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N°150 - Paracha Michpatim - Chabbat Chekalim - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - vivele[email protected] Bonnes Nouvelles Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Beit Machia’h Cours du lundi au mercredi Jeudi soir, Farbrengen pour les jeunes Rav Shlomo Yossef Tsion 050-4147725 34, rue Rav Its’hak Nissim Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 20h00 Mardi (héb) 20h00 Tanya et Dvar Mal’hout 050-7080871 Centre-ville Beit Machia’h Keren Or ‘Hanna Cours et Itvaadout pour femmes 67, rue Yaffo Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Beit Machia’h Mochava Guermanite : Cours pour femmes le mercredi à 17h00 au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche) 02-6510801 La photo de la semaine Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des Igueroth Kodech 050-7080871 ou par email [email protected] Editorial 22 Chevat 5772 : Les femmes Juives s’unissent pour demander la Guéoula... Par le mérite de la Rabbanite Par Divine Providence, les nations du monde dans la semaine de la Paracha Michpatim 5752-1992, ainsi que l’année dernière à la veille de la Hilloula de la Rabbanite ‘Haya Mouchka, ont décidé de créer dans le monde une atmosphère de paix et d’entre-aide en votant de manière unilatérale pour le désarmement et pour le vote de la redirection du budget prévu à cet effet vers un essor économique qui permettra de venir en aide à tous les habitants du monde. Et tout ceci, nous dit le Dvar Mal’hout de cette semaine, découle du Psak Din, du décret Rabbinique élisant le Rabbi de Loubavitch en tant que Roi Machia’h. Ouvrir les yeux ! Comment un Juif, aujourd’hui peut-il vivre dans son quotidien sans être profondément tou- ché par la réalité qui s’offre à ses yeux. Ce n’est plus un rêve, ni un idéal qui a bercé des générations entières d’un espoir vague et lointain… C’est une réalité tangible, car dans une poignée de secondes, notre vie à tous va basculer vers un éveil de tous les instants, vers une vie composée de dévoilements, de joies indicibles, de compréhensions nouvelles. Une vie en couleurs, la récompense de nos efforts incertains de tous les jours de tout ce temps d’exil. Aujourd’hui, il nous faut vivre dans ce futur proche, dans ce monde que D.ieu a construit juste pour nous, et le faire pénétrer dans chacun de nos instants afin d’être délivrés de tous nos soucis et accomplir immédiatement notre ser- vice divin dans une joie qui brise tou- tes les portes, toutes les barrières, toute la torpeur de la Galout. Mais de quelle genre de joie s’agit-il? C’est une joie qui doit pénétrer notre âme et résonner dans nos pieds jusqu’à les faire danser. Si on avait compris encore plus tôt, de quoi il retournait, nous aurions dévoilé la délivrance, déjà à l’époque où le Rabbi, Roi Machia’h Chlita, nous le demandait, insistait sur la force de la joie qui, non seulement brise les barrières et les frontières de la Galout, mais surtout de cette joie qui brise et enfonce le portail de la Guéoula... Le Dvar Mal’hout de cette semaine, nous parle de cet événement sans pré- cédent, à savoir la décision entérinée par l’ONU d’oeuvrer pour un désarme- ment qui libérera les budgets vers des buts économiques pour le bien de tous les peuples de la terre. C’est l’accom- plissement du verset d’Isaïe (4.2): «Ils transformeront leurs épées en socs de charrue… un peuple ne lèvera plus le glaive sur un autre peuple et l’on apprendra plus l’art de la guerre». Le Rabbi, Roi Machia’h Chlita a donné le signal, ce verset qui est le point de départ de la délivrance pour l’humanité. Et ce ne sont pas des faits privés d’une personne ou d’un groupe de gens, c’est un événement mondial retransmit en direct sur toutes les chaî- nes de télévision du monde, dans tou- tes les langues. C’est le message de cette semaine, alors… Faites passer le message par emails, par facebook, sur les blogs, les sites, dites le à vos amis, vos connais- sances, de votre famille. C’est mainte- nant, la Guéoula se dévoile, ne perdez pas votre temps, utilisez-le avec intel- ligence car il est très précieux… Alors, qu’on le vive maintenant, la joie brise les limites, celles de l’exil intérieur, et surtout celles de l’exil de l’humanité, dans l’amour du prochain, dans la joie, la Torah et les Mitsvot, faites passer le message : «Vive le Roi Machia’h Now, Mamach !!!»… Recevoir toutes les bénédictions Les femmes, cette semaine, s’unissent dans le monde entier pour demander tou- tes les bénédictions à la Rabbanite ‘Haya Mouchka qui transmet ses bénédictions de manière directe sans rien demander en échange. Les femmes prennent le des- sus et veulent la Guéoula, la délivrance. C’est la Rabbanite qui nous transporte et nous apporte cette force de réclamer le Machia’h avec joie. Car c’est elle seule qui à tout fait pour libérer notre âme avec une foi sans compromis et nous a ouvert la voie pour imaginer le meilleur et que tout est possible grâce à elle. Elle nous regarde et nous transmet le mes- sage clair qu’il faut transcender nos limi- tes et croire en un monde de liberté et d’action pour être des mères, des épou- ses et des femmes de la Guéoula. C’est la raison pour laquelle nous demande- ront à Hachem notre liberté aux yeux des nations du monde, Amen. Dans la joie, les chants et les danses dans l’abondance et la largesse. Quand on est avec la Rabbanite ‘Haya Mouchka, tout est possible… Soirée Or ‘Haya du 22 Chevat 5772

