Journal de bussy numéro 130

BussBussLE PRINTEMPS DES POÈTES

POINTE SON NEZ PAGE 5LE PRINTEMPS DES POÈTES

POINTE SON NEZ PAGE 5 A LA DÉCOUVERTE DU MUSÉE DE L’AIRPAGE 6

A LA DÉCOUVERTE DU MUSÉE DE L’AIRPAGE 6

DE NOUVELLES SALLES ASSOCIATIVESPAGE 17

DE NOUVELLES SALLES ASSOCIATIVESPAGE 17

L’ATHLÉ DÉMARRE FORT L’ANNÉE PAGE 21

L’ATHLÉ DÉMARRE FORT L’ANNÉE PAGE 21

LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS - FÉVRIER 2011LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONS - FÉVRIER 2011 yyn°130n°130

Saint-GeorgesSaint-Georges

Petite enfance:bientôt 400

places d’accueil

Petite enfance:bientôt 400

places d’accueil

BUSSYMAG130_GABARIT BUSSYMAG NEW2009 23/02/11 16:14 Page1


24 Courrier des lecteurs25. Tribunes26. Nouvelles installations27. Professions médicales

Vie de la cité

Dossier

Vie municipale

Pratique

14

10

4

24

10 à 13. Bientôt 400 places de crèches

Sport20

14, 15 & 16. Bussy, parent pauvre de Marne-la-Vallée

17. De nouvelles salles associatives en centre-ville

Le magazine1818. Claire Merlin publie son deuxième livre19. Et si vous essayiez le massage thaï

4 & 5. Actualité chargée à la médiathèque6. Deux classes de Bussy au musée de l’Air

et de l’Espace7. La saison culturelle bat son plein8. Les Lions offrent un défibrillateur à la ville9. La galette, une tradition qui a du bon !

N° 130 - Février 2011Bussy Saint-Georges

Sommaire - Edito 3

L es récentes difficultés financières de la com-mune, avec pour corollaire l’arrêté préfec-toral augmentant fin décembre 2010 de

50 % les impôts, nous a tous laissé un goût amer.Notamment à moi qui ai pris mes responsabilités et n’aipas hésité lors d’une réunion publique, le 26 jan-vier dernier, à affronter la colère desBuxangeorgiens.

Certains m’y ont trouvé distant àdéfaut d’être convaincant. J’en suisd’autant plus marri que je partageaisleur inquiétude; ce n’est pas de gaietéde cœur que la majorité municipale afini par rendre les armes face à ce qu’il faut bien appeler une analyse politiquedes conditions financières et économiques qui sont les nôtres. Je maintiensqu’il était possible d’éviter cette hausse en maintenant le dispositif d’aide auxvilles nouvelles qui a prévalu jusqu’en 2008 – notamment la subvention d’équi-libre – et en nous autorisant à recourir à l’emprunt, notre endettement n’étantpas si élevé que cela pour une ville nouvelle (preuve en est: nous n’avons jamaiseu de retards de paiement tant des intérêts que du capital dus aux banques).

Est-ce à dire pour autant que nous nous acheminons vers une catastropheidentique en 2011? Je ne veux pas y croire, car je suis persuadé que les fonda-mentaux de Bussy sont bons. J’ai réussi depuis plus d’une décennie à renfor-cer notre identité résidentielle et à développer nos zones d’activité. Certes, lesbureaux dont j’attendais beaucoup autour de la gare RER sont encore vides.Difficile de conjurer à moi seul la crise internationale. Les utilisateurs de ce typede structures se font rares en Grande Couronne.

Cependant, je vois poindre quelques lueurs d’espoir. Nous avons repris le dia-logue avec plusieurs banques qui, jusqu’alors, hésitaient. Pour la première fois,elles sont tout autant françaises qu’étrangères. Il suffirait qu’elles nous accom-pagnent dans notre développement pour que le spectre d’une nouvelle aug-mentation de la pression fiscale s’éloigne.

Pour ma part, je me refuse à baisser les bras et à imaginer que nous renonce-rions alors que tant d’enjeux demeurent. Nous sommes en pleines négocia-tions sur le devenir du Sycomore (les questions-clés en étant sa densité,l’architecture retenue à travers le prisme du développement durable et surtoutle fait qu’il conditionne le nouvel échangeur de l’Est de Bussy, propice à désen-gorger l’entrée de ville actuelle et à assurer une nouvelle connexion avec l’au-toroute), pour la naissance d’un nouveau quartier en face des actuels hôtels quibordent le boulevard de Lagny, à la fois tourné vers le tertiaire, le commerceet le logement. Sans oublier la renaissance de la ferme du Génitoy, unique élé-ment patrimonial d’importance à Bussy Saint-Georges ou encore la poursuitedu maillage des liaisons douces et des espaces verts. Enfin qui prétendra quenous devrions renoncer au réaménagement du pôle gare, afin de tirer un traitsur un agencement de plusieurs décennies erroné entre la circulation des bus,celle des piétons et des cycles et le stationnement indispensable?

Ces dossiers et tant d’autres, nous les traitons jour après jour avec, j’espère, unevision à long terme qui pourra faire de Bussy un modèle urbain. Si les péripé-ties n’ont pas manqué en plus de dix ans (avec parfois des crises douloureuses,comme celle de ce janvier 2011), je ne crois pas m’être grandement trompésur la ligne directrice à suivre. Je sais le cadre résidentiel et champêtre auquelj’aspire pour Bussy. Je ne le sacrifierai pas sous les pressions de l’instant.

Hugues RondeauVotre Maire

Une lueur d’espoir

20. À la rencontre d’Emmanuel Petit21. Des athlètes au top22. Deux nouvelles associations à Bussy23. Le Zanshin Karaté Do en démonstration


Vie de la cité4


« Le Japon n’existe pas » couronné 2e Prix de l’Europe

Les jurés du Prix de l’Europe ont rendu leur verdict, etc’est un romancier espagnol qui remporte le prix 2011.Il est également question ce mois-ci du Printemps desPoètes, de la Fête de l’Internet et d’une rencontre dédi-cace avec l’auteur Jean-Noël Blanc.

L’ACTUALITÉ DE LA MÉDIATHÈQUE

Après les prestigieux Prix Goncourt,Prix de l’Académie française, PrixFemina, Prix Medicis, Prix Interallié,

c’est au tour du Prix de l’Europe d’annoncer sonlauréat. Rappelons que le Prix de l’Europe estdécerné à un auteur européen contemporaindont le roman compte moins de 300 pages.C’est finalement Alberto Torres-Blandina quia été récompensé, samedi 16 janvier à 16h, parles jurés de ce 2e Prix de l’Europe pour sonroman Le Japon n’existe pas (Métailié). Il l’aremporté au 3e tour d’un scrutin très serré, paronze voix contre six à Marie-Hélène Lafont,auteur de L’Annonce (Buchet-Chastel).Ce jeune auteur vit à Valence (Espagne), où il està la fois professeur de littérature espagnole,musicien, auteur-compositeur et écrivain. LeJapon n’existe pas est son premier roman. Il aremporté le Prix Las Dos Orillas, qui consisteen la publication simultanée en Italie, Grèce,Espagne, Portugal et France.

Il a créé un personnage singulier : celui de Sal-vador, homme de ménage dans un aéroportqui, entre deux coups de balai, accoste lesvoyageurs à qui il conte d'étranges récits quise suivent au gré des rencontres. Farfelues,décalées, absurdes, ses histoires sont l'occa-sion d'un moment de communication aucours des interminables attentes dans les ter-minaux d'aérogares. Le temps d'un café,d'une cigarette, Salvador Fuensanta, àquelques semaines de la retraite, aborde lesvoyageurs en partance, devine leurs destina-tions et vide son sac. Voici quelques commen-taires des membres du jury :

« Salvador est un de ces héros ordinairesde la vie moderne dans un décor anonymeoù se croisent le monde entier, les amours,la peur, la solitude, le rêve, l’angoisse dudépart. Quant au Japon, à chacun de se l’in-venter: enfer, paradis ou néant, l’importantc’est la force de l’imaginaire. »

« L’intérêt est que, tout au long du livre,tout le monde est tenu en haleine. On veutsavoir. »

« Ce livre se caractérise par la fraîcheurdu style et de la narration. C’est une sorte decarte philosophique, une façon de se mettreen face des enjeux de notre époque. »

Et enfin, voici ce que vous avez pu lire dans leMagazine littéraire au sujet de ce roman: « Onaimerait lire plus souvent des premiers romansfrançais de cette qualité. Critique du tourisme demasse, histoires enchâssées, connaisseur de la naturehumaine, le jeune espagnol Alberto Torres-Blan-dina éblouit avec ce monologue du bavardbalayeur Salvador, dans la zone d’embarquementd’un aéroport. »

Alors, n’hésitez plus une seconde et lisez ce 2e

Prix de l’Europe, si ce n’est déjà fait !

Pour ceux qui souhaiteraient participer au prochainPrix de l’Europe, rendez-vous le mardi 30 août2011 pour découvrir la nouvelle sélection…

Au terme d’un scrutin très serré, c’est le romancierespagnol Alberto Torres-Blandina que les jurés du Prixde l’Europe ont choisi.



Vie de la cité 5

En mars, le Printemps s’invite à la Médiathèque avec quelques joursd’avance. Un Printemps un peu spécifique, puisque à la place du chantdes oiseaux, ce seront des poèmes qui égayeront vos oreilles. Vos yeux,

quant à eux, pourront admirer une belle exposition de photos-poèmes. Pour la3e année consécutive, la médiathèque rend ainsi hommage à la poésie et auxpoètes dans le cadre du «Printemps des poètes».Les bibliothécaires vous invi-tent à découvrir « D’infinis paysages » (thème retenu au niveau national): paysages bucoliques, paysages d’enfance, paysages d’ici et d’ailleurs, paysagesimaginaires,… qui ont inspiré les poètes au cours des époques.Dès le 8mars et jusqu’au 26mars, vous pourrez admirer une exposition «A hau-teur d’herbes», prêtée par la Maison de la Poésie. Des photographies de PatriceLeterrier accompagnées de poèmes démontrent l’importance et la puissance duvégétal dans l’environnement urbain et dans notre quotidien.C’est surtout le samedi 12mars à partir de 16h qu’un petit air de printemps poé-tique soufflera. Roland Lagoutte, poète, et Richard Guillo, de la CompagnieFlac Floc, enchanteront les oreilles des petits et des grands avec leurs lectures.L’après-midi se poursuivra par la lecture et la remise des prix aux gagnants du

concours de poésie. Et, pour finir, une rencontre aura lieu avec le poète RolandLagoutte. Il vous expliquera son parcours, ses sources d’inspiration, son chemi-nement poétique,… L’après-midi s’achèvera par une séance de dédicaces.

