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© S.A. IPM 2011. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. Supplément à La Libre Belgique - N° - Semaine du 17 au 23 novembre 2011 PP. 2 > 4 JAN VAN DE VEL/REPORTERS PROVINCE PLURIELLE NAMUR Conjoncture Annonces Retrouvez 9 pages d’annonces immobilières dans ce supplément. Production de logements neufs attendue en recul en 2012. Page 6 D.R. PP. 7 > 15

La Libre Immo du 17 novembre 2011

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Namur, province plurielle

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Supplément à La Libre Belgique - N° - Semaine du 17 au 23 novembre 2011

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Conjoncture AnnoncesRetrouvez 9 pagesd’annonces immobilièresdans ce supplément.

Production de logementsneufs attendue en reculen 2012. Page 6

D.R.

PP. 7 > 15

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2 Le dossier SEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

l Marché immobilier

Contrastes namurois

h Difficile d’aborder le paysageimmobilier de la province deNamur tant il est éclaté, tirailléici par Bruxelles, là parCharleroi ou Liège. Et au centreduquel trône le Grand Namur.

LE PAYSAGE IMMOBILIER DE LA PRO­VINCE DE NAMUR EST très contrastés (voirci contre). Certaines grandes tendances sedessinent toutefois, qui ratissent si pas l’en­semble des 38 communes de la province, àtout le moins celles du nord et du centre.Car en matière immobilière, le sud de laprovince fait un peu bande à part (voirpage 4). Parmi ces tendances, il en est deuxprincipales. D’une part, l’intérêt de plus enplus marqué de particuliers qui investissentdans la brique, achetant tantôt un apparte­ment, tantôt une maison (voir page 4).D’autre part, le renouveau des apparte­ments inscrits dans de petits complexes (6 à8 unités), que l’on voit sortir de terre dansles villes de moyenne importance commeAndenne, Gembloux, Jemeppe­sur­Sambre,Sambreville, Rochefort, Ciney, Beauraing,Dinant, mais également dans des villagesruraux du nord de la province. Leur publiccible ? Des jeunes pour lesquels il s’agit d’unpremier achat; et des moins jeunes qui ensont à leur 2e, voire leur 3e achat, désireuxd’abandonner le jardin et l’espace de leurmaison familiale sans toutefois perdre l’en­vironnement auquel ils sont habitués. Un

phénomène qui date d’il y a plus de 15 ansdans les communes brabançonnes, mais quiest plus récent dans le Namurois. Et qui estapprécié : l’incidence terrain étant plus fai­ble, les prix sont assez attractifs.

A Namur même, les complexes sont par­fois plus grands. Tel celui projeté par Atenor,en bord de Meuse, au lieu­dit “Port du BonDieu”. Un site précédemment affecté à l’in­dustrie qui portera un ensemble de stan­ding d’environ 12 000 m².

Les appartements trouveront sans douteassez facilement acquéreur car l’offre, en lamatière, est plutôt rare à Namur. “La politi­que de l’échevinat de l’urbanisme est très res­trictive, indique Etienne de Francquen, no­taire à Namur. On ne peut pas dire qu’il y abeaucoup d’invendus sur le marché.” A l’in­verse d’Andenne, par exemple, qui a eu lamain leste il y a quelques années et où l’of­fre prend des allures de suroffre.

Et le notaire d’évoquer le futur Schéma destructure de la ville en cours d’élaboration.“On s’attend à des changements sur le marché,dit­il. Car ce Schéma va limiter les possibilitésde construction en matière de densité sur cequi n’est pas proche des transports en com­mun. Le Grand Namur est… grand. Les infras­tructures routières coûtent cher à la communequi a décidé de recentrer l’habitat. Cela auradonc un impact sur l’offre et dumême coup surles prix. Le propriétaire d’un terrain à Daus­soulx où il était possible d’ériger 20 logementsse verra peut­être contraint de n’en bâtir que5.D’où une diminution de la valeur de son inves­tissement. La structure des prix va changer etcertains patrimoines vont souffrir.”

