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Label Le magazine municipal de Tourcoing PÉGASE, du sens et des ailes Le dossier > p.14 à 19 Ville Janv. 2011 // n° 155 SUR COUP DE CŒUR La Boîte à joujoux, un petit bijou ! Têtes d’affiche > p.24 Le plan pour la mobilité internationale des jeunes Vues d’ici > p.5

Label ville 155

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Label ville, magazine municipal de la ville de Tourcoing, Numéro 155

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Page 1: Label ville 155

LabelLe magazine municipal de Tourcoing

PÉGASE, du sens et des ailesLe dossier > p.14 à 19

VilleJanv. 2011 // n° 155

SUR

COUP DE CŒURLa Boîte à joujoux,un petit bijou !Têtes d’affiche > p.24

Le plan pour la mobilitéinternationale des jeunesVues d’ici > p.5

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Des vœux à dimension transfrontalière Invité d’honneur de la traditionnelle soirée des vœux auxforces vives au Fresnoy, Stefaan De Clerck, ministre de la Justice belge, vice-président de l’Eurométropole, bourgmestrede Courtrai, a eu le dernier mot, saluant la complicité qui unit les deux villes autour de la mission Design.

Des vœux… et des colis pour nos aînés« Notre maire pense aux anciens, c’est bien ! C’est une reconnaissance. Merci ! ». Comme Renée Leleu, 82 ans, recevant des mains de Michel-François Delannoy son présent le 7 janvier à La Roseraie, plus de 5 000 Tourquennois de plusde 70 ans se sont vus offrir par la Ville un colis empli de gourmandises à l’occasion de la nouvelle année. Cadeau bonus :un programme titré « Seniors en Action », dans lequel chacunétait invité à choisir un moment de découverte parmi l'offre culturelle tourquennoise.

Centre-VilleLe Village féerique,avec ses cadeaux,ses animations etses lumières, a raviles familles et faitle bonheur de tous,en particulier desenfants. 4 000 visiteurs ont pus’adonner aux joiesde la luge, 800 à celles du ski. Une fin d’année2010 tout shuss !

du 11au 26décembre

du 4au 18janvier

Instantanés

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samedi8

janvier

Pour Célia, Higelin a tout donné « Le 18 mai 2010, Jacques a dit 'on va le faire' et le 9 janvier 2011 on l'a fait ! » Olivier Klonouski, le papa de la petite Célia, handicapéeà plus de 80 % depuis un accident survenu dans un fast-food, est sur un nuage. Jacques Higelin a donné pour son association un concertexceptionnel, hors tournée, au Théâtre Raymond-Devos. Avec en première partie Alain Val, le grand Jacques a fait vivre deux heures et demie inoubliables à une salle conquise et émue.

dimanche9

janvier

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Le dossier p.14 à 19PÉGASE, du sens et des ailes

Vues d’ici p.4L’hôpital, premier ami des bébés

Au cœur des quartiers p.8Édouard Branly passe le relais à Lucie Aubrac

Service public p.13Courage et dévouement des sapeurs-pompiers

Sports en revue p.21Des défibrillateurs dans les salles de sport

Racines p.23La renaissance de la palmette Verrier

Têtes d’affiche p.26L’animation fait la fête… chez elle

À voir & à faire p.30-31

LABEL VILLE N° 155, janvier 2011 : mensuel réalisé et édité par la mairie de Tourcoing Service communication 3 rue de l’industrie - Tél. 03 20 28 13 41Courriel : [email protected] de la publication : Djil ACHIBADirecteurs de la rédaction : Jean-Yves BATTAGLI, Maxime LAMARQUE Rédacteur en chef : Juliette CAPETJournaliste : Christelle TACZALAOnt collaboré à ce numéro : Didier ALKENBRECHER, Thierry BUTZBACH, Nathalie HAUSSER et Franck LELOIRPhotos : Emmanuel DUCOULOMBIERPhoto de Une : Emmanuel DUCOULOMBIERScan et chromie : Didier ALKENBRECHERSecrétariat : Chantal LIBBRECHT, Nora GUERRACHECréation de la Maquette : Delphine DESROUSSEAUXMise en page : Pélagie GABEZ (Gris Mouse)Imprimerie : Lefévère Printing Dépôt légal n° 75165 - à parutionImprimé sur papier recyclé

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Tourcoing est engagée dans une dynamique de développementqui modifie en profondeur son visage. Ces transformations nesont que la partie la plus visible d’un projet collectif qui s’attache

à redonner du sens au vivre ensemble. Je sais que la formule est trèsrépandue. C’est, comme on dit, dans l’air du temps. Mais il faut seméfier de l’idée naïve selon laquelle il suffit d’ouvrir grands les braset les cœurs pour s’accepter tous et bien s’entendre. À Tourcoing,nous sommes convaincus que la diversité des cultures, des croyances,des opinions ne sera une chance qu’à condition d’être comprise,respectée et partagée. C’est cette conviction qui nous a amenés àimaginer avec Houari Bouissa, conseiller municipal délégué, le Conseilextra municipal de la laïcité et du vivre ensemble (CELVE), une initiativelargement saluée dans la presse, tant régionale que nationale. Dans le cadre d’une parfaite parité hommes-femmes, cette institutionoriginale réunit les représentants des principales sensibilitésreligieuses, des membres d’associations laïques, des personnalitésde la société civile et des élus du conseil municipal de la majoritécomme de l’opposition. Le CELVE, par ses analyses, répond auxquestions concrètes concernant la place à accorder aux individus,aux collectifs qui demandent à faire valoir leurs opinions, leursparticularités auprès de la Société. Une ville ne peut, à elle seule, infléchir les tendances à l’intolérance,aux discriminations, au communautarisme. Néanmoins, Tourcoingau travers du CELVE prend appui sur le principe intangible de laïcitéqui garantit la liberté de conscience de chacun, pour revitaliserl’héritage républicain. Un héritage qui doit sans cesse irriguer notreprojet pour la ville afin de l’adapter aux nouvelles réalités de lasociété. Nous devons certes respecter les choix de chacun mais êtretoujours très exigeants sur ce qui d’abord nous rassemble etl’adhésion sans faille aux valeurs de la République.

Michel-François DelannoyVotre maire

La laïcité, meilleurealliée du vivre ensemble

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Destinées à faciliter le quotidien des commerçants, les aires de livraison leur sont prioritairementréservées. Ces zones, qui se distinguent par un marquage spécifique au sol, complété parfois parune signalétique verticale précisant par exemple des horaires, ne sont en aucun cas des places destationnement. Seul est toléré un arrêt (pour un déchargement) que l’on considère ne pas devoir excéderplus de dix minutes. Dans tous les cas, vous devez rester dans une proximité immédiate du véhicule, afinde libérer la place au plus vite. Le contrevenant risque une amende de 35 euros et une mise en fourrière.

Respectons les aires de livraison

Décerné par l’Unicef et le groupe« Initiative hôpital ami desbébés » France, ce label vientrécompenser les pratiques misesen place par le pôle maternité etnéonatologie autour de l’allaite-ment et de l’accompagnementparents - bébé. « Que l’allaite-ment maternel reste la référencenutritionnelle en termes de béné-fices santé est le premier objectif

de cette initiative », expliqueMarc Pilliot, pédiatre libéralattaché à la maternité de Tour-coing et président de la Coordina-tion française pour l’allaitementmaternel. « Mais celle-ci va enréalité bien plus loin, puisqu’elleconcerne finalement l’accueil dubébé au cours de la 1ère heure desa vie et son accompagnement,ainsi que celui des parents, durant

les premiers temps suivant lanaissance. C’est pour toutel’équipe une nouvelle manière detravailler ; par exemple laisser lebébé le plus possible près de samère, ce qui va un peu à contresens de notre culture ». 180 in-tervenants de la maternité, duservice pédiatrique et du blocchirurgical ont bénéficié d’uneformation et les nouvelles pra-

tiques, progressivement misesen place, ont déjà produit leurspremiers effets : le pourcentaged’allaitement de la maternité estlégèrement supérieur à celui dudépartement (58 à 60 %) et sadurée, surtout, plus longue : pasloin de 3 mois contre unemoyenne de 2. e

Nathalie Hausser

L’hôpital, premier ami des bébésSANTÉ. Le pôle maternité et néonatologie de l’hôpital compte désormais parmiles 12 services en France auréolés du label Ami des bébés.

Regards croisés sur l’adolescencePour célébrer son 60e anniversaire, l’Association Le Gîte regroupera des spécialistes de l’Adolescence les 1er

et 2 février, salle des Fêtes de l’hôtelde ville. Très attendu, le sociologue Michel Fize nous dira « Tout ce quevous devez savoir sur l’Adolescence en général et les adolescents en particulier… » avant de clore les débats avec « Perspectives d’Adoles-cence, Adolescence en perspective ».Ce colloque intitulé « Difficultés d’Adolescence, Adolescence en difficultés » s’est construit autour de professionnels mais aussi autour de la parole des jeunes du Gîte qui témoignent de leur relation à l’Ecole, à la Ville, à la Famille et à la Justice.

> Renseignements et inscriptions : 03 28 33 61 30 / [email protected]

COLLOQUEENSEMBLE POUR UNE VILLE PLUS... TRANQUILLE

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> Lisa Hani-Benothaman, née le 1er janvier 2011 à5h55 au CH Dron dans les bras de sa maman.©

Didier Alke

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Vues d’ici

« Les voyages forment la jeunesse »,dit le sage. Et le sage a souventraison... Sens des responsabilités,ouverture d’esprit, acquisition dessavoirs… l’immersion dans d’autrescultures est une expérience struc-turante dans le parcours de vie d’unindividu en quête d’autonomie.Depuis près d’un an, la Ville a mo-bilisé sa Direction de la Jeunesse,la Maison de l’Emploi Lys Tourcoinget la Mission Locale TourcoingVallée de la Lys, pour préparer unplan pour la mobilité internationaledes jeunes. Objectif : offrir à tous,en particulier ceux qui manqueraient

de moyens financiers ou de réseaux,une égalité des chances. Deux axes :la mobilité internationale pourl’emploi (MOVE TO WORK) ; la mo-bilité internationale et l’expériencecitoyenne (MOVE TO CHANGE).Alors que la majorité des dispositifsorganisent la mobilité plutôt sousl’angle de la citoyenneté, de l’actionhumanitaire ou de programmesétudiants, MOVE TO WORK se dis-tingue par le lien très fort avecl’entreprise. « Une trentaine d’en-treprises s’est engagée et nousbénéficions d’un partenariat uniqueet expérimental, notamment avec

Pôle Emploi Régional », expose lemaire, Michel-François Delannoy.La MDE est mobilisée sur les par-tenariats et l’ingénierie, l’aspect« recrutement » revenant à laMission Locale. Les initiativesprécédentes, « Objectif Londres »,et « Shanghai », qui a envoyé sixTourquennois à l’Exposition univer-selle, ont confirmé que l’expérienceinternationale est un formidableaccélérateur de carrières. « On a vudes jeunes qui galéraient, s’ouvrir aumonde, être dans la vraie vie. Desdéclics ont eu lieu. MOVE c’est aussiça : le refus de la résignation, lalutte contre le fatalisme. » e

Christelle Taczala

> Maison de l’Emploi Lys Tourcoing (Fusion des Maisons de l’Emploi et des PLIE de Lys Nord Métropole etde Tourcoing depuis le 29 novembre) : 21, rue des Ursulines (03 20 28 82 20)www.emploi-tourcoing.fr

Sharma Barah22 ans

C’est le nombre de Tourquennois de moins de trente ansqui partiront à l’étranger en 2011 : 150 dans le cadre duprogramme MOVE TO WORK dont 30 aux USA, 20 à Londreset 50 dans des entreprises métropolitaines en Europe, et 150 dans le cadre de MOVE TO CHANGE (100 pour le Service Volontaire Européen, 40 pour des projets solidairesavec le CLAP et 10 partant au pair de façon autonome).Objectif : qu’ils soient 1 000 d’ici 2014.

MOVE s’adresse aux jeunes diplômés dans une phase de transition et que lamobilité motive. Avoir de bonnes notions d’anglais est un atout, même sil’expérience peut justement permettre de consolider ses bases. La quasi-tota-lité des frais est prise en charge. Les candidats au départ doivent s’adresser àla Mission Locale. Pour les informer, celle-ci a lancé « Les jeudis du MOVE »,chaque jeudi matin au 21 rue des Ursulines. (03 20 24 42 43)

3 QUESTIONS À...

JEUNESSE.Convaincue que l’expérience internatio-nale représente unechance de plus pour les jeunes, la Ville deTourcoing a souhaitéleur proposer l’oppor-tunité d’une expérienceinternationale et lancéun plan d’une ampleurinédite : MOVE.

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Vous êtes parti à l’exposition universelle de Shanghai en juillet.Quel a été votre parcours avant cela ? Quand je suis arrivé de l’île Mauriceen décembre 2009, je me suis rapproché de la Maison de l’Emploi.Fort d’une première expérience dansla restauration, j’avais des pistes,mais ce milieu reste très difficile…Quand la Mission Locale m’a proposéd’aller à Shanghai avec l’équipe deMéert Traditions aux côtés de VictorDelpierre, champion de France deservice en salle, je n’ai pas hésité.

Comment cela s’est-il passé surplace ?J’ai participé au service de nombreuxcocktails organisés par le prestigieuxtraiteur lillois dans le pavillon deLille3000. Mon meilleur souvenir :notre dernière prestation, lors d’unesoirée où était présent le maire deTourcoing. J’ai beaucoup appris ausein d’une équipe hyper profession-nelle. Une expérience unique !

Et depuis ?Le gérant du restaurant Le Paradoxem’a repéré dans un article de presse sur Shanghai. Depuis septembre, j’y travaille en salle. J’envisage dereprendre mes études. Objectif : unBTS pour devenir manager. La mobilitépour moi n’était pas un problème.Beaucoup de jeunes se montrent frileuxpour chercher un emploi en dehorsde leur ville. Or, il n’y a pas desecret : pour réussir, il faut bouger.

Propos recueillis par Christelle Taczala

Pour booster sa carrière : just MOVE !