D’infinis paysages au cœur du Printemps des Poètes

Depuis le mois dedécembre 2010,la médiathèque

a obtenu du Ministère del’Enseignement supérieuret de la Recherche le labelNetPublic, puisqu’elle « lutte » contre la fracturenumérique. En effet, elle offre des initiations etaccompagne les publics dans la découverte de labureautique et des multiples usages de l’Internet,afin que chacun puisse trouver un service deproximité qui lui permette de se familiariser avecces outils et usages, de connaître leurs potentia-lités, d’en maîtriser les risques.A partir du mois de septembre 2011, un cyclede formation spécifique pour adultes et pourenfants permettra d’obtenir le Passeport Inter-net et Multimédia.La médiathèque de l’Europe s’associe également

pour la première fois à la Fête de l’Internet.Le but de cette manifestation nationale créée en1998 est de démontrer les possibilités d’accès àl’Internet, la diversification des usages collabo-ratifs, sociaux et nomades, la démocratisationde ces technologies auprès du grand public, quirepose pour beaucoup sur l’action des espacespublics numériques. De leur côté, les collectivi-tés locales jouent un rôle majeur pour le déve-loppement d’usages collaboratifs citoyenspermettant à chacun de participer à la vie locale.Le thème national est « Je crée, tu partages,nous participons ». A cette occasion, la média-thèque proposera un cycle d’@teliers informa-tiques pour les enfants (dès 8 ans) et pour lesadultes (dès 11 ans) entre le mercredi 23 marset le samedi 2 avril. Ces @teliers seront excep-tionnellement ouverts à tous, inscrits ou non àla médiathèque.

L’Internet en fête du 23 mars au 2 avril

Rencontre avec l’auteur Jean-Noël BlancSamedi 19 mars à 16h

J ean-Noël Blancest auteur, sociologue mais aussi cyclistedu dimanche. Né en 1945, il vit et travaille à Saint-Etienne. Il écrit des romans et des nouvelles pour adultes,

adolescents et enfants. Ses histoires s’ancrent à la fois dans lequotidien et l’extraordinaire. Elles ne manquent ni d’humourni de tendresse. Dans le recueil « Tailles Douces », l’auteurnous propose des exercices de style comme des nouvelles sans

adjectifs, d’autres où l’on invente la fin… «Couper court»comprend des nou-velles très différentes les unes des autres, par leur style d’écriture, leur genre, leurlongueur et bien sûr leur sujet. Il y a des nouvelles policières, des nouvelles spor-

tives, des nouvelles de fantaisie, des nouvelles graves… Dans « La couleur dela rage », il est question du passage de l'adolescence à l'âge adulte.Jean-Noël Blanc vous parlera de ses livres, de son travail d’écriture mais aussi del’adaptation en BD des nouvelles de «Couper court » par l’atelier BD de l’asso-ciation Résonances.En attendant de rencontrer l’auteur, vous pouvez emprunter certains de ses livresà la Médiathèque.

Pour plus de renseignements sur tous ces évènements, vous pouvez contacter la médiathèque au 0164663085 ou consulter le site www.mediatheque.bussy.net

Roland Lagoutte


Vie de la cité6


Matinée découverte ce jeudi 20 janvier pour les CM2 de Mme Ducarne et les CE1 de Mme Jorand.

Avant de pénétrer dans l’espace Planète Pilote, les enfants découvrent quelques vieux aéronefs

installés dans le hall du musée.

A bord du cockpit d’un Airbus, les enfants viennent de décoller !

Dans leurs combinaisons plus vraies que nature, ces deux cosmonautes en herbe goûtent aux

joies de l’espace.

Jeudi 20 janvier, deux classes de Bussysont parties à la découverte du Muséede l’air et de l’espace du Bourget. Les

CM2 de Mme Ducarne de George-Sand et lesCE1 de Mme Jorand du Clos-Saint-Georgesont pu ainsi arpenter les allées de ce premierlieu de mémoire aéronautique du monde, quia ouvert en juin 2010 une toute nouvelleexposition permanente : Planète Pilote.Pénétrer dans le cockpit d'un petit avion detourisme ou d'un Airbus A320, ranger lesbagages d'un gros avion de ligne ou faire sonplein en kérosène, observer l'activité d'unaéroport depuis une tour de contrôle, prendreconscience que l'air peut porter un avion ouqu'une fusée a besoin d'une grande vitessepour quitter l'attraction terrestre, découvrirles différentes planètes de notre systèmesolaire : les enfants se sont prêtés pendant uneheure et demie à toutes ces activités et à biend’autres encore. 40 animations interactivessur les thèmes de l’aéronautique et de l’espacesont en effet disposées dans ce nouvel espacedécoupé en quatre zones. Le Musée de l’air etde l’espace accueille ainsi depuis quelquesmois les écoles de la région Ile-de-France afinde leur faire découvrir ces nouvelles activités.C’est sur l’invitation de Brigitte Delort, uneBuxangeorgienne, également bénévole desVirades de l’Espoir, employée au sein du ser-vice marketing du musée du Bourget, que cesdeux classes ont participé à cette visite. Cettejournée entrait également dans le cadre desactions culturelles mises en place par la ville àdestination des scolaires (maternelles, pri-maires, collèges et lycée).

Deux classes de Bussy au Musée de l’air et de l’espace


Vie de la cité 7


Ça continue de plus belle!

Début d’année chargé pour le serviceculturel, qui a programmé en ce moisde février quelques rendez-vous fort

appréciés par le public. Après l’éclectique lec-ture sur « Les uns les autres » au Conserva-toire vendredi 4, les après-midisfranco-anglaises des 4 et 5 février ont ainsi ren-contré un beau succès auprès des collégienscomme des anglophiles de Bussy. Proposée parla compagnie ACT, qui revenait là pour ladeuxième année consécutive à Bussy, MirrorGame est une pièce contemporaine de l’au-teur canadien Denis Foon. Jouée en anglais,inspirée d’une histoire vraie, elle traite du pas-sage du monde adolescent au monde adulteavec force et délicatesse. Place à la danse le len-demain, dimanche 6 février, dans un gymnaseMichel-Jazy paré de ses plus beaux atours pouraccueillir les danseurs de la compagnieBiz’Arts, dirigés par Jennifer Rossi. Accompa-gnés de main de maître par la Grande Harmo-

nie du Conservatoire Jean-Sébastien-Bach, etassistés des petits rats du conservatoire, lesdanseurs ont livré leur version du célèbre« Casse Noisette » de Tchaïkovski. Venu ennombre, le public ne s’y est pas trompé enacclamant cette très belle prestation collective.Après ces beaux succès, le service culturel semobilise plus que jamais pour vous proposerde nouveau, et sur un plateau, d’autres spec-tacles pour petits et grands ! Au menu de cesfestivités, un goûter marionnettes « Rata-touille, tignasse et compagnie » le samedi5 mars à 16h dans le cadre de l’expositionautour de l’illustration qui se tient actuelle-ment à la médiathèque de l’Europe. Le11 mars, les cinéphiles seront comblés grâce àl’apéro-ciné-concert consacré à Charlie Cha-plin par le trio de Fabrice Devienne au sein duConservatoire. Un mois de mars qui se pour-suivra par un concert chœur, cuivres et orguesle 19 en l’église du village.

Les mois suivants nous emmèneront envoyage, du Mexique (soirée initiation à la salsapar Marco à la médiathèque de l’Europe le8 avril), à l’Inde (exposition du 16 avril au28 mai et ballet Bollywood et contemporainles 13 et 14 mai à la salle Maurice-Koehl), enpassant par l’Iran (conférence/soirée dimanche20 mars à la salle Maurice Koehl).Bussy décidément aux couleurs du mondeentier, puisque le Festival international des trèscourts posera pour la deuxième année sa pel-licule à Bussy avec une Nuit des très courts levendredi 6 mai à partir de 19h30 à la Média-thèque ! Un Bussy qui n’oublie pas non plusde protéger la planète, avec la journée du déve-loppement durable, le samedi 4 avril !La culture s’invite aussi dans les écoles, col-lèges et lycée de Bussy, où le service culturelpropose des actions en amont de ces spec-tacles… Vous en saurez plus à ce sujet dès lemois prochain !

Saison culturelle

Les danseuses de la compagnie Biz’Arts ont offert au public buxangeorgien un spectacle grandiose.Accompagnés par la Grande Harmonie, les petits rats du Conservatoire entrent en scène.

Mirror Game, le passage de l’adolescence à l’âge adulte vu par l’auteur canadien Denis Foon.


Vie de la cité8


Sixième Forum des métiers à Maurice-Rondeau

Le sixième FORUM DES MÉTIERSorganisé par le collège-lycée Maurice-Ron-deau s’est déroulé le samedi 22 janvier. Il

a permis aux nombreux élèves présents de ren-contrer quantité de professionnels qui les ontconseillés pour leur permettre de choisir aumieux leur orientation future. Durant cettematinée, collégiens et lycéens ont ainsi pu s’en-tretenir avec des professionnels travaillant dans

des domaines aussi divers que l’informatique,les médias, la puériculture, le dessin industriel,le tourisme, le marketing, la comptabilité, larobotique… L’Armée de terre, la Gendarmerienationale et les pompiers étaient également pré-sents afin de présenter les carrières et les métiersque l’on peut y trouver. Aux côtés de ces profes-sionnels, on trouvait les représentants de diffé-rentes écoles du secteur venues renseigner defuturs possibles étudiants. Les participants à ceforum sont donc repartis avec quantité de docu-ments qui leur serviront, à n’en pas douter, aumoment de choisir la meilleure voie pour leuravenir professionnel. L’objectif de cette matinéed’informations est donc parfaitement rempli.

Les professionnels à la rencontre des élèves

De nombreux métiers étaient de nouveau représentés lors de cette sixième édition.

La carrière militaire attire de plus en plus de jeunes citoyens. D’où la présence de l’armée,

ce samedi 22 janvier.

Mercredi 26 janvier, au restaurant « Les Terrasses du Golf »,le Rotary Clubde Val-de-Bussy, organisait une conférence autourdu thème: « les coulisses du Sénat». Une cinquantaine de personnes

ont assisté à cette conférence animée par Jacques Toutain, ancien direc-teur des Ressources Humaines de la Haute Assemblée, par ailleurs lui-même membre du Rotary de Paris.Le public fut particulièrement intéressé par le conférencier qui, fortde sa longue expérience du fonctionnement du Sénat, a traité desdifférents aspects de l’ensemble des services administratifs, proposémaillés de plusieurs anecdotes sur les relations et la collaboration entreles membres du personnel et les sénateurs. La discussion s’est ensuite lon-guement poursuivie entre les participants et l’orateur, autour d’un cocktail-dînatoire tout à fait sympathique.Prochains rendez-vous pour les Rotariens buxangeorgiens le mercredi 23mars

à partir de 20h30, toujours aux Terrasses du Golf, pour une conférence deFrançois-Julien Labruyère sur le thème « Cognac et littérature ».

Le Rotary club de «Val de Bussy» dans les coulisses du Sénat

Première action de l’année 2011pour le Lions Club deLagny/Val-de-Bussy le

vendredi 4 février, avec laremise d’un défibrillateur car-diaque à la ville de Bussy. Cetinstrument qui peut sauverdes vies a été installé à la média-thèque de l’Europe. Entre 40000 à60000 personnes meurent chaqueannée en France d'un arrêt cardiaque.Pourtant, si les défibrillateurs se généra-lisaient dans les lieux publics, des milliersde vies pourraient être sauvées. HuguesRondeau, le maire de Bussy, a salué cha-leureusement cette nouvelle initiative du

Lions Club en faveur de la ville. Un clubqui fêtera d’ailleurs en cette année

2011 ses 40 ans. A ce jour, 25membres, hommes etfemmes, sont le ciment duLions, dont la mission estde faire bénéficier autrui de

la dynamique de leur amitié.Leur devise, « Nous servons », est

appliquée pour tous ceux qui souf-frent, mais aussi pour mettre dans lalumière les personnes de qualité sur unplan local ou national. Vous pouvez lesrejoindre en toute convivialité. Plus d’infos sur le site : http://lions-lagny-val-de-bussy.org

Le Lions Club offre à la ville un défibrillateur

Aux côtés de Michel Renault, membre du Rotary, Jacques Toutain a expli-qué les arcanes de la Haute Assemblée.

