T v/om iim ÏIsw b ptoLValnenunt 11 sollicita n u onirevnc; en lui refusa l’autorisation de voir le prison nier. Lambert conféra longtemps avec son avocat d'oflice ; Il lui raçMÉla ta vie et la sainte cause qui l’avait conduit au crime. On exigea d’elle le sorraenl de non-participation, les yeux fixés sur la victime... Nais un tremblement général s'empara de la mégère; elle djtt.-Mai» la natarc était & boni chez Cette frêle créature, ‘ a une constitution débile, et dont lo travail minait depuis longtemps l’exislence. r.fe geôlier entra. f.e père et le fils se tinrent loi

ANNONCES. DIVERSES. •.. 20 M. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1867_03_09_MRC.pdf · Entre M. Lelevre (Louis-Virtoï), jardinier A Sentis, cl M"' Lcmoine

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Samedi 4) Mars 1807H#nde

d u jou rnal.

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ANNONCES JUDICIAIRES. 20 c . la ligne. ANNONCES. DIVERSES. • . . 20 M.

uissiers À Menu i«r, lidcsj-liospii

itaocian l à Jlca nôluire à Meay:

t-d irrfab i icalioi om raalion.de rd iVcIdpprthi.‘^e||( t.en Je livaut ai

ÉÉÜuc

'e r9ii i pûpïnîdris m té v r ie rd e rn i

ibf (l'expédition

F E U IL L E T O N ,■[*)

FEU ROUSSELOT.

0 E G N 1E R

T v /o m i im Ï I s w b p to L V a ln e n u n t 11 sollicita n u onirevnc; en lui refusa l’au torisa tion de voir le prison nier.

L am bert conféra longtem ps avec son avocat d 'oflice ; Il lu i raçMÉla t a vie e t la sain te cause qui l’avait conduit au crime.

On exigea d ’elle le sorraenl d e non-participation, les yeux fixés s u r la v ictim e...

N ais un trem blem ent général s'em para d e la m égère; elle

djtt.-M ai» la n a ta rc é ta it & b o n i chez Cette frêle c réa tu re , ‘ a une constitution débile, e t don t lo travail m inait depuis longtem ps l’exislence.

r.fe geôlier en tra .f.e père e t le fils se tin ren t loi

Oniïo du cortège : T am bours cl groupe do cavaliers. — Bœuf-gras, offert p a r N . I.csbrons- sa r i. m archand boucherà.CUam hiy.prftyenanl rffl âM arifiL , - do Dora», condull p a r ses sncrTlïcgteünT é l bYééêdô' d 'Itf- " liions. — Deuxième groupe d e cavaliers. — C har des c h a s­seurs. —Troisièm e groupe de e a f (d iu f f V m n .l btraanclïfv.

A la c liû led u jo u r : E in b r A f W |l f r u f P ] w ^ :dinlcment après, g rand fou dbrllllepàii t a l r t f l e on* ifllùn*, beaux - par les tam bours cl la irib sitâ ta ;•*- .Oraird b a r de uqil pnré .cl costum é, «lie» Jj* T aup inard , dans une vaste ten le drçsséo s u r le F arter to :? rt .ti>\ iv . rii fo ; hM ,«■ .

l.e lendem ïin lundi, j o u r d ol*/#oJe4i‘ .au r i tr . | da : P arterre,1 concert offert p a r la m u s iq u e .— A trm â heures, course aux ânes, plusieurs prix seront décernés aux vain*

’qUcurs.r-A fcftloh‘,>b,il/r x T miT/UT- A *P en d an t ja d u ré e de la fête L B r irn i l fusil (15 prix) cl

prix A l'a rc (12).

C h a t t t i l l } . — l.c s ieu r H édonin, m enuisier, qu itta m praentaném eut son dom icile je u d i 28 février, vers h u it W ibV 4V bl. Soi^\pé8rtgllt1ftvoift.A voisin, lorsque, en rc n tfan l clicz lui, il rem arqua que la pièce d e sou h a b i­tation, dpnnani su r la co u r, é ta it rem plie de futpée. . Le leu avait pris cri effet ft un secréta ire m uni-de son casier rempli de livres, papiers cl registres; le tout é ta it dévoré

' pailles fïamiries, iiîrtsi q u è 'la p'ùyiti Üonriàril bèbès 9 la chAïubVe A coucher et criviroh unm Ôlrc'èafèé^UpA >*quel. Sa iis les prom pts secours srtrveniis, l'Incendie eû t pu d é te n ir plus grave. . 1 1 .1 1 ty i...

On suppose qu 'un paquet d ’ulhitnctleTchim iqUcs, qui .se trouvait s u r ‘Une planche du casier, sera lonibé à te rre et aura com m uniqué le feu au secréta ire . La perte est de 200 Tr.

— Mardi gras, M. le m arquis d 'Osmont et de nopibreux invités ont chassé le sang lier dausrte bois de Ghbulilly.

Conformément à l a . trad ition , les nobles veneurs po r­taient tous un faux liez.

—, Sam edi, dans le com partim ent d ’uù ira iii du clielnin de fer du N ord.se trouvait M“' de C .. , , ïc x è i ip ) ) |.^ P aris, en compagnie de son jeu n e enfant. T o u t àqùclqtiëi distance de Chantilly, la poiTé^ doTà caisse s*ouvre ;.|e ' pauvre enfant, occupé A ce moriieiit A règiVrder^a cArai- pagne, n ’a pas le tem ps de sp- rëlêrijp e,t çpi précipité su r la voie. La1 ra.ilheurëuso m ère poussç.dés, cris, de sesnoir, de tous .les côtés oy s’inquiète : le^qqfn t.f^ù lioU f toujours sa rou te... Enliu, 011 arrive A th a n tilly , on ra - conte répouyanlable accident qui. vieut.iflè jée,' passer. M r de C... reprcn.d u n ' a u tre l ia h ; i :c m ô n |a m .q u i/ f o r l heureusem ent é ta it stationné. Que l.’o q j u ^ ,de la .jq ie rep en tie p a r la irièté lorsque, a n iv é e àq ipnze.cch lsm èlres de Chaiililly, on aperçut sain è l pauf eLj/tuahï Vrâuquillé- menl re n ia n t qui venait d ’échnppér si m iraculeusem ent à la m ort.

— Dans la nuit du 28 février au I?" m ars couran t, un m alfaiteur, escaladant le treillage du çhctpfirt dè Tel* a coupé, A l’aide d ’une serpe, trois m arronriiéra plantés dans une allée, à l 'ex trém ité du jard in du chef de gare. Ou recherche l'au teu r de cet a r tè coupable.

C r e i l , — U uiiiccudle a éclaté dim anche, A cinq heures du m atin, dans lé moulin à blé appartenan t à 'M. F ran- clicmdut (François), et- exploité p ar Soft fils 'Ph ilippe. - -

Le feu a Uû p rendre dans tes Tiettoyages : ;iL s ’est'com ­muniqué p a r l ’arb re de transm ission, qu i; déns> *on «nou- lem ent rap ide , n incendié les coussinets en bois au moyen desquels H est m aintenu.

Presque tout T élablisserncnt esl-’d é lru iti — La pel le s’élève A 145:000 fr., m ois elle es t eon'rerte p a r une assu­rance de 106,500 fr. l.c peu de m âbiU cr' q u ià '^ té sauvé cl deux corps de bâtim ents préservés des flammes sont estimés rtc 2! A 25,00» fr. u . - 1; .

l.c Ministre est a ttrib u é â un v ice d e construction e t un peu à la négligence des .surveillants'dciiuU ;' ■■

Les pom piers de Creil e t ceux .des loCatlték voisines « n i fait preuvo dans cette circonstance du plus louable dé- vouement. . . .

Nous nôus empressons de publier la le ttre sirirârile 'que nous Adressent M.M. FiSïnchcmont père et fils, victim es de l'incendie du 5 do ce mois :

M onsieur le H é d acic ù r,. .. , ;}l VEu donnant daiis le d ern ie r num éro de votfe estim able

journal des détails s u r l'incendie qu i ..a . détru it- no tre moulin, vous avez rendu horrintagp au . t^lp e t au ! d é ­vouement déployés dans ce lle circonstance, p a r les pom ­piers de Creil e t des localités environnantes. Nous vous sommes reconnaissants, M onsieur le .R édacteu r,. dé cet éloge si bien m érité , m ais nous croirions piàu 'qufr. A notre devoir si, remis, de l'ém otion que nous a,causée ce sinistré , nous lie rem ercions les au to rités, le dighe chef dé pour­piers de Creil e t sa com pagnie, M, le c^îef xlé gare, M. le chef du dépôt des m achinas du. chem in .de fer ç t les liabi t.-inls de la ville d e Creil qui ont bien voulu s’associer poiir em pêcher les progrès du feu cl le cosicenlrcr dans sonfoyer prim itif.......................... ............... ( f , j -

Nous voiis prions, M onsieur le Rédaplepr.!,d,'étr,e .pssèz bon pour ê tre no tre in terp ré té au p rès ' des com pagnies de pompiers de Cramoisy, Laigneville, M onjolaire, Nogcul- ios-Vicrgcs, Vcrheuil et Vi11crs-8aint-Pauf, jloU r I c concours aussi utile q u ’em |.rossô q u ’elles ont prêté à lai compagnie de Creil et aux personnes qîii se trouvaient s u r le th éà lred e

. riiuum die. • • . • ■.* .> ■ . . •V eu illez -ag réer, M onsieur le : R éd ac teu r, - avec nos:

sincères rem erciem ents, l ’assurance de notre considération la plus distinguée. F ranciirsioht père e t fils.

(Journal de l'Oise).

pjVt d ’éloges à tètis ccux qui mil contribué A cette lèle Iles pauvres, mais nous nous croirions ingrats envers le d é ­vouement e t le talen t do M. Albert Guillemot, si uous lie constations pas le plaisir particu lier quo nous avons ou A l’en tendre et.le? sym pathiques et chaleuroux applaudisse­m ents qui l’ont accueilli.

Vendredi dern ie r ont eu lieu les obsèques do M. Elias- Sébastien baron de Nnvry, chevalier <le la Légion dlioit- neu r , sous in tendant m ilitaire en re tra ite , décédé nu château do la Victoire, le 5 m ars 1807, A l’Age de 82 ads.

