Le Cheylas Infos - automne 2010

DOSSIER

Bien vivrela petite enfance

I N F O SSEMESTRIEL MUNICIPAL - N°55 - NOVEMBRE 2010

■ VIE MUNICIPALE

Du bio au restaurantscolaire

■ INITIATIVES

Un immeuble des Meyannesentre dans l’histoire

■ ACTUALITÉS MUNICIPALES

Réseau d’eau : maillageavec Pontcharra

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Le Cheylas pratique

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ServICeSMairie - Rue de la PosteTél. 0476 71 71 90Fax 04 7671 84 [email protected] du lundi au vendredi8h30 / 11h30 - 13h30 / 17h30(19h le mardi)

Groupe scolaire Belledonne120 route du RompayMaternelle, Tél. 04 76717750élémentaire, Tél. 0476717881

Groupe scolaire ChartreuseMaternelle, 88 place de l'Hôtel de VilleTél. 0476 71 80 79élémentaire, rue de la PosteTél. 0476 71 71 82

Halte-garderie« Les P’tits Loups »385 route du RompayTél. 0476 13 20 [email protected] du lundi au vendredi (sauf lemercredi) de 8h30 à 17h

Bibliothèque municipaleRue de la PosteTél. 0476 71 79 [email protected], de 10h à 12h et de 14h à 18hVendredi, de 15h30 à 17hSamedi, de 10h à 12h

Centre de LoisirsPlace de l'Hôtel de VilleTél. 0476 71 88 [email protected]

Déchetterie « la rolande »Route de La BuissièreLundi, de 14h à 18h (19h en été)Mardi et jeudi, de 8h à12hSamedi, de 8h à 12h et de 14h à18h(19h en été)Fermée les jours fériés

Communauté de communesLe Grésivaudan115 rue Louis Néel - 38926 CrollesTél. 0476 08 04 57Fax 0476 08 85 61

PerManenCeS en MaIrIeavocat-conseilMaître Boyer-Besson

1er vendredi du mois de 15hà 16hPrendre rendez-vous au 0476977497

architecte ConseilPierre Devouassoux

1er mardi du mois de 14h à 17hPrendre rendez-vous au 0476977497

Consommation LogementCadre de vieAssociation de défense desconsommateurs et des usagers : droit,consommation, logement,environnement, développementdurable, etc.Marie-Jeanne Eymery

4e jeudi du mois de 17h à 18hPrendre rendez-vous au 0476220638

Mission Locale JeunesAccueil, orientation et accompagnementdes jeunes dans les domaines del'emploi, de la formation, de la santé, dulogement et de la vie socialeVirginie Partiot

2e mardi du mois de 14h à 16hPrendre rendez-vous au siège de laMission Locale à Crolles.Tél. 0476080870

OPaC 38Malik Bouguetaia

Chaque lundi de 14h30 à 15h30Tél. [email protected]

OPaLe / aCTISPour les locataires OPALE / ACTISStéphanie Sarote

Sur rendez-vous au 0476259067

PerManenCeS au CenTreSOCIaL De La GareRoute du Rompay

Service d’aide ménagèreADPA - Aurélie Masnada

Tél. 04 76 71 82 05 ou 04 76 92 18 82

relais assistantesMaternellesCorinne Lugand

Permanence animation pour assistantesmaternelles et enfants: tous les mardisde 9h à 12hPermanence information pourassistantes maternelles et parents :le lundi de 16h à 19h, sur rendez-vousTél. 06 88 87 76 [email protected]

Protection maternelle etinfantile – Consultationdes nourrissonsMédecin et puéricultrice, prendrerendez-vous au 04 56 58 16 91

ServICeS exTérIeurSCentre Social rené Cassin21 rue Laurent Gayet38530 Pontcharra - Tél. 0476977979Ouverture du lundi au vendredide 8h30à 12h et de 13h30 à 18h

Centre de planification agathe16 place de la Résistance38530 Pontcharra - Tél. [email protected]

nuMérOS D’urGenCePompiers : 18urgences/SaMu : 15Police / Gendarmerie : 17n° d’urgence européen : 112Conseils médicaux – visiteà domicile : 0810 153 333

urgences dentaires :04 76 00 06 66

Pharmacies de garde :0476634255

Centre anti-poison :0472116911

GrDF urgence Sécurité Gaz :0 800 47 33 33

urgence dépannageélectricité : 0810333338

urgence veolia eau :0810000777

Le Cheylas Infos n° 55 - Novembre 2010 | Directeur de la publication : Roger COHARD

Directeur de la rédaction: Pierre ROBERT - Rédacteurs: Jocelyne ROUIS, Philippe DALBON, Arnaud MORIN, Cédric CONSTANTIN, Pierre ROBERT,

Jean BéREzNé - Photos: Robert MOUTARD, Pierre ROBERT, Cédric CONSTANTIN, Jean BéREzNé, Alain DARAMY, Philippe DALBON, Arnaud

MORIN. Dépôt légal: Nov. 2010 - Secrétariat de rédaction, conception et réalisation technique: www.atelier-111.fr, Barraux (38).

Tél. 0619627131. Imprimé sur papier recyclé avec des encres végétales par Alias à Poisat (38) certifié Imprim’Vert. Tirage: 1200 exemplaires.

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Par Sophie HuygheAdjointe, chargée de l’enfance et de la jeunesse

Le Cheylas Infos | Novembre 2010 | 3

travers les activités et les structures qu’elle propose, la commune deLe Cheylas marque l’importance qu’elle souhaite accorder tant à l’en-fance qu’à la jeunesse. Le Centre de Loisirs, par exemple, offre aux

enfants et aux adolescents, des ateliers et des activités durant les périodesscolaires et les vacances. Ce choix s’affiche également pour le premier âge,période parfois un peu oubliée dans certaines communes et qui s’avère pour-tant essentielle.

Notre commune a ainsi développé des infrastructures municipales qui permet-tent aux plus petits de s’ouvrir sur la vie. C’est le cas de la halte-garderie“Les P’tits Loups” qui accueille les enfants à partir de 4 mois et jusqu’à leurentrée à l’école: premiers pas vers la socialisation, la vie en collectivité, l’ap-prentissage du partage et celui de la séparation d’avec les parents, mais éga-lement développement de la motricité à travers les jeux et les diverses activitésproposées. De son côté, le centre de loisirs propose aux jeunes enfants unéveil à la musique par l’utilisation d’instruments à percussion, de chants, et unapprentissage des arts du cirque comme l’acrobatie, l’équilibre, etc.

La commune exprime également sa volonté de donner une part importante àl’enfance, à travers les subventions qu'elle accorde aux associations commele Judo club de Le Cheylas qui organise des cours de baby judo.

Le Cheylas met également des locaux à disposition des services qui sont pro-posés par le conseil général ou la communauté de communes LeGrésivaudan. À titre d’exemple, la PMI (Protection Maternelle et Infantile)assure des permanences au centre social de la gare, permettant ainsi auxparents ou futurs parents de discuter avec un médecin et une puéricultrice.Le RAM (Relais Assistantes Maternelles) offre des animations aux assis-tantes maternelles et aux enfants dont elles s’occupent et donne des informa-tions tant aux parents qu’aux nourrices.

Nous souhaitons que ce dossier consacré à la petite enfance permette auxparents de faire appel à l’ensemble des services proposés pour les petits de0 à 5 ans et à tous les habitants de mieux connaître et d’apprécier les effortsmis en œuvre pour cette tranche d'âge.

ÉDITOSOMMAIRE

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VIE MUNICIPALELes actualités municipales

Restaurant scolaireDu bio dans les assiettes de nosenfants

Rentrée scolaireFermeture d’une classematernelle

Voirie, aménagements…Un été propice aux travaux

Un service à la loupeMieux connaître la policemunicipale

Commission Cadre de vieValoriser la commune

ÉcolesDes ordinateurs tout neufs

Réseau d’eauMaillage réaliséavec Pontcharra

Risques majeursLe Plan Communalde Sauvegarde est en place

Forêt de la PercheUn patrimoine à entretenir

Coopération décentraliséeDeux Maliens à Le Cheylas

LE DOSSIER

Bien vivre la petiteenfance

INITIATIVESLa vie associative et locale

MémoireUn immeuble des Meyannesentre dans l’histoire

Formation de l’encadrementassociatif

La communeapporte son aide

Fête de la musiqueNouveau départ

Rencontre avecle chef du centre de secours

Guy Puglisi,la passion du métier

ÉcolesReconduction du cycle musique

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VIE MUNICIPALE

Restaurant scolaire

Du bio dans les assiettes de nos enfL’appel d’offres relatif à lapréparation des repas imposede nouvelles pratiques en faveurdu développement durable.Des mesures qui ont permisd’améliorer sensiblement leservice de restauration scolaire.

oucieuse d’offrir aux enfants unealimentation saine et équilibrée, lacommune travaille depuis plu-

sieurs années avec la diététicienneMarlène Brunet-Manquat. Sa missionconsiste à conseiller le traiteur du res-taurant scolaire et valider les menus.Elle tient compte également des fichesétablies par le personnel sur l’apprécia-tion des repas par les enfants.En 2010, la commission « Restaurationscolaire » a souhaité poursuivre sesefforts en élaborant un cahier descharges plus précis pour la confectiondes repas. Ce document a servi de baseà l’appel d’offres qui a vu le traiteur YvanSiaux bénéficier de la reconduction,pour un an, de son contrat pour la four-niture des repas du restaurant scolaireet de la halte-garderie.En dehors de la fourniture de repas dequalité et équilibrés, la commission asouhaité que les produits frais soientmajoritairement utilisés et que lesachats de fruits soient faits auprès desproducteurs du Grésivaudan. Les pro-duits dits de reconstitution agroalimen-taire, tels que les viandes hachées,cordons bleus, rissolettes, paupiettes…ne pourront pas être proposés plus dedeux fois par mois au restaurant scolaireet une fois par mois à la halte-garderie.