Pour l’heure, et globalement, l’offre à Na­

mur est suffisante. “Même s’il faut parfois lachercher”, sourit Me de Francquen. Le pluscompliqué : les terrains à bâtir, “du moinspour y ériger une 4 façades”. En unifamiliale,le marché est “stable”. En appartement, il est“équilibré”. “Les prix ont plutôt bien résisté,poursuit­il. On paye encore des prix fous pourdes biens neufs ou quasiment neufs. Par contre,pour des biens à rénover, les candidats acqué­reurs sont plus attentifs, réservés. Surtout quel’objectif poursuivi est d’avoir un logementéconomique, peu énergivore.”

Mais il préfère ne pas se lancer dans desmoyennes de prix. “Certains quartiers ou an­cienne communes sont plus prisés que d’autres,selon leur localisation, leur densité, leur proxi­mité avec les transports en commun… AinsiBouge, Champion, Erpent, proches de la E411,sont mieux cotées que Flawinne, Malonne, etmêmeWépion, par exemple, qui exigent de tra­verser le centre de Namur pour trouver l’auto­route. Les prix peuvent quasiment passer dusimple au double.” Et en monnaie sonnanteet trébuchante ? “Entre 150 000 et200 000 €, on peut trouver quelque chosemais ce n’est pas extraordinaire et cela parttout de suite. Autour de 250 000, on trouveaussi,mais il faut chercher.”Traduction : pours’offrir le grand Namur, il vaut mieux avoirun potentiel d’emprunt supérieur à250 000 €.Charlotte Mikolajczak

Implanté le long des berges de la Meuse à Namur, le projet “Portdu Bon Dieu” d’Atenor répond à la volonté des autorités régiona-

les et communales de redévelopper la ville sur elle-même.

Épinglé

Charme. Drôle de provinceque celle de Namur, écarteléeentre différentes influencesimmobilières. Au nord (Gem-bloux, Eghezée...), elle pour-rait se targuer d’être braban-çonne. Au sud-est (Rochefort,Beauraing, Gedinne...), elleprend des allures ardennai-ses. Au sud-ouest (Walcourt,Philippeville, Couvin...), ellese fait hennuyère. Entre lesdeux (Dinant, Profonde-ville...), elle s’accroche à sonstyle mosan. A l’est (Ohey,Ciney, Havelange...) elle estcondruziènne. Bref, il n’y aqu’au centre qu’elle est...namuroise.Résultat ? Une grande diver-sité en matière de types debiens, “ce qui fait d’ailleursson charme”, commente lenotariat namurois dans sadernière étude immobilière.Tout comme en matière deprix, bien plus hauts au nordqu’au sud, ces derniers tirantla moyenne vers le bas quitourne autour de 165000 €pour une maison et 150000 €pour un appartement. Unemoyenne qui cache de grandsécarts entre les 38 communesde la province, voire au seind’une même commune.

VERS

IONÀL’ÉTUD

E/©

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ED’OR

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ENOR

06/2011

SUITE DE NOTRE DOSSIEREN PAGE 4

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4 Le dossier SEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

Gembloux,dans le grand Bruxellesh En termes immobiliers, la commune est plus proche de Bruxelles que de Namur.

IL A FALLU DES ANNÉES AVANT QUE l’influenceimmobilière de Bruxelles touche Gembloux et sescommunes environnantes. Bien après Waterloo,Nivelles, Genappe ou Wavre. Mais, cette fois­ci,aucun doute, Gembloux est entrée de plain­pieddans la mouvance bruxelloise. Pour preuve : lenombre grandissant de nouveaux lotissements,plus ou moins passifs, et d’immeubles à apparte­ments neufs, qui habillent les projets de candidats­acquéreurs travaillant à Bruxelles. “Cela s’est fait enbasculements successifs”, confirme Patrick Bioul,notaire à Gembloux, qui a d’abord vu arriver dejeunes ménages écartés de leur Waterloo natal,mais également de Genval, d’Ohain ou de Wavre,par des Bruxellois en mal de verdure, avant de voirapparaître des Bruxellois en mal de logements. “Ilstravaillent à Bruxelles, ont entre 30 et 35 ans, desenfants, et fuient la capitale pour raisons économi­ques”, ajoute­t­il.“Gembloux leur convient en termes de sécurité, dequalité de vie, d’accessibilité (avec une gare récem­ment reconstruite, une Nationale 4, une autorouteE411..., ndlr) et de position géographique. Ils y cher­chent surtout unemaison avec jardin, parfois unappartement pour ceux qui démarrent leur viefamiliale.”Ce sont eux qui ont, en grande partie,rempli le domaine “A tous vents”, aux portes de laville en direction de Namur, dont les premièresconstructions datent de 2009. Soit 221 parcellespour y bâtir – souvent sans constructeur imposé –des maisons en 2, 3 ou 4 façades, et 10 parcellespour des immeubles à appartements, permettantd’abriter quelque 2 000 habitants.