Newsletter n°151

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La Newsletter de la Guéoula

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Page 1: Newsletter n°151

N°150 - Paracha Michpatim - Chabbat Chekalim - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - [email protected]

Bonnes Nouvelles

Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmesdimanche soir 20h45Rav Avi Assouline054-6357709

Beit Machia’hCours du lundi au mercrediJeudi soir, Farbrengen pour les jeunesRav Shlomo Yossef Tsion050-414772534, rue Rav Its’hakNissim

Talpiot-Arnona : cours (fr)de Tanya et Dvar Mal’hout ledimanche soir à 20h00 Mardi (héb) 20h00 Tanya etDvar Mal’hout 050-7080871

Centre-villeBeit Machia’h Keren Or ‘HannaCours et Itvaadout pour femmes67, rue Yaffo

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv054-4866072

Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764

Beit Machia’h MochavaGuermanite : Cours pourfemmes le mercredi à 17h00au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche)02-6510801

La photo de la semaine

Pour écrire au Rabbi deLoubavitch Roi Machia’h

par l’intermédiaire des

Igueroth Kodech050-7080871

ou par [email protected]

Editorial

22 Chevat 5772: Les femmes Juives s’unissent pourdemanderla Guéoula... Parle mérite de la RabbanitePar Divine Providence, les nations du monde dans la semaine de la Paracha Michpatim 5752-1992, ainsique l’année dernière à la veille de la Hilloula de la Rabbanite ‘Haya Mouchka, ont décidé de créerdansle monde une atmosphère de paix et d’entre-aide en votant de manière unilatérale pour le désarmementet pour le vote de la redirection du budget prévu à cet effet vers un essoréconomique qui permettra devenir en aide à tous les habitants du monde. Et tout ceci, nous dit le DvarMal’hout de cette semaine,découle du Psak Din, du décret Rabbinique élisant le Rabbi de Loubavitch en tant que Roi Machia’h.

Ouvrir les yeux ! Comment un Juif,aujourd’hui peut-il vivre dans sonquotidien sans être profondément tou-ché par la réalité qui s’offre à ses yeux.Ce n’est plus un rêve, ni un idéal qui abercé des générations entières d’unespoir vague et lointain…C’est une réalité tangible, car dans unepoignée de secondes, notre vie à tousva basculer vers un éveil de tous lesinstants, vers une vie composée dedévoilements, de joies indicibles, decompréhensions nouvelles. Une vie encouleurs, la récompense de nos effortsincertains de tous les jours de tout cetemps d’exil. Aujourd’hui, il nous faut vivre dans cefutur proche, dans ce monde que D.ieua construit juste pour nous, et le fairepénétrer dans chacun de nos instantsafin d’être délivrés de tous nos souciset accomplir immédiatement notre ser-vice divin dans une joie qui brise tou-tes les portes, toutes les barrières,toute la torpeur de la Galout.Mais de quelle genre de joie s’agit-il?C’est une joie qui doit pénétrer notreâme et résonner dans nos pieds jusqu’àles faire danser. Si on avait comprisencore plus tôt, de quoi il retournait,nous aurions dévoilé la délivrance,déjà à l’époque où le Rabbi, RoiMachia’h Chlita, nous le demandait,insistait sur la force de la joie qui, nonseulement brise les barrières et lesfrontières de la Galout, mais surtout decette joie qui brise et enfonce le portailde la Guéoula...Le Dvar Mal’hout de cette semaine,nous parle de cet événement sans pré-cédent, à savoir la décision entérinéepar l’ONU d’œuvrer pour un désarme-ment qui libérera les budgets vers desbuts économiques pour le bien de tousles peuples de la terre. C’est l’accom-plissement du verset d’Isaïe (4.2): «Ilstransformeront leurs épées en socsde charrue… un peuple ne lèvera