DES PRODUITS BIO SERVISRÉGULIÈREMENTLes viandes de première catégoriedevront être utilisées et la traçabilité deprovenance vérifiée. Les poissonsdevront respecter les principes depêche durable (par exemple, comptetenu de son mode de production le

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Panga a été exclu des menus). Les ali-ments génétiquement modifiés sontbien sûr proscrits tandis que des pro-duits « bio » et des pâtisseries« maison » seront servis régulièrement.Enfin, des animations seront proposéesà l’occasion de la semaine du goût ou

des fêtes comme Halloween, mardigras…Afin de vérifier le respect du cahierdes charges, un élu de la commissioneffectue chaque semaine une visitesurprise à l’heure du repas. Même sile repas de l’élu n’est assuré qu’en

Le traiteur du restaurant scolaire en pleine action

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inies les vacances ! Sourire auxlèvres ou larmes au coin des yeux,le cartable gonflé de bonnes réso-

lutions, les jeunes Cheylasiens ontrejoint leur école le 2 septembre.Peu de changements dansles équipes enseignantes.Seule l’école élémentaireBelledonne connaît unemodification importanteavec le départ de ValérieBibollet. C’est PierreGuignouard qui la rem-place pour assurer la direc-tion. Karine Cochet prendraen charge la classe desCM1-CM2. À noter égale-ment les arrivées sur lacommune de Michelle Pierard-Bila,Audrey Bernouin, Véronique Dufour etChristelle Sassoulas pour assurer destemps pleins ou partiels dans les diffé-rents groupes scolaires.Côté effectifs, on remarque une relativeaugmentation : 360 élèves pour cetterentrée contre 347 élèves l’an dernier,

soit 4% de plus. C’est l’école élémen-taire qui enregistre la plus forte progres-sion : 20 élèves. Les maternellesenregistrent de leur côté une légèrebaisse: 7 enfants de moins. Pour termi-

ner ce bilan chiffré, on peutrelever que c’est le groupescolaire Chartreuse quiprogresse le plus : sur les20 nouveaux inscrits 12 lesont dans ce groupe (9 enélémentaire et 3 en mater-nelle).L’autre fait marquant decette rentrée est la ferme-ture d’une des trois classesde l’école maternelleBelledonne. Décidée au

printemps par l’inspection académique,cette fermeture réduit à deux classesl’accueil des 57 enfants, soit pratique-ment 30 par classe. De plus, chaqueenseignante doit désormais assurerdeux niveaux: petite et moyenne sec-tions pour l’une, moyenne et grande sec-tions pour l’autre. n

Pierre Guignouard,nouveau directeur

Roger Cohard, le jour de la rentrée, dans la classedes « Grands » de la maternelle Chartreuse.

cas d’absence d’un élève, ces visitespermettent de vérifier le bon fonction-nement du service et constituent uncontact hebdomadaire avec le person-nel, le traiteur et les enfants. Cettepratique se poursuivra sur l’annéescolaire 2010-2011. n

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Rentrée scolaireFermeture d’uneclasse maternelle

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VIE MUNICIPALE

COUP DE JEUNE DANS LES ÉCOLESLes vacances d’été sont la périodeidéale pour les travaux de rénovation.Cette année, tous les groupes scolairesont pu en bénéficier.Maternelle Belledonne : remplacementdes sols de trois classes, d’un bureau etdu hall.Maternelle Chartreuse : remplacementdes sols d’une classe et de la salle dejeux.élémentaire Chartreuse: remplacementdes sols de trois classes.élémentaire Belledonne: réfection des

peintures de deux salles de classes.Le coût de ces travaux réalisés par l’en-treprise Sabella (Le Cheylas) s’élève à39000 € pour les sols et 12550 € pourles peintures.Par ailleurs, la chaufferie du groupe sco-laire Chartreuse, alimentant égalementla bibliothèque, le centre de loisirs, lasalle de la poterie et la salle de judo, aété remplacée au cours de l’été par unechaudière à gaz à condensation d’unepuissance de 130 kW pour un montantde 51000 €. La mise en place de la nou-velle chaudière équipée de régulation a

été confiée à l’entreprise Morot (Saint-égrève).

UNE CUISINE AUX NORMESPOUR LA PRÉPARATION DES REPASDU RESTAURANT SCOLAIRE

De gros travaux ont été réalisés cet étépour mettre la cuisine attenante augroupe scolaire Belledonne en confor-mité avec les nouvelles règles et normessanitaires. Des espaces fermés pour laplonge, la découpe des légumes et lacuisson ont été créés.D’un montant global de 33000 €, ces tra-


Voirie, aménagements…

Un été propice aux travaux

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vaux ont été confiés à plusieurs entre-prises de Le Cheylas : l’entrepriseMengolli (sanitaire et plomberie :7500 €), l’entreprise Sabella (peintureset faïences: 9800 €), l’entreprise Brunet-Manquat (électricité : 4200 €) et l’entre-prise Villot (cloisons et menuiseries :11500 €).

AMÉLIORATION DES STRUCTURESPOUR LA PETITE ENFANCE

Dans le prolongement du jardinet de lahalte-garderie, un espace extérieur a étécréé pour l’accueil des enfants du Relais

Assistantes Maternelles (RAM). Réalisépar l’entreprise AVP (Saint-Martin-d’Hères), l’aménagement consiste en lapose d’un sol amortissant, de dalles enbéton et de bordures pour un montant de23470 €. Un passage entre les deux jar-dins facilite la rencontre des enfants desdeux structures.Par ailleurs, l’ensemble des locaux de lahalte-garderie - dortoirs, sanitaires,bureau et hall d’entrée- a été entière-ment repeint par la société MEVSRhône-Alpes (Le Cheylas), pour unmontant de 7200 €.

COUP DE FRAÎCHEURPOUR LA SALLE DE JUDOCet été, les peintures ont été refaites etpour faciliter l’entretien de cette salle, lesol sous les tapis a également été peint.C’est l’entreprise Ital’Deco (Le Cheylas)qui s’est chargée de ce travail pour unmontant de 7400 €.

RÉFECTION DES ABRIBUSAU TROUILLET ET AU VILLARD

Détérioré lors d’un accident avec un car,l’abribus du Trouillet a été reconstruit parl’entreprise Gimet Charpente (Froges)pour un coût de 2096 €. Quant à la toi-ture de l’abribus du Villard, elle a étéentièrement refaite (charpente bois ettoiture zinc) par Grésivaudan Charpente(Le Cheylas) pour un montant de9500 €.

ACHÈVEMENT DE PLUSIEURSAMÉNAGEMENTS

En juin dernier, les travaux du Marcieu sesont terminés. Trottoirs confortables etlampadaires à LED participent à l’amélio-ration du cadre de vie. Les plantations,prévues au croisement de la rue duMarcieu et de la rue du Stade, seront réa-lisées cet automne.L’entrée sud de la commune s’est profon-dément modifiée et a été rendue à la cir-culation au mois de juillet. La création durond-point impose maintenant une zonede ralentissement et améliore la sécuritédes accès au quartier des Chaberts et àla route du Bouchet. Les espaces vertsprévus tout autour et sur le rond-pointseront aménagés cet automne. Quantaux nouveaux arrêts de bus« Chaberts », ils ont été intégrés sur leslignes de transports par la communautéde communes Le Grésivaudan.Suite à la demande de riverains, un pla-teau ralentisseur a été mis en place àl’entrée du lotissement du Rompay pouraméliorer la sécurité des enfants. C’estl’entreprise Colas (échirolles) qui s’en estchargée pour un coût de 10765 €. n

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répressif.De par sa présence sur le terrain et saconnaissance de la population, lapolice municipale a la capacité d’anti-ciper et de prévenir les troubles à l’or-dre public.Il n’y a aucun conflit de mission maisune franche collaboration, chaque ser-vice ayant ses propres attributions. ÀLe Cheylas une convention de coordi-nation a d’ailleurs été signée avec lagendarmerie nationale afin d’assurerun meilleur service public.

Quelle est la formation des policiersmunicipaux?Il n’y a aucune condition d’âge pourêtre policier municipal. Cependant, lecandidat doit être titulaire au minimumd’un diplôme de niveau V (Brevetd’étude ou C.A.P) pour s’inscrire auconcours qui comporte trois évalua-tions : écrite, physique et orale. Le can-didat est notamment soumis auxquestions d’un maire, d’un magistrat,d’un psychologue et d’un chef de ser-vice de police municipale.Une fois le concours en poche, le can-didat doit être ensuite recruté par unemunicipalité en qualité de stagiaire.Dans un délai d’un an, il devra suivreune formation initiale d’application

Quel est le statut des policiersmunicipaux?Le policier municipal est un fonction-naire de la fonction publique territo-riale. La loi du 15 avril 1999 redéfinitson statut et place officiellement lapolice municipale comme l’une descomposantes des forces de l’ordre, àcôté de la police nationale ou de lagendarmerie nationale.De par l’article 21 du Code deProcédure Pénale, il est égalementagent de police judiciaire adjoint et adonc pour obligation de rendre

Un service à la loupe

Mieux connaître la police municipaIls sont connus de tous:à tous moments du jour,parfois même de nuit, onles croise. Mais qui sont-ilsvraiment? Quel est leurrôle dans la commune?Nous avons recueilliplusieurs questions poséespar des habitants et lesavons transmises à BernardHumbertclaude et SuzanneCastiglioni, nos policiersmunicipaux.