Des officiers ministériels ayant dem andé si, d ’après la nouvelle loi, 011 pouvait, sans augm enter le tim bre, annon­cer su r la m ême «niche la vente de biêns-appartenantA plusieurs porsoun'es, des inforipalj'pns ont été prise* et voici ce qui a été répondu : F our qu 'une affiche ne com­porte qu 'un lim bro de cinq centim es, il faut que la vgnle^ 11e concerne qu’un seul in térê t. Un sru l prop rié taire; mi ne peut donc annoncer p li^ iç n r^ y p m ^ -q u a u d jiic ii même elles scraiont faites par Ic'ntêmo nôhui'c, 'nu menieTroircb A la mémo h eure . Cependant, si l’on désira it adm ^ttr^ce

, dern ie r cas, t'affiche devrait ê tre tiinbrée à vingt centime»- quand elle contiendrait au plps cinq annonces distinctes; au-dessus et quel que so it le nom bre des annonces, il est d û un droit double de 40 centim es. t

La cour im périale de Lyon vient de rendre un a r rê t qui 11’inléressc pas moins le m onde agricole que le monde cynégétique.

Cet a r rê t range les lapins de garenne dans la classe des animaux nuisibles, sans se préoccuper de la question d e . sav o ir.s’il existe un a r rê té préfectoral, et décide que la chasse des lapins aux furets peut avoir lieu en tous temps, du fait du propriétaire auquel its causent un dommage, cc moyeu étant indiqué par la loi de 184-1.

On est en train de.c rée r des . tim bres m obiles destinés au service de la télégraphie électrique. Ces tim bres, du. mêlne genre que ceux qui sont employés pour les effets de' commerce, seront divisés en quatre catégories : tim bres de vingt-cinq centimes, de cinquante, de un et deux francs.

Mercredi m alin , bien que le soleil ait. é té obscurci p a r les nuages, tes curieux ont pu- observer l’éclipsp de soleil annoncée par les astronom es. Vers neuf heures quarante m inutes, su rto u t, heure de la plus grande phase, il é ta it facile de voir 1111 mince filet lum inaire déborder tout au tou r du disque obscur de la lune, l.e soleil parais­sa it, sons la forme d’un- croissant dont la plus grande larg eu r élqit un çi/iquième environ du d iam ètre total. *.

Dans celle même matinée a eu lieu T in sjah l précis de la nouvelle lune ; c'est là, en effet, une condition des éclipses solaires. Four q u e .n o tre satellite nous cache le soleil, il faut nécessairem ent qu’il sé trouve interposé en tre l'a s tre cl ta terre, qu’il soit lui-méme invisible, ce qui caractérise,A chaque lunaison, !a phase de la lune nouvelle.

La grandeur d ’une éclipse de soleil dépend de la v aria­b ilité des distances qui nous séparent du soleil cl de la lune à différentes époques. .Or, au jourd 'hu i la lune n ’est pas fort éloignée de son apogée, tandis que le soleil est A peu près à sa moyenne distance de là te rre ; c’est Ce qui fait que la grandeur apparente du disque lunaire a été un peu plus faible que cèllc du disque du soleil; de là, impos­sibilité de le m asquer complètement.

La seconde éclipse de soleil de cette année arrivera le 2!) nirikl. Ellé searinvisib le A P aris ; visible dans l ’Qcéau Atlantique m éridional, au cap de Bonne-Espérance, au cap llo rn et dans une, grande partie de l'Amérique du Sud. Elle sera centrale.à Bucnos-Ayrcs et à Valpnraisu.

Etat v iril de Seul!».Mariage.

M. Malansenu (Lnnis-Abel-Nuinence), cl mademoiselle Corliy (Honorine Florentine).

D.écès.Baron de Navry (Elias-SébA'slieu). 82 ans.A ubour (Sophie), veuve Fonléney, 73 ans 8 mois.

. Publications de mariages.Entre M. Lelevre (Louis-V irtoï), ja rd in ie r A Sentis, cl

M"' Lcmoine (Evclina-Joséphiue), cou tu rière à Senlts.Entre M. Kuenzi (Auguste), cln-f de cuisine à Paris, cl

mademoiselle Lesagc (Marie Lélina-Lucic), blanchisseuse à Seniis.

^ y f l a n dem eurât parûtes; g sa commi

S M V E L L ïS DËPIRTEMENTàLES. 15 jo u r s f — Loul

A Boulhiri ladite con aussi viol Vincent pi

"VoMi les ndms des cantons du départem en t dans lesquels auro.nl lieu, cette aunée, des élections pour le TepQUvellemcnhpar tiers du Conseil général d e l’Oise ;

Rettovais (Sud-Ouest). Form crie, Orandvilliers, Coudray, CrèVèètoÜr,‘ liiancôûrl, Sdifil Jusl, Eslrécs-Saint-Üeiiis, Lassigny, R i|)écourt, Nanlcnil.

ï ,c s irfe trib r^ .d û conseil général, dans ces d ivers can ­tons! tibrit àAuèllériiènt : 1 -

Bcaifvais (Sud-Ouest), M. Danjou;FbPmeric, Mi M eneslrier;Grandvillicrs, M, le général Saget;Coudray, M. Michel-Wallon;Crcvccœur, M. Ib Comte de Ctermont T onnerre; L iancourl, :M. le comte d ’Andlau ;

- Saint Jusl, M. Dumonl;Estrécs-Sainl-Uenis, M. le comte de Cossé-Brissac; Lassigny. M, Ba.rriUpn;Nauteuil, M. le baron de Morell.Il y au ra égalém ciil celte année des élections dans 1rs

cantons suivants pour le renouvellement p a r m oitié des ' m em bres des conseils d ’arrondissem ent :

Beauvais (sud-oüdsl). Chaumont, Form eric, Marseille, Noaillcs, Songeons, Grevecœnr, Froissy, Mouy, Saini-Just, G uiscard, Lassigny, Noyôn, llibécourt, Crépy, Fonl-Sainle- Maxcnce, Seniis.

Las conseillers d ’arrondissem ent pour ces cantons sont en ce m oment :

Beauvais (Sud-Ouest), M. Devimcux;Chaum ont, AI. Lcclère;F o in tcric , M. Brossai t de Bcauchènc ;M arseille, M. yassellc;Noaillcs, M. lo tiurcsclial;Songeons, M. I.clailleur;Crdvecœiir, M. Jndcnnc Roisin;Froissy, H!1 Fait cellier ;Moùy, M. Kiggcii;Saint Jusl-eii-Chnnssée, M. W allct:Guiscard, M .'Du bail;Làss’griy, M. le lr iro n A. de la Bruneiic ; -Noyon, M. ftn rlav ;llibécourt, M. Lnlloneltc (Narcisse);Crépv, M. A tidcbcrt;Foiil-Saiule-Maxencc, M. Lcccrf;

. Seniis, M. lin puis. _________

Nons trouvons dans le bulletin de décem bre de rn ie r, publié p ar la S.Ociété p ro tertrice des Animaux, que M. MeVlier, m archand sellier à Noyon, a obtenu une médaille dd bronze pour un modèle de frein pour om nibus, cl que des récom penses.ont été accordées aux in stitu teu rs du départem ent, dont les noms suivent :

Médaille de bronze: M. Laffineur (Frédéric), A Montagny- Sainte-Félicité.

Mention honorable ; II. Masse. A Sarron.Un rappel de m édaille d ’argent e t une prim e de 20 fr.

ont été obtenus p ar M. Denis (Aristide), Agé de 63 ans, berger A Fiern-fonds, pour quarante-six ans de Irèt-hont services.

Une m édaille d ’argent a été accordée A M. Bricongnc (Hubert), berger A Vcndcuil-Caply, qui conduit avec bonté et intelligence, depuis quarante-six ans, les troupeaux de .4rois com m unes.

— L’ar, A remplac pluie ou t pense, ra< toile est s

" F a ra rr i par S . bJ o u r n n lsérere ii II toutes an:

La pu l es t ohlig sûixantc-i de l’arroi tion d es ri

Etude

S E N I , 1 S , m adam e nient Bép. main kn$ h Aulfifeui micilo/ii dame i de T hierry (

Sofirtr «riiorticnliiirc «le Seniis.NousrappelousA nos lecteurs que c’est dem ain dim anche,

•10 m ars , que M. D uba:Ir, professeur de la Société, se rc tid ra A Nanlcnil pour y donner sa prem ière leçon d ’a rb o ­ricu ltu re cl de taille des drbres.

La leçon au ra lieu chez M. le m aire de N anicuil, A une h eu re précise. ______

Comme d’üabilude, il y avait foule m ardi d ern ie r A la so irée donnée au profit des pauvres dans la grande salle dcT fnstitu lion Saint-Vinccnt. L’em pressem ent du public répondan t ainsi à l’appel de la ch arité ,-se pressant do bonne heure dans cette salle de spectacle improvisée! su r ces sièges qui ne brillent que p a r leu r nom bre et leur rustique sim plicité, témoigne d ’une bienveillance qui n ’a jam ais fait défaut, ni A l'Institution Saiul-Vhiccnt, 111 aux bonnes œuvres. Reconnaissons aussi que m aîtres cl élèves ont rivalisé d ’efforts pour répondre dignem ent A cette bienveillance. Le program m e étendu et varié de cette so irée a é té rem pli et bien rempli par loul le m onde. Nous ne nous sentons pas compétent pour d is tr ib u er leu r juste

K o n u c u î l - r n - V t t l o i f » . — M ercredi, 27 février d e r­n ier. le sieu r Sené (Picrrc-Eugène), m anouvrivr, âgé de 37 ans, a été trouvé la tète prise sous un bloc de pierre du poids de 3,500 kilogram m es, dans une ca rriè re dite de M aigrement, où il é ta it allé t ire r du cran pour sou usage personnel. La m ort avait m i ê tre instantanée.