plus le glaive surun autre peuple etl’on apprendra plus l’art de laguerre». Le Rabbi, Roi Machia’h Chlita adonné le signal, ce verset qui est lepoint de départ de la délivrance pourl’humanité. Et ce ne sont pas des faitsprivés d’une personne ou d’un groupede gens, c’est un événement mondialretransmit en direct sur toutes les chaî-nes de télévision du monde, dans tou-tes les langues. C’est le message de cette semaine,alors… Faites passer le message paremails, par facebook, sur les blogs, lessites, dites le à vos amis, vos connais-sances, de votre famille. C’est mainte-nant, la Guéoula se dévoile, ne perdezpas votre temps, utilisez-le avec intel-ligence car il est très précieux… Alors,qu’on le vive maintenant, la joie briseles limites, celles de l’exil intérieur, etsurtout celles de l’exil de l’humanité,dans l’amour du prochain, dans la joie,la Torah et les Mitsvot, faites passer lemessage: «Vive le Roi Machia’hNow, Mamach !!!»…

Recevoirtoutes les bénédictionsLes femmes, cette semaine, s’unissentdans le monde entier pour demander tou-tes les bénédictions à la Rabbanite ‘HayaMouchka qui transmet ses bénédictionsde manière directe sans rien demanderen échange. Les femmes prennent le des-sus et veulent la Guéoula, la délivrance.C’est la Rabbanite qui nous transporte etnous apporte cette force de réclamer leMachia’h avec joie. Car c’est elle seulequi à tout fait pour libérer notre âmeavec une foi sans compromis et nous aouvert la voie pour imaginer le meilleuret que tout est possible grâce à elle. Ellenous regarde et nous transmet le mes-sage clair qu’il faut transcender nos limi-tes et croire en un monde de liberté etd’action pour être des mères, des épou-ses et des femmes de la Guéoula. C’estla raison pour laquelle nous demande-ront à Hachem notre liberté aux yeux desnations du monde, Amen. Dans la joie,les chants et les danses dans l’abondanceet la largesse. Quand on est avec laRabbanite ‘Haya Mouchka, tout est possible…

Soirée Or ‘Haya du 22 Chevat 5772

Page 2: Newsletter n°151

Nous trouvons dans le nom de celle dont nousévoquons la mémoire, «‘Haya Mouchka» :«‘Haya» (du mot ‘Haïm, vie) fait allusion à l’en-semble de la vie de l’âme (la parcelle d’En-Haut,véritablement), qui descend de l’Origine de toutevie en Son Essence, qu’Il soit béni.

«‘Haya» porte sur la vitalité qui fait vivre le corpspar son habillement intérieur, et « Mouchka » quiexprime un parfum et selon certaines opinions il faitpartie des onze composants de l’encens et fait allu-sion à l’âme enveloppante, car il est connu quel’odeur enveloppe, et l’odeur réanime l’âme, carl’odeur a le pouvoir d’apporter une nouvelle vitalitéau corps. De plus, l’âme profite d’une bonne odeur.Et généralement, alors que l’âme possède cinq noms: Nefech, Roua’h, Nechama, ‘Haya et Yé’hida. «‘Haya » fait allusion à ‘Haya et Yé’hida qui sont lesforces enveloppantes de l’âme et plus particulière-ment, « ‘Haya » désigne le niveau de ‘Haya del’âme (la force enveloppante proche de l’intérieur)et « Mouchka » fait référence à la Yé’hida (l’enve-loppe qui englobe, l’âme de l’âme) qui désigne l’es-sence de l’âme qui est au-dessus des cinq noms quilui ont été attribués. Et c’est à ce niveau-là quel’odeur apporte une nouvelle force et du plaisir dansl’âme de l’homme.Et lorsque les deux mots «‘Haya Mouchka» sontportés ensemble par une seule et même personne,

cela prouve que ces deux sujets sont reliés et unis, ledévoilement de la partie qui enveloppe et l’essencede l’âme descendent et se revêtent d’une manièreintérieure dans le corps et dans les dix forces inter-nes.Tout ceci nous aide à comprendre la puissance quel’on reçoit pour agir, après l’apport du 22 Chevat carle monde du niveau du dix soit prêt et apte à perce-voir le dévoilement du onze qui est au-dessus dumonde ; la demeure pour Lui, qu’Il soit béni dans lemonde ici-bas au maximum de la perfection, lors dela délivrance véritable et complète. Par le fait quel’essence de l’âme des enfants d’Israël se trouvecomplètement dévoilée par les dix forces de sonâme interne, cela donne la force d’agir dans lemonde ainsi que sur tout l’enchaînement des mon-des, cela permet de dévoiler le niveau du onze pourque le monde entier devienne par son propre fait unedemeure pour Lui, qu’Il soit béni, pour Lui, pourSon Essence.