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sur le plan pour la mobilitéinternationale des jeunes

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Vues d’ici

C’est rue Gabriel Péri, à seulementquelques pas de son siège actuel,que se trouvent les origines deTourcoing loisirs seniors, issu duregroupement en 2000 des clubsde retraités du CCAS. Quelquespas, donc, et dix années séparentaujourd’hui l’association de sonberceau, laquelle n’a pas attendupour prendre son envol et offriraux seniors de quoi occuper leurretraite. Si certaines activités,tel le chant lyrique, ont disparuau fil des ans, faute d’animateursou de demandes suffisantes,l’éventail des loisirs proposésdemeure très ouvert. Ils se re-groupent autour de cinq grandes

thématiques : la culture, la forme,la création, l’animation/spectacleet la communication, dont faitpartie l’apprentissage de l’anglaiset de l’allemand. Avec plus de200 adhérents, la culture et sakyrielle de conférences - 320 ontété données depuis la créationde l’association - restent large-ment plébiscitées, même si laforme occupe désormais unejolie deuxième place, les seniorsde 2011 ne présentant plus lemême profil que leurs aînés de2000. « Aujourd’hui, ils veulentdes activités plus physiques,souligne Guy Blondeau, chargé dela communication. Ils sont, par

exemple, 77 environ à participerà la marche ». « Ils sont aussi plusjeunes, note Jacques Tison,membre du conseil d’administra-tion et du bureau. À nos débuts,l’âge moyen d’adhésion était de65 ans. Il est de 60 en 2010. Lesseniors, de nos jours, anticipentet n’attendent plus la retraitepour se poser la question de savoircomment ils vont l’occuper ».L’église Saint-Christophe pleine,à l’occasion du concert du10e anniversaire en novembre,

témoigne en tout cas du succèsrencontré par Tourcoing loisirsseniors et de la qualité desactivités, encadrées par unetrentaine de bénévoles. Toutcomme « le manque suscité cheznos adhérents, quand l’associationse trouve en stand-by, l’été »,conclut Guy Blondeau. e

Nathalie Hausser> Tourcoing Loisirs Seniors,

96 rue de Lille (03 20 11 10 15)Accueil les mardi, mercredi et jeudi de 9h à 12h et de 14h à 16h, renseignements sur www.tls.asso.fr

SENIORS. Avec une moyenne de 650 adhérents,Tourcoing loisirs seniors figure dans le duo detête des associations pour les retraités. Ses dix ans témoignent d’ailleurs de son éternelle…jeunesse et de sa capacité à adapter son offre à l’évolution du profil de son public : de la têtetoujours, mais aussi des jambes !

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La vie commenceà 60 ans…

Le hasard fait bien les choses. Envacances dans les Alpes, le jeuneretraité Gabriel Lecorne rencontrele futur directeur de l’Abej durantl’été 1985. Le courant passe bienentre les deux nordistes. Et quandPatrick Pailleux lance l’Abej etplace un bus en face de la gare deLille pour aider les plus démunis,le catholique Gabriel Lecornerépond présent à l’associationprotestante. Qu’importe la confes-sion quand on est humaniste.Vice-président de l’association,Gabriel Lecorne est, à 86 ans,

toujours de la partie. C’est doncpour honorer son engagement de25 ans que l’Abej a décidé debaptiser de son nom la futureMaison Relais de Tourcoing. Cettestructure d’hébergement de 24logements adaptés pour personnesisolées doit ouvrir avant l’été.« Surpris », l’intéressé ne boudepas son plaisir, insistant sur toutesles « rencontres et amitiés » néesgrâce à l’Abej. « Et puis, ça évitede m’encroûter. » Le bénévolat,c’est aussi bénéfique pour soi. e

Thierry Butzbach

CENTRE-VILLE. Depuis 1985, l’association baptiste pour l’entraide et la jeunesse (Abej) intervientauprès des plus démunis. Pour l’ouverture de sa seconde Maison Relais dans la métropole, en juinprochain, elle a choisi d’honorer l’engagement de son plus ancien bénévole, Gabriel Lecorne.

Une Maison Relais nommée Gabriel LecorneAr

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Dépôts clandestins, non collectesd’Esterra (dues aux mauvais sta-tionnements, aux sacs non homo-logués et aux mauvais tri desriverains), déjections canines…la propreté reste décidément aucœur de vos préoccupations.Suivent les éclairages publics etles véhicules « ventouses », quevous craignez voir à terme van-dalisés ou qui gênent le station-nement dans la rue. 2010 a étél'année de la mise en place d'ac-tions sur les soucis récurrents re-pérés par VitaVille, les chargés deconcertation, les directions mu-nicipales concernées, mais égale-ment Lille Métropole et Esterra,avec lesquels le partenariat n’a decesse de se renforcer : panneauxde sensibilisation, Guide desdevoirs du citoyen, etc. e

Christelle Taczala

En 2010, VitaVille c’était :

5 881demandesenregistrées (5 051 en 2009), soit 440 par mois, émanant de 3 822 demandeurs uniques(2 527 en 2009)

Les services interpelléssur les problèmesles plus récurrents :

1er. la Propreté Urbaine avec

3 818 demandes2e. la Voirie avec

908 demandes3e. la Police Municipale avec

518 demandes4e. les Parcs et Jardins avec

233 demandes

Vues d’ici

PROXIMITÉ. Cinq ans après son lancement, la plate-forme municipale de gestion des questions de cadre de vie a trouvé son rythme de croisière. Un objectif permanent : être à votre écoute, et plus que jamais, efficace sur le terrain.

VitaVille : 5 ans de réactivité

Grand Lille TV est disponible gratuitementsur la TNT (canal 21), sur Numéricâble et sur les Box ADSL. En plus de la retransmission du direct, son site proposedes reportages, les derniers JT, desflashes météo et des interviews réaliséesen plateau. Pratique : la possibilité departager les infos d’un clic sur les réseauxsociaux ou par mail. Deux widgets (carte routière et météo) sont disponiblesen page d’accueil.

LE BRUIT DU NET

C’est le nombre d’emplois saisonniers qui seront proposés lors du 3e ForumJobs d’été, organisé par la Maison del’Emploi, la Mission Locale et la Ville de Tourcoing. Mercredi 23 février, la MDE ouvre ses portes de 8h30 à 17h.Présents : la direction municipale de la Jeunesse avec des offres de postesd’animation, les centres sociaux et lesMJC, des entreprises et la Fédération des unions commerciales de Tourcoing.Un bon plan pour rechercher et trouverun job d’été. Car c’est maintenant qu’il faut y penser !

> Maison de l’Emploi, 21 rue des Ursulines (03 20 28 82 20)www.emploi-tourcoing.fr

www.grandlille.tv

250 Grand Lille TV vient de fêter son premier anniversaire. À cette occasion,la première chaîne tout-info de proximité en France, implantée à Tourcoing à la Plaine images, s’est offert un nouveau site internet. 100 % infos !

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[email protected]

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Une église transformée en résidence delofts ? C’est sans doute une première enFrance… et c’est à Tourcoing ! À deuxpas de la colossale Filature (88 lofts), leprogramme immobilier « L’Abside » offreune troisième vie à Saint-Jean Baptiste,qui auparavant accueillait des ateliersde maçonnerie. Sur les douze plateauxde 65 à 90 m2 mis en vente, il en restecinq à voir. Volume, espace, cachet préservé(voûtes apparentes dans les étages),lumière traversante, jardin, balcon ou loggia selon le lot… ce bâtiment d’exception, conçu en 1908 par l’architecte tourquennois Jean-BaptisteMaillard, offre des possibilités d’aména-gement uniques et promet d’attirer des acquéreurs en quête d’originalité. > Contact promoteur :

I Loft You (06 15 52 39 45)

Des lofts dans une église

VIROLOIS

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S’il disparaît physiquement dupaysage, le collège ÉdouardBranly poursuit d’une certainemanière son histoire, en passantle relais au collège Lucie Aubrac.Une histoire démarrée à la rentrée1965, quand l’établissementinitialement construit pour abri-ter un groupe scolaire maternelet primaire accueillit ses sixpremières sections de 6e, de 5e

et de 4e. Sa déconstruction,entamée le 7 décembre, seravéritablement visible fin janvieret laissera libre, fin mai débutjuin, un terrain de 12 000 m2 oùdémarreront, début 2012, aprèsla démolition de la barre delogements Diogène, les travauxde construction de Lucie Aubrac.Au contraire de son prédéces-seur, totalement enclavé, le

nouveau collège sera largementouvert sur la ville et son envi-ronnement immédiat, dans lacontinuité du concept de parc àvivre des Jardins de Belencon-tre. Il sera constitué de deux bâ-timents remarquables à hauteperformance énergétique, rac-cordés à la chaufferie urbaine duquartier, combinés à de largespercées visuelles. Surtout, il

accueillera une salle culturelleet deux salles de sport, égalementaccessibles au public extérieur.Rompre avec l’image d’un quartierrenfermé sur lui-même en ycréant des flux : c’était l’unedes ambitions du renouveau deBelencontre auquel, en élèvediscipliné, le collège participeactivement. e

Nathalie Hausser

Édouard Branly passe le relais à Lucie AubracBELENCONTRE. Sur les cendres de Branly, dont la déconstruction est en cours, renaîtra dès 2013un collège remarquable.

Équité, loyauté, vérité. Telles sont les valeurs défendues par Roger Debaisieux depuis qu’il a créé sonagence immobilière boulevard Gambetta en 2000. Dans un secteur ultra-concurrentiel, ses principeséthiques basés notamment sur la transparence se voient récompensés par un Mercure d’Or, décerné par laChambre de commerce et d’industrie Grand Lille. « Cette distinction est un honneur, pour moi mais aussipour tous ceux qui m’ont apporté leur soutien. Je n’aurais jamais acquis cette reconnaissance sans eux, sansmon équipe, sans cette ville que j’aime et défends » conclut ce fils de commerçant, Tourquennois de souche.

Un Mercure d’Or pour DebaisieuxGAMBETTA

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18 sallesainsi qu’une salle polyvalentesont mises à la dispositiondes associations.

12 associations- Afrobulles,- À Tire d'Aile, - Avec Toit, - Averoes, - CANAREP, - Centre Social des 3 Quartiers,- Ch'ti Train, - Cybernétique en Nord, - Les anciens de la Tossée, - Le Coffre d'Arlequin,- Les Ruisseaux, - Scouts de France.

7j / 7 l'accueil est assuré du lundiau dimanche de 8h à 22h30

> Maison des Services Orions/PontRompu, 8 rue de l’Europe

Ici on bouge et ça fait bouger lequartier, et au-delà, la ville ! Levrai luxe du site, c’est l’espace :une salle polyvalente, un pôle en-fance avec notamment la halte-garderie La Capucine, une salle desports de combat, sans oublier lesclasses de l’ancienne école. Toutessont occupées par une dizained’associations dynamiques, multi-culturelles, pluri-générationnelles.Exemple : le Coffre d’Arlequin, quipromeut le spectacle vivant etdont la Boîte à spectacles offreune programmation riche tout aulong de l’année. e

Christelle Taczala

PONT ROMPU. En 2005, l’Union Textile de Tourcoing (UTT) a inauguré unsystème innovant de traitement des eaux de teinture. Un procédé unique aumonde qui évite le rejet d’eau polluée et réduit la consommation d’eau.

La teinturerie UTT joue les pionniers du recyclage de l’eau

Au cœur des quartiers

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Un espace à vivre

Installée en pleine ville, la tein-turerie UTT ne pouvait installerles vastes bassins de décantationpour l’eau nécessaires à la mise enplace d’une station d’épurationtraditionnelle. Pour satisfaire auxnormes environnementales, lasociété a donc projeté dès 2000d’investir dans un procédé exclusifde filtration et d’évaporation.« L’eau est bouillie pour êtrepurifiée et réutilisée tandis que les

résidus sont ensuite récupérés »,détaille Florian Carpentier, le res-ponsable qualité de la teinturerie.La mise en service de cette stationde recyclage de l’eau remonte à2004, mais ne cesse d’être amé-lioré. Aujourd’hui, la déperditionnécessite quand même l’ajoutd’eau à chaque cycle. Mais àterme, l’objectif est d’arriver àfonctionner complètement encircuit fermé. « On y est

presque », assure Florian Carpen-tier. À l’inverse d’une station detraitement traditionnel, la solu-tion d’UTT offre donc l’avantagede préserver les nappes phréa-tiques. Avec une capacité deteinture de 5 000 tonnes de filspar an, l’installation d’UTT a étéconçue pour traiter jusqu’à 500 m3

d’eau par jour. Autant d’économiepour la planète. e Thierry Butzbach

ORIONS/PONTROMPU. Inaugurée en 2007, la Maison desServices installée dansl’ancienne école publiqueClemenceau atteint son objectif de départ : offrir au quartier unlieu de vie, animé parles associations.

> Le festival sous chapiteau « Toutes Voiles Dehors » organisé par le Coffre d’Arlequin du 26 novembre au 11 décembre 2010 à la Boîte à spectacles.

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Baptisé « Lille Tourcoing Centre »,ce nouvel établissement porte àonze le nombre de représentantsde l’enseigne B & B Hôtels dansnotre région. Une chaîne qui afait de l’« écono-chic » sa marquede fabrique et, par là même, dedifférenciation avec les autresenseignes de l’hôtellerie écono-mique. Pour une moyenne de 40euros par nuit, les hôtels B & Boffrent ainsi des chambres in-sonorisées au design soigné etcoloré, équipées d’une salle debain et de toilettes privatives,d’une télévision à écran plat,d’un téléphone, d’une connexionWifi gratuite et, pour certaines,des accès nécessaires aux per-sonnes handicapées. À 5,65 euros

par personne, les petits déjeu-ners sont à l’avenant, proposéssous la forme de buffet à volonté.Facilement accessible, à proxi-mité du tramway, du métro et dela gare ; bénéficiant de deux par-kings, Miss Cavell et bientôt celuide l’espace Saint-Christophe, cenouvel hôtel fait partie du pro-gramme immobilier Altaïr, com-prenant également un restaurantet des bureaux (lire page 12). e

Nathalie Hausser

> B & B Hôtel Lille Tourcoing Centre, 83 rue de Tournai (08 92 70 22 35) Accueil du lundi au vendredi de 6h30 à 11h et de 17h à 21h30(20h30 le vendredi) ; les samedi, dimanche et jours fériés de 7h30 à 11h et de 17h à 20h30.

CENTRE-VILLE. Il est en quelque sorte le « BéBé » de cette nouvelle année 2011 ! Au terme de quinze mois de gestation, le nouveau-né de la « chaîne haut de gamme de l’hôtellerie économique » vient d’ouvrir ses portes en plein cœur du centre-ville, enrichissant de 87 chambres l’offre hôtelière tourquennoise.