Entouré des membres du Lions Club, Hugues Rondeau et Claude Louis,adjoint au maire, ont salué cette nouvelle action du club.


Vie de la cité 9

Bussy Saint-Georges N° 130 - Février 2011

Les bénévoles de l'association « Vaincre la Mucovis-cidose » des Portes de la Brie organisent une réuniond’ouverture, le jeudi 17 mars à partir de 20h30, au

restaurant Les Terrasses du Golf. Au sommaire: la prépara-tion des prochaines Virades, qui se dérouleront le week-end des 24 et 25 septembre 2011 au GymnaseMaurice-Herzog.L’édition 2010 a remporté un réel succès en rassemblantprès de 3000 personnes. Un événement de cette ampleur a besoin de bras!Car même avec de l'énergie à revendre et une générosité sans failles, les béné-voles ont besoin du soutien de chacun. Pour le plaisir et pour la bonne cause,aidez-les à relever le défi des Virades 2011. Ils lancent une invitation à tous

ceux qui voudraient donner un coup de main, ils seront lesbienvenus à la réunion.Vous représentez une association de la ville, vous pouvezprendre part activement à cet événement. Vous souhaitez sim-plement aider en tant que bénévole, votre présence sera d'unegrande aide. N'hésitez pas à contacter Marie-Evelyne Arbo-nel, coordinatrice de la virade « Les Portes de la Brie ».

Réunion d’ouverture des Virades 2011, le jeudi 17 mars à partir de 20h30 aux Terrasses du Golf, au sein du golf de Bussy, Promenade des GolfeursContact: Marie-Evelyne ARBONELTél. : 0164764783 ou 0670193065Courriel : [email protected]

La galette fait toujours recette !Après toutes les festivités du mois de décembre, les aînés de la ville se sont retrouvés le mardi 4 janvierpour la traditionnelle galette du centre communal d’action sociale. La salle du Conseil fleurait doncbon la frangipane en ce joyeux après-midi. Les associations buxangeorgiennes n’ont pas été en reste eninvitant leurs adhérents, tout au long du mois de janvier, à déguster également cette délicieuse pâtis-serie autour d’un verre de cidre. Petit tour d’horizon de ces jolis moments de convivialité…

Après le traditionnel repas de fin d’année, Hugues Rondeau retrouveavec plaisir les aînés de la ville autour de la galette.

Salle comble pour cette galette du CCAS, toujours aussi plébiscitéepar nos aînés.

Réunis autour de leur président, Gilles Vouriot, les philatélistes deTimbres et Bussy s’étaient réunis au gymnase Maurice-Herzog.

Il y avait foule au rendez-vous fixé par ImaGyms, le nouveau club de gymnas-tique rythmique de la ville.

Les Virades de l'Espoir 2 011 ont besoin de bras !



10 Dossier

Petite enfance:une priorité municipale

Plus d’une famille sur deux, et bientôt deux sur trois, peut bénéficier d’une place d’accueil pour leursjeunes enfants dans les structures de la petite enfance de la ville. Cela fait de Bussy Saint-Georges l’unedes villes les mieux équipées de la région parisienne dans ce domaine. Un Pôle famille, regroupanttous les services de la petite enfance (IME, PMI, ludothèque…) viendra compléter, d’ici quelques mois,les dispositifs existants.

La Ville a mis en place une politique complète en faveur de la petiteenfance, s’appuyant sur des principes clairs et bien définis : l’accèspour tous et une réelle qualité d’accueil. «Tout d’abord, nous souhai-

tons accueillir toutes les familles, avec le souci de permettre une mixité socialequi fait la richesse de la vie ensemble. La qualité de notre accueil se traduitpar le soutien et l’accompagnement des familles entières, dès le tout début dela vie des enfants, où beaucoup de choses se jouent dans leur évolution et dansleurs relations avec leurs parents », explique Régine Bories, adjointe au mairedéléguée à la Petite Enfance.Ainsi, pour que les enfants de tous âges et de toutes les familles puissentavoir accès à un mode de garde, des critères ont été établis à l’unanimitéau sein de la commission d’attribution des places, dont les membres sontreprésentatifs de l’ensemble du Conseil Municipal : une date d’inscrip-

tion à quatre mois révolus de grossesse, la situation familiale, le nombrede demandes déjà formulées… La seule réelle priorité existante est celleaccordée au handicap, dès lors qu’il y a compatibilité avec la vie en col-lectivité, que le handicap de l’enfant soit physique ou mental.

Plus de 400 places de crèchesau printemps 2011Voici les principes, mais comment se traduisent-ils en actions? La pre-mière concerne le choix d’un mode de garde adapté pour les enfants, pré-occupation majeure de beaucoup de parents amenés à concilier vieprofessionnelle et vie familiale, avec tout le stress imposé par la vie en Ile-de-France.


Dossier 11


Suite en p.12 ‡

La Ville a donc mis en place de nombreuses structures municipales d’ac-cueil collectif. Aujourd’hui, 315 places sont ainsi proposées à 378familles dans les 8 structures multi-accueil, crèches ou haltes-garde-ries, en gestion directe ou en délégation de service public.Toutes lesstructures proposent des horaires larges d’accueil qui vont de 7h à 18h30ou de 7 h 30 à 19h. Mais la Ville ne s’arrête pas là, car la totalité desdemandes des familles s’élève encore à près de 500… Ce type d’accueil estdonc encore appelé à se développer avec l’ouverture prochaine d’une crèchede 100 berceaux en avril-mai 2011, à proximité du RER, située 3 rue Aris-tide-Maillol, à l’angle de l’avenue du Général-de-Gaulle. Un effort trèsimportant de près de 5 millions d’euros depuis le lancement de ce plancrèches. A titre d’exemple, la construction de cette nouvelle structure,confiée en délégation de service public à la société Crèches de France, repré-sente un investissement de près de 1,2 M€ de la part de la municipalité.

Parallèlement à ce plan très ambitieux, la Ville a soutenu la création de micro-crèches privées, en autorisant l’accueil dans un appartement par des profes-sionnels de la petite enfance: deux structures ont ainsi été créées ces derniersmois: « Dodo et Didy » et « Au Paradis des bambins ».Une réponse de garde collective à plus d’une famille sur deux sera donc appor-tée cette année, ce qui fera de Bussy Saint-Georges l’une des villes les plus per-formantes et les plus équipées dans ce domaine de toute l’Ile-de-France!

Et pour ceux qui n’auraient pas trouvé de place ou qui souhaiteraient uneautre solution, rappelons que près de 150 assistantes maternelles indé-pendantes, agréées par le Conseil général de Seine-et Marne, travaillent àBussy. La liste complète est disponible au Relais Assistantes Maternelles(0164770905), ainsi qu’au service petite enfance.

Création d’un pôle familleMais ce n’est pas tout. Pour assurer un soutien global aux familles, facili-ter toutes leurs démarches, et apporter des solutions à leurs demandes,un PÔLE FAMILLE va voir le jour fin 2011-début 2012. Il sera installéen pied d’immeuble, au 3 rue Alain-Peyrefitte, en centre-ville. Les famillesauront accès à un ensemble de services d’aide sur tous les aspects de larelation parents-enfants (problèmes de garde, difficultés sociales ou desanté, besoin d’écoute et conseil…). On y trouvera notamment:

LE RELAIS ASSISTANTES MATERNELLES (RAM) quiquittera donc ses actuels locaux du 11 rue de la Pyramide. Cettestructure est un lieu de rencontres, d’échanges et de médiationentre les parents et les assistantes maternelles. Des animationssont proposées chaque semaine à l’attention des enfants, accom-pagnés de leur assistante maternelle, de leurs parents (ateliersd’éveil, spectacles…). Par ailleurs, l’expérience du « RAM itiné-rant » se poursuivra, afin de toucher encore davantage d’assis-

tantes maternelles possibleissues de quartiers excentrés,avec des permanences tous lesvendredis, sauf pendant lesvacances scolaires, à l’ÉcoleGeorge-Sand.

LES LOCAUX DE LAPERMANENCE PMI (Protec-tion maternelle et infantile),situés actuellement au dessus de

ceux du RAM, déménageront en même temps pour conserver la cohé-rence des actions de prévention et de santé publique engagées autourde l’enfant.

En complément, UN POINT D’ACCUEIL DU RÉSEAU D’ÉCOUTE, D’APPUI ET D’ACCOMPAGNEMENT À LAPARENTALITÉ sera à la disposition des parents qui, à un momentde la vie de l’enfant, ont besoin d’être accompagnés pour mieuxcomprendre ses difficultés de tous ordres et s’y voir proposer desréponses par des professionnels de la petite enfance.

Toujours dans ce même esprit, UNE HALTE-GARDERIE D’UR-GENCE accueillera les enfants de familles qui se trouvent subitementen absence de garde d’enfants. Cela peut être le cas, par exemple, d’unemère de famille en projet d’insertion qui vient de trouver un travail etqui a besoin d’une solution immédiate, sans passer par la période d’adap-tation de 10-15 jours, ou celui de familles qui se trouvent sans mode degarde du jour au lendemain suite à un impondérable, à un problème desanté…

L’ÉCOLE GÉRÉE PAR AIME 77 pour l’accueil des enfantsautistes, actuellement sur l’école Louis-Braille, rejoindra tout natu-rellement le Pôle.

UNE LUDOTHÈQUE complétera ces offres de services pourles petits.


12 Dossier


Dans le même esprit, la municipalité favorise l’accès précoce à la cul-ture et à tout ce qui va permettre l’épanouissement des enfants. Ainsi,l’étroite collaboration entre le Relais Assistantes Maternelles et le Ser-vice Culturel a permis la réussite des animations créées pour le mois destout-petits, à la médiathèque en septembre: lecture pour les bébés et ladécouverte de livres. Cet intérêt porté aux très jeunes enfants par la média-thèque s’inscrit sur le long terme, avec les jeudis des tout-petits une foispar mois, à 10h et 11h, et le nouveau rendez-vous pour les bébés et leursparents avec les Histoires du Mercredi, le mercredi matin, tous les deuxmois à 10h30 (en octobre, décembre, février, avril et juin)…

La petite enfance, moment magique de la vie avec tous les possibles, estaussi un temps de fragilités et notre ville, solidaire, veut donner aux petitsBuxangeorgiens toutes les chances d’un bon démarrage dans la vie, essen-tiel pour un avenir meilleur.

POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS, CONTACTEZ LESERVICE PETITE ENFANCE,situé au 2, passage Carter, au 0164666001

Élue en charge: Régine Bories, Maire-adjoint à la Petite EnfanceResponsable du service: Cécile Bouis

Une nouvelle structure d’accueil dès le printemps 2011

C RÈCHES DE FRANCE, uneentreprise spécialisée, vaouvrir en mai prochain, en

délégation de service public, unenouvelle crèche à l’angle de la rueAristide-Maillol et de l’avenue duGénéral-de-Gaulle. D’une capacité

de 100 berceaux, elle viendra compléter une offre déjà fort importante,et placera la ville de Bussy en tête du département quant au ratio dunombre de berceaux par habitant. Implanté dans de nombreuses villesde la région Ile-de-France, Crèches de France présente un projet péda-gogique dont l’essentiel est tourné vers le mot confiance : l'enfant doitacquérir la confiance en soi, clé d’une socialisation heureuse, et les parentsdoivent avoir confiance dans une crèche transparente et compétente, pourtravailler l’esprit en paix. Voilà la philosophie qui sera développée à Bussy,dans une structure flambant neuve, où le mobilier et l’aménagement serontadaptés en fonction des besoins et de l’âge des enfants.


Dossier 13


P artir à son travail ou à ses activités le cœur léger, après avoirconfié son petit enfant en garde à une personne accueillante etcompétente, dans le cadre d’horaires adaptés au mode de vie

de la famille, c’est le rêve de tous les parents !Cette première séparation est, en effet, si difficile à envisager, porteused’inquiétudes et de tant de souhaits : que le personnel veille au bien-êtrede l’enfant, en étant à son écoute, lui apportant soins, attention, l’aidant àgrandir en lui proposant des activités d’éveil… Et tout cela posé, un nou-veau souci survient aussitôt : rechercher cet accueil idéal, ce confort commeà la maison, mais avec la possibilité de l’apprentissage de la vie en col-lectivité et, pour finir, nouvelle embûche: trouver une place disponible !Quels parents n’ont pas fait cet harassant parcours du combattant ?Notre ville, choisie par de nombreux jeunes couples pour s’installer, en apris toute la mesure et, dans son souci de rendre service à ses habitantssur cet aspect essentiel de leur vie de famille, a donc très volontiers sou-tenu les projets de microcrèches pouvant être autorisés, à titre expérimen-tal, par le Conseil Général dans le cadre du décret du 22 février 2007:sur une initiative privée, associative ou municipale, des professionnels, dis-posant d’une qualification équivalente à celle d’une assistante maternelle,peuvent maintenant se regrouper, dans un appartement ou une maison,pour organiser un accueil régulier, ponctuel ou d’urgence, selon les placesdisponibles, pour 3 à 9 enfants maximum, de 3 mois à 3 ans.Ces petites structures présentent un très heureux compromis entre la crèchecollective et l’assistante maternelle ; elles allient convivialité, professionna-lisme et engagement, dans le cadre d’une relation confiante avec lesparents grâce à des échanges sur les habitudes et les rythmes de l’enfantet sur la vie de la structure (rencontres, affichage, réunions…). Sur présen-tation d’un dossier et une participation financière mensuelle de leurs parents,avec la possibilité de bénéficier de la Prestation d’Accueil du Jeune Enfant(PAJE), sur le même barème que pour l’emploi d’une garde à domicile, lesenfants fréquentent alors la microcrèche après une période d’adaptation.Ainsi, la première microcrèche de Seine-et-Marne a-t-elle vu le jour en sep-tembre 2008 dans un appartement, sous le joli nom de « Dodo-etDydy », et une seconde dans une maison en février 2010, à l’intitulé toutaussi évocateur, « Au Paradis des bambins ».

Parents et professionnels sont unanimes : une jeune maman en arriveraitpresque à confier « son bonheur de voir son petit garçon l’oublier trèsvite le matin, à peine ses premiers pas dans les lieux », et le personnel estravi de proposer un accueil sur mesure !

POUR EN SAVOIR PLUS:DODO-ET-DYDY - 4 place de la Libération Tél. : 0164667060Courriel : [email protected] internet : dodo-et-dydy. fr

AU PARADIS DES BAMBINS - 18 Promenade Henri-VincenotTél. : 0160353841 ou 0616654631Courriel : [email protected] internet : www.micro-creches-au-paradis-des-bambins.com

315 places de crèches dans 8 structures…

EN GESTION DIRECTE:

L’Île-aux-câlins, 1 rue Jean-de-BrunhoffTél. : 0164661570 Les Lutins (pour les petits et les moyens), 4 rue Jean-MonnetTél. : 0164662616 Les Petits Princes (pour les grands), 6 rue Robert-SchumannTél. : 0164662616 La Voie-Lactée, 2 rue du Pré-aux-LièvresTél. : 0164767995

Le-Bleu-du-Ciel, 3 avenue André-Malraux. Tél. : 0164669319La Maison des 1000 goûters, 10 rocade de la Croix-Saint-GeorgesTél. : 0164763674

EN DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC:

Graine-de-Paradis, 23 boulevard Mendès-FranceTél. : 0164774374Petit-à-Petit, 44 avenue du Général-de-GaulleTél. : 0164772823

VOICI LA LISTE DES 8 STRUCTURES D'ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE ACTUELLEMENT À VOTRE DISPOSITION:

en attendant la neuvième

Deux microcrèches à Bussy, pour une petite enfance heureuse comme à la maison…


14 Débat et horizon budgétaire

Une récente étude d’EpaMarne vient à pointpour contrebalancer les propos tenus par laDéputée du secteur lors de la réunion publiquedu 16 janvier sur les impôts locaux. Contraire-ment à ce qui a été annoncé aux Buxangeorgiens

présents à la salle Maurice-Koehl, la ville de Bussy, à l’aune de cette étude, est très nettement leparent pauvre des dotations d’Etat sur Marne-la-Vallée.

Bussy, le parent pauvre des dotations d'État sur Marne-la-Vallée


L’étude rétrospective sur les aides d’Etat aux collectivités du sec-teur entre 1973 et 2008, menée par les services d’EpaMarne,(disponible sur le site de la ville : www.bussy-saint-georges.fr),

le prouve en effet par A + B: Bussy Saint-Georges est loin d’avoir reçules mêmes aides et dotations d’Etat que ses voisins de la ville nouvelle.Le bilan est en effet éloquent.

Il ressort ainsi de ces données a priori indiscutableset sur des données comparables selon les spécificitésde chaque territoire entre valeurs relatives et valeursabsolues, que Bussy a bénéficié de 6561€ par loge-ment construit, contre 8315€ pour Noisy-le-Grand,11453€ au profit du Val-Maubuée et 8216€ enfaveur du Val-d’Europe.

Une DGF/habitant en chute libre


Débat et horizon budgétaire 15

Même un rapide coup d’œil permet de comprendre que Noisy-le-Grandet surtout le secteur 2 de Marne-la-Vallée (Lognes, Torcy, Noisiel,Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg, Emerainville) ont bénéficiéd’une politique ambitieuse de soutien aux villes nouvelles. Une grandepartie de leurs équipements ont été financés, notamment à travers ladotation globale d’équipement spécifique et ils ont touché chaque annéeun moyen d’équilibre subséquent.

Cette étude tend aussi à démontrer (si tant est qu’il le faille encore),qu’en territoire Opération d’intérêt national, l’ensemble des aides etdotations d’Etat sont dans leur quasi-totalité indexée sur la création delogements. La « pause de l’urbanisation » apparaît ainsi plus que jamaiscomme le palliatif d’un pompier pyromane.

L’exercice 2009-2010 a également vu le renforcement de la tendance à labaisse des aides d’Etat. «Un coup d’arrêt brutal a même été porté au peu de sub-sides qui demeuraient », constate le maire de Bussy. Aujourd’hui, la probléma-tique est donc simple: il faut rétablir pour le moins le moyen d’équilibre, constitutifdu décret qui nous a érigé ville nouvelle en 1985 et de l’ensemble de nos bilansde ZAC, unique possibilité pour nous de présenter des budgets équilibrés. Com-ment, en effet, entretenir la voirie, les écoles, les bâtiments publics, quand les cal-culs de dotations d’Etat handicapent cruellement Bussy Saint-Georges? Ni nosparlementaires, ni les représentants successifs de l'Etat n'ont su apporter une réponsevolontariste, à part faire payer les contribuables… Réduire le fonctionnement?Nos dépenses sont déjà rationnalisées à leur maximum, au point que nous sommesl’un des rares communes à présenter régulièrement un excédent de 5millions d’eu-ros dans la section fonctionnement de notre budget. »

Les aides en valeurs absolue actualisées au 31 décembre 2009


Montant des aides de l'État rapportées au logement en valeurs absolues actualisées au 31 décembre 2009


Débat et horizon budgétaire16


Entre2008 et2010, la ville a dû faire face à près de 20 M€de subventions en moins. Une manne impossible à compenser à l’heure de bâtir un budget.

Des dotations d'Etat en baisse constante depuis 2005

QU’EST-CE QU’UNE OPÉRATION D’INTÉRÊT NATIONAL? Une O.I.N. est une opération lancée par les pouvoirs publics qui,

en raison de son caractère particulier, déroge du droit commun.C’est le cas des villes nouvelles, dont Bussy, qui évolue dans un cadrejuridique, administratif et financier spécifique. Concrètement, l’Etatconditionne son aide à l’effort de construction. Sans logements nou-veaux, aucune aide ne serait octroyée.

L’ETAT EST-IL PROPRIÉTAIRE DES TERRAINS À BUSSY? OUI, c’est l’Etat, comme sur l’ensemble de ville nouvelle de Marne-

la-Vallée, découpée en 4 secteurs. Cette spécificité oblige à un pro-cessus complexe de cession de l’Etat à son représentant Eparmarne,puis de l’Etablissement public à la commune.

LE RÔLE DE L’ETAT EST-IL ESSENTIEL POUR BUSSY? OUI, le rôle de l’Etat est déterminant, car c’est lui qui débloque

des aides proportionnelles aux efforts de construction consentispar la ville.

LA POLITIQUE D’URBANISATION EST-ELLE EN CAUSE? NON, au contraire, l’Etat ayant conditionné son aide, plus nous

construisons, plus nous percevons pour nos équipements publics.

PEUT-ON ARRÊTER L’URBANISATION? OUI et NON, en pratique le maire peut refuser de signer des permis de

construire. Mais le préfet peut les signer in fine. Sur le fond, un arrêt del’urbanisation correspondrait à la non perception de moyens financiersexceptionnels, ce qui serait absolument dramatique pour la commune.

LE DÉVELOPPEMENT DE LA VILLE EST-IL MENACÉ? OUI, si les pouvoirs publics venaient à confirmer leur désengage-

ment, car la commune ne pourrait plus faire face seule à ses obliga-tions de construction d’équipements publics pour accueillir lesnouveaux habitants d’ores et déjà programmés.

LE TRAIN DE VIE MUNICIPAL EST-IL TROP ÉLEVÉ? NON, tous les Buxangeorgiens qui viennent en mairie connaissent

les conditions dans lesquelles travaillent élus et agents qui sont trèsinférieures à celles des communes avoisinantes.

Une question, une réponse


Vie municipale 17


Le 3 mai 2010 s’est ouvert le nouveaucentre administratif municipal, dans unbâtiment flambant neuf situé au 2, pas-

sage Carter, à deux pas de la gare RER. LesBuxangeorgiens connaissent bien désormaiscette mairie annexe, qui regroupe, rappelons-le, différents services (petite enfance, scolaire,jeunesse, culture, sports, ainsi que le personneld’Avenance, notre prestataire de la restaurationscolaire). Juste à côté de la mairie annexe, ontrouve également trois nouvelles salles associa-tives où se déroulent chaque jour de nom-breuses activités. D’une superficie totale de264 m2, cet espace est ainsi occupé par nombred’associations, proposant quantité d’activitésde théâtre et danse comme Résonances(théâtre), Skydance (danse de salon), GZypop(hip hop), Bussy Saigon, voire d’arts martiaux(Probal Boran) mais aussi d’arts manuels avecCréations et Tour de mains.