Quel est donc le rapport entre la nouveauté du 22Chevat et l’élévation de l’âme de la fille de notremaître le Rabbi précédent, prince de notre géné-ration ?De la même façon que lors de l’exil d’Egypte, nosSages ont expliqué: « Par le mérite des femmesjustes de cette génération, les enfants d’Israël sontsortis d’Egypte. Ainsi, il en est de même en ce qui

concerne la délivrance future, ce sera par le salaireet par le mérite des femmes justes de cette généra-tion… Et le Ari Zal explique que la dernière généra-tion de l’exil est la réincarnation de la génération quiest sortie d’Egypte.Et c’est l’une des raisons pour lesquelles le RabbiRayats s’est tellement occupé de l’éducation et de laformation des femmes et jeunes filles d’Israël, entout ce qui concerne le judaïsme, la Torah et sesMitsvot, comprenant l’étude de l’enseignement dela ‘Hassidout et la diffusion des sources. Car tout enétant la dernière génération de l’exil, elle est néan-moins la première génération de la Guéoula, la déli-vrance. Et c’est pour cette raison que le travail desfemmes et jeunes filles d’Israël est si important carc’est par leur mérite que la Guéoula arrivera.Tout ceci concerne particulièrement la fille du RabbiRayats, le Prince de notre génération lui-même, carelle a été éduquée par le Prince de notre générationlui-même… Et ainsi, après l’élévation de son âme,son influence se perdure, et nous pouvons constaterque bon nombre de filles d’Israël ont été appelées deson nom et par leur comportement elles sont unexemple vivant, comme des âmes vivantes dans descorps vivants, car elles ont été éduquées selon sonesprit et ses directives et selon son modèle en tantque fille du Prince de notre génération.

(Extrait du Kountrass Kaf Beth Chevat 5752)

Concernant l’actualité, à la veille duChabbat Parachat Michpatim 5752(1992), les dirigeants des superpuis-sances de ce monde ont décidé de pla-cer leurs relations sous un nouveaujour. Il s’agit de supprimer l’état debelligérance et de réduire l’armement,afin de prôner la paix, l’unité et l’en-traide. Ce mercredi, trois jours avantChabbat, le Président a déclaré qu’ildiminuerait le budget consacré à l’ar-mement et utiliserait les crédits ainsilibérés pour renforcer la prospéritééconomique. Cette décision a été rati-fiée par l’assemblée, dont les déci-sions ont force de loi, même d’après laTorah.

Le Machia’h œuvre déjà dans le mondeLes enfants d’Israël, peuvent tirer laconclusion suivante, au vu de cetavancementdans l’histoire: il estnécessaire de révéler la délivrance…La Guéoula sera effective lorsque ces-seront les guerres dans le monde etlorsque les nations «transformerontleurs glaives en socs de charrues… unpeuple ne portera plus l’épée sur l’au-tre et ils n’apprendront plus l’art de la

guerre (Isaie 2-4, Mi’ha 4-3)». LeMachia’h lui-même obtiendra cettevictoire. Il jugera les peuples et répri-mandera celui qui a commis des injus-tices (Radak). Dès lors, la paixrègnera, le Temple sera reconstruit ettoutes les nations s’y rendront, «carc’est de Tsion que jaillira la Torah et laParole de D.ieu, de Jérusalem», là oùrésidera le Machia’h.Une prophétie claire se réaliseactuellement devant nos yeux. Nonseulement aux USA, mais aussi enRussie, pays qui mena une guerredévoilée contre le Rabbi Rayats,prince de notre génération. On yenseignait la Torah en cachette, aupéril de sa vie. Mais dernièrement,toutes ces restrictions ont disparu et leJudaïsme y est enseigné de la manièrela plus libre. Le nouveau gouverne-ment, adhérant au principe de la jus-tice, de la droiture et de la paix, croiten D.ieu.

Un décret qui influence le mondePuisque dans la Paracha, nous trou-vons les lois qui concernent principa-lement les tribunaux, il y a un liendirect entre ce que les Rabbanim ont

tranché actuellement (que le temps dela délivrance est arrivé) et la décisiondes nations de tendre vers une ère depaix et de bienfaisance. La ParachatMichpatim est particulièrement liée àla Guéoula car elle se place entre laParchat Yitro qui se termine avec leslois relatives à l’Autel et la ParachatTrouma, où il est dit: «Il me feront unSanctuaire et Je résiderai parmi eux(25-8)». Ceci concerne aussi laTseddaka car dans notre Paracha, il estdit : « Si tu prêtes de l’argent à Monpeuple, aux pauvres(22-24)». Labienfaisance dépasse la Tseddaka qui,elle-même rapproche la délivrance.