4 'l m m h K . — Program m e de la fêle d ite du Bois- Hourdv, qui aura lieu dim anche 10 m ars 1S67 :

G rande Cavalcade,Tournoi, Jeu de Bague chevaleresque. — C har de: l’Exposition universelle conduit p a r le doyen sous le costume du dieu Mars. — Ait cen tre du char, le Génie de la France couronnant l'industrie .

Programme cl ordre de la fêle : A midi précis, on montera A cheval; une salve d 'artillerie annoncera Votivcrturè de la füle, — a midi et dem i, réunion s u r la place du Marché, où le jeu de bàgue est offert A tout cavalier costum é qui. s ’engage A faire partie du cortège : q u a tre prix seron t délivrés aux vainqueurs. — A deux heures, on formera le cortège pour faire la prom enade en ville et rdndre hommage aux au to rités.

Il sera dernier c gués, saii ayant der lucllcmei en Franc

NSiyân

Une \ canton d la rue c< pierres •( cheminée dans. lad croisée A rière lad avèc bai maison, .servant t

Du cô construit ardpises, .deux lue

A la sJüiltar mverts; en pleines;

Le lo i d’Aùttc.i bout l é i ru e , et d

— Où me couchez-voUsf dem anda l’artiste qui déjà sem blait avoir tout oublié.

Mais il n ’eu ôtait pas de môme du vieillard, qui pa­ra issa it en proie A un véritable chagrin.

Ce fu t cependant Avec un sourire qu’il répondit au jeune hom m e :

— P a r ici, M. P rospcr, p a r ici? Je vais vous conduire moi m êm e à la chainbrç que je vous ai fa it p répare r.

Et déjà II m archait en avant.Le jeune hom m e allongea le pas, e t passant son b ras

sous celui dq yio/llard .,: ; t- J e cfhriprçiuta fui dit«ÿt, cri m ême tem ps aveé ime. ac»

syrap.alhjp; je conçois Voire 'P W d ft,A ‘éf»stpur Jea o l Çé dorapine va

«es m ains,étrangères-, pour un v|cux serviteur tel que vous, c e s t bien .dur. Au liè^ do .vieillir ici, comme vous l’espériez dans Aucun doute, il vo f|d loir vous çu aller b ienjoip-pç.utj ê jre , n e ,\]\j ts .re v o ir oçj.-ïieux que vous firaez lrin|i, en ,perd re .m ôraç jusqu’aii, soit v en ir!

O hI q u an t & cela, riôri... j é l'cm portêrài dans mon cm prl s'efforça de sou rire (e>viéillard.

— Mieux encore que celai s’écria, l’a r tis te comme frappé d ’une iuspiruUon soudaine; si vqus êtes exilé, :m onsieur J e a n n e 1 veux : que vous em portiez avez vous les Ormoltes sous votre lyyis. ...

— Q u e v o û t e z - v o u s d i r e ? . : i - i - . j .•— Ne m 'in terrogezipas : c’est une su rp rise que je veux

Vous faire. A dem ain, m onsieur Jean? ..<.-r? M onsieur Prospor„A d e m a in ,V o ic i , votre cham bre;

c'csticeUaoùTfiu Itonsgelot logeaiLscs omis? .E | le bonhommo disparu t après un d ern ie r bonsoir

am ical,' .— Pauyro vieux I m u rm u ra l’a r tis te qu i, du ra n t quelques

seconde encore, resta immobile su r le seuil avec son bo u ­geoir à la m ain . Enfin il re n tra . , âi-ji ;

i J i-. ' . . ; 1. 7 ii . ;. CoARiKs D es lys .(La suite au prochain numéro.)

— Veuillez m ’interroger, m onsieur, dit-il avec une j condescendance toute gracieuse, je me fe rai un véritable p laisir de vous répondre.

— C’est fort heureux. Eh bien! mon cher m onsieur, je d ésirerais savoir où dem eure ce Pichard, qui m ’a écrit?

— P ichard?... fil le bonhomme après une courte hési­tation . II est absent pour quelques jours ; il m 'a chargé de le rem placer auprès de vous.

— Ah ça! vous êtes donc l'iu leudanl de tout le monde ici ?

— J'o se espérer que M. Anatole Rousselol n 'au ra pas à s 'en plaindre.

— Fort bien! Y a-t-il un notaire dans les environs?.— A Cherbourg, oui, m onsieur : m nitre Gondpis, le

noluirèiidit idéfunt. C’t»l p a r son m inistère que fpu llonsselol avait acheté toutes ses propriétés, notam m ent celle .ci, qu 'on appelle la ferme des Onneltcs.. w Des Ormeltes. soit! Vous me conduirez dem ain malin

chez co notaire: .Serais-je .indiscret en vous dem andant quelles sont

vos intentions? : . • . . . . •-rO b ;! m ou Dieu, c’est tout simple : je veux lui donner

o rd re de,faire afficher im m édiatem ent la vente.— Quelle vente?— Celle de toutes les proprié tés qui com posent mon

héritage, parbleu !*4-Abus 110 voulez donc en g ard er aucune, pas même

celle ci?f—.Pa's m êm e celle-ci. Pourquoi ne la vendrais-je pas

to u t aussi bien quo |es autres?— Vendre les O nneltcs !

VIII.B ire ce q u ’il y .av a ile u d ’indignation, de révolte e t de

do u leu r.dans ces dern iers m ois, cc serait impossible.— Croyez-vous donc, re p rit Anatole, que je veuille

Sarder des biens qui m e rapporten t tout au p lus deux et erai pour cent?

, U)n Vi étilouré: m urs, si b&limçn1 d ’un bot rue -, d quàranU

.Un C planté d entouré tenant d Plocq. d et d ’auü contcnai environ.

l'Oise liclo du lum ière t in , nu es, s u r ■l de In session, lu rd’iiui ience ni Majesté

su n c c ljo n ci {lois,c, — llo / l e Crète : baie dç Sud a : cam* pemeiil- Itirc s u r la pointe de la Canée. — Fouilles du palais des Çôsais, â Home (4 gravures). — Expopilioir un i­verselle : le q u ar tie r tu rc . — Convoi funèbre du comman» dani John Coruwcl, du Mianlohoimh.k— l;e policeiuan, A Londres (4 g ra v u re s ) .— Naufrage de Y Olympia, p rès d<* Cette. — l.'éclipsu niinuliiire de soleil du ü m ars 48Ô7 (4 gravures). — Rébus. < ' - . • ' ;

— Si Ja contrefaçon est dangereuse pour ceux qiiis*ÿ laissent p re n d ra c 'est surlo'ut en parfu lneric . On nu s a i t , pas assez quels ravages peuvent exercer n<m seuieihant su r les cheveux et su r la peau, m ais epeore s u r le systèibc nerveux, les pom m ades, les e a u x 'd o toilette , les essences, les savons fabriqués sans conscience et sans art,n ivec des m atières prem ières frelatées. Ces produits Se p résenten t toujours sous la garantie d 'un nom estimé, ( 'f a a l n a ln , dont les délicates compositions sont si recherchées du monde élégant, est tous les jo u rs victime do ces rhuiimu» v ies déloyales. Les personnes qui no voudront pas ê tre dupes sont priées de s’ad ressèr dans notre ville, à M. Philibert, coiffeur, seul dépositaire des ariioles de parR t* m erie de C h a l m l n .

C t i a n g e m e u t d o d o m i c i l e .M. FOUCART a l'h o n n eu r d ’inform er les personnes qui

veulent , bien l'honorcr de leu r confiance pour ordres do Bolirse, recettes de coupons et recouvrem ents de fonds, que son Bureau est tran sp o rté rue du faubourg Saint» M artin, i r G5, à Seitlis.

Le Gâ'iiuf responsable, E rn e s t RÉGNIER.

Oermnln-Lotlls T u ssau , âgé de 55 ntm> ja rd in ie r elV

fài'déüpartloullcr.'ideriichnuit A Puisieux.^conduisait^ Je . t février, sa voiture altelée\ d 'un cheval, beaucoup plu* ;

vile que lo réglcnwuA.ne levain de se re n d re m aître du cheval, quand uno pauvre femme, plus qu’octogénaire, s’est p récipitée à l'improvjste devant la voiture e | a c |ô écrasée dp andnslafir, M venu iie>cherche point'À sc jifttifié rjtilittrib n ecq tq g c jq en fc ù.la vigueur de son cheval. Le tribunal condam ne T assarl cüSD ir.jd 'aracirtle el aux d é p e n s a . ^ . j »

^ü/lean Joseph Bçllevi.H^-jâaé de iÇQ p j b i flâ £}dem eurant & Fresnoy-la-Rivière, est prévenu d’avoir, par paroNfSi'gésléS^menacM outragé 'fe< gardecham pêt,ro de' sa commune. Ce prévenu p ré lc n J qutRyant' été 'élové axco i le g n rd e p ih b . pr,u ppuym r .lp .IreAlcr.familUjrçmeut e t m , am i d'cnfqncc. Irjbuppl,condam ne n&ititqoins Bellevinpq u i est |o ini' ,Oi t to ,d ’aç(ïQrd avec le gérdb-cm iippôlre, cri. 15 ^ q u ^ e ^ r i s o i i c l ûHJtfrais. u

— Louis Vincent, âgé de 52 ans, cultiva leu r; dém oulant à Boullarrc, a également iqsuùé lo gard e cham pêtre d.eladitç m a ia .ü iia L l^ i il’avnir_.j^^aussi violent que , 1e , f l f é p é d v j | l Æ ^ 7n ^ ; c o i p i p q t q Vincent en 10 fr. dHiMeliile ï t ‘ra t i x ' i ■1 ' 7 M

— L’ara ig n ée jc s t'ap jie lée^ lio n à su p p la n t.'r , du moins* à rem placer nul besoin lo biirom ètre. Doit-il. faire: de la pluie ou du vent, ce t an im al, plus intelligent qu ’oh lo pense, raccourqit beaucoup' les dern ie rs (Ils auxquels sa toile est suspcullue, e t la 'laisse ddns cet éliil laill q ilé le

M u s é e d e s F w in l l l c v , 2!l, ru e SMtoch, P aris, cl chez tous Icq lib rahçs . P aris, G fr . p a r an ; d ép a 'tcm cn ls , 7 fr. 50 (ffancp)4Sommaire1 du nuMIro i»k février 18G7 : Le Panlltéôndu

dix-nouvlèmo siècle. IV. Auteurs dramatiques, par Bertall (I grav.). — Nouvelles cl voyages. Aventures merveilleuses mais authentiques d u ,capitaine Corcoran, p ar Alf. Assollant (4 grav.). — De Paris à Madrid. Notes d ’un touriste, par V. Fournol (2 grav.). — Misère el Pauvreté, légende fla­m ande. p a r Charles Na.rrey (5 grav.). — Chronique du m ois, M Cousin et M. Ingres, p a r Jules Janin (2 grav ).; — Les Merveilles de l'art chrétien. L ’abbaye de Bcaulleu, p a r E. Reuaudin (I gra.v.)t — Mercure do France; Théâtres. Sciences. De l’accroissem ent de 1:1 population en France. Petite correspondance. Bibliographie.