Petit prix et confort ne font pas chambre à part

ORIONS

Le conseil en plus

NOS NOUVEAUX COMMERCES

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Au cœur des quartiers

CENTRE-VILLE

Le bon goût du feu de boisLes poulet, morue, poitrine et travers de porc rôtis au feu de bois fontdepuis deux ans le régal des clients d’O Pito Delicioso. Quelques produits d’épicerie, tels que vin et gâteaux, complètent l’offre de cette rôtisserie portugaise tenue par Maria Eugenia Gameiro.> O Pito Delicioso, 24 place de la Victoire (03 20 24 71 61)Du lundi au samedi de 9h30 à 14h (sauf le lundi) et de 17h30 à 20h30, le dimanche de 9h à 14h - À la demande et sur commande.

CENTRE-VILLE

Avec Passion Femme, Annette Mareel selance dans un nouveau style de prêt-à-porter : « des petites marques de Paris à prixmoyen » qui se déclinent dans une gamme dejupes, robes et autres gilets façon dentelles et froufrous. Un royaume de la superpo-sition où châles, foulards et sacs fantaisie ne sont pas non plus… qu’accessoires !> Passion Femme, 28 rue Saint-Jacques (03 20 26 49 48) - Du lundi au samedi de 10h à 19h.

Superposez !

L’ambiance cosy, l’espace détente et leprogramme bien-être ne sont pas les seulsatouts de Centimètre Carré, où BrigitteVandenbulcke passe doucement le relais à sa fille Céline. Nouveautés et, surtout,conseils font la valeur ajoutée du salon,très justement auréolé de la mention« coiffeur visagiste ».

> Centimètre Carré, 246 b chaussée Denis Papin (03 20 94 10 60) - Du mardi au vendredi de9h à 12h et de 14h à 18h (19h les jeudi et vendredi) ; le samedi de 9h à 18h.

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France Cake Tradition, c’estd’abord l’histoire d’une rencontreentre Stéphane Debeunne et unpetit atelier de fabrication decakes aux fruits de Cambrai, des-cendant de Rena, la gourman-dise star des années 50. C’estensuite l’opportunité foncièrecréée par la démolition de lafriche Leuridan à Tourcoing quioffre une belle occasion de dé-veloppement à la société cam-brésienne. Quinze années et 35salariés plus tard, France CakeTradition se décline en une sériede numéros, parmi les premiersdu top ten français : n° 5 sur lemarché des cakes sucrés, n° 2sur le marché des pains d’épices,

n° 1 sur le marché des cakessalés et, surtout, n° 1 sur celuide la pâtisserie bio « avec l’ob-jectif, à très court terme, de de-venir le leader européen »,précise Stéphane Debeunne.« Plus gros transformateur dematières premières bio de la ré-gion », celui-ci est passé trèsnaturellement des pâtisseries defacture classique au bio, « car,explique-t-il, nos produitsétaient déjà élaborés à partir derecettes traditionnelles sansconservateur ». Les cakes (ver-sion maxi ou mini), painsd’épices, madeleines, brownies,gâteaux aux pommes et moel-leux au chocolat certifiés AB

(Agriculture Biologique) repré-sentent aujourd’hui un bon tiersde la production totale. Promis,à brève échéance, à en consti-tuer la moitié, ils ne font pourautant aucune ombre aux autresdouceurs sorties des laboratoiresde France Cake, où « Tradition »se conjugue avec modernité et

exigence des contrôles qualité.Les amateurs de palets de dame,cakes cerises raisins et écorcesd’oranges, ou encore, pour pro-longer les fêtes, pains d’épicesspécial foie gras et spécial fro-mage, en salivent sûrementdéjà. e

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ÉPIDÈME. De son berceau Rena, à Houplines,aux unités de production tourquennoises deFrance Cake Tradition, le fameux mœlleux auxfruits a tracé son chemin, fait des petits et revêtu, au passage, le label bio.

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> France Cake Tradition, 112 A rued’Hondschoote (03 20 11 62 52) - Produits de moyenne conservationcommercialisés sous les marques Letemps des cerises et L’artisan pâtissieren grandes et moyennes surfaces etFrance Cake Tradition en magasins bio.

Du bon, du bio !

BRUN PAIN

C’est à un voyage à travers les traditions culinaires de six pays - l’Arménie etla Russie principalement, mais aussi la Grèce, la Turquie, l’Italie et la Bulgarie- que convient les étals de l’épicerie Massis ouverte par Norair Arakelian. Entreautres spécialités, les glaces russes ou encore le Noix Soudjour, délicieuseconfiserie arménienne.> Épicerie Massis, 17 rue du Brun Pain (09 53 83 31 23)Du lundi au samedi de 10h à 20h30.

Des étals multiculturelsORIONS

Les bureaux ont leur vallée…

Fournitures de bureau, papeterie, bureautique, informatique, mobilier… à prix discount : l’enseigne nationale Bureau Vallée devrait faire le bonheur des commerçants, artisans et entreprises du versant nord-est de la Métropole, commedes particuliers. Points forts du magasin : l’impressionnant choix de cartouchesd’imprimante, la possible simulation en 3D de l’aménagement de votre bureau et un stock de 80 % du mobilier exposé !> Bureau Vallée, 350 rue de Roncq (03 62 65 80 95)Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 et de 14h à 19h (non stop le samedi)

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ERRATUMLe salon de coiffure Hair Parady's se trouve 6 rue de Roncq et non 6 rue Saint-Jacques comme indiqué dans Label Ville 154.

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Dynamique

L’ouverture en janvier de l’hôtel B & B adonné le départ de la mise en servicede l’espace Altaïr, à l’angle du boule-

vard Allende et de la rue de Tournai (photoci-dessus). Le nouvel hôtel occupe en effetl’un des trois bâtiments de ce programme, lesdeux autres étant exclusivement dédiés autertiaire : au total, 3 385 m2 entièrement di-visibles pour l’accueil de bureaux aménagea-bles suivant les besoins propres à chaqueentreprise. Leur commercialisation est encours, de même que le rez-de-chaussée du 3e

bâtiment où s’installera un restaurant. Dansle prolongement de cette 1ère opération d’en-vergure réalisée par la Cirmad, filiale de dé-veloppement immobilier de Norpac, enpartenariat avec la SEM Ville renouvelée, un2e programme d’importance équivalente verrale jour le long de l’avenue Alfred Lefrançois,dans un quartier de la gare amené à changerradicalement de visage. Il s’agit de quatrebâtiments d’une surface cumulée de 6 900 m2.Majoritairement réservés au tertiaire, ilsaccueilleront deux hôtels d’entreprises, desactivités de services et de bureaux, maisaussi des professions artisanales et libérales.Les travaux de démolition et de voiriedébuteront au cours de ce trimestre pourpermettre la construction de deux premiersbâtiments, dont la livraison est prévue fin2011. Réalisé par Nacarat, société de promo-

tion immobilière du groupe Rabot Dutilleul,et par la SEM Ville renouvelée, ce programmebaptisé Alhéna combinera ossature bois enfaçade et performance énergétique BBC, dansle strict respect de l’environnement. Enfin,rue Fidèle Lehoucq, le bâtiment rouge occupéau rez-de-chaussée par Transpole s’apprête àrecevoir une grande entreprise de la région,deux plateaux de 300 m2 chacun restantencore disponibles (photo ci-dessus). e Nathalie Hausser

Altaïr d’abord et maintenant Alhéna, auxquels s’ajoutent1 200 nouveaux m2 de bureaux, rue Fidèle Lehoucq :dans un contexte économique rendu instable par lacrise et où les projets d’envergure se font rares, Tourcoing peut se targuer de continuer à séduire les investisseurs. Plus que jamais l’offre tertiaires’y concrétise et s’y étoffe, générant les activitéscréatrices d’emplois dont la ville a besoin.

Le Tertiaire Grande Vitesse sur les rails

14 300 m2C’est la surface cumulée deces trois nouvelles opérations.Par comparaison les 15 étagesde la tour Mercure en comptent17 500.

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Servicepublic

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C’est un record dont on se seraitbien passé. En 2010, les 100pompiers professionnels et 40pompiers volontaires de la ca-serne de la Chaussée MarcelinBerthelot sont intervenus 7 106fois, soit 9% de plus qu’en 2009(6 494 sorties) et de 12% deplus qu’en 2008 (6 297). « Ladisparition de certains servicesexplique peut-être l’augmentationdu recours aux urgences, s’inter-roge Vincent Bassimon, qui asuccédé l’été dernier à HughesLiagre à la tête du service dépar-temental d’incendie et de secours(SIDS) de Tourcoing. En tout cas,cela prouve que nous sommesefficaces. » L’événement le plusdramatique reste le terrible in-cendie de la rue de Dunkerque,en février 2010, où sont décédées

sept personnes (notre photo).Pourtant, les trois camions delutte contre les feux ne sontsollicités que dans 14% des cas.75% des interventions sont lefait des trois ambulances desecours et d’assistance auxvictimes. La caserne dispose enplus d’un véhicule de secoursroutiers (pour la désincarcéra-tion) et de véhicules spécialiséspour l’éclairage, la lutte anti-pollution et l’instruction. Tousces moyens sont mutualisés àl’échelle départementale. Lamoitié des ressources de lacaserne était ainsi mobiliséecontre le récent incendie del’entrepôt du Secours Populaire,fin décembre à Roubaix. e

Thierry Butzbach

PRÉVENTION. Lutte contre les incendies, secours aux personnes accidentées : le servicedépartemental d’incendie et de secours (SIDS)de Tourcoing ne ménage sa peine. En 2010, ses 140 pompiers sont sortis 600 fois par mois.

Courage et dévouement des sapeurs-pompiers

SUR LE FIL…Tourcoing conserve sa 4e fleur. C’estofficiel : pour la troisième fois depuis2005, Tourcoing s’est vu confirmer son label « 4 fleurs » par le Conseil National des Villes et Villages Fleuris.Cette distinction récompense l’implication de la Ville pour fleurir,embellir et respecter son patrimoinevert. Tourcoing conserve sa place dans le cercle très prisé des 205 villeslabellisées « 4 fleurs » en France. Prochain passage du jury dans troisans, avec l’objectif de la reconnais-sance suprême : la Fleur d’or.

Les Blouses Roses recherchent desbénévoles. Le CCAS de Tourcoing et l’association Les Blouses Roses recherchent des volontaires afin deconstituer une équipe d’animation bénévole qui interviendra à l’EPHAD

Les Acacias (dans le centre-ville, ruedes Carliers). Vous souhaitez vous engager pour apporter écoute, récon-fort, sourire et légèreté aux résidents ? > Contactez l’association (le matin)

au 03 20 44 59 63 - www.lesblousesroses.asso.fr

Vous aimez Tourcoing et voulez lafaire découvrir ? Devenez Greeter !Le Comité Départemental du Tourisme(CDT) du Nord lance un appel aux habitants ayant un peu de temps etsurtout l’envie de faire découvrir leurville autrement. Les « greeters », quine se substituent en aucun cas auxguides professionnels, sont des bénévoles qui souhaitent partager laconnaissance qu’ils ont de leur ville en général et/ou d’un quartier en particulier. Ils révèlent des lieux insolites et souvent cachés, racontent

leur histoire, la grande comme la petite,et indiquent leurs bonnes adresses.> CDT Nord (03 20 57 60 01) ou [email protected]

www.tourisme-nord.fr

92 614 Tourquennois. Les chiffres2011 du recensement de la populationsur le territoire tourquennois publiés,par l’Insee, indiquent que notre villecompte 496 habitants de plus qu’en2010. Chaque année, une enquête estorganisée par la mairie et l’Insee dansles villes de plus de 10 000 habitantssur un échantillon de leur population.Entre le jeudi 20 janvier et le samedi26 février 2011, un agent recenseur,identifiable grâce à sa carte tricolorecomportant sa photo et la signature dumaire, pourrait taper à votre porte.Merci de lui réserver le meilleur accueil.

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Le dossier

3 400C’est le nombre d’élèvesdu 1er degré concernés par

les ateliers de découverte culturelset sportifs (140 ateliers culturelset 70 ateliers sportifs) de la Ville

96 %C’est le taux des enfants

de CP devenus lecteurs grâceau dispositif Coup de pouce« club de lecture écriture »

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3 500C’est le nombre de visites qu’a reçues la Cyber-Base Emploi en 2010. Cet espace numérique accompagne toute personnedans sa recherche d’emploi, d’études, de formation, etc. au sein de la Maison de l’Emploi, 21 rue des Ursulines.

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Le dossier

La question éducative est centrale dans le projet que conduit l’équipe municipale pourTourcoing. Notre projet éducatif global, PÉGASE, doit amplifier, durant les 10 annéesqui viennent, un mouvement général et inédit de diffusion de la connaissance danstoutes ses composantes, parmi toutes les générations de la population tourquennoise,sans distinction, ni exclusive. Ce projet a été travaillé pendant deux ans par 400 partenaires. Une mobilisation sans précédent.

Label Ville : Voilà un mois, vous mettiez surles rails le projet éducatif global (PEG) de laville. Qu’est-ce que PÉGASE* ?Marie-Laurence Davoine : PÉGASE signifieProjet Éducatif Global Apprendre et SavoirEnsemble. C’est une charte écrite qui rendcohérents des dispositifs existants ou àinventer, d’où son cadre évolutif. Il se dé-cline à partir de fiches actions. Concrète-ment, il se présente sous la forme d’unefeuille de route. La philosophie de PÉGASEdépasse celle des PEG traditionnels puisqu’ilambitionne d’introduire une dimension édu-cative dans chaque acte relevant de la res-ponsabilité de la collectivité potentiellementconcernée. Il a bénéficié d’un travail trans-versal au niveau des services de la Ville etde l’implication de tous les élus. C’est unepriorité municipale, un portage politique

très fort. PÉGASE a été travaillé pendantdeux ans par 400 partenaires.

LV : Qui sont les bénéficiaires de PÉGASE ? M-L D : La Ville de Tourcoing et ses partenairess’engagent et œuvrent pour apporter aux habi-tants et à leurs enfants le meilleur du savoir etde la connaissance, à faire en sorte que tousles enfants disposent des mêmes atouts dansla vie. Cette ambition ne pourra se réaliserqu’avec la participation active des parents etleur implication au sein de la communautééducative. Mais, l’originalité de PÉGASE résideaussi dans le fait qu’il s’adresse à tous, pas seu-lement à ceux qui sont en difficulté ou en échecscolaire et également aux adultes car nous par-lons bien ici d’éducation tout au long de la vie.C’est ainsi qu’il touche les domaines de l’édu-cation permanente et de l’éducation populaire

en plus de ceux de l’enfance et de la jeunesse.Unique en son genre, il s’applique à l’échellede toute la ville, à toute la population.