La joie, le Mazal et la GuéoulaCe Chabbat est celui qui bénit le moisde Adar, dont le Mazal est bon. Il

apporte la joie de Pourim et rapprochela délivrance de Pourim de celle dePessa’h, comme il est dit: « Commeaux jours de ta sortie d’Egypte, Je temontrerai des merveilles(Mi’ha 7-15)», celle de la délivrance qui inter-viendra avant même la fête de Pourim.

Machia’h Now !Et que soit Sa volonté, et c’est le prin-cipal, que la délivrance se dévoile dela manière la plus immédiate «Te’hefOuMiyad Mamach». Il est clair quel’on aura pas besoin d’attendrejusqu’en Nissan, ni même jusqu’enAdar, puisque le Machia’h arriverapendant le Chabbat qui bénit le moisd’Adar, le 27 Chevat, Za’h (Pur)Chevat, au moment de la SéoudaChlichite, le troisième repas duChabbat qui est relié avec la troisièmedélivrance dans le troisième Temple.Et que ceci nous arrive de la manièrela plus concrète, Te’hef OuMiyadMamach. Ainsi que dans toutes lesallusions contenues dans le mot «Mamach », mais tout d’abord au sensle plus littéral, de la manière la plusconcrète, Mamach, Mamach,Mamach…

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mL’Edit Royal - Dvar Mal’hout

Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h ChlitaParachat Michpatim - Chabbat 27 Chevat qui bénit le mois de Adar I 5752-1992

Les nouvelles parlent le langage du Prophète Isaïe

Il est reconnu que chaque événement qui se passe dans le monde survient parl’intervention de la Achaga’haPratite, la Divine Providence. Tout cela comporte un enseignement pourle service de l’homme envers SonMaîtr e, et plus encore, en ce qui concerne des événements fondamentaux de portée internationale dont les pro-tagonistes sont des Etats importants.

Le Machia’h révélé parune femme

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w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mHistoire

Suspendu entre ciel et terreC’est en 5755-1995, lors d’un Farbrenguen, une réunion ‘hassidique organisé au Beit Machia’h dirigé parle Rav RéouvenMatusov à Paris, que le Rav Yéhouda Schwartz raconta l’histoir e extraordinaire que vous allez lire.

Le Rav Schwartz était alors chauffeurd’une grosse société d’importation deproduits Cachers israéliens, livrant àtravers la France les nombreux clientsdu Rav Daniel Amran, ‘hassid ‘Habadparisien, propriétaire de l’entreprise.Lors d’une tournée de livraison dans lecentre de Paris, le Rav Schwartzs’aperçoit avec stupeur que les freinsdu camion qu’il conduit, véhicule d’oc-casion acquis par la société deuxsemaines auparavant, ne répondentplus. L’effroi qui s’empare du chauffeur estterrible, son camion se dirige droit surun carrefour encombré… Deux possi-bilités, aussi dramatique l’une que l’au-tre, s’offrent à lui, continuer tout droitet provoquer un énorme carambolageaux conséquences désastreuses ou virerà gauche, en direction d’un pont toutproche et plonger avec son chargementdans la Seine.Il se décide en une fraction de seconde,braque violemment vers la gauche etvient frapper de plein fouet la barrièrede sécurité du pont qu’il enfonce, maispar miracle le camion reste suspenduentre ciel et terre, l’avant au dessus del’eau, l’arrière bloqué par les débris dupont. Des heures durant, les services desecours vont s’affairer pour finalementréussir à extraire, sain et sauf, le chauf-feur de son véhicule.L’enquête, menée par les inspecteurs dela police parisienne arrivés rapidementsur les lieux de l’accident, conclura queles freins du camion, usés jusqu’à lacorde, auraient du être remplacésdepuis longtemps. En plus de désignerle Rav Daniel Amran, propriétaire de lasociété, comme unique responsable, lapolice dépose plainte contre lui auprèsdu Palais de Justice, afin qu’il supportetous les frais occasionnés par l’acci-dent, frais majorés d’une amendeimportante.Le Rav Amran s’oppose aux argumentsdes policiers, car d’après lui, son inno-cence est évidente. C’est au vendeur ducamion, qui deux semaines auparavanta cédé le véhicule à son entreprise,d’assumer l’entière responsabilité del’accident.Le Tribunal en charge de l’affaireconvoque donc l’ancien propriétaire dudit camion, un vieux monsieur non-Juifde quatre-vingt ans possesseur d’unriche patrimoine, afin qu’il témoigne.C’est alors qu’un fait aussi extraordi-naire qu’imprévisible se produisit. A lasurprise générale des juges et des avo-cats des deux parties, le témoin voyantles accusés, les Rav Amran etSchwartz, vêtus du traditionnel cos-tume ‘hassidique, change complète-