Ces derniers mois, l’activité est restée soutenue,“alors que la situation économique était loin d’êtreexaltante avec un resserrement sur le marché ducrédit, tant enmatière de taux que d’octroi”, jugePatrick Bioul. Sans doute suite à l’arrivée massive

d’investisseurs s’amourachant d’immobilier sansperdre leur qualificatif de “bon père de famille”.“Les lendemains font peur, dit­il encore. Ceux quiont la possibilité d’acheter font le forcing.”Avecimpact sur les prix ? “Au cours du 1er semestre de2011, ils ont continué à grimper. Il y a eu des picssur des maisons qui ne se présentaient pas bien etsur lesquels on s’est posé des questions. Au cours dusecond semestre, ils se sont stabilisés. Pour un ter­rain à bâtir classique (10 ares, 20m de façade, 50mde profondeur) il faut compter environ 125 €/m².Pour un plus petit terrain (8 ares), le prix peuttendre jusqu’à 150 €/m². Mais c’est le maximum,précise Patrick Bioul. Pour unemaison jointive (2façades) présentable, on est facilement à 225 000 €.Et à 250 000 € pour une 4 façades, voire au­delà,jusqu’à 300 000 € selon l’état général, les finitions…”Dans les villages alentours (Grand­Manil, Ernage,Sauvenière, Lonzée, Corroy­le­Château…), “l’offreest un peumoins étoffée qu’au centre, qui pratiqueune politique cohérente de densification, mais trèsrecherchée. Unemaison villageoise s’échange à desprix comparables à ceux de Gembloux, mais sansprofiter de l’effet “gare” et chemin de fer.”

“Pour un appartement 2 chambres neuf, poursuit lenotaire, il faut compter minimum 175 000 €.”Unprix tiré vers le haut par des candidats occupantsou par de futurs occupants, comme des couples de50 à 60 ans qui achètent dans le but de s’y installerplus tard. “Ils achètent pour convenances personnel­les, et donc plus cher que ceux qui tablent sur lesloyers pour rentabiliser leur investissement. Pour unappartement 2 chambres, le loyer maximum est de750 €/mois. Et il y a pas mal d’offres. Par contre,unemaison en location est plus rare et se loue toutde suite.”Un segment qui commence à intéresserles investisseurs.C.M.

Les paysages namurois, comme ici, du côté de Couvin, sont aussi variés que peut être pluriel son paysage immobilier.

JEAN

-LUC

FLÉM

AL

Le sud, le longde la E411“Le paysage immobilier du sud de la province est mar­qué par l’autoroute E411 qui en est l’épine dorsale entermes d’attractivité et donc de prix. Tout ce qui lalonge subit une plus forte demande qui tire les prix versle haut”, indique Philippe Laurent, notaire à Beau­raing. A cette attractivité tout en longueur, s’ajoutecelle, concentrique, de certains grands centres ur­bains, qu’ils soient inscrits dans la province (Namur)ou en dehors (Charleroi). “Il y a un véritable phéno­mène de flux migratoires”, ajoute Me Laurent, quiévoque le côté paisible, voire plus bourgeois du Na­murois par rapport au Hainaut, par exemple, maisaussi ses prix plus accessibles. Sans parler de l’in­fluence de la France, du côté de Couvin, Philippeville,Viroinval, telle que cette “botte” est communémentappelée le “Sud namurois revitalisé”. Petit tour de laquestion.