LV : Quelle échéance pour PÉGASE ?M-L D : Tourcoing a développé depuis plus de20 ans une politique éducative volontariste etriche de projets autour de l’idée qu’il faut touteune ville pour élever un enfant. La montée enpuissance de la qualification des Tourquennoisest un pari sur l'avenir qui se traduit par plu-sieurs engagements chiffrés particulièrement si-gnificatifs dans une perspective à 10 ans, avecun premier point d’étape et de bilan en 2014.

Propos recueillis par Juliette Capet

* Le Projet Éducatif Global Apprendre et Savoir Ensemble (PÉGASE) a été adopté à l’unanimité lors du Conseil municipaldu 16 décembre 2010. Il est une des composantes essentiellesdu Plan de développement social porté par la Ville.

INTERVIEW. Marie-Laurence Davoine.Adjointe au maire déléguée à l’éducation

« Unique en son genre, PÉGASE s’applique àl’échelle de toute la ville, à toute la population »

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PÉGASE, du sens et des ailes

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Le dossier

L’éducation est une questioncentrale du projet de Tourcoing.La Ville y consacre 10 millionsd’euros soit quasiment 10 % deson budget. Ce choix s'expliquepar la nécessité de s'appuyer surdes fondations solides en termed'apprentissages individuels etcollectifs. Tout ce que la Villeentreprend en matière de déve-loppement urbain et écono-mique n’aurait aucun sens siTourcoing n’avait pas d’ambitiondans le domaine éducatif. Lespremiers signes d'une mutationéconomique vers le secteur del'image et des textiles du futursont là. La montée en puissancede la qualification des Tourquen-

nois est nécessaire pour releverle défi. Pour permettre à chaquehabitant de maîtriser son destindans un environnement en mu-tation, la Ville a initié un Projetéducatif pour toute la popula-tion qu'elle a nommé PÉGASE(Projet Éducatif Global Appren-dre et Savoir Ensemble).

Son objectif est de « faire le-vier » pour permettre à chacunde trouver sa place dans sa vieet dans sa ville, en commençant

par les plus jeunes, tout eninscrivant ce pari éducatif dansun projet global d’une ville plushumaine et plus facile à vivre. Ils’adresse à toute la population,en considérant que l’éducationet la formation se développenttout au long de la vie et que l’onpeut à tout moment « Apprendreensemble les uns des autres ».Pour réussir ce retournement detendance, c’est toute la ville quidoit devenir éducatrice. Luttercontre un ascenseur social enpanne et la reproduction desinégalités est un combat quiimpose de s’appuyer sur unedynamique territoriale partagée.La transmission des valeurs

citoyennes, le goût du savoir etde l’effort, l’épanouissementindividuel autant que le sens ducollectif ne s’arrêtent pas auxgrilles des écoles. Voilà la raisonpour laquelle la politique éduca-tive entend bien s’appuyer surPÉGASE, bâti autour de l’école,pour mettre en cohérence lesinitiatives éducatives, culturelles,sportives, que celles-ci soientimpulsées par la Ville ou qu’ellesviennent du monde associatif.En conjuguant les efforts, ondécuplera les chances de réus-site de chaque Tourquennois eton recréera ainsi les conditionsde l’équité. e

Le pari de l'éducation pour repenser la villedifféremment

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PÉGASE : l’éducationplus haut et plus loin

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Le dossier

Les apports culturels contri-buent au développement de toutindividu, à son épanouissementpersonnel, à l’émergence de sasensibilité et de sa créativité.Les toutes premières années dela vie jouent ici un rôle essen-tiel. L’éveil, l’ouverture condi-tionnent fortement tout le restede l’existence. Pour la Ville, ilest donc primordial de sensibili-ser les petits Tourquennois à larichesse et à la diversité desformes artistiques. C’est pour-quoi, Tourcoing offre à tous sesenfants la découverte de ses

structures culturelles et favoriseles pratiques artistiques pourtous. Une façon de leur fairedécouvrir des émotions et de lesaider à construire un jugementesthétique personnel.Tourcoing, ville des musiques,de toutes les musiques se devaitde mettre l’éducation musicaleau cœur de son projet éducatif.C’est chose faite depuis la ren-trée scolaire : le Plan Musiquetouche déjà 1 700 enfants (de lagrande section au CM2) par ansur les 6 900 scolarisés. La mu-sique favorise l’ouverture d’es-

prit, le plaisir, l’écoute et le dé-veloppement harmonieux de lapersonnalité. « Le nouveau pro-jet tourquennois a pour ambitionde permettre la pratique d’un ins-trument de musique à tous lesenfants scolarisés en primaire »précise Romain Daporil, musi-cien intervenant recruté par laVille, qui devrait, d’ici la fin del’année, coordonner une équipede quatre « dumistes ». Les du-mistes conçoivent, avec leséquipes éducatives, des inter-ventions à même de faire naîtrequelques vocations… e

Le sport au service de la société Parce qu’au-delà de ses apportsbénéfiques pour la santé, lesport et ses valeurs peuventêtre mis au service de chaquecitoyen, la Ville en a fait unoutil de promotion de la ci-toyenneté. Sur le temps scolaireet périscolaire (garderie dumatin et du soir et pause méri-dienne), aucune autre ville n’in-tervient autant à travers l’actionde ses éducateurs sportifs. Leurintervention favorise l’appren-tissage des valeurs éducativesessentielles, telles que le res-pect des règles, de l’arbitrage etde l’adversaire, l’esprit d’équipe,le sens de l’effort.

La maîtrise de la lecture, l’éveil à la musique ou aux plaisirs des mots. Ces miracles ne peuvent s’accomplir qu’à la condition de mobiliser la communauté éducative dans un projet partagé et durable pour réunir les conditions de la rencontre avec la Culture.

Développer la sensibilité de tous les enfants, c’est essentiel

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Un patrimoine scolaire publicen cours de rénovationEn octobre 2008, le maire lançait : « On n’est pas du tout exemplaire. »Depuis le début de son mandat, deux écoles ont été rénovées. Douze autressont prévues dans un programme dont il faut espérer qu’il ne souffrira pastrop des restrictions budgétaires imposées par le gouvernement.

Le dossier

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50 millions d’eurosC’est la somme allouée par la Ville

au plan de rénovation « lourde » deson patrimoine scolaire sur 10 ans.

Établissements publicsdu second degré :

des collectivités auchevet des enfants

Le Département, propriétaire des 203collèges publics du Nord, est en chargede leur construction, de leur rénovationet de leur entretien. Le Conseil général

du Nord construit à Tourcoing des établissements certifiés Haute Qualité

Environnementale (HQE) : • Rénovation et reconstruction

du collège Marie Curie (en cours). Coût estimé : 31 millions d’euros• Réimplantation et construction

du collège Lucie Aubrac(démarrage du chantier en 2010).Coût estimé : 20 millions d’euros• Réimplantation et construction

du collège Albert Roussel(prévu pour 2012).

Coût estimé : 18 millions d’eurosLa Région Nord-Pas-de-Calais,

en charge de 199 lycées publicsinvestit elle aussi dans le HQE.Après la construction du lycée

professionnel Le Corbusier achevéen 2008, le Conseil régional rénove

les lycées Gambetta et Sévigné.

Les travaux les plus importants sont ceux de l’école Lamartine. Ils ont concerné

l’extension, la mise en sécurité et l’accessibilité de l’école. Ce projet représente

46,5 % des dépenses de travaux dans les écoles en 2010.

Pour le premier degré, l’environne-ment bâti relève de la compétencede la commune. Dans ce domaine,les chiffres parlent d’eux-mêmes.En 2008, 788 000 € étaient inves-tis dans les écoles publiques contre5,7 millions d’euros en 2010. Uneenveloppe budgétaire similaire, quisera reconduite en 2011. Tourcoinga ainsi décidé, dès le début de cemandat, d’engager un programmede rénovation en profondeur desécoles de la ville pour les rendreplus agréables, mieux adaptéesaux pédagogies d’aujourd’hui, plusfonctionnelles. Ce plan qui s’étalesur 10 ans prévoit aussi de lesrendre accessibles aux enfants ensituation de handicap et à leurs

parents. Une école accessible àmoins de 500 m de son domicilepour chaque enfant handicapé,soit moins de 10 minutes à pied :voilà l’ambition du Plan d’accessi-bilité à réaliser avant 2015. Entout, 50 millions d’euros étalés sur10 ans sont inscrits au plan derénovation lourde du patrimoinescolaire initié par la ville. Enfévrier, les écoles maternelle etélémentaire Pasteur feront, aprèsLamartine (3,5 millions investis),l’objet de gros travaux, de mêmeque la maternelle Claude Bernardà la rentrée 2011.École élémentaire Lecocq en2009, école maternelle Lamartineen 2010, école maternelle Claude

Bernard en 2011 : les chantierss’enchaînent au rythme d’uneécole rénovée par an. Si la Villeattache autant d’importance etde soin à son patrimoine scolairec’est qu’elle veut offrir à tous lesenfants la même qualité d’accueilau sein des écoles primaires. Lecadre, le lieu où l’on étudie, lelieu où l’on grandit est impor-tant. Mais, il ne fait pas tout. Letravail accompli au bénéficed’enfants et des enseignantss’accompagne d’un lieu dédié àleurs parents favorisant leur in-tégration en tant que membresde la communauté éducative. Dixlocaux parents ont déjà été amé-nagés à la rentrée 2010. e

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Le dossier

JEAN GÉRÉ

VALENTIN LAUNAI

GWENAELLE HERMANT

MARIE-JO CATTELLE

PÉGASE est un cadre de référence auquel souscrivent les acteurs éducatifs autour de principes fondateurs et d’objectifs communs, en direction et au bénéfice des enfants, mais aussi des jeunes et des adultes pour leur développement personnel et collectif.Témoignages.

Élève en CM2à l’école Jacquard« Depuis les vacances de la Toussaint,chaque mardi et vendredi, je reste àl’école 1h30 après la classe. Avec mescopains Zinédine, Théo et Corentin, etmes copines Margaux et Selly, nous pre-nons le goûter dans la salle polyvalenteavant de faire nos devoirs, aidés par deuxanimateurs de la MJC Centre social La Fa-brique. Puis, lorsque nos leçons sontapprises, nous participons à 45 minutesd’ateliers culturels ou sportifs. Lorsquenotre professeur m’a proposé de partici-per au programme Diapason, j’ai tout desuite été volontaire. Je ne le regrettepas : je suis avec mes copains et je faismes devoirs mieux et plus vite qu’à lamaison. J’aimerais bien continuer aucollège si maman est d’accord. » e

En 3e au collège Lucie Aubrac« En 5e, j’ai tout de suite été partant poursoutenir la construction d’un collège àSaldé au Sénégal. Trois ans après, noussommes près de 30 investis dans la col-lecte de fonds car là-bas, les financementspublics ne suffisent pas. Cap Sénégalm’a permis aussi d’échanger via Internetavec Edouart Latyr N'Gom, scolarisé en 3e auCentre Arafat excellence de Dakar. Il me faitpart de ses goûts musicaux, de sa motiva-tion à reprendre ses études - il a 24 ans -et de sa vie dans son quartier du Grand Yof,l’un des plus pauvres de la capitale. Pourles Sénégalais, l’école est une chance. Ilss’entraident naturellement pour les devoirset sont très disciplinés. Leur collège estouvert 24h / 24. J’apprends beaucoup encomparant nos vies. Edouart est plus qu’uncorrespondant. Il est devenu un ami. Cetteexpérience m’a donné envie de continuerà m’engager auprès des autres. » e

Apprentie en CAPPetite Enfance « J’ai toujours été attirée par le travailauprès des tout-petits. Mais, on m’avaitdécouragée en me disant que c’était unsecteur qui n’embauchait plus. Onm’avait orientée vers la comptabilité. Çane me plaisait pas. Alors, je me suis ins-crite à la Mission locale. Je leur ai faitpart de mon souhait. Très vite, j’ai étéembauchée par le Centre social Belen-contre comme apprentie pour un projetde mode de garde atypique. Une vraiechance ! Je prépare un CAP Petite en-fance à l’AREP Jehanne d’Arc, en alter-nance. Je suis actuellement en stage detrois mois à la crèche Aquarelle jusquefévrier. Je n’étais pas prête à suivre delongues études. Pouvoir travailler vite etprendre mon indépendance, c’est ce queje voulais. Il est important de croire enses rêves. Le mien était de travailler dansce secteur-là. Chaque matin je me lèveavec le sourire en pensant à la journéequi m’attend. Que c’est agréable ! » e

Formée au Pôlemultimédiade la Bourgogne « L’informatique, j’y étais réfractaire ! Autravail, j’étais considérée comme dépas-sée. On me taquinait sans arrêt. C’étaitune situation très désagréable à vivre. Lesentiment d’être en décalage, c’est in-supportable à la longue… Je me sentaishandicapée par mon âge. J’étais mêmeincapable de donner mon adresse mail àl’issue d’une réunion ! Le déclic s’est pro-duit parce que je n’arrivais plus à suivre.J’ai appelé le Pôle multimédia dontj’avais entendu parlé. Ici, pas de moque-rie mais de l’écoute. Je me suis retrouvéeavec des personnes débutantes commemoi. Être formé, se faire accompagner,c’est important. C’est un lieu où on s’au-torise à poser des questions, à oser direqu’on a besoin d’avoir plus d’explica-tions. Ça rassure d’autant que les forma-teurs respectent le rythme de chacun. Àl’issue de six séances, je me sens déjàdécomplexée. J’ai même fait l’acquisitiond’un ordinateur. » e

Dossier rédigé par Juliette Capet

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L’année 2010 sera à marquerd’une pierre blanche pour leslutteurs de Tourcoing. Fondé en1938 et fort de 210 licenciés,le Lutteur Club de Tourcoing aconnu une saison exceptionnelle.Il faut dire que Rachid Ghilmanoua su montrer la voie. Le médailléde bronze des championnats dumonde de 1991 est d’abord sortimajor de sa promotion à l’examen

de juge international. Ensuite, ledirecteur technique et entraîneurdu club s’est offert son premierpodium vétéran aux champion-nats du monde, en août dernierà Belgrade. Il n’en fallait pasplus pour doper les ambitions del’équipe de lutte masculine, unediscipline qui se joue en douzerencontres. Au terme d’une saisondifficile, les lutteurs de Tourcoing

ont finalement remporté lechampionnat de France deuxièmedivision de lutte par équipe,synonyme de retour en premièredivision. « On accède à l’élitenationale que l’on avait quittéil y a quinze ans !», se réjouitMichel Deloor, le président duclub. Ancien athlète, l’ex-entraî-neur est revenu prendre les rênesdu club en 2004. Cette année,

l’objectif du club sera de semaintenir en D1, c’est-à-dire determiner parmi les huit premierssur dix du championnat. Gageonsque d’ici peu, les enfants deGilbert Deberghes viseront le titrenational, comme en 1984. e

Thierry Butzbach

> Contact Lutteur Club : Rachid Ghilmanou (06 35 32 75 98)

Le Lutteur Club de Tourcoing de retour parmi l’éliteLUTTE. Belle saison des lutteurs de Tourcoing qui remportent le championnat de France D2 et montent en première division.