Les cours de langue sont également à l’honneuravec l’ARH (cours d’anglais), Apprenons le fran-çais, Culture’M (cours d’arabe), Bussy Asie(cours de chinois), Workshop (cours de théâtreen anglais et préparation aux examens) et J’Buss(cours d’hébreu).Enfin, les associations d’aide et de solidarité nesont pas en reste, puisqu’AVF (Accueil des VillesFrançaises) y organise périodiquement l’accueilde nouveaux habitants, Vaincre la mucovisci-dose peut y tenir ses rendez-vous et y préparerl’organisation des Virades de l’espoir. Surtout,l’antenne de Bussy du Secours Populaire y tientdésormais ses permanences dans l’une des troissalles et est donc beaucoup plus accessible.La plus grande salle est d’une superficie de124 m2, les deux autres d’environ 70 m2. C’estau Conseil municipal des enfants qu’est revenul’honneur de dénommer ces trois nouvellessalles. Les jeunes élus ont choisi de baptiser la

salle associative n° 1 du nom de Louise-Weiss(1893-1983), journaliste, écrivaine et féministefrançaise. La salle n° 2 est dénommée Lucie-Aubrac (1912-2007), résistante française à l’oc-cupation allemande et au régime de Vichypendant la Seconde guerre mondiale. Quant àla troisième, le CME a choisi Alexandra David-Néel (1868-1969), orientaliste, tibétologue,chanteuse d’opéra, journaliste, écrivaine etexploratrice. Voilà donc les associations buxan-georgiennes, si actives, dotées de nouveaux cré-neaux et de nouvelles capacités d’accueil, enplein centre-ville, ce dont profitent de plus enplus d’adhérents. Le tissu associatif local, qui faitla richesse de notre ville, n’est donc pas près des’éteindre…

Salles Louise-Weiss, Lucie-Aubrac et AlexandraDavid-Néel, 2 passage CarterRenseignements auprès du service culturel au 01 64 66 60 01

Trois nouvelles salles associatives à côté de la mairie annexe

Dans le cadre de sa campagne de réduction desdéchets, le SIETREM, en partenariat avec laville de Bussy, met à la disposition des habi-

tants des composteurs domestiques. Les habitants deszones pavillonnaires intéressés sont invités à uneréunion publique le mardi 22 mars à 20 h 30 en salledu Conseil de la mairie. Avec cette campagne, le SIE-TREM a pour objectif une réduction de 7 % de la pro-duction de déchets sur son territoire sur cinq ans. Lematériel sélectionné est un composteur de 400 litres (envi-ron 80 x 80 x 70 cm), en bois traité autoclave. Une participa-

tion de 20 € par composteur est demandée aux habi-tants lors du retrait du matériel. Le SIETREM orga-

nisera par ailleurs sa journées portes ouvertes le samedi2 avril de 10h à 17h et invite les usagers à venir décou-vrir ses installations et ses compétences. Venezapprendre les gestes qui évitent une trop grosse quan-tité de déchets et découvrir le parcours d’un déchet desa collecte à sa valorisation.

RÉUNION PUBLIQUE le mardi 22 mars à 20h30 en salle du Conseil

Une réunion publique sur le compostage domestique

ARH (cours d’anglais)Bussy Asie (cours de chinois)


Le magazine


18

Depuis la parution de son premier livre,intitulé « Ma Famille est un poème! »,en octobre 2007, la vie de Claire Merlin

a bien changé. Cette Buxangeorgienne, quiracontait dans son premier ouvrage sa vie de mèrede famille, au travers de multiples poèmes, aobtenu en septembre 2008 un Master 1 ensciences humaines à l’université de la SorbonneNouvelle, puis dans la foulée un Master 2 en psy-

chosociologie à Paris VII. Parallèlement, elle a poursuivi sa carrière ausein de France Télécom, dont la restructuration allait mener cette assis-tante de direction déficiente auditive à devenir conseillère clientèle partéléphone sur deux centres d’appels successifs. Une situation ubuesquequi a aggravé sa surdité et entraîné des acouphènes chroniques. C’estcette expérience que Claire Merlin raconte dans son remarquable essai,Sourde en centres d’appels, paru il y a quelques semaines aux éditionsde L’Harmattan. Elle y propose des outils de réflexion et d'actions pouraméliorer l'insertion des personnes en situation de handicap dans notresociété. Loin d’être un énième réquisitoire contre France Télécom, il s’agitici plutôt du combat d’une salariée qui tente de retrouver sa place au seindu groupe.Ses trois années d’études ont ainsi apporté à Claire Merlin les outils pourtenter de comprendre comment le groupe France Télécom, engagé dansla suppression de 22000 emplois, peut parallèlement mener à bien unepolitique envers ses salariés les plus faibles. « Cet ouvrage est issu de mestravaux universitaires réalisés essentiellement à la Sorbonne Nouvelle, pré-cise Claire Merlin. J'y raconte l’art et la manière de l’entreprise de ne pasm’entendre, l’augmentation de la surdité de France Télécom, en parallèle avecl’augmentation de ma propre surdité. J’y explique aussi les vertus de la penséeréflexive universitaire, véritable outil de distanciation et de survie, qui m'ontpermis de résister à la maltraitance que j'ai vécue au sein de l’entreprise ».Effectivement, alors qu’elle perd l'audition, elle vit coup sur coup deuxmobilités en centres d'appels, et tombe en dépression. Comment retour-ner cette situation et redevenir maître de sa vie professionnelle et de savie tout court, c’est ce parcours semé d’embûches que retrace ClaireMerlin. Et à force de se battre, elle a fini par reprendre le dessus, grâcesurtout au soutien de son mari et de ses trois enfants. Aujourd’hui, aprèsavoir mené une mission d’accompagnement des salariés handicapés,Claire a été promue cadre au sein de son entreprise, en même tempsqu’elle s’est retrouvée sans travail ! Aussi, Claire est actuellement en

« Sourde en centres d’appels »

Un témoignage édifiant de Claire Merlin

Extrait

«Aujourd’hui, tout le monde devrait pouvoir com-muniquer comme il l’entend ».

« Près de douze millions de personnes en France éprou-vent une gêne à communiquer dans leur vie quotidienne,parce que leur audition, leur parole, leur vue ou leurmotricité sont défaillantes. Douze millions de personnesque leur handicap, grand ou petit, isole.

Pour que les technologies contribuent à mieux les intégreret à leur faciliter la vie, France Télécom prend en compte le

handicap dans la conception même de ses produits en adap-tant les offres grand public aux besoins des personnes concer-nées, mais aussi en développant des outils et services decommunication dédiés à chaque handicap.(…)

Lorsque le progrès n’oublie personne en chemin, il semontre encore plus utile pour tous.

Le futur et toutes les raisons d’y croire. »

Un manager cloua cette affiche derrière mon poste de tra-vail, alors que j’étais sur le centre d’appels. Cette afficheétait composée d’une multitude de photos représentantune personne parlant en Langue des Signes Française.

J’imagine que ce manager avait voulu, par son geste, me dire quele groupe France Télécom s’occupait des personnes sourdes. (…)

Ce jour-là de printemps 2006, je m’observai sur ce pla-teau, dans le bruit, avec mes acouphènes hurlants, sen-tant mes appareils au creux de mes oreilles et je regardaicette affiche. L’antagonisme entre ma situation de travailet le tableau dressé par la campagne publicitaire était trèsparlant du décalage total entre le discours officiel et laréalité du terrain. C’est ce jour-là que j’ai décidé dereprendre les études.Ma colère est devenue paroxystique. En guise de défou-loir, j’ai fait un copier-coller de mon portrait sur le visagede la signeuse.

recherche d’activité tant à « FT » qu’ailleurs. Son projet pour 2011 : pratiquer son métier de psychosociologue, en sensibilisant et en formantles équipes au handicap, ainsi qu’en accompagnant les personnes en situa-tion de handicap. A bon entendeur…

"Sourde en centres d'appels - Plaidoyer pour une distanciation intégranteenvers les personnes en situation de handicap". Editions de L’Harmattan Site web: http://sourdeencentresdappels.merlinerie.com


Le magazine 19


Pour se détendre, rien de tel qu'un massage thaï afin de chasserles tensions physiques et le stress du quotidien ! Partant de ceconstat, Véronique Barin vient de lancer son activité de mas-

seuse indépendante. Cette Buxangeorgienne ne vous est peut-être pasinconnue: elle donne en effet des cours depuis une dizaine d’années ausein de l’association Vita Gym, intervient ponctuellement auprès descentres de massages de Disney et pratiquait également massages et coa-ching sportif au centre Power Plate O’Stress Less, Après avoir suivi uneformation au massage thaï en 2005, elle lance aujourd’hui cette activité,avec trois cibles principales : les particuliers, les entreprises, et l’événe-mentiel sportif. « Assez technique et physique, le massage thaï correspondbien à mon approche sportive », souligne Véronique Barin, titulaire d’undiplôme fédéral d’éducation physique et de gymnastique volontaire.« Mais il ne se réduit pas à cela : sa chorégraphie lente et fluide autour depostures de Yoga amène la personne massée dans un état propice à la détente. »Le massage thaïlandais est réputé pour être l'une des méthodes les plusanciennes et les plus efficaces pour venir à bout de toutes les tensionsphysiques. Très complet, il est dérivé du shiatsu japonais, du massageindien et du yoga. C’est aussi pour cette raison que Véronique a décidéde démarrer cette année une formation en Yoga. Outre les particuliers,à qui elle propose la réflexologie plantaire et les massages thaï tradi-tionnels et aux huiles, Véronique s’adresse également aux entreprises,par le biais du massage sur chaise, dont le principal objectif est deréduire le stress et de créer des conditions propices au travail. « Ce typede massage permet d’intervenir sur la le dos, les épaules et la nuque. Parson originalité, son efficacité, sa facilité de mise en place, son accessibilitéà tous et en tout lieu, le Amma-assis est une prestation très appréciée, pré-

cise Véronique Barin, qui le propose également dans le cadre d’évène-ments sportifs et d’animations diverses. Autant de formules pour vouspermettre de découvrir les bienfaits de ses différents massages. Il nevous reste plus qu’à essayer !