L’Illustration contient danp son num éro du 2 m ars : Texte : Hevuo politique de la sem aine. — C ourrier de

Pari». — Le PanhcWinion. — Correspondance de Crète : la baie de Sud« : — Le comte de F lnndre.cl la princesse du H ohcnzollern-Sigm jriugcn. — Histoire d ’un douanier,

. noiytWle (suite)i — Le pplais Im périal de Rome. — Le Nivellement du T rocadéro . â Paris. — Gazette du Palais. — Chronique m usicale. — L'Exposition universelle de 1867 : VI. Le P arc é tra n g er (suite). — Convoi funèbre, à Toulon, du com m andant Cornwel, du Mianlonomah: — Le policeiuan. â Lond.es. — Le naufrage do YOlympia, â Cette. — L’éciipse annu la ire de soleil du G m ais 1867.

Gravures : La priucossc Mario de Hohcnzollcrn. — S. A.II. le com te de F landre . — Pcsth : Ovation nocturne faite au comte A ndrassy. — Paris Nivellement des bulles du

' T rocadéro. — Le Panhcllènion, vapeur au service deTin*

iimps e r l variiible.,:Le tem ps, au con tra ire , doit-il 61 rc bcnii^ l’in scde allonge gos Ois. PJ,us ils sont longs, plus longue sera /la durée du beau temp»- 8 i l'araignée restu

,,tuerie , fi’esl.iiigrie d ç jd ù ie ; si, nu co n tra ire , elle strro rtlë t nu travail pendàiit l a n u it, c’est q u e lle s c rA d e pou de d u rée . '

l,é jfpctetir 'C hurchill, au te u r d e . la découverte des, proprié té# èhraUves des Jiypophosphites de chaux , do soude, de fe r, etc ., dans les m aladies do poitrine, vient d e p u b tie r un livré contenant dès observations en faveur. deiiSen/traitem ent p a r un grand nom bre de célébrité# médicales. (P rix ’: i fr. 50, 2 - édition), chez Cocpoz, 30.' ruetde'pBdOle-de^Médefiiird,1 P aris. E nvo i, franco contre •timbre poste.w K uioLà lib ra irie A cuille FAURE, qui n édité l’année idern iè rcavec un Ifès-graud succès, l’Art d'accommoder les rtftftu, .vient do; publier, p ^ lp m êm e au te u r, un livre qui ne p e u t , m anquer, d é i r e . ucquëtlli p a r le public avec les

les ra ar- divprses donner

sont pas

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ne peut m anquer d ôlre pcqueilli p a r le public aveic les mômes' sym pathies. L A C U tS iN E POVR TOUS, A B C pratique à l’uiage des Ménagères', un jqli voltfme cartonné

.d * ;p m ^ d f i L' fi:. ^5. C’est un Maiiuel com plet -dé cuisine . sous. ÎTde forme simple, fartillière e t 'à la

p o n c e 1d e f‘i o i l t ^ iles cuisinières. Pour rccpvoir le volumefa t l# 0, il-sun i!-d \m voycr en limbrcs-poste ln som m e de f lf f if 2|> à laM ibrairieychille F auro, ru e Dàuphine.

P in s d o C r é d it ..[ Njnii ne(î'spurjppsJ trop recom m ander aux personnes d 'dijdrs «'r dléconorliie, de s 'ad resser chez S A v ig n y ;

4 7 , rue .Ncèvc dcs-Pelits-Champs, P aris, qu i lie vend ^qu’au comptant! c l accorde 15 "/. d ’escompte.

lis avec srsouues I r e e s t i -

i) liv reur, pud eu r,

IIS.i l VF.CVDRE

A I.’aMIARLE

D E U X F E R M E SLOUÉES N ETTES D’IMPOT :

I i ’u n c , 3 1 , 0 0 0 f r a n c s , e t l ’a u t r e , 8 , 0 0 0 f r a n c s . *

S'adresser à M’ BENO IST, notaire à Scnlis.

A L O U E R p rése n te m e n t

MAISON A V E C JARDINSituée h Senlisj rue du H eaum e.

S ’adresser à M® B Ènoist, notaire d Sentis.

1e r dans ledit délai devant le syndic cl h se tro u v er au p lus lard .le M ercredi trois A vril 1867, à onze h eu re s ju m alin, en la cham bre du conseil du tribunal de Scnlis, au P ala is de jh sticc , il Scnlis, pour la vérification et l’aflirm a- lion de leurs créances devant M . D e i .v i n c o u h t , ju g e , com m issaire de la faillite.

La clôture du procès-verbal aura lien iirt- m édiatem ent.

P our insertion :Le Greffier du Tribunal,

S igné : Léon B oucm m .

ÂIÎT.-V. ' •G r e f f e « lu T r i b u n a l «le S e u i l s (O is e ) .

CONCORDAT.

A V I SA u x Créanciers adm is au pa ss if de la fa illite

d u sieur Auguste H aykz, m archand épicier et aubergiste, demeurant à Cliaumont, com ­mune de Gouvieux.

Les Créanciers adm is au passif de la faillite du sieu r Ilay c z , sont im ité s i r s e trouver le M ércrédi d ix A v r il 1867, onze heures du m a lin , en la c h a m b re 'd u conseil, s ise au Palais de justice h Seolis, à l’effet d ’en tendre le rapport du syndic et délibérer su r les propo­sitions de concordat qui pourraien t ê tre faites p a r le failli, • sinon passer o u tre au contrat d ’u n io n , le to u t en exécution du code de com m erce.

La réunion sera présidée p ar M. le juge com m issaire de la faillite.

P o u r insertionL e Greffier du Tribunal,

S igne : Léon B o u c h e r .

A r t . 5 .E tude de M. LECAT, agent d ’affaires à

C om piêgne, place S ain t-Jacques, n° 11.

C e s s i o n d e F o n d s d e C o m m c r c e . -Suivant c o n v e n io n s verbalem ent a r r ê t e s

en tre les parties, à Creil, le v in g t-h u it février 4867,

M. Prudence H e n n e c .v r t , coiffeur, e t m a­dam e Appolinc F a s q u e i x e , sa femm e, dem eu­ra n t ensem ble ’a C reil,

O nt vendu et cé(lé,A M. Félix-Alphonse B l a n c î i o i n , p e rru ­

qu ier, dem eurant h M onchy-Humières, ayant stipulé pour son lits garçon coiffeur à C om -

-p ièg n e ,l.c fonds de commerce de coiffeur-parfu­

m eur exploité à Creil, Grande R ue, n° 6 5 , par M. c l m adame H ennecart, com prenant la clientèle e t rachalaodagc,;ensem ble ' le m até­riel d ’exploitation e l le s m archandises garn is­san t ledit fonds.

L’entrée en possession a été fixée au p re ­m ier mai prochain.

C ette cession a été faite m oyennant un prix convenu en tre les parties, stipulé payable après le délai de dix jou rs de la présente in sertion .

Election de dom icile est faite pour les op ­positions en l’élude de M. L ecat, agent d ’af­fa ires h Compiêgne.

P our insertion :S igné : L e c a t .

C A 8Î M A I S O NSituée à Monllévêquc,

c i 9 H e c ta r e s 9 5 A r c s 4 5 C en t.

D E T E R R EE n sept pièces

S ises aux terro irs de Monllévêquc et Scnlis, A V L A D R E

PAR ADJUDICATION V O LO N TA IR E,A Monllévéque, en la Maison d ’école,

Le Dimanche 17 .Mars 18 6 7 ,'à une heu re . Par le ministère d-. M* Benoist, notaire à Scnlis.

S’ad resser aud it M* Benoist, notaire.

E tude de AI' B R Ë T T E , notaire à Acv.

ADJUDICATIONE n M asse ou p a r L o ts ,

Le Dimauche 17 Mars 1867, à m idi.Par le m inistère de M' B r e t t e , notaire à Acy.

A Brégv, en la m aison d ’école,

D’UNE MAISONB A tlm cnts e t J a rd in ,

S itu é s .B ré g y ,Facilités p o u r le paiem ent.

Jouissance j e 11 uo\em bre. prochain. S'adresser audit M ' B r e t t e , notaire.

Annonces Jtiflicj^i|*çg.~ P A r a r r ê ié d o \M .le ^ par S . Exc. le -Àlihistre d e iT n ié rie u r, le j o n r n n l d e N r n l t s a é té d esig n é 'p o u r in ­sérer eii 18 6 7 ,dans l’arrond issem en t de S en lis, toutes an n o n c é s 'ju diciaires c l légales.

La publication légale des ac tes do société e s t obligato ire pour l’an n é e .m il h u it cent so ixan te-sep t, dans chacune des deux feuilles de l’arrond issem en t, désignées p o u r l’in se r­tion d es tffinoncêSjïfdictatfés.■ ■

ÀBT. } - . .E lude de ü i B avoue à Scnlis.

jV E N T ESun 's a i s i e IftiHOMLtÈnK,

£ n l’audience dcë criées du JribU nal civil de première, instance de.gonl.i^. (Oise).

L e M a r H i d é t i x A w U 1 8 0 7 , t .is

Q i i a t i ' f é m c L o t .Une P ièce de lefrQ 'etï i cbahm ê, sise audit

te rr ito ire , c o n té n an f èfii/îréri Ê iéquanlc-irois ares quinze centiareÿf tenan t d ’un côté ta sente du clos Cam us, d ’aiilfc côté Eloi Boulanger, d’un boni Augustin lla tn o h n iez , e t d’au tre bout au clos ci-desSusdésigné.