VIE MUNICIPALE


compte, par procès-verbal ou rapport,de tous faits délictueux ou criminels auMaire ainsi qu’à l’Officier de PoliceJudiciaire compétent territorialementsur la commune d’emploi.

Qui est le « patron » de la policemunicipale?Contrairement à la police nationale età la gendarmerie, placées sous l’auto-rité de leur ministre de tutelle, la policemunicipale est placée sous l’autoritédirecte du Maire. Celui-ci délègue sespouvoirs au policier municipal pourqu’il assure le bon ordre, la sûreté etla salubrité publique.En matière de police judiciaire, il estplacé sous l’autorité de l’Officier dePolice Judiciaire de la police nationaleou de la gendarmerie nationale territo-rialement compétent sur la commune.

Quelles sont les spécificités de lapolice municipale par rapport à lapolice nationale et la gendarmerie?C’est une police de proximité qui esten mesure d’apporter à la populationdes réponses rapides et concrètes àses attentes.Elle a donc une mission de préven-tion, de coopération avec l’usager. Ellea également un rôle dissuasif puisCollaboration avec la gendarmerie

Présentation au Maire du rapportd’activité

Fou afin


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ENVIRONNEMENTEntretiendes chantournesChaque été, l’A.S.S.R.G.* procède àl’entretien du réseau de fossés etcanaux situés dans la plaine del’Isère. Ces travaux sont nécessairespour maintenir le bon écoulementdes cours d’eau et éviter tout risquede débordement lors des fortes pré-cipitations. Ils consistent à éliminerpar broyage la végétation qui enva-hit les « chantournes ».« Chantournes »? On appelle ainsiles fossés et canaux créés auXIXe siècle dans la plaine de l’Isère.À cette époque, ces fossés qui« tournaient autour des champs »

drainaient et assainissaient les ter-rains alors marécageux. On entrouve plusieurs sur notre commune,notamment celle qui longe sur plu-sieurs kilomètres la voie ferrée.De nouvelles réglementations envi-ronnementales concernent l’entre-tien des cours d’eau et obligent àmettre en œuvre des techniques debroyage en alternant l’entretien desberges : une en juin-juillet, l’autredurant l’hiver. De même, la végéta-tion n’est plus broyée jusqu’à l’eaude manière à préserver la faunevivant dans le fond des chantournes.Outre ces travaux de broyage,l’A.S.S.R.G. réalise régulièrementdes curages, des confortements etdes réaménagements de berge.*L’Association Syndicale de SupérieurRive Gauche regroupe les communesde Pontcharra, Le Cheylas, Goncelin,Tencin, Le Touvet, Saint-Vincent-de-Mercuze et Sainte-Marie-d’Alloix.

En bref

comportant soixante-dix jours de coursobligatoires et quatre semaines destage dans plusieurs structures admi-nistratives avec lesquelles l’agent serasusceptible de travailler (gendarmerie,police, douane, administration péniten-tiaire, services sociaux…).À l’issue de cette année, l’agent seratitularisé dans son poste. Il devra alorssuivre une formation continue de dixjours minimum obligatoires par périodede cinq années.

Quelles sont les missions de la policemunicipale?Les policiers municipaux assurent desmissions de police administrative (sur-

veillance des habitations, entrée etsortie des écoles aux endroits dange-reux, sécurité routière, sécurité desdéfilés, cortèges et courses, interven-tion sur les alarmes des bâtimentscommunaux, protection de lanature…) et des missions de policejudiciaire (constatation de toutes infra-ctions aux lois pénales et recueil detous renseignements permettant dedécouvrir leurs auteurs, compte-renduà leurs chefs hiérarchiques descrimes, délits ou contraventions dont

ils ont connaissance, constatationdirecte par procès-verbal des contra-ventions au code de la route).

Quels sont leurs moyens d’action?Lorsqu’il est recruté par une commune,le policier municipal est d’abord agréépar le Préfet et le Procureur de laRépublique. Il est ensuite assermentépar le Juge d’Instance. Pour répondreaux besoins ou attentes du Maire, ilpeut également être assermenté oucommissionné pour constater et répri-mer les infractions particulières pré-vues par certains textes légaux(urbanisme, nuisances sonores…).Le policier municipal doit agir en tenueréglementaire (fixée par décret) et cir-culer à bord d’un véhicule identifiable.Lors de la constatation d’une infractionqui relève de sa compétence, il rédigeun procès-verbal sous forme d’un écritou d’une amende forfaitaire. S’il n’estpas compétent, par exemple pour undéfaut de permis de conduire ou d’as-surance ou une interpellation en fla-grant délit, le policier municipal rédigeun rapport d’information et de mise àdisposition qu’il transmet à l’Officier dePolice Judiciaire.

Les policiers municipaux sont-ilsarmés?Le décret du 24 mars 2000 autorise lepolicier municipal à porter un armementdit de sixième catégorie : matraque typebâton de défense ou tonfa. Il peut éga-lement être équipé d’armes de 4e caté-gorie, telles que revolvers (calibre 38spécial) ou pistolets (calibre 7,65) oupistolets à impulsion électrique.La catégorie de l’armement reste à ladiscrétion du Maire puis est soumise àl’autorisation du préfet quant à sadétention et à son port en service surle territoire communal. Quel que soit letype d’arme portée, le policier estsoumis à un entraînement et à uncontrôle régulier.À Le Cheylas, les policiers municipauxsont porteurs d’une matraque et d’unebombe à gaz incapacitant. n

Fouille d’un dépôt sauvage de déchetsafin d’identifier son auteur


a commission fixe les grandeslignes et orientations, aidée duresponsable des services

techniques. Ses décisions sont issuesde réflexions concertées et touchentaussi bien au fleurissement, à la miseen place du mobilier urbain (banc,jeux…), aux décorations de Noël, qu’àl’attribution du nom des rues.Les travaux de la commission ont ainsidébouché récemment sur le remplace-ment du jeu à grimper de la ZAC desVignes par un jeu identique appeléDiabolo, sur la mise en place d’undeuxième jeu à ressort et la pose dedeux bancs supplémentaires.Au cimetière, le banc, trop dégradé, aété changé, tandis qu’un tulipier seraplanté dans la cour intérieure de lamaison de quartier.Le nouveau rond-point des Chabertsfera l’objet à l’automne d’un aménage-ment permettant de limiter l’entretientout en respectant les normes de sécu-rité imposées par le Conseil général :utilisation de vivaces, de plantescouvre sol et de graminées, et créationde relief. Les bordures extérieuresbénéficieront également de plantescouvre sol ainsi que de charmilles,d’érables et de noisetiers tortueux.

DÉCORATIONS DE NOËLCOMMANDE EN JUILLET!La commission a procédé en juillet àl’achat des illuminations de Noël des-tinées aux nouveaux secteurs à amé-nager : le rond-point des Chaberts, laZAC Belledonne, ainsi que le quartierdu Marcieu et la rue des écoles qui

La commission « Cadre devie » veille à l’aménagementet l’embellissement del’espace dans la commune.Elle participe ainsi audéveloppement d’un cadreagréable à vivre.

VIE MUNICIPALE

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ont fait l’objet de travaux. Enfin, desguirlandes seront installées dans larue des Capucines.Au chapitre des projets, la commissiona commencé à réfléchir sur la réfectiondes panneaux de signalisation desentreprises installés sur le parking dela Tour et au quartier de la Gare (versles feux). Vétustes, ceux-ci ne sontplus à jour. L’idée est de trouver unsystème d’affichage en harmonie avecle cadre de la commune, facile d’utili-

sation pour les usagers et permettantla mise à jour des entreprises.En projet également, l’aménagementdu rond-point des Vignes.Bien sûr tout ne peut pas être réaliséen même temps. La commission doitdéfinir des priorités. Réfléchir, décideret mettre en place demande du temps.Un travail de longue haleine lié aubudget de fonctionnement votéchaque année en conseil municipal etqu’il convient de ne pas dépasser. n

Commission Cadre de vie

Mission : valoriser la commune


VOYAGELes CM2 à Paris :c’est reparti ! On l’a cru menacé de disparition, il n’ena rien été. Le Centre de loisirs de LeCheylas a pris le relais et remplacé lesécoles pour organiser cette tradition-nelle sortie qui clôt l’année scolaire.Samedi 29 mai, 5 heures sonnent auclocher quand Gaétan Demarcq, res-ponsable du secteur jeunes du Centrede loisirs donne le signal du départ. Ilest accompagné de 2 parents et 4animateurs. Après un transfert en carjusqu’à la gare de Chambéry, legroupe de 36 enfants et leurs accom-pagnateurs embarquent à bord d’unTGV qui les déposera au cœur deParis vers 9 heures.

Visite de la tour Eiffel, pique-nique surle Champ de Mars, croisière sur laSeine, remontée de l’avenue desChamps Élysées, coup d’œil à l’Arcde triomphe, visite pédestre deMontmartre. Une journée dense maisappréciée. 19 h 00, déjà l’heure desonger au retour. À 23h nos voya-geurs sont de retour et commencentà conter leur odyssée aux parentsvenus les attendre.Journée réussie qui laisse espéreraux futurs CM2 que cette tradition siappréciée se renouvellera durant lesannées à venir.