ment d’attitude et s’adresse cordiale-ment à eux : «Sachez qu’il me seraitfacile de louer les services d’un ténordu Barreau et d’être assuré de rempor-ter ce procès, mais je renonce à fairepreuve de mon innocence et, je m’en-gage à payer tous les frais de cetteaffaire, y compris l’amende». Suite àcette déclaration, un silence total règnependant quelques secondes dans lasalle d’Audiences, chacun attendant lesconditions que ne va pas manquer d’yajouter le vieil homme, mais celui-ci enreste là, force est de constater que sontémoignage est terminé.Devant un tel accès de générosité lesjuges annulent la lourde contravention,il n’aura à débourser que le montantdes travaux de réfections du pontendommagé au cours de l’accident.A la sortie du Tribunal, le Rav Amrann’est pas au bout de ses surprises, sonancien adversaire lui demandant dedéposer son camion chez un garagistesitué non loin de son domicile, afin deprendre à son compte sa remise en état.Trois semaines plus tard, au coursd’une conversation téléphonique, leriche vieillard annonce au Rav Amranque le camion est prêt et, que devant serendre à Paris le lendemain pour réglerquelques affaires, il est inutile qu’unchauffeur subisse les désagrémentsd’un déplacement, il se fera un plaisirde le déposer lui même au garage situéà une grande distance de la capitale.C’est ainsi que le lendemain le RavSchwartz est confortablement installé àl’arrière de la luxueuse voiture du vieilhomme qui a pris place au coté de sonchauffeur personnel. Le voyage devantdurer trois heures, le Rav Schwartz sortson ‘Hitat et commence à lire desTéhilim.Après une demi-heure de route, le bien-faiteur se tourne vers son passager etlui demande: «Vous êtes Loubavitch?».Bien que surpris d’une telle question, leRav Yéhuda y répond par l’affirmative,avant que son interlocuteur n’ajoute :«Comment se porte le RabbiSchneerson de New York ?». Tout enrépondant à la question il se demandequel peut être le lien entre ce non-Juif

et le Rabbi, puis ne pouvant contenirplus longtemps son étonnement posedirectement la question au principalintéressé.Un large sourire éclairant son visage,ce dernier lui dit : « Je vais vousraconter une histoire qui vous fera réa-liser la grandeur du RabbiSchneerson…».« Bien que la deuxième guerre mon-diale menaçait d’éclater à tout moment,j’étais jeune et voulais acquérir unbagage intellectuel qui m’aiderait toutau long de ma vie, je m’inscrivais doncen Mathématiques à la Faculté de laSorbonne.C’est au cours de mes études que j’aieu le mérite de connaître le RabbiSchneerson, nous étudions alors dans lamême classe. Je n’oublierai jamaiscette grâce et cette intelligence le carac-térisant et, l’estime que chacun de nouslui portait. Pendant les cours, sonregard n’était jamais dirigé vers le pro-fesseur, il lisait un livre ouvert sur sesgenoux.Durant cette période difficile, la guerreavait commencé, je sortais les nuits dusamedi au dimanche, accompagnés dequelques camarades, dans les campa-gnes avoisinantes afin d’acheter à basprix des produits alimentaires qui man-quaient dans la capitale. Afin d’en tirerquelques bénéfices, nous consacrionsnos dimanches et lundis à faire la tour-née des commerçants parisiens afin deleur revendre nos précieuses acquisi-tions.Cette activité, bien que vitale, nous fai-sait perdre l’essentiel des matièresenseignées, les sujets d’études de lasemaine étant exposés le lundi. La plu-part des étudiants ne notaient que lespoints essentiels développés lors descours, notes qui servaient de base àleurs révisions. Le Rabbi Schneerson,quant à lui, rédigeait en détail lecontenu de ces cours du lundi et nous letransmettait le mardi, afin que nouspuissions récupérer ce que nous avionsmanqué la veille.La préparation à l’examen de fin deSemestre plongeât tous les étudiants del’Université dans une tension presque