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Le Nordique Floorbal Club organise pourla 1ère fois une manche du championnatde France de cette jeune discipline les 5 et 6 mars. Huit matches officiels sontprogrammés dans la salle Marie Curie,ainsi qu’un match de gala féminin. Prochedu hockey sur gazon, ce sport se joue àl’intérieur avec une crosse en fibre decarbone et une balle en plastique ajourée.Un mur de 50 cm entoure le terrain pourles rebonds. Chaque équipe est constituéede cinq joueurs plus un gardien. Mais lebanc des remplaçants peut compter unedizaine de joueurs supplémentaires quipeuvent rentrer sur le terrain le tempsd’une action. Fondé en 2004, le club defloorball de Tourcoing a remporté le titreen national 2e division la saison passéeet évolue cette année en 1ère division.

FLOORBALLGrand Prixde Tourcoing de lutte

LE RENDEZ-VOUS SPORTIF DU MOIS

Championnatde France

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La 7e édition du traditionnel Grand Prix de lutte fémininede la ville de Tourcoing se déroulera les 25 et 26 février au complexe sportif Léo-Lagrange. Le vendredi sera consacré à la pesée et aux réunions techniques, tandis que les combats se dérouleront le samedi toute la journée.Ce « mini-mondial » n’accueillera pas moins de 17 équipesnationales, avec notamment des athlètes venues de Russie,des États-Unis et de Chine. De nombreuses championnesdu monde et olympiques figurent dans les sélections étrangères qui tenteront de succéder à la Pologne, victorieuse de la compétition l’an passé. La sélection française sera composée de sept athlètes concourrant dans autant de catégories de poids. Les deux chefs de filedu club tourquennois, Anna Gomis (médaille de bronze aux JO d’Athènes et 3e aux championnats du monde 2010)et Shéhérazade Bentorki (3e aux derniers championnats dumonde universitaires 2010), devraient être de la partie. e

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Chaque année en France, 60 000personnes décèdent d'une « mortsubite », causée par une « fibril-lation ventriculaire », c'est-à-direun court-circuit électrique ducœur. Les sportifs ne sont pasépargnés. Dans l’urgence, le seultraitement est le choc électriqueexterne, que l'on appelle éga-lement la défibrillation. Le défi-brillateur automatique est unappareil électronique, simpled’utilisation, sécurisé qui analysele rythme du cœur et délivre unchoc électrique en cas de besoinc'est-à-dire si la victime est re-trouvée en arrêt cardiorespiratoire.Une victime d’accident cardiaquedoit être secourue dans les pre-

mières minutes. Six minutes… etc’est trop tard. Au-delà du gestemédical, l’utilisation du défibril-lateur relève du réflexe citoyen.La Ville de Tourcoing a ainsidécidé de s’équiper de défibrilla-teurs. Onze appareils sont au-jourd’hui accessibles dans des

bâtiments municipaux recevantdu public à Tourcoing : neuf Dé-fibrillateurs Automatisés Externesacquis par la Ville (Complexesportif Léo-Lagrange, Maison folie -Hospice d’Havré, MédiathèqueAndré-Malraux, Jardin Botanique,Théâtre Raymond-Devos, MUbaEugène Leroy, Conservatoire,ERSEP, Hôtel de ville) et deux dé-fibrillateurs semi-automatiquesfournis par le Conseil RégionalNord-Pas-de-Calais (L’Atelier etsalle de sports Dejonghe). Leurmise en place s’est accompagnéed’une formation du personnelmunicipal travaillant à proximité. e

Christelle Taczala

Des animations spécifiques, réso-lument orientées « sports collec-tifs » (futsal, tennis-ballon,volley-ball, basket-ball, handballmais aussi badminton) sont or-ganisées pour les jeunes Tour-quennois durant les vacancesscolaires d’hiver. Les séances ont lieu de 9h30 à12h et de 13h30 à 16h, du lundi21 février au vendredi 25 févrierdans la toute nouvelle salle ducollège Marie Curie rue PhilippeDe Girard et du lundi 28 févrierau vendredi 4 mars dans la salleDejonghe rue de la Latte.

Attention : les animations nefonctionnent pas les week-endset jours fériés et l’inscription sefait sur place les jours d’activités. Une animation roller est égale-ment programmée au skate-parkde L’Atelier, 81 rue des Piats, dulundi 21 février au samedi 5mars. e

CT

> Direction des Sports et des Bains, 15 rue de la Bienfaisance1er étage (03 20 36 08 59) ou sur www.tourcoing.fr

Sports

Des défibrillateurs dans les salles de sportet les bâtiments municipauxSANTÉ. La Ville équipe peu à peu ses bâtiments de défibrillateurs, accessibles et manipulables partous en cas d’accident cardiaque. Onze appareils sont actuellement installés, notamment dans troissalles de sport, dont les deux complexes accueillant le plus de public : Léo-Lagrange et l’Atelier.

SPÉCIAL ADOS. La Ville propose aux 10-18ans des activités gratuites encadrées par deséducateurs sportifs durant les deux semaines de vacances scolaires, du 21 février au 5 mars.

ÉQUIPEMENT SPORTIF

Le Tir ne rate pas sa cibleSportez-vous bien !

en revue

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Nouvelle distinction pour le Tir National de Tourcoing (TNT) : Jean-Claude Barrea remporté le championnat départemental de tir à 10 m dans sa catégoried’âge. Après les championnats régionaux, il devrait logiquement se qualifierpour les championnats de France d’Albi fin février. De bon augure pour le clubqui bénéficie de vastes travaux de rénovation menés par la Ville et qui espèreobtenir une palissade de protection de son stand de tir de 50 m. Objectif : l’homologation de la ligue et l’accueil de compétitions. En attendant,l’école de tir du TNT organise le critérium de tir aux armes les 19 et 20 mars.

> TNT, 199 rue de l’Yser(06 47 76 05 20)

> Témoin d’un arrêt cardiaque ? Appelez le 15, massez et défibrillez. Une minute gagnée,c’est 10 % de chances de survie en plus.

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Talents d’ici

Reine de la montagneLe plat pays qui est le nôtre a donné naissance à une championne de France des courses demontagne ! Normal : à 33 ans, Constance Devillers n’aime rien tant que la nature et le sport. Ses performances en font le chef de file incontesté de l’équipe féminine de l’US Tourcoing. Mais sa nature discrète refuse l’étiquette de leader.

La nature est son élément. ConstanceDevillers travaille depuis dix ans aujardin botanique de Tourcoing. Dans la

moiteur des serres pédagogiques, elle aimefaire découvrir aux visiteurs la grande diver-sité du monde végétal. Quand elle ne mani-pule pas la terre, elle initie les enfants à lateinture végétale. Une fois la journée detravail terminée, cette jeune femme de 33ans se consacre à son autre passion : le

sport. Toujours dans la nature. Courir en rondsur une piste n’est pas trop son truc. « J’ai commencé le sport très tôt. Judo, équi-tation, basket… Après il a fallu choisir. J’aigardé la course à pied », raconte celle qui futchampionne de France cadette de cross àVittel en 1994. Ses études à Lille, puis sonécole d’ingénieur agricole à Angers, l’éloi-gnent de la compétition. À son retour àTourcoing, elle reprend l’entraînement en

catimini. « Ça me manquait, je trouvais mavie trop “normale”. » D’anciennes copinesde club la croisent par hasard. Son ancienentraîneur Patrice Desrumaux la rappelle.Avec lui, elle replonge dans la compétition.

Discrète mais championne Le temps perdu est vite rattrapé. À forced’entraînement et de volonté, ses tempss’améliorent. En 2007, elle vaut 35’’30’ sur10 km et 2h42 au marathon. Mais son goûtpour la nature l’attire irrésistiblement versles courses de montagne, qui correspondent

plus à sa vision de la vie. Desépreuves d’une dizaine de km,avec de forts dénivelés, où lagestion de l’effort reste pri-mordiale. Son premier essaisera un coup de maître. En2008, elle remporte le titre dechampionne de France de la

discipline. Son titre lui ouvre les portes duchampionnat d’Europe, où elle termine 2e.Dans la foulée, elle se classe 9e aux cham-pionnats du monde. Un parcours hors normequi l’a mis un peu à plat. « J’étais à 200%au travail et à 200% à l’entraînement »,explique-t-elle comme pour s’excuser. Cettefatigue excessive explique les pépins phy-siques qui ont suivi et ses moindres résultatsdepuis (4e puis 3e aux championnats deFrance). 2011 sera l’année de la reconquête.Enfin requinquée, elle sera avec la sectionde l’US Tourcoing de Lille Métropole Athlé-tisme aux championnats de France et à lacoupe du monde de cross, qui se tiendronten février. Discrète, presque effacée, Constance Devil-lers n’a jamais réclamé d’aménagement deson temps de travail, ni cherché de sponsors.Elle court pour le plaisir. Mais son regardbleu en dit long sur la détermination de cepetit gabarit (1m67 pour 52 kg). Il en fautpour gagner sur des pentes à 24% alorsqu’elle s’entraîne sur les (petits) monts desFlandres. e

Thierry Butzbach

« J’ai commencé le sporttrès tôt. Judo, équitation,basket… Après il a fallu

choisir. J’ai gardé la course à pied »

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À88 printemps, la Grosse Louise a perdu deson éclat. Dans les années 50, elle faisaittourner la tête des jardiniers du square

Alexis Parsy. Il faut dire qu’à cette époque, elleétait au top de sa forme avec ses coursonnes1

généreuses. Mais, comme elle avait perdu de sasuperbe entre 1960 et 1985, la poire tomba dansl’oubli jusqu’au jour où des amoureux d’authen-tiques de la Direction des Parcs et Jardins,accompagnés par les spécialistes du Centrerégional de ressources génétiques (CRRG) del’ENR, ont entrepris de lui redonner ses lettresde noblesse, séduits par l’allure majestueuse decette palmette Verrier cinquantenaire. En mars,ceux-ci replanteront des scions2 issus desgreffons prélevés à Tourcoing il y a 25 ans. Mais,il faudra attendre quelques années avant depouvoir cueillir ces poires de couteau à chairblanche si juteuses et si fruitées sur les formespalissées d’antan, si lentes à conduire.Avec ses variétés anciennes de poiriers et depommiers savamment architecturées, le vergerhistorique de la Croix-Rouge recèle comme celui

de Lille, un patrimoine d’envergure nationale. Àce titre, sa préservation bénéficie des conseilsde Jacques Beccaletto, le responsable descultures du potager du Roi de Versailles quiconsidère que « c’est l’un des plus beaux vergersau Nord de Paris par ses formes et par son esthé-tique en général. » Pour lui redonner son allureoriginelle, les jardiniers de la Ville s’appuient surun relevé de 1947 qui reprend l’organisation del’arboriculture fruitière en carrés et qui liste avecprécision les variétés de fruitiers plantés ainsique leur forme. Par sa diversité biologique, lejardin fait l’objet d’une gestion différenciéedepuis 2008 en proscrivant les produits phyto-sanitaires. En 2010, une étude entomologiquea été menée et, cette année, trois ruches yseront implantées. e(1) Branches qui portent les fruits(2) Jeune arbre greffé depuis moins d'un an, qui se présentecomme une simple tige

Juliette Capet

> Verger municipal, square Parsy, rue de Lamartine. Pour en savoir plus : www.tourcoing.fr

Racines

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© Arch

ives

La renaissance de la palmette VerrierPARCS ET JARDINS.Classé par l’Espace naturelrégional (ENR) dans lesvergers historiques, le verger municipal de Tourcoing, créé en 1923permet de sauvegarder desvariétés fruitières d’antan.Chaque année, plus de2 500 enfants le visitent.Ils y apprennent ce qu’estun fruit, un arbre, commentles plantes se reproduisentet quels dangers les menacent (maladies, insectes nuisibles, changement climatique…).

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SPECTACLE. Chaque saison, plusieurs milliers d’élèves, collégiens, lycéens et étudiantsdécouvrent avec l’Atelier Lyrique le monde fascinant du spectacle vivant et plus particulièrement de l’opéra. Plus qu’une expérience pédagogique : un enchantement.

Un matin de janvier aucollège Lucie Aubrac. Aux élèvesen 6e SEGPA, Fanny Cousin de

l’Atelier Lyrique deTourcoing lance« Vous connais-sez Toy Story ? »

Les enfants : « Oui ! ».« Eh bien La Boîte à joujoux, c’estle Toy Story d’il y a cent ans ! »L’attention est captée. La séancepeut commencer. Après Les Mariés de la TourEiffel, ou Bastien et Bastienne,La Boîte à joujoux offre l’occasion d’untravail pédagogique inédit avec unjeune public de Tourcoing et d’ailleurs.

Dominique Lorthioir, professeur à Lucie Aubrac,inscrit ses élèves dans ce programme depuis

quatre ans : « On assiste à des répéti-tions au théâtre, avec les acteurs, lesmusiciens. Cela montre que lespectacle vivant ce n’est pascomme un dvd qu’on met enroute… Avant le spectacle, il y a

un vrai travail ! »En 1913, Claude Debussy faisaità Chouchou, sa fille de 8 ans,cadeau d’une musique pourillustrer son album préféré,

un joli conte initiatique signé AndréHéllé, et voulut en faire un spectacle.