, C i n q u i è m e e t d ç r n l f c r L o t .La m oitié de cinquante e t un ares sept

ceiitiarcs environ <le te rre , située audit te rro ir d ’A ulheuil, lieu dit les A iles de QUcud’h am , tenant d ’uq x ô lé n o rd A ntoine D ecarrièrc, d ’a u tre côtiLie bois é e Q ueud’ham , d’un bout Nicolas Ç p Ü ^ è jf d 'a ï i i ie bo u t, au fossé des

'A iles de

J M é ë É S i A ' P H Î Z: O utre les cliargés, clauses et conditions de l’e n c h è re , l’adjudication aura lieu su r les m ises h prix su ivantds, savoir :

Pour le prem ier lot, su r celle de cinq cents francs, ci . . . . . . . i . 50 0 fr.

Pottr jtrd e u x iè m trlo t , su r cd le , ireFS(R^ftbïê-éKi francs, ci . . . 70

Pour, le tio isièipç |,lp t. stir celle d é cent cinquante francs,- ci . . 130

P our le quatrièm e lot, su r celle^ . «00

E lm our le 'c inquièm e et dernier f lo t, soif èelïé dé iRmiéceui sôixante ifrairt^vci . . . . . . . . 1^60

' J ô l â î dés'm ises h prix , quinze ce n i‘dix f f a n c f ,c i . . . . . l 'fâ lO fr.

I l i é ç i a r a t i o n . . D éc|aranl.que) tous ceux d o ch e f desquels

iL pqurra it ô ifc pfî3 inscription p èu r,ra iso n d ’hypothèques légales, devront requérir celle .i^fecCij»ir^|îrâ Vaiit Jà^trdh'âcfipflôndu jègem ent d ’édjudiç^lioin.f

. S ’qdressçr pour les renseighériitnts :■. . JÙ )\IvÈRÉM Ÿ , avoué à Sentis, pOursui-v a n tla w n te ç .e A :■ ,w -

2 ‘ l i t a d Greffe d u Tribunal civil dé Senlis,

Fait à Scnlis , le six m ars mil hu it cent sôixitnïcrsepl.-

S igné : FftfKMY.'■ E hrè^ istré h îSdftHs'y lé !h(n l b iare i 1867.

IV cçu-H ofrano ïqu inzo-'eon tim es.sub Vent ion com prise.

S igné : Boyn.P o u r insertion :

S igné : F rémy .

, A r t . 2 .Élude ilo .H '-.lf r c iM y , avoué à Senlis.

V E i V T E S U R L I C I T A T I O I NEn ra n d ie n ce d e s 'c r ié e s du T ribunal civil

de prem ière instance de Scnlis (Oise),L e I O M a r s 1 8 6 7 , h e u r e « le m i d i ,

â P aris, exerçant qune, le. Iio L lui a m échant lit songer ne en 15 GRANDE MAISON

e t D é p e n d a n c e s P O U V A N T S E R V IR A L 'IN D U S T R IE OU A L 'A G R IC U L T U R E

Sise à A V IL L V, près Chantilly ( Oise), Consistant en : hab ita tion , cham bres et

gren ie r; vastes écuries e t rem ises; cour au m ilieu; Jard in en face;

A -V E N D K E o u A L O U E »A L’AMIABLE.

Jouissance de suite .'S'adresser : à 51. Aiph. S a v i g n a c , cultiva­

teur à Vineuil, près Chantilly,E l à Senlis, à M® G odin, avoué, rue Neuve-

de-P aris, n° 22 .

A V E N D R E A L ’A M I A B L EUNE GRANDE e t BELLE

G rjgbou, FPesutoÿ»

ie B arré,, 'en avoir a iiraênïe oh en 15

D’UNE. M,i dem eu- taré ,d 'un labli que (te jtousr. pris pour iis dépens

Même élude.E 'F j D E U X l P l E O E S D E T E R R ELe totÀjsitué ^ .i^ T ^ u tL ^ E N TV ^ i;d is^ a n (ô n

de uetz , a r r ^ d |é k m { n t de Sénlis (Oise);( . Ë n c b u i L o .tfl

qu i ppurront.étre réunis narlielleinént J f ou.enJQtab'te.

( î i î i ; ii -saroh«-h Wons q i^ ii là^pqrji^dOra,. qu’en Nrbrlu d’un procès-verbal de saisie dn m in isn Ç 3-Ijèlfcqgeij-,'; buifeSiei \ ! Betz,1 du cinq jthvljé/ V,hurcaq, des hypollieqires^dé.f SënJisi le. douze du mqtno m ois:dejanvierf,vo lum e 40 ,(0° 57;,

E t apx :r,fcqnêjèy poursuite c l1 diligences de madaqiô OptâVjé'^G^IsjiiiH,' é jl^ tjs^ jftd jèlairê- m ent iép jitée dçfiorps cl main Angot,. cultivateur, ilem enrant ciriieyant h Autnhuih-en1 Vdl.ois,cfaCluelleincnl sons dorf micilojti résiilchcc cohnué eit FK ince^ ladite dam eSdem curanl à E trépilly,' près Ch’ûtcâii- Tliicrhi (Aishfcj;

Ayant M 'F ré m y po u r.aso u é;Il sera procédé it la vente au plus offrant et

dernier enchérisseur des biens c i-après dési­gnés, saisis su r M. Romain Apgot. cultivateur, ayant dem euré à A uiheuil-en-V alois, e t ac­tuellem ent sans dom icile ni résidence connus e n F ran c e ; ; .

NSiyânl p as d’avoué constitué'.

. D É S IG -IT A T IO IT ,i W i i i l e p t o i .

Une MAISON sise h A uiheuil-en-V alois , canton d ç j ie lz , arrondissem ent de Senlis, en la rue conduisant h l’E g lise , constru ite en pierres et m oellons, couverte en ardoises, cheminée au m idi, porte vitrée pour en tre r dans ladite m aison, avec im poste au -dessus, croisée it côté ferm ant avec contrevents; d e r­rière ladite m aison, deux croisées dont une avfcc barreaux en fer. Cour devant lad ite m aison, en tourée de m urs e t d ’une barrière .seryqnl d’e n tré e . . .

Du côté gaucho du ladite cour, bâiim énts construits e h pierres et m oellons, couverts en ardoises, servant d’écurie, bergerie , grange, .deux luparnes avoc grenier au-dessus.

A la su ite c l su r la ru e , toit h porcs cl pou- lailjcf’ constru its en .pierres c i m oellons, cou­verts: en. ardoises, ferm ant avec tro is portes pleines;

Le loul tenant d 'un côté la terre ci-ap rès, d ’é h ttc ' çj^té lé Verger, c i-ap rès désigné, d ’un bout le clos aussi ci-ap rès, c l d ’au tre b o û lla ru e , et d’une contenance de trois ares environ.

D e u x i è m e I .o t .Ujn V crger. au nord do la m aison ci-dèssus,

entouré; p artie , de haies vives et pprtie de m urs, sis aiidil A uiheuil. tenant d ’un cô té lès bâtim ents ci-dessus désignés, d ’autre cô'.é et d’un bout Ruelle e t le sa is i, e t d.’au ire bout la' ru e ; d une contenance d ’environ six arcs quarante centiares.

T i ’o iw fè m c L o t ..U n Clos , delrriô're la m aison çi-dessus,

planté d ’arb res fruitiers, sis audit A uïbeüil, entouré pn partie’ de jliaics .vives .cl i|c (qTurs, tenant d’un cô té Eloi Boulanger, d ^ ù l re côté

6 P locq. d ’un bout la maison ci-dessus désignéo, et d ’auB e bout la votive R atier; le lo ù f d’une contenance de quinze arcs cinquante centiares environ.

M AISO NA v e c G r a n g e , H a n g a r e i J a r d i n ,

A C uvergnou, lu e dç Thury,A l'E Î V R R E |»ai* A d ju d ir a t io u ,

E n la maison d ’école d e Cuvcrguon,Par le ministère de M* B r e t t e , notaire à A à j,

l .c D im anche51 Mars 1867. h m idi.- Jouissance le I I novem bre 4867.

S'adresser audit M ' B r e t t e , notaire.

EtudedcM'BICHARD,nolair_ȉPont*S-Maxence

n n en ran t. différents n e et un r.icnce de al décide eu raison lan s ufio i l ’aroom- é déclaré

S ituée h SENLIS, au centre de la ville, rue N euve-de-Paris et rue des Cordcliers, ayant en trée su r chacune de ces rues p ar une grille, — Calorifère.Celle Maison c i-d e v a n t occupée par le

pensionnat de mesdames D clozièrcs, com ­prend : un beau jard in bien p lan té, terrasse avec charm ille, communs cl dépendances.

P a r sa position exceptionnelle, celte propriété peut parfaitement convenir à un établissement industriel.

E ntrée en jouissance de su ite . S ’adresser à .M®5 M onta cl B e n o i s t , notaires

à Senlis.

Etude de M® AUBRY, notaire à La F erlé - Milon.

A V E A D R E p a r A d ju d ic a t io nE n X é lu d e et par le ministère de M® A u o i i y ,

Le Dimanche 24 Mars 4867,U N E

inèuvrier, uti char* iom m unc,, i diverses l’audience de prison

Sise h P ou t-Sain te-M axcnce,ri'e Neuve, n" 82, D e u x P i è c e s d e P r é

Aux Agcilx,m archand u d ’avoir s abstenu 3. Le tr i - , de et aux

L’un de 4 hcct. 9 3 ares 41 c . , au terro ir deBrasseuse, l’au tre de 2 iiccll 21) ares 9 3 c ., aux terro irs de V illeneuve, Roberval cl V crberic,

A V E N D E SP a r ad jud ica tion vo lontaire,

E n t tr o n o n e n B e ia l l ,Par le ministère de M'. R ic h a r d , notaire à Pont.