VÉRONIQUE BARINAmma-assis, réflexologie plantaire, massage thaïTél. : 0164663523 ou 0628535992

Le bien-être sur mesure grâce à Véronique Barin

Véronique Barin


Activités sportives


20

Les élèves de la section sportive du collège Jacques-Yves-Cousteau ont passéune excellente journée le jeudi 27 janvier en assistant à l’enregistrementdu « Le Match des experts ». Ils ont ainsi cotoyé les animateurs de l’émis-

sion, Laurent Luyat, Eric Nauleau et Julie Raynaud, et ont pu constater le for-midable professionnalisme de ces journalistes. Mais le temps fort de cettejournée fut la rencontre avec le champion du monde 1998, Emmanuel Petit,auteur du troisième but de la finale face au Brésil. Les collégiens ont pu conver-ser longuement avec l’ancien milieu de terrain de l’équipe de France, qui leura rappelé son parcours en sport-études à Saint-Valéry-en-Caux, en Norman-die, où il débuté. Emmanuel Petit leur a ainsi délivré un beau message d’hu-milité, de respect, de travail : « Donnez toujours le meilleur de vous-même pouraller au bout et ne jamais avoir de regret », leur a-t-il conseillés. Jérôme Alonzo,ancien gardien de Nice, du PSG et de Nantes, était également présent à cetteémission. A l’issue de l’enregistrement, les deux anciens professionnels se sontprêtés de bonne grâce au petit jeu des dédicaces et des photos, souhaitant bonnechance à tous les membres de la section sportive. Les collégiens peuvent remer-cier leur professeur, Eric Cornille, lui-même ancien footballeur de haut niveau,qui leur a permis d’assister à cette émission.

Dans le cadre de ses initiations de pêche, qui permettent de formerenfants et adultes à l’approche de ce loisir, le conseil d’adminis-tration de l’association Le Pêcheur de Marne-la-Vallée a décidé

de programmer des séances hebdomadaires et non plus mensuelles. Parconséquent, à compter du mois d’avril prochain, ces cours d’initiationsauront lieu désormais chaque mercredi après-midi de 14 h à 16 h pourun montant de 2€ par séance au Chalet du Pêcheur à Torcy. Les inscrip-tions sont a prendre auprès de Christian Lejeune au 0660894679.L’association renouvelle également son initiation de pêche pour lesenfants lors des vacances de printemps. Ce stage se déroulera cette annéedu 11 au 16 avril, en deux phases à Torcy au Chalet du Pêcheur: forma-tion théorique et formation pratique avec un concours de pêche clôtu-rant le stage. Pour tous renseignements, prendre contact avec PascaleSabotier au 0683508409.

La 7e édition du Trophée d’échecs des Villes s’est déroulée le samedi18 décembre 2010 à Noisiel. Joueurs en herbe et confirmés du clubde Maubuée-Gondoire était présents, dont 4 joueurs sélectionnés

au Championnat de France. Le niveau de jeu était donc très relevé. Cette7e édition a vu un record tomber: le nombre de participants. 76 jeunesont ainsi exprimé leur talent contre 48 l’année passée. Les organisateurssont donc très satisfaits du succès de cette journée.Malgré les idées reçues, les échecs sont un sport collectif, et pour cetterencontre, les équipes étaient constituées par ville. Elles étaient 13 à sedisputer le trophée, et les Buxangeorgiens ont représenté dignement laville, en prenant la deuxième place de ce trophée. Rendez-vous fin 2011pour une nouvelle édition.

Emmanuel Petit et Jérôme Alonzo ont délivré quelques précieux conseilsaux collégiens de Bussy.

Chaque participant à ce trophée areçu une médaille et un petit cadeau.

Emmanuel Petit, un exemple à suivre pour les collégiens de Cousteau

Des nouvelles du Pêcheur de Marne-la-Vallée

Bussy prend la deuxièmeplace du 7e Trophée des Villes


Activités sportives 21


Si 2010 avait été une année faste pour les jeunes athlètes, 2011 acommencé de la plus belle des manières, que ce soit du côté du clubBSGA ou de la section sportive du collège Claude-Monet, avec

des résultats assez exceptionnels dans tous les domaines. Les jeunes collé-giens de la section sportive ont ainsi ouvert l’année par une qualificationdes équipes minimes filles et minimes garçons au championnat de FranceUNSS de cross à Choisy-le-Roi. Pour une première expérience à ce niveau,les deux équipes ont terminé à des places honorables (24e et 34e). A peinele temps de récupérer qu’ils remettaient ça 10 jours plus tard sur les haies,dans le cadre du championnat de France UNSS en salle à Val-de-Reuil. S’ilsavaient laissé échapper le podium l’année dernière, ils ont su cette fois hisserleur niveau au bon moment pour arracher la 3e place dans une compéti-tion très relevée. Un exemple qu’allaient suivre très rapidement les benja-mins… Ces derniers, après avoir terminé triple champions deSeine-et-Marne en salle (challenge haies/vitesse/lancers), ont réalisé unquadruplé historique le 9 février à l’INSEP en devenant champion d’aca-démie dans les 4 challenges! Une première dans l’histoire du collège qui acomblé les deux entraîneurs, Rémi Chauzy et Eric Sorel…Du côté du BSGA, les résultats sont tout aussi brillants, puisque dans lescompétitions par équipes (challenge Equipathlé), les couleurs de Bussyont été portées à 6 reprises sur le podium départemental, avec notam-ment 3 titres de champions départementaux (benjamines, minimes gar-çons, cadettes) et deux places de 2e (minimes filles et benjamins). Enindividuel, les athlètes ont remporté 4 titres de champions de Seine-et-Marne et sont montés à 15 reprises sur le podium dans des activités aussidiverses que la perche, le poids, le 800 m, le 200 m, la hauteur, ou lesépreuves combinées. On ajoutera, pour être complet, que 5 athlètes ontété qualifiés pour les championnats régionaux cadets/juniors en salle etque 20 jeunes de moins de 16 ans disputaient le 13 février le champion-nat d’Ile-de-France de cross.Ces résultats sont le fruit du travail réalisé depuis plusieurs années en étroite

collaboration par le club d’athlétisme et la section sportive du collègeClaude-Monet. Jean Paul Zita, le président du club et Madame Auger, laprincipale du collège, peuvent être fiers du chemin parcouru et de tout letravail de formation qui est mené dans ces deux structures. Bien orchestrépar une équipe d’entraîneurs compétents et dévoués, ce travail commenceaujourd’hui à porter ses fruits et place sans nul doute le BSGA parmi lesmeilleurs clubs formateurs de jeunes à un niveau régional, et espérons-le,très prochainement, à un niveau national. A noter qu’une réunion de pré-sentation pour les futurs candidats aura lieu au collège Claude-Monet lesamedi 19 mars de 9h à 10h30. Les infos sont téléchargeables sur le sitedu BSGA ou sur le blog de la section sportive.

Trois titres départementaux pour le BSGA au challenge Equipathlé, dont celui descadettes, radieuses sur le podium.

Carton plein pour les hurdlersde l’AS du collège Claude-

Monet avec un quadruplé his-torique au championnat

académique, qui s’est dérouléà l’INSEP.

L’année 2011 démarre en trombe pour l’athlé à Bussy


Le 26 mars sera une date àmarquer d’une pierreblanche pour les membres de

la Team Phoenix, une nouvelleassociation sportive créée parBruno Bachap en septembre 2010et spécialisée dans les arts martiauxartistiques et acrobatiques. AlyssarMuget, Chloé Latuilerie, SandraPajic, Elodie Gouvéa, Anaëlle Pui-sais et Justine Sega participeront eneffet ce samedi 26 mars au Festivaldes arts martiaux, qui se dérouleraà Bercy. Elles y feront une démons-tration au sein de la chorégraphieprésentée par l’association CascadeDemo Team. Toutes les heuresd’entraînement sous la houlette deleur professeur, Bruno Bachap,depuis la création du club, ontdonc porté leurs fruits. Animateur-

directeur depuis de nombreusesannées à la ville de Bussy, Brunoavait d’abord lancé cette activitédans les accueils de loisirs, en orga-

nisant notamment des spectaclesbasés sur le Musical Forms Loisirsaux Violennes et à Louis-Braille.« Les enfants et leurs parents ont tel-

lement apprécié ce que je leur propo-sais que j’ai eu l’idée de créer mapropre association », indique Bruno.Actuellement composé de 9membres, la Team Phoenix n’ac-cueille que des jeunes de 6 à 14 ans.La pratique de cette disciplinerepose sur le travail de techniquestraditionnelles et artistiques d’artsmartiaux, complété par des basesde gymnastique adaptées sur de lamusique. Elle permet à chacun decréer sa forme, en faisant appel àson imagination et à ses acquis.Les formes peuvent être présen-tées individuellement ou paréquipes, avec ou sans arme. Lesmembres de la Team Phoenix,également dénommé « MusicalForm », se retrouvent chaquemardi de 19h30 à 21h à l’accueilde loisirs du Bleu-du-Ciel et lesamedi de 12h30 à 14h au gym-nase Michel-Jazy.

TEAM PHOENIXCourriel : [email protected]

Activités sportives22

Gymnastique rythmique

Le Team Phoenix est né


Ami-chemin de la saison2010/2011, ImaGymsest fier des résultats de

ses 13 gymnastes engagées encompétition individuelle. Eneffet, les gymnastes buxangeor-giennes sont montées 12 fois surle podium et ont obtenu, entreautres, 5 titres de championnedépartementale, 2 titres de vice-championne départementale et 2titres de vice-championne régio-

nale (région Ile-de-France/Marne). Fondée en 2010, par séparation dela section GR de Bussy Gyms, ImaGyms est une association « loi 1901 »entièrement dédiée à la gymnastique rythmique, affiliée à la FédérationFrançaise de Gymnastique. Anthony Fradet en est le premier président.A ce jour, ImaGyms compte plus de 100 gymnastes, réparties dans lesgroupes "Loisir" ou "Compétition" en fonction de leur âge, de leur désir etde leur niveau. Le club accueille des enfants dès l'âge de trois ans et demien les intégrant dans le groupe "Eveil". L'équipe pédagogique est compo-sée de professionnels formés par la Fédération française ou possédant unou plusieurs diplômes reconnus par cette fédération. Cette équipe est com-posée de 4 professeurs, encadrée par Olivia Weytens, responsable tech-nique GR. Le parcours compétitif s’est poursuivi les 5 et 6 février avec lescompétitions en ensembles et individuel (Division interrégionale).

N'hésitez pas à visiter notre site internet: www.imagyms.com et à prendrecontact avec nous pour toute demande d'informations.

Pour leur première participation aux championnats de France "individuelles", quise sont déroulés à Thionville les 22 et 23 janvier 2011, Owenna Paller et InèsKhoun ont porté dignement les couleurs d’ImaGyms. Elles se sont classées res-pectivement 8e et 16e sur 40 de la division fédérale benjamine.

Débuts très réussis pour ImaGyms

Arts martiaux acrobatiques


En ce samedi 15 janvier 2011,de très nombreux élèves duclub se sont rassemblés au

Gymnase Michel-Jazy pour la grandefête annuelle. Comme à l’accoutu-mée, Sylvie et Laurent, les professeurs,ont voulu commencer cette fête parun cours regroupant toutes les sec-tions de karaté du club. De très nom-breux parents et amis sont venusremplir les gradins pour assister à cetévènement.Le grand salut traditionnel des 240karatékas présents, avec sa rigueur etson harmonie, a provoqué un silenceimpressionnant. Une grande émo-tion a traversé la salle pendant ce salut.L’entraînement commun des petits àpartir de 5 ans et des grands jusqu’à60 ans, tous niveaux confondus, acommencé par l’exécution de tech-niques de base afin que chaque élèvedu club garde en mémoire son étatd’esprit de débutant et sa modestie,quel que soit son niveau atteint. Sylvieet Laurent ont ensuite formé desgroupes de travail en assemblant auhasard des enfants, des ados et desadultes sans distinction de grade.Ces groupes totalement hétérogènes

ont montré leur capacité à inventeren quelques minutes, des enchaîne-ments plus ou moins compliquéset à les présenter ensemble.Cet exercice pourtanttrès difficile a été réussipar tous les groupes.Puis le kata PinanNidan, que l’onapprend en premierau karaté, a été exécutéen même temps par tousles élèves. Tous se sont appliquésdans un même élan, selon leur forceet leur grade, des tout-petits cein-tures blanches jusqu’aux ceinturesnoires 1er, 2e, 3e, et 4e dan, qui pour

certains, ont presque 20 ans d’entraî-nement dans le club Zanshin.