L’intrigue est d’une simplicité en-fantine : un soldat aime une

poupée, mais la belle le trompe avec unpolichinelle. Christian Baggen à la mise enscène et Jean-Claude Malgoire à la directionmusicale aujourd’hui réinventent l’œuvreavec jubilation. En seconde partie : L’Histoiredu soldat offre un des chefs-d’œuvre les plussecrets de Stravinsky, celui où l’influence dujazz naissant se fait le mieux sentir. Et deuxperles de s’ajouter, au déjà long collier del’Atelier… e

Christelle Taczala

> La Boîte à joujoux de Claude Debussy, d’après le ballet pour enfants d’André Héllé. En deuxième partie : L’Histoire du Soldat d’Igor Stravinsky. Les 11, 12 et 13 février au Théâtre municipal Raymond-Devoswww.atelierlyriquedetourcoing.fr

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COUP DE CŒUR

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La Boîte à joujoux, un petit bijou !

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5e Week-end géant, entre jazz et arts forains

Vingt-huit géants pour la tradition de’ch’Nord, les troupes musicales et les fanfares de ruespour la musique… Un cortège de 400 figurants paradera de la rue du Brun-Pain à la Grand-Place sur un parcours de 2,5 km, les samedi 5 et dimanche 6 mars, départs à 15h. Le Week-end géant 2011, 5e du nom, la joue jazz manouche et arts forains. Avec, grosse nouveauté,un village de caravanes très seventies, place Hassebroucq et Parvis des arts pour des concertsde poche, avec, entre autres, les Ke01, petites machines de musique électronique. La musiquemécanique sera aussi à l’honneur avec des toy-pianos (pianos jouets), dispersés partout enville… on pourra même en jouer ! Pas en reste, les harmonies municipales répètent depuisquelques semaines avec la fanfare Balkan brass band pour offrir un concert public de musiquekelzmer à la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville, dimanche 6 en fin d’après-midi. e FL

> Week-end géant, samedi 5 et dimanche 6 mars. Renseignements : 03 20 28 13 20

Les préludes de Franz Liszt (dont on fête le bicentenaire de la naissance), Prélude et mortd’Isolde, Ouverture des Maîtres Chanteurs de Richard Wagner, Ma mère l’Oye et le très célèbreBoléro de Maurice Ravel : il faut tout le volume symphonique de l’Orchestre de Douai et ses70 musiciens pour restituer l’ampleur de ces œuvres légendaires. e FL> Concert symphonique de l’Orchestre de Douai - Région Nord-Pas-de-Calais,

mardi 15 février à 20h30 au Théâtre municipal Raymond-Devos (03 20 26 86 34)> Présentation du concert de l’Orchestre de Douai par Fabrice Parmentier, mardi 8 février à 20h à l’auditorium du Conservatoire (03 20 26 60 74)

ANIMATION. Déjà la cinquième édition du Week-end géant,unique en son genre. Comme l’année 2011 est très jazz, 25e édition du Tourcoing jazz festival oblige, les 5 et 6 mars auront une couleur très jazz, dixie, manouche et kelzmer.

Du coffre pour des trésors symphoniquesMUSIQUE. Ancien élève du Conservatoire, Fabrice Parmentier revientà Tourcoing pour diriger l’Orchestre régional de Douai. L’anciencontrebassiste conduira des œuvres fortes, dont l’indémodable Bolérode Ravel.

Un groupe tourquennois joueraaux Francofolies de La Rochelle2011 du 12 au 16 juillet. Belle reconnaissance pour dejeunes talents, le Grand Mix et Tourcoing.Jouer aux Francofolies de La Rochelle, est-ceune consécration pour de jeunes musiciens ?Tout à fait, c'est une expérience incroyable, et unechance quasi unique, pour un jeune groupe, de se produire sur la grande scène des Francofolies, devantplusieurs milliers de personnes. On peut parier que cepassage restera un moment marquant pour le groupetourquennois qui sera sélectionné. Il faut préciser que France Ô Folies est une opération particulière, nationale, de valorisation de jeunes musiciens issus devilles de banlieues françaises, et que le point d'orguede l'opération est ce passage aux Francofolies.

Peut-on aussi parler de tremplin pour le GrandMix puisque votre salle a été aussi retenue avechuit autres grandes structures françaises ?Oui, c'est évidemment un plaisir et une reconnais-sance d'avoir été approchés par France Ô et lesFrancofolies pour cette opération qui valorise lesjeunes musiciens tourquennois, et au-delà, la villede Tourcoing. Cette année, nous avions déjà travaillé en partenariat avec les Francofolies et la Sacem, sur une opération de mise en visibilitéd'artistes français « en développement » accompagnés par le festival des Francofolies via« Le Chantier des Francos ».

Tourcoing aura aussi droit aux feux de la rampe de la TNT avec un documentaire de 52 minutes sur France Ô, mettant en scène la ville vue par les membres du groupe retenu pour La Rochelle…L'objectif de France Ô Folies est aussi de contribuer àdonner une image positive des villes dont sont issusles musiciens, démontrer leur créativité...

Propos recueillis par Franck Leloir

> Cérémonie d’annonce des 9 lauréats (un par ville, ungroupe pour Tourcoing) à Paris, mi-juin.

Boris Colin, directeur du Grand Mix

3 QUESTIONS À

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Ils s’appelaient Robespierre, Saint-Just ou Collot d’Herbois. Membres duComité de salut public ils décidaientdu droit de vie ou de mort de leursconcitoyens. Danton fut l’un despremiers à tomber, en avril 1794. LaTerreur s’installait, implacable. NotreTerreur, elle, nous interroge aujourd’hui :jusqu’où sommes-nous prêts à nousengager en politique ? Aurions-nouscommis les mêmes crimes ? e FL> Notre Terreur, du 10 au 18 février au théâtre del’Idéal (03 20 14 24 24)

L’animation fait la fête… chez elle

Courts métrages, films d’animation, art numérique, jeux vidéo, expositions, rencontres, ateliers… la7e édition de la Fête de l’animation, traditionnellement lilloise, élira aussi domicile à Tourcoing, entrela Plaine Images et le Fresnoy. Une première. Depuis 2004, l’association Rencontres audiovisuellesmonte des ponts entre pros et grand public et fait connaître unart et une industrie méconnus du plus grand nombre. Entreactivités ludiques et pédagogiques, 45 heures de projections surtrois jours et des rencontres avec des artistes et des écolesd’envergure internationale, la Fête de l’animation attend aumoins 10 000 visiteurs. Avec le dessinateur Enki Bilal en invitéd’honneur, un focus sur l’Allemagne et un hommage au cinémajaponais avec Japanimation, la 7e fête de l’anim’ rappelle quedéjà 700 personnes travaillent sur la Plaine Images… en attendantl’ouverture de la Cité des Images fin 2011. e

Franck Leloir

> Fête de l’animation, du 17 au 20 mars, au Fresnoy et à la Plaine Images (03 20 53 24 84 /fete-anim.com). Pass journée, 6 euros, pour profiter de toute laprogrammation, navette bus gratuite.

Tournez manèges !ANIMATION. Le calendrier fait bien les choses : la foire d’hiver, présente troissemaines en centre-ville, passera le relais au Week-end géant placé sous le signedes arts forains, les 5 et 6 mars.

EXPOSITIONS TEMPORAIRES

« L’image manipulée » Jusqu’au 31 janvier

Galerie Nadar

Jean Prouvé et le progrès social Jusqu’au 6 février

Maison folie - Hospice d’Havré

Dépeindre Tourcoing, peintres natifs de Tourcoing

du XIXe au XXe siècle Jusqu’au 20 févrierCentre d’histoire locale

Gustave Dron (1856-1930)Jusqu’au 5 marsArchives Municipales-

Galerie Pierre-de-Guethem

Eugène LeroyExposition du Centenaire

Jusqu’au 31 mars MUba Eugène Leroy

De la Drôle de guerreà la Bataille de France

Jusqu’en avrilMusée du 5 juin 1944

Paquet de lumière, hommage à Eugène Leroy,

Patricia Dagbert, Muriel Kleinholtz,Boris Lafargue, Marine Scréve,

Janusz Stega (lire p. 27)Du 12 février au 10 avrilMaison folie - Hospice d’Havré

Solo Now (lire p. 27)Du 10 février au 24 avril

Le Fresnoy

Humazooïques (lire p. 27)Du 12 février au 7 mai

Galerie Nadar

EXPOSITION PERMANENTE

Histoire de TourcoingCentre d’histoire locale

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Têtesd’affiche

La foire d’hiver 2011 accueillera encore une vingtaine d’attractions, entre auto-tamponneuses pourjeunes conducteurs téméraires et nougats inimitables très courus des gourmets avertis. Des placesgratuites ont été remises par la Ville dans les écoles pour que les enfants puissent profiter aumieux des attractions, en famille. Avant les arts forains, la foire c’est déjà l’art de s’amuser ! e FL> Foire d’hiver, du 12 février au 6 mars, tous les jours de 15h à 20h sur le parvis de l’église Saint-Christophe (03 59 69 70 80)

La Terreur et nousTHÉÂTRE. 1794, ils sont douze à gouverner la France et à l’entraîner sur lechemin de la Terreur. A plus de deux siècles de distance, Notre terreur interrogeautant la Révolution que le théâtre lui-même et notre rapport au pouvoir.

ANIMATION. Depuis 2004 l’animation a sa fête annuelle. Tout ce que l’art del’animation a de films ou de jeux vidéo s’expose au grand public. Et mobilise aussiles professionnels. La Plaine Images et le Fresnoy l’accueillent tout naturellement.

© M

arie Froman

ger

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MÉDIAS

PEINTURE

PHOTOGRAPHIE

PEINTURE

> Solo Snow, du 10 février au 24 avril au Fresnoy (03 20 28 38 00)

> Dépeindre Tourcoing, peintres natifs de Tourcoing du XIXe au XXe siècle, jusqu’au 31 mars au Centre d’histoire locale (03 59 63 43 43)

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Œuvres et manœuvres de Michael SnowIl y a du trucage dans l’air au Fresnoy.Entre œuvres et manœuvres, l’artistetorontois Michael Snow joue de nous.Illusionniste dans ses décalages spacio-temporels, Snow déroute. Le Fresnoy achoisi une trentaine de photographies,projections et installations vidéo etsonores pour rendre compte de quaranteans de l’œuvre multiformes du pionnierdes arts médiatiques, qui fut d’abordpeintre et sculpteur. Artiste précurseurmondialement reconnu, Snow met àl’épreuve nos perceptions optiques,tactiles et sonores en bon musicien etcinéaste d’avant-garde qu’il est aussi.Artiste conceptuel Snow ? L’artistecanadien reste d’abord un amoureux del’Image. Et il nous invite à partager sonplaisir. e FL

Hommageà Eugène LeroyPaquet de lumière, nouvelle expositiondédiée à Eugène Leroy. Mais cette foiscinq artistes rendent hommage au célè-bre peintre. Pierre-Yves Bohm, artiste etenseignant à l’école supérieure d’art duNord-Pas-de-Calais, a connu et appréciéLeroy. Il a choisi cinq artistes qui lui res-semblent. Même quête de la lumière,mêmes gestes accumulatifs, proliférationde couleurs et de taches jusqu’à satura-tion, travail sur le temps, la mémoire,évocation de l’immatérialité… ces pein-tures sonnent comme « du » EugèneLeroy. « Eugène Leroy, c’était l’art et lavie. Du moment que ça parlait de la lu-mière il était content », raconte Pierre-Yves Bohm, commissaire de l’expositionà la Maison Folie Hospice d’Havré. « Ilaurait aimé, je crois. » e FL

Humazooïques :une trilogie photographiqueLe photographe Willy Del Zoppo est àl’origine d’une trilogie originale. Huma-zooïques se compose en trois parties : Dela nature des êtres, De la nature deschoses, De la nature de l’art (Académimes)dont les deux premières citées seront ex-posées à la galerie Nadar dès la mi-février.Humazooïques lui-même joue la règle destrois : l’homme comme objectif principalde la photo (huma), meli-melo délirant(zoo, au sens métaphorique), sériesd’images complémentaires et modulables(mozaïque). Willy Del Zoppo explore toutà la fois la cosmologie et la physique, lachimie et la biologie. En scientifique del’image. e FL

Si Tourcoingm’était exposé…Un siècle de peinture tourquennoise.Ils sont nés à Tourcoing, y ont vécu etont porté haut la peinture académique,l’école classique. Leur chef de file, AlfredDesplanques (1853-1930), « le Broutteuxde la peinture », connut un grand succès.Dervaux, Nys, Buffin, Lety ou Steelandtont représenté leur cité entre la fin duXIXe siècle et le XXe avec le mêmeréalisme, l’amour des gens et le goût dudétail. Ces artistes ont côtoyé lesmeilleurs maîtres, obtenu de grands prixnationaux, ont souvent suivi les Beaux-arts de Tourcoing… Talentueux, renom-més, ils auraient mérité l’épitaphe d’Ecolede Tourcoing. L’histoire est injuste ! LeCentre d’histoire locale rend un belhommage à ses maîtres alors que la der-nière rétrospective de ce genre remonteà 1931 ! Au milieu des tableaux, deuxateliers d’époque sont reconstitués, l’unpour le dessin, l’autre pour la peinture.On se croirait avant-guerre. e FL

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> Paquet de lumière, hommage à EugèneLeroy, du 12 février au 10 avril à la Maison folie - Hospice d’Havré (03 59 63 43 53)

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> Humazooïques, du 12 février au 7 mai à la galerie Nadar (médiathèque André-Malraux)

> INTERNET : http://www.muba-tourcoing.frFACEBOOK : MUba Eugène Leroy - Tourcoing (F)TWITTER : mubaeugeneleroy

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Nos idées de sorties…Pour sortir malgré les frimas de l’hiver, la rédaction vous suggère d’arpenterles salles d’exposition. Si ce n’est déjà fait, courez voir l’exposition consacrée à Eugène Leroy au MUba, que Télérama a qualifié d’« immense, l'égal de Rubens, de Rembrandt, de Giacometti, de Rothko... ». L’entrée du musée est gratuite pour les Tourquennois.