En bref


ÉcolesDes ordinateurstout neufs

En cette rentrée, les élèvesdes écoles élémentairesont découvert desordinateurs tout neufs.

ors du vote du budget 2010, lacommune avait décidé de renou-veler intégralement le parc infor-

matique des écoles élémentaires. Lematériel existant avait bien rempli sonrôle ; certains ordinateurs avaient unedizaine d’années de fonctionnement etmalgré une maintenance régulièreassurée par le responsable de la com-mune, ils n’avaient plus la condition phy-sique pour poursuivre la course. Leconseil municipal a préféré changer toutle matériel en une seule fois afin d’avoirun parc homogène. Renouveler chaqueannée une partie du matériel aurait eneffet conduit à des équipements auxcapacités disparates.La commune a choisi de s’adresser à lasociété spécialisée BSO de Sainte-Hélène-du-Lac. Elle bénéficie ainsi d’uninterlocuteur local (pour les éventuellespannes) et a pu être conseillée sur letype de matériel avant l’achat. Quant aucoût, il s’est révélé inférieur à celui dela grande distribution pour le mêmematériel.Il était prévu d’équiper chaque classe dedeux ordinateurs, soit dix-huit postes.Consultés, les enseignants de l’écoleChartreuse ont opté pour des ordina-teurs portables (dont un pour la direc-

L

trice), afin de pouvoir travailler engroupe. Une liaison Wi-Fi permettra auxonze postes de se connecter au réseaude l’école. Les ordinateurs voyagerontd’une classe à l’autre en fonction desbesoins et seront stockés chaque soirdans une armoire blindée.L’école Belledonne a préféré quant àelle installer deux ordinateurs fixes parclasse, les enseignants privilégiant unaccès quotidien au matériel. Les huitordinateurs peuvent communiquer surle réseau de l’école et se connecter enmode sécurisé à Internet. Comme àl’école Chartreuse, ils utilisent la photo-copieuse comme imprimante. La com-mune a en effet renouvelé l’ensembledu parc des photocopieuses des écolesl’an dernier. Ces nouvelles machinessont plus performantes et moins coû-teuses que les imprimantes classiques,grandes consommatrices de cartouchesd’encre.Ces ordinateurs qui bénéficient des der-nières avancées technologiques per-mettront aux enseignants d’utiliserfacilement les ressources d’Internet. Parailleurs, ils ont été équipés de logicielslibres. Outre une importante économiepour la commune, ce choix permet dedémontrer aux enfants qu’il est possibled’installer gratuitement des logicielslibres de droit et qu’il est inutile de « pira-ter » les logiciels commerciaux.L’équipement informatique du directeuret des directrices a également étérenouvelé, ce qui leur permettra d’ac-complir les tâches administratives dansles meilleures conditions. n



VIE MUNICIPALE

Réseau d’eau

Maillage réalisé avec PontcharraUn raccordement a étéeffectué avec le réseau dePontcharra afin de garantirl’approvisionnementdu réseau d’eau communal.

est chose faite. Depuis cetteannée le réseau communal est rac-cordé au réseau d’approvisionne-

ment en eau potable de Pontcharra.Cette commune dispose en effet d’im-portantes ressources en eau potable,tant en qualité qu’en quantité. Ce raccor-dement assure à Le Cheylas une sourced’approvisionnement à titre de secourset la garantie de toujours disposer d’eaupotable.Le réseau communal d’eau potabletrouve sa source dans la nappe phréa-tique. Depuis 1991, le puits situé dans lequartier de la Gare permet d’assurer unapprovisionnement abondant et de qua-lité. Les deux pompes (de 73 m3/h cha-cune) qui équipent ce puits refoulentl’eau dans le réservoir principal d’unecontenance de 1000 m3. Vingt heures depompage d’une seule pompe suffisent àalimenter les besoins quotidiens de lacommune. La seconde pompe n’est uti-lisée qu’exceptionnellement à titre desecours.

NOTRE TALON D’ACHILLE: UN SEULPOINT DE CAPTAGEPosséder un seul point de captage rendnotre système, par ailleurs performant,vulnérable. Les eaux utilisées pour leréseau communal sont en effet expo-sées à plusieurs risques de pollution oumenacées par les activités humaines.En cas de pollution brutale dans le sec-teur du captage, la commune pouvait seretrouver sans eau de consommation.Depuis le raccordement avec le réseaude Pontcharra, ce risque n’existe plus.Préalable indispensable aux travaux,une délibération des conseils munici-paux de Pontcharra et Le Cheylas offi-cialisait l’accord en avril dernier. La posede la canalisation en polyéthylène de

160 mm de diamètre et de 4,1 km delong a bénéficié d’une opportunitéunique: en effet ERDF* devait réaliserdes travaux d’enfouissement entre lesecteur de la Rolande et Pontcharra. Lacanalisation d’eau a donc été poséesous le câble électrique, à une profon-deur de 1,30 m dans la même tranchée.Les entreprises Moulin TP, EGPI etSER2E ont effectué la pose des deuxréseaux -eau et électrique- qui n’anécessité qu’une seule opération. Une« trancheuse » a creusé la tranchée etposé le tuyau d’eau et le câble dans sa

gaine en les recouvrant de sable. Puiselle a posé les grillages avertisseurs(plastiques de couleur destinés à signa-ler la présence des réseaux en cas defuturs travaux). Il ne restait plus qu’àremblayer et compacter à l’aide d’unepelle mécanique.Pour l’ensemble des travaux un seul etmême appel d’offres avait été lancé réu-nissant trois maîtres d’ouvrage: ERDF,la commune de Pontcharra et la com-mune de Le Cheylas. Ce montage apermis de gagner en rapidité et d’obte-nir une diminution des coûts. Les deuxcommunes ont pris en charge la partie“eau potable”, pour un montant de126422 €: 2/3 par Le Cheylas et 1/3 parPontcharra qui en a profité pour amélio-rer son réseau. n*électricité Réseau Distribution de France.

LC’

En une seuleopération

l’impressionnantemachine procède

à l’enfouissementdes réseaux.



VIE MUNICIPALE

Risques majeurs

Le Plan Communalde Sauvegarde est en place

Le Cheylas achèvede mettre en place sonplan de gestion de criseen cas de risques majeurs,rendu obligatoire parla loi du 13 août 2004.

e Plan Communal de Sauvegarde(PCS) expose la politique munici-pale de gestion des risques

majeurs. En vertu de ses pouvoirs depolice, le maire doit en effet assurer lasécurité de ses administrés sur sa com-mune. Le PCS est un document àl’échelle de la commune. Il permet d’or-ganiser rapidement et efficacement lesréponses adaptées lorsqu’un événe-ment majeur survient. Qui fait quoi,quand et comment en cas de crise.Conçu en collaboration étroite avec lecabinet Alp’Géorisques, il vient complé-ter le plan de prévention des risques

Le Dossierd’InformationCommunal sur lesRisques Majeurs(DICRIM) sera

bientôt distribué à toute la population.Ce document de quelques pagesrecense les risques sur le territoire dela commune et décrit les mesures desauvegarde prévues. Il est à conserverprécieusement!Vous y trouverez:• les mesures de prévention,protection et sauvegarde;

• les consignes de sécurité;• les modalités d’affichage;• les modalités d’informationde la population.

Prochainementchez vous

Lrisque d’inondations de l’Isère, de cruestorrentielles et ruissellements, de mou-vements de terrains ou de ruptures debarrages.Puis vient l’établissement de l’organisa-tion destinée à recevoir, traiter et diffuserl’alerte et les informations à la popula-tion. Un recensement des compétenceshumaines et des moyens techniquessusceptibles d’être mobilisés doit égale-ment être établi.Une cellule de crise (le poste de com-mandement) et plusieurs cellules de ter-rain avec les missions qui leur incombentdoivent être définies. On distingueranotamment :

• La cellule Intervention qui évalue lasituation, recueille et fait remonter lesinformations, réalise les réparationsnécessaires, gère la logistique tech-nique…

• La cellule Population qui organisel’accueil et l’hébergement des sinis-trés, prend en charge l’éventuel ravi-taillement, met en place des soutiens.

• La cellule Communication qui réper-cute l’alerte, gère les moyens detransmissions et les communicationsavec la population et les médias.

Enfin, intervient la réalisation des outilspratiques permettant de mettre enœuvre ces missions. n

naturels prévisibles que la communepossède déjà. Pour réaliser ce docu-ment essentiel, plusieurs étapes complé-mentaires sont nécessaires.Tout d’abord, un diagnostic des risquesauxquels la commune est exposée doitêtre fait. En plus des risques liés autransport de matières dangereuses, auxincendies, phénomènes météorolo-giques et aux risques industriels,Le Cheylas est surtout menacé par le

Les zones à risques pourles glissements de terrains(d’après PPRN 2007)

Risque de glissement

“moyen”

Risque de glissement

“faible”

Risque de chute

de blocs


En juin, les travaux dereboisement de la forêt dela Perche ont été évalués.

es conseillers municipaux ont

ainsi parcouru la forêt de la

Perche. Ils étaient accompagnés

de Messieurs Bouclier-Grollo et

Orrechioni, garde forestier et responsa-

ble de l’unité Office National des Forêts

ainsi que Monsieur Renand, technicien

forestier.

Cette forêt a été achetée en 2005 à

M. Exartier pour un coût de 41400 €. La

parcelle compte un peu plus de 21 hec-

tares qui se sont ajoutés aux 9 hec-

tares déjà propriété de Le Cheylas. Elle

est située sur le territoire communal,

en haut du massif de Bramefarine,

entre les forêts de Morêtel-de-Mailles et

de Pontcharra.

Dès 2009, d’importants travaux ont

permis d’éliminer les arbres malades

afin qu’ils ne contaminent pas les

arbres sains. C’est la société spéciali-

sée en sylviculture Renand qui a été

chargée de reboiser les espaces libérés

soit une surface totale de 3,4 hectares.