D’autre part, cette année, le cluba organisé des démonstra-

tions de karaté réaliséespar les ceintures mar-rons et noires du club,visant à faire plaisiraux spectateurs, et à

montrer la qualité duniveau technique. Se

sont enchaînés combatssportifs de karaté, katas tradition-

nels, et séquences de travail à deuxavec différentes attaques.Ensuite, la section de self-défense aprésenté des séries de gestes simples et

efficaces pour se défendre contrediverses agressions sous l’œil attentifde Laurent, le professeur.Après tout ce travail de rigueur et deconcentration, la section de S’Body ainstallé une ambiance festive, leur profSylvie à l’avant. Sur une musiquerythmée et déchaînée, une vingtained’élèves ont présenté des techniquesde fitness-combat, des étirementsactifs, et pour finir une superbe cho-régraphie.Le public impressionné par le karatéet la self-défense, enflammé etenthousiasmé par le S’body, aapplaudi chaleureusement toutes cesdémonstrations.Pour clôturer cette grande fête,familles et amis sont descendus desgradins pour rejoindre les élèves dansla salle et partager avec eux galettes etpot d’amitié offerts par le club.Voilà une année 2011 qui a biendébuté!

ZANSHIN KARATE DO BUSSY Tél.: 0160430688Email: [email protected]: www.zkd-bussy.frCours de Karaté, Self-Défense etS’Body


23Activités sportives

240 karatékas du club Zanshin Karaté Do Bussy dans un même salut!

Alignement impressionnantdes membres du Zanshin lorsdu début de ce cours.

Après l’effort, le réconfort avec la galette traditionnelle du début d’année.


Bussy Saint-Georges, le 18 février 2011

Chers parents d’élèves,Vous avez bien voulu nous interpeller sur les questions de sectorisation scolairedans le cadre de la convention liant notre commune à la ville de Bussy Saint-Martin et nous vous en remercions.

Comme vous le savez, l’évolution urbaine rapide de Bussy Saint-Georges, confor-mément aux objectifs fixés par l’Etat, impose à la Municipalité un challenge par-ticulièrement ardu à résoudre. Il ne s’agit pas uniquement de prévoir la réalisationdes groupes scolaires en fonction de l’évolution démographique, encore que celarelève quasiment de l’exploit compte tenu du désengagement financier progres-sif des pouvoirs publics.

Au-delà, l’enjeu municipal est d’optimiser, chaque année, les conditions d’accueilafin de pouvoir répondre favorablement à toutes les demandes d’inscription desfamilles, en fonction de tel ou tel contexte: fratries, future implantation à Bussy,inscription tardive… Un exercice particulièrement délicat qui donne satisfactionau plus grand nombre. Mais il est essentiel de maintenir le cap en déployant mieuxencore nos efforts de répartition, et ce bien en amont.

Il nous a donc toujours paru essentiel de réunir autour du dossier tous les acteursde la communauté scolaire, enseignants, parents et élus, au sein d’une commis-sion tripartite. Qu’il s’agisse du processus de sectorisation ou des commissions dedérogations, nous avons toujours naturellement intégré l’ensemble des représen-tants des parents d’élèves dans le dialogue, la concertation et la transparence pourparvenir à un indispensable consensus. Ainsi, sur la question des enfants scolari-sés sur le groupe scolaire Louis-Guibert, nous n’avons pas manqué d’informer aupréalable toutes les personnes concernées: les associations, telles l’AAPE, et l’en-semble des parents d’élèves, en soulignant les modes dérogatoires possibles.

Permettez-nous donc d’insister également sur cette question qui retient particu-lièrement notre attention, car constituant un cas particulier dans l’élaboration dela carte scolaire buxangeorgienne. La commune de Bussy Saint-Martin, n’étantpas dotée d’école, ni d’aucune structure afférente, a sollicité la ville de Bussy Saint-Georges pour établir une convention afin d’accueillir sa population scolaire dansnos structures adaptées, sans préciser laquelle. De plus, afin de parfaire votre infor-

mation, sachez que cette convention prévoit, entre autres, la possibilité de décla-rer l’annulation des accords jusqu’à la fin juin 2011, ce qui équivaudrait ensuiteà ne plus accueillir les enfants de Bussy Saint-Martin dès la rentrée 2012.

Naturellement, en atteste les efforts déployés par la ville pour mener une concer-tation d’une part et, d’autre part, présenter un plan de sectorisation le plus opti-mal possible, susceptible d’assurer au maximum les équilibres et de proposer auxjeunes Busséens des conditions de scolarité les plus agréables, nous maintiendronsnos actions visant à la pérennisation de cette convention.

A ce sujet, comme l’article L212-8 du code de l’Education ne nous avait paséchappé, l’alinéa166 de l’article L.212-7 du même corpus juridique doit être portéà votre connaissance: « l’inscription sur la liste des enfants soumis à l’obligation sco-laire ainsi que la désignation de l’école publique que devra fréquenter l’enfant restentde la compétence du maire agissant au nom de l’Etat. »

Dans ce cadre, soucieux de maintenir une vie scolaire de qualité sur Bussy Saint-Georges, nous avons au plus tôt établi des modalités d’actions concertées avecMonsieur VARENNES, Inspecteur de l’Education Nationale, Monsieur PatrickGUICHARD, Maire de Bussy Saint-Martin, afin de concilier exigence pédago-gique et contraintes liées à notre statut spécifique, qui seront présentées le 2 marsen mairie de Bussy Saint-Martin lors d’une réunion.

Les familles concernées seront comme toujours sollicitées pour exprimer leursvues dans le cadre des demandes de dérogation réglementaires. Bien sûr, autantque possible, le choix de chacun sera respecté, car les situations familiales peuventêtre diverses et il est difficile d’adopter en la matière une mesure unilatérale quis’appliquerait à tous. Le maître-mot reste cependant d’éviter absolument des fer-metures de classes, tout en anticipant de possibles sureffectifs afin, bien entendu,de maintenir de bonnes conditions d’enseignement.

Comptant sur votre compréhension et restant naturellement à votre disposition,nous vous prions de croire, chers parents d’élèves, à l’expression de nos sentimentsles meilleurs.

Hugues RONDEAU, Maire et Isabelle GOUDAL, Maire-Adjointe chargée des Affaires scolaires

Courrier


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CARTE SCOLAIRE : des précisions sur l’accueil des enfants de Bussy Saint-MartinLes parents d’élèves de Bussy Saint-Martin ont récemment interpellé le maire de BussySaint-Georges sur les questions de sectorisation scolaire. En vertu d’une convention passéeentre les deux communes, les enfants busséens sont en effet affectés dans les écoles buxan-georgiennes. Nous vous proposons de lire la réponse apportée par Hugues Rondeau etIsabelle Goudal, Adjointe au maire déléguée aux Affaires scolaires.

Le manège de Gilbert Lejeune est de retour à Bussy ! Du 14 mars au 10 avril, il sera installé sur la place des Foires et ouvriratous les jours à partir de 16h. Sur présentation de ce coupon, vousaurez même droit à un tour de manège gratuit. A bon entendeur…

UN TICKET DE MANÈGE OFFERT SUR PRÉSENTATION DE CE COUPON !



Tribunes 25

Quand l’entêtement duMaire nous conduit au pire

Bussy souffre d’un mal récurrent, l’absencetotale de mémoire. Et le Maire a tenté dejouer sur ce phénomène. Ainsi, lors de la

réunion publique du 26 janvier, le Maire s’estlivré à un show dont il a le secret en nous abreu-vant de ses éternels salmigondis. Mais cette stra-tégie ne fonctionne plus, elle a atteint ses propreslimites en 12 ans de mandature.Il pourra toujours s’échiner à rejeter la faute surl’État, sur la crise mondiale, sur les magistratsfinanciers… il n’en reste pas moins que lesBuxangeorgiens auront à payer quelques milliers

d’euros de plus en 2010. Et cela, il ne peut pas lejustifier: comment expliquer que l’on augmentede 50 % les impôts quand on paye 900000€d’honoraires d’avocats?De plus, que se passera-t-il en 2011? C’est laquestion que j’ai posée lors de cette pathétiqueréunion, sans obtenir de réponse. Ou plus pré-cisément, nous avons tous entendu que le Maireprévoyait un emprunt supplémentaire, non chif-fré à ce jour et qui servirait à… ne pas augmen-ter les impôts.Sans être prophète des finances publiques, voilàcomment cela va se terminer: la ville n’aura pasaccès au crédit, donc le budget voté sera déséqui-libré, donc le Préfet va saisir la CRC, qui émet-

tra un avis, donc le Préfet n’aura d’autre choixque de casser ce budget et de procéder à une nou-velle augmentation. A moins que des économiesde fonctionnement ne soient sincèrement enga-gées, à la hauteur de la pression fiscale subie parles contribuables buxangeorgiens.Il est temps que la main de l’État « tutellise » lesdépenses de fonctionnement de la Mairie. J’enappelle à la sagesse du représentant de l’État, àson sens des responsabilités. Le simple contrôlebudgétaire n’est plus suffisant, il n’a pas pu empê-cher l’explosion des dépenses superfétatoires.

Blog: www.yanndubosc.comMail: [email protected]

Courage Monsieur le Maire!

L ors du dernier Conseil Municipal, notregroupe d’opposition a solennellementdemandé à Monsieur le Maire de faire

montre de courage en affrontant le suffrageuniversel. En effet, nous considérons qu’il estlégitime de consulter les Buxangeorgiens auplus vite, et ce à double titre :

Cette situation est le fruit d’une gestioncalamiteuse depuis 12 ans, c’est-à-diredepuis que Monsieur Rondeau est à latête de la Mairie ;

Le programme sur lequel la majoritémunicipale a été élue il y a 3 ans, occul-tait délibérément la situation financièrecatastrophique dans laquelle se trouvaitla ville ;

Pour ces deux raisons, nous ne pouvonsattendre encore 3 ans que la situation sedégrade davantage !

Monsieur Rondeau s’accroche à son mandatde Maire par tous les moyens, et on peut lecomprendre, car il n’y a qu’à Bussy SaintGeorges qu’avec un tel bilan on peut passer12 ans sans être sanctionné.

Par contre, nous sommes beaucoup plus sur-pris par son équipe municipale. En effet, laplupart des conseillers municipaux de lamajorité ne sont pas responsables de cettesituation, et malgré tout continuent à le sou-tenir, et ce contre l’intérêt des Buxangeor-giens et l’intérêt général.

Nous appelons donc tous les Buxangeorgiensà réagir pour que tout ceci cesse.

http://bussy.ps.free.fr

LE GROUPE « BUSSY GAGNANT »Yann DUBOSC, Nabia PISI, Xuan-Son KOU, Christine ARANDA

LE GROUPE « UNE NOUVELLE QUALITÉ DE VILLE »Aubin-Dominique LENGHAT, Monique CHENOT, Gwenaël FOURRE

Désengagement de l’Etat ouproblèmes de gestion?