1 Activité. L’année n’est pas encore terminée, maistout porte à croire que les tendances qui se dessi­

nent seront confirmées. “Le premier semestre amani­festé un regain de vitalité en termes de volume, expli­que Me Laurent. Ce qui a permis de résorber une bonnepartie de l’important stock de biens à vendre, et deremettre une certaine tension sur le marché.”Mais lesecond semestre n’a pas suivi la même tendance. “Iln’a pas pu trouver de second souffle, ajoute­t­il.Onassiste à un ralentissement qui montre que la crise estrevenue.”

2 Offre. “Avec un peu de détermination et d’audace,on trouve de tout dans le sud de la province”, sourit

Me Laurent. Même s’il reconnaît que l’on ne trouvepas assez d’appartements neufs et que l’on trouveplus facilement des biens dans les tranches de prixsupérieurs que dans les tranches de prix inférieurs.“J’en viens à penser que la population n’aurait plus,aujourd’hui, la possibilité de racheter sa propre mai­son…”

3 Prix. Si les prix moyens de la province de Namursont relativement faibles – du moins par rapport

aux prix bruxellois et brabançons –, tournant autourde 165 000 € pour une maison d’habitation et de150 000 € pour un appartement, c’est qu’ils sont tirésvers le bas par ceux pratiqués dans le sud de la pro­vince, où, dans certaines communes, la moyennepour une maison passe sous la barre des 115 000 €,voire des 100 000 €. “Il est toujours difficile et trom­peur de donner des moyennes”, se défend PhilippeLaurent. Un bien peut varier du tout au tout sur àpeine 500 m de distance, dit­il, faisant référence auxbords de la Meuse. Toujours est­il que, malgré lessoubresauts de l’activité, en termes de prix, la stabili­sation est restée de mise en 2011, à des niveaux légè­rement supérieurs à ceux enregistrés lors de la crisede la fin de l’année 2008 et de 2009. Sauf peut­êtresur les terrains à bâtir, “un segment dumarché qui,jusqu’à présent, a toujours manifesté une hausse chro­nique et qui présente, aujourd’hui, un essoufflement.”

C.M.

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6 Construction SEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

Libre Immo. Supplémenthebdomadaire à La LibreBelgique.

Coordination rédactionnelle: Vincent Slits. (02 21129 13 - [email protected]) Illustrations:Etienne Scholasse. Réalisation: Sodimco.Directeur général: Denis Pierrard.Rédacteur en chef: Vincent Slits.Rédacteur en chef adjoint: Pierre-François Lovens.Conception graphique: Jean-Pierre Lambert(responsable graphique), Bruno Bausier.Publicité: Véronique Le Clercq (00322 21127 64 [email protected])

l Perspectives 2012

Logements neufsen recul

h La production de logementsneufs sera en recul en 2012, vu labaisse des autorisations de bâtir.

La Confédération Construction prévoit pour2011 une baisse de 13,5 % des autorisations debâtir de nouveaux logements par rapport à2010. “Ce recul affectera tout naturellement laproduction de logements neufs en 2012”, a expli­qué jeudi dernier l’administrateur délégué Ro­bert De Mûelenaere. En 2010, 50000 autorisa­tions de bâtir des logements neufs avaient étédélivrées. Pour 2011, la Confédération Cons­truction estime leur nombre à 43000, du moinssi les chiffres moyens du second semestre sontsupérieurs de 10 % à ceux du deuxième trimes­tre 2010. L’une des explications est la baissetemporaire de la TVA sur une partie des coûts dela construction, arrivée à échéance le 31 mars2011. De nombreux donneurs d’ordre s’étaientempressés d’introduire leur demande de permisde bâtir avant cette date, ce qui a stimulé les acti­vités de construction en 2011.