1 020 résineux ont été plantés à la

pelle mécanique dont 574 épicéas,

226 mélèzes, 220 Douglas.

Sur d’autres secteurs, trop pentus pour

les engins, il a fallu intervenir manuel-

lement. 606 feuillus y ont été plantés :

502 sycomores et 104 merisiers.

Un contrat de gestion d’aménagement

VIE MUNICIPALE

L

Forêt de la Perche

Un patrimoine à entretenir


Le plan du reboisement

Érables, sycomores et merisiers

Érables et sycomores

Épicéas et mélèzes

Semis naturels

Sapins Douglas

Reboisement manuel

Reboisement à la pelle mécanique

forestier a été mis en place avec l’ONF.

Son but est de veiller à l’entretien de la

forêt : éclaircir pour que les arbres

grandissent mieux, éliminer la végéta-

tion qui étouffe les jeunes pousses,

définir les secteurs à reboiser…

Loin de représenter une ressource (ce

n’est que dans une ou deux généra-

tions que les premières coupes de bois

pourront être réalisées) ce patrimoine

forestier permet à la commune de pré-

server un équilibre entre espaces

naturels et espaces urbanisés. n


PRÉVENTIONFormationsaux défibrillateurs

Comme nous l’avions indiqué dansle semestriel d’avril 2010, la com-mune est maintenant équipée dedeux défibrillateurs : l’un près de l’en-trée principale de la salle des fêtes,rue du Stade, l’autre près de l’entréeprincipale de l’école Belledonne,route du Rompay.Des formations à leur utilisation sontprogrammées. Elles s’adressent nonseulement aux responsables et ani-mateurs d’associations mais aussi àl’ensemble de la population. Vouspouvez d’ores et déjà vous inscrireen Mairie.

COMPLEXE SPORTIFUn nouveau gardien

Suite au départ d’Esteban Navarro,Jean-Charles Ricard devient le nou-veau gardien du complexe sportif.D’origine marseillaise, « Charly » apris ses fonctions le 25 août dernieret met son dynamisme et sa bonnehumeur au service des habitants.Contact pour une réservation desalle : 0678432741

En bref


Coopération décentraliséeDeux Maliensà Le Cheylas

Dans le cadre la coopérationdécentralisée, deux Maliensse sont rendus en juilletdans notre communeà la rencontre des acteurscommunaux.

iche en échanges. Tel est le par-tenariat entre Le Cheylas,Pontcharra, La Rochette, Saint-

Pierre-d’Allevard, Saint-Maximin et lescommunes maliennes de Dembella,Blendio, Benkadi, Tella.Après la visite au Mali en novembre2009 de la délégation conduite parRoger Cohard, ce fut au tour du nou-veau chef de projet de l’ARCADE,Moussa Diakite et du chauffeur-facto-tum, Lamine Traoré, de venir à la ren-

R

contre des membres de l’association etde la coopération décentralisée, du 3 au17 juillet.Pour Moussa Diakite qui a été accueillià la mairie le 12 juillet, l’objectif était decomprendre le fonctionnement descommunes en France et de rencontrerles acteurs -élus et personnel commu-nal - pour être plus efficace sur le terrain.Pour Lamine Traoré, il s’agissait d’unemission technique destinée à faire de luiun technicien de l’eau apte à intervenirdans les communes maliennes. Eneffet, celles-ci ne disposent pour lemoment que de personnel administratif.Au Mali, le projet se poursuit, les deuxactions les plus importantes étant ledémarrage prochain de l’adductiond’eau de Mémissala et la dynamisationdu CIAGE (Centre Intercommunald’Appui à la Gestion et à l’évaluation).Six associations viennent déjà réguliè-rement faire le suivi de leur comptabilitéet de nombreuses formations ont étélancées sur la gestion de ces structures.Bernard Seigle-Ferrand, présidentd’ARCADE, aura passé tout le mois dejuin sur place pour appuyer Moussadans la mise en œuvre de ces projets.Vous pourrez retrouver ARCADE le14 novembre, pour son Assembléegénérale qui se tiendra à Le Cheylas.L’occasion de faire le point sur leprojet. nRetrouvez également toute l’informationsur http://affinitiz.com/space/uneterre

Outil de gestion du fontainier de Dembella

Moussa Diakite, le nouveau chefde projet, en séance de travail

avec Bernadette Bouziat, pendantsa visite en mairie, le 12 juillet.


DOSSIERDOSSIER

Période importante pour la formation de la personnalité et ledéveloppement de chacun, la petite enfance est l’âge despremiers apprentissages et des premières rencontres avec lemonde extérieur. À Le Cheylas, plusieurs structures proposentleurs services à destination des moins de 6 ans. Tour d’horizon.

l’équipe, de pouvoir imaginer le déroule-ment de la journée. L’objectif est d’établirune relation de confiance.L’enfant quant à lui se sent en sécurité en

permet aux parents de faire connais-sance avec l’équipe d’encadrement,d’échanger sur les habitudes de l’enfant,d’apprécier la façon de travailler de

epuis 1997, la halte-garderiemunicipale « Les P’tits Loups »

accueille jusqu’à 15 enfants de 4 mois à4 ans. Bien plus qu’un mode de garde,la garderie constitue un véritable appren-tissage de la vie en communauté etrépond aux besoins de communication etd’expérimentation des enfants.L’encadrement professionnel de la gar-derie permet aux parents de confier leurenfant en toute tranquillité. Il est composéde Sylvie Gonnet (directrice), puéricul-trice diplômée d’État, de Delphine Legris,auxiliaire de puériculture et de deuxassistantes de petite enfance: RégineBuisson et Nadine Patricelli. ChristianeMangano, conseillère municipale délé-guée à la halte-garderie, assure un suivide la gestion de l’équipement et participeà la réflexion pour la mise en place desprojets éducatifs.La garderie représente un monde totale-ment nouveau pour l’enfant et souventpour ses parents. Un temps d’adaptationavec les parents est donc proposé. Il

D

Bien vivre lapetit La halte-garderie :des conditions d’accueil adaptées


L’équipe de la halte-garderie

b059_lecheylas55_dossier_Mise en page 1 13/10/10 17:28 Page16

ite enfance

INFOS PRATIQUES

Tél. 0476132091

HORAIRESLundi, mardi, jeudi et vendredide 8h30 à 17h.

REMARQUESLes enfants doivent arriver avant10h et peuvent partir dès 16h.Toute absence doit être signaléele matin avant 9h.


Christiane Manganoen compagnie de Sophie Huyghe

présence de ses parents. Il découvre lesjeux et ses petits camarades sereine-ment. La séparation avec ses parentspourra ainsi se faire sans heurts.Les parents sont tenus informés tout aulong de l’année des activités organisées.Ils peuvent également participer à la viede la garderie en venant jouer avec les

enfants, en proposant une activité ou enaccompagnant les sorties.

RESPECTER LE RYTHME DE L’ENFANTLa journée alterne les moments calmes,propices aux jeux d’apprentissage, et lespériodes plus animées, qui permettentaux enfants de se défouler. Le jeu est lefruit de leur dynamisme, le moteur deleur croissance. Les jeux de construc-tion améliorent leur dextérité, les ima-giers font travailler leur mémoire, lesmarionnettes stimulent leur imagination,etc. Au début, les activités sont réaliséesavec l’aide de l’adulte. Devenu autonomel’enfant les fait seul. Elles ne sont jamaisimposées; l’important est d’éprouver duplaisir à réaliser ensemble et de dévelop-per sa créativité.Les « grands » qui seront scolarisés à larentrée suivante font également des sor-

ties (bibliothèque, visites) dont certainesen commun avec les maternelles. Enjuin, ils découvrent pendant une matinéel’école maternelle, jouent dans leur futureclasse et font connaissance avec leursfuturs encadrants.Un goûter est proposé le matin et l’après-midi. Les enfants inscrits à la journéebénéficient du repas de midi, préparé parun traiteur. Un temps sieste est prévu



DOSSIER


DOSSIER

es assistantes maternelles com-posent 65% de l’offre de gardefrançaise, loin devant les établis-

sements d’accueil du jeune enfant dontfont partie les haltes-garderies, qui n’of-frent “que” 30 % des 1,1 million deplaces*. Sur la commune, 55 assistantesmaternelles offrent une capacité d’ac-cueil de 213 places (chiffres d’août 2010).Vous trouverez leurs coordonnées enmairie.La demande étant très forte, de plus enplus de personnes - essentiellement desfemmes - demandent un agrément d’as-sistant(e) maternel(le). Obligatoire, il estdélivré par la Protection Maternelle etInfantile et permet de s’assurer que lescandidats présentent toutes les garantiesnécessaires pour contribuer au dévelop-pement physique, intellectuel et affectifde l’enfant. Il tient également compte del’état de santé, du logement et de l’envi-ronnement des candidats. Chez la“nounou”, accueillis dans un climat fami-lial selon les modalités fixées avec lesparents, les enfants se sentent commechez eux!

Corinne Lugand lors d’une permanenceanimation du RAM

LLes assistantes mun accueil famili

pour ceux qui en ont besoin. Surveilléspar un adulte, les bambins s’endormentpaisiblement, répartis dans deux cham-bres selon la durée de leur sommeil.La halte-garderie offre des horaires sou-ples et permet de compléter une scolari-sation à mi-temps en petite section dematernelle. Elle accueille les enfants àl’heure, à la demi-journée ou à la journée.En fonction des inscriptions une placepeut être réservée à l’avance. Lesparents choisissent librement les jours etheures d’accueil de leur enfant, dans lalimite de 4 demi-journées par semaine.Dans le cas d’un accueil régulier, uncontrat pour la réservation d’une place àl’année peut être signé.Les inscriptions peuvent s’effectuer toutau long de l’année, jusqu’en mai. Pourles enfants de 2 ans qui découvrirontl’école l’année suivante, une inscriptionen début d’année est vivement conseil-lée afin de développer une bonne socia-lisation.Le tarif est calculé à l’heure en fonctiondu quotient familial. Chacun peut ainsibénéficier des services de la halte-garde-rie, quels que soient ses revenus.