L e débat actuel sur les finances de la com-mune tourne autour de la question desavoir si la situation dramatique dans

laquelle nous sommes, est causée par le désenga-gement de l’Etat ou par la gestion de l’équipemunicipale.La ville a reçu 23 M€de subventions exception-nelles de la part de l’Etat, entre 1987 et 2007.Ces aides étaient destinées à accompagner l’Opé-ration d’Intérêt National, en résumé la ville nou-velle. A cela se sont ajoutées 22M€ d’avances

remboursables. En outre, cette année, malgré lasuppression de la Taxe Professionnelle, la com-mune a bénéficié de 1,5M€ de recettes fiscalescomplémentaires.Il faut également avoir l’honnêteté de recon-naitre, que pour des raisons budgétaires, l’Etat aconsidérablement diminué les aides qu’il accordeaux collectivités territoriales depuis quelquesannées. Mais toutes les communes y sontconfrontées et doivent s’y adapter.Les rapports successifs de la Chambre Régionaledes comptes (au nombre de 16 depuis 2003) ontconstatés un budget en déséquilibre et la néces-sité de mettre enœuvre et de suivre un plan deredressement financier. La majorité n’a pas jugé

utile de suivre ces recommandations. Celaconduit donc, aujourd’hui, le préfet à prendreses responsabilités en initiant lui-même cesmesures de redressement. Et cela se fait, malheu-reusement au détriment des Buxangeorgiens,puisque les impôts ont été augmentés de 50 %.La ville aurait pu éviter pareille situation, en sui-vant les recommandations de la CRC et cellesdu préfet. Aujourd’hui, il importe plus quejamais de changer radicalement de politiquefinancière pour éviter à la commune de nouvelleshausses fiscales. Ce sera l’enjeu majeur du budget2011.

www.bussyenaction.fr

LE GROUPE « BUSSY EN ACTION »Pierre LAFAYE


Vie pratique


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LE MAGAZINE MUNICIPAL D’INFORMATIONSDE BUSSY SAINT-GEORGESN° 130 - Février 2011

Réalisation: Service communication, Hôtel de Ville, place de la Mairie, 77600 Bussy Saint-Georges. DIRECTEUR DE LA PUBLICATION: Hugues Rondeau.DIRECTEUR DE LA COMMUNICATION: Florent Perez.RÉDACTEURS: Fabienne de Fromentel, Fabien Jambart, [email protected]: Stéphane Brame. PHOTOGRAPHES:Tout en Photo 06 87 25 23 00.MAQUETTE, MISE EN PAGE: Eric Stetten, E-Medi@ - 0140802233.IMPRESSION: le Reveil de la Marne.DÉPÔT LÉGAL: Février 2011. ISSN: 1284-1978.

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CHANGEMENT D’ENSEIGNE



Vie pratique 27

LE SERVICE SOCIAL EFFECTUE:Le lundi matin de 9 h 00 à 12 h 00, une permanence sur rendez-vous.Elle sera assurée à tour de rôle par Mme DELASSUS et Mme MOAL, (assistantes sociales).Pour prendre rendez-vous, vous pouvez contacter le secrétariat, Mme TAVERNIER, au 01 69 67 44 04.

CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALESPlus de permanences en mairie.Accueil sans rendez-vous au 4, rue Saint-Hubert à Chelles, du lundi au vendredi de 9h à 11h30 et de 14h à 16h30.Tél. 0164724686Permanences à Lognes, lundi, mardi et mercredi de 9h à 11h30 sur rendez-vousau 0164724686

PSYCHOLOGUE POUR ENFANTS ET ADOLESCENTSMelle Binot vous reçoit: mercredi de 9h à 13h et de 14h à 18h, jeudi etvendredi de 14h30 à 18h30 et un samedi par mois de 9h à 13h.Sur rendez-vous uniquement au 0684514242

CONCILIATION – ASLsur rendez-vous uniquement le mercredide 9h30 à 12h30. Tél : 01 64 66 68 16

NOTAIREPermanence notaire le mercredi matin en mairieSur rendez-vous uniquement au 01 64 66 68 16

AVOCATPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 16h à 18h. Sans rendez-vous.Renseignements au 0164662424

AIDE JURIDIQUEUn consultant juridique du CCASen partenariat avec l’AVIMEJ assureune permanence et proposeune information générale sur les droits et obligations.Il vous reçoit sur rendez-vous uniquement auprès du CCAS au 0164666192

EGEE (ENTENTE DES GÉNÉRATIONS POUR L’EMPLOI ET L’ENTREPRISE)Vous avez un projet de reprise d’entreprise, de création d’une structure de typeartisanal, commercial ou industriel,le conseiller de l’association EGEE peut vous accompagner dans votre approche.Sur rendez-vous uniquementau 0164666879

PETITE ENFANCEDes permanences et consultations du Service SantéPetite Enfance (anciennement PMI) vous sont proposéesau Relais Assistante Maternelles (11 rue de la Pyramide)avec Mme Brault, infirmière puéricultrice, sur rendez-vousau 01 64 77 28 85 ou 01 69 67 44 51 ou 52, et/ou le DocteurLe Calvez, sur rendez-vous au 01 64 77 28 85.En cas d'urgence, vous pouvez contacter le secrétariatdu Service Santé Petite Enfance à Noisiel au 01 69 67 4451 ou 52.Consultation de planification par le Docteur Marinier,du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h (ferméau public le mardi après-midi) avec ou sans rendez-vous. Renseignements auprès du secrétariat au 01 69 67 31 68

DES PROFESSIONNELS À VOTRE SERVICE

MÉDECINS GÉNÉRALISTESDr Apithy au 0164667488Dr Blin au 01 45 14 66 00Dr Bachelard-Coppin au 0164660133Dr Dang au 01 64 77 10 57Dr Hoffmann-Raveloson au 0164668888Dr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Klein au 0164660609Dr Le Bozec au 0145146600Dr Porro au 0164663333Dr Renaud au 0145146600Dr Ternon au 0164663333Dr Thao au 01 64 76 67 12Dr Zaghlan au 0164667682Dr Seing au 0164772954MEDECIN MESOTHERAPEUTE Dr Taïfor-Bencheikh au 06 08 78 64 80MÉDECIN ACUPUNCTEURDr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Seing au 0164772954MÉDECIN ALLERGOLOGUEDr Taïfor-Bencheikh au 01 64 77 59 04MÉDECINS HOMÉOPATHESDr Gozlan au 0160176964Dr Hoffmann-Raveloson au 0164668888Dr Ternon au 0164663333MÉDECINS NUTRITIONNISTESDr Ho-Nguyen au 0164660784Dr Jugie-Rongier au 0164660450CARDIOLOGUESDr Peyrot au 0164764742Dr Lussato au 0164764742Dr Jeunet-Hurreesing au 0164669121ENDOCRINOLOGUEDr Jugie-Rongier au 0164660450CHIROPRATICIENDr Mau Minh Huynh au 01437021 62IRIDOLOGIEM. Khalsi au 06 37 86 45 14NATUROPATHE M. Huygue au 06 07 09 66 17

DENTISTESDr Carret au 0160 94 41 02Dr Dang au 0164660860Dr Dang-Vo au 0164668264Dr Daviaux au 01 64 66 95 95Dr Fourcade au 01 60 21 01 27Dr Jaubert au 01 64 66 27 79Dr Lu au 0164669595Dr Naili au 0164662525Dr Solinhac au 0164662525Dr Vernier au 0164662525

ORTHODONTISTESDr Ho Vo Tuan au 0164661000Dr El Moumi au 0164661000Dr Si au 01 64 77 50 08Dr Ho Bich 01 64 77 25 51

DIÉTÉTICIENNEMme Bertrand au 0164770142

GYNÉCOLOGUES-OBSTÉTRICIENSDr Séguret au 0164668659Dr Hozer au 0164660789

MASSEURS-KINÉSITHÉRAPEUTESMme Barbé au 0164661012M. Champrobert au 0164660902M. Lemaire au 0164661012M. Martin au 01646609309MM. Menigoz et Reichenbach au 0160941284

OSTÉOPATHESM. Coste au 0164660143M. Faverolle au 0164667927M. Khalsi au 06 37 86 45 14M. Lieuré au 01 60 94 13 63M. Martin au 0164660939Mme Rosamond au 06 15 86 40 10Mme Techer au 06 32 66 24 11M. Teissedre-Dalou au 0616303738Mme Trecul au 0164662892

THÉRAPEUTE MANUELM. Morin au 0164660143

OPHTALMOLOGISTEDr Bokobza au 0164772279Dr Rabah-Benabbas au 01647749 61

ORTHOPHONISTESMme Bertrand au 0164662009Mme Duchaussoy au 0164772428Mme Facundo au 0164668935Mme Grangeard au 0164662009Mme Oudin-Joly au 0164662009Mme Lemaire au 0164668935

PÉDIATRESDr Buzot au 0164662716Dr Séguret au 0164664280

PÉDICURES-PODOLOGUESMlle Chardaire au 0160431692M. Dessaux au 0164667862Mme Olier au 0164661484

CENTRE DE RADIOLOGIECentre Galilée au 0164768094

PSYCHOTHÉRAPEUTES, PSYCHOLOGUES, PSYCHANALYSTESMme Adelaïde au 0625466661Mme Auzias au 0683087138Mmes Ferreira & Jouannaud au 0164663399Mme Hidalgo au 0686284143Mme Lachkar au 0663779741Mme Rodier au 0164663069Mme Sirica au 0164775159M. Stecher au 0164660420Mme Truchet au 0603208057

GRAPHOTHÉRAPEUTEMme Sirica au 0668607036

SAGES-FEMMESMme Jacobee et Mme Bret au 0164662283Mme Aliénor Nestile au 0164 771374

ORTHOPTISTEMme Anne-Lise Munch au 0673611446

INFIRMIÈR(E) SMme Corneil et Mme Vesseronau 0164661731Mme Dozias-Maerte, Mme Dhouadiet Mme Publier au 0164661133Bussy Soins Infirmiers au 0164660577Mmes Ajzenberg et Pietrobon au 01 64 66 42 46

VÉTÉRINAIRESDr Leroux au 0164668484Dr Lacaze-Masmonteil au 0164668484

PHARMACIESPharmacie Ancel au 0164772950Pharmacie de la Croix Saint-Georgesau 0164661796Pharmacie de la Gare au 0164669007Pharmacie Thibaut au 0164668569Pharmacie O Vert au 01 64 76 30 82Pharmacie du RER au 0164669084

LABORATOIRES D’ANALYSES MÉDICALESDr Harrabi au 0164662727Dr Rostoker au 0164772121

RELAXOLOGUEMlle Stéphanie Baudouin au 06 43 93 50 65Mme Fayada au 0164763117M. Luchez au 06 10 87 97 06

SOPHROLOGUESM. Degrincourt au 0671757416Mme Foubert Berlet au 0662326169

ENERGÉTIQUE TRADITIONNELLECHINOISEM. Baldin au 0164661279Mme Meyer au 0660588050

SHIATSUMme Descroix au 06 80 33 36 78

PROFESSIONS MÉDICALES - PARA-MÉDICALES - BIEN-ÊTRE



Documents

Journal de bussy numéro 130