Le Dimanche 2 4 Mars i8 6 7 .P o u r les deux m archés de te rre , â V illeneuyc-

su r-V erberic , en la maison d ’écoie, à midi. E l pour la m aison e t les 2 p:èces de pré , à

P on t, en l’élude dudil M® R i c h a r d , a cinq h e u re s du ro ir.S ’adresser audit M' R ic h a r d , notaire.

Étude de M L* . I l a h i ’e - D c n d l o n , notaire à (iliambly.

ira maçon ganlesque nier don, dans son

é l a dam e inds to rls le le m al-: Janine en dépens.

BELLE MAISON BOURGEOISESituée à La F erlé-M ilon , rue Sain l-L azarc ;

A v e c «le v a s t e s D é p e n d a n c e s , g r a n d J a r d i n e n p l e i n r a p p o r t .

Trcs-bellc position; — Vue magnifique. Facilités pour le paiem ent.

S ’adresser audit M® A ubry , notaire.1 UNE MAISONE t s e s D é p e n d a n c e s

AVEC JARDIN S MARAICHERSSis à Se n l is , rue de la F onta ine des A rènes;

2“ UN JARDINPlanté: d ’aèbres fruitiers,

Sis â REmy, arrondissem ent dè Compiêgne;E N D E U X 1.0X3.

S ’adresser p odr avoir des renseignements : i° A M'* F llE M Y , avoué, poursuivant la

vente; ■ : , •2° A MJ CHALM1N, avoué , présent à la

vente;5° A u greffe d u Tribunal civil de Senlis,

blé lé èahièr uèS Chàfgbs est déposé; ’4° E t à M® BENOIST. notaire A Senlis.

A nT. 3 . .G è t - f f ç d i t T r l b n u t J d e S e n R I s ' (O is e ) .

c l i i t u r e d e v E r i f i c a t i Or s .

A V ISA u x Créanciers présumés des sieursW a ro q u e t ,

père e t Tds, néÿoc«an<s en soiei demeurant à N euü ly-en - Thçlle,,faillis.

Les créanciers présum és des s” W aroquet, son t prévenus qu’un dern ie r délai do vingt jo g rs letir p si accordé h1 l'effet do produire b M® CuALkiifi, avoué a veulis, syndic d e la fa il-

' lile , leurs titres do créance con tre les sieurs W a roquet, avec un bordereau ind icatif su r tim bre.

En conséquence, ils sont invités h së p ré sc n -

A L O U E RUNE BEAU MOULIN

Située au M csnil-Saint-M arlin, com m une de Chanibly,

e t 9 H e c ta r e s 3 1 A r c s 3 9 C en t.d ë TERRE e t ROIS

E n S pièces,Situées te rro ir du M esnil-Saint-M artin ,'

A V E N D R E P a r ad judica tion volontaire,

En l'é lude cl par le m inistère de- M* M a i t r f - IVe v .v l l o n , notaire à Chambly (Oise),

Le Dimanche 47 Mars 4867, h une heure. S'adresser audit M* M aitre-D evailox, notaire

Etude de M' 11° D i t ç u e t , no taire à C rci1, successeur de M 'Btviènz.

l 'A n a d j u d i c a t i o n v o l o .n t a i i i k ,E n la dem eure de M. S aint- J u s t , fils, à

Nogent-les-Viei-ges.Par le ministère de M* D u g u e t , notaire à Creil,

i .c Dimanche 47 M ars 4867, â deux heures.

l au jeuneSise h Senlis, ru e Sain t-P ierre , n® 8 ,

Avec J A R D I N ayant une sortie su r la promenade.

S ’adresser à M. F o u c a k t , rue du Faubourg S ain l-M arlin , n® 65 , à Scnlis.

C a b in e t d ’AfTalres « o m tu e r c in le gL. MÉLAND, place du T h éâ tre , 47 , à Scnlis

A g e n c e g é n é r a lepour l’arrondissement d e là Clt V U N IO N

assurances con tre l’Incendie e t ,s u r la Vie.

A V E N D R E

conduireirer . Annonces Diverses,

A SO U S-LO U E R A L ’AM IA BLE Pour e n tre r en jouissance de sui le,

UN MOULIN A EAUF a i s a n t d e b lé fa r in e ,

Dit le M o u lin -N e u f s itué b Scnlis, D l c n m o n t é d e 3 p a i r e s «le m e u l e s

E t ayant cotpm c addition de force m otrice ûne ihacbiûc h vapeur.

S ’A D R E S S E R : **'A M adam e veuve L e f è v rb , g u i habite le

m oulin;A Mr Collas-N êhy, ancien huissier à Scnlis; E l à M* Benoist, notaire à Senlis.

A V E N D R E A L 4 M I A R L EG n s c m l i l c 01* ^ p a r e m e n t ,

fé qne.ac- :qis Votre raaine va .servileuj

:i, comme is.f.p; a lle r que vous

lans mon

me frappé : m onsieur 1 Ormeltes

P r o p r ié t é s r u r a le s .M. MÉLAND offre, pour chaque canton de

l’arrondissem ent de Senlis, un em ploi à une persontic active c l intelligente. Forte remise.cham bre; vm AÏÂXSONA L O U E R

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DE TERRE ET BOISLe tout situé dans le canton de Crcpy.

S ’adressera M® Benoist, notaire à Senlis.

A S E N L I S rue Ilcflon, h* 52 . S 'ad resser rue Bellon, 52;Ou à M® Be n o i s t , notaire b Scnlis

>V./oee«eatl«iMMi p t o . Vainement il «olllclU une entrevue', •n loi ré fu ta I au torisation de voir le prisonnier.

Lam bert conféra longtemps avec son avocat d ’ofQce ; il lui raçeAU d vie e t la sain te cause qui l’avait condnit an crime.

E lle tressa illit & sa vue. * ' 'Vu "L fScé^tfaIle'r ' 1 n 1 d u »Ar ’

Blé» î î ? h î î l î l l r a . ,o rm ,“ l d t »»“ -P » n ic ip » llo n .1 (» r.iK I» t u t a n k i l J b o m " R S « l « ! ™ l e créaM uï!'

g ^ é r , . s’em para d c m^ r c ; r „ e I d0n ' ^ f.fe geôlier en tra .Le père e t le fils se tin ren t'loM tém ps embrassés;

NANTEUIL-LK-IIAUDOUIN. 1 " m ars . — 1 m arché. Offres restre in tes su r écliantillons. Alla tccs e t à peu près nu lles dan» les p r is d’il y • hi

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Pain hlanc (taxe des boulangers) le kil. 44 moyen 38 c .

E laile d e S l 'J . SO UVA LI-K , h uissier i SenUs.

V E N T E - A U * E S C M É B K S ,1*nr autorité. de ju stice el sans rem ise,

C H E T U X m u s ,\ A to u e le u il (Ol»r),

l ,e Dimaqclié 40 Mars 1867. onze heu res du m alin, cl jours suivants s il y a lieu.

P a rle m in istèrede M* Ju 1 c» N o l b v a l l t , f t u w t c r

T DÉSIGNATION.3 étalons, co n n u sso u s les nom s de F o rt-à -

Br»s. Charlatan, Colonol Pcel, o ju m en ts de course. -1 chevaux de. c o u r s e . 12 jum ents poulin ières,.2ü poulains el uoulichcs, 10 che­vaux el jum enls de selle e t de cabriolet.

Un char-h-bancs* selles, b rides , bridons, couvertures e t cam ails. '

4 5 0 breb is. 3 50 agneaux, 6 béliers.A nges, bières el râ te liers de bergeries.6 m eules de se ig le , 4 m eules d ’avoine,

2 meules de blé; 2 m enlesdefagots et bourrées. E l autres objets.

A n C o m p t a n t .

S'adresser pour reaseignemen's. à M* N o le v a l lb

Môme étude .,

VMYà Q lM ÿ ik S iS/ Après décès.

A M orlcfbnlaâue,En la demeure de M. M agnan, père.

Le. Dimanche 17 Mars 1867, h midi précis. P ar le ministère d u d it M* N o l e v a i . l e .

C onsistant e n : ustensiles de cuisine et de ràénage, m eubles, lite rie , rideaux , linge, ha­b its, pendules, tab leaux; poêles. — 2 0 ruches d’abeilles. — Paille , fum ier, bois h brûler, outils, ferraille, tonneaux, e l au tres objets.

Môme é tu de.

VEN TE M OBILIÈREP ar suite de cessation de commerce.

A M o n t m é l i a n , co m m u n e d e IMailly,E n la demeure de M. Cœffé, aubergiste.

Le Dimanche 24 Mars 1867, a m idi.Par le ministère dudit > l'J . N o le v a l le . huissier.

Consistant en : ustensiles de cuisine c l de m énage, batterie de cu isine,chaises, tabourets, bancs, tréteaux , tab les , m eubles, com ptoir, m esures, bouteilles, fourneau , cuisinière; lite­r i e .— Kitclier.-và m oulons, paille, fourrage, fum ier, bois, ferraille. Poules, can ard s .

E t autres objets.

41 1 1 c d e E icn l l s .

V E N T E p a r A d ju d ic a t io nDE

BOIS DE GDAUFFItGË ET D’INDUSTRIECOPEAUX ET BOURRÉES

Le tout essence d ’orme e l q u e lq u e s L o is d e B o is b la n c .

t e Dimanche 10 Mars 1867, h une heure d é felcvée. il sera procédé à la vente par adjudi­cation, au pins offrant cl d ern ie r enchérisseur, de buis de chauffage et d ’industrie , de copeaux e t bourrées, appartenant h la ville de Senlis, provenant notam m ent de l’abattage des orm es de la prom enade de la C ontrescarpe , cl d é p o ­sés sur ladite prom enade où l’adjudication aura lieu.

C o m i to u n e d e L é v l j n m .

6 0 1 T 3 T R U O T I 0 1 T '

D OSE MAISOH D'ÉCOLE ET MAIRIEM o n t a n t d u d e v i s » B 1 . 5 1 6 f r . 9 1 o .

Le 17 Mars prochain , une henre précise de l’après-m idi, il sera procédé p ar M. le Maire de Lévignen, canton de Belz. au rabais, par soum issions cachetées, à l'adjudication des travaux de construction d’u ne Maison d 'école avec Mairie dans ladite com m une, su r la m ise h prix de 14 ,576 fr. 91 c .