LA JOURNÉE DE HUGO 8h30. Hugo et sa maman arriventà la garderie. Ils se dirigent vers lasalle de bain pour ranger lesaffaires de Hugo et lui laver lesmains. Pendant que sa mamandiscute avec Régine, Hugo files’amuser avec ses copains. Quelchangement avec sa premièrejournée, où il restait collé à sesparents! Après un bisou, sa mamanrepart. La journée va être bienremplie!

9h. Enfants et animatrices seretrouvent autour du goûter apportépar les parents. Hugo partage sapomme avec Julie, sa petite copine.Ils sont maintenant pleins d’énergiepour aller faire les fous dans la sallede gym. Comme il fait beau, ilspourront aussi s’amuser dans lacour.Hugo a aussi une âme d’artiste. Lapeinture, la pâte à modeler et lesgommettes n’ont plus de secretspour lui.

11h. C’est l’heure de changer lespetits! Hugo, lui, se sert déjà dupot. Aujourd’hui, il reste toute lajournée et il s’imagine chevalier enarmure en écoutant l’histoire demarionnettes racontée par Nadine.

11h30. Petit tour aux toilettes,lavage des mains et Hugo déjeune.Vers 13 h, après cette demi-journéebien remplie, il ne se fait pas prierpour aller faire la sieste et s’endortrapidement sous la surveillance deDelphine. Lorsqu’il se réveillera, denouveaux copains, arrivés à 13h30,s’amuseront avec lui. Pour lemoment, presque tous les enfantssont au lit.

15h30. Hugo s’est réveillé tôt,il s’est déjà lavé les mains. Il estprêt pour le goûter; la sieste çacreuse!

16h30. Hugo fait un tour de vélodans la cour lorsque son papaarrive. Il lui saute dans les bras enlui racontant sa journée. Demain,Sylvie et son équipe emmènent lesenfants à la bibliothèque, de quoistimuler l’imagination déjàdébordante de Hugo!

Des jeux variés pour apprendreen s’amusant



dent. Ces derniers y découvrent unnouvel espace de jeux et de socialisationpendant que les assistantes partagentleurs expériences et découvrent de nou-velles activités à proposer aux enfants.Une fois par trimestre, des « ateliers ludo-thèque » sont organisés en partenariatavec la ludothèque de Pontcharra. Lesassistantes maternelles des communesgérées par le relais (Le Cheylas, Barraux,La Buissière, La Flachère et Sainte-Marie-d'Alloix) peuvent s’y rencontrer,pendant que les enfants partagent desjeux adaptés à leur âge: perles en bois,marionnettes, coin lecture, espace motri-cité, etc. Des permanences d’informa-tion sont aussi proposées. Ellespermettent de mettre en relation lesassistantes maternelles et les parents.Les assistantes y trouvent un soutientechnique et les parents une aide dansleurs démarches administratives ainsique des renseignements sur leurs droitset devoirs.Pour les enfants scolarisés en maternelle-qui ne peuvent être accueillis au restau-rant collectif-, la commune propose aussiun service de « Restaurant Scolaire à

RELAIS ASSISTANTES MATERNELLESET RESTAURANT SCOLAIRE À DOMICILEDepuis 2006, un Relais AssistantesMaternelles (RAM) intervient sur LeCheylas. Géré par la Communauté decommunes Le Grésivaudan, et animépar Corinne Lugand, il s’agit d’un espacegratuit d’information et d’animation à des-tination des parents, des assistantesmaternelles et des enfants.Le relais propose des permanencesd’animation ouvertes aux assistantesmaternelles et aux enfants qu’elles gar- Domicile ». Les jeunes élèves sont ainsi

pris en charge pour les repas de midi pardes assistantes maternelles rémunéréespar la commune.Le service est réservé aux familles dontles parents travaillent. Deux jours parsemaine, au minimum, l’assistante mater-nelle va chercher les enfants à l’école à11h20 et les ramène après le repas à13h20. Le tarif du Restaurant Scolaire àDomicile est calculé en fonction duQuotient Familial. *Chiffres 2007.Source: Caisse Nationale d’AllocationsFamiliales et commission des affairessociales.

Chez l’assistante maternelle,le déjeuner est «!fait maison!»

s maternelles : milial

PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE, DE LAGROSSESSE JUSQU’AUX SIX ANS DE L’ENFANT

La PMI, sous l’égide du Conseilgénéral, a pour mission de promou-voir la santé des enfants et desparents. Elle propose des activitésde planification et d’éducationfamiliales ainsi que des consulta-tions médicales pré et post natales.À Le Cheylas, les consultationssont assurées par un médecin etune puéricultrice.Les futures mamans peuvent ainsifaire suivre leur grossesse.L’équipe répond également auxinterrogations des parents sur l’ar-

rivée de bébé, écoute leurs inquié-tudes et les rassure.Après la naissance et jusqu’à 6 ans,un suivi médical et des examenspréventifs permettent de surveillerle développement de l’enfant. C’estaussi l’occasion pour les parentsd’aborder avec des professionnelsdes questions relatives à la viequotidienne de l’enfant : alimenta-tion, hygiène, sommeil, rythmes,apprentissages…Voir en page 2 les horaires des per-manences.

LE RELAIS ASSISTANTESMATERNELLES ANIMATIONTous les mardis de 9h à 12h.

INFORMATIONSle lundi de 16h à 19h,sur rendez-vous.

LIEUMaison de quartier de la Gare,dans le bâtiment du centre social.

CONTACTSCorinne Lugand (0688877626)mail: [email protected]



es deux groupes scolaires de lacommune comprennent desmaternelles. Celles-ci sont divi-

sées en petite, moyenne et grande sec-tion. La maternelle Chartreuse accueille79 enfants répartis en 3 classes. Alix LaRussa, la directrice, et EmmanuelleFavier s’occupent des 25 petits,Catherine Huissoud et Michèle Pierard-Billa des 22 moyens, Catherine Argoudet Véronique Dufour des 32 grands.La maternelle Belledonne accueillequant à elle 57 enfants dans 2 classes.Judith Troillard s’occupe de 16 petits et13 moyens et Brigitte De Maria, la direc-trice, de 11 moyens et 17 grands.Des ATSEM (Agents TerritoriauxSpécialisés des Écoles Maternelles)assistent les enseignants pendant lesactivités et lors des soins apportés auxenfants. Elles entretiennent également lematériel pédagogique et les locaux.Marie-Pierre Bellemain, Nathalie Brunet-Manquat et Magali Garnier occupent ceposte à la maternelle Chartreuse, tandisque Nelly Goletto et Corinne Peycellier

travaillent à la maternelle Belledonne.L’école maternelle représente un universtotalement nouveau pour les 3 ans. C’estun vrai bouleversement de leurs habi-tudes et un grand pas vers leur prised’indépendance, même si celle-ci se faitsouvent à contrecœur. En témoignentles scènes de séparation lors de la ren-trée scolaire, toujours poignantes. Trèsvite cependant, les enfants se familiari-sent avec leur nouvel environnement.Très bien entourés, les petits élèvesdécouvrent de nouvelles activités et sesocialisent au contact des autresenfants.En plus du travail en classe, chaqueécole propose des activités. Les enfantsde la maternelle Belledonne participentà un atelier musique animé par YvesGrimopont. Ils y découvrent le chant etles instruments de musique, fabriquentleur propre instrument et en jouent. Unprojet de découverte de la montagneleur permettra également de faire desrandonnées pédestres ou en raquettes.À la maternelle Chartreuse, c’est un

La classe des grands de la maternelle Belledonne

L

projet « environnement et langage » quiest mené sur 3 ans. Cette année, l’ac-cent est mis sur le jardin et les planta-tions. N’hésitez pas à contacter l’école sivous souhaitez participer, toutes lesbonnes idées sont bienvenues! Enfin,les deux écoles se rendent à la biblio-thèque une fois par semaine. En plus dechoisir des livres, les enfants écoutentles histoires contées par les bibliothé-caires ou les parents accompagnants,pour une entrée en douceur dans lemonde de la lecture.

L

DOSSIER

Dém lors

EN MATERNELLE ON… s’approprie le langage

(vocabulaire, alphabet…) découvre l’écrit devient élève, vit ensemble

(communication, activités dugroupe…)

agit et s’exprime avec son corps(activités physiques, langage ducorps)

découvre le monde (les 5 sens,l’hygiène, l’observation du mondevivant, les concepts d’espace et detemps, les quantités et lesnombres…)

perçoit, sent, imagine, crée(activités visuelles, vocales etmusicales…).

L’école maternelle :premiers apprentissages


e centre de loisirs propose deuxateliers pour les enfants, à partirde 4 ans. L’atelier d’éveil musical,

animé par Jean-Marc Vignoli, permetaux enfants d’exprimer ce qu’ils perçoi-vent et ressentent à partir d’ambiancesmusicales. Ils peuvent utiliser le chant,des instruments à percussion, l’expres-sion corporelle, faire des dessins, dumodelage…Animé par l’école Dauphicirque, l’ateliercirque fait découvrir aux enfants cet uni-vers magique en pratiquant l’acrobatieau sol, la jonglerie, l’équilibre ou d’autrestechniques. À travers ces activités, l’en-fant améliore sa coordination, son équi-libre et sa capacité à communiquer, touten s’amusant.Si votre enfant est attiré par le mondedu spectacle, le Petit Théâtre de Noëlrecherche des enfants de tout âge pourparticiper au spectacle de Noël. Cetteannée, vous pourrez applaudir lespetits comédiens dans “Anastasia”.