palpable. Le jour de l’épreuve, au vu desa difficulté et du nombre impression-nant de questions, les professeurs char-gés de la surveillance allouèrent cinqheures pour sa rédaction, au lieu destrois initialement prévues.Une demi heure après le début de l’exa-men, sous les regards stupéfaits de tousles participants et de l’encadrement, leRabbi Schneerson remet sa copie ets’apprête à sortir de la salle, la plupartdes présents pensant que sa rapidité estdue à son ignorance du sujet de l’exa-men.Le Professeur ouvre alors l’enveloppeque lui a remis le Rabbi et découvrestupéfait qu’il a répondu à toutes lesquestions… Il se tourne alors versl’étudiant sur le point de sortir et l’apo-strophe : «Comment est ce possible ?C’est de la sorcellerie». Le RabbiSchneerson se tourna alors vers le pro-fesseur et, après lui avoir lancé un brefregard, sortit de la salle sans un mot…Cette anecdote devint alors le sujet dediscussion favori de toute la Faculté, leplus extraordinaire étant qu’après cor-rection de cet examen, toutes les répon-ses du Rabbi s’avérèrent correctes.Parallèlement le Recteur del’Université ayant eu ouï-dire de l’ac-cusation de sorcellerie portée contre leRabbi, demanda au Professeurconcerné de lui présenter des excusespubliques.Quelques jours plus tard, une fastueusecérémonie était organisée afin deremettre un certificat d’excellence auxétudiants ayant réussi cet examen diffi -cile. C’est ce même professeur quiremit au Rabbi son certificat et le priad’excuser ses propos, ceci devant lescentaines de personnes rassembléesdans l’amphithéâtre. Puis ne pouvantcontenir sa curiosité, il lui demandacomment il avait pu terminer si rapide-ment cet examen? Le RabbiSchneerson accepta avec le sourire sesexcuses et, face à des centaines d’étu-diants, lui répondit: «Le Peuple Juifdispose du Talmud, pour celui quil’étudie, toutes les questions de cet exa-men sont claires comme de l’eau pure». Le non juif conclut son histoire par cesmots : « Maintenant vous comprenezpourquoi j’ai pris à ma charge tous lesfrais de l’accident, lorsque j’ai vu quevous étiez des ‘hassidim du RabbiSchneerson, j’ai saisi cette opportunitéde lui exprimer ma reconnaissancepour son aide, sans laquelle je n’auraispas pu réussir mes études»…

Tiré du livre «Les Merveilles deMachia’h» de Rav Yossi Haddad

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Quel est selon vous le rapportentre la science d’aujourd’huiet l’époque messianique danslaquelle nous nous trouvons ?Dans le passé, il existait une anti-nomie presque insurmontableentre la Torah et les sciences.Prenons pour exemple l’éternitéde la matière selon la physique dudix-neuvième siècle. Bienentendu une telle affirmation nepourrait être envisageable pour laTorah qui débute avec le récit dela Création ex-nihilo. D’autresformes d’antinomie existaient etrendaient quasiment impossibleune conciliation entre la foi en laTorah et une approbation dessciences dans leur ensemble. Plusgénéralement, les sciences sontqualifiées par les Sages de«sagesses extérieures». Ce termerecèle probablement plusieurssignifications. L’une d’entre ellesexprime l’idée que l’étude dessciences profanes habituel’homme à regarder le mondesans D.ieu. En ce sens elle rejettel’homme vers l’extérieure de laréalité et l’éloigne de l’essencedes choses, qui n’est autre que lavitalité divine présente en chaqueparcelle de la Création. Ceci estl’une des raisons pour lesquellesassocier l’étude de la Torah, enparticulier la Hassidout et laKaballah, à l’étude des sciencesprofanes permet en autre chose derétablir l’équilibre et d’ouvrir lavision de l’homme vers laPrésence Divine jusque dans lesmoindres détails de la réalité. Cependant, nous savons,comme nous l’enseignent lesSages du Talmud, que tout n’aété crée que dans le but dedévoiler la gloire du Créateur.Aussi les sciences, qui sont incon-testablement l’une des manifesta-tions les plus élevées de l’esprithumain ont aussi pour vocationultime de dévoiler le Divin. Cepoint est essentiel. Il signifie quele développement des sciencesparticipe en lui-même à l’avène-ment messianique qui n’est autreque la libération de la consciencedes limites de la matière. D’ailleurs le Zohar dans son com-mentaire sur la Paracha de Noa’h,nous enseigne que en l’année 5600«s’ouvriront les portiques de lasagesse d’en-haut et les sources de

la sagesse d’en-bas, et le monde sepréparera à s’élever vers le sep-tième millénaire...». Dans sonlivre Ashmoreth Haboker sur leZohar, Rabbi Moche Castro expli-que que la Sagesse d’en haut dési-gne la Torah alors que la sagessed’en bas n’est autre que les scien-ces profanes. En effet à cette date commenceapproximativement le début d’undéveloppement scientifique ettechnologique qui a totalementchangé le monde. Parallèlementles sources profondes de la Torahse dévoilent à travers la‘Hassidout par laquelle chacunpeut avoir accès aux conceptionsles plus élevées de l’Infini Divinet Sa relation avec la monde. Cesdeux formes de sagesse doivent serencontrer et leur racine ultimequi est la pensée du Créateur seraévidente pour tous. Aussi la science moderne a-t-elle connu une mutation colos-sale durant le vingtième siècle,qui a totalement refaçonnée sonvisage. L’antinomie entre Scienceet Torah aujourd’hui n’a pluscours. Seule une compréhensionerronée des sciences et de laTorah peut conduire à ressentirencore cette antinomie. Citonsquatre exemples de mutationsscientifiques et technologiquesqui ont bouleversé la conceptiondu monde enseignée par les scien-ces:- Au début du vingtième siècle,les révolutions quantique et relati-