Pour l’année 2011, le secteur de la construc­tion table sur une croissance de 3,4 %, grâce no­tamment à un très bon premier semestre. Laconstruction ferait alors mieux que l’économie

belge dans son ensemble. “Mais bien des ques­tions se posent pour 2012”, a souligné M. De Mûe­lenaere. La situation dans le non­résidentiel esttout aussi incertaine. “Tout dépendra de l’évolu­tion du climat économique. Jusqu’à présent, noustablions sur une croissance modérée. Grâce au re­bond de l’économie en 2011, le volume autorisépour la construction de nouveaux bâtiments audeuxième trimestre 2011 se situe au niveau le plusélevé enregistré ces deux dernières années”, a indi­qué l’administrateur délégué.

Le segment de la rénovation pourrait, selon laConfédération Construction, compenser le reculattendu de la construction neuve. “A conditionque certains incitants fiscaux, comme le prêt vert,soient maintenus”.

En ce qui concerne le génie civil, tout dépen­dra vraisemblablement de la réaction des pou­voirs locaux confrontés aux difficultés qui ontfrappé Dexia et le Holding communal. Le Bureaufédéral du Plan prévoyait en septembre – doncavant l’affaire Dexia – une hausse des investisse­ments publics de 19,5 % à l’approche des élec­tions communales de 2012, ce qui laissait présa­ger une bonne tenue du secteur jusque fin 2011.De Mûelenaere appelle donc les négociateurs àaccorder suffisamment d’attention au secteurde la construction lors de la confection du bud­get. (Belga)

Pour l’année 2011, le secteur de la construction table sur une croissance de 3,4 %, grâce notamment à un trèsbon premier semestre. Mais bien des questions se posent pour 2012...

CHRISTOP

HEBO

RTELS

Question time

Une citerneà mazout chez soi ?Quelques règles à respecter.

Avec le froid qui arrive, voici certaines règles à res­pecter pour votre citerne à mazout. Ces règles diffè­rent en en fonction de la région où se situe la ci­terne et de sa capacité. En cas de vente ou d’achatd’un immeuble, il faut veiller à ce que le contrat devente indique l’existence d’une citerne à mazout, sielle est utilisée ou hors service, l’endroit où elle sesitue et sa capacité. Il est bon de savoir si la citerneest placée à l’air libre ou dans un local (cave, ga­rage,…).Est­elle donc accessible ou non, c’est­à­dire directe­ment en terre ou dans une fosse remblayée ? Existe– t – il une construction destinée à recueillir le com­bustible en cas de fuite (un encuvement) ? Il fautprévoir un “système anti­débordement” qui per­mettra à la personne qui remplit la cuve à mazoutde savoir quand elle est pleine. Il existe un siffletqui indique quand la cuve est remplie à 95 %. Cesystème est peu coûteux. Il est aussi utile de savoirsi la cuve à mazout a une contenance de plus ou demoins de 3000 litres ou encore de plus de 10000 li­tres.En fonction de ces différents critères, les réglemen­tations varient. Mieux vaut contacter l’administra­tion communale pour connaître les éventuellesprescriptions locales. Dans certains cas, il faudrajuste déclarer à l’administration communale le pla­cement d’un nouveau réservoir; dans d’autres cas, ilfaudra demander un permis. Bien entend, il faudraeffectuer des contrôles réguliers de sa citerne. e

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7immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

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9immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

MAISONS À VENDREde 375.000 à 500.000 €

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MAISONS À VENDREplus de 500.000 €

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10 Annonces immobilières SEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 125.000 à 250.000 €

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APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 250.000 à 375.000 €

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APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 375.000 à 500.000 €

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APPARTEMENTSÀ VENDRE

plus de 500.000 €

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APPARTEMENTSÀ VENDREprix non précisé

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LOFTSvente & location

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VIAGER

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MAISONSà louer

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APPARTEMENTSà louer

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TERRAINSà vendre

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ÉTRANGERà vendre

21-95450902-02

COMMERCESà vendre

21-95450904-04

COMMERCESà louer

21-95450905-05

SALLE DE VENTE PAR NOTAIRES34, rue de la Montagne ­ 1000 Bruxelles

21-95379401-01

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12 Annonces immobilières SEMAINE DU 17 AU 23 NOVEMBRE 2011 LIBRE IMMO