N’at tendez pas pour y inscrire votreenfant !

LE SPORT AUSSICôté sport, le Judo club de Le Cheylasdispense depuis une dizaine d'annéesdes cours pour les enfants de 4 à 6 ans.À chaque saison, ils sont environ 25 àapprendre les bases du judo et à s’af-fronter amicalement sur le dojo, tout enrespectant les valeurs morales de la dis-cipline.L’ASG football permet aux enfants àpartir de 5 ans de rejoindre l’équipe des“biberons” (catégorie U6). Un éducateurdiplômé leur enseigne les valeurs de res-pect et de fair-play indispensables à toutbon footballeur. Ils apprennent égale-ment à s’intégrer à un groupe et à y trou-ver leur place, développent leur motricité,leur bagage technique et leur sens tac-tique, ainsi que la volonté de progresserà l’entraînement et durant les rencontrescontre les équipes de la vallée.

L

Démonstration de l'atelier cirquelors de la fête du Centre de loisirs

Centre de loisirset associations :un choix varié d’activités

INFOS PRATIQUES

ÉVEIL MUSICALLe mercredi de 10h30 à 11h30au Centre de Loisirs Enfance (faceà la Halte-garderie).

CIRQUEÀ la Maison de quartier. Moyenneet grande section débutants:le mercredi de 16h à 17h ou de 17hà 18 h Grande section «!perf!»:le mercredi de 15h à 16h.Renseignements auprès deChristine Marcellot: 0685524868

BABY JUDOCours le lundi de 17h45 à 18h45,à la salle de judo, à côté de labibliothèque.Édith Papot: 0476972758

ASG FOOTBALLTél. 0476718861E-mail: [email protected]

LE PETIT THÉÂTRE DE NOËLVéronique Dumini, 0476718482ou 0679218622. E-mail:[email protected]


Les futurs champions du baby judo


INITIATIVES

Lorsque le 2 mars 1962,Pierre Pissetty, maire deLe Cheylas dresse le bilan del’évolution de la ville enconseil municipal, le constatest sans appel: la communeva connaître un apportde population importantet le nombre de logementsdisponibles ne sera passuffisant. Il faut prendre desmesures.

MémoireUn immeuble des Meyannes entre da


n effet, les projets sont nom-breux en ce printemps 62 : lasociété des Haut Fourneaux

d’Allevard souhaite construire denouveaux ateliers et la sociétéWheelabrator va doubler ses installa-tions dans les 3 prochaines années.Dans cette même période, le projetEDF Arc Isère va également aboutir.Au lieu-dit « Bacon », la commune avaitacheté le 16 septembre 1960 à M. LouisBatard un terrain d’une superficiede 5 735 m2 (N°272 section A) pour13000 francs. C’est là que le premierimmeuble des Meyannes est construitentre novembre 1962 et février 1963 (22logements : onze T3 et onze T4).Le permis est accepté par le préfetle 26 janvier 1961. C’est l’entrepriseSorrel de Goncelin qui est chargée de la

construction dont le coût s’élèvera à63 027,80 francs. Les architectes sontCharles Pivot et Pierre Jumillon asso-ciés à Grenoble, tandis qu’André etJacques Escalon, de Grenoble égale-ment, assurent la mission géomé-trique. L’inauguration de l’immeuble alieu en 1964 en présence des repré-sentants de l’OPAC, de l’entrepriseSorrel, du Préfet, du Maire de LeCheylas et de la population.Avec l’arrivée des nouveaux habitantsun lieu de vie se crée progressive-ment. Madame et Monsieur Castansont les gardiens et ils ont en chargel’entretien des espaces verts ainsi quedes étages. Courant 1964, un postetéléphonique est installé dans leurlogement ainsi qu’une boîte aux let-tres au pied de l’immeuble.

E

L’immeuble qui va prochainementdisparaître

b059_lecheylas55_initiat_Mise en page 1 13/10/10 18:07 Page22

dans l’histoire

AU QUOTIDIEN, LES FAMILLESS’ENTRAIDENTDouze appartements, soit les deux pre-miers étages sur les quatre que comptel’immeuble, sont réservés aux ouvriersde la Société des hauts fourneauxd’Allevard (aujourd’hui Ascométal) qui aparticipé financièrement à la construc-tion. Les deux autres étages sont affec-tés aux rapatriés de la guerre d’Algérie(le pays a obtenu l’indépendance en juil-let 1962).De l’autre côté de la route, à l’est de l’im-meuble, l’usine prête à ses ouvriers uneparcelle de terre sur laquelle ils peuventcultiver leur jardin. Plusieurs famillesd’origine espagnole et italienne figurentparmi les premiers habitants desMeyannes. Il y a les familles Plazza,Fernandez, Falcoz-Vigne, Peycellier,Franceschini, Favre, Gomez, Cano,Espinoza, Muñoz, Castan, Climent,Joffroy, Galindo, Belassouar, Imel.Très vite une vie collective se développe.Les familles sympathisent entre elles ets’entraident. Les affinités se créent. Onva regarder la télévision ou prendrel’apéritif chez son voisin de palier. Lorsdes fêtes de fin d’année, les famillesd’origine espagnole se retrouvent lesunes chez les autres pour faire la fête.Les enfants jouent entre eux et il y abeaucoup d’animation.Les marchands ambulants passent pourvendre leurs produits au bas de l’im-meuble. Leur coup de klaxon s’entendde loin. Il y a M. Poussard le laitier,M. Bachenis puis M. Derobert les bou-chers, M. Malacour puis Mme Parrasles boulangers, M. Macian l’épicier, ouencore M. Sommard, le marchand dechaussures.Avec la destruction de cet immeuble,une page se tourne mais les souvenirssont gravés à jamais dans la mémoiredes anciens locataires. Le HLM des

Meyannes restera pour tous un lieu deconvivialité où une tranche de vie s’estécoulée de 1963 à aujourd’hui.

UN QUARTIER QUI RENAÎTDésormais la vie du quartier se pro-longe quelques mètres plus loin dansla nouvelle ZAC Belledonne appeléeLes Gentianes. Démarrée en 2009, lapremière tranche de travaux vient des’achever. La société Dauphilogis aconstruit Les balcons de Belledonne,un immeuble de 12 appartements enaccession sociale à la propriété dontune partie est déjà habitée. De soncôté, l’OPAC a construit un ensemblede quatre immeubles représentant 46


logements locatifs : Le Gleysin, LeRocher blanc, Les Valloires et La Belleétoile. Tous sont occupés.Une place publique a été aménagée àl’intérieur du nouveau quartier. L’accèspeut se faire à pied ou en vélo par lapasserelle qui relie le lotissement duRompay à la ZAC. La société CTA, quia cessé son activité, a vendu son ter-rain à la commune et la démolition dubâtiment a eu lieu ce printemps. Avecla destruction de l’immeuble desMeyannes prévue pour cette fin d’an-née ou début 2011, d’autres aménage-ments pourront être envisagés commele prolongement de la place publiquejusqu’au supermarché. !

Un des immeubles des Gentianes

La plaine en 1911 et l’emplacement

où seront construits Les Meyannes

Démolition de l’entreprise CTA


INITIATIVES

Un encadrement de qualitéest indispensable pour ledéveloppement et la sécuritédes activités proposées parles associations. La communeaide celles qui souhaitentformer leur encadrement enparticipant, via une subventionspéciale, aux coûtsde formation. Cette année,plusieurs associations enont bénéficié.

u Club de basket la formationse déroule en deux temps.D’abord en interne où Alain

Spolitini, formateur au comité départe-mental de l’Isère, prépare les jeunes quile désirent aux fonctions d’initiateur etd’arbitre. Cette formation de base seraensuite complétée auprès de laFédération qui leur délivrera le diplôme.L’association a besoin d’initiateurs pourentraîner les joueurs mais elle a l’obliga-tion d’avoir des arbitres officiels pour par-ticiper aux matches sans quoi elle estfinancièrement pénalisée. Cette saisonce sont deux initiateurs et deux arbitresqui ont été formés.L’école de pêche a pour vocation deformer directement les pêcheurs depuisleur plus jeune âge. Devenus ados, ilssont formés par l’association pour enca-drer les plus jeunes à leur tour ce quiassure le renouvellement des équipes.À partir de 16 ans les jeunes peuventdevenir membres du conseil d’adminis-tration et ainsi participer encore plusactivement à la vie de l’association. Uneinitiation importante à la citoyenneté.L’association a aussi un programme deformation au Brevet de Secourisme dontl’objectif est de former l’ensemble del’encadrement aux gestes à effectuer en

A

Cheyl’As du volant: compétition amicale“Sambad”


Formation de l’encadrement associatifLa commune apporte son aide

L’école de pêche


INITIATIVES

Depuis 2009, Guy Puglisi,42 ans, est le responsable ducentre d’incendie et de secoursdu Haut Grésivaudan.

uy Puglisi a été incorporécomme Sapeur-Pompier Volon -taire (SPV) au centre de pre-

mière intervention de Le Cheylas le1er avril 1992. En 1997 il est nommé augrade de sous-lieutenant et remplacel’adjudant-chef Jean-François Pesenti

avant de devenir lieutenant en 2000.Après le regroupement des structuresde Pontcharra et Le Cheylas en 2001,il remplace en 2003 le capitaine Jean-Pierre Meyrieux. Nommé lui-mêmecapitaine en 2008, il prend la responsa-bilité du centre d’incendie et de secoursdu Haut Grésivaudan en 2009.Composé de près de 300 agents pourune activité avoisinant 3 000 interven-tions par an, le centre de secours estcomposé de dix casernes : Pays d’Alle -vard, La Ferrière d’Allevard, Granier-Chapa reillan, Goncelin, la Terrasse, leTouvet, Les Adrets, Pontcharra, Saint-

Rencontre avec le chef du centre de secoursGuy Puglisi, la passion du métier

Hilaire du Touvet et Theys. Sa structureadministrative est basée à Pontcharra.Guy Puglisi est marié et a deux enfants(dont Anthony, 17 ans, lui-même sapeur-pompier à la caserne de Pontcharra). Ilest agent de maîtrise au service sécuritéde la plate-forme chimique de Pont deClaix.