viste ont totalement redessinerl’édifice de la Physique. Depuiscette restructuration radicale, laPhysique moderne voit en lamatière une forme condenséed’énergie et en le temps et l’es-pace des objets en gestation. Ainsitout est lumière et rien de ce quirelève du monde physique n’estabsolu et éternel. - Les travaux du logicien K.Godel dans les années trente ontmis fin en une foi illimitée dansles pouvoirs de la seule Raisonhumaine, en ce sens qu’il adémontré l’existence de véritéslogiques indémontrables. - La théorie de chaos, dont ledéveloppement actif a débutéaprès la mise au point des pre-miers ordinateurs, a montre l’in-capacité de l’homme à décrire defaçon exhaustive l’univers danslequel il vit.- Enfin pour terminer sur unthème d’actualité, le réseau plané-taire Internet a rendu le flux d’in-formation impossible à juguler.Ceci a déjà engendré des boule-versements inimaginables. Infine, ceci permettra à l’avènementmessianique d’être immédiate-ment tangible dans le mondeentier. Il ne nous reste plus qu’a souhai-ter, désirer et prier ardemmentpour que le Créateurse dévoilefinalement dans son Infinité etInfinie Bonté à son peuple,Israël et à la Création toutentière au plus vite !

Allumage des Bougies de Chabbat ChekalimParachat Michpatim

qui bénit le mois de AdarJérusalem

Entrée : 16h51Sortie : 18h04

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w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mGueoula Les sciences ont pourvocation ultime de dévoilerle Divin…

Suite de l’interview du Dr. Yrmeyahu Kaminski chercheur en Mathématiques et enInformatique, étudiant en Torah et principalement en ‘Hassidout. Cette semaine, le Dr.Kaminski nous démontrera le rapport entre l’approche de la science et le dévoilementde la Nouvelle Torah du Machia’h, la ‘Hassidout…

« Vive le roi ! »Et l’essentiel est que, à travers toutcela, se dévoile la Délivrance par l’ac-tion du Machia’h. Il est fait allusion àcela dans la conclusion de la Haftarade la semaine dernière et le début dela Paracha de cette semaine : laHaftara s’est terminée la semaine der-nière par la proclamation « Yé’hiAdoni Hamele’h David Léolam, vivemon seigneur, le roi David, pourtoujours ! (Rois I. 1.31) ». Celle-ciexprime le dévoilement de l’exis-tence même du Machia’h.Et grâce à cela et à la suite de cela,vient son dévoilement aux yeux detous par ses actions pour délivrer lePeuple Juif…(Dvar Mal’hout Toledot 5752-1992)

Act

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Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santépour Ben Chalom ReuvenBen Daniéla Adina ainsi que pour Raphaël Ouriel Ben Drora, Mina GuilaBat ‘Hanna et Adiel Ben Bra’ha. Leilouï Nichmat de Norbert AvrahamBen Pnina Beckouche, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia etRachel Pessa'h, Rav Chalom Kalmenson, Meïr Ben Messaoud, ‘HayaSim’ha Bat Avraham Haddad, Rabbanite Sarah Zohara Bat Bra’ha.

Ne plus connaître le calmeLa proclamation selon laquelle: « celasuffit de l’exil, Ad Mataï » et « nousvoulons le Machia’h maintenant »n’est pas une pratique nouvelle, intro-duite ces dernières années aux Etats-Unis. De nombreux versets de la Torahexpriment l’affirmation des enfantsd’Israël, selon laquelle ils ne peuventpas supporter la difficulté de l’exil.Ainsi, le prophète Ze’harya dit:«Jusqu’à quand n’auras-Tu pas pitié deJérusalemet des villes de Judée contrelesquelles Tu t’es emporté?». Et, larequête implorante :« Jusqu’à quanddurera cet exil?» fait bien la preuvequ’on ne peut le supporter. Lorsque l’oncrie ces mots, on ne peut plus connaîtrele calme. Tout au long, on ressent ladouleur de l’exil et l’on attend la venuede notre juste Machia’h, ainsi qu’il estdit: «En Ton salut, nous plaçons notreespoir tout au long du jour».(Discours du Rabbi MHM, ChabbatMichpatim 5744-1984)