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Expressionpolitique

À TOURCOING LES FRANÇAIS D'ABORDLE PARTI DE LA FRANCE

GROUPE « UMP ET APPARENTÉS »« LE MODEM,

FORCE DE RÉSISTANCE ET DE REPÈRES »

Christian BAECKEROOTRené DECLERCQConseillers municipaux

Albine COURDENT - Gérald DARMANINÉric DENOEUD - Didier DROART Bertrand LEGRAND - Marie-Hélène LIARDAlexandra MAREEL - Jean-Marie VUYLSTEKER

Michel VAN TICHELENAdjoint au maire à l’économie et au centre-villeConseiller LMCU

Francis CATTEAUConseiller Municipal

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PROCHAIN CONSEIL MUNICIPALLe jeudi 24 février à 18h30

Cette séance est ouverte à toutes et à tous

7 VŒUX POUR 2011 RÊVONS ! VŒUX : FORMATION, EMPLOI, COMMERCE

1) Vœux personnels

Tous nos vœux de bonheur, santé et joiepour vous-mêmes et tous les vôtres.

2) Emploi

Un emploi pour chacun d'entre vous afin de par-ticiper à la vie sociale et de subvenir aux besoinsde votre famille, avec une pensée particulière pourles mamans qui se dévouent pour les généra-tions futures.

3) Sécurité

La possibilité de vivre paisiblement dans sonquartier sans craindre les bandes, les menaces etles agressions de toutes sortes.

4) La France et ses racines

Le respect de notre identité, de nos racineschrétiennes et d'une vraie laïcité qui ontpermis l'épanouissement de notre civilisation fon-dée sur la famille, le statut de la femme et la dis-tinction du politique et du religieux.

5) École

Le droit à un enseignement de qualité quiassocie enseignants et parents et respecte le librechoix des familles.

6) Solidarité

Le développement de la solidarité entre lesgénérations afin de bénéficier de l'expériencedes aînés, ne pas laisser aux générations futuresle poids d'une dette excessive, soutenir nos conci-toyens dans le besoin et permettre aux handica-pés de trouver des structures adaptées à leursituation personnelle.

7) Libertés

La liberté de pensée et le droit à une informa-tion pluraliste libérée du « politiquement correct »et de la domination financière.

Les élus et les membres de la liste « À Tourcoingles Français d'Abord  » (PARTI DE LA FRANCE)adressent ces vœux à chaque Tourquennois et àchaque Tourquennoise. Nous sommes à votre disposition pour vous ren-contrer et recueillir vos observations.

Rêvons, qu'en 2011, la majorité de gauche quigère notre ville arrête d'augmenter les impôtslocaux en même temps qu’elle arrête de dépen-ser inutilement l'argent des contribuables commece nouveau logo (400 000 euros) en 2010.

Rêvons que notre maire tienne ses promesses(enfin !) et cesse de cumuler mandats et fonctions :Maire, Vice-President de la Communauté Urbaine,Conseiller Régional, Président de la Sem, Présidentdu Conseil de surveillance de l'Hôpital, Présidentdu CCAS, responsable des CCAS nationaux,Président du Crrav, Responsable du Pôle image...Pour être complètement au service des Tourquen-nois...

Rêvons que la piscine Tourcoing-les-Bains ne soitplus en déficit, que l'on puisse se garer facilementen centre-ville, que les commerçants ne meurentplus, que le Centre commercial finisse enfin parouvrir et qu'il soit une réussite.

Rêvons que les MJC ne ferment plus, comme lamalheureuse MJC de la Malcense, que la ville soitenfin équipée de vidéosurveillance, que notre villearrête de s'endetter.

Ces rêves, nous vous les offrons pour cette nou-velle année, en saluant chacun d'entre vous et enespérant que vous puissiez connaître une annéepleine de bonheur et de santé...

Nous vous souhaitons une année 2011à la mesure de vos aspirations et de vossouhaits. Qu’elle soit une étape nouvelle et im-portante dans votre accomplissement personnel,familial et professionnel.La crise n’a pas marqué le pas en 2010. Notreville souffre d’une sous qualification chronique desa population. Le redressement de la situa-tion du pays, comme l’accès ou le retourà l’emploi de notre population, passentpar un système éducatif performant. Laville, au travers du projet Pégase, s’inscrit dans cedéfi que représente l’éducation pour nos enfants,pour nos demandeurs d’emploi. C’est, en cettepériode de vœux, un message fort de la munici-palité, un message d’espérance et de confiance.Bien sûr, il faut une mobilisation générale, que lespouvoirs publics soient au rendez-vous.Il faut concentrer les efforts et les moyens versceux qui connaissent le plus de difficultés et il fautle faire tôt parce que c’est tôt que c’est le plusutile. Tout commence à la maîtrise des fondamentaux,tout passe par là, mais tout ne s’arrête pas là.Pégase développe aussi les incitations à la créa-tivité de nos jeunes par la découverte, l’expéri-mentation et la pratique de la science, desdisciplines artistiques, des sports, facteurs d’épa-nouissement et de confiance en soi.De nombreux projets économiques verront le jourou se finaliseront cette année. Nous espéronsqu’ils accentueront le renouveau de Tourcoing etprofiteront à nos concitoyens. C’est autour del’emploi que la ville concentrera ses ef-forts.Nos commerçants ont subi les conséquences destravaux et ont manifesté leurs inquiétudes, leurimpatience. Nous réaffirmons notre convic-tion profonde, à savoir que le commercefait la ville, qu’il est vital pour son déve-loppement, pour son rayonnement.Nous formons le vœu que chaque Tourquennoissoit un acteur engagé de la réussite commercialede Tourcoing, de son centre-ville comme de sesquartiers et que nos commerçants, soutenus parla ville, retrouvent le sourire en 2011.

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GROUPE « SOCIALISTESET RÉPUBLICAINS »

GROUPE « L’ÉCOLOGIE, LES VERTS »GROUPE « COMMUNISTES,

RÉPUBLICAINS ET CITOYENS »

Bernard DESPIERREPrésident du groupe « Europe Écologie Les Verts »

Expressionpolitique

Catherine BACONAdjointe au maire déléguée à la Jeunesse et à la Vie associative

Dominique De CLERCQPrésidente du groupe

Cette rubrique ouvre, pour chacun des groupes officiellement représentés au sein du Conseil municipal, un espace d’expression identique. Les opinions exprimées,dans les limites du respect de la loi, n’engagent que leurs auteurs.

Label Ville 29

2011, ANNÉE SOLIDAIRE ET BÉNÉVOLE

DES FLEURS ET DES ARBRESPOUR LE DÉVELOPPEMENTDE LA BIODIVERSITÉ

À TOURCOING

2011 ?

En 2011, nous célébrerons l’année européennedu Bénévolat et du Volontariat et continuerons lecombat contre la Solitude, déclarée Grande causenationale.

Cette année mettra à l’honneur les nombreuxbénévoles que la Ville compte, qui s’engagentchaque jour et qui défendent les valeurs de soli-darité et de fraternité qui nous sont chères.

Ces hommes, ces femmes, fidèles aux principesqui les constituent et qui donnent de leur tempsaux autres, peuvent être considérés comme desexemples et ont encore beaucoup de choses ànous apporter.

Dans un contexte économique morose, difficilepour de nombreux Tourquennois, chaque geste,chaque attention portée envers l’autre est impor-tante. Les bénévoles et les volontaires, à traversleurs actions menées sur le terrain, apportent unecontribution significative à notre Ville.

Mais aujourd’hui, certaines associations tour-quennoises souffrent ou se voient freinées dansleur projet de développement. Les restrictionsbudgétaires imposées par l’État, les baisses subs-tantielles des crédits jeunesse et sport et duContrat Urbain de Cohésion Sociale entraînent degrandes difficultés financières qui impacteront for-cément le travail quotidien de nos milliers de bé-névoles.

Courant 2011, les États généraux de la Vie asso-ciative auront lieu à Tourcoing et j’invite tous nosbénévoles et salariés associatifs à y participer. Cemoment d’échange sera l’occasion d’échanger etde se mobiliser pour faire face aux défis de la vieassociative.

Que cette année soit bien celle de tous nos bé-névoles, qu’elle vise à développer et à valoriserl’engagement de tous nos concitoyens.

L’année 2010, Année Internationale de laDiversité Biologique, se termine bien pour lemaintien de la biodiversité à Tourcoing.

Le Conseil National des Villes et Villages Fleuris aconfirmé le label « Quatre fleurs » attribué ànotre ville depuis plusieurs années.

Son président honore notre cité dans les termessuivants : « Le jury a pu apprécier l’implication del’équipe municipale soutenue par celle desservices techniques pour améliorer la qualité devie des habitants. La reconquête des frichesindustrielles s’opère dans le cadre d’un projetglobal de rénovation urbaine avec l’ambition devaloriser le territoire et son image. L’attentionportée à l’harmonie des compositions floralesoffre une bonne lisibilité du fleurissement quis’intègre judicieusement au paysage urbain. Lesterre-pleins centraux font à ce titre l’objet d’untraitement paysager et floral d’une grandecréativité qui témoigne du niveau de technicitédes services. Le jardin botanique et les serrespédagogiques constituent des aménagements dequalité au service de la sensibilisation du publicdans les domaines du végétal et du développe-ment durable. »

Voilà une réelle et concrète reconnaissance dutravail accompli par nos jardiniers, c’est un en-couragement à poursuivre activement notre effortde reconquête de l’espace urbain par les milieuxnaturels.

2011 est consacré au renforcement denotre patrimoine arboricole.

Afin de renforcer les initiatives visant à promouvoirla préservation et le développement des forêts surle plan mondial, l’Assemblée générale des Nationsunies proclame 2011, Année Internationalede la Forêt.

S’il n’y a pas de forêt au sens propre du termesur notre territoire local, nos espaces publics sontpeuplés de plus de 15 000 arbres (le nombred’arbres peuplant les jardins privés n’est pasconnu).

Pour accroître encore ce potentiel écologique utileà l’humanité, nous devons ensemble, habitants,visiteurs et élus, être vigilants, volontaristes etdéterminés.

J’ose présenter mes meilleurs vœux à l’ensembledes Tourquennois (La droite au pouvoir est telle-ment dure qu’elle avait presque réussi à rendreimpossible de dire à quelqu’un « bonne année,bonne santé » sans avoir l’impression de parlerdans le vide).

Flanqué d’un ministre de l’intérieur condamnépour injure raciale, ce Président de la Républiqueest celui qui défend le mieux les intérêts de saclasse sociale : grosses fortunes et coffres-forts,depuis longtemps. De plus, il tient un langage deguerre, au monde du travail, aux pauvres, auxjeunes, aux Français d’origine étrangère, aux im-migrés, aux gens du voyage.

Si ça se trouve en début janvier 1789, clin d’œilde l’histoire, il y avait un autre chroniqueur qui sedemandait si la monarchie n’allait pas durer pourl’éternité. Et pourtant quelques mois plus tard enjuillet tout changeait… Et si je vous souhaitais unbon 14 juillet 2011 !

L’année 2010 a débuté avec la lutte des femmesde Pimkie. Elle se poursuit avec le grand mouve-ment social de l’automne. Élan d’espoir et de di-gnité de tous les grévistes et des millions demanifestants contre le recul de l’âge de la retraite,pour L’emploi, les salaires, et une vie digne pourles enfants ! Je vous y ai rencontrés nombreux.

Poursuivons le combat en 2011 pour prendre denouvelle bastille comme la bourse par exemple,ce serait pas mal ! Construisons-nous une bonneannée 2011.

Les élus communistes qui n’ont pas voté l’aug-mentation des impôts locaux comme l’a affirméde façon mensongère l’UMP dans le dernier LabelVille, vous invitent à signer leur pétition pour exigerdu gouvernement des moyens financiers pour leservice public, notre commune et à participer aurassemblement d’élus de gauche le 22 janvier2011 face à la préfecture de Lille à 10h30. Nousprésenterons au préfet nos vœux de colère,d’exigences de progrès social et de démocratie.

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À voir &à faire

Janvier Samedi 29

20h : SMT / Chartres, basket ball N2> Salle Decruyenaere

20h30 : STIB, Suites de Trajets Infra-humains Balisés, pièce de G. Damas,par La Virgule> Salon de Théâtre

Dimanche 3015h - 16h : Visite guidée

de l’exposition Eugène Leroy - Exposition du Centenaire> MUba Eugène Leroy

16h - 17h : MUba fa-milles, visite en famille au-tour de l’œuvre d’EugèneLeroy, dès 3 ans > MUba Eugène Leroy

15h30 : STIB, Suites de Trajets Infra-humains Balisés (voir au 29)> Salon de Théâtre

17h10 : Avant-premièred’Eugène Leroy - une voieroyale de la peinture, film d’A. Fleischer> Le Fresnoy

Février Du 1er au 5

20h30 : STIB, Suites de Trajets Infra-humains Balisés (voir au 29/01) > Salon de Théâtre

Mardi 1er20h : An Pierlé & White Velvet (Belgique) + AgnesObel (Danemark), pop> Le Grand Mix

Vendredi 420h : TLM / Poitiers, volley-ball Pro A> Complexe sportif Léo-Lagrange

Dimanche 615h : Visite guidée gratuite

> Maison folie - Hospiced’Havré

15h - 16h : Tous à l’atelier ! « Gratter, gommer,poncer : une autre manièrede dessiner » Atelier intergé-nérationnel, dès 3 ans> MUba Eugène Leroy

15h - 17h : Visite guidéeMUba Eugène Leroy et Centre d’histoire locale> Départ MUba EugèneLeroy

Mardi 820h : Avant-scène, présen-tation du concert du 15/02par F. Parmentier (lire p. 25)> Auditorium du Conservatoire

Mercredi 920h : The Phantom Band(Royaume Uni) + Mintzkov(Belgique), rock pop> Le Grand Mix

Du 10 au 18Notre Terreur, créationD’Ores et Déjà, par le Théâtre du Nord (lire p. 26)> Théâtre de l’Idéal

Jeudi 1012h30 : Croc'Arts autourd'Eugène Leroy, la pausegourmande du MUba café accompagné d'un conférencier, sur réservation(10 €)> MUba Eugène Leroy

Vendredi 1114h et 20h :

Sémaphores #12> Maison folie - Hospiced’Havré

20h : Fredrika Stahl(Suède), jazz pop> Le Grand Mix

20h : « Pour accompagnerEugène Leroy dans l'opacitéde la lumière » Création -Poésie de J. Darras > MUba Eugène Leroy

20h : La Boîte à Joujoux,ballet pour enfants de Debussy suivi par L’histoiredu Soldat de Stravinsky parl’Atelier Lyrique (lire p. 24)> Théâtre Raymond-Devos