Les devis et cahier des charges sont déposes au secrétariat de la m airie , où l’on pe ut en prendre connaissance.

Bureau de Bienfaisance de N an teu il-le -U audouin (O ise). \

ADJUDICATION DES TRAVAUXA e x é c u t e r p o u r I » c o n * t r n c t I o n

d ’w n c S a l l e d ’ma l l c .

Le Dimanche 47 Mars prochain J i u n e heure précise, il sera procédé, en l ’une des salles du bureau de bienfaisance de N anlcuil, h l’adju­d ication au rabais ë l p ar voie de soum issions cach e tées , des travaux h exécuter pour la construction d ’une, salle «l'asile au bureau de bienfaisance, s’élévanl h 7 .049 fr. 2 4 c.

Ces travaux seront adjugés en 7 lots. S ’adresser au secrétariat de la m airie.

FÉCONDATEUR AGRICOLE.P roduit précieux et indispensable aux agricu lteurs, horticu lteurs, jard in iers, pépin iéristes,

etc se vend chez MM. les ép ic iers, g ra inetiers, etc . (Lisez le jo u rn al du 49 février dern ie r.) Seui fabricant, L . M o n n e t . 4 9 , ru e N otre -D am e-des- Victoires, à Part9.

v On désire avoir un concessionnaire dans chaque arrondissem ent.

$

n otaire à C h an tillyM « I Æ M 0 1 A E

Dctn c su ite CLERC.UN DE

C o m m u n e d e B a l a y n y - a u r - T h é r a l n .

ADJUDICATION DE TRAVAUXA .e m é e n t e r p o u r l a e o n s t r n e t î o n

d 'u n e M a i s o n d V e o I c d e t t l l e o ,Le bim auchc 2 4 Mars 1867, à une heure,

E nla M aisoncom m uncdeBalagny-sut-Théram . Lesquels travaux s’élèvent en totalité à la

som m e de 4 ,7 5 5 fr. 43 c.

O n d em an d eUN APPRENTI

P O U R E T l l P R I l l E R I ES’a d re sse r au bureau du Journa l.

I l a u r a d e s A p p o i n t e m e n t s .

L E M O N D ECOMPAGNIE ANONYME

B M S S U J t t A N i C B I S s u r L A V I E1 2 . ru e i l é i ia r s , à P a r is . -

La Compagnie LE MONDE distribue gratuite­ment dans ses bureaux et envoie franco par laposte ses notices el scs Jivrcls, que feront bien de consulter les personnes qui ont îi de leur propre bien-être ou de l’avenir de leur

se préoccuper r - — ........- ........ venir de leurfamille. Ces inUlressantes publications contiennent l’exposé siiccint, mais complet, des avantages et des garanties attachés aux coptraLs de prévoyance.

Les tarifs de la Compagnie, approuvés par décret impérial, sont des plus favorubles.

exemple : Le taux des rentes viagères donne : à GO ans, 10.09 0/0; — h 05 ans, 12.85 O'O; — à 07 ans, 15,03 0/0; — à 75 ans, 18,11 0/0, etc.

Quant aux primes à verser pour constituer des dots, pour assurer des capitaux payables seule­ment à la mort de l'assure, ellis sont aussi peu élevées que possible; el d’ailleurs, ces assurances jouissent d ’un droit d e particijwtion de 50 0,0 dans les béuélices do.la Cornjagnie:. — Les bu­reaux sont établis rue ,Vénars, 12, à Paris.

S'adresser à M. V a s s e l l e , agent général Senlis, rup. Bel Ion, 3.

N É V R A L G I E SG U É R I S O N P A R L t S , P I L U L E S ;

A N T I - N E V R A L G I Q U E S - D U 0 « C R O N I E R C H E Z T O U S LES - P H A R M A C I E N S -

E tu d ed eA H IE M E T ,huissicr-priseuràChantilly

A V E N D R E AUX EN C H ÈR ESP our cause de dissolution de société,

TT1T3 T T r a S O T 1 S B O O T T R S BNOMMÉE

F A N T A ISIEA lczm c. 5 ans, p a rS e r io u x e t F randulent,

Ls M ard i 19 M ars 1867, à m :di.A C han tilly ,

S ur la Pelouse, p rès des Itéscrvoirs.Par le m inistère dudit M* I I é m e t .

V u ( ‘a n p l a n l . — F r a i s o r d in a ir e . . .S'adresser ]iour renseiegnements, audit M* I I é m e t .

MÊME ÉTUDE.

Aux enchères el pour cause de d ép art,A C han tilly , gran d e r u e ,

Près de l’hôtel du G rand Cerf, dans une maison apparlen ' au Domaine, où il a été transféré,

DU

RICHE MOBILIERDe M. le C** d e K*’\

E n d e u x chêne, palissandre, ébène el acajou sculptés.

B r o n z e s , O b je ts d ’a r t , A r m e s a n c ie n n e s e t V o itu r e s d e lu x e ,

Les Dimanche 31 Mars, Lundi 1er e t Mardi 2 Avril 4867 , b m idi.

Par le m inistère dudit M* D é m e t .

Désignation som m aire :Batterie el ustensiles de cuisine, services de

table, meubles de toutes sortes, bibliothèque, riche piano d ro it, 8 pendules anciennes el mo­dernes, g rands tapis, ten tures, g iavures, litho graphies el photographies; belle collection de g ravures anglaises coloriées, collection d 'arm es anciennes; excellente literie, très beau billard écossais, 1,200 volumes cl b rochures, bateau am éricain , outils et établi de m enuisier, in s­trum ents e l objets de photographie, 1,500 bou­teilles vides, un panier de vin de cham pagne, pompe de ja rd in , ustensiles d ’écurie, e l une iuQuité d 'au tres objets.

Voilures : phaclon, voilure anglaise, pauicr.A n C o m p t a n t . F r a i s o r d in a ir e s .

i n m n v f l i i r i A U môme su r une seule enchère, en la cham bre des notaires de P aris, le  D J U lU L illU H m ard i 0 avril 1807, ù midi,D R DEU X O i f R A V C ü ü P A M D A r N P l ' , è s ( l e n f a c c l a *>a , e de Chantilly (Oise),

b e l l e s MAISONS DE C A B rA tiH b chemin de fer du Nord. - - Mises à prix :<9i)i)nn fr r i 70 000 fr Entrée en jouissance im m édiate. — 8 adresser, s u r les lieux, à« “• C outurier, J 5 M' A l f r e d D e l a p a l m b , notaire à P aris, rue Casliglione, 10.

E lude de M* LAMBERT, hu issier-priseur à Pont-Sain te-M axcnce.

V lü ü T E A U X E N C H È R E SP a r suite de faillite,

A P o n t - S a l n t e - M a x e n c e ,E n la demeure de M. P lanque, féculier,

Les Dimanche 17 e l Lundi 18 M ars 1807, h m idi, e l jo u rs su ivants s’il y a lien.

' Par le ministère dudit M* Lambert, huissier.C elle vente consistera principalem ent en :

b atterie de c u is in e . cu isin ière , vaisselle , m eubles, p resse h copier, pendule, flambeaux, portes battantes, bouteilles e l tonneaux vides, hois de tontes so rtes; w agons, ra ils , tuyaux en fonte, ferraille, bascule, p o id s , scies e t au tres outillages de scierie, pétrole, huile h brûler, v erres à vitres. F o rge avec outils e t accessoi­re - -V o ilu re , roues e t essieu,' harnais." Ê l u n e grande quan tité d ’au tre s objets.

Mm C M r l u l .S'adresser pour les renseignements :

A Pont, à M* Lam bert, huissier;E t à Senlis,AN* Com x,avoué,syndic de la faillite

EXO NÉRATIO N D E SER V ICE M ILITAIRE

L J L X f T L T I E M U ES o c ié té c o n s t i tu é e c o n fo r m é m e n t a u x lo is (les 21 i iw rs .1 8 J2 ç t 2 6 a v r i l 1866.

C A P I T A L P F . G A R A N T I E : 1 0 0 , 0 0 0 F R .

D IR E C T E U R -G É R A N T : M - D B S P E A U X - B R E 3 S O M (M E A liX )

E O I f l T É D E S * : f * » E I L L i » . ï # ' l î i

M M. F o u r n i e r , m em bre du Conseil général. MM. C o h u , syndic des huissiers à Meaux; m aire de Meaux;

A l e x i s , ancien uo jairc ù Dammarfin;G r o i r r o y , avoué, adjoint au inaire de

M eaux;

P H O S P H O - G U A N OGALLET, LEFEBVRE e t C , A P a r i s e t au . l l a v r o .

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A 189 f r . 5 0 les 100 kilos p o u r toutes quantités, en gare dans le port de m er d ’expéditioncontre paiement au comptant.

DÉPOTÇ DANS TOUS LES DÉPARTEMENTS. P our le départem ent de l'O ise MM. P anant /J ' i-Jus

T r o u b lé , receveur des hospices à Meaux;

i 'h î b o i i s t , ancien négociant à Meaux; l ’ i la v o t ix c , ancien notaire à Meaux.

La .U t i l S i e n n e , s i ik le pitr-m age el l ’appui des personnages les plus influents du d é p a r­tem ent, est la seule Compagnie garantissan t aux pères de f.nunlc I exonération de leurs Ins. (Elle exonère du service m ilitaire de la naissance à 21 ans.) *•

En dehors de sou capital de garan tie , afin «le donner tou t avantage aux souscrip teurs, elle dépose en tre les m ains «l’une personne notoirem ent solvable, choisie p a r le souscrip teur lui- môme, les sommes nécessaires pour parfa ire le prix de l’exonération.

En cas de décès ou d ’exem ption légale, les sommcs-vcrsecs sont ren d u rs . (Art. 17 et jl8 des statu ts.) . . .

Dans le cas où le G ouvernem ent changerait son m oded exonérai ion qui existe en ce moment, 'a Compagnie s’engage à ses risques et périls ù fou rn ir un rem plaçan t à . l assuré, suivant l'article 20 des s tatu ts.