Comment vous est venue l’envie dedevenir sapeur-pompier ?J’étais en location chez Joël Constantinqui était sapeur-pompier. Avec Jean-François Pesenti ils m’ont souventparlé de leurs interventions. Aprèsréflexion j’ai décidé de partager un peude mon temps libre à leur côté.

Quelles sont les qualités requisespour être pompier et quel tempscela vous prend-il ?Il faut être motivé, disponible et fairepreuve d’un engagement citoyen, par-ticiper de façon volontaire et active à lavie collective. Il faut avoir le sens desresponsabilités, faire preuve de cou-rage, d’altruisme et de prudence car auquotidien un sapeur-pompier est sou-vent confronté à des situations humai-nement difficiles ou dangereuses.Efficacité et résistancesont aussi nécessaires.Confronté à des urgencestrès diverses, le sapeur-pompier doit observer etévaluer rapidement unesituation. Il doit posséderpar ailleurs une bonnecondition physique et unebonne résistance psycho-logique.Savoir écouter, diriger et manager dupersonnel, faire preuve d’organisation,sont aussi des qualités essentielleslorsque l’on a des responsabilités d’en-cadrement.Cette activité représente aujourd’hui80 % de mon temps libre. J’ai toutefoisla chance d’être épaulé par une équiped’encadrement solide, sans laquelle ilme serait difficile de travailler de façonaussi efficace et réactive.

Quelles sont les difficultésrencontrées dans cette fonction ?La plus grande difficulté en tant queSPV concerne la gestion de sa dispo-nibilité. Il est sans cesse nécessairede devoir jongler entre sa vie defamille, son activité professionnelle etsa fonction de SPV. Cela demande unecertaine organisation mais c’est unchoix de vie qui me convient et quej’assume pleinement.

Qu’en retirez-vous ?Une expérience de vie inégalable, unenrichissement personnel, un dépas-sement de soi, une satisfaction per-sonnelle dans le travail accompli et ledon de soi.

Et vos plus grandes satisfactions ?Les lettres de remerciements ou de féli-citations que nous adressent parfoisles personnes que nous avons pu aiderou soutenir dans des situations diffi-ciles… ou heureuses : naissance, vic-time réanimée…Mais c’est aussi la réussite de projetsambitieux ou pragmatiques comme leniveau de compétence du personnelqui découle de la politique de formation

mise en œuvre.

Si c’était à refaire ?Je recommencerai sansaucune hésitation maisen conservant l’expé-rience acquise et lesenseignements tirés desdifférentes difficultés ren-contrées.

La vie est aussi faite d’opportunités etde personnes qui vous permettentd’évoluer parce qu’elles vous transmet-tent le savoir et vous accordent leurconfiance. Je profite donc de l’occa-sion qui m’est offerte, pour remerciermes anciens collègues sapeurs-pom-piers de Le Cheylas qui m’ont transmisl’amour de ce métier passionnant, ainsique les différents élus de cette com-mune avec qui il est toujours trèsagréable de travailler. !

G


Sapeur pompiervolontaire, pourquoi

pas vous ?

04 76 71 92 71


cas d’accident. Cette année cinq per-sonnes ont été diplômées et deuxautres ont renouvelé leur brevet.Plus récente, l’association Cheyl’as duvolant avait besoin d’initiateurs pourdévelopper son activité. Durant deuxweek-ends, elle a donc envoyé en forma-tion trois adultes au comité départemen-tal de Badminton. Grâce à leurs brevetsd’initiateurs bénévoles l’association a pumettre en place une séance pour lesenfants le samedi matin.Enfin, Famille Évasion forme depuis denombreuses années son encadrementpour les sorties montagne et pour l’es-calade. Même si celle-ci ne peut sepratiquer qu’avec les compétencesd’un guide, la formation d’initiateurpermet de mieux encadrer les petitsgroupes au pied du mur d’escalade dugymnase. !

Fête de la musiqueNouveau départ

ette année aura été celle de larésurgence pour la fête de lamusique passée inaperçue ces

trois dernières années dans notre com-mune. Qu’on en juge : le 19 juin lamusique jaillissait au cœur de la salledes fêtes, dans une ambiance festive, àla grande joie d’un nombreux public.Dès le milieu d’après-midi, l’association« Danse et musique » permettait dedécouvrir les jeunes talents de son ate-lier guitare. C’était ensuite le tour desdanseurs, enfants et adultes d’effectuerune superbe prestation très applaudie.Puis les ateliers hip-hop et danse orien-tale du Centre de loisirs offraient plu-sieurs prestations qui ont permis au

C

Les jeunes guitaristes de Le Cheylas:

un trio plein de promesses!

Le groupe Arthrose band

public d’apprécier l’agilité de leurs dan-seurs.Loin d’être terminée, la fête se poursui-vait avec les prestations de jeunes guita-ristes de la commune aussi talentueusesque dynamiques et le concert de l’en-semble vocal « Voccela ». Des chants quiréveillaient les émotions.La dernière partie de cette magnifiquesoirée était animée par le trio « ArthroseBand »: plus d’une heure de chansonsdiverses, au son des guitares et de lacontrebasse. Enfin, le chanteur decharme Serge Noussan concluait lespectacle avec ses rythmes et sa chaudevoix.Quelques derniers pas de danse et lafête prenait fin, tard dans la soirée. !


Serge Noussan


ans le cadre des projetsd’écoles, les enseignants desdeux groupes scolaires ont

choisi depuis plusieurs années d’initierles enfants à la musique. Des cycles detrois ans qui ont été reconduits cetterentrée et qui s’achèvent par une repré-sentation devant les parents.Chaque année le clarinettiste YvesGrimopont assure ainsi une séance demusique hebdomadaire pendant sixmois. Cet excellent musicien diplômédu conservatoire de Grenoble a ététout particulièrement formé pour l’en-seignement de la musique dans lesécoles au Centre de Formation desMusiciens Intervenants (CFMI). Il inter-vient dans plusieurs écoles de la régionet à l’école de musique des Deux Rives(Le Touvet).Au fil des ans les spectateurs peuventapprécier la qualité de ces spectaclesqui, bien que réalisés sur des périodescourtes, révèlent les progrès desenfants.En janvier dernier, l’école Chartreuseavait présenté un spectacle très réusside musique et de danse au gymnase.Au mois de juin, ce fut au tour del’école Belledonne de se produire à la

salle des fêtes pour un spectacle musi-cal sur le thème du cinéma. Sous ladirection de leur professeur, les enfantsont interprété des chansons issues defilms célèbres et ont réalisé des choré-graphies. Comme à Cannes, le spec-tacle s’est clôturé par une remise deprix symbolique.

Les enfants du groupe scolaire Belledonne

Écoles élémentairesReconductiondu cycle musique

le clarinettiste Yves Grimopont

D


DISTINCTIONSLe personnel municipalà l’honneur

Sympathique cérémonie, le 2 juillet :entouré d’une grande partie du conseilmunicipal et de nombreux employés de lacommune, le Maire remettait la médaille dutravail à quatre membres du personnelmunicipal : Hervé Bellemain, ChantalRappin et Marie-Annick Bevilacqua rece-vaient la médaille d’argent, pour 20 annéesde services. Madeleine Baloyan était déco-rée de la médaille Vermeil pour ses 30 ansde services. Au cours de son allocutionRoger Cohard a résumé la carrière desrécipiendaires et les a remerciés au nomde tous pour leur contribution efficace aubien-être collectif.

COMMÉMORATIONsouvenir et recueillement

Le 11 août, André Plisson, 1er adjoint,présidait en l’absence du Maire lacérémonie de l’anniversaire de l’incendiedu Villard par les Allemands en 1944.L’ensemble des associations d’ancienscombattants et anciens résistants(UMAC, ANACR, Maquis du Grési vaudanet Croix de Guerre), était présent. Après ledépôt de gerbes, André Plisson rappelaità quel point le devoir de mémoire étaitimportant et devait se perpétuer. Dansl’assistance, plusieurs personnes quin’avaient qu’une dizaine d’années lors dudrame, se sont remémorées avecbeaucoup d’émotion cette terrible journéequi a marqué leur enfance.


PHOTO MYSTÈRE N°55

Merci à M. René Tafforeau qui nous atransmis la photo mystère de ce numéro.Que représente-t-elle?

Avis aux photographes, amateurs ouconfirmés: cette rubrique vous est ouverte.Envoyez vos photos numériques prises àLe Cheylas, (en extérieur impérativement !)à : [email protected]

Rendez-vous dans le numéro 56 pour lasolution du mystère.

Où a été prisecette photo ?

SOLUTION DU NUMÉRO 54

Aviez-vous trouvé? Cette viergeimpassible orne la grande croix en ferforgé visible à l'intersection de la route duMercier et de la rue de Bramefarine.


Documents

Le Cheylas Infos - automne 2010