À partir du 1215h à 20h : Foire d’hiver(lire p. 26)> Parvis Saint-Christophe

Les 12 et 1315h30 : La Boîte à Joujoux,ballet pour enfants (voir au 11/02)> Théâtre Raymond-Devos

Samedi 1214h30 : « 1888- 1891 :

Fourmies, du boulangismeau 1er mai tragique… »Conférence de P. Tabary par La Société Historique de Tourcoing et du Pays de Ferrain > Archives municipales

15h : Visite guidéesourds et malentendants de l’exposition Eugène Leroy- Exposition du Centenairesuivie d’une rencontre avecG. Nicosia, conservatrice-restauratrice avecSignes de Sens etTrèfle > MUba Eugène Leroy

Dimanche 1312h30 : Croc'Arts

autour d'Eugène Leroy (voir au 10/02)> MUba Eugène Leroy

15h à 16h : Visite guidée de l’exposition Eugène Leroy - Expositiondu Centenaire> MUba Eugène Leroy

15h : Atelier-visite Famillessourds et malentendants de l’exposition Eugène Leroy -Exposition du Cen-tenaire avec Signes de Sens et Trèfle > MUba Eugène Leroy

16h à 17h : MUba familles, visite en familleautour de l’œuvre d’EugèneLeroy, dès 3 ans> MUba Eugène Leroy

Lundi 1414h30 : « L’A380 : pourquoi ? » Conférence de M. Puyplat par l’ARIC> Maison folie - Hospiced’Havré

Mardi 1520h30 : Concert symphonique de l’orchestrede Douai - Appassionato (lire p. 25)> Théâtre Raymond-Devos

Jeudi 1720h30 : Jazz club

Géraldine Laurent Quartet « Around Gigi »> Maison folie - Hospiced’Havré

19h : Conversation « L’aménagement de la cuisine »> Atelier électrique

Vendredi 1819h : Veillées patoisantes

> Salle Georges Dael

20h : TLM / Sète, volley-ball Pro A> Complexe sportif Léo-Lagrange

Samedi 1920h : Gala de boxe thaïlandaise> Complexe sportif Léo-Lagrange

Dimanche 2015h à 16h : Visite

guidée de l’exposition Eugène Leroy - Expositiondu Centenaire> MUba Eugène Leroy

16h à 17h : MUba familles, visite en familleautour de l’œuvre d’EugèneLeroy, dès 3 ans> MUba Eugène Leroy

Lundi 2114h30 : Visite guidée

gratuite> Serres pédagogiques

15h15 et 20h15 : La Grèce continentale, film par Découverte dumonde (03 20 26 72 38)> Maison folie - Hospiced’Havré

20h : Lee Fields & The Expressions (USA) + Menahan Street Band Feat. Charles Bradley (USA), soul funk> Le Grand Mix

Mardi 2220h : Les Nuits de l’Alligator #6 avec C.W. Stoneking (Australie) + Timber Timbre (Canada), folk rock > Le Grand Mix

Mercredi 2320h : White Lies (Royaume-Uni) + Crocodiles (USA), pop rock > Le Grand Mix

Jeudi 2420h : Joan As PoliceWoman (USA), pop > Le Grand Mix

Vendredi 259h - 19h : Collecte de sang > Complexe sportif Léo-Lagrange

Samedi 269h - 12h30 & 14h30 -

19h : Grand Prix de lutte(lire p. 20)> Complexe sportif Léo-Lagrange

20h : SMT / CharentonSaint Maurice, basket ball N2> Salle Decruyenaere

Dimanche 2715h - 16h : Visite

guidée de l’exposition Eugène Leroy - Expositiondu Centenaire> MUba Eugène Leroy

16h - 17h : MUba familles, visite en familleautour de l’œuvre d’EugèneLeroy, dès 3 ans> MUba Eugène Leroy

Lundi 2814h30 : Visite guidée gratuite> Serres pédagogiques

En février & marsLes Chaudoudoux, marionnettes - Tous les mercredis à 14h30 et 16hDu 19 février au 6 mars : du lundi au vendredi à 14h30 & 16h> Théâtre du Hazard

du 20 février au 6 mars

La perruque envolée, marionnettes de 2 à 10 ans,par les KiwosDu lundi au vendredi à 14h30 & 16hLe dimanche à 15h - Relâche les samedis etjours fériés> Théâtre du Broutteux

MarsJusqu’au 6

15h - 20h : Foire d’hiver(lire p. 26)> Parvis de l’église Saint-Christophe

Jeudi 320h : Chali 2na (USA) +Jayfly Muzziq (France), hip hop> Le Grand Mix

Vendredi 420h : TLM / Cannes,

volley-ball Pro A> Complexe sportif Léo-Lagrange

20h30 : Bertrand DeRuyver fait son comic out,One man show par le Lions’sClub de Tourcoing Ravennes(03 59 63 43 53) > Théâtre Raymond-Devos

Galerie Pierre-de-Guéthem/Archives municipales 28 rue Pierre-de-Guéthem a 03 59 63 42 86 e L’Atelier électrique 118 rue de la Tossée a 03 20 23 17 10 e Atelier lyrique 82 bd Gambetta a 03 20 70 66 66 eBibliothèque du Brun Pain 100 rue du Brun Pain a 03 59 63 42 50 e Centre d’histoire locale 11bis place Ch. et A. Roussel a 03 59 63 43 43 e Conservatoire 6 rue Paul Doumer a 03 20 26 60 74 e EF2M 12bisrue du Moulin Tonton a 03 20 26 46 47 e Direction des Affaires Culturelles 100 rue de Tournai a 03 59 63 43 50 e Eshotel 17 place Roussel a 03 20 70 06 06 e Espace Ronny Coutteure IMPro 105 rue duRoitelet a 03 20 25 92 40 e Le Fresnoy 22 rue du Fresnoy a 03 20 28 38 00 e 36bis la galerie de l’école 36bis rue des Ursulines a 03 20 27 23 97 e Galerie Commune Lille3/Ersep 36bis rue des Ursulinesa 03 20 27 23 97 e Galerie Guy-Chatiliez 13 rue Claude Perrault a 03 20 25 54 87 e Grand Mix 5 place Notre-Dame a 03 20 70 10 00 e Maison folie - Hospice d’Havré 100 rue de Tournai a 03 59 63 43 53e La Boîte à spectacle 8 rue de l’Europe a 03 20 23 16 94 e Ludothèque de la Bourgogne 27 avenue Roger Salengro a 03 59 63 43 00 e Maison des associations - salle Georges Dael 100 rue de Lillea 03 20 26 72 38 e Médiathèque 26 rue Famelart a 03 59 63 42 50 e Médiathèque du Blanc Seau 285 bd Descat a 03 20 25 61 19 e Médiathèque de la Bourgogne 27 avenue Roger Salengro a 03 59 63 43 00e Musée du 5 juin 1944, message Verlaine 4bis avenue de la Marne a 03 20 24 25 00 e MUba Eugène Leroy 2 rue Paul Doumer a 03 20 28 91 60 e Office de Tourisme 9 rue de Tournai a 03 20 26 89 03e Pôle mutimédia de la Bourgogne 27 avenue Roger Salengro a 03 59 63 43 00 e Salon de Théâtre/La Virgule - Cie Jean-Marc Chotteau 82 bd Gambetta a 03 20 27 13 63 e Service animation 3 rue de l’Industriea 03 20 28 13 20 e Théâtre du Broutteux/Les Kiwos 11bis place Ch. et A. Roussel a 06 62 78 53 70 e Théâtre du Hazard/Pôle associatif 125 rue de Courtrai a 06 37 20 29 80 e Théâtre du Nord/Théâtre de l’Idéalrue des Champs a 03 20 14 24 24 e Théâtre municipal Raymond-Devos 1 rue Leverrier a 03 20 26 86 34

Label Ville30

Page 31: Label ville 155

Samedi 513h - 19h30 : Championnatde France de floorball (lire p. 20)> Salle de sports du collège Marie Curie

Dimanche 69h - 15h30 : Champion-

nat de France de floorball(lire p. 20)> Salle de sports du collège Marie Curie

15h - 16h : Tous à l'atelier ! « Exploration dumusée, auto-fiction et polar »Atelier intergénérationnel,dès 3 ans > MUba Eugène Leroy

Samedi 1215h : « Fais ton cinema »

ciné-concert avec le Dépar-tement jazz du Conservatoire> Médiathèque André-Malraux

20h : SMT / Vitre, Basket ball N2> Salle Decruyenaere

Dimanche 1315h - 16h : Visite guidée

de l’exposition Eugène Leroy - Exposition du Centenaire> MUba Eugène Leroy

15h30 : La Chauve-souris, opérette de Strausssous la direction de B. Membrey - Appassionato > Théâtre Raymond-Devos

16h - 17h : MUba familles, visite en famille autour de l’œuvre d’EugèneLeroy, dès 3 ans> MUba Eugène Leroy

Du 17 au 20Fête de l’animation (lire p. 26)> Le Fresnoy & La PlaineImages

Mardi 1520h : Concert en duo par J. Ternoy, piano et M. Delplanque, musiqueélectronique et improvisation> Auditorium du Conservatoire

Mercredi 1615h : Atelier numérique « Sois jeune et Pop up ! »dès 8 ans, sur inscription> Médiathèque André-Malraux

Jeudi 1712h30 : Croc'Arts

autour d'Eugène Leroy (voir au 10/02)> MUba Eugène Leroy

19h : Conversation « Rencontre entre P. Bouchain et F. Pavloff »> Atelier électrique

19h30 : La mégère à peu près apprivoisée, pièce d’après Shakespearepar La Virgule> Théâtre Raymond-Devos

20h30 : Récital de violoncelle et piano par H. Demarquette et B. Engerer - Appassionato> Auditorium du Conservatoire

20h30 : Jazz club LionelLoueke Trio> Maison folie - Hospiced’Havré

Vendredi 1819h : Veillées patoisantes

> Salle Georges Dael

20h : Création autour des œuvres d’Eugène Leroypar le Département jazz du Conservatoire > MUba Eugène Leroy

20h : TLM / Ajaccio, volley-ball Pro A> Complexe sportif Léo-Lagrange

20h : La symphonie inachevée n°8 en si mineurde Schubert suivie de Stabatmater de Rossini par l’AtelierLyrique > Église Notre-Dame desAnges

20h30 : La mégère à peu près apprivoisée(voir au 17/02)> Théâtre Raymond-Devos

Samedi 199h - 12h & 14h - 18h :

Critérium départemental de tir (lire p. 21)> TNT, 199 rue de l’Yser

10h - 11h30 : Livre-échange, rendez-vous autour des livres> Médiathèque André-Malraux

15h : Atelier numérique « Sois jeune et Pop up ! »dès 8 ans, sur inscription> Médiathèque André-Malraux

Dimanche 209h - 14h : Critérium

départemental de tir (lire p. 21)> TNT, 199 rue de l’Yser

12h30 : Croc'Arts autour d'Eugène Leroy (voir au 10/02)> MUba Eugène Leroy

15h30 : La symphonieinachevée (voir au 18)> Église Notre-Dame desAnges

Yves LegrandLe Paradoxe Rue d'Havré03 20 28 57 53

pour 4 personnes :Un pain d’épices aux noix et aux figues de chez France Cake Tradition (lire p.11)250 g de sucre cristaldes fruits secs : noix, noisettes, pignons, amandes, abricots secs, pistaches50 g de beurre demi-sel20 cl de crème UHT 35 % de MGUn œufGlace panacotta

LE GOÛT DES AUTRES

NUMÉROS UTILESUrgences

Mairie à votre service

> Mairies de quartieriBourgogne :17, rue Claude Perraulta 03 20 01 37 07

iBrun-Pain : 96, rue du Brun Paina 03 20 94 41 46

iBlanc Seau : Maison des Services285, bd Descat a 03 20 25 61 12

iFlocon :27, rue de Strasbourg a 03 20 26 61 59

> Hôtel de VillePlace Victor Hassebroucq a 03 20 23 37 00 - Du lundi au vendredi de 8h à 17h30

> CCAS (centre communal d’action sociale)7, rue Gabriel Péri a 03 20 11 34 34

> Pour un meilleur cadre de vie

SMUR et SAMU 15Police secours 17Pompiers 18> Commissariat

de police :6, rue de l’Industriea 03 20 69 27 27

> Police municipale :51, rue de Menina 03 20 36 60 19

> Pompiers :280, chaussée Berthelota 03 20 68 96 00

> Noramu :a 03 20 27 34 34

> SOS Mains :a 03 20 95 75 75

> Centre anti-poison :a 03 20 44 44 44

> Ambulanciers de garde :a 03 20 46 46 46

> Pharmaciens de garde : Commissariat de police

> SOS amitié :a 03 20 55 77 77

> SOS femmes battues :a 03 20 48 20 40

> Enfance maltraitée (numéro vert) :a 08 00 05 41 41

> Alcooliques anonymes :a 03 20 24 08 75

> Alcool assistance La croix d’or du Nord :a 03 20 32 81 99

> Ligue protectricedes animaux :a 03 20 70 69 20

> Dépannage électricité :a 0 810 333 159

> Dépannage gaz :a 0 810 433 059

> Urgence Eaux : a 03 20 49 41 00

> Éclairage public :a 0 800 880 454

Label Ville 31

Pain d’épices façon perdu au caramel de mendiant et sa glace panacotta

Prix d’un appel local

Numéro vert - gratuit

Numéro vert - gratuit

Un jeu d'enfan

t

> Préparation : • Dans une casserole, préparer le caramel, « à sec » : laisser fondre délicatement une mesure de sucre, puis rajouter unemesure, puis doubler en rajoutant deux mesures, puis quatre etainsi de suite jusqu’à finir le sucre.

• Quand le caramel est prêt, ajouter le beurre et mélanger, puis la crème. Un petit bouillon et stopper. Y jeter une poignée de fruits secs. Mélanger. Réserver.

• Préparer une soucoupe avec un œuf battu, une autre avec du sucre cristal. Passer rapidement une tranche de paind’épices dans l’œuf, recto verso, puis dans le sucre. Dorer au beurre des deux côtés dans une poêle anti-adhésive.

> Dressage : • Dans une assiette, préparer un lit de caramel. Y déposer une tranche de pain d’épices perdu. Décorerd’une boule de glace panacotta (ou vanille ou caramel ou spéculoos selon le goût) relevée d’une lichetted’Amaretto* (liqueur italienne… en option). *L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.

• Ajouter une pointe de chantilly. Terminer par quelques fruits secs.

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