E X P O S I T I O N U N I V E R S E L L E D E L O N D R E S

C A F É D E S G O U R M E T SA R O M E S U P É R IE U R C O N C E N T R É . É C O N O M IE a FO R C E I

— PR E M IE R E MARQUE — 'La se u le m éd a ille d 'h o n n e u r a é té d é c e rn é e p a r le j u r y d e

l'E x p o s itio n U n iv erse lle d e l .o n d re s 1802 à M” N lÉ flU L lE N f r è r e s , f o u rn is s e u rs d u Buffet f ra n ç a is a n P a la is d e l’Ëxpo- s il io n , p o u r l’ex ce llen ce d e I c u r C u f é d e * G e n r m e tM .

Ce d é lic ie u x p ro d u i t n 'e s t p a s u n c a fé in d ig èn e ': c ’es t u n cho ix s u p é r ie u r d e s m te lle u rs Garés d es île s ; il e s t g a ra n t i co m p o sé d e s s o r te s les p lu s d é lic a te s , e t e x e m p t d e t o u t m é la i iK C d e r h i e o r é e . La c o n so m m a tio n d u C a f é d e s G o i i r i n e t e , qui, EN 1864, AVAIT ÉTÉ DE 1,810 ,430 k i l o s , s ’e s t é levée e n 1805 a u ch iffre d e :

l n m i l l i o n n e u f e r u l v in g t m i l l e a l i r e n l k i lo s ,ce q u i r e p ré s e n te ô 8 0 ta s se s p a r 1 /2 k ilo ,

T r o la c e n t w p l m i l l i o n s ( r o t s c e n t c i n q m i l le s i s c e n t s « n s sc a .U ne vente aussi im portan te n e peu t s 'exp liquer que p a r la bonne q u tl i té d e te C a fé

î e t p a r ta supériorité b ien réelle,| Le pubtic do it rigourcu»em enl refuser lo u t p ro d u it qu i uc po rlcra it pas la !

j ri M e" in M te * B e n lU , d a n s U n ir # l e s p r in c ip a le s m a i s o n s d ’F p l e e r l e s .

“ w g w i i » m -

POMMADE DES CHATELAINESOD L'HYGIÈNE DE MOYEN-AGE.

C ette Pom m ade eut com posée d e p lan tes hygién iques, » base Ipnique. — D écouvert p u r CI1ALMIN, d a n s un m anuscrit, ce rem ède in ra illib le é ta it em ployé p a r nos belle» châte laine» du m oy ts -dge p o u r co n se rv e r, jiu q u 'àl’Age le p is» a v a n c é , leu r» cheveux d 'u n e beau té rem arquab le Ce p rodu it a c tiv e avec v igueu r la - ru e descheveux , le u r donne du b r i l la n t , d e l à souplesse , e t te» em pêche d e b lanch ir , e n s’en s e rv a n t jo u rn e l lem en t. — Com posée p a r CilALM IN, ch im iste-parfum eur, à Rouen , ru e d e l'H àpita l, 31 e t 4o.

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Voyen sûr d’administrer h « fixes lé ltic r, dont l’usage est spé-

recommandé contre les

té que ce purgatif, le plus agréable de tous, est aussi efficace «jue, l’eau de 8edlils.

migraines,"les névralgies, les palpi- ’ talions, les crampes d’eslotnac e t tou­tes les douleurs qui proviennent d'une surexcitation ner­veuse.

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F ôrm erie, Cam pion; lU éru , Wliliam»; A a n i - usl-en-L haussée ,f 'r e i l . P o u la in ; 'Fôrm erie, C olnay.

I B L E DDSIIVM -A T A n ra

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1 PRÈS LHOTEL-DE-VILLE 1 ^

vsnm HTMACLIQÜE I m R V j E j j q j T E H K P X i B, R MonOImnrt I » . . . ^ RfooK .

Le rapport du Jury central de EExpo- ltlon qui accordait en 1855 une récom­pense au C h o c o la t I b l k d , s’exprimait Insi :

c U R a b M l f e M M t d a M l N■ u l l i M n M ------■«»■— — » n n rK U I C W N U M M A I M # ■ ■ ■ ™t r k M P b M d à b e u m a D e b é . »

Ce peu dé la place dei , les produits de cette Maison ont pi dans la consommation du Chocolat

Par le choix et U pureté des matières premières qui entre dans sa fabrication,

U O em tsàU M kÊ M é te vend ck n les principaux Confisemst Pharmacten» et Bpiciert.

le C h o c o la t I b lk d , aujourd’hui si re­cherché , répond aux qualités qui seules

Biuvent faire du Chocolat une aUmenta- on saine et favorable..Par le bon marché que cette. Malson

atteint, en répartissent ses frais géné­raux sur une production considérable, elle élargit le cercle des consommateurs d’une denrée éminemment bienfaisante.

Supériorité danBles produits, modéra­tion d»n» les prix , la M a ison Ib lk d ne

ce double principe qu’elleï K Ï !

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DES C H A TEA U X , ÏIE S V IL L A S , d e s P E T IT E S e t G RA N D ES P R O P R IÉ T É S R U R A L E S D IR E C T E U R EDOUARD LE FORT

Horticulture — Arboriculture — Basse Cour — Connaissances utiles à la Campagne — Economie rurale cl domestique — Modèles d'Habitations rurales —- A p i c u l t u r e *,

Plans do Jardins — Inventious nouvelles Ce Journal parait tous les qu inze jo u rs , p i r livraison «le 16 pages, g rand jèsu s , vélin satiné,

b 2 colonnes. 10 gravures su r bois par num éro, 42 aquarelles p ar an de fleurs ou d e fruits nouveaux.P r ia d e l a S o u M r tp t le n t P a r i s , u n a n , IO fr . D é p a r te m e n ts , u n a u , I I f r .

r b o u b c h i t

En envoyant u m andat a u r la Poste ou »ur , P ro p rié ta ire -G éran t, 8

e Maison d e Pari» , à l’o rd re de M. EDOUARD LE FORT, e B eauregard -d f-M arty r» , à Pari». _

M archés du D ép artem en t.BEAUVAIS, 2 m a r» .— N otre m arché, son» le rap p o rt

nai» le» transaction» le» grain*.

d e t'ail'approvisionnem ent, é ta it bon, so n t dirficite» e t restre in te* *ur toc

En résum e, le» b lés o n t h a u u é d e 90 c 98 c , le seigle de 25 c . , l ’orge d e 50 c. 31 c . , le to u t p a r hecto litre .

From en t l’hcct. 23 50 .— Muison 19 05.-

e t l’a<

Seigle 16 50. — O rge 13 ^8 . — Avoine 11 3< officieuse) le k il. I ” qua lité 41 c.Pain .(taxe

Taxe de» boulanger* i c . en p lu s p a r k il.

CLKRMOMT, 2 m ar*. — N otre m arché d e ce jo u r é ta it m édiocrem ent g a rn i; p a r su ite les détenteur* Ant élevé leur» p réten tions, m ais i l fau ^ dirfc que les acheteurs so n t ires-réservés dan» les p rix c i-ap rès , p rincipalem ent *u r le» blé».

Blé l'h ee t. !•• qua lité 25 56, 2* qua lité 24 17, 3 ‘ qua i.. . » . Méteil 21 3 9 .— Seigle 12 7 8 . -Avoine 10 66.

COMPIÉGNE, 2 m ar*. — M arché su r place faible ; affaires actives ; les blé* o n t haussé d e 75 c . e t le m éteil d e 60 c . p a r hcct.

A utres g ra in s peu demandé*, sans changem ent dans

Pain (taxe officieuse) le k il. 1 " qualité 40 c lilé 34 c.

Taxe des boulangers 3 c . en p lu s m » U l-

• Le m archéPONT-SAINTE-MAXENCF,, i " m ars 'é ta it encore qu ’ord inairem en t app rovisionné; ta vente é té len te e t il e st resté Iwauroup de gra in s invendus ans les p rix du m arché p récédent.

Blé l'h ee t. ! " qualité 25 30, 2* qualité 23 30, 3* quai, s» i l . o u u a i. , - 2 »»• — M=lcil 80> 60. — O rge 14 65.Once 13 3 3 Avoine 1 " qualité 11 20, 2* qualité 10 . . .

^ Pain b lanc le k il. 44 c . ; d " h i , ,39 c.

5 m ars . — M arché bien app rov is ionne; aires calm es. Le from ent s’e s t vendu en hausse d e 1 fr. r 'q u in ta l e t de 70 c . p a r h e c to litre ; se igle e t avoine

l’heet. I " qualité 24 . . . 2* qua lité 23 3* qualité 22 » . — Méteil 20 90. — Seigle ! 4 . . . — O rge t ! 60. — Avoine 9 15.

Pain le k il. i " qua lité 42 c . , 2* qua lité 37 c.

CRÉPY, 2 m ars . — Marché o rd in a i ie ; achat» lent»; hausse de 50 c . à ! f r . s u r les blé», d e 1 f r . su r le m éteil e t l’orge.

Autres g roins ta n s varia tionBlé le» 100 i i l . I r‘ qua lité 32 50, 2* qualité 31 50,

3* qualité 30 » . — Méteil 27 » . — 8eigle 20 . . . — O rge 22 . . . — Avoine I " qua lité 21 50, 2* qu a t. 20 50.

C ourt officiels :From ent les 100 k il. I " q u a lité 34 » , 2*qua lité 33 » ,

3* qualité 32 . . ; d ito ITifcct. 1 " qualité 24 13, 2* qualité 22 75, 3* qualité 21 45. — Seigle les 100 k il. 20 » . - Avoine les 100 k il. 1 " q u a lit» 2 l 50, 2* qua lité 20 50;d* l’heet. 1 " qualité 8 80, 2* qualité 8 . . . — Pom *•te rre 8 . . . — Paille, les 100 bo ttes, 32 » . — Foin — Luxerne 42 . . .

Pain le kil. 1 " qualité 41 c .; 2* qualité 35 c .Taux de la viande : Bœuf T f r . 60 le k il., v « c h e l f r . 40,

veau 1 f r . 60, m outon I f r . 60, porc l ’f r . 60 . f

S E N L IS , T Y P O G R A P H IE E T L IT H O G R A P H IE D E M " V R E G N IE R .